Guide d’ identification des
diatomées des rivières de l’Est du Canada
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Guide d’ identification des
diatomées des rivières de l’Est du Canada Isabelle Lavoie § Paul B. Hamilton § Stéphane Campeau § Martine Grenier § Peter J. Dillon
2008 Presses de l’Université du Québec Le Delta I, 2875, boul. Laurier, bur. 450 Québec (Québec) Canada G1V 2M2
Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque et Archives Canada
Vedette principale au titre : Guide d’identification des diatomées des rivières de l’Est du Canada Comprend des réf. bibliogr. et un index. ISBN 978-2-7605-1557-4 1. Diatomées – Canada (Est) – Identification. 2. Diatomées – Écologie. 3. Diatomées – Canada (Est) – Ouvrages illustrés. I. Lavoie, Isabelle. QK569.D54G84 2008
579.8'5176409713
C2008-940428-9
Nous reconnaissons l’aide financière du gouvernement du Canada par l’entremise du Programme d’aide au développement de l’industrie de l’édition (PADIE) pour nos activités d’édition. La publication de cet ouvrage a été rendue possible grâce à l’aide financière de la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC).
Mise en pages : P resses de l’Université du Québec Couverture – Conception : Richard Hodgson Illustrations : Linda M. Ley
1 2 3 4 5 6 7 8 9 PUQ 2008 9 8 7 6 5 4 3 2 1 Tous droits de reproduction, de traduction et d’adaptation réservés © 2008 Presses de l’Université du Québec Dépôt légal – 2 e trimestre 2008 Bibliothèque et Archives nationales du Québec / Bibliothèque et Archives Canada Imprimé au Canada
Équipe de rédaction
Auteurs Isabelle Lavoie, Ph. D. Paul B. Hamilton, M. Sc. Stéphane Campeau, Ph. D. Martine Grenier, M. Sc. Peter J. Dillon, Ph. D.
Trent University et UQTR Musée canadien de la nature Université du Québec à Trois-Rivières Université du Québec à Trois-Rivières Trent University
Collaborateurs Marie-Andrée Fallu, Ph. D. Yann Boissonneault, M. Sc. Mylène Vallée, M. Sc. Sophie Lacoursière, M. Sc. Geneviève Tardy, B. Sc. Ghislaine Bourque
Université du Québec à Trois-Rivières Université du Québec à Trois-Rivières Université du Québec à Trois-Rivières Université du Québec à Trois-Rivières Université du Québec à Trois-Rivières Université du Québec à Trois-Rivières
Remerciements Ce guide a été réalisé dans le cadre d’une étude portant sur le développement d’un indice diatomées pour le suivi de la pollution diffuse au Québec. L’étude a bénéficié du soutien financier du Fonds d’action québécois pour le développement durable (FAQDD), du Programme d’aide à la recherche et au développement du ministère de l’Environnement du Québec (PARDE), du Fonds québécois de la recherche sur la nature et les technologies (FQRNT) et du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG). La Direction du patrimoine écologique et du développement durable et la Direction du suivi de l’état de l’environnement du ministère de l’Environnement du Québec ont de plus contribué à l’étude, en fournissant notamment des fichiers numériques cartographiques et les données de la Banque de la qualité du milieu aquatique (BQMA). Nous remercions de plus le Musée canadien de la nature pour son soutien, notamment pour l’accès à
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
un microscope électronique à balayage. Nous tenons également à remercier le Patrick Center for Environmental Research de l’Académie des sciences naturelles à Philadelphie pour l’aide apportée lors des ateliers de taxonomie, principalement à Eduardo Morales, Marina Potapova, Karin Ponader et Don Charles. Nous remercions également Reinhard Pienitz et Warwick Vincent de l’Université Laval pour leur soutien lors du démarrage de l’étude. Nous sommes enfin reconnaissants envers les membres du Laboratoire de recherche sur les bassins versants (UQTR), du Laboratoire interdisciplinaire d’application en géomatique environnementale (UQTR), du Groupe de recherche sur les écosystèmes aquatiques (UQTR) et du Groupe de recherche interuniversitaire en limnologie (GRIL) et en environnement aquatique pour leur appui technique et moral.
Table des matières
Équipe de rédaction. ........................................................................................... VII Introduction. ......................................................................................................... 1 Morphologie des diatomées............................................................................... 3 Écologie des diatomées....................................................................................... 7 La lumière....................................................................................................... 10 Le pH............................................................................................................... 11 Les sels dissous............................................................................................... 12 Le phosphore et l’azote................................................................................. 13 La pollution organique.................................................................................. 15 La saison......................................................................................................... 17 La température............................................................................................... 17 Les autres nutriments.................................................................................... 18 La teneur en silice.......................................................................................... 18 Le courant....................................................................................................... 19 Le substrat...................................................................................................... 20 Le broutement................................................................................................ 21 Communautés de diatomées de référence...................................................... 23 L’état de référence des cours d’eau............................................................... 24 Les objectifs de restauration......................................................................... 25 Communautés de diatomées des rivières polluées du Québec................... 29 Indice Diatomées de l’Est du Canada (IDEC).............................................. 31 Comment fut développé l’IDEC ?................................................................ 33 Quel sous-indice choisir ?.............................................................................. 37 Qui peut utiliser l’IDEC ?............................................................................. 38 Qui peut calculer l’IDEC ?............................................................................ 38 Où échantillonner ?........................................................................................ 39 Quand échantillonner ?................................................................................. 41 Comment interpréter les résultats ?............................................................. 42 Quels sont les coûts ?..................................................................................... 43 Questions et réponses sur l’IDEC................................................................ 44
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Prélèvement et traitement des échantillons. .................................................. 49 Prélèvement.................................................................................................... 49 Préparation du matériel diatomique............................................................ 50 Préparation des lames de microscope......................................................... 51 Analyses microscopiques des diatomées..................................................... 51 Calcul de l’Indice Diatomées de l’Est du Canada (IDEC)....................... 52 Guide terminologique illustré........................................................................... 53 Clé d’identification des genres. ......................................................................... 59 Planches taxonomiques. ..................................................................................... 63 Code du taxon................................................................................................ 63 Désignation taxonomique............................................................................. 64 Synonyme........................................................................................................ 64 Grossissement des photographies................................................................ 64 Mesures biométriques.................................................................................... 64 Références taxonomiques abrégées. ................................................................ 203 Références bibliographiques. ............................................................................ 215 Index. ...................................................................................................................... 225
Introduction
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Les diatomées sont des algues microscopiques qui vivent en suspension dans l’eau ou attachées au fond des rivières, des lacs et des océans. La plupart des diatomées fixent le carbone par photosynthèse. Elles sont des producteurs primaires qui jouent un rôle majeur à la base des écosystèmes aquatiques. Elles contribuent à environ le quart de la production primaire globale de la planète et à 43 % de la production primaire des océans (Treguer et al., 1995). Chaque espèce de diatomée possède une ornementation particulière qui peut être observée au microscope et qui permet l’identification du taxon. Il s’agit également de l’un des groupes d’algues les plus diversifiés. L’évaluation du nombre total de taxons varie entre 20 000 et 30 000 selon les auteurs. Cependant, selon Mann et Droop (1996), il pourrait exister jusqu’à 200 000 taxons de diatomées sur la planète. Or, mis à part quelques ouvrages traitant des milieux lacustres, aucune monographie sur les diatomées des rivières du Québec et du Canada n’avait été publiée à ce jour. De plus, à l’échelle internationale, très peu d’ouvrages en français ont été publiés concernant la taxonomie des diatomées. Cet état de fait pose un problème à la fois pour l’enseignement et pour la recherche. Bien que les diatomées soient plutôt cosmopolites, la morphologie et l’écologie des espèces présentes au Québec peuvent en effet différer par rapport aux espèces décrites dans les ouvrages publiés à l’étranger. C’est dans ce contexte que l’Université du Québec à Trois-Rivières et l’Université Trent ont entrepris en 2002 une vaste étude sur les diatomées des rivières de l’Est du Canada. L’objectif de cette étude était de documenter la taxonomie, l’écologie et la biogéographie des diatomées des rivières. Elle a nécessité un effort d’échantillonnage sans précédent dans les cours d’eau du Canada. Plus de 600 échantillons ont été prélevés dans plus de 100 rivières au printemps et à l’automne 2002 et 2003. Les échantillons furent prélevés dans les cours d’eau du Québec, de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse et de l’Île-du-Prince-Édouard. La première partie du Guide d’identification des diatomées des rivières de l’Est du Canada présente quelques notions de base sur la morphologie et l’écologie des diatomées ainsi
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
que les techniques d’échantillonnage, de traitement et d’analyse. La seconde partie comporte un guide d’initiation à la taxonomie des diatomées avec 68 planches contenant plus de 2 000 photographies prises au microscope à contraste interférentiel. Les planches taxonomiques illustrent les 540 taxons présents dans les cours d’eau échantillonnés. La majorité des taxons périphytiques susceptibles d’être rencontrés dans les rivières de l’Est du Canada devrait ainsi figurer dans ce guide. L’enseignement de l’écologie et de la taxonomie des algues, dont les diatomées, fait partie de tous les programmes de biologie des universités québécoises et étrangères. De plus, l’identification des diatomées est essentielle à la réalisation d’études portant sur la biodiversité et l’écologie aquatiques. L’identification des diatomées est enfin un passe-temps prisé par de nombreux naturalistes amateurs. Le Guide d’identification des diatomées des rivières de l’Est du Canada devrait ainsi être un document de référence pour l’enseignement de l’écologie et de la taxonomie des diatomées des rivières dans les institutions d’enseignement et pour les recherches reliées à la biodiversité et à l’écologie aquatique. Il constitue également une référence pour les naturalistes amateurs intéressés à la flore des cours d’eau. L’intérêt de l’étude des diatomées dépasse cependant le domaine de l’écologie fondamentale. Les diatomées sont utilisées dans un nombre grandissant de pays pour effectuer le suivi de la qualité de l’eau des rivières. Les diatomées sont particulièrement sensibles aux variations de concentrations en éléments nutritifs dans l’eau (principalement le phosphore et l’azote) et aux charges organiques et minérales provenant des fertilisants organiques et des engrais minéraux qui ruissellent le long des terres agricoles. Certaines espèces de diatomées sont très sensibles et ne tolèrent aucune pollution alors que d’autres sont très tolérantes et prolifèrent dans les milieux eutrophisés ou dans les cours d’eau affectés par une forte conductivité. Dans plusieurs pays, le suivi de l’état des écosystèmes aquatiques est réalisé par l’utilisation d’indices biologiques basés sur les diatomées benthiques. Au Canada, aucun indice diatomées n’avait encore été testé. L’objectif de l’étude menée à l’Université du Québec à Trois-Rivières et à l’Université Trent était de développer un indice diatomées pour le suivi de la pollution diffuse dans les rivières de l’Est du Canada. Les données recueillies ont permis de procéder à l’analyse détaillée de la distribution des communautés de diatomées et de leur préférence écologique. L’Indice Diatomées de l’Est du Canada (IDEC) fut développé pour le suivi de la pollution diffuse (Lavoie et al., 2006b). L’IDEC indique la position d’une communauté de diatomées sur le gradient général de pollution diffuse dans les rivières. Le Guide d’identification des diatomées des rivières de l’Est du Canada, qui sera un outil de base essentiel à la mise en application de l’indice, est donc également un document de référence pour les organismes intéressés au suivi de la qualité de l’eau et des écosystèmes aquatiques, dont les municipalités, les organismes de bassins versants, les comités de rivières, les consultants en environnement et les agences gouvernementales.
Morphologie des diatomées
L
Les diatomées (bacillariophycées) sont des algues microscopiques unicellulaires (eucaryotes) variant de quelques micromètres à plus de 500 micromètres (0,5 millimètre). Les diatomées ont la caractéristique particulière d’avoir un squelette externe siliceux (SiO2) à l’intérieur duquel se trouvent le contenu cellulaire (noyau, chloroplastes, mitochondries, vacuoles, etc.) (Figure 1).
vacuole coquille siliceuse noyau chloroplastes (a)
(b)
Figure 1. (a) Navicula lanceolata avec contenu cellulaire. (b) Navicula lanceolata sans contenu cellulaire.
Le frustule (squelette ou coquille siliceuse) des diatomées est formé de deux valves qui s’emboîtent l’une dans l’autre (Figure 2). C’est donc dire que les diatomées sont de petites boîtes de vitre microscopiques. La partie la plus grande du frustule est l’épivalve et la partie plus petite est l’hypovalve. Des bandes intercalaires (ceintures connectives) relient les deux valves. Chaque espèce de diatomée possède une ornementation (stries, fibules, ponctuations, stigma, épines, etc.) particulière qui permet l’identification (Figure 3).
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Hypovalve Bandes intercalaires 20 m
Épivalve
Figure 2. Frustule d’Eunotia sp. (microscope électronique à balayage).
(b)
(a)
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Figure 3. (a) Stries (b-c) Ponctuations (d) Fibules (e) Stigma (f) Épines.
Les fossiles de diatomées les plus anciens remontent au Crétacé, il y a plus de 180 millions d’années (Round et al., 1990). On retrouve deux formes générales de diatomées : les centriques et les pennées (Figure 4). Les diatomées centriques ont une symétrie radiale et les diatomées pennées ont une symétrie bilatérale.
(a)
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Figure 4. (a) Diatomées centriques, symétrie radiale (Cyclotella spp.). (b) Diatomées pennées, symétrie bilatérale (Gomphonema sp., Navicula sp., Cymbella sp.).
Morphologie des diatomées
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Les diatomées se reproduisent par séparation des deux valves du frustule et sécrétion d’une nouvelle hypovalve. Chaque division produit une cellule de même taille que la cellule-mère ainsi qu’une cellule plus petite. Ce processus de bipartition engendre alors une réduction progressive de la taille de l’espèce (Figure 5).
Reproduction sexuée (production d’auxospores)
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Reproduction végétative (mitose)
(b)
Reproduction végétative (mitose)
Figure 5. (a) Reproduction végétative : chaque division conserve une cellule de même taille que la cellule-mère et produit une cellule plus petite. (b) Réduction progressive de la taille de l’espèce. Une reproduction sexuée, par la production d’auxospores, permet de rétablir la taille maximale de l’espèce.
Lorsque la taille de l’espèce atteint une valeur minimale critique ou lorsque les conditions environnementales ne sont pas favorables à la multiplication végétative, la reproduction se fait selon un mode sexué (production d’auxospores). La reproduction sexuée permet de regagner la taille maximale de l’espèce.
Écologie des diatomées
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Les diatomées sont abondantes dans les océans, les lacs, les étangs et les cours d’eau ainsi que dans les tourbières et autres environnements humides. Les diatomées sont responsables d’environ 20 % de la fixation globale du carbone et d’environ 20 % de la production d’oxygène atmosphérique. Certaines espèces vivent en suspension dans la colonne d’eau (diatomées planctoniques), alors que d’autres se fixent à un substrat (diatomées périphytiques). Les diatomées périphytiques peuvent être classifiées en cinq groupes selon leur substrat d’attachement : épipéliques (sédiments organiques fins), épipsammiques (grains de sable), épilithiques (substrats durs, roches), épiphytiques (macrophytes) et épizoïques (animaux). Les diatomées d’une même espèce peuvent également former des colonies en suspension dans la colonne d’eau ou fixées à un substrat (roches, gravier, sédiments, plantes, etc.) (Figure 6). Les diatomées périphytiques (benthiques) constituent une partie considérable du biofilm accumulé sur la surface des substrats (Figure 7). Le biofilm est un microcosme complexe, composé principalement de micro organismes autotrophes (algues et cyanobactéries) et hétérotrophes (bactéries, hyphomycètes et protozoaires) vivants, sénescents et morts ainsi que de fines particules de matériel enveloppées dans une matrice de polysaccharides d’origine biologique (Neckles et Neill, 1994). Chez les algues périphytiques, les différentes espèces présentent dans le biofilm ainsi que les différents modes d’attachement forment une structure tridimensionnelle composée de plusieurs strates distinctes (Figure 8). La disponibilité des ressources (espace, nutriments, lumière, etc.) et le niveau de perturbation sont des facteurs importants pour le développement et l’architecture du biofilm. Brièvement, on retrouve généralement les cellules de petite taille à la base de la matrice (Figure 8a), certaines étant logées dans le relief du substrat. D’autres espèces sont fixées à plat sur le substrat, par-dessus cette couche initiale de cellules pionnières (8b). Certains taxons sont fixés à la verticale (8c) ou sur un pédoncule (8d) et se développent en s’éloignant du substrat d’attachement. Le biofilm contient également des taxons qui croissent entremêlés dans la matrice (faiblement attachés) (8e) ou fixés à d’autres taxons (8f). Enfin, certaines cellules vivent attachées aux algues filamenteuses et aux macrophytes qui recouvrent parfois le substrat (épiphytes).
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
(a)
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M .
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Figure 6. (a) Colonie en étoile, forme planctonique. (b) Colonie en masse. (c) Colonie en éventail. (d) Colonie en ruban. (e-f) Colonie en chaîne. (g) Production d’un pédoncule. (h) Colonie en branches, production d’un p édoncule. (i) Production d’un tube de mucilage. (Photos : Linda M. Ley, Musée canadien de la nature).
Écologie des diatomées
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Figure 7. Accumulation d’un biofilm sur la surface des roches d’une rivière.
(d) (c)
(f) (e)
(b)
(a)
Figure 8. Diagramme représentant les strates du biofilm sur la surface d’une roche : (a) Cellules de petite taille à la base de la matrice. (b) Cellules fixées à plat sur le substrat (c) Cellules fixées à la verticale. (d) Cellules fixées sur un pédoncule. (e) Cellules entremêlées dans la matrice, faiblement attachées. (f) Cellules fixées à d’autres taxons.
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
La matrice périphytique est donc riche en espèces et les processus écosystémiques y sont complexes. Les substances organiques et inorganiques en provenance du substrat et de l’eau diffusent au travers du biofilm. La compétition pour les substances nutritives et la lumière est importante. Les communautés périphytiques sont de plus soumises à une succession végétale qui est conditionnée, entre autres, par les saisons, l’érosion du biofilm par le courant, le broutement par les invertébrés et la compétition interspécifique.
La lumière Puisque la photosynthèse répond directement aux changements de lumière, les fluctuations dans la quantité et la qualité de celle-ci sont potentiellement responsables d’une partie de la variation dans la croissance et la structure de la communauté d’algues benthiques. Les différentes réponses des groupes taxonomiques aux variations de la lumière peuvent être associées aux différences de pigments photosynthétiques et de membranes (Hill, 1996). Bien que les diatomées, les cyanobactéries et les rhodophytes semblent mieux adaptées à de faibles intensités lumineuses que les chlorophytes, la plupart des taxons ont probablement un optimum de croissance à des irradiances modérément élevées (par exemple, 200-800 μmol m–2 s–1) (Hill, 1996). Le mode d’attachement de certaines diatomées au substrat peut favoriser l’accès à la lumière (par exemple, pédoncule, attachement vertical) en permettant une croissance au-dessus de la communauté benthique, limitant ainsi la compétition pour la lumière. Certains taxons benthiques mobiles, comme les diatomées portant un raphé, ont l’avantage de pouvoir réguler leur environnement lumineux par la phototaxie, leur permettant de fuir les extrémités d’un gradient de lumière si ce gradient est de l’ordre de quelques millimètres (Hill, 1996). Les diatomées ont un arrangement caractéristique de pigments photosynthétiques qui leur permet de tirer profit de la lumière incidente d’une façon particulière (Prézelin et Boczar, 1986). Il est fréquent de les retrouver tôt au printemps lorsque les conditions lumineuses sont plus faibles. De plus, cette période de l’année procure aux diatomées un environnement riche en nutriments où la proportion de brouteurs est relativement faible. L’hétérotrophie facultative peut aussi être avantageuse sous de faibles conditions lumineuses, que la réduction de lumière soit causée par l’accumulation de cellules dans le tapis benthique, par un ombrage important créé par les arbres ou par une turbidité excessive (Hill, 1996). Les taxons prostrés non motiles ont un désavantage important dans les communautés benthiques qui se développent verticalement. Les formes prostrées (par exemple, Achnanthes spp.) qui dominent les communautés sous-développées des substrats nus ou continuellement perturbés vont éventuellement souffrir d’une diminution de la lumière au fur et à mesure que la communauté se développe verticalement, et diminueront probablement
Écologie des diatomées
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en abondance relative (Hill, 1996). Quelques formes prostrées possèdent un mécanisme physiologique permettant de survivre aux faibles conditions lumineuses retrouvées à la base des tapis d’algues benthiques. Par exemple, Achnanthes rostrata peut survivre à des périodes de noirceur de 30 jours ou plus sous une forme dormante ou hétérotrophique et recommencer à croître une fois l’intensité lumineuse adéquate (Tuchman, 1996).
Le pH Le pH est probablement la variable la plus importante contrôlant la composition des espèces dans les écosystèmes d’eau douce (Battarbee et al., 2001). Les diatomées répondent de façon particulièrement marquée aux variations de pH, bien qu’il n’y ait aucune explication écophysiologique détaillée permettant de comprendre comment le pH influence la croissance et l’habileté compétitive des espèces de diatomées (Battarbee et al., 2001). Toutefois, il est bien connu que le pH contrôle plusieurs processus chimiques et biochimiques ainsi que certaines réactions, incluant la balance carbonate-bicarbonate, la disponibilité des nutriments, la solubilité des métaux (particulièrement les métaux toxiques, tel l’aluminium), et l’activité d’enzymes comme la phosphatase (Battarbee et al., 2001). Une forte variabilité dans la composition des communautés de diatomées est observée particulièrement dans les régions où les cours d’eau ont une faible capacité tampon (milieu généralement à faible pH). L’eutrophisation peut dans ce cas provoquer une augmentation du pH. L’effet de l’eutrophisation sur le pH est moindre dans les cours d’eau ayant une concentration naturelle élevée en minéraux (Leland et Porter, 2000). L’analyse des relations entre les communautés de diatomées et le pH a fait l’objet de beaucoup d’études. Des indices de pH ont été développés par Håkansson (1993) ainsi que par Renberg et Helberg (1982). De plus, des analyses multivariées effectuées en rivière (par exemple, Van Dam et al., 1994) et en lacs (études paléolimnologiques) (par exemple, Dixit et al., 1988, 1993, 1998, 2002 ; Reavie et Smol, 2001 ; Håkansson, 1993 ; ter Braak et Van Dam, 1989 ; Renberg et Helberg, 1982) ont démontré la prédominance du pH dans la structuration des communautés de diatomées et établi les optimums et les tolérances des espèces pour évaluer le pH à partir des communautés de diatomées. Les diatomées peuvent être classifiées en sept groupes distincts selon leur gradient optimal de pH (Van Dam et al., 1994) (Tableau 1).
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada Tableau 1 Classification des diatomées selon leur gradient optimal de pH Classe Acidobiontique Acidophile Circumneutre Alkaliphile Alkalibiontique Indifférente Source : Van Dam et al., 1994.
Gradient de pH Optimal lorsque le pH < 5,5 Généralement lorsque le pH < 7 Généralement lorsque le pH ∼ 7 Généralement lorsque le pH > 7 Exclusivement lorsque le pH > 7 Sans optimum apparent
Les sels dissous La salinité réfère à tous les anions et cations dissous dans l’eau (Ca, Mg, Na, K, CO3, SO4, Cl). Elle est majoritairement tributaire des sels dissous (ions majeurs dissous) provenant de la pluie, de la roche-mère ou des apports en nutriments naturels ou anthropiques. Les diatomées euryhalines ont un pouvoir osmorégulateur élevé qui leur permet d’habiter des environnements d’eau douce et d’eau saumâtre. Au contraire, les diatomées sténohalines ne tolèrent que de faibles intervalles de salinité. La plupart des connaissances de la relation des diatomées avec la salinité proviennent des études de la composition des communautés prélevées dans des eaux continentales fortement polluées, des estuaires, des mers intérieures et des lacs salins (par exemple, Reed, 1998), mais une réponse à la salinité est aussi observée dans les eaux douces (par exemple, Potapova et Charles, 2002 ; Leland et Porter, 2000) présentant de faibles concentrations en sels dissous. Kolbe (1932) fut le premier à proposer une classification dite des «halobies» reprise et modifiée par de nombreux auteurs (par exemple, Van Dam et al., 1994 ; Hustedt, 1957), donnant même lieu à l’élaboration d’indices de salinité tel l’index halobionte de Ziemann (1991, 1971), qui utilise les préférences de salinité des diatomées pour évaluer les concentrations en sels dissous. D’autres études récentes donnent des classifications des diatomées selon la salinité et la conductivité dans les rivières (Potapova et Charles, 2002 ; Leland et al., 2001 ; Leland, 1995 ; Van Dam et al., 1994), les estuaires (Underwood et al., 1998) et la mer (Snoeijs, 1994). Le Tableau 2 présente les préférences de salinité des diatomées regroupées en quatre classes (Van Dam et al., 1994). Des modèles de reconstitution de la salinité ont également été développés afin d’estimer les variations de salinité dans les lacs et les milieux côtiers au cours de l’Holocène (Campeau et al., 1999 ; Herbst et Blinn, 1998 ; Reed, 1998 ; Roberts et McMinn, 1998 ; Gell, 1997 ; Reavie et Smol, 1997 ; Wilson et al., 1994, 1996 ; Cumming et Smol, 1993). Certaines espèces de diatomées échantillonnées dans les rivières du Québec sont caractéristiques des eaux saumâtres, ce qui reflète la forte concentration en sel dissous parfois associée aux activités agricoles.
Écologie des diatomées
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Tableau 2 Classification des diatomées selon leur préférence de salinité Classe Eau douce Eau douce à légèrement saumâtre Eau saumâtre-douce Eau saumâtre Source : Van Dam et al., 1994.
Salinité (‰) < 0,2 < 0,9 0,9 – 1,8 1,8 – 9,0
Le phosphore et l’azote Les macronutriments sont les éléments qui constituent plus de 0,1 % de la biomasse des algues. Ces éléments incluent : C, O, H, N, P, S, K, Mg, Ca, Na et Cl. La plupart de ces éléments sont sans importance dans l’écologie des algues puisqu’ils sont généralement présents en excès comparativement aux besoins de ces organismes. Les seuls macronutriments d’intérêt sont N et P. Les algues benthiques ne croissent pas nécessairement à l’intérieur d’une couche laminaire stable où le mouvement des nutriments se fait uniquement par diffusion. En effet, la contribution relative de la diffusion et de l’advection au transport des nutriments dépend du degré de turbulence et de la hauteur au-dessus du substrat. Le phosphore et l’azote sont les nutriments les plus susceptibles d’être limitant pour la croissance des algues, ce qui explique le grand nombre d’études conduites en Amérique du Nord et ailleurs afin d’élucider les relations entre ces nutriments et le taux de croissance ainsi que l’abondance des algues benthiques. La majorité de ces études porte sur l’incidence de la concentration en nutriments sur la communauté d’algues benthiques (biomasse). L’information quant aux besoins en nutriments de chaque espèce (structure de la communauté) est plutôt rare. Le phosphore inorganique joue un rôle clé dans la structure de molécules comme l’ADN et l’ARN. Les cellules utilisent également le phosphore inorganique pour entreposer et transporter l’énergie cellulaire grâce à l’adénosine triphosphate (ATP). Le phosphore est nécessaire à la synthèse des nucléotides, phospholipides, sucres phosphatés et autres composés phosphorilés intermédiaires (Wetzel et Likens, 2000). La plupart des données de P pour les écosystèmes d’eau douce réfèrent au phosphore total et au phosphore inorganique soluble (orthophosphates, PO43–). Le phosphore organique dissous constitue également une fraction importante du phosphore total dissous (PTD) et peut être utilisé par certaines algues. L’azote est un élément essentiel à la synthèse des protéines et est considéré comme étant une ressource limitant la production des plantes, des algues et des bactéries (par exemple, Seitzinger et al., 2002). Les nitrates (NO3-) doivent être réduits en ammonium (NH4+) avant l’assimilation par
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les plantes ; le NH4+ est donc une source d’azote énergiquement efficace. Toutefois, le NH4+ est généralement présent en faible quantité dans les eaux bien oxygénées et est toxique lorsque le pH est élevé, ce qui fait des nitrates (NO3 -) une source d’azote très importante pour la croissance des algues (Wetzel et Likens, 2000). Bien que la plupart des études portent sur l’azote inorganique dissous (NID), une portion considérable des apports en N dans les écosystèmes aquatiques sont sous forme organique (dissous ou particulaire). Seulement une fraction de l’azote organique total est biodisponible pour les algues (Seitzinger et al., 2002). L’azote organique dissous (NOD) provient du bassin de drainage (sources naturelles ou anthropogéniques), des dépositions atmosphériques et de la production autochtone. Les diatomées répondent fortement et rapidement aux concentrations en nutriments, elles sont de bons bio-indicateurs du statut trophique d’un cours d’eau. On distingue ainsi trois groupes de diatomées en fonction de la richesse du milieu en éléments nutritifs : les diatomées oligotrophes (espèces faiblement tolérantes à l’enrichissement en éléments nutritifs), mésotrophes (espèces supportant des concentrations modérées) et eutrophes (espèces caractéristiques des milieux riches en éléments nutritifs). Cette sensibilité des diatomées aux nutriments a été exploitée dans certains pays européens pour développer des indices trophiques basés sur les optimums et la tolérance des espèces, dont le Trophic Diatom Index (TDI : Kelly et Whitton, 1995) au Royaume-Uni, l’indice d’eutrophisation de Steinberg et Schiefele (1988), modifié par Schiefele et Schreiner (1991), puis Schiefele et Kohmann (1993) et Hofmann (en lac ; 1994). D’autres études ont établi les optimums et la tolérance des espèces de diatomées selon un ou des nutriments (Leland et al., 2001 : azote inorganique ; Reavie et Smol, 2001 : azote total et phosphore total ; Dixit et al., 1998 : phosphore total ; Pan et al., 1996 : phosphore total ; Leland, 1995 : azote inorganique ; Hall et Smol, 1992 : phosphore total), alors que Rott et al. (1998) ont utilisé la liste des espèces indicatrices de Van Dam et al. (1994) pour faire une évaluation du niveau d’eutrophisation de la rivière Grand en Ontario. Les études de Lavoie et al. (2003), Winter et al. (2000a, b, 2003), Carpenter et Waite (2000), Leland et Porter (2000), Pan et al. (1999), Reavie et Smol (1998), Vis et al. (1998a et b) de même que Cattaneo et al. (1997) ont, pour leur part, mis en évidence l’importance des nutriments dans la structuration des communautés de diatomées, en plus d’établir l’écologie de certaines espèces par rapport à ceux-ci en Amérique du Nord. D’autres études (Pringle, 1990 ; Fairchild et al., 1985) ont démontré des changements à court terme à la suite d’un enrichissement local en éléments nutritifs. Van Dam et al. (1994) ont classifié les diatomées en sept classes en fonction des conditions trophiques (Tableau 3).
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Tableau 3 Classification des diatomées selon les conditions trophiques Classe Oligotraphentique Oligomesotraphentique Mésotraphentique Méso-eutraphentique Eutraphentique Hypereutraphentique Oligo à hypereutraphentique Source : Van Dam et al., 1994.
Condition trophique Enrichissement très faible à faible Enrichissement faible à moyen Enrichissement moyen Enrichissement moyen à élevé Enrichissement élevé Enrichissement très élevé Indifférent
Le ratio atomique de Redfield (1958) (106C:16N:1P) peut être considéré comme étant le ratio optimal de nutriments pour une communauté, soit que les processus physiologiques de croissance sont balancés. Ce ratio est dépendant du taux de croissance. Le nutriment limitant la croissance (N ou P) peut être grossièrement estimé à partir du ratio N:P ambiant (souvent azote inorganique dissous : phosphore réactif soluble). Un ratio N:P plus grand que 20:1 est considéré comme étant P-limitant, plus petit que 10:1, comme étant N-limitant et équivoque, entre 10 et 20 pour 1. Ces ratios de nutriments sont valables lorsque les concentrations ambiantes sont près des niveaux limitant la croissance et sont inutiles si les nutriments sont en excès. Aussi, puisque les taux d’assimilation (uptake rates) de ces deux nutriments peuvent être différents, le ratio ambiant ne reflète pas nécessairement le ratio cellulaire régissant les processus physiologiques de croissance (Borchardt, 1996). La biomasse d’algues benthiques et le taux de croissance ne reflètent pas toujours les concentrations en nutriments puisque d’autres facteurs (par exemple, la lumière, les perturbations, le broutement, le pH) peuvent être les principaux déterminants. Par exemple, les nutriments auront peu d’effet sur la croissance si la lumière est insuffisante ou si la force du courant est trop importante (érosion de tapis périphytique). Pour plusieurs groupes d’algues, la vitesse du courant peut accroître l’assimilation (uptake) du phosphore, de l’azote et du carbone. Le phénomène s’explique par une diminution de la couche laminaire autour des algues lorsque la vitesse du courant augmente, ce qui accroît la diffusion des nutriments. L’influence du broutement peut également affecter la réponse des communautés d’algues benthiques à la suite d’un enrichissement.
La pollution organique La quantité de matière organique et la concentration en O2 dissous peuvent être caractérisées par la saprobie. La saprobie est l’ensemble des propriétés physiologiques d’un organisme conditionnant sa capacité à se développer dans un système pollué par la matière organique. La saprobie, semblable à
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l’eutrophisation, est un système basé sur l’observation suivante : une rivière ayant un flot lent et constant et recevant une forte quantité de déchets montre des zones distinctes de diminution de la pollution. Ces zones sont nommées polysaprobe, alpha-méso/polysaprobe, alpha-mesosaprobe, betamesosaprobe et oligosaprobe. La séquence reflète le progrès de l’autopurification. Si la pollution excède la capacité d’autopurification, l’eau accumule les polluants et le processus de dégradation commence, résultant en une diminution rapide de la diversité et de la productivité. Chaque zone est caractérisée par un contenu particulier d’oxygène, de substances organiques, de produits de décomposition septique et de produits de minéralisation. Biologiquement, chaque zone fournit des conditions optimales pour certaines espèces et communautés d’organismes. Certaines espèces sont particulièrement connues pour leur sensibilité à une forte concentration en matière organique. Par exemple, selon Steinberg et Schiefele (1988), Achnanthidium minutissimum est sensible à la pollution organique ainsi que Amphora pediculus, qui est à la fois une espèce des milieux eutrophisés et sensible à la matière organique. Il est également possible de trouver certaines diatomées hétérotrophes obligatoires qui peuvent vivre en absence de lumière par prise chemo-organotrophique (chemo-organotrophic uptake) de composés organiques dissous (voir plus haut). La classification de saprobité de Van Dam et al. (1994) combine les propriétés indicatrices des diatomées pour la présence de matière organique biodégradable et les concentrations en oxygène (Tableau 4). Une classification des espèces selon les tolérances à la matière organique s’appuie sur les facteurs tels la demande biochimique en oxygène en cinq jours (DBO5), l’oxygène dissous et les sels ammoniacaux. Certaines diatomées sont hétérotrophes à la matière organique et peuvent, par conséquent, être une composante active de l’autopurification des eaux saprobes (Rott et al., 1997). La demande biochimique en oxygène en cinq jours (DBO5) et la saturation en oxygène furent utilisées pour définir cinq classes de saprobie (β-mesosaprobic, α-β-mesosaprobic, α-mesosaprobic, α-mesopolysaprobic, polysaprobic), (Sladecek, 1986). D’autres indices de saprobicie ont été développés par Hofmann (1994) et Watanabe (1990). La saprobie étant directement corrélée avec les conditions d’eutrophisation dans près de 80 à 90 % des cas (Sladecek, 1986), la combinaison des indices trophiques et saprobiques (Dell’Uomo, 1996 ; Kelly et Whitton, 1995 ; Schiefele et Schreiner, 1991 ; Steinberg et Schiefele, 1988) apparaît être plus efficace dans la représentation de la qualité de l’eau que lorsqu’ils sont utilisés séparément.
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Tableau 4 Classification des diatomées selon la saprobie Saprobité Oligosaprobe (oxidation complétée) Beta-mésosaprobe Alpha-mésosaprobe Alpha-méso/polysaprobe Polysaprobe (processus de réduction) Source : Van Dam et al., 1994.
Saturation O2 (mg l–1) > 85 70 – 85 25 – 70 10 – 25 < 10
DBO5 (mg l–1) <2 2–4 4 – 13 13 – 22 > 22
La saison Les variations saisonnières ont une grande influence sur la structure des communautés de diatomées puisqu’elles sont responsables, entre autres, des variations de température, de lumière, de débit et de quantité d’éléments nutritifs. Au Québec, la diversité et la biomasse des communautés de diatomées augmentent du printemps à l’automne, suivant l’augmentation de la température, de la lumière et des nutriments ainsi que la diminution du débit des rivières (Grenier et al., 2006 ; Lavoie et al., 2003). Ainsi, les conditions hivernales québécoises ont pour effet d’occasionner un phénomène de recolonisation graduelle des substrats au printemps jusqu’à l’automne, période où la structure de la communauté atteint une stabilité favorisée par des conditions environnementales propices à l’établissement d’un plus grand nombre de taxons (Lavoie et al., 2003). Ce phénomène semble expliquer la plus faible diversité taxonomique des relevés printaniers (288 taxons) par rapport aux relevés automnaux (357 taxons), qui bénéficient d’une meilleure colonisation. Ainsi, les taxons dominants au printemps sont davantage colonisateurs et résistants aux températures plus faibles et aux vitesses de courant élevées caractérisant les mois de mai et de juin (Grenier et al., 2006).
La température La température influence plusieurs paramètres physicochimiques de l’eau (par exemple, l’oxygène dissous, les nutriments, la conductivité), ce qui rend le rôle de cette variable plutôt difficile à étudier de façon indépendante. Bien que chaque espèce possède son propre gradient de température optimale, plusieurs études ont démontré que les diatomées tendent à dominer entre 5 et 20 °C, les chlorophycées et xanthophycées entre 15 et 30 °C et les cyanophycées à plus de 30 °C (Lamberti et Resh, 1985). Les variations saisonnières de température (variations temporelles) influencent ainsi de façon importante la structure de la communauté algale. Par contre, à l’échelle régionale, l’effet de la température est rarement une variable déterminante de la structure d’une communauté puisque les variations de température dans une région (au cours d’une même saison) sont généralement moins importantes que les variations des autres variables environnementales (ou bien corrélées aux autres variables) (Anderson, 2000).
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada Tableau 5 Classification des diatomées selon leur gradient optimal de température Classe Oligotherme Mésotherme Eutherme Sténotherme Méthatherme Eurytherme
Gradient de température 0 à 15 oC 15 à 30 oC 30 oC et plus ∆ < 5 oC ∆ = 5 à 15 oC ∆ > 15 oC
Les autres nutriments Bien que l’azote et le phosphore soient les éléments les plus limitants pour la croissance des algues, plusieurs autres éléments sont essentiels. En effet, le carbone (sous forme de CO2) est un élément déterminant de la photosynthèse (production de carbohydrates). L’apport de CO2 est régulé par des processus physiques de diffusion dans l’eau et par des processus physiologiques d’assimilation. Le CO2 libre dans l’eau est directement utilisé par les algues, bien que certains taxons ont également la capacité de prélever le CO2 provenant du bicarbonate lorsque le CO2 libre est limitant et que le HCO3 – est abondant (Wetzel et Likens, 2000). Dans la plupart des écosystèmes d’eau douce, le carbone inorganique est rarement limitant puisque l’équilibre entre le CO2 atmosphérique et le CO2 dans l’eau est généralement atteint assez rapidement. Le CO2 libre peut toutefois être limitant dans les communautés d’algues benthiques lorsque le biofilm devient très épais et dense ou lorsque le pH est supérieur à 8,5 (Wetzel et Likens, 2000). Le carbone organique dissous peut également être assimilé par un nombre limité d’algues hétérotrophes obligatoires. Le calcium est essentiel au maintien de l’intégrité structurelle et fonctionnelle des membranes cellulaires. Le magnésium est également nécessaire à la photosynthèse pour le transfert du phosphate impliquant l’adénosine triphosphate (ATP). Dans les plantes, le magnésium sert de métal de transition au cœur du centre réactif de la molécule de chlorophylle. Cet élément est généralement abondant par rapport aux besoins des plantes et n’est pas considéré comme étant limitant. Le potassium est un activateur d’enzyme essentiel aux cellules. Le sulfure est important pour la structure des protéines. L’ion chlorure est nécessaire aux cellules photosynthétiques pour la photolyse de l’eau afin de produire de l’oxygène, pour la formation d’ATP et pour certaines réactions de phosphorylation (Wetzel et Likens, 2000). Enfin, certains éléments trace sont aussi indispensables à la croissance des algues : fer (processus enzymatiques et autres processus cellulaires), manganèse (photosystème II, respiration,
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métabolisme de l’azote), zinc (réactions enzymatiques), cuivre (catalyseur), molybdène (processus enzymatiques), et cobalt (vitamine B12) (Wetzel et Likens, 2000). Dans les rivières de l’Est du Canada, ces éléments ne sont généralement pas limitant pour la croissance des diatomées.
La teneur en silice La silice (SiO2) est habituellement abondante en eaux douces (sous forme d’acide silicique et de silice particulaire) et est particulièrement importante pour le développement des diatomées (coquille siliceuse). L’utilisation de la silice par les diatomées peut influencer fortement le flux de silice dans les lacs et les rivières. Aussi, la disponibilité de la silice peut influencer grandement le patron de succession des algues et la productivité dans les lacs et les rivières. Lorsque les concentrations en silice sont plus faibles que 0,5 mg par litre, plusieurs espèces de diatomées ne peuvent pas compétitionner efficacement avec d’autres algues non siliceuses (Wetzel et Likens, 2000). Selon Reynolds (1984), il est possible que les diatomées répondent plus rapidement à un manque de silice qu’à un manque de P ou de N. La silice est cependant un élément rarement limitant dans les rivières.
Le courant Une augmentation dans la vélocité augmente la force d’arrachement sur les cellules à un taux proportionnel au carré de la vitesse du courant ; une faible augmentation du courant entraîne donc une grande perturbation hydrique (Biggs et al., 1998). Un modèle de changements temporels dans la biomasse et dans la structure de la communauté est difficile à établir puisque différents degrés de perte ont des effets majeurs sur les taux de régénération. Par exemple, une croissance exponentielle peut survenir dans une communauté peu de temps après une inondation (forte vitesse du courant) si la destruction n’a été que partielle, tandis qu’une immigration/recolonisation est nécessaire s’il y a eu complète destruction de la communauté (Biggs et Thomsen, 1995). La capacité des algues à rester attachées au substrat lors d’une perturbation causée par le débit varie cependant en fonction de leur taille, de leur morphologie et de leur force d’attachement (Peterson et Stevenson, 1990). Selon Stevenson (1984), certaines diatomées sont très difficiles à déloger lorsqu’elles sont attachées à un substrat et même une augmentation de la vitesse du courant de 10 à 120 cm/s ne parvient pas à les arracher. Certaines espèces sont productrices de mucilage, par exemple Navicula lanceolata et Cyclotella meneghiniana, ce qui est un avantage important pour évoluer dans un système perturbé par de fortes variations de débit (Cox, 1996). Les genres Cocconeis et Cymbella sont aussi reconnues pour leur grande résistance au courant (Cox, 1996). Les diatomées ont été classifiées par Denys (1991) en quatre groupes selon leur préférence de vitesse de courant (Tableau 6).
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada Tableau 6 Classification des diatomées selon leur préférence de vitesse de courant Classe Rhéobionte Rhéophile Indifférente Limniophile Source : Denys, 1991.
Caractéristiques du courant Exclusivement dans les eaux à fort courant Préférence pour les eaux à fort courant Indifférentes Préférence pour les eaux calmes
La vitesse du courant peut également avoir une influence sur la prise de nutriments par les algues (voir plus haut). Ce sont les communautés mucilagineuses qui bénéficient de cette augmentation de vélocité puisqu’elles sont compactes et résistantes à l’érosion hydrique. À forte vélocité, les nutriments passent plus facilement à travers le tapis mucilagineux compact jusqu’aux cellules basales, favorisant ainsi la croissance des couches sous‑jacentes. Au contraire, les communautés filamenteuses sont moins sujettes à une limitation en nutriments puisque le courant peut pénétrer la matrice plus facilement, mais sont plus sensibles à une augmentation de vélocité étant donné leur structure (Biggs et al., 1998). La relation entre le courant et les algues benthiques a fait l’objet de plusieurs études et les résultats sont parfois contradictoires (par exemple, Biggs, 1996 ; Stevenson, 1996 ; Biggs et al., 1998). Au Québec, une étude conduite dans la rivière Boyer sur la dynamique des algues périphytiques dans des conditions saturantes en sels nutritifs souligne l’effet majeur des variations de débit sur la biomasse et la structure de la communauté d’algues périphytiques (Lavoie et al., 2003).
Le substrat Les diatomées périphytiques peuvent coloniser n’importe quel type de substrats : sédiments organiques fins (diatomées épipéliques), grains de sable (diatomées épipsammiques), substrats durs/roches (diatomées épilithiques), macrophytes (diatomées épiphytiques) et animaux (diatomées épizoïques). Ce sont toutefois les diatomées épilithiques qui sont généralement échantillonnées lorsqu’il est question de communautés périphytiques (benthiques). Bien que certaines études concluent que différents types d’habitats peuvent avoir une flore diatomique semblable (par exemple, Winter et Duthie, 2000c ; Rothfritz et al., 1997 ; O’Quinn et Sullivan, 1983), d’autres études ont obtenu des résultats contradictoires (par exemple, Reavie et Smol, 1997 ; Stevenson et Hashim, 1989). À la suite d’une étude portant sur l’évaluation des capacités de plusieurs types de substrats artificiels à reproduire le milieu naturel, Cattaneo et Amireault (1992) concluent également que le choix du matériel n’est pas crucial pour l’analyse quantitative et qualitative du périphyton. Les
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substrats utilisés étaient toutefois majoritairement des substrats durs (roches, verre, plastique, tuiles), supportant tous ainsi des communautés de diatomées épilithiques. Une étude réalisée dans les rivières du Québec a également permis de conclure qu’il n’y avait pas de différence significative dans la structure des communautés de diatomées échantillonnées sur des roches et sur des substrats artificiels (tuiles de céramique) (Lavoie et al., 2004). Cependant, puisque les résultats des études traitant de l’influence du substrat sur la structure des communautés de diatomées périphytiques sont plutôt contradictoires, il serait prudent d’échantillonner un seul type de substrat. Il est donc généralement recommandé, dans le cadre d’un programme de suivi de l’intégrité écologique des cours d’eau, d’échantillonner les diatomées épilithiques sur substrats durs (Kelly et al., 1998 ; Round, 1991). Tableau 7 Classification des diatomées selon le type de substrat Classe Épipélique Épipsammique Épilithique Épiphytique Épizoïque
Substrat Sédiments organiques fins Grains de sable Substrats durs/roches Macrophytes Animaux
Le broutement Les invertébrés benthiques des écosystèmes lotiques se nourrissent principalement des algues et autres microorganismes attachés (biofilm). En particulier, les diatomées et les algues vertes sont la source de nourriture préférée des invertébrés. Le broutement par les invertébrés est une perturbation biologique puisqu’il altère l’architecture de l’assemblage périphytique et crée des aires dénudées pour la recolonisation par les algues (Bergey et Weaver, 2004). La température influence de façon importante la distribution, la diversité et l’abondance des insectes aquatiques alors que la vitesse du courant influence principalement le développement, l’alimentation, la croissance et la reproduction (Wetzel et Likens, 2000). D’autres facteurs comme le substrat, la matière en suspension et la pollution organique influencent également grandement l’écologie des invertébrés. La pression exercée par les invertébrés sur la communauté benthique peut devenir minimale lorsque la température de l’eau augmente puisque certains taxons (par exemple, éphémères) deviennent rares à des températures excédant 20 °C (Quinn et al., 1994). Une augmentation rapide de la biomasse périphitique peut également survenir après une perturbation hydrique, alors que la recolonisation par les invertébrés est plus lente (Mosisch et Bunn,
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1997). Certaines espèces d’algues de petite taille sont moins vulnérables au broutement par les invertébrés puisqu’elles sont protégées dans les crevasses des roches. Les algues périphytiques peuvent également être influencées par les invertébrés benthique non brouteurs. En effet, une étude a démontré que l’activité reliée à la formation de tubes par les Chironomidae peut affecter la microdistribution des diatomées. La présence de tubes entraîne une modification directe du substrat, un enrichissement local en nutriments et procure un refuge pour les algues (Pringle, 1985). La productivité du périphyton, dont des diatomées, peut être un déterminant majeur de la distribution et la production des invertébrés brouteurs dans un cours d’eau. Lorsque la fréquence de perturbation hydrologique est faible, une forte corrélation peut être observée entre l’abondance des brouteurs et la biomasse du périphyton. Les invertébrés affectent également la diversité et la structure de la communauté de diatomées selon des propriétés inhérentes à chacune des espèces et/ou conditionnelles à la sélectivité du broutage des invertébrés et au type de substrat. Les propriétés inhérentes incluent la forme, la taille, la texture et le mode d’attachement au substrat (Biggs et Thomsen, 1995). Les diatomées de grande taille sont donc plus facilement broutées que les petites diatomées mucillagineuses (Steinman et al., 1987). Les substrats recouverts d’une fine couche de silt ne permettent pas une bonne adhésion au substrat, ce qui rend les espèces associées à ce type de substrat plus facilement broutables (Round, 1991). Une étude menée par Wunsam et al. (2002) démontrait que près de 8 % de la variance dans la structure de la communauté de diatomées dans les Laurentides québécoises était expliquée par la biomasse de brouteurs.
Communautés de diatomées de référence des rivières du Québec
L
La restauration des milieux aquatiques dégradés doit s’effectuer en fonction d’objectifs de restauration basés sur une connaissance adéquate des conditions naturelles du milieu. L’état de référence d’une rivière doit être défini pour la physicochimie de ses eaux, son écosystème aquatique et ses caractéris tiques hydromorphologiques. Dans le cas des communautés aquatiques, l’état de référence peut, par exemple, être établi pour les communautés de diatomées benthiques, les macrophytes, les invertébrés benthiques et les poissons. Or les objectifs de restauration sont souvent mal définis, notamment en ce qui concerne le niveau d’intégrité écologique à atteindre. Une connaissance plus approfondie des conditions naturelles de référence permet d’identifier des communautés aquatiques cibles qui constituent des objectifs à atteindre dans le cadre de la restauration des rivières. Des objectifs de restauration uniformes ne peuvent être appliqués à l’ensemble des rivières du Québec méridional. La turbidité naturelle des eaux est, par exemple, plus élevée dans les portions avales des rivières de la plaine du Saint-Laurent qu’à la tête des bassins versants dans le Bouclier canadien ou dans les Appalaches. De façon similaire, les communautés aquatiques des eaux froides et bien oxygénées seront distinctes des eaux naturelles plus chaudes et turbides d’une plaine argileuse. Dans ce contexte, comment déterminer des objectifs de restauration qui soient réalistes et qui tiennent compte de la diversité des conditions naturelles rencontrées dans des environnements aussi diversifiés que le Bouclier canadien, les Basses-Terres du Saint-Laurent et les Appalaches ? Une première difficulté vient de la nécessité de définir ce qu’est l’état de référence d’un cours d’eau. Celui-ci devrait idéalement correspondre à l’état naturel d’un écosystème (pristine or minimally disturbed condition), c’est-à-dire l’état qui prévalait avant l’intensification des activités humaines.
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Dans ce contexte, l’état de référence d’une communauté aquatique possède les propriétés suivantes : • toutes les fonctions écologiques de l’écosystème naturel y sont représentées ; • il peut se maintenir de lui-même sans l’intervention constante de l’Homme (self-sustaining) ; • il est en équilibre avec les perturbations naturelles et possède donc une certaine résilience ; • il est en évolution, il n’est donc pas fixe et immuable. Cet état, non altéré, est rarement rencontré dans certaines régions fortement perturbées par l’urbanisation, l’industrialisation et l’agriculture, comme c’est le cas dans la vallée du Saint-Laurent. De plus, la présence humaine prédominante a profondément modifié la structure de certains écosystèmes. Dans ce contexte, il n’est pas réaliste, particulièrement d’un point de vue social et économique, de déterminer des objectifs de restauration qui soient établis à partir de l’état naturel, non altéré, d’un écosystème. Une option consiste à déterminer des objectifs de restauration en utilisant comme référence les écosystèmes actuels les moins altérés (nearnatural condition or least disturbed condition) d’une région. Ces écosystèmes peuvent avoir été altérés par les activités humaines, mais dans une moindre mesure que les sites les plus dégradés. De plus, le fait qu’il s’agisse de sites de référence actuels, et non pas de données historiques, permet de définir des objectifs de restauration réalistes, qui tiennent compte du fait que l’Homme est désormais partie intégrante des écosystèmes en question. Enfin, une dernière approche consiste à déterminer des conditions de référence que l’on pourrait qualifier d’optimales (best attainable condition) qui tiennent compte des contraintes sociales, économiques et réglementaires. Dans la plupart des cas, les objectifs ainsi fixés seront beaucoup moins ambitieux que les objectifs basés sur l’état naturel d’un cours d’eau. Ces objectifs ont cependant l’avantage d’être plus facilement atteints et ont plus de chance de faire l’objet d’un consensus auprès des divers intervenants œuvrant à la restauration d’une rivière. Ils peuvent en outre représenter un premier pas vers une restauration plus complète du cours d’eau.
L’état de référence des cours d’eau Le deuxième défi à relever consiste à identifier le référentiel à partir duquel il sera possible d’évaluer l’état de référence d’un cours d’eau altéré. Cet état de référence peut être déterminé de plusieurs façons. Il peut notamment être évalué à partir :
Communautés de diatomées de référence des rivières du Québec
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• de sites de référence situés sur la même rivière ou une rivière ayant les mêmes caractéristiques hydromorphologiques et située dans la même écorégion ; • de données historiques ; • de données paléoécologiques ; • de modèles ; • de données expérimentales ; • de sites restaurés ; • de données documentées sur les préférences écologiques de chaque espèce ; • du jugement d’un expert. La méthode la plus couramment utilisée consiste à comparer les sites dégradés à des sites de référence situés sur la même rivière ou une rivière ayant les mêmes caractéristiques hydromorphologiques et située dans la même écorégion. Le réseau de sites de référence doit être représentatif de toute la variabilité naturelle de l’écosystème et doit inclure tous les gradients environnementaux naturels susceptibles d’être rencontrés chez les sites dégradés. Les données récoltées à partir des sites de référence doivent donc refléter la variabilité temporelle (événementielle, saisonnière et interannuelle) et spatiale propre à une région naturelle. Cette méthode comporte cependant certaines limitations. Dans un premier temps, il est souvent difficile d’identifier des stations de référence situées dans la même écorégion que les sites dégradés, particulièrement dans la plaine du Saint-Laurent. L’approche traditionnelle consistant à comparer l’amont et l’aval d’une rivière est particulièrement mal adaptée à la plaine du Saint-Laurent, ces deux zones n’étant souvent pas situées dans la même écorégion. Il faut alors souvent se rabattre sur les sites les moins altérés d’une écorégion. Or la structure des communautés aquatiques de ces sites peut parfois être assez éloignée de la structure des communautés de référence, sans qu’il y ait de possibilité d’évaluer cette distance. Cet état de fait peut mener à l’établissement d’objectifs de restauration qui sont en deçà du potentiel réel d’un écosystème.
Les objectifs de restauration Dans bien des cas, l’état de référence d’un cours d’eau altéré est établi à l’aide de plus d’une méthode. Quelle que soit la méthode utilisée, une première difficulté consiste à sélectionner, parmi un ensemble de relevés, ceux pouvant être associés à des conditions de référence. Cette sélection peut s’effectuer de plusieurs façons, à partir de critères abiotiques ou biotiques.
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Méthodes abiotiques La méthode la plus commune consiste à d’abord établir une typologie des cours d’eau basée sur la physicochimie de l’eau. Les sites ayant les plus faibles concentrations en nutriments et les plus faibles charges en sédiments et en matières organiques sont alors considérés comme étant représentatifs des conditions de référence. Les communautés biologiques des sites de référence sont ensuite caractérisées. Cette méthode comporte cependant une lacune importante puisque la définition des communautés biologiques de référence est alors tributaire des conditions physicochimiques du cours d’eau. Or l’intérêt de caractériser les communautés aquatiques est précisément qu’elles peuvent fournir une information complémentaire et non redondante sur l’état d’un écosystème. Le procédé est donc circulaire et présente un biais important. De plus, l’identification des conditions physicochimiques naturelles présente une difficulté supplémentaire. Cette démarche implique de départager, pour les différents constituants physicochimiques de l’eau, les apports anthropiques des apports naturels. Certains composants chimiques sont généralement présents à de faibles concentrations en conditions naturelles, telles les différentes formes de phosphore et de coliformes. Les conditions de référence pour ces paramètres peuvent donc être établies à partir des critères de qualité des eaux de surface. Cependant, il s’avère difficile de départager la contribution anthropique des niveaux naturels pour certains paramètres tels la turbidité, les matières en suspension, le pH, la conductivité, la chlorophylle a et le carbone organique dissous. Les sites de référence peuvent également être identifiés à partir d’une analyse des sources potentielles de dégradation du cours d’eau. Cette analyse peut porter sur la caractérisation des sources ponctuelles, tels les effluents municipaux et industriels, ou des sources diffuses, tels les superficies agricoles, les coupes forestières, les secteurs urbanisés et les secteurs en érosion. Cette méthode comporte l’avantage d’être indépendante de la physicochimie du cours d’eau. Il existe cependant le risque que certaines sources ne soient pas identifiées. De plus, les sources de dégradation sont difficilement quantifiables et il peut être ardu d’identifier un gradient qui permettrait de discriminer entre les sites de référence, les conditions intermédiaires et les sites véritablement dégradés. Cette méthode peut cependant être complémentaire et palier aux limitations d’une classification basée uniquement sur la physicochimie de l’eau. Afin de pallier ces limitations, certains auteurs procèdent, dans un premier temps, à l’établissement d’une typologie naturelle des rivières. Cette classification des types naturels de cours d’eau est effectuée à partir de leurs caractéristiques écophysiographiques et hydromorphologiques, c’est-à-dire
Communautés de diatomées de référence des rivières du Québec
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en tenant compte de leur appartenance à une écorégion et en considérant les caractéristiques physiographiques de leur bassin versant (aire du bassin, géologie, dépôts de surface, etc.) et les caractéristiques hydromorphologiques des tronçons analysés (largeur du lit plein bord, pente, vitesse du courant, régime hydrologique, substrat, etc.). Cette classification des types de cours d’eau peut être établie à l’aide de méthodes de classification (clustering), d’or dinations ou de réseaux de neurones non supervisés (cartes de Kohonen). Cette typologie permet de déterminer plus aisément les niveaux naturels de certains paramètres physicochimiques, tels le pH et la conductivité, en sélectionnant les sites les moins dégradés de chaque type de cours d’eau. Ces sites représentent l’état naturel potentiel des cours d’eau d’un type donné. La caractérisation des conditions de référence peut alors être réalisée indépendamment pour chaque type de cours d’eau, en tenant compte de la chimie naturelle des eaux et des gradients de pollution présents dans l’écorégion considérée. Méthodes biotiques Les deux méthodes suivantes sont basées sur la structure des communautés aquatiques. La classification qui en découle est ainsi déterminée par des considérations biologiques. Une première approche consiste à classer les sites à partir de la cote attribuée par des indices d’intégrité écologique. Les valeurs des indices de diatomées ou des indices d’invertébrés, par exemple, permettent de classifier les sites selon leur intégrité écologique. Les sites ayant une cote supérieure à un certain seuil sont alors considérés comme étant des sites de référence. Les indices utilisés doivent cependant avoir été validés dans la région à l’étude. De plus, un nombre suffisant de sites de référence doit avoir été considéré lors de l’élaboration de l’indice. Enfin, il faut garder à l’esprit que de nombreux indices ont été élaborés en comparant les communautés biologiques à la physicochimie de l’eau, ce qui nous ramène au problème de circularité évoqué précédemment. L’approche la plus pure, en termes d’intégrité écologique, consiste à identifier les conditions de référence directement à partir de la structure des communautés aquatiques. La structure des communautés peut être exprimée, par exemple, par la diversité, l’occurrence ou l’abondance relative des espèces. Des mesures de distance entre les communautés peuvent alors être utilisées afin de distribuer les sites sur un gradient de dégradation et les classifier. Cette analyse peut être réalisée à l’aide de méthodes de classification (clustering), d’analyses de gradient indirect (par exemple, une analyse de correspondance) ou de réseaux de neurones non supervisés (cartes de Kohonen). La difficulté qui se présente ensuite est d’identifier, parmi les classes ou les gradients de communautés identifiées, les groupes de référence et les groupes associés à des conditions dégradées. L’analyse procure en effet un certain nombre de communautés types, sans qu’il soit possible, a priori,
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
d’identifier celles qui sont associées à des conditions de référence. Les données documentées sur les préférences écologiques de chaque espèce peuvent servir, à ce stade de l’analyse, à identifier les communautés de référence. Une option consiste à réaliser une ordination à partir des données physicochimiques et des données sur l’utilisation du sol afin d’analyser les gradients environnementaux présents. L’ordination peut être réalisée uniquement à partir des variables environnementales, en utilisant par exemple une analyse en composante principale, ou en combinant les variables environnementales et les communautés biologiques, en utilisant par exemple une analyse canonique des correspondances. Les classes de communautés identifiées précédemment peuvent être reportées sur l’ordination afin d’identifier les classes associées à des conditions de référence. C’est cette dernière approche qui fut utilisée par Grenier et al. (2006) pour identifier les communautés de diatomées de référence des rivières du Québec. Ces auteurs ont établi l’état de référence biologique de 126 tronçons de rivières du Québec méridional à partir de la structure des communautés de diatomées benthiques. Une classification basée uniquement sur les communautés de référence a démontré que le pH et la conductivité sont les facteurs les plus discriminants, surpassant même l’influence de l’écorégion et du type de cours d’eau. Les résultats de cette étude démontrent que deux communautés de référence peuvent être établies, une pour les conditions circumneutres et l’autre pour les conditions alcalines. Ces communautés peuvent être considérées comme une référence pour l’établissement de biocritères. La communauté de référence des milieux circumneutres est typique des cours d’eau qui s’écoulent sur les tills et les gneiss du Bouclier canadien. Elle est également typique des cours d’eau situés en aval des milieux humides. Cette communauté est dominée principalement par Achnanthidium minutissimum, Tabellaria flocculosa, Brachysira procera, Brachysira brebissonnii, Brachysira microcephala, Encyonopsis microcephala, Navicula leptostriata et plusieurs taxons des genres Fragilaria et Eunotia (Grenier et al., 2006). La communauté de référence des milieux alcalins est typique des cours d’eau qui s’écoulent sur les argiles marines, les roches argileuses (schistes et shales) et les roches carbonatées des Basses-Terres du SaintLaurent et des Appalaches. Cette communauté est dominée principalement par Achnanthidium minutissimum, Nitszchia sinuata var. tabellaria, Nitzschia palea var. debilis, Nitszchia fonticola, Cocconeis placentula var. euglypta, Navicula cryptotenella et Encyonopsis microcephala (Grenier et al., 2006). Ces deux communautés de référence représentent en soi des objectifs de restauration qui peuvent être ciblés dans le cadre d’un programme de restauration d’une rivière.
Communautés de diatomées des rivières polluées du Québec
O
Outre les communautés de référence, l’étude de Grenier et al. (2006) a également permis d’identifier les communautés de diatomées des rivières polluées du Québec et les taxons indicateurs des diverses conditions environnementales, et de documenter les préférences écologiques des principales espèces. Les communautés de diatomées des cours d’eau altérés diffèrent grandement des communautés des cours d’eau de référence. En milieux altérés, les communautés répondent d’abord à l’eutrophisation (enrichissement en nutriments), à la pollution organique et à la turbidité. Les communautés de référence sont quant à elles principalement conditionnées par le pH et les concentrations en carbone organique dissous issues des milieux forestiers et des milieux humides. Les stations caractérisées par des communautés de diatomées typiques de milieux altérés se situent principalement en aval des rivières localisées dans les Basses-Terres, surtout dans la plaine argileuse du haut SaintLaurent et dans le piedmont des Appalaches (rivière Fouquette, Yamaska, Des Îles Brûlées, etc.). Les bassins versants de ces stations sont dominés par le milieu agricole, qui se caractérise par un grand nombre d’unités animales et une utilisation importante de fertilisants organiques et minéraux. Certaines de ces stations se localisent en milieu urbain (par exemple, Saint‑François à Bromptonville et Bécancour à Black Lake). Les concentrations en phosphore total, azote total, nitrates, chlorophylle, carbone organique dissous et coliformes fécaux ainsi que la turbidité plus élevée suggèrent une eutrophisation et une pollution organique plus importante dans les rivières caractérisées par des communautés typiques des milieux altérés.
En milieu à pH circumneutre, les conditions mésotrophes se r etrouvent dans des milieux variés tels que les rivières Gentilly, du Bois Clair et Saint‑Denis, et en aval de la rivière Batiscan. Les taxons dominants dans ces conditions sont principalement Achnanthidium minutissimum, Melosira varians, Nitszchia palea, Fragilaria nanana et Fragilaria construens var. venter. Les taxons Gomphonema cymbelliclinum et Fragilaria pulchella sont moins dominants, mais également indicateurs de ces conditions.
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
En milieu à pH alcalin, les conditions mésotrophes se retrouvent en milieu agricole, telles certaines stations des rivières Nicolet, Maskinongé, Du Loup et Aux Perles, et en milieu urbain, telles les rivières Etchemin à Saint‑Romuald, Chaudière à Charny, Du Nord à Piedmont et Magog à Sherbrooke. On retrouve également ces conditions dans les stations médianes des rivières Chaudière et Assomption. Les taxons dominants dans ces conditions sont notamment Achnanthidium minutissimum, Nitszchia palea, Eucocconeis flexella, Nitszchia fonticola, Coconeis placentula var. euglypta, Melosira varians et Nitszchia sinuata var. tabellaria. Le taxon Achnanthes clevei est moins dominant, mais également indicateur de ces conditions. Toujours en milieu alcalin, les conditions méso-eutrophes et turbides sont représentées principalement par des rivières agricoles telles que la rivière des Envies, Aux Brochets, Yamaska, Richelieu, Du Nord en aval, Nicolet et Boyer. Les taxons dominants en conditions méso-eutrophes sont notamment Achnanthidium minutissimum, Coconeis placentula var. euglypta, Nitszchia palea, Eolimna minima et Nitszchia fonticola. Les conditions eutrophes et turbides se retrouvent surtout dans les petits cours d’eau agricoles tels le Ruisseau Honfleur ainsi que les rivières Acadie, Fouquette et Bras d’Henri, et dans des rivières agricoles telles La Chaloupe, Bayonne, Yamaska, Châteauguay et Beaurivage. Les taxons dominants en conditions eutrophes et turbides sont principalement Eolimna minima, Nitszchia palea et Coconeis placentula var. euglypta. Les taxons Nitszchia inconspicua, Rhoicosphenia abbreviata, Amphora pediculus et Nitszchia frustulum sont moins dominants, mais également indicateurs de ces conditions. Les conditions les plus eutrophes et saprobes se retrouvent notamment dans les stations en aval des rivières Yamaska, Châteauguay, Des Anglais, Boyer, Shawinigan et Du Loup (Mauricie). Les taxons dominants dans les conditions les plus eutrophes et saprobes, sont notamment Nitszchia palea, Nitszchia fonticola, Navicula recens et Melosira varians. Les conditions eutrophes, saprobes et très turbides se retrouvent surtout dans les petits cours d’eau et les rivières agricoles telles les rivières Saint-Esprit, des Hurons, de l’Achigan, Assomption, Yamaska, Goudron et Dufour. Les taxons dominants en conditions eutrophes, saprobes et très turbides sont entre autres Nitszchia palea, Nitszchia fonticola, Coconeis placentula var. euglypta, Navicula schroeteri et Navicula lanceolata. Les taxons Navicula germainii, Navicula gregaria et Navicula recens sont moins dominants, mais indicateurs de ces conditions.
Indice Diatomées de l’Est du Canada (IDEC)
L
Les organismes vivants sont essentiels à l’évaluation de la qualité de l’eau, car ils permettent d’intégrer, sur une certaine période de temps, l’ensemble des caractéristiques de leur habitat. De plus, les organismes vivants permettent d’évaluer les effets de la pollution sur les écosystèmes. La biota répond à une variété de facteurs cumulatifs d’origines anthropique et naturelle qui ne concernent pas seulement les aspects physicochimiques, mais tout l’habitat physique du bassin versant. Celui-ci conditionne la structure et la diversité des organismes aquatiques dont l’équilibre conditionne à son tour le maintien des processus écologiques et, ultimement, l’équilibre des réseaux trophiques. Il est donc essentiel de comprendre comment cet environnement influence la vie aquatique et la façon dont celle-ci répond à son altération. Les diatomées benthiques sont des algues microscopiques qui possèdent plusieurs attributs qui en font un outil idéal en tant que bioindicateur pour le suivi de l’eutrophisation des cours d’eau : • La physicochimie d’un cours peut être très variable, il est donc généralement nécessaire d’avoir recours à plusieurs mesures physico chimiques au cours d’une saison afin d’obtenir un portrait réaliste de l’état d’un cours d’eau (environ 8 mesures sont nécessaires selon Cattaneo et Prairie (1995)). Selon Lavoie et al. (2008) et Lacoursière (2008), les diatomées intègrent les variations de la physicochimie de l’eau (phosphore, azote, pollution organique et minérale) sur une période variant entre 1 et 5 semaines, selon le pH et le statut trophique d’un cours d’eau. En milieu oligotrophe, les diatomées répondent rapidement à une perturbation. En une semaine environ, la structure de la communauté de diatomées répond de façon marquée à une perturbation. À l’autre extrémité du gradient, en milieu eutrophe, le temps de réponse des diatomées est d’environ 5 semaines suivant les variations des concentrations en nutriments. Selon Lacoursière (2008), la réponse des communautés de diatomées varie également selon le type de milieu, pH circumneutre ou alcalin. Lors d’une dégradation des conditions, les diatomées répondent en moyenne en 1,6 semaine en
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milieu à pH circumneutre alors qu’elles répondent en 2,4 semaines en milieu à pH alcalin. Lors d’une amélioration des conditions, les diatomées répondent en moyenne en 4,2 semaines en milieu circumneutre alors qu’elles répondent en 2,9 semaines en milieu alcalin. En milieu circumneutre, la dégradation est donc très rapide alors que la récupération est plus lente. Bien qu’il y ait moins de différence en milieu alcalin, on note tout de même une réponse plus lente des diatomées à la récupération qu’à la dégradation. Un échantillonnage de diatomées peut ainsi équivaloir à entre 3 et 10 mesures physicochimiques. La corrélation demeure bonne sur l’ensemble de la saison estivale, mais il peut être souhaitable de procéder à plus d’un échantillonnage de diatomées dans les environnements très variables, surtout si l’on s’intéresse à la variabilité intrasaisonnière affectant un cours d’eau. Les diatomées permettent ainsi de détecter des pollutions passagères, discontinues et diffuses qui ont une incidence sur l’écosystème, mais que peuvent plus difficilement détecter des mesures physicochimiques ponctuelles et les bio-indicateurs ayant un cycle de vie plus long que celui des diatomées. Étant les organismes à la base de la chaîne alimentaire, les algues benthiques sont à l’interface de l’environnement physicochimique et de la communauté biologique. Une modification de la composition et de l’abondance des communautés de diatomées affecte également les niveaux trophiques supérieurs (invertébrés, poissons) en provoquant une modification des fonctions et de la structure dans la chaîne trophique. Les algues benthiques sont sessiles ; elles ne peuvent donc pas éviter la pollution par le biais de la migration. Les algues benthiques sont généralement riches en espèces comparativement aux autres groupes aquatiques et chaque espèce possède ses propres tolérances et préférences environnementales. Un total de 540 taxons de diatomées a ainsi été recensé dans les cours d’eau de l’Est du Canada. Les communautés d’algues benthiques étant compactes, il est possible de représenter une communauté naturelle à partir d’un échantillon prélevé sur une surface de quelques centimètres. La diversité de l’assemblage contient une information écologique considérable et la grande quantité d’individus prélevés permet des analyses statistiques multivariées robustes. La majorité des espèces ont une répartition très étendue dans les écosystèmes et les régions géographiques en comparaison avec la plupart des autres organismes supérieurs. Cette caractéristique assure une répartition spatiale continue des indicateurs à l’intérieur des suivis régionaux et nationaux.
Indice Diatomées de l’Est du Canada (IDEC)
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• Les échantillons sont récoltés, manipulés et traités à faible coût. • Les diatomées ont l’avantage d’être généralement plus facilement identifiables et dénombrables que les autres groupes d’algues. Les cellules sont clairement identifiables et faciles à distinguer, contrairement aux algues filamenteuses ou aux cyanobactéries. De plus, l’écologie des espèces est généralement mieux documentée que celles des autres groupes d’algues. L’Indice Diatomées de l’Est du Canada (IDEC) est un indice biologique, basé sur les communautés de diatomées benthiques, qui permet d’évaluer l’état de l’écosystème d’un cours d’eau. Les diatomées sont particulièrement sensibles aux variations de concentrations en éléments nutritifs dans l’eau (principalement le phosphore et l’azote) et aux charges organiques et minérales provenant principalement des fertilisants agricoles et des eaux usées domestiques. Certaines espèces de diatomées sont très sensibles et ne tolèrent aucune pollution, alors que d’autres sont très tolérantes et proli fèrent dans les milieux pollués et eutrophisés. L’IDEC est un indice qui tient compte de l’abondance de chacune des espèces de diatomées présentes dans la communauté d’algues vivant sur les roches d’un cours d’eau. L’indice traduit des modifications dans la structure des communautés, telle qu’une augmentation progressive d’espèces tolérantes au détriment d’espèces sensibles lorsque survient une perturbation du milieu. L’échelle de l’indice varie de 0 à 100 et indique la «distance écologique» entre une communauté de diatomées et sa communauté de référence. Une valeur élevée de l’indice signifie une bonne intégrité biologique alors qu’une valeur faible est associée à une communauté perturbée. L’IDEC intègre les variations temporelles de la qualité de l’eau et permet une meilleure évaluation du statut biologique d’un écosystème que les mesures physicochimiques ponctuelles. Dans le cadre d’une gestion intégrée des bassins versants, l’IDEC permet d’identifier aisément et à faible coût les secteurs problématiques et les tronçons de rivière devant être restaurés. Un indice peut être calculé à partir d’échantillons prélevés dans tous les cours d’eau d’un bassin, à partir des ruisseaux agricoles jusqu’à l’exutoire. Les indices peuvent ensuite être reportés sur une carte du réseau hydrographique et ainsi fournir une image précise et à faible coût de la pollution diffuse associée à l’eutrophisation et aux pollutions organiques et minérales.
Comment fut développé l’IDEC ? Il est tout d’abord important de mentionner que la version de l’Indice Diatomées de l’Est du Canada (IDEC) présentée dans Lavoie et al. (2006b) a été développée à partir des échantillons prélevés au Québec. Les communautés de diatomées échantillonnées en Ontario et dans les Maritimes seront éventuellement incluses dans une nouvelle version de l’IDEC. L’IDEC fut construit à
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partir d’une analyse des correspondances (AC) afin que la position des sites sur le gradient de variance maximale (premier axe) soit uniquement déterminée à partir de la structure des communautés de diatomées et qu’elle soit indépendante des variables environnementales (Figures 9 et 10). L’échelle de l’indice représente la «distance écologique» entre une communauté de diatomées et sa communauté de référence. Deux sous-indices furent développés à partir de deux communautés de référence. Tel que mentionné précédemment, il existe, selon Grenier et al. (2006), deux grands groupes de communautés de référence au Québec. Il y a d’abord les communautés des rivières dont le pH naturel est neutre (circumneutre) ou légèrement acide. On retrouve dans ce groupe les rivières s’écoulant sur le Bouclier canadien et certaines rivières de la rive sud dont le bassin versant est composé en partie de milieux humides. Il faut dans ce cas utiliser l’IDEC-neutre. Il y a ensuite les communautés des rivières dont le pH naturel est alcalin. On retrouve dans ce groupe les rivières s’écoulant principalement sur les argiles marines et les roches carbonatées des Basses-terres du Saint-Laurent et les schistes et les shales des Appalaches. Il faut dans ce cas utiliser l’IDEC-alcalin. Les bassins versants composés en majeure partie de roches carbonatées représentent un cas particulier. L’IDEC-alcalin est également utilisé dans ce cas. Cependant, étant donné la forte conductivité de ces milieux, la valeur de l’IDEC dépasse rarement 60, même dans des conditions peu perturbées. Il ne faut donc pas s’attendre à ce que l’IDEC affiche des valeurs élevées dans les cours d’eau dont la conductivité naturelle est élevée. Dans ces rivières, une valeur de l’IDEC se situant entre 50 et 60 sera indicatrice de conditions peu perturbées.
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IDEC – Milieux neutres Analyse des correspondances: 79 relevés de diatomées
Communautés dégradées
Communautés de références
Rivière Shawinigan Rivière Jacques-Cartier
CS1 CS2 CS3 CS4 AP2 AP3 SL2
10e centile
90e centile
0
Augmentation de l’intégrité écologique
100
Analyse des correspondances: 128 taxa de diatomées DVUL RABB
GOLI
NTPT NCPR CPED NLAN
GMIN NIAR
NHEU APED PTRO CMEN CSOL NMEN
GMBM ENLB
NCPL FUAC TFLO EPEC NPAL NINT DMON FEXI FNAN BMIC BPRO CBAC NINC FCVA GCBC FULN RSIN NFON NSOC ALIB FCAP BBRE NGRE CPLE ADMI ENCM SPIN EINC ESUB NDME SPUP FSAP FVUL FAPP EBIL NPAD HARC SBRE DKUE CPLC NDIS FCME EEXI MVAR NAMP PTLA NGER SCON EMTR NCRY DITE MCIR NNOT NROS DTEN AEXG ESLE PSBR PSCA APEL CTUM SAPH GOOL GENT EPRO SAPL GAMP SIDE NLEN
CEXP
Figure 9. Analyse des correspondances à partir de laquelle fut développé l’Indice Diatomées de l’Est du Canada (IDEC) pour les milieux neutres ou à pH légèrement acide. La figure du haut illustre la position de chaque relevé de diatomées sur le gradient de dégradation. Les relevés ayant une valeur de 100 (90e centile) correspondent aux communautés de référence, et les relevés ayant une valeur de 0 (10e centile) correspondent aux communautés les plus dégradées. Les symboles représentent les communautés de référence de chaque groupe de rivières (Grenier et al., 2006). La figure du bas illustre la position des taxons de diatomées les plus abondants (voir la description des codes à l’index).
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IDEC – Milieux alcalins Analyse des correspondances: 125 relevés de diatomées Communautés dégradées
Communautés de références
AP1 SL1 SL3 SL4 SL5 SL6
Rivière Trout
Rivière Mascouche
5e centile
95e centile
0
100
Augmentation de l’intégrité écologique
Analyse des correspondances: 141 taxa de diatomées GCBC
MVAR FVUL
CTUM ECES
NHEU
GSPH
SAPH
GENT CEXP DVUL NGER RSIN ESLE NCPR NNOT ARIV NROS CMEN NIAR NCRY DKUE NTPT NPAL EBIL ENLB NGRE NPAD EIMP CPED GOLI NCPL DMON GOOL BBRE SBRE ADMI NLAN FSAP CNCI NSIT NFON ENMI FCAP NDIS EEXI CPLE TFLO NIPR PSCA FCVA HARC PTLA RUNI BMIC SPUP NAMP PCHL CPLC NSOC CBAC DITE RABB EPRO ESOR APED PTRO CSOL NINC ENCM KSUC
SPIN EINC
FCME
DTEN SIDE
AFLE SCON
SCVE SAPL
PSBR
Figure 10. Analyse des correspondances à partir de laquelle fut développé l’Indice Diatomées de l’Est du Canada (IDEC) pour les milieux alcalins. La figure du haut illustre la position de chaque relevé de diatomées sur le gradient de dégradation. Les relevés ayant une valeur de 100 (95e centile) correspondent aux communautés de référence, et les relevés ayant une valeur de 0 (5e centile) correspondent aux communautés les plus dégradées. Les symboles représentent les communautés de référence de chaque groupe de rivières (Grenier et al., 2006). La figure du bas illustre la position des taxons de diatomées les plus abondants (voir la description des codes à l’index).
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Quel sous-indice choisir ? Lors de l’application de l’indice dans un programme de suivi, il faut donc choisir entre l’IDEC-neutre et l’IDEC-alcalin en fonction du pH naturel d’un cours, c’est-à-dire non pas de son pH actuel, mais de son pH en condition non perturbée (le pH qu’un milieu aurait en absence de toute altération). La distinction entre les indices est fondamentale, puisqu’elle assure que toute rivière a le potentiel d’atteindre des valeurs indicielles élevées, advenant la restauration de son écosystème. Une cartographie du pH naturel des cours d’eau de l’Est du Canada est en préparation afin de guider les intervenants dans le choix des deux indices. Voici quelques règles de base pouvant guider les intervenants dans le choix de l’indice. • L’IDEC-neutre est utilisé dans les cours d’eau s’écoulant majoritairement sur des roches granitiques (gneiss et paragneiss) ou des tills. On retrouve dans ce groupe toutes les rivières dont la majeure partie du bassin versant est située dans le Bouclier canadien et quelques rivières des Appalaches. • L’IDEC-neutre est également utilisé dans les cours d’eau s’écoulant en partie dans des milieux humides. • L’IDEC-alcalin est utilisé dans les cours d’eau s’écoulant majoritairement sur des argiles marines, des roches argileuses (schistes et shales) ou des calcaires. On retrouve dans ce groupe les rivières dont la majeure partie du bassin versant est située dans les Basses-terres du Saint-Laurent et dont le bassin contient peu de milieux humides. La majorité des rivières des Appalaches font également partie de ce groupe. • En général, le même indice doit être utilisé d’amont en aval du tronçon principal d’un cours d’eau, particulièrement pour les grandes rivières. C’est notamment le cas des grandes rivières de la rive nord du SaintLaurent. Par exemple, l’IDEC-neutre est utilisé dans les tronçons aval de la rivière Saint-Maurice, même si ces stations sont situées sur les roches carbonatées des Basses-terres. Ce choix est justifié par le fait que le pH naturel de ces rivières est principalement conditionné par leur bassin versant qui est majoritairement situé sur le Bouclier canadien. Les petits cours d’eau, dont les conditions du milieu varient drastiquement d’amont en aval, peuvent parfois dévier de cette règle. • Dans les tributaires, un indice différent du cours d’eau principal peut parfois être utilisé. C’est par exemple le cas dans la rivière Chacoura (tributaire de la rivière du Loup), où l’IDEC-alcalin est utilisé en aval puisque ce bassin est majoritairement situé dans les Basses-terres.
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Qui peut utiliser l’IDEC ? Au cours des premières années d’utilisation de l’IDEC (2005-2007), l’indice fut utilisé pour effectuer le suivi de l’eutrophisation dans 14 bassins versants du Québec (Tableau 8). Les organismes qui ont commandé ces études sont majoritairement des organismes de bassin versant et des institutions de recherche. L’IDEC fut principalement utilisé afin d’effectuer le suivi de la pollution diffuse d’origine agricole, mais il permit également dans certains cas de mesurer l’incidence des piscicultures (par exemple, la rivière du Loup) et des stations d’épuration des eaux usées (par exemple, les rivières Marguerite et Champlain). Le faible coût de l’application de l’IDEC a permis d’implanter un réseau dense de stations. Dans les études visant à caractériser les grands bassins versants (> 200 km 2), une station par 100 km 2 en moyenne fut utilisée. Dans les études visant à cibler de façon plus précise les sources de pollution dans les petits bassins versants (< 200 km2), une station par 10 km2 en moyenne fut utilisée. Tableau 8 Bassins versants dans lesquels l’IDEC fut utilisé entre 2005 et 2007 pour le suivi de l’eutrophisation des cours d’eau Bassin versant Rivière Du Loup Bécancour Chaudière Maskinongé Des Envies Champlain Cap-Rouge Marguerite Saint-Zéphirin – amont (Nicolet) Blanche – amont (Bécancour) Vaches – amont (Saint-François) David – amont (Yamaska) Lac aux sables (Batiscan) Île de Montréal (Saint-Laurent – Des Pariries)
Superficie (km2) 6 682 2 616 1 617 1 105 480 278 82 80 60 (79) 59 (195) 54 (120) 53 (336)
Nombre de stations
Organisme
35 18 23 16 19 20 5 9 4 6 4 4 10
OBVRL (2006) GROBEC (2006) INRS (2007) AGIRMaskinongé (2006) UQTR (2005) ZIP les Deux-Rives (2007) Consultant privé (2007) UQTR (2005) MÉANDRES (2007) MÉANDRES (2007) MÉANDRES (2007) MÉANDRES (2007) SAMBBA (2007)
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Polytechnique (2006)
Qui peut calculer l’IDEC ? L’échantillonnage des diatomées peut être effectué par toute personne suivant les recommandations contenues dans ce guide. Le calcul de l’IDEC nécessite cependant des connaissances taxonomiques de base et l’accès à un microscope de qualité. Il est donc préférable de confier les échantillons récoltés à un spécialiste. Le site Internet de l’Université du Québec à Trois-Rivières propose une liste de spécialistes pouvant effectuer les analyses (<www.uqtr. ca/geo/idec>).
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Où échantillonner ? Dans un contexte idéal, les stations d’échantillonnage devraient être localisées aux endroits suivants (les nombres entre parenthèses réfèrent à la Figure 11) • À l’amont de chacune des branches principales, dans un secteur qui, si possible, n’est pas ou est peu altéré par les activités humaines (1). Ces stations pourront éventuellement servir de référence pour évaluer quel est le niveau d’intégrité écologique auquel on peut s’entendre dans le cas où le bassin versant est restauré. Si le bassin versant chevauche plus d’une écorégion ou s’il existe une grande variété de formations géologiques et de dépôts de surface, une station de référence devrait idéalement être sélectionnée pour chacune de ces entités territoriales. Bien que l’IDEC ait été développé en tenant compte des conditions de référence présentes au Québec, il est préférable d’évaluer quelles sont les conditions de référence locales en sélectionnant des stations de référence appropriées. • À l’exutoire des principaux lacs (2) et des milieux humides. Lors qu’un lac est mésotrophe ou eutrophe, il est intéressant de connaître quelle est sa contribution à la dégradation des cours d’eau en aval. Il est possible qu’un lac eutrophe exporte une partie de ses nutriments par son exutoire, ce qui abaissera la valeur de l’IDEC. Mais il est également possible que l’ensemble des nutriments d’un lac eutrophe soit recyclé à l’intérieur du lac lui-même ; l’IDEC affichera dans ce cas une valeur faible à l’exutoire. Les milieux humides peuvent également être des zones de forte productivité, exportatrices de nutriments. Il est préférable, dans tous les cas, d’éviter d’utiliser les exutoires de lacs et de milieux humides comme stations de référence, puisque ces milieux ne sont pas nécessairement représentatifs des autres écosystèmes du bassin versant. Il faut également se rappeler que l’IDEC fut conçu pour effectuer le suivi des cours d’eau, et non des milieux lentiques (par exemple, les lacs, les étangs). • En amont et en aval des principales sources de perturbation des cours d’eau. L’approche amont-aval permet d’évaluer l’impact d’une source de pollution ponctuelle ou l’impact d’un secteur du bassin versant. Les sources potentielles de perturbation peuvent être, entre autres, une municipalité (3-4), des coupes forestières (5), une usine (6-7) ou une pisciculture. Dans le cas d’une source ponctuelle, il est souvent utile de connaître la localisation exacte de l’effluent, afin de bien localiser la station d’échantillonnage. Il faut cependant être conscient que l’incidence d’un effluent varie selon la distance et le comportement du panache. Selon l’hydrodynamique du cours d’eau, il est possible qu’une station d’échantillonnage soit à l’extérieur de la zone d’influence du panache de l’effluent. Il est ainsi généralement prudent de localiser la station d’échantillonnage à quelques centaines
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de mètres, selon la taille du cours d’eau, en aval de l’effluent afin de s’assurer que le panache ait eu le temps de se diluer et que l’on mesure ainsi l’effet sur l’ensemble du cours d’eau récepteur. Il peut également être utile de localiser une station en amont et en aval d’une source de pollution diffuse. Il peut, par exemple, s’agir d’une zone dans laquelle il y a une forte densité de fosses septiques ou un secteur comportant une forte densité de cultures. • En aval des tributaires (8-9). Une station située en aval d’un tributaire, avant sa confluence, permet d’évaluer l’incidence de l’ensemble du sous-bassin sur le cours d’eau principal. La station doit toutefois être située à une certaine distance en amont de la confluence afin d’éviter l’influence du refoulement des eaux du cours d’eau principal. La distance à respecter dépendra de la taille du tributaire, des niveaux de crues et éventuellement de la marée. • En amont et en aval des confluences (10-13). L’approche amontaval permet d’évaluer l’incidence des tributaires sur le cours d’eau principal. Il faut, une fois de plus, tenir compte de la dispersion du panache créé par les eaux du tributaire dans le cours d’eau récepteur. Selon la taille du cours d’eau, il faut parfois quelques centaines de mètres et même quelques kilomètres avant que le panache se soit dilué dans le cours d’eau récepteur. • En aval du bassin versant (14). Une station située en aval du bassin versant permettra d’évaluer l’état de l’écosystème aquatique à cet endroit en tenant compte de l’ensemble des activités humaines présentes en amont. La station doit toutefois être située à une certaine distance en amont de la confluence afin d’éviter l’influence du refoulement des eaux du cours d’eau récepteur. La distance à respecter dépendra de la taille du cours d’eau, des niveaux de crues et éventuellement de la marée. La validité des résultats obtenus dépendra de la qualité du plan d’échantillonnage. Un bon plan d’échantillonnage doit permettre, autant que possible, de distinguer l’effet de chacune des sources potentielles de perturbation. Imaginons, par exemple, que vous localisiez une station d’échantillonnage en aval d’une ville, en négligeant de localiser une station en amont. Les répercussions que vous mesurerez dépendront-elles de la ville ou des cultures en amont de la municipalité ? Cet exemple met en lumière la nécessité de définir quels sont les objectifs du programme de suivi et d’élaborer un plan d’échantillonnage en conséquence.
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Localisation des stations d’échantillonnage dans un bassin versant
Lac
Coupes forestières
5
Secteur forestier
2
3
4 Ville
10
1
8 11 Secteur agricole
6
12
7 9
13
14 Station d’échantillonnage Figure 11. Localisation idéale des stations d’échantillonnage des diatomées dans un bassin versant.
Quand échantillonner ? L’échantillonnage des diatomées doit être réalisé entre le début juillet et la fin septembre, le moment idéal étant la période d’étiage de la fin août. Il est préférable d’éviter d’échantillonner dans les jours suivant de fortes pluies. Un échantillonnage par année est généralement suffisant pour obtenir une évaluation de l’intégrité des écosystèmes au cours de la saison estivale. L’IDEC est bien corrélé avec les concentrations en nutriments qui prévalaient au cours des semaines précédant l’échantillonnage (Lavoie et al., 2008). La corrélation
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demeure bonne sur l’ensemble de la saison, mais il peut être souhaitable de procéder à plus d’un échantillonnage dans les environnements très variables, surtout si l’on s’intéresse à la variabilité intrasaisonnière affectant un cours d’eau. Les variations hydrologiques et le calendrier agricole, qui ont tous deux une incidence sur les concentrations en phosphore, auront notamment un effet sur les valeurs de l’IDEC. Dans le cadre d’un programme de restauration d’une rivière et de son bassin versant, le calcul de l’IDEC avant, pendant et après les interventions de restauration permet de mesurer les résultats réels du programme de restauration sur l’intégrité des écosystèmes aquatiques.
Comment interpréter les résultats ? L’IDEC varie de 0 à 100. Une valeur élevée indique que la communauté de diatomées correspond aux conditions de référence (non perturbées). Une valeur entre 81 et 100 indique qu’il n’y a pas ou très peu d’altérations d’origine humaine. À ce stade, l’IDEC suggère que les concentrations en nutriments et la pollution organique étaient très faibles au cours des semaines précédentes. À l’inverse, une valeur faible de l’indice signifie que la communauté de diatomées est affectée par les activités humaines. Une valeur entre 0 et 20 suggère que la communauté de diatomées est parmi les plus dégradées des rivières du Québec. La communauté est, à ce stade, exclusivement composée d’espèces très tolérantes à la pollution. L’IDEC indique que les concentrations en nutriments et/ou la pollution organique étaient élevées au cours des semaines précédentes. Le Tableau 9 présente les classes de l’IDEC et les interprétations qui y sont associées. L’IDEC permet d’évaluer l’état biologique d’un tronçon de rivière par rapport à l’ensemble des rivières du Québec. Cependant, il est souvent utile de comparer un tronçon de rivière avec un groupe plus restreint de rivières partageant les mêmes conditions physiographiques. Il peut par exemple être avantageux de comparer les résultats de l’IDEC obtenus dans la rivière Boyer avec les résultats obtenus dans le groupe des petits cours d’eau s’écoulant en milieu agricole. Il est par contre plus intéressant de comparer les résultats de l’IDEC obtenus dans la rivière Batiscan avec ceux obtenus dans le groupe des grands cours d’eau s’écoulant en provenance du Bouclier canadien. Grenier et al. (2006) ont ainsi identifiés 14 groupes de rivières partageant sensiblement les mêmes conditions physiographiques. Ils ont de plus identifiés les rivières qui représentent les conditions de référence particulières à chacun de ces groupes. Les résultats de l’IDEC devraient donc être comparés avec les valeurs obtenues dans le groupe de rivières approprié, afin de raffiner l’interprétation de l’indice et de comparer les résultats obtenus avec les conditions de référence propres au groupe physiographique en question.
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Tableau 9 Les classes de l’IDEC et leur interprétation État écologique Très bon état
IDEC
Cote et couleur
81-100
A Bleu Bon état
61-80
B Vert État moyen
41-60
C Jaune Mauvais état
Très mauvais état
21-40
D Orange
0-20
E Rouge
Interprétation La communauté de diatomées correspond aux conditions de référence (non perturbées). Il s’agit de la communauté type propre aux conditions de pH neutre ou légèrement acide (IDECneutre) ou aux conditions alcalines (IDEC-alcalin). Il n’y a pas ou très peu d’altérations d’origine humaine. Les concentrations en nutriments et la pollution organique étaient très faibles au cours des semaines précédentes. Il y a de légères modifications dans la composition et l’abondance des espèces de diatomées par rapport aux communautés de référence. Ces changements signifient de faibles niveaux d’altération résultant de l’activité humaine. Les concentrations en nutriments et la pollution organique étaient faibles au cours des semaines précédentes. La composition de la communauté de diatomées diffère modérément de la communauté de référence et est sensiblement plus perturbée que celles cotées en bon état. Les valeurs montrent des signes modérés d’altération résultant de l’activité humaine. Il y eut, au cours des semaines précédentes, des épisodes où les concentrations en nutriments et/ou la pollution organique étaient élevées. La communauté de diatomées est sérieusement altérée par l’activité humaine. Les espèces sensibles à la pollution sont absentes. Il y eut, au cours des semaines précédentes, des épisodes fréquents où les concentrations en nutriments et/ou la pollution organique étaient élevées. La communauté est parmi les communautés de diatomées les plus dégradées des rivières du Québec. Elle est très affectée par les activités humaines. Elle est exclusivement composée d’espèces très tolérantes à la pollution. Les concentrations en nutriments et/ou la pollution organique étaient constamment élevées au cours des semaines précédentes.
Quels sont les coûts ? L’échantillonnage des diatomées (voir la section suivante) est rapide et peu coûteux. Une dizaine de minutes par station est généralement suffisant. Plusieurs stations peuvent donc être échantillonnées en une journée. L’analyse en laboratoire nécessite en moyenne trois heures par échantillon, incluant le prétraitement, l’identification, le comptage des diatomées au microscope et le calcul de l’IDEC. Le faible coût d’application de l’IDEC, par rapport à plusieurs campagnes de mesures physicochimiques, facilite son utilisation intensive sur un grand territoire. Il est par exemple assez rare de pouvoir bénéficier de plus de quelques stations de mesures physicochimiques dans un bassin versant. Il est par contre possible de disposer d’un réseau dense et étendu de stations pour le calcul de l’IDEC. Il est recommandé d’utiliser
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l’IDEC de façon intensive au cours de la phase d’évaluation préliminaire d’un bassin versant. Un réseau dense de station permet dans un premier temps d’identifier les stations qui ne semblent pas problématiques (valeur de l’IDEC entre 81 et 100). Il sera peu utile de procéder à des mesures physicochimiques à ces stations. Par contre, il sera utile de concentrer les ressources financières pour le suivi physicochimique et biologique des stations pour lesquelles l’IDEC affiche des valeurs critiques afin de préciser la nature de l’altération.
Questions et réponses sur l’IDEC Quel est l’intérêt du biosuivi (biomonitoring) basé sur les diatomées ? Pourquoi ne pas tout simplement mesurer les concentrations en phosphore ? L’objectif du biosuivi basé sur les diatomées n’est pas de prédire les concentrations en nutriments. L’objectif est de détecter et de mesurer l’incidence des activités humaines sur les communautés aquatiques, incluant celle des charges en nutriments. Le biosuivi doit permettre de mesurer le degré d’altération des communautés aquatiques et fournir une mesure de la «distance écologique» qui sépare les communautés altérées des communautés de référence. À cet égard, le biosuivi basé sur les diatomées permet d’évaluer : • la variation temporelle des concentrations en nutriments ; • la biodisponibilité des nutriments ; • l’interaction et les ratios entre les nutriments ; • l’effet combiné de différents contaminants ; • les interactions entre les altérations physicochimiques, l’habitat, la compétition intra- et interspécifique et le broutage. L’Indice Diatomées de l’Est du Canada (IDEC) n’a donc pas pour objectif de prédire les concentrations en phosphore, mais plutôt de situer la position des communautés sur un axe synthétique qui résume la distance d’une communauté altérée par rapport aux communautés de référence. À titre d’exemple, la rivière Beaurivage (Saint-Étienne) présente des concentrations moyennes en azote parmi les plus élevées au Québec à l’automne. L’indice IDEC de cette station est toutefois de 66, ce qui signifie que cette communauté n’est qu’au deux tiers du gradient d’altération. Cet écart peut être relié au ratio des nutriments, à la biodisponibilité des nutriments, aux caractéristiques de la lumière, etc. À l’inverse, le calcul de l’IDEC pour la rivière Au Brochet signale des conditions altérées (IDEC = 22) alors que la valeur moyenne des concentrations en phosphore était relativement faible au cours de la période où les diatomées furent échantillonnées, ce qui met en évidence une altération de la communauté qui n’est pas détectée par les mesures physicochimiques disponibles et qui peut être reliée à une combinaison de facteurs. Ces exemples illustrent que l’intérêt d’un indice biologique
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n’est pas de prédire les concentrations en nutriments, mais plutôt d’évaluer l’incidence de l’ensemble des perturbations (connues ou non) sur les communautés et de donner une indication de la distance des communautés altérées par rapport aux communautés de référence. Dans un contexte de restauration, le biosuivi permet de mesurer le rétablissement réel de l’écosystème et d’évaluer si les mesures adéquates, qui ne concernent pas seulement la gestion des nutriments, ont été appliquées. Quel est l’intérêt d’utiliser les diatomées, plutôt que les invertébrés, pour effectuer le suivi de l’intégrité biologique des cours d’eau ? Les algues, les invertébrés et les poissons répondent aux changements environnementaux à différentes échelles temporelle et spatiale en raison de leur cycle de vie, leur physiologie et leur mobilité. Il est donc fondamental de bien comprendre les exigences écologiques propres à chaque type d’organisme, car ils diffèrent dans leur sensibilité à différents types de pollution et dans leur temps de réponse. Triest et al. (2001) ont comparé les résultats d’un biosuivi effectué à partir des diatomées et des invertébrés sur des cours d’eau recevant différents types de pollution (agricole, urbaine et industrielle) en Belgique. Ils en conclurent que les producteurs primaires, tels les diatomées, étaient plus aptes à détecter l’enrichissement en nutriments, la distribution des diatomées étant principalement expliquée par le phosphore. Les invertébrés intégraient mieux les conditions générales du cours d’eau, leur distribution étant surtout corrélée avec l’oxygène dissous. Soininen et Könönen (2004) parvinrent aux mêmes résultats dans des rivières de la Finlande. La distribution des espèces de diatomées était contrôlée par la conductivité et le phosphore, alors que la distribution des invertébrés était reliée à des paramètres physiques (largeur du lit du cours d’eau), à la conductivité et au pH. Boissonneault (2006) a obtenu des résultats similaires dans les rivières du Québec. En résumé, les bio-indicateurs seraient plutôt complémentaires. Les diatomées sont sensibles à des enrichissements en nutriments et à des variations de pH et de conductivité, alors que les invertébrés benthiques sont sensibles aux caractéristiques physiques, aux apports organiques et aux déficits en oxygène. Les diatomées sont des indicateurs de pollution à court terme (quelques semaines à un mois) en raison de leur cycle de vie court, alors que les invertébrés benthiques sont de bons indicateurs à plus long terme (par exemple, sur une année). Les communautés de diatomées sont peu influencées par les caractéristiques physiques du cours d’eau, alors que les invertébrés benthiques le sont fortement. Les diatomées peuvent être utilisées aussi bien en ruisseau qu’en grande rivière sans que la réponse de l’indice en soit affectée (Lavoie et al., 2006b). Finalement, les indices diatomées sont plus sensibles que les indices basés sur les invertébrés benthiques dans les gammes de pollution moyenne à faible (Boissonneault, 2006).
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Quel est l’impact des variations saisonnières sur les communautés de diatomées et l’IDEC ? Au Québec, la diversité et la biomasse des communautés de diatomées augmentent du printemps à l’automne suivant l’augmentation de la température, de la lumière et des nutriments ainsi que la diminution du débit des rivières (Grenier et al., 2006 ; Lavoie et al., 2006). Ainsi, les conditions hivernales québécoises ont pour effet d’occasionner un phénomène de recolonisation graduelle des substrats au printemps jusqu’à l’automne, période où la structure de la communauté atteint une stabilité favorisée par des conditions environnementales propices à l’établissement d’un plus grand nombre de taxons (Lavoie et al., 2003). Ce phénomène semble expliquer la plus faible diversité taxonomique des relevés printaniers (288 taxons) par rapport aux relevés automnaux (357 taxons), qui bénéficient d’une meilleure colonisation. Ainsi, les taxons dominants au printemps sont davantage colonisateurs et résistants aux températures plus faibles et aux vitesses de courant élevées caractérisant les mois de mai et juin (Grenier et al., 2006). L’IDEC fut donc conçu pour être utilisé entre le début juillet et la fin septembre, le moment idéal étant la période d’étiage de la fin août. Cependant, les travaux réalisés par Lavoie et al. (2006b) tendent à démontrer que, à des concentrations en nutriments égales, les valeurs de l’IDEC varient peu entre le printemps et l’automne, étant donné que la variance associée à la saison et à la température est distribuée sur le deuxième axe de l’analyse des correspondances (AC) ayant servi au développement de l’IDEC et n’affecte pas le premier de l’AC qui correspond au gradient général de perturbation. Quelle est l’incidence de l’hétérogénéité des habitats sur les communautés de diatomées ? Contrairement aux macro-invertébrés, les diatomées sont davantage sensibles à la physicochimie de l’eau qu’à l’habitat physique des cours d’eau. Les communautés de diatomées répondent rapidement aux fluctuations de nutriments, de la pollution organique, du pH, de la conductivité et de l’alcalinité. Les communautés peuvent cependant également varier en fonction du substrat échantillonné (roches, macrophytes ou sédiments). C’est pourquoi le protocole de l’IDEC prévoit l’échantillonnage des substrats durs uniquement (non organique), afin de réduire l’incidence du substrat sur la valeur de l’IDEC. La biomasse du périphyton et la diversité sont-elles de bons indicateurs de la qualité de l’eau et de l’intégrité biologique des cours d’eau ? La biomasse algale est déterminée par le pool des colonisateurs d’origine et par l’interaction de la lumière, de la température et de la disponibilité des nutriments, mais également par le régime de perturbations, principalement les crues importantes et le broutage par les invertébrés. Une telle influence
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des facteurs physiques rend peu efficace l’utilisation de la biomasse comme indicateur des conditions chimiques aquatiques. De plus, la relation entre la diversité des peuplements et le degré de pollution n’est pas simple. En effet, la pollution n’est pas le seul facteur susceptible d’agir sur la diversité, car tout facteur limitant peut avoir un effet analogue, comme c’est fréquemment le cas pour l’acidité de l’eau ou la vitesse du courant. De plus, les processus de remplacement d’espèces interviennent au sein des peuplements algaux, de sorte qu’une diminution de la qualité de l’eau ne se traduit pas nécessairement par une diminution de la diversité spécifique. Il a été observé par plusieurs chercheurs qu’une augmentation des ressources au-dessus d’une valeur seuil mène à l’exclusion compétitive de certaines espèces. Ainsi, dans un premier temps, la richesse et la diversité des taxons augmentent selon l’accroissement de l’hétérogénéité des ressources, puis les taxons sensibles à la pollution disparaissent, et des espèces nuisibles et indésirables peuvent dominer. Les indices de diversité faible ne s’observent donc pas seulement en cas de pollution grave, mais aussi dans les milieux naturels où l’un ou l’autre des facteurs écologiques est limitant. L’étude des peuplements algaux nécessite donc l’adoption de méthodes quantitatives visant à estimer le développement absolu ou relatif de chaque taxon (Lavoie et al., 2006a). L’abondance relative fournit une évaluation suffisamment précise de l’importance d’une espèce dans un peuplement algal, sans être modifiée outre mesure par les perturbations physiques. C’est pour cette raison que l’IDEC est basé sur la structure des communautés de diatomées, c’est-à-dire l’abondance relative de chaque taxon. Les variations de courant dans une rivière peuvent arracher le périphyton sur les roches. Il en est de même du broutage par les invertébrés. Quelle est l’incidence de la recolonisation des substrats sur l’IDEC ? Le débit et le broutage contrôlent en partie la biomasse du périphyton. Cependant, la plupart des indices diatomées, y compris l’IDEC, ne sont pas basés sur la biomasse mais plutôt sur la structure des communautés (abondance relative de chaque espèce). Les indices ne varient généralement pas en fonction des fluctuations de débit ou du broutage, puisque les espèces résistantes aux courants ont des tolérances aux nutriments semblables aux espèces qui étaient présentes avant la perturbation hydrologique.
Prélèvement et traitement des échantillons
Prélèvement
L
Le prélèvement des diatomées peut être effectué dans tous les types de cours d’eau à condition de respecter les recommandations suivantes. 1. Choisir de préférence un tronçon d’eau vive (milieu lotique) afin d’éviter de prélever une grande quantité de matériel sédimenté, de diatomées mortes et de diatomées d’origine planctonique. 2. Choisir un site d’échantillonnage ensoleillé. Éviter les couverts forestiers ou les zones ombragées. 3. S’il y a un pont ou une retenue d’eau (barrage) à proximité du site, échantillonner en amont du pont ou en aval du barrage. 4. Tenir compte des rejets ponctuels qui peuvent modifier les conditions locales (drains agricoles, fossés de route, égouts pluviaux, etc.). 5. Choisir un substrat rocheux (en absence de roches, échantillonner sur les piliers de ponts). Éviter les substrats en bois. 6. Effectuer la campagne d’échantillonnage en période d’étiage (aoûtseptembre). 7. Éviter d’échantillonner dans la semaine suivant des précipitations importantes. Le prélèvement du biofilm est réalisé selon les étapes suivantes. 1. Prélever un échantillon composite d’environ cinq roches en grattant, à l’aide d’une brosse à dent, le biofilm (périphyton) accumulé sur la surface des roches. Si possible, les substrats doivent être délicatement retirés de l’eau afin d’éviter toute perte de périphyton. La profondeur d’échantillonnage doit varier entre 20 et 60 cm, selon la turbidité (transparence) et le niveau de l’eau (Tableau 10). Il est important de
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s’assurer que le substrat n’est pas été exondé au cours d’une période d’étiage dans les semaines précédant l’échantillonnage. Les cinq roches devraient être prélevées à l’intérieur d’un périmètre d’environ 5 m2. Tableau 10 Choix de la profondeur d’échantillonnage en fonction du niveau apparent et de la transparence de l’eau Niveau de l’eau Faible Élevé
Transparence élevée 30 cm 60 cm
Transparence faible 20 cm 40 cm
2. Déposer le matériel périphytique dans un contenant avec un peu d’eau de la rivière. Bien rincer la brosse à dent entre les échantillonnages afin d’éviter la contamination. 3. Préserver les échantillons avec du Lugol et garder au frais et à l’obscurité jusqu’au moment du traitement en laboratoire.
Préparation du matériel diatomique Les échantillons de biofilm doivent être digérés au péroxyde d’hydrogène (H2O2) à 30 % afin de garder uniquement la coquille siliceuse des diatomées. 1. Après remise en suspension de l’échantillon, prélever un sous-échantillon de 4 ml et le placer dans un tube d’essai de 50 ml (prélever une plus grande quantité lorsque l’échantillon est très peu concentré). 2. Ajouter 20 ml de péroxyde d’hydrogène à 30 % afin de détruire la matière organique et laisser réagir les échantillons pendant 1 heure. 3. Placer les tubes d’essai à l’étuve pour environ 24 heures à 60 ºC afin d’accélérer le processus de digestion et compléter la réaction. Il est parfois nécessaire d’ajouter quelques gouttes d’acide chlorhydrique avant ou après la digestion au péroxyde d’hydrogène afin d’éliminer les carbonates de calcium. 4. Une fois la matière organique détruite (les tubes devraient contenir une solution blanchâtre), centrifuger les échantillons (1 500 révolutions/minute) pendant trois minutes pour décanter les frustules de diatomées. 5. Éliminer le surnageant de péroxyde d’hydrogène (en prenant soin de conserver toute la solution blanchâtre) et ajouter de l’eau distillée au culot.
Prélèvement et traitement des échantillons
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6. Répéter l’opération de décantation trois fois afin d’éliminer toute trace de péroxyde d’hydrogène. 7. Une fois le rinçage terminé, ajuster le volume d’eau distillée afin que la suspension soit légèrement trouble, ni trop dense, ni trop diluée.
Préparation des lames de microscope La suspension contenant les diatomées doit être montée sur lamelle pour l’analyse au microscope. 1. Brasser la suspension et prélever 1 ml d’échantillon digéré. 2. Déposer uniformément sur une lamelle de microscope (préalablement nettoyée à l’alcool). Préparer deux lamelles pour le même échantillon en diluant la suspension pour la deuxième lamelle. 3. Laisser sécher les lamelles à température ambiante et à l’abri de la poussière. 4. Lorsque les lamelles sont sèches, placer une lame de microscope sur une plaque chauffante sous une hotte. Déposer une goutte de résine (Naphrax®, indice de réfraction = 1,74) sur la lame et attendre jusqu’à ce que la résine forme des petites bulles. 5. Déposer la lamelle sur la lame afin de fixer les diatomées dans la résine. 6. Retirer la lame de la plaque chauffante et appliquer une légère pression sur la lamelle afin d’éliminer les bulles. Les lames sont prêtes pour l’observation au microscope dès que la résine est solidifiée.
Analyses microscopiques des diatomées L’identification et le comptage des valves de diatomées s’effectuent à un grossissement de 1 000x (ou plus). Un microscope muni d’un système de contraste interférentiel différentiel (DIC) aide à l’identification des structures de diatomées en permettant une meilleure visualisation des gradients de phase. Un fichier MS Excel contenant les noms de codes utilisés pour le calcul de l’IDEC peut être téléchargé sur le site Internet de l’Université du Québec à Trois‑Rivières (<www.uqtr.ca/geo/idec>). 1. Compter un minimum de 400 valves (Prygiel et Coste, 1993) en prenant soin de vérifier, en ajustant le focus, si les deux valves sont présentes. Les valves d’une colonie doivent également être comptées. Si le nombre de valves comptées est inférieur à 400 après
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balayage complet de la lame, une autre lame doit être préparée. Puisque les échantillons ont été oxydés par la méthode de préparation des lames, les diatomées vivantes et les diatomées mortes font partie des comptages. 2. Ne pas tenir compte des valves brisées qui représentent moins de la moitié d’une valve intacte. 3. Afin d’observer les diatomées de façon aléatoire et d’éviter de compter le même spécimen deux fois, il est important de procéder au balayage de la lamelle (Figure 12).
Figure 12. Balayage d’une lamelle de microscope
4. Pour le calcul de l’indice IDEC, les diatomées planctoniques ne sont pas comptées. La plupart des diatomées centrales sont planctoniques, mise à part Melosira varians et Cyclotella meneghiniana qui sont également présentes dans les communautés benthiques et qui sont incluses dans le calcul de l’IDEC.
Calcul de l’Indice Diatomées de l’Est du Canada (IDEC) Les comptages doivent être saisis dans un fichier MS Excel qui peut être téléchargé sur le site Internet de l’Université du Québec à Trois-Rivières (<www. uqtr.ca/geo/idec>). Ce fichier contient également les instructions et une macro permettant le calcul de l’IDEC.
Guide terminologique illustré
L
La taxonomie des diatomées est basée sur la morphologie des frustules de silice. Les pages qui suivent illustrent les structures principales permettant de distinguer les taxons. La taxonomie est basée, entre autres, sur les éléments morphologiques suivants : • la forme générale du frustule ; • la symétrie du frustule ; • la forme de l’aire centrale ; • la forme des stries ; • la densité des stries ; • le type et la taille des ponctuations ; • la présence de stigma ; • la présence, la forme et la densité des fibules et des côtes ; • la présence d’épines ; • la forme de l’apex ; • la présence ou l’absence d’un raphé ; • la position du raphé ; • la forme générale du raphé ; • la forme des terminaisons du raphé.
La plupart de ces structures sont visibles à un grossissement de 1 000x. Cependant, le détail de certaines structures n’est visible qu’à l’aide d’un microscope électronique à balayage. Certains taxons ne peuvent être identifiés avec certitude qu’à l’aide de ce type de microscope.
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Guide terminologique illustré
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Clé d’identification des genres
L
Les diatomées (bacillariophycées) regroupent l’Ordre des Centriques, qui possède une symétrie radiale (forme cylindrique) et l’Ordre des Pennales, qui possède une symétrie bilatérale (forme allongée). L’Ordre des Centriques regroupe surtout des taxons planctoniques, qui sont particulièrement abondants en milieu marin. L’Ordre des Pennales regroupe surtout des taxons périphytiques, qui se retrouvent dans tous les milieux. L’évaluation du nombre total de taxons varie entre 20 000 et 30 000 selon les auteurs. Cependant, selon Mann et Droop (1996), il pourrait exister jusqu’à 200 000 taxons de diatomées sur la planète. Un total de 540 taxons de diatomées a été répertorié dans les rivières de l’Est du Canada. Ces taxons sont regroupés dans 50 genres, étant euxmêmes regroupés dans 8 familles. Les deux Ordres de diatomées sont présents dans les communautés périphytiques des rivières. Cependant, l’Ordre des Centriques est sous-représenté, seules quelques espèces (principalement Melosira varians) étant présentes en abondance. Les pages qui suivent illustrent les genres les plus abondants dans les communautés périphytiques des cours d’eau de l’Est du Canada. Cette clé d’identification illustrée n’est pas exhaustive, elle se veut simplement une initiation à la phylogénie des diatomées.
60
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Clé générale des grands groupes de diatomées Ordre des Centriques forme cylindrique, symétrie radiale
Cyclotella
Melosira
Stephanodiscus
Aulacoseira
Ordre des Pennales symétrie bilatérale
Famille des Fragilariaceae dépourvues de raphé sur les deux valves
Meridion
Tabellaria
Diatoma
Fragilaria
Famille des Achnanthaceae (monoraphidées, raphé sur une seule valve)
Achnanthes
Cocconeis
Famille des Eunotiaceae (brachyraphidées, raphé réduit)
Eunotia
Clé d’identification des genres
61
Famille des Surirellacées (biraphidées, raphé circulaire, avec fibules)
Surirella
Entomoneis
Famille des Épithemiacées (biraphidées, avec fibules)
Epithemia
Cymatopleura
Rhopalodia
Denticula
Famille des Bacillariacées (biraphidées, avec fibules)
Nitzschia
Simonsenia
Hantzschia
Stenopterobia
Bacillaria
62
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Familles des Naviculacées (biraphidées, sans fibules)
Navicula
Cymbella
Gomphonema
Pinnularia
Stauroneis Gyrosigma
Frustulia
Caloneis
Neidium
Amphora
Brachysira
Diploneis
Planches taxonomiques
C
Cette section comporte les 68 planches taxonomiques contenant plus de 2 000 photographies prises au microscope à contraste interférentiel qui illustrent les 540 taxons présents dans les cours d’eau échantillonnés. La majorité des taxons périphytiques susceptibles d’être rencontrés dans les rivières de l’Est du Canada devrait figurer sur ces planches. Chaque planche est précédée d’une contre-page contenant les informations suivantes :
'ROSSISSEMENT¬DES¬PHOTOGRAPHIES -ESURES¬BIOMÏTRIQUES $ÏSIGNATION¬TAXONOMIQUE
#ODE¬DU¬TAXON
3YNONYME
Code du taxon La plupart des codes de taxons utilisés sont ceux du Logiciel Omnidia (Leconte et al., 1993). Certains codes ont toutefois dus être créés lorsque les taxons ne figuraient pas dans la banque Omnidia. Les taxons sont présentés par ordre alphabétique de code.
64
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Désignation taxonomique La désignation taxonomique comporte le nom du genre (Ctenophora), le nom de l’espèce (pulchella), le nom de l’auteur de la désignation (Ralfs ex Kützing) et le nom de l’auteur ayant modifié la désignation d’origine (Williams et Round, 1986). La désignation peut en outre contenir les abréviations suivantes : • cf. : comparable à (confer) • complexe : plusieurs taxons à l’intérieur d’un même genre ne peuvent être identifiées mais semblent plus ou moins appariées • f. : forme • sp. : l’épithète spécifique d’une espèce en particulier est inconnu • spp. : réfère à plus d’une espèce à l’intérieur d’un genre (connu ou inconnu) • ssp. : sous-espèce • var. : variété Les ouvrages de référence ayant été utilisés pour l’identification de chacun des taxons sont présentés dans la section « Références taxonomiques abrégées » à la fin du guide. Les principaux ouvrages consultés pour l’identification des diatomées incluent Krammer et Lange-Bertalot (1986, 1988, 1991a, 1991b), Reavie et Smol (1998), Fallu et al. (2000), Krammer (2000, 2001, 2002) et Lange-Bertalot (2001).
Synonyme Le ou les synonymes les plus courants du taxon sont indiqués. Les synonymes sont inclus dans l’index des taxons à la fin du guide.
Grossissement des photographies La plupart des photographies ont été reproduites à un grossissement de 1 500x. Cependant, certaines espèces de grande taille ont été reproduites à un grossissement de 1 000x.
Mesures biométriques Les mesures biométriques incluent l’intervalle des longueurs des frustules du taxon et l’intervalle des largeurs. Les mesures sont indiquées en microns, 1 000 microns étant égale à 1 mm. Le nombre de stries en 10 microns (Stries) est également inscrit. Dans le cas de certains genres, le diamètre, le nombre de fibules en 10 microns, le nombre de côtes en 10 microns, le nombre de stries en 10 microns du côté dorsal et le nombre de stries en 10 microns du
Planches taxonomiques
65
côté ventral peuvent également être inscrits. Les mesures ont été réalisées à partir des photographies. Ces mesures ont généralement été réalisées à partir de plusieurs spécimens, bien que certaines données ne proviennent que d’un seul individu. Lorsque possible, les stries ont été comptées à mi-chemin entre l’aire centrale et l’apex. Dans le cas des genres Cymbella et Amphora, les stries dorsales et les stries ventrales ont été comptées séparément (Figure 13). Dans certains cas, le nombre de stries en 10 microns ne fut pas indiqué puisque celles-ci ne sont pas visibles (n.v.).
Nombre de stries dorsales en 10 microns
Nombre de stries ventrales en 10 microns
Figure 13. Mesure du nombre de stries dorsales et ventrales en 10 microns chez le genre Cymbella.
66
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 1 AUIT
1 500 x
Diamètre
Stries
7 - 8
15
16 - 20
–
17
16 - 18
Cyclotella meneghiniana Kützing 1844
6 - 17
9 - 12
Cyclotella stelligera Cleve et Grunow 1882
6 - 13
18 - 36
Melosira varians Agardh 1827
15 - 16
–
Stephanodiscus sp. [S. cf. medius Håkansson 1986]
13 - 19
12
10
15
Aulacoseira italica (Ehrenberg) Simonsen 1979 Syn.: Melosira italica (Ehrenberg) Kützing 1844 Note: Taxon planctonique.
CBOL
Cyclotella sp. [C. cf. bodanica var. lemanica (Müller ex Schröter) Brachmann 1903] Note: Taxon planctonique.
CDTG
Cyclotella distinguenda Hustedt 1927 Note: Taxon planctonique.
CMEN CSTE
Note: Taxon planctonique.
MVAR SMED
Note: Taxon planctonique.
SPAV
Stephanodiscus parvus Stoermer et Håkansson 1984 Note: Taxon planctonique.
Planches taxonomiques
67
S. cf. medius SMED
M. varians MVAR
S. parvus SPAV
C. meneghiniana CMEN
C. distinguenda CDTG
C. cf. bodanica var. lemanica CBOL
A. italica AUIT
C. stelligera CSTE
68
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 2 DANC
1 500 x
Diatoma anceps (Ehrenberg) Kirchner 1878
Longueur Largeur Côtes 30 - 33
5 - 6
3-4
29 - 60
2 - 3
5-9
Syn.: Meridion anceps (Ehrenberg) Williams 1985, Fragilaria anceps Ehrenberg 1843
DITE
Diatoma tenuis Agardh 1812 Syn.: Diatoma tenuis var. elongatum Lyngbye 1819
DMES
Diatoma mesodon (Ehrenberg) Kützing 1844 Syn.: Fragilaria mesodon Ehrenberg 1839
13 - 16
6 - 8
3
DMON
Diatoma moniliformis Kützing 1833
14 - 25
3 - 4
6-9
DVUL
Diatoma vulgaris Bory 1824
36 - 41
9 - 13
7-8
MCCO
Meridion circulare var. constrictum (Ralfs) van Heurck 1880
18 - 43
3 - 5
5-7
Syn.: Meridion constrictum Ralfs 1843
MCIR
Meridion circulare (Greville) Agardh 1831
15 - 57
3 - 6
2-5
TGLA
Tetracyclus glans (Ehrenberg) Mills 1935
33
18
3
Planches taxonomiques
69
D. moniliformis DMON
D. tenuis DITE
D. vulgaris DVUL
T. glans TGLA
M. circulare MCIR
D. mesodon DMES
M. circulare var. constrictum MCCO
?
D. anceps DANC
70
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 3 CPLC
1 500 x
Ctenophora pulchella (Ralfs ex Kützing) Williams et Round 1986
Longueur Largeur Stries 50 - 80
5
16 - 18
38 - 94
5
17 - 18
62 - 91
4 - 5
14
7 - 39
4 - 8
16 - 21
Syn.: Fragilaria pulchella (Ralfs ex Kützing) Lange-Bertalot 1980
HARC
Hannaea arcus (Ehrenberg) Patrick in Patrick et Reimer 1966 Note: Inclut également H. arcus var. amphioxys (Rabenhorst) Patrick in Patrick et Reimer 1966 et possiblement H. arcus var. linearis (Holmboe) Foged 1981.
TFAS
Tabularia fasciculata (Agardh) Williams et Round 1986 Syn.: Fragilaria fasciculata (Agardh) Lange-Bertalot 1980 sensu lato
TFLO
Tabellaria flocculosa (Roth) Kützing 1844
Note: Les spécimens les plus longs sont potentiellement planctoniques et ne devraient pas être inclus dans les comptages. Comparer avec les spécimens de Camburn et Charles. Il est important de ne pas compter les bandes intercalaires.
Planches taxonomiques
71
T. flocculosa TFLO
(vue cingulaire, 2 valves et bandes intercalaires)
(bandes intercalaires ou ceintures connectives)
H. arcus HARC
T. fasciculata TFAS
C. pulchella CPLC
72
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 4 FDIL UULNF1
1 000 x
Longueur Largeur Stries
Fragilaria dilatata (Brébisson) Lange-Bertalot
235
8
10 - 11
Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 1
229
6 - 7
10 - 11
111 - 138
6
10 – 12
149
7
10
153 - 170
6 - 7
10
Syn.: Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 1
UULNF6
Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 6 Syn.: Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 6
UULNF7
Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 7 Syn.: Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 7
UULNF8
Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 8 Syn.: Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 8
Planches taxonomiques
F. dilatata FDIL
U. ulna forme 1 UULNF1
73
U. ulna forme 8 UULNF8
U. ulna forme 7 UULNF7
U. ulna forme 6 UULNF6
74
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 5 UULNF2
1 000 x
Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 2 Syn.: Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 2
Longueur Largeur Stries 73 - 127
3 - 5
9 – 14
Planches taxonomiques
75
U. ulna forme 2 UULNF2
76
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 6 FUAC
1 500 x
Fragilaria ulna var. acus (Kützing) Lange-Bertalot 1980
Longueur Largeur Stries 80 - 111
2 - 4
12 - 15
30 - 41
4 - 5
10 - 12
29 - 69
3 - 5
11 - 13
43 - 90
4 - 5
9 - 12
43 - 53
3
12 - 13
39 - 75
3
12 - 14
Syn.: Synedra acus Kützing 1844
UCON
Ulnaria contracta (Østrup) Morales et Vis 2007 Syn.: Synedra ulna var. contracta Østrup 1901
UULNF3
Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 3 Syn.: Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 3
UULNF4
Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 4 Syn.: Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 4
UULNF5
Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 5 Syn.: Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 5
UULNF10
Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 10 Syn.: Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 10
Planches taxonomiques
77
U. contracta UCON
U. ulna forme 5 UULNF5
U. ulna forme10 UULNF10
F. ulna var. acus FUAC
U. ulna forme 3 UULNF3
U. ulna forme 4 UULNF4
78
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 7
1 500 x
Longueur Largeur Stries
FCME
Fragilaria capucina var. mesolepta (Rabenhorst) Rabenhorst 1864
18 - 69
3 - 4
15 - 18
FCRO
Fragilaria crotonensis Kitton 1869
53 - 75
2 - 3
15 - 17
FCROF2
Fragilaria crotonensis Kitton 1869 forme 2
47 - 49
3
15 - 17
Fragilaria nanana Lange-Bertalot 1991
45 - 73
1 - 2
27
Fragilaria sp. [F. cf. nanana Lange-Bertalot 1991 forme 2]
33 - 48
2 - 3
n.v.
Fragilaria sp. 1
47 - 65
2 - 3
25 - 27
FNAN
Syn.: Synedra nana Meister 1912 Note : Les extrémités de FNAN ne sont pas capitées, contrairement à celles de FRAG1.
FNANF2 FRAG1
Note: La densité des stries des spécimens présentés est plus élevée que celle des spécimens de F. tenera identifiés dans Krammer et Lange-Bertalot (1991a).
Planches taxonomiques
79
F. cf. nanana forme 2 FNANF2 Fragilaria sp.1 FRAG1
F. crotonensis FCRO
F. nanana FNAN
F. crotonensis forme 2 FCROF2
F. capucina var. mesolepta FCME
80
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 8 FCAPF2
1 500 x
Fragilaria capucina Desmazières 1825 forme 2
Longueur Largeur Stries 33 - 45
2 - 3
18 - 21
41 - 61
2 - 3
16 - 19
33 - 57
2 - 3
18 - 25
23 - 31
2 - 3
20 - 21
12 - 21
2 - 3
19 - 23
35 - 45
2 - 3
17 - 27
Note: Voir Krammer et Lange-Bertalot (1991) pour les différentes formes de F. capucina. Les désignations de ces auteurs n’ont pas été utilisées. Ce taxon est potentiellement Synedra rumpens var. meneghiniana Grunow.
FCAPF3
Fragilaria capucina Desmazières 1825 forme 3 Note: Ce taxon est potentiellement Synedra familialis f. major Grunow.
FCAPF4
Fragilaria capucina Desmazières 1825 forme 4 Note: Ce taxon est potentiellement Synedra familialis f. major Grunow.
FCAPF5
Fragilaria capucina Desmazières 1825 forme 5 Note: Voir Fragilaria capucina var. gracilis (Østrup) Kützing 1950 dans Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 123, pl. 113: 23-26. Ce taxon est potentiellement Fragilaria gracilis Østrup.
FCAPF6
Fragilaria capucina Desmazières 1825 forme 6 Note: Voir Fragilaria capucina var. gracilis (Østrup) Kützing 1950 dans Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 123, pl. 111: 2-4. Ce taxon est potentiellement Fragilaria famelica Kützing.
FCAPF7
Fragilaria capucina Desmazières 1825 forme 7 Note: Voir Fragilaria capucina var. gracilis (Østrup) Kützing 1950 dans Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 123, pl. 110: 8-13. Ce taxon est potentiellement Fragilaria gracilis Østrup.
IMPORTANT: Tous les spécimens présentés ici ont été regroupés sous le complexe Fragilaria capucina suivant Krammer et Lange-Bertalot (1991). Des études récentes suggèrent que ce complexe inclut plusieurs taxons, dont certains sont mentionnés ici sous forme de note.
Planches taxonomiques
81
F. capucina forme 2 FCAPF2
?
F. capucina forme 3 FCAPF3
F. capucina forme 4 FCAPF4
?
?
? F. capucina forme 7 FCAPF7
F. capucina forme 5 FCAPF5
F. capucina forme 6 FCAPF6
82
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 9 FAPE
1 500 x
Fragilaira sp. [F. cf. perminuta (Grunow) Lange-Bertalot in Krammer et Lange-Bertalot 2000 complexe]
Longueur Largeur Stries 8 - 25
3
15 - 19
10 - 33
2 - 5
11 - 18
6 - 15
3 - 5
14 - 18
21 - 27
3
21 -23
Note: Il semble y avoir deux formes distinctes dans les spécimens présentés. Identifié Fragilaria capucina var. perminuta dans Krammer et Lange-Bertalot (1991a).
FCVA
Fragilaria capucina var. vaucheriae (Kützing) Lange-Bertalot 1980 complexe
FCVAF2
Note: Les spécimens les plus longs pourraient également être associés à Fragilaria ulna. Voir Krammer et Lange-Bertalot (1991) pour les différentes formes de F. capucina. Les désignations de ces auteurs n’ont pas été utilisées.
Fragilaria capucina var. vaucheriae (Kützing) Lange-Bertalot 1980 forme 2 complexe Note: Ce code regroupe les plus petites formes de F. capucina var. vaucheriae.
FCVAF3
Fragilaria capucina var. vaucheriae (Kützing) Lange-Bertalot 1980 forme 3 complexe Note: Striation plus dense.
Planches taxonomiques
83
Complexe F. capucina var. vaucheriae FCVA
e
?
?
?
Complexe F. capucina var. vaucheriae FCVA
Complexe F. capucina var. vaucheriae forme 3 FCAPF3
Complexe F. capucina var. vaucheriae forme 2 FCVAF2
Complexe F. cf. perminuta FAPE
84
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 10
1 500 x
Longueur Largeur Stries
FCEX
Fragilaria construens f. exigua (W. Smith) Schulz 1922
5
5
15
PPCO
Pseudostaurosira pseudoconstruens (Marciniak) Williams et Round 1987
11
5
15
8 - 21
3 - 5
14 - 16
14 - 18
3 - 4
9 - 11
9 - 11
7
15 -18
11 - 17
5 - 7
15 - 18
5 - 9
3 - 4
15 - 18
4 - 17
3 - 6
8 - 15
Syn.: Fragilaria pseudoconstruens Marciniak 1982 Note: Les stries sont formées de ponctuations distinctes.
PSBR
Pseudostaurosira brevistriata (Grunow in van Heurck) Williams et Round 1987 Syn.: Fragilaria brevistriata Grunow 1881 Note: Les valves elliptiques de petite taille sont similaires à P. elliptica (Schumann) Edlund et al. 2006.
PULA
Punctastriata lancettula (Schumann) Hamilton et Siver Note: Nom provisoire. Syn.: Staurosirella pinnata var. lancettula (Schumann) Hustedt in Schmidt et al. 1913
SCON
Staurosira construens Ehrenberg 1843 Syn.: Fragilaria construens (Ehrenberg) Grunow 1862
SCONF2
Staurosira construens Ehrenberg 1843 forme 2 Note: Voir le spécimen présenté dans Krammer et Lange-Bertalot (1991), pl. 132: 32.
SCVE
Staurosira construens var. venter (Ehrenberg) Hamilton in Hamilton et al. 1992 Syn.: Fragilaria construens var. venter (Ehrenberg) Grunow et van Heurck 1881
SPIN
Staurosirella pinnata (Ehrenberg) Williams et Round 1987 Syn.: Fragilaria pinnata Ehrenberg 1843
SPINF3
Staurosirella pinnata forme 3
7 - 9
2
12
STLA
Staurosirella lapponica (Grunow) Williams et Round 1987
9 - 12
5
6-7
15
4
9
Syn.: Fragilaria lapponica Grunow 1881
STPI
Staurosirella pinnata var. intercedens (Grunow in van Heurck) Hamilton 1994 Syn.: Fragilaria pinnata var. intercedens (Grunow) Hustedt 1931
Planches taxonomiques
85
S. pinnata SPIN
S. pinnata forme 3 SPINF3 P. lancettula PULA
S. pinnata var. intercedens STPI
S. lapponica STLA
? P. brevistriata PSBR
F. construens f. exigua FCEX P. brevistriata PSBR
F. pseudoconstruens PPCO
S. construens var. venter SCVE
S. construens SCON
S. construens forme 2 SCONF2
86
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 11 FBIC FCBI
1 500 x
Fragilaria sp. [F. cf. bicapitata A. Mayer 1917] Fragilaria construens var. binodis (Ehrenberg) Grunow 1862
Longueur Largeur Stries 15
4
17
19 - 21
3 - 5
15 - 15
5 - 21
3
18 - 21
29
5 - 7
20
12 - 17
8 - 9
18 - 20
6 - 9
2 - 3
18 - 24
Note: À comparer avec le spécimen dans Fallu et al. (2000), p. 75, pl. 4: 36-37.
FEXI
Fragilaria exigua Grunow 1878 Note: Voir les spécimens identifiés Stauroforma exiguiformis dans Siver et al. 2005.
FFCO
Fragilariforma constricta (Ehrenberg) Williams et Round 1988 Syn.: Fragilaria constricta Ehrenberg 1843
FFCS
Fragilariforma constricta f. stricta (A. Cleve) Poulin in Hamilton et al. 1992 Syn.: Fragilaria constricta f. stricta Cleve 1895
FMST
Fragilaria sp. [F. cf. microstriata Marciniak 1982] Note: Voir Fragilaria brevistriata var. papillosa Cleve-Euler 1953 dans Cleve-Euler (1953), p. 32, pl. 342 (II): h-j.
FNOP
Fragilaria neoproducta Lange-Bertalot 1991
17 - 18
3 - 4
21
FRAG2
Fragilaria sp. 2
11 - 12
3
18
FRAG3
Fragilaria sp. 3
16 - 19
3 - 4
14 - 18
Neofragilaria virescens (Ralfs) Williams et Round 1987
38 - 51
5 - 6
16 -18
18 - 20
3 - 4
18 - 21
14
3 - 5
21
13
4 - 5
18 - 21
Stauroforma sp. [S. cf. inermis Flower et Jones 1996]
11 - 14
3 - 5
21
Staurosirella leptostauron (Ehrenberg) Williams et Round 1987
12 - 23
9 - 11
9 - 10
NFVI
Syn.: Fragilaria virescens Ralfs 1843
PPAS
Pseudostaurosira parasitica var. subconstricta (Grunow) Morales 2003 Syn.: Fragilaria parasitica var. subconstricta Grunow in van Heurck 1881
PPRT
Pseudostaurosira parasitica (W. Smith) Morales 2003 Syn.: Fragilaria parasitica (Smith) Grunow 1881
PRBT
Pseudostaurosira robusta (Fusey) Williams et Round 1987 Syn.: Fragilaria robusta (Fusey) Manguin 1954
SINM SLEP
Syn.: Fragilaria leptostauron (Ehrenberg) Hustedt 1931
Planches taxonomiques
87
F. cf. bicapitata FBIC
F. constricta f. stricta FFCS
N. virescens NFVI Fragilaria sp. 2 FRAG2
F. neoproducta FNOP
? ?
F. constricta ? FFCO
S. cf. inermis SINM
Fragilaria sp. 3 FRAG3
F. exigua FEXI
F. cf. microstriata FMST P. parasitica PPRT
P. parasitica var. subconstricta PPAS
F. construens var. binodis sensu lato FCBI
S. leptostauron SLEP
P. robusta PRBT
88
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 12
1 500 x
Longueur Largeur Stries
ACDF
Achnanthidium deflexum (Reimer) Kingston 2003
15 - 21
3 - 4
28
ADLA
Achnanthidium sp. [A. cf. latecephalum Kobayasi 1997]
13 - 16
3 - 4
27
ADMCF1
Achnanthidium microcephalum Kützing 1844 forme 1
11 - 15
2 - 3
28
Note.: Voir Achnanthes microcephala (Kützing) Grunow 1895 dans Krammer et Lange-Bertalot (1991).
ADMCF2
Achnanthidium microcephalum Kützing 1844 forme 2
13 - 18
3
27
ADMI
Achnanthidium minutissimum (Kützing) Czarnecki in Czarnecki et Edlund 1995
10 - 15
3
30
23
4
25
15 - 17
2 - 3
30
5 - 9
2 - 3
30
Syn.: Achnanthes minutissima Kützing 1833
ADUT
Achnanthes duthii Sreenivasa 1971
AJAC
Achnanthidium jackii Rabenhorst 1861 Syn.: Achnanthes minutissima var. jackii (Rabenhorst) Lange-Bertalot 1980 Note: Aire centrale transversale dépourvue de stries, à comparer avec ADMI.
AMSA
Achnanthes minutissima var. saprophila Kobayasi et Mayama 1982
AMSC
Achnanthes minutissima var. scotica (Carter) Lange-Bertalot 1989
20 - 26
2 - 3
30
ARIV
Achnanthidium rivulare Potapova et Ponader 2004
9 - 18
3 - 4
24 - 27
Planches taxonomiques
89
A. minutissima var. saprophila AMSA
A. minutissimum ADMI
A. microcephalum forme 1 ADMCF1
A. microcephalum forme 2 ADMCF2
A. minutissima var. scotica AMSC
A. duthii ADUT
A. jackii AJAC
A. rivulare ARIV
?
A. deflexum ACDF
Achnanthes spp.
A. cf. latecephalum ADLA
?
90
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 13 ACHN3 ACHN4
1 500 x
Longueur Largeur Stries
Achnanthes sp. 3
5 - 7
3
12 - 18
Achnanthes sp. 4
7 - 12
4 - 5
15
27
6
14
11 - 13
4 - 7
22 - 30
14 - 16
7 - 8
27
11 - 21
5 - 7
15 - 21
25 - 32
10 - 12
11 - 14
11 - 14
4 - 6
15 - 17
19 - 21
7 - 9
11
13 - 14
6 - 7
12 - 15
6 - 22
4 - 6
12 - 18
18 - 19
7 - 8
18 - 21
14 - 21
5 - 6
12 - 15
Note: Similaire à Planothidium delicatulum (Kützing) Round et Bukhtiyarova 1996.
ACOA AEXG
Achnanthes coarctata (Brébisson) Grunow in Cleve et Grunow 1880 Achnanthes exigua Grunow in Cleve et Grunow 1880 Note: Les deux valves ont un nombre de stries différent.
AHRV
Achnanthes harveyi Reimer 1966
AKRY
Achnanthes kryophila Petersen 1924
KCLE
Karayevia clevei (Grunow) Round et Bukhtiyarova 1996 Syn.: Achnanthes clevei Grunow in van Heurck 1880 Note: Les deux valves ont un nombre de stries différent.
PAPC
Planothidium apiculatum (Patrick) Lange-Bertalot 1999 Syn.: Achnanthes lanceolata spp. apiculata (Patrick) Lange-Bertalot 1991
PLAN1
Planothidium sp. 1 Note: À comparer avec Planothidium oestrupii (Cleve-Euler) Round et Bukhtiyarova 1996.
PRBU
Planothidium robustius (Hustedt) Lange-Bertalot et Genkal 1999 Syn.: Achnanthes lanceolata ssp. robusta Hustedt 1937
PTDE
Planothidium delicatulum (Kützing) Round et Bukhtiyarova 1996 Syn.: Achnanthes delicatula (Kützing) Grunow 1880
PTLA
Planothidium lanceolatum (Brébisson ex Kützing) Round et Bukhtiyarova 1996 sensu lato Syn.: Achnanthes lanceolata (Brébisson) Grunow 1880
PTPE
Planothidium peragallii (Brun et Héribaud) Round et Bukhtiyarova 1996 Syn.: Achnanthes peragalloi Brun et Héribaud 1893
PTRO
Planothidium rostratum (Østrup) Round et Bukhtiyarova 1996 sensu lato Syn.: Achnanthes lanceolata ssp. rostrata (Østrup) Lange-Bertalot 1991
Planches taxonomiques
91
P. robustius PRBU P. apiculatum PAPC
P. lanceolatum PTLA
P. peragallii PTPE
Planothidium sp. 1 PLAN1
P. rostratum PTRO
K. clevei KCLE
P. delicatulum PTDE
A. kryophila AKRY
A. coarctata ACOA
A. harveyi AHRV
Achnanthes sp. 3 ACHN3
Achnanthes sp. 4 ACHN4
A. exigua AEXG
92
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 14
1 500 x
ALUT
Achnanthes sp. [A. cf. lutheri Hustedt 1933]
AREI ASHU EUAL
Longueur Largeur Stries 9 - 11
5
15
Achnanthidium reimeri Camburn in Camburn et al. 1978
15 - 19
4 - 5
27 - 30
Achnanthes subhudsonis Hustedt 1921
7 - 13
3 - 4
18 - 21
Eucocconeis alpestris (Brun) Lange-Bertalot 1999
18 - 19
6
n.v.
27 - 32
11 - 12
27
19
10
21
13 - 16
5 - 7
27
20
5
24
14 - 23
7 - 10
24 - 26
Psammothidium chlidanos (Hohn et Hellerman) Lange-Bertalot 1999 15 - 19
5 - 6
30
19
7
27
8 - 10
4 - 5
30
7 - 15
4 - 7
26 - 30
Syn.: Achnanthes flexella var. alpestris Brun 1880
EUFL
Eucocconeis flexella (Kützing) Cleve 1895 Syn.: Achnanthes flexella (Kützing) Brun 1880
EUFLF2 EULA
Eucocconeis flexella (Kützing) Cleve 1895 forme 2 Eucocconeis laevis (Østrup) Lange-Bertalot 1999 Syn.: Achnanthes laevis Østrup 1910
NULA
Nupela lapidosa (Krasske) Lange-Bertalot 1999 Syn.: Achnanthes lapidosa Krasske 1929
PBIO
Psammothidium bioretii (Germain) Bukhtiyarova et Round 1996 Syn.: Achnanthes bioretii Germain 1957
PCHL
Syn.: Achnanthes chlidanos Hohn et Hellerman 1963
PHEL
Psammothidium helveticum (Hustedt) Bukhtiyarova et Round 1996 Syn.: Achnanthes helvetica (Hustedt) Lange-Bertalot 1989
PSAT
Psammothidium subatomoides (Hustedt) Bukhtiyarova et Round 1996 Syn.: Achnanthes subatomoides (Hustedt) Lange-Bertalot et Archibald 1985
PSCT
Psammothidium scoticum (Flower et Jones) Bukhtiyarova et Round 1996 Syn.: Achnanthes scotica Flower et Jones 1990
Planches taxonomiques
93
E. flexella forme 2 EUFLF2
E. laevis EULA
E. flexella EUFL
E. alpestris EUAL
P. helveticum PHEL
P. chlidanos PCHL
A. lutheri ALUT P. bioretii PBIO ?
P. subatomoides PSAT
N. lapidosa NULA
P. scoticum PSCT
A. reimeri AREI
A. subhudsonis ASHU
94
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 15 ACHNSP
cf. Achnanthes sp.
APHU
1 500 x
Longueur Largeur Stries 19
4
15 - 18
Achnanthes pseudohungarica Cholnoky-Pfannkuche 1966
17 - 21
5 - 6
21
APLO
Achnanthes ploenensis Hustedt 1930
14 - 15
5
15 - 17
ASTW
Achnanthes sp. [A. cf. stewartii Patrick 1945]
12 - 15
5 - 6
15 - 18
CNDI
Cocconeis neodiminuta Krammer 1991
9 - 11
6 - 9
15 - 18
19 - 23
13 - 17
23 - 27
11 - 27
7 - 17
23 - 27
11 - 13
5 - 6
15 - 18
6 - 14
5
21
15
4
n.v.
9
4
15
9
4
15
21 - 41
13 - 15
8 - 10
CPED
Cocconeis pediculus Ehrenberg 1838 Note: Les deux valves ont un nombre de stries différent.
CPLE
Cocconeis placentula var. euglypta (Ehrenberg) Grunow 1884 Note: Les deux valves ont un nombre de stries différent.
KLAT
Karayevia laterostrata (Hustedt) Kingston 2000 Syn.: Achnanthes laterostrata Hustedt 1933
KSUC
Kolbesia suchlandtii (Hustedt) Kingston 2000 Syn.: Achnanthes suchlandtii Hustedt 1933, Cocconeis utermoehlii Hustedt 1954, Achnanthes lewisiana Patrick 1945
NUIF
Nupela impexiformis (Lange-Bertalot) Lange-Bertalot 1999 Syn.: Achnanthes impexiformis Lange-Bertalot 1989
PDAU
Planothidium daui (Foged) Lange-Bertalot 1999 Syn.: Achnanthes daui Foged 1962
PGRN
Planothidium granum (Hohn et Hellerman) Lange-Bertalot 1999 Syn.: Achnanthes grana Hohn et Hellerman 1963
RSUR
Raphoneis surirella (Ehrenberg) Grunow in Cleve et Möller 1879
Planches taxonomiques
A. cf. stewartii ASTW
95
K. suchlandtii KSUC
K. laterostrata KLAT
A. ploenensis APLO
A. pseudohungarica APHU
N. impexiformis NUIF
P. daui PDAU
C. neodiminuta CNDI
cf. Achnanthes sp. ACHNSP
C. placentula var. euglypta CPLE
R. surirella RSUR
C. pediculus CPED
P. granum PGRN
96
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 16
1 500 x
Longueur Largeur Stries
EBIL
Eunotia bilunaris (Ehrenberg) Mills 1934
21 - 64
2 - 4
15 - 20
EFLE
Eunotia flexuosa (Brébisson) Kützing 1849
96 - 111
2
17 - 25
ENAE
Eunotia sp. [E. cf. naegelii Migula 1907]
89 - 137
2
27
ESER
Eunotia serra Ehrenberg 1837
49 - 68
15
7 - 10
ESTE
Eunotia serra var. tetraodon (Ehrenberg) Nörpel 1991
42 - 45
13
11
Syn.: Eunotia tetraodon Ehrenberg 1838
Planches taxonomiques
97
E. bilunaris EBIL
E. flexuosa EFLE 1000 x
E. cf. naegelii ENAE E. serra var. tetraodon ESTE
E. serra ESER
98
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 17 EFOR
Eunotia formica Ehrenberg 1843
EINC
1 500 x
Longueur Largeur Stries 90 - 106
10
9
Eunotia incisa Gregory 1854
17- 31
3 - 5
11 - 20
EMON
Eunotia monodon Ehrenberg 1843 sensu lato
80 - 80
12
12
EMONF2
Eunotia sp. [E. cf. monodon Ehrenberg 1843/ major (W. Smith) Rabenhorst 1864]
63 - 75
11
9 - 11
EPEC
Eunotia pectinalis (Dyllwyn) Rabenhorst 1864
57 - 77
6 - 7
11 - 12
Planches taxonomiques
99
E. monodon EMON
E. cf. monodon / major EMONF2
E. formica EFOR
E. incisa EINC
E. pectinalis EPEC
100
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 18
1 500 x
EHEX
Eunotia hexaglyphis Ehrenberg 1854
EIND
Longueur Largeur Stries 25 - 31
5
16
Eunotia indica Grunow 1865
58
14
12
EPBG
Eunotia praerupta var. biggiba (Kützing) Grunow in van Heurck 1881
23
9
12
EPBI
Eunotia praerupta var. bidens (Ehrenberg) Grunow in van Heurck 1881
49 - 77
11
12
EPCU
Eunotia praerupta var. curta Grunow in van Heurck 1881
13 - 20
5 - 6
12 - 15
79
16
11
EPIN
Eunotia praerupta var. inflata Ehrenberg 1891 Note: Sensu Hustedt in Schmidt 1911.
EPRA
Eunotia praerupta Ehrenberg 1843
19 - 45
5 - 13
7 - 15
EUPY
Eunotia polyglyphis Grunow 1881
29
9
14
Planches taxonomiques
101
E. praerupta var. bidens EPBI
E. indica EIND
E. praerupta var. inflata EPIN
E. polyglyphis EUPY
E. hexaglyphis EHEX
E. praerupta (petite forme) EPRA
E. praerupta var. biggiba EPBG
?
E. praerupta var. curta EPCU
E. praerupta EPRA
102
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 19 ACPU
1 500 x
Longueur Largeur Stries
Actinella punctata Lewis 1863
53
4 - 7
16
15 - 21
2 - 3
18 - 19
Syn.: Tibiella punctata (Lewis) Patrick 1939
EELE
Eunotia elegans Østrup 1910
EETE
Eunotia exigua var. tenella (Grunow) Nörpel et Alles 1991
7 - 11
2 - 3
18 - 21
Eunotia exigua (Brébisson) Rabenhorst 1864
11 - 19
2 - 3
16 - 21
25 - 35
7
16 - 17
24 - 41
3 - 6
12 - 16
EEXI
Note: Similaire à E. arculus dans Fallu et al. (2000)
EFAB
Eunotia sp. [E. cf. faba Ehrenberg 1838] Note: Sensu Krammer et Lange-Bertalot 1991.
EIMP
Eunotia sp. [E. cf. implicata Nörpel, Lange-Bertalot et Alles 1991] Syn.: Voir E. pectinalis var. minor (Kutzing) Rabenhorst 1864 dans Patrick et Reimer (1966)
EMEI
Eunotia meisteri Hustedt 1930
11 - 20
3
18 - 21
EMTR
Eunotia muscicola var. tridentula Nörpel et Lange-Bertalot 1991
9 - 18
3 - 4
18 - 21
13 - 14
4 - 5
14 - 15
Syn.: E. perpusilla Grunow 1881 in Patrick et Reimer 1966
ERSA
Eunotia rhynchocephala var. satelles Nörpel et Lange-Bertalot 1991
ESEP
Eunotia septentrionalis Østrup 1897
29
5
18
ESOL
Eunotia sp. [E. cf. soleirolii (Kützing) Rabenhorst 1854]
41
6
11
ESUB
Eunotia subarcuatoides Alles Nörpel et Lange-Bertalot 1991
6 - 14
3
18 - 21
EZAS
Eunotia zasuminensis (Cabejszekowna) Korner 1969
45
3
22
Planches taxonomiques
103
E. septentrionalis ESEP
? E. cf. implicata EIMP
E. cf. soleirolii ESOL
E. muscicola var. tridentula EMTR
E. elegans EELE
E. exigua EEXI
E. rhynchocephala var. satelles ERSA
E. cf. faba EFAB
E. subarcutoides ESUB
E. exigua var. tenella EETE
E. meisteri EMEI
E. zasuminensis EZAS
A. punctata ACPU
104
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 20
1 500 x
NAVI10
Navicula sp. 10
NCCT
Navicula sp. [N. cf. concentrica Carter 1981]
NPRG
Navicula peregrina (Ehrenberg) Kützing 1844
Longueur Largeur Stries 40 - 44
7 - 8
13 - 14
48
7
11
57 - 92
14 - 15
7-8
Note: Les spécimens sont plus petits et plus lancéolés que ceux présentés dans Lange-Bertalot (2001).
NRAD
Navicula radiosa Kützing 1844
55 - 83
8 - 11
10 - 12
NRHY
Navicula rhynchocephala Kützing 1844
44 - 49
9
12
Planches taxonomiques
105
N. rhynchocephala NRHY
N. peregrina NPRG
Navicula sp. 10 NAVI10
N. cf. concentrica NCCT
N. radiosa NRAD
106
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 21 NAAN NCPR
1 500 x
Longueur Largeur Stries
Navicula angusta Grunow 1860
46 - 54
5 - 6
12 - 13
Navicula capitatoradiata Germain 1981
32 - 36
7 - 8
15
Syn.: Navicula cryptocephala var. intermedia Grunow 1880
NGER
Navicula germainii Wallace 1960
31 - 37
7 - 8
14 - 17
NROS
Navicula rostellata Kützing 1844
31 - 39
8 - 9
14 - 15
NSAL
Navicula salinarum Grunow 1880
23 - 27
7 - 8
15 - 17
NVCC
Navicula viridulacalcis Lange-Bertalot in Rumrich et al. 2000
35 - 64
9 - 11
9 - 12
Navicula viridula (Kützing) Ehrenberg 1838
53 - 59
12
10
60 - 61
8
12
NVIR
Syn.: Frustulia viridula Kützing 1833
NVNB
Navicula venerablis Hohn et Hellerman 1963 sensu lato Note: À comparer avec N. venerablis sensu Lange-Bertalot 2001, pl. 9: 2, 3 et avec N. slesvicensis sensu Lange-Bertalot 2001, p. 44: 1.
Planches taxonomiques
107
N. germainii NGER
N. capitatoradiata NCPR
N. viridulacalcis NVCC
N. salinarum NSAL
N. viridula NVIR
N. venerablis sensu lato NVNR
N. rostellata NROS
N. angusta NAAN
?
108
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 22 NANT
1 500 x
Navicula antonii Lange-Bertalot in Rumrich et al. 2000
Longueur Largeur Stries 11 - 24
5 - 7
12 - 15
Note: À comparer avec N. menisculus Schumann 1867 et avec N. catalanogermanica Lange-Bertalot et Hofmann in Lange-Bertalot 1993.
NAVI26
Navicula sp. 26
17 - 20
6 - 7
12
NCAR
Navicula cari Ehrenberg 1836
24 - 25
5
12
NCAT
Navicula catalanogermanica Lange-Bertalot et Hofmann in Lange-Bertalot 1993
24 - 28
7 - 8
12 - 14
17 - 39
5 - 6
15 - 18
11 - 15
4 - 5
17 - 21
Note: À comparer avec N. menisculus et N. antonii.
NCTE
Navicula cryptotenella Lange-Bertalot 1985 Syn.: Navicula tenella Brébisson ex Kützing 1849
Note: Difficile à distinguer de N. cryptotenelloides lorsque les valves sont de petite taille.
NCTO
Navicula cryptotenelloides Lange-Bertalot 1993 Note: Les spécimens présentés ici sont légèrement plus larges comparativement à ceux présentés dans Lange-Bertalot (2001).
NERI
Navicula erifuga Lange-Bertalot 1985
25 - 27
5 - 6
14 - 15
NLAN
Navicula lanceolata (Agardh) Ehrenberg 1838
46 - 53
9
11 - 13
Navicula libonensis Schoeman 1970
32 - 35
6
12 - 13
NLIB
Note: À comparer avec N. eidrigiana.
NRCSF1
Navicula recens (Lange-Bertalot) Lange-Bertalot in Krammer et Lange Bertalot 1985 forme 1
29 - 33
7
14
NRCSF2
Navicula recens (Lange-Bertalot) Lange-Bertalot in Krammer et Lange Bertalot 1985 forme 2
19
7
14
NSHR
Navicula schroeteri Meister 1932
43 - 46
6 - 7
14
NSLE
Navicula slesvicensis Grunow in van Heurck 1880
39 - 41
9
10
NSYM
Navicula symmetrica Patrick 1944
29 - 36
5 - 7
14 - 17
31 - 41
8 - 9
12
Syn.: Navicula schroeteri var. symmetrica (Patrick) Lange-Bertalot
NTPT
Navicula tripunctata (Müller) Bory 1822
Planches taxonomiques
109
N. libonensis NLIB N. tripunctata NTPT
N. slesvicensis NSLE
N. lanceolata NLAN
N. recens forme 1 NRCSF1
N. cari NCAR
N. recens forme 2 NRCSF2
N. cryptotenella NCTE
N. erifuga NERI
N. sp. 26 NAVI26
N. symmetrica NSYM
N. schroeteri NSHR
N. antonii NANT
N. cryptotenelloides NCTO
N. catalanogermanica NCAT
110
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 23 CRAC
1 500 x
Longueur Largeur Stries
Craticula accomoda (Hustedt) Mann in Round et al. 1990
19
6
24
14 - 19
3 - 4
16 - 21
20
4
21
Syn.: Navicula accomoda Hustedt 1950
NAVI16
Navicula sp. 16 Note: Identifié Navicula sp. 4 dans Lange-Bertalot 2001, pl. 52: 14-29.
NAVI25
Navicula sp. 25 Note: Appartient probablement au groupe N. cari, mais de plus petite taille.
NCRY
Navicula cryptocephala Kützing 1844
30 - 31
5 - 6
15 - 17
NCTV
Navicula sp. [N. cf. caterva Hohn et Hellerman 1963]
12 - 15
4
18 - 21
Navicula gregaria Donkin 1861
19 - 25
5 - 6
20 - 21
22
5
27
NGRE
Syn.: Navicula gregalis Cholnoky 1963
NHLP
Navicula halophilioides Hustedt 1959 Syn.: Craticula halophilioides (Hustedt) Lange-Bertalot 2001
NNOT
Navicula notha Wallace 1960
20 - 29
4 - 5
15 - 17
NRCH
Navicula reichardtiana Lange-Bertalot in Lange-Bertalot et Krammer 1989
15 - 22
4 - 5
17 - 21
NTRV
Navicula trivialis Lange-Bertalot 1980
29 - 47
7 - 11
12 - 14
Navicula vandamii Schoeman et Archibald 1987
20 - 24
4
18
17 - 22
4
15
NVDA
Syn.: Navicula acephala Schoeman 1973 Note: Les spécimens présentés ici sont plus densément striés.
NVEN
Navicula sp. [N. cf. veneta Kützing 1844] Note: Navicula veneta a une forme plus linéaire et est une espèce strictement marine.
Planches taxonomiques
111
? N. cryptocephala NCRY N. trivialis NTRV
C. accomoda CRAC
?
N. notha NNOT
?
N. cf. caterva NCTV
N. halophilioides NHLP
N. gregaria NGRE
N. vandamii NVDA
N. cf. veneta NVEN
N. reichardtiana
NRCH
Navicula sp. 25 NAVI25
Navicula sp. 16 NAVI16
112
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 24 DCOT
1 500 x
Diadesmis contenta (Grunow ex van Heurck) Mann 1990
Longueur Largeur Stries 10 - 11
3
n.v.
5 - 7
3
23
5 - 6
3
23 - 24
4 - 7
2 - 4
25 - 27
7 - 12
3
n.v.
7 - 11
3 - 4
25
6 - 11
3 - 4
25 - 26
7 - 10
3 - 4
25 - 26
8 - 9
3
25
7 - 8
3
n.v.
Syn.: Navicula contenta Grunow ex van Heurck 1885
EOLI2
Eolimna sp. 2 Note: Forme elliptique.
EOLI3
Eolimna sp. 3 Note: Forme arrondie.
EOLI4
Eolimna sp. 4
Note: Forme elliptique à arrondie et densité des stries plus élevée que pour EOLI2 et EOLI3.
EOMI
Eolimna minima (Grunow) Lange-Bertalot 1998 Syn.: Navicula minima Grunow in van Heurck 1880 Note: Aire centrale transversale distincte et d’apparence rectangulaire. Valve plus étroite que pour EOMIF2 et EOMIF3.
EOMIF2
Eolimna minima forme 2 Note: Forme elliptique. Aire centrale moins prononcée que pour EOMI.
EOMIF3
Eolimna minima forme 3
Note: Marges de la valve plus ou moins parallèles. Aire centrale moins prononcée que pour EOMI.
ESBM
Eolimna subminuscula (Manguin) Moser, Lange-Bertalot et Metzeltin 1998 Syn.: Navicula subminuscula Manguin 1941
MAAT
Mayamaea atomus (Kützing) Lange-Bertalot 1997 Syn.: Navicula atomus (Kützing) Grunow 1860 Note: À comparer avec Navicula nimbus Hohn et Hellerman 1963.
MAEX
Mayamaea excelsa (Krasske) Lange-Bertalot 1997 Syn.: Navicula atomus var. excelsa (Krasske) Lange-Bertalot 1985
NAVI9
Navicula sp. 9
9
3
23
NAVI26
Navicula sp. 26
17
4
26
NAVI22
Navicula sp. 22
11 - 13
3 - 4
24
NFOS
Navicula sp. [N. cf. fossalis Krasske 1929]
9
3
25
Note: La densité des stries des spécimens présentés ici est plus élevée en comparaison avec N. fossalis.
NING NSEI
Navicula ingenua Hustedt 1957 Navicula sp. [N. cf. seminulum var. intermedia Hustedt 1942]
7
3
23
7 - 10
3 - 4
23
Note: Identification incertaine car les spécimens présentés ici n’ont pas de stries à double ponctuation et les valves sont légèrement plus petites, donc ne font probablement pas partie de N. seminulum.
NSEM
Navicula sp. [N. cf. seminulum Grunow 1860] Note: N. seminulum ou forme de E. minima.
7 - 9
3
20 - 30
Planches taxonomiques
113
Eolimna sp. 2 EOLI2
N. cf. seminulum var. intermedia NSEI
Eolimna sp. 3 EOLI3
Eolimna sp. 4 EOLI4
N. cf. seminulum NSEM
E. minima EOMI
E. minima forme 2 EOMIF2
E. minima forme 3 EOMIF3
Navicula sp. 26 NAVI26
M. atomus MAAT
?
M. excelsa MAEX
Navicula sp. 22 NAVI22
E. subminuscula ESBM
Navicula sp. 9 NAVI9
N. cf. fossalis NFOS
N. ingenua NING
D. contenta DCOT
114
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 25 ABRY
1 500 x
Longueur Largeur Stries
Adlafia sp. [A. cf. bryophila (Petersen) Moser et al. 1998]
5 - 11
3
n.v.
Syn.: Navicula bryophila Petersen 1928 Note: Aldafia minuscula (Grunow) Lange-Bertalot a une forme identique mais est de plus grande taille.
ADLS
Adlafia sp. [A. cf. suchlandtii (Hustedt) Lange-Bertalot in Moser et al. 1998]
7 - 11
2
n.v.
ADMS
Adlafia sp. [A. cf. minuscula (Grunow) Lange-Bertalot in Lange-Bertalot et Genkal 1999]
7 - 9
2 - 4
n.v.
10 - 13
3 - 4
n.v.
6 - 7
2 - 3
n.v.
CMLF
Craticula sp. [C. cf. molestiformis (Hustedt) Lange-Bertalot 2001] Syn.: Navicula molestiformis Hustedt 1949
FSAP
Fistulifera saprophila (Lange-Bertalot et Bonik) Lange-Bertalot 1997 Syn.: Navicula saprophila Lange-Bertalot et Bonik 1976
GACC
Geissleria acceptata (Hustedt) Lange-Bertalot et Metzeltin 1996
11 - 13
4 - 5
15
GEIS1
Geissleria sp. 1
9 - 11
3
15
KOBS13
Kobayasiella sp. 13
16 - 21
4
n.v.
KOBS24
Kobayasiella sp. 24
14 - 15
3
n.v.
35
5
n.v.
15 - 22
3
n.v.
5
3
n.v.
9 - 15
3
n.v.
7
3
25
14 - 15
3
n.v.
8 - 11
3
n.v.
KOJA
Kobayasiella sp. [K. cf. jaagii (Meister) Lange-Bertalot 1999] Syn.: Navicula jaagii Meister 1934
KOSU
Kobayasiella subtilissima (Cleve) Lange-Bertalot 1999 Syn.: Navicula subtilissima Cleve 1891
NAVI5 NDIF
Navicula sp. 5 Navicula difficillima Hustedt 1950 Syn.: Navicula serica f. serica Schimanski 1979
NNUG
Navicula nugalis Hohn et Hellerman 1963
NTRI
Navicula tridentula Krasske 1923
NUVI
Nupela vitiosa (Schimanski) Siver et Hamilton 2005 Syn.: Navicula vitiosa Schimanski 1978 Note: À comparer avec Adlafia minuscula sensu lato.
Planches taxonomiques
115
F. saprophila FSAP
N. nugalis NNUG
Navicula sp. 5 NAVI5
Kobayasiella sp. 13 KOBS13
?
G. acceptata GACC
Geissleria sp. 1 GEIS1
K. subtilissima KOSU
K. cf. jaagii KOJA
C. cf. molestiformis CMLF
N. tridentula NTRI
A. cf. bryophila ABRY
Fallacia sp.
N. vitiosa NUVI
?
Adlafia sp.
N. difficillima NDIF
?
Kobayasiella sp. 24 KOBS24
A. cf. minuscula ADMS
A. cf. suchlandtii ADLS
116
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 26 CCOC
1 500 x
Longueur Largeur Stries
Cavinula cocconeiformis (Gregory ex Greville)
13 - 23
5 - 12
27 - 30
11 - 13
8 - 9
24
17 - 18
12 - 14
8
15 - 19
6 - 7
24
16 - 19
5
25
7 - 15
3 - 5
21 - 25
15 - 19
8 - 9
27 - 28
15 - 21
5
30
16 - 23
6 - 7
9 - 11
11 - 21
4 - 6
9 - 11
Mann et Stickle in Round et al. 1990 Syn.: Navicula cocconeiformis Gregory ex Greville 1856
CPSE
Cavinula pseudoscutiformis (Hustedt) Mann et Stickle in Round et al. 1990 Syn.: Navicula pseudoscutiformis Hustedt 1930
CVSO
Cavinula scutelloides (W. Smith) Lange-Bertalot in Lange-Bertalot et Metzeltin 1996 Syn.: Navicula scutelloides W. Smith 1856
DCOF
Diadesmis confervacea Kützing 1844 Syn.: Navicula confervacea (Kützing) Grunow in van Heurck 1880
FHEL
Fallacia helensis (Schulz) Mann in Round et al. 1990 Syn.: Navicula helensis Schulz 1926
FMOC
Fallacia sp. [F. cf. monoculata (Hustedt) Mann in Round et al. 1990] Syn.: Navicula monoculata Hustedt 1945
FPYG
Fallacia pygmaea (Kützing) Stickle et Mann in Round et al. 1990 Syn.: Navicula pygmaea Kützing 1844
FSBH
Fallacia subhamulata (Grunow) Mann in Round et al. 1990 Syn.: Navicula subhamulata Grunow in van Heurck 1880
HCAP
Hippodonta capitata (Ehrenberg) Lange-Bertalot et al. 1996 Syn.: Navicula capitata Ehrenberg 1838
HHUN
Hippodonta hungarica (Grunow) Lange-Bertalot et al. 1996 Syn.: Navicula capitata var. hungarica (Grunow) Ross 1947
NIDP
Navicula insociabilis var. dissipatoides Hustedt 1957
11 - 16
4 - 5
18 - 21
NLEN
Navicula lenzii Hustedt in Schmidt et al. 1936
11 - 11
4 - 4
n.v.
NWEZ
Navicula weinzierlii Schimanski 1973
23
9
18
11 - 15
4
25
Note: Le spécimen présenté ici est moins densément strié.
SSTM
Sellaphora stroemii (Hustedt) H. Kobayasi in Mayama et al. 2002 Syn.: Navicula stroemii Hustedt 1931
Planches taxonomiques
117
C. pseudoscutiformis CPSE
C. cocconeiformis CCOC
F. pygmaea FPYG
N. weinzierlii NWEZ
C. scutelloides CVSO
H. capitata HCAP
S. stroemeii SSTM
F. subhamulata FSBH
H. hungarica HHUN
N. insociabilis var. dissipatoides NIDP
F. helensis FHEL
N. lenzii NLEN
F. cf. monoculata FMOC
D. confervacea DCOF
118
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 27 NABG
1 500 x
Naviculadicta sp. [N. cf. ambiguissima Moser et al. 1998]
Longueur Largeur Stries 24
4
n.v.
Note: Cette espèce appartient au genre Sellaphora.
NAVI8
Navicula sp. 8
12 - 13
4 - 5
25
NAVI15
Navicula sp. 15
16 - 17
4 - 5
n.v.
NAVS
Navicula sorella Hohn et Hellerman 1963
9
3
20
15 - 17
5 - 6
30
11 - 14
4 - 5
25
NDET
Navicula detenta Hustedt 1943 Syn.: Navicula minuscula var. alpestris Hustedt 1934 Note: Navicula detenta n’a pas d’aire centrale.
NMCV
Navicula sp. [N. cf. medioconvexa Hustedt 1961] Syn.: Navicula heufleriana var. septentrionalis Hustedt 1924
NPVE
Navicula pseudoventralis Hustedt 1936
9 - 10
4
20
NSHD
Navicula schadei Krasske 1929
9 - 10
4
n.v.
NVTC
Navicula ventraloconfusa Lange-Bertalot 1989
17
5
24
Sellaphora americana (Ehrenberg) Mann 1989
47
11
20
SAME
Syn.: Navicula americana Ehrenberg 1843
SBLA
Sellaphora blackfordensis Mann et Droop in Mann et al. 2004
29
8
20
SECA
Sellaphora capitata Mann et McDonald in Mann et al. 2004
29
6
23
10 - 27
5 - 8
19 - 30
SPUP
Complexe Sellaphora pupula (Kützing) Mereschkowksy 1902 Syn.: Navicula pupula Kützing 1844 Note: Les spécimens de la première rangée (formes 1 et 2) sont similaires aux spécimens du Goupe 2 de Mann (2001).
Planches taxonomiques
119
Navicula sp. 15 NAVI15
N. detenta NDET
N. cf. medioconvexa NMCV
N. pseudoventralis NPVE
N. schadei NSHD
Navicula sp. 8 NAVI8
N. sorella N. ventraloconfusa N. cf. ambiguissima NAVS NVTC NABG
?
forme 2 forme 3
forme 1 Complexe S. pupula SPUP
forme 4
S. americana SAME
Sellaphora sp.
S. capitata SECA
S. blackfordensis S. cf. blackfordensis SBLA SBLA
?
?
120
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 28 GDEC
1 500 x
Geissleria decussis (Østrup) Lange-Bertalot et Metzeltin 1996
Longueur Largeur Stries 13 - 29
5 - 7
17 - 18
24 - 30
10 - 11
14 - 17
32
9
20
Syn.: Navicula decussis Østrup 1910
GTHI
Geissleria thingvallae (Østrup) Metzeltin et Lange-Bertalot 1996 Syn.: Navicula latens Krasske 1987
NITG
Navicula integra (W. Smith) Ralfs 1861
NLAT
Navicula sp. [N. cf. laterostrata Hustedt 1925]
17 - 23
4 - 5
21
NREI
Navicula reinhardtii (Grunow) Grunow 1877
38 - 45
15 - 17
8
PABI
Placoneis abiskoensis (Hustedt) Lange-Bertalot et Metzeltin 1996
35
9
13
15 - 19
7
15
23
7
12
21 - 28
8 - 9
12 - 14
29 - 47
14 - 17
7-8
30 - 36
13 - 15
11
19 - 25
10 - 11
12
17 - 19
8 - 9
14
Syn.: Navicula abiskoensis Hustedt 1942
PCLT
Placoneis clementis (Grunow) Cox 1987 Syn.: Navicula clementis Grunow 1882 Note: Différencié de P. elginensis par la présence de ponctuations distinctes dans l’aire centrale (difficile à voir sur les spécimens présentés ici).
PELG
Placoneis sp. [P. cf. elginensis (Gregory) Cox 1987] Syn.: Navicula elginensis (Gregory) Ralfs in Pritchard 1861
PEXP
Placoneis explanata (Hustedt) Mayama 1998 Syn.: Navicula explanata Hustedt 1948
PGAS
Placoneis gastrum (Ehrenberg) Mereschkowsky 1903 Syn.: Navicula gastrum (Ehrenberg) Kützing 1844
PPLC
Placoneis placentula (Ehrenberg) Heinzerling 1908 Syn.: Navicula placentula (Ehrenberg) Kützing 1844
PPSA
Placoneis pseudoanglica (Lange-Bertalot) Cox 1987 Syn.: Navicula pseudoanglica Lange-Bertalot 1985
PSUB
Placoneis subplacentula (Hustedt) Cox 2003 Syn.: Navicula subplacentula Hustedt 1930
Planches taxonomiques
121
P. placentula PPLC
N. reinhardtii NREI
P. pseudoanglica PPSA
P. subplacentula PSUB
P. gastrum PGAS
G. thingvallae GTHI
N. cf. laterostrata NLAT
P. cf. elginensis PELG
G. decussis GDEC
P. explanata PEXP
P. clementis PCLT
P. cf. abiskoensis N. integra NITG PABI
122
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 29 ANTU
1 500 x
Aneumastus tusculus (Ehrenberg) Mann et Stickle in Round et al. 1990
Longueur Largeur Stries 41 - 43
15 - 16
12
56 - 65
15 - 17
16 - 18
97 - 113
25 - 26
14 - 15
31 - 45
14 - 17
15
36 - 40
15
25
19 - 21
6
21
17 - 35
7 - 8
18 - 20
17
6
21
15
5
23
15 - 17
5 - 6
21
Syn.: Navicula tuscula Ehrenberg 1840
CAMB
Craticula ambigua (Ehrenberg) Mann in Round et al. 1990 Syn.: Navicula ambigua Ehrenberg 1843
CRCU
Craticula cuspidata (Kützing) Mann in Round et al. 1990 Syn.: Navicula cuspidata (Kützing) Kützing 1844
CVLA
Cavinula lacustris (Gregory) Mann et Sickle in Round et al. 1990 Syn.: Navicula lacustris Gregory 1856
DPLA
Decussata placenta (Ehrenberg) Lange-Bertalot 2000 Syn.: Navicula placenta Ehrenberg 1854
GKRI
Geissleria sp. [G. cf. kriegerii (Krasske) Lange-Bertalot et Metzeltin 1996] Syn.: Navicula kriegerii Krasske 1943
LGOE
Luticola goeppertiana (Bleisch) Mann in Round et al. 1990 Syn.: Navicula goeppertiana (Bleisch) W. Smith 1861
LNIV
Luticola nivalis (Ehrenberg) Mann in Round et al. 1990 Syn.: Navicula nivalis Ehrenberg 1854
LVEN
Luticola ventricosa (Kützing) Mann in Round et al. 1990 Syn.: Navicula goeppertiana (Bleisch) H. Smith 1874-1879; Stauroneis goeppertiana Bleisch in Rabenhorst 1861
NKOT
Navicula kotschyi Grunow 1860
Planches taxonomiques
N. kotschyi NKOT
123
G. cf. kriegerii GKRI
D. placenta DPLA C. lacustris CVLA
L. nivalis LNIV
L. ventricosa LVEN
L. goeppertiana LGOE
C. cuspidata CRCU
Aneumastus sp.
A. tusculus ANTU
C. ambigua CAMB
Luticola sp.
124
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 30 BBRE
1 500 x
Brachysira brebissonii Ross in Hartley 1986
Longueur Largeur Stries 19 - 24
4 - 6
27
Brachysira follis (Ehrenberg) Ross in Hartley 1986
30
14
24
Brachysira microcephala (Grunow) Compère 1986
11 - 26
3 - 5
30
29 - 40
4 - 5
30
Syn.: Anomoeoneis brachysira (Brébisson) Cleve 1895
BFOL BMIC
Syn.: Brachysira neoexilis Lange-Bertalot 1994
BPRO
Brachysira procera Lange-Bertalot et Moser 1994
DFIN
Diploneis finnica (Ehreberg) Cleve 1891
58
30
10
DMAR
Diploneis marginestriata Hustedt 1922
29
7
21
DOVA
Diploneis ovalis (Hilse) Cleve 1891
23 - 28
11 - 14
13 - 15
DPAR
Diploneis sp. [D. cf. parma Cleve 1891]
15 - 19
9
14 - 15
21
12
15
64 - 77
–
–
25
9
–
Note: Les spécimens présentés ici sont petits.
DSDI
Diploneis sp. [D. cf. smithii var. dilatata (Peragallo) Terry 1908]
EORN
Entomoneis ornata (Bailey) Reimer in Patrick et Reimer 1975
MSMI
Mastogloia smithii Thwaites 1848
Planches taxonomiques
125
B. microcephala BMIC
B. brebissonii BBRE
B. procera BPRO
D. cf. parma DPAR D. marginestriata DMAR
D. ovalis DOVA
D. cf. smithii var. dilatata DSDI
Diploneis finnica DFIN
B. follis BFOL
M. smithii MSMI
E. ornata EORN
126
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 31
1 500 x
Longueur
Largeur
ABUL
Amphora sp.
Stries Stries dorsales ventrales
14 - 27
3 - 5
17 - 22
n.v.
22 - 29
5 - 7
15 - 17
14
16 - 20
3 - 3
24
n.v.
[A. cf. bullatoides Hohn et Hellerman 1963]
ACOP
Amphora copulata (Kützing) Schoeman et Archibald 1986 Syn.: Amphora libyca Ehrenberg 1840, Amphora affinis Kützing 1844
ADUS
Amphora dusenii Brun 1901 Syn.: Amphora triundulata Ross 1947, Amphora alaskana Patrick et Freese 1961
AINA
Amphora inariensis Krammer 1980 sensu lato
20 - 24
4 - 5
14 - 18
14
AMMO
Amphora sp. [A. cf. montana Krasske 1929]
10 - 12
2
n.v.
n.v.
61
10
13 - 14
13 - 14
20 - 23
3 - 4
27 - 28
n.v.
AMLB
Amphora lange-bertalotti var. nov. Note: Espèce actuellement à l’étude.
AOLG
Amphora oligotraphenta Lange-Bertalot et Krammer in Lange-Bertalot et Metzeltin 1996 Syn.: Amphora veneta var. capitata Haworth 1974
AOVA
Amphora ovalis (Kützing) Kützing 1844
36 - 41
9 - 11
13 - 14
13 - 14
APED
Amphora pediculus (Kützing) Grunow in Schmidt et al. 1875 sensu lato
5 - 12
3 - 6
18 - 21
15 - 21
Amphora sp. [A. cf. submontana Hustedt 1949]
19 - 22
2
n.v.
n.v.
Amphora thumensis (Mayer) Cleve-Euler 1932
11
4
21
n.v.
19 - 26
4
22 - 23
n.v.
ASMO ATHU
Note: Sous observation au microscope, Amphora pediculus a des stries formées de ponctuations distinctes. Si les stries apparaissent comme une ligne, le spécimen appartient à une nouvelle espèce encore à l’étude.
Syn.: Cymbella thumensis (Mayer) Hustedt 1945
AVEN
Amphora veneta Kützing 1844
Planches taxonomiques
127
A. thumensis ATHU A. dusenii ADUS
A. cf. bullatoides ABUL
A. pediculus sensu lato APED A. inariensis AINA
A. veneta AVEN
A. lange-bertalotii AMLB
A. oligotraphenta AOLG
A. copulata ACOP
A. cf. submontana ASMO
A. cf. montana AMMO
A. ovalis AOVA
128
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 32
1 500 x Longueur Largeur
CBCU
Cymbopleura cuspidata (Kützing) Krammer 2003
Stries Stries dorsales ventrales
35
12
15
12
27 - 37
7 - 9
14
16
35
9
14
14
21 - 31
9 - 11
11 - 13
10 - 12
Syn.: Cymbella cuspidata Kützing 1844
CBNA
Cymbopleura naviculiformis (Auerswald) Krammer 2003 Syn.: Cymbella naviculiformis (Auerswald) Cleve 1894
CHYB ECAE
Cymbella hybrida Grunow in Cleve et Möller 1878 Encyonema caespitosum Kützing 1849 Syn.: Encyonema caespitosum var. ovata Grunow in Schmidt 1875
ENLB
Encyonema lange-bertalotii Krammer 1997 morphotype 1
14 - 29
5 - 6
13 - 14
12 - 14
ENMI
Encyonema minutum (Hilse ex Rabenhorst) Mann in Round et al. 1990
9 - 16
3 - 4
15 - 18
18 - 21
14 - 25
4 - 7
15 - 16
15
10 - 39
5 - 9
12 - 14
14
Syn.: Cymbella minuta Hilse ex Rabenhorst 1862
ENVE
Encyonema ventricosum (Agardh) Grunow in Schmidt 1874 Syn.: Cymbella ventricosa (Agardh) Agardh 1830
ESLE
Encyonema silesiacum (Bleisch in Rabenhorst) Mann in Round et al. 1990 Syn.: Cymbella silesiaca Bleisch in Rabenhorst 1864
Planches taxonomiques
129
E. silesiacum ESLE
E. silesiacum ESLE
?
E. lange-bertalotii ENLB
E. minutum ENMI
E. ventricosum ENVE
C. naviculiformis CBNA
E. caespitosum ECAE
C. hybrida CHYB
C. cuspidata CBCU
130
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 33
1 500 x Longueur Largeur
Stries Stries dorsales ventrales
CAEX
Cymbella excisa Kützing 1844
19 - 26
7 - 8
11 - 12
11 - 13
CASU
Cymbella sp. [C. cf. subtruncata Krammer 2002]
42 - 43
9
9 - 11
11 - 12
CCMP
Cymbella compacta Østrup 1910
33 - 47
11
11 - 12
11 - 12
Note: À comparer avec C. turgidula dans Krammer 2002. Le raphé des spécimens présentés ici n’est pas aussi courbé que celui des spécimens de Krammer 2002. Également semblable à C. lange-Bertalotii dans Krammer 2002.
CEXF
Cymbella sp. [C. cf. excisiformis Krammer 2002]
27 - 29
7
10 - 12
11 - 12
CEXP
Cymbella excisa var. procera Krammer 2002
22 - 37
7 - 9
11 - 13
11 - 12
CNCIF1
Cymbella neocistula (Ehrenberg) Kirchner 1878 forme 1
40 - 48
13
10 - 11
11
31 - 53
9 - 11
10 - 11
11 - 12
Note: Voir l’illustation de C. cistula dans Patrick et Reimer (1975), pl. 11: 3, 4.
CNCIF2
Cymbella neocistula (Ehrenberg) Kirchner 1878 forme 2
Planches taxonomiques
131
C. excisa CAEX C. excisa var. procera CEXP
C. cf. excisiformis CEXF
C. neocistula forme 1 CNCIF1
C. cf. subtruncata CASU
C. compacta CCMP
C. neocistula forme 2 CNCIF2
132
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 34
1 500 x
Longueur
Largeur
49 - 59
15 - 16
10 - 11
11 - 12
34 - 46
15 - 19
9 - 10
10 - 11
47 - 61
19 - 20
8 - 9
8-9
CTUM
Cymbella tumida (Brébisson) van Heurck 1885
Stries Stries dorsales ventrales
Syn.: Cymbella stomatophora Grunow 1875
ENTR
Encyonema triangulum (Ehrenberg) Kützing 1849
EPRO
Syn.: Cymbella rhomboidea Boyer 1917, Cymbella triangulum var. gracilis Hustedt 1931 Note: Aire centrale différente de celle des spécimens de Krammer 1997.
Encyonema prostratrum (Berkeley) Kützing 1844 Syn.: Cymbella prostrata (Berkeley) Cleve 1894
Planches taxonomiques
133
C. tumida CTUM
E. prostratum EPRO
E. triangulum ENTR
134
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 35
1 500 x Longueur Largeur
CCYM
Cymbella cymbiformis Agardh 1830
CLTA CYAS
Stries Stries dorsales ventrales
65 - 79
13 - 14
9 - 10
9 - 10
Cymbella lanceolata (Agardh) Agardh 1830
105
18 - 19
11 - 12
12
Cymbella aspera (Ehrenberg) Peragallo 1889
123
21
9
9
Planches taxonomiques
135
C. cymbiformis CCYM
C. lanceolata CLTA
C. aspera CYAS
136
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 36
1 500 x Longueur Largeur
CBSU
Cymbopleura subcuspidata (Krammer) Krammer 2003
Stries Stries dorsales ventrales
73
19
9 - 10
11 - 12
109
32
6 - 7
7-8
73
19
9
12
48 - 65
17 - 19
11 - 12
13 - 14
Syn.: Cymbella subcuspidata Krammer 1982
CIQS
Cymbopleura inaequalis (Ehrenberg) Krammer 2003 Syn.: Cymbella ehrenbergii Kützing 1844
CPAC
Cymbopleura acutiuscula (Cleve) Krammer 2003 Syn.: Cymbella acutiuscula Cleve 1894
CYSU
Cymbopleura subapiculata Krammer 2003
Planches taxonomiques
137
?
C. acutiuscula CPAC
C. subcuspidata CBSU
C. inaequalis CIQS
?
C. subapiculata CYSU
138
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 37
1 500 x Longueur Largeur
CHUS
Cymbella hustedtii Krasske 1923
CYML
Cymbopleura lapponica (Grunow) Krammer 2003
Stries Stries dorsales ventrales
22
6
13
12
26 - 43
4 - 7
17 - 19
18 - 22
21 - 29
4 - 5
17 - 20
17 - 20
27 - 39
4 - 5
22 - 24
22 - 24
10 - 12
2 - 3
24 - 26
24 - 26
13 - 21
3
24 - 27
24 - 27
33 - 49
5 - 7
13 - 15
13 - 15
7 - 10
3 - 3
18 - 20
18 - 20
11 - 15
3 - 5
12 - 13
12 - 13
19
5
9 - 10
9 - 10
Syn.: Cymbella lapponica Grunow 1878
DDEL
Delicata sp. [D. cf. delicatula (Kützing) Krammer 2003] Syn.: Cymbella delicatula Kützing 1849 Note: À comparer avec D. sparsistrata Krammer 2003 et avec C. laevis Naegeli 1849
ECES
Encyonopsis cesatii (Rabenhorst) Krammer 1997 Syn.: Cymbella cesatii (Rabenhorst) Grunow 1881
ECVD
Encyonopsis vandamii Krammer 1997
Note: À comparer avec E. krammeri Reichardt 1997, E. perborealis Krammer 1997 et E. thumensus Krammer 1997
ENCM
Encyonopsis microcephala (Grunow) Krammer 1997 Syn.: Cymbella microcephala Grunow 1880
ENNG
Encyonema neogracile Krammer 1997 Syn.: Cymbella gracilis (Ehrenberg) Kützing 1844
ENRE
Encyonema reichardtii (Krammer) Mann in Round et al. 1990 Syn.: Cymbella reichardtii Krammer 1985
RSIN
Reimeria sinuata (Gregory) Kociolek et Stoermer 1987 Syn.: Cymbella sinuata Gregory 1858
RUNI
Reimeria uniseriata Sala et al. 1993
Planches taxonomiques
139
C. hustedtii CHUS
C. lapponica CYML
E. cesatii ECES
D. cf. delicatula DDEL
E. microcephala ENCM
R. sinuata RSIN
E. neogracile ENNG
R. uniseriata RUNI
E. reichardtii ENRE
E. vandamii ECVD
140
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 38
1 500 x
Longueur Largeur Stries
GABB
Gomphonema abbreviatum Kützing 1844
12 - 29
3 - 4
21
GAMC
Gomphonema americobtusatum Reichardt et Lange-Bertalot 1999
23 - 29
8 - 9
9 - 12
GCBC
Gomphonema sp. [G. cf. cymbelliclinum Reichardt et Lange-Bertalot 1999]
19 - 25
4 - 5
14 - 16
Note: Taxon souvent confondu avec Gomphonema parvulum.
GENT
Gomphonema entolejum Østrup 1903
23 - 44
4 - 5
15 - 18
GINN
Gomphonema innocens Reichardt 1999
17 - 20
6 - 7
15 - 18
GMIN
Gomphonema minutum (Agardh) Agardh 1831 f. minutum
9 - 17
3 - 5
17 - 18
GOMP8
Gomphonema sp. 8
11 - 19
3 - 5
15 - 18
GOMP9
Gomphonema sp. 9
23 - 25
5
13
GOMP10
Gomphonema sp. 10
11 - 14
3
17
Gomphonema sp. [G. cf. parvulum Kützing 1849]
11 - 21
4 - 7
14 - 20
GPAR
Note: Les spécimens présentés ici incluent plusieurs taxons.
GPUM
Gomphonema sp. [G. cf. pumilum (Grunow) Reichardt et Lange-Bertalot 1991]
16 - 25
2 - 4
12 - 18
GVAR
Gomphonema variostriatum Camburn et Charles 2000
21 - 27
4
12
Planches taxonomiques
141
G. cf. parvulum GPAR
G. cf. cymbelliclinum GCBC
G. cf. parvulum GPAR
Gomphonema sp. 9 GOMP9
G. innocens GINN G. americobtusatum GAMC
G. abbreviatum GABB
G. cf. pumilum GPUM
?
Gomphonema sp. 8 GOMP8
Gomphonema sp. 10 GOMP10
G. variostriatum GVAR
G. minutum GMIN
G. entolejum GENT
142
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 39
1 500 x
Longueur Largeur Stries
GAFF
Gomphonema affine Kützing 1844 sensu lato
41 - 55
7 - 8
10 - 12
GANG
Gomphonema sp. [G. cf. angustatum (Kützing) Rabenhorst 1864 sensu lato]
33 - 36
5
16
GGRA
Gomphonema gracile Ehrenberg 1838
33 - 55
5 - 7
13 - 16
GLIP
Gomphonema lippertii Reichardt et Lange-Bertalot 1999
21 - 25
7
12 - 15
GOHE
Gomphonema herbridense Gregory 1854
48
5
14
GOLI
Gomphonema olivaceum (Hornemann) Brébisson 1838
15 - 30
4 - 7
13 - 15
GOMI
Gomphonema olivaceum var. minutissimum Hustedt 1950
13 - 19
5
13 - 15
20 - 33
5 - 7
12 - 15
Syn.: Gomphonema olivaceum var. olivaceoides (Hustedt) Lange-Bertalot
GOMP5
Gomphonema sp. 5
Planches taxonomiques
143
G. olivaceum var. minutissimum GOMI G. olivaceum GOLI
Gomphonema sp. 5 GOMP5
G. gracile GGRA
G. cf. angustatum sensu lato GANG
G. lilppertii GLIP
G. hebridense GOHE
G. affine sensu lato GAFF
144
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 40 GMIC1
1 500 x
Complexe Gomphonema micropus Kützing 1844 groupe 1
Longueur Largeur Stries 25 - 43
6 - 9
10 - 16
15 - 47
5 - 7
12 - 15
Note: Plusieurs taxons sont inclus dans ce groupe. À comparer avec G. americobtusatum et G. productum dans Reichardt 1999. Identifié comme G. angustatum dans Krammer et Lange-Bertalot 1986.
GMIC2
Complexe Gomphonema micropus Kützing 1844 groupe 2 Note: Plusieurs taxons sont inclus dans ce groupe. À comparer avec G. americobtusatum et G. productum dans Reichardt 1999. Identifié comme G. angustatum dans Krammer et Lange-Bertalot 1986.
Planches taxonomiques
145
Complexe G. micropus groupe 1 GMIC1
Complexe G. micropus groupe 2 GMIC2
146
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 41
1 500 x
Longueur Largeur Stries
GACU
Gomphonema acuminatum Ehrenberg 1832
33 - 44
11
12
GAEL
Gomphonema acuminatum var. elongatum (W. Smith) Rabenhorst 1864
59 - 76
9
11
33
11
13
Gomphonema coronatum Ehrenberg 1840
49 - 58
8 - 9
9 - 11
Gomphonema intricatum var. vibrio (Ehrenberg) Cleve 1894
53 - 66
9 - 10
10 - 12
Note: Correspond au dessin de Fricke dans Schmidt 1902.
GAUG
Gomphonema augur Ehrenberg 1840 Note: Voir également G. apiculatum Ehrenberg 1854 dans Patrick et Reimer (1975).
GCOR GIVI
Note: Similaire au spécimen de Patrick et Reimer (1975).
GMBM
Gomphonema manubrium Fricke 1904
34 - 42
7 - 8
12 - 13
GSPH
Gomphonema sphaerophorum Ehrenberg 1845
37 - 52
11 - 13
12 - 13
Planches taxonomiques
147
G. acuminatum GACU
G. intricatum var. vibrio GIVI
G. coronatum GCOR
G. manubrium GMBM
G. acuminatum var. elongatum GAEL
G. augur GAUG
G. sphaerophorum GSPH
148
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 42
1 500 x
Longueur Largeur Stries
GAGL
Gomphonema anglicum Ehrenberg 1843
53
9
11
GCAP
Gomphonema capitatum Ehrenberg 1838
30 - 33
9 - 10
11 - 12
GHER
Gomphoneis herculeana (Ehrenberg) Cleve 1894
55 - 67
16 - 19
12
GITA
Gomphonema italicum Kützing 1844
51
16 12
GLTC
Gomphonema laticollum Reichardt in Jahn et al. 2001
51
13
12
29
11
12
42
15
11
15 - 42
15
11
Note: Une rangée de ponctuations par strie.
GOPA
Gomphonema pala Reichardt 2001 Note: Deux rangées de ponctuations par strie.
GTRG
Gomphonema turgidum Ehrenberg 1844
RABB
Rhoicosphenia abbreviata (Agardh) Lange-Bertalot 1980 Syn.: Rhoicosphenia curvata (Kützing) Grunow 1864
Planches taxonomiques
149
?
G. pala GOPA
G. capitatum GCAP
G. laticollum GLTC
R. abbreviata RABB
G. herculeana GHER
G. italicum GITA
G. turgidum GTRG
G. anglicum G. laticollum GAGL GLTC
150
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 43 DGEM
1 500 x
Didymosphenia geminata (Lyngbye) W.M. Schmidt 1899
Longueur Largeur Stries 122 - 128
40
8
Planches taxonomiques
151
D. geminata DGEM
152
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 44
1 500 x
Longueur Largeur Stries
PACR
Pinnularia acrospheria Rabenhorst 1853
87
13
11
PATG
Pinnularia acrospheria var. turgidula Grunow 1895
62
13
11
PBOR
Pinnularia borealis Ehrenberg 1843
31 - 41
7
4-5
PGIF
Pinnularia gibbiformis Krammer 1992
48
6
12
PGRO
Pinnularia graciloides Hustedt 1936 sensu lato
87
11
11
Note: Le spécimen présenté ici est plus petit que P. graciloides var. triundulata. À comparer avec les spécimens de Foged (1971) prélevés en Thaïlande.
PMAD
Pinnularia microstauron var. adirondackensis Camburn et Charles 2000
64
8
11
PNOD
Pinnularia nodosa (Ehrenberg) W. Smith 1856
53
7
10
PPOL
Pinnularia polyonca (Brébisson) W. Smith 1856
59
8
10
PSGI
Pinnularia subgibba Krammer 1992
65 - 95
8 - 13
8 - 10
PSUN
Pinnularia subgibba var. undalata Krammer 2000
62
7
10
PUDU
Pinnularia undula (Schumann) Krammer 2000
75
14
10
Planches taxonomiques
153
? ? ? P. polyonca PPOL
P. subgibba P. microstauron var. undulata var. adirondackensis PSUN PMAD P. subgibba var. ? PSGI
P. subgibba PSGI
P. graciloides P. acrosphaeria sensu lato PACR PGRO
P. undula PUDU
P. acrosphaeria P. nodosa P. gibbiformis var. turgidula PNOD PGIF PATG
P. borealis PBOR
154
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 45
1 500 x
CHBE
Chamaepinnularia sp. [C. cf. begeri (Krasske) Lange-Bertalot in Lange-Bertalot et Metzellin 1996]
CHKF
Chamaepinnularia krookiformis (Krammer) Lange-Bertalot et Krammer 1999
Longueur Largeur Stries 6 - 10
2 - 3
15
15
5
20
19 - 21
4 - 5
17 - 21
11 - 13
2
23
Syn.: Pinnularia krookiformis Krammer 1992
CHKK
Chamaepinnularia krookii (Grunow) Lange-Bertalot et Krammer 1999 Syn.: Pinnularia krookii (Grunow) Cleve 1891
CHME
Chamaepinnularia mediocris (Krasske) Lange-Bertalot in Lange-Bertalot et Metzetlin 1996 Syn.: Navicula mediocris Krasske 1932
CHSO
Chamaepinnularia soehrensis (Krasske) Lange-Bertalot et Krammer in Lange-Bertalot et Metzetlin 1996
12
2
21
PAPP
Pinnularia appendiculata (Agardh) Cleve 1895
25
5
15
PGRU
Pinnularia grunowii Krammer 2000
31
6
15
22 - 27
5
12
PINU2
Pinnularia sp. 2 Note: Possiblement une petite variété de P. brebissonii.
PKUT
Pinnulavia sp. [P. cf. kuetzingii Krammer 1992]
20
3
18
PMES
Pinnularia mesolepta Ehrenberg 1843
33
5
13
Note: Identifié P. nodosa dans Patrick et Reimer 1966
PMET
Pinnularia sp. [P. cf. metzeltinii Krammer 2000]
20
5
16
PMIC
Pinnularia sp. [P. cf. microstauron (Ehrenberg) Cleve 1891 complexe]
24 - 66
8 - 14
10 - 14
Pinnularia obscura Krasske 1932
16 - 26
3 - 4
12 - 15
Pinnularia subcapitata Gregory 1856
24 - 35
5
14 - 15
52
7
14
22 - 24
4 - 5
12 - 15
Note: Ce complexe inclut plusieurs formes différentes.
POBS PSCA
Syn.: Pinnularia hilseana Janisch 1860 Note: Le spécimen le plus long est probablement une nouvelle variété de P. subcapitata.
PSEL
Pinnularia subcapitata Gregory 1856 sensu lato Note: Probablement une nouvelle variété de P. subcapitata.
PSIN
Pinnularia sinistra Krammer 1992 Note: Identifié P. subcapitata dans Patrick et Reimer 1966.
Planches taxonomiques
155
Complexe P. cf. microstauron PMIC
P. subcapitata PSCA
P. mesolepta P. grunowii P. appendiculata PAPP PMES PGRU
P. obscura POBS
P. sinistra PSIN
P. subcapitata sensu lato PSCA
P. cf. kuetzingii P. cf. metzeltinii PKUT PMET
Chamaepinnularia sp.
C. krookii CHKK
C. krookiformis CHKF
C. soehrensis C. mediocris CHSO CHME
C. cf. begeri CHBE
Pinnularia sp. 2 PINU2
156
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 46 PGIG
1 500 x
Pinnularia gigas Ehrenberg 1843
Longueur Largeur Stries 157
23
8
177
25
8
63
11
9
129
20
9
Note: 1000 x.
PPLL
Pinnularia pulchella (Boyer) Krammer 2000 Note: 1000 x. Également nommé P. nobilis par Schmidt. À comparer avec P. pulchella var. canadensis Krammer 2000 et avec P. roland-schmidtii Metzetlin et Lange-Bertalot 2007.
PRUP
Pinnularia sp. [P. cf. rupestris Hantzsch in Rabenhorst 1861] Note: Le raphé sur le spécimen présenté ici est ondulé alors que P. rupestris devrait avoir un raphé droit.
PSOC
Pinnularia sp. [P. cf. socialis (Palmer) Hustedt 1913] Note: Notre spécimen a une aire centrale plus large que P. socialis.
Planches taxonomiques
157
P. cf. rupestris PRUP
? P. gigas PGIG 1000 x
P. pulchella PPLL 1000 x P. cf. socialis PSOC
?
?
?
?
?
158
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 47
1 500 x
CAEV
Caloneis sp. [C. cf. aemula var. ventricosa Schulz 1926]
CALO4
Caloneis sp. 4
CBAC
Caloneis bacillum (Grunow) Cleve 1894 sensu lato
CHYA CLEI
Longueur Largeur Stries 21 - 30
6
25 - 27
32
9
21
10 - 27
3 - 7
21 - 30
Caloneis hyalina Hustedt 1938
13
4
24
Caloneis lewisii var. inflata (Schultze) Patrick in Patrick et Reimer 1966
43
12
21
Caloneis lewisii Patrick 1945
39
11
21
Caloneis sp. [C. cf. macedonica Hustedt 1945]
37
8
21
Syn.: Navicula trinodis var. inflata Schultze 1889
CLEW CMAC
Note: Potentiellement une nouvelle espèce.
CSAL
Caloneis silicula var. alpina Cleve 1894
29
6
24
CSBI
Caloneis schumanniana var. biconstricta (Grunow) Reichelt 1903
27
9
24
CSIL
Complexe Caloneis silicula (Ehrenberg) Cleve 1894
32 - 70
6 - 12
18 - 21
25
5
24
CUND
Caloneis sp. [C. cf. undulata (Gregory) Krammer 1985] Note: La densité des stries devrait être entre 17-22. À comparer avec Pinnularia kuetzingii Krammer 1992.
Planches taxonomiques
159
C. schumanniana var. biconstricta CSBI
C. silicula var. alpina CSAL
C. lewisii CLEW
C. lewisii var. inflata CLEI
C. hyalina CHYA ?
C. bacillum CBAC
C. cf. aemula var. ventricosa CAEV
C. bacillum CBAC
Caloneis sp. 2 C. cf. macedonica CMAC CALO2
Complex C. silicula CSIL
C. cf. undulata CUND
160
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 48
1 500 x
CAMP
Caloneis amphisbaena (Bory) Cleve 1894
GNOD
Gyrosigma nodiferum (Grunow) Reimer in Patrick et Reimer 1966
GSCA
Gyrosigma scalproides (Rabenhorst) Cleve 1894
GYAC
Gyrosigma acuminatum (Kützing) Rabenhorst 1853
Longueur Largeur Stries 63 - 73
23 - 26
15 - 16
84
9
19
44 - 52
7
24
160 - 192
20 - 22
14 - 15
141
25
17
Note : 1000 x.
SHEI
Stauroneis heinii Lange-Bertalot et Krammer 1999
Planches taxonomiques
161
C. amphisbaena CAMP
G. nodiferum GNOD
G. acuminatum GYAC X1000
S. heinii SHEI
G. scalproides GSCA
162
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 49 APEL FAPP
1 500 x
Longueur Largeur Stries
Amphipleura pellucida Kützing 1844
70 - 73
6 - 7
n.v.
Frustulia amphipleuroides (Grunow) Cleve-Euler 1934
75 - 97
13 - 17
24 - 30
Syn.: Frustulia rhomboides var. amphipleuroides (Grunow) Detoni 1891
FCRS
Frustulia crassinervia (Brébisson in W. Smith) Lange-Bertalot et Krammer 1996
25 - 48
11
n.v.
FPSM
Frustulia pseudomagaliesmontana Camburn et Charles 2000
34 - 41
6
n.v.
FSAX
Frustulia saxonica Rabenhorst 1853
52
11
n.v.
FVUL
Frustulia vulgaris (Thwaites) Detoni 1891
40 - 51
7 - 9
30 - 33
Planches taxonomiques
163
F. crassinervia FCRS
F. saxonica FSAX
F. amphipleuroides FAPP
F. pseudomagliesmontana FPSM
F. vulgaris FVUL
A. pellucida APEL
164
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 50 NALO NALP
1 500 x
Neidium affine var. longiceps (Gregory) Cleve 1894 Neidium alpinum Hustedt 1943
Longueur Largeur Stries 41
9
24
21 - 22
6 - 7
33
Syn.: Neidium perminutum Cleve-Euler 1934
NBID
Neidium binodis (Ehrenberg) Hustedt 1945
23
7
27
NBIS
Neidium bisulcatum (Lagerstedt) Cleve 1894
57
6
n.v.
NBNF
Neidium binodeforme Krammer 1985
21
5
27
NDCS
Neidium decens (Pantocsek) Stoermer 1963
35
9
27
Neidium densestriatum (Østrup) Krammer 1985
25
12
27
41
9
27
45 - 73
11 - 15
25 - 27
Neidium sp. 1
50
17
24
Neidium sp. 2
46
11
28
37 - 38
9
27
53
12
24
NDSS
Syn.: Caloneis ladogensis var. densestriata Østrup 1910
NEAF NEAM
Neidium affine (Ehrenberg) Pfitzer 1891 sensu lato Neidium ampliatum (Ehrenberg) Krammer 1985 complexe Note: Ce complexe inclut plusieurs taxons.
NEID1 NEID2
Note: Nouvelle espèce non décrite puisque seulement deux spécimens ont été observés jusqu’à maintenant.
NEIU
Neidium incurvum (Gregory) Østrup 1918
NEPR
Neidium productum (W. Smith) Cleve 1894
Planches taxonomiques
165
?
N. affine NEAF
N. incurvum NEIU
? Complexe N. ampliatum NEAM
N. alpinum NALP
N. binodeforme N. binodis NBNF NBID
Neidium sp. 2 NEID2
N. bisulcatum N. productum NEPR NBIS
Neidium sp. 1 NEID1
N. affine var. longiceps NALO
N. decens NDCS
N. densestriatum NDSS
166
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 51 CCRU
1 500 x
Capartogramma crucicula (Grun. ex Cl.) Ross 1963
Longueur Largeur Stries 24 - 31
7 - 8
24
Syn.: Stauroneis brasiliensis (Zimmerman) Compère 1975
SGRC
Stauroneis gracilis Ehrenberg 1843
71 - 80
11 - 14
19 - 22
SGRL
Stauroneis gracilior Reichardt 1995
50
9
27
Stauroneis livingstonii Reimer 1961
23
5
30
51 - 58
11
18 - 21
57
11
20
22 - 37
5
27
37
6
n.v.
32 - 37
5 - 6
n.v.
22
4 - 5
25 - 30
50
11
>30
SLIV
Note: Le spécimen présenté ici est de plus petite taille et a une plus forte densité des stries.
SSAM
Stauroneis amphicephala Kützing 1844
SSGR
Stauroneis subgracilis Lange-Bertalot et Krammer 1999
SSMI
Stauroneis smithii Grunow 1860
SSSG
Stauroneis sp. [S. cf. smithii var. sagitta (Cleve) Hustedt 1959] Note: Cette forme appartient au complexe S. smithii et est très similaire à S. smithii var. sagitta à l’exception de la densité des stries qui est plus élevée ici.
STNH
Stauroneis neohyalina Lange-Bertalot et Krammer 1996 Syn.: Stauroneis anceps var. hyalina Peragallo et Brun in Héribaud 1893
STKR
Stauroneis kriegeri Patrick 1945 Note: L’aire centrale n’est pas caractéristique du genre Stauroneis.
STSI
Stauroneis sp. [S. cf. siberica Lange-Bertalot et Krammer 1996]
Planches taxonomiques
167
S. gracilior SGRL S. subgracilis SSGR
S. amphicephala SSAM
S. gracilis SGRC
?
S. cf. siberica STSI
S. neohyalina STNH
S. cf. smithii var. sagitta SSG
?
S. smithii SSMI
S. kriegeri STKR
S. livingstonii SLIV
C. crucicula CCRU
168
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 52
1 500 x
Longueur
Largeur
Stries
Fibules
EGOE
Epithemia sp. [E. cf. goeppertiana Hilse 1860]
31 - 45
10 - 11
14 - 15
6
ESOR
Epithemia sorex Kützing 1844
22 - 32
7
14
14
RGIB
Rhopalodia gibba (Ehrenberg) O. Müller 1895
45 - 136
7 - 11
16
7
ROPE
Rhopalodia operculata (Agardh) Håkansson 1979
21 - 27
5 - 7
18 - 20
5-6
Planches taxonomiques
169
E. cf. goeppertiana EGOE
E. sorex ESOR
R. operculata ROPE
R. gibba RGIB
170
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 53 EAAL
1 500 x
Epithemia sp. [E. cf. argus var. alpestris (W. Smith) Grunow 1862]
Longueur
Largeur
Stries
Fibules
35
7
15
3
Note : Le spécimen présenté dans Patrick et Reimer (1975) n’est pas comparable au dessin original de Grunow (1860), pl. 3: 28.
EADN
Epithemia adnata (Kützing) Brébisson 1838
28 - 51
9 - 10
13 - 14
4
EARG
Epithemia argus (Ehrenberg) Kützing 1844
25 - 32
7 - 9
12
3
ECIS
Epithemia cistula (Ehrenberg) Ralfs in Pritchard 1861 sensu lato
16 - 24
6
14
3
ETUR
Epithemia turgida (Ehrenberg) Kützing 1844
74 - 127
13 - 17
7 - 8
3-5
ETWE
Epithemia turgida var. westermannii (Ehrenberg) Grunow 1862
45
13
8
4-5
Planches taxonomiques
171
E. argus EARG
E. adnata EADN
?
E. cistula sensu lato ECIS
E. turgida ETUR
E. turgida var. westermanii ETWE
E. cf. argus var. alpestris EAAL
172
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 54
1 500 x
Longueur
Largeur
Stries
Fibules
NDUB
Nitzschia dubia W. Smith 1853
91
12
24
10
NICO
Nitzschia sp. [N. cf. commutata Grunow in Cleve et Grunow 1880]
78
15
14
>30
111
23
7
>30
99
20
7
n.v.
Note: La densité des stries de ce spécimen est supérieure à celle du morphotype.
NLIT
Nitzschia littoralis Grunow 1880 sensu lato Syn.: Nitzschia littoralis var. tergestina Grunow 1880 Note: Le spécimen est de grande taille pour cette espèce.
NTRY
Nitzschia tryblionella Hantzsch in Rabenhorst 1860
Planches taxonomiques
173
N. cf. commutata NICO
N. dubia NDUB N. tryblionella NTRY N. littoralis sensu lato NLIT
174
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 55
1 500 x
Longueur
Largeur
Stries
Fibules
NIBI
Nitzschia sp. [N. cf. bita Hohn et Hellerman 1963]
15 - 17
6
15 - 16
n.v.
NIHU
Nitzschia hungarica Grunow 1862
27 - 54
7
17
9
PCON
Psammodictyon constrictum (Gregory) Mann in Round et al. 1990
32 - 45
11 - 14
13
6
25 - 42
5 - 7
19
8
35 - 43
7
18
9
21 - 52
8 - 19
11 - 13
5
TBCO
Syn.: Tryblionella constricta Gregory 1855 Note: Hohn et Hellerman 1963 ont identifié cette espèce comme étant Nitzschia constricta var. subconstricta Grunow in Cleve et Grunow 1880.
Tryblionella constricta (Kützing) Poulin in Poulin et al. 1990 Syn.: Nitzschia constricta (Kützing) Ralfs in Pritchard 1861
TCAL
Tryblionella calida (Grunow) Mann in Round et al. 1990 Syn.: Nitzschia calida Grunow 1880 Note: À comparer avec Nitzschia umblicata Hustedt 1949.
TLEV
Tryblionella levidensis W. Smith 1856 Syn.: Nitzschia levidensis (W. Smith) Grunow in van Heurck 1881
Planches taxonomiques
175
?
?
T. constricta TBCO
N. hungarica NIHU
P. constricta PCON
T. calida TCAL
T. levidensis TLEV
T. cf. levidensis TLEV
N. cf. bita NIBI
176
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 56
1 500 x
Longueur
Largeur
Stries
Fibules
NAMP
Nitzschia amphibia Grunow 1862
10 - 19
3 - 4
17 - 24
8 - 13
NDES
Nitzschia sp. [N. cf. desertorum Hustedt 1949]
17 - 22
3 - 5
24 - 27
12 - 15
NITZ10
Nitzschia sp. 10
14 - 15
3 - 6
15 - 16
7-8
18 - 24
3 - 4
18 - 19
9
Nitzschia angustatula Lange-Bertalot 1987
19 - 25
3 - 4
18
9
Tryblionella angustata W. Smith 1853
39 - 103
5 - 10
13
6-7
25 - 42
5 - 7
16 - 18
8-9
35 - 41
7
18 - 19
9
Note: Peut-être une variété de Tryblionella compressa (Bailey) Poulin in Poulin et al. 1990
NSLQ
Nitzschia siliqua Archibald 1966 Syn.: Nitzschia pseudocarinata Cholnoky 1970
NZAG TANG
Syn.: Nitzschia angustata (W. Smith) Grunow in Cleve et Grunow 1880
TBCO
Tryblionella constricta (Kützing) Poulin in Poulin et al. 1990 Syn.: Nitzschia constricta (Kützing) Ralfs in Pritchard 1861
TCAL
Tryblionella calida (Grunow) Mann in Round et al. 1990 Syn.: Nitzschia calida Grunow in Cleve et Grunow 1880 Note: À comparer avec Nitzschia umblicata Hustedt 1949.
736b
Planches taxonomiques
177
? T. angustata TANG T. calida TCAL
N. amphibia NAMP
Nitzschia sp. 10 NITZ10
N. cf. desertorum NDES
T. constricta TBCO
N. siliqua NSLQ
N. angustatula NZAG
?
178
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 57 NCOM NCPL
1 500 x
Nitzschia communis Rabenhorst 1860 Nitzschia capitellata Hustedt 1922
Longueur
Largeur
Stries
Fibules
28
4
n.v.
12 - 14
34 - 35
4 - 5
n.v.
14
19 - 29
2 - 3
n.v.
15 - 17
Note: Identification basée sur les photos de Krammer et Lange-Bertalot (1988), pl. 62: 2, 9, 10.
NIAR
Nitzschia archibaldii Lange-Bertalot 1980 Note: À comparer avec Nitzschia paleacea Grunow 1881
NIPU
Nitzschia pusilla Grunow 1862
19 - 25
3 - 4
n.v.
15 - 16
NITZ8
Nitzschia sp. 8
19 - 21
1 - 2
n.v.
15 - 17
NPAD
Nitzschia palea var. debilis (Kützing) Grunow in Cleve et Grunow 1880
15 - 28
3
n.v.
15 - 17
NPAL
Nitzschia palea (Kützing) W. Smith 1856
26 - 50
4 - 5
n.v.
11 - 14
Nitzschia sociabilis Hustedt 1857
26 - 38
3
n.v.
9 - 10
29 - 31
4 - 5
n.v.
14 - 15
NSOC
Syn.: Nitzschia subtubicola Germain 1981
NTUB
Nitzschia tubicola Grunow in Cleve et Grunow 1880 sensu lato
2108
1108
2107
1579
Planches taxonomiques
179
N. palea NPAL
?
N. pusilla NIPU
N. palea var. debilis NPAD
9
N. capitellata NCPL
N. tubicola NTUB
N. archibaldii NIAR
N. communis NCOM
Nitzschia sp. 8 NITZ8
N. sociabilis NSOC
180
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 58
1 500 x
Longueur
Largeur
Stries
Fibules
NELE
Nitzschia sp. [N. cf. elegantula Grunow in van Heurck 1881]
7 - 12
3
>30
18
NFON
Nitzschia fonticola Grunow 1879 sensu lato
10 - 27
3 - 4
24 - 30
15
NIFR
Nitzschia frustulum (Kützing) Grunow in Cleve et Grunow 1880
10 - 13
2 - 3
27
13
Note: À comparer avec Nitzschia alpina Hustedt 1943
NINC
Nitzschia inconspicua Grunow 1862
4 - 15
2 - 3
27 - 30
15
NIPM
Nitzschia perminuta (Grunow) Peragallo 1903
14 - 22
2 - 3
27 - 30
15
Nitzschia sp. 1
41 - 67
2
27 - 30
12
19
3
n.v.
14
Nitzschia sp. 6
21 - 27
4 - 5
27
15
Nitzschia sp. 9
30 - 37
2 - 3
27 - 30
14
13 - 15
3
n.v.
15 - 18
NITZ1
Note: À comparer avec NZRA.
NITZ4
Nitzschia sp. 4 Note: Identifié Nitzschia microcephala Grunow 1878 dans Camburn et Charles (2000).
NITZ6 NITZ9
Note: À comparer avec NZRA.
NMIC
Nitzschia microcephala Grunow 1878 Note: À comparer avec Nitzschia elegantula Grunow in van Heurck 1881.
NZRA
Nitzschia sp. [N. cf. radicula Hustedt 1942]
33 - 40
2 - 3
>30
14
SIDE
Simonsenia delognei (Grunow) Lange-Bertalot 1979
10 - 12
2
21
–
Planches taxonomiques
181
N. fonticola NFON
N. fonticola NFON
N. perminuta NIPM
N. inconspicua NINC
N. cf. radicula NZRA
N. frustulum NIFR
N. cf. elegentula NELE
N. microcephala NMIC
S. delognei SIDE
Nitzschia sp. 1 NITZ1
Nitzschia sp. 9 NITZ9
Nitzschia sp. 4 NITZ4
Nitzschia sp. 6 NITZ6
182
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 59 BPAR DKUE
1 500 x
Longueur
Largeur
Stries
Fibules
Bacillaria paradoxa Gmelin 1791
48 - 63
5
23
8-9
Denticula kuetzingii Grunow 1862
23 - 28
5
17
7-8
11
2
n.v.
9
Syn.: Nitzschia denticula Grunow in Cleve et Grunow 1880
DSUB
Denticula subtilis Grunow 1862 Syn.: Nitzschia subtilis Grunow in Cleve et Grunow 1880
DTEN
Denticula tenuis Kützing 1844
13 - 18
4 - 5
27
6
NDIS
Nitzschia dissipata (Kützing) Grunow 1862
16 - 28
3 - 4
n.v.
7-8
NDME
Nitzschia dissipata var. media (Hantzsch) Grunow in van Heurck 1881
101 - 105
5 - 6
n.v.
6-7
NIVA
Nitzschia valdestriata Aleem et Hustedt 1951
6
2
n.v.
15
NREC
Nitzschia recta Hantzsch ex Rabenhorst 1861
49 - 54
5
n.v.
7-8
Syn.: Nitzschia vacua Hustedt 1950
NSDE
Nitzschia sinuata var. delognei (Grunow) Lange-Bertalot 1980
9 - 20
3
27
6-8
NSIT
Nitzschia sinuata var. tabellaria (Grunow) Grunow in van Heurck 1881
8 - 22
4 - 8
25 - 27
6-7
Planches taxonomiques
183
N. dissipata NDIS
N. recta NREC
B. paradoxa BPAR
N. sinuata var. tabellaria NSIT
N. cf. dissipata var. media NDME
D. tenuis DTEN
N. sinuata var. delognei NSDE
?
D. subtilis N. valdestriata NIVA DSUB
D. kuetzingii DKUE
184
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 60
1 500 x
Nitzschia heufleriana Grunow 1862
NHEU
Longueur
Largeur
Stries
Fibules
75 - 105
4 - 5
27
14
48 - 105
4 - 6
23 - 28
8 - 15
Syn.: Nitzschia lauenburgiana Hustedt 1950
NINT
Nitzschia intermedia Hantzsch ex Cleve et Grunow 1880 sensu lato
Syn.: N. regula Hustedt 1922, N. geotzeana var. gracilior Hustedt 1921, N. tarda Hustedt 1949, N. reguloides Cholnoky 1954 Note: Regroupement de plusieurs taxons. La forme 1 est similaire aux spécimens provenant de l’échantillon original contenant cette espèce.
NIPR
Nitzschia pura Hustedt 1954
52 - 57
3
n.v.
14 - 17
NITZ11
Nitzschia sp. 11
51 - 61
3
n.v.
13
Nitzschia linearis (Agardh) W. Smith 1853
66 - 76
3
n.v.
13 – 16
NLIN
Note: Incluant la variété Nitzschia linearis var. subtilis (Grunow) Hustedt 1923.
Planches taxonomiques
185
N. intermedia forme 2 NINT
N. heufleriana NHEU
N. intermedia forme 1 NINT
N. intermedia forme 3 NINT
N. pura NIPR
Nitzschia sp. 11 NITZ11
N. linearis NLIN
186
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 61 NACI NAGN
1 500 x
Longueur
Largeur
Stries
Fibules
Nitzschia acicularis (Kützing) W. Smith 1853
38 - 77
3 - 4
n.v.
18 - 21
Nitzschia agnita Hustedt 1957
19 - 37
3
n.v.
15 - 18
47 - 65
2 - 4
n.v.
18 - 21
39 - 59
3 - 4
n.v.
14 - 18
15 - 17
3
n.v.
16 - 17
Note: Peut être confondue avec plusieurs autres espèces.
NDRA
Nitzschia draveillensis Coste et Ricard 1980 Note: Les valves de ce taxon présentent un espace entre les fibules centrales, ce qui n’est pas le cas de N. acicularis.
NIGR
Nitzschia gracilis Hantzsch 1860 Note: Similaire aux spécimens européens, et non aux spécimens types.
NILA
Nitzschia lacuum Lange-Bertalot 1980
NIQU
Nitzschia sp. [N. cf. aequorea Hustedt 1939]
24
4
n.v.
11 - 12
NITZ5
Nitzschia sp. 5
57
2
n.v.
17
NLOR
Nitzschia lorenziana Grunow in Cleve et Möller 1879
113 - 124
4 - 5
16
7-8
NREV
Nitzschia reversa W. Smith 1853
79
4 - 5
n.v.
15 - 16
Planches taxonomiques
187
N. acicularis NACI
Nitzschia sp. 5 NITZ5
N. draveillensis NDRA
N. reversa NREV
? N. lacuum NILA N. cf. aequorea NIQU N. lorenziana NLOR
N. agnita NAGN
N. gracilis NIGR
188
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 62 HAMP NBMS
1 500 x
Longueur
Largeur
Stries
Fibules
Hantzschia amphioxys (Ehrenberg) Grunow in Cleve et Grunow 1880
35 - 41
5 - 7
21 - 24
8 - 10
Nitzschia sp. [N. cf. bremensis Hustedt 1921]
36
5
n.v.
9
37
5
n.v.
7
Note: Ce spécimen est de petite taille pour Nitzschia bremensis.
NBRE
Nitzschia brevissima Grunow in van Heurck 1881
NCLA
Nitzschia clausii Hantzsch 1860
29 - 46
3
n.v.
9 - 12
NFIL
Nitzschia filiformis (W. Smith) van Heurck 1896
35 - 51
4
n.v.
9 - 11
NHOM
Nitzschia homburgiensis Lange-Bertalot 1978
30 - 39
5
n.v.
12
NITZ3
Nitzschia sp. 3
21
4
n.v.
12
37 - 113
3
n.v.
11
47 - 96
5 - 7
>30
9 - 13
NNAN
Nitzschia nana Grunow in van Heurck 1881 Syn.: Nitzschia ignorata Krasske 1929
NSIG
Nitzschia sp. [N. cf. sigma (Kützing) W. Smith 1853] Note : Les spécimens sont de petite taille pour N. sigma.
Planches taxonomiques
189
N. cf. sigma NSIG N. clausii NCLA N. nana NNAN
N. cf. sigma NSIG
H. amphioxys HAMP
N. homburgiensis NHOM
N. brevissima NBRE
?
Nitzschia sp. 3 NITZ3
?
N. cf. bremensis NBMS
N. filiformis NFIL
190
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 63 NVER
1 500 x
Longueur
Largeur
Stries
Fibules
168 - 169
3 - 6
n.v.
8-9
58 - 69
3 - 5
>30
7
132
5
30
7
29 - 61
4 - 5
30
6-8
Nitzschia vermicularis (Kützing) Hantzsch in Rabenhorst 1860 Note: 1000 x.
SDEN
Stenopterobia densestriata (Hustedt) Krammer 1987 Note: S. cf. densestriata réfère aux spécimens de Ruck et Kociolek (2004), p. 50, pl. 58: 1-5.
STCU
Stenopterobia curvula (W. Smith) Krammer 1987
STDE
Stenopterobia delicatissima (Lewis) Brébisson ex van Heurck 1896 sensu lato Note: Une étude plus approfondie du matériel de Lewis 1864 est requise.
Planches taxonomiques
191
S. densestriata SDEN S. cf. densestriata SDEN
? N. vermicularis NVER 1000 x
S. curvula STCU
S. delicatissima STDE
?
192
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 64
1 500 x
Longueur
Largeur
Stries
Arrêtes
CSAP
Cymatopleura solea var. apiculata (W. Smith) Ralfs in Pritchard 1861
48 - 62
13 - 17
n.v.
8-9
CSOL
Cymatopleura solea (Brébisson in Brébisson et Godey) W. Smith 1851
99 - 139
22 - 28
n.v.
7-8
Planches taxonomiques
193
C. solea var. apiculata CSAP
C. solea CSOL
?
194
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 65
1 500 x
Longueur
Largeur
Stries
Côtes
CELL
Cymatopleura elliptica (Brébisson) W. Smith 1851
60 - 65
39
25
4-5
SBRI
Surirella brightwellii W. Smith 1853
36
27
23
6
SOVI
Surirella ovalis Brébisson 1838
15 - 48
13 - 27
21
6
Planches taxonomiques
195
C. elliptica CELL
S. ovalis SOVI
?
?
?
S. brightwellii SBRI
196
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 66 SANG
1 500 x
Surirella angusta Kützing 1844
Longueur
Largeur
Stries
Côtes
12 - 27
7
n.v.
7-9
Note: Valves isopolaires.
SAPH
Surirella amphioxys W. Smith 1856
20 - 51
12 - 15
12 4
SBRE
Surirella brebissonii Krammer et Lange-Bertalot 1987
17 - 38
11 - 16
14
Surirella suecica Grunow in van Heurck 1881
15 - 19
7 - 8
n.v. 9
21 - 43
7 - 9
13
6-8
19 - 23
7 - 9
n.v.
5-6
SSUE
6-8
Note: Voir le spécimen de S. minuta présenté dans Reavie et Smol (1998), p. 63, pl. 29: 15-17.
SUMI
Surirella minuta Brébisson 1849 Note: Valves hétéropolaires.
SUST
Surirella sp. [S. cf. stalagma Holn et Hellerman 1963]
Planches taxonomiques
197
S. angusta SANG
S. minuta SUMI
S. brebissonii SBRE
S. suecica SSUE
S. amphioxys SAPH
S. cf. stalagma SUST
198
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 67
1 500 x
Longueur
Largeur
Stries
Côtes
SLHE
Surirella linearis var. helvetica (Brun) Meister 1912
32 - 41
13 - 15
n.v.
3
SLIN
Surirella linearis W. Smith 1853
45 - 58
13
n.v.
3-5
SUTE
Surirella [S. cf. tenera Gregory 1856]
65 - 142
21 - 29
n.v.
2-3
Note: Les extrémités de la valve ne sont pas au focus. Présence d’épines dans la région médiane près des apex.
Planches taxonomiques
199
S. cf. tenera SUTE
S. cf. linearis var. helvetica SLHE
S. linearis SLIN
200
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Planche 68 SUTE
1 500 x
Surirella [S. cf. tenera Gregory 1856] Note: Les extrémités de la valve ne sont pas au focus. Présence d’épines dans la région médiane près des apex.
Longueur
Largeur
Stries
Côtes
65 - 142
21 - 29
n.v.
2-3
Planches taxonomiques
201
S. cf. tenera SUTE
Références taxonomiques abrégées
C
Cette section présente les références utilisées pour l’identification des taxons inclus dans les planches taxonomiques. Les références sont en format abrégé. Elles indiquent les auteurs, l’année de la publication et le numéro de la page et/ou de la planche ayant servi à l’identification du taxon. Les références complètes des publications sont présentées dans la section «Références bibliographiques». Code ABRY
Références abrégées
Moser, Lange-Bertalot et Metzeltin (1998), BD (38), p. 89; photos: Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 181, pl. 79: 1-8 ABUL Hohn et Hellerman (1963), TAMS (80), 250-329 ACDF Potapova et Ponader (2004), DR (19), 33-57 ACOA Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 5, pl. 2: 1-8, pl. 4: 1-2 ACOP Schoeman et Archibald (1986), S. Afr. J. Bot. (52), 425-437 ACPU Patrick et Reimer (1966), p. 222, pl. 14: 14 ADLA Kobayasi (1997), NH (65), p. 147-163 ADLS Lange-Bertalot (2001), DE, p. 145, pl. 105: 33-39 ADMCF1 Kützing (1844), p. 75, pl. 3: 13, 19 ADMI Czarnecki et Edlund (1994), DR (10), 207-209 ADMS Lange-Bertalot (2001), DE, p. 143, pl. 108: 4-10 ADUS Ross (1947), p. 222, pl. 11: 13; Foged (1981), p. 55, pl. 45: 9; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 350, pl. 152 : 7, 8 ADUT Sreenivasa (1971), P (10),79-82 AEXG Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 38, pl. 23: 1-19 AHRV Krammer et Lange-Bertalot (1991), pl. 14: 26 AINA Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 345, pl. 150: 1-6 AJAC Rabenhorst (1861), AED (101/102), 1003 AKRY Krammer & Lange-Bertalot (1991a), p. 30, pl. 17: 1-13; Antoniades et al. (2007), p. 268, pl. 6: 9-13 ALUT Simonsen (1987), p. 136, pl. 221: 5-8 AMMO Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 349, pl. 151: 18-27 AMSA Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 59, pl. 34: 13-19 AMSC Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 60, pl. 34: 1-6 AMSO Simonsen (1987), p. 345, pl. 527: 9-10 ANTU Round et al. (1990), p. 663; LB (2001), p. 158, pl. 113: 1-4 AOLG Lange-Bertalot & Metzeltin (1996) p. 28, pl. 96: 21, 22 AOVA Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 344, pl. 149: 1-2
204
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada APED APEL APHU APLO AREI ARIV ASHU ASMO ASTW ATHU AUIT AVEN BBRE BFOL BMIC BPAR BPRO CAEV CAEX CAMB CAMP CASU CBAC CBCU CBNA CBOL CBSU CCMP CCOC CCRU CCYM CDTG CELL CEXF CEXP CHBE CHKF CHKK CHME CHSO CHUS CHYA CHYB CIQS CLEI CLEW CLTA CMAC CMEN CMLF
Schmidt et al. (1875), pl. 26: 99; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 346, pl. 150: 8-13 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 263, pl. 98: 4-6 Krammer et Lange-Bertalot (1989), p. 66, pl. 35: 17-20 Simonsen (1987), p. 116, pl. 192: 1-6 Camburn et al. (1978), NH (30), 149-279 Potapova et Ponader (2004), DR (19), 33-57 Simonsen (1987), p. 54, pl. 68: 1-9 Simonsen (1987), p. 345, pl. 527: 9-10 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 32, pl. 18: 9-13 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 351, pl. 152: 15-18 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 29, pl. 24: 1, 3-6, pl. 25: 1, 2, 4-11 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 348, pl. 151: 7-17 Lange-Bertalot et Moser (1994), BD (29), pl. 41: 1-8 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 253, pl. 93: 4 Lange-Bertalot et Moser (1994), BD (29), p. 51, pl. 5: 1-35, pl. 6: 1-6, pl. 17: 7-11, pl. 32: 2 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 8, pl. 87: 4-7 Lange-Bertalot et Moser (1994), BD (29), p. 55, pl. 7: 8-26, pl. 9: 4-6, pl. 32: 21-26 Lange-Bertalot et Genkal (1999), ID (6), pl. 49: 2-6 Krammer (2002), p. 26, pl. 9: 19-25 Round et al. (1990), p. 666, p. 594: a-k; LB (2001), p. 109, pl. 82: 4-8 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 385, pl. 168: 4 Krammer (2002), p. 39, pl. 19: 1-13 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 390, pl. 173: 9-20 Krammer (2003), p. 8, pl. 1: 1-12, pl. 2: 1-11, pl. 6: 5-8 Krammer (2003), p. 56, pl. 76: 1-3, pl. 77: 1-13, pl. 78: 1-8, pl. 79: 1-14 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 54, pl. 54: 3-7, pl. 55: 1-7b, pl. 56: 3a-5, pl. 61: 1-5b Krammer (2003), DE, p. 15, pl. 14: 1-6; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 339, pl. 146: 6, 7 Lange-Bertalot (2001), p. 150, pl. 174: 1-9, pl. 175: 1-11 Round et al. (1990), p. 665; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 158, pl. 59: 2-5 Patrick et Reimer (1966), p. 366, pl. 30: 16 Krammer (2002), p. 76, pl. 59: 1, pl. 62: 1-3 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 43, pl. 43: 1-10 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 170, pl. 119: 1-4 Krammer (2002), p. 31, pl. 11: 1-23, pl. 12: 1-5, pl. 13: 1-8 Krammer (2002), p. 28, pl. 9: 1-7 Lange-Bertalot et al. (1996), p. 99, pl. 22: 11-14 Lange-Bertalot (1996), ID (2), pl. 26: 9-17 Lange-Bertalot (1999), ID (6), p. 37, pl. 45: 1-5, pl. 47: 1 Lange-Bertalot (1996), ID (2), p. 35; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 225, pl. 78: 14-16 Lange-Bertalot et al. (1996), p. 144, pl. 22: 17, 18 Lange-Bertalot et al. (1996), p. 116, pl. 18: 4, 5 Simonsen (1987), pl. 330: 10-15 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 337, pl. 145: 2 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 337, pl. 144: 1; Krammer (2003), p. 25, pl. 33: 1-2 Patrick et Reimer (1966), p. 589, pl. 54: 12 Patrick et Reimer (1966), p. 588, pl. 54: 11 Krammer (2002), p. 125, pl. 146: 2, 3 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 395, pl. 175: 7-9 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 44, pl. 44: 1-10 Lange-Bertalot (2001), p. 116, pl. 93: 19-28;
Références taxonomiques abrégées CNCIF1 CNCIF2 CNDI CPAC CPED CPLC CPLE CPSE CRAC CRCU CSAL CSAP CSBI CSIL CSOL CSTE CTUM CUND CVLA CVSO CYAS CYML CYSU DANC DCOF DCOT DFIN DGEM DITE DKUE DMAR DMES DMON DOVA DPAR DPLA DSDI DSUB DTEN DVUL EAAL EADN EARG EBIL
205
Krammer (2002), p. 94, pl. 85: 1-4 Krammer (2002), p. 94, pl. 85: 1-4 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 90, pl. 56: 18-32 Krammer (2003), DE, p. 39, pl. 58: 1-3, pl. 58A: 1-4 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 89, pl. 55: 5-8, pl. 57: 1-4 Williams et Round (1986), DR (1), 313-339; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 148, pl. 136: 1-7 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 87, pl. 53: 1-19 Round et al. (1990), p. 665; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 159, pl. 59: 12-15; Simonsen (1987), p. 120, pl. 194: 11, 12 Lange-Bertalot (1993), BD (27), p. 12, pl. 69: 14, 15; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 128, pl. 45: 13-20; LB (2001), p. 108, pl. 93: 1-6 Round et al. (1990), p. 666, p. 594: a-k; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 126, pl. 43: 1-8 Grunow in van Heurck (1880), pl. 12: 21 Smith (1953), p. 37, pl. 10: 79; Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 169, pl. 118: 4-8 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 387, pl. 171: 4 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 388, pl. 172: 2-4 Ruck et Kociolek (2004), BD (50), p. 42, pl. 48: 1-6; Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 169, pl. 118: 4-8 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 50, pl. 49: 1-4 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 318, pl. 130: 4-6 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 394, pl. 175: 1-6 Round et al. (1990), p. 665; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 168, pl. 58: 2-3 Lange-Bertalot et Metzeltin (1996), ID (2), p. 31; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 160, pl. 59: 16-19 Krammer (2002), p. 114, pl. 62: 5, pl. 124: 1-8, pl. 125: 1-4, pl. 126: 1-5, pl. 127: 7, pl. 142: 7 Krammer (2003), p. 85, pl. 107: 1-12; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 330, pl. 137: 12-17 Krammer (2003), p. 14, pl. 7: 7, pl. 13: 1-4 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 100, pl. 102: 4-10 Kützing (1844), p. 109, pl. 30: 8; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 221, pl. 75: 29-31 Round et al. (1990), p. 666, p. 530: a-i; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 219, pl. 75: 1-5 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 290, pl. 112: 1 Krammer & Lange-Bertalot (1986), p. 380, pl. 166: 15 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 97, pl. 96: 1-10 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 143, pl. 94: 3-4, 99: 11-23 Siver et al. (2005), ID (14), p. 64, pl. 4: 7-10 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 100, pl. 98: 7, pl. 99: 1-12 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 100, pl. 92: 11-21 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 286, pl. 108: 14-16 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 287, pl. 109: 1-7 Lange-Bertalot (2000), ID (9), p. 670-673; LB (2001), p. 147, pl. 108: 11-13 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 291, pl. 112: 4 Krammer & Lange-Bertalot (1988), p. 140, pl. 96: 1-9 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 139, pl. 95: 4-25 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 95, pl. 93: 8-10, pl. 94: 3, 4, 12, 13 Patrick et Reimer (1975), p. 176, pl. 23: 4 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 152, pl. 107: 1-11 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 147, pl. 102: 1-9 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 179, pl. 137: 1-7, 12, 13
206
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada ECAE ECES
Krammer (1997), BD (36), p. 118, pl. 65: 3-14 Krammer (1997), BD (37), p. 152, pl. 182: 1-13, 183: 10-12, 184: 4-7, 185: 1-7; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 325, pl. 134: 4-13 ECIS Krammer & Lange-Bertalot (1988), p. 151, pl. 105: 7-11 ECVD Krammer (1997), BD (36), p. 109, pl. 151 : 21-27; Krammer (2003), p. 113, pl. 129: 1-30; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 330, pl. 137: 1-6 EELE Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 212, pl. 157: 1-3 EETE Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 202, pl. 154: 23-30 EEXI Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 199, pl. 153: 5-10 EFAB Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 225, pl. 164: 3-5 EFLE Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 182, pl. 140: 16 EFOR Metzeltin et Lange-Bertalot (1998), ID (5), pl. 16: 1-8; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p209, pl. 152: 9-12 EGOE Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 150, pl. 103: 6-9 EHEX Patrick et Reimer (1966), p. 203, pl. 12: 6 EIMP Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 197, pl. 143: 1-9A EINC Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 221, pl. 161: 8-19, 163: 1-7 EIND Patrick et Reimer (1966), p. 195, pl. 11: 2 EMEI Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 202, pl. 154: 1-10 EMON Siver et al. (2005); ID (14), p. 82, pl. 31: 1 EMONF2 Metzeltin et al. (2005), ID (15), pl. 23: 1-7 EMTR Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 217, pl. 156: 12-20 ENAE Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 182, pl. 140: 1-2 ENCM Krammer (1997), BD (37), p. 91, pl. 143: 1, 4, 5, 8-26, pl. 146: 1-5, pl. 147: 1-3; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 327, pl. 134: 24-32 ENLB Krammer (1997), BD (36), p. 96, pl. 5: 1-16, pl. 27: 10, 12 ENMI Round et al. (1990), p. 667, p. 490: a-j; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 305, pl. 119: 2-9 ENNG Krammer (1997), BD (36), p. 142, pl. 82: 1-13, pl. 83: 1-7, pl. 85: 1-12; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 308, pl. 120: 1-16 ENRE Round et al. (1990), p. 667, p. 490: a-j; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 307, pl. 119: 32-36 ENTR Krammer (1997), BD (36), p. 132, pl. 76: 5-8, pl. 77: 1-8, pl. 81: 4, 5 ENVE Schmidt et al. (1874), pl. 10: 59; Krammer (1997), BD (36), p. 98, pl. 6: 8-18 EOMI Moser et al. (1998), BD (38), p. 153, pl. 24: 10-15 EORN Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 440, pl. 205: 1-3 EPBG Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 186, pl. 150: 3-5 EPBI Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 187, pl. 148: 11-12 EPCU Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 187, pl. 148: 4-10 EPEC Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 193, pl. 141: 6 EPIN Hustedt in Schmidt (1911), pl. 273: 25 EPRA Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 186, pl. 148: 1-3 EPRO Krammer (1997), BD (37), p. 38, pl. 116: 1-6; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 312, pl. 123: 7-10 ERSA Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 203, pl. 154: 18-22 ESBM Moser et al. (1998), BD (38), p. 154 ESEP Krammer & Lange-Bertalot (1991), p. 213, pl. 157:13-18 ESER Patrick et Reimer (1966), p. 200, pl. 12: 2 ESLE Round et al. (1990), p. 667, p. 490: a-j; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 304, pl. 117: 6-17, 22-24 ESOL Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 194, pl. 142: 2-6 ESOR Patrick et Reimer (1975), p. 188, pl. 27: 4 ESTE Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 220, pl. 146: 5 ESUB Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 214, pl. 138: 4-6
Références taxonomiques abrégées ETUR ETWE EUAL
207
Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 155, pl. 109: 4-7 van Heurck (1880-1885), pl. 31: 8 Lange-Bertalot et Genkal (1999); photos: Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 17, pl. 9: 7-10 EUFL Cleve (1895), p. 179; photos: Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 16, pl. 9: 1-6 EUFLF2 Lange-Bertalot et Genkal (1999), ID (6), pl. 7: 1-3; photos: Krammer et -Lange-Bertalot (1991), p. 16, pl. 9: 1-10, pl. 5: 5 EULA Lange-Bertalot et Genkal (1999); photos: Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 17, pl. 10: 1-10 EUPY Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 227, pl. 166: 1-4 EZAS Siver et al. (2005), p. 110, pl. 29: 13-15 FAPE Krammer et Lange-Bertalot (2000), ed2, p. 581 FAPP Cleve et Grunow (1880), p. 47, pl. 3: 59 FBIC Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 141, pl. 118: 11-16 FCAPF2 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 121, pl. 108-110 FCBI Edlund et al. (2001), NE (72); Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 153, pl. 132: 23-27 FCEX Fallu et al. (2000), pl. 4: 32, 33 FCME Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 123, pl. 110: 14-21, 23, 24 FCRO Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 130, pl. 116: 1-4 FCRS Lange-Bertalot (2000), p. 164, pl. 127: 7-15 FCVA Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 124, pl. 108: 10-15 FCVAF2 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 124, pl. 109: 5, 8 FDIL Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 147, pl. 123: 1-3 FEXI Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 137, pl. 126: 11-18, 19-20? FFCO Siver et al. (2005), p. 95, pl. 11: 63-65, pl. 13: 1-6; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 140, pl. 128: 11-14, pl. 129: 6 FFCS Hamilton et al. (1992), DR (7), 25-36; Fallu et al. (2000), p. 74, pl. 5: 12 FHEL Round et al. (1990), p. 668; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 192, pl. 66: 24-27 FMOC Round et al. (1990), p. 554, p. 668: a-k; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 174, pl. 66: 12-16; Simonsen (1987), p. 332, pl. 508: 40, 41 FMST Metzeltin et Witkowski (1996), pl. 39: 46-49, pl. 91: 5, 6 FNAN Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 130, pl. 115: 14-16, pl. 114: 9-11 FNOP Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 136, pl. 125: 3, pl. 127: 1-5A FPSM Camburn & Charles (2000), p. 23, pl. 18: 12-16, pl. 37: 2, 3 FPYG Round et al. (1990), p. 554, p. 668: a-k; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 171, pl. 65: 1-6’ FSAP Lange-Bertalot (1997), Arch. Protistenkd. (148), p. 73; LB (2001), p. 150, pl. 111: 1-4 FSAX Lange-Bertalot (2000), p. 172, pl. 126: 1-7, pl. 127: 1-6 FSBH Round et al. (1990), p. 554, p. 669: a-k; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 192, pl. 66: 32, 34 FUAC Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 144, pl. 122: 11-13, pl. 119: 8 FVUL Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 260, pl. 97: 1-6 GACC Lange-Bertalot (2001), p. 120, pl. 97: 3-11 GACU Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 365, pl. 160: 1, 2; Patrick et Reimer (1975), p. 112, pl. 15: 2, 4, 7 GAEL Patrick et Reimer (1975), p. 113, pl. 15: 5; Schmidt (1902), pl. 239: 28, 29 GAFF Reichardt (1999), ID (8), pl. 8-9: 2 GAGL Reichardt (2001), LBF, pl. 3: 1-13 GAMC Reichardt et Lange-Bertalot (1999), ID (8), p. 33, pl. 34: 6-11, 17 GANG Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 360, pl. 155: 1-21 GAUG Patrick et Reimer (1975), p. 111, pl. 15: 9; Ehrenberg (1841), pl. 3, section4: 13
208
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada GCAP GCBC GCOR GDEC GENT GGLI GGRA GHER GINN GITA GIVI GKRI GLIP GLTC GMBM GMIC1 GMIC2 GMIN GNOD GOHE GOLI GOMI GOPA GPAR GPUM GSCA GSPH GTHI GTRG GVAR GYAC HAMP HARC HCAP HHUN KCLE KLAT KOJA KOSU KSUC LGOE
Reichardt (2001), LBF, p. 192, pl. 1: 1-22 Reichardt (1999), ID (8), pl. 40 f. 24 Reichardt et Lange-Bertalot (1999), ID (8), p. 43, pl. 49: 2-5 Lange-Bertalot et Metzeltin (1996), ID (2), p. 65, pl. 104: 2, pl. 125: 3-6; Lange-Bertalot (2001), p. 123, pl. 95: 1-17 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 420, pl. 86: 11-12 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 378, pl. 166: 10, pl. 167: 3 Krammer et Lange-Bertalot (1991), pl. 79: 2 Patrick et Reimer (1975), p. 139, pl. 21: 1 Reichardt (1999), ID (8), pl. 33 f. 1-21 Reichardt (2001), LBF, p. 2002, pl. 6: 1-24, pl. 7: 1-6 Schmidt (1902), pl. 235: 12 Lange-Bertalot et Metzeltin (1996), ID (2), p. 66; LB (2001), p. 125, pl. 101: 5-9 Reichardt et Lange-Bertalot (1999), ID (8), p. 21, pl. 21: 1-15 Reichardt (2001), LBF, p. 199, pl. 5: 1-14 Patrick et Reimer (1975), p. 138, pl. 18: 8; Schmidt (1904), p. 248, pl. 12 Reichardt et Lange-Bertalot (1999), ID (8), p. 34, pl. 36-39 Reichardt et Lange-Bertalot (1999), ID (8), p. 34, pl. 36-39 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 370, pl. 159: 5-10, 167: 1; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 410, pl. 81: 1-5 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 297, pl. 115: 1 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 362, pl. 156: 12-14 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 374, pl. 165: 1-18; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 424, pl. 88: 10-13 Simonsen (1987), pl. 195: 8-11 Reichardt (2001), LBF, p. 212, pl. 10: 1-22 Reichardt (1999), pl. 33: 22, 23, 30, 31; Siver et al. (2005), p. 106, pl. 70: 13, 14 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 418, pl. 85: 13-19 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 299, pl. 116: 3 Patrick et Reimer (1975), p. pl. 15: 11 Metzeltin et Lange-Bertalot (1996), ID (2), p. 68; Lange-Bertalot (2001), p. 129, pl. 99: 1-6 Reichardt (2001), LBF, p. 206, pl. 8: 1-12; Patrick et Reimer (1975), p. 120, pl. 16: 5 Camburn et Charles (2000), p. 31, pl. 32: p. 12-16 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 296, pl. 114: 4-8 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 128, pl. 88: 1-7 Patrick et Reimer (1966), p. 132, pl. 4: 20-21; Poulin et al. (1984), NC (111), 349-367 Lange-Bertalot (1996), ID (4), p. 254, pl. 4: 23, pl. 2: 5, pl. 3: 1; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 123, pl. 42: 1-4 Lange-Bertalot (1996), ID (4), p. 259, pl. 1: 22-26; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 123, pl. 42: 5-9 Round et Bukhtiyarova (1996), DR (11), 345-361; photos: Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 35, pl. 21: 10-17 Kingston (2000), DR (15). 409-411; Krammer et Lange-Bertalot (1989), p. 94, pl. 39: 1-10, pl. 42: 1-3 Lange-Bertalot (1999), ID (6). 272-275; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 184, pl. 79: 18-21 Lange-Bertalot (1999), ID (6), p. 272-275; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 182, pl. 79: 22-26 Kingston (2000), DR (15). 409-411; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 49, pl. 28: 9-20 Round et al. (1990), p. 670, p. 532: a-i; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 150, pl. 62: 1-7
Références taxonomiques abrégées LNIV LVEN MAAT MAEX MCCO MCIR MSMI MVAR NAAN NABG NACI NAGN NALO NALP NAMP NANT NAVS NBID NBIS NBMS NBNF NBRE NCAR NCAT NCCT NCLA NCOM NCPL NCPR NCRY NCTE NCTO NCTV NDCS NDES NDET NDIF NDIS NDME NDRA NDSS NDUB NEAF NEAM NEIU NELE
209
Round et al. (1990), p. 671, p. 532: a-i; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 153, pl. 61: 17-20 Round et al. (1990), p. 671; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 150, pl. 62: 1-12 Lange-Bertalot (1997), Arch. Proti. (148), p. 72 Lange-Bertalot (1997), Arch. Proti. (148) p. 72 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 102, pl. 101: 8-14, pl. 102: 1 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 101, pl. 100: 1-5, pl. 102: 2-3, pl. 100: 1-3 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 434, pl. 201: 2-5, 7-9 Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 7, pl. 4: 1-8 Lange-Bertalot (2001), p. 15, pl. 2: 1-8, pl. 65: 1 Moser et al. (1998), p. 202; pl. 20: 1-7 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 123, pl. 85: 1-3 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 117, pl. 82: 9-13; Simonsen (1987), p. 444, pl. 661: 5, 6 Patrick et Reimer (1966), p. 393, pl. 35: 4 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 273, pl. 77: 13-18, pl. 101: 13-17 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 108, pl. 78: 13-21 Lange-Bertalot (2001), p. 15, pl. 13: 1-15 Hohn et Hellerman (1963), p. 311, pl. 4: 23 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 270, pl. 100: 3-5 Krammer & Lange-Bertalot (1986), p. 277, pl. 103: 1-10 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 63, pl. 49: 1-5 Krammer & Lange-Bertalot (1986), p. 271, pl. 100: 6-8 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 30, pl. 22: 1-6; Wit (2000)ID7, p. 371. pl. 200: 17-19 Lange-Bertalot (2001), DE, p. 22, pl. 11: 1-20, pl. 66: 3, pl. 67: 6 Lange-Bertalot (2001). p. 23; pl. 13: 16-24 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 113, pl. 36: 10-12 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 31, pl. 19: 1-6A Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 110, pl. 79: 1-6 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 88, pl. 62: 1-12, 63: 1-3; Simonsen (1987), p. 78, pl. 13: 6-13 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 105, pl. 32: 12-15; LB (2001), p. 22, pl. 29: 15-20 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 102, pl. 31: 8-14; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 376, pl: 64: 1 Lange-Bertalot (2001), p. 28, pl. 26: 17-32 Lange-Bertalot (2001), p. 29, pl. 26: 8-13; Lange-Bertalot (1993), BD (27), p. 105, pl. 50: 5-12, pl. 51: 1, 2 Lange-Bertalot (2001), p. 25, pl. 33: 1-10 Stoermer (1963), p. 3, pl. 1: 8-9 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 99, pl. 70: 10-13; Simonsen (1987), p. 354, pl. 537: 19-23 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 195, pl. 69: 14-17 Simonsen (1987), p. 362, pl. 547: 1-6 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 19, pl. 11: 1-7 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 19, pl. 11: 8-14 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 123, pl. 85: 5-6 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 269, pl. 100: 10-13 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 55, pl. 41: 1-2 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 280, pl. 103: 4, 5, pl. 106: 8-10 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 279, pl. 105: 2-6, pl. 107: 1, 2 Østrup (1918), p. 8, pl. 1: 15 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 120, pl. 83: 20-24
210
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada NEPR NERI NFIL NFON NFOS NFVI NGER NGRE NHEU NHLP NHOM NIAR NIBI NICO NIDP NIFR NIGR NIHU NILA NINC NING NINT NIPM NIPR NIPU NIQU NITG NIVA NKOT NLAN NLAT NLEN NLIB NLIN NLIT NLOR NMCV NMIC NNAN NNOT NNUG NPAD NPAL NPRG NPVE NRAD
Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 281, pl. 107: 4-6 Lange-Bertalot (2001), p. 84, pl. 35: 14-19 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 27, pl. 19: 7-12; Wit (2000)ID7, p. 380, pl. 200: 3-8 Krammer et Lange-Bertalot88 p103f, 75 (1-22) Krammer & Lange-Bertalot (1988), p. 105, pl. 76: 8-16 Williams et Round (1987), DR (2), 267-288; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 135, pl. 126: 1-10 Lange-Bertalot (2001), p. 85, pl. 35: 7-13 Lange-Bertalot (2001), p. 85, pl. 38: 10-18 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 22, pl. 13: 1-5; Simonsen (1987), p. 360, pl. 544: 1-6 Simonsen (1987), p. 460, pl. 688: 6-13 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 64, pl. 50: 4-9 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 115, pl. 81: 10-12 Hohn et Hellerman (1963), p. 315, pl. 4: 50 Krammer & Lange-Bertalot (1988), p. 56, pl. 42: 1-6 Simonsen (1987), p. 443, pl. 659: 26-28; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 175, pl. 66: 22, 23 Krammer & Lange-Bertalot (1988), p. 94, pl. 68: 1-2 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 93, pl. 66: 2-9 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 42, pl. 34: 1-3 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 107, pl. 78: 1-6 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 95, pl. 69: 1-13 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 169, pl. 60: 6-9; Simonsen (1987), p. 443, pl. 659: 10-12 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 87, pl. 61: 1, 3-8 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 99, pl. 72: 1-2A Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 75, pl. 58: 1-9 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 111, pl. 79: 12-15 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 117, pl. 82: 1-5 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 162, pl. 55: 1-3 Simonsen (1987), p. 367, pl. 551: 9-13 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 169, pl. 60: 10-15 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 100, pl. 29: 5-7; LB (2001), p. 87, pl. 39: 15-22 Simonsen (1987), p. 91: pl. 129: 6-9 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 193, p. 66: 38, 39, 35-37? Lange-Bertalot (2001), p. 45, pl. 43: 7-14 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 69, pl. 55: 1-10 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 41, pl. 30: 6-8, 31: 1, 2 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 125, pl. 86: 6-9 Simonsen (1987), p. 85, pl. 122: 11, 12 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 120, pl. 83: 10-18 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 26, pl. 17: 4-6; LB et al. (1996)ID4, p. 162, pl. 48: 8-11 Krammer et Lange-Bertalot (1991), pl. 70: 15-24; Lange-Bertalot (2001), p. 89, pl. 40: 16-28 Hohn et Hellerman (1963), p. 306, pl. 4: 37 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 86, pl. 60: 1-4 Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 85, pl. 59: 1-5 Lange-Bertalot (2001), p. 54, pl. 48: 1-4; Campeau et al. (1999), BD (42), p. 117, pl. 19: 1 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 198, pl. 71: 3-8 Lange-Bertalot (2001), p. 59, pl. 8: 1-7, pl. 67: 1, 2
Références taxonomiques abrégées NRCH
211
Krammer et Lange-Bertalot (1991), pl. 68: 10-15, pl. 69: 1; Lange-Bertalot (2001), p. 63, pl. 13: 25-35 NRCSF1 Lange-Bertalot (2001), p. 62, pl. 1: 16-22 NRCSF2 Lange-Bertalot (2001), p. 62, pl. 1: 16-22 NREC Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 20, pl. 12: 2-8; Simonsen (1987), p. 365, pl. 550: 17-22 NREI Lange-Bertalot (2001), p. 63, pl. 3: 1-4 NREV Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 124, pl. 85: 7-10 NRHY Lange-Bertalot (2001), p. 64, pl. 9: 6-10 NROS Lange-Bertalot (2001), p. 91, pl. 35: 1-6 NSAL Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 106, pl. 35: 5-8 NSDE Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 53, pl. 40: 4-6, 7, 8 NSEI Hustedt (1942), AH (39), 82-174 NSEM Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 230, pl. 76: 30-36 NSHD Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 199, pl. 71: 32-38 NSHR Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 115, pl. 38: 1-4; Lange-Bertalot (2001), DE, p. 91, pl. 39: 1-7 NSIG Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 32, pl. 23: 4-6 NSIT Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 53, pl. 39: 10-13 NSLE Lange-Bertalot (2001), p. 67, pl. 44: 1-7 NSLQ Schoeman et Archibald (1977), 1-35 NSOC Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 119, pl. 83: 1-9 NSYM Lange-Bertalot (2001), DE, p. 93, pl. 39: 8-14 NTPT Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 95, pl. 27: 1-3; LB (2001), p. 73, pl. 1: 1-8 NTRI Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 210, pl. 80: 1-3; LB et al. (1996), p. 151, pl. 17: 12-17 NTRV Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 110, pl. 35: 1-4; LB (2001), p. 73, pl. 29: 1-6 NTRY Krammer & Lange-Bertalot (1988), p. 37, pl. 27: 1-4 NTUB Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 90, pl. 63: 8-12; LB et G (1999), pl. 71: 3-8 NUIF Lange-Bertalot (1999), ID (6), p. 267-289; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 41. pl. 25: 1-6 NULA Lange-Bertalot (1999), ID (6). 280; photos: Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 47, pl. 27: 1-9 NUVI Siver et Hamilton (2005), p. 367, fig.: 33-39, 46-51 NVCC Lange-Bertalot (2001), DE, p. 95, pl. 36: 4-9 NVDA Lange-Bertalot (2001), p. 93, pl. 37: 16-23 NVEN Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 104, pl. 32: 1-4 NVER Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 14, pl. 7: 1-7 NVIR Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 114, pl. 37: 1-2; LB (2001), p. 94, pl. 36: 1-3 NVNB Lange-Bertalot (2001), DE, pl. 9: 2-3 NVTC Lange-Bertalot (1989), p. 165, pl. 79: 36-39 NWEZ Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 202, pl. 73: 1 NZAG Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 48, pl. 36: 6-10, 3: 6 NZRA Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 104, pl. 77: 7-10; Simonsen (1987), p. 306, pl. 459: 21-25 PABI Simonsen (1987), p. 304, pl. 456: 32, 33 PACR Krammer (2000), p.54, pl.19:1-6, pl.20:1-7, pl.21:1-7, pl.22:1-6 PALB Krammer (2000), p. 186, pl. 213: 2 PAPC Lange-Bertalot (1999), ID (6), p. 274; photos: Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 80, pl. 46: 22-24 PAPP Krammer (2000), pl. 91: 1-7 PATG Krammer (2000), p. 55, pl. 23: 7 PBIO Bukhtiyarova et Round (1996), DR (11), 1-30; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 19, pl. 12: 1-9
212
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada PBOR PCHL PCLT PCON PDAU PELG PEXP PGAS PGIF PGIG PGRN PGRO PGRU PHEL PKUT PMAD PMES PMET PMIC PNOD POBS PPAS PPCO PPLC PPLL PPOL PPRT PPSA PRBT PRBU PRUP PSAT PSBR PSCA PSCT PSGI
Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 405, pl. 177: 1-4, 6-7, 12; Krammer (2000), p. 241, pl. 6: 6, pl. 7: 6-13, pl. 8: 6 Lange-Bertalot (1999), ID (6), p. 285; photos: Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 20, pl. 12: 21-31 Cox (1987), DR (2), 145-157; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 139, pl. 47: 1-2 Gregory (1855), p. 40, pl. 4: 13; Round et al. (1990), p. 676 Lange-Bertalot (1999), ID (6), p. 267-289; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 47, pl. 38: 30-32, 23, 24 Cox (1987), DR (2), p. 155, pl. 34, 45-46, 51 Lange-Bertalot et Genkal (1999), ID (6), p. 148, pl. 20: 19; Krammer et LangeBertalot (1986), p. 143, pl. 49: 1-3 Cox (1987), DR (2), 145-157; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 143, pl. 49: 4 Krammer (2000), p. 89, pl. 67: 1-7 Krammer (2000), p. 178, pl. 196: 1-4 Lange-Bertalot (1999), ID (6), p. 267-289; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 45, pl. 38: 1-9 Krammer (2000), p. 127, pl. 99: 6 Krammer (2000), DE, p. 100, pl. 77: 7-14, pl. 81: 10-17, pl. 82: 7, 8 Bukhtiyarova et Round (1996), DR (11), 1-30; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 18, pl. 10: 12-15 Krammer (1992), BD (26), pl. 36 f. 26-35 Camburn et Charles (2000), p. 28, pl. 25: 11-14 Krammer (2000), p. 99, pl. 82: 9 Krammer (2000), p. 82, pl. 59: 8-16 Krammer (2000), p. 73, pl. 52: 2-13 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 409, pl. 181: 4-10; Krammer (2000), p. 56, pl. 25: 14 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 420, pl. 185: 20-23; Krammer (2000), p. 50, pl. 13: 10-27 Morales (2003), CA (24), 277-288; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 133, pl. 130: 6-8 Williams et Round (1987), DR (2), 267-288; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 163, pl. 130: 25-30 Cox (1987), DR (2), 145-157; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 145, pl. 50: 1-4 Krammer (2000), p. 186, pl. 212: 4, 5, pl. 213: 1-3 Krammer (2000), p. 90, pl. 95: 1-7 Morales (2003), CA (24), 277-288; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 133, pl. 130: 1-5 Cox (1987), DR (2), 145-157; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 137, pl. 46: 13-15 Williams et Round (1987), DR (2), 267-288; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 164, pl. 130: 19, 20 Lange-Bertalot et Genkal (1999), ID (6), p. 285; photos: Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 79, pl. 46: 1-3 Krammer (2000), p. 138, pl. 118: 1-12 Bukhtiyarova et Round (1996), DR (11), 1-30; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 24, pl. 14: 1-10 Williams et Round (1987), DR (2), 267-288; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 162, pl. 130: 9-16, pl, 131: 7 Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 426, pl. 193: 1-18 Bukhtiyarova et Round (1996), DR (1), 1-30; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 22, pl. 11: 9-13 Krammer (2000), p. 84, pl. 64: 1-5
Références taxonomiques abrégées PSIN PSOC PSUB PSUN PTDE
213
Krammer (1992), BD (26), pl. 37 Patrick et Reimer (1966), p. 633, pl. 63: 2 Cox (2003), BJLS (141), p. 73 Krammer (2000), p. 84, pl. 64: 1-11, pl. 65: 14, pl 66: 3-7, pl. 72: 2-6 Round et Bukhtiyarova (1996), DR (11). 345-361; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 71, pl. 39: 1-33 PTLA Round et Bukhtiyarova (1996), DR (11), 345-361; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 75, pl. 41: 1-25, pl. 42: 1-26, pl. 43: 1-40, pl. 44: 1-38 PTPE Round et Bukhtiyarova (1996), DR (11). 345-361; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 82, pl. 48: 19-26 PTRO Round et Bukhtiyarova (1996), DR (11), 345-361; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 77, pl. 43: 1-14 PUDU Krammer (2000), p. 123, pl. 93: 3-12 PULA Siver et al. (2005), p. 197, pl. 11: 1-14, pl. 15: 3, 4; Fallu et al. (2000), p. 82, pl. 4: 14: 16; Hamilton et Siver (sous presse) RABB Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 381, pl. 91: 20-28 RGIB Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 159, pl. 111: 1-2, 4, 6, 7-13 ROPE Hakansson (1984), Taxon 33: 525-529 RSIN Kociolek et Stoermer (1987), Syst. Bot. (12), 451-459; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 341, pl. 148: 10-17 RSUR Hustedt (1959), p. 173, pl. 679: a-c RUNI Sala, Guerrero et Ferrario (1993), DR (8), 439-446 SAME Mann (1989), BPJ (24), 1-20; Round et al. (1990), p. 552: a-k; Krammer et Lange-Bertalot (1986), p. 188, pl. 67: 1 SANG Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 187, pl. 133: 6-13, 134: 1, 6-10 SAPH Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 189, pl. 138: 1-5, pl. 39: 1-8 SBLA Mann et al. (2004), p. 463, fig.: 4 SBRE Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 179, pl. 123: 4-5, 136: 2-11 SBRI Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 183, pl. 132: 3 SCON Ehrenberg (1854), p. 424, pl. 5 (2), 23; Williams et Round (1987), DR (2), 267-288; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 153, pl. 131: 5-6, pl. 132: 1-8 SCONF2 Ehrenberg (1854), p. 424, pl. 5 (2), 23; Williams et Round (1987), DR (2), 267-288; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 153, pl. 131: 5-6, pl. 132: 1-8 SCVE Hamilton (1992), DR (7), 25-36; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 153, pl. 132: 9-16 SDEN Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 210, pl. 172: 4, 6 SECA Mann et al. (2004), p. 463, fig.: 4 SGRC VandeVijver et al. (2004), BD (50), p. 38, pl. 8: 7, pl. 17: 1-14, pl. 18: 1-4, pl. 19: 1-4, pl. 20: 1-4 SGRL VandeVijver et al. (2004), BD (50), p. 37, pl. 76: 1-11 SHEI VandeVijver et al. (2004), BD (50), p. 40, pl. 1: 1-5, pl. 2: 1-6, pl. 3: 1-3 SIDE Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 135, pl. 84: 13-19 SINM Siver et al. (2005), p. 186, pl. 11: 29 SLEP Williams et Round (1987), DR (2), 267-288; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 159, pl. 131: 1-2, pl. 133: 33-41 SLHE Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 199, pl. 151: 2-4 SLIN Krammer et Lange-Bertalot (1988), p. 198, pl. 149: 1-9 SLIV Patrick et Reiner (1966), p. 364, pl. 30: 10 SMED Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 73, pl. 75: 1-3b SOVI Witkowski (2000), p. 415, pl. 217: 1-3 SPAV Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 71, pl. 74: 1-4 SPIN Williams et Round (1987), DR (2), 267-288; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 156, pl. 131: 3-4, pl. 133: 1-11, 32-32A SPINF3 Williams et Round (1987), DR (2), 267-288; Krammer et Lange-Bertalot (1991), p. 156, pl. 131: 3-4, pl. 133: 1-11, 32-32A
SPUP SSAM SSGR SSMI SSSG SSTM SSUE STCU STDE STKR STLA STNH STPI STSI SUMI SUST SUTE TANG TBCO TCAL TFAS TFLO TGLA TLEV UCON UULNF1 UULNF2 UULNF3 UULNF4 UULNF5 UULNF6 UULNF7 UULNF8 UULNF10
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Index des taxons
L
L’index présente la liste des 540 taxons de diatomées qui ont été répertoriés dans le périphyton des rivières de l’Est du Canada. L’index donne le nom complet du taxon, son code et le numéro de la planche taxonomique. Les taxons qui ne sont pas en caractères gras sont des synonymes.
Taxon Achnanthes chlidanos Hohn et Hellerman 1963 Achnanthes clevei Grunow 1880 Achnanthes coarctata (Brébisson) Grunow in Cleve et Grunow 1880 Achnanthes daui Foged 1962 Achnanthes delicatula (Kützing) Grunow 1880 Achnanthes duthii Sreenivasa 1971 Achnanthes exigua Grunow in Cleve et Grunow 1880 Achnanthes flexella (Kützing) Brun 1880 Achnanthes flexella var. alpestris Brun 1880 Achnanthes grana Hohn et Hellerman 1963 Achnanthes harveyi Reimer 1966 Achnanthes helvetica (Hustedt) Lange-Bertalot 1989 Achnanthes impexiformis Lange-Bertalot 1989 Achnanthes kryophila Petersen 1924 Achnanthes laevis Østrup 1910 Achnanthes lanceolata (Brébisson) Grunow 1880 Achnanthes lanceolata spp. apiculata (Patrick) Lange-Bertalot 1991 Achnanthes lanceolata spp. robusta Hustedt 1937 Achnanthes lanceolata spp. rostrata (Østrup) Lange-Bertalot 1991 Achnanthes lapidosa Krasske 1929 Achnanthes laterostrata Hustedt 1933 Achnanthes lewisiana Patrick 1945 Achnanthes minutissima Kützing 1833 Achnanthes minutissima var. jackii (Rabenhorst) Lange-Bertalot 1980 Achnanthes minutissima var. saprophila Kobayasi et Mayama 1982
Code PCHL KCLE ACOA PDAU PTDE ADUT AEXG EUFL EUAL PGRN AHRV PHEL NUIF AKRY EULA PTLA PAPC PRBU PTRO NULA KLAT KSUC ADMI AJAC AMSA
Planche 14 13 13 15 13 12 13 14 14 15 13 14 15 13 14 13 13 13 13 14 15 15 12 12 12
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Taxon Achnanthes minutissima var. scotica (Carter) Lange-Bertalot 1989 Achnanthes peragalloi Brun et Héribaud 1893 Achnanthes ploenensis Hustedt 1930 Achnanthes pseudohungarica Cholnoky-Pfannkuche 1966 Achnanthes scotica Flower et Jones 1990 Achnanthes sp. [A. cf. lutheri Hustedt 1933] Achnanthes sp. [A. cf. stewartii Patrick 1945] Achnanthes sp. 3 Achnanthes sp. 4 Achnanthes subatomoides (Hustedt) Lange-Bertalot et Archibald 1985 Achnanthes subhudsonis Hustedt 1921 Achnanthes suchlandtii Hustedt 1933 Achnanthidium deflexum (Reimer) Kingston 2003 Achnanthidium jackii Rabenhorst 1861 Achnanthidium microcephalum Kützing 1844 forme 1 Achnanthidium microcephalum Kützing 1844 forme 2 Achnanthidium minutissimum (Kützing) Czarnecki in Czarnecki et Edlund 1995 Achnanthidium reimeri Camburn in Camburn et al. 1978 Achnanthidium rivulare Potapova et Ponader 2004 Achnanthidium sp. [A. cf. latecephalum Kobayasi 1997] Actinella punctata Lewis 1863 Adlafia sp. [A. cf. bryophila (Petersen) Moser et al. 1998] Aldlafia sp. [A. cf. minuscula (Grunow) Lange-Bertalot et Genkal 1999] Adlafia sp. [A. cf. suchlandtii (Hustedt) Lange-Bertalot in Moser et al. 1998] Amphipleura pellucida Kützing 1844 Amphora affinis Kützing 1844 Amphora copulata (Kützing) Schoeman et Archibald 1986 Amphora dusenii Brun 1901 Amphora inariensis Krammer 1980 sensu lato Amphora lange-bertalotii var. nov. Amphora libyca Ehrenberg 1840 Amphora oligotraphenta Lange-Bertalot et Krammer in Lange-Bertalot et Metzeltin 1996 Amphora ovalis (Kützing) Kützing 1844 Amphora pediculus (Kützing) Grunow in Schmidt et al. 1875 sensu lato Amphora sp. [A. cf. bullatoides Hohn et Hellerman 1963] Amphora sp. [A. cf. montana Krasske 1929] Amphora sp. [A. cf. submontana Hustedt 1949] Amphora thumensis (Mayer) Cleve-Euler 1932 Amphora triundulata Ross 1947 Amphora veneta Kützing 1844 Amphora veneta var. capitata Haworth 1974 Aneumastus tusculus (Ehrenberg) Mann et Stickle in Round et al. 1990 Anomoeoneis brachysira (Brébisson) Grunow Aulacoseira italica (Ehrenberg) Simonsen 1979 Bacillaria paradoxa Gmelin 1791
Code
Planche
AMSC PTPE APLO APHU PSCT ALUT ASTW ACHN3 ACHN4 PSAT ASHU KSUC ACDF AJAC ADMCF1 ADMCF2 ADMI AREI ARIV ADLA ACPU ABRY ADMS ADLS APEL ACOP ACOP ADUS AINA AMBL ACOP AOLG AOVA APED ABUL AMMO ASMO ATHU ADUS AVEN AOLG ANTU BBRE AUIT BPAR
12 13 15 15 14 14 15 13 13 14 14 15 12 12 12 12 12 14 12 12 19 25 25 45 49 31 31 31 31 31 31 31 31 31 31 31 31 31 31 31 31 29 30 1 59
Index des taxons
Taxon Brachysira brebissonii Ross in Hartley 1986 Brachysira follis (Ehrenberg) Ross in Hartley 1986 Brachysira microcephala (Grunow) Compère 1986 Brachysira neoexilis Lange-Bertalot 1994 Brachysira procera Lange-Bertalot et Moser 1994 Caloneis amphisbaena (Bory) Cleve 1894 Caloneis bacillum (Grunow) Cleve 1894 sensu lato Caloneis hyalina Hustedt 1938 Caloneis ladogensis var. densestriata Østrup 1910 Caloneis lewisii Patrick 1945 Caloneis lewisii var. inflata (Schultze) Patrick 1966 Caloneis schumanniana var. biconstricta (Grunow) Reichelt 1903 Caloneis silicula var. alpina Cleve 1894 Caloneis sp. [C. cf. aemula var. ventricosa Schulz 1926] Caloneis sp. [C. cf. macedonica Hustedt 1945] Caloneis sp. [C. cf. undulata (Gregory) Krammer 1985] Caloneis sp. 1 Caloneis sp. 2 Caloneis sp. 4 Capartogramma crucicula (Grun. ex Cl.) Ross Cavinula cocconeiformis (Gregory ex Greville) Mann et Stickle in Round et al. 1990 Cavinula lacustris (Gregory) Mann et Sickle in Round et al. 1990 Cavinula pseudoscutiformis (Hustedt) Mann et Stickle in Round et al. 1990 Cavinula scutelloides (W. Smith) Lange-Bertalot in Lange-Bertalot et Metzeltin 1996 cf. Achnanthes sp. Chamaepinnularia krookiformis (Krammer) Lange-Bertalot et Krammer 1999 Chamaepinnularia krookii (Grunow) Lange-Bertalot et Krammer 1999 Chamaepinnularia mediocris (Krasske) Lange-Bertalot 1996 Chamaepinnularia soehrensis (Krass.) Lange-Bertalot et Krammer
227 Code
BBRE BFOL BMIC BMIC BPRO CAMP CBAC CHYA NDSS CLEW CLEI CSBI CSAL CAEV CMAC CUND CALO1 CALO2 CALO4 CCRU CCOC CVLA CPSE CVSO ACHNSP CHKF CHKK CHME CHSO Chamaepinnularia sp. [C. cf. begeri (Krasske) Lange-Bertalot in Lange-Bertalot et Metzeltin 1996] CHBE CNDI Cocconeis neodiminuta Krammer 1991 CPED Cocconeis pediculus Ehrenberg 1838 CPLE Cocconeis placentula var. euglypta (Ehrenberg) Grunow 1884 KSUC Cocconeis utermoehii 1954 CSIL Complexe Caloneis silicula (Ehrenberg) Cleve 1894 GMIC1 Complexe Gomphonema micropus Kützing 1844 groupe 1 GMIC2 Complexe Gomphonema micropus Kützing 1844 groupe 2 SPUP Complexe Sellaphora pupula (Kützing) Mereschkowksy 1902 CRAC Craticula accomoda (Hustedt) Mann 1990 CAMB Craticula ambigua (Ehrenberg) Mann in Round et al. 1990 CRCU Craticula cuspidata (Kützing) Mann in Round et al. 1990 NHLP Craticula halophilioides (Hustedt) Lange-Bertalot 2001 CMLF Craticula sp. [C. cf. molestiformis (Hustedt) Lange-Bertalot 2001] CPLC Ctenophora pulchella (Ralfs ex Kützing) Williams et Round 1986 CDTG Cyclotella distinguenda Hustedt 1927
Planche 30 30 30 30 30 48 47 47 50 47 47 47 47 47 47 47 47 47 47 51 26 29 26 26 15 45 45 45 45 25 15 15 15 15 47 40 40 27 23 29 29 23 25 3 1
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Taxon Cyclotella meneghiniana Kützing 1844 Cyclotella sp. [C. cf. bodanica var. lemanica (Müller ex Schröter) Brachmann 1903] Cyclotella stelligera Cleve et Grunow 1882 Cymatopleura elliptica (Brébisson) W. Smith 1851 Cymatopleura solea (Brébisson in Brébisson et Godey) W. Smith 1851 Cymatopleura solea var. apiculata (W. Smith) Ralfs in Pritchard 1861 Cymbella acutiuscula Cleve 1894 Cymbella aspera (Ehrenberg) Peragallo 1889 Cymbella cesatii (Rabenhorst) Grunow 1881 Cymbella compacta Østrup 1910 Cymbella cuspidata Kützing 1844 Cymbella cymbiformis Agardh 1830 Cymbella delicatula Kützing 1849 Cymbella ehrenbergii Kützing 1844 Cymbella excisa Kützing 1844 Cymbella excisa var. procera Krammer 2002 Cymbella gracilis (Ehrenberg) Kützing 1844 Cymbella hustedtii Krasske Cymbella hybrida Grunow in Cleve et Möller 1878 Cymbella lanceolata (Agardh) Agardh 1830 Cymbella lapponica Grunow 1878 Cymbella microcephala Grunow 1880 Cymbella minuta Hilse ex Rabenhorst 1862 Cymbella naviculiformis (Auerswald) Cleve 1894 Cymbella neocistula (Ehrenberg) Kirchner 1878 forme 1 Cymbella neocistula (Ehrenberg) Kirchner 1878 forme 2 Cymbella prostrata (Berkeley) Cleve 1894 Cymbella reichardtii Krammer 1985 Cymbella rhomboidea Boyer 1917 Cymbella silesiaca Bleisch in Rabenhorst 1864 Cymbella sinuata Gregory 1858 Cymbella sp. [C. cf. excisiformis Krammer 2002] Cymbella sp. [C. cf. subtruncata Krammer 2002] Cymbella stomatophora Grunow 1875 Cymbella subcuspidata Krammer 1982 Cymbella thumensis (Mayer) Hustedt 1945 Cymbella triangulum var. gracilis Hustedt 1931 Cymbella tumida (Brébisson) van Heurck 1885 Cymbella ventricosa (Agardh) Agardh 1830 Cymbopleura acutiuscula (Cleve) Krammer 2003 Cymbopleura cuspidata (Kützing) Krammer 2003 Cymbopleura inaequalis (Ehrenberg) Krammer 2003 Cymbopleura lapponica (Grunow) Krammer 2003 Cymbopleura naviculiformis (Auerswald) Krammer 2003 Cymbopleura subapiculata Krammer 2003
Code
Planche
CMEN CBOL CSTE CELL CSOL CSAP CPAC CYAS ECES CCMP CBCU CCYM DDEL CIQS CAEX CEXP ENNG CHUS CHYB CLTA CYML ENCM ENMI CBNA CNCIF1 CNCIF2 EPRO ENRE ENTR ESLE RSIN CEXF CASU CTUM CBSU ATHU ENTR CTUM ENVE CPAC CBCU CIQS CYML CBNA CYSU
1 1 1 65 64 64 36 35 37 33 32 35 37 36 33 33 37 37 32 35 37 37 32 32 33 33 34 37 34 32 37 33 33 34 36 31 34 34 32 36 32 36 37 32 36
Index des taxons
Taxon Cymbopleura subcuspidata (Krammer) Krammer 2003 Decussata placenta (Ehrenberg) Lange-Bertalot 2000 Delicata sp. [D. cf. delicatula (Kützing) Krammer 2003] Denticula kuetzingii Grunow 1862 Denticula subtilis Grunow Denticula tenuis Kützing 1844 Diadesmis confervacea Kützing 1844 Diadesmis contenta (Grunow ex van Heurck) Mann 1990 Diatoma anceps (Ehrenberg) Kirchner 1878 Diatoma mesodon (Ehrenberg) Kützing 1844 Diatoma moniliformis Kützing 1833 Diatoma tenuis Agardh 1812 Diatoma tenuis var. elongatum Lyngbye 1819 Diatoma vulgaris Bory 1824 Didymosphenia geminata (Lyngbye) W.M. Schmidt Diploneis finnica (Ehreberg) Cleve 1891 Diploneis marginestriata Hustedt 1922 Diploneis ovalis (Hilse) Cleve 1891 Diploneis sp. [D. cf. parma Cleve 1891] Diploneis sp. [D. cf. smithii var. dilatata (Peragallo) Terry 1908] Encyonema caespitosum Kützing 1849 Encyonema caespitosum var. ovata Grunow in Schmidt et al. 1875 Encyonema lange-bertalotii Krammer 1997 morphotype 1 Encyonema minutum (Hilse ex Rabenhorst) Mann in Round et al. 1990 Encyonema neogracile Krammer Krammer 1997 Encyonema perpusilla Grunow 1881 in Patrick et Reimer 1966 Encyonema prostratrum (Berkeley) Kützing 1844 Encyonema reichardtii (Krammer) Mann in Round et al. 1990 Encyonema silesiacum (Bleisch in Rabenhorst) Mann in Round et al. 1990 Encyonema triangulum (Ehrenberg) Kützing 1849 Encyonema ventricosum (Agardh) Grunow in Schmidt et al. 1874 Encyonopsis cesatii (Rabenhorst) Krammer 1997 Encyonopsis krammeri Reichardt 1997 Encyonopsis microcephala (Grunow) Krammer 1997 Entomoneis ornata (Bailey) Reimer in Patrick et Reimer 1975 Eolimna minima (Grunow) Lange-Bertalot 1998 Eolimna minima forme 2 Eolimna minima forme 3 Eolimna sp. 2 Eolimna sp. 3 Eolimna sp. 4 Eolimna subminuscula (Manguin) Moser, Lange-Bertalot et Metzeltin 1998 Epithemia adnata (Kützing) Brébisson 1838 Epithemia argus (Ehrenberg) Kützing 1844 Epithemia cistula (Ehrenberg) Ralfs in Pritchard 1861
229 Code
Planche
CBSU DPLA DDEL DKUE DSUB DTEN DCOF DCOT DANC DMES DMON DITE DITE DVUL DGEM DFIN DMAR DOVA DPAR DSDI ECAE ECAE ENLB ENMI ENNG EMTR EPRO ENRE ESLE ENTR ENVE ECES ECKR ENCM EORN EOMI EOMIF2 EOMIF3 EOLI2 EOLI3 EOLI4 ESBM EADN EARG ECIS
36 29 37 59 59 59 26 24 2 2 2 2 2 2 43 30 30 30 30 30 32 32 32 32 37 19 34 37 32 34 32 37 37 37 30 24 24 24 24 24 24 24 53 53 53
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Taxon Epithemia sorex Kützing 1844 Epithemia sp. [E. cf. argus var. alpestris (W. Smith) Grunow 1862] Epithemia sp. [E. cf. goeppertiana Hilse 1860] Epithemia turgida (Ehrenberg) Kützing 1844 Epithemia turgida var. westermannii (Ehrenberg) Grunow 1862 Eucocconeis alpestris (Brun) Lange-Bertalot 1999 Eucocconeis flexella (Kützing) Cleve 1895 Eucocconeis flexella (Kützing) Cleve 1895 forme 2 Eucocconeis laevis (Østrup) Lange-Bertalot 1999 Eunotia bilunaris (Ehrenberg) Mills 1934 Eunotia elegans Østrup 1910 Eunotia exigua (Brébisson) Rabenhorst 1864 Eunotia exigua var. tenella (Grunow) Nörpel et Alles 1991 Eunotia flexuosa (Brébisson) Kützing 1849 Eunotia formica Ehrenberg 1843 Eunotia hexaglyphis Ehrenberg 1854 Eunotia incisa Gregory 1854 Eunotia indica Grunow 1865 Eunotia meisteri Hustedt 1930 Eunotia monodon Ehrenberg 1843 sensu lato Eunotia muscicola var. tridentula Nörpel et Lange-Bertalot 1991 Eunotia pectinalis (Dyllwyn) Rabenhorst 1864 Eunotia polyglyphis Grunow in van Heurck 1881 Eunotia praerupta Ehrenberg 1843 Eunotia praerupta var. bidens (Ehrenberg) Grunow in van Heurck 1881 Eunotia praerupta var. biggiba (Kützing) Grunow in van Heurck 1881 Eunotia praerupta var. curta Grunow in van Heurck 1881 Eunotia praerupta var. inflata Ehrenberg 1891 Eunotia rhynchocephala var. satelles Nörpel et Lange-Bertalot 1991 Eunotia septentrionalis Oestrup 1897 Eunotia serra Ehrenberg 1837 Eunotia serra var. tetraodon (Ehrenberg) Nörpel 1991 Eunotia sp. [E. cf. faba Ehrenberg 1838] Eunotia sp. [E. cf. implicata Nörpel, Lange-Bertalot et Alles 1991] Eunotia sp. [E. cf. monodon Ehrenberg 1843/major (w. Smith) Rabenhorst 1864] Eunotia sp. [E. cf. naegelii Migula 1907] Eunotia sp. [E. cf. soleirolii (Kützing) Rabenhorst 1854] Eunotia subarcuatoides Alles Nörpel et Lange-Bertalot 1991 Eunotia tetraodon Ehrenberg 1838 Eunotia zasuminensis (Cabejszekowna) Korner 1969 Fallacia helensis (Schulz) Mann in Round et al. 1990 Fallacia pygmaea (Kützing) Stickle et Mann in Round et al. 1990 Fallacia sp. [F. cf. monoculata (Hustedt) Mann in Round et al. 1990] Fallacia subhamulata (Grunow) Mann in Round et al. 1990 Fistulifera saprophila (Lange-Bertalot et Bonik) Lange-Bertalot 1997
Code
Planche
ESOR EAAL EGOE ETUR ETWE EUAL EUFL EUFLF2 EULA EBIL EELE EEXI EETE EFLE EFOR EHEX EINC EIND EMEI EMON EMTR EPEC EUPY EPRA EPBI EPBG EPCU EPIN ERSA ESEP ESER ESTE EFAB EIMP EMONF2 ENAE ESOL ESUB ESTE EZAS FHEL FPYG FMOC FSBH FSAP
52 53 52 53 53 14 14 14 14 16 19 19 19 16 17 18 17 18 19 17 19 17 18 18 18 18 18 18 19 19 16 16 19 19 17 16 19 19 16 19 26 26 26 26 25
Index des taxons
Taxon Fragilaria anceps Ehrenberg 1843 Fragilaria brevistriata Grunow 1881 Fragilaria capucina Desmazières 1825 forme 2 Fragilaria capucina Desmazières 1825 forme 3 Fragilaria capucina Desmazières 1825 forme 4 Fragilaria capucina Desmazières 1825 forme 5 Fragilaria capucina Desmazières 1825 forme 6 Fragilaria capucina Desmazières 1825 forme 7 Fragilaria capucina var. mesolepta (Rabenhorst) Rabenhorst 1864 Fragilaria capucina var. vaucheriae (Kützing) Lange-Bertalot 1980 Fragilaria capucina var. vaucheriae (Kützing) Lange-Bertalot 1980 forme 2 Fragilaria capucina var. vaucheriae (Kützing) Lange-Bertalot 1980 forme 3 Fragilaria constricta Ehrenberg 1843 Fragilaria constricta f. stricta Cleve 1895 Fragilaria construens (Ehrenberg) Grunow 1862 Fragilaria construens f. binodis (Ehrenberg) Grunow 1862 Fragilaria construens f. exigua (W. Smith) Schulz 1922 Fragilaria construens var. binodis (Ehrenberg) Grunow 1862 Fragilaria construens var. venter (Ehrenberg) Grunow et van Heurck 1881 Fragilaria crotonensis Kitton 1869 Fragilaria crotonensis Kitton 1869 forme 2 Fragilaria dilatata (Brébisson) Lange-Bertalot Fragilaria exigua Grunow 1878 Fragilaria fasciculata (Agardh) Lange-Bertalot 1980 sensu lato Fragilaria lapponica Grunow 1881 Fragilaria leptostauron (Ehrenberg) Hustedt 1931 Fragilaria mesodon Ehrenberg 1839 Fragilaria nanana Lange-Bertalot 1991 Fragilaria neoproducta Lange-Bertalot 1991 Fragilaria parasitica (Smith) Grunow 1881 Fragilaria parasitica var. subconstricta Grunow 1881 Fragilaria pinnata Ehrenberg 1843 Fragilaria pinnata var. intercedens (Grunow) Hustedt 1931 Fragilaria pseudoconstruens Marciniak 1982 Fragilaria pulchella (Ralfs ex Kützing) Lange-Bertalot 1980 Fragilaria robusta (Fusey) Manguin 1954 Fragilaria sp. [F. cf. bicapitata A. Mayer 1917] Fragilaria sp. [F. cf. microstriata Marciniak 1982] Fragilaria sp. [F. cf. nanana Lange-Bertalot 1991 forme 2] Fragilaria sp. [F. cf. perminuta (Grunow) Lange-Bertalot in Krammer et Lange-Bertalot 2000] Fragilaria sp. 1 Fragilaria sp. 2 Fragilaria sp. 3 Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 1
231 Code
Planche
DANC PSBR FCAPF2 FCAPF3 FCAPF4 FCAPF5 FCAPF6 FCAPF7 FCME FCVA FCVAF2 FCVAF3 FFCO FFCS SCON PBND FCEX FCBI SCVE FCRO FCROF2 FDIL FEXI TFAS STLA SLEP DMES FNAN FNOP PPRT PPAS SPIN STPI PPCO CPLC PRBT FBIC FMST FNANF2 FAPE FRAG1 FRAG2 FRAG3 UULNF1
2 10 8 8 8 8 8 8 7 9 9 9 11 11 10 11 10 11 10 7 7 4 11 3 10 11 2 7 11 11 11 10 10 10 3 11 11 11 7 9 7 11 11 4
232
Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Taxon Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 2 Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 3 Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 4 Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 5 Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 6 Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 7 Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 8 Fragilaria ulna (Nitzsch) Lange-Bertalot 1980 forme 10 Fragilaria ulna var. acus (Kützing) Lange-Bertalot 1980 Fragilaria virescens Ralfs 1843 Fragilariforma constricta (Ehrenberg) Williams et Round 1988 Fragilariforma constricta f. stricta (A. Cleve) Poulin in Hamilton et al. 1992 Frustulia amphipleuroides (Grunow) Cleve-Euler 1934 Frustulia crassinervia (Brébisson in W. Smith) Lange-Bertalot et Krammer 1996 Frustulia pseudomagaliesmontana K.E. Camburn et D.F. Charles (2000) Frustulia rhomboides var. amphipleuroides (Grunow) Cleve Frustulia saxonica Rabenhorst 1853 Frustulia viridula Kützing 1833 Frustulia vulgaris (Thwaites) De Toni 1891 Geissleria acceptata (Hustedt) Lange-Bertalot et Metzeltin 1996 Geissleria decussis (Østrup) Lange-Bertalot et Metzeltin 1996 Geissleria sp. [G. cf. kriegerii (Krasske) Lange-Bertalot et Metzeltin 1996] Geissleria sp. 1 Geissleria thingvallae (Østrup) Metzeltin et Lange-Bertalot 1996 Gomphoneis herculeana (Ehrenberg) Cleve 1894 Gomphonema acuminatum Ehrenberg 1832 Gomphonema acuminatum var. elongatum (W. Smith) Rabenhorst 1864 Gomphonema affine Kützing 1844 Gomphonema americobtusatum Reichardt et Lange-Bertalot 1999 Gomphonema anglicum Ehrenberg 1843 Gomphonema augur Ehrenberg 1840 Gomphonema capitatum Ehrenberg 1838 Gomphonema coronatum Ehrenberg 1840 Gomphonema entolejum Østrup 1903 Gomphonema gracile Ehrenberg 1838 Gomphonema grovei var. lingulatum (Hustedt) Lange-Bertalot 1985 Gomphonema herbridense Gregory 1854 Gomphonema innocens Reichardt 1999 Gomphonema intricatum var. vibrio (Ehrenberg) Cleve 1894 Gomphonema italicum Kützing 1844 Gomphonema laticollum Reichardt in Jahn et al. 2001 Gomphonema lippertii Reichardt et Lange-Bertalot 1999 Gomphonema manubrium Fricke 1904 Gomphonema minutum (Agardh) Agardh 1831 f. minutum Gomphonema olivaceum (Hornemann) Brébisson 1838
Code
Planche
UULNF2 UULNF3 UULNF4 UULNF5 UULNF6 UULNF7 UULNF8 UULNF10 FUAC NFVI FFCO FFCS FAPP FCRS FPSM FAPP FSAX NVIR FVUL GACC GDEC GKRI GEIS1 GTHI GHER GACU GAEL GAFF GAMC GAGL GAUG GCAP GCOR GENT GGRA GGLI GOHE GINN GIVI GITA GLTC GLIP GMBM GMIN GOLI
5 6 6 6 4 4 4 6 6 11 11 11 49 49 49 49 49 21 49 25 28 29 25 28 42 41 41 39 38 42 41 42 41 38 39 38 39 38 41 42 42 39 41 38 39
Index des taxons
Taxon Gomphonema olivaceum var. minutissimum Hustedt 1950 Gomphonema olivaceum var. olivaceoides (Hustedt) Lange-Bertalot Gomphonema pala Reichardt 2001 Gomphonema sp. [G. cf. angustatum (Kützing) Rabenhorst 1864 sensu lato] Gomphonema sp. [G. cf. cymbelliclinum Reichardt et Lange-Bertalot 1999] Gomphonema sp. [G. cf. parvulum Kützing 1849] Gomphonema sp. [G. cf. pumilum (Grunow) Reichardt et Lange-Bertalot 1991] Gomphonema sp. 1 Gomphonema sp. 5 Gomphonema sp. 8 Gomphonema sp. 9 Gomphonema sp. 10 Gomphonema sphaerophorum Ehrenberg 1845 Gomphonema turgidum Ehrenberg 1844 Gomphonema variostriatum Camburn et Charles 2000 Gyrosigma acuminatum (Kützing) Rabenhorst 1853 Gyrosigma nodiferum (Grunow) Reimer 1966 Gyrosigma scalproides (Rabenhorst) Cleve 1894 Hannaea arcus (Ehrenberg) Patrick 1966 Hantzschia amphioxys (Ehrenberg) Grunow in Cleve et Grunow 1880 Hippodonta capitata (Ehrenberg) Lange-Bertalot et al. 1996 Hippodonta hungarica (Grunow) Lange-Bertalot et al. 1996 Karayevia clevei (Grunow in van Heurck) Round et Bukhtiyarova 1996 Karayevia laterostrata (Hustedt) Kingston 2000 Kobayasiella sp. [K. cf. jaagii (Meister) Lange-Bertalot 1999] Kobayasiella sp. 13 Kobayasiella sp. 24 Kobayasiella subtilissima (Cleve) Lange-Bertalot 1999 Kolbesia suchlandtii (Hustedt) Kingston 2000 Luticola goeppertiana (Bleisch) Mann in Round et al. 1990 Luticola nivalis (Ehrenberg) Mann in Round et al. 1990 Luticola ventricosa (Kützing) Mann in Round et al. 1990 Mastogloia smithii Thwaites 1848 Mayamaea atomus (Kützing) Lange-Bertalot 1997 Mayamaea excelsa (Krasske) Lange-Bertalot 1997 Melosira italica (Ehrenberg) Kützing 1844 Melosira varians Agardh 1827 Meridion anceps (Ehrenberg) Williams 1985 Meridion circulare (Greville) Agardh 1831 Meridion circulare var. constrictum (Ralfs) van Heurck 1880 Meridion constrictum Ralfs 1843 Navicula abiskoensis Hustedt 1942 Navicula accomoda Hustedt 1950 Navicula acephala Schoeman 1973 Navicula ambigua Ehrenberg 1843
233 Code
Planche
GOMI GOMI GOPA GANG GCBC GPAR GPUM GOMP1 GOMP5 GOMP8 GOMP9 GOMP10 GSPH GTRG GVAR GYAC GNOD GSCA HARC HAMP HCAP HHUN KCLE KLAT KOJA KOBS13 KOBS24 KOSU KSUC LGOE LNIV LVEN MSMI MAAT MAEX AUIT MVAR DANC MCIR MCCO MCCO PABI CRAC NVDA CAMB
39 39 42 39 38 38 38 38 39 38 38 38 41 42 38 48 48 48 3 62 26 26 13 15 25 25 25 25 15 29 29 29 30 24 24 1 1 2 2 2 2 28 23 23 29
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Taxon Navicula americana Ehrenberg 1843 Navicula angusta Grunow 1860 Navicula antonii Lange-Bertalot 2000 Navicula atomus (Kützing) Grunow 1860 Navicula atomus var. excelsa (Krasske) Lange-Bertalot 1985 Navicula bryophila Petersen 1928 Navicula capitata Ehrenberg 1838 Navicula capitata var. hungarica (Grunow) Ross 1947 Navicula capitatoradiata Germain 1981 Navicula cari Ehrenberg 1836 Navicula catalanogermanica Lange-Bertalot et Hofmann in Lange-Bertalot 1993 Navicula clementis Grunow 1882 Navicula cocconeiformis Gregory ex Greville 1856 Navicula confervacea (Kützing) Grunow 1880 Navicula contenta Grunow ex van Heurck 1885 Navicula cryptocephala Kützing 1844 Navicula cryptocephala var. intermedia Grunow 1880 Navicula cryptotenella Lange-Bertalot 1985 Navicula cryptotenelloides Lange-Bertalot 1993 Navicula cuspidata (Kützing) Kützing 1844 Navicula decussis Østrup 1910 Navicula detenta Hustedt 1943 Navicula difficillima Hustedt 1950 Navicula elginensis (Gregory) Ralfs 1861 Navicula erifuga Lange-Bertalot 1985 Navicula explanata Hustedt 1948 Navicula gastrum (Ehrenberg) Kützing 1844 Navicula germainii Wallace 1960 Navicula goeppertiana (Bleisch) H. Smith 1874-1879 Navicula goeppertiana (Bleisch) W. Smith 1861 Navicula gregalis Cholnoky 1963 Navicula gregaria Donkin 1861 Navicula halophilioides Hustedt 1959 Navicula helensis Schulz 1926 Navicula heufleriana var. septentrionalis Hustedt 1924 Navicula indifferens Hustedt 1942 Navicula ingenua Hustedt 1957 Navicula insociabilis var. dissipatoides Hustedt 1957 Navicula integra (W. Smith) Ralfs 1861 Navicula jaagii Meister 1934 Navicula kotschyi Grunow 1860 Navicula kriegerii Krasske 1943 Navicula lacustris Gregory 1856 Navicula laevissima Kützing 1844 Navicula lanceolata (Agardh) Ehrenberg 1838
Code SAME NAAN NANT MAAT MAEX ABRY HCAP HHUN NCPR NCAR NCAT PCLT CCOC DCOF DCOT NCRY NCPR NCTE NCTO CRCU GDEC NDET NDIF PELG NERI PEXP PGAS NGER LVEN LGOE NGRE NGRE NHLP FHEL NMCV FIND NING NIDP NITG KOJA NKOT GKRI CVLA SELA NLAN
Planche 27 21 22 24 24 25 26 26 21 22 22 28 26 26 24 23 21 22 22 29 28 27 25 28 22 28 28 21 29 29 23 23 23 26 27 25 24 26 28 25 29 29 29 27 22
Index des taxons
Taxon Navicula latens Krasske 1987 Navicula lenzii Hustedt in Schmidt 1936 Navicula libonensis Schoeman 1970 Navicula mediocris Krasske 1932 Navicula menisculus var. grunowii Lange-Bertalot 1993 Navicula minima Grunow 1880 Navicula minuscula var. alpestris Hustedt 1934 Navicula molestiformis Hustedt 1949 Navicula monoculata Hustedt 1945 Navicula nivalis Ehrenberg 1854 Navicula notha Wallace 1960 Navicula nugalis Hohn et Hellerman 1963 Navicula peregrina (Ehrenberg) Kützing 1844 Navicula placenta Ehrenberg 1854 Navicula placentula (Ehrenberg) Kützing 1844 Navicula pseudoanglica Lange-Bertalot 1985 Navicula pseudoscutiformis Hustedt 1930 Navicula pseudoventralis Hustedt 1936 Navicula pupula Kützing 1844 Navicula pygmaea Kützing 1844 Navicula radiosa Kützing 1844 Navicula recens (Lange-Bertalot) Lange-Bertalot in Krammer et Lange-Bertalot 1985 forme 1 Navicula recens (Lange-Bertalot) Lange-Bertalot in Krammer et Lange-Bertalot 1985 forme 2 Navicula reichardtiana Lange-Bertalot in Lange-Bertalot et Krammer 1989 Navicula reinhardtii (Grunow) Grunow 1877 Navicula rhynchocephala Kützing 1844 Navicula rostellata Kützing 1844 Navicula salinarum Grunow 1880 Navicula saprophila Lange-Bertalot et Bonik 1976 Navicula schadei Krasske 1929 Navicula schroeteri Meister 1932 Navicula schroeteri var. symmetrica (Patrick) Lange-Bertalot Navicula scutelloides W. Smith 1856 Navicula serica f. serica Schimanski 1979 Navicula slesvicensis Grunow 1880 Navicula sorella Hohn et Hellerman 1963 Navicula sp. [N. cf. caterva Hohn et Hellerman 1963] Navicula sp. [N. cf. concentrica Carter 1981] Navicula sp. [N. cf. fossalis Krasske 1929] Navicula sp. [N. cf. laterostrata Hustedt 1925] Navicula sp. [N. cf. medioconvexa Hustedt 1961] Navicula sp. [N. cf. seminulum Grunow 1860] Navicula sp. [N. cf. seminulum var. intermedia Hustedt 1942] Navicula sp. [N. cf. veneta Kützing 1844] Navicula sp. 5
235 Code
Planche
GTHI NLEN NLIB CHME NANT EOMI NDET CMLF FMOC LNIV NNOT NNUG NPRG DPLA PPLC PPSA CPSE NPVE SPUP FPYG NRAD NRCSF1 NRCSF2 NRCH NREI NRHY NROS NSAL FSAP NSHD NSHR NSYM CVSO NDIF NSLE NAVS NCTV NCCT NFOS NLAT NMCV NSEM NSEI NVEN NAVI5
28 26 22 25 22 24 27 25 26 29 23 25 20 29 28 28 26 27 27 26 20 22 22 23 28 20 21 21 25 27 22 22 26 25 22 27 23 20 24 28 27 24 24 23 25
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Taxon Navicula sp. 8 Navicula sp. 9 Navicula sp. 11 Navicula sp. 15 Navicula sp. 16 Navicula sp. 22 Navicula sp. 25 Navicula stroemii Hustedt 1931 Navicula subhamulata Grunow 1880 Navicula subminuscula Manguin 1941 Navicula subplacentula Hustedt 1930 Navicula subtilissima Cleve 1891 Navicula symmetrica Patrick 1944 Navicula tenella Brébisson ex Kützing 1849 Navicula tridentula Krasske 1923 Navicula trinodis var. inflata Schultze 1889 Navicula tripunctata (Müller) Bory 1822 Navicula trivialis Lange-Bertalot 1980 Navicula tuscula Ehrenberg 1840 Navicula vandamii Schoeman et Archibald 1987 Navicula venerablis Hohn et Hellerman 1963 sensu lato Navicula ventraloconfusa Lange-Bertalot 1989 Navicula viridula (Kützing) Ehrenberg 1838 Navicula viridulacalcis Lange-Bertalot in Rumrich et al. 2000 Navicula vitiosa Schimanski 1978 Navicula weinzierlii Schimanski 1973 Naviculadicta sp. [N. cf. ambiguissima Moser et al. 1998] Neidium affine (Ehrenberg) Pfitzer 1891 sensu lato Neidium affine var. longiceps (Gregory) Cleve 1894 Neidium alpinum Hustedt 1943 Neidium ampliatum (Ehrenberg) Krammer 1985 complexe Neidium binodeforme Krammer 1985 Neidium binodis (Ehrenberg) Hustedt 1945 Neidium bisulcatum (Lagerstedt) Cleve 1894 Neidium decens (Pantocsek) Stoermer 1963 Neidium densestriatum (Østrup) Krammer 1985 Neidium incurvum (Gregory) Østrup 1918 Neidium perminutum Cleve-Euler 1934 Neidium productum (W. Smith) Cleve 1894 Neidium sp. 1 Neidium sp. 2 Neofragilaria virescens (Ralfs) Williams et Round 1987 Nitzschia acicularis (Kützing) W. Smith 1853 Nitzschia agnita Hustedt 1957 Nitzschia amphibia Grunow 1862
Code
Planche
NAVI8 NAVI9 NAVI11 NAVI15 NAVI16 NAVI22 NAVI25 SSTM FSBH ESBM PSUB KOSU NSYM NCTE NTRI CLEI NTPT NTRV ANTU NVDA NVNB NVTC NVIR NVCC NUVI NWEZ NABG NEAF NALO NALP NEAM NBNF NBID NBIS NDCS NDSS NEIU NALP NEPR NEID1 NEID2 NFVI NACI NAGN NAMP
27 24 21 27 23 24 23 26 26 24 28 25 22 22 25 47 22 23 29 23 20 27 21 21 25 26 27 50 50 50 50 50 50 50 50 50 50 50 50 50 50 11 61 61 56
Index des taxons
Taxon Nitzschia angustata (W. Smith) Grunow in Cleve et Grunow 1880 Nitzschia angustatula Lange-Bertalot 1987 Nitzschia archibaldii Lange-Bertalot 1980 Nitzschia atomus Hustedt 1949 Nitzschia brevissima Grunow in van Heurck 1881 Nitzschia calida Grunow 1880 Nitzschia capitellata Hustedt 1922 Nitzschia chasei Cholnoky 1954 Nitzschia clausii Hantzsch 1860 Nitzschia communis Rabenhorst 1860 Nitzschia constricta (Kützing) Ralfs Nitzschia denticula Grunow 1880 Nitzschia dissipata (Kützing) Grunow 1862 Nitzschia dissipata var. media (Hantzsch) Grunow in van Heurck 1881 Nitzschia draveillensis Coste et Ricard 1980 Nitzschia dubia W. Smith 1853 Nitzschia filiformis (W. Smith) van Heurck 1896 Nitzschia fonticola Grunow 1879 sensu lato Nitzschia frustulum (Kützing) Grunow in Cleve et Grunow 1880 Nitzschia geotzeana var. gracilior Hustedt 1921 Nitzschia gracilis Hantzsch 1860 Nitzschia heufleriana Grunow 1862 Nitzschia homburgiensis Lange-Bertalot 1978 Nitzschia ignorata Krasske 1929 Nitzschia inconspicua Grunow 1862 Nitzschia intermedia Hantzsch ex Cleve et Grunow 1880 sensu lato Nitzschia lacuum Lange-Bertalot 1980 Nitzschia lauenburgiana Hustedt 1950 Nitzschia levidensis (W. Smith) Grunow 1881 Nitzschia linearis (Agardh) W. Smith 1853 Nitzschia littoralis Grunow 1880 sensu lato Nitzschia littoralis var. tergestina Grunow 1880 Nitzschia lorenziana Grunow 1880 Nitzschia microcephala Grunow 1878 Nitzschia nana Grunow in van Heurck 1881 Nitzschia palea (Kützing) W. Smith 1856 Nitzschia palea var. debilis (Kützing) Grunow in Cleve et Grunow 1880 Nitzschia perminuta (Grunow) Peragallo 1903 Nitzschia pseudocarinata Cholnoky 1970 Nitzschia pumila Hustedt 1954 Nitzschia pura Hustedt 1954 Nitzschia pusilla Grunow 1862 Nitzschia recta Hantzsch ex Rabenhorst 1861 Nitzschia regula Hustedt 1922 Nitzschia reguloides Cholnoky 1954
237 Code TANG NZAG NIAR SIDE NBRE TCAL NCPL SIDE NCLA NCOM TBCO DKUE NDIS NDME NDRA NDUB NFIL NFON NIFR NINT NIGR NHEU NHOM NNAN NINC NINT NILA NHEU TLEV NLIN NLIT NLIT NLOR NMIC NNAN NPAL NPAD NIPM NSLQ NPML NIPR NIPU NREC NINT NINT
Planche 56 56 57 58 62 56 57 58 62 57 56 59 59 59 61 54 62 58 58 60 61 60 62 62 58 60 61 60 55 60 54 54 61 58 62 57 57 58 56 61 60 57 59 60 60
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Taxon Nitzschia reversa W. Smith 1853 Nitzschia sigma (Kützing) W. Smith 1853 Nitzschia siliqua Archibald 1966 Nitzschia sinuata var. delognei (Grunow) Lange-Bertalot 1980 Nitzschia sinuata var. tabellaria (Grunow) Grunow in van Heurck 1881 Nitzschia sociabilis Hustedt 1857 Nitzschia sp. [N. cf. aequorea Hustedt 1939] Nitzschia sp. [N. cf. bita Hohn et Hellerman 1963] Nitzschia sp. [N. cf. bremensis Hustedt 1921] Nitzschia sp. [N. cf. commutata Grunow in Cleve et Grunow 1880] Nitzschia sp. [N. cf. desertorum Hustedt 1949] Nitzschia sp. [N. cf. elegantula Grunow in van Heurck 1881] Nitzschia sp. [N. cf. radicula Hustedt 1942] Nitzschia sp. 1 Nitzschia sp. 3 Nitzschia sp. 4 Nitzschia sp. 5 Nitzschia sp. 6 Nitzschia sp. 8 Nitzschia sp. 9 Nitzschia sp. 10 Nitzschia sp. 11 Nitzschia sp. 12 Nitzschia subtilis Grunow in Cleve et Grunow Nitzschia subtubicola Germain 1981 Nitzschia tarda Hustedt 1949 Nitzschia tryblionella Hantzsch in Rabenhorst 1860 Nitzschia tubicola Grunow in Cleve et Grunow 1880 sensu lato Nitzschia vacua Hustedt 1950 Nitzschia valdestriata Aleem et Hustedt 1951 Nitzschia vermicularis (Kützing) Hantzsch in Rabenhorst 1860 Nupela impexiformis (Lange-Bertalot) Lange-Bertalot 1999 Nupela lapidosa (Krasske) Lange-Bertalot 1999 Nupela vitiosa (Schimanski) Siver et Hamilton 2005 Pinnularia acrospheria Rabenhorst 1853 Pinnularia acrospheria var. turgidula Grunow 1895 Pinnularia appendiculata (Agardh) Cleve 1895 Pinnularia borealis Ehrenberg 1843 Pinnularia gibba Ehrenberg Pinnularia gibbiformis Krammer 1992 Pinnularia gigas Ehrenberg 1843 Pinnularia graciloides Hustedt 1936 Pinnularia grunowii Krammer (2000) Pinnularia hilseana Janisch 1860 Pinnularia krookiformis Krammer 1992
Code NREV NSIG NSLQ NSDE NSIT NSOC NIQU NIBI NBMS NICO NDES NELE NZRA NITZ1 NITZ3 NITZ4 NITZ5 NITZ6 NITZ8 NITZ9 NITZ10 NITZ11 NITZ12 DSUB NSOC NINT NTRY NTUB NREC NIVA NVER NUIF NULA NUVI PACR PATG PAPP PBOR PGIB PGIF PGIG PGRO PGRU PSCA CHKF
Planche 61 62 56 59 59 57 61 55 62 54 56 58 58 58 62 58 61 58 57 58 56 60 55 59 57 60 54 57 59 59 63 15 14 25 44 44 45 44 44 44 46 44 45 45 45
Index des taxons
Taxon Pinnularia krookii (Grunow) Cleve 1891 Pinnularia kuetzingii Krammer 1992 Pinnularia mesolepta Ehrenberg 1843 Pinnularia microstauron var. adirondackensis Camburn et Charles 2000 Pinnularia nodosa (Ehrenberg) W. Smith 1856 Pinnularia obscura Krasske 1932 Pinnularia polyonca (Brébisson) W. Smith 1856 Pinnularia pulchella (Boyer) Krammer 2000 Pinnularia sp. [P. cf. metzeltinii Krammer 2000] Pinnularia sp. [P. cf. microstauron (Ehrenberg) Cleve 1891 complexe] Pinnularia sp. [P. cf. rupestris Hantzsch in Rabenhorst 1861] Pinnularia sinistra Krammer 1992 Pinnularia sp. [P. cf. socialis (Palmer) Hustedt 1913] Pinnularia sp. 2 Pinnularia subcapitata Gregory 1856 Pinnularia subgibba Krammer 1992 Pinnularia subgibba var. undulata Krammer 2000 Pinnularia undula (Schumann) Krammer 2000 Placoneis abiskoensis (Hustedt) Lange-Bertalot et Metzeltin 1996 Placoneis clementis (Grunow) Cox 1987 Placoneis explanata (Hustedt) Mayama 1998 Placoneis gastrum (Ehrenberg) Mereschkowsky 1903 Placoneis placentula (Ehrenberg) Heinzerling 1908 Placoneis pseudoanglica (Lange-Bertalot) Cox 1987 Placoneis sp. [P. cf. elginensis (Gregory) Cox 1987] Placoneis subplacentula (Hustedt) Cox 2003 Planothidium apiculatum (Patrick) Lange-Bertalot 1999 Planothidium daui (Foged) Lange-Bertalot 1999 Planothidium delicatulum (Kützing) Round et Bukhtiyarova 1996 Planothidium granum (Hohn et Hellerman) Lange-Bertalot 1999 Planothidium lanceolatum (Brébisson ex Kützing) Round et Bukhtiyarova 1996 sensu lato Planothidium peragallii (Brun et Héribaud) Round et Bukhtiyarova 1996 Planothidium robustius (Hustedt) Lange-Bertalot et Genkal 1999 Planothidium rostratum (Østrup) Round et Bukhtiyarova 1996 sensu lato Planothidium sp. 1 Psammodictyon constrictum (Gregory) Mann in Round et al. 1990 Psammothidium bioretii (Germain) Bukhtiyarova et Round 1996 Psammothidium chlidanos (Hohn et Hellerman) Lange-Bertalot 1999 Psammothidium helveticum (Hustedt) Bukhtiyarova et Round 1996 Psammothidium scoticum (Flower et Jones) Bukhtiyarova et Round 1996 Psammothidium subatomoides (Hustedt) Bukhtiyarova et Round 1996 Pseudostaurosira brevistriata (Grunow in van Heurck) Williams et Round 1987 Pseudostaurosira parasitica (W. Smith) Morales 2003 Pseudostaurosira parasitica var. subconstricta (Grunow) Morales 2003 Pseudostaurosira pseudoconstruens (Marciniak) Williams et Round 1987
239 Code CHKK PKUT PMES PMAD PNOD POBS PPOL PPLL PMET PMIC PRUP PSIN PSOC PINU2 PSCA PSGI PSUN PUDU PABI PCLT PEXP PGAS PPLC PPSA PELG PSUB PAPC PDAU PTDE PGRN PTLA PTPE PRBU PTRO PLAN1 PCON PBIO PCHL PHEL PSCT PSAT PSBR PPRT PPAS PPCO
Planche 45 45 45 44 44 45 44 46 45 45 46 45 46 45 45 44 44 44 28 28 28 28 28 28 28 28 13 15 13 15 13 13 13 13 13 55 14 14 14 14 14 10 11 11 10
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Guide d’identification des diatomées de rivières de l’Est du Canada
Taxon Pseudostaurosira robusta (Fusey) Williams et Round 1987 Punctastriata lancettula (Schumann) Hamilton et Siver Raphoneis surirella (Ehrenberg) Grunow 1880 Reimeria sinuata (Gregory) Kociolek et Stoermer 1987 Reimeria uniseriata Sala et al. 1993 Rhoicosphenia abbreviata (Agardh) Lange-Bertalot 1980 Rhoicosphenia curvata (Kützing) Grunow 1864 Rhopalodia gibba (Ehrenberg) O.Müller 1895 Rhopalodia operculata (Agardh) Hakansson 1979 Sellaphora americana (Ehrenberg) Mann 1989 Sellaphora blackfordensis Mann et Droop in Mann et al. 2004 Sellaphora capitata Mann et McDonald in Mann et al. 2004 Sellaphora stroemii (Hustedt) H. Kobayasi in Mayama et al. 2002 Simonsenia delognei (Grunow) Lange-Bertalot 1979 Stauroforma sp. [S. cf. inermis Flower et Jones 1996] Stauroneis amphicephala Kützing 1844 Stauroneis anceps var. hyalina Peragallo et Brun 1893 Stauroneis brasiliensis (Zimmerman) Compère 1975 Stauroneis goeppertiana Bleisch in Rabenhorst 1861 Stauroneis gracilior Reichardt 1995 Stauroneis gracilis Ehrenberg 1843 Stauroneis heinii Lange-Bertalot et Krammer 1999 Stauroneis kriegeri Patrick 1945 Stauroneis livingstonii Reimer 1961 Stauroneis neohyalina Lange-Bertalot et Krammer 1996 Stauroneis smithii Grunow 1860 Stauroneis sp. [S. cf. siberica Lange-Bertalot et Krammer 1996] Stauroneis sp. [S. cf. smithii var. sagitta (Cleve) Hustedt 1959] Stauroneis subgracilis Lange-Bertalot et Krammer 1999 Staurosira construens Ehrenberg 1843 Staurosira construens Ehrenberg 1843 forme 2 Staurosira construens var. venter (Ehrenberg) Hamilton in Hamilton et al. 1992 Staurosirella lapponica (Grunow) Williams et Round 1987 Staurosirella leptostauron (Ehrenberg) Williams et Round 1987 Staurosirella pinnata (Ehrenberg) Williams et Round 1987 Staurosirella pinnata forme 3 Staurosirella pinnata var. intercedens (Grunow in van Heurck) Hamilton 1994 Stenopterobia curvula (W. Smith) Krammer 1987 Stenopterobia delicatissima (Lewis) Brébisson ex van Heurck 1896 sensu lato Stenopterobia densestriata (Hustedt) Krammer 1987 Stephanodiscus parvus Stoermer et Håkansson 1984 Stephanodiscus sp. [S. cf. medius Håkansson 1986] Surirella amphioxys W. Smith 1856 Surirella angusta Kützing 1844 Surirella brebissonii Krammer et Lange-Bertalot 1987
Code
Planche
PRBT PULA RSUR RSIN RUNI RABB RABB RGIB ROPE SAME SBLA SECA SSTM SIDE SINM SSAM STNH CCRU LVEN SGRL SGRC SHEI STKR SLIV STNH SSMI STSI SSSG SSGR SCON SCONF2 SCVE STLA SLEP SPIN SPINF3 STPI STCU STDE SDEN SPAV SMED SAPH SANG SBRE
11 10 15 37 37 42 42 52 52 27 27 27 26 58 11 51 51 51 29 51 51 48 51 51 51 51 51 51 51 10 10 10 10 11 10 10 10 63 63 63 1 1 66 66 66
Index des taxons
Taxon Surirella brightwellii W. Smith 1853 Surirella linearis W. Smith 1853 Surirella linearis var. helvetica (Brun) Meister 1912 Surirella minuta Brébisson 1849 Surirella ovalis Brébisson 1838 Surirella sp. [S. cf. stalagma Holn et Hellerman 1963] Surirella sp. [S. cf. tenera Gregory 1856] Surirella suecica Grunow in van Heurck 1881 Synedra acus Kützing 1844 Synedra nana Meister 1912 Synedra ulna var. contracta Østrup 1901 Tabellaria flocculosa (Roth) Kützing 1844 Tabularia fasciculata (Agardh) Williams et Round 1986 Tetracyclus glans (Ehrenberg) Mills 1935 Tibiella punctata (Lewis) Patrick 1939 Tryblionella angustata W. Smith 1853 Tryblionella calida (Grunow) Mann in Round et al. 1990 Tryblionella constricta Gregory 1855 Tryblionella constricta (Kützing) Poulin in Poulin et al. 1990 Tryblionella levidensis W. Smith 1856 Ulnaria contracta (Østrup) Morales et Vis 2007 Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 1 Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 2 Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 3 Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 4 Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 5 Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 6 Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 7 Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 8 Ulnaria ulna (Kützing) Compère 2001 forme 10
241 Code
Planche
SBRI SLIN SLHE SUMI SOVI SUST SUTE SSUE FUAC FNAN UCON TFLO TFAS TGLA ACPU TANG TCAL PCON TBCO TLEV UCON UULNF1 UULNF2 UULNF3 UULNF4 UULNF5 UULNF6 UULNF7 UULNF8 UULNF10
65 67 67 66 65 66 67 66 6 7 6 3 3 2 19 56 56 55 56 55 6 4 5 6 6 6 4 4 4 6