'\RTM^:::NT/iL.j
M^CHAINE
S. J.
GRAHNAIRË ÊTHIOPIËIË
T»h
I
hifM
I
nï%r'nx.
«
fi^^ «
BEYROUTH Imprimerie
Catholique
1907
\-^
PRÉFACE.
Notre intention en rédigeant ces quelques notes de grammaire, a été
uniquement d'aider
débutants dans Vétude de la langue éthio-
les
pienne.
Pour si nette
cette raison,
que possible.
nous avons divisé notre travail d'une façon aus-
Dans V exposé
mes attaché qu'aux grandes lignes nous avons visé à l'ordre
et
Dans
la
et
aux principaux points
à la simplicité
en sorte de présenter des formules d'être facilement saisies
des principes, nous ne nous som-
et
et
;
partout,
toujours nous avons fait
des divisions claires,
capables
par un commençant.
phonétique, nous n'avons donné que ce qui
est strictement
nécessaire, sans entrer dans aucune discussion scientifique, nous bor-
nant aux résultats positifs acquis.
Dans
la
morphologie, nous avons visé à la concision la plus ex-
presse, toutefois, pour faciliter les études d'ensemble, nous n'avons pas craint de multiplier les
verbe que pour
Dans
le
nom
tableaux des paradigmes, aussi bien pour et les
la syntaxe, tout
mais, afin de sauvegarder
pronoms.
a été ramené autant que possible à l'unité Vexactitude^
ont été placées en notes ou remarques
unes ples.
et
le
et,
les
;
observations particulières
pour aider à V intelligence des
des autres, nous les avons toutes fait suivre de nombreux exem-
VI
Abréviations conventionnelles.
A. D.
Abba Daniel
A. S. Abba Samuel
références des textes cités.
les
pour
(i).
Herm. Hermae Pastor
(2).
Héz. Hézéchiel
Act. Acta Apostolorum
A. Y. Acta Yared
Am. Amos An.
B.
Jean (Évangile de
J.
N. Jean de Nikiou
S') (j),
S*) (3).
(16).
Jérémie (Prophéties de)
(5).
Jon. Jonas (17).
(^). (7).
Jos. Josué (10).
Basalota Mika'el
(8).
Jub. Jubilés (Livres des) (18).
Bar. Baruch
Jud Judith
(9).
Cor. Corinthiens (Ép. aux)
Dan. Daniel
Esd. Esdras
(19).
Jug. Juges (10).
Lam. Lamentations
(20).
Lév. Lévitique (10).
(10).
Malach. Malachie
(11).
Esth. Esther
Ex. Exode
(5).
(5).
Deut. Deutéronome
F.
J.
Jér.
(6).
Jacques (Épître de
Ascensio Isaiae
Is.
M.
(4).
(<j).
Apoc. Apocalypse Asc.
Isaie (5).
Jac.
(4).
Annales loannis
lo.
Is.
(5).
A. P. Acta Pantalewon
(15).
(5).
(21).
M. N. Martyrs de Nagran (22). M. D. MashafaDorho (23).
($):
(10).
M. FereMika'el(j6).
Mth. Mathieu (Évang. de
S*) (}).
F. N. Fetha Nagast (12).
M. M. Mota Muse
Cad. Ad. Gadla Adam
Myst. Mystères (Lelivredes) 25.
(i^).
Gai. Calâtes (Épître aux)
Gen. Genèse
(5).
(10).
Onuph. Santo Onuphrio
(10).
Héb. Hébreux (Épître aux) Hén. Hénoch(i4).
Nomb. Nombres
(24).
(j).
Par. Paralipomènes
(26).
(5).
P. A. Philosophi Abessini (27).
VII
p. Pierre (Épîtres de
Prov. Proverbes
Sus. Susenyos (p).
S') (j).
T. Ad. Testament d'Adam
(5).
Ps. Psaumes (28).
Thess.
R. P. Règles de Pachôme
R. Rois (Livre des)
aux)
(29).
Rom. Romains (Épître aux)
(}).
Tim. Timothée (Épître
(3).
à)
(3).
Tob. Tobie(i9).
(50).
Sag. Sagesse (19).
W. M. Wedase Marjam
S. P. S.
Zach. Zacharie (J5).
Sir.
(^j).
Thessaloniciens (Épître
Paulo(ji).
Z. A. Zar'a
Sirach(i9).
Abreham
(54).
(36).
Vida do abba Daniel. Versao ethiopica publicada por L. Goldschmidt e F.
M. Esteves Pereinu
Lisboa, 1897.
2.
Vida do abba Samuel. Memoria destinada à
j.
Novum Testamentum
4.
Acta SS. Yared et Pantalewon éd. et
I.
dos. Or. por F.
M. Esteves edidit
X Sessao do C.
Pereira. Lisboa, 1894.
Thomas
Pell Platt. (Révision
de
Praetorius); Lipsiae, 1899.
sini.
Romae, 1905. (Corpus
interpr.
K. Conti Ros-
Script. Christ. Orient. Ser.
II,
Tom.XVII). 5.
Textes
pris
dans
le
Lexicon linguae
aethiopicae de Dill-
mann. 6.
Annales
Regum
loannis
I.
Yasu
Guidi. Parisiis, 1904-1905. II.
Tom. V)
I
et BakafFa éd. et interpr.
(Corp. Script. Christ. Or. Ser.
.
7.
Ascensio Isaiae; A. Dillmann. Lipsiae, 1877.
8.
Acta
S. Basalota Mika'el et S.
Anorewos ed
.
et interpr.
Conti Rossini. Romae, 1905. (Corp. Script. Christ. Ser.
9
II,
I.
K
.
Or
Tom. XX).
Liber Baruch
— Chrestomathia aethiopica
Lipsiae, iSôô*
éd. ab A. Dillmann.
vin 10.
Veteris Testament! aethiopici tomus primus sive Octateuchus
aethiopicus; A. Dillmann Lipsiae, 1855 11.
Ezrae primi
12.
Il
«
di. I
j.
libri
;
Fetha Nagast
.
R. Laurence. Oxoniae, 1820. »
legislazione dei
Re
publicato da
I.
Gui-
Roma, 1897.
(Gadla Adam)
Der Kampf Adams E ;
Trumpp
.
.
Mûnchen,
1880. 14.
Das Buch Henoch
J.
;
Flemming. Leipzig, 1902.
15.
Hermae Pastor
16.
Chronique de Jean, évêque de Nikiou
17.
The book
18.
Mashafa Kufale sive Liber Jubilaeorum
et
A. d'Abbadie. Leipzig, 1860.
;
ext des Mss. de of Jonah
la
W.
;
B. N.
Tom.
H. Zotemberg. (Not.
;
XXIV
;
Paris, 1885)
Wright. London, 1857
.
.
A. Dillmann. Kiliae
;
et Londini, 18^9. 19.
Veteris Testamenti aethiopici tomus quintus quo continentur libri
apocryphi
:
Ecclesiasticus.
Baruch, Epistola Jeremiae, Tobith, Judith,
^
1894-
-
-
20.
Die Klagelieder Jeremiae;
21.
Dodekapropheton aethiop. (Maleachi). 1893
22.
Dillmann. Berolini,
A.
etc..
Sapientia,
J.
-
Bachmann. Halle J.
a.
S. 1893
.
Bachmann. Halle,
.
Historia dos Martyres
de Nagran. Versao ethiopica publicada
for F. M. Esteves Pereira. Lisboa, 1899. 23.
Mashafa Dorho. M. Chaîne. (Rev. Sém. 1905)*
24.
Mota Muse
25.
Le
livre
;
J.
Faïtlovitch. Paris,
des Mystères du ciel et de
Paris. (Pat, Or. 26.
27.
Tool
Vida de Santo Abunafre reira
.
1906
!)
la
*
terre
;
J.
Perruchon
.
.
(S.
Onuphrio)
;
F
.
M
.
Esteves Pe-
Lisboa, 1905.
Philosophi Abessini ed, et interpr. E..Littmann. Parisiis,
IX 1904. (Corp. Script. Christ. Or. Scr.
I.
Tom. XXXI).
28.
Psalterium Davidis aethiopice et amharice. (Soc. Bibl).
29.
Règles de Pachôme dans Chrest. Aethiop. de A. Dillmann
.
Lipsiae, 1866. ^o.
Veteris Testamenti aethiopici tomus secundus
Fasciculus primus Libri
Regum
ciculus secundus Lib. Reg. }ï.
Vida de
S.
Paulo de Thebas
III
;
F.
I
et
II.
;
A. Dillmann.
Lipsiae, 1861
et IV. Lipsiae, 1871
M. Esteves
Fas-
.
.
Pereira. Lisboa,
1903.
p. Chronica de Susenyos ra.
}}.
Das
Lisboa, 1892
rei
de Ethiopia; F. M. Esteves Perei-
.
arabisch-àthiopische
(Orientalische Studien
Testamentum Adami von C. Bezold
Theodor Nôldeke zum
sicbzigsten
Geburtstag gewidmet). Giessen, 1906. 34.
Wedase Marjam.
35.
Die âthiopische Uebersetzung des Zacharias. F. O. Kramer.
36.
Acta
Leipzig, S.
1
898
Salterio in géez.
Roma, J900.
.
Fere Mika'el et Zar'a Abreham ed
et
interpr.
Touraiev. Romae, 1905. (Corp. Script. Christ. Or. II.
Tom. XXIII)
.
-><-
B.
Ser.
LIVRE PREMIER PHONÉTIQUE
CHAPITRE
1
L'ÉCRITVKE Consonnes et voyelles. numéraux.
Signes
Ponctuation.
L'alphabet ge*ez s'écrit de gauche à droite et comprend vingtsix lettres
qui revêtent chacune sept formes différentes pouf trans-
crire les sept sons voyelles.
Pour rendre
*
certains sons étrangers, huit caractères sont
pruntés à l'amharique, et un au
nom de
sous le lettres
tigraï.
Les éthiopiens
lettres arabiques. Ils se modifient
de l'alphabet
em*
les
désignent
comme
les autres
ge'^ez, suivant le son voyelle qui les accompa-
gne; Il
faut aussi noter que,
diphtongues sont transcrits l'écriture
pour quelques
lettres,
certains sons'
d'une façon spéciale, d'où
il
suit
une quantité de signes relativement considérable :
sans compter les signes
numéraux
et
:
dans 267,^
quelques autres signes tachy-
graphiques, que Ton rencontre rarement d'ailleurs dans les manuscrits.
de
Nous donnor^
l'alphabet, suivant l'ordre dans lequel
lement. lui
ci-après, la nomenclature
Nous indiquons,
donne, du moins dans
à côté certains»
on
de tous
signes"
les distribue habituel-
de chaque type,
le
ouvrages de science. 1
les
nom qu'on
Écriture. Alphabet.
Tableau des signes alphabétiques.
Nom
des
Lettres
Écriture. Alphabet.
Tableau des sons diphtongues.
Ëorlture. Oi^dye.
1^
Les abyssins modernes
les épellent
simplement avec
son a du
le
premier ordre.
Ce mot
d'ordre est le terme dont on
différentes formes d'une
me
même
se sert pour désigner les
lettre éthiopienne.
La première
for-
nom de
leur
transcription en caractères latins, nous suivrons la
mé-
s'appelle ge'ez
ou
originale, les autres
le
prennent
rang d'ordre, deuxième, troisième..,
.Dans
thode
la
En
la
plus généralement adoptée, des lettres pointées.
comme
prenant le pmmier ordre
une uniformité à peu près
ver, à part quelques exceptions,
dans
les modifications
nous pouvons rele-
base,
transcrire les autres sons voyelles.
Pour aider
la
mémoire dans
tude des signes alphabétiques du tableau, on peut
ques suivantes
de
Dans A« rh« tu
Le trique
:
4»
ffl.
;
«^
—
n
que
:
ajouté sur
^, A
la
noter
bas
fait le
de
la lettre
ô d»^.
septième ordre sont en opposition symé-
gauche, ou bien encore surmonte
le
trait
l'un allonge la lettre sur la droite, l'autre
—
^ H fc h,
marquer dans septième
occupe tout à
4i. Trois exceptions
la
remar-
^
^.
le troisième, le trait
tandis
un
^^^ placé à mi-hauteur, th t^ ih*
quatrième et le
longe sur
a
ordre est représenté par
la lettre,
cependant
faire les
l'é-
:
Le deuxième droite
parfaite
apportées à la forme de ce caractère pour
n
quatrième
rh
HX
îi,
la lettre
ou
If
A-
d'un
l'al-
œillet.
* ^r. A re-
^^^^^^'ifPi',
dans le
V'PP P?-^7^ P.
Le cinquième
ordre, parfaitement régulier, est caractérisé par
l'œillet placé au bas
de
la
lettre A» rh.
*^.
Il
peut prêter parfois
à confusion avec le septième.
10
Le
sixième ordre est le plus irrégulier de tous
:
son signe con-
numéraux.
"Bcritnre. Signes
en un
siste
te
ou sur
petit trait placé tantôt sur la
le
sommet de
une forme tout à
7
;
C
"7
Pour nuscrite,
fait
la lettre,
particulière
*5
gauche, tantôt sur
ou bien encore
/*"ï
:
-fl
;
^
la
lettre
la
«»• \K'
;
droi-
prend
1*
ifh
4»
h T T. éviter les confusions, principalement dans récriture est
il
bon de noter
dont
aussi les différents signes
ma-
11
les 'for-
mes ont quelques ressemblances.
#h
i -
m
s
*i- s -
•
y- 1
'^i-*7i-'»li
«Pi-**-?*»
IP
m-
I
.
ID
s
I _
O»-
a -
01.
4-a-^i
^a-^a-'Vi
da-^a C - C?
/^a.^s
a
^
1
C?3.Çs hs-hi-jj
a
-
e-
a .
s
f^
Ra-/^i-^i «.ft
4-
j
Les majuscules n'existent pas,
il
a
^
-fil
n*y a qu'une seule forme
de
caractère.
Les signes des
nombre de vrngt
chiffres sont au
1234^6789 20
50
40
50
60
70
12
:
10
80
90
100
10.000.
A remarquer ici les chiffres A - 6 %-%^ On les combine comme suit ÏA ou ï fl* A ;
il
ë
15
;
9B
:
1 1
;
ï§
ou î
49; ?«*§ 104; 3Ç2fl»ë 802; ïgiDBgfl>% 1907.
13
Lecture. Consonnes et voyelles.
6
Le nombre i.ooo du
et ses multiples sont toujours exprimés au
loo précédé d'un autre chiffre qui
chiffre
i.ooo sera î?, 2.000
14
Dans
^K,
3.000
SJ,
l'écriture éthiopienne,
deux points
s ,
la fin
aussi
•:''
points
:
ainsi
tout les mots sont séparés par
à
la fin
,
notre point-
des paragraphes
3^.
Ordinairement on ne I
multiplie
des phrases est indiquée par «
ou
moyen
etc..
virgule est quelquefois représenté par 1,
on rencontre
le
fait
suivre
pas
les
deux
chiffres des
qui accompagnent chaque mot.
CffAPIlJRE II LECTURE Consonnes et voyelles. Les signes 45
Quelle
isolés.
du
fut jadis la prononciation
encore langue vivante,
il
serait difficile
ge*ez, au
de
temps où
il
le préciser très
était
exac-
tement, malgré les déductions que nous pouvons faire de l'examen
de ses
lois
phonétiques et de sa comparaison avec l'arabe et les
autres langues sémitiques, et malgré nes.
Cette prononciation
a,
de
fait,
des dialectes parlés. Néanmoins, jours,
une physionomie
la
tradition des écoles indigè-
subi avec le temps l'influence elle
conserve, encore de nos
particulière, distincte des dialectes vivants.
Elle est presque uniforme dans toute l'Abyssinie, et à peine relève-t-on chez les habitants
tuer un peu fortement
du Tigré une légère les
inclination à accen-
gutturales ou les emphatiques.
Nous
signalons ci-dessous, celles des voyelles et des consonnes qui ont
quelque chose de particulier dans leur prononciation.
'
Lecture. Consonnes et voyelles.
7
Consonnes. 0, ih, •
,
«.
qui représentent les aspirations,
fi, ti,
^
,
,
^
,
16
parfaitement distinctes dans le Tigré, se confondent ailleurs.
,
A
ï*' et
qui traduisent J- et ^^
tre s dur dans
X
et
P
:
Il,
t:{,
i italien.
le
dont l'équivalent est
h
se
1
est toujours dur,
lit iJ /:,
le
est.
j
S
se
,
lit
et 4" reproduit le
cgmme
J
r
le
j
le iv
et
T se
fl
se
lit
lisent habituellement
comme
tantôt
anglais.
;{.
arabe.
ég/ptien,
Vy français dans
allemand,
A
no-
.
comme
le
ni sont rendus exactement par cj
"f*
comme
sonnent tous deux
,
sain, sauf.
se lisent
f
•
comme g
mot
:
dans
:
gant.
rayon.
et J»
comme en français.
p
le b français et tantôt
comme le
b basque.
Voyelles.
Des
sept sons qui
constituent le vocalisme éthiopien,
deux
d'entre eux sont brefs, ce sont ceux qui appartiennent au premier et
au sixième ordre
ve par
les
;
sont longs. Bien qu'on les transcri-
les autres
voyelles françaises, leur lecture n'est
équivalente, nous en expliquerons
la
ce de
l'a
anglais
:
Vfl^
vent seules le son de
1
l'a
est le plus souvent intermé-
muet, ou encore offre
nebere,
absolument
valeur.
Le son voyelle du premier ordre a diaire entre notre a et notre e
pas
la
consonnan-
demeure. Les gutturales conser-
il
pur, d'où la constante permutation
du
premier ordre de ces lettres avec le quatrième.
Le deuxième
ou
:
a long du quatrième ordre,
i
ordre se
lit
CH^
s
regum, maudit
0*4*h
;
«
buruk, bénit.
en français e
:
+A.ft
»
du
qhis, prêtre
du cinquième ordre
;
troisième ordre
fl^h
se prononce e
1
ou
sonnent
comme
baraka, louer. ie :
fl»'lh
biet,
maison
;
17
Lecture. Voyelles.
ât"
h^lr
amen
;
'h'Tïih^h
du septième ordre son
pur ë
d\i
'eg:{e'etna,
Notre Dame.
paraît plutôt se rapprocher
de ouo que du
F^Clf dorho, coq.
:
sixième ordre représente
toyen entre Ve et
son complexe, mi-
Vi.
Seule d'entre les et les lettres qui
comme a un
.ë
voyelles,
ne se prononce pas quelquefois
en sont affectées, ne font entendre; que
sourd de Tarticulation qui leur est propre,
comme
il
en est dans
nos langues européennes pour les xonsonnes sans voyelles radoub,
l
et
d dans talmud,
La lecture des consonnes 4*, oua, oue, ou&,
18
La
lettres
r
le bruit
;
b
dans partisan, etc..
*fe
'^ h»
*?",
etc.^
est celle des sons
etc.. combinés avec les diphtongues om à,
'11,
dans
oui,
,
répartition des consonnes, suivant leur prononciation
rôle qu'elles jouent dans la phonétique, peut s'établir
Aspirées ou gutturales
K
Palatales
1
gh
h
comme
il
ou
le
suit
:
'\
f
Dentales Labiales Sifflantes
•
Nasales Linguales
Semi-consonnes
ou 19
Au
lettres faibles
point de vue morphologique, on les divise encore en lettres,
radicales
ou
serviles, suivant qu'elles sont
exclusivement employées
à former des radicaux, ou bien qu'elles peuvent servir à former des
dérivés
mêmes
Radicales
rfa
i*P
ServUes
l>
A
radicaux.
ù *
^
fi
-Il
fl
a
ft
i' V
1
m
h h
K A OJ
H f
A
Ti
Lecture. Accent.
Les signes combinés. Les voyelles
comme dans aucune
consonnes dans leurs rapports mutuels,
de chacune
l'emploi isolé qu'on fait
peuvent former entre
lettres
elles sont indifférents.
de préférence absolument marquée pour aucun
n'a
L'éthiopien
—
son voyelle ni pour aucun groupe de consonnes. a cependant
ôtr^
paraît
surtout dans
fréquent
comme
séparément, ou bien encore les différentes associa-
que ces
la
la
la
Le son ë
auxiliaire
voyelle
cinq longues ne donnent
fondamentale.
voyelle
forme verbale. —
est
il
:
20
d'elles, n'offrent
particularité invariablement constatée, l-eur usage
lettres prises
tions
et les
est,
dans
la
Elle
domine
après a, le plus
—
flexion.
aucune remarque.
lieu à
La voyelle
On
Les peut
dire cependant qu'elles préfèrent le voisinage des brèves à celui
des longues rencontre
avec
u et a aiment à être accompagnés
:
plus souvent dans
le
les gutturales
fréquence (17);
Dans noncent dit seul
;
nous avons déjà
quelquefois sa
tantôt
:
il
Accent.
il
haut
son
la
raison de cette
à.
21
—
de sa
celle-ci par rapport
redoublement, l'accent
tirer
jusqu'à
le
de nos
une
aux radicaet
sur-
lecture.
Les règles qui
on eût dû
les
de
le
appartient,
être très exactement précisées
Ludolf
est mobile et tantôt quiescent (17).
le rôle
tout l'usage règlent les lois
depuis
â se
tous les signes consonnes et voyelles se pro-
consonne,
du mot auquel
Trumpp,
;
bref du sixième ordre, avons-nous remarqué, s'assour-
l'ë
semble-t-il,
dit plus
inclinerait plutôt vers le
i
la lecture,
La place de les
:
du son ë
mots étrangers ou bien encore
les
concernent ne sauraient
jours.
De
l'usage au moins,
codification complète
;
cependant,
Dillmann et aux derniers travaux de
conclusions ont varié avec les sources consultées.
Nous nous bornerons
à noter
ici
le
2
résultat des observations
du
22
10
Lecture. Redoublement.
dernier de ces auteurs
—
1.
Dans un
l'accent n*a point
radical,
nombre des
le
reuse, exigée par yelles.
*.
ou
syllabes
de place rigounature des vo-
la
2.
—
L'accent est toujours sur une des trois dernières
3.
—
Dans
sylla-
bes. le
pénultième porte à peu près toujours
la
verbe,
Taccent, sauf en quelques cas avec
où l'accent est sur
—
4.
Dans
la
le
l'es
pronoms personnels
suffixes
dernière syllabe.
nom, Taccent
est le plus
proche possible de
la
dernière syllabe longue.
—
Redoublement.
23
Le redoublement d'une
>
dans un mot n'est indiqué par aucun signe extérieur arabe
en 24
;
radicale
comme en
l'usage seul et quelques règles peuvent l'apprendre.
Nous
traiterons au paragraphe des modifications phoniques.
Lecture de
—
l'ë.
Marqué de
l'accent
ou du redou-
blement, Te du sixième ordre est toujours mobile. Sans accent ni les règles
redoublement,
exactement 1.
A-n
—
il
suit
sa lecture semblent se
résumer assez
:
Au commencement du
mot,
il
est toujours
mobile
:
cœur.
lebb,
2.
comme
de
—
A
la fin
des mots,
il
est quiescent, à moins qu'il n'ap-
partienne à une palatale avec diphtongue, à une semi-voyelle ou à
une gutturale ^'•flîi 3.
:
'V-A*!^ huelque, nombre
—
Au
milieu
du mot, on peut dire
et mobile après
que jamais deux ë
successifs
i.
(Ï^O^
badwe, désert
;
qeFe, onguent.
après une mobile,
qu'ils
;
ne soient placés à
Z D
M
G, XXVIII,
quiescent
ne peuvent être quiescents, à moins
la fin
p.
qu'il est
une quiescente, en observant
du mot.
5 1 5-56 1 .
11
Lecture. Signes combinés.
L*usage cependant
du moindre
ici
"demeure encore
ou de l'emphase dans
effort
la
la
grande règle
:
la
prononciation populaire
a créé des lectures pour certains groupes de lettres, que
la
prati-
que seule peut apprendre. En général, on peut dire que, pour mots
prononciation originale est à
étrangers, la
loi
les
peu près conser-
vée.
Nous donnons
ci-après
un spécimen de lecture avec
ciation figurée
en caractères
ciation d'après
une lecture du mammher Gabra Johannes,
cepteur du jeune
wa'emze
farassawi
ba maqsut
qedmehu
'Ijasus
kama
wa'emze
fils
latins
;
la
pronon-
nous avons noté cette prononjadis pré-
du*Ra's Makonen, le prince Tafary.
'Akrosenna
Sem'on
be'esita
dorho
'amse'at
zasebus
westa
wa'anbarat
dahel
ath-ah^t
-lins
^dJ^:
wMa/L^'.
wa'ab'at
haba
ma'ed
wa'anbarat
lamadhanina
wasoba
re'eja
'egzi'e
-^dA:
/*'4.^s
iDj&n.«
a^iht
ma'eda
seru'a
wajebe
baseha
jetfassam
sabha
zasehuf
hebsta
ba'enti'aja
wawahaba
lalehuda
25
12
lOAft:
Lecture. Signes combinés.
Lecture. Signes combinés.
aoï-t
;
hrhniOi
13
14
Modifications phoniques.
CHAPITRE
m
MODIFICATIONS PHONIQUES Les voyelles,
27
dans Ici
le
aussi bien
corps des mots
que
les
consonnes, en se rencontrant
sont sujettes à subir diverses modifications.
encore, on ne saurait donner des règles absolues
ge'ez est aussi riche dans ses modifications phoniques
:
la
langue
que peu
ri-
goureuse dans ses principes.
Voyelles.
Les modifications que subissent tes
:
la
permutation,
le
sont de cinq sor-
les voyelles
changement de quantité,
la
crase, la con-
traction, la disjonction.
La Permutation
28
voyelle par l.
du
voyelle. Voici les principaux cas
ë se change en a devant une gutturale de son
Dans pour
une autre
consiste dans le remplacement d'une
les
les
verbes de
réfléchi
J&'^/t*7
manuscrits modernes du moins,
il
la
première gutturale
;
la
a.
règle est absolue
les préfixes
passif sont en dehors de cette règle
abandonnait.
:
:
personnels
f '1lift'*7 pour
15
Permutation de voyelles.
•
me
Dans
verbes de
les
la
deuxième gutturale,
radicale simple est soumis à cette
M^
Dans ceux de
(ihYl enrôle^ de
la
Aïih
;
troisième gutturale, cette règle n'est pas appli-
dans aucune forme substantive. Après
ni
ve Ai«, on peut avoir ë ou a devant
H.
:
la for-
AU*.
grandis, de
quée,
loi
de
l'impératif
la
gutturale
la particule négati-
du premier ordre
:
change en e devant une gutturale du sixième ordre.
a se
C'est sans exception pour les verbes de
la
deuxième gutturale
et les
substantifs qui en dérivent:
f'MiTn pour JZ.AKh il erivoyail a se séparait ; ^'Vl il se sauva.
;
ftï'tCài^ pour ftt'td^^
Les préfixes caractéristiques des formes dans première gutturale, restent invariables
:
les
verbes de
txhff^Q sache
;
la
tyM^lr
persuade.
m.
Devant
si
fait
la
troisième gutturale
elle est c<
en a
:
//
leur dit
celte miséricorde »
:
H'}'^
Le changement de
IV.
à
s
radicale.
Néanmoins,
font toujours sentir
jef^sem,
1.
II.
ils
les
ici le
la
du mot qui
il
emplit,
a,
dans tous
H^rh
mat.
//
la
reçoit peut prendre
9^i'hé/l*h' au lieu de 9°i'hd'th, ê, à l'imparf.
comme
le
de toutes
les
formes
pense Dillmann, du
disparition du redoublement de
mammerans redoublement
accomplissaient.
Ilois 2, 5.
^'"^h
vous êtes bénis, parce que vous ave\
en
intensives, provient peut-être,
d'une compensation pour
:
dont on se sert parfois pour marquer
ti,
l'enclitique
citations, la dernière voyelle
les
ë,
change en ë devant une gutturale du son
a se
verbes de
les
fait
la 2*
abyssins dans leur lecture, :
f»^fk9^
jefhssem et non
16
Changement de
V.
se change en â au fém. des adjectifs de
i
u,
se changent en e, quand
i
sixième ordre.
TfïiT
ë appartient à une semi-voyelle,
:
comme
Les préfixes des formes verbales,
qu'ils affectent
;
h'^Mix
du
e
hl
fém.
premier de ces deux
le
quand
;
deux
longue demeure.
la
personnels préfixes modifient aussi
baux
forme •P'fcA
sont suivis de
ils
'7fl-C fém. •^-flCl' qui est fait
maître, maîtresse. Toutefois,
VII.
la
fMh nouvelle.
ih'%tt nouveau VI.
quantité.
la
les différents
vocalisation des radicaux ver-
nous verrons ces modifications dans
la
conju-
gaison.
Devant
VIII.
du mot qui
yelle
les suffixes personnels
les reçoit, subit
rons aussi au livre de
IX.
(O^
f
^
:
nous
les ver-
morphologie.
u avec leurs semi-voyelles
i,
produit habituellement les changements sui-
:
1°
T,
maints changements
La rencontre des voyelles
homophones vants
la
objectifs, la dernière vo-
OK
et
infinitif
f-.
L
i.
de
'^m
de T''^ mourir.
ticipe
^ ainsi
deviennent I»*,
:
'^^T
pour ^f-.
î^fl>-> pour î^fll.->,
tourner;
On
l'on a
trouve néanmoins
*î*f--/h
rouge
parJ^T
;
OKf^ malade y etc.. 2°
est
29
if
et
u
flï
deviennent
moins fréquente que
la
ë
f
q 03,
,
précédente
OtlP. grand. Mais tOr?^ pour
rt'fcP-, infinitif
COh
M^CD
pour Ti^-fl^*, participe de
-Changement de I.
tion,
à devient â
dans tous
verbes de substantifs
la
i°
les
devant
//
Cette
VîU^'l*
:
permutation
les
prophètes
de rt^f
//
;
'M
hoit ;
répand.
quantité. les aspirées
verbes de
la
^'^
du sixième ordre sans excep-
gutturale
;
le causatif réfléchi
gutturale suit cette règle, et, avec
comprenant une aspirée parmi leurs
J&'Th^Ah pour J&l-^Ah,
sur
la
lui, la
plupart des
radicales.
forme f•-T'^'^A.
des
On
a
:
17
Crase. Contraction de voyelles.
a^lfOD!^ sur
^/h-fl sur
forme '^4»'^A
la
â devient a devant
IL
l'Pf^
vase, plur.
On
III.
S^h^,
deux
une semi-voyelle
partienne à
la
forme ^'i'A
le
premier n'ap-
rt^*fe voleur^ plur. tïù^'ï"
:
i^^^f^^
i^-V/?^ beau,
;
moins que
ë, à
de
CM
voir
Cdf
imparfait de
belle.
^flvA,
;
parfait
i.
I.
de -flUA
jf^%^ La Crase
consiste à fondre la voyelle finale d'un
la
d'un a«tre mot.
voyelle initiale
En
nences du
les plus
communes
mot avec
30
;
côté, le
h-flJt fou, plur. K'fl^'ï
'Vf^DÙ^*^. Avec
restent invariables,
àlXLl^
;
"^-flC
i
se produisent entre les dési-
et â 1* et les finales è â
pluriel régulier â '>
science, plur.
Dans
dire-,
pcàlre.
voyageur, plur. rfi^C^I'
in
:
éthiopien, cela se produit pour les suffixes et les désinen-
Les crases
ces.
'i^f*
;
trouve ë allongé en ë devant quelques gutturales
imparfait
;
¥\r^. Mais ïxh^ù.
forme
la
ft^/h sur
;
désinence accusative
la
devient ë, ë devient â
travail,
ace.
;
:
•7-0^
ÇAÏ
;
àlr^/**
:
th^Cf
'Tl^UClë o â
à,
flûte,
ace.
^^'^
berger, ace.
;
10.
ace.
verbe, les désinences u,
â
de
la ^*
pers.
du
pluriel,
temps
parfait, s'unissent à la troisième radicale sans aucune modification.
— Les crases
+i'A*, ^i'A
ils,
de
la suffixation
des personnels objectifs, sont indiquées au chapitre
où
il
est parlé
elles tuèrent,
de 4»i'A.
résultant
de ces derniers.
La Contraction seul son, représenté par
des voyelles consiste à fondre en un
une longue, une voyelle
yelle qui se suivent dans le corps d'un
La contraction
est toujours
même
et
une semi-vo-
mot.
accompagnée de
la
suppression des
semi-voyelles. Cette particularité phonétique trouve son application spécialement dans les verbes
de
la 2' et
Nous indiquons quelques-uns des cas
3
de
la 5* faible.
les plus fréquents
;
néan-
3i
18
Disjonction de voyelles.
moins, plus que partout ailleurs, on ne saurait en tirer des princi-
pes rigoureux. .
â
fl'*
e
fl»-
= 1?**iïi répons mais Afl^Tf amandier. = u J&V-Î^ pour ^Itahr" mais ^O^^^ famille, = ^V pour ^J2.> prudent n.^- pour df'^ 0.
;
;
af.
ê.
il
est
;
maison.
ef> =1.
J&'T.T
pour
J&î^je.T
tourne
il
;
Ckt^
mais
vois.
Les longues
32
â u ê o suivies de
Mt'f' mauvais
:
point
i
;
consiste
à
;
^^
ne se contractent
Î\»C»*
sel.
résoudre en ses éléments
une voyelle formée par contraction. C'est pratique-
constitutifs la
ou de
^flhp» gémissement
La Disjonction ment
JK»
réapparition d'une semi-voyelle absorbée à
contraction.
Elle
ne se
produit qu'à
la
la
suite
d'une
dernière syllabe des
mots.
=
o
a
Oh,
1(ï
côté,
lù^^
plur.
;
UA-
il
OAOK
est,
ils
sont.
= è J&. i^AA. parabole, plur. 9^iï^f^. adhérais. u = ë 0^. ?l'^A• f adhérais ^-hA^C = e "JA^ f^îïCf pardonnons
é
/m
;
;io«s
JK».
i
qu'elles
;
pardon^
nent.
Pour u
et
i,
ne pas confondre cette disjonction avec une modi-
fication semblable, d'origine toute différente et qui est
addition
;
nous
la
une simple
verrons plus bas (^8).
Consonnes.
Les principales modifications que subissent sont
:
ment,
l'assimilation, la
la
contraction, l'accommodation,
suppression, l'addition
la
permutation,
la
consonnes
les le
redouble-
métathèse.
19
Assimilation contraction.
L'assimilation
deux consonnes qui se suivent dans
blés
Cela se produit dans suffixes
De même, du
^
tu es justifiée
corps d'un mot.
le
;
ou
subjectifs
"M^lt
objectifs
que je
V abandonne ^
ou
à la désinence féminine,
dentales
ft rtl, lorsqu'il se rencontre avec elles
f*^fJ^
il
dentales
CDAI* pour CDA.^, de iOti!^^
:
tïfh^'b, —
de
quence de
l'assimilation, mais
La contraction lieu
lettre
la
brûlent
personnels
consiste
à
;
la
f>W
JKi'trh'lh
pour ^V-flO
elles parlent.
pour f>'t"^ih't'
— Avec
^^tl'h pour ^^tïl'h as4u pour
pour îi*7tlA^
les
ïi9^^'iC
il
;
elle n'a
il
est plus
été
Esdras 10, 22.
4.
Henoch. 72,11.
2.
Ruth.
4. F.
M.
I.
4.
ë.
—
pour
préfixes et suffixes
s'humilie
fl^h pour
;
corrompu
doux que ici la
verbal causatif avec les préfixes personnels:
1.
les
Ï'S-
:
en
— Elle se produit ou
particules proclitiques,
— A noter Seigneur.
3.
s'est
graphiquement,
conjugaison des verbes redoublés
ques
f^TàT"/
est toujours la consé-
fondre
tu bénis
^.
hfh± pour hih^
;
redoublement.
n^htl :
pour
après les
en faveur de laquelle
la lettre
encore dans des rencontres similaires avec :
est placé
première des deux est affectée seule de
Elle se produit dans ils
f'fjt^
:
deux consonnes identiques qui se suivent
que lorsque
VJ^-S«
fille
La suppression graphique
faite cette assimilation reçoit le
une seule
aux
s'assimile
prépare.
y a réciprocité par/ois aussi, lorsque "t
Il
Ji^R'fc
:
T du sixième ordre appartenant au préfixe forma-
le
réfléchi passif
se
33
rencontre des palatales 1, 4* avec les
la
h, Vh, ÎU
personnels
pour h^ft^^tU
tif
des consonnes consiste à rendre sembla-
le
;
miel
encliti-
h'^'iC ;
a
MHS
contraction du préfixe
^4*1'Apourïih4*'lhA;
16.
34
20
Accommodation. Redoublement.
Art'f'+I'A
—
7iKflf'4*1'A,
pour
y a aussi contraction
Il
dans certains substantifs provenant de formes redoublées
V^^
flamme pour A-n-fl
;
R4»
;
L'Accommodation
35
manière à en rendre ï
^ devant pour
pour h9^(\li
si
la
pour ft4*4*
enfant
/^"ï ^^awf^ pour ^'Tr'i
;
^(l'>
co/^r^
à cause,
si
^ùOt.
pour
h'înj&V
:
—
non.
Ainsi l'on trouve
facile.
M^af»^
pour
;
Ceci
fluence sur
pondante
ï.
ft
'ï'flA'Th
:
De même, T f
souvent en
K^hrC
;
après
après
le
ft
devient 't,
contraction
Il
in-
Le
préfî-xe
pour
se change
h^fh9^C
pour
Kf^-^^^^C hj\a^^h.
pour
h^ ;
h
cuire.
s
a lieu toutes les fois qu'il y a eu
ou assimilation de
seuls peuvent le faire connaître,
que.
même
de 'hûH
pain,
hji^^^
Kf^^h
Le redoublement
36
le
—
proclitique négatif
;
la
la
se change en sa dure corres-
pour 'V'fl'Ml'
À,JK.+1-A pour
;u^ft'^3^^C, de ^^:
T
de
suivi
MM
;
surtout dans
a lieu
transcription xies mots étrangers, où les dentales ont
— 'H
cœur pour
A-fl
consiste à approprier des sons, de
prononciation plus
les labiales
;
VJ^
:
consonnes
;
l'usage ou
aucun signe extérieur ne
est constant à la 2* radicale
de
l'intensif
de tous
sens
le
l'indi-
les ver-
bes.
Voici quelques mots usuels où se trouve le redoublement
JiA
ceux-là
Uf
ï\f\
mais
"hG comment
îtCD
oui
T4»
"hOD
5J
Mfpeu
La suppression.
37
Il
là
beaucoup
faut rapporter ici le cas
sion des semi-voyelles indiqué aux paragraphes
de
:
de
la
de supprescontraction,
l'assimilation, etc.
En
outre,
A
et '^ se suppriment devant les sifflantes,
sans
21
Suppression. Addition.
compensation
les
qu'il se
souvienne
verbes de
en
la i* faible
première radicale au subjonctif de
la
plupart perdent leur
la
ID,
forme radicale simple
eux, tous les substantifs qui dérivent de ce temps
Dans
menty de fl^AA enfanter.
les
verbes de
Wl»^
Dans bes,
f^r"
;
la suffixation
Aftl*
et,
avec
enfante-
cette se-
de traces
:
M^"*
pour ^^fl^jT. des personnels aux substantifs ou aux ver-
U
ceux d'entre eux qu^ commencent par
sonne
:
la 2" faible,
mi-voyelle disparaît aussi quelquefois sans laisser
pour
J^î^r/iÇ
;
qu*il écrive.
pour JS»'lh3\rhÇ
Dans
fA'MïC
J&lihC pour
:
perdent cette con-
et leur voyelle se contracte avec la dernière radicale
du mot
qui les reçoit.
f
se suppriment aussi dans la dérivation de quelques
substantifs appartenant à des radicaux dre, pour rhl^fl^; tï9°
Dans
pour ^"^Tr^HO*,
forme commençant par échelle,
la
3* faible
nom, pour fti^Ji
les
;
h ;
dérivés de
se supprime toujours
Vh-CV^C
ih9^ gen-
:
^'>;^ jumeaux;
substantifs plurilitères
tilr,
MM(D marcher
de
de
tourbillon,
:
la
ÙO^tiO^
de h'>h»Ch«»^
tourner.
L'addition. i
Elle a lieu lorsque
un mot terminé par u ou
doit recevoir certains suffixes personnels
Ces deux
ou certaines désinences.
voyelles se transforment en leurs semi-consonnes
f
phones
et la
,
consonne
qui les portait vient
homo-
du sixième
ordre.
UW
ils
^ICXUft^
la
tu
bénirent,
leur
^IM'^ spirituel,
dis
plur.
pour
(i^M^V
^Ç+^5 amant, ^'idAO^n. ;
;
VlChP-*^ plur.
pour
^^^Cfi
;
Elle a lieu enfin, pour la formation des substantifs et des pluriels
brisés
MOh^
;
soit
rthoÇ
adjectifs la
soit
substantifs.
plante des pieds, plur.
hftJ^
AWiOh,
cou,
plur.
38
'
22
Permutation. Métathèae.
La Permutation
39 nie
:
a lieu quelquefois par raison d'eupho-
nous l'avons vu dans l'accommodation. Le plus souvent ce-
pendant,
la
cause en est
son de certaines lettres
la
et,
parenté ou
la
similitude organique
sous ce rapport, les permutations va-
rient avec les différents auteurs
des manuscrits. Les principales
permutations que l'on rencontre sont les suivantes Gutturales
de
:
23
Morphologie.
LIVRE DEUXIÈME MORPHOLOGIE
CHAPITRE
1
LE RADICAL VERBAL --LES CLASSES DE VERBES LA CONJUGAISON. Le Radical Verbal. Les Formes Verbales.
I.
Le verbe racine
comme
éthiopien,
trilitère,
rarement
le
verbe arabe, consiste en une
plurilitère,
41
dont l'idée fondamentale est
diversement modifiée par une suite de changements morphologiques. Cette racine est représentée, dans les dictionnaires, par
la
troisième personne masculin singulier du parfait de l'indicatif.
Les changements subis par uns sont
faits
par affixation, au
tres consistent
la
racine sont de deux sortes
moyen de
lettres
serviles
en de simples modifications internes qu'on
;
:
les
les au-
fait
jubir
ao radical ou à ses formes augmentées.
A.
—
Réduit à ses consonnes constitutives, un radical ver-
bal peut présenter trois formes différentes
même
radical avec la
voyelle de
la
le radical primitif,
deuxième radicale redoublée, ou bien avec
ce la
première radicale allongée. Chacune de ces cons-
tructions peut exprimer
du
:
une manière
sujet à l'idée verbale.
particulière
de
participation
42
24
Le radical verbal.
— —
1.
2.
y
Le
radical primitif est
La deuxième
un simple énoncé du
radicale redoublée
—
3.
L'allongement de
la
marque
de
a attention, application, intensité d'action
la
voyelle de
part
fait.
parfois qu'il
du
sujet.
première radicale
la
indique quelquefois aussi la durée, Vhahitude de l'action,
la fré-
quence ou signifie encore une action commune à plusieurs.
—
B.
43
Au moyen de
lettres
serviles,
chacune des
mes, que nous venons de voir, peut revêtir encore formes. Elles servent à indiquer sujet à ridée
—
1.
exprimée par
Le
simple radical
4*A^^
il
précède
—
2.
ou
du verbe
Si le sujet
de
le sujet direct
comme cause
efficiente
l'état
de cet
Ce
verbal reçoit le préfixe ît.
bes de sens intransitif est
il
apporte 3.
lui
; dJti(ïi
—
Le
donne
être brisé 4.
:
flhf
augmenté, h'fl'H'Il
il
il
;
rhliQ
il
du
participation
:
estime
exprimé par V*?!**
;
il
le
règne
;
*
etc..
tion,
L'on a
le verbe.
la
trois nouvelles
auteur direct de l'action,
sujet :
nature de
la
trois for-
;
sépare,
préfixe
'i'
le sens passif
a
qu'il
état
immédiat de
l'ac-
exprime, mais se comporte
ou de cette action,
le radical
préfixe rend aussi transitifs les ver-
pleure,
K'flh?
^^h
multiplie,
hÇA/n
il
il
fait pleurer ; fl'H'Il il
vient,
fait séparer,
il
h9^^h
distingue.
un double effet sur le radical primitif
ou
le sens réfléchi
;
M\ù
briser,
:
'tùdéi
/V'flfl revêtir, 'f'A'flrt être couvert, se couvrir.
—
de Kd't
il
il
il
n'est plus l'agent
La dernière modification par addition se ;
fait
au
moyen
ce préfixe indique souvent une nuance réfléchie
sens causatif toutefois est plus fréquent
:
;
éloigné,
hiti'Cfh^
s'éloigner.
le
"Ittid, passer, hil't'lltid*
(D'^i^ contredire, îtftf'^+i*»
faire fuir
;
se disputer ;
Cîti^ être
25
Les formes verbales.
Ainsi,
une même idée verbale peut être
du moins, de douze façons verbal ne possède qu'un ceptible d'avoir.
aucune
dérivées.
la
nombre
en
théoriquement
réalité, tout radical
restreint des formes qu'il est sus-
Pour déterminer ce nombre, on ne
saurait
donner
seul peut aprègle, l'usage seul peut l'apprendre. L'usage
prendre aussi
jours
variée,
différentes. Mais,
de
la
signification
du plus grand nombre des formes
La nuance de sens du mot verbal ne correspond pas toufait très
pratique des
exactement aux caractéristiques de ses formes
auteurs et le
;
dictionnaire peuvent seuls nous ins-
truire là-dessus.
Pour
l'intelligence
de
la
flexion
du verbe nous donnons
l'exemple schématique du verbe ^'tti tuer astérisque les les auteurs.
tion
du
A
nous marquons d'un
formes de ce verbe qui n'ont pas été relevées chez noter que les préfixes modifient parfois
radical.
Formes.
;
ici
la
vocalisa-
45
26
Les classes de verbes.
Les classes de verbes.
II.
On
46
peut classer les verbes suivant
de leur conjugaison.
et suivant la nature
—
1.
en
nombre de leurs radicales
le
D'après
le
nombre de
trilitères, trois radicales,
et
en
on
leurs radicales, plurilitères,
plus
de
les
divise
trois radi-
cales.
—
2.
en verbes
D'après
nature de leur conjugaison on les partage
réguliers et verbes irréguliers.
Les verbes
a)
la
exceptions
;
ne constituent que quelques rares
irréguliers
ce sont pour
la
plupart des verbes très usités.
Les verbes réguliers suivant un mode
b)
normal,
forment
la
partie des
majeure
se divisent en verbes
de
verbes
conjugaison
éthiopiens.
Ils
verbes faibles et en verbes guttu-
sains,
raux.
Les verbes radicales ni
sains sont
semi -voyelles,
ceux qui ne contiennent parmi leurs ni
gutturales
;
on
les
appelle redoublés
lorsque les deux dernières radicales sont semblables.
Les verbes
faibles
une semi-voyelle,
et les gutturaux
est
le
radical
ceux qui comprennent une gut-
des verbes
qui renferment
plusieurs semi-voyelles
ces plusieurs gutturales, ou encore comprennent
de
desquels entre
*
turale. Il
dans
sont ceux,
lettres à la fois
;
on
les appelle
:
ou
deux catégories
perbes doublement faibles, ver-
bes à double gutturale, verbes faibles gutturaux.
;27
Conjugaison. Temps. Modes.
Sains. I
Trilitères
l
Plurilitères.
1 f
I
Il
faut noter que,
Réguliers.
l
Faibles.
f
Gutturaux.
Irréguliers.
comme
dans
les autres
il
langues,
se trouve
en éthiopien plusieurs verbes réguliers soumis à certaines irrégula-
un temps ou^à quelque personnne. Mais, outre que le nombre en est restreint, il est impossible d'établir à leur égard une
rités, soit à
règle
commune.
La Conjugaison.
III.
Temps, modes, personnes.
—
Temps.
Dans
la
comme
conjugaison, l'éthiopien,
les
autres langues sémitiques, se place au point de vue objectif.
considère plutôt le
dans lequel
elle
fait
de
s'accomplit. Pour
deux temps
pas, d'où les
la réalisation
:
de
l'action
lui, l'action
parfait, action
est faite
achevée
le
que
;
47
Il
moment
ou ne Test
imparfait,
ac-
sont
pas
tion inachevée.
Les autres étrangères
ou à
il
;
l'aide
nuances de temps néanmoins ne
y supplée par
le
moyen des
lui
invariables
particules
de constructions particulières qui relèvent de
la
syn-
taxe.
Modes. le
subjonctif,
—
Les modes sont au nombre de cinq
Vimpératif,
compte deux temps
;
Vinfinitif et
les autres
le
gérondif,
:
Vindicatif,
l'indicatif seul
modes n'en ont qu'un.
48
S8
Trilitère sain. Conjugaison.
Les
trois
finitif est
premiers modes reçoivent
flexion personnelle
la
un mode impersonnel comme en
Le gérondif qui ne s'emploie
;
l'in-
français.
jamais qu'avec des suffixes per-
sonnels jouant le rôle de sujet, peut être considéré
comme un mo-
de personnel.
La forme catif,
il
participe remplissant
paraît
traiterons
indiquées au bal.^
La
xième il
—
moyen
distinction
et troisième
n'y a point
Les
le
de
rôle
qualifi-
de ce dernier.
Personnes.
49
uniquement
préférable de n'en parler qu'au chapitre ou nous
Dans
conjugaison, les personnes sont
la
d'affixes suivant
du masculin personne
;
et
la
ou précédant
du féminin
première
radical ver-
le
a lieu
pour
est toujours
la
deu-
commune
;
de duel.
affixes
personnels
comme
mes du verbe modifient souvent
les
préfixes des différentes for-
la vocalisation
CHAPITRE
du
radical.
II
VERBES TRILITÈRES L VERBE TRILITÈRE SAIN [Paradigme
Mode
I).
Indicatif.
Parfait.
î.
50
Nota. présente
— sous
Forme
radicale simple.
La conjugaison de
la
forme radicale
simple
se
deux types de vocalisation dont nous donnons
29
Trilitére sain. Parfait.
tableau comparatif de tous les temps
ici le
Indicatif
:
»
— a ea l-fl^ — aeef'l'dC — eae^ldC — eae ItiC
^ i" ii aeeJi + l'A
aûia
parfait.
imparfait.
e5eje.*'>A eee ^•'l'A
Subjonctif. Impératif.
:
Régulièrement, l'adoption par un verbe de Tun de ces deux types implique l'exclusion de l'autre
verbes qui
;
se trouve des
il
cependant,
si
simultanément tous deux à quelques temps.
les suivent
Certains verbes aussi le^ suivent tous deux, sans jamais admettre
cependant une double forme
^rtA ^
et
/iO^^
et
fA^^
WK
^ttii
;
être semblable
être rassasié
;
JM'rtC pour
Formation.
Le
voir
f>^:^Ô
et
f^'i^K pour f»'\éJC
j^Tr'tïC
parfait
se présente sons
iP^/i
et
approuver
etc.. 'llA'l' périr, subjonct.
de
;
;
^J^i^Ô
J&'ÎA4» ;
etc.
.
Vfl^ demeurer ,
etc..
;
la
stitué par le radical verbal tel Il
i^^^
;
ftî^0 résonner, subjonct.
s'enfuir, subjonct.
subjonct.
:
forme radicale simple est con-
qu'il
deux formes
est ainsi
donné dans
52
les lexiques.
que nous venons de
le
:
^'"Ah posséder
;
'ï^-^w»
marquer du sceau
AJ^h envoyer h'^U prendre "^A^ être réduit à la misère P'flA ;
suffixes
noms personnels
Ces
être
La conjugaison du
Conjugaison.
de simples
flhf pleurer
;
;
où
l*on reconnaît
4*fl^ ensevelir '^A*!» périr
f
devenu aride
;
;
;
etc..
parfait s'effectue
au moyen
aisément les traces des pro-
isolés.
suffixes se construisent
;
comme
il
suit
:
53
30
Trilit. aain. Parf.
Parfait en
formes dérivées.
Parfait en
a.
Singulier.
3' p. m.
ë.
31
Trilit. Bain. Imparfait.
ConjugaisorL flexions
que nous avons données dans
première radicale,
ques
Elle se ramène, pour toutes les formes, aux deux
par suite
de
fait,
un changement
;
les
K+f-A
deux dernières
et toutes ces
deux dernières radicales en àâ ou èâ Singulier.
5* p. m.
forme radicale simple. La
de l'adjonction des personnels
radicales seules éprouvent
rivées ont les
la
ne subit jamais de modifications vocali-
:
Pluriel.
formes dé-
55
32
Trilit. sain, imparf. form. dériv.
Formes
2.
58
Formation.
En
tenant toujours compte
propres à chaque forme,
xième ordre,
comme
Aux formes
dérivées.
à la
réfléchies
à et aux formes intensives
les
des caractéristiques
deux dernières radicales sont du
si-
forme radicale simple. cependant, la
la
deuxième radicale
première radicale est en ë
;
est
en
88
Trilitère sain. Subjonctif.
Mode Forme
Le
subjonctif
du
parfait
dre de toutes les radicales
;
subjonctif.
radicale simple.
en a celui
est caractérisé par le sixième or-
du
parfait
en
ë,
a la
radicale en a et les autres en e.
Sa conjugaison
est semblable à celle
Singulier.
3' p. m.
de
l'imparfait
:
deuxième
60
34
Trilitère sain. Impératif.
85
Trilitère Bain. Gérondif.
Mode
Le gérondif se reconnaît accompagne
la
à la voyelle
deuxième radicale
suivent toujours. I.
I.
gérondif.
Ces
et
aux
du troisième ordre qui suffixes personnels qui le
derniers jouent le rôle de sujet 2.
:
h
64
Verbe redoublé.
86
IL
On
66
VERBE REDOUBLÉ [Paradigme
pourrait appeler de ce
nom
tous les verbes trissyllabiques
qui ont deux radicales identiques de suite
ce nom aux verbes dont VflQ converser se réjouir
67
;
;
mais non
Rft'î' survenir
Conjugaison.
des
i^l^O ;
être avide
si
mais en
;
fait,
on réserve
seule est redoublée rtrtA s'éloigner
;
:
Hllf
etc..
Leur conjugaison
trilitères sains,
;
seconde radicale
la
II).
est
en tout semblable à celle
ce n'est que Ton y observe
contraction des consonnes exposée au livre de
la
la
règle de
la
phonétique (M)-
Cette contraction n'est pas cependant absolument rigoureuse et
Ton rencontre assez fréquement des formes non contractées. Parfait en
ë.
Verbe de
Imparfail
I.
37
la 1* faible.
L
Imparfait
II.
1.
Singulier.
5^ p. m.
JiV'fl'fl
^V-fl-fl
f.
l-V-ri-fl
;l-V'fl'fl
1-i'fl'fl, etc..
;l'5f'n'fl,
2* p. m.
etc..
Pluriel.
Wn-
5^ p. m.
^
^'Vn
W-nn-
^VO-
et ^i-flO-
^>fl et ^i-flO, etc
etc.. çt j?.i-fla,
..
VERBES TRILITÈRES FAIBLES
///.
A.
et
1.
Verbe de
—
Les verbes de
la 1^ faible
la
V faible
jugaison régulière des verbes sains,
[Paradigme
en
f
IIl).
suivent partout
la
con-
du moins, en ce qui regarde
première radicale. Sur cinq qu'on rencontre dans
68
la
le dictionnaire
éthiopien en effet, trois d'entre eux relèvent des verbes à gutturales,
un autre des verbes redoublés.
f •flrt
f J^O B.
èlre sec
;
f Qfl
exulter
;
Ce
sont
:
J^'^K tomber
;
^O^V être
clément
;
annoncer.
—
Les verbes de
la
i' faible
en ID suivent aussi
la
conju-
gaison régulière des verbes sains en observant les particularités suivantes I
)
:
Sauf quelques exceptions, tous ceux qui sont usités à
forme radicale simple, perdent
la
la
semi-voyelle au subjonctif de cette
69
38
Verbe de
la !• faible.
forme et prennent un a habituellement à leur deuxième radicale. Voici
nomenclature de ces verbes
la
(DOU
donner, subj.
fO-M
couler
flïj^4»
tomber
rer
IDOA
;
;
CD^rt hériter flJftt'
/>/^r
forme pleine
la
;
CDAft
;
;
(D0h
enfanter,
descendre
sortir
;
(O^/i creuser
})
cracher
;
aussi la
ce sont
z'iVr^ aw:v
4)
(D/L(0 jeter
;
forme défective en
;
;
même
temps
;
CDflft conduire
;
l»1^
IDniV commencer.
é/r^
fl>*1fft
la
ifîmi/iu^
rencontre un seul parfait en
subjonctif en a,
f>tit-^^, de
;
forme pleine
«W^O
e,
allaiter
:
;
Oi/i^ <0
ai4»i>' protester.
Parfait.
Sing.
brûler
champs.
On
70
;
O^Ù?
:
Les suivants admettent seulement ;
MJ^
CO'lim et (O^'^m déco-
;
(OiP/: scier, subj. f^iPQ et ^fl>-/^C jeter
;
subj.
O^Ùii demeurer.
Quelques uns ont
2)
que
et
;
eii'fî
:
Verbe de
la 2' faible.
Imparfait.
Sing.
Plur.
3" p. m.
39
Verbe de
40
4)
de
A
la
la
Au
gérondif des verbes faibles
voyelle
i
en
pour ^OK^ malade
la
On
e.
OK
forme participe,
5)
A
remarquer
a
:
en f,
il
y
a la
permutation
tPj^(f^ pour O'^'uP^, de "irtl vendre.
se change quelquefois en fl^,
^fl^JK»
(28).
qu'il
ne se produit jamais de disjonction dans
conjugaison des temps et des modes.
deux subjonctifs en a dans J^i^flïji, des verbes
72
la 2* faible.
dfO^
les
On
verbes de
Rencontre seulement
la 2^ faible.
J&Cfl^JKr
s'abreuver, et ft
et
Verbe de
3.
Les la
Verbe de
41
la 3* faiWe.
la 3^ faible [Paradigme V).
conjugaison de ces verbes sont celles de
lois qui règlent la
conjugaison des verbes sains, combinées avec
iraction et
qui sont I
)
de
la
disjonclion.
On
de
lois
la
con-
relève chez eux trois observations
:
Toutes
les fois
que
les
deux dernières
bes appartiennent au sixième ordre,
ë p* devient O^ donne de même
voyelles disparaissent
Le groupe
a
on trouve ë pour Les
les
78^
:
de ces ver-
radicales
y a contraction et
il
u
;
ë
J8i
devient
souvent o
;
semi-
les
i.
mais plus rarement
à f'.
finales a fl^ et à
J2»
se maintiennent aussi facilement, lors-
qu'elles ne sont pas suivies d'un suffixe personnel. pers. plur. masc. CD. se maintient souvent aussi
A
comme
la }*
et 2*
^ 2" pers.
fém. sing. 2)
Il
y a disjonction dans
la j* faible
toutes les fois
sonnel objectif.
Il
les finales
que ces
contractées des verbes de
finales reçoivent
y a aussi disjonction dans
le
un
suffixe per-
cours de
la
flexion
personnelle avec les pronoms subjectifs. j)
en
f
La forme simple
préfère
la
réfléchie passive des verbes
construction
't^^li
Parfait.
Sing.
3'
p.
m.
plutôt
de
la
2''
faible
que i'+i'A.
74
42
Plur.
Verbe de
la 1* gutturale.
Verbe de
Dans
2)
ixM* avec ë
s'allonge
})
formes simples causalives refléchies, a du préfixe
en
toutes les fois qu'il est devant
â,
hft;f-;h+^,
:
i de parfait IV.
de h9^i
subj. IV. i
rougir
les
43
la 2' gutturale.
croire-,
A\^ù
mépriser
;
la
gutturale
ytt^h9^, de
subj. IV. i
^ft-hW^,
'IfiC^
etc..
;
K du causatif ne change h^
négative
brève ë
la
préfixée,
A
pas. dii
noter qu'après
la
particule
verbe guttural changée en a
reparaît souvent. h^f>t\9^'} pour Ai^fî*/"}, etc..
Imparfait. *
Pluriel.
Singulier.
^hn
3* p. m.
?hr"h
f-
2"
p.
m f c
Vp.
2.
Verbe de
la 2^ gutturale
{Paradigme 1.
de
—
La gutturale de son ë change toujours en e
De
son â qui la précède.
verbe subj. 2.
;
fp^V^, 3.
là
A}ih envoyer un message II. 2 ^Ai-Aîih, imparf.
—
Le
de
—
VII).
subjonctif
L'impératif
f^Mùl,
:
IV. 1
;
imparf.
I.
1
;
^Aïih,
etc.. la
gutturale en
â.
J^Ajih
:
Parfait.
Sing.
M\\i
AU*
f
AhhTh
Aii+1-
m.
AMflh,
5* p. m.
2*
p.
;
etc..
1 du parfait en â a toujours ses
1.
premières radicales en â
;
voyelle
viennent les formes suivantes du
Lia toujours
AU+ croître
la
etc..
AU+h,
etc..
deux
77
44
Sing.
78
Verbe de
la 3' gutturale.
45
Verbes doublement faibles et guttur.
y.
VERBES TRILITÈRES
DOUBLEMENT FAIBLES ET GUTTURAUX, [Paradigme IX). Les combinaisons que Ton peut les gutturales
faire
avec
les
pour former dès radicaux sont
semi-voyelles et
fort
nombreuses
toutes cependant ne se trouvent pas réalisées. Celles que
rencontre dans
le
lexiqu^ éthiopien sont les suivantes
Nature des verbes.
:
;
Ton
79
46
Verbes doublement faibles et
gTittur.
Toutes ces catégories de verbes sont soumises aux semi-voyelles ou gutturales. leurs,
Cependant,
nous rencontrons des irrégularités
lexique peuvent seuls les apprendre.
80
;
ici
lois
plus que partout
des ail-
l'usage des auteurs et le
Verbes doublement faibles
et guttur.
47
IV. I'
g. et 2« g.
I*
g. et
r r
2* g. et
g.
g.
Imparfait.
Nature des
verbes.
*5''
p^rs.
I.
r
f.
et
2'
f.
et
r r
^fll^
f.
f.
II.
l^f.
2*f. 2"f. 3^f. 3^f.
2''g.
rg. 3^ g.
i^g.
2«g. III.
1' et 2'
f.
f
et }'
f.
2^
y
f.
1^
I'
2" et
IV. I'
g. et 2' g.
I'
g. et 3' g.
2'
g. et 3* g.
g. g.
g.
m. sing.
81
4S
Verbes doublement faibles
%%
Subjonctif.
Nature des verbes. 1
et guttur.
Verbe quadrilitère
sain.
CHAPITRE
4|^.
111
VERBES PLURILITÈRES QuADRiLiTÈREs
Formes saine
I.
redoublement d*un dissyllabe,
dicale d'un trilitère,
un
ventice à
+A+A détruit,
de
;
redoublée.
—
etc..
;
le
plus souvent par
le
redoublement de
AA<(.A
Hl-HAA
sourdre enrouler
;
;
li-flCl* débris
;
'tKhOi faire
la paix,
;
8s
dernière ralettre ad-
MfO marcher ^CHH éclater
'tù'ihfi demander grâce, de rtKA prier
de
la
ou bien encore, par Taddition d'une
radical trilitère.
branler
—
etc..
et
Les quadrilitères sont formés
Formation. le
[Paradigme X).
^"^iKld
;
;
être
de ftW. concor-
etc..
Leur morphologie
Conjugaison, tères
;
ils
se modifient
mes cependant peu près
la
est semblable à celle des
comme eux en
est plus restreint
;
formes.
la
Le nombre des
for-
forme radicale simple est à
seule en usage dans les quatre voix, à peine rencon-
tre-t-on çà et là, quelques formes fréquentatives
et réfléchies,
A
trili-
III.
des voix passives
3. IV. 3.
noter dans les quadrilitères deux formes passives anormales,
restes d'une très ancienne conjugaison semblable à la septième
forme arabe ^lijl.
.
V.
M+A+A,
VI.
i^'^h-Ch»^, etc..
Les règles de leur flexion personnelle sont celles que nous avons déjà vues dans
les trilitères
;
les
tent pas habituellement
6
redoublés ne se contrac-
84
50
Verbe quadrilitère
Parfait.
faible.
52
Nom,
formation.
CHAPITRE lY LE SUBSTANTIF NOM ET QUALIFICATIF Formation.
I.
88
Les langues sémitiques réunissent
Appellatîf et qualificatif.
nom
habituellement le traitent tous
nom
et l'adjectif sous
deux comme des ou
appellatif
une même rubrique
Le premier est appelé nom qualificatif. Pour ne pas
substantifs.
qualifiable, l'autre
contrevenir à l'usage, nous avons réuni toutefois, '
pour plus de
ment, dans
la
clarté,
dérivation
gnerons du mot de nous joignons
89
dans
les flexions.
Vadjectif et
qualificatif,
Nous conserve-
le
participe,
Nous
comme
pien. Tels sont par
^^A;^/h'lh mâchoire, de
Vj^
étendre
dicaux
;
exemple
:
mordre; 'flrfbC
Ô9^(0*
tranquille,
ceux ratta-
formes qui se ramènent à une racine
les
verbale sémitique dont l'usage
A'ihr/i,
auxquels
qualificatifs dérivés sont
qui proviennent par modification d'un radical primitif.
chons aussi aux dérivés,
et l'adjectif,
et de relation.
Les noms et
Primitifs et dérivés.
nom
dénomination de nom et nous dési-
la
noms (Tagent
les
ici le
nous en traiterons toujours séparé-
comme
rons aussi au substantif seul,
et les
terre,
verbe n'existe pas en éthiol'inusité
fl/hC mer, de 'fïîhd,
Trh«A projeté,
"^
fl^/h chauve, des
ra-
nombre dans
le
0^01, OlrhA, nCih. Nom. î.
90
Les noms
primitifs sont
lexique éthiopien.
Ce
Noms
primitifs,
de beaucoup
le
sont en général, des
petit
noms de choses
fort
Noms communes, des noms de
prend
:
puisse les
WA
cerf
Afl^ti amandier
;
;
ou bien des noms ex-
plantes, d'animaux,
primant des idées très élémentaires. téristique qui
58
dériyés.
faire
iWh
•flCM
Ils
n'ont aucune forme carac-
reconnaître; l'usage seul les ap-
]ardia lentille
fVlà
;
brebis
•flCÔ calame
;
flA4» marbre
;
nrh4-/l roseau
;
;
;
etc..
Noms
<2.
La dérivation du nom se
fait
:
dérivés,
soit par simple
signification substantive«au radical verbal
calique,
;
soit
particules
de
la
9i
par modification vo-
en allongeant ou abrégeant ce radical
moyen de
attribution
soit
;
encore au
préfixées ou de désinences.
Ainsi que nous l'avons vu se produire pour le verbe, on ne saurait,
en aucune façon, attribuer à chacune des ces formes déri-
vées, une nuance de sens bien tranchée. La plupart servent à former des noms de différentes natures seules, quelques unes d'entre ;
elles,
à
ne partagent avec aucune
peu après Notons
exclusif,
autre, le privilège d'être le
de certaines catégories de noms.
aussi dès maintenant,
aux formes dérivées
Nous donnons
modèle
que cette
particularité
s'étend
qualificatives.
des principales formes déri-
ci-après la liste
vées.
I..
Formes dérivées par
92
attribution et par
modification vocalique.
1.
2.
3.
— t'A — +1-A
^IC
__
1Ç* moitié ^KC
4HhA
parole
l-nC
;
ouvrier
i^^¥ ;
;
ge-, etc..
levant
;
etc..
i^C^ germe
;
rempart
etc.. ;
'}1^
voya-
54
4-
Noms
dérivés.
Noms
2.
i8.
—
55
dérivés.
Formes dérivées par
ti préfixé qui se rencontre
préfixation.
93
.
souvent en hymiarite, ne se
si
trouve en éthiopien que dans quelques cas isolés
:
M^^
Avec 19.
20.
— —
<^4»i-A
porte
hlfilù larmes
;
les préfixes <"* et
^^AQft
vèiemeai
;
"i"
on a
etc..
;
:
'^•flrtA marmite
t^i'^^ ^^Mv}r vêtement ^C19^^
;
etc.».
malédiction
;
;
etc*. 21.
22. 2j, 24.
— — — —
^4»i-A
9^tliMï
^*;^A ^4HhA
r'ah-a
pelle, Qic...
achat
r'hi'PC
;
route
,
oie...
^'(ïtlâi cuisinier ',^^tt9^ aliments;
^4»^Al* ^11/*'^
royaume
;
^M^^
Qic...
élévation
;
etc.. 25. 26. 27.
— — _
'Hl»;^A
't^^9^
'W»;^A
^MH commandement ;^'Tr^*l
WHhAl-
volonté
1-îii^Cl-
;'l^(ÏC ouvrage;
pro^i^^
;
etc..
tison; Qic...
li^UCl-
^ocfri/ie
etc..
29
— —
30.
—
28.
't^'t^
't^OC
"rt^tA
'MflA.A Moc^s
étude, etc.. ,
'h'flA.A
fcoui//ie
;
etc..
;
56
Qualificatifs dérivés.
35.—
0^
^Mï^^
36.
\^
4'ft'T.I' commencement
â 1*
^'^^l*
— —
37.
De
96
ser
^^Mr
;
Chnl*
•
marché
;
me/ii,
qui désigne
9^/*'9Ô
autel
ou
la
même
^^if'Ç^ fouet; On
f^^d^
:
1
fin ;
;
etc..
etc..
un sens cons-
:
ft'fl^'lh
:
etc.. .
;
action de bri-
etc..
;
Heu
e
:
î^/*'^*
levant
;
i^/^^T
etc..
l'instrument
signifie
forme avec
:
''"AOrt
z^é^^-
désinence féminine ^^^AHfl'lh
la
;
Qtc,.
trouve aussi
OD^^^^
;
;
ce sont
T action
marque
qui
'To^'i'A qui
j)
;
dwinité
tl-fï^^ louange
sainteté;
peu près absolue
action de trouver
ÎP•*;^A
2)
^Aïi^-
;
toutes ces formes, trois seulement donnent
tant d'une façon à I)
ténèbres
^{fflC
pour l'instrument chevalet
;
les
^Mitl^
formes ^^^'l'A et
lettre
;
etc.
.
Qualificatif.
Ô6
Sous ce terme nous comprenons
ici, ainsi
plus haut, les adjectifs, les participes, les
que nous Tavons
noms d'agent
et les
dit
noms
de relation.
1.
Les qualificatifs primitifs ne
rares adjectifs
;
tels
sont
:
comprennent que quelques
K^Ç hésitant If»^ ;
rapide
;
etc..
2. Les formes dérivées principales nous les indiquons ci-dessous
en 97
les
i)
groupant d'après leur sens.
Nom
d'agent.
Il
traduit notre participe actif; sa ca-
ractéristique consiste dans l'allongement
â et l'addition
du
suffixe
voyelle
i.
de
la
seconde radicale en
57
Qualificatifs dérivés.
Ce
sont les formes radicales, causatives et passives qui servent
souvent à sa formation.
le plus l.
1.
I.
5
II.
1
— W"^ — *i'4-t ^;H\* — MP^M ^4»;^^. — hAfiii* Îi+;HV* 2 '^4»;^A. — -tWti^ '^:^;^A. — 'M'^A.
2 •l*;HU
celui qui règne;
diviseur^ etc..
III.
1.
III.
5
possible, etc..
Participe.
2.
passif, se construit
la
désinence
presque habituellement au moyen de préfixes
— **A —
'}Vl-C admirable
0*^h
béni
<^4HhA
II.
'^ft'f'4HhA
Avec
II.
la
désinence
IV. i, il
2 ^+'ThA. 1
;
le rencontre aussi
;
Ç*feC aimable
^^fr'J corrompu
;
;
etc..
etc..
99
dérivées par préfixation,
I.
IV. 1
I.
;
2 ^4»1-A 1
subjonctif.
On
dérivées par modification vocalique.
Formes
II.
du
^^1-A
5
2 ^4*1-A ^ ^ft-h+l-A
vient I.
5
IV.
5 «^n-hjHhA
:
^^^ii^
^¥\rti^, etc..
D'où Ton
a
98
i.
Formes
4»iïA
héritier, etc..
Cette forme qui correspond au participe
sa vocalisation est alors celle
I.
libérateur, etc..
celui qui repousse, etc..
II. <9
avec
^Pô narrateur'^ etc..
^"^h^Tr'i
;
i7D/f^4f
haptiseur
<^Tnft.
professeur
législateur
^i*>'if> meilleur
;
:
;
^^ÇÇ^»
;
schismatique
etc.. ^X-flrh. percepteur
«^ftl^P-flAu g^^^^wr
;
etc..
;
;
58
^QQ
Dérivés faibles et gutturaux.
Adjectif. Les
^.
parmi elles
Ofl.J2»
grand
/ifuà impie
;
z^iVa/if
;#»^A
;
.
;
de relation.
pays, la famille, l'emploi, etc..
«,
etc.
juste
Nom
Jis fi'lfV
â
;
i*'ÇJ2»
\
4»;^A
â
th^tï nouveau
;
— ù^f» buveur heaw^ etc.. — rh^O^ 'ï^*^ abandonné etc.. — ^^^ ;(\6^ différent; etc.,
4*;^A
4.
à signaler
;
:
^tA —
401
formes adjectives sont rares
C'est Il
le
moyen du
se forme au
l^'^ï
céleste-,
qualificatif indiquant le
d.^^^
ermite;
suffixe
voleur;
etc..
Nota.
—
cution, lorsque
charnel
preux
;
L'adjectif se rend quelquefois aussi par circonlola
forme adjective n'existe pas
}\P%'i du démon, démoniaque
;
If/^P de
:
nA9^^
de
la
la chair,
lèpre,
lé-
etc..
;
102
DÉRIVÉS FAIBLES ET GUTTURAUX.
Pour ne pas compliquer
nom
et
du
qualificatif,
les
paragraphes de
nous avons évité d'y mêler
radicaux à lettres faibles et gutturales dont
la
la
les
tique.
Nous rappelons
.
— 4»'f'A —
5* faible.
en ë
:
Ceux en f
ùéo
gutturaux. I*
— +'lhA —
suture
;
fPU
^^
etc.;..
titre
se contractent toujours
ceux en (O ne se contrac^'"OtD* printemps,
:
doux
radicale ont souvent
redoublés. feuille
de phoné-
les autres.
tent pas régulièrement
2.
lois
quelques unes de ces formes à
d'exemple, on établira aisément toutes 1
dérivés des
formation souffre
quelques irrégularités, par suite de l'application des ici
dérivation du
ceux avec
;
pour
9,
flamme
;
ft4»
enfant
;
ij¥
59
Dérivés faibles et gutturaux.
V^^
2" faible.
îffl^*7 paire
;
rapine
^'t'mort
en (D font â au
"^T
;
;
etc.. quelques mots
;
de o
lieu
marchandise
^A
:
parole
^C
;
d^g; etc..
(1^09*
5' faible.
vés ont perdu tion
:
désert
etc.. quelques déri-
;
semi-voyelle sans compensa-
la
th9^ gendre
A't pap/rus
;
th^
;
flèche
;
etc..
'^J&A force
gutturaux. jaloi^ie 3.
— 4»1-A
-^
PhH dispute
;
4»'>?i
;
etc..
;
redoublés. A-fl
cœwr
ft'> rf^Aïf
;
;
/*"} ^^aw/^
;
etc..
't?^ rancune
^* faible,
;
0.^1*
;
Mfl^
compagnon
,
etc.. 5'
On
/"ûftHe.
/^CC^
a aussi
tl9^
:
muscle
nom
T'A
;
/"rêr^
etc..
;
dÔ
ar-
salive^
de
mamelle
;
tr^; etc.. 6.
_ 4»'f'A — P
faible,
CD^+
f'dh
sécheresse
d^
;
etc..
;
3" faible,
àdf' grandeur
3' gutturale,
;
fti? boisson
tl^îh fatigue
;
etc..
;
'ï^ïi ^^^cï7
;
etc.. ,0.
_M-A1-
—
Ç-Hh
redoublés.
fragment;
^0^
colère;
etc.. :?'
/"aiM^. fl>*'^Rl'
A^l*
enfantement
-2" /"ait/^.
pénurie ;
CAl*
Tfl^f 1*
;
ûf^scen/^
;
etc.. ;
mais
perversité, et ainsi
pour
-'H[* rnort
;
«ftWil* rougeur
rlhJiCDl'
;;/g
ceux de
la 2" et 3* faibles.
;
;
(O'îhH'lr flux
3' faible. 1-AlD'l- sui7^
;
Ç^Tl- roM/e
;
Cî^f l^
60
Dérivés plurilitôres.
blessure
2I._lr•4»;^A
—
,
d't'
r faible.
incantation; etc..
<»^hÇ
réceptacle
',f^M^
charrue
TlC^
patrie;
etc.. 22.
— ODif^i^^ —
r faible. TéXL^
;
batiste
;
etc.. faible. ^^d> et f^P'à^ remède, r gutturale, '^ù^'^^ précipice, etc.
5**
etc..
.
24.
— '^4•;^A —
't'H^tO- margelle
5^ faible. 't'ft'î-
rfi^Aif/d
;
PLURILITÈRES.
Aussi bien dans les noms que dans les qualificatifs, les formes plurilitères,
comme
tion vocalique
affixation.
syllabes formées par les
Ces deux sons ne
même
â.
le
^A+A
2) ;
dCdC
;
'ÏÇ'JÇ
précipice
rapine
;
;
"f^nA
d^^A^f^
excédent, etc..
4)
•^AQ'fl
voile
;
;
pluie
A9^A9^
})
rh'JQ'fl graine
a, è.
dernière syllabe ne soit affectée de
la
quatre formes suivantes
'flJ^'flJ^ peste
)
échelle
D'où
deux voyelles brèves
se mêlent jamais toutefois dans le corps d'un
mot, à moins que
longue I
Noms.
Les dérivés par modification vocalique ont habituellement
I.
deux
peuvent provenir d'une modifica-
les trilitères,
ou d'une
1.
104
i-J^A
espoir; etc..
DÉRIVATION DES
103
;
;
la
:
etc.. ce qui est tendre
orateur
;
;
Ùa^tiiO-
etc..
^If^'H fragment
;
h^^Oh
^^^Tr^ pour oo'^^ai* jumeaux
;
lamentation
etc..
;
Dérivés plarilitères.
Les dérivés préfixés quadrilitères sont formés avec
2.
V,
61
'
Ce
dernier provient de lettre a disparu
première
il
;
la
Comme
nière syllabe en â
;
lieu
noms de
le
nom de
de refuge
;
;
^Wlïlfï^
4)
^Tfï^ïi^ axe .^(nit-n devin,
$)
V+A^A agitation i+T^T tremblement VHUA A
éventail-,
par^ss^
désinences abstraite
;
^rt*}*
harpe
;
etc..
f^li\ïplAtC roue
;
etc..
;
ACP*B
ë,
On
boiteux
;
Vh-CWC
tour-
Vé^-C^/T r^/oww-
ne se construisent guère qu'avec
ornement
;
rTh-Aj^* souillure langueur;
;
lïl^^
ftCTO^V
rh'>hft*ï' claudication
,
noms de
les
*06
signification
îhlrhù» claudication; AliA'V. langueur;
;
dOiCf
rapine
chant
;
etc..
or/?^mgn/a/iO/i
;
/hCli^V
etc..
trouve aussi des formations insolites
;^CY^^
comme
traduction;
:
^CV'^'i
^MT^^
etc..
2,
I.
tournoiement
;
:
interprète; ;
r'àltPb
eic...
Elles servent à former de
S".
A'îA'îV
fmpiV/^
ilCPC
suffixées
M^^*%sève',
1)
2)
;
etc..
^ Lqs formes
pente
nouveau
;
;
lieu a sa der-
î^îr^ft;^C dépotoir
3)
sance
signification
etc..
^tS9^M^ fruit
;
la.
ont des formes diverses.
2)
billon
105
quelques noms de lieu et quelques
les trilitères,
les autres
^ai-A;HlH
1)
couche
dans
ou
t\i dont.
le préfixe
sert à former des
abstraite. ^"^ sert à construire
autres noms.
forme avec
^'^
On ;
rencontre à peine quelques
A'iT^l^
solide
;
i07
Qualificatifs.
•TllfWl'V' gâté
adjectifs ;
etc..
comme diihh
Noms
62 108
Les formes participes avec
2.
nombreuses
fort
Aî^A-î^
4»T*T Le
germe
;
(fissok
;
nettoyé
/IKC*!^
;
9^^^(0- flétri
"î^T-feT /rmMa/i^
;
,
qui se lamente
^tMa^
^'t'i'a^
,
avocat
plupart ont
la
;
^^
la
longue â
iil^V. stupide
;
:
promène
^-1*0^9^
;
;
;
-fidd^ intercesseur
•f'C^'TL interprète les
—
;
en
la finale
i,
précé-
;
;
OCO^ pillard ft^j^ï ;
etc..
quinquilitères
flxtro^a^^ PQ^dQyaat Nota.
interprête;
etc..
:
musicien
Chez
4.
d'entre les
;
dernière radicale en e <^ft«P4»III*
qui se
Les noms d'agents ont habituellement
3.
dée de
;
etc. ..
^^hTA^ ordonnateur
;
impie
Jt74»fl>* sowrrf;
participe se forme encore avec le préfixe la
111
^^Hao-n
;
/h-fl** /mp^r
formes usitées,
110
dernière syllabe en u, y sont
la
:
qui
contrit
llfUrt-A
109'
composés.
la
forme 4*'fcA
rfiH'>IU'> lugubre
;
est
fréquente
:
etc..
Les noms composés,
tels
que nous en
avons dans nos langues européennes, n'existent pas en éthiopien.
Ce
qui correspond à nos
noms composés, ce sont des
associations
constantes de mots soumises dans leur construction^ à toutes les règles
de
la
grammaire. Rares pour
ve plus fréquemment chez
noms communs, on
noms propres. {iA*
les
maison des chrétiens, V église
les
;
^4*rh
H»'!' *
la
s
les trou-
ïlCMlfli
maison de
la
la chaî-
ne, la prison; etc..
Oî^ft
ODQf^
s
>Ç^'> 'Amda Sejon,
Ba'eda Marjam, avec
Cabra Krestos, Ta]3i,
le
le serviteur
la
la
main de Marie
du Christ
Seigneur Va choisie; etc..
de
colonne
;
îi*7tl,îi
s
;
Sion
l-fl^
"h^f
s
;
flïift
1
YlCtl-f^tl
'Egzi'e
Ha-
Nom,
6Ô
genre.
Genre.
II.
Nom.
On
distingue trois genres
masculin, féminin et commun.
:
cune caractéristique morphologique ne permet de tre
eux
112
en-
noms indique quelquefois leur
seule, la signification des
;
les discerner
Au-
genre.
A fait,
part quelques rares catégories les
que
noms
de mots, on peut
se rapportant aux personnes, ont seuls
de
dire,
un genre
absolu et rigoureusement observé. La désinence a /Ih (â, 't)
qui
du féminin, a perdu son caractère d'opposition par
est le signe
rapport au masculin dans les noms, et sauf quelques exceptions, tous les
noms marqués par cette
finale n*ont
de genre que d'après
leur sens. 1.
—
Tous
Sont du genre masculin
les
:
^^3
noms se rapportant à l'homme ou à un animal mâle.
Sont aussi plus ordinairement du masculin
Les noms de mois,
:
d'étoiles.
Les noms de montagnes, sources, fleuves.
.
Les noms de métaux, d'armes, etc.. 2.
—
Sont du genre féminin
Les noms se rapportant à
la
;
ii4
femme ou
qu'on veut distinguer. Sont encore souvent du féminin
Les noms de
villes,
de
:
nations.
Les noms des
parties doubles
Les noms des
petits animaux.
du corps.
à un animal femelle
64 ii5
Qualificatif, genre.
—
5.
Le genre commun s'étend à tous
à dire qu'on peut les traiter indiflférement
des féminins.
noms de d'une
On
comme
noms, c'est
des masculins ou
observera toutefois, que régulièrement dans les
demeure constant dans
cette classe, le genre
même
les autres
cours
le
composition.
Qualificatif.
116
La désinence
"1*
est le signe
du féminin pour
de
des qualificatifs, à l'exception
la
toutes les formes
forme 4"fcA qui
fait
son fémi-
nin par modification vocalique.
_«
,.
if'^^beau,
Adjectifs,
hïfà^
9,^^ N. d'agent.
vivant, juste,
W'^ régnant, hMiL repoussant, '^*P^A.
Participe.
117
—
2.
Onii
;
Dans
la
hifOi^
»
9,f^^^,
»
Vn/\r
»
hMii/lr
»
-t^à^ù/t,
etc..
y>
l'tïC^'
AV^4»
»
AU^I*,
»
Ù'^fV^,
vieux, céleste,
forme ^•'fcA on a
th^tï nouveau,
iP^^^
»
lÙ'C fait,
Ù'^fV
N. d'action.
héritier,
fém.
fém. rfi^fl
;
:
0H.11
etc..
puissant,
mfl.'fl sage, fém.
etc..
etc..
fém.
aKÏ'ii
;
etc..
A
noter
ici
l'abréviation
participes. (28, VI. 29, les dentales (^5)
(?0.
;
la
II).
A
des longues â u
i
au féminin des
noter aussi l'assimilation du
contraction dans les radicaux de
la
't'
avec
5* faible
65
Nombre, généralités.
Nombre.
III.
GÉNÉRALITÉS.
L'éthiopien a deux nombres: le singulier et le pluriel;
1.
quant au duel, on en retrouve à peine quelques
Le
2.
pluriel
dans
noms
les
et qualificatifs, s'indique habituel-
lement par une modification de fois
forme singulier.
la
quelques noms dont la forme est invariable
accompagnent ou
Ce
nombre.
—
i)
homme
Des
—
2)
sont en général
amour
;
est toute-
mots qui
les
:
;
;
"(ihù^,
ù'd'h
etc..
qui par nature ne souffrent pas de pluriel,
ïthA
^^h
ténèbres; •flhji pleurs;
nourriture
;
soif;.
^^C
etc..
Certains de ces noms admettent une forme pluriel, mais
prennent alors une signification particulière tée,
par opposition au
pays
;
3.
TQ*!!
ciel, plur.
sagesse, plur.
pluriel sont
moyen des désinences
les, c'est
ce qu'on appelle
Ici
ou
ils
la terre habi-
et î^^/5-'ih les différents
sortes
sciences
noms
les :
les
;
etc..
et qualificatifs
unes sont
faites
et constituent les pluriels sains;
vocalique et affixation de lettres serviles pluriels brisés.
encore, on ne saurait établir quoi que ce soit d'absolu
pour ce qui regarde sains
'Ih
Î^^C
:
les arts, les
de deux
â "J, â
les autres, par modification
4.
M^^C
THAÏ*
Les modifications que subissent
pour former leur au
les
qui représentent des notions abstraites, des choses
^^tHr
uniques:
;
Il
phrase, peuvent seuls indiquer leur
îi'Jft^ animal
;
Des mots
comme ceux
la
des termes génériques
collectifs,
di/^ soldat
;
de
le sens
brisés, avec
la
la
ii8
traces.
correspondance de
la
formation des pluriels
nature des différentes formes de noms ou
119
Nombre nom,
66
de
n'est
II
qualificatifs.
noms ou
aucane catégorie de
une seule
ne s'applique qu'à les
plur. sain.
;
uns ont un pluriel
les
parmi
singulier,
une même classe de
se rattachent à
qualificatifs qui
forme singulier,
de forme
classe
qui
brisés,
pluriels
un
autres
les
sain,
pluriel
brisé.
même nom
Enfin un
5.
mes de •f'rt.ft
pluriel
riï^
:
peut avoir quelquefois plusieurs for-
image,
pi.
^tiA'i, ^f\(0*lv\r
prèire, pi.
*rM'>, h^fï^
5^rtA, ;
;
etc..
Nom. i20
Pluriel sain. Dans nom
â 1*, se suffixent au
sans
désinences â
pluriel sain, les
le.
lui faire
^
et
aucune
subir généralement
modification.
—
a.
La
terminaison â Ir est peu fréquente
on ne
:
trouve
la
employée qu'avec des substantifs désignant des personnes.
'll^ ^'nJ^ 121
voyageur, plur. 'il^lf
fou, plur.
—
h.
K-fl^T
La
i)
pi.
née, plur.
plur.
ici
les
noms de choses
rencontre dans
les
;
9,0a^
h^ ,
;
Ott^^
;
la
:
plur.
pi.
:
't^^'C't pal-
Wà*^ ^^'>
*7^'V
puits, plur.
simplement
'Th,
dernière syllabe
chaudière,
noms
;
^"T^^
et
OH^^
;
;
an-
M^
If-flml* coup,
etc..
celles terminées par
toujours contraction de
finale â
MtxWi
est d'un emploi
elle
formes terminées en â 1* ou ë
,
Avec
;
les cas suivants
^^;H- ^'T^ clou,
11'flm;Hh
2)
a
la
-f-^C;!-!-
sœur, plur.
plur.
etc..
ou bien contractée avec
suffixée
mier,
On
Avec
serviteur,
terminaison â l* s'emploie aussi bien avec les
de personnes qu'avec fréquent.
;
Ahïl
;
du mot. Avec
les
la
une des voyelles longues â
désinence du pluriel avec
la
ë. Il
y
voyelle
terminaisons en ë, cette voyelle longue
Nombre nom, demeure, brège en
ë, si c'est
dans
deux
les
un
elle appartient à
si
un des
cas, la
67
plur. sain.
;
de
radical
la
f
faible
elle s'a-
;
des noms abstraits
suffixes formatifs
désinence pluriel prend
f comme
lettre
et,
de
liaison.
/^P
«•X (M?) ft'B^-V
/^P^
chair, plur.
^
;
On
3)
;
ft«
;
(VAH) danger,
(«D^rt) /owan^e, plur. ahf\hfrt'
^«^I*
poisson, plur.
^%9^
plur.
fl:ur,
>^fl.
^«^
;
plur.
{^©f
)
etc..
;
•
malad-ie, plur.
^Iff^-Hf^
fl>-^A.
;
etc..
rencontre aussi cette forme de pluriel avec quelques
mots terminés en o que j'on nes de verbes de
f
la
faible
comme
traite :
IH
appartenant à des raci-
côté, plur.
Id^^
4»fil panier,
;
plur. +<(.*P'>, etc..
Avec
4)
formes dont l'avant dernière radicale est marquée
les
par une voyelle longue
^Mll
â, ë, u,
:
^MH^
commandemenl,
'iïih.C terre, •flfh.^-Th {Tire);
fournaise K'f'^'t' â,
prend ))
ligne,
;
le
les
'1hÇ/*'r*h;Hh
joie,
On
6)
:
V/*
mJre
lien;
If
7)
moyen de
^"^
ou 1*
ao^i^q^-^
r/o^t^ç-Tj. ^^^,,^
.
;
^t
taHe
ll-J^'4»
droit ','VA'iï
H-^ïl*
signifiant des
;
W/l
esprit
;
ThÇ/^.TiK-
prêtre,
d.^M^^
;
hliV'V
Mt
;
une foule
(rare)
titres,
;
^aVl-
;
;
"rOî:
etc..
des dignités s'appliquant à
Vfl./& prophète, 'i(ij't
rabbin,
IX" visage
sagesse; rtîT^ ornement;
des personnes, prennent cette forme de pluriel pour
et
^^o^imQ
diverses, dont les plus fréquents sont les
'Vj?*A puissance
;
temps, pljr.
Les mots
hU>
:
etc..
de formes
'^hf^
;
h-f^Tr
marquée par
trouve enfin cette terminaison pluriel avec
d'autres mots suivants
;
celle
;
pluriel.
formes préfixées au
aof^oBi^:^
'fïM^^
argent,
de toutes ces formes,
etc..
.
'd^C
;
Mlti^^ couronne, Mlti.^^
plus régulièrement ce
Avec
:
i,
etc..
;
la
plupart
:
^A/l4- philosophe
Nombre nom,
68
Pluriel brisé
122
plur. brisé.
;
façons différentes serviles,
donnons
:
Les
pluriels
ou bien encore réunion de ces deux procédés. des pluriels brisés
ici la liste
Formes
2.
brisés. pi.
^i-A
^*;^A
— —
qui
— hic
*^A. pie, pi.
àiH-n
;
K'Prl-A;
5^J^C
K**A
—
4.
—
,
5.
6.
^i-Al-
—
h9^fiC
;
pi.
hU7-C
—
^/, pi.
A-flft /^é/^me/i^,
;
pi.
pi.
rh4»A
;
hki^'l
;
c/zamps, pi.
pi.
pi.
h'fl4»A;'3'TC
scintillement,
K-fl^-C
;
h'}TC;etc..
*1-A, *1-A.
— Chlt
tête, pi.
KChflV
i'hAp/a/iie, pi. Kl'hAl'; etc.. ^^H^m 4»;^A., ^-fcA, 4»*A.
—
rot, pi.
h;^^A
pi.
etc..
— a^C verge,
KrhÇ^;mn-fl 7.
A^-A
— rh^*? pa/m/^r,
4»1-A, 4»1'A.
pi.
;
;
etc..
n4»Amw/e/,
h^^^^ —
cheval,
K'7^A
.
etc..
*i1C pa/s,
h^^^
pi.
;
peuetc.
etc..
^I-A 4»^A. hrh'feA
— é.ùh
hJtnC
pi.
rHi-H-fl
^A9^
sillon, pi.
chameau,
/^rr^, pi.
KAH^;
MC;
pied, pi.
ft-flC mo^fa^ne,
indi-
/
singul.
^^^.
I^A
;
Nous
admettent.
les
IhAlP*
+'hA, ^l-A, h^l^li
5.
trois
communs, en
les plus
admettent.
les
Formes
1.
de
modification de voyelles, affixation de lettres
:
quant les formes substantives qui
des
brisés se forment
ïl/^l-;
sa^^,
scribe, pi.
mn-fll-; '^7-/*'
etc..
K*1-A, K^-hA. ^X"; h'^nd
pi.
/arm^,
- K-J+^îpi.
;
M-fl^;
porf^, pi.
etc..
M
Nombre
8.
-
1-;^A iTaj^^K-AV
—
69
qualifie, plur. sain.
—
W»1-A1-.
9^C ^
;
1-hi^Cl-
prodige,
^K
pi.
etc..
;
pr/^cg,
— ^ftÇ7
i^4»'hA, «^^i-A.
^*T-A,
^/^Ç"}'!-
pi.
^V^C'fllh
^TrùC
;
;
S^W-^-n
trône,
<emp/^,
pi.
^VnCl-
pi.
;
etc.. 10.
Avec
fl**
ou J&
insérés,
à
la
Beaucoup de noms avec
i)
â, ë,
i,
u,
seconde radicale, prennent ou gardent â à
O^
cette seconde radicale et reçoivent
immédiatement après cette longue qui ont
;
plusieurs
désinence 1* au singulier,
la
ou ft
la
per-
dent au pluriel, d'autres au contraire qui ne Tavaient pas,
OhS^-
;
faute, pi.
2)
la
'dth.C
reçoivent. terre, pi.
-^^i&ît
pi.
et
ï}^^
cou,
pi.
ïlA
(Ï^O^C^ ''lOUh^ ;
'^imo^ii
+A.ft
;
prêtre,
^fliD^tl^; etc.. Certains noms terminés en
leur pluriel
en prenant â, à
la
ëj^J,,
forment
seconde radi-
cale et en faisant suivre la troisième radicale
du sixième ordre de f» pour
de
fO^
pour
nn^'Oh
;
les
noms en
«7l^<ît ampoule,
les
noms en
â.
H'fl^
pi.
l'iàf'
ë,
cilice, pi. ;
etc..
Qualificatifs.
Pluriel sain.
Il
n'y a dans les qualificatifs, à part quel-
ques rares exceptions, qu'une seule forme de pluriel riel sain
pour
;
c'est le plu-
régulier avec la terminaison â *} pour le masculin, â
le féminin.
T
123
Nombre
70
On
1)
P1-;
;
qualifie, plur. brisé.
a dans les adjectifs
iPÇ/2. beau,
"^^1
:
épanoui,
^^^ juste,
i^^yir, i^V^I";
pi.
pi.
'ï^P'J, pi.
'ï^
^^^-i,
KJ^;^1-;etc...
Les adjectifs de
forme 4"fcA tirent leur pluriel féminin du
la
féminin singulier ou du masculin singulier
:
th^tl nouveau, fém.
th^tt, plur. masc. rh-^^T, plur. fém. di^fï^ ou Wi-^'^'T'.
Dans
2)
^1-;
^•>îifl
Dans
3)
nés en
les participes
i,
m/^^n>i/r, pi
orateur, pi.
;
lettre
de
'id-tïn, VQ-fl/^-
Avec
nom de
le
Pluriels sont
etc..
;
ou
adjectifs termi-
0^fï*V
Macn, MncF^ wd
pi.
-,
etc ...
;
relation
brisés.
(0*fi(ïï^ intérieur, pi.
:
et
on
a
K^.'^ï
;
^^'id/ï^
:
ancien,
pi.
spirituel,
pi.
héUPat^n,
Les rares formel que l'on trouve
:
i)
Vli^l*
îOaH*;
de 77'/^
pluriel
tachent à cette forme plur.
liaison
Maâ déposant,
^lâA'Rn, ^'iéA'^?^ 134
^TtM^
et les participes
^^ITr, ÇX.
pi.
cette voyelle devient ë devant les désinences pluriel
fl>-AT/i'
4)
parfait,
^'iMTr,
noms d'agent
les
Ton ajoute f comme
n,
^^9^
:
^^(O^
;
roi
;
d'autres constructions se
^?JS^^ V^^g
pur, plur.
;
rat-
chasseur,
etc..
^9^\\C f^fï^l^ de ^h^lf prince ^"lilC^; TéHtï héritier, pi. ^"PCtï^ etc.. ;
2)
conseiller,
pi.
;
3)
et
md'd^
*raÇ'> 4)
:
plur.
de mfl.'fl sage
;
+m.7
/(^^er, plur.
^mlr^
etc..
A?^^
pluriel
(DOXi, entrepreneur,
de A^ii» bourreau
pi.
(DOï'}^
;
etc...
;
fl^'ft z^o/^wr,
pi.
fid^^;
Nombre
;
71
plurilitères.
Pluriel des plurilitères.
Les noms quadrilitères représentant, pour
peu nombreux
tions abstraites, les pluriels sont
Le pluriel sain qués pour sition
les trilitères
terminaisons â
'^, â
variés.
peu
les cas indi-
les qualificatifs.
plur.
i+A^A'Th
plur.
^'ÊÏ^h^ iH-^^l ;
toile
de
V'I'A^A
:
*I»'>'^A lampe plur.
;
dernière
la
syllabe longue ont habifuellement leur pluriel en â 1*
mouvement,
125
1* ne sont en oppo-
Les noms terminés par une consonne muette avec
'^VÏlA moine,
des no-
plupart,
et
s'emploie en général dans
les
;
de genre que dans
la
4*'}-^'\'lh
lin, plur.
{ï'i'%^^
;
;
etc..
Ont
aussi le pluriel en â
une longue ou une muette crocodile, plur.
àiCI^Jt'
,
:
T, ceux
des substantifs terminés par
rt^'î't char,
plur.
^Ift^Mi-Croue,
rt^lAl'
plur.
/ThOX"
;
^lY^Mt^/i*^
etc..
Le Pluriel brisé deuxième radicale
;
il
commun prend un
le plus
se présente sous
«flA
orateur
A-fli-^
tente
Xï'idX: lèvre
^'>T>
»
»
'^V'flA
M^C
;
hAftftl-^er&g f^li>li/\r
membre
pi.
diverses
Î^^HA. cymbale
;
'V^-l'
^*dAl-
rt^T-jV
;
ftV'7A.
»
KÇ«"A.
hAftftI-.
»
^Af^f>. pi.
porte.
Iflrt-fl ^/oi7^.
0+^-fl
»
instrument de musique
;
:
pi.
hwc.
a^i/ma/ ^ras pi.
démon
rt/Z.^"}
forme masculin ou fémiles plus
J^"}'7A vierge
;
machine plur. '^V'?!!'
«'"^^^OA
^f^M^
pi.
la
noms
nin et s'emploie avec les formes de
â long à la
sco;p/o;i.
<»»rtV4'fl>* (rare).
126
Nombre
72
pluriel de pluriels.
;
Pluriel de pluriels.
127
Cette construction, que Ton rencontre dans toutes
bre de noms, dont le singulier s'étant perdu,
la
Jiî^Ah ressemblance,
;
(^Ml)
;
f^-nC montagne,
M^^
;
degré, plur
;
KiP^, MPf^^
nation,
La
s
ïiî^rtA (9^tl^)
(*Aî^)
calame,
^'iCP^
ti^dC, hJ^n^->;Ç?1-
IV.
II
h^^Ml^
Dieu, plur.
h9''M^
plur.
ÏIJ^
uniformément en â 1*
elle est toujours
îi*A^l- ^'iCI f^àCn)
128
re-
trouve aussi avec des noms qui ont leur forme singulier
encore usitée
W9^;
forme pluriel a
la
de ce nombre.
pris la valeur
On
les langues
employée en éthiopien avec un certain nom-
sémitiques, se trouve
;
plur.
etc..
route,
WC^,
^io...
,
déclinaison.
n'y a qu'une seule déclinaison
;
elle est
commune aux noms
et aux qualificatifs.
Deux le
cas seulement se distinguent par
la
vocalisation, ce sont
nominatif et Taccusatif. Les autres cas se forment au
:
moyen de
particules.
Le Nominatif
n'a pas
primitif
ou dérivé à
l'état
H'^h»
bénédiction
UH
;
L 'accusatif de
la
vec la
simple
rosée
de caractéristique,
etc.
;
+1*^
:
.
noms propres
:
rt4»A
le
mot
tente
;
.
se forma sans doute jadis par la suffixation
désinence 7. Actuellement, cette
les
meurtre
c'est
;
dans
les
finale
noms communs
consonne de cette désinence a disparu,
conservée abrégée. Voici
le
ne se rencontre qu'a-
la
et les qualificatifs,
voyelle seule s'est
tableau des désinences accusatives
Nom chez nale
les
noms
ë
—
Ace. à
73
déclinaison, état const.
et les qualificatifs, suivant la nature
du nominatif.
Nominat.
;
de
la
voyelle
fi-
Pronoms
74
et adjectifs pron,
se confond pratiquement avec l'accusatif dans les et les qualificatifs.
ihH'd^ Les anciens du sance.
Vh^
peuple.
Ôtii*
A-fl^ L'impie de cœur.
s
noms communs
Les noms propres restent invariables. ^^AU4*'f'ï s
Aftl^^ Le jour de sa
^hd>
s
ïiî^^A^
nais-
L'interpré-
tation des paraboles.
CHAPllRE V PRONOMS ET ADJECTIFS PRONOMINAUX
131
II
y a cinq sortes de pronoms
relatif, le
défini. le
pronom
Les
rendu au moyen du
par une construction
I.
Pronom
Le pronom personnel
interrogatif,
également
le
pronom
pronom
comme
in-
adjectifs
du personnel
relatif et
particulière
le
pronom personnel,
pronom
trois derniers s'emploient
possessif est
chi
démonstratif,
le
le
;
;
;
le réflé»
du personnel.
personnel. deux formes
se présente sous
:
la
forme
isolée et la forme affixe.
Pronom personnel, forme 182
La forme
1.
Ex. 17,
isolée
5.
4. Sir. 39, 3.
comprend deux
2.
Math. 14,
6.
isolée.
:
la
classe des
3.
l.
R. 25, 31.
classes
pronoms
Pronoms
personnels.
à signification personnelle primitive, la classe des
par circonlocution.
i)
Pronoms primit
75
pronoms formés
Pronoms personnels.
76
b)
Pronom de V accusatif, moi,
Pluriel.
Singulier.
masc.
c) 1.
com.
Pronom du de moi,
le
masc.
fém.
génitif et le
de
nous, etc..
toi, lui, elle,
com.
fém.
pronom possessif mien, le tien, etc.. Tantécédent
toi... le
est masculin singulier. Pluriel.
Singulier.
com.
masc.
HMï
5'p. ltKl^ 2.
la
de moi,
la
de
fém.
ItM
tthf
Vp. 2' p.
com.
masc.
fém.
iLhXu
fUWritf"^
H^hh-}
lUM
iLhiff^
njMrif
toi... la
mienne,
la
tienne,
etc.. l'antécé-
dent est féminin singulier. Pluriel.
Singulier.
com.
masc.
p.
3' p. 3.
masc.
com.
fém.
M±M
M-bM
rp. 2^
fém.
M±h\ï
Ki-bhXu
M-tMï^
hl^KYn
M-kho-
M-tM
Ki-tihir^
M-nhU"}
les
de moi,
les tiennes, etc..
les
de
toi... les
miens, les miennes, les tiens,
l'antécédent est au pluriel, soit masculin, soit fé-
minin. Pluriel.
Singulier.
masc.
r p.
com.
fém.
masc.
hii^M
com.
fém.
hiiJ\'i
2' p.
hiiJiïi
hiiMu
Ttiti^Mi^
htiMn-i
3' p.
hiij\ih
TtiiOiV
hlUwr^
hiiJ\U"i
Pronom personnel Le pronom les
noms Chiï
réfléchi tête,
;
77
affixe.
moi-même, toi-même, etc..
Wit
esprit,
est
rendu par
accompagnés des personnels
suffi-
xes.
Pronom personnel
Les pronoms personnels préfixes et suffixes sont
dans
la
affixes
employés
sont de deux sortes
comme
conjugaison du verbe (^i, 57)
sont employés ordinairement
affixe.
comme
;
sujet,
nous
les
:
les
uns
avons vus
les autres toujours suffixes
objet, nous
en traiterons
ici.
135
78
III
et
on
4» '^AÏîV au lieu
de
4*
reçoit
que rarement
forme
^i'M ou
Au nion
les suffixes
suffixe
subjonctif le
trouve alors sous
la
la
^Aîl"}.
se juxtapose, sans la voyelle d*u-
II
a.
Dans
verbes de
les
devient e
i
(O*,
au verbe.
Saffixcition ries personnels
J8.
la 3^ faible,
^dJt'P
:
il
a disjonction,
y
non f>dA:7
et
u devient ë et
S^é.^f
;
non f>éL
ai. 137
—
final.
a
du
gulier
parfait
s'annexent les suffixes
se contractent avec le suffixe s'allonge toujours en â
X, *1-Ah, ^-hA-
La
Remarques. avec
le suffixe III,
en â
:
tu
+tAïi
V accusas
i38
i
ou
et
il le
final.
—
suffixe
I
:
III.
et
4"hAh
;
+i'Ahi^
;
u devant
f
i
na
^-t^hOjugea
comme
et
;
nous
+tAhi
Les
lettre ;
^l-Aï
;
rthJ&^ll^ le
(DM'i
s
de
(Ofif^^^O*
i
banîmes.
^i'M}^, Devant
f homophone de
et l'on ajoute
+
l/"> devient
suffixes
et
I
comme
;
;
de
+
^^^M^Tr. On
rencontre
;
'^^ti^f
;
etc..
se juxtaposent sans changement
liaison qui se contracte
+4-AVl-ln^-
lettre
0' donne
^^^liX* II
i,
le
le suffixe III,
4*'i'AU*
:
u devient è et l'on ajoute (D
U"} devient ^i'^P'i
On
-
pluriel
— ^"tti - *4-A
4*'^A
:
Cette voyelle s'abrège toujours en ë devant
le suffixe III,
^-tMl-X
+
La première personne du
mais en ce cas, elle allonge sa dernière voyelle
^^^il.
1.
par juxtaposition et
II
masc. sing. peut ne pas se contracter
2' pers.
pourtant quelquefois les formes
u,
et
qui se contracte avec les suffixes
liaison
139
I
masc. sin-
2* et la 3" pers.
ne se contracte jamais
*'I*AVU — 4'4'Ah3:,
elle devient ë
La
:
Règle générale
4'4-AVbîfl'^
avec
le suffixe (57, 38)
^f-Ah*»"»-*
;
*+Ah^ ^ V donne
;
homophone de
;
:
^i-A*
^'tMir^'P.
trouve parfois des formes dans lesquelles on a ajouté un (D de
liaison sans pourtant affaiblir
u
final
comme
:
^'tt)rP
;
«fri^Ah
79
Suffixation des personnels au verbe.
final
â
Le
ces règles. qualificatif suit toutes
de
Vinfiniiif suit les règles la
prend toujours singulier
:
voyelle de
-f-fcAf
—
Nota.
;
i)
verbes de
'l-fcAh
voyelles
;
des noms
;
4"t/t-
la suffixation
gérondif
^'t^
;
I
du
etc..
;
des personnels. Avec les
ce sont des
le
perdant
gutturale
son ë,
Avec
les
verbes dont
la
pour je.nChh
;
MJ^I
donne lïf^O%
P-'AH
;
troisième radicale est
une
le suffixe
MJ^'7h. Avec
pour
de
changements
deuxième radicale
la
des lettres h, 4*, 1, c'est souvent l'assimilation avec
^nCh
le
Les règles des modifications phoniques inter-
reprend sa voyelle primitive (28, 29). îï'^à rh, ^•flX'r/ii.
;
excepté avec le suffixe
+'fcAlU
;
troisième gutturale^
la la
suffixation
liaison â
viennent fréquemment dans
(H):
^40
reçoit tous les suffixes sans changement.
II
les
redoublés c'esfcila contraction (31); avec les verbes de la 3* faible la
disjonction (32)
;
Ch^ pour Chi^ +
jK.V'fl'fl
fera
f»W
Les verbes de
li*.
pour JiV'fin la 2"
faible
;
donnera
Ch^
n'éprouvent pas
de disjonction. Lorsque plusieurs pronoms sont
2)
observe toujours
les règles
de
suffixes à
suffixation
un
même
mot, on
que nous venons de
voir.
(DU'ùXbhih
V-t
^
1.
^
' il
me
les
donne moi
le je te
donna
mon
;
donne
;
fOf^fL'i?'
?Uf,fLW
' il
te
Va
' il
me
ravie
;
l'a
ravi
Oai^f
1
épouse.
18, 8.
2.
Luc
28, 30.
5.
Gen. 29, 21.
Nomb.
4. Deut.
'
0, 39.
3.
Gen. 31,
9.
;
(OUa -flîiA.
i4i
80
Suffixation des personnels
2.
142
Suffixation au
nom
Nominatif
—ë
Singulier. et
II,
se contracte avec le suffixe
au nom.
(Paradigme XII).
final se juxtapose les suffixes
Les règles de contraction
III.
d'assimilation ne s'observent pas aussi strictement
verbes i
il
:
mon
'hi*f'?
élu
final persiste partout
;
et
que dans
les
à peine rencontre- t-on quelques cas
où
^^^lï
;
I
s'abrège en e devant le suffixe
I
ion droit
etc..
;
^^"Yi^
:
ou
^^'W
mon
libérateur. â, ê,
o ne subissent aucune modification
la suffixation
;
se
fait
par simple juxtaposition.
—
Accusatif. suffixe
I
ou
l^fta-fif
a
s'affaiblit
il
mon
lit
;
en ë
Uiati^
ë final provenant de le suffixe
pour
II
;
i
se conserve partout, sauf devant le
final ;
leur i
se contracte avec le suffixe
il
pays
;
:
etc..
ne se maintient guère que devant
reparaît devant les autres suffixes
dj^&V, Les
III
:
d^'^Ôi son époux
autres finales â o, reçoivent les suffixes sans
changement.
*43
Pluriel. Tous devant tous devant
suffixes.
les
le suffixe II sing.
^^^/h-fcO-
ses
noms prennent
les
Devant
le
,
comme
suffixe
on trouve ë
chaînes
i
I
voyelle d'union
sing. et quelquefois
^'^^bti^fo^
:
W^CÏK
tes
lèvres
;
leurs jours
l^fMo^
;
vos
ustensiles-, etc..
Remarques sur 444
Comme K'V'
A
en arabe,
frère et aussi
çon particulière
;
la suffixation
de quelques noms.
les substantifs Ix'H
hÇ bouche,
au nominatif,
ils
^\
père,
th9^
^ gendre,
s'annexent les suffixes d'une
prennent
la
fa-
voyelle de liaison u
Suffixation.
et à l'accusatif
tant
fréquemment pour
avec le
prennent
les suffixes
Taccusatif.
Il
n'y a jamais de contraction
à noter seulement les orthographes suivantes pour
;
:
est des
les règles
Ce
du
noms qui bien qu'étant au
néanmoins
(regardent) vers ses saints.
comme
I
collectifs
pendant
XWiÇ'f*''*'* Leurs
Mon Dieu
s'est
Mf^
scribes.
On
ti^^fiYlii'^^ Je serai pour vous votre Dieu.
K^AW
:
HJt^V-* Les yeux du Seigneur
sont aussi des pluriels dont le singulier est inusité I
plus habituellement
:
hXïiO*
trouve ce-
montré à moi.
manière des
la
Ce
pluriels, tout en gardant
des formes du pluriel sain ou brisé.
un enfant pendant sa
AdA I +H!nilh®
ARl- 1 Ah-OCy^ Abraham durant n'est
flïAft
singulier.
forme rappelle une
)K^ 1
(sur)
}i'7tUi'flrfi»C
son sacrifice. fi&*
nCi^h-fcO-' Sara enfanta un
s
sa vieillesse.
(DMi(\
t
1f^+^
1
«
1
(B
enfant à
ATflfljh*
Il
pas de mesure à sa sagesse.
Les noms
1. Ps.
collectifs
admettent aussi parfois cette particularité
84, 15.
2.
4. Gen. 48, 3.
5.
7.
la
^hAl*! «DAfti flAU^tV*
vieillesse.
Le Seigneur regarda «
une forme
noms dont
sont principalement des
Elle a eu
'
K^^AlUf a htl-tCh^V
:
Certaines catégories de noms se suffixent aussi les personnels à
145
singulier dans la suffixation des personnels.
AMtUK'flA.ni ^a
Ce
frère.
pluriel, suivent
sont en général des pluriels pris
"ï-fcU-i
VhinH
La forme du nominatif se trouve pour-
â.
M^ frère — hAh ou M*Ph ou Ml»h ton
nom
Il
SI
Remarques.
Gen. 21, 2.
Mth. 7, 29. Luc 1, 36.
8. Pi.
3.
6.
147, 5.
8
Jérém. 7. 28. Gen. 4, 4.
i46
82
dans
aux prépositions.
Suffixation
la suffixation
du personnel.
'^'PÙHi
^''"'fcî* Les jours de
nos ans.
3.
147
Suffixation
aux
prépositions,
Les prépositions suivent des règles xation des personnels
nous donnons
;
ces suffixations, avec
la liste
très diverses
ici, les
dans
différents
la suffi-
modèles de
des prépositions se rapportant à cha-
cun de ces modèles. •flf
I.
en
-nh.
-flh
n ou
en moi
(ttS)
n*
a
ou O-t en
La négation formée de suit
même
ce
II.
la
'iÙlf^
toi lui, elle.
'fÙl'} en vous
0^^
0"}
H
de
préposition
De même
modèle.
en nous
'flï
et
en eux,
à moi
iÙ
à nous
Ah Ah. A-* A-fc
à
toi
Mi(^ hW
à pous
à
lui, elle.
tirao- g^'}
^ ^^x,
trouve aussi pour
îtA
iO^tï'^^, Hfl^ft, etc..
A.'!'
On
elles.
la particule
la 3* pers.
elles.
fém. plur. ù^lf'P, ù^'i^Tr,
A-*-}. III.
.
che:{
'Iin.h 'lin.h.
che^toi
-W^O-
chei
-IflUy
Suivent ce modèle Oi-t,
On
moi
'Ilû»?
^-j-iA,
lui, elle. :
'hM 'Wtlf^'Wnlr
1. Ps.
90, 10.
cheivous
'VUlft^ -h^XTlr
Of^-h, AdA,
-^KhA, *j^^,
trouve aussi ces prépositions sans
suivent alors lés règles
che^ nous
du nom (142,
^A*Ai*, 9^h^,
hn, Maà, la
che^ eux,
voyelle de
143).
^^ etc..
-^n,
liaison ê
elles.
;
elles
Pronom
h^f
IV.
8$
et adjectif démonstratifs.
ll^V
comme moi
comme nous
ÏV^W
h^hh^^ll. comme
toi
lïlTnt^
tV^îh tï^V
lui, elle,
h'^lf^^ h'^U"} comme eux,
comme
comme vous
[elles.
Pronom et adjectif démonstratifs.
II.
Pour
I.
Ce,
objets
les
rapprochés.
148
cet, cette, celui-ci, etc.. Pluriel.
Singulier.
r fonne. — nom. Il
If
fém.
H
H
ace
nom.
ace.
masc.
M
hl^ et
hùrlr
2^ forme. masc. et
ht^l-P
et
Mt^
et
îiA-l-h
fém.
U.
Ce,
Pour
les
cet, cette, celui-là,
objets
éloignés»
etc. Pluriel,
Singulier.
V forme — nom. masc.
Iflfl*
fém.
hVtXt
149
nom.
ace.
Tfh-
et
m.
et f.
CLCC.
ïiAïl*
M^ho
2* forme.
îiAlfH-
m.d/.
îiAlf-|î
m.eif.
îiAh* îiAhl-
Tfh* /^/n.
ïi7;Mfl-fc
M^Yli-
84
Pronoms
Le
relatifs et interrogatifs.
de ces deux formes
génitif
H
ou au moyen du préfixe
;
les
;
9^iïM
avec celui-ci
150
"M^H
;
III.
rendu par Tétat construit
autres cas obliques sont toujours
formés au moyen de prépositions ci
est
:
lilHl- de celui-ci
de celui-ci
Pronom
;
masc.
celui-
relatif.
Pluriel.
... nom
ace. If
ace,
commun
"Mi
X7+
fém.
Le
Ail à
etc..
Singulier.
nom,
;
relatif
peut se mettre à Tétat construit
;
les cas obliques
sont formés d'une manière toute spéciale au moyen des prépositions
;
on trouve cependant
le génitif
rendu par
le relatif
après Té-
tât construit,
IV.
151
Pronom
et adjectif
interrc^tif S.
Qui, quel, quelle, lequel, etc.. Pluriel.
Singulier. I.
IL
m.
<^, îtAi^**
Nom,
<^î«
Ace.
^V-,
Nom,
fni^.fnrt't
Ace
V^'t
Nom,
JiJZ.,
^i
hJ&V*
hf^
Pronom
Le yen du
de ^'"^
génitif relatif
rendu par
est
les autres cas sont
;
95
et adjectif indéfinis.
construit
l'état
ou au mo-
formés au moyen des préposi-
tions.
ï\f» forme son génitif au
rendus par
On
moyen du
relatif
;
les autres cas sont
les prépositions.
rencontre rarement 9"'J'h après un état construit
union avec
les prépositions
;
son
au contraire est fréquente pour former
les cas obliques.
V. Pronom
152
et adjectif indéfinis.
L'éthiopien ne possède pas de mots exclusivement employés
pour rendre tains
On
les indéfinis.
pronoms,
soit
se sert pour y suppléer, soit de cer-
de noms ou de
qualificatifs
auxquels on attribue
ce sens.
Nous indiquons, avec usités avec 1.
—
un sens
H
—
indéfini.
—
r^/fl^
fron.
conque. 2.
mots
leurs significations, les principaux
—
^'•^ï
:
Certain, quelqu'un, quelque, qui-
pron. interroge avec
ï
V enclitique
:
Quel-
que, quelqu'un. 3.
—
n
— —
hAHlf,
—
prépos.
a
construite avec les suffixes
:
Un,
cet"
tain. 4. 5.
Vf'A
—
ti/''*^Y,
—
Nul, aucun, personne.
subst, construit
avec
les suff,
pers.
Tout, cha-
que, chacun, quiconque. 6.
7. 8.
Tel.
— — —
— hA>i — nh^^m — tïih^
adj.
numéral (un)
adject.,
pron.
;
Certain, chacun.
hAh«, pronom relat. et
— Autre,
l'autre.
pron. démonst, avec
tW"
86
9. 10.
Adjectifs
— —
—
Ainti, Hlï/i^
ïilA»
—
numéraux cardinaux.
subst.
subst. (V homme)
:
Un,
certain.
Quelqu'un, certain.
:
CHAPITRE
VI
ADJECTIFS NUMÉRAUX,
I.
153
Adjectifs
numéraux cardinaux.
-
Lgs adjectifs numéraux cardinaux sont rendus, des signes numériques grecs,
nons
ici les
uns et
les autres
soit
au
soit
au moyen
moyen de mots. Nous don-
en correspondance.
1-10. Féminin.
Masculin.
/
I
ë.
nom.
ace.
hih^
hfhfL
nom.
ace.
Adjectifs
87
numéraux cardinaux.
6.
%.
ftJtft*
»
»
-f-
ftfr
ftJ^ft
»
7.
%.
A-no-ti
)>
»
-h
ù-ach
ft-flft
»
8.
ï.
A^'J*
»
-h
fl'rys:
ttr"i
»
^M
g.
9.
10.
ï.
»
fl<^i*
)>
»
-h
1-AO*
»
»
-h
^lt(h
i-ftH*
))
»
-h
'^AC^
OiPC'^
>)•»
i-
U/*'4-
Les cardinaux de
la
fixes
personnels selon
yelle
i
f^
I
de
liaison
?iA.)&
«
Ceux de
:
forme
i^AAtlf <^
Art'flO'tlf tf^ la
«
s
/saig
commune
etc.. prennent très rarement les suffixes
^rVMîy A^^Vl*^
A//wme
8
riels
de
la 3*
hAh.
personne.
les
amena
tels :
que
la
vo-
h9^^S
ses sept fils. :
ï^'Aft,
M't'P'}
sept lampes
ù
reçoivent les suf-
bfJSi*^ Trois hommes.
A**'
première forme
La forme invariable
y>
règle des pluriels (143) en prenant
la
v
y)
bl^a
hA^I^, i^AA^î
rt
J
hC^Ô,
ù'(iO*U"i
du chandelier.
1
—
reçoit aussi les suffixes personnels plu-
hA/blf'"^ Eux deux
quelquefois lflA^^.
;
La seconde forme commune /*'AA, C'A A, 'ïl^A, etc.. s'emploie
de préférence avec
Fais un autel de bois que (soit)
les
noms de mesures
:
K'7'flC
32, 5.
Ex/27,
1.
2.
s
Qi'i'
s
vers n'attaquent point, dont la longueur
de cinq coudées.
1. Job.
4.
les
L R.
16, 10.
3.
Nonib. 8, 2.
154
88
Adjectife
165
numéraux cardinaux.
11 II
—
19.
nnméraux cardinaax.
Adjectifs
de centaine
Ç*
// faisait
cents
grâce à des centaines
@
Mille
'*iV^
à des
et
i
milliers.
se rend parla circonlocution Oi*^C*U
auprès du Seigneur,
fDO'dYlP
comme un jour. Tai donné à 0»^iï
9^Tt\^
s
i
iD-IlCf
I
comme
Aîilf-tU
bfja^* Deux
sert à
ïùx^V^,
{est)
i
»
T*hrt
^
hSMi
hommes.
»
i
;
hMÇ
Plur.
aïJ&n.A îiA^**'
a
a
(DOCTh
9^fï(k»îh
ïiAÇ
i
(DiD^it
lui.
rre/i/^
îiAÇ*
j^f /es
David dix
lui
quelqu'un qui
+'^A
a
i
-fl?iA.'
M^^
i
a
OlPCh
>.
(Dhl-ÙC
a
Et dix
^hAf*
hommes. a
r'hi'
îT/h^-h
a
:
«
(Oihlif a
s
hMÀ
a
J&U-^
**
OwC'P
*
Mtt^
»
+i-A
i
a
SaUl en a tué mille,
hfth
a
hAÇ
Je /a chercherai parmi tous
a
Jub. 23.
2.
I.
R. 18,
7.
II.
P. 3, 8.
5. Jos. 8, 3. 8. Mth. 18,
24. 11. Deut. 5, 10.
^-ID-A
les milliers
Gen. 20, 16. Jug. 4, 10. 9. Jon. 4, 11. 12. I. R. 23, 23. 3.
6.
et
hé/t^ a
de Juda.
4. Jos. 7, 3. 7. I. R. 4, 10.
i
Oname-
t
ID^'El-
iRr" El je ferai miséricorde jusqu'à dix mille générations,
flW'A'
mille
îiA^h.A
devait dix mille talents.
Ce/2f vingt mille
ft^A
»
:
mi7/e /lommes d'Israël périrent.
femmes chantaient en disant
mille
Plur.
Josué choisit trente
:
Kir-X-h.! /1-*J h/fiRi nS^d.^i ltx^d.1
al^ïA^l.*
Plur.
;
iPMi-t i h^d. I Ùf.(D^ Et
•flhrt."'
lui
hommes.
signifie dix mille
i^AAiîi TiAÇa
che:{
«
a
désigner une multitude, ou
hommes montèrent
10.
158
r'M' Oii^ih'' b^ù* T^W^T i i\Oh i
OiPC't'
mille ou trois mille
ïiAiC
ace.
avec
1.
dix-
mille ans et mille ans {sont)
ton frère mille pièces d'argent,
Le numéral îiAÇ,
mz
CDAKM
lih9^Mr i
:
Un jour
mille
f-lUC i
(les centurions).
89
159
90 160
Adjectifs
Nota.
—
Dans
la
numéraux ordinaux.
lecture des signes numériques, les dizaines
ayant toutes des signes distincts de ceux qui servent à transcrire les unités,
il
toujours 2 j, lire
I
toujours 19.
il
faut lire
II.
6
et 7,
6 ou 7
Adjectifs
masc. i^
^^-T. ivi9^
3'
fém. »
)>
^ ^
\
:
distinct
67 se transcrit
de
la
sixième
S^%,
numéraux ordinaux. 1
161
Le groupe un signe
67, la sixième dizaine ayant
unité,
^OêC se lira 2 CD % ne saurait se
n'y a pas de place à la confusion
-
masc.
19.
fém.
^fi'^V
y>
m^^"^
»
^ ^
-VArt
Toutes ces formes sont déclinables.
masc.
^^"^^ Hi'n^
fém. »
"^^^ «TLI*
Adjectifs
numéraux. Dérivés.
de
Suivant* les différentes nuances
ou
tition, distribution
division
—
Multiplicatif.
même ple
le
quintuple
exprimer avec le numé-
:
est
de
rendu par
l'adjectif
^'dùi'
;
163
forme "W*
la
164
l'adverbe est l'accusatif de ce
;
substantif; 4»'fïA est la forme
^9^Mr
;
suit
il
Le nom
9^^'bMr
l'Aï- ou ^^HhAl*,
sens,- de multiplication, répé-
l'on veut
comme
ce dernier se construit
ral,
que
91
't^^tvt
:
quadruplement
le tri-
hO-fl ioa-
;
ble;^^t^tl triple; etc..
—
Itératif. fl
préposition
ployée seule
se sert de
on trouve
;
rh^
:
On s
aussi la
UÙd
la
forme
fl'^Aft
»
forme .^HhÀ précédée de
*
^*^^^
// s'en alla
^Oï^th a a^hr'C'hlff^
la troisième fois,
avec
la
ou em-
(l
de nouveau pour
^-fldl-' Vous
so/i-
numéral cardinal,
ùl
s
*®^
nere^ quatre fois de la trompette pour leur signal.
On ft
rencontre aussi
§ J %\L^
I
P mot;
i
s t r
il
est
i
t
nom TM, avec
i
—
f.
rendu par
la
n'y a pas
Il
de formes spéciales pour ce
répétition des prépositions
par la répétition du mot lui-même Il faisait ainsi
le
prosterna cinq cents fois.
Il se
bu
le
:
(Otl^li
A.^f ï
chaque année.
»
HAA
s
a
H, A,
j^l-flC
ùM'll
OK. I
a
-lin
I
*f 'î
s
Chtl-t
i
ou
tf,
tiM'^* Ofl> ?^^
i
s
J
Notre pain de chaque jour, donne {le)-nous aujourd'hui. Yl^h» h.
***
;hn1*' Deux par deux,
ils
«
hA
entrèrent
dans Varche de Noé.
—
Partitif. main
:
f -llA*
parts périront et
a
1.
rendu par l'ordinal
h
a
a
tiers restera.
Mth. 26, 44.
R. 1, 7. 7. Zach. 13, 8. 9. I.
est
h Ah. h^
troisième partie de
4.
Il
a
«^Aftl-
hft
mon royaume.
2.
Nomb.
5.
Mth. Dan.
8.
-^Aftl"
flJjii-CÇ a
(ïf'Ml
10, 6. 6, 11. 5, 7.
a
suivi
a
a
du mot ïi^
hf^T Deux
£rD-}«7/*':][.f
AVl*
a
M
a
»
i^
OHJ»
3. Z. A. 18, 26. 6. Gen. 7, 9.
a
^^'^
92
Notation du temps.
heure
il
y
un grand tremblement
eut
et la
dixième partie de
cette ville
s*écroula.
Notation du temps.
168
Dans
le calendrier éthiopien.
bissextile tous les
mence dans drier,
4 ans, comme
Tannée
dans
années ordinaires le
les
est
de ^65
avec
jours,
le calendrier Julien, Elle
29 Août de ce
mil
ce qui correspond actuellement
la
com-
dernier calen-
Septembre du calen-
drier Grégorien.
Après Tannée }0 Août
bissextile le
commencement de Tannée
— 12 Septembre.
Chaque année de des évangélistes et
la
les
S*
du
période de quatre ans est consacrée à Tun
années sont désignées par
d'entre eux: 1898, année de S' etc.. C*est à
part
Luc que
le
nom de Tun
Marc; 1899, année de
S*
Luc
;
se rapporte Tannée bissextile.
L'année compte douze mois de trente jours et un treizième mois de
5
ou 6
jours, suivant
que Tannée
L'ère suivie est en retard sur tre derniers mois,
de 8 ans pour
au mois de Janvier
Dans
la
;
et à IS)07,
autres.
les
L'année éthiopienne
année 1906, du
de Janvier au
concordance de date,
ou non.
nôtre de 7 ans pour nos qua-
la
1889 bissextile, correspond à notre
est bissextile
les
1 1
11
Septembre
Septembre
inclus.
mois éthiopiens commencent
à une date invariablement fixe pour le calendrier Julien, à l'exception
1.
de quelques mois pour
Apoc. 11, 13.
les
années
bissextiles.
Dans
le calen-
^8
Notation da temps.
drier Grégorien, outre la modification occasionnée par les années bissextiles, la date loi
de correspondance, se modifie par suite de
des bissextiles appliquée aux millésimes
1700,
i8oo,
la
1900,
2100, etc. Elle est retardée d'un jour à chacune de ces époques.
Le commencement de Tannée éthiopienne
qui en 1582 cor-
respondait au 8 Septembre du calendrier Grégorien, a été retardé
successivement au 9, lo, 11 du
môme
mois, aux millénaires 1700,
1800, 1900; l'écart qui était de 10 jours, est devenu jours. L'an 2000 tombant sous
2I0O que dès
l'écart sera
lors le 12
da
i
}
la
loi
des bissextiles,
ce
jours et l'année ordinaire
11, 12, 13
n'est
qu'en
commencera
Septembre.
Voici le tableau de
la
concordance des années et des mois à
l'époque actuelle.
Années éthiopiennes.
169
94
170
Notation du temps.
Mois
Mois grégoriens.
éthiopiens.
années ordinaires,
171
i«
^tih/if^
II
Septembre
1
^e
'p^»^;)-
I,
Octobre
12
Oct.
j*
"h^C
10
Novembre
11
Nov.
4*
;^^•^/^
10
Décembre
11
Décemb.
5*
TC
9 Janvier
10
Janv.
6"
f h-tl*
8
f
^^P{i/\r
8-
9"
.
2
Sept.
^
Février
9 Février
10
Mars
"^f-nf
9
Avril
•7^n1*
9 Mai
10*
ti%eih%
8
Juin
II*
fhl^A.
8
Juillet
12*
VrhA.
7
Août
If
ft7*'^'>
6
Septembre
10
Mars, etc..
L'année grégorienne bissextile suivant immédiatement Tannée bissextile éthiopienne, la
29
février.
Il
en est de
Les noms de méral d'ordre
y ,
.
la
concordance ordinaire se rétablit après
même
semaine sont presque tous désignés par un nu-
Dimanche
hih-f: ou lilMr
Lundi
flV-J&
Mardi
tPf^ti
Mercredi
dXi'Ù
i
YlCMlfTi j
-i
,vai J
•ll'^A
Vendredi
A^iî ou
Samedi
^fJ%rt s rtlQ^
Chez
le
pour Tannée Julienne.
:
.Jeudi
^'5^2
années bissext. éthiop.
les abyssins actuels,
PC-fl
Tannée
ou A'idi' i hf^V'^
est divisée
en deux saisons
:
95
Les particules. Adverbes.
ïld^^^
la saison
saison sèche,
des pluies, de rti à la fin
de l'année.
le reste
temps deux périodes
:
XTl
Ils
de ^T''%Tr
flP
;
la
distinguent pourtant en ce
la saison des fleurs, le
printemps
flA*7
;
la saison des grains.
Les quatre saisons
telles
que nous
les
avons en Europe, ne se
rencontrent guère que dans les ouvrages provenant de traduction.
tld9^^
hiver,
thPf»
été,
^^Oh printemps, Mf» automne.
CHAPITRE
Vil
LES PARTICULES. Nous donnons
ici la liste
des principales particules
prépositions, conjonctions, interjections,
sens, les particularités d'emploi
Comme les
:
adverbes,
173
nous indiquons avec leurs
de quelques unes d'entre
elles.
dans nos langues européennes, plusieurs de ces particu-
sont employées tantôt
comme
adverbes, tantôt
comme
préposi-
tions.
I.
D'après leur origine, dérivés.
De
forment du
beaucoup
nom ou du
donne ^'HhAlD
les
Adverbes.
adverbes se divisent en primitifs et en
les plus
nombreux,
qualificatif
ensuite,
les
mis à l'accusatif.
^"^Mih
ordre
après; diM" mensonge, thMr faussement;
ÇK-^ parfait, ÇX«<^ parfaitement ; Çm*'> meni;Qic,..
adverbes dérivés se
rapide,
Çm-V
rapide-
174
96
Les particules. Adverbes.
Dans
i'î5
mots
suffixes
aux
qu'ils modifient.
—
1)0* tre
ou
leur emploi, quelques uns sont préfixés
Particule interrogatwe. Très souvent on la rencon-
en composition
vous pas lu
nW
là
—
;
Miï'iÙl'^
i
— J&n./t"<^
WfHh KAOlf-. '
Jésus leur dit
:
hSf^
a
ce
N'ape^-
Là, avec les verbes de mouvement ou de repos.
K^Uf de
;
;
) ».
Uf
2)
h^
hAOU- a
tïihtDi
Olh
:
là
;
M+
a
UP
par
a 'W ;
«
Uf a
où l'on
AA, a
fBtiiJ^
va.
Il
—
hit»
3)
regarda
Au
de
d'ici,
et
—
rh4»
à
fait
5)
;
«T.
»
nom de temps
avec un
^^''"'ih
:
Un peu : ^ÙC4* « rh+*
A^. . .
—
pett a
;
Repose'{'VOUs un peu.
ft/h* peu.
Combien:
^Olf^a
JiA
a
Ji-^^f^i* ComM^/i
!
K^-H _ Ensuite, aprh.'hr-nif.ahpao^i ti^tt^^V Ensuite Hérode appela les mages. 6)
quoi nière
9n^,
î^li-
pour quelle cause
)
(DtiiJ
n/h
se sonf multipliés ceux qui m'affligent
7)
a
au delà.
nn/h^* f ea d tout
V3^^
:
là.
delà, depuis,
Vingt ans 4)
D'ici, de là, de ce côté-ci
—
)
Powr^uoi
comment
)
dans quel but
)
tCft:tï^
à^^Tf^
)
(W^'t
pour-
de quelle ma-
ï
8)
IhlL
depuis quand 9)
)
9^6C
—
QuandïhMli'^TMl jusqu'à
quand ïh^^lM
hJ^ÎM jamais.
—
Une
fois,
soudain.
Avec
le subjonctif
Texhortation.
1.
Mth. 21, 16.
4.
Maro
6, 81.
Ex. 2, 12. 5. Ps. 3, 1.
2.
3. II.
6.
Par. 25,
Mth. 2, 7^
5.
marque
97
Les particules. Adverbes.
M
11)
—
particule a la tif
J&Xi'
:
—
^'"mV
10)
i
^fl.
en ce temps, aussitôt. Très souvent, cette
alors,
forme 3
et se construit avec le
/^(l»
hM^^f^^
—
4»4-n
12)
Environ, presque, en quantité de.
Alors je
Proche, naguère, presque
K^Xlff^^ h,
4
_
«l^ft:ao
13)
J&ha»-V-
1
En
'Vfl
«
s
4»4-fl
a
i
h
près de leurs remparts.
premier
lieu,
h'^^^
avant, auparavant:
*JÇ:^ : Ol+ftrl- «
«
ft-1iC'V
Hf'lfJ^Cs 4»<-n
:
WCI
^^;^^ O/wi qui habite près de sa maison.
Nous montâmes
pronom démonstra-
les confesserai.
Jt-Î^^
AiVisi /^s der^
nier s seront en premier lieu, et les premiers en dernier lieu.
— Auparavant, ^^ OD^^OD — ^S^ao*
QQQ^
les
mêmes
—
;^rlh'^
15)
in»:iri)r
—
4»^*^,,
comme
s'emploie
j^Qjj^^
significations.
^l'AOI,
14)
jadis, autrefois.
mêmes
sens.
adverbe avec
Ensuite, après.
'"^M'
Sous, au dessous.
mêmes
(ace.)
sens.
^îh'P, mêmes sens; d'une préposition
cette particule est toujours précédée
h9^ S 9î^ « Ot^ài'P^
:
Depuis vingt ans
et
au
dessous. "lin
16)
^OC^
a
f 'IfJtC oà
il
—
Où, avec ou sans mouvement
?i*7^-' Elle ne trouva pas où poser Ils
virent où
il
demeurait.
^ïVi
1
le
"hd
;
h^dïltVt
pied. a
V^
Ch^ a
Uf
UàOK
'îfl*^ i
—
It-h^a^
a
Ensemble, en
'ÏO*^
j
même
temps, également
Jirhi-i« Tawcfis gu
i/s
7.
L^
Mth. 7, 23. Mth. 20, 16. Jean 1, 40
2. Sir. 14, 24.
Par. 27, 23.
5.
I.
8.
Ruth
3, 4.
9
3. Jud. 7, 13. Gen. 8, 9.9. Act. 2, 1. 6.
:
i
/tew
MH*
^/a/^fi/ foas
lement ensemble.
1.
^fl
s
*
dormit.
17)
4.
i 'Iffl s
éga-
98
Les particules. Adverbes.
V,
i8)
Vfl^, ÏJ8i
—
Voici, ces particules reçoivent les suffi-
xes personnels.
—
V»
19)
Particule iaterrogatipe
bitatif à la conditionnelle
iï'iÙx If
I
«
ir'il^'W Si
K*B^'
ïx^
:
hommes
PeuventAls jeûner
—
iï^
20)
ces
;
donne
parfois le sens
J&RO^O-hï-
a
viennent
^^h*
:
V appeler,
i
lève-toi.
du-
\(^
1
JKilflAr
ï
Particule négative toujours préfixée
s'emploie
;
aussi bien avec le verbe qu*avec le qualificatif.
— KA — h\f
21)
22)
préposition
+,
h^
la
KAH, KAH
construite avec les suffixes personnels.
I
—
h'^ J^I-nC
s
le
Où, pour marquer
%a^tl n i
W
//
temps
eut
/
tO\i)^
:
i
dfi^
un jour où Hérode
1
faisait
festin.
—
"M
24) la
Particule négative qui ne s'emploie qu'avec
etc.. 25)
un
H
Particule affirmative.
préposition
pas ;
Ttii'tiil
hh
25)
J&n>A-
i
Particule de refus qui ne se rencontre qu'avec suivie des personnels. Ti'J'flf
Cl
ou 2i'}ft,h
—
flrhiî
Non.
hMh
s
pas en un jour de fête
tu
».
"M^ Je ne veux
ne veux pas.
hM*, s
ou
fln9A^ hïiV-
pas au contraire, bien plus
n'est-ce
s
Ils
dirent
:
:
« mais, que ce ne soit
^V^Yia^ hJM C*n' s
i
Bien
plus, votre voie n'est pas droite.
26)
a^
i
li(0
IhP^X
3
de vos paroles 27)
—
Particule affirmative
hcD soit
hj^-fc
s
:
-
hoi
1
si oui,
ai?i^i
1
ît
Kr/iA
«
AO K AH
jMfl*'}
«
^Ah
'
1
Ç)«^ c/iacw^ie
oui ; si non, non.
Où)
flKj&-fr;
-Tlfll îiJB^'t,
1.
Nomb. 22, 20.
2.
4.
Mth. 26,
5. Ez. 18, 29.
5.
:
Marc
2, 19.
3.
où
Marc
2
hrhf''b
6, 21.
6. Jacq. 5, 12.
99
Les particules. Adverbes.
d*oà
me
)
flhJZ.'fc
connais-tu
comment
)
)
nh/i-fr
^h9^dX' Comment
i
)
—
?iC
28)
Pourquoi
^Comment
)
dans rinterrogation
comme
dans Tex-
clamation.
où
—
lf"Ar
29)
Tout à
fait,
AdA l^JtC W-AÏ' a
a
:
}o) suit
:
h^
Jt4-ft
—
h^"* a
i^hn'VSlf^
a 'Ih'l'fl^*^
donc de plus
a
;
;
'
\tti^% partout
terre.
donne un sens
h-V&lf^
W"AX,
au mot
restrictif
h^
f^l-f^
a
qu'il
Ki\\
a
i
^
Si i^ows sa/we:^ seulement vos frères, que faites-vous •
)
—
9-^
}i)
Presque
absolument
Partout sur la
Encore, de.nouveau
:
Mn
i
"i^^
hif^n i
i
Ir
rhV* Tandis que nous sommes encore vivants.
HAÀ
32)
—
Perpétuellement, toujours, sans eesse
maintes fois
lement
;
JKfP* a
HAiC.^
Oux
AHA^,
;
/^
gai
AllAf", powr
voyaient
sms
toujours
cesse.
:
continuel-
;
ïiA
WfTrii
a
l-^h-nî^^ a CDVl^f A h\i a H A<«. a Hl-^hn-i« Des a
toujours vous en trouvère^ jours.
33) 34)
Ici.
mais moi, vous ne
an?,
En
ici,
hr"n^,
me
trouvère:^
J&^X
tf
A^
J5)
36) 37) fl,
38J
pas tou-
d'ici.
ce temps, maintenant, aussitôt, bientôt ; tan-
p^ _ Aujourd'hui. RCl — Ensemble, pareillement. ^"hù — En après ;9,ytc\%%i^Té^o%\\\ons arrière, ensuite,
?tl^,
mêmes
éS^^f*
1. J. 1,
4.
a
pauvres,
naguère.
tôt,
A,
fthlL — Tff
;
a
Lam.
49. 4, 17.
sens.
—
Beaucoup, extrêmement, excessivement.
2.
Ex. 10, 13.
3.
5.
J. 9, 8.
6.
Mth. 5, 47. Mth. 26, 11.
100
Les particules. Prépositions.
II.
176
Prépositions.
Les prépositions se divisent en séparables et inséparables. Les premières s'emploient isolément, les autres ne sont usitées que
comme
Plusieurs prépositions,
de cette
a
fl »
,
soit séparables, soit inséparables,
vent aussi s'unir aux suffixes personnels les règles
A
Les prépositions inséparables sont
préfixes.
suffixation (147).
;
,
peu-
nous avons déjà donné
Celles des prépositions que
l'on rencontre le plus souvent avec les suffixes personnels sont
:
^AdA-h, rtï^, ^^^, -tn, ^hhA, ^^ài-t, ^n, Mdh, Jt-v^:, ^-îiA, nnj&Ç'i-,
vm-, ^àx-t,
A, ^ù^,
etc..
177
i)
mot
—
1)0+
Au
lieu
de; à
la
place de
est particulièrement usité, lorsqu'il s'agit
ment, compensation
:
h9^^h-
A Uf "ïi- MhiÙlf^ i
s
de vos troupeaux peaux, 2)
si
et je
i
s
h^
i
MMYlt^ -TfA*
pour prix
;
s
Ce
1
îiïl
'
Apporte:['moi
vous donnerai des vivres à la place de vos trou-
Varient vous manque.
A
elle sert à
—
Cette particule inséparable marque
désigner
où
le lieu
sonne à qui l'on s'adresse
:
l'on va, la chose
K'i''^^**^
'
que
la
direction
;
l'on veut, la per-
KM*^! tDh^MPr' s
{Les vaches) ne dévièrent ni à droite, ni à gauche. les
(OhV'fÙiao-
(DC^Ïia^
i
de.
de mutation, paie-
TtC'h
i
(ï^ii^^
U
acclama.
1.
Se met devant
les notions
Gen. 47, 16.
2.
L R.
de temps,
6, 12.
si
elles
3.
marquent
L K.
17, 8.
le futur,
101
Les particules. Prépositions.
la
succession
A'
:
Vous déposerez
^^^
a
;^5f'fl^
a
MHJi-flrh.C
manne devant
cette
le
^9*
^fL^^ i
s
les
Seigneur y pour
jours
à,
venir. le hui, la fin
Marque donna
leur viatique
a}U(\(^
:
la route.
pour
^tJ^ao^
s
I^'VJK.
^^V^' Il leur
a
AQA.^^ Bon
»
à man-
ger.
Art'XW'^ Le Seigneur du Sab-
l'attribution: ?i*7H,?is
Marque bat.
Désigne
l*
objet,
h, A-flrh, 0^éL, Devant
Anrt //
5
le
Vinfinitif,
3)
à celui-ci le sens futur
HA-flrt
a
vêtements de
a
<^n
a
W"A"
f^'UC
«
:
AnÇh OhMa
a
h.
*J^^Th^
qu'il avait revêtus, lorsqu'il dut entrer
lin
les fois
il
marque
ù'Q'h'
lià'l'^lCXïr'^
:
que je parle.
—
AdA
la répétition, la distribution
au dessus de.
Sur,
S'emploie indistinctement
avec les verbes de mouvement ou de repos a
(\/L
sanctuaire.
Redoublé, Toutes
donne
il
mùi^ih MOT les
comme
etc.. •
s
déposa
dans
après les verbes qui signifient dire,
La mort
S'emploie avec
vient sur tout
les
:
^"^Kh
a
T^'Y*
a
AdA a
homme.
mots qui désignent des vêtements, un em-
ploi, la subordination.
Auprès^ chei, vers, dans
n
a
/*'CCD
a
A^A>I^^
//
a/
Désigne V adversaire Profère une parole contre
:
AdA a
a pas de racine chei 'J'fl'fl a
:
le
flrhC* Auprès de la mer.
^A
1.
Ex. 16, 33.
2.
Mth. 12,
7.
Rom.
5. Lév. 16, 23. 8. Jos. 16, 3.
5, 12.
10. Job 2, 9.
lui.
^iôà
i
WULh'dih^C'''
Seigneur.
4.
8.
a
Gen. 45, 21.
3.
Gen. 2, 9. 20, 8.
6. Jer. 9.
KA
Mth. 13, 21
102
Les particules. Prépositions.
'''•AdAi'
—
HAM —
A
avec
les
Au
dessus, sur la partie supérieure.
mêmes
les
verbes marquant
9^RC^ Ceux
de préférence
sens, mais s*emploie
repos
"hh
:
'^flïA•S'
s
MÙM
s
«
A
qui sont nés sur la terre.
—
fyàti
s
"hlft*
le
En
Marque souvent
haut, à travers.
le lieu
par où Von passe,
— —
W^AdA Î^AA
4)
AXA
9^tîiifO*^
i
On
Avec. C'est
la
d'où l'on vient.
de l'union
particule
donna [du pain) à ceux qui
Il
(DO(ii^
:
i
étaient avec lui.
trouve fréquemment avec ce sens, après les verbes qui
la
signifient
le lieu
Désigne
unir, mêler, etc..
;
les
Après
verbes
combattre, lutter,
:
etc..
moyen de
:
Î^AA
verbe envoyer et ses analogues,
le
Après
dh(0
«
^^^di^
s
Î^AA»U-^
//
signifie
enpo/a une
lettre
par
le
lui.
par
Che:{, auprès, sont des sens rares.
—
Kî^AA
Comme,
—
Tt\9^^, îiî^
5)
marquent l'absence,
la
COK i
s
Le
ït-f)r
s
/hlf-n
lieu
d'où
Sors de ta
terre.
L'origine
:
à Vinstar de.
Indiquent distance,
séparation après les verbes qui
la
la fuite,
M'i^lh* Tout
Von
vient,
h^
«
8
âï»C la
hj^'h
*
îiî^>
s
:
•f'fllA'^®
Ceux
concupiscence de
peuple s'éloigna de
d'où Von part
^(D^ uA^p (Dhjkr/^r^-t i s
le
:
Hftî^
-AXA.
qui ne sont pas nés
la chair,
l'éloignement, etc.
1.
Esd. 19, 13. I.
R. 13, 8.
'^H
lui.
Ih M^^ r*^C\\^ s
«
:
s
(OhJti9^iL^f!.
hA
s
du sang,
s
^
hrhnnj^'iï ni
du désir de
ni de la volonté de Vhomme, mais de
Dieu,
4.
:
2.
Marc
5.
Gen. 12,
2, 26. 1.
3.
II.
Esd. 16, 5.
6. J. 1, 13.
103
Les particules. Prépositions.
La
une chose se
matière dont
Vauteur, la cause efficiente
fait,
on
instrumentale, la règle suivant laquelle
^
/t"T
a
"M^Mrlfi^
Les deux
Elle indique une partie
de vous deux. sens
:
Blh Yï^hATlr
d'Abraham.
pierres, des enfants
X'flAh''^
:
ou
h^'"!
dis que le Seigneur peut faire surgir de ces
iih'iïCV9^ Je vous
I
fL
agit
s
i
K*PA-^I> « A
de Lot conçurent de leur père.
filles
du tout
a
^^
:
i
Employée sans antécédent,
J&KOI-Cs hî^W-/V-s Ç{^Mi*
ïiî^hA>i.lf<^' Qui
•7'flX"
»
a parfois aussi ce
elle //
emportait (quelque
chose) de tous les biens d*Égypte.
Cette dernière construction se rencontre particulièrement avec les
verbes
Mr^
ger,
Après ratif
:
:
Vi^K
h't/Ld*
boire,
I
AP-A.Ç
plus que tous ses
^ft^i"*
d'ordre
i
(l4>j^i7D
W-/t-<^
sert à 5
former
R4*'
//
le
compa-
aimait Joseph
nom
courut devant
Il
lieu,
se rapportant à
lui.
ÇlM
devant
W-A
de temps
une persona
l^J^C a
Dg
toi.
devant, d'en face, avec les mots qui signi-
Auparavant, avec
les notions
—
Ki^^V et plus souvent dh^^ll nhî^^V '^J2.Ah' Selon ta puissance.
de temps.
Selon,
suivant, d'a^
a
1.
Mth.
4.
Gen. 45, 23. Gen. 13, 9.
3, 9.
*
Devant, en face.
—
fient s'éloigner de.
7.
s
remplir, etc..
h9°^
Voici, toute la terre est
_
l^^i^^OD
:
Kl^V
flAH man-
choisir,
Avant, avec un complément de
^^'%0-'
a
près
verbe,
"hC^
fils.
—
J^^h ffMl^
7)
le
donner,
'"^^h
en face, devant, avec un
;
rrX
ne
8
(OOd
laisser,
ou
le qualificatif
fd.^G
6)
prendre,
2. 5.
Gen. 19, 36. Gen. 37, 8.
8. Sir.
29, 20.
3. 6.
Mth. 21, 31. Luc 19, 4.
104
Les particules. Prépositions.
—
fl
8)
Dans,
lieu, soit qu'il
ait
y
mouvement,
plément de temps, de manière maison du temple).
la
(dans
h hi^Uf M^r"^ i
s'emploie avec le complément de
vers, che^,
i
soit qu'il
fl^^'^
:
Ofl»*?!*
qui viendra
scandale.
— —
ïiid^^ '^'flAd
nhW^^
s
com-
temple
En ce jour. J^CDô la
le
matière,
s
s
(thU'i
autel.
'
I^VJ^*
J&'lhfl^h
h'jnj&V
A cause de. A cause de,
i-fh^fi
s
s
9''/^'P0' Avec des
OHChlfl''
s
s
^'t
s
:
AflX-h
s
pour, au sujet de
sera béni à
//
'hauM'' Le veau qui ^*^
5
^ILft^tf»-
h^^^A
:
KA-nhtb » -ti-^G'
réprimandes ton prochain,
la nourriture, tu
9^
le
le
ta race.
np-ï
9)
avec
;
Dans
Vinstrument,
s
:
*
(la baguette) des prodiges.
cause de
i
HH* ^f^Kh ^'Jfrl'* Celui par 'tl'flC Ht 'th9^/i^ Tu feras avec elle
d'une chose
un
repos
de là en paix.
Il sortira
prix, la règle
pierres, tu élèveras
ait
^^ù^^
s
Elle sert à marquer aussi Vauteur,
le
y
oot^fj^
s
lis
est
tu n'as
pour
«
Itiiflf'^
Si à cause de
pas d'amour.
les
»
péchés.
ne trouvaient pas de qui
AU
'VVh-
il
«
leur par-
1er ait.
—
nnj&V
flnjiÇ'lh
mêmes
—
sens.
Toujours avec
les suffixes personnels,
marque
la
réciprocité. 10)
11)
mes
^^Aflï, ;^/h'^
sens.
OD:\^f^
—
1.
4. 7.
10,
Q;^rh'^,
s
M^^îh-t :
;^/h'^
Ifh5^;^rh'frh^^ Je serai celui qui
est
toi.
Mth. 12, Mth. 18,
5.
2.
Mth. 12»
7.
5.
Ex. 4, 17.
Gen. 28, 14. 13, 22.
J.
Ensuite, après.
Sous, au dessous.
<^1'/hi' ace. de ^^^îhrt*, mêmes sens
Sous V arbre. hhfl>*'> sous de
__
1.
8. Rom. 14, 15. 11. Gen. 18, 4.
3. Jér. 50, 12. 6. Deut. 27, 6. 9.
12.
Ex. 29,36. I. R. 23, 17.
s
mêdô^*
au des-
105
Les particules. Prépositions.
1
2)
ij)
— —
A
"HflA
'W
la
place de.
S'emploie avec
Che:{, verSj auprès.
personnes, de choses ou de lieux, qu'il y
— —
A'IlH fl'lin
bes
«
i
lieu, le
—
-ha
les ver-
indique ce-
il
de
la
J&i^C « ^•>'IA« ^-T'Th* // H^lflA « îi*7H.Jt-flrh.C s Uh
Vers,
ce n'est
—
Kfth
part de,
l'on passe.
HXiMm
regardait vers la roule,
15)
Avec
le lieu.
reçoit, achète, etc..
"Irt
V*7C'^ Cela,
mouvement ou non.
demander, apprendre, etc..
— par où ^Tflà — selon:
M't
noms de
sens avec plus de force.
s'emploie de préférence pour
X^-lrn, hlT't
14)
mêmes
les
recevoir, acheter,
:
de qui on
lui
donne
ait
les
pas d'après
Seigneur que je
Jusque, jusqu'à, jusque vers.
temps, l'ordre
h'^lhs l'û^
:
"hMl
jusqu'à sept fois.
le
^^Trd*^
a
a
i
htltï
le dis.
S'emploie pour i
tl'ÙÙ^
liAjt* Jusqu'au
Il
fit
le
ainsi
milieu de la
nuit.
16)
^flA
a
MM fcTC^ft
— a
Excepté, sauf, sans
foyà^'d^
:
KAO
a
HJ&I-AP a
n'y eut personne, qui
Il
le
suivit,
Hïi si
ce
n'est Pierre et Jacques. 1
7)
"hlfi*
a
M-h — J&îi'fc
<
Vers, par
où
l'on passe.
Ç^^lh® Personne ne pouvait passer par cette
Se rencontre souvent avec rée.
Marque
parfois la
pied.
M'f'i'^iï
1.
I.
—A
R. 4, 13.
4. Jud. 12, 5. 7.
Marc
\.J&hA a trD^\ , -^A.^ 1
6, 33.
manière
travers,
:
#H^ hti*
par l'intermédiaire;
Cor. 11, 17. 5, 37.
2.
II.
5.
Marc
rapportant à la du-
les particules se a
a
route.
hlC
M'f'i
3. IV. 6.
Ils allèrent
à
^d au dessus.
R. 4, 35.
Mth.
8, 28.
106
au
Les particules. Prépositions.
Kii* a
delà.
^'^Tf'lti
avec les
Hïx'i'blx
flïi'J'i',
A
Jifl^f
«
flh'î'fchh*
i8)
temps,
^
—
''7îihA
—
h^'"
19)
comme
des dieux.
Seigneur me
vement
—
J&ï*fl4-
:
:
ma
mon
1C
9^h
«
père.
comme pour
lieu,
h^
s
Ji'^Ahl'^ Voms i
le
flh sgre:^
f^f^V
^^
justice,
Dan5, aM mi/few
(DM* s ^TA^I*'
s
îil'i
:
ltx'mJ^'aâuCl MiOD
rétribuera suivant
fl^ftl*
20)
d,f.^X
i
à cause
sujet de,
Xï"^ avec les personnels suffixes,
'Thhfl>*V-
:
le
pour
milieu,
Comme.
selon, d'après, suivant
Au
moyen de
le
au dessus.
sur,
parlerai de toi auprès de
J^»
Am
—
suffixes.
de, pour, touchant, en faveur de, par «
M'f* « AdA
auprès, vers.
de, parmi, avec
ou sans mou-
demeureront dans
//s
les ténè-
bres.
Vers,
à,
particulièrement après les verbes qui signifient
en,
:
ajouter, unir, changer, transformer, etc..
POI-A
21)
0(0^^
et
—
Autour de
:
f^^Ohao^
s
QOhf^^
Jls
se tenaient autour de lui.
làf^t
22) Ils
—
Au delà: W^s'làF^'t'i d.A'lindfiC'
demeurèrent au delà du fleuve Basor.
JiV'flC
A lieu
i
-^fl
travers,
24)
—
-^fl
25)
s
^'idC
II
demeurera sur
mouvement
:
le trône.
à cause, contre.
^"hd.
—
Après, particulièrement avec les notions
de
ou de temps. 2$)
Ifl
—
R. 19, 3.
1.
I.
4.
Mth. 4, 16. Mth. 19, 28.
7.
Sur, au dessus de, avec ou sans
A
côté de, proche de
2.
Gen. 3,
5.
5. Is. 6, 2. 8. Jud.
4,6.
:
1^1^
1
3.
II.
6.
I.
HlOi f^^^T'^
R. 22, 21, R. 30, 10.
107
Les particules. Conjonctions.
Le
désert proche de Dothain.
m^, T:^, OTj^ — Près de. ÇÇ — Nom qui entre souvent en
26)
27)
locutions se rapportant au temps le lieu
(IhP
:
ïïMl
I
ÇÇ
a
flÇÇ
;
rtCh
s
composition dans des
se trouve quelquefois pour
'
Ils pleurèrent
jusqu'au (temps
soir.
du)
III.
Comme
Conjonctions.
conjonctions sont séparables ou
les
les prépositions,
inséparables. Parmi ces dernières, les unes sont placées devant le
mot comme
:
A,
les autres placées après
;
comme
:
A, ï, h», etc.. i)
2)
de H,
f
—
ï
Toujours
—
V^'i't* elle
AdAth*"***
s
3)
—
A
Au
conserve Il
le
5)
KîP^^V rarement AA-fl?i
cette conjonction est souvent suivie
AjZ'ïb'}
4)
J2.+"}?-
;
sens.
fOi^Ml''^ a Uf 7'f' 1
le subjonctif, :
Xl^lf
«
de
^^ a«ssL
:
1
donne
le
sens du commande-
iïCi'i^ Que
Depuis que, avec
a
Hhi*»>
vous exterminera^ au lieu de vous faire du bien,
ment, de Texhortation
me
lieu
même
Devant
—
suffixe
la
la lumière soit.
proposition temporelle.
nhî^^V — Tant M^m'i hïfOh 1 O^M^* a
que
:
uM
Ali^^^-a oblige V hom-
tant qu'il est vivant.
6)
A
—
Toujours
suffixe
;
indique une nuance de restriction
ou d'opposition^ ou bien sert à mettre un mot en évidence. Elle
1.
n. R.
1, 12.
4.
Rom.
7, 1.
2. Job. 24, 20.
3.
Gen.
1, 3.
178
108
Les particules. Conjonctions.
correspond aux particules grecques autem, contra^ sed, quidem,
de
A
Ù'ùliii
à
—
devient h'îA. 1ÎV
s
3
f>d>h^
3
:
jj^év,
—
vero.
Le personnel
(D^^^^fii Ti'' Mon
(Ohnn^h'ûih.Cti
la vérité, voit ce qui parait [le visage),
M
7)
—
aux particules
Se,
5
An
i
mais Dieu
latines
:
isolé ï\t suivi
mort.
fils, lui, est
^à>K' L'homme voit le cœur.
Particule temporelle. Quand, lorsque, dès que, après
que, tandis que, pendant que, toutes les fois que ; se construit avec rindicatif.
Particule conditionnelle, s'emploie parfois pour le réel mais plus
ordinairement pour Pirréel
flCV
«
si
'Vùûl
i
nous aimons
M
étions pas
ciel)
«
le
et
Seigneur
hJ^th(0*C^
Il
eût
s
cela que nous
aimons V enfant de
commandement.
faisons son
mieux valu pour nous,
parfois au verbe le sens optatif
:
s
traire.
—
n/hls
9)
Mais, cependant,
[Plat
le
subjonc-
toutefois,
néanmoins, au con-
Elle introduit les propositions adversatives et se trouve alors
Ah**^ iih'iià^^^ *
Avec blement
:
le
IDrh.<-
Tob. 10,
Luc
la
conjonction (O,
— (D(\îh'P
«
KA»
s
Mais, malheur à vous, riches/
sens adversatif, elle signifie quelquefois plutôt, préféra1
Q^lh* i
4.
4. IV. Esdr. 6, 44. 7.
nous n'y
^^^.^11^
habituellement précédée de
1.
M^
que nous fussions morts.
h9^^^^ — Avant que, gouverne mourut. M^^^'^ ^flO-^6 ^^^^^
:
si
Mi H^^^^
4»J?r^,
8)
s
allés.
donne
Elle
tif
s
"IhKHH^ Nous connaissons en
Dieu,
au
Htil* ^txTCiXV^ ^dJl^G A
:
6, 24.
-TlO
s
MIÙ
2.
L R.
5.
Ex. 16, 3.
16, 7.
«
tt-ttiPA
3.
L
«
J. 5,
ttO.'t
2.
6. Jud. 16, 24.
s
ïitïà*
109
Les particules. Conjonctions.
h.A^
klle:{
plutôt auprès des brebis qui pont périr de
la
maison
d'Israël.
tion
iDiha.A
:
riAO-
s
le
1
h9^ithi ^^éL'J-lh :
«Ce
n'est
i
s
à-ohù/i' iMn^r-t-i
hàfs'i'tYï'^' Le
M^tiOD 12)
îil^V
»
la
s
IH^^ Lorsqu'ils sortirent
îi^'^Tt,
et si
—
s/,
îi^
au contraire
s'emploie habituellement pour le
—
"hh^"^
la
M,
de ï\9^,
Ah^^H * H
;
AX^^'i, AK^'^ïi quoique
plus habituellement ij)
vos
de V Egypte,
proposition conditionnelle irréelle introduite par
(DihPD{i
i,
fruit,
quand; rarement tandis que;
où, lorsque,
proposition principale est précédée
la
serpent de la ter-
pas que vous mourre^ de mort, mais c'est
^gpj^is que,
7x^,1x9^
Dans
n^^oh
«.
— Au temps
fx^"^
<»dK-
I
réel.
i
Seigneur connaît que lorsque vous mangere\ de ce
1)
h^
Kce r'^c
I
s'ouvriront
yeux
Mais, s'emploie ordinairement après une néga-
à la femme
re dit
que
—
h^
10)
;
si
ïv^
par hasard.
ces particules introduisent
proposition concessive.
Parce que y puisque, introduit
la
proposition
causale. 14)
après
A*
;
— Jusqu'à que de — i-i^'Vf1- T+ htÙX ce
Tifth
T+.
i
«
Ùf^'f^* Elle
hommes.
hMl
»
telle sorte
;
«
i
était si belle qu'elle séduisait les
l'fl^rh
a
à^^^
que, principalement
^hhv^ Of,^a^ AW" regards de tous
Mth. 10,
7.
4. Jud. 10, 4.
2.
Gen. 3, 5. 28.
5. Sir. 4,
les
Jusqu'à ce que tu atteignes la
mort.
1.
1
3, Is. 11, 66. ,
110
Les particules. Conjonctions.
Elle introduit
proposition consécutive
la
M
avec
;
ou
K*^
in-
troduit la temporelle. I
h«
K'^flA
i
pour
i6)
Ti'Jh
17)
liiH
Mn 18)
// leur
i
i
H/i/*'!*
commanda
a
qu'ils
— —
Donc,
—
//
Donc,
M
i tl
avant que nous nous
pourquoi
tomba tandis peut-être,
Qui donc
ùfiy^t*
TfIdC i
Tandis que, comme, lorsque, pendant que
je.+m*îr»3
ïiiP
c'est
(OhJ/i^
s
ne prissent pas de via-
ne prissent qu'un bâton.
culièrement dans rinterrogation /^"i*
^^'^^
a
'iïldfi^^ Faisons-nous un nom,
s
séparions.
«
(M*^
*
la route et qu'ils
'"^i îiIrtA
4»
i
«
a If
tique
ce n'est, à l'exception de, de sorte que, avant
hm^^ h^ hAH
:
que
— Si
h^flA
<))
par hasard. S'emploie
^Y-
;
est le
:
(D^
qu'il était debout.
plus
a
KiP
a
parti-
f Ofl^ s d^'il
grand dans
le
royaume des
deux )
qui
19)
hiO*
20)
h.
—
—
Ou
bien
:
c'est
Donc,
gë
h(0-
pourquoi
;
Si^
Vingt-cinq ou trente.
particule toujours suffixée
marque une conclusion, une conséquence. 21)
—
h^"*
tion finale et aussi
h9^ll^^,
Que, afin que
de
la
;
c'est la particule
de
la
proposi-
complétive objective.
lorsque, toutes les fois que ;
Mi9^h^^
aussitôt que, tou-
tes les fois que.
tttl^^,
Comme, de même que
;
introduit la proposition
;
introduit
compa-
rative.
Toutes
"M^W"*,
les fois
que
la
proposition tempo-
relle.
1.
Marc
4.
Mth. 18,
6, 8. 1.
2.
Gen. 11, 4.
5. J. 6t 19.
3.
I.
R. 28, 20.
Les particules. Interjections.
avec
—
iO
22)
porel, etc.. le,
Etj ou, ou bien, avec Je sens conjonctif
sens adversatif. Elle a parfois le sens
le
mais
4*^fli
crois.
Ç4'«fc
I
hJt'X)*'}
:
111
!
M
«
final,
K*'^* Ne
sois
pas incrédu-
(Oh^^tïMl^ Approche de moi que
»
maisy
;
consécutif, tem-
je te tou-
che.
—
If
23)
Que devant
que, afin que, de sorte que.
introduit
—
h9^ii depuis
tandis
dM'i'H
que, après que.
Après, elle est rarement employée seule
J^'V^ après que, avec
;
h9^
la «temporelle.
—
fihP^
25)
flff
complétives subjectives,
causale.
la
^'ï^
24)
les
Mais, au contraire, cependant.
IV. Interjections.
1)
'flrh>C>
H^4*^
personne
:
thti
1
de h9^^ ou
sert
—
thÙ, 'hii
moi, de faire }i'fl#h>C^
Arrière
I
rhïft,
3)
AjlAf
litïtï
—
#hA
1.
J.
4.
I.
A
,
120,
1
?ifth
«
Avec un nom de chose on
se
Seigneur
M^
V-1iJt*7
1
IfU?*'^ Loin de
*
^-AJ^-fr le
!
5.
2.
AMH.
:
!
joie.
HC/h+ 1
'^'V
séjour s'est prolongé !
Gen. 27, 21. R. 23, 17.
5. II.
1
Seigneur
la
mon
îi*7H,h la
— Marque l'étonnement, A,Af — Malheur à moi iuM ce que
a
Avec
diÙiliA"-
A)
îifl^^
Particule suffixe qui marque la prière,
20, 27. R. 2, 30.
7. Ps.
:
!
1
est juste.
i^ nous que nous cessions de suivre
fXX'^ Malheur à moi de 4)
parce que
Loin de moi
te
'hfl
:
dï^h
2)
—
l'aversion
HA**
cela.
Lom
Marque
8.
Rom.
la
demande
3, 4.
6. Job. 22, 29.
:
179
112
Les particules. Interjections.
JiîT'Ah
I
'\fM
s
-hiwip/p^
a
^oh^ hrAlf» ,
tus, tourne-toi^ je Vert prie, regarde
n/h, n#h, (Irh
<,)
flrh
tre !
Ifl-ro^
5
W —
6)
Kl'flC
a
i
Cri de salut
MxS^lhf^^
s
W
îiS»h
;
«
"}%
fém.
AdA.y
«
;
Dieu des
ver-
du haut des deux. flr/i
:
ï
^d'
Salut, maî-
Salut, roi des Juifs !
Allons, dans le sens latin âge.
xion. Sing. masc.
W
—
'
Elle
Plur. masc. "ÏO*
(Oi-diî^'
;
admet
la fle-
—
W,
fém.
Allons, pose ta
main sur
elle, elle vivra.
avec
—
h
7) la
Marque
Le
douleur.
la
plus souvent elle est unie
— hh, particule h h — Indique
l'action d'appeler, c'est le signe
S)
Cette particule marque aussi l'admiration, la
9) ,
lo)
KA>
1
hV — Marque ha» — Indique
AlfU
s
h»^HL
ro\aïn, malheur à Il)
1. Ps.
4.
lii^à
80, 14.
Mth.
9, 18.
s
toi
—
hft,
menace,
AtU
Bethsaïda
«
5.
menace.
la
la
lU-h
ï
douleur. Hélas
!
Malheur
^j&^' Malheur à
!
Est un signe de
2.
douleur,
vocatif.
douleur.
la s
la
du
Mth. 26, 49. Mth. 11,21.
joie.
3.
Marc
15, 18.
toi
!
Co-
113
Syntaxe.
LIVRE TROISIÈME SYNTAXE Comme
dans
les autres
langues sémitiques, les propositions se
présentent sous deux formes. la
On
les distingue
180
en éthiopien suivant
nature de leur prédicat. La proposition dont le prédicat est un
verbe est appelée verbale, celle dont
nom ou
le
prédicat est
un
substantif,
qualificatif, s'appelle nominale.
Nous étudierons d'abord chacun des éléments de ces tions
:
les règles
verrons les
lois
de
leurs différentes relations entre
eux
;
proposipuis nous
qui régissent les rapports des propositions.
CHAPITRE
I
DÉTERMINATION DU NOM. L'éthiopien ne possède pas d'articles
détermination du
nom
1,
êtres
la
détermination ou
l'in-
igi
sont indiquées par le contexte ou bien sont
marquées au moyen de constructions
i)
;
Les noms propres
Détermination.
ainsi
ou choses uniques en
particulières.
que
fait,
les
noms communs désignant des
comme 10
le soleil, la lune, le levant,
i82
114
Détermination du nom.
le couchant, la vie, la mort, etc.. sont
déterminés par leur nature
d'une construction particulière pour indiquer
et point n'est besoin
leur détermination.
ChJlliVhdinjW'i nî^/*'^** Nous
hAH
dans Vorient.
a
Rien ne me séparera de 2)
mun
nf^é^^OiX
avons vu son
hrih.
i
s
MOA
s
étoile
^1-'
ce n'est la mort.
toi, si
Accompagné d'un pronom
autre que l'indéfini, le
nom com-
est toujours déterminé.
AU^:
h9^S^h''ù^ln(0i^'ié.i(Dat'Tti'l*'. porta du 5)
beurre,
du miel
et le
Hl-n^'
//
ap^
veau quHl avait préparé,
L'addition d'un complément déterminatif tient aussi lieu
d'article défini. .
^j^jp
ih
jPjç.^
.
HhrfVy^ Le Seigneur
i
de pierre 4)
suffixe
i
accompli
tel est le
temps,
du
i
Mth.
nom comme
s
songe.
OÇiXf KiXih
(OXiOD-^
hi^a^'
i
s
'flA-je.
hlh9^^
l^nh- /*'Pl^s
des couteaux
apposition, sert
s
songé un
J'ai
-flîirt.^f
s
hh'^ s
s
9.
Gen. 29, 21.
s
h9^fï(Uh^
C^'h'iïtïi^
i
j'ai
Apprenez
^ïv^^ Prends
«DhAH nff»(D\ i (Df/i rh-^A hh'^ ' ft^P s aif^l rh^A s Ali* a s
s
--
2.
2, 2.
M. 47,
s
pain a^yme.
ohMr Tf* l
7.
toi
nfais pour
^lA^
TtvT'iihIï
figuier,
la viande et te
1.
:
^"^^àdjJ*^ Donne-moi donc mon épouse parce que
le
la parabole
personnel ajouté à un
h Ah s
s
autre songe et
4. B.
à Josué
du
déterminer.
le
rhAî^Vl-
éJk9^\^
dit
conduisirent dans la terre
i^
».
Le
encore à
ji^
;][.«7^j2,4
Ruth
1, 17.
5. Jos. 5, 2.
8.
Mth. 24, 32.
3.
Gen. 18, 8,
Gen. 37, 9. 9. Jug. 6, 20.
6.
s
115
Indétermination du nom.
•flA*J&:
IDOI^Ï-X:
personne
(DHiit
i
p.'1-hOfl»*
mette un vin nouveau dans
qui
j!,^Ul^^'
i
une
vieille
qu'un pin nouveau ferait éclater une outre vieille, el
pandu ^)
et
le
maître de maison,
le
M>0^i Et Dieu appela
La
-hfJ^
«
rt.hC^
marie dont
le
+^'T./
du Seigneur
h'Tf^ù
s
J2.ll^
i
est
le
ils
murmurèrent contre
ATA-fl
»
i
dA-h'
«
d.£.V
s
U1^ i hf'ù
et vint
dans une
îi*7fU
s
commencement de
(Od^^di
de Juda
// laissa la terre
la
Sa-
Ml*
i
ville
s
de Sa-
était Sichar.
2.
i)
O.l''
tofi^^ i MH.K'flrh.C s A-nCVï
la lumiène, jour.
nom
de déterminer un nom com-
apposition à ce suffixe.
^àiUhi AQdAs
crainte s
enfin
l'antécédent d'un suffixe personnel
faire suivre
nom en
de mettre
Yx'HAhCL*
commune
façon très
et
ft*^
parce
outre,
vin serait ré-
le
Voutre serait perdue.
Une
plément, consiste à
gesse.
n'est
Il
Indétermination.
Les noms communs qui ne désignent pas des êtres ou des
choses uniques dans
la
nature
comme
ville,
cheval, maison, route,
montagne, etc.. sont et demeurent indéterminés lorsqu'on
les
em-
le
sui-
ploie seuls.
i-Afl>-P vaient. cette
i*
I
1.
a
'iXWyi
CD-hAr 9
WïC h^ s
rumeur qu'un moine
'"'AM''* Elles
Marc
2, 22.
4. Ps. 111, 10. 7.
«
A. P. 55, 28.
K/hH-fl'
s
était
les fit
J
venu.
De
nombreuses foules
^VÏiAs
oD9:ïx'
l\0^é.fA*f^
s
On
entendit
Drh'flA
a
M
descendre avec une corde par une fenêtre.
2.
Mth. 20, 11.
3.
Gen.
5.
Jean 4,
6.
Mth. 4, 25.
3. 4.
8. Jos. 2, 15.
1, 5.
183
116
Indétermination du nom.
iDrfiVK /i>
1
Aùr'P'i
i
n.+ > Mirtï
Mn f^mp/g pour Chomos
le
Kî^Ah s ^K-n^
I
Salomon
Moab.
dieu de
Les noms communs au contraire désignant des êtres ou des
2)
choses uniques (182), deviennent indéterminés, quand
ils
d'un complément qui n'est pas une épithète de nature.
même
M-
pour
noms
les
O^M^i
>î*7i^*
de soufre
et ce
T^""
Leur
affliction sera
sera une seconde mort.
(DOt-h-P
en
Il
est
de
propres.
hs Kl^Ahs h'ûCi^^ braham,
sont suivis
i
Je suis
hî^Ah
-
le
M
une géhenne de feu
O^TtCP
s
Dieu de
s
h9^^tl
Il
et
tiOr
Dieu d'A-
ton père, le
Onj&ï (D^l^à*
s
est
le
Dieu
et terrible.
grand
<0C* 3 (Ohjt-'l^^ i Ahtf^
s
Hh^Tf i
hiP^Ah' N'honoreii pas
des dieux d'argent, n'honore\ pas des dieux d'or, ne faites pas pour
vous de
dieux,
Les différents mots que l'on emploie pour tenir
3)
noms
tels
et adjectifs indéfinis, servent aussi à
lieu
de pro-
marquer l'indétermina-
tion (152).
hrfi+
homme
1.
1
bM* i ^9:h
vint che\
m.
R. 11,
4. Deut. 7,
i
-110.0- 5
hdi^ i
-nhrt.'
Un
lui.
5.
2L
2. 5.
Apoc. 21, 8. Ex. 20. 23.
3.
Ex. 3,
6. F.
M.
6. 8.
jour,
un
Emploi des
117
qualificatifs.
CHAPITRE
11
EMPLOI DES QUALIFICATIFS.
—
I.
tif,
En
dehors de l'usage ordinaire qu'on
on remploie encore
gner
la
le
comme
le
notion abstraite qu'il signifie,
possède
me
seul
la
On
qualité qu'il exprime.
nom
principalement au
;
peut
des individus qui
classe
la
qualifica-
lorsqu'il sert à dési-
nom,
ou
du
fait
le
déterminer alors com-
moyen des
suffixes
personnels
(182,4).
«^•W
-tldi/^ihr'ïiÙ'f'iaiiaCi le
fais
^d^^^i,
bien,
mal pour f'^^ Le
le bien.
le
«
htUi^i V^'i'ti
hh9^C^
i
Eloigne4oi du mal
îi'^H.K'flrh.C
Seigneur connaît ce qui leur
est
me
i^-VJ^" Vous
ïl«Hh
s
—
manifesté.
s
ji1-yf ^*P' Les
violents s'en
ZiiTrMif^i (DOdff^'^ et les
petits
Tout
le
peuple; en
9^Mi't? d^CXf '
grands.
Employé
seul encore à l'accusatif,
il
i
rende:^
fl'lin.lf
Mi^^ s ù
/L* Si je trouve cinquante justes, je sauverai toute la ville.
— ïtl^ empareront.
et
I4*'i'}
/hlfO*»»-
même
a
temps
1
'ÎO* les
Je suis sortie comblée.
former l'adverbe
sert à
(174).
hi*»-tAj
^AOi ni-^ldi dM-bhih'
qui parlât ouvertement de
1. Ps.
34, 14.
4. Gen. 18, 26. 7.
Ruth
1,
21.
Il n'était
lui.
2.
Gen. 44, 6.
3.
Rom.
5.
Mth. 11, 12.
6.
Gen. 19, 4.
8.
Jean 7,13.
1,
19.
personne
184
118
185
Emploi des
—
2.
A
moyen du
côté des qualificatifs que nous avons vus dans
H
relatif
et
du nom
c'est la formation usitée
;
On
racines qui n'ont pas de dérivé qualificatif.
de
employés
qualificatifs
(DC^^
avec
soit seuls soit
amena un muet démoniaque.
trouve ces sortes
nom.
le
nPïrii f^a^ao^
'1[^.l^i
ti""^^
Ttilii
les
pour
n'honore:{ pas des dieux
N'honore:{ pas des dieux d'argent,
Çl^s hrX-h.ï
d'or,
la
existe des qualificatifs formés par circonlocution au
il
morphologie,
qualificatifs.
Voici qu'on lui
J^Wrh*^
i
Les lépreux
sont guéris.
186
—
3.
Degrés de comparaison.
le superlatif
ciales
du
Le comparatif
<"*• *
La
la
la
s'
mais par circonlocution.
QX^TÏmo par h9^^,
h9^
placé devant le second
comparaison.
part des enfants de Juda était plus grande que la leur.
Si au lieu
garde
et
ne sont pas rendus en éthiopien par des formes spé-
qualificatif,
élément de
Le comparatif
de
même
la
forme qualificative on a
construction
comparaison est
toutefois,
;
un personnel,
le
si
la
forme verbale, on
second terme de
peut se suffixer au verbe et
il
la
la
pré-
position h9^1l se supprime.
KJt+1- s 'tà'^C a
AO que
que
h9^M^
'dtiùii IfJ&rtl'flnh^
s
toi.
le
Tamar
// n'est
pas d'homme qui
ÇQJt^ ArhAI* h9^^^^''
juste.
i
s
fl>*A*ft
s
tf^AîT'
s
2.
Mth.
5.
Gen. 38, 26.
7. P. A. 14, 14.
8.
Luc
Ex. 20, 23.
9, 32.
16, 8.
soit
Nous aimons
j&m-fln*
4. Jos. 19, 9.
1.
plus juste que moi.
est
s
h
plus sage
le
faux plus
M^O^t^f. « '(iCfV
3.
Luc
7,
22.
6. Gen. 41, 39.
119
Emploi des pronoms personnels. Les enfants du '%fstiXià*i
siècle sont plus
M
meilleur que dix enfants
Le avec
mot
très
sages que
Yif^OtPdii
s
superlatif est
le qualificatif.
les
enfants de lumière.
Ne
l»*rtrJt'
suiS'je
Kjf'
pas pour
toi
)
formé au moyen de Tadverbe T'fr construit
A
T4*
noter que
se sépare habituellement du
qu'il modifie.
grand châtiment dans
iif'h'bir^Ci
Xir-ds
qui habite dans cette terre
i-hH
8
AJ^4-ft
mement car
il
8
le
« ïf J^V-flC s
/hlf-fli
pays,
T^^
œhVT-d.n-' ^n-ùi
^t
très
htï^ s n^A
puissant s
ID-ÏI+
et ses villes
T+*
8
a>-A't;h8
Le peuple
sont très fortes.
// s'affligea
extrê-
était fort riche.
CHAPITRE
III
EMPLOI DES PRONOMS ET ADJECTIFS
PRONOMINAUX. I.
Pronoms Personnels.
Pronoms personnels
1.
I
)
M, M-t,
Les pronoms personnels
(O^h-P, etc..
isolés s'emploient
d'exclamation oratoire, ou encore quand
R.
1, 8.
1.
I.
4.
Luc 18,23.
2.
I.
isolés.
R. 5, 12.
il
3.
en cas d'antithèse,
sont accompagnés d'un
Nomb.
13, 28.
187
120
relatif
Emploi des pronoms personnels.
OU d'une apposition. Les deux premières personnes sont
toujours sujet
+
troisième peut être sujet ou objet.
la
;
^
Moi fai planté, Apelos a arrosé et •>AVA s h-afi'i : aVi-t 5 hCft+ft :
—
cause du Christ, toi,
M
2) Ils
prédicat la 3*
ne sont
s'emploient dans
la
:
s'ils
que
« qui es-tu »
A-flîtrt.s
à cet
M
homme
s
et Esaïï lui
'flhA.+ parce que
c'est
O^Tti't
s
s
sert aussi
répondit
bon.
hlfti
Je suis
L
Cor. 3, 6.
2.
Math. 10, 20. Mth. 15, 16.
5.
L
le
sujet
ou
:
proposition.
« je suis ton
—
fils ».
Rends sa
hlr't'C^
Kft^s 'i.fta>-«
s
M
hji s
1k
Tu
es
Seigneur,
(voir plus bas 194).
Mis, hiiM, MUh,
1.
la
fl>*îi*s
de démonstratif
construit au
comme
cas, le personnel
sans intelligence.
êtes
Le pronom
10. Gen. 15, 7.
;
un prophète.
(f^Mi h'^rUK'flrh.C
4. 7.
KA
s
pas vous qui
hfï^i Vnj&s OhM:'
s
i
2,
i)
/Z,|>^3
autres personnels
les
sont eux-mêmes sujet de
dah^i i yci^i^' Vous Ci hy Parce que je suis
188
n'esf
proposition nominale,
personne peut s'employer partout usités
M
3)
s
s
ou encore comme copule. En ce dernier
(Isaac) lui dit
Esaïi.
îT^J^^
s
AKrHn<^' C^
s
n
vous êtes sages à
et
O.i'Arh.î^
ï
mais Vesprit de vos pères.
parle:{,
femme
^'idJl*
s
Christ
fait pousser,
OïttJÏ'i
— hji'}^'^ M^t^
ô Bethléem, terre de Juda.
1^hÇ"H-i
de
(DM±X
s
Seigneur a
(dM^oo^Ù i
Nous sommes fous à cause du
iïCh'f'tï^
Et
le
moyen de AA
etc....
n*est usité qu'au nomi-
Cor. 4, 10.
3.
Gen. 27, 32. 8. Mth. 20, 15.
6.
Math.
2, 6.
Gen. 20, 7. 9. Gen. 27, 21.
121
Emploi des pronoms personnels.
comme le
ne s'emploie jamais seul que dans
il
natif;
sujet
dans
;
la
proposition nominale
proposition verbale, on ne s'en
la
sert
que pour
mettre en apposition au sujet, par emphase, et plus particulière-
ment lorsque
renfermé dans
le sujet est
qu'il est représenté par
un nom.
Mijflf^i rt^d'>f' Vous
êtes
^Ca h^sKA-nVi nyh9^Ci '^
Toi-même
A./^'ï'
per
bois
le
comme
tu sais
les
mes témoins,
iit'^s 6e(Di
h^s
oMs
entrés che^ vous.
-w.*!*^*
—
AA«ll«
K'flrh.Ci K-flhs t^ao^i 0C;ao-^ le Seigneur fera
O^Mïs
ennemis.
leurs
AAf
Edom.
s
a-ak,
AuHh(M»As AA*h^ Ne
Sidoniens.
comment nous sommes
connaître
;^K
iiiiXï''
que nous n'avons personne qui sache cou-
Anjff^i yhr"^'- ntï^i
ge pas.
verbe, plutôt que lors-
le
AA.lh
s
KF-9^
i
OhM:^
h^ftdJi'ihi ACÏiAf*^ Moi-même
je
la
te
ven-
Ils
font
i
?i*7lU
guerre à
Celui-ci
ne
est
me juge
pas. Il
2)
équivaut parfois à l'expression de soi-même, spontanément.
tï^ih^
l
'hd
s
'^'Vi-
:
-TiîL^
a
(D-tC^m^f
s
ÙM
s
AA.y *
Ils
allèrent vers la porte de fer et elle s'ouvrit alors d'elle-même.
lU?f hSh, tU?l^,
3.
,
Le pronom de
i)
l'emploie
comme
cette forme est constamment objectif.
apposition, aux personnels
un sens emphatique
;
etc..
rarement, on
le
suffixes objectifs,
On dans
trouve employé seul, on le
rencontre surtout après les verbes qui ne peuvent pas s'annexer les suffixes personnels.
1. Is.
4.
I.
7.
I.
43, 12. Thess. 1,9. Cor. 4, 3.
2.
m.
R.
5. Sir.
5, 6.
46, 3. 8. Act. 12, 10.
3. Lev. 19, 18. 6. Gen. 36, 1.
i89
122
Emploi des pronoms personnels.
nChis h^fis KO* Os
Bénis-moi aussi, opère.
h.^frts îiA
Hi'tt'hiiX^ Moi-même, personne ne m^interrogea.
hJWhs WAVhï flh'}^'! duCi
îi*7tt,h'fl
J2.Î^Uhh' Le Seigneur V épargner aMlï
iCraCl-^
ïtÙTd^i
avoir créés,
s
XKflff^'
Je
C'ti'i'n A-fl: ltx^l
me
ÏUfV
— Ms
repens de les
(\oo^^ Tous
s
ceux qui sont purs de cœur, ceux-là la possèdent. 2)
On rencontre
comme
yée
4.
190
luhe, iLhh, njiih,
La forme tUKf
i)
forme du pronom personnel emplo-
aussi cette
démonstratif (voir plus bas 194).
s,
M'th? s, htiji? s, etc..
l'état construit, traduit le génitif
tient lieu le
de
possessif.
complément,
le
Le
etc..
placée après
du pronom personnel,
et par le fait
avec l'objet possédé ou
relatif s'accorde
personnel suffixe avec le possesseur ou l'antécé-
dent W-A-s-lij&A-s
n^M^-ti
^Ohao' i n4*R'^U-® deux
et
Toute
la puissance
sa cour se tenaient devant
iff'^'^ Notre glorification fut
aoS^^ao
,
oDTf'q^^
8
A'if^i (DoahRi lui.
comme
M la
a
dans
est
A'fl'h'fcîr s
ln^^
leur.
nJHîh^ Pour
itKihsje.
de celui qui
M^^^Ai
s
les
H«K
'ht*^i
vous, cherche:^ avant tout
son royaume.
pronom précède son antécédent
Parfois ce
ce dernier ne revêt point
i'(Df:h
i
et alors,
en ce cas;
l'état copstruit.
M'blf'^ i
/hJ&IDl*^ Leur vie sera accomplie.
1.
Gen. 27, 34.
2: Asc. Is. 10, 28.
3.
Rom.
4.
Gen. 6,
5. Ps. 94, 15.
6.
Hen. 47,
7.
Asc.
9.
Hen. 38, 6.
7.
Is. 8,
17.
8.
Mth.
6, 33.
11, 21. 3.
123
Emploi des pronoms personnels.
Il
2)
comme
s'emploie seul,
apposition à un génitif, par em-
phase.
nKf-^Mi Mo- 1 (Dhr s
s . . .
CD9^
Celui qui ne déteste pas son père, sa mère
Comme
sujet
et aussi
HO
i
Ç/**^
père est mien,
accompli
Ih
H.Jif
ÏLMÙ
a
P«*»C*
a
a
prit
AdA*U«
a
du Christ en
A^ahîT'tLhf cevra de ce qui
a
lui, n'est a
est
'f'Iih^P
mien diminuer.
L^s
KAH
HA a
||\.M « H,h(h' O/mï pas de
lui.
COft^-
mon
lU^f
a
a
H«Kl^
a
a
gui n'a pas a
est
hAjt
f'^'idJi
a
^A>'flrh
'"^^h'^
s
i
^mî étaient
s/e/is
hC V es-
Ohlip s
J&V/^'îi* Ce/m-/d me glorifiera parce
à moi.
de
mon bonheur
Voici que
IDhAh.* a KC^A^Ih*
a^ïl^:
est
Çl^ » -tdJA^^ « (Dhlf^hO-A
s
avec ses doui{e disciples l'interrogèrent. fl-frA
son âme.
(O^hrP* foui ce qui
s
'^flAm^•^
doit croîtpe, le ; le sien
9^tià
i
«
s
WiVi'tMùi
'Thfll/'ïa
'
i;;; ;i'.-'/.
.,
Ahft*f
:
M-tho-
i
ou prédicat d'une proposition ou comme complé-
ment d'une préposition. W"/t-
WfiV.
:
Il est
qu'il
"h re-
venu dans
le sien.
})
-flf
h* ta
On le a
trouve aussi après le relatif
MA
a
•OtMl
a
M-t M^^ a
Jg possède beaucoup de biens, ô
mon
W
a
a
iDJ&ïb'îh
:
Ah
a
H f^K
frère, qu'ils soient pour toi
part.
5.
Chtî
a
suivi
des suffixes personnels, faisant fonction de pronom
personnel isolé, n'est jamais
1.
Luc
4.
Marc
7.
Jean
14, 26. 4, 10. 1, 11.
Chtï,Wtl.
employé que comme complément
2. Jean
16, 15.
3.
Jean 3, 29. 30.
8, 9.
6.
Jean 16, 14.
5.
Rom.
8.
Gen. 33, 9.
;
il
191
124
Emploi des personnels
marque avec
verbe que raction est réfléchie.
^K^:
M'. mon
le
ÙÙrr-i'. rfiWs 0.1-! Chth' Lorsque Salo-
—
Je suis témoin pour moi-même.
Chtï^^
Si je
VTf' Va
et
me
glorifie
i
JK'h'flC^
quiconque s'abaisse sera exalté.
?iAh<^'
A//^;(
c/ie;{
CïiA''^ k' Pour
VÇA s
le
Quiconque
prêtre
et
^a'f/s se purifient
fl«Kh:
h^s
A
avec
le
Après
le qualificatif,
CDjiÇl»V-
s
h^a
s
C
^CW-A-s
les suffixes
person-
comme
ton prochain tu
Afin que
ils
ne
te
toi-
perdes pas.
suffixes.
sont adjoints.
—
ils
sont
Après
le
représentent le génitif de possession, d'attribution, etc..
transitif, le
m.
ou
R. 8, 1. Mth. 8, 4.
2.
Jean
5.
7.
Rom.
8.
Luc 18, 1*4. Rom. 13, 9.
1,
24.
10. Gen. 19, 17.
indirect.
—
Si le verbe est
contexte seul peut faire discerner
4.
1.
hU'}
jouent le rôle du sujet,
le verbe, ils sont objet direct
de sens
?'htlCi
l'exception des cas, où les suffixes personnels construits
gérondif ou
ils
Ah
Sauve-toi.
partout complément du mot auquel
nom,
s
cas.
VÇAh* Mme
Pronoms personnels
i)
AQrhïha
ChAïl
ChÙi
s
montrez-vous,
'
h^rh'iiWtih''
'
eux-mêmes.
h^ K:^^^^ WAh^ s
s
s
s'exalte sera abaissé et
s 'Tffl s
employé que dans ces mêmes
Kç4*Cs même,
fl^KCAu
que Ton rencontre rarement, avec
nels, n'est
WXb AC
s
AAP
s
HMOf
1rf"A-s
fh*4-
ll9^0
s
h^^fi
duC s
moi-même.
montre-toi au prêtre.
(OHh^fhi' i Chi^
192
AAP
eut achevé de construire sa maison.
"hM^
suffixes.
5, 31.
la
nature de
3. J. 8, 54. 6.
Luc 17,
14.
9. Sir. 4, 22.
i
Emploi des personnels leur cas
s'il
;
est intransitif
ou
125
suffixes.
passif, ils
représentent l'objet indi-
rect.
lDflK.lf<^
s
"^fïf
i
d.^^
rode V entendant, se troubla.
-^IOAA
X
s
—
rai.
s
î^Aïi'lhf
s
r^Ch*^
trouverez, frappe^ et on vous ouvrira.
la vie.
—
est
//
rhJZ»fl^Th'
'iAr'Pf^i
Je suis sortie com-
'T.'^rtlV et je
^•|^n•
s
vous
le livre-
>J^^S-i
flï^^hft-s
on vous donnera, cherche:^
et
(DfM'lrd.'^(OYlo^^ Demande:^
i
—
Que me donne\'VOUs
K'ï'flA^
5
ùhà^i œ^^œottlno^i 'Vi^s
(O^Ml"
s
=
dfll.4-* // était né aveugle,
Ah'"*'
s
flljiï
:
'
d^Tff Venus en MyA'T^ tC^tl f.lld^ Hé-
f'ih*^
voulurent aller en Bythinie,
sie, ils
blée.
s
^'Y.J2irth
thlihiïXi
s
s
et
vous
l'flîi
s
meilleur pour toi que tu ailles boiteux dans
Ml^i aiha^C±y
P-V-flO-ï
Nous
les
avons entendus parler dans la langue de nos pays.
Après
2)
avec
M
les suffixes
«
ont toujours le sens du datif
les suffixes
au datif signifie
:
il
convient,
il
faut,
;
VA(0
1
est néces-
il
saire, etc..
7 «
(Dha
1
z^oict
a
hrlhïï
J&ïh'Jh
s
que je Vai établi
prophète
— Vtr'i
».
i
le
me
faut 3)
les
Vrif
'
Le S^i>^Mr
Dieu de Pharaon, Aaron
W-A->
/au/ /ows paraître devant
I
l
'J-HK/h
le tribunal.
s
*J?:^ s
U^(DX
«
à Moïse
^//
ton frère
Î^lf-Ç'}
h*^
sera
//
nows //
évangéliser.
Les
suffixes après la préposition
(Ifl^Çl*
i
donnent
réciproque.
1.
Act. 16, 7.
2.
Mth.
4.
Jean
5.
Mth. 26, 15.
7.
Marc Rom.
10.
te
«
ïili"}P'>"
s
:
9, 1.
9, 45.
14, 10.
2, 3.
8. Act. 2, 11.
11.
Luc
4, 43.
3.
Ruth.
6.
Mth.
9.
Ex. 7,
1,
21.
7, 7. 1.
le
sens
126
Emploi des
fsKÙsh^i nnj&Ç-tlfff»-
:
relatifs.
(Df.^^i'i^'
Ils se
Au^^-rh^^i flflJ&Ç'th'^' Ne
s' entretueront,
^VH*
pas entre vous.
M^^'blfoO'^
i
Ils
détesteront et
vous maudisse:^ entre
conférèrent
eux. suffixes à
Lorsque plusieurs pronoms sont
4)
serve Tordre de priorité, en commençant par
(DV'(iW}lh îifth 1*^/**?!* Je s
vieux,
;^fl>ft-fl
seras une
femme
s
1
'fÙiil/t^
et
ffRTf?*^ Voici que
le
te la
première personne.
donne jusqu'à ce que
(O?0f>f.W ilMi :
un autre homme
démon me
le
te la
*
HhH' ^0* s
prendra.
toujours affixée au
mot
vis à vis
Tu
épou-
PVi f1/ s
relatifs.
La forme masculin ne s'emploie jamais isolément
i)
tu sois
prend.
Pronoms
II.
193
i
la
un mot, on y ob-
duquel
elle joue le rôle
elle est
;
de
sujet
ou
d'objet.
A^f frft
dHjh
i
dtt
li-h-flUA
s
hlïi'Ch?'f^
pas à
2)
s
5
Jésus qui est appelé Christ,
ïih-n' Le temps dans lequel
9^KC hlft s hJM^
montra à eux. n'est
hCft*A'
s
i
s
M±hh'
o^
l'étoile se
La
terre
qui
toi.
Malgré
la
distinction
rement on emploie
la
forme
de genre
H
et
de nombre,
qui est en ce cas,
le plus ordinai-
comme un
indice
générique de relation.
La forme masculin rend
aussi le neutre, hlri*
s
est rare
1.
Mth. 24, 10.
2. Jac. 4, 11.
4.
Nomb.
18, 8.
5.
Beat. 28, 30.
6.
7.
Mth.
16.
8.
Mth.
9. Jub. 10.
1,
2, 7.
3. Act. 4, 15.
Luc
9, 39.
:
Emploi des
HKAOsTA^B'
Kfl*7dï
hAH^^
s
HJinAO-^
Ils
Des
brebis
s
s
VlCtbhtf^ Vombre,
n-nïlf*
I
dites-le
dans
fl^fl
i
-
H^lCMl
Kif^h^^ i
que je vous dis dans
que vous entende^ de vos
contexte seul indique souvent cusatif.
On
le relatif est l'objet,
dance de genre avec I
M-t
un fd^'ù
s
La
Les peuples
le
l'ac-
un
en concor-
suffixe personnel
pierre qu'ils ont rejetée.
qu'il
a
(D^f^i
rejetés.
K/hH-fl
i
HID
(Dj!,'}^
AP"rt.Ç® Le champ de vigne que Jacob donna à Jo-
M±hh' La terre qui n'est
9^^C Mi- AuMl*
5
A l'exception
on rencontre
J
»
seph.
;
le relatif.
oD'tli^''
i
M ih(0-Ùh(^^ s
du nominatif de
distinction
la
directs
souligne cependant parfois l'accusatif, en mettant après
verbe dont
Mn
oreil-
toits,
Le relatif s'emploie presque exclusivement aux cas
3)
le
toux c^tt-t
«
Màitï^^ Ce
s
la lumière, et ce
prèche\'le sur les
les,
s
qui n'ont pas de pasteur.
n'avaient pas de quoi manger.
f^ nx'^^^ Tficy a-ncn i
127
relatifs.
pas à
toi.
4)
du
génitif,
rendus au moyen de prépositions
met au cas direct
latif
se
cas,
accompagnée du
par rapport au
rtjiÇ
nCXlXl
'
I
on
et
suffixe
;
parfois les cas obliques
mais plus ordinairement,
le fait suivre
de
la
le
préposition
re-
du
personnel qui joue le rôle de prédicat
relatif.
OH P+1-AV' :
f'fOCf^
:
dre V Esprit-Saint.
1.
Nomb. 27,
4.
Mth. 21, 42.
7. Jub. 10.
10. Lev. 18, 8.
17.
L'épée avec laquelle
OD-i^li
,
il
nous tuera.
Afl
«
4..^.f|9 c^ii^i sur qui tu verras descen-
9^^Ci l-dX i H-W
:
WCÏIO^'' La
2.
Marc
8, 1.
3.
5.
Act. 7, 45.
6.
Jean 4,
5.
8.
Ex.
9.
Jean
33.
5,
21.
Mth. 10, 27.
1,
terre
Emploi des démonstratifs.
rlj&8
d'
Egypte dans
^
2%An s ?^C9f La
ïfl^* La 5)
terre
Le génitif
sujet et le
latif
nure de
tu es venue,
dans laquelle
est
nom
M't
^HM — pâturage.
"Vi
i
nous venons n'a pas de
terre d'où
gneur Dieu d'Israël vers qui ;ï's
l^J^C i
laquelle vous hahite:{.
l^frC «
s
Mi*
le re-
la
tour-
nom
était
l'état construit.
Ala et
s
de celui qui relatif
me
i
ï
voix de celui qui m'insulte
Le
6)
CD-ft-t
demeure.
il
prédicat suivi du suffixe personnel, ou
i
ennemi
a
rendu par une proposition nominale avec
h^^iMi'itï^ihPC'' Une servante dont le Agar. yxr^h H/z-x-AA (of^nùXi. "hn?, p^ï f^^
s
m' invective
et
s
nf^ùa^
à la face de
;
mon
persécute.
peut se mettre à Tétat construit et recevoir
un
complément.
'^Cf i
M-t
Le champ de ton
mon
est
7)
I
fils.
sang, celui
Le
fù*'(i' Marie de Jacob.
relatif
Tifl>-h*
du nouveau
s
A^f
s
rh*A
lifh^A
s
s
IflDAfrll.'
i^COl-' Ceci
testament.
peut encore servir de démonstratif ou de pronom
indéfini (voir plus bas 194).
III.
194
i)
Les
ou comme
ou
Pronoms
trois
et adjectifs démonstratifs.
formes du démonstratif s'emploient
adjectifs.
— La forme H
suffixée à son antécédent, les
1.
Gen. 47, 4.
4. Gen. 16, 2. 7.
Gen. 30, 14.
2.
Ruth
5. Ps.
s
comme pronoms
est habituellement préfixée
deux autres formes sont toujours
2, 12.
44, 16. 8. Mth. 26, 28.
3.
Gen. 27,
6.
Mth. 27, 56
1.
Emploi des démonstratifs.
— If
employées seules. qui parle
Tf'J'fc
;
ou bien marque
»
121)
désigne un objet proche de
»
un objet placé devant
;
Tllb
— Le masculin
le mépris.
«
la
personne
un objet éloigné
des trois formes rend
habituellement le neutre.
Ù^(K »
f'OC^ s Tf^+rt
nourris4e.
nj^a>-
VMi mes
HrhW J (OMt?*^
«
A.'f'
ahl^-p' Cette route
*
est déserte.
s
cela est impossible, mais che\
h^dC
marqué.
">*
s
A.V
retirées
hntLh'HfhMÙ «
s
a
a
le
1
(ï-htl
Seigneur
«
1^^
I
s
'7d'HV
«lfl.fl
8
h9^^
«
n*
nh^
^Çl-OH f>tM:
s
a
qui dit, je suis en
r^ao
O^ a ou
,
ip^^
lui, ,
doit aller
I
comme
?i*7ll A-fl/h.C
i
le
Va
père
MrUK'flrh.C
Tl
»
«
tDihCi
W-
i
partîmes d'Horeb
rh^
et
(DHÙ » Ji'flA
redoutable. s
de
[s^est retiré aussi)
a
Tih*^
i
C^/wi
alla celui-là.
(DiM(D-^
a
-Jl-flC
:
Hl-t
i
h
lUfl-f*^ Si /é Seigneur le veut et si nous vivons, nous ferons ceci
cela.
^Ohp
a
éLCP'i
i
AK-fl^i^ s
nCh^*^ Pharaon appela Abraham que
i
VuJ.'fl
œl^OD' mus et
UhOhXl^
Che:^ tes hom-
Les montagnes se sont
nous allâmes dans tout ce désert, grand I
1
Kf-^il
»
'h't'P^ Celui-ci, Dieu
de devant la face du Seigneur, ce Sinaï
'Mïl'f-
Ù'Ûh
«
Çf 1-
i
tout est possible.
h^V *J^^
s
cet enfant et
'M^
Jï^hi;^'
îi'7rUïi-flrh.C«
devant la face du Seigneur. s
W-/V-
«
?i-fl i
i-tïOhf^
hîT^J^^
s
Garde pour moi
Celui-ci a blasphémé.
œa-ha hrULh'iïih.C
:
Mlù
A-
'
tu as faite
ï
et lui dit :
r-î^-V-ll est
1.
Ex. 2, 9.
2.
Mth.
Mth. 19, 26.
5.
7.
Deut.
8.
Jean 6, 27. I. Jean 2, 6.
19.
9, 3.
10. Gen. 12, 18.
11
3. Z. A. 18, 5. 6. Jng. 5, 5. 9. Jac. 4, 15.
a
Ml
cette chose
»
4.
1,
1
a quelle
130
Emploi des démonstratifs.
Au
2)
le
génitif,
démonstratif peut se mettre après un état
construit.
1
fjio*
pq^j. qqI^i qui répand
sang de
sang d'un homme, à
le
place du
la
on répandra son sang.
celui-ci,
L'état construit disparaît,
si le
démonstratif est précédé du re-
latif.
^V^^^l-s
flï'IlMl's HIlVl-!
9Ai^'
Les principautés
et les
puissances de ce monde.
A
j)
ces formes ordinaires du démonstratif,
formes suivantes a
— La troisième personne du personnel
qui s'emploie struit alors
On
fs'hrt •J s
soit
avec
comme pronom,
les prépositions
le trouve aussi avec s
0^rt>'
l^h® A
M^^
on
la
XUf^
cette heure^
-^OUh-f^f^
J^.l^^
1.
Gen. 9,
Nomb. 21,
7.
Mth. 10,4,
6.
2.
25.
s
le
s
relatif
%
"khà^h^
s
il
5.
s
y
eut
H.
Înf-A'
mn^h-fc s
M
un grand
AiO^h^'} K/hH-fl s
s
Seigneur fera disparaître
Kft*(?;^*B
s
Hfl>-îi*
s
îi*7
le livra.
une des formes objectives du personnel
rencontre employée soit
4.
f'Ml,
adjectif et se con-
O^hP'ty
cause des fautes de ces peuples,
'
O^li'P,
aux cas obliques.
Et à s
41^"^ Judas Iscariote, celui qui
—
comme
:
Israël prit toutes ces villes,
ces peuples de devant ta face.
h
isolé
ce sens, parfois précédé du
^i\\\i OILJ& s JtA4»A4»^ terre.
soit
Celle-ci a conçu,
O^ïv^l s hM'hù''
tremblement de
faut ajouter les
il
:
comme pronom,
Asc.
10, 15. 13. 11, Apoc. Is.
soit
comme
isolé
;
adjectif
;
3.
Luc
6.
Deut. 9, 5.
1,
36.
181
Emploi des interrogatifs.
accompagnée des particules ^'^i^ As ou
est alors parfois
elle
J^' Moïse donna
hM-
Gad.
i
cette terre (qui était) leur patrimoine,
hàiH'iïX
ne font pas aussi cela
c
Le
•fl^^7 1flClri7
relatif
KA
s
Î^AA
s
offrira ce
il
H
?iA
»
Jî.iP<»-d
même
^iï^ Comme
I
et
à
Ji'7-fl4-' Est-ce que les païens «
\\JV
i
h^ ^ s
sacrifice.
offre parfois le sens
»
à Ruben
du démonstratif.
J&Arhffl.^ Bienheureux ceux qui pleurent
ï
:
s
W-A- s h'^d.
ï
/*'*P^'^^ Chaque jour
—
tUfthÙ
s
h^
.
a
vous ave^ fait avec ceux qui
sont morts.
Pronoms
TV,
^"^'h
i)
personnes
comme
)
est à
h^
;
avec
<^Viront
s
les
peu près toujours pronom et ne désigne que les
toujours adjectif, s'emploie avec les personnes
choses
M^f^
a
hti
s
et adjectifs interrogatifs.
;
9"'}'h est usité indistinctement.
?iA
a
-tfhfO*^^ Quels
a
^'h hf^Tri: a a
MOh^^
(sont ceux)
de vous qui
Quels sont mes frères
'hi'Ûh/li aïdrdi HJ&AW)Pa A'M7*» Quel
est
)
^
l'homme sage
qui comprendra cela)
hje.
a
'Qih.C
de la lumière
1. Jos.
4. 7.
10.
Mth.
)
a
"H^fL^ a A-flCy}"
M
a
Ç'^'^
Quelle terre
est
V habitation
'^Ad.'^ Quelle route a4-il suivie
)
12, 6.
2.
Mth.
3.
Héb. 10, 11.
5, 4.
5.
Ruth 1,8.
6.
8. Jér. 9, 12.
9.
Exod. 10, 8. Job 38, 19.
Mth. 12, 48. II.
a
Parai. 18, 23.
5,
47.
hf»
195
132
ï-
ï
me
Emploi des
àiH'd Jacob
Tr^'h
i
Kî^Vh I
I
h^
interrogatifs.
*
3
^ft*'fl
Qae/ peuple a cru en
ï
(or^'i^'h
I
i*ȂJ2.*
s
îilU*' QaV5/-ce que
ne, quelle est son utilité, quel est son bien, quel est son
n^lhH Wd>
ht't i
com-
toi
s
serviteur
fldJ^^ Qui
i
r'Tf't
étranger)
-flVa
s
mal
es'tu, toi qui
h^Ai
humai-
la race )
9^'i^'t'
réprimandes
i
le
9^tï^i ft^^t' Quelle
part avons-nous avec David) 2)
<^V-
et ?iJ8»
s
s
et 9^'i'ti se rencontrent après
construisent aussi leur génitif au
on se
les autres cas obliques
pour tous
un
état construit. ^'"V-s
moyen du
sert des
relatif
;
enfin
prépositions avec
tous les interrogatifs.
OlAft 'h
nifi'
«
Tf}*
^V- Tf}*^ De s
l'I'flC' Avec
s
f^MlV
s
ïï(0-ft
s
^^h
i
A
i
De A
-nhrt.i''
9^ttM^
^M^/ temps
fils
celui-ci
)
^^fl/K'^
Aî^'>îh
s
femme
s
J&l-fl^-'*
ï
^
H^Y^ » s
Pourquoi vene:{-vous avec moi /h*?
ï
s
A^V- s "M^i^W^^
qui d'entre eux sera la
s
)
puissance de qui fais-tu cela
qui est cette figure
dhf^'h
ï
la
qui {est)
^ ^
AKj& s ^9dA'«
)
Par
Vont-ils
^«^//^
/oi
même
sens et les
)
fait
3)
mêmes
d*un usage peu fréquent,
'Tl.s est
il
a le
emplois que 9^'i't,
9^1^ h> s
:
M^J^-f ^' Qwf su/s-;e et qu'est ma hh9^C^^ Que nous importe {sur nous),
flï'T.
^^ÔM Mi' s
'
s
famille
vois toi-
même.
1.
4. 7.
Ap. Esd. 1, 33. m. R. 12, 16.
Marc
12, 16.
Pierre
10.
I.
13.
Mth. 27,
1,
4.
11.
2. Sir. 18, 8. 5. 8.
11.
R. 17, 56. Marc 12, 23. I.
Rom.
3, 27.
3.
Rom.
6.
Mth. 21, 23.
9.
Ruth
14, 4.
1,
)
11.
12. Jud. 12, 14.
Emploi des
Tous ces pronoms peuvent
4)
tion directe et indirecte
ont parfois
ils
seuls
;
188
indéfinis.
ou
être employés dans Tinterroga-
de
suivis
la
particule VL
sens des pronoms adjectifs indéfinis
le
J
i«
ou
(voir plus
bas 196).
V. Pronoms et adjectifs indéfinis.
Les mots H
comme et les
OH
s,
indéfinis s'emploient indistinctement dans les
mêmes
cas
;
que H
à noter seulement
«
seul
usités
ft-flîi»
^*tH.i, Kj&s, Krfi^J,
s,
est
mêmes
sens
employé au
pluriel, les autres sont toujours au singulier.
nf>dJ^^
J&1-AID3:
a
âme.
suivre, doit hoir son
:
ï\ti
y^fih a
i
W/k*
Quiconque veut me
M^Ohh'ï' i XrfiÇ^- a
f'^'blf''^^ Certains des
scribes dirent entre eux.
h K/tiaC
Ne fais
a
Ù'ûh
même.
ii^'hV.^
a
a
'h9^^fh^^* Un
avait là
•flïiA.'
///
dhf'
^•>*7/*'1''
Le
a
un certain homme. //
substantif lrf"A
ordinairement
tout. Il
numéral tifhH*
deux en ce
a
sens.
et
n'a rien été fait de suivi
a
les
a
a
tu détestes toi-
Uf tidi^ a a
HtllO'
a
iDh^
en aucun royaume.
des suffixes personnels signifie plus
a aussi le sens
on
tel
fld
a
I/A"
Krtl'd/i
a
H't^Mi AA«
pas à autrui ce que des scribes.
je-rtA*
de chaque, chacun, comme
le
emploie souvent indifféremment tous
Cependant, quelquefois pour souligner que
la
chose dont on parie s'applique aux parties et non à l'ensemble, on se sert de préférence de
hdi^ a.
1.
Mth. 16, 24.
2.
Mth.
4.
Mth. 12, 38.
5.
Jean 5,
9, 3. 5.
3.
Tob. 4, 15.
6. III.
R. 10, 20.
i96
134
Emploi dos
aiï^s9^n^'
fdAP-s AW-A-i
Ml*
son œuvre,
«
indéfinis.
H/î.l'hi^A
«
rétribuera chacun suivant
Il
(D'iÇiù
-^n
«
qui se partagea et se posa sur chacun d'eux.
hMl HV^^
î^h-flCVî^.s
Toutes
!
les
s
ïttrao*^ Un feu
\i'à^lr
'IhlO-AJ^
s
générations depuis
i
"h
Abraham
jusqu'à David. •fllh'î et
Dans tif
H
«
la
hMi
«
Hh^^li
locution
aucune
n'offrent
et le démonstratif
If
s
s
particularité.
qui équivaut à l'indéfini
tel,
le rela-
sont tantôt variables et tantôt inva-
riables.
ài-n-a *7/*''^
deux.
^H
a
nh^H'
ti'^f't"^^
tel
peuple,
ceux qui sont «
s
iiïiti
tels, est
s
h^Tf ^h-b s
(appartient)
i
s
telle
:
le
femme,
Mth. 16, 28. Jean 4, 23.
2. Act. 2, 3. 5.
Math. 19^ 14.
^7
s
royaume des h-fli
s
père cherche de
qui l'adorent.
4. Jer. 9, 9. 7.
A
Un
Mi- h^ Ht 'tïhù/t'' Une f'if/*'/^ hA ^fn^ A-*^ Mo/i i
s
hommes
1.
i
3.
Mth.
6.
Judith 12, 12.
1, 17.
Hh tels
Emploi des temps
135
parfait.
;
CHAPITRE IV VALEUR ET EMPLOI DES TEMPS ET DES MODES, Le
parfait et Vimparfait
de
s'emploient dans toutes
Tindicatif,
^91
les propositions.
Uimpéralif n'est usité que dans autres
modes
ployés dans
proposition principale
subjonctif, irifîmtif, gérondif, sont
la
Comme
la
exclusivement em-
subordonnée.
nous l'avons déjà
dans
dit (47),
la
conjugaison, l'éthio-
pien se place au point de vue objectif et ne considère que le
de
la réalisation
Au
déjà
de
temps ou modes personnels,
commencée,
fait
l'action.
de
parfait, appartient la signification
les autres
les
;
soit
l'action réalisée
l'action
non
;
à tous
réalisée,
soit
simplement future.
La forme verbale ne porte rien en elle-même qui puisse nous indiquer
le
rapport
autres actions
de
du temps de
l'action
qu'elle signifie, avec les
celui qui parle. Cette notion, à laquelle nos lan-
gues européennes se sont plus particulièrement attachées dans
forme verbale, se dégage du contexte
;
nous donnons
ici
la
quelques
indications à ce sujet.
I.
L
Le temps de avant tout
la
Parfait.
Parfait défini
indéfini.
l'action achevée, le parfait
réalisation simple, soit à
fait défini)^ soit à
et
employé seul indique
un moment déterminé
un moment indéterminé
(parfait indéfini).
(par-
198
136
Emploi des temps
9JO-P coh son
i
J&ftrfi*
8
A^d^-fl
Samuel mourut
et
vu son
ÙTi
£"/
i
A^iï^
étoile
Oû
hf»'^
dans V orient :
pas su que
dit
s
Ot)r
le
pleura
K'^rUh'flrh.C
à Vange du Seigneur
Parfois pour
A,;^'>Tf i
«
comme
(Df{M
s
9^^(ilJ\'t^
"JT-i*»
s
hf'lh
s
hflftïl-
verbe
*i-CV
s
Kf
».
on se
est faite,
sert
du
auxiliaire.
-rifl-^
s
(OfpÇU
htl^
*
« fai péché, parce que je n*ai
:
nous {avons achevé, nous) avons fermé ^
I
mieux indiquer que Taction
verbe (D^ti achever,
Vensevelit dans
et
Hi'IDAR
s
Ves opposé à moi sur la route
tu
(D({^^\'
nous sommes venus pour V adorer.
et ï
:
né roi des Juifs, car nous avons
^si ce/wi ^Mi ^sf
nA9r A^AÏih
Balaam
I
tout Israël se réunit,
sa maison à Ramatha.
"ittl^
IDA^
haac appela Ja^ ^fl»-h.A s (D-tP'dh. : W-/V- s hfl^
T-t J
fils et le bénit.
parfait.
;
la
Ne
porte.
Nous sommes morts à nos
m'importune point,
(DfiM
s
T'I'V
s
"h
péchés. {Nous avons achevé
de mourir à nos péchés).
II.
199
Parfait antérieur.
Dans une subordonnée
temporelle, dont le verbe de
de
pale est au parfait, le parfait truite
avec Afl, hff^h^"*,
la
1.
Gen. 28,
Nomb. 22, 34.
1.
R. 25,
2.
1.
5.
Luc 11,
princi-
proposition subordonnée cons-
'M^^'hù
et leurs analogues,
une action passée immédiatement avant
4.
la
1.
7.
celle
de
la
marque
principale et
3.
Mth.
2, 2.
6.
Rom.
6, 2.
Emploi des temps
;
187
parfait.
correspond à notre parfait antérieur.
hf*i fl/hAî^J AP"A.Ç*
après gw'iVs s^
£'f
furmt
retirés,
qu^un ange du Seigneur se montra en songe à Joseph. (0{i(\
^^
Et lorsque Hérode eut vu que
s'irrita
Aft4i*
s
ma^/ eut
ohit-t
i
OD'^lli'b il
vieilli,
i
entrer en ville,
ils
AftA
i
M
s
An«h
oie
I
'If'* Et
CKf
s
il
^/^K fïO^K^ ^^(f^ i s
i
îiA^^bA'
:
voici
mages lavaient trompé,
les
Après
flï^hft-
s
lorsqu'ils eurent
trouvèrent des jeunes
filles
/orsgw^ Sa-
ce/a,
d'Israël.
plaça ses enfants chefs
oDi^cn,
th^Cy-ts
^r^ii
Whr'll
grandement.
t
s
(OM
OC'b
«
h9AR
«
s
je.iD
gravi la pente pour
qui sortaient, porteuses
d'eau.
III.
Plus-que-parfait.
traduit notre plus-que-parfait dans les cas suivants
Il
Dans
i)
la
causale dont le verbe de
la
îoo
:
principale est au par-
de sens passé.
fait
aihrif
ï
K-lrH
commença à blâmer
»
Kffbft
les villes,
«
f'dufi'i
AhVbC
--
dans lesquelles
il
a
îiA
:
avait manisfesté beau-
Hï^*
coup de puissance, parce qu'elles n'avaient pas fait pénitence.
lA.A
;
-h+n AJP I W-A-o^
ù I m-n^ QÂ^f ^•AA.ir'^ s
a
lii.^ahf'i
Après
<îm'i7
s
îiA^ 1 Ch^ i-hr" i
fut rentré en Galilée, tous les
Galiléens vinrent à sa rencontre, parce qu'ils avaient vu
1.
Mth.
4.
I.
Ofl^A
2, 18.
2.
Mth.
R. 9, 11.
6.
Mth. 11, 20.
2, 16.
R. 8,
les
8.
I.
6.
Jean 4, 45.
1.
prodiges
138
Emploi des temps à Jérusalem.
qu'il avait faits
(O^fL
ham
descendit en Egypte afin qu'il
était
venue dans
Dans
2)
le
parfait.
h-fl^î^
t
y
s
fl>*ft1'
dont
/^fl
le
verbe de
miné •fl^:
M
la Syrie.
avait été produit
revêtu
le cilice.
h^D
rt/?.r
.
le
sept fois et
Om^lT/l
s
(KO'll'b^W
!
s
î*'4»
s
(Daù^F^^^
Sodome
^)
Dans
-M-fl^
s
eus exter-
tu
fois,
-IrJ&A
T/r
e/
M hl
s
Sidon,
il
s
s
liKI^^i^.
Si
s
eut
il
été
s
AV /^
s
HCO
s
Seigneur
(pour nous)
comme
nous serions semblables à Gomorrhe.
et
subordonnée
la
princi-
miracle qui a été fait che^ vous, elles eussent
KrifiV
comme
par h^'"
s
hî^A-n/5-' Si
s
ne nous avait pas laissé une semence, (pour)
non six
(si)
Mihhi K'7fUh'nrh.C
i
la
*
amis frappé
Si iw
s
demeurât, parce que la famine
pale a le sens passé.
A^C^'^
*7-flX'
:
pays.
conditionelle avec
la
;
ou
relative
la
coordonnée introduite
avec une principale de sens
et ses analogues,
passé.
CM
s
W-A"
Hl-fl^^
:
j^A ^H/hÇls
s
Quand
«
Oi*^c arriva
avait invités.
I
(Da^^ A,f frA nf>a»Ùr(^' et
éJ^(D
i
s
aux paroles que Jésus i
le festin,
'iHù
il
Ils
h9^'h crurent
leur avait dites.
i-na i fs^iDpao^ i
rtj^/v
s
^d*-fl
fl^-Ai"
*
1.
GeD. 12, 10.
2. IV.
Rom.
5.
7.
Luc 14, 17.
s
1,
31.
aux a
Oi^cpf^' qu'il
Î^J^C s Ki-f* s lI^A't;^ s
R. 13, 19.
Gen.
s fl
(DM
envoya son serviteur appeler ceux
4.
9, 29.
ce qu'il avait fait.
i
paroles de récriture flx-rfi
// vit tout
3.
Luc 10, 13.
6.
Jean 2, 22.
Emploi des temps ïfl^
demeura dans
î%fl*l>* Jacob
3
;
139
parfait.
dans laquelle avait habité
la terre,
son père.
raconta
/mï
(DhC^-}
rt. I
me
le
^
gneur
nh'S"»
:
hlf M<^
s
s
h*?»,?!' A^of sg
s
l'Qd
îi'7lLK'nrh.C' Samuel
s
l'd^
homme,
[ce que) lui avait fait cet
Seigneur leur avait commandé.
J&n.A-
s
comme
tout,
e^
Aron
fi^^h»^ comme
fit tout,
(ce que)
*"*•
com-
firent
s
Hh
le
Sei-
1f"/t-
s
s
lui avait dit.
Dans
4)
subordonnées marquant
les
de
passé, dont le verbe
répétition d'un
la
fait
proposition principale est à l'impar-
la
fait.
/i.-flfr
ils
mort, ïi>
8
i^-Jt-f-ft
revenaient de nouveau
hrhf^
8
îiC« 8
hî^V 8 tidVWf^^ Et
a
Vrth
8
ÎT'J^-C
pent de la terre avait
de la terre en airain
A•^
a
Moïse 5 )
le
f
^-fli-^-
:
était entré
Comme
a
hçui-
^h<^
8
8
IDf r/i^'
et
il
était
f>(DC^
s
guéri
£•/
i/
(celui-ci)
(O
A-Hh* 8
.-
arrîVaif gw^ lorsque
OT'^ H^Î^V^
la tente, la
j&iX-tT
a
un
ser-
regardait ce serpent
Oh
flïKl^h^ a Et
a
0«>-A,
i
(D*
toutes les fois que
colonne de nuée descendait. le parfait
avec
W pour rendre
cette construction est rare cependant.
;
a
(idiMr
ïi-ixi8
1
^^vn-nifi-
fMOhX)*^
a
^^ x-j^ i
a
n/hj&oHh
Je lui dis que je n'avais pas proféré
Gen. 37, 1. R. 16, 4.
2.
Ruth
4.
I.
5.
Jug. 2, 19.
7.
Ex. 33, 9.
8.
Herm. 26-129.
1.
rt-flfc
I
en arabe, on trouve
M^
a
mordu un homme,
dans
plus-que-parfait a
péchaient plus que leurs pères.
8
H-flCl-
8
et
hCE n^:C
8
après, lorsque ce juge était
3, 16.
3.
Ex.
6.
Nomb. 21,
7, 6. 9.
140
Emploi des temps
de paroles
justes
pendant
ma
vie,
par&it.
;
mais que j'avais vécu dans
le
men-
songe. 6) le
Il
correspond enfin à notre plus-que-parfait, quand d'après
contexte,
il
marque un
comme
autre, présenté
'^
I
au
villagCy
'flrh>C
«
'Vn
mais
s
il
déjà passé.
't'Pdii't' était
«
*nC^^
i)
Dans
la
le
reçut
Futur antérieur.
équivaut à notre futur antérieur
II
Jésus n'était pas encore venu
encore au lieu oà Marthe
IV.
201
qui avait positivement lieu avant un
fait,
temporelle ou
la
:
conditionelle avec
M,
h9**\l^^,
etc.. dont le verbe de la principale est à l'imparfait avec le sens futur.
îiift*7J?:'s
A^lî^ Et après que vous Vaure^
afin que je vienne moi-même pour V adorer.
i" le
s
DlC «
trouvé, annoncez-le-moi
tD^fl
HKh''^
«
'h^h'flî^^ Et lorsque vous sere^ entrés dans
^^''
trouverez.
Elle disait en son
M^O\l(^
:
OAQ
cœur
OKje.
s
:
«
s
ïx9^Xï^
si je
i
la ville, vous
iflAïb! A-fl^s hdi^'
s
H"}-!-'
vous me Vaure^
1.
Jean 11, 30.
2.
Mth.
4.
Mth.
5.
Mth. 21, 24.
9, 21.
fl^A
touche son vêtement, je serai guérie ».
/^A^"} s M-flC
demanderai une parole, lorsque
s
2, 8.
Moi
dite,
3.
I.
attssi, ;>
vous
je vous indique-
R. 9, 13.
Emploi des temps rai
par quel pouvoir
'
'1in»f
Moi
aussi,
je fais cela.
suis élevé de
si je
Souviens-toi de moi lorsqu'il
h^
corde,
nîihtf"»-
i
141
parfait.
;
s
te
sera arrivé bien
ahti'l*
,
j&K-t
à moi.
fais-moi miséri-
et
îT j^'C
s
H«^'flWi>C^ Lorsque vous serei entrés dans
tout
j'attirerai
terre,
Mi-
s
i
ohtt
dans laquelle
cette terre
vous demeurerez, que je vous donnerai, vous fere\ un sacrifice au Sei•
gneur.
?iAf Ti'Jh
1
s
cD'f-hAhP-'>
s
h^
I
a
dit {à Dalila)
îir/i'^ :
«
n^^l-hA ïiî^îrs
si tu tresses
tu les enfonces avec
s
ohii-t
îi^Aî
h^^fa^'
sept boucles de
un clou dans
h^ç-Th
s
iD^^hr
s
Et Samson
ma
cheveux de
la muraille, je serai faible
comme quiconque d'entre les hommes ». Dans la relative, subordonnée à une 2)
:
lui
tête et si
désormais
principale avec l'impar-
fait futur.
nova Tlfl*'^
Que
son peuple.
W>®
s
h9^iAh
Mù^
I
celui qui en
HKî^V
i
a
(D'tair'^
Celui qui aura cru
hAha
qu'elle
1. J.
OD'iéA'
et
12, 32.
a
aura
1
A^i^a
2. 5.
f^^'h'i
\ïO^
li lui jure
qu'il
A'fc
la moitié de son
Gen. 40, 14. Ex. 30, 38.
:
hji9^'k
sauvé :
;
f lifl lui
celui a
3.
ài
s
J& qui
HAKA
donnera ce
royaume.
6.
I
expulsé de
tribu, soit
(OHÙ
s
a
a
hf^af^ti-t
s
été baptisé, sera
"^thh
"^'n/^'^'
demandera, jusqu'à
Jug. 16, 13. 7. Marc 6, 23. 4.
*
H^j^-
aura donné à une autre
n'aura pas cru, sera condamné,
-f
I
Nomb. 15, 2. Marc 16, 16.
142
qui aura fréquenté
le
superbe, sera
V.
202
parfait.
;
ïl^lth^ Celui qui aura touché la poix^ sera pris par
s
*>
Emploi des temps
Le
Lorsqu'il s'agit
Ton parle
Présent.
Çlh» 4*Cfls tlflUMi^ Çlh
dJxWà^
W
s
Oia
V envoie,
champ, voici (que)
"JT-Z^iU
«
s
Çl^
je te le
s
où
me
livrera.
flïW-flïbhU-
s
donne, ensevelis ton
fl^rfi^ Voici ton roi (qui) vient.
Lorsqu'il s'agit d'une chose faite, mais dont
2)
l'instant
Voici (que) vient celui qui
Yoici [que] je
^'dC a n^ïrh* Mon mort.
:
d'une chose qui s'accomplit à
en partie réalisée.
elle est
;
elle et celui
lui.
Parfait traduit aussi notre présent
i)
s
comme
on peut dire
qu'elle se fait encore.
nï.
s
f M^7
i
fMfD*^l\
comme
V écriture, des
+
s
9^'i't
i
Jin.
s
i
«
j^^o.
h9^hCi*^'
ài^(D^ i dit
nh^
-ne :
flots
:
^X'ài^
Celui-là aussi
s
h^Ai ^f s
qui croira en moi,
d'eau vive sortiront de son sein.
^^iii^'
Cependant, que
s
dit l'écriture
(Of\îh
)
VL Futur. 203
II
représente
le futur
dans
les
sentences prophétiques
est tellement certain, qu'il est représenté
1. Sir.
13, 1.
4. Gen. 23, 11. 7. Gai. 4, 30.
2.
Mth. 26, 46.
5.
Is.
62, 11.
comme
S.
6.
;
le fait
déjà réalisé.
Jug. 6, 74. Jean 7, 38.
Emploi des temps
Uf
Uti"
i
I
J
-nh/Z.
grincement de dents,
1/^ ^
J
r.^C
la face des rois
de la terre
s
«
sera
:
le
gémissement
«
*
et les
Xï^ -niMl s «
'^fl^'Ama A^7<<.ft'
'
MTr Là
i
143
imparfait.
^96^ M* ^th^^lr hA f.MH'P Af-flft En
flfl>-?i+
Ol/Ç-y.^-}
i
seront humiliés.
ils
flïr/i4»f
;
Comme
^
s
ont conquis
puissants qui
fl>*df
a
^plTc^
leur chair brûlera
a
s
V
ce jour,
le
ïï^li
et le
l^î"
s
s
monde (\oo^
a
grandement, ainsi
auront la picissitude pour V esprit.
II.
Imparfait.
Futur.
I.
1.
Proposition indépendante.
C'est son sens le plus ordinaire pour marquer qu'une chose
i)
aura lieu certainement.
Vl> a
J^'-J-^A
ge conceifra
et
'h^
a
tous
a
je^A-
•>-fch#n>-
yeux
P^n.AV (c
Mxi*yf*^
a
la
/hlffl
verront
a
CD^-CPAJ^'
le
^à^ a
a
HiPCd
a
nous irons avec
a
Irl-nh
toi
a
le
1.
Mth.
8, 12.
2.
Mth.
1,
23,
5.
7.
Ruth
1, 10.
fs^P'Hïi*
ït'tt^o^
a
i
f^dhf a hôf» îiAh A^Al^' Vos
Seigneur, a
a
Seigneur jusque dans
OhM-
a
vers ton peuple ».
4.
:
îi'7ltK'flrfi.C
peuple qu'a établi le
9^tlMl
CDAft^ Voiciqu*une mer-
?i*7rtK-flrh.C' Ld seront réunis
bouche a parlé contre a
a
Iff
enfantera un enfant.
ceux dont s
^eiril
a
Hén. 48, 8. Hén. 27, 2.
/h-H-fllU' H/es fl^hfl»
3. 6.
a
l'éternité.
/wi
(lA'flf
Hén. 67,9. Malach. 1,
a
5.
^tren/
;
JirHC
a
204
144
Emploi des temps
ïiChf'
*
9^'i't''hH
»
;
imparfait.
mon cœur
Je dis dans
:
verrai ce que
je
j'irai,
c'est.
sert aussi à
Il
2)
en
marquer une chose qui
soit
de
sa réalisation effective.
faite,
quoi
*'*•
A'feAÇ^'J Et maintenant donc
qu'il
*
I
tomber entre
'^X'îi
î
guérirai
M
mains des
les «
incirconcis..
tDhé^Ohti^ Et Jésus
(D^CÙ^i
y^.
hC^hjhi
je vais
et
lui
dirent
mourir de soif
IWJ8»n>/t"
WM^OP
i
vais
h
venir et je
le
Vf
s
mj&O.AP's
hl
Les disciples s'approchèrent,
« d Seigneur, sauve-nous,
:
et je
s
KSMl
«
lui dit : « /^ z^afs
H.^1 hJ^'ïWi îift^s 'iODah^'' lui crièrent
est sur le point d'être
nous
allons
périr ». })
C'est
h(o*/^h 8 V/fifl>*C
«
J^A
et lui dit :
c(
temps de
le
tir'F'i ï
A.
Que «
Qae
^•«
ferai-je
ïlAh
s
s
s
cDje.n,/t-
HA9Aî^ a
9^'ii'
-
If^fL
s
K-^ruh
•
5
î^'ïi'
«
îi'>h
donc de Jésus
'^KH.V-
s
)
s
h^
ft^rlihS:
KSM^'t'i^^ Le Seigneur
flH/i.JK.fll'"^^
îi^AP-
»
-»•>*
dit
s
s
quand ne
:
:
hlïLh
Pilate leur dit
:
(DhiÛÏ
:
A^»-
5
^^ïiH.
*
a Jusqu'à quand donc,
croira-t-il
pas en moi
)
»
(D(\
Cependant, comment l'invoqueront-ils, tandis
A. D. 21, 16. 8, 25.
Mth.
8, 7.
Mth.
5.
Jug. 15, 18, 6, 69.
3.
4.
Jean
6.
Jean
6, 28.
7.
Mth. 27, 22.
8.
Nomb.
9.
Rom.
1.
de
Dieu) (Oj^H^tï^
ïi*7H.K'flrh.C
/hlf-fl
à Moïse
répondit
tu as les paroles
M\Slbh'
!
^V- s
s
-lin
'i'WC : l-dd.
s
IDJ&il,As
s
-nh' Simon-Pierre
ferons-nous pour opérer l'œuvre de
ce peuple m'irritera et jusqu'à
y*
î
Seigneur, à qui pourrons-nous aller,
o^ i M^ft c(
A.TrrA
s
à\f>a}'>
la vie éternelle ».
'fl/fi.C®
délibération.
la
2.
14, 11.
10, 14.
Emploi des temps ne croient pas en
qu^ils
comment
et
lui,
145
imparfait.
;
croiront-ils
en celui quHls
n'entendront pas hjt-tiilt àWtïilt^ i H^-nAîh i œàWtî H'IhA'flA** Ne vous inquiéte\ pas pour votre vie de ce que I'hff«>i
)
s
vous mangere^
et
pour votre corps de ce dont vous vous
2.
I
la
)
Dans
la
revêtire:{.
Proposition subordonnée.
conditionnelle, après
un
imparfait
de sens futur dans
principale.
^"^
'"MflA
i
étoiles si tu
?iHH^ Si
«
''lo^^'f'C^^ Regarde en haut vers
peux
les
aimes la
tu
* M^àe^ i
s
ï\^ ^dJ^^ s '-
compter. justice,
JK.J^'V'}
ATfl-fl
nh^-fr fll-tCK' s
s
sauve difficilement, comment V impie se montrer a-t-il
^•flA
:
CDAft
«
hV*
// croit
dit
:
« Je suis
observe
les
commandements.
s'il le veut, car qu'il le délivre
/m i^eux entrer
2)
Dans
principale, principale.
il
dans la la
vie,
S*il
il
s
temporelle, après
indique un
M
fait
un
à venir,
les
^ H^ s
Si le juste se «
fl
en Dieu, voici donc,
imparfait
le
fils
de Dieu
».
de sens
futur à la
de
de
simultané
devait être antérieur on
s
Hi^K^'^V
)
a
îi"7H,h'flrfi.C
compte
d+'fî
i
garde ses commandements.
^A.*
J
le ciel et
celui
se servirait
du
la
parfait
(201).
M%
1.
Mth.
8
Ihl-flC
6, 25.
4. Prov. 11, 31.
8
l^•|M»'^
1
A^1->4^ 8 +CV
2.
Gen. 15,
5.
Mth. 27, 43.
12
5.
8
^jBi-'^h
3. Sir. 1, 25,
6.
Mth. 19, 17.
8
h
205
146
Emploi des temps
oo 8 ^J^A*P7
s
pas sonner de
trompette
^a
->ÎV./V.''
P-A.Ç
s
Aft*+ KA^'/bA s
'^•^îl
<^
s
la
Quand donc tu devant toi comme
JZ.I'fK-*
s
:
imparfait.
;
Ne
te
font les h/pocrites.
hâte pas, lorsque tu prieras.
i
aiJS.n.A-^-
h^
s
Jflim-3 Jos^p/i acf/wra les enfants d'Israël et leur dit
gneur vous
K^ OhMil
emporte^ mes ossements
visitera,
j&^lfïi
0o'iÇ[^
,
8
rougira de
})
Dans
d'ici
«
:
hjt
îiî^r/iAj
f.ih.fO'^
lorsque
avec vous
le
Sei-
».
i»A£ K=ÎA h^^foh h«^y jr^^c 8
1
s
ft-fl^-fclh' Lorsque viendra
f 'll^C
s'assiéra sur le trône de sa gloire,
"h^ Il
la
i
s
ne fais
feras l'aumône,
lui lorsqu'il
la finale,
8
s
le fils
A"*
8
de la
s
vie, alors
h^ ^^^ 8
viendra.
quel que soit le temps de
la
principale; dans
consécutive, après un imparfait de sens futur.
j&^ît^
8
h^
X'^fUK'flrh.C de voir
si le
(B^i^rr 8
ÇÇ'f'*
8
/a
//
s
8
HJ&V'flC
sorte que personne ne
8
L'action dont
suit, elle est
j&chje. et
regardait
il
il
s*agit
8
1.
Mth.
Mth. 25, 31.
7.
Jéf. 4, 7.
6, 2.
k^
je."iCrh
a
8
restait silencieux, afin
^'i'ht^'i
dévastera
s
tiï\\)'hd
tes cités
de
telle
elles.
:
dure encore, sa réalisation se pour-
comme non parfaite.
-tifhi^
4.
8
Présent.
les cas suivants
considérée
J^n.A-tf»-
//
demeurera plus dans
Se rencontre dans i)
8
m-n-t-f "}'
II.
20Ô
h^
Seigneur avait favorisé sa route,
h h-^ KAO 8
8
8
hh^
8
hïi
2. Sir. 7, 10. 5.
Luc
9, 26.
8
ifT^-M-
3.
iàiTi'Mi^
Gen. 50, 25.
Emploi des temps Va^îT*
'
//
leur dit
«
:
H'iiO-P
elle dort.
t
homme
•fîs'H'Jiî^ Cet
as vu, celui qui parle avec
Le
2)
; le
i
donne
tout
j
i
hr-flCVV
I
'hf.'Bff'^
se lavent pas les mains,
a^
M
s
!
i
elle est
M
:
h'dduC n'ai
!
rit,
il
:
Toi/Zés les fois que {la
{égale à) sept parties i
J&flAO-^
mangent du pain,
ils
les
se tient :
dehors,
Ù-Uh* Bien que
h'^ * h^f'éLCV « je
Mth. 11,4.
3. J. 9, 36, 3'7.
5.
6.
Hén. 71,
8.
Hén. 73, 3. Sir. 21, 23.
7.
K
ïiIlL
ne craigne pas Dieu,
2,
7.
les
L'insensé regarde à travers la porte de la maison
CD/i^f 'TiÇC
9, 24.
h'à*
gardent son trône,
pûs peur des hommes.
Mth.
du
//s ;ie
Chérubins,
4. Sir. 21, 20.
1.
élève la
f»%d h*C> 'dCi'h s
'î-flfti'
toutes les fois qu'ils
Vhomme sage
voisin,
celui-là, ô
« celui que tu
s
0rhj&^
Principautés sont ceux qui ne dorment pas,
du
s
IDf(l4»n-« f^'ia/Li ILhlh' Les Séraphins,
ti^h f»^(0*^^
{est)
s
ou peut se produire au
que V insensé
les fois
V éclat de sa lumière,
^.j&l-^an-
soleil
:
hf^/^h
toi, est celui-là.
Toutes
îi^
s
quel
Annon^
,
parle.
^-flW
<<
Jésus lui dit
; et
sage à peine sourit des lèvres.
fAi(0*lf lune)
»
habituel et se produit
fait est
ytlTtïtïiW^àO'* voix
lui
(DH^d^W
ce que vous voye\.
et
répondit en disant:
Seigneur, pour que je croie en
moment où Ton
n^Ù9^0'i
i
à Jean ce que vous entende:{
ce:{
car V enfant n'est pas morte, mais
reiire:{-vous,
à^'diilî
14^
imparfait!
;
9.
Mth. 15, 2. Luc 18, 4.
/
148
Emploi des temps
On
3)
parle d'une chose dont
un axiome, une
stants, c'est
.
la réalisation est
aihh A s
-flïis
Vhomme,
s
^î;'>d
ait* K*^ hj)à^ s
a
i
h/t-Ylà"
Mi^
peut pas fructifier
pouve\ pas
Dieu.
-TrJ&A
VlCs H^rthT
tion qui soit impossible à
i
s
s
Vhômme
Il
i)
[fructifier]
indique
mais de toute pa-
vit,
flïi'd^^hï
s
rt-nh^ Le via réjouit
s
:
le
AH
A
s
cœur de
A?i*7rt,K'fl/h.C'
aucune ac-
i
-"
s
s
pas sur
Comm^ m^
tronc de
le
s
s
-n?"
s
s
la vigne,
d,d?
« fl
KT^I-tf»-
rjm^tïM ne
ainsi vous ne
vous ne demeure:^ pas en moi.
Passé.
simultanéité
la
n'est
Mï^ 0^^ ^^j&ïlA fl^-ft* Mft aijz,V. h^ih
Â^VrtCh^^
si
//
;
bien que passée, l'action qu'il
représentée en voie d'accomplissement par rapport à
signifie, est
une autre
(O^lr
Dieu
n'est
s'il
s
III.
207
les in-
pain restaure ses forces.
le
hAHs
5
de tous
vérité éternelle.
que ce n'est pas seulement de pain que role qui sort de la bouche de
imparfait.
;
action.
Souvent alors en ce
cas,
il
est
accompagné de
la
particule Ti'î'H.
^*pdA « nj^rfi Tn-d An- Kin fhït"t^ n^ft-d
s
:
il
vint
Dieu,
!
dans
s
cette église
hro-i^hi
1.
Mth.
4.
J.
4, 4.
15, 4.
ï
--
-lin
«
f^hrt
dans son cœur,
h'^mh'flrh.c*
2. Ps.
n.* * Yictï±n
MiirLh'dih.C^ Le
et fortifié
5.
«
104, 15.
A. S. 97, 23.
Mni
3.
il
--
<»
quatrième jour,
rendait grâce à
^di(o*ci (o-h-t
Luc
1,
37.
i
Emploi des temps
ÇVs
iV'l'a
^Ohao-^
Mn A
s
Il les
i'flC
I
s
fl^-Zl-f- 1
tT-i^»
"hlïÙ^KIK
i
hr/i^ s
'V'flC
s
s
•ha^i (DffA'Kwn et
i
ît
il
n I f-^^ÏOC : oo-nt^à les
ils
telle sorte
-flhrt.
i
:
A.^<E
Vfl^
s
/hî*}
lévite,
«
"llfl i
^^d s
CDJ&
ïifl'O-
U enfant
CDJ&l-AWfK^"
^Ï'I-'
//
demeura tandis
Voici qu'une
VO-
«
0(l,f»
s
par
(O
demeura
Vfl^
*
hlr
qu'il apprenait
H^
J^A4*A4' s Wt
grande tempête survint dans
était couverte
que la barque
s
où
demeurait
il
leur obéissait et les servait.
ne rougissaient pas.
(DOhYx'^di f/tOh^^ mer, de
(ïïi'n'i'P
un homme
était
^
CM'i Af^hfh^i
0^aKi bà^^WT^^ i G^lyS"^^^^
psaumes de David.
étaient nus et
s
:
a
s
il
rt-tf»-:
sa mère
(DO^(D
qu'ils
ïiiH
s
HR-n^ h-Ç^'/»^ En ces jours
dans une caverne du mont Ephrem.
che-{ son père
di\i\f^'
Isaac tandis qu'il jouait.
// pit
avait pas de roi en Israël,
ny
Seigneur tandis
soir.
trouva tandis qu'ils dormaient.
J&Th'BVP.'
h APtf»-
I
jardin au temps du
le
149
imparfait.
voix du
Ils enteridirent la
promenaient dans
se
il
rtCh*
;
i
la
les flots et celui-ci
dormait. 2)
alors
:
C'est le temps de soit à l'idée
la narration,
de simultanéité,
sa
signification se rattache
d'une chose habi-
soit à l'idée
tuelle.
î^ftA
s
Oh^"^.
i
l-V^c s (Dhr'H
ahr" a lDh«w I IDAii
s
JZ-Jt-fc I
A-*^
/aa/5, celle-ci mangeait de ce qu'il avait
Gen. 3, 8.
2.
Mth. 26, 40.
4. Jug. 19, 1.
5.
B.
Gen. 2, 25.
8.
Mth.
1.
7.
M.
9. 20.
8, 24.
i
n AP a
£^//e
'ThflAd
s
J&îii:
J
demeurait avec ses en-
mangé,
3.
elle
buvait à sa coupe
Gen. 26, 8.
6. A. Y. 8. 14. 9. II.
R. 12,
3.
1
50
Emploi des temps
de ce
dormait sur son sein
elle
qu'il buvait,
fille.
CM
«
d.CP'i
d,hi 5
(D^^ih
s
h^ hr>
sa
*
'\r
Pharaon
rTiA»»
i
:
un
vit
tel
imparfait.
;
5
songe.
s
ïl^li
s
JR+lO-r <w»A^A'^
i
And* h Auri-
1
s
éLAi s f oc-h
Il se tenait
sur
paissaient du côté opposé.
aM't C-a^ i
i
/?«AhA
-flhrt.*
ïxlï^
i
:
J&Arfi4* i
^hl
s
s
le
s
'Tiîl s
fl9A ^rhPque jour de tifs qu'ils
Mi-
ï
s
A-^
fêle,
ooi3Gao^
s
Kf/ift
P-C^'f A
i
«
priait le
(Otid
était stérile.
ao^'k'Wi
©^4- s hùù i
yA9^!^'
flh^'^s
comme
ïxr'i
i
i
-fi^Lhi Ïi9^0^s ih^i
Juda, au delà du Jourdain instruisit
:
a
s
HK-Aft^-^ Cha^
avait la coutume de délivrer pour eux un des cap-
il
préféraient.
"^bF-i-
s
elles
'h1\Uh'(ïdi,C
f>ïx±' Isaac
i
Seigneur pour Rébecca sa femme, parce qu'elle s
fleuve et voici que du
dans leur corps,
sortaient sept vaches belles et grasses
fleuve
comme
et elle lui était
Parti de
; les
là,
9^M^
il
alla
f*i>^s
'flJi.^s «
dans
rTiTI-fl
la
«
terre
foules allèrent aussi avec lui et
il
c»
de les
en avait la coutume.
il
IV.
L'imparfait.
AVEC Wi ET Oii(0,
208
I
j
p^yQQ
^^
l'imparfait
prend
le sens
du temps de
la
narra-
tion.
(DàfL^ i AA
s
*nA*^ (DW
engendra Tubalcain
8
et celui-ci faisait
1.
Gen. 41, l.*2.
2.
4.
Marc
5.
10, 1.
s
yn-nC i^'d/L -nC^' :
des ouvrages d'airain.
Gen. 25, 21. Gen, 4, 22.
3.
Marc
15, 6.
Sella
h9^V
Emploi des temps
A-^ s ù-nh » a-ha : -tï^-t « (OM » X'Th *7H^h'
A/^aAi/ toutes ces
fants des le
Enoch
choses,
hommes ne connut oà
il
151
imparfait.
;
se
i
mu- MCti Ah i
j
des endisparut et personne
moi Enoch
et
cacha,
je louais
Seigneur,
Avec Uli(D
2)
l'imparfait présente les trois
que nous avons déjà Uti(0 ne rattachent à
de
la
signalées, futur, passé, présent. celles-ci se
cependant que souligner ces nuances,
fait
la
nuances de temps
forme verbale de
de par
l'imparfait,
construction
la
phrase.
—
a.
Avec un
cède toujours
de sens passé ou présent, Vfi(0
imparfait
W^MXlUii(0'X)^ir'it^»\f^^i hù^-nài^ EI moi
fOM
rendais grâce avec eux.
^
Ji+fl>^ s ^^rro
a
retournèrent,
1C* hfii
Sa'ûl
.
^^f.m-
i
h'^lUK'flrh.C
vinrent à Sodome
ils
encore devant
le
colline.
:
hlT'fjf
i
aussi,
hAhi^
je
dft
:
Et alors ces hommes s'en
à Gomorrhe e (Abraham demeura
IDA^A
Seigneur.
demeurait vers la
et
'
UÙr
a
s
a
iO-tli'
a
j&V'fîC
(D^^a^i^
/lV*7/^a AV^ Auparavant tandis que
a
pré-
l'imparfait.
MH
a
(D
a
Uii(D
:
A
Saiil régnait sur nous.
hCA-f A a A^f A-A a n'T't a (O-fi^h M^O^^'i a (DOU" a
W-flCa nf^^V
a
Ti'^tUh'flrh.C' L^ C/ins^ Jésus qui
ressuscité des morts et
C h*^ hSMl^ a
a
a
demeure à
Oi^^.
4^AȔP'a hA'^J^'' Tw je suis
1.
4.
la droite
lOAV-f
a
sais qu'il
y
:
de Dieu,
ÙM-
a
est
Ufi(Dtl
hîT»»
s
mort, est s
^h9^
0^7-
l. 3.
2. As. Is.
6.
5. II.
7. Act. 24, 11.
R.
a
h^f
a à peine dou^e jours, depuis que
monté à Jérusalem pour adorer.
Hén. 12, I. R. 22,
a
9,S8. 5, 2.
3. Gen. 18, 22. 6.
Rom.
8, 34.
152
Emploi des temps
—
b.
Avec un
Placé amnt réalisera
il
futur, Oti(0 se
imparfait.
met amnt ou après
marquer plus ordinairement un
paraît
l'imparfait. fait
qui se
pour ou par une personne ou une chose déjà existante Placé après
qu'on veut souligner.
et
;
semble ne marquer au
il
contraire qu'un simple événement dont l'agent n'existe pas encore.
^ ^^àjx^ s
-^n
s
T^C^
s
Celui-là et ses
<•
s
dAltf}
i
'(ïfh,/i
ai^h
étranger,
'-
Vil«C"^
li9^H±
Baruch, parce que
1-hA-y-
î
OlC
je la détruirai
rtlhf
s
la fin qui
du déluge viendra sur
J^V'fl
race demeurera étrangère en pays
Mi"-
'-
fllflCTlri «
hft^s
cette
liA-
ville toi et
à cause de la multitude de ses pé-
Hh> i OAa^lf *
vous boire la coupe que moi
Démle-lui
'.
Ta
HChlï s
s
Xî^-nifll! -^nuK-ffï"»-^ Sors de
ïl-s ^l'^ftVs
chés.
s
seront exempts de
fils
VtiOK
toute Vinlquité qui s'accomplira sur la terre.
je boirai
va venir, car
X-'PP
i
hÙi-f»'
Pouve:^-
)
toute la terre sera
rhAî^h s
toute la terre.
Veau
détruite.
'^(ï'h't
s
W"A*
«
'h
m.h'ti 9^^Ci (D^ùmr'i VA(D^i l»•A-^s4»A^^•' Ton songe, c'est
gée dans
les
9^Cih^i
le
m/stère de tous
abîmes.
je.X^d
s
les
péchés de la terre qui sera submer-
^(O-à
s
ii.i'
UA^
s
•7Çd
W-A«
s
ï
-Ifl
s
:
h'Wh Î^J^-C'
«
htl^
s
/?^:/nfs z^^rs
hh moi
tous tes frères, je vous annoncerai qu'un jour la violence s'établira sur la terre.
1.
Hén. 106, 18.
2.
Act. 7, 6.
3. Bar. 1, 3.
4.
Mth. 20, 22.
5.
Hén. 10, 2.
6.
7.
Hén. 91, 1-5.
Hén. 83,
7.
Emploi des modes
III.
C'est
on
le
1
subjonctif.
;
53
Subjonctif.
temps par excellence, de
la
proposition subordonnée
;
209
rencontre néanmoins dans Tindépendante ou dans des propo-
le
sitions qui paraissent être telles.
I.
Il
i)
•iï'iù
s
Vexhortalion.
marque
'^'>/*'^«
s
Proposition indépendante.
Trih^C
s
Kî^TIP*
Levei-vous, allons-nous-en d'ici
liP^ ll^Di (Dl^PV
(OTrtîi'f'
nous mourrons.
i
s
'>/w>aHh' Mangeons i
et
1
bavons, demain
(D'JTfl'fl' Réveillons-nous,
veillons et soyons sages.
On
rencontre souvent avec cette signification, accompagné
le
de V9 ou de ITÔ^.
10* i 'ilff^^ et
une
dons
tour.
et
s
Olà
Oï^'Vi^.^' Allons, construisons une
:
Ithilé^f^i (Dl[\lOP
confondons leur langage.
i
tÙlCo^'
Allons,
ville
descen-
lOif»^ 9^àù "hh^ 117+ s
J
s
d*Ç-f
1
si
cela est leur péché, puis montons et détruisons-les. 2)
WnVs
11
marque
V'^A.a
consolation
1. J.
et
I
le
Seigneur, Dieu de la
père de la miséricorde, nous accorde de comprendre ce
14, 31.
Rom.
souhait.
HmLKlh Alf-AV Que
4. Gen. 11, 4. 7.
le
15, 5.
Cor. 15, 32.
2.
1.
5.
Gen. 11,
7.
8.
I.
Th.
6. Jud. 5,
5, 6.
20.
210
154
Emploi des modes
subjonctif.
;
qui est de lu i pour nous tous,
On
3)
G
A'H'ï'lï
5
îiC
rencontre aussi pour interroger.
le 5
V7C 5
Comment donc
ïxOrf*^
Mh
s
li^H
s
mauvaise
ferai-je celte
action )
M«is
dans ces cas, on peut admettre
ici,
Nous rencontrons, du
la principale.
mêmes
sens, dans des constructions où
comme
appartenant à une subordonnée
h h'rAVb s
s
Art.î^
i
Seigneur, Dieu de Sem,
dit
:
c(
s'il est
quelqu'un dont
que son frère épouse sa
Précédé de
4)
personne,
CT-^ Que
il
exprime
s
lif/tt'i
njtlD' Que
ll'14-s
la
s
i
CAuïV IXh* !
1.
4. 7.
rh^CDÎhf
Gen. 39, 9. Gen. 49, t Gen. 1, 3.
qu'il
c<
îi*?H. le
que
son serviteur
)>.
àh-^lh' Moïse
A
à
donie des enfants à son première ou à
la
commandement,
Ap-ïl*'}
Et Israël vu
(o}xf^r\i9' i *J?:^h s
;
frère.
seconde
la
l'exhortation, le souhait.
(^O^ao*^ Maudite soit leur colère. M'Xï^'}
puissè-je mourir, car j'ai
ODipi^f^
^(7
//
soit
(0*t)rf.i
leur ville soit déserte.
^
1-flî^'
i
frère soit mort sans avoir d'enfants, et
particule
vos mains se fortifient.
ïitï^'^
le
'-
f»^(\/Hl
s
Chanaan
(Df^ri
femme
le
que
peut être considéré
il
fl^^-ft.
MhTr
soit béni et
'OhlL'ti h-^^O".
ahlt-a-'
s
subjonctif avec ces
le
reste,
y a ellipse de
qu'il
s
ta face.
17^
Si je ne
2.
dit
le
i
M/^9:^à
'dC/'i
s
s
''
à Joseph
Itxf.'&ï'^'
la lumière soit.
Que
:
« maintenant donc,
Mi^ KfldhTnP s
Aïiïh'}
s
^ùMi ha :
ramène pas auprès de
Gen. 9, 26.
toi
'Vlth
:
ftlf-A-
1
'-
:
et si je
3.
Mth. 22, 24.
6.
II.
9.
Gen. 44, 32.
'
5. Act. 1,
8.
20.
Gen. 46, 30.
*
R. 2,
7.
ne
Emploi des modes
le
place pas devant
pendant
;
155
subjonctif.
que je sois un criminel envers
toi,
tous les jours de
ma
Lorsque plusieurs subjonctifs se suivent dans une se,
A
on trouve
mon
père,
même
phra-
toi,
vie.
répété ou bien seulement placé devant
le
pre-
mier.
ïiAO
Hj?*<<.Ami
:
moi
fasse ainsi sur
ment, qui
me
hr'ViU
i
et qu'il
sépare de
'
Miïh
T^Th* Que
:
le
Seigneur
arrive ainsi, qu'il n'y ait que la mort seule-
toi.
M^dJHhi
i
(D'i^dii^'f,
ti*"pi tï'ùfh'f'^ Réjouissons-nous, livrons-nous à la joie
t
et
(D^U'd
i
rendons-
lui gloire.
Jamais 5)
le
Subjonctif avec
A
ne reçoit
la
particule négative
h^,
C'est toujours du subjonctif que l'on se sert, pour rendre
l'impératif négatif.
t\^
Ne
dispute point avec celui qui est plus riche que
vec sa richesse,
il
ne
te terrasse,
^'}1/^'t:(Dh/t'llh^i demande pas
le
auprès du roi retourne
di-d
II.
la
i
ïi^
0*110
n-llfla •>7-/*'a
pouvoir auprès du Seigneur,
et (che:{ toi)
Dans
h/t'llh^
s
i
IDhl^'M
s
s
toi,
de peur qu'a-
îi*7H,îi'flWi.C
^W^.i ni
h-flC*
Ruth
Ne
une place honorable
^*7^ i
h^'th'(\ii^
Va,
désormais ne pèche plus.
Proposition subordonnée.
proposition subordonnée le subjonctif se construit seul
ou bien est introduit au moyen de conjonctions. Nous verrons
1.
s
1, 17.
4. Sir. 7, 4.
2.
Apec. 19,
5. J. 8, 11.
7.
3. Sir. 8, 2.
les
211
156
Emploi des modes
de son emploi dans
divers cas
donnons
ici
que
impératif.
;
syntaxe des propositions
la
;
nous ne
nomenclature des principaux verbes et des prin-
la
cipales conjonctions qui se construisent avec le subjonctif. i)
fient
:
Le
subjonctif seul se rencontre après les verbes qui signi-
vouloir,
ordonner, défendre, prier,
désirer,
con-
conseiller,
traindre, empêcher, permettre, décider, s'efforcer, 'essayer, hésiter, se hâter, pouvoir ; après les
//
impersonnels
plait,
il
il
convient,
faut,
etc.. 2)
Avec
la
conjonction
h'^, on
trouve après
le
ces verbes que nous venons d'indiquer
de
garder, rougir 5)
On
— —
la
de.,
particule
h^
tels sont
;
de
:
de
se font
séparation,
empêcher,
craindre,
se
etc..
trouve encore le subjonctif
avec h*^, ID, flH
llMM,
avec
plupart
ceux d'entre eux qui im-
;
pliquent une idée de négation, de refus, suivre aussi
la
[rare)
4»J^^
dans
(rare),
:
la
proposition finale.
h9^^^^
dans
la
propo-
sition temporelle.
—
avec
HWidA,
ID,
"hMl
[rare)
dans
la
proposition consé-
cutive.
IV. Impératif.
Comme
212
une
prière
en
français,
s'emploie pour marquer un ordre, faire
il
ou donner une permission.
Toutefois, lorsque ces trois idées sont exprimées d'une manière négative, on se sert
h^
.•
-flh
1. Sir. 5, 12,
s
du subjonctif
n^^P
ï
lia
;
i
MàJ^Xi'
Si tuas quelque chose
Emploi des modes à
Conserve ton ami,
9*'tlti>ih^
'^^ ïiSoh* Lève-toi
confiance en
aie
157
infinitif.
à^'û « OCMl a (Di'h^^'i
expliquer, dis-le à ton prochain,
lui
;
'^7/*'^l
lui,
vas à Ceïla, car je vais livrer
et
les
s
«
llî^
Philistins
entre tes mains.
f'Ù.n^ihSMl'- tt^l-nCi dit
veux
« ce que tu
:
^'f^ pères.
^tld.Ci'
»
1f/^/^
Cherche
s
i
donc au plus
faire, fais-le
hdVil'^*
(D^Chf'
s
h^
s
Çm-J:*7nC'
h'i't'C^i^
tôt.
Vous, comble:^ la
Jésus lui «
mesure de vos
hî^lA^A s Kf'^^'lh
*
VfljZ.*
verras que de^la Galilée ne doit pas surgir un prophète.
et tu
Wn-fK? « àO^a» : /^^J?^'
Ho/ior^
L'impératif aime parfois à être le subjonctif.
ïi'Jh:
'Ù^Ù « CDAi'^
médecin.
accompagné de 9^Ù^
îT'd^:
s
le
s
(Di'd.^^lh'
Mange
comme
s
et bois, et
tu seras content.
y a souvent aussi
II
souhait, ordre
avec vous
[soit)
de David
ellipse
ou prière !
:
du verbe dans des phrases marquant
îi*7M.h'flrh.C
i
^^tîMl''^^ Le Seigneur
IfAdV: A<»Aftj ^1î1-' Hosanna
(soit)
au
fils
!
V.
L*Infinitif est traité
Infinitif.
comme un
véritable
nom
et
en remplit tou-
tes les fonctions. I.
on
la
—
Sujet. La forme
I.
i
est habituellement au nominatif ;
rencontre cependant quelquefois à Vaccusalif,
1. Sir.
27, 17.
R. 28, 4.
8.
mais en ce
Jean 18, 27.
2.
\.
4.
Mth. 23, 32.
5.
Jean 7, 52.
6. Sir. 38, 1.
7.
Tob. 7, 9.
8.
Ruth
9.
2, 4.
Mth. 21,
9,
2i3
158
Emploi des modes
infinitif.
;
dernier cas, on peut souvent l'assimiler à un complément de ma-
Les autres formes demeurent
nière.
A-nKA.
a
HKyhra
qui ignore la parole,
il
«
J*A
invariables.
/uJ&ftAF s -n^^' a un homme
s
h'^rt
ne convient pas d'être riche,
'MC
«
«
a^?i*sA-n?iA.l-«i'A;i^y.« (D-t^cPti A-l-l-iAn-n^ sni est
honteux pour une femme d'avoir
couvre.
nMtth
Manger
sans se laver
^h^Af* W-A-
tUhl^
^
s
mes
vous,
s
l-'lldn
i
les
ïxfja^tï
-•
mains ne
\\^y
5
la tête
11
souille
le
et
rasée, qu'elle se
Kf^'^t^ - àÙ-Ûh'
:
pas Vhomme.
leur convient
demeurer avec
frères, de
flA.*
s
rhjiaï1-h<^s'
s
tondue
^f^à\9*o^''
:
d'être une partie d'elle.
î'e//^
Qwe/Ze
existence pour
créateur tous les jours de votre
vie !
214
—
2.
met à
Antécédent.
Vétat construit
^^d^ih^i
ou bien
Antécédent d^un nom,
le
nom
qui le suit se
ItÇlf^î
hrliH-fls nrt'TLtIs
peuples se réjouiront au récit de l'histoire des justes,
VT.^ ;h*^5
9^îh^'f^''
:
Qui
(ïhJh9^C:
s
rance des écritures. [Les
commandements
pourrait faire
f^^^Ç^'
K^tà sont
: ) ce
'-
le récit
Vous
V^A
êtes
met à
se
l'accusatif.
AHJ^;^'>« Les '^'l*
J^hA
s
de sa miséricorde
?
a
l'A
dans l'erreur par l'igno-
Kh-fllT
-"
l'infinitif
s
Klbh
s
(Dhr'h'
ne tuer personne, honorer Ion père
et ta
K^^CX)9'(^i Ahhi M'^t^- /^P- (OWàh^^ ^JihA* 4*'fcA^^ Ne craigne^ pas ceux qui tuent le corps car votre 'ilh'i Ù'^P'l' âme, ils ne peuvent pas la tuer. Aîi^ ftlîT'V mérey^.
i
s
s
.-
-•
2.
I.
Cor. 11, 6.
3.
Mth. 15, 20.
4. Sag. 1, 16.
5.
Reg.P. 68,24.
6.
A. P. 43, 7.
7. Sir.
8.
Mth..22, 29.
0.
Mth. 19, 18. 19.
1. Sir.
14, 3.
18,5.
10. Mth. 40^28.
s
Emploi des modes
î^ous arrive
nM^f^
Vous ionc, tandis que vous
bons présents pour
Lorsque
on se
'^A.P'iï le
que
i
vànt
Mil
si
hWJ M^ »
s
vous connaisse:{
les
demandent.
le lui
comme complément un
la
forme allongée
W-A-<^
du Seigneur a
s
mauvais,
R*+
5
s
tihl\U\'(idi>C^ Afin que
service
les
êtes
bien à ceux qui
de
i
ïi'Jh
'-
donner à vos enfants, combien plus votre père
Tinfînitif a
f'CM
AA-flf
a
le
sert toujours
ïl^ I
'l
les
deux donnera
des
15d
infinitif.
de nouveau d'entendre la voix du Seigneur notre Dieu,
alors nous mourrons,
P'^
;
ÇlfHl-h
a
est
(63).
hiîà^K^
h^
i
:
l*»VJ2.
fltl^
a
-fl'H'Il
a
ài^
hM-dJ^^ AWM* O Seigneur, a
nombreuses douleurs de
mon
I
tous les enfants d'Israël voient
hin^h 1
bon.
suffixe personnel,
cœur,
ta consolation
a
smî-
réjoui mon
âme,
—
3.
lificatif,
seul
il
Complément.
Il
un nom, un qua-
se construit après
une préposition ou un verbe. En ce dernier
est à l'accusatif
;
précédé de
la
préposition
A
cas, il
215
employé
reste au no-
minatif.
a^M
a
rh4.
a
'W
h^à-it
a
a
h^
(00%^'^ a
a
AArtl
a
^«g
fei
Et
"f*^
lorsqu'ils allèrent vers Jésus,
ils le
virent qu'il avait achevé
de
hjt^'^^' « hÇV a ^h«'}'>« Ne cherche pas à être juge. Mi- a ah^-U Hl-h.lf'H a AHIÎÎi a fllAlK^ Tu es celui qui
mourir,
:
commandait d'entrer
1.
Dôut. 5, 22.
4. Ps. 94, 19. 7.
I.
Par. 11, 2.
et
de
sortir.
2.
Mth.
5. J.
Afl
7, 11.
19, 33.
a
Ch?^'
a
Çrh.'T.'J
3. Sir.
46, 10.
6. Sir. 7, 6.
a
h^
a
:
160
Emploi des modes
h^TfÙ^ i iiihVC Noémi
riïM
i
gérondif.
;
'WiTh Ki\\ i
s
:
-ny./^•;^^ Lorsque
qu'elle persistait d'aller avec elle, elle cessa
vit
ffOihïiHVîrt'T.Os A^ft^^d'
CM^
entendre, entende,
s
vit
yM^Ci
laOl^^fPi Am*
que Varbre
hltCdi-f'
ignorance.
i
oreilles
pour
î^^f» bù s AflM'
s
:
hM^C
bon à manger,
{était)
ïl'"*
s
(\3i^
Je sais que vous ave:{ fait cela par
(Vj/O^'d
H/TfH'a
parlant toute la mût,
h^
s
'ÏÙxflJ^r
La femme
[de] lui parler,
Que celui qui a des
s
W-A
t
(0*{t't
MiA"^ s
Elle
fatigua en
le
(Dà^^^^ Elle éprouva les
douleurs de Venfantement,
216
—
4.
soit usité
On
comme
mode
personnel.
H*'!
'Mf/*'y
i
hA.V
Pourquoi m'as-tu rendu
ai^?ihA.h<»»-
adorent
tel
:
le
tu régneras sur
à
un
dans ce
Vous entendre^
et
h^ tl^ JE'ïl-'> '«'>* M^O ^h h^ yr^iiP hrM\ A?i'7rt.K-n 5
s
soit
un témoignage
V^i*»^
a
s
«
'-
s
i
s
Seigneur,
nous
qualificatif,
employé
sois entré
que je
s
AuCl^ Mais afin que cela qu'ils
accompagné d'un
explétif à son propre radical verbal
vous ne comprendre:^ pas. 5
soit
Ù'^0 ^A9^(h s (DhJtà^'ÛaV
trouble,
grand
rencontre enfin
le
entre nous et vous, afin
^^1/^ s AdA»V°
Est-ce que
)
VI. Gérondif.
211
C'est le
le
mode
qui sert à exposer Tétat,
la
manière
un rencontre, soit étroitement uni à un verbe à
Ruth
1, 18. Act. 3, 17. 7. Esd. 10,28. 10. Gen. 37, 8. 1.
4.
2.
Mth. 11, 15.
Jug. 16, 16. 8. Math. 13, 14. 5.
d'être.
mode
personnel
6.
Gen. 3, 6. Gen. 35, 16.
9.
Jos. 22, 27.
3.
On
Emploi des modes dont
le sujet est aussi le sien
tout autre
tache
que
de
celui
la
soit
;
deux premiers
il
cas,
fait
161
gérondif.
employé
proposition
un
seul, ayant
il
principale auquel
de simple
soit enfin remplissant le rôle
;
;
sujet
se rat-
Dans
qualificatif.
les
partie d'une temporelle avec le sens d'un
parfait antérieur.
(DÙ'^P ce
'>7-/*'
a
conseil, le roi
^n<^'
nir-t
«
àAjS
s'indigna,
Eiani parti de
tant
Sur
préparés. le
champ,
Mj^i
Ils
-M^TK' En
:
'làF^'t'
1
ihP^Ù COKfllf
n/hC s
-lift I
me
et (Jésus) étant sorti
-flrh.^
I
Ç«^
s
^ù'IMf
i
flX'rli.**
«i"»- s
et s' é-
-Vha^V"
lCmS">
s
mer
i
(O
vers la ré-
de la barque, alors un hom-
surgissant d'un tombeau vint au devant de
frA
i
suivirent.
ils le
{Jésus et les disciples) étant allés de Vautre côté de la
gion de Génésareth
entendant
G^M" l^lf^^h-s O^X
ayant pris leurs vivres «
i
laissant la barque et leur père,
IDflX.rhtfi>-
s
dans leur temple,
vinrent,
-h^i^ao^
«
Kl^Uf a à^ù
s
alla
il
là,
tf»-i flihrH'^/V,î^<'^' i
T\\ù
i
CD'hlDAJ^
lui.
Jésus étant né, voici que des
s
Ai^f
mages
arrivèrent.
hiaiJ^ai.Phi aif-'P^fcrhh' Quand Vavons-nous vu affamé ou altéré, sans abri, nu,
f-P^
Il
malade, emprisonné
trouva son serviteur guéri.
Je t'en prie, écoute-moi en
te
)
dM
»
Ai^Hii, -tOXi^iï
i
contenant.
1.
Sus. 8, 6.
2.
Mth. 12,
4.
Mth.
5.
Marc
5, 2.
6.
7.
Mth. 25, 44.
8.
Mth.
8, 13.
9. Act.
4, 22.
A^Mblh
s
9.
13
3. Jos. 9, 2.
Mth,
2, 1,
26, 3.
i
#h
hM^hX^
162
Le complément
objet direct unique.
;
CHAPITRE V LE COMPLEMENT Complément
I.
du
verbe
Objet direct.
I.
Objet direct unique,
218
I.
—
Comme de
qui est le cas
dans nos langues à flexion, c'est l'accusatif
avec tous
l'objet direct
les
verbes de sens tran-
sitif.
fliAftIet dit,
^m
s
CD^-n,
il
et
prit l'enfant
pas demeurer.
^hUX
nous n'écouterons pas ta parole.
^f
!
2.
—
Un
't'i'^Lh
sa mère. s
s
mie enfanta Caïn
-nhrt.^ s
V/^Jt
hJM^
h^TfA^^à AH-fc
mélangea avec
certain
s
s
rThîV
^ff^ao^
M
s
A,
Ils
1.
Gen. 4,
4.
M. N. 86,
:
2.
1.
28.
Maintenant, s
Mth.
5. Test.
le
elle l'huile sainte.
nombre de verbes qui admettent
comme Q^h,
ne
//
Alors, à cette heure,
appartiennent principalement à
qui signifient dire^
s
V/^h hV} i
direct à l'accusatif, s'adjoignent parfois cet objet au particule
(Dh^^
s
«
^Mï^
s
tiVlr
H^i-s *^rt'
ID-f-flrh* î^ftA.11-!
prêtre prit de Veau et
219
KT^J&V
*
nous possédons un homme.
S' étant levé,
peut
i
A'flr/i,
2, 14.
Ad. 901, 14.
la
moyen de
la
classe des verbes
Vl^, Odd*,
3.
leur objet
Lam.
1, 14.
etc..
On
Le complément
;
163
objet direct unique.
trouve aussi les verbes qui signifient ressembler ^"^Mi JiHf/
;
hj'dth
s
«
etc..
;
s
(DhJti^'hH.
ne de pécher.
Aft<^
hrUdi
permettre
s
«DJ&flCh-
AMUÏi
proclameront saint,
s
h^
f ît-flfr'
:
commande
—
}.
suffixe
nom du Seigneur
Lorsque
liï'rpf^
i
HdiO^C^Y
«
nous
(D^f^ tx^W
ou
mère
y tu
ta
a
)
hflïftRh
»
ID^-^rif h
h^
a
demeureras auprès
Vu-
a
f %IDh
Vofci que 4.
Le
i
le
—
a
s
?i'7mh-flrli.C
D'après
est considéré
la
a
«^i
1
a
mes mains
serrer dans
conception sémitique,
^dJ^C XU s
plus,
moi "IlO.
femme du
roi,
le
comme son
?iR,f
a
enfant.
ID^+I-Ah^
et je te tuerai.
une
foule
de verbes
pour objet direct, ce qui dans d'autres langues,
comme
objet indirect
;
nous indiquons
ici
les prin-
cipaux de ces verbes.
î. Sir.
15, 20.
2.
Hén. 61, 9.
3. Ps.
4. Gen.
26,11.
5.
Act. 2, 11.
6. A. D. 4, 16.
8.
M. N. 103,5.
9. A. lo.
7.
M. N. 102,
*
fD^^-ÛC a
che:{ la
considérera tD-ti'ï'
:
qui aimes-tu a
^h-fl?*
trouvèrent cet
ils
Mf-h^
conduirai
te
a
«
:
-flKA.*
d'elle et elle te
te
'i'h/^
a
roi lui dit
10 A^* /g
Seigneur va
ont, avec raison,
f>(li\r
a -llfl a
15.
220
a^ons en^
les
(Dd^tha^ 1
liahli'tii'(\ï\fU''MniS^d.à'i^ Etant venus, souffrant de la fièvre.
se
données plus haut
les règles
langue de nos pays.
la
il
forme isolée (189).
la
nVl^
s
JZ-i-nn-
tendus parler dans
9^*1*
A
«
h^ndjh*
AW-A" :
s
un pronom personnel
l'objet direct est
directement au verl>e, suivant
a
exalteront et
des principautés. TP'fl'fl
hlitt
s
tous ses peuples.
(ij6) à moins qu*on n'emploie
homme
l»J&*J^fr
i
//s t^/iirort/, /oaeron/,
hî^AW TVoi/s acclamons notre Dieu, Il
ne permet à person-
//
(DfMt^
i
llljS>A>'flrh«
^VÇft-'h'
le
commander
;
95,
1.
211, 10.
221
164
Le complément
;
objet direct unique.
Les verbes qui expriment un sentiment de
i)
lameriter,
àkù
fhfOU
^tM
plaire,
avoir pitié, ^é^ù. rougir, avoir honte,
h/hA
(D%h i
^th(D
:
se
^'^
moquer,
méconnaî-
renier,
CM
ï
'an-^^
des foules nombreuses
h^Hd
s
et
il
i
(Df^hiCf^'
gneur
grande
ArfiP
(OiPOiai
fièvre.
ACDA'^
s
du
se revêtit
s
-flH-Ti
cilice et
ï
^WA'
Jacob
d'une
siP^siD
CDA-flrt
s
"h
déchira ses vêtements,
lamenta sur son
se
qu'il plaît
s
au Sei-
Elle soufrait
KA^A.I^ s ^Ù^'d
s
il
sorti,
fAiC Hi^^^C
eut pitié d'elles.
OaSi d.O'if
i-r/iî^î^s
d'habiter,
Etant s
*7H,K'nrh.Cï flU^^Cs a^-AI:*"' La montagne
il
se
etc..
tre,
vit
être agréable,
ou de peine,
comme
d'amour ou de haine, ou encore une sensation
hf/"'
joie
pendant plusieurs
fils,
jours.
Ceux
2)
qui marquent communication
Vflrt converser y
VrtO
s
le ciel,
jure par 3)
A^^f
i
Ceux
s
tels
paroles,
que
:
prêcher, ^^diti jurer, etc..
h'^tLh'ddi.C
1 ^#hA 1
Aflh
de
i
lii^Ù.^ Le Seigneur parla à Moïse.
^ih^ ^Idù i
s
H
îi'^rUh-flrfi.C' Celui qui
jure par le trône de Dieu.
qui ont rapport à la capacité
;
sont
tels
hUA
:
pou-
voir, "llPA être puissant, l'emporter.
(Dh^Ù
i
^^^h
s
quelqu'un qui l'emporte sur 4)
le
^f^(D-h'
Et,
s'il
o^d^^ao^
i
3
'^f»^' Je fus privé de force,
Mth. 14, 14.
4. Gen. 37, 34.
Luc
11, 22.
survient
vaincra. :
Kft^i 9kldri ïtA** Une
7.
lui,
il
s
Les verbes qui marquent abondance ou privation
-Ir'ïlKïl-
1.
H^'Y.JK.A-
partie d'eux disait:
n,
JR-flA* »
ceux-là sont pleins
Luc 4, 38. Mth. 23,22.
2. Ps. 68, 16.
3.
5.
Lev. 16,
1.
6.
8.
Dan. 10,
8.
9. Act. 2, 13.
Le complément
m».
de
Ah» * Tfld
Tous
les altérés
165
objet direct unique.
fCf^Mi
ïi'ùrao'i '
;
M^Wt^
f^tc^^i
œf/^r^
i
ils
étaient
couleur ressemblait au feu.
ïi'l^
buvaient de ces sources
et
remplis de sagesse.
J&^AA Mi*^
rli-fl^- »
fl'
signifient ressembler, être semblable.
Les verbes qui
5)
i
Sa
ma
Quiconque donc écoutera
parole
et
V accomplira, ressemblera à
un homme sage.
Les verbes
6)
h^* On nt se
h^S^HTn^ i
Hflï'h
hO'f
«
et tout
7)
etc..
souviendra plus de son nom.
Le Seigneur m'a accordé que f oublie
ce qui {est) de la
l'fl^
«
mes maux
tous
maison de mon père.
Les verbes indiquant
joignent le
Hh^,
oublier, se souvenir /ittO,
nom marquant
le
le
mouvement,
le but, le lieu, la
le
repos,
durée,
temps s'ad-
comme un
objet
lointaine.
OK
direct.
>7A « Cfh*^ l^W-^ri'
//
3
-nrh.^®
//
partit vers
enira dans la synagogue.
dis qu'ils étaient
OiPC-t
s
dans
le désert,
une
MH
'ùïiù/lr
s
terre :
UdOK
M'I^
i
que
le
œù^'i't a 9^'^« Une femme
*
l^i*^' Tan-
s
hK'fOf s PÏT} démon
i
affligeait
depuis dix-huit ans. 8)
Les verbes qui
d^œ/i, rhrtn,
Ùi"t,
signifient avoir soin, s'occuper de, se soucier ;
hM-^^^,
IDfl/^i'^niO;Hl.8 V'7J^a
1.
Hén. 48,
1.
4. Jér. 11, 19. 7.
10.
Marc
1,
21.
Luc 10, 34.
etc..
h^i
S^d,ah{t^oji
i^
2. Esd. 14, 39.
3.
Mth. 7,24.
5.
Gen. 41, 51.
6.
8.
Gen. 4, 8.
9.
Luc 15, Luc 13,
13. 11,
conduisit
Le complément
166
un
che:{
^->h
*
hôtelier (garde d'étrangers) afin qu'il eût soin de lui.
Ç^/^T TrM ^mV-H i
si
VépiterQns-nous
i
!
nous négligeons un
àx^fD-t tel
forme active, gardent l'accusatif de
h^^^^V^i dans
I
"hG^
s
htl^-ty Comment
moyen de
salut.
Enfin tous les verbes qui gouvernent un double accusatif à
9) la
objet direct double.
;
le
liilli
4'^A^
la
chose à
la
forme passive.
ne seront donc pas instruits
Ils
h'fï^i'hf^i ^^(\d(l<*i ID^flfl^^' Vous
meurtre,
sere\ dépouillés de vos maisons et de vos biens.
Objet direct double.
222
Les verbes
de notre manière de
qui, à ['encontre
double objet direct, l'usage seul peut
vants que nous distinguons par i)
Les verbes qui
dre tels que
^0^,
:
M^OGo^ H.Ç
chants.
s
de tout ce que 2) ;
apprendre
;
on peut tou-
en ramener un très grand nombre aux différents groupes
tefois
dre
les
ont un
voir,
i
signifient dire, annoncer, enseigner,
H.Vffl-i
s
^V-tïï'
W"A-
:
s
't-hdi,
faire ôter, faire
AAn, ncn^,
^Ahl*
^rfiA,
J'enseignerai ta voie
On
HlflCO*'
appren-
etc..
aux mé-
m'a rapporté
le récit
tu as fait.
Les verbes qui marquent
de
Wd,
-flUA, liVflï, îl^,
Ai^'fh'i
s
K•ÇÏ;^
prendre,
l'action d'ôter, d^ enlever,
de pren-
comme ^'^i^m, fid^, ^"^h, :
etc.. i
T/hV®
Elle remplit son sac de farine.
h^ïxfjl s A^h-fc s oD^ih^ i (DhSh9^C i n^i^aûj'
1.
Héb. 2, 3. 51, 13. Herm. 5 a, 12.
4. Ps. 7.
sui-
le sens.
2. Is. 2, 4. 5. Ruth 2, 11.
Dan. 2, 5. 6. Jud. 10, 5.
3.
M
s
Lors-
k
Le complément que feus terminé d'écrire ce
mains j)
subitement {on)
livre,
ne connus pas qui
et je
167
objet direct double.
;
me
me Venleva
il
des
Venleva.
Les verbes qui indiquent
pétition^ donation,
promesse
:
^^(ïi
Ùh^, M(D, d.M, Ortf ï\éL^, etc.. -thli^Pi^ s htt'ntW'^' Il leur demanda leurs noms, *P'i '>7-/*' Ahft'frC i Vf-Zt- s HO Arfi^' Le roi gratifia Esther flï,
htDiL?,
,
de tout ce qui 4)
l-fl^ lui avait
h* Tu 5)
à Aman.
était
Les verbes qui signifient
HH, h«W,
hOf hAh, Yhtt-
s
ordonné
le
j
nhniî
mangé de
A
ces verbes,
cet arbre il
:
?i*7H,h-flrh.C'
DA^h s
Seigneur.
as
la défense, Vordre, le
jugement
:
h
etc..
,
V'h
s
M
3
s
s
Noé
d0
fit
tout ce que
HhV
s
s
hAîiVl*
que je V avais interdit.
faut ajouter
nommer ; regarder comme,
H'>i'
ceux qui
signifient faire, créer,
estimer, proclamer. Ils
peuvent aussi re-
cevoir deux accusatifs, l'un objet direct, l'autre qui complète le sens
du premier
en est V attribut.
et qui
^hrfJ^i AAu?4-AA.r ^7fl^ s
pellera Jérusalem, la
pourpre,
ils
le
trône
du Seigneur,
en firent des vêtements,
3
K'VHiK'flrh.C^
lif»
dtl^
3
On
ap^
KAHA^ De ChMlf^ 9^(D*^Y
s
l-flCP
s
s
Estime\'Vous morts,
Les causatifs des verbes
6)
ha^Kh^ <**^
leur
3
Çih
fit
3
3
Cht^
3
hr^
3
transitifs.
>rçV;^ s (DtiCM't''^
Chfr 3 Alf A-ÇCiA*
voir et leur dit
COAHJ&'th'M
3
:
Esd. 5, 4.
d'Holopherne
1.
II.
2. Eath. 8, 1.
3.
Gen. 3, 11.
5. Jér. 3, 17.
6.
7.
Rom.
8. Jud. 13, 15.
M^^th*
».
celui qui est triste,
4.
6, 11.
œ^Çltt-
Elle sortit la tête de sa besace, la
« voici la tête
hftl^ 3 (D^y A
3
Gen. 7,
*
à celui qui est
5.
Ex. 39, 13. 9. Sir. 34, 29.
Le complément
168
du
affligé^ fais boire
A
7)
noter
objet indirect.
;
vin.
construction suivante avec les verbes qui ont
la
pour objet, une chose qui se rapporte à
membres du un
joint
suffixe
personnel qui représente
circonstantiel
de
la
comme
humain,
En ce
corps, Tâme, le nom, etc..
l'action et l'objet propre se
la
l'être
les
cas le verbe s'ad-
personne qui reçoit
meta l'accusatifcomme un complément
partie.
Ùf^P i hliLh'dih.C s ^Ùr i A^Trh.' Le Seigneur écouta voix de Manué. IfOm 5 Al-fl^ s A.+ s hV^^ s (D^-tC: s hH
V^
Il
«•M
frappa s
le
serviteur
(D^h9^0il
écoute notre voix,
du grand-prètre
^M h^ s
i
s'il
veut.
le
i
et lui
coupa Voreille.
éL^f.' Qu'il nous
A^^P's ft^s
Ai-h^
//
aide,
f»C qu'il
appela son
nom, Seth.
-
223
—
I.
Lorsque
II.
Objet indirect.
l'objet indirect est
un
s'unir
immédiatement au verbe (n6-i39).
^h
hC'hfD^^ Ensuite
s
Seigneur, ouvre-nous il
quiconque possède,
A'dh' Entendant se crée
en un jour
y),
àni\i ^îh'dP il
sera ajouté.
2. 5.
227, 25.
:
i
:
c(
Mth. 26, 51. Mth. 25, 11.
peut
(Df^'BtÙlP'
iV^P
'J7'/*'
«
« est -ce que
A s
un homme
3. Jud. 8, 17.
6.
il
Seigneur,
»
Jug. 13, 9.
7. Sus.
hïi-tk^i
sera donné et
4. Gen. 4, 25.
1.
personnel
vinrent ces vierges qui disaient
leur conseil, le roi leur dit )
suffixe
Mth. 25, 29.
Krhfl
i
^S^
*
L'abbé Daniel
apportât une jarre d'eau,
^
^r/iAh I AV
s
a
commandait de V aider pour
lui
hlri-Ù
fl»rhrta^h
«
^7-/^
2.
tions dont
Avec un nom, on se
—
comme
direct et tantôt
Tu
un
es
qu'il lui
^'Or9^
s
htï
roi fourbe et
ton serment.
l'usage seul peut apprendre les préposi-
sert. Elles
sont choisies en rapport avec le sens
est aussi des verbes
Il
thW
»
manqué à
(176) et aussi en rapport avec la nature 3.
s
'^Mh'
3
lâche; parce que tu nous as juré et tu as
—
169
circonstantiela.
Compléments
c«mme
du verbe.
qui traitent leur objet, tantôt
indirect,
sans pour cela changer de
sens.
CW
s
^Zf-t 1^1^ i
champ comme les étoiles
de^
elles
du
poussent,
i
h^
i
J&AU*^
't'àt'h^
s
Regarde^
nïihfl
les fleurs
du
ti^lf'* Vous regar^
s
ciel.
D'autres au contraire changent de sens suivant qu'ils se construisent avec
Je
te
prie, ô père
Abraham, envoie Lazare dans
rt^AjAhs
père.
pour
ou sans prépositions.
loi
—
Compléments circonstanciels.
Le nom
qui indique
l'action, se construit
OflJ&V,
1.
A*A,
la
cause
pour laquelle a
lieu
avec les prépositions H, flîi'ïi', ïi'ïflJiV,
etc..
A. D. 3, 15. 47, 13.
4. Is.
maison de mon
un miracle au Seigneur.
III.
I.
la
ThhîT'C'h: n-lins h'^H.h'flrfbC' Demande
2. 5.
M. N. 96, 17. Luc 16, 27.
3.
Mth.
6, 28.
6. Is. 7, 11.
224
170
circonstantiels.
Compléments
A
^^'l'ÇA'h* a d'autres
esprits.
—
2.
cause de la nature spirituelle (de Vâme), j'estime qu'il/
tuellement avec
i^Art verbes. }.
rinstrument
Le nom de
—
fl.
Hflm-S:
a
m
Le
se construit plus habi-
1
(IhH^C^
s
i
Trois fois on m'a battu avec des
est indiqué au
f
moyen de
la
particule
A
ou
de ses analogues.
i^^^ i 60(0 i tiOD^^b^^
—
4.
Le prix
est
coupa du bois pour
Il
marqué avec
nCishftïhsfl^mV'Hs
fl,
"iThtf»*5 0^f:\}(^' Dis-moi
donc, quel prix vous ave^ vendu votre champ.
*PÇ
î
f^iP^m
s
ÇiKâ^
vendent pas un as 5.
—
on trouve
5
K4CP-'}'
la
«
YïMhT^
s
i\fy
Est-ce que deux oiseaux ne se
matière
aussi l'état construit ainsi
flîifl7
h^}*h
)
Le nom de
i
le sacrifice,
1-VJt4»
:
9^/^^0'
se construit avec fl,
que
h9^^
;
l'accusatif.
Avec des
pierres, tu construiras
un
autel. 6.
—
quée par
La règle suivant
laquelle la chose est faite, est indi-
fl.
h9^li^ih/t^in^i(\^iif^{i.'' hjtïit^i vous n'êtes pas circoncis selon la
ihf^(D' Si
loi
de Moïse, vous ne pouve^ pas être
la
manière,
sauvés. 7.
1. P.
—
Le mot
A. 32, 23.
4. Act. 5, 8. 7. Act. 15, 1.
qui désigne
2. 5.
n. Cor. 11, 25. Mth. 10, 29.
se met à l'accusatif
3.
Gen. 22, 3.
6. Deut. 27, 6.
Compléments
171
circonstantiels.
^
OU reste au nominatif avec
fl.
i^àOi ^O-ti OÙS' (h
OUS
»
8.
flMO-9''
«
non^je.
i
dJBt't^ Elle
—
Il s'irrita
avec un grand
Ils crièrent
souffrait d'une
mesure
Le nom de
d'une grande colère.
grande
se
met
'tih9^9°
cri,
ou bien plus
fl,
HiPCi'sID'Wft'hsh^'hi'AClAs 'nf'' Veau
ÙÙ s Hî flSV"!*^ Un
—
9.
(DÙh
Ce
des mains
i*»Vj&s belle
arbre de cinquante coudées.
Mn
tD'h'làlh'^ lié
s'éleva de
Le complément de partie se met à l'accusatif. i l'hit : (DïithC i îiAïliahl^-p i r'Oi,^ i
1
mort
et
sortit tandis (qu'il était)
à^hfi (DhAif.i 1^^
d'aspect
Lia
était
gracieuse de visage.
et
:
malade des yeux, Rachel
^iGl'fïtï'ktï
âlhi (DM^i hAh.lf'}* Miphiboseth
«
enveloppé de bandelettes,
A^rt « 'tfLV a tiùf^tt!^ s l»^rh.Art
des pieds.
:
fièvre.
à l'accusatif,
ordinairement après un numéral se construit avec
quinze coudées.
tOC^
s
àO^tt
s
hl
infirme des deux jam-
était
bes.
10.
—
Le nom
qui
marque
dis tance
la
se construit seul
avec l'accusatif ou ayec ^"'rtlï. liih^C
i
î^rTh^P^
à une marche de
s
iPdrit
i
dans
trois jours
àh^
i
iO-tï't'
le désert.
s
#h4»A« Nous
Mi^
»
Hf^'t
a
irons
liîi'W"
a
hrhS^ftf^^^ '^mï irC*P^ a -flhrt. K^-t a J^^-fc 1 i^Tr l^a ^^^^^ Le mont des oliviers est éloigné de Jérusalem, de la a
'
distance d'une
a
marche d'homme qui
est la
marche d'un jour de Sab-
bat.
Gen. 39, 19. Gen. 7, 20.
2. Jos. 6,
3.
Luc
4.
5.
Esth. 5, 14.
6.
Jean 11, 44.
7.
Gen. 29, 17.
8.
IL R. 9, 13.
9.
Ex. 3, 18.
1.
10. Aot. 1, 12.
20.
4, 38.
172
—
II.
Pour
Le nom
i)
n,
le
temps:
qui indique quand
met à
se fera, se tions
circonstantiels.
Compléments
une action se
ou bien se construit avec
Vaccusatif,
faite
les
ou
préposi-
h^.
f^Elhià'i'h/^^i'ihr'iÙlS^' manche, à
trois
soleil), ce fut
le
Ensuite
le
8 de
un
teqemt,
di-
heures passées du soir, à trois pieds de l'ombre (du
commencement de
n^d.i^0(O^i
gad.
fait, s'est
^9Ai-
maladie de notre roi ^Alam Sa-
la s
(DdA.'t^ Sans
il
cesse,
errait
et nuit.
jour
Pour marquer pendant combien de temps une action dure ha-
2)
bituellement, a duré ou durera, on se sert également de Vaccusatif
ou des
//
prépositions fl, ^'^(Vlê^
demeura auprès d'eux,
o^
muel gouverna
mï
les
iïO^h,^ i àhtïàr^h.^
s
Israël,
et
Eve
ses funérailles
ODf^bHjh i
restèrent
Elle demeura trois mois.
dans
avec
1.
An.
4.
I.
la
Hr/iJ&CD* Sa-
jours qu'il vécut,
la tristesse et
Vfl^l*
Vfl^-
g ai
s
s
<"•
hH9° s
g mi-'
une grande douleur pour
pendant cent quatre jours.
L'espace de temps qu'il faut pour faire
3)
struit
les
s
an'in-tii adinifi ai-nîMis -aif^i
(DAi.'pi
Adam
nW-A-
pendant tous
iPAft* s Kco-^lf^
s
h<ȕf
combattant, pendant six mois. i
une chose se con-
préposition fl.
lo. 4, 2.
R. 7, 15.
2.
Marc
5.
Luc
5, 5.
3.
M. N. 82, 21.
1, 56.
6.
Gad. Ad. 91, 23.
Compléments
W^ (OMi-A I
six ans 4) fait
^WA
«
flo'/V'ft
Le nom
se
met
(//
.
t^oD-f'^
dix-huit ans.
a
/a/Zw) quarante-
veux
Il ^idii iirie
jjfie
M^h^^,
femme que
Mi-i
'dhfijt'i ^^wï-Y-^
le
relever.
une chose se
V accusatif, mais plus souvent se
parfois à
construit avec les prépositions hff^,
CDhAlb+s
;^V/*'^'
qui indique depuis combien de temps
faisait,
ai^/7D'}r|«
1
bâtir ce temple et toi, en trois jours, tu
pour
ou se
I
178
circonstantiels.
etc..
démon
le
affligeait depuis
ftî^' fUD^itiHi M^Oif'C't:^
femme dont
le
coulait depuis dou^e
sang
*
ans.
L'âge est exprimé
le plus
employés seuls ou avec
9^'t'
IDhAh.'fî
3
Ï}/L9°^* Alors
(Bh-UCiT'
dou:{e ans.
s
souvent par les mots ^^^Hh ou les prépositions.
cette
enfant se leva
g^/w>-|:
(^^
j
S^îïdi^^ Abraham avait cent ans quand
ï CD J
dix-sept ans 12.
suit
—
et
.
et
lui
marcha,
elle
avait
^-fliAA A-* 1 naquit Isaac. hILA s
f^ao
a}#/D->^4>6 ^^^^ ^^^.^ ^waZor;^^
s
«J/TD-T-
Yî/i
,
«
flos ef
demi
et
Caïn,
demi.
Le complément de
lieu
se
construit
comme
il
:
1
)
Le
lieu
où Von va se met à V accusatif ou bien reste au no-
minatif avec les pr^posi/io/is
n,
fl>•ft'^,
A,
-ifl,
Mt-,
oo^nti,
etc..
1.
Jean 2, 20.
2.
Luc 13,
4.
Marc
5.
Gen. 21, 5.
5, 42.
11.
3.
Mth.
6.
Gad. Ad. 91,24.
9, 20.
174 à^à.
Compléments
"XL
?^^L s KO s ^^Cft
» 'llfl s
en prière i
et
circonstantiels.
*
Samuel demeura quelques jours
de là alla au monastère de Vabbé Macaire.
Je.^^^
ainK-Th
s
s
^.'^
«
HhCJ?A'
Tandis
qu'il
Pour marquer
2) tif
montait à la
ou des
s
où Von
est
on se
1-p-it^
un
pie,
^-h/**
s
roi dont le
Le
3)
terre
demeura dans :
lieu
le
r/i4*A
s
était
/// amit dans
hA,*!!'
s
Vitr
désert quarante jours.
Hfttf"»-
nom
hHù s
d'Egypte.
•^-nX"*
puits
fl'flrfb^
^^9 :
Ai,
pays d'Éthio-
Kaleb.
s
'
s'arrêta à Matakal.
du
Tout ce qui
d'où Von vient se construit avec les prépositions îi
s
partit
de Vaccusa-
hC"!!^»* s
le
r, hr^, hr-hfï, hrvs -w, etc.. lùn îiî^V ^C^ (O^f^éL a^-tïï^' n et
:
prépositions.
vous arrivera dans la //
Juda
01^ C^H^
s
sert ^pssi
M-t^iMi^iÇïftiMrYïO^i a-Hih.ùi Ai*^
s
eut faim»
pille, il
le lieu
Elle alla dans la cité de
Mil ^OCI
entra dans la maison de Zacharie.
et
fl/f/h'Th
i
I»1KV
du jurement,
M^OUCM
i
partit
de Sergi
On^i- i ^fh^i'
'f-'î/^ît: h9^'^(ïi
s
fl^/hî
s
Il
ÙT
'h^'fe^ Partis de la Troade, nous allâmes à Samothrace. L'endroit par où Von passe est indiqué au
4)
positions
lait
vers
•ÏA.A "ï."^
s
:
le
''
Il
moyen des
pré-
Ohtli'^ Ki't, Ki't'''^(\, etc..
puits,
alla
ïi'}^'
s
à travers
le
par Sidon vers
ÇT1-
s
désert
à^ù
la Galilée.
ïf«7^''
// se
s
^l'}'^
M^éH
s
s
rt.M
Ç^-fr
s
AdA ^"îlA s
1.
A. S. 85, 14.
Ex. 3, 16. 7. An.Io. 114, 10. 10. Gen. 24, 62.
2.
Luc
5.
Marc
8.
Gen. 46,
11.
1,
Marc
39. 40. 13.
1,
7,
s
dirigea vers Gi:{a par la route de
gauche.
4.
:
5.
31.
3.
Mth. 21, 18.
6.
M. N. 79, 11.
9. Act. 16, 11. 12. An. lo. 114, 15.
Complément du nom
;
Complément du nom.
II.
Le nom s'annexe son complément, soit au
struit,
sitions.
Il
moyen du
y a aussi,
175
état construit.
relatif
pour
le
au
soit
moyen de
Vétat con-
226
ou bien par l'intermédiaire de prépole
mode
l'état
con-
pronom personnel complément,
de suffixation; nous en avons déjà parlé (142-143).
État construit.
I.
Tout mot
i)
struit, qu'il soit
nom
pris
comme nom,
peut se mettre à
au nominatif ou à l'accusatif, et
le
complément du
peut être, aussi bien un autre nom, qu'un pronom, un
infinitif,
Cette construction e\prime
ou encore toute une proposition.
rapports les plus divers, de dépendance,
attribution,
les
possession,
origine, contenu, matière, etc.. *
l'I'iHH
s
a-idOi ài^fD^'' f^ù
i
l'd^^
tu iras
la terre s
s
llHAh
ït'Dr'^
La
filles
de ce pays.
«^-S*^
:
à^
-Iffl :
9^
ÙCd-t s 0Ai
d'Egypte.
puissance de toute
19?
\}9^^i îihA* Un monceau de
de la campagne.
'dhà.
i
ÙÙ' Un
grains. '-
in-
Î%*PA
rfi*A"^ Un
CDA^P " Le premier de mes
«
1.
Nomb. 33, 38.
2.
Myst
4.
III.
R. 22, 36.
5.
Hén. 9,
7.
Lev. 11, 32.
8.
Sir. 20, 28.
10. Gen. 16, 12.
M
Le poulain de Vânesse.
fl^-hiîa -flrli.C' Les
homme
dans
/*'A^i
soleil.
^'P^ih^'l^
strument en bois.
As
Garde:{ V arbre de me.
Lorsque
f»* Le coucher du chose.
Les commandements du Seigneur,
îi'^fl.K'flrh.C
21,
1.
5.
11. Gôn. 49, 3.
3.
Onuph. 17, 24.
6.
Jean 12, 14. Gen. 34, 1.
9.
226
Complément du nom
176
'\^\hi éX^fli' Les
enfants,
Ùti
i
^\|.^V-
du
IM»
Pharaon
La tournure de
une
s'attendrait à
complément
est
Ul^:
Oh
te.
d*(il
î^inf-^n
5
i
OA^f,^ Le moment du
trouve souvent
là
où on
rapport du nom avec son
le
de genre à espèce. d'Israël.
h.Ç^T/1
flôA-h
du règne des juges
(où naquit Pharaon).
7tfl^^l.A' Le pays
mont Hermon.
s
jours
s
Ùtii'* 'hflïARs dXlF'}* Le
l'état construit se
relation
s
les
^ Qu'il
s
apposition, lorsque
une
(DW Q^^P
princes de Pharaon.
le soleil se lève).
soleil [oà
jour de la naissance de 2)
état construit.
^'"AÇ'}'!"^ C'était dans
s
[où les juges régnaient). lever
;
:
KJ^O^
s
h.C'P'}' Le
Ufl,^' Le grand fleuve Euphra-
«
rt'JH^'
//
entra dans la synagogue
un jour de Sahbat,
Dans
3)
tivement
01^.
;
i
il
les
constructions suivantes, Tadjectif est pris substan-
constitue une sorte de
^XkC Un
dieux étrangers.
T?:ù VII.C s
Un même nom
tournure de
et
h'^Mli'
a
^ÏLC Des ^fsTO-
ouvrier hébreu.
Une
terre étrangère.
peut recevoir plusieurs compléments avec
la
l'état construit.
hJ^fl^ï Ha-A"7 et
pays étranger.
l'O^ïd-fl^'C Un
9^'^ Une eau douce. 4)
nom composé.
3
fl>^Ç;^A.Î^•' Les montagnes de Zahulon
^^Ù^ ^l'A (Doo^tï^'^ Les jours de meurtre de corruption. h^HO hf.VO' (Dhlàlh'^ Les doigts de ses de Nephtali.
«
s
s
s
mains
1.
et
de ses pieds,
Gen. 50, 4.
4. Gen. 40, 20. 7.
Apoc. 9, 14.
^^ihd. « ritOUd i A^l^ (Or^C " s
2,
Ruth
5.
Jérém. 3,
8.
Luc
1, 1.
8.
4, 16.
10. Gen. 35,2.
11. Gen. 39, 14.
13. Myst. 28, 2. 16. Myat. 32,3.
17. Myst. 1,2.
14.
Mth.
4, 13.
3.
Marc 1,32.
6. Sir. 24, 13. 9.
Jug. 19, 12.
12. Lev. 14, 50. 15. Hén. 16, 1.
U
Complém6nt du nom livre des
mystères du
ciel et
de la
;
terre.
Pareillement, le complément d'un
5)
177
état conatruit.
nom
à l'état construit,
même
peut lui-même recevoir un complément avec cette
construc-
tion.
^^did, "Vn-t 'dC/^i' i
I
(astronomique) des lumières du
de
restes
^à-^'t
ciel,
i
livre
de la conversion
à-M
«
seul, celui qui est à côté
commun
deux antécédents,
à
du complément, se met à
l'état
rtAr I Ah « fll-^UA ! (D^P i MrUK'flrh.C I hOry Le sur i
fstiXï
•1J^
l-ïb^
pour un
tre
clémence
toi, la
seul
grâce du Seigneur, notre père.
et la
hO> I Ahrfi^
:
IDA/hlffl
a
con-
•
struit.
(soit)
Les
îi*^tl.?i^
du Seigneur.
Lorsqu'un complément est
6)
un
la vision
A'^Ji* Le
s
I
7iA^h>A^
homme,
1
»
-fÙitL
// est
IhTh
I
1-Tfh'ï
i
salut
f»'\
hU> AV :
meilleur pour toi que tu sois prê-
plutôt que tu sois prêtre
pour
la tribu et le
peuple d'Israël.
Lorsqu'un nom est
7)
déterminé
au
moyen d'un
personnel (182, 4) son complément est précédé de
la
suffixe
particule
A.
A^
Le
iTo^ Atf»-
livre des prophètes, :
s
ai;h1f n
«
?iA^/i.A* Avec
Aa>*M: ÙÔ HnAOI
s
de cet arbre que mangèrent
1.
Hén. 72,
1.
4. Jug. 18. 19. 7.
du temps des
a
Adam
les
Eve
2. Aa.l8. 4, 20. 5. IV.
R.
1, 18.
Myat. 20, 12.
14
s
rhlffl*
gentils et le peuple d'Israël.
M9^ et
9^tïA
rois d'Israël.
»
(Dd^»^n
i
tïHT
U nom
est « se:{en ».
3.
IL Tim. 1, 2.
6. Act.
4,27.
Complément du nom
178
;
IL Pronom
227
Le
relatif se
pronom
relatif.
trouve soit sous sa forme invariable
forme variable.
fixée, soit sous sa
Il
rendues par
construit.
On
particulièrement dans les cas suivants i)
après les
toujours pré-
rencontre cepenles
mêmes que
trouve cette construction
:
Après des noms invariables à
noms à
On
Les nuances de sens sont
l'état
H
s'accorde en genre et en nom-
bre avec son antécédent, en ce dernier cas.
dant ïvi'i* pour H, celles
relatif.
l'état construit,
l'accusatif, afin d'éviter l'obscurité
ou encore
ou l'amphibo-
logie.
M*
^ih.9^
i
à^'ù^ Marie Expose-nous 2) ficatif
'^Cf i ïxii* s 9 dJHd AVi r/ïtUi Hh«ft»1^li1-^
HJ&I>^* Bethléem de Juda,
de Jacob,
la
Après
I
parabole de Vivraie du champ,
les
noms
suivis
d'un suffixe personnel ou d'un quali-
ou d'un complément.
A-Ofr s A?'di}tï de poils de chameau.
i
n^T^/:
Iffl^îi*
s
«
l'^A* Le
ftl^f
s
vêtement de Jean
H/fi^ft
a
A^CO^^
(était)
Ceci
est
mon sang (celui) du nouveau testament. OdAl" dflji Wi* » \tW Dans le grand jour du jugement. Ù0 s flA'> s Mi' i A/h*^ a
»
y
Le chêne du gémissement. 3)
quand
Avec des noms ayant un antécédent commun, ou bien le génitif est l'équivalent
'Iin.f iI;A-i^^'Ï-+»
l.
Mth.
4.
Marc
7.
Gen. 85,
2, 5. 1, 6.
8.
d'un véritable prédicat.
^^«
(Onù^h^^ Che:{moi
sont les
2.
Mth. 27, 56.
3.
Mth. 13, 36.
5.
Mth. 26, 28.
6.
Hén. 10,
8.
Apec. 1, 18.
6.
Complément du nom
clefs
de la mort
wntDCh'
A
et
celles
;
Ch^
de Venfer.
Je pis les trésors du soleil
et ils
hCft-f fti
MX*7lUJt-nrh.C' Vous
s
jfAïO^l
êtes
i
«^U
a
nh9^^\\^ La clémence
M^^^f^
seront tous de Dieu.
sera sur eux
^Hl'di' a O'h^
»
de la lune.
et
fiàt^fo^'. (Df.XïOh'i^i ït-t^ao^i
a
179
prépositions.
nlnCtï-t-il
a
du Christ
et
le
Christ
a
(O
(est)
de Dieu.
III.
Deux
Prépositions.
prépositions sont employées pour construire le complé-
ment du nom. I
h9^ ou hf^ï ou M^O^tï't
)
qui servent à rendre le sens
partitif.
^"h i ïiT'lnMhVi^ i deux a
fait la volonté
A^V'^ UlC^ 8
fi)
I
I?
CD
de son père.
la vie
Vi^K
:
Oi^'Ci'
a
Ù^O) s
dix hommes des anciens de la
Il choisit
A ^wDrf- a Y^^^
unième année de
H7-fl^8 dj*fii hOrîh* Lequel des
,
;hJ2.aï*
de Noé.
'h^
a
a
A^A'
îlî^fl^•A'^
a
h''^
a
cité,
Dans a
^ÎT'Ï
la six-cent-
K/fiÇ'Th'' Quel-
ques-uns des scribes.
A
2)
dont l'usage est à peu près identique,
par Tétat construit, soit à
la
tournure par
le
soit à la
relatif,
tournure
mais dont on
se sert plus spécialement, toutefois, pour les cas d'attribution.
M^t^ àiyoh
s
iO'h'P
i
f.rt.Ç
Joseph ton
a
a
^Uh- i Al^/tC Vous
flïAJ^h
fils est
pipant,
OWO-ïi*
a
il
est roi
M*^ A^'Hh*" Aux trois a
1.
Hén. 41,
4.
Mth. 21, 31. Mth. 9, 3;
7.
5.
10. Ex. 34, 23.
s
êtes le sel
^AKh
a
de la
A-flrfi.^
de la terre d'Egypte.
a
i^^Ail't
époques de Vannée.
2.
Hén.
5.
Ruth
1, 8. 4, 2.
8.
Mth.
5, 13.
I. Cor. 3, 23. Gen. 8, 13. 9. Gen. 45, 26.
8. 6.
terre.
l-Q^' a
228
180
Complément du
Nota. Le
qualificatif; prépositions.
choix d*entre ces trois manières de rendre
plément du nom, à part quelques cas, est dicté par le besoin
de
la clarté
ou de
la précision.
le
le
com-
plus souvent,
Lorsqu'il n'y a pas de
place pour Tamphibologie, on peut partout employer Tétat construit.
^Wfti-
8
Chjtir
des hommes. .
du
sors
les
Dans entendre
a>-/^R
ï
A-Ûh' Je
m
princes des enfants
les
CA^Ïb « ^H*7'fl'^ s 0^Ji « (Dn(DCV
soleil et
Depuis
8
ceux de
la
lune,
Je
h^^PdAi +1'A«
m
les tré-
(DO^h't'
jours de meurtre et de corruption.
le dernier
exemple,
qu'il s'agit
la
tournure par le
de deux époques
différentes
relatif,
laisserait
l'état
construit
;
dans le second, marquerait un trésor commun.
229
Le
IIL
Complément du qualificatif.
qualificatif
s'annexe son complément, soit au
positions^
au moyen de Vétat
soit
conctruit,
soit
moyen de
pré-
encore par
la
tournure accusative.
I.
Ce mode
280
est
Prépositions.
de beaucoup
le
plus fréquent
;
les
prépositions
employées sont en rapport avec le sens.
M^C-bi MilMh'aih.C* L'Egypte sera UÙ » h^Tf * JZ-l-frVJZ. AhCft*A Z**^
^\ï(0*li'l'n^i connue du Seigneur.
C«
Q'ilfl I
'h1)iJ\ildhC^ Celui
1.
Hén. 22,
4.
la.
5.
19, 21.
s
s
est agréable qui sert ainsi le Christ
2. Hén. 41, 5. 5.
Rom.
14, 18.
3.
Hén. 16,
1.
Complément du nom
181
état construit.
;
Ù-dh * îiA i j^-ll^^ » <»•A't;^ i îiA
au Seigneur.
i
h AO^n»-
-VA-fej (Dïtt^oo^i oo^f.9^^1i Çih'lXOxY Les hommes demeuraient dans cette
cité y étaient
M
ont en Notre-Seigneur.
*
sans nombre,
WA,
Qj^A-
i
et tous étaient
(Darid^^
s
,
qui
croyIl fut
puissant par ses paroles et par ses œuvres.
État construit*
II.
On
le
rencontre avec divers adjectifs, mais plus spécialement
dans les annexions, où le qualificatif s'applique à une personne,
pour marquer un
une qualité, soit physique, soit morale. Telles
état,
sont les annexions suivantes
aD(fl* ignt à la colère
4»
,
-fl
gonflé de cœur
;
du regard
;
insolent
Vtir
ÙThO*
I
a
Ci^O
WA
s
d'âme
souillé
A-fl droit de pensée
s
Cih*
;
; 'îf-'ll
*n*f
oo'idJti patient d'esprit ;
i
s
A
Of/i
etc..
S -flK/lL OD^f-T"! «
i
fidèle, noble de race.
R
;
/*'K«fl
:
I
hO*^
Mi* Ih^^d «
hf^htt I hA?!.* a
Xioo?:^ c'était un homme
s
a
W-A-
:
A-fl
:
hCK. hih »
H'il^f'lï* Toi qui as la science de tous
les
cœurs, montre quel de ces deux tu as choisi.
A^m-
a
1->/*'1-
a
01iV «
œf.aM
Pourquoi as-tu renversé son mur de
ChJ^
seur de figues.
sept collines remplies
WiP9% <w>/^^M- 1 a
1.
M. N. 80, 20.
4. Act. 1, 24. 7.
Hén. 32,
1.
»
2.
Luc 24,
s
a
Md^ ^^^^ a
a
CXtfïV
19.
de
M^ Je suis un ramas-
fl>-Kiî
80, 12. N. 189,26,
5. Ps.
8. J,
a
a
Î^A-Ma
:
W
AîiP'}11-
flAA
a
%h^'m.
de serpents.
W-A-
clôture, [pourquoi) tout passant
'f'4»^*^
la route la vendange-t-il )
8
rt'>nAl-' Je a
II était
Am.
a
adorateur des
S. Z. A. 16, 6.
vis
^9^Mh ^P^
1.
7^ 13,
23 1
Complément du nom
182
idoles et sacrificateur
h^
^^M
î
est
^
s
ArV'P'J
accusatif.
tiO^IC s fidXlà^
aux démons impurs.
«"T-nï
s
fhii.'ti'
Les collines bondiront
^l'flh.
i
rassasiés de lait,
agneaux
h»'ïf
s
;
s
difiH
(DhrOÈ-^l^
Ils
MOàO)
s
comme
J^AOï
s
«
des s
f.
rendront compte à celui qui
prêt à juger les vivants et les morts. •
Accusatif.
III.
232
Les
qualificatifs qui reçoivent leur
complément à
l'accusatif,
proviennent principalement des verbes qui ont un double objet direct.
XïJt
:
J&K-fc
s
oiK AH
s
n*r
1*A^ La langue deVhomme, ter, elle est
qui tue.
s
Il
X'O''}
"ï® Leurs
h'^H.h'flrh.C' s
envoya i
les
Instruil
MH
s
i
dans
AQ-ft
hd/P-ti (DCmJi
étaient chargés d'aromates, de
1.
Hén. 51, 4.
P. 4, 5.
2.
I.
5.
IV. R. 19, 2.
s
IP*
'-
:
cilice,
(0^1^
gomme
3. Jac. 3, 8. 6.
domp-
la voie
fums.
4. Act. 18, 25.
H JÎ.+
remplie de venin
elle est
anciens des prêtres revêtus du
M'^lUPa^
chameaux
s
s
qui puisse la
n^est personne
Hhïi^ AA^i hOVTh
YiJïf'ftV' Isaïe.
oiî^Aîil- s J&h-t s /hî^if
méchante, n^a pas de modération,
f^lhCi^Vi"-
Seigneur.
il
s
Gen. 37, 25
et
s
du
-llfl s
che^
A-fl
de par-
183
Sujet. Prédicat.
CHAPITRE
Vl
SUJET— PREDICAT— COPULE — NUMÉRAUX
ÉPITHETE ET APPOSITION I.
Le
d'un verbe peut être un
sujet
'
Beaucoup de
VMD^
1
0.1-
d'idoles dans
diijb
a
souille
J
le
du
soldats
roi périrent et
moururent de
K*^ Ahl- 1 aOIÙ i hh/^^lï quartier de Sérapis.
hJ^CXH^
a
HK'XIA
AA^lK^ Manger
tout
283
'
a
//
/
avait
i"1ldn
sans se laper
cette
a
les
fihre.
un temple
KAOI-A mains,
:
ne
pas V homme,
Prédicat.
II.
Le lois
nom ou un pronom, ou
comme nom.
autre mot employé
"t
Sujet.
prédicat peut être un verbe, un
de concordance
nom ou un
qualificatif.
n'existent, peut-on dire, qu'avec les
signant des personnes
;
avec
les
autres noms, l'accord
Les
234
noms dédemeure
vague.
L I.
—
Verbe.
Sujet singulier unique. L'accord n'est absolu qu'avec les
noms de personnes.
1.
F.
M.
8, 23.
2. J.
N. 222, 12.
3.
Mth. 15, 20.
235
184
Prédicat
Akrosenna
flïAA
s
femme de Simon
la
^Ï-Th
Tr-bi^
s
le
le verbe.
;
Pharisien apporta un coq. ùfi^^Tr
îifl^h.A
i
s
M^
s
/h-Jî^
fils
de David roi d'Israël, construisit un grand
Vi
?i*7n,A^
Un
(Dihd^s œ-ttif^c^i hA-fl^ chien
'htl'}
les suivit,
Vl^
s
J&^C.AT^
Towf animal aime son semblable,
^i
s
1-n.
hll'}
s
MA
1
:
tout
^uï^'JVl*
i
partirent et le
L'oreille discerne la parole,
homme aime «
ffdXl
s
hA/blf «^^
s
sortirent tous deux,
Ils i
l'Ile
édifice.
(Dùh-
serviteur honore son maître.
a
OttS' Salomon
:
son prochain,
h.
Si /'or^i//^ disait, je
^/?^>'
ne suis pas Vœil.
—
2.
Sujet singulier multiple.
sujet le plus
(Dôh
M^
i
rapproché de
V'h
i
s
(Dféjt 5
lui
(DintiM^' Noé
Sem
A-firt'
et
mangeront
r"
i
point.
Cï'e/ ef
(Dib^^P
i
la
'tùil/t'
L'étranger
nh^ dM-t
f^tlV
i
s
eh-f^i^
s
1.
4.
'\^d
«
vêtement.
le
mercenaire n'en
«
AflftA^^
h^^llt^'' Adam 'tli'hC't'
est plus belle
M. D. 63 c. Tob 5. 17.
7. I. Cor. 12, 16. 10. Ex. 12, 45. 13. Sjr. 21, 4.
que
tous deux.
N. 166, 3. Job 12, 11. Gen. 8, 18.
2. J. 5.
8.
11. Marc 13, 31. 14. Sir. 40, 25,
s
s
(Df^Yllh
01^ aihl^î s
fortifient
*^s
une
s
ville,
s
hA mais
P^J&s (OœC^'^
3. Malach. 1, 6. 6. Sir. 13, 15. 9.
Eve
et
l'arrogance dé-
L'insolence, la jactance,
tOC^ s (D-d^C s ^K'JOpravent K\fo^ i 9^ïlC i tP^fA- "" Uor et V argent prudence
et
s
:
le riche.
la
le
Vi^h-
A^^f^ (DT'^C s f 'llAÇ (O^Miï s /^f -IfA terre passeront, mais ma parole ne passera pas. hH s
pleurèrent à cause de leur sortie du jardin. s
le
pluriel.
avec sa femme.
sortit
Japhet prirent
CDlOAui K^Ji-nAds îiî^iU-'" Ç^* Le
Le verbe s'accorde avec
ou se met au
Gen. 9,23.
12. Gad. Ad. 6, 19. 15. J09. 10, I3,
Prédicat
Le
soleil et la lune s'arrêtèrent.
1
Moïse
'
J^C* Le
vec
les
Oh-
1
<^rt,
s
(DhO
"hd
s
:
d.CP
i'<2A^ s rt^Ji : (D9^
furent achevés. Il
Sujet pluriel unique.
n'y a d'accord rigoureux qu'a-
noms se rapportant aux personnes.
Pour
les autres
noms, d'une manière générale, on peut dire que
en
l'idée seule prévaut
nom
185
le verbe.
entrèrent che:{ Pharaon.
ciel et la terre
—
5.
Aaron
et
;
pluriel, se
met au
d'accord et que le verbe, prédicat d'un
fait
singulier
ou au
pluriel, suivant
que
la
pen-
sée de celui qui écrit porte sur l'ensemble ou sur les parties.
CD^f -f
9^^ Des mages de V orient vinrent à Jérusalem.
«•ÇV;^ i rfhhA
i
œœôh hA^lf"} i
Aîlrt^'h'' Elle plaça
'h{\rù
i
.-
flh^
s
:
C^tïi'
«
^Ar^
i
dans son sac de nourriture
{la tète d' Holopherne)
et elles sortirent toutes
deux ensemble comme
elles
tume pour la prière.
M^l^i
h/hH-fl^ Pourquoi
nations se sont-elles réunies
•f"\f:i*
1
1x7x^X1)-
père de Saul, s'égarèrent.
i
Mlti'hi
en avaient la coules
)
A*A ^Ih
s
s
hi^V*
^/Ç*h.
s
i
M\h^^ Les ïlA^bi:
s
ânes de Cis,
O^'tïtl^
s
"h
(oMn-i f'YlC^i O^-ntî^i n?iRïlftf«^!... ai ih'^at^ o^-nn^ : ^/^h^ /^'po-i a-ne-ài Aoj-a.' void
9^'lf\9^i.,. i
que deux lions vinrent du désert, leurs pattes, puis
CDhÇ^ft
s
ils
ils
commencèrent à creuser avec
allèrent prendre le corps
HM1- lonh :
s
du bienheureux Paul.
«^ïihAs In^Klfa^^ Des chevaux
de feu vinrent entre eux deux.
A0+
a
hSf^ft
»
I
^WA.I^'
Josué
vieillit et ses
2.
Myst. 3, 3.
3.
Mth.
4. Jnd. 13, 10.
5.
Ps. 2,
6.
I.
7, S. P. T. 15, 16.
8.
IV. R. 2, 11.
1.
Ex. 5,
1.
1.
2, 1.
R. 9,3.
9. Jos.
23,
1.
jours
186
Prédicat
A;Hl+^A Î^JtC
(sa pie) s'écoulèrent.
C
Ç^^
s
(une végétation) qui
f^^nOl a
:
Hîiî^fl^-ft't*
s
W-/^
8
HCK** Qu5
:
fructifient et
K/hHfl
I
Off:^\
:
dit
à Pharaon
les
a-
^dH. s
i
:
ce
ti^.1^^
chars
(le train) et les
'flAh
A'if^'
Les deux s'ouvrirent.
pandent en
pluie.
volent
comme
K"^
(Oti'ty
«
les
i
©J&l'fl
la terre produise des arbres
monde).
h'^ s
fl>lni «
«
«
ttS^é^â
En
JZ^H»/!" « f'^il»
Ji-^ftl
les
seront bé^
toi
1ii.CKV\r^ Moïse
I
grenouilles).
^Ùf^lr-f^o^
tiéLCP
s
s
y>
les
grenouil-
OCl
Orif
s
écritures
te
'hf^^^'"*
mentionnent avant
Les deux se réjouiront.
ft'^Ç'h s
i^tiCù-
s
^A^rhH* i
A^Vl*
s
s
le
-tC^tD
IT'ftA»
T**
s
cavaliers (la cavalerie) montèrent avec lui
'^K/hÇl'^ Les
^i^'hi
i
flïi'ï'fcKh^
campement fut extrêmement nombreux, i
60(D
indique-moi quand je prierai pour que
©K^^ft
s
(le
fléau produit par
périssent (le i
KîlA.
s
s
fassent des fruits d'après leur espèce.
i^JtC i
nies toutes les nations de la terre It
le verbe.
;
Les leur
et
^ti9^
a
monde,
^ f»
Ù^lf^'
i
rtl'^i'* Les nuées se ré-
h^
s
Kd'PÇ»
Les nw^es
oiseaux.
0'ifï^^
Il
plaça ces branches dans
les
canaux de
l'a-
breuvoir de Veau, afin que, lorsque ces brebis viendraient pour boire, ces branches fussent devant elles; car lorsque ces brebis venaient, elles
buvaient et concevaient devant ces branches.
Gen.
1, 11.
2.
Gen. 12, 3.
4. Gen. 50, 9.
5.
Myst. 3, Prov. 3,
1.
7.
Hez 1,1.
10. Gen. 30, 38. 39.
8.
1.
2.
Et
3.
lorsqu'elles vinrent,
Ex. 8,
6. Is.
5.
49, 13.
9. Sir.
43, 14.
Prédicat
;
187
le verbe.
burent et elles conçurent.
elles
Les membres du corps étant souvent tation
du sens auquel
ils
comme une
pris
sont affectés,
ils
représen-
ont alors souvent en ce
cas leur verbe prédicat au singulier.
hàf/i±lhi Mittà*h.^i tiff^SÙ
s'étaient appesantis,
force) se fortifient, Celle-ci parlait
s
J&K'fc
en son cœur
i
h-fl^* Les /eux
(la
h^Vln^'^^ Que
vos mains (votre
^-V-fl-fl
s
fl
pue) d'Israël
Afl - (D-f-diO^h
et ses lèvres (sa
ïxfJ&\XiK'^Ml^i(Dhnâ\ïXiK'^H^^'h'
ment.
W^ôT
i
bouche) étaient en
mouve-
Tes mains
n'ont pas été liées, tes piedt n'ont pas été chargés de fers.
—
4.
Le verbe s'accorde avec
Sujet pluriel multiple.
semble ou bien prend
le
genre du
sujet le plus
^^hi ^*ni:i>s mR**'}' Aj&'>n^
rent.
s
Mtï-bfïio^
s
rapproché de
Ses servantes
CDft**htf»-
leurs fils vin-
et
(DMMÏIf^
s
ahtli*: fffca i^j^C® Que vos femmes, vos enfants demeurent en
rfiH'>5 ^rt-flrh-: les
—
5.
Aft^s
les vieillards
vierges,
gneur.
(DMt^\
cette terre.
?i'7H,>i'nrh.C' les
et
les
Que
adolescents louent
Sujet singulier et pluriel.
Le verbe
se
:
et votre bétail
CDAÇ*7A s HJ'^^X
s
l'enlui.
s
(Doo
jeunes gens et
nom du
le
met
Sei-
tantôt au sin-
gulier et tantôt au pluriel.
^'-llT^A et
5
fl>-hiï
s
-J-hi^
:
(Dïià
s
^-^^^
ceux qui habitaient en ce pays périrent,
tÙMV roi de
1.
a
flï?iA
Tyr,
le
a
^^h*
Chananéen
Gen. 48, 10. R. 3, 34.
2.
Ps. 148, 12. 13.
8.
4. IL 7.
5.
a
Xt'iiï
s
a>-A'fr;h»
«
t'hi*'
hr'^Thà^h a h^-H
et
II.
ceux qui vinrent après
R. 2,
7.
Gen. 33, 6. J. N. 157, 22.
3.
l.
a
s
Ce
roi
iïUCtï
a
l-d^' Phénix, lui,
R.
1,
firent ainsi.
13.
6. Jos. 1, 14.
9. J. N. 153, 5.
188
Prédicat
Moïse
nW
et les
(Dll^
i
l^riA.lh^ Simon
i
du Seigneur.
célébrèrent la louange
enfants d'Israël
tï9^PTr
s
verbe.
le
;
ceux (qui
et
R, avec
étaient)
lui le suivirent,
—
6.
au
Nom
HChhs hU7-^s eC^ Ta
pays des ennemis.
h'^O-
Ainsi périssent tous
A-flK
lilC
a
AJ&^-UT-A-
1
hÇrnV- a flï^R a
s
de la
ÇÇ'lh® La
iîa J^i"}
démon
s
qfui
était a
-lin
a
i
Afl
s
i0f
a
!
M*K
se hâtèrent
ils
/hlf-fl
a
0Ch M^O*
s
RAJ^V
a
h^
a
JÎ^^-^fll/Ç-
rif^
a
de descendre vers
a
A'dh
du verbe avec porte, etc..
le
Le
le plus
pronom
-î-'îft^
a
h*?^
a
a
a
1iP>l
a
dit : fit
Ahn-U- a
C'est
on
indéfini
ce il
n'est
a
la
1.
Ex. ]5,
1.
la
AO^Ji ce
)
comme dans
a
^d.^^ a
personne de ta parenté, qui
Jug. 5, 31. 7. Marc », 25.
a
a
troisième personne du plu-
on rencontre
;
r'i't
signe à son père et on lui dit
4.
por-
fl>-Ai-
ordinairement à notre construction
singulier est rare
flIJS.n.AîP
les
/es
menaça
:
on
dit,
:
«
ait
un
a
J&A^Ji?'^ pareil
nom
ai4>K'fl
On y),
et
lui
on
comment veux-tu qu'on Vappel-
2.
Marc
36.
3.
Gen. 22, 17.
5.
Jud. 13, 12.
6.
Mth. 21,
9.
Luc
1,
on rap-
aussi le passif.
j&n.A^ahAHaïiirK'M'^JtlV.a Hh*^U-a A^»9"
«
fl^lA-fcli-^ Pottr-
ses chars, tardent-ils
Sujet indéterminé.
qui correspond
Mit ^A
lilC' Lorsgi^^
a
hAnA.lf^^
a
i
nombreuse étendait ses vêlements sur
pieds [des chevaux) de
—
postérité possédera les
W-A-fl»^
ÎIÏ1-J&' Jésus voyant que la foule accourait
impur.
les
j.
riel
/bw/e
Che- a hSihll
route.
quoi
H^nifl
ville.
s
ennemis, ô Seigneur
tes
habitants entendirent sa voix, tes
est le plus ordinairement
pluriel.
fA-^ùtï-i
h!^
Le verbe
collectif sujet.
8. Jug. 5, 28.
1,
8.
61. 62.
Prédicat
le)
hCl\f^Piï\W^in9^h\£^'^'\ri
y»
9^
I
toi
de
dflje.
ïrti I (Dùh
I
salut, le
I
flî^AC
a
Egypte, on adorait
a
a
rir les
les
toi,
montra
lui
tu^hO^^ïl
AA
a
ny aura plus
Il
fi'hfïCtl'
pour
on V enchaînera.
(1
A^/*!-^ En
ce temps, en
Xioo
i
a
-HlUA a <«.a>-A
a
^P^' On
idoles.
tombé sur
est
Ifl.^
savants athéniens furent
i
Sf/\r^'i^
les idoles.
1 1 OhM^ao* I +ft<^ les
AdA.h
grand jugement
H^'>
je-ïi-fc I
aux
qui serinaient de temple
des forêts,
189
lo yerbe.
;
I
,
ai^iji-i
On
fiti'Hïx'^
Ji-tÇl»-^
rapporte que
premiers qui pratiquèrent Vart de gué-
hommes.
—
8.
Verbes impersonnels,
i
)
On
sième personne masculin singulier avec
se sert toujours de
les
la troi-
verbes impersonnels par
nature.
An I
^Af AAA a
hîT-iV
a
f^fS^b
crainte s'éloigna d'elle.
1^^
//
résonnera
On
(OTM-
comme un grand
nom avec a
hW
1*' L^ soir venu, on
se
a
-flîiA.
/îf soir,
2)
a
\i^ a
il
Dans
les
Ofl./?.
0%
a
mêmes
soir vint, a
AH a
hrX-K.
a
-^n.l^
a
-aït^li
a
îiA
a
a
a
un homme
riche d'Arimathie,
F.
7.
M.
7, 28.
N. 162,
Mth.
1.
8, 16.
>%;»'>'>
''"Af'
P-A.Ç«
a
Lorsga'i/
du nom de Joseph.
verbes transitifs ou intransitifs employés imperson-
;
on trouve
ou adjective pour certains verbes comme
1.
a
amena beaucoup de démoniaques.
lui
personne masculin singulier
4. J.
JZ-H"}
l'accusatif d'état.
nellement, accompagnés d'une complétive, on se sert de
me
la
verbes, ou bien on
nAA hf^hC^^flt HA<^
a
vint
a
le
Lorsque
tonnerre, lorsquHl pleut.
trouve aussi le gérondif avec ces
tourne par le
<^X-K
q:CO^^
I
2.
Hén. 13, 1. A. 16, 10.
5. Z.
8.
Mth. 27, 57.
:
la troisiè-
aussi la
forme participe
CPô
est
il
convenable ;
N. 159, 15.
3.
J.
6.
Sir. 40, 13.
190
nom
Prédicat;
<wȂ^ia*
//
et qualificatif.
est nécessaire ; I*»ÇJ&
bon
est
il
;
^(Djti H
est
permis
;
etc.. j)
La particule
fl
construite avec les suffixes personnels (147,1.)
équivaut parfois à Timpersonnel adaptation de sens,
il
ce dernier cas,
un
Hn<^
a
il
Tflfl
I
'
signifie
Ceux
On
qui ont la sagesse.
apait
deux
la paille et
du
H* h Alî. a
hA-flf^ La
s
force
troupe che\
foin.
relatif ïf .
K-flV
s
f(^y|iiD«
fAhiy^ Est-ce
s
Ti'V»*^ Est-ce
I
qu'il lui
que vous
ave:{
donnera une pierre
un frère
Sa forme négative se construit avec isolément
le
;
précédé de
AOCh d^4» !
particule
fidèle n'a
A^^**
«ï^-ft-f
s
la
0^
)
s
ï
particule
Î%A
inusitée
qui désigne celui qui possède est souvent alors
9^1[x^lr
!
i
mot
la
ùr'f Uami
X'J^4»
«
,
nV-
n
en
rencontre souvent cette particule dans l'interrogation seule
ou suivie du
s
Par
etc..
à l'accusatif.
'HTtifL
'llJ&A
fils.
toi,
trouver, et alors
posséder,
met
à
0*8 'liMs^à^i (OMltiV On
pas en moi.
nous ^e
apoir,
à moi,
est
il
objet direct qui se
-h: ft4»^ Un homme n'est
:
s
A.
K AO
*
i-Oi-Am
s
fliA/^V-
«
KAH ^f^ :
pas de prix, sa bonté n'a pas de poids.
Sa
terre n'avait
YxiAfc^^ On
pas de profondeur,
KA
h AH
s
ne trouve pas la justice dans leur
bouche.
II.
286
Lorsque
le
et
prédicat est un
1.
Hén.
4.
Gen. 24, 25.
5, 8.
7. Sir. 6, 15.
Nom
qualificatif.
nom ou un
2.
Luc 15,
5.
Mth. 7, 9. Mth. 13, 5.
8.
11.
qualificatif (186),
celui-
3. Ps. 6.
69,2. Gen. 43, 7.
9. Pa. 5, 10. (Lud).
Prédicat
ci s'unit
au sujet,
aucune différence dans
très
;
la
On
Dans
personnes
OUI
la
i
juxtaposition, aussi bien
«
P'M
^f^eoPt' Un ami
a
Kt^ïn 1-M.1- s
oo^C iiYl%(D
1
s
Kflf«^
est a
n-IfO
îi'^H.h'flrh.C
a
Oirt^h est
i
^Cl'^
t«
1
^'"Aîihl'*
I
leur bouche,
noms des
saints
Iff^i^^^'iiïit^'i'P^ Tous <»^
.
gg ^iw>^- ,
O^fèjt"^ Noé
Cham « qui
et
A
«
r ^t*
avait cinq cents ans,
Japhet.
[es-)
cdidA
f>Mr
a
M^
deux a
s
est
devant
et
Mkà » anges
1. Sir. 6,
16.
étaient justes.
7. Gen. 5, 82.
le
sang,
i
*^^ ]f)Ah>
(OW à i
d,^ , whr' a
trois fils qui sont
il
engendra
a
^)h a Mi"^ Adam
2. Sir. 10, 7.
3. Roiû. 3, 15.
Hén. 20,' 1. 8. Gad. Ad. 56, 26.
6.
5.
rem-
camp du Sei-
tu)y>
4. Gen. 32, 3.
est)
qui veillent.
na^ïi-f-oo-
Luc
les
Mii
f'i'llh
,
i
a
HA.'ï
{elle
le
re-
toa-^il
:
pour répandre
Ceci
JZ-X-fci H-fc*
a^h-P 1 hA^-fclf <^ Voici les
a
un
est
fidèle
V orgueil devant Dieu
Rîr*3 Mauvaise
't'ifAli îi*7fUK'flrh.C
Tl'}*
demeure vague avec
elle
leurs pieds plie de malédictions, rapides {sont)
gneur,
que
*
tx^^^hi^Oh^ Odieux
hommes, Ifao*
la
concordance est rigoureuse,
Ttypo-^
mèdedevie.
,
que souligner un
moyen de la copule, le nom ou qualificatif mêmes règles que le verbe. Avec les noms de
noms.
les autres
i
plus souvent pour
fait
remploie
souvent aussi, elle ne
n'introduit
le
coordination au
prédicat suivent les
"MA
La copule
l'idée d'attribution.
rapport évident d'attribution.
dans
par Tintermé-
soit
n'y a entre ces deux manières d'union
Il
aucune nuance de sens nouvelle. favoriser la clarté
191
et qualificatif.
soit par simple juxtaposition,
d'une copule (2^7).
diaire
nom
;
1, 6.
lui
Sem, dit :
La
192
III.
287
—
I.
copule.
Copule.
Le pronom personnel
s'emploie partout
comme
de
isolé
la
troisième personne
copule et s'accorde tantôt avec
le sujet,
tantôt avec le prédicat, suivant les particularités indiquées pour les
On
noms de genre commun.
peut noter à son sujet les remarques
suivantes. I
Le pronom personnel copule se place
)
soit avant,
soit après
se place après le prédicat, lorsque celui-ci est
un déter-
le prédicat, jamais Il
2)
du
minatif
sujet
il
;
en tête de
la
proposition.
se place avant, lorsqu'il n'est qu'un simple ex-
plicatif.
Placé après
j)
^X-h. 5 Tfaht^Tf étaient)
s'accorde avec le sujet
il
prédicat,
;
placé
s'accorde avec le prédicat.
il
avant,
le
i
-lin
«
hf^Tf^'
Adam
et
Eue,
i
qui sont
V ancien
et le
i
i
allèrent
Ils
s
-nA-je.
nouveau
(
Mr
s
(Odi/?
à V endroit de
dormaient.
et ceux-ci
na^h-f^a^
^H^fi-t
^hi
s
ft'flC
Oï^^A^
Testament),
la
't9^0d //
(D(0-h^ao*
i
I
montagne {où
'^HrhÇ'h
s
1
apprit les livres saints
M^^*^
O^ltiP
«
s
41
CVh A9Aî^' Vous êtes la lumière du monde. K/V- i^AA* htî h A a i^'AA ^*PdA h^'Jiï^ Ces trois grappes sont trois jours. ^A^^^ih hfà.^ nh^hr-hïi A-flh hr-Mi hrin. s
s
s
fi
i
K'flrhiC mais
1.
de
fi
s
fi
fi
fi
M
fi
fi
(D*t\!^^ Les cantiques de Yared ne sont pas des
Dieu.
h^TI
Gad. Ad. 46, 22.
4. Gen. 40, 12.
i
l»-h*
«
2.
An.
5.
A. Y. 7, 2.
hft^-fclf
lo. 3, 16.
3.
tf«»-
fi
Mth.
hommes y
Aft*+
5, 14.
s
La
ïitkà^K^
s
"hii
nK« i
a
'(iih»d
«
a
\t^
dans Vobscurité
—
a
rt'Vfl'îi
Iff-A-^^
)
Tous
l1«}%'flrfi>C^ 2.
?|A
i
les
Lorsque
i
s
sont
le sujet est
les
noms des en-
d'Egypte. 1^'Th
s
O^M?
C/uVl-^ Qw^/s sont ceux que
Ù'Hïi
hommes
Tels sont
*7'fl>Ç'*
fants d'Israël qui entrèrent dans la terre 7i<ï»-'}'|:
193
copnle.
à^H
:
un personnel la
copule.
hy Moi aussi, je suis grand. M^^^ KM M'I-f^^ Vous êtes sans esprit. Mi ^d hV Je suis
Mï. hÛ-C I
*
liU r"i^
bon.
h'^
on peut répéter
isolé,
i
i
i
égaux devant Dieu,
simplement ce pronom pour représenter
ahf}
je vois
?i<^-^* » H'^n
-
i
i
tLh'dih.C' Je
i
suis
TràxV Que sommes-nous le
h'J'h
Seigneur.
a
MiiO-M^ih^
)
fl»-K*
"i^fl»*'
=
Tues
Ésaii.
—
}.
ment
le
verbe
être
M
dont
ne remplacent jamais exacte-
et t)ii(D
le rôle
unique est de
impliquent toujours une idée
Ils
jet.
Les verbes
exister, se trouver, durer, etc..
lier le
M
prédicat au su-
Vii(0
signifie
devenir, survenir,
exister,
d'existence
;
etc..
Les
suffixes ils
après UiiiDy est nécessaire,
il
personnels après
Wt
ont toujours le sens du datif
donnent à ce dernier importe,
il
la signification
Wl
convient.
à
la
convient, 4.
ùrt
1.
a
/bA-X
M.
noter l'expression lt(0*h:p a
A<^
6, 32.
Ex. 16,
:
il
est
permis,
il
;
il
faut,
du
suffit,
faut.
A
Gen. 46, 8.
4. F. 7.
—
il
il
troisième personne
singulier rend souvent aussi les impersonnels il
de:
7.
a
M^tl
a
s
IKO-h'^
-AVLA s
c'est-à-dire,
-flVLA
a
hlTAlflf
A. 12, 24.
2.
Hén. 52, 3.
3. P.
5.
Mth. 15, 16.
6.
Mth. 20, 15.
9.
Gen. 27, 21,
8. Ps.
81, 10.
t'
^ *
194
•
Epithète et apposition.
Kî^Aïlf iAî^'>1-| -VAU* dire
Mon
:
même
-tlVlA^
s
i
lamma
se rencontre seul,
//
Vappela A})ene\er,
c'est
sahaqtani,
Dieu, pourquoi m' as-tu délaissé
'flXA
signification,
Mtt dX:h.^ du
Mon
Dieu,
Eli,
Eli,
Avec
)
rt^^^^?
s
cette
KQ>2lll»C
à dire,
(c'est)
à
la
s
pierre
secours.
IV, Epithète et Apposition.
288
—
Epithète.
comme
se comporte
cat
;
les
noms de choses ou
il
gles, tous les
lUKO"
«
tique de
Le
i)
pronoms
qualificatif suit les règles
ce dernier avec
les collectifs. et adjectifs
les
du prédi-
noms de personnes,
mêmes
Suivent aussi ces
rè-
pronominaux.
tif&^^ \ene\ de vos villes éloignées pour entendre le canYared. ^t^VC^^fi i h^i^ « Ki±ïx^ « ïx^ Ki-th s
V*i Mé^iOX'^
Ma
doctrine n'est pas de moi, mais celle de celui qui
n^'h
m'a envoyé,
doctrine nouvelle
)
If}* I^UlII- ih^tï' Quelle est cette OCÏli di^tti (Of/i A\\h^ Ami nouveau, i
s
1
i
vin nouveau.
f «
Cdin au cœur
dur, brutal
en frappa son frère.
H^hf'^
M\'\*V*'^
une grosse pierre
et
héfl* hrhH'fl* 'flH*^^* Étant breuses foules vinrent de nouveau.
hn
s
'flt!*1f
s
txîM'û^ Tu
1.
Mth. 27, 46. 47.
2.
1.
Jean
5.
7.
Gad. Ad. 89, 4.
Marc Marc
7, 16.
8.
R.
meurtrier, prit
M*
od^y^ j
s
entrés dans une maison, de
^Ù'^^i h'fïM9^
t'appelleras
4.
et s
7, 12. 1,
27.
3, 20.
i
"htï^*
Abraham, parce que
3. A.
Y. 4, 22.
6. Sir. 9, 10. 9.
Gen. 17,
5.
nom-
(tu se-
195
EpLthète et apposition.
ras) le père
Josa^ prit une grande pierre
Ù-iHhP
Seigneur.
et la
l/**!-
pour
OiliMidi^ domination
la
Le
2)
plaça sous
àhinji'Ûfh^C
i
Seigneur d'une nouvelle louange. a
Vi^K » À^f frft « Mti s OttS «
de nombreuses nations.
a
OfUPÏ'
le
ft•flrh'^
»
th^Ù'
:
MClrP AHChh
i
i
'
//
du
téréhinthe en face
Loue^
d^^^
le
AV
a
^/aMira ta race dans la justice,
une grande gloire.
et
se rapportant à
qualificatif
un nom
à l'état construit,
reste à l'état simple.
Vu-
/h-Wn
:
ï
hft^/bAs On/Z-a
ft*4».a
peuple des enfants d'Israël, grand
*7H,h'flrh.C
et
nombreux.
Hf-^hn AdA>V^ La
Dfl,J&
Voici
odq.^
a
.
le
^
grande colère du Seigneur qui
a
s
fll-flth'V'
s^est levée contre nous.
Lorsque
3)
se rapporte à un
le qualificatif
est
accompagné d'un
soit sujet soit objet,
il
concordance avec
pronom antécédent
le
l^AVl-f rhdth' a
Il était
né aveugle.
chaussure.
OKMï^^ ble.
— 4)
A'ÏT-/^
a
d^Ci à^^ïli HYiidii^
roi vivant.
f^'lbf'Ùh
Il est
^hn
a
^dh
meilleur pour a
(voir
A*^^A*^l^
a
toi a
àxfP^
tu entres
dif'P^^
Ils
Ils
a
dans
a
diihtïïï
se trouve parfois traité au pluriel,
2. Is. 42, 10.
3.
Hén. 65, 12.
5.
IV. R. 22, 13.
6.
Ruth
8.
Josoé 8, 23.
9.
Is.
Mth. 18,
8.
11. Mth. 8, 13.
(Dû
1,
21.
20, 2.
un
comme un
1,9.
10.
sans
servant à former
24, 26.
1.
a
trouva son serviteur guéri.
1. J08.
Jean 9,
et
la vie boiteux et fai-
4. Ex. 7.
ÙOK^'
s'emparèrent du
Va-t-en nu
à\f>(D^
a
Le nom complément d'un autre nom
nom composé (m),
-tOi^fL
h^M^
O^tlt que
a
personnel en
Gérondif 217).
Je suis sortie comblée.
h'hliP
pronom personnel
suffixe
196
Epithète et apposition.
met au même nombre que son antécé-
véritable qualificatif et se
Dans
dent.
lnCtl±y^^' Oh^'i
Les
rhft'B:
^fU^^lh^
Des faux
:
messie.
iM
est epithète, tous
deux
^fu^x' Un faux
th^tV « VlUj^^ Un faux
On
prophètes.
l'anomalie suivante
«
messies.
Lorsque l'un des mots du nom composé se mettent au pluriel
hH^-t
maison des chrétiens, {V église).
églises.
^fl^rV Des faux
qu'au singulier
le pluriel.
prend
d-t i InCil'bn' La
s
même
d'autres cas, le rapport reste le
et l'antécédent seul
Hït^lf
s
rhÔfl>*^7
prophète.
s
trouve cependant pour ce dernier
#hfta>*^i
s
VfU?1*
^^h^'
s
Beau-
coup de faux prophètes sont venus.
239
—
Apposition.
i)Un nom
mis en apposition, s'accorde
avec son antécédent.
^•^li^C'^
^Ôà le
«^-rt.
a
s
e-Vft
d^
ïfl^^ Le prodige de Jonas, prophète, i^^r^X ! l-n^ s hinJi'dili.C' Au temps de Moïse
:
s
législateur, serviteur de
Dieu,
f W-fl
de donner sa vie rédemption pour tous. /w>^5P«4»ii
(OtiF-
F
«
s
7/s
AA.M
hAf-^Al»
tait celui
2)
A
s
Act. 8, 1. I.
7.
I.
ce î7
en
la
Jean 2, 18. Jean 4, 1.
Mth. 20, 28.
13. Gad. Ad. 168, 20.
le
s
J2.n»A'
n.H s
est (qui disent)
s
'm\*'^V^ Afin
OhA
a
?'diiM
Jean
le
baptiseur ».
engendra Sidon, son premier
rt^lA^^ Lors^jM^ Aor,
côté de
1.
:
s [llrf-4-^^ 7/
qu'on appelait
4.
10.
répondirent
Wfi
s
roi des rois,
tournure par
il
construit indiquée plus
Jean 2, 18.
3.
I.
Jérém. 6, 13.
6.
Mth.
8.
Luc
9. J.
11. Mth. 16, 14.
«
prépara ses chars.
5.
11, 29.
P(\
rof ^^ Perse, apprit ce qu'é-
l'état
2. Act. 8, 3.
né.
s
7, 15.
N. 158,
1.
12. Gen. 10, 15.
197
Numéraux.
haut (226. 2) avec les
noms
mile, fleuve,
montagne, pays, etc.. on
a aussi parfois la construction par apposition
;
mais alors en ce cas,
ce sont ces noms qui sont mis en apposition.
AX'^a
^h-nVi-: Çio^M-i
ùF^r^ 01Cii9,!i:^y
Si je
trouve cinquante justes dans Sodome. 3)
Lorsqu'un nom complément est déterminé au moyen du
annexé à son antécédent (182,
suffixe personnel
en apposition à ce
d.dO
i
hinj^'iïih.C' Le commencement,
du Seigneur.
de la sagesse
est la crainie
Ùh h9^^ a
îi*7ll,îi'flrh.C^
:
A,
suffixe, reçoit la particule directive
ATiMs
^^'T.ya
ce nom mis
5),
^^"V/
î
ti^ùH/lr
J
^(O
Le commencement de V orgueil éloigne
de Dieu.
V. Numéraux.
Cardinaux.
—
OffiCW'i'i h0*à*'\* dant
1*
ans
trois
et
2)
Le nom
Judith demeura veuve dans sa maison^ pen-
Ch^
quatre mois.
HhJ^^^
s
suivent les règles des qualificatifs.
Ils
i)
Ces cinq princes
s
TiAlfli:
i
-Ttî^ft*
s
ooil^l
Philistins en furent témoins.
qui accompagne le cardinal, se met tantôt au sin-
gulier et tantôt
au pluriel
;
le
singulier paraît toutefois plus fré-
quent.
^'^ Ohlâlh I a
a>-ft'fr;h
I
bout, pendant quarante-cinq ans.
1.
Gen. 18, 27.
4. Jud. 8, 4. 7.
M. D. 63
c.
9 m ë ^/wi-f^6 (DU'ÛP
a
ji
^
'«'fl4«C^
demeura de-
On
lui
2. Ps.
3. Sir. 10, 12.
5.
6. S. P.
l.
111, 10. R. 6, 16.
46,
3.
donna
240
198
Numéraux.
trente
Mtt^
d* argent.
pièces
i
'^9^ A
ô maître, tu m'as donné cinq talents.
'^*l*7f
Si je trouve cinquante justes,
''"f"^
"MU
-hrt^'/t"
s
Îrf-A-
h^^
:
déments sont renfermés toute
Tthrt
s
Ah<^ «
^h-flVb
s
hAKi*
tï^'f? i
pendant sept autres années.
// le servit «
AKO-V « ^K^'^
s
V HJ^J^V^
s
tï'UOi'
s
s
9
«
s
(D^dS^' Dans
//
(DO'dllV
'-
flM^* h Ah. ^ ces
deux comman-
dJlO^
la loi et les prophètes.
«^h/bA"
3
^hM
i
trois
envoya
C 0^
*
i
poissons rôtis
à notre père Basalota Mikà'el.
Ordinaux.
241
{i6i) suivent
tiiMlhs
animaux me
VÙr^C^h fit
2}
festin
s
9^fïfh
pour
Pour
Les ordinaux de
i)
syntaxe des
la
Wi 'tCtif'^
troisième des
un
—
les
:
première dizaine
le
troisième sceau, le
qualificatifs.
Lorsqu'il eut ouvert dit
la
:
avoisn.
K''"
'
^•fldl*
s
Ùti't
il'ûd
«
A^%•7'flC'fcl^' Le quatrième jour, Holopherne
ses serviteurs.
ordinaux des dizaines supérieures à dix,
comme
dans les autres langues sémitiques, on se sert des cardinaux soit
employés au
n**
seuls, soit
précédés du
relatif
H. Les formes indiquées
purement schématiques, on ne
162, sont des formes
les
relève
pas chez les auteurs.
En
souvenir de
vous,
me
V exode, que
la
cinquantième année
soit
{ainsi)
pour
^^tl^ iif»h± 'i^^ n T Sanctifie:^ cette cinquantièTir « f-rt.Ç Hî^h^- (DOiPCrti i 'i^^'' Joseph i
s
s
année.
*
:
1.
Mth. 25, 20.
2.
4.
Mth. 22, 40.
5. B.
7. Jud. 12, 10.
10. Gen. 50, 26.
Gen. 18, 26.
M. 31, 30.
8. Lév.
25, 11.
3.
Gen. 29, 30. 5.
6.
Apoc. 6,
9.
Lév. 25, 10.
Numéraux.
mourut dans
(sa) cent
dixième année.
La forme 4*iîA employée pour
j)
aussi pour les quantièmes
IMi
journée, au milieu de
:{ième
L^ quinzième jour de
fl^ftrtl^ Après le huitième
On
Vft
a-/-i7
s
vn^
ne
lorsqu'il
)
àtii*
s
àMr ils
iD'\
1
étaient de
tandis que ses disciples s
quator-
Oi*»-4-
des azymes du Seigneur.
la fêle
iiO^l
i
s
(Dfi^P
i
i
tiMl
«
conduisirent l'enfant pour
de quantième.
s'agit pas
pas six jours pendant lesquels vous faites votre travail 8
ahti-t
'i^ 8 ùO-ô
nuits,
hC-fl^
8
(D}xO^
huitième jour,
s
hCi*»
iiA*^ Jonas demeura dans
C
semaine sert
rencontre encore cette forme 4''|ïA employée avec le mot
même
iVy
la
le circoncît.
qu'on
jour
(est
jour,
hf^
ft'^'HCp* le
s
de
^'iéL^i ÙAjt' La
la nuit.
ce mois
nouveau à Vintérieur.
les jours
du mois.
h^iOi^CiiO/ia'ùi
Xiao
199
8
ÔM'
:
8
8
le
d'ïfl^
:
o-A-rt
8
ôA-t
ventre du monstre,
^*PM
œh'^Kïi
8
CD^C-fl^
8
A-A.'h
'
s
:
cdipA-A
trois jours
IfV^
^TrilC
«
IDAI-V
rh«n* Qi/^ notre 4)
rheure
fille
8
da>-^
a
8
A,
et trois
A^A rj^
8
8
£^acor^ s^p/ /owrs et je ferai
descendre la pluie sur la terre, pendant quarante jours nuits.
?*
)
^WA
s
Î^AA.>
s
demeure dix jours avec nous, puis
et
quarante
Wh'/^ll
s
1-
qu'elle parte.
C'est du cardinal dont on se sert habituellement pour noter ; l'ordinal
est très rare.
1.
Act. 27, 27.
2.
Lév. 23, 6.
3.
Jean 20, 26.
4.
Luc
59.
5.
Luc 13,
6.
Mth. 12, 40.
7.
Gen.
7, 4.
8.
Gen. 24, 55.
1,
14.
200
h^s
Négation.
0/^4.1 CDhrhi:
ai'l.H.«
de nouveau à
5or//
neuvième
la
à la onzième heure étant
et
et
sorti,
il
*
flJl^s
s
hAW^
à la dixième heure,
il
en trouva d'autres,
^i %ïLi
JK.ft4*A?^'^
-tà-O^i
M^^ Jusqu'à la neuvième
A
Oia
la sixième heure
ils
^^aaf
de
fit
ftj^ftiï
le crucifiaient.
même a
rt9
liMï
s
(1^^'%^ i AVlr' A
heure.
première heure.
la
Le numéral avec
5)
de
l'état
construit ne se rencontre
que dans
très rares exceptions.
ï/^h hommes
s
f-rt.Ç
i
hrh'Wlh
i
-hrtl-t
s
Ùf.a^' Joseph
prit cinq
d'entre ses frères.
CHAPITRE
VII
NÉGATION ET INTERROGATION I.
Pour exprimer cules
:
négation, l'éthiopien se sert des trois parti-
K, M», KAn.
^ —
242
la
Négation.
i)
C'est
la
négation simple et ordinaire
ploie jamais isolément, elle est toujours préfixée. soit
avec un nom ou un verhe ou un
pronoms
1.
qualificatif,
;
elle
ne s'em-
Elle se construit soit
avec certains
(1^2).
Mth. 20,
5. 6.
4. Jug. 7. 19.
2.
Marc
5.
Gen. 47,
15, 25. 2.
3.
Marc
15, 33.
C
O^h/'^YL^ Dieu ne
i
tente point
2)
prédicat
;
la
M^^ KM^^H
^^l^»
i
M
Vi7h
at-tï't* !)'>
i
Kf^'n^
le
//
s
A.fl'H'}*
i
membres de
À,n/5-rfi
^-flC
i
»
s
li'i'P
:
m au
't^^^^h
cDAuRAuf 4-^A.r
viendra une heure où vous n'adorere^
proposition.
JinX-zh.'
ne descendront,
ils
la
A^A.h
i
^h^
s
tentation ne vient pas contre
cette
jardin,
fnCT-i Ohjy^d.
'
monteront, ni sur la terre
^
M^f^*
mais par raison d'emphase, on rencontre quelquefois
1*^ Lorsque lu es dans toi.
^
se place habituellement devant le
K»
proposition,
hM^C-
!
ï
cette particule préfixée à d'autres ï
ne tente lui-même
Je sais que vous ave^ fait
:
ÊicS'VOus encore sans intelligence
Dans
et il
race incrédule
i
cela par ignorance,
mal
le
pour
O personne. h^(0-^^ h^h'^i/t^ Xï^i n^u Aî^tr inChî^?' Ail' a
201
-
Négation.
i
ciel ils
fl^'lh
n^fn^
Père, ni sur
le
»
s
ne J%
Ah-fl^
«
cette
monta-
gne, ni à Jérusalem. 3)
Avec
^^l^ 4)
s
le subjonctif, elle
VÇ^* Ne
le
rend l'impératif négatif (210,
5.)
^
tue\ pas.
de coordination dans
Elle sert enfin de conjonction
la
pro-
position négative.
K'I^'^hï'n
i
hM'^l
droite ni à gauche.
Kf''i''ih le
'
'
iOh^MPr''' EIUs
hM^ hM a
K^^f^ K"^^^
Seigneur que
s
je
a
a
'hd
a
?i*7H,h'flrh.C
h^M''
ne prendrai ni un
fil,
ne dévièrent ni à
Je lève
ni une
10. Gen. 14, 22. 23.
Mth. 17, 17. Gad. Ad. 40, 10.
3. Act.
8.
Gen. 37, 21.
9.
6.
a
vers
courroie de chaus-
5.
2.
tï^
ma main
sure.
1. Jac. 1, 13. 4. Mth. 15, 16. 7. Jean 4, 21.
a
3,17. Hén. 45, 2. I. R. 6, 12.
202
Négation.
Deux *
Personne ne
•S«
243
—
Jiïi
Ml
s
nn^A^ HJ^4»
s
h(0-flii^ Se marier n'est pas bon. fl^h*
s
n4»JE^^^
impies.
une
Wfi
î
s
^A.97*
-Aï
Tff
«
Kïi
nécessaire qu'ils aillent,
-n
CDhVi
5
C+d
s
î
OIC
s
H^V'flC'
C*d s
qu'on méprise l'homme pauvre le
i
s
i^'ÇJi
le juste
//
s
il
sage,
tMh J&^4»
«
:
s
tombe devant
O
7/
n'est
AWP.
s
^A'hJiïlJK.îP
A-flhrt.* :5iT?i^
et
s
n'y a pas pour nous
^^Çl^lO*: J&rh-4»®
s
:
^Ifl-flCP*
M^
fête.
nVsf pas bon que
//
Kh
demeure.
cité qui
(Ohjnh
la suit.
Cependant, non en un jour de
ici
»
resta.
i)
i^'Çje-
les
fDii^'tCd^
Cette négation intensive, s'emploie pour marquer
négation du seul mot qui
la
•
négations ne se détruisent point.
/i^^5/
s
pas
md
pas juste
pas juste qu'on honore
n'est
pécheur. 2)
Dans
proposition verbale, le sujet ou l'objet sur lequel
la
tombe cette négation, forment avec
la
particule
M^
une sorte de
proposition nominale dont le prédicat verbal est un déterminatif
qu'on
lui unit
KVis prisé,
Trîlvl
Klfl
i
au moyen du i
HKA^^CÇh* Ce
d'h'ilMr
i
h^
ment de pain que l'homme ^^
ù.
K
'
5
que je voyais
A-H
s
(était)
tion) éloignée qui viendra.
1.
Jag. 4, 16.
4. Prov. 25, 26. 7. Sir. 10,
23.
10. Mth. 19, 8.
pas nous qui t'avons mé-
Ù'iïh^
Kî^l'h^rt
hii
s
Ce
n'est
h^l/
s
pas seules
n-tl'Q
ce n'est pas ainsi qu'il fut fait.
l-m-AJ^ non pour
n'est
n?di^ i
i
vit.
Mais au commencement,
^Mi
relatif conjonctif.
i
M
s
tiU^^^h
cette génération,
M^
s
fl-flîi
*
i
c;h*'Th" Ce
mais pour {une généra-
Hf»tt^dX
^^
H n'est
2. Mtli. 19, 10.
3.
5.
Héb. 13, 14.
6.
Mth. 26, 5. Mth. 14, 16.
8.
Gen. 26, 29.
9.
Mth.
11. Hén. 1,2.
Hli^
4, 4.
12. Job 21, 4.
pas un
SOS
Interrogation directe.
homme
me
qui
M^
convaincra.
l
'flH^'î
a
ïiA
s
fh9^C^
^
Il
n'en
pas beaucoup qui la connaissent.
est
Avec
j)
le prédicat verbal,
M*
donne une négation emphati-
que.
?,Û,^s Utiïii TréLClff^.i Aft*+i httà^K^^ (.(
cela n'est pas {que) nous craignons
-M* a rM"}'
//
h nti* Ô0* i
5
hAn la
n'est
pas que V enfant
S'il n'était
— composée de
préposition
fi
soit
pas que tu as la
négation
vec les noms et n'est pas, la
HhAn J^AO
a
hï^
«
:
H*!"
Mitiï^i Uiï^Ù
morte.
mangé de
cet arbre.
KA inusitée isolément et de
244
construite avec les suffixes personnels, cette parti-
cule équivaut à un véritable verbe (2^5.
il
dirent
Ils
les enfants d'Israël. »
les
pronoms
;
3)
;
elle
ne s'emploie qu'a-
seule, elle représente l'impersonnel
réponse négative à une interrogation {245.6).
'haUi't^ Celui
hUl/ïl-
qui est sans péché.
a
h«^
1
HJiAhÇlU® J'ai ordonné que personne ne le touche. On trouve aussi ïiAO a h^'^ jamais ; hAO a 'Iffl mille part. a
II.
—
I.
Le mouvement
marquer l'interrogation les
Interrogation.
pronoms ou
;
seul de
mais
la
le plus
phrase
suffit
quelquefois pour
souvent, elle est indiquée par
adjectifs interrogatifs,
ou encore au moyen d'ad-
verbes.
n
a
M(i(D a l/f
I
-flh/i.' Est-il quelqu'un ici
ï
1.
Sir. 6, 22.
2. Jad. 5, 23.
3.
Mth.
9, 24.
4.
Gen. 3, 11.
5.
Jean 8,
6.
Rath
2, 9.
7. Jug, 4, 20.
7.
245
204
Interrogation directe.
—
2.
ici
suffit
Ce (15
qui a été dit des
1.
La plupart des adverbes
195).
n'impliquent aucune particularité dans
que quelques remarques sur
—
j.
dans
la
II-
mot qui
et V- se suffixent au
interrogatifs
mCW
s
As4u
^'Yi^ Votre père
en bonne santé
O* et
'h,
nié ou affirmé
doit être
ï
^Yi*t*
en bonne santé
est-il
M-fh H^^^h
s
i
«
et ils
)
s
s
».
^KM}f^^ hMl"^ «DJÎ'ftiA
^tïhà^Xth
fait cela)
répondirent
fl^HV-
hAK
s
(DTfih
A-nhA.
à un homme 4.
—
«
-Tr^l
i
-nhù/t
de renvoyer sa
s
nirf-A-
5
^1.
interrogative, insinuent souvent
un
est
H'îA.C:'
s
)
qu'elle fasse
introduites dans
doute,
il
fAï
UhM^' Est-il permis
femme pour quelque mal
Les particules TtiiP,
«
:
Est-ce toi qui dois venir, ou est-ce un autre que nous attendons s
(174)
proposition, nous ne ferons
les enclitiques
Êtes'vous venus pour m'interroger «
la
proposition à laquelle elles s'appliquent.
nt't'h
P
et adjectifs interrogatifs
pronoms
un désir
;
)
une phrase
A marque
plu-
tôt l'énergie.
flhV-sîi^;»s tu
hasard, que
e-T.
s
en ce
^^(D-lfa^i àhlM-a'
''"V*
)
»
fY\9^C
*
nil^* ^*?à^ y7iPl[U' Qui donc connaît si tu as régné hfht^ s h»» s MïÙ H^h^-h M' N'as-tu que temps s
!
s
ï
cette seule bénédiction, ô père 5.
Est-ce en vain, par
Ves montré bon pour ces peuples
—
Lorsque
la
s
)
réponse à l'interrogation doit être
ve on se sert de tiM*,
hAO^
;
affirmati-
lorsqu'elle est négative
on em-
nom
que nous
ploie nv*.
hM*
s
Qftl^h
i
'tWf'y
N'est-ce pas en ton
Gen. 43, 27.
1.
Gen. 3, 13.
2. Héz.
4.
Mth. 11,
5.
Mth. 19,3.
6. Jér. 4, 10.
8.
Gen. 27, 38.
9.
3.
7. Bftth. 4, 14.
20, 3.
3.
Mth.
7, 22.
205
Interrogation indirect©.
avons prophétisé
h^ ^^^h s
)
h^^é^inf'l'dCi hî^lf
»
l-n^i
s
IflCA-f ft
s
OV-
«
ll'i'P' Lorsque
AJ?r4-ft
Dieu des
Avec h^
—^
flMÙlf^"i-^
—
6.
juifs seulement, la
l'est-il
HV»
)
pas aussi des gentils
N'avei'vous pas lu
s
ï
réponse peut être affirmative ou négative.
La réponse à
moyen des adverbes la
ne
-t
Christ vien-
le
dra, est-ce qu'il fera plus de miracles que n'en a fait celui-ci
Est-il le
»
K^
)
l'interrogation se fait le plus souvent au
"hfD oui,
îiAO
On
non.
rencontre aussi pour
réponse affirmative ùéti^ et T4».
AO
}i
non,
*'
Sa mère
^^f,^ Jean
AO
Que chacune de vos paroles soit h<»-/^hTh s ht^ i lD>n, s îiAO s
5
: si
oui
oui,
M
«
; si
e-rh'ïft
non,
^A
s
nom
répondit en disant: a non, mais que son
soit
».
—
7.
par les
L'interrogation indirecte
mêmes mots que
aussi par les adverbes
l'interrogation directe
de
de temps,
lieu,
les
;
elle
on se
"M^, Les
particules
II-, V-
sert
introduite
est introduite
formes adverbiales ou
qualificatives qui répondent au français « combien
tion est conditionnelle,
est
». Si
l'interroga-
de h'"*, Mi^^, rarement de
se rencontrent rarement avec
la
condi-
tionnelle.
h^^*hrCiïi9^'\ai f>^^ïii (D-hati ^ihOhC^ On sait
pas d'oà
A*E
*
1.
il
vient, ni
'dhfljh''
Jean
7,
31.
4. Jac. 5, 12. 7.
Luc 23,
6.
Il
oà
it
va.
-ttihli
demanda aux Galiléens
2. 5.
Rom. 3, 29. Luc 1, 60.
a
lii^^Ohyi
si cet
homme
i
M^ao
était
3.
Marc
6.
Jean 3, 8.
2, 25.
,
ne
qf^
Galiléen.
246
206
Ordre des mots dans
Vadjure de
me
la proposition.
dire si tu es le Christ,
^>i^
CHAPITRE
YIll
ORDRE DES MOTS DANS LA PROPOSITION De
247
l'éthiopien a la plus grande
toutes les langues sémitiques,
liberté pour l'arrangement des mots de
la
ces de
seules règles qui président
à
la
la clarté
sont, peut-on
construction de
à l'esprit sémite,
il
la
phrase
dire, les
à part quelques particularités dues
;
n'y a aucune
rigoureuse qui y détermine
loi
place exacte de chacun de ses membres.
Proposition verbale.
248
l'action étant la
—
chose capitale dans
la
place habituellement en premier lieu le plus
intimement
^hfl
s
e-rt.Ç
devant son maître.
^
i
f^ù?:
s
s
lié
à l'action
^Irt 1-0^
s
«
2.
s
—
i.
s
le
:
hn}lh,^
ïttr^ Noé *
le
le
les
verbe se
comme
compléments.
Joseph trouva grâce
fît tout cela. :
la
de
réalisation
sujet vient ensuite
puis sont placés
Mtt
s
*^
Î^JtC' Veau com-
ce que la terre fut détruite.
La construction précédente
proposition, où
La
pensée sémite,
;
a^Ms^fi^ hftW i-h/^i-
mença à tomber sur eux jusqu'à
—
;
n*J^^ ^'h
Les exigen-
proposition.
jugement énoncé,
est celle observée dans
est l'unique
chose que
une l'on
veut exprimer. Mais, lorsqu'on veut souligner soit le sujet, soit
1.
Mth. 26, 63.
4. Hén. 89, 8.
2.
Gen. 39, 4.
3.
Gen.
7, 5.
Ordre des mots dans
ou
l'objet
207
la proposition.
compléments que renferme cette proposition,
les divers
on met l'élément considéré comme
en tête de
capital,
la
proposi-
tion.
*
JS'rt'flC
I
hÙÙ^'i' Le
de langue brise
du
ses -fl a
IDXîT'lrf-A'
9^^h^fi pas
hïi
a
:
f'Xt'i
hïi
a
a
a
^Ihtï i IV
i
tous les insectes ailés,
V abeil-
a
YxOD^ifah
s
ff
hr'Mlï^ ^dl"
par l'homme que V orgueil a
'^|CT^
t^ltb=\r'
été créé, ce n'est
la
pas par
cela ne se
Th^fW*
a
s
a
h
soit ta malédiction,
H'M'fld^ Au commencement,
:
a
AHje.ThflïAJ^
coup
tous [les produits), son fruit est le plus
M^ Ah^A
ainsi.
Ç^? De
le
f'd/t*?^ Les va-
i
hd*PÇ
a
«wi^irh' Sur moi
h^-H
i
"M^ït-l^ ^
a
mais de
plus petit,
^ÙM
doux.
f.'VàT'
a
M^
A7*Pf i A-fl^i a
les os.
potier, le feu les éprouve.
le est le
fit
coup de fouet fait des blessures, mais
Ce
a
n'est
(D
pas
femme que
la
colère de l'affliction a été enfantée. j.
la
—
Lorsqu'il y a
proposition, souvent
médiatement avant
a^h-P
i
a
a
il
un
sujet
multiple,
ou complexe en tête de
par un pronom placé im-
est représenté
le verbe.
-flïirt.
a
nmàtiOh a -tOld a
Ifl^f
a
lO-Mî s
f,M
l'fl^'' Celui che\ qui sera trouvée la coupe, que celui-là soit
esclave,
'^.h^b
y^'iàPt^^
A
a
(Dl-dCh»^ a ^i^h.^
Michel, Gabriel,
Raphaël
a
et
ID4
A
a
mon
Ohy^'f^ao-
,
Phanuel, ceux-là seront
confirmés. 4.
rement
1.
—
Lorsque
le verbe.
Il
Sir. 28, 17.
Vobjel est
en est de
un
suffixe personnel,
même
suit nécessai-
pour certains noms qui forment
2. Sir. 27, 5.
4. Gen. 27, 13.
5.
Mth. 19,
8.
Gen. 44, 17.
8.
Hén. 54,
6.
7.
il
3. Sir. 11, 3. 6. Sir,
10, 18.
Ordre des mots dans la proposition.
208
avec le verbe des sortes de locutions.
(DtifJt
un
i
CD
AA
CDftf^
enfant.
«
P-ïi-fc
!
'dïifl/t'' Cette
tià^'i±7
s
h*^ La femme de son maître jeta 5
—
.
On
souligne
^rt.Ç
s
s
mit au
monde
s
h*?».
nîiA.i'
yeux sur Joseph.
les
verbe
le
AdA
s
femme
en
le faisant
sa forme infinitive, soit d'une des formes des
soit
accompagner
noms auxquels
de
don-
il
ne naissance. rt'T.O
^hfO*
s
H^'f*
comprendre^ pas.
—
6.
on
les
3
Si le sujet
s
(DhJ^rMiaK^ Vous entendre:^ '}^iD*^^ Nous mourrons.
ou
l'objet
AWfrs
HsAu^ft'h^A'P:
son âme, qui Vhonorera
ïl*.Ç^f les
s
n'aurais pas
s'il
^V-s^Wrf-'f.6 ^e/wi
(Of^hlii,
pas
phrase.
'-
?iA-
tes
se
qu'ils
s
son père.
A
qui déshonore
/hlf-flU.
:
KA
s
j&ï'O
peuples qui demeurent dans
sont révoltés contre moi, je
lance contre eux.
trouve cependant des constructions autres.
Ti-J-f:
i
lO-K* a htl*^'W^^
Aïiïl'lh* Voici les
Le
n'était
ma
levé
la
la terre qu'avait habitée
fiàtiÀff'^^ Et maintenant,
montagnes,
On
}
vous ne
sont accompagnés d'une relative,
place d'ordinaire à une des extrémités de
hOi'lh^ Et Jacob demeura dans
et
sujet
ou
noms des
saints
»
AXA ^-tlO' s
anges qui
s
^fi^Wf
s
««
veillent.
aussi l'objet réels se rencontrent
en tête de
la
pro-
position, mis au nominatif absolu, par emphase.
Ïf-A-
1.
s
dd a nKf'd.à i ^à> i
Jug. 13, §4:
4. Jug. 13, 22.
7. Jud. 11, 2.
Gen. 39, Gen. 37, 8. Hén. 20,
i^-Vf
s
f^mr?^ On
coupera
Mth. 13, 14.
2.
7.
3.
5.
1.
6. Sir. 10, 29.
1.
9.
Mth.
7, 19.
209
Ordre dea mots dans la proposition.
porU pas de bons
tout arbre qui ne
j^^lll£/Dy|ifD«i Pq^jt pqhs^
Ohh-^
ter,
i
?-diyiï
Jean, l'habit qu'il revêtait
—
7.
la
I
^-n^*
hC ^hA I
peut-il chasser
a
iOM^^^ti
Il
«
AP
personne qui pourra vous
IfM-n^
I
HXT*^:
:
I^A^
i
M
résis-
Pour
de poils de chameau.
môme
phrase,
radical, l'éthiopien les
<7D^^4» re,
8
(était)
Lorsque dans
même
ayant
Il ji^Q^i
A-flfr
I
fruits.
se rencontre des mots
il
rapproche volontiers.
J&flïAJt^ Le tonnerre engendre
le
tonner-
ùf'^t i M^^nn I hO^Ôh't^* Comment Satan Satan ï bOXC MOlC 1 tÙi^ s «wi^rh^ Si un i
-•
aveugle conduit un aveugle.
—
8.
i) il
construit, le
nom
le
Lorsque
qualificatif %q rapporte à
se place soit après, soit avant
la
un nom à
l^'état
locution formée par
à l'état construit et son complément, jamais entre ces
deux
mots.
Onj?^ colère
I
^Ot
du Seigneur
'hi^'J&m*
I
MH.K'flrfi.C
I
s
If-h^hn
s'est levée contre nous.
diDC^^
Les
illustres fils
^bM'
«
R4Ï4*
«
U grande
X^'> 1 ïlO*^*}
«
de Sion se sont vendus pour de
Vor. Si plusieurs qualificatifs se rapportent à
2)
un
même nom,
sou-
vent on évite de les grouper ensemble.
/h-Mflalldf
I
fAxiO^-ii K-flCVî^i ID-AH-ll» Abraham de-
viendra un peuple grand
Ç^IP"» OflJÎ.
de
I
un homme
C'était
^Kh
et
a
nombreux.
'fl}iA«
juste et parfait.
«
^^4* 1 O^ïi^ »
A*
X'A^'Hha
(D
"1^9^
AAAiO-^" Une terreur sombre
et
a
profonde s'empara
lui.
1. Jos.
4.
23, 9. 3, 23.
Marc
7. Lam. 4, 2. 10. Gen. 15, 12.
2. 5.
Mth. 3, 4. Mth. 15, 14.
8. Géti. 18,
^8.
16
8. Hén. 43, 2. 6. IV. R. 22, 13. 9.
Gon. 6,
9..
210
Ordre des mots dans
Le
5)
qualificatif
peut se mettre
la proposition.
soit avant,
soit après
le
nom
qu'il qualifie.
M-t' Vous maudisse:^ el sévères ti^îh^V 'flïiA. paroles. Mii (nCMï H*A*^ vie M^C^^ Je suis un homme juif
ih^^ïlt^
i
OflS-t
l»Jt<Jl'hs
i
avec d'orgueilleuses
nVl/i
I
I
de Tarse en Ciliciey
I
tuellement
la
249
les
I
adjectifs
pronominaux gardent plus habi-
place qui leur est assignée par Tordre logique
pendant, en plus d'un
comme
«
ville illustre.
Les pronoms et
4)
a
«
noms
cas,
on
les voit
;
ce-
déroger à ce principe, tout
et les qualificatifs.
Proposition nominale.
—
Dans
proposition no-
la
minale construite par simple juxtaposition, on rencontre en premier lieu, soit le sujet, soit le prédicat.
Mi
Seigneur.
MlUK'flrh.C*
îi*7lLÎ%'flrh.C
M^Ah
s
i
M^
Je suis
h-flCV/** Je
le
suis le
Seigneur, Dieu d* Abraham.
Pour diqué
la
proposition nominale avec copule, nous avons déjà in-
les différentes constructions (2^7).
1.
Hén.
4.
Mth. 22, ^2.
5, 4.
2. Act.
21, 39.
3.
Gen. 50, 19.
211
Proposition comparative.
CHAPITRE IX SYNTAXE DES PROPOSITIONS Proposition indépendante.
I.
Tandis que
la
proposition nominale est toujours purement et
simplement énonciative,
la
sieurs nuances différentes,
250
proposition verbale, peut revêtir plu-
du
de
fait
la
multiplicité des formes et
des sens de son prédicat verbal. Ênonciatwe,
elle se construit
fait; volitive, elle a
212)
;
son verbe à Timpératif ou au subjonctif (210-
opiative, elle est
La
avec l'indicatif parfait ou impar-
marquée par
le subjonctif (210).
concessive s'emploie avec tous les temps, la délihéraiive avec
l'imparfait (204. j), la problématique avec l'imparfait fait
présent ou futur, avec le parfait
IL
Proposition
La proposition nominale comme
comme
être employées
mêmes
d'un
fait
s'agit
d'un
passé.
subordonnée.
la
subordonnées,
proposition verbale peuvent
25 1
elles sont introduites par les
conjonctions.
L I.
s'il s'agit
s'il
—
Proposition Comparative.
Elle est introduite par les conjonctions iK"*, fllK*",
IflV*, etc. et
suit les
règles des indépendantes lorsqu'elle est
simplement énonciative. Combinée avec une
relative,
une tempo-
«52
^1?
Prpposition comparative.
ou une conditionnelle
relie
de ces dernières pro-
elle suit les règles
positions.
^
^f:^^'}
i
s
^l'ùÇ^' Lorsque
sonner de la trompette devant
•thim-2 j^
•hA^
il
I
+ h^ 1
ï
font
ATiAhl: Kl»•;^C se brise
un
5
s
s
I^A
s
le
M^,
Ji'îAÇ
M-t
le
royaume de Dieu,
:
le
rinfinitif
h9^Y ou
'w>^*7/^i-
chameau de passer par dans
avec
s'il riait
toi,
s
toujours introduite par
*
é.
îiAh** ^îl^fi-s ïiAi lO-fl'Jhî ^Tf^* fM^ îirti- s rhiPC C^s /ï^ns ^tti ^/aie/if autour
comparaison (i86) a son verbe à
dA ^dh
J&l-fl'Hl
fait «
fil,
La proposition qui constitue
J?^+AA
*
1fl>-a
fln
—
hh9^
hypocrites,
h^
s
de ses bras furent comme lorsque la paille sent 2,
fais pas
p^^ ignorance, comme avaient
s
comme
les
nS^^^àï¥ i 9^tlM\ t f rhi-h' Comme
sondera,
te
*
// trisa (;gs liens
lKW>
comme
^^^^ ^^^ ^^^^ ^A^^^ ^^^^
n-Mfitf^
vos chefs,
toi
V aumône, ne
tu feras
I
trou
fl+^^i- V^Cç;?i
»
I^A M-t :
plus facile que de dire
A
J^-AÏA*
i
M^'t'dutl^
Quoi de Il
....'.
hm «
tli^
travers le trou d'une aiguille sera plus
du royaume du Seigneur,
fk
:
sera plus facile à un
Il
facile qu'au riche Ventrée I
elle est
d'une aiguille qu'à un riche d'entrer
J2.+AA i Hh't
L^ passage d'un chameau à
second élément d'une
ou au subjonctif;
hnnjx^ilHC'
:
le feu.
vaudra mieux que
tu
)
f^^
«
f^'lb^tl
«
|i+A ^1/^
donnes un avertissement.
213
Proposition causale.
plutôt
que de réprimander aveo
^TrtïC
9^ltfi
i
h-iï^^
»
'\?tÙ
M
«
^•fl^fa 7tîr»>s '>tf»">a fl'H'Jlïa l/SîT'^
rir
dans ce
—
ou avec -nV
^^'l
i
eut
//
'
sable, plu-
Mià\»ù
s
été meilleur
(ÏM't a
Elle se construit avec hft*^,
Wn
a
Il est
commença à
^'yd.W^
a
les
»
pour
If
et l'indicatif
^
*Jt^a
h^
^tt
I
ai^nfH-
MH
a
âme
Tf^4»
a
mfU-fl
a
l-fl^^
Mnh'dih.C
a
a
KO
a
îift<w>
^ft*^
,
raisonnable,
;^Vft^*
,
,
H
a
mort des deux
fils
loua parce qu'il avait agi
// le
A^^rt.
a
a
M^^'Sd ^ia
aMi- H^rX-Ka
îi*7rLh-flrh.Ca Oi'P'^^
le
a
h^^-
:
:
hA
hmô^
i
U Seigneur parla à Moïse après
d'Aaron, à cause de ce
du feu étranger devant
Seigneur
qu'ils
et étaient
avaient apporté
morts.
^^:K.f>h(0'^h: HM-i-i n^UCtli 1^0' toi
OhTti^
spirituelle et
ffâufit
a
i
réprimander, parce qu'elles ne faisaient pas pénitence.
Vfln
sagement.
a
sûr que nous avons une
thF- a htl^ a
pour
M^
Proposition Causale.
parce que nous pensons.
la
du
s
H'h'i't* et l'infinitif.
'idhii^
h.lf
a
désert.
II.
I.
^^C 'TH
nous étions morts dans la terre d'Egypte, plutôt que de mou^
si
nous,
s
tu portes préférable que
Il est
que de demeurer avec un fou.
tôt
f>'%f'h
colère.
^'t'Vlr Il
ny
(Dllh
a
aura pas
de soulagement ou d'intercession parce que tu as enseigné la
violence.
W^i
1. Sir.
nOf
22, 15.
a
rùà^i-i (ÏM-t: 9*na
2.
Nomb. 14, Luc 16, 8.
4.
Mth. 11, 20.
5.
7.
Hén. 13, 2.
8. A. lo. 19,
2.
ÙW^i'
3. P. A. 32, 20. '
6.
19/
Lév. 16,
1.
Ils
253
214
Proposition finale.
demeurèrent là 2.
—
trois jours
C'est
la
pour observer
conjonction
complétive après les verbes qui lï/i s'étonner,
'tdy^di
dXiO
temps sont ceux de
I.
—
s'attrister, îiïih«»'h
'ff^bO
craindre,
h^'** et le subjonctif
s'irriter,
ou
//
et
que je
toi,
avait invités
Ohtt'f'
s
envoya
aux
A.A-
s
Mi*
V adore.
écoute
ma
h^
«
à
'hP'flK» J&d^l-h
i
Silo, afin
s
tl'^ù
ennemis de
pour :
qu'ils
ïtDrc^
Annonce:{4e-moi
i
prière et dispose
ses serviteurs
noces.
d'Israël se réunirent
remercier,
etc.. Les
le subjonctif seul.
qu'il trompe, qu'il blesse, qu'il tue les
h'flh'fl^
ii'i
l'intention se construit avec
VLlOÈXiXxoOi'M^Khi (Dhtïl^i A***
M^i îh^lï^ O
causale
Proposition Finale.
La proposition marquant
afin que je vienne
la
Tindicatif.
III.
254
deux sabbats.
marquent un sentiment comme
Vftrh se repentir, rhlfï
se réjouir,
les
hlt'"^ qui introduit
^t^^^ s
mon langage
appelassent ceux qu'il s
ft4i4»
Tift^h»
s
Tous
de monter pour
combattre.
le
afin
ta loi
^^^i-^piP^*
Livre-le-nous entre nos mains, que nous
ID^ft
les
crucifions sur
les
A
i
enfants
^^^
un arbre
et le
transpercions d'une lance. 2.
1.
—
Mth.
La conjonction
2, 8.
4. Jos. 22, 12.
(D peut remplacer
2. Jud. 9, 12. 13. 5.
M. D. 64
b.
3.
la
conjonction
Mth. 22,8.
Proposition consécutive.
f^tir
I
f»fïih^
che de moi que je
touche
te
Mtf»^ Ne fais pas
—
3.
I
OHïi* I
le
de
J
mal, pour
la
qu'il
dit
lui
h/t'^W^ a àhtï/lr i
».
(Dh^f^CÏÏ'dïï
la
particule
A, peut
I
I
I
J
(0*h1r
firmament du I
s
a\^
«
s
A'T.a
I
AJZ'A'^**
'h'V'h
(Df>ÇU^ao*
i
—
Qu'ils soient pour éclairer dans
«
Qa^
d,CP'i
«
celui qui
1
et
Aaron
et leur dit :
n.
fai péché devant
».
On
trouve enfin le relatif avec le subjonctif.
un faux témoignage afin de 5.
oreilles
h'^H.h-flrh.C* P/ia-
?'^A^u»*iinài'ifhMri OHi f.^tfiiP'
—
a des
^dhp^ao^i A<^A>i
KOAÏb *J^^ «
raon se hâta d'appeler Moïse Seigneur
A^Ji*
S^\)^*t* «
ciel.
I
îiffV
OiAhcri
4.
j
h'htllijl^ Lorsque nous arrivâmes pour (nous) reposer, nous
pour entendre, entende.
le
être
a^Mt A-^^C * (DéL^M MtïdjÊ Oï-fÙ i «dC*
Ah-flCif
m
i
construction subjonctive.
ouvrîmes nos sacs, nous trouvâmes V argent dans nos sacs.
le
« appro^
:
ne V arrive pas mal.
ou précédé de
L'infinitif, seul
aussi Téqui valent
M
4»^rt3:
J
215
.
Le
:
cherchèrent
le tuer.
subjonctif seul
verbes qui signifient
ils
ou avec h'"*, s'emploie après
les
ordonner, défendre, prier, conseiller, con-
traindre, pour introduire la complétive finale.
IV. Proposition Consécutive. I,
1.
—
Elle est introduite le plus ordinairement par }iAh, "htl
Gen. 27, 21.
4. Gen. 1, 15. 7.
Mth. 26, 5».
2. Sir. 7, 1. 5.
Marc
4, 9.
3. Gen. 6.
48, 21.
Ex. 10, 16.
256
216
Proposition conditionnelle.
h » ^fl
On
et Tindicatif.
rencontre encore h*"* et
le subjonctif,
nMdà. Elle était
si belle,
qu'elle attirait les
od^ j^A*A* s
s
n
s
nfl>-fti-
H
M^i ^IJ^'
J&A.fl>C *
s
yeux de 1
n^c
uoici qu'il
hMi
-.
-.
eut une si
y
sur la mer, que la barque était couverte par les flots,
de
telle sorte qu'il
ne reste personne en
hih'C' QuisuiS'je pour que J^4»
i
m-ft-h
s
ne tombe pas à
—
2.
j'aille)
elles !
hài-t'^
rj^C Hh^nA AîF»C î
terre,
sans que votre père
le
i
m
.
Wi^c
«
grande tempête
flt'ht^
^"^'t* s
M
h9^%V"}
«
i
s
Ah
lï'"*
s
hjtœ^
Kft-htf»-» L'wn d'eux
I
s
fD^V'
monde.
tout le
sache.
La conjonction (D équivaut souvent à une particule
ôonsécutive.
«^^mï:
(OMi
^l>ft*iï
AYiao^i Kl-flV Combien me
donnere\'VOiis, pour que moi, je vous
±hlïiïï'^iÙ^àiïilh^^'.(DdMClï' sujet
que tu comprends
les
tlf^ùXï*
le livre )
Moi,
songes de sorte que
j'ai
*
tiYi (ilii
appris à
ton
tu {les) expliques.
V. Proposition Conditionnelle. 256
La
I.
modes
l'indicatif sert à construire les trois
Sj /g5 jT2orts ne ressuscitent pas, le Christ n'est pas ressuscité
Jud. 10, 4.
4. Ex. 3, 11. 7^
h^ avec
réely éventuel et potentiel.
ao*^'}»
1.
particule
Gen. 41, 15,
2.
Mth.
5.
Mth. 10, 20.
8.
I.
'
8, 24.
Cor. 15, 16.
3. Jér. 4, 7. '
6.
Mth. 26, 15.
élTT
Proposition conditionnelle.
h^H
d'entre les morts.
/^'t
ïillUi'QfhtC
«
Dieu,
le
me juge:{
demeure:^-/.
é.àA)
^^+^
peureux
•^
s
de
ma
S/
tx'Ph
/e
ïi^A
a
s
Hh^nùi' Mn^h'dih.C hOid s
s
est
donc déjà venu
fidèle
au Seigneur,
Hh^
i
ih^'^
^^^
i
iihf*
che:{ vous,
entre:{
s
/i
dans rna maison
et
f>(D^
i
doigt de
le
s
h9"i
a
un songe,
il
tombe de son
ïx^?t\fah^ Si
tu
coupes sept boucles de cheveux
tête et si tu les
faible désormais
-t
:
:
M
Si moi, je chasse les démons par
royaume de Dieu
Si z^oMS
4»"^
^
s
fait
lit.
enfonces avec un clou dans la muraille, je serai
comme quiconque
d'entre les
hommes.
WCa fl>*A
à^f> a AdA a ai>A*<»«»- a iiWPtl'd^ a Ah^ a l-hA a -^
a
^J^^a^ ^ peux
les
Regarde en haut vers
le ciel et
les
compte
étoiles,
lu
compter.
h^A mn^ a
a
^Î-JÊ^*
i
-tihf^a^
-fla-^*}
a
a
ht^oo^'
en pratiquant la justice vous souffre:^, bienheureux {êtes)-vous.
h^a^-ÎAÇa
^lîr•i^^l/&^-fca
pria ^«e cette heure s'éloignât de 2.
si
—
A^a
lui, si
Aîi^a
si
3^Af
j&l-hi/A'
a
//
cela était possible.
hf^
Très rarement ou rencontre
construit avec
l'ir-
réel.
ndft a fcJ^-W
a
>iA^h>A a (D^h-P » /^s au/r^s e/
1.
17
Luc 11, 20.
Marc
:
A,J&hA a hS^^Vt
JZ,^J^-
3
X^A+A
a
ne peut pas se sauver lui-même
4. Jug. 16, 13. 7.
h^^ s -JT-lP a œ'ih'^'} s n** //sawz;e
œCTtifi
14, 35.
2. Act. 16, 15. 5.
Gen. 15,
8.
Mth. 27, 42.
5.
a
est ; s'il
3.
6.
An. I.
le roi d'Israël,
lo. 186, 3. P. 3, 14.
218
qu'il
Proposition conditionnelle.
descende de la croix
devant
toi, si
—
3.
Aîi^rt
s
i
toi-même ne
Le
nous croirons en
h^ MiM
n^J^'^h s
i
et
s
s
Cl
non
je
^+ft^
ï
entrer dans la maison
il
lie
le
pas auparavant
-h^l i
-nhk'f'
'
la droite,
s
ïv^ï^^
KVl,
hfUC-t^
:
If
puissant
je vous dis que quiconque
i
Seigneur, ditesla s
h.
gauche,
nM
v^f.-.
A-I1M' Comment quelqu'un peut-
du puissant
nMM
mon
ou vers
-IiMs (o-iw-
n.-f-s
)
avec
et justice
tournerai, ou vers
j2.hA! ^!p-vl* n'EKs
(Uiih^''
ïi^^
ràl^A' = aix-j^* s ^à^ s ?i*7H,Kf 1 1*1
Si vous agisse:{ avec miséricorde le-moi, si
ï\9^9kli
ï
réel se construit aussi avec
l-ï-n^-
i
K.d.^^lï' Conment demeurer aiUl
voulais
le
hS/"*
lui,
et
s'emparer de son bien,
ne
s'il
hlrA s ïi'iïMlt^ s ïl^ s \tùr s HP
^no^
renvoie sa
s
^à>liy
^nt^'
s
femme à moins
Pour moi,
qu'elle
ne
soit
adultère, la rend adultère.
-^ La
4.
f
«
HM*7C^
relative équivaut souvent à
Sï quelqu'un veut faire sa volonté, celui-là connaîtra que
la doctrine que j'enseigne est
-flAhtf^ rité je
la
vous
mort 5.
nO^a
!
une conditionnelle.
i
le dis. si
^M
s
du Seigneur
K^'TÙT
5
et
non de moi.
hTi
Ar^l- « A^AI^*' En
quelqu'un conserve
ma
mode
sert
parole,
il
s
"h
vé-
ne goûtera pas
éternelle.
—
Pour
le
1.
Sag. 11, 26.
2.
4.
Mth.
5.
5, 32.
irréel,
on se
Gen. 24, 49. Jean 7, 17..,
de
la
conjonction
3.
Mth. 12, 29.
6.
Jean
8, 51.
M
et
219
Proposition concessive.
principale de
l'on fait toujours précéder la proposition
M^ ou h.^"^.
Les temps sont ceux de
^fl se rencontre avec le
mode
la
particule
l'indicatif.
réel, mais
ce n'est que dans de
rares exceptions.
Ms'ilCïïX'M^dJi^Ml' Si iu me Vavais dit, je Courais i i eAvoyé. Mîh rhCh Ç^-h ?i*7H.K-flrh.C îil^VOCh A^A J
9"
flrt'^l^' Si tu apais
a
marché dans
resté éternellement en paix.
S^^ I <^J^
n-t-l'dd a
s
s
M
la
voie
dOUCil
i
du Seigneur, s
afO-tï-^W IP+ a hî^A-nfr a
a
a
Si dans
CDÎif Vftrh-'
Tyr
et
raient revêtu le cilice, elles seraient demeurées
'M^'VA'i
raient fait pénitence.
meilleur pour nous
a
h ?iC a a
i
dans
a
(ces villes)
au-
cendre
et
au-
eut
été
la
M
a
Il
A+^Vu
mon royaume,
je te la donnerais.
Mn
Mh
'MflAi a IMIA- a AMH.fc-flrh.C
Si
vengeance d'un homme
tel
dis que tu es
a
un homme,
comment donc
diras-tu
a
hffOO'dMi:' Quand tu me demanderais
Mi-i
a
Wi
ma-
K.'td.mCll*
nous n'avions pas été créés.
oni^^^
la moitié de
M
si
M
«
a
été
Sidon avait
nifestée la puissance qui a été manifestée che^ vous,
^Ird.^ a
a>fll-/|'h
a
h9°W^
tu serais
(Ddfu^^ -M-fl^ i -Il
a
ti-dh
a
tu tires
Mi- Hh*fr a
au Seigneur
:
s
fl-ùh
a
Ifh^
toi,
que
tanloi,
« fais-moi miséricorde » )
VI. Proposition Concessive. Elle est plus ordinairement construite avec h.'^V»,
^ï,, hh^i,
;
h^ seul est
rare.
Gen. 31, 27.
2.
Bar. 3, 13.
3.
4. IV. Esd. 2, 23.
5.
Esth. 7, 2.
6. Sir.
1.
h^i^,
Luc 10, 13. 28, 3.
14.
Mi
257
2^20
Proposition temporelle.
îhi Hh^^ll-* Quoique son père meure, mort, parce qu'il a laissé après
lui
toi, je
ne
te
f 'IfÇC s
renierai pas.
fl'flîi^
"h^"*
Bien que
comme
n'était
s'il
un semblable à lui-même.
^^ïl-s 9^hMïihJ-\ïh\fAï^ s
[c'est)
Bien
qu'il
hJ^éSlX)
s
me
fallût
pas
K^'^Vl
s
mourir avec s
?i*7tt,h'fl#h.C
lOAi^
je ne craigne pas Dieu, je n^ai point peur
de rhomme.
». VII. Proposition Temporelle.
258
La proposition temporelle
est introduite par les conjonctions
ou
locutions conjonctives suivantes qui se construisent toutes avec :
Vindicatif
M,
h*^,
'h^^^'hù
quand, lorsque. après que ; toujours avec le parfait.
Kî^H, ïxT'h'^ fy^XiOD
depuis que ;
temps
parfait.
iQ^iQ^ les fois que.
^aÙ, hl^^V,
h^
TtiMïi
Ti^lh ê h^"^, îifth
5
M
aussi longtemps que.
jusqu'à ce que.
MU
tandis que ;
temps
imparfait.
On ^^f"*
trouve avec est rare
le
subjonctif
employé
îift^h.A* Lorsque Samuel sur Israël.
fut devenu vieux,
Knd'dïlf^'h
i^i* Oihii
s
i
Hl-fl^
s
1. Sir. I.
il
plaça ses
s
1.
2.
Mth. 26, 35.
5.
Mth. 12,
3.
fîls
s
9^lïi\fth^ N'ave:{'VOu$ pas lu ce que
30, 4.
R. 8,
avant que
mt^ h^ Chù
eut faim, lui et ceux qui {étaient) avec lui
4.
M^^f^'^
liKiHti,
;
seul.
KAQ
)
3. •
fît s
Luc
David îi'>h
18, 4.
«
s
juges
O^ïx
lorsqu'il
HldH^
221
Proposition relative.
'V^
^«f^
«
1
7/
0f|^
Tiy
^onc personne qui troubla
les
enfants d'Is-
raël pendant les jours de Judith et encore après qu'elle fut morte,
XtTr
I
li'î'fc
I
W'A''^ Je vous dis que celte génération ne passera pas
avant que tout cela s'accomplisse,
éjiXid^ Avant que
le
monde
h9^^^^
fut créé,
il
m'a
s
f^^^OlC « 9Aî^
s
créé.
VIII, Proposition Relative. Elle est introduite soit par le relatif, soit parle
ou par
adverbes de
les
indéfini
pronom
lieu.
XV^ : nf^Wn-a « ^^-nia « n^h-n^ : M%<^^ comme lui qui thésaurise, ainsi est celui qui
honore sa mère. tïHliX)r
}%An
8
(0*n
^Hint HAO nKfAïay^
i
Hp'AhÇlU''
J'ai
commandé que personne ne
J
i
s
Us
^
I
manger.
anges auxquels
ils
h^^ a
touche.
AflA^d' // mangea
d'oblation qu'il ne lui était pas permis de
rial/Aflî.aîr'T'PV'
te
est ce»
les
''•AWfl'ih
'TlQ
pains a
d'il
i''}^^h
sont livrés.
M^'hd flljt+l'» Elle se leva d'où elle était couchée. On trouve aussi équivalant à une proposition relative une a
:
position juxtaposée
avec
ou coordonnée
signifiant Tétat,
une temporelle
Mil,
Chf-
a
Aj&Ar/i^'
:
MH
a
JZ.I^'gVJi* Il vit Isaac qui jouait,
tin^ K^H f.'iOhao* // /^5 i^Q^^^ endormis, irl^ HKCh^ hCtxf'W^Ï i aa^h-t ^-flC a
1. Jud. 16,
10
X
a
I
25.
4. Sir. 3, 4. 7. Hôn. 63, 1.
10.
pro-
Mth. 26, 40.
''
a
2.
Marc Ruth
13, 30.
2, 9. 8. Jud. 10, 2. 5.
11. Ex. 26, 30.
3. Sir. 6. 9.
-t^diif,
s
Construis
J4^9.
Mth. i2/4. Gen. 26, 8. -
-
-y
ù
A^-fl te
ta-
259
222
Proposition complétive objective.
OK
bernacle suipant la pision {que) je Vai montrée sur la montagne.
IL-h
AuP-AmA s ©n.* i ^ù i
i
î^lrf-^-n'
alla
//
h,
«
maison de
la
Justus qui était proche de la synagogue.
Enfin sens
peut avoir
la relative
sens conditionnel (256.
le
3)
ou
le
final (254. 4).
IX. Complétive Objective. Elle se présente sous trois formes
260
h**"
;
de
Vinfinitif seul ou précédé
la
:
le subjonctif seul
particule
A
;
ou avec
Vindicatif seul
ou construit avec h^'".
Nous indiquons
ici les
principales classes de verbes qui admet-
tent la complétive objective, en indiquant pour chacune d'elles, la
construction de cette dernière.
—
I.
Avec
les
verbes qui signifient
le subjonctifs soit Vinfinitify tels
4(.+R
désirer
;
KOf
a: soit
préférer ; <(.'^al,
X"U+
:
K-flA^
refuser ;
hXM commander ; hAK défen^ désirer pipement ; KÇ4*^ drej empêcher ; ti^*lH interdire ; Hh^ apertir, rappeler quelque chose ; li^'K exhorter ; ïx^^Xïù essayer ; 'Mlf A contraindre ; d\ aimer
*
sont
vouloir, on
é/^
interdire ;
mettre
;
O^OH
promettre
dre
;
prohiber
;
ivUth (Orh)
concéder; "llAf décider;
i'WiflP prêter serment
accorder
^lïd
;
'îftl per-
projeter;
; 'ttid^iD espérer ;
hÙd.(D
dXlO
crain-
etc..
Ceux
comme
1.
;
MM
;
d'entre ces verbes dont
la
signification implique négation
défendre, prohiber, craindre, ont leur complétive avec
Act. 18, 7.
h^
223
Proposition complétive objective.
lorsque celle-ci est construite avec ïl'^,
C
h^
i
M
i
I
S*il ne veut
hrlrdi^(Dt\J^
pas Vépouser,
nci Ah I
cDj2.n.A-
veuX'tu que je
te
fasse
Kft^^^ hï* i
Jiim-
1
liOD
1
hniLh i
)
et
dit
il
:
h^
i
f>chy
s
a ô Seigneur, que mes
^ho'}'}' Ne cherche pas à
I
h/lr9^0^ I atït^* Nous
i
i
Seigneur
^dJ^^ hàf^i^^
9^'i't
vivant {m'est témoin) que moi je t'épouserai,
le
i
M
Que
yeux voient ».
être juge.
lï^M
vous avons défendu d'en-
seigner en son nom, 2.
voir,
—
ftM
Ceux
qui
signifient
pouvoir, comme hUA
pou-
ne pas pouvoir, admettent aussi soit le subjonctif, soit
l'in-
finitif.
M
fim hChf'^ Moi alors je n'ai pas pu voir. ^'h iMiïï^i ïitlflA rhW A** aji*' Qui suis-je, que je «
^hllAïl*
s
5
I
puisse lui édifier une maison j.
—
Les verbes qui
»
a
)
faire,
signifient
plus habituellement de l'infinitif ;
ils,
sont accompagnés
admettent cependant
le
sub-
jonctif.
Parmi prendre
à
;
hf
;
^Xïù.
^f^OD ,
verbes de cette catégorie on peut citer
les
tenter ;
entreprendre
h*^, I
;
'h'T'h
"Mi
de raconter, trepris
1.
Ruth
8, 13.
4. Act. 5, 28. 7.
Luc
;
1, 1.
i
;
i^/hMA, Kd+fl,
-llftl cesser
dtïO négliger
'HXtyi
"hiPO» s'efforcer
de;
éJ^^
:
(0(ïï^ entre-
htïi''h^^
P^
se.
s'appliquer
garder de
achever; 't^'hd
;
tarder
-tU de;
se hâter ; etc..
(Da\*t*
i
f.'il^^
Il
X
en a beaucoup qui ont en-
H A i h^^/L « d^ i W-A- 1 /hl i dJA^ a
2.
Luc
18, 40. 41.
5. As. Is. 9,
8.
Rom.
37.
13, 8.
Ifl.^»
3. Sir. 7, 6. 6.
II.
Par. 2, 6.
2g4
Proposition complétive subjective.
Celui qui aime son prochain, accomplit [achève d'observer) toute la 4.
—
Les verbes qui
penser, savoir, dire,
signifient
ont leur complétive à l'iadicatif seul, ou avec h^*".
Avec
tl'"*.
Le
les
la
conjonction
verbes marquant jugement, on trouve aussi
subjonctif et Tinfinitif
loi.
ne sont que de
très rares
H,
"h
excep-
tions.
Mi CM^ h^ «
a PU
01 A^
s
qu'elle avait conçu, elle
^Wf h^ s
I
s
-llAll-
a cessé de me
;i.j&nai-}^
(D-tt-t
ï
colère, qu'ils n'entreront point
dans
i
mon
Ml-nC^
5
'
Lorsqu'elle
^^diMl' s
respecter.
fl
bù^^^ J'ai juré dans ma repos.
X. Complétive Subjective. Elle se construit, soit avec le subjonctif seul ou avec ïl^"*, soit
261
avec Vindicatif awec
comme
pris
Enfin lorsque
trouve souvent avec
hX^hi tp^f'i n*est
avec Vinfînitif Les
s
qualificatifs
complétive a le sens causal, on
la
Ttvli^'^,
AMA:
hP^hifa^i f^iaCi
pas bon pour l'homme qu'il demeure
di'^C^
Aîi''^*
fc,KhAluV-
«
HV-^Khi
tude oà tous sont saints.
Gen. 16,
s
«
Qu'il vous
Tf ï if-Zt^tf*^®
5.
4. Sir. 3, 11.
2. 5.
seul.
'If^^
«
fl/h-fc*^
liAUh.
«
//
Khi*
honteux pour un homme de mépriser sa mère.
// est
mon mari ) f^X^lïlf^
1.
soit
impersonnels, admettent aussi ces constructions pour
leur complétive. la
H ou h''",
9^^^ Ne te suffit-il pas que tu aies pris Ml^^ hlï^ W-A- -i^'i^l *^fl
suffise
s
*
-
que toute la multitude
J&'lfcJK.Ah
1
h^
Héb. 3, 11. Gen. 30, 15.
1
i
soit
J^O'î-A
i
une multi-
h A^ « fi
3.
Gen. 2, 18.
6.
Nomb.
16, 3.
225
Proposition coordonnée.
9^
hfl
I
Ah
est meilleur
s
ïii^jf-A-
entier ne soit jeté
/^;'h
qu'un de
toi
pour
1
dans
la
tes
f>^(Df.f>
I
membres
i»*Ai-
s
r/w^
'
ii
périsse^ plutôt que ton corps
géhenne.
coordonnée.
Proposition
III.
ï
L'union des propositions indépendantes par simple juxtaposition est rare
habituellement, toutes les propositions sont reliées entre
;
conjonctions de coordination.
elles par les
—
1.
de
Union.
dans
^,
—KA
I
les négatives
correspond à
(Wai Th I
Mb
eS'tu entre toutes les
I
-
i
femmes
ai écrites de
ma main
ha»-i aiKtii fih(^ ^/jf^iTooD* lui,
«
i
h^
aiii'thîh*
—
Il
et
le fruit
^U2.
i
:
ou bien,
hC/'^^
Bénie
O^M^P i
et lui dit :
« c'est moi
le
sens ».
M(0
M« ^.- tï^ti
^h^'h 0*s i
vous a accordé non seulement de croire
h^X — (Oh'^X
(Dh^
ou... ou...
Dans
i
ou... ou...,
tiK.. ^'hP^
l'interrogative
marquer
:
1h
»
>iïl,
—
la
séparation on a
Mth. 5, 29. PhUip. 1, 29.
2.
W.
M. 20,
(SlhP^Ï\\^...
tBjti^"'
13.
17
:
J^
O^h'^hï^... (Oh'^hïi
i
M*
ID?|fl»Kïl
est-ce que...
bien... )
l.'
mais
sein.
de ton
moi j'en comprends
Séparation. Pour
ou... ou...
4.
*
mais encore de souffrir pour lui
2.
Oh
I
béni est
et
i
Et Dieu appela Moïse
a
[les)
M^ Hh^^
locution française « non seulement,
ïirMti^ OirH-h
hh9°C Çh^l^^
qui
en
la
de ^K^, La construction
marque généralement une gradation.
encore » elle
V
ETans les propositions affirmatives on se sert
3.
M. M.
9, 9.
)
ou
262
226
Proposition coordonnée.
h AH
s
HJî^hA
AïlA^b
hPhm'Ir
a
aiAhAh«a ^Pl'Ii.H'H*
If 11 a
deux maîtres, ou et
5
détestera
il
Vun
n'est
//
i**"}?-
a
œh^Mi
t
personne qui puisse servir
aimera Vautre, ou
et
s
il
Vun
obéira à
désobéira à Vautre.
— Opposition. Dans ou ID — A; après une négation on se J.
bien plutôt
contraire,
Pour souligner cependant
fois,
on a
l'opposition simple,
de
on se
—
.
.
sert
h^
(O
« mais, mais au
ont un sens analogue.
Hhlrddf hlrtUi
)>.
l'opposition n.
sert
:
de fl/hls « pourtant,
toute-
' .
.,
M
, Kft^ ^i- H^-^OH-J: i fh^C a h^^h-adu a a CiXï^ih^i ÙM* 1-n AO- hn^O- f^^d.^^ hdj&'î-t :
hïl a
a
a
a
yiOD-a
II n'est
pas
a
que vous mourre\, mais
(vrai)
connaît qu'au jour oà vous en mangere^ (de ce fruit), vos
M'QC
vriront.
a
-hùAï
fOQ/hl:
a
^^<w»3 j^ demeurerai che^
toi,
adUiJIr
a
que Dieu
(c'est)
yeux
s'ou-
^(DÙÏH h^^tï
a
I
cependant durant la nuit, la servante *
sortira (pour aller) 4.
.
—
au
Raison.
l^nh a ftt+h a Réunis 5.
tes enfants,
—
désert.
r
•
Elle est indiquée par hft^'",
hh^
a
ù'HltÙt
car je suis vieux
Conséquence
a
lOnîl/hïb
et j'arrive
à
:
Mth.
A^^-*
h» est
accompagnée de ;
la
la
con-
avec l'interroga-
"MP ou îi'^h.
nihi d/tih
1.
a
la mort.
jonction ïiilï qu'on trouve employée aussi seule
on a
hfth
conclusion:
et
particule suffixe ordinaire, elle est souvent
tion
a
6, 24.
4. Tob. 14, 3.
a
hih-t
2.
a
hrM
Gen. 3, 4.
a
1-îiHHl-
5;
a
/h^K a
J2.rt^^
3. Jud. 11, 17.
a
Proposition coordonnée.
(|#»D^«7/*»»f-
1
if^f^^
Celui donc qui aura transgressé un de ces
commandements, sera appelé très petit dans
ftlller
s
avec
1.
Mh
I
•flVL/t-;^' i?/ lorsque
elle, elle
Mth.
5, 19.
Ruth
le
NoMi
cessa donc de lui parler.
2.
1227
1, 18.
royaume des deux,
vit qu'elle persistait
à
(O
al-
228
CHRESTOMATHIE. »»î » e
hér\r
\ïi
s
A^d*-fl
rtîA
1
A**
i
OlïlÇ
ï
s
s
AP-A.Ç
^ OA* « ï
A*
*
oiAn
-t^lG^
s
s
CîiÇ^
^h
i
M-ti
Aîr*ïi- « ïiiiÂ,
diPC* a (DMÔ-t:
5
i
I
:
Ae-rt.ç
MVO- h^
s
'.
s
Xufo*
i
«
:
^^*C
/hA^
Ar*?» i AT/'J* s
1
hAAA-th^ m^h\\o^
I
9^
ità-ti^
a
:
(o*n
s
h'^A-fc^
îir>
ïPÇf « lO/hA^ « P-A,ç I
« aijin.A"tf«»-
AK-^«o-
s
nA corftA ft** I HA4- »
îiA^h.A « iD^d*
«»«^ 1
AA1-
^(D%'' (DWà.1 fb^'fii a^hi*i9^f:Ci
ÇT^*
+
i If
/hAir»
'^ïihA
i
ft
KO*
loVlt?
*
I
s
KO-
:
h^
-ï^l^
I
hAAAl- ff fUfcf flï*^ cD'h^J&m- « hAAA-fc h<^ oiAl^ * AHILKf IflAAAI- « «Dje-n.AJP V^ï*'V- 1-M (D-tT^^^h
t
»
s
'
5
s
s
s
/^aAdA.V: ^^1*
If -
la loi
— ce mot désigne
la loi
rents livres
de
Aftl* de
genèse (génération)
(O^W/L
et
il
la
la
demeura
9à*^ Jacob —
mosaïque et s'applique à
diffé-
Bible.
sujet
— (O
conj. ;
de ^Ù/i
— = IDA A (227) hdù L
1. parf, 3' p.
m. sing.
2Ï9
Chi'éstomathie.
fO'tï't dans
9^^C
—
là iefve
prép. (177. 20)
— nom. com, nominal
Mi* laquelle — pron.
relat.
(148)
— pour OhMrt" + y
I0•ft't;^ dans elle
19^. 4)
(
Vfl^ demeura — accord avec — (144) de Vft^ hfl* V* père de Ohlti* dans — comt. (226) ^Jt^ terre — hVM de Chanaan — h^ If rapporte à V'V/Jt O^Yi'p est — pron. copule (2^7) — ÇT^I' + O- (142) ÇT^* génération de >ifl*l^
-
lui
le
-
sujet
prép. (177. 20) état
la-
flï -
-
et telle
(*i
la
créer,
8) sa
$ 2.
lui
rad.
engendrer
djCnC
— 7 239. — W + ^^ à W A f'A.Ç à Joseph — 7; 239. numéral (153) Oi^Cii dix — 9^* années de — pour ^^^Hh + ^^ (142) — Imparf. L (O ^CV. m. de CÙ? — î^ftA avec — de M^h (14^) de ti'W UMIO brebis — de dlô de f>€\ — Kfl* 1> du père de (144) CD CD^H com. m. l'adolescent — nomiru fOCH(0 — pron. O^hrb (237) — 5^AA avec enfants — R«M* A+4* (226) ii-yà^'d de Jacob fli-
et
il
fut
apposition (226.
lui
;
3)
(237. 3)
-
(226.
3)
adj.
I
lui
-
et
il
1.
paissait
S'^
p.
sing.
prép. (177. 4)
-
les frères
les
lui
pi.
pi.
-
;
obj. direct
lui
-
et
n.
était
sing.
copule
prép. (177. 4)
état const.
les
nA
de Bala
ID
îr*AA
-
^4+ les
— prép. (177. enfants — et avec
état, const.
;
4)
rad.
rad,
"
2EQ If A-l-
Çhrestomathio,
de Zalafa
h'Ut'by
-hir^rh.
et
ils
A^fe*
une accusation
(X^M
rad,
MU'i"
Khf
—
-T
èlre
mauvais
hn^-lh du
C
père de
-
A
îilfbJS.
;
*'.
:
•:^ -
.
sujet
'-
~
'U'
A f-A-Ç Joseph — îiî^V plus que — (186) W-A"<"»* tous — (196)
obj. dir,
de
)^4i*fe les enfants
htl"^ parce que
—
de
fdJ^C (182.
.ij;;
engendra
CD-l-fl^etilfit
4
'.-".
;
:^:-'--
d.^
-
226. 7)
0^.
/-^ii
de
lui
— 177 8 -
.
;
C/^h-b
r v^-
— fl^AA + Ih (136)
($0)
A"+ à lui — (147.2) h^V une tunique — obj. variée
--
'
-K.:
.
conj, (178. 13)
lui
—
(178. 6)
lui
n - C/^h± - 1> dans la vieillesse rad, /i^h vieillir
tissus
fdJtC
de
+.l>' (136) imparf. II 1. de
inus.
PA4* de
;
•
-
'
H-rh-n^
-
-
.:-::\
:;:
— — pour fdJ^C
aimait lui
il
:-
:\
}
— (144)
Jacob donc
et
-
de h9**Xrh*
Israël
^d*-!!
féSl^G
fl>ft4i«l» » If A4-
^^
lui
-
QA «
^Kh
m. pi rad.
fém. sing, ace. quai O^f^'t-, de
adj,
(177. ij)
0)
«
II 1. 3' p.
n. corn. sing. ace. dir. obj.
— fr^. •llQauprès }iA^h>A
A4'
imposer, lancer
honteusje
rad.
If
prép, {ij'j . })
e-rt.Ç Joseph "i'
01 et
lui
venir ; accord avec
IdA contre —
en apposit, à
ru collecL
— (144) — Parf, portèrent
Jiû*- IH du père de
—
femmes
les
dir.
de
IH/L
;
rad.
fïfA couvrir
— (185)
de couleur
.\Zy.i'j .t:^:v
-
:
(
146)
;.
Chrestomathîe.
CW h'W
—
et lorsque
ils
O*
-
lui
conj. (178. 21
lui
fdJl^C
KO-
-
îi^
(
de
p. pi.
les frères
IV* que — — ïïjih'
(17$. Il)
co/i/.
— Parf.3' — de
virent
I
H)
231:
sujet
CM
de
Ch^
260)
;
de
obj. direct,
fdJ^C
aimait
il
Ifao* plus
le
—
père d'eux
(
— (186) que
144) suj. de
.•:ï:---
•
ê
fé^^C :
Vf-A-im- tous
K-Ve -iMes
XAW^ XAh
ils
K-Ve - Ih
de
frères
et
hlù
lîii
lui
—
XAh« + Ih
dire à lui
-..:...-• -'l
1;;
(nç)
et
L 1
parole
.;
—
de
ohj. dir.
;
rad.
(156) in/ïniL
dire (6j)
^li une
1;
.,:,
III. .
'K'IC^
— de tPÇf, i^-Vf bon —
;
et
rad.
être
1,
il
sujet
obj. direct
.
(D
.
<">•
et le
A - h'W
-
U- à ses frères
f,a,t\r(^
et
il
leur dit
— pour Jî^O»A + V^
A^dF écoutez-le — pour tl9^(h -\-W(îj^)
— (148) àifii9^ songe —
rad. -flUA
Ù9^0
rad.
A-'M'J-lîce
obj. dir.
H rhAl^tb que -
Îi-^A*
je voyais
j'ai
—
de
AlT^
—r songé imparf.
p. sing. parf.
de^CM
,
rad..
de h^l\)t^
— (242) Parf.
— pour -KlC^ + l^
/.
par/".
^c, -
:-rt
X A^iî^
de
suj.
ne purent pas
il
rc
.
-
— pour
de
les frères
pouvoir
i-^IC-f^
::
^
haïrent lui
0^'h^-\\\)t^
:
L
1.
hUA.
3 de
232
Chrestomathie.
— de hAflfrt* — HH-fUKh*''^ de chacun de vous M* c i66) ^hiïii au milieu — hAftft-fc
-
htf^
gerbes de vous
les
pi.
(i
;
prép. (177. 18)
1^1^ du champ 01
-
-h - 1/**?! et se leva
hAftftl*
H'ÏLM (D
.
fli -
^fo
la
— gerbe
mienne
(B
'tJ/^h
de
sujet
V/^h
parf. IlL 1 de
de moi) (134. c;
(laquelle
190. j)
debout — accord avec hAflAI* 1 de IMl tournèrent — Parf. — de i'^Jimgerbes de vous
et elle se tint
•^ - <w»J&m- et se
hAAA-t - \V^ -
—
les
III
sujet
rt7-^ et elles adorèrent
A - If - tUhf
la
—
mienne
de
obj, dir,
AlH*
(219)
hAAM* gerbe
— pour + 1^ — de Ylo^ (216 Vl.iP que comme un — ^Yll^ tu régneras m. sm^. M«*" Imparf. 5* — AdA»-> sur nous Ù9
-
J&diAP' -
et
dirent
ils lui
J&fl»A-
V« est-ce
roi
(
1
39)
In/în.
;
224. 7)
rad,
p.
prép. (147. ///.)
Traduction.
Là
loi
de
la
Genèse. Chap.
Et Jacob demeura dans (2CXD. })
tion
son père, dans
de Jacob. Joseph
ses frères^ les brebis fants
de Bala
la terre
et avec les enfants
tous ses enfants, car il
de Chanaan. Et
de son père
lui avait fait
il
;
de
telle est la
il
généra-
paissait (207. 2)
Tadolescent
Zalafa, les
était
avec
avec
les
en-
femmes de son père,
aimait (207. 2) Joseph plus
V avait engendré
une
demeuré
Joseph une accusation honteuse au-
Or Jacob
près de son père Israël.
avait
terre, dans laquelle
avait dix-sept ans et
et (ceux-ci) portèrent contre
se et
la
XXXVII.
que
(200. i) pendant sa vieilles-
tuniqtie bigarrée
de
tissus
de couleur. Et
S3S
Ghrestomathie.
lorsque ses frères se furent aperçus (199) que leur père Taimait plus
que tous bonne
il
le haïrent et
ils
leur dit
«
:
ne purent pas et
écoutez ce songe que
(207. 2) les gerbes de chacun
be
ils
Et Joseph songea un songe
parole.
Et
res.
ses frères,
il
dire
lui
une
le raconta
à ses frè-
songé.
Je payais
j'ai
de vous au milieu du champ, ma ger-
se leva et se tint debout, vos gerbes se tournèrent vers elle et
Tadorèrent Alors
».
ils lui
dirent
« est-ce
:
que
tu
régneras (204) en roi sur
nous ?»
II
n-f'V^
I
h*»»
—
Nota. les
^laC
Lg
s/^/ie
»
ahtl-t
1
rh*A
= placé devant
Wparf,
hoW juger. SM^/.
(7.
=
(2.
(4.
pi.
=îrn^
A++
(8.
(10.
la
^^àsrt = ^tl^'i = ÙdJi
pi de de
:
rh-fl
=rt^fi02.
3
(O-M: a
I»-
grammaire. (DOii (5.
(^
(II.
Imparf,
= Cîfl
+ lhi42 = 'flhA
'fl?iA.1'
s
un mot désigne un radical ;
numéros renvoient aux paragraphes de (I.
l>
i
(9.
=
1
52
A«fc*
+
(6.
194.3
La Loi de Ruth Et
il
survint (237. 3) dans les jours où jugeaient (207. 2) les
princes, que
Et dans
il
vint
la
famine arriva sur
le territoire
Et
le
la terre.
un homme de Bethléem de Juda, pour demeurer
nom de
de Moab, cet
lui,
homme
sa
était
femme
et ses enfants.
Élimélech et
le
nom de
sa fem-
234
Chrestomathie.
(D^'iU^iWi f-KhA^^« OiPCi-i ^^-h» flï-^*a hA^l.lf
-t
I
s
^^ÔV'i'' «
(12. pi. de tï9^
delà 2' faib.yi II.
153
(ij,
5^1-
(16.
(i(), collectif.
+V
me Noémi étaient) ritoire
Et le elle
Et étail
de Moab et la
ils
i
h^i rh*A s
123.4
(15.
verb.
I^Ci^.
(18.
147,
hhiiimparf, employé
= ï/^K
(22.
«
(23.
pL
de^
='^m deux
fils,
Mahalon
demeurèrent
mort frappa Élimélech
le
et
ils
et
Chélion
:
(ils
vinrent dans le ter-
là.
mari de
Noémi
et elle resta seu-
avec ses deux enfants. ils
prirent pour
ils
et le
eux des femmes Moabites,
nom de
la
seconde Ruth,
et
ils
le
nom de
demeurèrent
l'une là,
à
ans.
moururent tous deux, Mahalon et Chélion, et cette fem-
resta privée
Et
ses
=
(21.
Éphratéens de Bethléem de Juda
peu près dix
me
(24.
noms dé
et les
Orpha,
Et
inusité
:
=
(17.
152.7
(20.
loi
(14.
adverh, « environ, à peu près »
C91- = ^001
(D.'t.^f^m'''
de son mari
celle-ci se leva
tournèrent de
la
et
de ses deux
avec ses deux
fils.
belles-filles et elles s'en re-
région de Moab, car elle apprit que le Seigneur
Chrestomathie.
=
(25. (27.
SM^y.
s'était
rtî^O
=
(26.
=IDi;n;fll'fl
fiSf|^
+ lftf«»-(i?6)
né (200)
lf
= KhA
(28.
montré (200) clément envers son peuple, la
+
IPIIA inusité, Ar^n^ti
inusité
qu'il lui avait
don-
nourriture.
m
(I.
la
=W
=i<.>flï
(2.
forme J^HvA est employée à
complément devient
P-fti.
subj^l'fïù
9^hiù'f'
=
(^
CDi;n
(8.
(10.
subi.
Elles sortirent ses
deux
la
subj.^hi-oi
place du parfait
(5. impér.
= à^ù
;
='fliiA
(4.
cette forme sans
(6. pi.
de ({/t
+ lh = f^dxÙQ\.9^hvù
(9,
de cet endroit où
elles
demeuraient (107. "
la
terre
•'-
de Juda.
Et Noémidit à
ses belles-filles
:
ricorde
comme
vous avez
fait
iz)^
et
pour re'
fcqn:
\
«allez, retournez rfans les
maisons de vos mères, et que le Seigneur vous fassafiicx:
moi.
si^/.
= ^Mi
belles -filles avec elle et elles allèrent sur la route
venir dans
(7,
2)
misé*
avec ceux qui sont morts et .
1
aveiix :
„v
286
^
Chrestomathié.
= O^A inusité; hùdd. (I?. = -I-flh (14. pL de
(II.
(16. plur.
=
de flïAJ^
î^'>#fi
((
=K'iO
(19.
Que
le
repos dans
la
=
(17.
maison de vos mères
plé
elles lui dirent
:
=
».
Et
flïAft
hO^ùd
134. 191
Seigneur vous accorde (210.
poussèrent des gémissements et
Et
ψ^
CDAfl inus.
(20.
flO^^ + lf^ = ÙO
(12.
2)
(21:
(15.
147.
épouser
(18.
136
i85
(22,
que vous retrouviez
elle les
I
le
embrassa et elles
elles pleurèrent.
« nous irons (204) avec toi chez ton peu-
».
Et Noémi leur vous avec moi,
dit
«
a retournez mes elles, pourquoi viendriez-
mon
sein
car je suis trop vieille pour
que
chez moi encore dés enfants dans
est-il
que vous épouserez
:
?
Retournez donc, mes
filles,
j'épouse quelqu'un de qui j'enfante des enfants.
«Et vous devrez attendre jusqu'au temps où
ils
seront en âge et
vous deviendrez âgées vous-mêmes et vous ne vous marierez pas.
NoDj mes ce que
la
filles,
car
mon âme
main du Seigneur
s'aflaige tout
s'est retirée
à
fait
de moi
plus ».
que vous,
par-
237
ChreitomatMa.
(2 j.
ÙO^^ + y
/hii-n
(25.
+y
elles
poussèrent des gémissements et elles pleu-
Et Orpha embrassa
rèrent.
ple, mais
Ruth
la
inus. +-rli<w»fll
i-Afl>l- + y = +Aai.
(26.
Et de nouveau
ih*^^ + y = fh^OI
f24.
(Noémi)
sa belle-mère
et.
retourna vers §pn peu-
suivit.
IV
œAa
i
h'^Ml'bV
-iiftc-ru
a
h -irj^c
/h-MQ
-ïn
«
(
(^
I .
I
pi de
powr
:
hrtV s
;hTi-fl4u
h^Ah = ^Ah
(2.
= '^W
(4.
H
MJt*7lU
^t rNoémi
I
'
dit à
Ruth M :
voici
qqe
«
h'J'fc-i
s
àm-a?
•
suhj.
de
î^ftA
h AK1-.
«
iD-hr'th.iu^
hHdi = Orfi inus.
210.4 ta
parente retourne vers son
peuple et vers ses dieux, va, toi aussi, avec ta parente ».
Et Ruth répondit
« qu'il
:
t'abandonne, mais que
ne
me
soit pas
je retourfie après toi,
allée) (201. 2) j'irai et
où (210.
cerai, ton peuple sera
mon
2) tu
permis (210.
où
« Et où tu mourras (201. 2) je mourrai et qu'ainsi fasse (21p. 2) le Seigoeur sur
moi et
que je
toi tu iras (tu seras
demeureras, (201.
peuple, ton dieu sera
2)
mon
2) je
demeur
dieu.
là je serai
ensevelie,
qu'il soit ainsi^
qu*U
Chres^omathîe.
éàs^
'XI
ftîT^-i
a
a
aoi^C^i htï^
hTrt a ir^AXl-.f
ânC A-î^7^ a a
'îfl^-i" 4.1-
;
I
^ÔC
fém. de
==l-flK h'y
ait
^C-Vl-
l-.-flAi
a
='1ifl^
Et lorsque Noémi
JBetbléem.
Et
ment «
+y
vit (199)
ife
:
Et toute
Noémi
:
«
rh*A TK-O
a
K
a
0».
a fll-
210.$
= ^Ah
(8. (
lo.
=K^^. me
sépare de toi
».
que (Ruth) persistait pour aller avec
du
qu'elles arrivassent à
bruit autour d'elle
encore vivante
?
je suis
(Noémi) et on
»
ne m'appelez pas (210.
5)
Noémi, appelez-
extrêmement
et considérable-
*
aflBigée.
Car
je
m'en
étais allée (200. i)
comblée
vidé, pourquoi m'appelez-vous (206)
.-'
Et Noémi retourna •elles
«
ît*7H.K-n
Çrfu'T.'J
(7.
Seigneur' m'a humiliée et extrêmement affligée i-
a
Î^A-Ji
deux jusqu'à ce
la ville fit
« est-ce toi
elle leur dit
ramenée
r.
a
a
a
215
6j.
/^^m.
(9.
mort qui
moi {212) amère, parce que
"'
« m-l-AKIa
aî--flH*'ï
MH.h'flrh.C
a
ïP-M-
a
(12.
elles allèrent toutes
lui disait
h-'^'flh-i
a
«
cessa donc de lui parler.
elle, elle
Et
la
a
K-JH
a
Çrfi.'T.'ï
•0ÏA-1-
seulement que
a
Àï-ft^*-f
^ùù
=
117
«
^^C-ïh ^JM-A
a
J%.;h^^-i
a
(6.
(II.
a
ThfïVrt^
152.4
(5.
a
flï-^ft4-R
^C9;^
a
«
revinrent de
lorsque
c^élaît le
la
et avec elle
région de
Ruth
Moab
commencement de
la
et le
Seigneur m'a
Noémi, tandis que ?
le
»
sa belle-fîlle la
et allèrent
Moabite et
dans Bethléem
moisson de l'orge.
239
Chrestomathie.
•>
îtrh-CV-
!
h-
r'irt
1
a
OJ-fti-
CD-ThrUA
a
I^Ul*
a
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OHA-h a I^U'Th h-}» a
^
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1
AhA
Imparf. IL
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CD,h^1-
::
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:
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TtlT
(2.
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0.1-
a
a
AO.!^ a
|f
ID
r'tlMlo^ i cDj&n>A
particip.
Tf^J^" parenté
= ^'iO = H^ft
(^
n.
inusité
= 06 f!.
imparf.
un homme qui connaissait son mari
avait
M* dït-ù
I^U* AOM Uh^^
a
O/'fl
=h^d
(4.
M}^
s
^i'^^ao' s AKA a f Od^« a (Oa^di
'V-flC
1.
(6.
Et Noémi
me
a
f Od^ a
a
= hUA
=h^f
(5.
s
(Dh^
a
AhiiJ'UAl K AJ^^-Ji
jS.(U-im-
.
Krfi^,
a
hîi^
:
et cet
hom-
puissant et considérable était de la parenté d'Élimélech et son
nom
était
Booz.
Et Ruth
la
Moabite
dit à
Noémi a Est-ce que :
j*irai
au champ,
pour que je recueille le froment, chez ceux auprès de qui je trouverai
grâce
Et
)
» Et elle
elle alla et
qu'elle suivait
lui dit
elle
:
fît
« Va, la
ma
fille ».
cueillette dans les
champs tandis
ceux qui moissonnaient. Elle vint vers une partie
de terre du champ de Booz, celui qui
était
de
la
parenté d'Élimé-
lech.
Et Booz «
vint
Le Seigneur
te bénisse ».
de Bethléem
soit
et
avec vous » et
il
dit à
ils lui
ceux qui moissonnaient :
répondirent
:
« le Seigneur
240
V
I
Chrestomathie.
flj-h* ^«
îi'>;Mfl-t
1
KIP-V
a
a
i
flïAj^
I
CDAI-
rfi4»A
a
nf>^ah^ s AdA «
s
^KQïl-
a
T'K'O «
X-J-h
a
Oïl-fl.
a
^^
a
a
A.A'^dlUVtl-tP-ah
a
a
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1^Ul-«
aiM-fti
A^I-OA,
a
a
h/l-ih^d
a
a
Çrh.'TI.
ItAà a a);iA'h;ï-flîi^^ a h "a IDÎiîr'J^lf^lf fli»- s AhA a "*
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fiCW
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Ol-fti-
x
KîT-'Hf
I^Ui- a fldft
i
a
fl^J^^«
:
AK
^-Aïe-"}
^«
a
AKH^AfrP»
(7.
pour J&nCVlh
(10.
i49(ii.
+
(14.
= h^P
gerbes
Trffb^ un peu (19.
l-AÏ + Et Booz
= n^:h (12. = Je
3 3
(8.
=
(9.
le
(16.
= rtOA changer dùf: lfî I38 = '^Aal (18.
;
dit à Tenfant
qui moissonnaient
:
de celui qui
était le
« quelle est cette jeune
Et cet enfant qui
était le
naient lui répondit et dit
;
«
= fl>/^K inusité (13.
=CDJt
crépuscule
(17.
recueillerai ïrl-fl/t
V'^U l'aurore
(15.
*^
différent, étranger
premier d'entre ceux
fille ?
»
premier d'entre ceux qui moisson-
Cette jeune
fille est la
^oabite qui
est
revenue avec Noémi du pays de Moab. « Et elle a dit
:
je ramasserai et
je recueillerai
ce qui tombera
des gerbes, après ceux qui moissonnent et elle est venue restée depuis le matin petite parcelle dans le
Et Booz
dit à
jusqu'au soir et elle
champ
Ruth
:
».
« n'entends-tu
dans un autre champ pour glaner, mais
un autre
endroit et suis
mes
et elle est
n'a pas laissé la plus
filles.
pas, toi
ô ma
fille,
ne va pas
ne t'éloigne pas
d'ici
en
241
Chrestomathiâ.
VI
impératif
(20.
ft9^h
= i1R
(27.
((
j'ai si
W
=
(24.
commandé aux
= ft++
(21.
visage
(2^.
p/.
le
(22.
champ où Ton moissonne
serviteurs, qu^il n'y
tu as soif, va
où
est la
=tXïé^(2}.-
de O^'ï œil
(29.144
pour-llR*?!!.
(28.
Regarde dans
même
=V3^^
ait
(jo.
(26.
= /»
144
(îi.
et suis-les; voici
que
personne qui te touche et
cruche et bois de ce qu'ont apporté
les serviteurs ».
Et Ruih tomba sur sa face et se prosterna jusqu'à terre et dit (à
Booz): «
ce que moi,
et
que
comment
j'ai
je suis
Et Booz tout ce
si
lui
lui
trouvé grâce devant tes yeux, garde-moi, par-
une étrangère
répondit et
lui dit
».
:
«
On
m'a raconté
tu as fait avec ta belle-mère après la mort
tu as quitté ton père et ta
mère
le
récit
de
de ton époux
et le pays
de
ta nais-
sance et comment tu es venue chez un peuple que tu ne connaissais pas auparavant. «
Que
le
Seigneur t^ récompense selon ce quç tu as
18
fait,
que
ta
S42
Chrestomathie.
=i<.îl^
(p.
=
(35.
Aflfl inusité I02.
(36.
3
ter, •flrh.îi vinaigre.
récompense
=M^V
(38.
=
'TfflH
W
complète devant
soit
le
soulagée je suis
lui dit
et tu as
pour
Et Booz
toi,
:
c(
j'ai
consolé
P^-
{37.
(39.
de qui tu es venue pour te confier Et Ruth
(M-
:
la
=^d
d'Israël,
(réfugier) dans ses
auprès
ailes ».
trouvé grâce devant tes yeux^ car tu m'as le
cœur de
servante et voici que moi
ta
« lorsque ce sera le
».
moment du
mange ta nourriture et trempe ton pain dans Ruth demeura à côté de ceux qui moissonnaient de
05.
-fl/hK fermen(40.
Seigneur Dieu
et
elle
=
='1l
comme une de tes servantes
lui dit
h7Ç
de
farine préparée et elle
mangea,
repas, viens
le vinaigre ».
et
Booz
prit
ici
Et
pour
se rassasia et en eut
de
reste. •
Et
ramassa les épis.
elle se leva,
viteurs et leur dit
:
Or Booz commanda
à ses ser-
« qu'elle ramasse au milieu des gerbes, ne
la
troublez point. i
«Portez-lui 4e ce que vous recueillez et laissez-en pour elle,
248
Chrestomathîe.
ne la reprenez pas. » qu'elle mange, qu'elle glane,
VII
(41.
= AiC^
(42. aujourd'hui
'
Et
elle
fit
le
qu'elle avait recueilli et
Elle
le prit et
avait recueilli et
du champ jusqu'au
glanage
il
y eut de froment,
Ruth apporta
la.
mesure d'un éphi.
et sa belle-mère vit
revint à la ville
et lui
donna
ce
soir et elle battit
(à
:
ce qu'elle
sa belle-mère) ce
qui était resté, après qu'elle fut rassasiée.
Sa belle-mère
lui
dit
:
«
où
travaillé ? qu'il soit béni, celui
connaître) à sa belle-mère
nom de
cet
homme
Et Noémi
Et Noémi
tu connais ».
passé le jour, est
j'ai :
où as-tu
et
lui
Booz
dit
;
(fit
« le
».
« béni soit-il, celui-ci, par le Sei-
pas privé de sa lui dit
et
Et Ruth raconta
elle avait travaillé
dit à sa belle-fille
gneur, parce qu'il n'a et les morts.
que
où
chez qui
as-tu glané aujourd'hui
encore
:
ce
miséricorde les vivants
mais cet
homme, ne
se-
S44
Ghrestomathîe.
r
hft^ î je-ltAi s AA s K^PAJ^e « ^^V lïih^i f -liA* '^K^CV M CD1-0.A ^rh.'T.'J A4-1- 1 4.1-
s
Arfl'^;^
s
s
^
I
ïPÇ/?;«
s
K^J&ChlHv. 1»Aft 1^
1
oiAl-e
8
KA^
a>*A1-
s
I^Ui-
I
OM h^ :
aiACVJ&
I
(43.
rait-il
est
il
1
1-îi^
filles,
bon
«
l^A A i
a
h^A^U-
ndJ^ « m-hAiD-f'J
îiAh
«
h'^
4-1-
s
f -VA* : "^héid
s
?
(D
s
Al
«
de ceux qui nous sont
dit à sa belle-mère
:
«
il
m'a
dit
alliés ?
en
»
effet,
joins-toi à
jusqu'au temps où sera achevée notre moisson
Et Noémi
:
Ah
a
261.
;
dit à
Ruth
te joignes avec ses
filles
d'un autre
«
i-Afl>-lU
s
htl
^d
s
min^l- s î^AA s rh'^;^
I
pas notre parent
Et Ruth
mes
5
'-
sa belle-fille et
:
«
//
est
bon,
ma
».
fille,
qu'on ne te trouve pas dans le
que tu
champ
».
Et Ruth se
joignit
temps où se termina
meura avec
la
aux
filles
de Booz pour glaner, jusqu'au
moisson de Torge et du
blé, puis elle de-
sa belle-mère.
VIII
<w>AdAi- 8 ^\f, 8 GiOD-héXi
Mrinf»*^
(XifJ^
8
8
K*7H.h'flrh.C
}i*7Hji'fl/h.C
8
^^AA ^Ad i
s
tif.\^'^
8
^ai
8
(xm
8
245
Chrettomathid.
oirt^wïf-
x«7ri.K-n.h.C
,
IDMa
i-i
A^Tn--}
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H^àii* a rtWi: a flK^îih
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IDW ^^A-h §«
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h^T^U- « (Ol-ad
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^^ H^Ad Ai-
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A.A.i'i flïX-flrh
a
h-flrfi.C
A-flCyj
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f-flA « fllA'^e-
a
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A'^e*
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IX
^
J^C a rh^A'^A a MHh-nrfi.C a A;Hlt^A a a a s •^dC riJ&H^K nOHCK. 100(1»^?. (DUM a hî^AA.I> a :
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-n-n-ih
f^-nH'lh
A ! (Dn^^di(Dti
KlT'AA.V
:
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fl^A'^
«J-^-h
«
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cdw-a-
«Di-n-Mif-
(Dh^vi*
(ofAïo-i-y
-.
s
s
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-.
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q/hC * (oh/^V-t
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nf^ùcc s an
oïî^ak^
îT'j^rc « toïii
s
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s
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247
Çhreatomathier
a)f,a^^ mch* i-h^x a
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^aît'7H,Jt-nrh.CM
XVII Nous donnons
éthiopienne. Les pièces 2, elles sont récitées le
quelques spécimens de
ci-dessous
aux
et
j
offices
Psaume Deus,Deus :
4
meus..,, la 3*
multiplicasti me, la 4* après le verset
omnibus sanctis
ejus.
Le nom de
après
la i*
Wl^
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I
ÙM-
;^A a 2.
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Ai^P
a
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gloria
hœc
est
qu'elle est impro-
leurs maîtres.
de Cana).
CD-fld
a
après
Psaume: Domine quid
de ce
vient
T-Olbi^Ç (Congrès
e^
le
2" est improvisée
du Psaume 149
visée par des disciples assemblés autour
I.
La
poésie
nom du moment où
tirent leur
religieux.
la
A« ^^p a
flï'îR.'ha
A^A a
Hîiî^AtUf (Mon Dieu).
hMV
A-* a AoiAJ^ iraHh K/hHH I a^Cfr a ^;^-fl^ /^-p -h^Hnl- J^7«7A I hO"} (O^lfiLtl a fiàM a 01)8,* 'ïX'/hV '^hA « :
a
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—
A
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1
a
noter pour l'intelligence de cette pièce, que les abyssins
ve lent toujours être inhumés en terre vierge et qu'ils mettent toujours
de
la
vigne sur les tombeaux.
1^54
Chrestomathie.
^Ûll'h (Pourquoi
}.
as-tu multiplié).
[CaÇlhïï
.
Le
sens de cette pièce est le suivant
la crucifixion
de Notre-Seigneur, obscurcit
un paysan avare obscurcit son vient loger chez
de
la
lui.
Comme
œil,
la
la
lune, lors de
sa lumière
lorsqu'il
voit
lune obscurcit
le soleil qui la regardait vis-à-vis
mestique
Comme
:
;
la
ainsi,
;
'de
même,
un étranger qui
lumière à son dola
paysan fâché
présence d'un étranger, obscurcit son front à son domestique
qui le consulte du regard, pour savoir l'accueil qu'il doit faire à Tétranger. 4.
h-flC
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sur
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^-tPA s yd^COK
:
l'an
sang versé par
serment que Dieu a
fait
n;^A « je.n.A
«
une nouvelle mariée sur son
la
sorcellerie,
plus le
si
on ne
le
:
sort
toi et
fait
pas
l'enfer interrogea le prophète
ce dernier répondit:
te sera funeste «t encore
i
^rt*^^ «
Mathieu est à craindre pour
de même, lorsque
feaïe sur l'avenir,
s
8
fond de cette pièce revient à ceci
sorcier, interrogé par
encore plus,
'^e^el.
i
fait le
à venir, répond à celle-ci
comme
rt.^A
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La comparaison- qui
Comme
ton
le
AhA* *Jt^ cDmf +*
i
H^V
(Cette gloire).
le
temps de l'incarnation
sang de Jésus-Christ, versé par le
aux hommes.
VOCABULAIRE. ^œ^^JH^N^o^
V
;
VtiiD et Oi)r être, exister.
UP
do?
là.
;
Uf.'l^t
foi
'tOOhli
XA
pass.
ooif^rifém.
;
ooif.r'lr^
croyant, fidèle.
lilC
lr^A
;
ïiU7-C
p/.
perte.
;
IIÇ
et
VÇ sueur.
croître,
vieux ;A*4»
ai/,
ii^^^'t
Arhh"
A^*},
/?/.
Ar/iCD
I.
;
^
pleurer.
ArhJ&
A^A avoir coutume Ai^X-
lèpre
/?/.
;
;
aûf/.
pi.
A^AJZ.
adhérer
nuit.
ItAi-AK*
;
caw5.
rh ;
îhAl^
songe.
r/iAf chanter.
[rh^^A^^A] dure
;
souffrir."
malade,
rh^A'^A
rh^A'T.A
adj.
'tAxi^Oi contracter
[fh^(D]
père, gendre
mère,
ver-
;
fh9^ beau-
di'^'t
;
belle-
belle-fille.
iliipoo gire mauvais, honteux.
lépreux.
thùii labourer
langue.
A-Oft vêtement.
A-fl cœur, esprit.
AflfD
I.
AQm
conduire, oindre.
2
AX4*
A^^Jtn.
MA^X"
A^Vl*
A-flrt vêtir
[Ann]
;
séparer, partager.
alliance, être allié
formerj pétrir.
[Ar/iCD]
A^"}
Aï^*
;
vieillard, ancien.
Ar/if être beau
A»Af
rfi''" être
vieillir
^AM1% A
;
pr^p. au dessus.
rfiA^^ songer
A AU4»
dA
être élevé
pays, région,
ville.
province,
VdJID suer
AHA
A.A.1-
arracher, enlever.
iriyh périr
ange.
A*rt broyer^ pétrir.
là.
If h agiter
AKh envoyer ^''AKh AhÀ toucher.
comprendre.
;
dià^A^ ag.
ihCi'^"* être malheureux.
tl\à*a^y porc. ihtid estimer, penser.
fhÙ(D
rh4»A
I.
2
pi.
mentir
;
h^'^A
thàK
ag.
champ.
256
Vocabulaire.
htî'tih^/i
[/h4»^]
rhV^
rh^
construire
aller
îtii^ nom.
iW?Cf
nf^^thO^lï
;
^"'Cfh conduire.
^^^
voyageur.
hà^ti mouvoir
[rHrt] réf,
;
;
^'^tPai enlever, écarter.
injurier.
'tthO^ti
;
amer
être
^dC adj. a-
;
mer; 9^/iC amertume. '"^d»^ terre, poussière.
reptile.
^AA
àh,91i Eve.
semblable
être
Î^AA
;
rh?fn penser, supputer.
Î^AA, Ki^AA figure. ^tîdi diner f^Minom.
A'M'fl
"îAV corrompre
rfifl^K
I.
2 regarder.
Alf-fl,
p/.
pie, nation
au
;
pi.
;
K/hH-fl peupi.
a aussi
le
dM
être triste
;
hfhlfV cous.
;
;
îhfOh
vivant
;
rh
A*7
loi
pi.
Ml.
ihOi nourir
;
rhfj
enseigner
;
^r'VC^
et
î^Uh
épargner.
^AK emplir. ^Ah dominer
;
;
;
;
'"^tM
serment.
^'^diù et 9^h\ù être miséricordieux
;
Matthieu.
p/.
h9^htl^
peau.
''"h^ essayer, consulter conseil
'^XÙ
f^îhé/t miséricorde.
;
l^h
^"^Xïl^ tentation.
;
être stérile. ;
oo^^^
et
^*
chaleur.
^4»#h
Kî^Ah adorer M^^Yl comme un Dieu Dieu Kl^Ahï divin.
^"^thti jurer
mystère.
^* chauffer
doctrine, science.
^Olï
soir.
'PK-n Moab. enfant.
C
^W
IT'A.^-
soir;
h9^^ mari
9^^ pi ^îiA
2 restaurer.
I.
faire
Î^Af 1-
^-^It
J&flïl' vie.
fhAA
se
l^AOUC
rh.rt réprimander.
il\f»(D vivre
liquéfier.
^M et
ffifl7 tristesse.
cor-
ruption.
^Al»
sens de peuples paiens.
^'^AÇ
;
lier,
f^i* mourir
enchaîner. ;
^'\r nom. mort
i^a>-1- et 9^aKr\r part.
H^h
vaincre.
[^00] hf^bO ^JZ. eau. ^'ÎLm tourner.
irriter.
;
257
Vocabulaire.
r'^a terre.
^mCD
2
I.
livrer
'h^miD
;
venir
ter, offrir,
Mr';^^
;
appor-
conduire.
ùlïO oublier
i-^liA
séricordieux
;
être mi-
^rtf
"^UA
clémen-
ù'ïith gagner
2 tripler
I.
i^'Artl
/^/h*
IP^^, iPiT^ IP^^'O
/^^Ù» tPÎnité.
I.
5
;
^iP/i^
O^C^
;
orient.
i^'CH disposer
•^4*f
I.
3
avoir faim
;
i^CO^-
hC-^O)
voir
^hfl
être
immonde, impur.
^C91-
^Cîtl*
[^f^]
KC^r ciel.
!*•>?
^1^ maudire.
2 être bon, beau.
sacrifier; ^/^(Dà^ •f dC pL h^àC^- herbe.
^'''
^Tfl
épine.
O'tO'O
carnation.
;
paix, salut.
[AA+] i^AA* in-
aide.
être humide.
Ar/ifl attirer,
chair; /^'P'B
éAK^
A AAî^
poser, placer.
/**;> corps,
aider
n.
^m vendre.
troupeau.
trembler,
^^îi
1.
oD^b(0*
p/.
belle-fille.
iP'dih être gras.
rïl pL h/^91n
tête.
hCM montrer.
;
paître.
C^ft
loi.
ouvrir.
trouver, obtenir.
Cdf
affliger, torturer.
^^Vfl faim.
;
hOitl^
épouse,
/*'Cfl^ nerf, racine.
CO/h gain.
;
Cîd
[^lOfli]
1**^+ se lever
impie.
être droit, juste.
/M'A
fondement.
ùùjb
ù'^à
CKf
se délecter.
fonder
se taire.
2 placer.
I.
[éAai\ Chft p/.
rire.
2 être insatiable.
I.
•^^^
;
2 avoir la puissance.
I.
l*»rh+ et
;
^
III.
ce.
i^iiù
JiC^iWi
[^^#w>iw>]
^1/**?! vieillir. C/^'ïi vieillesse.
IP
[tPUA]
c.
Crhfl être spacieux.
recevoir.
^^h
Crlh+ être éloigné. ïtCrh4»
III.
3
se jouer.
emmener.
lïMr
se tromper, pécher.
M^Q
entendre
le,
19
;
AlTd
témoin, martyr.
nouvel-
258
Vocabulaire.
A^f appeler; ti^fs
Aî^ nom.
iTïf^
pi.
Ùd./L mesurer
ciel.
fl^^
s*envoIer, s'enfuir.
A^4»
dérober.
dominer
rt<<.>
^tldAl^
;
;
n.
'Wi/iÇ'ï chef.
fl
[A
JiA^m
séduire.
ftcvje. blé.
flCh
soir,
^A voix, parole
crépuscule.
+AP +Af
iiCX pardonner.
il*^^^
AAA
I.
rt+A
séraphin.
[+^^] i-*^^
2 glorifier.
boire
;
•fe^^
tfb
ùhii demander,
tïM
ramasser
;
;
4*4«'fl
^'Hld'i ofproche,
ÙO^ baiser.
•feAA blesser
venir au de-
'^4•flA
[«l'flA] ;
^AA nom.
;
vant 4»fld ensevelir
;
^J^-OC
•f'i'A tuer.
Airtf nourrir fl.AJ2i nourriture.
+V'h
Aj2iÇ
4»5f dominer
glaive.
repousser.
^à^^ sorcier, mage.
tre
se ceindre.
;
;
soumet-
Îi4»5ff
4*3l service, office.
^^^
se tenir debout.
Air et All^ orge,
tfh
rougir.
rtift se prosterner, adorer.
«|»R^'» précéder, faire avant
ù^di étendre.
sé-
pulcre.
abolir, détruire.
[fllA]
pa-
rent.
plante des pieds.
AAA chasser,
2
4*
enfer.
[M(D] MMiO se promener iM(0* promenade. AO/i
III.
fait froid.
approcher
frande
prier.
Ahfl se coucher.
Ah"Ç
il
+Cn
boisson.
ne pas pouvoir.
A«^A
4»AJi abî-
les épis.
ù'd'h homme.
Mr^
;
4*«*'ii. châtier, flageller.
rt4*f arroser. I.
du remords.
être profond
me.
2 s'éloigner.
crucifier. '^fl4»A pass.
A'flrfi
avoir
Verbe.
le
;
•S'T.
commencement
;
;
4»
4»^^
25d
Vocabulaire.
me
prép. avant. I.
*j|»ftfl
saint
consacrer
2
^'^^^h
;
se couron-
ramure
'felÇ'A feuille,
;
;
f^A feuillu.
il
f>il
;
I.
5
dit
il
/Z-ILA
;
^'"'fl
Ad
;
'flA'/û.
"ArfisC terre
;
H/hC
n/hf-CD,
nourri-
ancien.
mer.
n^^ grêle,
;
dMV
rédemp-
f /. K^fl^^ compagnon.
M1Ù brebis.
p/.
n^rfi
;
fl^h louer
arriver, parvenir
Kiï^
;
;
-
-ttiiO suivre
neige, glace.
'f'fl+A tirer vengean-
[Û+A]
A"
;
^'»^•Afl^',
suite, ordre.
être
'hrlhi*
humble
;
h^di't
humilier, soumettre.
ce.
i-CH^
ni^^A germer.
[fW-CD]
h-n^iO
ouvrir la bou-
che.
interpréter.
i'dd,
i*Cd*,
rester, être
de
reste.
fl4»MI être
'HïO
utile.
être
être fort
i'I'W
n-1hC verge.
III. 3
nuit; Û»!* mai-
la
fh conduire, amener.
n-<-hbéni.
-
propriétaire.
n.Hflï racheter
n*7d
-flCV'J lumière.
;
s'agenouiller
•flïirt
'fldA riches-
;
flj??l» être désert.
ffl/h'hOl être seul.
briller
n*A,
fl^A
;
fUlÇ*
•flCl* airain.
fl^h
oblation.
teur, fl9H rédemption.
vieillir
nCi;
se
;
son.
ture.
HAf
permettre.
tvflh introduire
;
n»'h passer
flAft figue, figuier. ;
n^i venir
flOft changer.
arracher, délivrer.
HAd manger
h'Qfh
rPr/i]
•fldA être riche
dit a/^^c suffixe,
QA/h
premier-né.
^(ïh
n 'flUA dire
(Mil
flhf pleurer.
temple.
i'+XA III. 2 [+;^A] ner
^H*h
;
femme.
•flîiA.I'
;
mauvais
;
i'flîirt
combattre; 'QhfL hom-
f-hA
i'dà^
mâle.
vaciller.
planter
[i'hi']
;
;
-MflA
Mrïli'
II.
2
plante.
gagner du
260
Vocabulaire.
temps 'tlïH
;
lll'hl' antique.
d^/i couvrir
;
htli*
'\é^ù caus.
2 être triste.
I.
de honte
•f Arh mélanger.
'^*7W
veiller.
ÇA '1[A4» achever, 'V»A*fc
'ÎAf
I.
1.2
iiP'f' détruire, renverser.
finir.
Vi^h
2 compter.
penser
'hliS pensée,
;
cerveau.
esprit, volonté, raison.
prendre
-tlr^^h se
i
ver. iftrfi
I.
2 se repentir.
^tid* passer, s'écouler.
ï4»li veiller.
-TliPiP chercher.
V^'fl' crier, hurler.
'ÏCf
-Il^f ,
i^O
choisir.
•llA^ être dans
la
;
'î'flC x:ô-
cuire le pain
;
Ifilftl*
éclairer
oo^rlrah
;
être fort
lu-
;
;
meilleur, bon.
lire.
être petit.
[Vh^]
K'>h^
étonner.
s
[Vftfl]
pas trouver; être pri-
péché,
I. j
;
Wï chasseur.
consoler, soulager.
ift4* construire.
abandonner, cesser.
'ImA
VdCD chasser ÇffH
rougir, avoir honte
h^im
"ÏR.!* pauvreté
Ylà. dire ;
affliger.
Wf»
;
pauvre.
iftft, Vft brûler.
faute.
'lfX.7 fer.
'Il^
;h7nn
ï'il être long.
"llJiA forc^.
2 être meilleur.
'IiTK ne vé
parler
ï*'" dormir.
porte.
•Ilft^ habiter. 'Ilftl
faire
/.
'%C fém. '%C^ I.
iiiHù
ÇA« f Ç/Hh berger.
^'îl-p/.^rVh
'Vu
;
Vl-Ofuir.
Ihii
mière.
IkA
porte.
Vfl^ demeurer
>nn
pL 'hatO-ll pain. -Ifl'ID
V4*d source.
;
asseoir, placer.
té, espace.
'Vflh cacher. -Ifllf
sourdre
[V+X] K'î+lî'
misère.
"Iin^ unir, associer
le-
i"1l
;
VlC
hlf. voyager
;
parole, action.
M^î^, M«*
261
Vocabulaire.
K+'^
pèlerin, étranger.
Wrh
IX'/hV, -WT
être pur;
M'fO
rh pureté.
V3^^
I.
Wù
souffler
Wi
;
Wiî âme Wiî ;
;
<^7^ft
souffler.
I.
[h^»"^]
ïi^^
I.
K
;
pi.
hh^é.
;
^h9^C't
signe.
hîi^''*V persua-
;
-hM^V
et
i-h^^
se
animal
;
KC*B
«
^JtC
hhf
être mauvais
;
^i-MT
p/. I.
2
hMli
"hWi,
pi "hfjO^ main.
ïiJ?:
progéniture le
l'homme,
hȂ
et
genre
la vie,
MC
A^Ç
Éphi,
îi'fl
hU*}
prêtre.
père.
pi
hm
hflf
;
hM péché.
et >i?ifl'> pier-
rIfiAA]
refuser.
nom dé me-
fort.
Ji'ihoAA donner
le ver-
tige.
hA-n
re.
d'Eve).
h pouvoir, être
?i-n'>
humain,
sure.
Isaïe.
pécher
h''"
pied.
hUA
2
«
progéniture de
(la
mère de
ïi^A
;
îiftl- feu.
I.
oreille.
commander.
hj^'ï déluge.
la
KCPV} orgue. K^P^ p/. h^.'ïp. vieillard.
hnrt
ThX^f» mau-
vais.
hnC pi
cueillir.
K^f-ftl
femme.
animal.
îhfOh
moissonner.
serpent.
}^^f
MtV\rf
îthA
MA hCS
frère.
/b/^Î^Éden.
confier.
}i^^
hSiO*
commencer.
suffire.
KHH
îi?i*^1* servante.
croire ;
ïi'^l-TOère.
montrer
2
connaître
t\9^
K'ïA^
2 cueillir.
ïiî^
MOh et Yi^- pL Îi'>ft1-,
.
h tïfif^
Ethiopie.
K'iflf prendre,
esprit.
K
caus.
h/t^f^f
2 regarder.
^ corps
s'éloigner.
tï'tOi revenir, aller ou venir.
hAK
pi.
hAfll- chien.
défendre
;
hAh
autre.
262
Vocabulaire.
•
-
-
.
fl^C^* or
compagnon.
somme
;
d'argent.
H^A.'>p/.W-A^lTein.
(OC^
Inîhft, nier.
(DCttiO être jeune;
hi^i* découvrir.
h^î^lhC/**
«D^tM*
ventre.
IDrth rouler.
pi hftfl^J^ cou.
2 juger
;
2
I.
épouser.
ajouter.
flJ-'ïm, Ol^lim dévorer.
t-IDhA
[IDhA]
h-fl^i être honoré. I.
adolescent.
Kfl'-rt'fl
[Oïrtn]
[h»Ch»^] h'îhoCh»^
h»W
III.
^ho'}'>
juge.
àti^
MiCC p/. hWC
fl^Art louer
lèvre.
arriver, devenir
;
^'"h
*> endroit.
ïih-fl pi.
Wïl-n^
étoile.
;
(D
I»AA lieu
A
;
fils
de
;
[IDlrt]
^Ift
I.
2
grâce.
commencer. ;
h^^Ùh
;
««•rh.'M fleuve.
cracher.
CAl*
siècle.
91^, "J^'Thp/
hCD-/*-?! parler, ré-
ID^rt hériter
expulser.
(Dé^/i aller au champ.
1»
2 changer. ;
ahf!^^ accusa-
nais-
pondre.
<0^+
;
9Aî^ monde,
fl^/hH couler [<0/*'K]
tomber, se prosterner.
flïdK sortir
sance. I.
fl^^rt» louange.
flïl^ jeter.
CD/Tlï
flïr;n donner, imparf. J&lh-fl.
AI* fille f^^R"
;
tion.
;
(Otim
;
IDftf imputer
hDCD répandre 'tlnÙOi pass. tïdA diviser hÇA division.
fJt
(D^^
le jour
jour.
(BftTr vigne, vin.
être,
2 se confier.
(DOii et fl^dA passer
h7Ç p/. hW, WflW aile.
M
flï^H pL
flï^R descendre, déchoir.
hiver.
h«<4l.A chérubin.
M^
lune, mois.
héritage.
H'^^ 9»^
I.
p/.
2 être injuste.
^-^I- poisson.
OC*
être nu
OCI
monter.
[O^d,]
9^;Hhan.
;
hàùd*
d^4», d^4*
se reposer.
nu.
263
Vocabulaire.
Où?
rétribuer
récom-
ÙChrlr
;
HJitO annoncer, raconter, certifier
pense.
O+fl
garder.
O-nf
être grand
liV
;
O^tt^ gardien. -Mlflf
;
III.
2
Juda.
J8.|h>l
P-î^ aujourd'hui.
s'élever.
(n(ïd monstre marin.
f '^7 main
Pd
f •flrt
être aveugle.
P^ prévoir.
Of>'i
f fl>*li
hÙ^^ oiseau.
pi.
à^ pi
hùf^'i^
I.
ft être
J?:A4»A4» tremblement
AAlD
être dur, violent.
peser, préparer;
Oùr" pi hààT"^ os. àô pi 6009- arbre. [O0(D]
f^r" sang.
00f».
^<^^
moissonner.
durer,
conti-
I.
n^'i
temps.
[M^^] H^J^ p/. hlf^J^ parent. HCK semer HCh semence. ;
fl^flï répandre.
Mflm
frapper
pleuvoir
;
2 greffer.
nuage.
retentir.
interpréter, composer;
f<^li
i-HlT»^ être parent
Ifh^, '^Hh^
I.
R'^V p/. R^ÇI-
R^A
psalmodier.
M'}^
"h^A
voluptés, délices.
R1^0
nuer.
W'^d
K.^A
fLf^Ùti effacer.
If
hliàd,
;
4*A4» trembler.
patient, avoir pitié.
2
f "flA con-
?ahO^ douceur. [?^0] hf'^O raconter.
•
œil.
i'OltP se contenir,
[Htid.]
;
2 être clément, doux.
àS^Oh homme.
[Oïl*»]
OXfl
droite.
être sec, aride
tinent terrestre.
/'ft entourer.
/'Ç pi
nouvelle.
Mli
I.
9^
interprétation. 2
dormir
;
J^^A
som-
meil.
R++ broyer
;
ftt*,
A* co//.
enfant.
TI-Am-lh coup. ;
UVî^'
pluie.
se souvenir.
A'flC montagne.
-^R'^^
[R-lr^] 'l-J^-ï^, der ; f^'^ù ensuite.
tar-
^64
Vocabulaire.
JÇrïV se sauver
ooj^^
;
5^^.
TMi^. être
veur.
J^'ÏO tomber,
^'>*7A R'Jia
gneur, fém. 'hlll'h't',
>f fuir.
vierge.
être
Ilf
las
?:W
;
fort.
ILH. temps, moment.
faillir.
troubler.
Ah^
;*7H-Ç
fort
fati-
KWf
errer
;
caMS.
1PJK» erreur,
fau-
te.
I-^Î^ champ, désert.
gue.
'h'^h
ftflïf être malade.
M^
répéter, réitérer.
frapper
?i'>*7J^A poi-
;
trine.
If^d* rejeter, répudier.
iWî^
WA
agir, parler
1A
IX" pi IKI-
géhenne, enfer.
sculpter
;
ouvertement.
"7AC
sculptu-
visage, face.
Wl"?! soulever.
7^0
opprimer, injurier.
m
re, statue, idole.
T^rhArl* ruse, fraude, malice.
T/h"}
IrhiC ôter, enlever.
[m^+] îtT^4» baptiser. [m^f ] KT^f acquérir, possé-
[1^^]
Î1*7<^<1 consumer.
la-X
2 châtier
I.
là'V^
-^•7'^X
;
terre cultivable,
f
/.
n.
là*
der.
(ïl'dfh égorger.
ninn I^*^
l'dC
travail
;
l-fl
pi
IVI-
;
i'P'flh se
;
'hflh collection.
in^^
rtl'>4*4» achever, parfaire. ;
retourner
réunir
T'A pi KTOI*
;
Td^ goûter T(M^ doux.
ouvrier.
l'flK
lit
;
sucer
mamelle.
Irtrt toucher.
C
être sage, savant.
mnoi
être redouté.
l'fl^ faire
farine, polenta.
^/"Irtlf
+
m*7P
jardin.
hP'}'}^ démon.
[TMh]
?t*7H,K
maître.
I.
2 examiner, interroger,
connaître.
côté.
;»« p/.
idole.
adhérer.
mÇrh Sei-
niÀ^
applaudir.
couvrir
;
flIÀC
toît.
£65
Vocabulaire.
itïÇh
X'U+
î^*7fl se rassasier.
effacer.
K
Kiflï
désirer, regretter.
Klf
2 gratifier
I.
X"l
fleurir,
;
ÎIP grâce.
fleur.
KAA 1.2 ombrager Mà^'t om;
0^P soleil.
bre, ténèbres.
î;A^
XA^
et
X'A^^Th haïr
KAd
blessure. prier
KrfiA
;
ténèbres.
KAK KAf
être obscur
écrire
;
pi.
0CO
XA"^
;
écritu-
re, livre.
XrK avoir
/tt^h
soif,
soif.
IRC*^ crier, vociférer. Sl'flrfi faire
jour
;
cesser
X'}r/i dresser des embûches, at-
tendre.
0P9^
main gauche.
5Ç^
;
JW/i
I.
2 se ré-
KA-hÇ/^rh,
htl-t-é.
;
;
;
^&»
réjouir.
Ix^CV
à.ùX
et
caus.
fleurir,
fructi-
fruit, fleurs p\,
'W»
Ç*C
^tj^*
HJÇ:4» juste. ;
aimer;
amour.
souffrance, douleur.
Î^^C
KÇ+^
[^4»^]
aplanir.
;
III.
appeler, inviter.
Î^J^4» 6tre juste
ce
ï-éJ^ih
craindre
àXX
2 molester.
X>C poil
dXiO
fleuve.
séparer.
/*'K consoler,
porter.
KOA KdC
h^^n
[dJ^di]
fier
2
concep-
éL
jouir s'incliner.
puissant.
I.
Ù'ill
0,d*di tresser.
faire la guerre.
^(D*0
;
faire prisonnier.
éLAm
à
ÙC(flr repos.
X'flrh matin.
l'emporter, être fort
0C
tion, grossesse.
^'(ïh
^d
,
^(D(D
éLà'l pi
^tO
;
i\àà*C ennemi.
^'(i'h tremper, enduire.
Mi, M
écouter.
être rebelle
0'iA concevoir
prier*.
'^^frfiÇ
hd^^
[0^^]
Mh^ ennemi.
h<W"K
[0Î^K]
velu.
justi-
éJVài
ouvrir.
<(.i-ai désirer.
I.
2
envoyer
;
ÇTI*
voie.
266
dMd dJf^ù
Vocabulaire,
I.
I.
éJXiù
2 interpréter.
créer, engendrer
1* création.
2 soigner.
Am> se hâter.
éJS^éS^ abonder.
^OV*^
é^O être luxurieux.
«
»>5»C
achever.
;
ÇT^
267
APPENDICE BIBLIOGRAPHIQUE.
Une excellente bibliographie de toutes les publications concernant rEthiopie,a été publiée en 1893, par le conaervatour de la Bibliothèque de Milan G. Fumagalli. Nqus ne donnons ici. que quelques indications sur les principaux ouvrages se rapportant spécialement à l'étude de la langue.
I.
Catalogues.
Dillmann. Catalogua cod. man. or. qui in museo Britannico aaserIII. LondinU \^4n. Dor 71. Uber die aeth. Hand. der kaia. Bibliothek zu 5* Pétershurg, Bulletin de VAcad. Imp. T. III n° 10. 1837. Ewalh Uber die aeth. Hand. zxiTûbmgcn Zf.K.d.M. vol.V, pp. 164-201. Mai. Scriptorum veteram nova coUectio e vaticanis codicibus édita, vol. V. p. 94-100. Romae, 1831. Dillmann. Codices orient, bibl. reg. Havnïcnsis. Havniae^ 1857. Guldl. Catalogo dei codici siriaci, arabi. etiopici, délia bibl. Angelica di Roma. Firenze, 1878. Uri. Bibl. Bodlejanae cod. man. orient. Oxonii. 1887. d'Abhadie. Catalogue raisonné des man. éth. appartenant à Antoine d'Abbadie. Paris, 1859. Zettersteen. Die abessinischen Hand. der K. Universitatsbibl. zu vantur. Para
Upsala.
ZDMG.
vol.
LUI. pp 508-520.
Llttmann. Die aeth. in griech. Kloster zu Jérusalem. Z. A. 1900. Rhodokanakls. Die aeth. Hand. der K. k. Hofbibl. zu Wlen. Wlen, 1006. Roedtger. Aeth. Hand. Catalogus cod. man. bibl. reg. Monacensls, Monachli, 1875. Wright. Catalogue of the Ethiopie man. in the B. M. acquired since the year 1847. London, 1877. Zotcnhcrg. Catalogue des man. éth. de la B. N. Paris^ 1877. Goldschmldt. Die abesain. Hand. der stadtbib. zu Frank furt. Berlin, 1897. Touraiev. Les manuacrita éthiopiena de S' Pétersbourg (en russe). 5' Pétersbourg 1906.
—
268
Appendice bibliographique.
II.
Textes Bibliques.
Dillmann. Veteris Testamenti aethiopici tomus primus sive octa1853-1855. Dillmann. Veteris Testamenti aethiopici tomus secundus. Libri Re-
teuchiis aethiopicus. Lipsiae^
gum.
Lipslae,
1861-1871.
Dillmann. Veteris testamenti tomus quintus quo continentur libri apocryphi, Baruch, Epistola Jeremiae, Tobith Judith, Ecclesiasticus, Sapientia, Esdrae Apocalypsis, Esdrae graecas. Berolini, 1894.
Bachmann. Dodekapropheton. Obadia. Maleachi. Hall, 1892-1893. Bachmann. ï)ie Klagelieder Jeremiae. Halley 1893. Bachmann. Der Prophet Jesaia. Berlin^ 1893. Wallon. Biblia sacra polyglotta. Londini, 1657. Contient la version éthiopienne des psaumes, du cantique des cantiques, du Nouveau Testament. Potken. Psalterium Davidis et cantica aliqua biblica aethiopice. Ro-
mae^ 1513. Potken.
Psalterium in quatuor linguis hebraea, graeca, caldaea,
latina. Coloniae^ 1518.
Ludolf. Psalterium Davidis aethiopice et latine. Francofurti^ 1701. Petraeus. Vaticinium Malachiae. Lugdunï Batavorum, 1661. Kramer. Die aeth. uebersetzung des Zacharias. Leipzig., 1898. Nisselius. Prophetia Sophroniae, summa diligentia ad lidem vetustissimi ms. codicis fideliter in latinum versa. Lugduni Batavorum^
1660. Wright. The book of Jonah. London, 1857. Dillmann. Der aeth. Text des Joël [Merx Die Prophétie de» Joël. Halle, 1879], Petraeus. Prophetia Joël. Lugduni Batavorum, 1661. Laurence. Esrae primi libri versio aethiopica. Oxonii, 1820. Petrus Ethyops. Testamentum Novum. Romae, 1548. Platt. Evangelia sancta ethiopice. Londini, 1826. réédition. Lip^ siae, 1899. :
—
III.
Textes Apocryphes
et
pseudo épigraphiques.
The Ethiopie Didascalia. London, 1 834. Dillmann. Liber Jubileorum. Kiliae, 1859. Ahhadie. Hermae Pastor. Lipsiae, 1860. Fell. Canones apostolorum. Lipsiae, 1871. Dillmann. Ascensio Isaiae. Lipsiae, 1877. Trumpp. Der Kampf Adams. Mûnchen, 1880. Dillmann. Veteris Testamenti tomus quintus quo continentur libri apocryphi Baruch, Epistola Jeremiae, Tobith Judith, Ecclesiasticus, Sapientia, Esdrae apocalypsis, Esdrae graecus. Berolini, 1894. Platt.
Appendice bibliographique.
269
Halévy. Te*ezaza sanbat. Paris, 1902. Fleming. Das Buch Henoch. Leipzig, 1 902. Perruchon. Le livre des mystères du ciel et de la terre. Paris^ 1903. Chaîne. Mashafa Dorho. Revue Sémitique^ 1905. FaUlovitch. Meta Musa Paris, 1906.
IV. Textes Hagiographiques.
Basset. Vie de Saint abba Johanni. caine. Alger, 1884, j». 433-453.
Bulletin de correspondance Afri"
Budge. The miracles of the blessed Virgin Mary. London, 1899. The rules of Pachomius. Presbyt. Review, 1885. Pereira. Vida do abba Samuel. Lisboa, 1894. Conti Rossini, Gadla Takla Haymanot. Romae, 1896. Pereira. Vida do abba Daniel. Lïsboa, 1897. Budge. Maba Seyon and Gabra Chrestos. London, 1898. Budge. The contendinge of the apostles. London. 1899. Pereira. Historia dos martyres de Nagran. Lisboa, 1899. Pereira, Martyrio de Santa Emerayes. Lisboa, 1902. Pereira, Martyrio do abba Isaac de Tiphre. Lisboa, 1 903. Pereira, Vida de S. Maria Egypcia. Lisboa, 1903. Pereira. Vida de S. Paulo de Thebas. Lisboa, 1903. Conti Rossini, Acta Marqorewos. Acta Yared et Pantalewon. Paris^ 1904. Touraiev, Acta S; Fei'e Mika'el et S. Zar'a Abreham. Paris, 1905. Schodde.
V. Textes Liturgiques.
P. Ethyops. Missa qua communiter utuntur. Le texte en a été placé à la suite du N. T. publié par Pierre TÉthiopien à Rome, 1549. Vansleb. Anaphore de Dioscore, placé en appendice à la première édition de Ludolf. Londinl, 1661.
Commentarius p. 341. Franad if., 1691. Diilmann. Anaphore de S* Jean Chrysostome. Chrestomathie. LeiP' zig, 1846. Trumpp. Das Taufbuch der aethiopischen Kirche. Mûnchen, 1878. Arrikard. Mashafa temqat Mûnchen. 1878. [Coulbeaux], Ser^ata Q^asie Zabieta Krestian Katolikawit entaba *Ityopya. Karan, 1890. "Fries. Wedase Marjam. Leipzig, 1892. [Guidi]. Wedase Marjam. Sans lieu ni date. (Rome 1900). Ludolf. Anaphore de Notre-Seigneur,
cofarti
270
Appendice bibliographique.
VI Textes historiques.
Chronique éthiopienne d'après un ms. de la B. N. de Paris. 1881). Zotemberg. Chronique tle Jean de Nikiou. Notices et Extraits, Tome XXIV. Paris, 1883. Perdra. Histoire de Minas, 'Ademas Sagad. Lishoa, 1888. Perruchon. Histoire des guerres de 'Amda Sion. Journal asiatique, 1889. Perruchon. Vie de Lalibala. Paris, 1892. Pereira. Chronica de Susenyos. Lisboa, 1892. Perruchon, Zar'a Ja'qob et Ba'eda Marjam. Pan*, 1893. Perruchon, Histoire d'Eskender, 'Amda Seyon, Ba^eda Marjam, Gala wdewos. Paris, 1893. J.A. S. IX. T.lll. Schleicher, Zenahu la Galla. Berlin, 1893. Perruchon. Règne de Lebna Dengel. Paris, 1893. Conzelman, Chronique de Gala wdewos. BibL des H, E. fasc. 104, 1895. Budge. The life and exploits of Alexander the Great. London^ 1896. Guldi. Annales lohannis, Jasu, Bakaffa. Paris, 1903. Basset.
(J.
A.
XVni,
VII. Texte
Bachmann. Corpus
Juris
divers.
abessinorum.
Jus connubii.
Berolini,
1890.
Bachmann. Aethiopische Lesestûcke.
Leipzig, 1893.
Guidi. Proverbi, strofe e raconti abissini. Éoma, 1894, Guidi, Fetha Nagast. Roma, 1897. Littmann. Philosophi Abessini. Paris, 1904. Bezold, Kebra Nagast. Mûnchen, 1905.
VIII. Linguistique.
Grammaires, Dictionnaires
etc.
Mariano Yittorio. Chaldeae seu Aethiopicae linguae institutiones. Romae, 1548. Wemmers. Linguae aethiopicae institutiones. Romae, 1638. Sehickhardt. Institutiones linguae hebreae. Accessit harmonia aliarum linguarum chaldeae, aethiopicae... Jenae, 1647. Wallon. Introductio ad lectionem linguarum orientalium hebraicae chaldaicae... aethiopicae. Londini, 1655. Job Ludolf. Grammatica aethiopioa. Londini, 1661. Job Ludolf. Gram. aeth. editio secanda. Francofurti, 1702.
271
Appendice bibliographique.
Maî. Grammatica aethiopica conscripta a J. P. Hartmanno. Franco^ 1707. Marcel. Leçons de langue éthiopienne données au collège de France. Paris, 1819. Tuch. De Aethiopicae linguae sonorum proprietatibus commentatio. Lipsiae, 1854. Sehrader. De linguae aethiopicae cum cognatis linguis comparatae indole. Gotttngae, 1860. Stade. Ueber der Ursprung der mehrlautigen Thatworter der Ge*ezsprache. Leipzig, 1871. Trumpp. Ueber den Accent im Aethiopischen. Z. d. D, M. G.
furti,
XXXVIII
p.
515-561.
Koenig. Neue Studien iiber die Schrift, Ausaprache und allgemeine Formeniehre des Aethiopischen. Leipzig, 1877. Haupt. Studios on the comparative grammar. J.R.A.S. N,S, tome
X p. 244-252.
Dillmann. Grammatik dbr aeth. sprache. Leipzig, 1857. Praelorius. Aethiopische grammatik, Paradigmen,Litteratur, Chrestomathie und glossar. Berlin, 1886.
Wemmers. Lexicon Aethiopicum Romae, 1638. Hottinger. Etymologicum orientale. Francofurti, 1661. J. Ludolf, Lexicon Aethiopico Latinum. Londini^ 1661. J Ludolf. Secunda editio. Francofarti, 1699. Dillmann. Lexicon linguae Aethiopicae. Lipsiae, 1865.
Hupfeld. Exercitationes Aethiopicae. Lipsiae, 1825. De Aethiopicae linguae conjugationibus
Dreschler.
commentatio.
Lipsiae, 1825.
Hommel. Die Namen der Sautgethiére bei den Siidsemitischen Voelkern als Beitraege zur arabischen und aethiopischen Lexicographie. Leipzig, 1879. Praelorius. Hamitische Bestandtheile im Aethiopischen. Z. D. M. G. 1889. Contt Rossini. Note per la storia litteraria abissina. Rend, délia R, A. dei Lincet vol. VIIL 1899.
JX. Études bistoriques.
La gran magnificentia de Prête Jani. (1490). Anonyme. Diversités des hommes des bestes et des oyseaux qui sont Dali.
en la terre de Prestre Jehan. Paris, 1507. Bermudez. Brève relacion de embaixada. Lisboa, 1565. Urreta. Historia ecclesiastica, politica, natural y moral de los grandes y remotos Reynos de la Ethiopia. Valencia, 1610. Godinho. De Abassinorura rébus. Lugduni, 1615. d'Almetda. Historia gérai de Ethiopia a alta (résumé par le Père Tellez). Coimbre, 1660.
272
Appendice bibliographique
De historia imperii abyssini. Cinq dissertations. 1671. Ludolf. Historia aethiopica sive brevis et succincta descriptio rogni Habessinorum. Francofurti^ 1681. Ludolf. Àd historiam aethiopicam commentarius. Francofurti, Lûders.
1691. Lobo. Voyage historique d'Abyssinie du R. P. Lobo de la Compagnie de Jésus par M. Le Grand. Paris^ 1728. Bruce. Travels to discover the source of the Nile in the years 1768-1773. Edinburgh, 1790. Basset. Etudes sur l'histoire d'Ethiopie. J. A. Paris, 1882. \ Morié, Histoire de l'Ethiopie. Paris, 1904. '
•
.
—
A ces ouvrages il faut ajouter les précieux documents NOTA. inédits jusqu'à nos jours et que publie en ce moment le P. Beccari S. J. ce sont : Paez. Historia de Ethiopia ; divisée en quatre livres, écrite en portugais. Le Père Paez mourut en 1622. Barradas. Trois traités historiques en portugais écrits vers 1631. d ALmeida. Historia de Ethiopia a alta, composée en 1643.
Mendez. Expeditionis aethiopicae patriarchae Alphonsi Mendesii e Auctuarii liber quartus. Ecrit en 1650.
S. J. lusitani libri très et
A-D'/i^
î
Aïi'ïlUi'flrh.C
i
Errata.
p,
p.
S^Xb-A,
26. p.
27 ;i-/l'f'«l"ThA,
43, 24 L'Impératif du
ratif a toujours, p. 7<^/)
()(DhV'hé:'/l-â.
p.
rj^-C-^.
p.
127,24
;^ft'^+'^A.-*, *.
ni,5
p.
i4?,2 Thrh«:i-'>-'/. içl^ftAih
p.
p.
41, 26
en a a toujours.
-
117,20 AiAO-Ji.
n+
L'Impép.
119,
125,20 W-Zt-V-A.
p.
p.
JZ-'^-fl^--'!, p. n8,22>2.îlcD/'tf«»--fl>-.
nç.lç^rV-'^.
0.
p.
121,7 ÙO(D-(D-,
p.
i40,i7U'ïC-Ii.p 142,14 ^>^/iiiÇ-r/i.
M+riTîîP-Au.
j).
155,15
165,24 0;l'rt»-.'*.
p.
172, 10
154,2?
parfait
h^^l^'U'ïi.
p.
•>-V p 221,4 Ji^-lfAÇ- Au.
n.. p
i5o,4/^n-r/i^-ii.
rrtA-ri. il
errait-
il
p.
160,1
criait, p.
p.
h^là^174,22 A./^
273
PARADIGMES. pagesI.
Verbe
II.
Verbe redoublé.
276
de
la 1* faible.
277
278
sain.
274
m.
»
V.
»
»
2* faible.
I
V.
»
»
3* faible.
279
VI.
»
»
l'
gytturale.
281.
VII.
»
»
2'
gutturale.
282
VIII.
»
»
3'
gutturale.
283
^
IX.
Verbes doublement
X.
Verbes
XI.
Suffixation des personnels au verbe.
faibles et gutturaux.
284
•
286
plurilitères.
288
XII.
»
»
»
au nom.
XIII.
»
»
»
aux prépositions.
XIV.
Nom
[rac. trililère).
Formes
XV.
Qualificatif (rac. /n7//ér^).
XVI.
Nom
XVII.
Déclinaison.
XVIII-XXII.
et qualificatif (rac.
Pronoms
XXIII-XXIV.
NOTA. la
—
289 288-289
dérivées.
Formes
plurilit.).
290
dérivées.
Formes
291
dérivées. 292
292 et adjectifs
293
pronominaux.
Adjectifs numéraux.
Pour
faciliter l'intelligence
296 des modifications de
forme verbale, nous avons choisi pour chaque tableau une racine
unique
;
nous avons toutefois marqué d'un astérique,
les
formes de
cette racine qu'on ne relève pas dans les auteurs.
Les numéros entre parenthèses renvoient aux paragraphes de grammaire.
la
274
Paradigme Formes.
I.
—
Verbe sain (50-65).
27S
Parfait. I.i.
Sing.
5" p. m.
2" p. m.
i"p. Plur.
c.
5* p. m.
2' p. m.
Vp.
c,
^i'A
Imparfait. I.i.
A-flA
J2^+1-A
A-flAI-
t+l-A
-frl-Ah
AHAh
l'+l'A
t+1-A.
4"hA1[|-
AHAtu AnAVb
4»f'/V'
A'flA*
J&+1-A-
A'flA
J2^+1-A
ÎI+1-A
^••HhA*
AHAÏll
1-HhA
AnAV
•J-HhA
+i;Ah<»^
AflAhtf»»-
4-hAV
Gérondif.
Subjonctif. l.i.
Sing.
^tA"
3' p. m.
JZ-M^A
/.
HHhA
•fcA
m.
-MHhA
•fcAh
:2*
p.
I.i.
•fcAÏU
tAf Plur.
3' p. m, f.
r
p.
m.
fJ^f)^
^tA^^"**
y.^^^
+'fcA»7
'M*1*/V'
4-fcAh1
-MA» Impératif. I.i.
Sing.
Plur.
nu
M-A
-^rtC
f.
¥tiL
'Wd
m.
*1-A-
*7rK.
^ *1-A
-70^
«76
Paradigme H.
es;..-.
—
Verbe redoublé
277
Paradigme Fonnes.
III.
Verbe de
la
P faible
(68).
fjt
Paradigme IV. Verbe /
Formes.
de la 2^ faible (71).
fe
Paradigme V. Verbe
de la 3^ faible
n9
280
Paradigme V. Verbe Formes.
de la 3^ faible (73).
281
Paradigme VI. Verbe Formes.
de la 1® gutturale (76).
282^
Paradigme VII. Verbe ,
Formes.
de la 2® gutturale (77).
iiti
Paradigme Formes.
Vm.
Verbe de la 3® gutturale
(78).
284
Paradigme IX.
tÈh
Verbes doublement faibles et gutturaux (79-82). Simple.
Intensive.
Fréquentative.
280
Paradigme X^ Formes.
t87
Verbes plurilitères (83-87). Verbe redoublé.
288
Paradigme XI.
Voyelles finales.
Suffixation des personnels
au verbe (136).
280
Paradigme XII.
Voyelles
final.
Suffixation des personnels
au nom (142).
«00
XrV. Nom.
[rac. trilitèré).
Formes I.
Par attribution et par modification vocalique.
— ^i-A — j^1-A _ +1ïA — ^'CA — 4»;hA
6. 7. 8.
-4•;^A
9. o.
II.
Par
préfixation.
— — _ —
25.
19.
20.
*^4*'t'Al'
24.
21.
f»4'+A
25. III.
32.
30. 31.
— ^-I-A^ — +i'A'lh — 4'1'AI'
22.
}i préfixé
i8.
-
dérivées.
Ç
— —
Par
27. 28.
'f^»;l-A
29.
Çl*
^4.
è
?5.
Formes
I.
4»'hA
3.
K4>;^A K4"i:A
4.
K*1-A
2.
5-
h+1-Al-
6.
4.-^A^•
7.
h;H-A
8.
^^iK
9.
^;^1-Al-
10.
Avec
— — — — —
— —
— ^•4•;^A — W'I'Al* — 'h+'hA — -Hl-tA
26.
(94).
ë 1*
?6.
ol*
37.
-
i^ ai-
(122). singul. qui les admettent.
M'A. ^l-A, 4HhA, *1-A. «I»'^A, 4»1*A.
4»1-A, *1-A.
*1-A, ^l-A. 4»;^A.,
^tA, **A. Î%*'f-A.
K*1-A,
l-W-Al-. «wi^i^l-A,
11^ ou P» insérés,
de
(9^).
^4»1-Al-
suffixation
(92).
_4"^A^•
17.-
Î^*;^A ^4»1-A
Nombre. Plur. brisés.
i6.-
radicale,
2)
i)
î^+i-A,
noms avec
^*i-A.
â, ë,
noms terminés en
i,
ë, à.
u, à la
secon
291
XV.
Qualificatif, [rac. trilitèré).
Nom
Formes.
d'agent. (97).
I.
2
;^A.
h*;^A.
II.
2
K+;^A.
'H•;^A.
III.
2
1-4*;Wti
I.
I
+;^A.
IL
1
III.
I
I.
;^;HV.
3
'^^;^A.
III. j
Participe. (98-99).
formes dérivées par modification vocalique.
/"orm^s dérivées par préfixation,
II.
I
<^4»'ThA
lY.
I
^A'Hl»1-A
I.
2
II.
2
IV. 2
^+1-A ^+1*A ^ft-h+l-A
Adjectif.
^-tA FÉMININ, culin.
Il
A
noter
Nombre.
:
j
^^HhA
IV.
j
<^A-h^^A
(100).
+;^A
(il 6).
I.
4»;^A
.^A
se forme en ajoutant la désinence 'Ihau mas-fr-ftA
jém:
Pluriel
+;^A —
sain.
(123).
^•'IïA fém:
M'Ai*.
29Z
XVI. Nom.
[rac, plurilitèré).
Formes I.
dérivées.
par modification vocalique (104).
1.
-fl^-fl^ (ë-ë).
j.
é.f^i*f^
(à -à).
2.
+A4»A
4.
•7Aa-n
(ë-â).
(â-â). II.
2.
^Al^AîT'
5.
''«^h-^wt:
par préfixation
5.
III.
I.
A^A*^
(105).
î+Aj^-A
par suffixation (io6). 2.
(ë).
A'îAIÇ
(Ç).
Qualificatif, [rac, plurilitère) (107-110). adjectif.
A^ÎT^T*, -fl-WlIP^, etc..
participe.
Aî^A-î^,
n.
d agent.
r^na^H,
^TfO/V-A.
Al^ï. XVII. La déclinaison. (Nom
Nominat. ë
Ace.
et qualificatif).
(128).
293
S«4 Pluriel.
Singulier.
com.
masc.
Pronom personnel
affixe.
com.
f
X
{nom)
fém.
(135).
Pluriel.
Singulier.
masc.
com.
masc*
fém.
com.
masc.
fém.
fém.
(verbe)
h
lu
3' p.
XIX. Pronom Pour
J.
et adjectif démonstratifs.
les objets rapprochés.
Singulier.
V forme. — nom.
{148).
Pluriel.
nom.
ace*
masc.
H
H
fém.
H
H
ace.
Meth/t--*
2* forme. masc. et
ïiA-7*
et
K^'>-h
fém.
etM-}* IL
Pour
les objets éloignés.
V forme — nom. masc.
.
fém.
Tlïl*
nom.
ace.
Tlh»
(149).'
ace.
m.etf.'hMt
MVùr^ et
M^h»
2^ forme.
m.etf.
ïiAlrHî
îiAW-h
m. e//.
îiAh*
îiAhl-
XX. Pronom
relatif. (150). Pluriel.
Singulier.
nom,
nom.
ace,
masc.
ace,
If
commun
Ttih
Mi-
fém.
XXI. Pronom
et adjectif interrogàtifs. (151).
I.
II.
m.
1.
2.
y
XXII.
Pronom et adjectif indéfinis.
—
—
If
pron, relat,
:
(152).
Certain, quelqu'un, quelque, qui-
conque.
—
^"^V»
—
n
—
pron, interrog, avec
X
V enclitique
:
Quel-
que, quelqu'un.
—
prépos,
n
construite avec les
suffixes
:
Un,
cer-
tain. 4. 5.
6. 7. 8.
— — — — —
9. 10.
—
KAOlf, lf"A'
hj^^'t'^,
—
—
Nul, aucun, personne.
subst, construit
avec
les suff,
pers.
Tout, cha-
que, chacun, quiconque.
— hAX — HlK^Tf — tïth^
adj.
adject.,
2i1/W
—
subsi,
:
:
Certain, chacun.
l|Ah«, pronom relat. et
pron.
A'flX, 'Ohù^
—
numéral (un)
subst.
— Autre,
pron. démonst. avec
(l'homme):
Un,
Quelqu'un, certain.
l'autre.
ïï^.
certain.
tel.
2^0
XXIII. Adjectifs numéraux cardinaux. (153-160). Féminin.
Masculin.
1
2.
nom.
nom.
ace.
6
hihJ^
KrfiA
i
ïlMi»
invariable.
1flAh>i:
hA/î.+
hih-t
hih-t
yiA^-t
Inâih.i'
Formes communes.
Masculin.
nom.
ace.
nom.
ace.
nom.
et ace.
ace.
iPAft*
i^'AAI'
i^'AA
i^AA
»
4.
hCfld*
hCdà-t
Ken»
C-flA
»
6.
AJ?:ft*
3.
8.
r
%
-W"A
'hrti
»
»
»
+
AA«
A«-A
»
»
»
"l*
A•fll^
A-flA
»
»
»
"i*
»
»
't
A^i
tir'i
»
»
i*
A-^i*
»
»
't
l'fto*
»
»
i*
1-Alh
l-Ad
»
»
"f"
»
y)
"f*
ï A^"}*
9.
B
40.
î
Oi^'C*
XXrV.
Adjectifs
numéraux ordinaux;
»
3'
"^AA
5»
^Î^A
De 20
,
à 90.
1-
On
»
^ï
»
Aï
se sert
du
A A
)
^)
(161-162).
masc.
masc.
masc.
A
>
t 1-
>>
AJ&
»
»
Aj&, etc.. etc..
cardinal seul ou précédé
A.1-
de H,
«97
I.
Index des matières.
(Lea numéros renvoient aux paragraphes de la grammaire).
Accent 22.
Adjectif.
Acconvnodation
de consonnes,
voir
Formation 100; accord:
qualificatif
superlatif
Accord du sujet et du prédicat 2^3-256; de
de
la
copule 237;
l'épithète et
de l'apposition
238-2^9; des numéraux 240241 235
;
;
du verbe prédicat 232du nom et du qualificatif
prédicat 236; des pronoms et
pronominaux 258.
adjectifs
Crase de
Accusatif.
deTacc.
la
30; ace. après l'infinitif
214; après
2p
;
pour rendre l'objet direct 218221-222
;
complément de me-
sure 224, 8
;
de
partie 224,
de distance 224,9 1 1 ;
de
lieu 224,
le passif
221,9;
1
2
9
;
temps 224,
î
;
ace. après
de certains verbes
sufiixation
des person-
l'art,
Manière de suppléer à défini 182
;
comparatif,
mots
pronominaux
;
ad-
poir pro-
:
nom. Adverbe. Primitif et dérivé 174
;
numéral 164-165. Affixes.
147
;
Pronoms
51
particules
57
;
175
;
;
1^5-
176
;
178.
Assimilation de consonnes ^}.
Causale simple 253,
i
;
complé-
tive 253, 2.
Concessive 257. Con(ii7fo/in^//^réelle,potentielle,
éventuelle 256, 1.5.4; irréelle 256,
2.
4; remplacée par une
relative 256,
j.
Conjonction 178. Collectif sujet
235,6; antécé-
dent 238.
nels à l'ace. 142. Article.
;
voir ces
Apposition 239.
désinence
le qualificatif
jectifs
:
indéfini
Addition de consonnes }Q.
i8^
Comparative simple, temporelle
ou conditionnelle 252. Comparatif du
qualificatif 186.
S98
Complément du verbe 218-224. Objet direct unique 218-221
;
objet des verbes signifiant dire
219
;
commander, permettre
219
;
des verbes exprimant un
;
remplacée par
une coordonnée 255,2. Contraction de voyelles
3 1
préfixes personnels préfixes
;
des
avec les
des
caractéristiques
sentiment de joie ou de peine,
formes 59. Cont. dans les ver-
une sensation 221,
bes de
i
expri-
;
mant communication de paroles
la
221,2; marquant
cité 221,3
signifiant
;
capa-
abondan-
ce, privation 2 2 1,4; ressembler
221.
219,
5
venir 22 1 ,6
;
;
oublier, se sou-
marquant mouve-
la 2* faib. 3 1,71
Coordonnée équivalant à une nale 254,2
;
à
Objet direct double 222
verbes dire
222,
i
;
;
ôter, enlever 222,2; demander,
222,
promettre
ordonner 222,4 der
comme
rect 223. stantiel
3
;
;
défendre,
faire,
222,5.
Objet indi-
Complément
de
cause,
regar-
circon-
instrument,
motif, prix, matière, règle, sure, lieu
partie
^
distance,
me-
temps
^
224-226. Compl. du nom
226-228
232; de
;
du
qualificatif 229-
255,2; marquant union 262,1;
Complétive objective 260 jective 261.
quence Copule
;
sub-
;
opposition
raison 262, 4
;
consé-
;
et conclusion 262,
nature,
5.
accord
place,
237.
Crase de voyelles dans l'annexion des suffixes pluriel 30 ; de la
désinence accusative 30.
Déclinaison 128.
Détermination du
226,7
;
nom 1 8 1 - 1 82
3.
Disjonction àt voyelles
dans les verb. de
i-i
I ;
;
indétermination 183.
Diphtongues
Écriture,
rinfînitif 214.
fi-
une consécutive
262,3
après les
la
blés 34.
221,7; avoir soin, s'occuper de ,8.
de
sonnes, dans les verbes redou-
séparation 262, 2
1
;
Cont. de con-
3* faib. 31,73.
ment, repos, indiquant le temps
23
•
Consécutive 255
Consonnes
73.
et voyelles
ponctuation 14
amhariques et
32. Disj.
la 3* faib.
;
tigraï 3.
lettres
«99 État construit
1
30
;
avec
le
le qualificatif 231
226; finitif
214
mant une proposition ou
l'in-
vant de simple qualificatif 2 17.
numéraux 241,
les
;
;
nom
Gutturale dans le verbe 46
78 Faible (lettre) dans le verbe 46
68-74
;
79-82
contraction
;
suppression 37 Finale
254,1
remplacée
;
avec
;
tion ^9.
par
cons-
;
Formes. Les formes verbales 4245
nominales saines 91-95
;
96-101
qualificatives
et gutturales 102
;
faibles
;
plurilitères
;
emploi
:
215
sain 65; valeur et
sujet 21
antécédent
j,
tif
216
infin.
2
;
finale
forme allongée 214
;
dans
dans
ou avec
ou explica-
qualificatif
;
76-
permuta-
;
214, complément: seul
A
le relatif ^$4,4.
28-29
Verbe
Infinitif
;
son influence sur
;
;
addition j8.
;
une coordonnée 254,2 truite
j 1
79-82
;
les voyelles
ser-
la
254
la
comparative 252,
causale 25
dans
;
;
la
^;
dans
la
complétive
objective 260.
103-110.
Futur rendu par
le parfait
204-205
par l'imparfait
avecUACD
l'imparfait
20^ ;
;
par
le par-
Verbe
sain,
forme rad.
simple: formation 56; conjugai-
son 57
208.
Futur antérieur rendu par
Imparfait,
formes dérivées 58-
;
Avec
59.
le
sens du futur 204-
temporelle ou
la
205, du présent 206, du passé
conditionnelle 201,1, dans
la
207
dans
fait
la
relative 201,2.
Génitif
du nom
nel
iM
du
relat.
c
;
1
28
;
du person-
du démonst. 148
150; de
;
l'interrog.
du
W
et VlifD 208.
Verbe
sain 62
;
valeur
et emploi 212. Interjection 179.
Interrogation.
Emploi des
parti-
cules interrogatives 245-246.
Genre dans ;
avec
Impératif.
151.
49
;
les
genre du
qualificatif
temps du verbe
nom 1
1
12-115;
16-1 17.
Gérondif. Verbe sain 64
Lecture. isolées 2
;
for-
1
;
Consonnes
et voyelles
15-19, combinées 20-
lecture de
l'ë
24
;
exerci-
ces 25,26; classification pho-
300 nétique des lettres i8 fication
classi-
;
morphologique
Ordre des
Définition 4
lettres.
;
transcription 5-10.
19.
Ordre des mots dans
Métathèse 40.
la
prop.
Négation. Emploi 242-244.
verbale du sujet, verbe prédi-
Neutre du
cat, qualificatif,
relatif
193
:
du dé-
;
monstratif 194.
Nom.
Primitif
jectifs
90
;
pronoms
et ad-
pronominaux 248.
Or-
dérivé d'un
dre des mots dans
ou
tion nominale 237
radical sain par attribution
modification vocalique 92, par préfixation 9^, par suffixation
Verbe
Parfait.
simple 50
;
la
forme rad.
en ë 50;
a,
dérivé d'un radical faible
mes dérivées 54-55
ou à gutturale 102; dérivé des
avec
94
;
plurilitères 104;
de
lieu,
nom d'action,
d'instrument 95
d'agent 97
nom
;
de relation 10 1
;
nom composé ni; genre 1 1
5
nombre
;
;
nom
du
indétermination
Complément du nom truit 226,
227, au
228
;
au
2-
:
181-
I8^
relatif
moyen de prépositions
comme
employé
prédi-
cat 236; mis en apposition 259.
Nominatif 128 pers. 142
;
;
suivi
160
;
suffix.
nom. absolu 248,6.
Numéraux. Signes naison
des
12
;
Combi-
cardinaux
153-
ordinaux 161-167
ac-
13
;
cord 240241.
;
parfait défini
du
ou
200
;
du
dans
du
du
;
;
du plus-que201
fut. antér.
du présent 202
parfait
valeur et
;
le sens
indéfini 148
parf. ant. 199;
parf.
for-
fut.
203.
rendu par la
;
le
temporelle.
199.
état cons-
moyen du
;
Parfait antérieur
voir pluriel.
:
Détermination 182
1 1
;
198
emploi
249.
;
sain,
en
proposi-
Participe.
116
;
Formation 98
nombre
genre
;
123.
Permutation de voyelles 28
consonnes les
3
9; de voyelles
verbes de
la
la 2'g. 28,1. 2; 3
;
dans
forme
la 3' g.
28,5
;
de
28; 6; des voyelles u,
homophone
A*,
28,
de
la
au fémi-
nin des participes en
leur
dans
l'g. 28,1;
de
les qualificatifs
^tA
de
;
4*'lîA i
f
devant 28,9.
ÔOl
Pluriel
121
1 1
8
du nom
;
brisé 122
;
sain
:
du
;
195
124; des
196
plurilitères 125-126; pluriel
pluriels
127
rendu
dans
parfait la
le
par
causale 200,
la
i
;
conditionnelle 200,2; la re-
lative 202,^
;
dans une subor-
donnée marquant 202,4
;
W
avec
rendu 202,
Prédicat 234
2J5
nom
;
5
la
répétition
par le parfait
;
indéfini
objet direct
suffix. pers.
;
220, objet indirect 223
nom
personnel
pro-
;
237
copule
Proposition, Otôtq des
249
;
parative 25 2
;
causale 25
3
;
fi-
254; consécutive 255
nale
;
conditionnelle 256; concessi-
ve 257
;
259
rendant dant
et qualificatif 256.
mots 247-
indépendante 250; com-
;
tive
.
prédicat verbe
;
interrogatif
empl. du pron.
accord des pronoms 238.
14J.
pi.
Plus-que-parfait
de
des
suffixation
;
personnels au
emploi du pron.
qualifica-
12^, brisé
tif: sain
20-
1
la
temporelle 258 ;
;
rela-
complétive relative ren-
finale 254,4,
la
conditionnelle 256,3
;
Préposition 176-177.
complétive objective 260, sub-
Présent rendu parle parfait 202,
jective 261
par rimparfait 206.
Pronom personnel 134, suffixe stratif
interrogatif
isolé
155-147
1
5
1
;
1
;
3
2-
démon-
relatif
148-149;
150;
indéfini
1
5
2;
emploi du pronom personnel isolé
1
87- 19 1 ; emploi du pron.
pers. suffixe 192. pers. sutF.
192,2
;
après
coordonnée 262;
nominale 180. Qualificatif primitif et dérivé
verbe sain 96 ; du verbe litère
me nom du
VlifO
du
W
et
après le gérondif 64
;
238,3; em-
ploi
du
ploi
du pron. démonstratif 194;
pron. relatif 193
;
em-
107;
genre
du
pluri-
11 6-1
17;
nombre 123-124; emploi com-
Le pronom
après le qualificatif
;
subordonnée 252; verbale 180;
184; formé au
relatif
H
186.
Complément
qualificatif au
l'état construit
2
3o,au
de Taccusatif 232. prédicat
236,
moyen de
231, au
des prépositions
moyen
moyen moyen
Qualifie,
épithète 239
;
302 accord 2j6; comparatif et superlatif i86.
.
Quantité des voyelles.
ment dans
\, i
:
.
•
Change-
les verb. gutt. 29.
Redoublement 23 Relative 259
;
254,4; aune
nelle
256,3
condition-
remplacée par
;
une temporelle 259.
dicale simple 60; formes déri-
211 .
;
;
valeur et emploi 209-
le souhait
4.5
;
211
;
2
;
210
dans dans
dans
la
complétive la
210,
subord
prop.
comparative 252,
la finale
temporelle
A
avec
;
la
consécutive
dans
l'exhortation
marquant
254
255
258
dans
;
dans
;
dans
;
260
objective
pluriel
unique 235,3
et singulier 235,5
7
;
la
;
;
71.
TempSy notation 168; ère éthio-
171, 241
mois, jours 170-
;
heure 241,4.
;
Verbe. Radical verbal 41
mes verbales 42-45 de verbes 46
;
nom
64
;
classes
;
trilitère:
dé nominatif 65
blé 46, 66-67
73-74
;
le 46,
infinitif 213.
temps,
46, 77
68-70
de
;
de
;
76 ;
;
de
de
la 3°
la i*
la 2* rad.
la i*
la
de
3* rad.
la
verbe de
;
redou-
;
faible
î
46,
guttura-
2* gutturale
gutturale 46,
78 verbes doublement
faibles
et gutturaux 46, 79-82
;
;
drilitère sain et
;
faibles
col.
for-
;
modes, personnes 46 ; smn 50-
46, 71-72
235,6; indéterminé 235,
;
Temporelle 258.
la
pluriel
i:\.
i" faible
;
pluriel multiple 235,4
lectif
de
la 2* faible
la
complétive subjective
singulier multiple 235,2
sujet
;
'
'^>'
qualificatif 186.
les verb.
de
particule
;
l
de consonnes 37
rad. 46,
Sujet 233; singulier unique 235, ;
àM
la
261.
I
69
'.--.i
:
pienne 169
Subjonctif verbe sain, forme ra-
vées 61
Superlatif
dans
équivalant à une
finale
178.:-.- :'-
Suppression
36.
;
Pxoïiom 135
Suffixe.
et gutturaux
Quinquilitère
ment,
sujet
:
qua-
redoublé 83
87 voir
;
85.
;
—
compléces mots.
Verbe impersonnel 235,8.
808
Index des mots
II.
donné
qui ont
changé en à 29
â
verb. â
f.
3* p.
't' suff.
nence
du nom 94;
dési-
du nom 94
120; 123
;
dés.
VtiiO 192,2 suff.
208,2
;
pers.
237,3.
;
3' p.
135-147;
192; 238,3. Ifi/o^ suff. pers. 3* p. 135-147
;
192; 238,3.
Aprép. 147; 166; 210,4; 215;
125.
;
des formes
quelques observations.
WTr
30; 120; I2j; 125.
pi.
p;
suff. flex.
pi. "J^.
form.
â Tr suff. form. pi.
â
;
lieu à
et
â
V dés.
du
n.
de
relat. loi.
219; 224,3; 226,7; 228, 235,
â
J8»
dés.
du
n.
de
relat. ici.
3; 254,3; 260.
ë fD pour u (O 28,9. ë pour ë 29
94
;
;
^
pour â
AiiS, AA*h, etc..
form.
suff.
3 1
du nom
ace.
;
de
i
ê 't
suff.
du nom
form.
ë
f
pour
i
i
1*
suff.
form. du
i
pourë J&
o 1*
suff.
f
3
3 1
y
nom
1
pers.
nom
préf. form.
^^^
94.
3*
p.
du
m.5
3.
135-147;
122.
interrogat.
1
;
nom.
151
;
^^Tri* interrogat. ace. 151; 195.
^^i* interçogat. 151; 195.
suff. pers. j; p. 1.35-147;
^V-^indéf. 152;
192;
195.
195.
192; 238,3 ;interrogat. 245,2.
238,3.
;
du nom 93.
interrogat. ace. 15
9"'}'h 3' p. pi.
du nom 93
'^^T-Al-pl. bris. Î^*1-Al- 164.
94.
.
;
144.
préf. form.
part. 99.
9^
31.
form. du
u pour ë fl^ suff.
94.
28,9.
o pour â fl^
îh
ih9^ gendre *"*
30.
pr. pers.
134; 188.
^^hrt-cent 1)7.
196.
304 .^'^mï 175,10; 224,10.11; 258.
Chh
^'hA
numéral 165.
IJ4; 191.
^i'A
A'ù'h 152; 196. fia 178,7
;
199
200,2
;
201,1
;
^'tà
jj.
50;
5 j
;
parf.
I,
4»+A
form. nom. 92;
+'tA
fém. de
nom 92
pi. bris.
M'A
;
adj. 28,
n
adj. lOO.
4"^^* gérond.
A
I,i. 1,2.
;
infin. 1,1.
147; 152; 165
64.
•flîiA.
63; form. nom.
;
166; 224,1;
177,9; I92,^
152; 196.
dM-t
177,18; 224; 253,1.
$^
assimilé
•f*
nom. 92.
3 3
préfixes pars,
^^^ form.
de
nom. 92.
^^tir, ^l'/Hh
infin. 1,2. 6j.
«fe^îA participe 98.
1,3.
97.
n. d'ag.
nom
;
dans
76
;
5 3
^^A-, jHhAHh infin.
;
préfix. for-
93.
préf. pers.
i-4*+A 1,3.
63.
verbes
préf. pers. 59.
form.
64.
;
pour l*
les
't indice fém. parfait
parf. 1,3. 54-
^;^A«
la I* gutt.
matif du
^
241,3.
^-fcA" gérond.
supprimé 37
;
préfixe verbal 43,3
^^IhA form. nom. 92.
^'^A
92.
nv- 245,5.
parfait 1,1. 50;
+'|îA92;
nom
;
12; 235,3.
(Mf''^^
adj. 100.
4»'lhA'lh form.
62
;
224, 2; 224,3.4.5.6; 224, II.
97."
^-fc/t^l* infin. 1,1.63.
92
form. nom. 92.
^^^ 258;îtî^*JÇr^ 258.
+'fcA'h form. nom. 92.
^l'A
¥^^^ 28,6; part.
^''IhA impér. $0
4»;HV^ nom d'ag.
4**6
fém.
4*'hAl' form. nom. 92.
form. nom. 92.
122.
;
nom. 92.
98.
4"^A^•
5
;
4';i*A form. adj. 100.
parf. 1,1.
4»;^A
nom. 92
;
122.
^••t'A'ih form.
2. 54.
"hA
50
impérat.
pi. bris.
;
256,4; 258.
+ assimilé
form. nom. 92; adj. 100;
54.
3* p.
57,60
;
f.
s.
préf.
du nom 93. parf.
III,i.
54
;
111,2.
805
-h+'ThAparf.
-t^-tà
hii
1.54-
III,
nom. 93
;
164.
V pour
35
;
suff.
verb.
i'
p.
53; pour Tr préf. pers. dans
pi.
de
les verb. suff. pers.
la
i*
gutt.
76
;
135-147; 1^2; 238,
l'p. 135-147; 192.
V
préf. pers.
format,
M^ 228;
258.
186; 252,2.
copule
;
245,2.
tiao^Tfp suff.
form.
du nom
134; 191. pers. dans
verb.
de
form.
du nom 93
quant
les citations
h
la i*
76
gutt. ;
;
suffix.
28,2
;
les
1
mar-
K^ihlfi
129.
M^tï^
28.
h^ i75»2o; 210,4; 211,2; ïi préf. pers.
M
242.
57; 60.
;
187
;
;
187
;
et
h^^hli
256,3.
178,21; 201,1
;
258.
h9^^'h/: 178,24; 199;
258.
258.
XA^253; "ktïïl
194,3; 259.
133
178,11; 199; 258.
262,4.
255.
262.
hArelat. 150; 193
;
194,3; copule 237.
M^h^ M^tt
indice du vocat.
pers.
pr.
préf.
préf. pers. 59.
h
pr. pers. 133
copule 237,2.
94.
hl'i'ti
h pour "h préfîx.
pr.
ïii^i 177,5; 186; 224,5; 228;
;
Wtî
245,5.
i^oDi 257.
j^oD-jf
94.
148; 194.
152; 196.
i
1 préf. pers. 57 60. 'iM pr. pers. 133; 187
194.
;
178,11; 224,11; 258.
K9*^V suff.
148
159.
hth^
h^ 256.
Çl*
;.
pers. et possessif 134; 190.
îiAÇ
suff. pers.
;
pi.
KAO^
"h 245.
59
pi.
hiiJM, IMiJMl, etc..
h^
h
du nom
151
pi.
147,1; 152; 196; 235,3;
242,3.
prép. 147.
'^
îiA dém. ace.
KAO
i""} préf. verb. 84. •Ilfl
interrog.
ïiAr dém. nom.
pi. brisé 122.
'H[»'l'A'1h form.
^"^
195.
111,3. 54.
^•^l'A
a
WlhiK^258.
806
M't'Xb dém.
îtft-Hl»1'Aparf. IV,i.54
t^tl-t^-ta
I.
parf. IV,
IV,
2.
htt'i' préfixe verbal 43,^.
h^i-à parf. II, ^ h+l-A parf. 11,2. îi4»f'Aparf.
h^'hA
pi.
tii^c^
54.
pr. pers.
178,17; 207,1; 258.
122.
MP
245,4.
hb
122.
bris.
242
Ît4*+A
pi. bris.
122.
Ko^
ît4»;^A
pi.
hf»
bris. 122.
M
ti'ù père 144. 144.
pers. 135
pers.
133
;
187
;
15?
;
187
;
19^; 194,3
;
dém. ace.
f. s.
149
n.
f.
s.
dém. ace.
f.
s.
149
194.
pers.
147; Ï92
;
lu
;
\h
195.
;
151
pi.
;
préf. verb. 76.
28,1.
;
suff. flex.
suff.
2**
pers. 53
149
pers.
262,5.'
W'A
;
135-
238,3. verb.
i*
152; 196.
p. sing.
2* p. 53
147; 192; 238,3.
194.
K'J'lhh"
151
bouche 144.
suff.
Yb dém.
pi.
167.
îiÇ
;
194.
h^y
A^Jipour A.f
h
227; 259.
M^Tn±
151;
K^pour AuK35.
h^
2^7,2. îi'^i'relat. 150;
195.
195.
K^f» pour
pr.
1 ;
interrogat. ace. sing.
hS^i* interrogat. ace.
177,9; 224.
M^ïli*
interrogat. sing. 15
hS^'t interrogat.
187; 2^7,2.
,
2^7,2.
Mil
262.
195.
préf. verb. 84.
pers.
;
262.
;
hïiV- 245,5.
pr.
187
;
II,i. 54.
122.
h'î'f'
133
237,2.
54.
pi. bris.
Md^'ii
187;
237.
ît4*1'A
M^ frère
133;
pr. pers.
pr.
190.
;
Mn
pi. bris.
îi4*'lhA'ih
194.
;
pers. et possessif 134
M^l
K*^
149
M±M, h'ï-fchh, etc..
54.
Mpr.
f. s.
;
5 3.
135-
307
UMl
1)2
196.
;
h^prép.
147; 178,21
211,2; 251,1
;
254,1,5
;
200,1; ;
255
préfix. distributif i65.
If
dém. ace. m.
;
H dém. 2'
suff. pers.
5^
p.
;
1^5-
147; 192; 2^8j.
M
192,2; 200,5
h^
suff. pers.
208,1; 237,3.
;
2*
p. 53
;
135-
pt
pers.
134; 189; démonst. 194,3.
ajouté dans
38
;
nom
le
la suffix.
supprimé dans
O^
pour
OK
inséré
Ht
dém. nom.
37
O^h't
;
pr. pers.
pr.
des pers.
Ifh'fî
le
verbe
;
pers.
pr.
dans
pi.
H
conj. 261.
If
relat.
;
187
;
133;
1
87
;
copule 237.
;
dém. ace. m.
s.
1*49
;
dém. nom. m.
s.
149
;
dém. ace. m.
s.
149
;
?58.
s.
149
;
194.
Tfh» dém.
ace. m.
s.
149
;
194.
Tftb dém.
n.
;
m.
s.
f supprimé
187;
ajouté dans
133;
187;
71
etc..
; 194.
pr. pers.
le
la suffix.
nom
7?;
sutr.
37
;
des pers.
supprimé dans
;
;
dans
le
pers. 53
;
verbe 135-
147; 192; 238,3.
copule 237.
P pour
f» préf. pers. dans les
verb. i*gult. 76.
f» préfix. pers. 57
152; 196.
149
et possessif 134; 190.
133;
150; 193; 194,3; 227;
relat. indéf.
148
ÏLM, ILMl,
copule 237.
259.
M
148; 194.
Ifln^iî dém. n. m.
38
pers.
démonst. 194,3
194.
;
Ï94.
li\t"t'
démonst. 194,3.
fl^hiï
148 s.
s.
H?i'>nA25 5;
IQ4.
CD«>|^0i>« pr. pers. 133
démonst. 194,3
f. s.
194.
suffix.
démonst. 194,3
194.
;
148; 194.
Ulr'P dém. nom. m.
;
bris. 122.
ff^h'f''i
fera. s.
dém. ace. m.
If^'f"
28,9.
ou
148
148; 194.
dém. ace.
Ifh't'
^9; 71; 75- conjonction 262,1. fl>-
148; 194. s.
194.
Vl*^?, ïl«^h, etc..
supprimé dans
s.
f.
H'f"
147; 192; 238.3.
(O
s.
li dém. nom. m.
260; 261.
h«^-
If
J2.
pour
f».
28,9.
;
60.
308 f> inséré ou
suffix.
dans
pi.
bris.
JK-h'fc pr. pers.
122.
194,3; copule 237.
f préf. pers. 59. JRM'A subj. 1,1. du parf, 50
;
50
;
JR+1-A
^h't
e•^ en
a,
1,1.
du
parfait
en
ft assimilé 33. supprimé 37.
1
262.
assimilé 33.
rtl assimilé 33.
60. imparf.
pr.
245,4.
Hhf^
60.
Ji^4»'^A subj. ë,
133; 187; dém.
I,i.
pers.
démonst. 194,3.
50:
13^
;
56.
187
;
T+ 186. T changé en 1* après A
3 $
.
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