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Maggiore
U DE
VITO
«RAMMATIOA ELEMENTARE
DELLA
LINGUA TIGRIGNA
ROMA TIPOGRAFIA POLIGLOTTA DELU
S.
C.
DE PROPAGANDA FIDE
1895
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THE Nnrw YORK PUBL'C LIBRARY '^-^ (): ASr3^. L«N )K ANO TlLOtN FotriJATIONa.
Pro wietà mttemrm
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Gli
sono
elementi per lo studio della lingua tigrigna
stati offerti
voce con
mi
mi
principalmente dalla conversazione a viva
abissini di
Adua: -ed
all'uso della lingua parlata
sono attenuto in questa Grammatica. Roma, Aprile
1892.
L.
de Vito
Capitano di Stato Maggiore
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GRAMMATICA ELEMENTARE DELLA
LINGUA TIGRIGNA
La
una
lingua Tigrigna, parlata nell' Abissinia settentrionale, è
lingua semitica ed appartiene al gruppo settentrionale delle
lingue abissine, del qual gruppo fa altresì parte la lingua Tigre, diffusa nella regione fra la Tigre derivano
ambedue
parlato da diversi secoli,
gica
dell'
Massaua e Kassala.
ma
Abissinia cristiana.
rigna o Amarica, parlata
e che, assieme ad
dall' antico
è ancora in uso
— Affine
Su
tali
lingue
si
— Praetorius,
— d",,
la lingua
nel Goggiam,
Amarinha (Parigi 1881), Amariha (Romxi 1889).
Guidi,
gruppo
Grammatik
Lexicon linguae aethiqpicae
— per
la lingua Tigrigna':
Praeto-
— Schreiber, Marniel de lessico; — per la lingua Tigre:
la Langice Tigre (Lipsia 1867),
—
il
(Halle 1872),
Amarigna, citando
Die Amharische Sprache (Halle 1879),
litur-
Ama-
Grammatik (Porta Lirigtmrum
Aethiopischen
la LdngiLe Tigrài (Vienna 1887), e nessun
Munzinger, Vocabulaire de
— per
lingua lingua
hanno: pel Ghez, principalmente: Dillmann,
Grammatik der Tigrina Sprache
matica;
la
(1).
Orientalium del Peterm^nn, Lipsia 1886) ; rius,
quale non è più
come
Ghez è
Tigrigna e
altre lingue secondarie, costituisce
der Aethiopischen Sprache {Lipsia 1857), (Lipsia 1865),
al
il
nell' Amhara, nello Scioa,
meridionale degli idiomi abissini
(1)
Ghez,
— La
i
e nessuna gram-
lavori più recenti:
Praetorius,
— D*Abbadie, Dicfionnaire de la Langue Grammatica elementare
della
Lingua
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FONOLOGIA Dei Snoni §
1.
-
La
lingua tigrigna
si
scrive col seguente sillabario^
cui ogni segno, o lettera, rappresenta
mente
vocalizzata, a
ìxt
una consonante diversa-
seconda ùeW ordine cui appartiene:
—8— come
destra della lettera, alto,
denota
il
T
A, le.
ord., p. es.
/!•
Lo
stesso cerchietto, posto in
lo,
ma
più aste prolungano invece in basso dia, p. es.
/i
zando l'asta
so, 1^ mo.
Il
6^ ord.
o
la
media,
di sinistra
nendo un segnetto
es. ih te,
scosta dagli accennati
§
— Circa
3.
m?
4>,
^Ck>
asta di sinistra o la
me-
viene rappresentato spezp. es.
ke,
h
i»
o po-
te,
in testa alla lettera, o a destra e in alto,
a sinistra di essa, p. si
l'
talune lettere a due o
JB^
tipi di
de,
-fl
—
be.
Qualche
o
lettera
formazione.
valore delle lettere è da notare:
il
(0)> Jt^ altrettanti suoni (esplosivi) propri alle
ft
lingue etiopiche e che occorre udire. Si pronunciano quasi stac-
candoli dalla vocale cui è rt
K
,
Il
è
•^
è
appoggiano;
ha suono
g he dèi) di
i
loro suoni schiac-
sempre
il
suono duro,
(1);
labiale
ti
(il
w
ingl.
in
wordl)
e la
p
nei dittonghi;
i
una debole aspirazione; più la
dz ;
aspro;
di s
conservano sempre
Éft
avvicina alla nostra
alla Ti
si
e talvolta volge al
(pron. teiàu), e i
iftA (pron.
la 01
la
T, ^, Tf
p. es. ^^^ush
p. es.
si
j
come R
hanno suono uguale
e IP
ff > ciati
letto
A>
forte è la
che tende
quale è un'aspirazione raschiante;
una profonda aspirazione: non raschia come
la
A? con
quale per altro nella scrittura spesso viene scambiata;
K
non è suono,
ma
euono che precede e che segua,
p. es.
metzà-kà).
la
4M1*
indica distacco
vocale da cui (pron. quasi
In determinati casi la
(
K
'-)
è
nella pronuncia fra affetta,
sà-ànet),
K
perde
il
o altra lettera aoUTtJii
(quasi
suo valore
di
'-
e sta a rappresentare la sola vocale dell'ordine. (§6, b); è voce emessa contraendo la laringe, p. es. 0/^i. *arefé,
b^^
*erùf.
Le rimanenti
lettere
hanno valore analogo
alle
corrispon-
denti del nostro alfabeto.
(1) Si
rammenta che, a
differenza di altre semitiche, le
lingue etiopiche
scrivonsi da sinistra a destra.
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§
La del
— Sulla
4.
-
9
vocalizzazione delle conson. è da osservare
r ord. è generalmente
vocale del
e (aperta) se la conson. :
con é
ord. è terminale di parola, pronunciasi
l""
pronunciate con a (breve), p. es. dià-ìì
accavdttèré).
— La
w
nunciano quasi sempre con b,
2**
ed
i
w^
p. es.
dittonghi, si pro-
(pronun. tióddi),
vocale d£l 5° ord.
pronuncia
si
esprimono
u. I dittonghi
il
ord. coi segni di tal ordine delle corrispondenti lettere semplici.
ordine è pronunciato con
3*"
Il
ma
ra),
al
iniziale
le let-
kam, h^fìmd
(ccuòrbèt).
"fe^flìh
La
—e
hardss)^ hthA {an-assé),
(pron.
invece
*se al l^'ord.: le aspirate-gutturali,
tere 4», h, Ti se iniziali o prime rad., p. es. hlT*
(pron.
(stretta),
ghèvèré), M^fi (dèmbé). Sono
(pron.
p. es. «ifl^
:
l""
e
quasi sempre
A""
i,
il 4""
ed
ordine con à (a chia-
pronunciano ugualmente
le aspir. gutt. si
ord., e nella scrittura è spesso usato
p. es. %#ii>ìh per
OHao^
ambedue
(pronunciati
il
4"*
'à
pel
l*"
ord.,
lem et,
essa
tessette). 5**
Il
tire
ordine è pronunciato con é,
innanzi a sé una breve
i,
p. es. 0ȓh
pronuncia della loro vocale, specie nelle
biati,
1^ ord., se
verbali,
pronome
suffisso di 3' S*"
ord.,
lettera del
6''
1**
vengono
valore più breve della
i
f.
plur.)
l'affinità nella
talvolta
scam-
aspir. guttur. del
rad. di radici
determinano
considerandosi questo in
la loro vo-
tal
caso, per
ord. (§6).
ordine
d'appoggio {e oppure
con
ord.
consonanti terminali. — Le
sue proprietà, come
La
e
brét. Per
debbano pronunciarsi con e (ultima
cale col segno del le
S""
1**
quale facilmente fa sen-
la
si
pronuncia con una breve vocale
e talvolta a, specie con
le aspirate)
e muta francese, — oppure, se
per
fe sillaba
lettera precedente od è finale di parole, senza alcuna vo-
cale, p. es.
h/Jl
kedàn
(quasi
k-dàn).
è pronunciato con e se deve avere
debba averla rimane
col
suono
la
di w,
dissimile dalla vocale del 2^ ord.
;
Il
6° ord. dei dittonghi
ma se non
breve vocale,
che nella pronuncia è poco
nella scrittura
il
segno del
dittongo del 6° ord. viene spesso scambiato col segno della cor-
rispondente lettera semplice del De Vito, Grammatica
tigrigna.
2''
ord., p. es.
4^A^
qa
1
f i,
che
2
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VjOOQIC
-
—
10
—
anche «fcA^ qùlfi. Lettera del 6^ ord. terminale di parola rimane senza la breve vocale, se ad essa, nella stessa pascrivesi
rola, si faccia seguire
qualche cosa, oppure una
1-
o
p.es. iflC
-fc,
—
gever-HS" nà = iflCS' gè vernà,«7flC + 'l:=g^vèrti; riceve invece e {i), se si aggiunge una conson. del 6" ord. diversa da
1-, p. es. lì
p. es.
T""
m.A
tél-4-1 =
m.A1 télen.
ordine pronunciasi con o (aperto) e talvolta con
A
ipl^ quongò.
tal
ordine
dittonghi sono rappresen-
i
coi simboli delle corrispondetiti lettere semplici del
tati
che
caso pronunciasi sempre con
in tal
Il
segno
«
individua
le parole,
i
segno analogo. Nella
ord.,
equivale al nostro
nostro punto. In
al
capitolo o di parte dell'esposizione, in luogo di s si altro
7**
r/o.
segno
il
punto e virgola, e » corrisponde
uOy
scrittura, in fin di riga, la
fin
di
X
o parola può pone
separarsi in qualsiasi lettera, senza riguardo a sillabazione.
Delle Parole §
o
5.
— Le
conson. di cui consta una parola possono essere
tutte radicali,
e suffissi). sidera,
o in parte radicali e
— Radice
quando
in
in parte ausiliarie (prefissi
delle parole aventi le stesse rad., si con-
uso,
la
3'
pers.
masch.
del Perfetto
sing.
—
modi per la derivazione di padel verbo fondamentale (§9): role dalla radice, sono il cambiamento nella vocalizzazione delle
—
radicali e V aggiunta delle lettere ausiliarie.
Nelle parole, le singole conson. sono ciate col loro valore alfabetico
pronunciarsi doppia,
il
che
:
ma
la scrittura
indica la pronuncia delle lettere del
yegébber
normalmente pronunalcuna di esse deve
talvolta
6*"
non
indica,
ord. (se con
come non e,
o senza),
fa fare^
2**
yegvér
faccia fare. Lessico e morfologia additano
le
doppie conson. e
p. es. f^-flC
determinano
1*"
la
egli
6"*
vocalizzazione delle lettere del
ord.
ch'egli
—
Nelle parole di due sillabe T accento tonico cade per lo più sull'ultima, p. es. flA¥ talvolta
i,
selèf;
ma
se questa ha la vocale
l'accento retrocede sulla prima, p. es.
e,
e
R'njf d è n g e z,
Digitized by
VjOOQIC
kébdi.
IHI"^
Nelle parole con tre o più sillabe, T accento cade
chiara pronunzia, e a preferenza
di solito sulla vocale di più
sull'ultima se questa abbia
ymellàles,
—
11
una
una
à,
m£^ woridù. —
Il
od una
o,
u, p. es.
J&noAAft
posto dell'accento tonico è
sempre determinato dalla forma della parola. Le parole sono qui classificate in verbi, nomi e particelle.
del resto quasi
Leggi e alterazioni fonetiche §
6.
—
a)
Ad una
sferendo
la lettera
una
ponendo
é, iéy
Ad una
lettera del
l"*
ord.
la lettera al 6^*
lettera del
5**
aggiunge una u,
si
tra-
—
1h-u = '>; si aggiunge p. es. +h-ì é = 4; t^'é (tè).
T* ord., p. es.
al
ord.,
ord. (con, o senza e)
si
aggiunge una
vocale, trasferendo la lettera all'ordine corrispondente alla vocale, p. es. A-+-e (a) =
^-+-i =
*Tt,
A
(a) =
A-+-e
A
ha, ^-+-u =
no-,
ecc.
La h quando perde
b)
le,
valore di
il
'-
,
la /&
e la ID
,
hanno
la
proprietà di potersi inserire in lettera che preceda.
La h rappresenta o se
la sola
vocale dell'ordine, se è ausiliaria
come
iniziale di particella:
tale, si
aggiunge a
del
lettera
ponendo questa al l'^ord., p.es.1«H-Kl=+1 ten, ^^ft-H-h» notando che || dà e alla lettera del 6** ord. -^•dth fere su,
e^'ord.
—
da
cui è assorbita, e sparisce senza lasciar traccia se tal lettera
sia
una
/&, p. es. ||1^•-+-||-MIC
àygèbber
-+->i'MIC = Ki&'MIC
Le f o 6*"
/& ausiliarie
éntegèbber, hf^ àyegèbber).
= ll1^^•flC (per
sono sempre assorbite da
ord. che nella parola precedano ed a queste
od una =
lume
è
una
/&
i,
Tl-t-f^-flC = in-flC
p. es.
kigèbber; — notando ,
,
ID, del
la lettera
pronuncia una
l""
o del
6"*
ord., radicali,
ma
né pronunciate doppie, possono esser assorbite precede, se del
caso come
i,
1*"
u, e
(ié)
che precede e, p. es.
hf^
àyegèbber.
-+-i&-MlC = Ki&-MlC
La f
danno una é
^égébber, h-H/t-mc
che se
la /& assorbita lascia nella
del
lettere
o
6"*
si
— La
e la oh
si
inseriscono secondo
il
ord.
/&
non prime rad. dalla rad. che
considerano § 6 a;
—f
,
in tal id si
Digitized by
VjOOQIC
— inseriscono in lettera del
o
l""
—
12 6^*
cambiando questa
ord.,
rispet-
tivamente all'ordine S*" o al 1\ p. es. ^Ml per 1-Aì*/&, IlR per hf R i&¥* per J&^-hOH lfi> per hiD> Ove gli ord. 5% 7' contengano una f ID assorbite, la pronuncia ne è di solito de-
—
•
,
,
,
terminata con
Suoni
di
f
nò, e quindi leggesi tbft k/édè,
ré,
possono scomporsi
ID
,
come
dell'ordine: e quelle venir assorbite
w,
in y, i,
kwòne.
JiJ
più la vocale
u, da lettera ante-
cedente, questa mutarsi in conson. debole, p. es. Vf»"^ in luogo di np^-l:
.
—
opposto, una conson. del 2^ o del
All'
ponendosi
liberarsi dalla propria vocale libere
suoni
entrano a comporre, con di ID, f, p. es.
Lettera del lata a questa,
frH-^ =
usando 4"*
del dittongo del
ord., e
memmr^àt
per
(pron.
*per
ord.
i,
può
lasciate
una
è da taluni assimi-
1»
la
h, +,
i,
*^,
i
segni
segni analoghi
le altre lettere,
^^^
xnekukiì) per ^hfl^,
per 9^9^^^, ecc.
aggiunge che
yegèbber;
— che
P. e /&
e,
p. es.
spesso
può cadere dopo
Una
{Oy àij
asp. gutt.
parola (ausil. o rad.)
di
/&,
lettera del 3° ord.,
e)
u,
la
sewó, Xì^-^h^ììf keyà.
ah iniziali pronunciano quasi sempre senza Si
e*":
debole che seguisse,
lettera
caso per
in tal
mek^/àn
p. es. 9°y\T!
ftp
ord. precedente
&""
al
3**
"hj
si
'^j
ygèbber
fJ^HC
scambiano, e che
AP. = A/&
h
,
tijf»
O)
('a)j
si
= A*
la j6
•
radicale di
parola, ha la proprietà di poter influenzare la vocale d'altra
conson. che preceda, sempre che questa
del
1*"
o del
ord.),
se
media
sia
&" ord. (con e),
Asp. rad.,
gutt.
cambia
pronunciata con a, a in a le vocali e,
e,
che
(1"*
la
o
4**
precedessero, p. es. SiA\C
— se
per ftAC, ìì^f: per h^JC* (^ per A, § 4); le sopprime (1), p. es. h9^% per h^% {% per Asp.
gutt.
senza vocale cambia nel
che dovesse precedere, gutt. del
(1)
Il
3''
ord.
media
p. es.
4*"
la
|J,
ultima rad.,
§4).
conson. del
l*"
ord.
n^Klih mezà'kà, per m^Klih —asp. ;
rad., e asp. gutt. del
2"*
e
3*"
ultima rad.,
che non ha luogo se la à deriva alla asp. gutt. da qualche lettera
inserita «(nel verbo,
un
suff. di flessione).
Digitized by
VjOO^IC
.
-
— la
pongono invece
al
6""
13
— kehidù,
ord. p. es. IfiHu^
per lidu^y
ft^^ per ttao% Nei
media
e la
tigrigni del
dialetti
rad.
nord
la
prima legge non è
con a, à, osserva l'analogia dell'ultima; onde /^M scrivesi tiM pronunciandosi la prima
p. es. in
luogo di
rad. con
una brevissima
,
a.
Nelle parole in cui la media rad. è identica all'ultima,,
d)
havvi contrazione delle due rad. quando 6**
seguita,
la
media
rad. sia del
ord. e l'ultima d'ordine diverso. Ciò avvenendo, l'ultima
rad.
pronuncia doppia,
si
yseddi, per f^AX^^y ^^
p. es. /RA-S.
per contro ^AX:X:y f^iìf.Ji: ecc. Una A che preceda una ft, ed una
R
che preceda una.J^
analogie delle lettere identiche, p. es.
m^ wòddi
per IDA-?., >3l gr^ónni per T^JirY,. Alterazioni. Talune conson. cambiano, § 7.
in determinati
seguono
le
—
casi,
il
loro valore alfabetico.
La n ad
si
pronuncia generalmente
altra conson. vocalizzata:
nunciata b, e sempre
v, se,
avendo vocale, segue
diversamente è quasi sempre pro-
quando debba pronunciarsi doppia, p. es. VflAHA nevelvàl, /&HIC ygèbber. Quando è semplice ha valore così debole, che al 3"" ord. talvolta è omessa, e la
poi,
vocale da cui è accompagnata è espressa con ^^ se
o diversamente con
geyrù
/&,
p. es.
A«Ah
iniziale,
tu hai detto per
n«Ah>
ed anche 14- grérù
(§6, b) egli ha fatto per lfU4-> ecc.— Innanzi a + o m, una (1 senza vocale passa facilmente a ^, p. es. ^9'bh nàftià verso quella per S'-lH:^ La h si cambia in fi se, avendo vocale, segua come rad., o debba seguire come ausiliaria una lettera vocalizzata (anche con e) p. es. ^^A-+-h (ferès -4-kà) = ^^Ah fereskà, ma 1A-+-h (nese -+- kà) = lATi nesekà. Parimenti può cambiarsi in Ti una h senza vocale che preceda un'aspirata, p. es. Kfìthf^ a/ehéd per MìihJi: La + non prima rad. perde qualche volta la crudezza della 1)64.
sua pronuncia, accostandosi in fl4*A«; quasi
bèghli\gh
al
suono
della
araba >,
p.
es.
gargarizzato).
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— p. si
14
—
Non raramente una A ultima radice è raddolcita in ff, es. diimS per #h1mA così una + che si assimili una ^, schiaccia in ^, p. es. ao\i4^^ per ao\i4jf^f ;
,
La p. es. Ufl
molti vocaboli segue
in
Nell'uso
comune
delle conson.
per
KinChh
nedirebbe,
l'ordinaria vocalizzazione,
h e V é dare^ per h a v é.
^
della lingua, frequente è poi lo
scambio
ed 1, e delle vocali e (a), o, p. es. K9^ncl9h per ^fl^Ti egU be-
egli fece inginocchiare^ Ifl^Tl
1|iTf-fr/&
per 1liTf+/& piccolo, ecc.
-5-^/^^^?=^-^-
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—
15
MORFOLOGIA DEL VERBO
—
Il verbo è fondamentale o derivato. Il verbo fonda§ 8. mentale presenta alla radice tre o quattro conson. tutte radicali,
ed è quindi triUttero
come
come
Afl^ rompere, o quadrUittero
#hlhA zoppicare. Alterazioni fonetiche possono aver fatto scomparire nel verbo qualche rad., p. es. in flA dire per flUA
verbo derivato premette qualche conson. modifica internamente
la
alle
:
alla radice del
modificazioni
cosi
.
—
Il
fondam. ottenute
nella forma, corrispondono modificazioni nel significato espresso
dal verbo fondam., p. es. per Afl^ rompere,
si
hanno
i
deri-
hhXìà f(^^ rompere, -hA
Forme §
9.
— Forme del verbo
e tre del
1**
ord.,
ed
in alcuni di tali verbi la
nunciata doppia senza che la
Quindi
il
fondamentcde.
Alla radice, le
verbo fondam. trilatero possono aver vocale o
tre rad. del
pure
del verbo
prima rad. del verbo
trilt.
4''
dò
apparisca nella scrittura
ord., e le
può avere
le
tutte
seconda rad. è pro-
rimanenti due del
:
— opl""
(1).
forme:
geberé, p. es. m^ geveré fare gebberé, p. es. ft+A deqqesé dormire gàberé, p. es. fl^Ti bàre/cé benedire. Il
verbo fondam. quadrilittero ha
due rad. del p. es.
(1)
1**
ord.; la seconda, del
RlTH dengezé
e*"
la
prima e
senza
la
le
ultime
breve vocale,
spaventarsi.
Nel Wolkàit Pultima rad.
di tutti
i
verbi è pronunciata con io.— L'Isen-
berg (Bictionary of the Amharic langtuige) nei raffronti tigrigni, scrive al 5* ord. la terza rad. del verbo.
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Con
sua forma,
la
il
16
—
verbo fondam.
distingue diversità di significato,
o quadri.) non
(trilt.
o passivo,
attivo
intrans, o neutro; e può esprimere sia un'azione,
cadere, che uno stato o una qualità, p.
dà
lo
p. es. aBfLt
es. 0/^4* essere in riposo,
Rfl+ essere o divenir buono,— Delle fondam., la forma geberé è frequente, e la sua flessione
transitivo,
semplice e
la
schema per
la
la
più
flessione di
tutti gli altri verbi.
§ 10.
— Forme
del verbo derivato. Le modificazioni concernono
significato espresse dai verbi derivati, il
passivo-riflessivo, V intensivo-iterativo ed
Causativo e passivo-riflessivo sono dì
derivati
tivo. -di
È
:
—
raro è
le
singole forme
una stessa radice verbale.
prefisso
acquista valore di causativo.
mane
più frequenti forme
le
quindi inutile aggiungere che non tutte
attivo: — se
causativo,
reciproco.
il
reciproco e più raro V intensivo-itera-
il
derivati ricorrono per
Causativo. Col
il
K Con
alla
radice,
tale prefisso
il
verbo fondam.
il
verbo è sempre
intransitivo, diviene transitivo, e se transitivo
transitivo,
Nel ricevere
o il
si
di
cambia
in
doppiamente
prefisso del caus.,
il
trilt.
o per-
transitivo.
semplice perde
la
vocale della sua prima rad., p. es. K*7fl^ agveré far fare, da ifl^ fore, K^)l»A ackr/elé sollecitare (fare che si affretti) da ^lioA aver fretta. I verbi che raddoppiano la seconda
—
rad., quelli si
uniscono
che prolungano con a al prefisso
K
la
prima rad. ed
senza mutare
la
i
quadrlt.,
vocalizzazione della
hMh adèqqesé addormentare da ft+A dorhll^Ti avàreké implorare su q. u. la benedizione di da fl^Ti benedire, KRllX adèngezé sgomentare da
loro rad., p. es.
mire, altri,
MlK Il
sgomentarsi. caus. con Kft> che
astèyyeqé
per
hmf
non raramente
4* /<^^
odesi, p. es.
K/lmf4*
interrogare, è forma amarigna.
Il
hMr^ rimasto in alcune poche voci, è forma antiquata (ghez), p. es. hMr9^VÙ astèmheré insegnare (rad. aood)'y hM'Tri.A astènfesé ansare (rad. >^A), in volgare àVàt caus. con
lèhlehé.
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j
—
17
—
Passivo^riflessivo. Col prefisso
mere Il i
il
passivo ed anche
il
verbo passa ad espri-
riflessivo.
il
semplice omette
trilt.
+
—
vocale della sua seconda rad.;
la
rimanenti verbi non subiscono mutazioni interne, p. es. +frfl^
tesevré essere +A+A tedèqqesé l""
tevàre/eé
spezzarsi da
2""
spezzato
giacere (porsi
il
dice e in
tal
loro pass.
con +,
rifl.
rompere
a dormire) da ft+A
esser benedetto ^ da ll^Ti
formano
Afì/i,
.
altri
—
Dei
,
+I1^TÌ
quadri., alcuni
prefiggono
+1
ra-
alla
caso a questi corrisponde una forma attiva con hTr
Le forme con
i^l e
+1
•
possono per una stessa radice quadri,
+, ma allora con diversità di significato, p. es. da m^Mi tèqlelé essere arrotolato si ha hm^hii a tèqlelé arrotolare j 'tm^Mi tetèqlelé arroto-
K
coesistere alle derivate con
h'ìaì^iiii a n
larsi
j,
tentèqlelé
t
e
è q 1 e 1 é rotolare (cader rotoloni)
'tTrm^Mi
esser rotolato.
Intensivo^iterativo. Per denotare che l'azione è eseguita
con
o di resultato) o con ripetuta
intensità (pienezza di sforzo
attività (l'andare e venire, trilt.
prolunga
la
su e
giù,
continuamente,
sua seconda rad. con à e
ecc.),. il
la ripete
con
verbo la
vo-
sevàve'ré frantumare da Afl^ rompere; il quadri, dà à alla seconda rad. p. es. tnaìd qavàteré chiacchierare (di molti nello stesso tempo) da ^Hìmd cale primitiva, p. es. AUfl^
—
chiacchierare (di uno). L'intens.
iter,
forma
11
caus. ed
il
pass.
premettendo
rifl.
del verbo da cui deriva, quindi: h^^^^hA condurre a passeggio e i^noAAA temelàlesé passeggiare (lett: andare su e giù) da aoH/i ritornarej h^nmd gli
stessi
prefissi
am eia lese
—
—
aqavàteré
adulare da 4>
Reciproco.— Col prefisso +, rad. (forma del pass. il trilt.
rifl.
del verbo con
può acquistar valore
mila
alla
prima rad. prolungata),
di reciproco, p. es. +i|^fl te-3^àrevé
conversare (discorrere V un dal quale
e l'inserimento di à nella prima
coli'
altro)
da
discorrere^
if^fl
può avere un caus. premettendo K prima rad. e scompare nella scrittura,
si
De Vito, Grammatica tigt^na,
;
la
+
—
si assi-
p. es. hfìlSi 3
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—
18
—
—
a^-3'àrevé procurare (od alcuno) un colloquio (con altro). Il quadri, non ha forma particolare pel reciproco ed usa le derivate dal suo intens. tarsi V
un V
iter., p. es.
+^¥1* tedenàgezé
spaven-
altro,
Polilitteii.— Fra i derivati con significato intens. iter, possono pochi verbi con più di quattro
classificarsi
per
la ripetizione di
fiammeggiare,
qualche radicale,
4*fllinif
qebè^be^é
la
appiccare
fuoco,
infiammarsi,
i
loro derivati
teqbè-s'be^é
con
K e +,
KinAflA a n v è 1 v e 1 é
-hinAHA tenvèlvelé
-h^'fllinif
quali nascono
ìnAflA nevèlvelé ramingare, andar errando.
vocale della prima rad., p. es. il
i
p. es.
Tali verbi, se quinquelitteri, nel formare
perdono
lettere,
essere in
fiamme,
esser nomade.
Flessione del verbo fondamentale §
11.
—
La
flessione del verbo
ha luogo mediante
speciali
prefissi e suffissi, e l'interna modificazione della radice. Il
verbo distingue
il
Perfetto semplice, che per lo più vale
tre
tempi: il
nostro passato
remoto, il
Perfetto composto, che corrisponde generalmente al nostro
passato prossimo,
V Imperfetto, che risponde
sia al nostro
presente che al
nostro futuro. Distingue inoltre Il
i
modi: lussivo # Imperativo.
verbo ha due numeri, sing. e
persone
plur., e le tre
2* e 3* del sing. e del plur.,
sono
persone;
distinti
i
— alle
generi
ma-
schile e femminile.
Flessione del trilittero semplice. — semplice si forma apponendo alla radice i suffissi: §
12.
Il
Perfetto
— La
m.
3* pers.
La
egli fece.
3*
f.
sing.
aggiunge
p. es. 1(14.
faceste.
geVerù
L' accento
Farad. §
(V.
la,
vocali o
suflf.
i
—
sing. è la radice del
essa fece. Nelle altre voci, inserire
19
^
alla
verbo (§5), Adice, ifl^l-
p. es.
m^
geverèt
terza rad. perde la sua vocale per
per aggiungere
i
suffissi
conson.,
IflChl geverk^n voi (donne) grava V ultima lettera vocalizzata
essi fecero^
tonico
13).
Con i verbi di cui la terza rad. è una h (Ti), +, 1, la conson. h* dei suffissi sparisce lasciando la sua vocale alla 3* rad., che in questo caso è pronunciata doppia: il che vale a distinguere, nella pronuncia, le varie persone, p. es. A^-fe s e r e q ù (
(ìi/lt -+-
u)
^^^i
rubarono,
(i/iit
(
Ad^ -+-Tfl-) sereqqù
io
rubai,
—
Analogamente e cosi ti/i^ sereqqén, per A^4»h1 ecc. avviene con i verbi terminanti da >, neir aggiungere il suflf. ¥, p. es.
da K<»^ credere, ho'^
credettero, 2° Il
con
i
'amennà
Perfetto composto la
1**
'amena (K<^-^à)
esse
(K^»»!-»-?) noi credemmo. si
forma dalla radice, vocalizzando
seconda rad. ed aggiungendo sing.
i
suflf.
.— Verbi terminati
—
inh(Ti),+,i,J, seguono
Perfetto semplice, p. «s.
'aminnà
20
hnS
1"*
'a
mina
abbiamo creduto. Imperfetto forma le sue voci mediante anche con suffissi.
2"*
le
essa
analogie del
ha creduto^
noi
\^'
Slng.
prefìssi e talune
— 21 — §
13.
— Paradigma
del trilittero semplice
— 22 —
—
23
—
^
— 24 — r Imperf. ha
breve vocale e
la
voci senza suff.
ha prima
il
y
seconda rad. col suo valore
alfa-
Il
yegébber
f*WlC
^gyér
rad. in tutte le 3' pers. sing.
me
s
ù
t
tu ritornasti,
— L' Imperf.
e
la
essi
seconda
al
1*"
allo stess'
che ritorni,
temelés
—
luss.,
e dà
pi.,
il
pone
prima rad.
la
alla
seconda
l^'ord. alle rimanenti,
temeleska
al
ordine
la
L' Imp.
mantiene
la
ord.
l""
con
e
/&^Afr y m e 1 1 e s ù prima rad. al l"" ord. e
seconda rad.
ha
vocali
le
p. es.
f,aoMì y
dell' luss.
mme
es.
p.
,
1
ès
-hiT^AA
ritorna!
Nel Reciproco y Imperf. e luss. sono uguali e servata alla seconda rad.
y^;ràrevù
essi
si
distinguono
forma g ab e re, per aver con-
dagli stessi tempi del verbo di
la
f*WIC l'
ord. pronunciandola doppia,
ritornano, — L' luss.
pone
e
conserva e
essi ritornarono, 'hiTDAAh
p. es. -h#7DAA«
1
come
fai fare!
Perf. sempl. del Passivo-riflessivo
e
egli fa far e^ luss.
L' Imp. vocalizza
egli faccia fare.
p. es. fc^-flC
nelle luss.
rad. senza vocale, e
cK
prima rad. e conserva
raddoppiamento della seconda, mentre Y
betico, p. es. Imperf.
egVér
alla
vocale della radice, p.
la
Ma
conversano.
es. f,HiS!lr
nel Causativo del Reciproco
seconda rad. segue V analogia del verbo
di
prima rad. con
à,
fHClh y-^i^àrevù essi procurarono loro un colloquio. ^e\V Intensivo-iterativoy Imperf. e luss. sono uguali e mo-
p. es.
dificano soltanto la penultima rad. ponendola al p. es. J&AH-flC
ysevàver
s e V à V e r stritola
!
— Tale
sativo^ p. es. f hdAAA
— ma
non
nultima rad.
al la
ye
egli stritola ^
6""
ordine con
e quindi Imp. AQ-flC
modificazione ha pure luogo al Cau-
me
1
à 1 e s egli conduce a passeggio
Passivo riflessivo^ che conserva anche
sua vocale, ed
dal semplice intens.
iter.,
e,
alla pe-
in ciò si distingue nella scrittura
p. es.
J&itdAAA
ymmelàles
passeggia.
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VjOOQ le
egli
25
§
19.
— Paradigma Perf. sempl.
del derivato dal
trilittero.
— 26 — come
dei rimanenti derivati, si
formano
in
modo analogo
ai
fondam. (V. Farad. §23). Al Passivo-rijlesswo con +, a quello con +^, ed alla forma AlPImperf., attiva con ht, T Imperf. non sì distingue dall' luss.
—
Imp.
luss. e
la
prima rad. conserva sempre
la
vocale della
radice; la terza rad. mantiene la sua vocale nelle forme con
e +•>,
ma
passa al
6° ord.
con e nella forma con
M,
•!•
seguendo
htl^CT'C angwórgwer prorompi in clamori! (rad. htl^Cl^d)y +'H"CT"C tengwòrgwor sii prorompente in clamori^ rm4*AÀ y e t e q 1 é 1 egU arrotola, J^m4*AA yttèqlèl è arrotolato. in ciò r analogia del caus.
ì>ielV
con hy
P- es.
Intensivo-iterativo e suoi derivati, T Imperf. è uguale
air luss.
— Air Imperf.,
sempre
la
vocale à
;
seconda rad. conserva pone al 6^ ord. con e nel
luss. e Imper., la
la terza rad. si
come nei derivati con K e K^ nia nei pass. rifl. con + e +^, mantiene invece la vocale dejla radice^ p. es. -hlhQ AA {^-^ ht — ^) tenkavàlel tu avviluppi (p.es. ^. e. m un drappo)^ -h^hQAA (^^-+^ — ») tenkavàlel semplice intens.
tu
ti
§
iter,
;
inviluppi.
23.
— Paradigma
del derivato dal quadrilittero.
— 27 — Perf. sempi.
r
Passivo
rifl.
P ini 2**
deliter.
Passivo
rifl.
del-
riiilter.
Foraa attiva
l'ili
deliter.
— 28 — b) l'
Se Tasp.
Imp. dà à
e, p. es. Inàìji-
egli
media
rad.y essa al Perf. sempl. e al-
rad. che la precede, p. es. h^hf^
h^f: kàhàd nega!;
egli nega,
dà
gutt. è
alla
—
nega;
ed
(J&TlAJC')
Imp. pongono
y e/eh ed
al
—
ord. (con e)
ch'egli induca
comp. e
ad
Nel caus., anche TIuss. e
Tasp. gutt,
abiurare, — Nel
sempl., né rifl.
può,
— La
all'
media rad.
Imperf.
come
;
l'Iuss.,
onde
forte
p.
pass.
es. rifl.
non è reduplicata né
nella pronuncia,
raddoppiare
la
prima
fTiAJt la prima
ywwàhàt
rad. conserva a, eccetto all'Iuss., p. es. |lV*liT
è divorato,
all'Imperf.
egli
eh' egli neghi! e*"
Perf.
ha negato, J&hAJ^ ykeh^d non dà alterazioni, p. es. f!.*tìÀ\f:
kehidù
all'Iuss.
y/chàd
— al
kàhàdé
l'
al Perf.
Imperf. del pass.
rad.
Farad, del verbo di inedia asp. gutt.
esso
—
29
—
fu vineitorej e al Perf. comp., Imperf. e Imp. danno alla il
6^ ord. in
è
vincitore. —
Se
e)
luogo del
e al
4"*
{fece
ord. nelle 3* pers.
e""
pasto del meriggio),
semà'kà
tu udisti;
con à nelle voci senza suflF.,
p. es. Trititi
neir Imperf.
fondam.
come
f!.MC ysse'àr per
m. e
ord. nelle rimanenti, p. es. aoiiJh»
il
A^M
al
p. es.
—
Il
suff.,
mesàh
e Perf
i/'^ììJh/ìr
— alPIuss.
tempo
riuss. del fondam.
|IMC ^gU
pranza!;
comp.
f.
d'
ambo numeri i
meshé
egli
pranzò
(§6, e) essa pranzò, e Imp. è prolungata
e indebolita con e in quelle con
—
Il
— vocalizza
caus.
perf sempl. del pass.
lo stesso
rad-
è ter:^a rad., la rad. che la precede, al Perf.
la asp. gutt.
semp. è posta
4'',
1*
rifl.
regolarmente
segue l'analogia del vocalizza la media rad.
del fondam. ; V Imperf, luss. e Imp.,
stesso; — Perf.
Farad, del verbo di terza
comp., regolare.
come
È da dicati
osservare che
ed
con
all'Ius3. e
suff. vocali,
Imp.
Perf. sempl. —
la gutt.
subire
oltre
gli
m.
s.
inserendo questi nella seconda rad.;
— 09:th woz'é
egli uscì
suff.:
a»X"A»^;
f.
3* m. pi. oijl. wozù, f. IDH; m. mKkìì wozà'kà 2* m. iDAXll^ wozà'kùm, ecc. 3* m. s. iDX«h« Perf. comp. reg. Imperf.— 3* m. s. |liDXrX y wozzé'.... 2* f. s. ^mK. te w òzzi 3* m. pi. J&iDjU y w o z z ù ecc.
2*
—
— 3''m.
s.
J&ahA pron.
s.
iShK
wezà,
iuzày
— Verbo
trilt.
p. es.
—
debole.
^ah%.^
ecc.
wezi
ecc.
La
prima rad. può
rifl.
—
a)
venir omessa soltanto alla 2* m. sing.
fondam.
f.
m-X.
f.
e analogamente al caus. e pass. § 27.
—
,
Imp. — 2* m.
luss.
in-
Perf. sempl. e Imperf.
al
perdono anche nelle voci senza
la
3*
K,
verbi di terza
i
mutamenti, perdono
nelle voci
-
30
ai
Imp. del
dell'
ahhf: oppure A/t concepisci!;
trilt
sempl.
ciò
anche
ma
raramente. b)
La
0»
dell' Imperf.,
rad.,
media rad. ed
che passa
al Perf.
con
nelle voci
suff.
e Imp., viene assorbita dalla prima
all'Iuss. al
sempl,
T ord.
nel Perf. sempl. e Imperf., ed al
2""
ord.
tovèt essa allattò, per nUDfl^; (attorno a q. e.) per ^Hio*^; S^n^^
nell'Iuss. e Imp., p. es. infl^
^H^ ie zuavi tu giri ymùt ch'egli muoia j
per f^f^iD^;
scompone secondo
6, b. p. es.
mortij per ning^y»
il
§
— Nel
.
caus.
—
al Perf.
V^f^ìT la a»
moy
scompare
comp. t
ò
m
(tutte
le
voci)
il
2"*
ord., p.
essi
^
si
sono
nella scrittura,
lasciando alla prima rad. nel Perf. sempl., luss. e Imp.
e neir Imperf.
la
es.
ft|-C
il
7^ ord.,
ye^ùr
—
Nel pass. rifl. fa girare^ f HC y e ^ ò r che faccia girarej r assorbimento della media m ha luogo solo nelle 3' pers. m.
egli
^ Il
f.
sing. del Perf.
Perf.
comp.
sia
sempl,
p. es.
+11^
te^woré fu
del caus. che del pass.
rifl.
girato.
subisce muta-
menti come nel fondam.
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—
VjOOQIC
—
31
—
Farad, del verbo di inedia
m
— entrasti.
— Al
Perf.
comp.
delle 3* pers. sing. e pi. si
aggiungono con
Jt
e ,
i
A-fcp
egli
ha amato^ ^"tTi fé ti/c à
— Caus.
e pass.
rifl.
seguono
Farad, del verbo di terza
l'
suff. di fless.
p. es.
fetiyù
amòy to,
la
— m scompare,
32
ìA'Oè
tu hai
analogia del fondam.
m
.
egli
ama-
Nel verbo
d)
di inedia
sempl. e nelle voci con rad.
che
la
(camminò)y l'
p. es.
in
egli
dà
ktédé
vanno;
al
6**
tu hai camminato.
—
ord. nel Perf. sempl.,
per htf.
— permane
ord. anziché al
Nel caus.
il 3**
5^ ord. alla egli
andòj
la
al Perf.
comp.,
3%
hJ&Jth
p. es.
f è assorbita
suflF.
K'fi./Mfl-y*
in
dell' Imperf.,
altrove, p. es. tCfifi a /e e é
fece calpestare (egli trebbiò)^
—
il
— ed in tutte le voci del-
voci di fless. salvo quelle senza
il S*"
dà
3^ ord. alla preced. conson.,
il
ch'essa t?arfa;
f scrivesi
debole è assorbita nel Perf.
Imperf., in cui
tyfi
essi
nelle quali
^%g: tekìd
tutte le
lascia
Ykédii
f!/%fi.
cui per altro la
keydkà
es-
-
la rad.
suflF. dell'
precede, p.
e Imp.,
luss.
f
33
a/eidkùm
e
dé voi
f rimane al Perf. comp. e Imperf.; in tutte le altre voci è assorbita dando sempre il 5^ ord., p.es. •h'&ll te /crédè venne trebbiato^ +T||1^ è stato trebbiato. Farad, del verbo di inedia f. avete trebbiato.
%
Nei pass.
rifl.
la
34 e)
ultima
Il
m
verbo ,
di
—
ultima f segue
sostituendo
il
le
analogie del verbo
5' e 3' ord. al 7'
Farad, del verbo di ultima f
.
o 2^
di
Fondam.
^M^
da, 2'f.
Caus.
teseddi, 3* m.
rifl.
teseddù § 29.
egli
man-
ecc. sing.
yesédded,
fftJtJt
+ft^
2''f.
+ftJWL tesdedi ecc. masch. sing. +fl|i teseddé,
ecc.; e nell'Iuss. fft/tJt,
— Perf.
sempl. 3*
+tìA^ teseddèt,
f
ysèdded
Imperf. 3* m. sing. J&flJtJt
— Imper.
teseddi, Pass.
—
-
35
m.
2*
s.
3^
^(ìf^fA,
m.
+fl^
pi.
ecc.
— Trilt.
con rad. scomparsa.
pochi
I
bilitteri in
uso nella lingua tigrigna nascono per la perdita di una 0», di
una h, o di una U radicali, p. es. Ufl he ve dare per aiUfl, 'IH hazé prendere per h-^H, flA belé dire per flUA-
prima rad. scampar sa,
Nella fless. dei verbi Ofl, -^H, di
rimaste seguono
rad.
le
verbo completo:
habki
ecc.;
hibkùm t
eh ebbi
im
p. es.
—
l'analogia
al Perf.
comp.,
ìtfl*
iWlh
,
hivù
egli
habkà,
ha dato,
l^fl,
es.
all'
all'
hab
U'fltl.
ìt-flll-y*
— air Imperf., p. IMMiyhdb, ^IMI, — ecc.; luss. j&im y hàb, ^im ecc.; ed ecc.;
ecc.,
— Al
caus. e al pass.
parsa riapparisce, con che cessa la causa Perf.
corrispondenti del
delle
al Perf. sempl., p. es. Ufl
sempl. hOhVti
,
+1*00
;
— Perf. comp.
rifl.
di
la
rad.
Imp.,
scom-
queir alterazione
:
KahHJOry +Vìtn-, —
Imperf. rnHiMl ecc.
verbo flA, quantunque di media rad, scomparsa e perciò: Perf. sempl. flAh belkà,
Parimente
llAtl« ecc.,
y V è 1;
al
verbo ufl
— Imperf.
J&-flA
— Imp. (|A v è — 1;
flettesi
il
y b ^1 IMIA ,
al Perf.
t
bU
e
ecc.,
— luss. llflA
comp., in luogo di
fl,A-
v i 1 ù,
ILAh ecc., usasi più spesso (§7) A^A- ilù, hA ila, ^«Ah, La rad. scomparsa riapparisce al pass. rifl. i-QUA ^Atl« ecc.
—
tebàhlé (+'nyA, tebhàlé §26), che verbo completo;
del
due
ma non
al caus.,
il
perciò segue la fless. quale,
permanendo a
rad., vocalizza la prima, in tutte le voci della fless.,
come
KflA abbelé; KflAh abelkà; Perf. comp. Kfl«A-> Imperf. f-flA, che è uguale all' luss; Imper. K'flA avdl.
la
media del verbo
triradicale: Perf. sempl.
§ 30. Quadrilitteri. il
§12; — quelli
I
quadri, con
prima
asp. gutt.
seguono
con seconda asp, gutt. prolungano con à
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la
VjOOQIC
-
-
36
prima rad. nei vari tempi e modi, eccetto che airimperf.,.
4unn sa h bebé
p. es.
intristire,
e talvolta
asp. gutt
la
può
essere scomparsa dopo aver prodotta l'alterazione, per cui quadri,
come
presenta
si
ma se ne
gutt danno a questa
mer'ewèt è
essa
p. es. li*fiC% r
si
3*
Perf. sempl.
s.
f.
m. Perf. comp., 3* m. Imperf. 3* m. s.,
yrehràhà
3*
pi. s.
trilt.,
iAC^
p. es. fl«^+
(per
flifiD
loro rad.
tendo che
mògeté
di ricevere
1°
il
e
ecc.;
m
m
3*
pi.
f.
ecc.;
f.C'M-^
—
^If^:* ràhràhà. o f sono passati facilmente
2*f. pi.
litigare,
redimere;
fkItiD)
verbi di
:
— i^fid'^ ecc.; — àAiA^
ràhreh....
come prima, i
— E quindi
à^'MjX^ ràhrehèt, 2*m. ^1f^-»T|
Quadri, di seconda e ter;^a
a
mocnjoHr
senza vocale,,
in quelle in cui trovasi
J&^lf^^ yràhràhà,
3*m. fsiAC^ s.
^fty media asp,
è al 4* ord.,
la asp. gutt.
f^dCi yrdhreh
ecc.; —
Imp. 2*m.
quadri, di
i
ord. nel Perf. sempL, p. es.
à h r e h é impietosirsi.
ràhràh/eà
dare,
—
il
p. es.
sposò; — quelli con ultima asp. gutt. danno
sempL, anche
Perf.
luss.
5*"
il
della
no^A);
precedente nelle voci in cui
alla rad.
e, al
trilt.
esser corrotto, per
forma gàbere,
ma
Mao
leqr/omé anno
nella fless. vocalizzano le
terza e quarta rad. del quadri, avver-
assorbita
pongono
il 2**
mantengono
il
invece del
(e se la rad. assor*
6"*
7**
luogo
ord. in
beute è una +, h? "t, 1, possono dare i segni del dittongo anziché delle lettere semplici); quindi: Mf^ìi leqr/omkà tu anno-
leqimù {M^ao* leqrnmù)
dasti, Mtao*
Mi9^ leqùm densero
,
(A4^y*) annoda!; J^flUOI. che redimano!
egli
ybe^ewù
J^-flUffl.
Verbi con quattro o più rad. di cui alcuna
seguono per di
m
ha annodato,
sia
essi re--
del
T ord.,
la vocalizzazione di tal rad.
V analogia dei quadri,
lòhsesé
esser fioco, fMÌ^!hhh
assorbita, p. es. A*;hAA
y1ùhses
egli è fioco,
J&A-4»A-4»
ylùqluq
à^tlri^
1
6 q 1 o q é dissodare (un terreno),
egli dissoda.
Quadri, di ultima 0» o f seguono al Perf. sempl, Perf.
e Imperf., per tal rad., le analogie del
trilt.
debole;
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comp.
— alPIuss-
VjOOQIC
.
— 3T e Imp., quella del proprio Imperf.; quindi: Atf^^
àtf-^ {AtfM) egli scaglia
j
tu scagliasti^
(in\^
J&AIJ^fD. essi scagliano j
porre a soqquadroj
yhdv1i
ha
egli
^gii
scagUùj
scagliato ^ f^lìtH-
Hn^
scaglia!;
diitM
pone a soqquadro. I derivati dal quadri, con rad. asp. gutt. o debole, seguono le analo^e del fondam. — Quadri, con le due ultime rad. identiche non soffrono alterazioni. § 31.
J&;h41A«
egli
— Verbi irregolari. — Si nienzionano:
à^hf {/ih?y Chf, /ih» Ch») vederej irregolare al Perf. sempl. e comp.; Perf. senipl. 2* m. ^KjUi (anche ^11 ), f. ^hi&'fi. .... 3* m. pi. ^Kp (cfr. § 28); Perf. comp. 3* m. sing. ^h. ri'ù f. eh; 2* m. ^Ti ri'/cà, f. £h% ri'ki; V sing. £h» ri'é; 3* m. pi. £)i9^ ri'òm ecc. titir allo esisterej esservi^ per OA^y che ha il solo Perf. sempl. con significato di un presente, è irreg. alla 3* f. sing. KA alla (per KAtf'^); nelle altre voci: hiirfì allo/cà, Kàr%y Per JlA^TI-, Min. allewù (3* m. pi.), hhVy hùrH^ ecc. eccezione tal verbo fa assorbire la sua prima rad. se gli si debba premettere il pronome relativo o qualche particella, p. es. tl-^hàr ^ Wir ^ello U quale vi è. 0^KK mez'é venire^ il quale manca dell' Imper., sostituito dalle part. 1^ na'à vieni! m., ^% ne*\ vieni! f., "Jih ne'ù vey
—
~
—
—
nite! m., e pel
f.,
1^
Altre irregolarità nella flessione di taluni verbi, in "ifl^ farCj '\ijf^ sgozzare ecc., dovute tica
lingua,
consistono
nella
all'
p. es.
omissione del raddoppiamento
della 2* rad. nelle voci con suff. dell' Imperf., fS^TUi^ ecc.
come
influenza dell'an-
sono pronunciati tegevri,
onde
ygevrù
p. es.
^tHìóy
ecc.
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38
—
DEL NOME
§
Ad una
32.
stessa radice verbale possono corrispondere
più nomi, prirmtwij verbali^ o denominatìvL I
nomi
primitìvì (sost. e agg.) sono offerti dal les^co :
che hanno valore
verbali,
sostantiv. o aggettiv.,
condo
da primitivi o
possono verbali,
—
I
nomi
da quasi
trarsi
—
i
tutti
denominativi
i
verbi se-
(sost.
e agg.),
sono generalmente indicati dall'uso.
Forme § 33.
i
di infiniti, participi, locuzioni verbali
le necessità del discorso;
derivati
—
del
primitivi e
i
nome
verbali sono costrutti
con
la
diversa vocalizzazione delle radicali e l'aggiunta o pur no di
o
prefìssi fissi ai
di suffissi
nomi da
Nomi
§ 34.
:
i
denominativi appongono particolari suf-
cui sono
tratti.
primitivi Non ricevono
Qualche nome cominciante per che volge ad e se
al
prefìssi morfologici.
7 C premette una X eufonica^ nome debba preporsi qualche cosa, p. es. ,
,
XC4A ersàs munizione da guerra (per C/Uì)y M^ endà ricovero, custodia ; -n -+- XC4A = HC/ktl b e r s à s per le munizioni, 7 -¥- XfiJ = 'itH n e n d à al ricovero.
in
Suffissi di à, ò,
formazione sono
più raro ié
per agg.,
(é, è),
p. es. n^/^V
:
generalmente per
sost., talvolta
anche
vitello d'un anno, »»ij negwédà appuntamento; hfi 'abbò padre,
ta'wà
^iU- qwozerà 'e n n ò madre, miif- w o 1 e d ò lucro, frutto; é^/W (^*A) colle valoroso, 9^hl^ me ss àlee proverbio, oi hené
fulmine,
genitore, hl7
vendetta;
—
à
ih,
è
1-,
esclusivamente per nomi
ir^W
p. es.
ìh/*i1*
essere auspicato), In^tcìr
kef 'àt
temn^èt
augurio
malvagità
(rad. hfJfc. divenir malvagio).
(rad.
astratti,
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— Gli agg.
con forme ad
39
seguenti a)
—
Forme
nome
pel
mddri
p. es.
/•Jt^
gèbri,
p. es.
hAfL kèlvi cane,
frequentissime, ricorrono generalmente per sost., e
esser destro).
lungamento la
sono
le
terra ^ paese.
volta per qualche agg., p. es. 'flA^lu
piano
triUtterOy
:
gè bri,
le quali,
caratteristica
—
comuni
più
hanno per
essi proprie
r ultima loro rad. senza vocale.
§ 35.
—
—
In
un
di
forme
tali
originario
il
6**
3**
danno
nelle quali
abile (rad.
nA#h>
ord. dell'ultima rad. è pro-
ord.
seconda rad. conservano
bé1hi
tal-
le
:
onde
i
nomi che raddop-
antiche forme ^-ftC,
UIC,
'edddl sorte. mammella (per TUMl)tùb nMl ftf:^ sefrà luogo, media
e alla
rad., p. es. àf:6i
Cosi pure in qualche altro, p. es.
gebrà, p. es. gebrà, p. es. tA9 qwoTà ragazzo, gebrò, p. es. 'etrò anfora, gebrò, p. es. Kh 'akkò zio materno, gebré, p. es. |iy*fl, dembé recinto per animali. e) gebèr, p. es. ^aofi gemei cammello, quale può ricevere i suff. del nome e anche pronunciar dopb)
à^
la
pia la seconda rad., p. es.
m^ ge^emò
mfl^
t
QM^
roncola,
e v e q à difensore in giudizio,
befferà canzone.
d) gebàr (gebbàr),— usata per sost. e agg., me/eàn sterilità (iii»h> essere infecondo) A^4* ,
brutto (Jiiid4> tal
Ut
hammeqé
9^1 hemmàq
p. es.
essere di cattivo aspetto). Sost. di
forma trovansi anche con
suff., p. es.
^\C
cekkr^àrò
zappa.
gàbrà,
e)
p. es.
VA;**
wàltà
scudo abissino, sempre per
sostantivo. f)
gebùr (gebbùr),
rara, e per
d'un il
nomi con senso
gebir (gebbir),
g)
lato
suff.
p. es.
d'una
bestia
di
p. es.
^hX-C
un
recinto, siepe,
participio pass.
oh^^
da soma,
hazùr
pron. r^ddin,
(^^A
carico
— la qual forma riceve talora
à, p. es. oh^ii pron. addilla, groppiera; f'àìA
{l-àìA) ^ ladro
il
gwhilà
rubare).
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VjOOQIC
— gebir (gebbir)
h) p. es. tile,
flA«A b e
h
un
—e
part.
anche per
— forma
caratteristica (
per aggettivo,
flAih. ^^^er destro, sot-
haddis nuovo (rhUA haddesé
esser
sost. (per lo più col suff. à) aventi
senso
g ^ o m m i d à sterminatore
p. es. >*Tt.^
att.,
—
astuto, 2^ affilato
penetrante)^ àAJtì
nuovo), di
1 i
1"*
40
(
'ì^aof^
a grossi pezzi, sterminare). i) gebrèt, gebràt, usi tatissima per formare nomi astratti da radici verbali, p. es. hiCi.^ herfèt gelosia, invidia {dtdd. tagliare
—
divenir geloso, invidioso)^ 'fì'^f^
be/cyàt
^HìM"
pianto
il
(leh^kt unzione
(fl*fif
{4^\ ungere),
piangere).—
Pei quadrilitteri ricorrono più spesso le seguenti forme, in cui l'ultima rad. riceve qualche volta, nei sost., à, ó, ié, rima-
nendo senza vocale negli agg.; forme con e, u, alla penultima con
à.
— questi rad.,
assumono
mentre,
In analogia alle forme a) dei
trilt,
di solito le
gli astratti,
quelle
taluni sost. quadri,
con media rad. d'ordine diverso dal A% cambiano pure nel
un
3""
6° ord. terminale.
dengèz,
4>A4*A qelqèl spiazzo, diRtìC
p. es.
hàsker
seguace, soldato,
dengéz,
^A7A
p. es.
g<^lgél puledro,
m,9^p^ eemgàg rugoso, decrepito, elefante, 7»JC^ gr/odg?/àddà affonda-
dengàz,
p. es.
rhC^TI harmà^ mento (del terreno), bassura,
dengàz,
hembàsà
gwrmàz
(•H?»?X') tronco, ^r^tlH
specie di pane,
dengàz, libe,
T^C^f:
p. es.
^CTrÙ qernéb
p. es.
ciglia,
RIIA dengél
ce-
vergine,
dengéz,
qelzém braccio, IJM^ gedgedà palizzata
p. es.
spesso, grosso,
^•AX'y^
4^14^i q^^nqwnneé
JCr^JCX'
dend^z
(parete di pali),
(4i14ik) tarlo del legno,
denàgez, p. es. h!Vt^^ agwàgwl inutile, denàgez, p. es. lìà^Hà zevìivé' giovenco, dàngez, p. es. Tf^fl-P skuihequò canneto,
dungùz, Esempi
p. es.
^Tftà dungùri
di astratti formati
da
sasso, ecc.
radici verbali: 'hTr¥4*^
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enqef àt
VjOOQIC
—
—
41
•Wkl+A), ^Tf^i^ qenqennèt
l'urtOj r inciampo (rad.
la
ci-
vetteria (rad. 4»14»>).
§
36.
a)
— Nomi verbali. Nome
il
d'azione
sia l'azione che
il
megbàr, se m eden gaz,
:
verbale sostantivato); esprime
resultato di essa, ed
derivato da
ha
forme:
le
trilt,
se da quadrlt.,
p. es. 9^'^fg: m e/c y à d V
camminare^ andare; 2*"
Essi sono
(infinito
camminare^
il
f^àiTr^tì
2"*
la
partenza ^ da
mehentàs
1° lo
fcft
starnutare^
starnuto^ da àtiivSi starnutare.
lo
b)
Adorne d' agente^ o di colui
il
verbo: risponde ad un
gebàri
pei
de n gazi p. es.
ni e n t à e)
w
fa l'azione
att. sost.
ed ha
espressa del
forme:
le
trilt.
pei quadrlt.,
kesàsì
tiftA.
participio
che
accusatore^ da
hAA accusare;
ad un
Adorne di paziente e di qualità^ che risponde
il
m^^^
gemello^ da aoTffiO esser gemello.
ì
part.
pass, e può valere nello stesso tempo di sost. e di agg. Esprime colui che soffre l'azione, o stessa, ed
ha
le
qualificativo risultante dall'azione
il
forme:
gebùr, pei trilt., dengùz, pei quadrlt.
hemùm V
p. es. A^*"^^
divenir malato
;
il
malato,
kelkùl
}|A)l«A
2*"
ammalato, da Audhd
impeditoy da
hAhA
trovare
impedimento. d)
cui
Nome
il
si
compie
compie.
Ha
le
di strumento e luogo, l'azione,
o
il
le quali facilmente ricevono
ove gere
é'
1"*
il
mezzo con si
forme:
megbér, megbèr, megbàr,
meqV
che esprime
luogo nel quale l'azione stessa
ciò che serve
a
i
all'
pel trilt
ultima radicale, p.
tingere (p. es.
il
es.
pennello)
aoSf^d
2"" il
luogo
da +^1^ ungere, tingere, dipinla via, da trafficare; oo^Avì
si tinge (p. es. la tintoria), ;
n^ll-^
methàn
mengèddi
macina per granaglie, da
m eg'àti, 1^ mestolo, De
Vito,
Grammatica
2""
HR
màA
macinare; ao^^Hi
vaso per cuocere polenta, da p^'t
tigrigna.
(^tio-
6
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VjOOQIC
—
j
— 42 —
—
cere polenta.
I
quadri,
non hanno forme proprie per
tali
nomi,
ch'essi esprimono con le generiche pei sost. I
nomi
servano
verbali tratti da verbi di
doppia
la rad.
in
:
media
rad. reduplicata con-
conseguenza, per appoggiare
la
dop-
Nome d'azione, e la voc. è in quello di strum. e 1., p. es. f^^M^ mefezzàm il compimento^ aoiJi9^ mefèzzem ciò che seroe a compiere. Pel Nome d'agente e per quello di paz. e qual. si ha ^H*TL fezzàmì il compiente^ VX-^ fezzùm compiuto. prima rad. riceve e nel
pia conson., la
I
nomi
verbali
conservano quindi
vocale
tal
soli
ai
bàrà/cì
fl^^fi.
che serve a benedire; p. es.
da verbi con prima rad. lunga (con à)
tratti
il
e di strum. e L,
mebàre/c
benedicente j aoH/itl
— nel
Nome
burli /e benedetto
fl*4-*fi
Nomi d'agente di qualità,
(in pronuncia,
cambiano anche
la
ciò
à in
u
hevùk): —
Nome d'azione hanno la forma del trilt. sempl., p. es. ^^I^fi mevrà/c la benedizione. — §37.-1 nomi verbali traggono le loro forme: — Nome d'azionCy solo dal verbo fondam. e dall' intens.
pel
il
iter., p. es.
rompere
— p. es.
a
^A^QC mesevevàr
sminuì zamento^ da AQfl^
in molti pezzi.
Nome
il
lo
d'agentCy da qualsiasi verbo, fondam. o derivato,
tebàrràri
i-fl^^
il
profugo, da
fl^^ b è r r e r é fuggir
q. u. (rad.
+0^^
essere sfuggito
via).
—
il
Nonne di paz. e di qual.^ soltanto da verbi fondam.
—
il
Nome
volta
di str. e ly da verbi fondam., intens.
anche da
altri derivati,
p. es.
n^AnflC
frantoio, da AQfl^; <^+rliHlfi meteha-s'à-s'enni
funebre, da q.
i-rfiHlf)^ pass.
defunto (rad. § 38.
essere
di rfiHlli
fare
e tal-
il
il
il
banchetto
cordoglio
per
afflitto).
Nomi
di particolari
Col
^Hi
rifl.
iter,
mesevàver
suff.;
denominativi. Sono costrutti con l'aggiunta suffissi alle forme dei homi da cui derivati.
à)6
(;*•)&)
zione col
nome
'^Jt^^Jt
medrerày
sono formati
sost.,
primitivo, p. es. aog:/lc
Oni^f» ha-3^egetày
il il
commensale;
o sostanti v.,
medrèr
onp Azega
il
di rela-
convito
(villaggio),
nativo di Azega.
Digitized by
VjOOQIC
j
— 43 — a
accompagna sost. senza aggiunger nulla al significato, p. es. ^bà^f» be'rày il bue^ e più spesso nomi d'agente, impersonandone il significato, p. es. ^A^)& 'alàmày il tessitore (^A*TL H tessente). Talvolta
Col
suff.
il
suff.;
à^
(à
jt
traggonsi facilmente agg. da sost. o
fl^/t),
m^iJi lo spiritoy o^éA^ menfesàwi spirituale; da I^^Jt il Tigre (in Amarico ^t^d»\ ^r^à-^f» trgrà wày
sostant,
p. es.
tigrigno (con
I^C?
amarismo,
vansi nomi astratti, p.
trgrefìà);
— e col suff.
>!• rica-
da JC^i povero^ miserabilej JCtlM* la povertà^ la miseria; da A^ uomo (term. gen.),
dekennèt frflH* sevennèt Per suffissi
? da
la
es.
l'umanità^ la natura umana.
costruzione di non pochi nomi, sono pure in uso
amarigni
i
:
(e?) per agg.
A^rt? feresefìà cavaliere
di rei., p. es.
é*dtt cavallo;
à^
per agg. di pienezza e d'abbondanza,
09^9^ haftàm
(lHl't,§7) ricchezza^ cuore
j,
AQ^ lebbàm
p. es.
da
ricco; da Afl.
ilV-fc
l^bbi
generoso;
fy che accompagna solo sost. concreti, p. es. RCT.^ zergiyà la strada maestra (rad. r^t acconciarej spianare) y e più
—
spesso nomi di strum. e luogo, cui dà particolare p. es. aoli4.cf
mesferyà
la ciotola {Ai./i
significato,
accampare), ooHiDCf
arcolaio (h^ gif"ctf^e) aohtt'fìf mekkavevyà un recinto {di gruppo d'abitazioni) (hflfl circondare), § 39. Forme alterate. Le forme indicate ai precedenti §§
me^aweryà il
subiscono alterazioni per
la
presenza
di rad. asp. gutt., -deboli,
e identiche.
Nei nomi primitivi, un' asp. sillaba
dà
il
4""
senza vocale che chiuda
gutt.
ord. alla consonante preced., se su questa
l'accento: diversamente
non produce
la
cada
alterazioni, p. es. )h»CVò
H
—
mft pecora^ 4>J&A rosso, Una m-, )6, facilmente sono assorbite quando precedute da lettera del 6^ ord., gomito (forma dengèz),
p. cs. nh^I
mammella
(rnfl
(pron. qau'i) autunno;
=
nifl'fl
— una
se ultime rad. precedute da
lett.
dar
iD,
del
latte),
ma
p. es.
tah%
f, sono talvolta assorbite 6""
ord., p. es.
T^^l* fame
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—
—
per Tf^fl*-
margine
Esempi
—
di contrazione:
circondare).
(hflfl
44
—
kébbi
hfl.
La prima
l'orlo^
il
rad. di taluni nomi,
se del 6° ord., è facilmente prolungata nel 3^ p. es. *T.ff1* la sera per 9^}!^ (rad. no^f divenir sera)y ?£V;^ ribelle per
^^^
ff^+ seffeté divenir
(rad.
Fra p. es.
i
verbali,
^^h^/l
d'agente
seconda
trilt,
una
il
^ coltivazione^
i
9^iiHHh H trar fuori;
a
nella pronuncia dà,
il
Nome nomi
La
Nome
il
sua prima rad. se
alla
sa 'ari
amato per V+iii-. — Le
di strum. e
vincente^
il
flessione del
per numero, non per
alterazioni
sono indicate dal
1.
>AQj&
che subi-
lessico.
nome può
aver luogo per genere e
se obliqui, sono indicati con
casi. Questi,
particelle (§ 60);
il
nominativo, l'accusativo ed
hanno segni che
li
contraddistinguano, né particelle che
gano. — Il
nome ha due
m. e
generi,
Suffisso caratteristico del zioni,
sono l'aggiunta
f.
f.,
e
una
è
di tal suffisso,
vocale della media rad., p. es. àAJtì
haddàs; — o ambedue f. 1*A-t qet^lti. Il pi.
forme per
suff. à^-
— ma p. es.
due numeri,
volgibili al
f.
:
diversità di genere.
aggiunto alla forma
talvolta
— onde
il
pi.
sing. e pi.
nuovo,
p. es.
A*;** otre,
non havvi
^''fsA
pi.
A#*
,
p. es.
f.
Jtt^Uì
ucdso,
m. per quei
al pi. diversità
— Caratteristica
è costrutto mediante
intema (plurali fratti)
reg-
(-fc):
haddis
sing., p. es.
—o
li
modi di formao un cambiamento nella 1*
modi insieme,
i
non
vocativo
il
è ottenuto dalla forma sing., e dalla sing.
nomi che sono di
la
nome
Flessione del
§ 40.
—
fabbro, che scrivonsi pure^Ji^, V^I|J&, ecc.; di paz. o qual. omette l'ultima rad., se questa sia
(Dy p. es. V-f:
scono
ecc.—
ribelle)
d'azione non subisce mutamenti,
sia un'asp. gutt., p. es. rt^^
nahàvày
— ed
Nome
il
del pi. è
AA4^ coscia
pi.
il
AAi-^
;
una mutazione interna, h ed una mutazione
col pref.
7<^A cammello, pL
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K^^A
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•
— 45 — Taluni plur.,
^
o per mutazione interna, aggiungono
fratti
senza determinato valore di
mulo^
p. es. n4»A^
f.,
pi.
(-fc)
hH^ti't
(abqelti).
Nomi primitivi. I
§ 41.— p. es.
AH'*
hezàn
p. es.
^>ILì-
aggiungono
f.,
la nutrice; e cosi
denkit nanOj rt^^ì* seràwìt sono sempre
f.,
(MA)
faneiulla;
—
1* (-fc) alla
forma del no-
pure taluni diminutivi, sprepiccione^ JCr^lUl*
la truppa j l'esercito^ ecc.
femm. e
volgibili al
indicate al § 35 valgono pel
m. o pel
costrutti pel
C^d/t régvit
giativi, collettivi, ecc., p. es.
Gli agg.
sono
g^àl
fanciullo j sìa
molti sost. per senso già
me,
sost.
le
forme per
forme geblr, gebàr, hanno
Gli aggettivi delle
essi
m. il
femmi-
gebàr, geb^rti, p. es. flA«A fi^^bOj femminile flAA belàh; ^^4* brutto^ f. !h9^^H: hemméqti. — Aggettivi d'altre forme aggiungono -fc (e-fc) p. es. 4A#lu ma se eccezionalmente terminati abile j f. 'AA/h'l: bel he t ti; con vocale diversa da i, rimangono invariabili, p. es. Hft^ zà'dà nile
rispettivamente in
—
bianco, bianca. Si avverta che taluni agg. essenzialmente si
presentano soltanto sotto
che ha partorito Circa
il
il
modo
determinabili
;
la
forma del
suo primogenito
di volgere al pi.,
tuttavia
può
ritenersi
Molti sost. primitivi (in genere, materiali, cui
(f.
o considerabili
f.,
n%vC bekk^àr della forma gebir).
f.,
p. es.
—
sost.
i
f.,
non seguono
leggi
:
nomi d'animali
e di cose
non corrisponda una radice verbale), se
delle
forme g^bri, gèbri (§ 35 a), gebèr (d^ e), gebàr (d^ d), hanno per lo più il pi. delle forme agbàr, agàber, e, meno frequentemente, agbtìr, agb(^rti (§ 38), p. es. fty*^ 'émni pietra
l^^'A
K**n a'màn, d^à bèggf pecora pi. htVìò avàggf, gemei cammello pi. KT(^A agmàl, ^^ft ferés capi.
vallo plur. tiVi^tì pi.
afrùs
(anche tt^^tì),
fl4*A«
bèqli mulo
K-n+A-t abqdlti, ^iA (K^ìa) g^àl fanciulla
a'g^^àl,
ecc.; — quelli
geberà
(§ 35,
e),
delle
forme gebrà,
volgono facilmente
gebàrù, gebàr ù,
p. es.
HM
il
gebrà
pi.
(§ 35, b),
al plurale sotto le
color bianco p\.
hMti forme
iWi^ zà'àdù*
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— 46 — M^^ i
i^A^ qtioVà ragazzo^ garzone
6, c),
(§
eq
1
?/
A^i: leqr^àtù, delle forme g e b r, g e b i r
o t à otre
sost. derivati,
ladro,
pi.
Tutti gli altri sost.,
volgono
al pi.
braccio i
sost.
^^y
vono solo
4A#li«
pi.
!•, p. es.
tdìA
assumono
p. es. rliTShC
servo,
A^^TI
;
— se
gli
terminati con vocale
^
e se già terminati da
radicale, rice-
Ufiah^^ belhitàt, Jt^C pi. C^Ù^Hr
(^bile pi.
JC^^I* d era rat, C^OJt regvit piccione
regvitàt,
^•J&;^
gr^oytà
signore
pi.
come
SJA
g w à s à pastore, tlCf b à r y à schiavo, schiae quell'ultimo perde anche la f radicale,
ò^,
va, aggiungono
gaoytàt, ecc. senso; alcuni nomi
7•)6;^ì•
Tali regole soffrono eccezioni in vario inoltre,
g, h), p. es.
quadri,
pi. ^•AX'^ qelàzém ecc. che hanno il suff. f. ^ (•!:), e
aggiungendo à1«
aggiungono invece cena
i
AlftìC hasà/c(?r, dtC^VU elefante plur.
harràme^, ^•AX'^ agg.,
35
(§
—
(per T^AA*);
denàgez, denàgez,
forme
talvolta le
quoìk'n,
iLiilh
— e cosi generalmente
i
^Aiòr g^^àhàlù
pi.
seguace
pi.
pi.
—
avendosi ^fi^ gr/àsòt, QC^ bàròt, ecc. Forme anomali presentano taluni sost. esprimenti gradi di
hanno un f. pi. ottenuto con l'aggiunta di à^-, oppure -fc alla forma f. sing., p. es. ^ao- h à m m u V il suocero 2° il genero, pi. m. gh^'^^^ hammutàt, f. sing. ghOÌ^ parentela,
i
quali
,
—
hammàt
— da f.
l""
la suocera
aoQ^^
sing.
§ 42.
lo
la sposa,
verbali. Circa
sempre masch.; —quanto di propri
la nuora,
sost.,
f.
pi.
sposo (rad. aoc%(D)
aoQ'i^ mer'àt
Nomi
2""
al
il
f.
pi.
dt^^^ hammàtàt;
m. ao^^fh merà'u, ao^àl: merà'ti.
pi.
genere,
numero,
tali
i
Nomi d'azione sono
nomi, se hanno valore
aggiungono ài-, altrimenti sono
invariabili,
^^AAI* memlàsàt.
^^Aft Nomi d'agente al f. e pi. hanno le forme: gebàri: gebàrit, pi. gebèrti dengàzì: f. dengàzìt, pi. dengèzti risposta, pi.
p. es. I
f.
ed
il
ed
al pi., p. es.
suff. àf,
ch'essi avessero al sing. (§ 38) è perduto al
hAA. accusatore,
kesèsti; MQQJ& anvàvày pi. Mn-nt anvèvti.
f.
hAA.^ kesàsìt,
lettore,
f.
f.
pi. tìAtìi:
hTrUfì/t anvàvit,.
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—
-
,
_ 47 — Analogamente, per Nomi d'ag.
prima rad. con à
doppia, o
pi.
bàrà/cìt,
pi. n^'fi't
Nomi
Alcuni
I Nomi gebùr:
p.
le
pi.
trilt.
formano anche
H-hC zàhaf ò;
il
il
pi.
che però è poco
in
ò,
uso.—
A^*^^!* }|A)l«A impedito, femmin. fiAtlA't kelk^lti,
^M^
pi.
completato,
^XT^-t fezz^mti,
f.
rM.*fi benedetto
à, si
burù/cti,
(M.'fi't
f.
pi.
hanno
^X-^l*
pi. fl-^-liì-
—
buru/càt.
Nomi
I|^*fi.1*
aggiungendo
hAìfrAl* kelkulàt. Pei verbi con media rad. doppia o prima rad. con
I
f.
benedicente,
gebérti, pi. geburàt dengùz: f. dengézti, pi. denguzàt es. ìhioo^y^ ammalato, f. A^^^t hem^mti,
forme
i.V%^
f.
fezzumàt;
pi.
il
fl^^fi.
f.
di parente e qualità volgono:
hemumàt; pi.
media rad.
bàre/cti.
d'ag.
A^Ìm scrìvano
p.es.
di
^H*TL colui che completa,
:
AR^-t f ezzèmti;
fezzàmit,
da verbi
tratti
d'istrumento e luogo sono costrutti pel m. o pel
f.;
al
aggiungono à^, p. es. hd^i^ la via pi. n^ll^l* mengedàt, assumono, alcuni di essi, la forma megàber, p. es. ii»lR4*
—o
mendèq
il
muro
(rad. >ft4») pi.
Si nota infine che taluni le
Nomi
ao^f^ menàdeq. verbali usano
corrispondenti forme dei loro intens.
stimonio (rad. nofth^ attestare)
§ 43. volgono
Nomi al
f.
in
denominativi. ì-, p. es.
ì
il
sost.
m. o
p. es.
da
f.
si
rt^l
deriva in
I
si
il
ha
Atìf,
a cena
(rad.
medrerìt. —
di relazione
f.
uomo
il
te-
mesà/eà/certi.
con àjt sono m. e
convitato
n^JC^^ì-
f.
nome
uomo, gente,
derivati
loro pi.
p. es. aotfii^
pi. a^ftTi'fiC't
n^JC^^Jt
pasto della sera),
fare
iter.,
come
Qualche
aggiungendo è (vir),
f^^ )6-t
marito, A(ìf»i:
sevèyti donna, moglie; da Mti^ enést, rimasto in uso come pi. di Adf^ii è ottenuto Mtì+f^'b enestèyti femmina ,
(invar.). — Taluni
do +)&,
p. es.
ne'ustèy
nomi
Tft^ti
piccolo.
di qual. si
derivano in agg. aggiungen-
divenuto piccolo (radice VhA)y Ih-tì+Jt
— Al
pi.
i
derivati
p. es. dìdtì^f' contadino pi. rhitì-fl*
cambiano
àjt in
•!:
,
p. es.
aog:^Ci:
con
à^
ricevono óì-,
harestòt, ma
medrèrti
i
alcuni
convitati.
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VjOOQIC
n
— 48 — con à ^ àfl^jt
Gli aggettivi formati il
A JP1«,
pi. in
pi.
,
^àt^^f»
p. es.
^^y^ t^gràwòt
tigrigno,
o per mutazione interna,
pi.
i'Pi* tega r
pi.
^^y
!•,
con à
!•,
à^
^^y
§
già al
costrutti pel
o
?
p. es.
valiere pi. é^CtiPi^^ 44.
ahrùs; ^à-^f^ m. o pel
il
pi.
tìgrigno^
ottiene
pi.
aggiun-
ciotole.
sono invar. per genere e formano
0^^^
ricco pi.
V^^^^y A^A?
il
ca-
.
— Plurale di plurale. Aggiungendo
pi., si
e al
f.,
aohiXif^^ mesferyàtàt
p. es.
agg. con
Gli
formano anche
didtì^f» contadino (ra-
p. es.
li.
con f sono
sost.
I
gono
à^ì- ed
in
f.
I^^^ì- ttgrà wit,
f.
però,
rei.
plur. hàii^ti
dice dìdù coltivare)
il
(pron. tigràòt).
Vari sostantivi e aggettivi di fratto
hanno
,
una seconda forma
di pi.
à ì- ad
un nome
con significato di
un plurale indeterminato, p. es. h^à*tì i cavalli pi. di pi. h^à*f^ afra sa t più cavalli^ l^f»^^ signori plur. di plur. ^•J&;^;^•^•
gwoytàtàt
tanti signori.
Numerali § 45.
sono
—
I
numeri cardinali e
le cifre
che
li
rappresentano,
:
1
i
AA
5
è
rli<^TS+
hàde, f. Al-fc hànti 20 g M^'esrà 2 1 |1A+ k^lete 3 r ìPhMr soleste 30 ^ wMì selàsà arbà'te 40 4 hCtìà^ 9 hOM arbe'à 6 % ft3ffi+ 7
%
8
X
'
hàmuste
50 g rh^ft 60 g AJ^ft
sùdduste
^
ìfiiH^+ pron.. setò'a^te
70
Wi^ sommónte
80*^
9 B ì-tì«M- tes'àtte
sedsà
Miti seb'à ft«VI^ s e
H
yà
^K-fc mi'ti
1000 è TS^i 5^h, in cifra TJ (10X100), e 10,000 è in cifra
mà
^M tes'à
90 3 100 f
10 T ^rtC+ 'àserte
hamsà
KaA
elfi,
(100X100).
Oltre ie decine,
decina, p. es.
premette
si
MC+ AR «
al
nome
undici, àhà*
delle unità quello della «
whMr
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«
ventitré;
VjOOQIC
—
!
j
— 49 ~ numeri
V^n'ì'
p. es.
premettono a cento
di più centinaia •
^Uà't
•
il
n. delle centinaia,
ottocento. Nei n. composti di più unità
vario ordine, le migliaia, centinaia, decine e unita
di
es.
P
TSA
I
iri^+ -TLX* Untf
«
Tg
i
dine le cifre
I
si
«
succedono, p.
es.
iPAft+ 11,
SI ^, Hgf-jfp i
copulativa ìDj pron. ùa, p. es. Tdig
11.
Il
solo
Mh
AA f^^o,
ha
il
f.— UnOj nell'Arresa
— Gli
da secondo
ordinati,
in
generi pei quali hanno le forme ;m1^J&
^-fl^JM;
gàbrèyti
adopransi l'*
i
aoj^aocf
pel
f.
poi,
distinguono
gàbrày
pel masc. e
kàl'ày
f.
hAhM: kàràyti
»
'HAÙS^ sàlsèyti
4'
^
»
^-nOj^-l:
»
AiV^Af^ hàmsèyti
» »
4£-Aj!^ sàdsèyti 1faH0|&-f: sàw^'àyti
»
Tf^Wt-fc
sàmnèyti
»
;»-TfOiW:
tàs'ayti
hàmsày
7^ 7fio-^j&
sàdsày sàw'ày
8^
«àmnày
6' ftjtftjt
Tf^VJt
tàs'ày
9' ;»-Tf9^
Primo
%^j& àsrày
»
dicesi più spesso
precedente (rad.
§47.-1
4>Aiii>
^^
ràv'àyti
%^J&t asrèyti felemà; si ha pure
multipli formansi con l'aggiunta di Tth
del
l'ausilio
ò^lÌb 'ezfl,
lett:
i^fi^f»
precedere).
{KUh
fiAi"^ keltesà' lett: due Doppio nome h^g: mano.
volta) al n. cardinale, p. es.
oppure con
oltre
megfmeryà
>YA4J& sàlsày
10'
due
i
(§44) e vanno sino a decimoy
3''
5^ éli9^tlf,
pure
Xlli enkò,
cardinali:
2' ììfihf'
il
dicesi
l'antica part.
enkà.
§ 46.
cui
1883.
i
numero con
f-
seguono,
1883, e in quell'or-
«
Taluni collegano le singole parti d'un •
si
—
^^à'
volte dicesi
piega.
mezzoj 4./i^ fereqà metà, ambedue d'uso generico, e <^«%. rùv'i (per C-n*t) il quarto, 1:^i (per l^i) U ottavoj che usansi per lo più per la sola moneta (fraFratti sono VC4t f^rqi
zione del tallero); 1<»7TS gemmai mezzo, e JC:^^ deggàm i rimanenti si quarto, usati pel solo pane (Kll^ engtérà):
—
esprimono con circonlocuzioni o mediante De Vito, Grammatica
tigrigna.
gli stessi ordinali. 7
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VjOOQIC
—
—
50
DEL PRONOME
Pronome personale
— Pronome suffisso. Al
§ 48.
esprime
che, la lingua tigrigna
o
diretto
indiretto
jjari
d'altre lingue semiti-
pronome personale
il
valore di possessivo, o in dipendenza di particelle, particolari al verbo, al
pari pronominali, che
nome ed
si
aggiungono rispettivamente
alla particella.
Sing.
l 2*
. .
f.
,
J&
verbi,
§
,
verbo è pi. gli
voi,
tioi,
f,
—
le altre
—
I
ti
forme, ugualmente, per
al Perf.
suffisso al verbo, a) in accusativo. Se
sempL,
i
sono aggiunti senz' interrogò,
pron.
suff. delle 1*
e
2**
altro,
meno
f.
pi.
del verbo, p. es.
Jr
,
V,
alla 2*
p. es.
iJi^WX feletk^nnàni
pron. suff. di 3^ pers. sono
— sono
soli verbi;
part.
— Pronome
cui è intercalato à innanzi ai pron. egli
X, i, servono per
1* sing.,
per nomi e part.;
nomi e
49.
voi,
te,
Dei pron. di 3* m. e K«
^^f^h
te,
te,
le stesse
forme:
— S9^ di essi — Jwl esse^ di esse — 1^^ di voi (uom.) — hi di voi (donne) —V di noi
lei
leiy
te„
f.
V
— S l^^ — h« di — di — h dz (uomo) — h. di (donna) — X me, — dime ìi
le
Plir.
lui
«.
mediante
— Esse distinguono
persone, generi e numeri del verbo ed hanno
3'
oggetto
d'un verbo, complemento d'un nome con
iAnh
f eletà
scritti di
'à
invece uniti con à alla 2*
le
énnà'òm
e
alla 1* pi, p. es.
esse
li
ripartirono,
f.
nif4*h esse
— con
pers. sing. e
del verbo,
in
teyyeqekà riconobbero,
seguito alla sola 3*
{iJSmn) esse pi., p.
mi
il
f.
pi
la riconobbero;
es.fUMnVhìT kef elf,
alle 2*
4»+Ahf^ qatelkàyòm
tu
m. e li
f.
sing.
uccidesti,
ììiMun kef elkiy èn tu le ripartisti, — e con m- alla 2* m. pi, uccideste; - la 1* sing. p. es. 4»+ Ah-J^^ q a el k ù m e w ò m cor t
e la 3* m.
pi.
fo'
del verbo cedono la loro
u terminale
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alla
VjOOQIC-
K
del
— 51 — pron.
suff., p. es.
k e fe
1
^Ttl^ felètkewà
wè n essi la ripartirono, —
biscono
h
la
ponendo
del pron.
mentre
Se scono
verbo è
sempl. aventi
sìng. assor-
1
comp.,
al Perf.
le varie
modo analogo
pron. suff. in
ai
m. t
b^LAiDl
++A» q a t e ò egli lo uccise, 4»+Al q amf4^ ìeyy eqei\.ò essalo interrogò. —
egli le uccise, il
le 3*
loro lettera terpninale all'ord.
la
indicato da quella, p. es.
telèn
io la riconobbi,
terminazione:
la stessa
sue persone
il
uni-
si
persone del Perfetto
alle
ò^
suff. di flessione
h-^, p. es. ^HMP qatilewò egli. Vha ^Mlùnr^n qatilòmé^wèn essi le hanno uccise, 4Ji/¥hf felitkàyà tu l' hai riconosciuta, iAinW feJLitènànà esse ci hanno riconosciuti, dJi^mVhV^ felitenà'òm esse li hanno riconosciuti. Fa eccezione la 3* f. sing. che si unisce con ^ p. es. iJi/^tì^ felitàtki essa ti ha riconosciuta, ^A.^-W* felitàtòm essa U ha riconosciuti. La 1* sing. si aggiunge con f, pron. suff. delle 3* pers., p. es. hiJi?^ k e f i 1 è y ò m
seguendo
l'analogia di
ticciso,
,
ì
io
li
divisi.
Quando nale, se del
e
si
— il
verbo è
6"*
ord.,
assimila la
ti
passa
Imperf., luss. e Imp., la rad. termi1"*
al
innanzi al pron. delle
del pron. delle
riconosce, fM^Hrùr^
cede
all'
tal lettera alla
egli
h
3**
pers., p. es.^
ucciderà; — se
li
J&^LAmh egU
terminata con
dei pron. stessi, p. es. •
il
verbo termina
sono aggiunti
doppiano airimperf.
onde
(2*,
f.
pi.) tutti
senz'altro, p. es. Jt+I'A^ esse
Nella pronuncia volgare
suff.,
in à
3*
p. es.
i
i
^^
per
^ ri-
uccide-
pron. suff.
se debbono aggiungersi
f^t^h yqatlà'à
ti
u,
gli
la uccideranno.
verbi di media rad. sempl.
tal rad.,
i,
t^ f
1*^LAT^
conoscerai, 4»+AJ^ Uccidetelo !, mentre ^Mrt'à'X ^^^ rete; — se
e 2' pers.,
1^
non il
rad-
pron.
yqattelà'a. — La
V cambia pure in e la sua ultima vocale, p. es. 1*^LATi tefeltenni (tefelletenni) tuf. mi riconosci (mentre 2. m. "^^LAAlIt)*
2*
f.
§
(i)
sing. coi pron.
50.
— b)
È V antiea
Jr
,
in dativo.
Il
pron. in dativo è unito con
part. del dativo, rimasta in uso
come
A
(1)
ed
tale in qualche dialetto
tigrigno (p. es. nelT Agamie) e nella lingua Tigre.
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impiega
forme pel nome e part.
le
aggiungono a
goi^o
1*"
pron.
I
il
ti
delle 3* pers.
suflf.
si
i
voci verbali terminati da conson. suff. retto
A
da
gev eréìlù fece a Itd^ essi
—
A inserendo in questa la loro lettera debole; quello A al ord.; rimanenti si uniscono senz' altro.
di 1* sing. fa porre
Le
-
52
fanno. — Le
senza frammetter nulla,
J&'MIf-Ah
a^un-
vocalizzata si
p. es. ifl^A-
ygebberùlkà(ygevrulkà)
voci terminate da conson. senza vocale,
comp. pronunciano con e
Perf. sempl. e al Perf.
al
terminale
la
ifl^^Ah geverètelkà essa ti fece; — aie Imp. pongono la conson. stessa al 1"* ordine
del verbo, p. es.
rimperf., luss. p. es. 1
1-HliAV tegèbbcrelnà
ò fa' a
lui.
— Si
§ 51.
suff. delle 2*
a)
delle 3*
può formare e 3*
pi.,
Quando minato coi
plurale di plurale: a) del pron.
il
pl.,--b) del verbo.
pron. suff.
Il
gevèrel-
tu ci fai, Ifl^A*
si
forma
premettendo
al pi. di pi.
ìfy^ se
e hi- se delle 2^ il
pron. suff. delle
suff. di fless. ù, Vi-,
è In accus.,
3" pi.
cede
li.,
ì,
la
verbo
il
ter-
vocale terminale,
iJSf^^^V^ feletr/wàtom (anche éJtiOt^^T) essili riconobbero, ì-^LAT^+1 tefelteyàten tut le riconosci ; interpone UH od j&, se terminato da 1^^, ó^, oppure da h^ «*é, ¥, p. es. ^A.Tl^^l^+l felitkumewàten voi le avete rip. es.
conosciute, nulla , se
feletkàyàtom
Ìjhf?ììS^9^
ha
suff. di
i
feletken'àtom
voi t
fless. li
à
,
\n^ èl
riconoscete
,
,
tu p.
li
riconoscesti;
es ijhfVìfìM^T
e inserisce
la
h
di ti^
m. f. sing. del Perf. sempl., o quando il verbo termini con una rad. senza vocale, p.es. iJi^+Tt feletàten egU le riconobbe, f^A^^tt'ìT yfeltàtom egli U ricose
verbo è
il
nosce. si
alla 3*
— Quando
aggiunge come
p.es. Ifl^A-f^ Il
l""
al
3**
plur. è al dativo
§ 50, e in essa è inserita
geverelàtom
fa'
pron. suff. costrutto con hi*
scritto, di
al
tale pron. suff. di
seguito al verbo,
il
ad
(2*^
la
ti
,
di
la
A
ì^rty
essi.
pi.)
quando
in accus., è
quale, se air Imperf., luss. ecc. pone
ord. la rad. terminale ove del 6^ p. es. J&^LAill**frh)l«/*
yfeltu/càtkum
'
essi vi riconoscono,
J&^LAm'^i^tn yfelte-
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,
— 53 — /càtken
egli vi
seguito a
A
esso
in fine di
belu/càtà
belunnàti Le
un
essi
dissero ;
essi ci dissero j
2" pi. del Perf.
mano pure
fra l'ultima rad. e
kàtkum §
uniscono
si
bàryày
p. es. tlCft^
anfora;
il
terminale stessa al
h
,
perdono
con r ultima A'fl+A't
il
Irt- (le 2')
•WCM'l^^ hader-
aggiungendoli senz' altro,
ù^h
'etròà
haskerèy
gente m.
s.,
vocale,
i
la di lei
i
nome se11à
lettera
1 ì
la
diShC
haskerèn
del 6° ord. (§ 35) o dal
6**
le
nomi
m^i^ la via^ i^'llJCh m^ifj^ mengeddèy la mia via^ abqeltòm
i
ultima f assorbita) suff. di 1* sing., in
yé
analogie dei
ord., p. es.
loro muli;
è inerente alla forma del di
pongono
il
terminale e seguono
K-fl4*A-f^
ma come
AAA«f
i
la tua via^
rnuliy
di lui servOj dtRtt/it
deriva da
i
tale
quelli in cui la
p. es.
for-
mio servo. nomi terminati da i:
lettera del
mengedkà
tal
o
ord. col suff. della 1* sing., p. es.
l""
da notare, circa
quelli in cui la -fc
dissero.
comp.,
dei suff. delle 3* pers., e
servo di esse^ fhìfh^J^
suff.
ai suff.
mio schiavo^
haskerù
servoj fhìfhf-
È
(le 3* pers.)
ti f.
— quelli terminati da conson. senza vocale, inseriscono
nella loro terminale la
il
essi
A.A-f^ 'ilàtom essi hanno detto. nome (genitivo). 1 nomi terminati da
suff. al
con vocale
lettera
flA-Ti;l"
voi pernottaste j
— Pron.
52.
belu/citi
inserendo à^*
y
•!;, p. es. ttòrVil
le 2* e 3* del Perf.
suff. di fless., p. es.
il
aggiungendo
lu-W* kidutà andate!
flA-'fi.-l:
ygev-
j&Tfl^^irihthf*
— \al\oHa si pone
sempl. e
pi. di pi.
il
in dativo, è scritto di
nel verbo (2* e 3* pi.)
;!•, p. es.
ti
50, p. es.
—
voi.
pi. di pi.
il
— quando
§
il
fa a
egli
esprime
Si
riconosce;
osservando
relkàtkum b)
f.
il
nome (nome
d' a-
conservano sempre
luogo di
mio informatore.
—
f»
ricevono f
nome if-A» kallò (anche If-A kwllé) totalitàj riceve i suff. come appresso e passa a significato di agg. la^h^Oh pron. k w i 1 li o tutto (la sua totalità)j Ik^Ji k w U 1 à tutta^ "M^MT pron. kuilliom tutti^ b-.A.Jwl k r/ U 1 i e n ^r/^te^ If-ATi-^ k w 1le/cum voi tutti, If'A'fiT' kr/lle/cén voi tutte, h^A? ^uiìlena (kf^Hnà) noi tutti. Il
:
i
—
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«
—
54
numerali possono ricevere
I
cambiano
delle 3' pers.
— Pron,
vario senso
generalmente
suff.,
suflF.,
tre di essij
miff, alle particelle.
pron.
il
pron.
il
il
1**
nel
3"*
ord.,
kéltiòm
ìifiiilhlT
Molte part. ricevono con
quale, nell' unirsi ad esse, osserva
analogie del nome. Vi sono parecchie ecce-
le
che verranno indicate accennando
zioni,
e innanzi a quello
loro ultima lettera dal
selèstiòm
AAA-fcX^ ambedue.
p. es.
§ 53:
la
—
54. — ^Pronome
alle singole part.
separato (nominatwo).
Il pronome sonon ha proprie forme che per le 1* pers. (sing. e pi.): le altre sono ottenute apponendo il suff. pron. alla parola Ift — (da IVA, amm^). Tali forme, che vengono impiegate al caso
§
stantivo
nominativo, sono: Sing. M.
B*
1A nesft
f.
l*in.
M àne
f.
Le
pers.
pron.
kum, I
lA^
ef^^o
2**
e3*
formano :
m
es^i
^
lA-f
il
nesekén
nehnà
(uom,)
voi (donne)
noi
preponendo ài-, o Til', 1 1 o m, ltì1i1*Vi-^ nese kàtr
pi. dì pi.
n ^sa
ecc.
pròn. sep.
pi.
ripetono la parte nominale delle loro forme ed
esprimono distribuzione,
p. es.
lAIATH^ nésnesekiim fra T'AIAV nesnesnà fra, noi.
§
TrtffiTr
TfàiV
pi.
esó
lATi-^ ne^ekiim voi
io
quindi
suff.,
n
TrAl n(?sèn e^se
cf^f^a
lA^i nese/tà tu (uomo) lA*fi. nesekì tu (donna)
2* «.
al
n e s li
T'A-
f.
Plur.
IftlA^ n^snesòm fra vo'^ ecc.;
per
r
la
pers.
Pronome dimostratlTo e relativo pronome dimostrativo masch. sing. 55. — Il
oggetti vicini,
parola, e se
^
scritti separati, si
tivo del gen. e M-, KM-,
l'
a^unta
cambiano
in )iT|
del pron. suff.
,
Mr
come
•
tali
determina-
(M^h.) questo,
Hy hn, hìLf e^iyà {hìLh) questa,
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altra
— Da
num., ne derivano:
WUP e^iyù
usa
è TI per
per lontani, che sono sempre preposti ad
forme semplici, con
essij
si
CjOOQIC
— V9^y ìi»9^ e-3'òm,
Xin ejèn,
UTry e
analogamente
}MS^ e^iyòm ejiyèn
iMlfTf
(TMLh9^) questi,
(ìiìlh.Tr) queste,
forme costrutte con ^, o K^,
le
quella fanciulla ,
—
55
M^f ^f^l^ »
fi^ i SJA
p. e^.
»
quella strada.
»
hanno pure le forme, del resto poco XlUiH e^iù per questo, h+)& <^tùy, o Tutte le forme del dimostr. si usano Si
frequenti, TMUrf» ezix^y
etiù per
X-fciiH
^r/eZ/o.
tanto sostant., che ag-
gettivamente.
La
—
non ha articoli. §56.-11 pronome relativo è H numero. Per ragione di costruzione lingua tigrigna
invariabile per genere
,
—
e
della frase tigrigna,
relativo trovasi
sempre a precedere un verbo e a questo è
fìsso, p. es. gli
uomini
Adua
i
i
quali erano
quali erano uomini
Neil' unirsi
all'
H^M-flC,
per
di: in-flC
Imperf e
(
K-fl
luss.
«
il
fcJC'V
e
e
t
fé
1 1
verbi di
li, l*"
il
*
)
6, b,
quin-
prefìssi
sia
l*,-
fles-
cambiasi in
relativo
il
di
ettegevrii che fu fatto ;
neir Hamasien lettere diverse
relativo
il
nell'Agamie il
il
rei.
impiegato sempre
?;
l'IlCh-» <^he
A?
KA
plur.
K
HK^^)
(?iA) e che
anche innanzi a
,
ao^
f^^f»
mèn
interrogativi. Sono: no^
f^^f» mentày,
sost.;
sia
sost.
cose, r altro per cose e persone
villaggio
Innanzi a
e, p. es.
la
Interrogativo e Indefinito
che? che cosa?, usati
?
è
passa facilmente a
rei.
— Pron.
ciò
mantiene
da J, i».
Pronome
ha fatto
—
—
quale credette.
il
Si nota che
57.
§
relativo è soggetto a sparire, § 6, b.
rad. asp. gutt.
-^e'amené
§
Afli* il
li^^LAT ^nnr^fèllr^t che noi conosciamo , Xl^^tAT
e t che tu conosci, ìiirl'tì^
come
per in
volgesi
TIMH- * segue
pre-
ILl-nC per Tl^j&i'flC, HT-IIC per
TI-»-P*7'flC ecc. Innanzi alle lettere J,
p. es.
»
relativo
sione, sia, quest'ultima, di derivazione,
K,
Adua
in
il
i
s
ftiiojij&ìr-
1
«
M^fl
«
che ;
aggett.,
p. es. aoTf
^^
j
quale
il i
(è)
che cosa è successo
semenza seminate?
M^f»
s
frfl
»
«
ÌMS^ *
nome
il
hJ9^
entày
primo per sole
7fl^<.
?
chi? , che?,
M^f,
e
M^f» «
^^^
di questo «
nCh,
»
che uomo è? —
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j
-
MVS^ ayenày
Interrogativo specificativo è
ricevere
perde essi)
il
-
56
pron. sufT. con senso di
la àjl terminale, p. es.
un gen. e
hnh9^ tAlh ^JU^^ •
»
ragazzi sono venuti? — È pure in uso
che non riceve §
58.
—
.
la
forma
>
ad esso
quali
(di
hn s^yàn,
7Hh- qual è la sua casa ? Pron. indeflnitL Sono ^n9^ à n n ^ m qualcuno •
ìkf
•
»
m
qualcuno
«
hyy
sufT., p. es.
qualche^ uno qualunque^
•MIC
quale? che può
nell' unirsi
lo
(
propr. uno di essi ) p. es. ^Ttf^
farà; Kfl
^^ft
i
^fui^ e
i
quale cavallo vuoi? Un cavallo qualunque;
M<W egelé,
—
^kkele
e più in uso XtUW
#nf*
>
»
f^
A^ft
«
per esprimere
una persona sconosciuta o che non si vuol nominare, p. es. 0^ ^ir* chi è morto? Mìt^^Vi'* è morto qualcheduno, un tale;— «
7^ gè le
usato con lo stesso. senso sia per pers. che per cose,
e aggett., p. es.
sost.
hAX k à •WAi:
»
1
e' altro,
7^
1
éJJì
un altro,
f.
»
un
certo cavallo; pi.
ìì6ìKM:,
—
hAA^> p. es. hAK
«
un altro giorno.
DELLE PARTICELLE
§
59.
— Le
comprendono
particelle
preposizioni,
le
gli av-
verbi, le congiunzioni e le interiezioni.
Preposizioni § 60.
— Le part. V)& Mha
f^h con, vendosi ^ e i^ùh
»
m^zzo 4t^ft
»
này
enkàv
•n unite a
del cavallo, T/i^Ch
del cavallo, f^ii
dal cavallo.
part. VjB»
1
di. Ti a,
da,
si
essa,
le
altre,
neferès /.^ft
1
cambia l'ultima sua
—
con, per alla
mezzo
parola
di,
scri-
separate, p. es. ^f,
1
al cavallo, 'fiiUJì col, per
col,
— Neil' unirsi
a in,
prepongono
al
insieme al cavallo, X^lHl
pronome
lettera in
^,
sufT.
p. es.
'
(§ 52). la
V+Jl nàtèy
le part. ^,41, frappongono K ('a), dime, Vis nàttù di lui; per cui: T/hf» n'ày (quasi naày) a me, •nhfi b'a/cà per mezzo tuo, •fiKJk b'aà (-nM) iri essa; le part. ^ft, X^IHI
—
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— (o
aggiungono
IHI )
con
suff.
i
57
à,
—
quindi
messày con me, X^hQh* \àvà/cùm da voi, ecc.
f^lif,
:
9^/f^
ab
part. si
ili
Adua, V-O » KJM^ » tkH » uniscono con à ai pronomi
in
nàvà/cà verso II4X kesà' (||4d) ,^^w
parole
^.^^., la
Adua;
— -mijl
e Jrt-S.
k^ndi
cui
e V-O
(stato) »
K^fl
KJM^
per,
senza,
si
a cagione
di,
te,
»
come
«^ precede,
2^Jt¥
>
>
le altre
fiiio
ad
con
*^j
suff.
^M-fc me'énti per, »
hQK«
—
ecc.
unisce al pron.
à, p. es. 'fliljB.'fih-
gione di lui, ^Til;****! P^^
di
sufT., p. es.
es. ||4}|
riferisce, p.
si
be^èy
ambedue con
di,
te,
partì per Adua, —
in esso, Vfl**i
part.
a
in,
verso (moto e direzione), p. es.
a, per,
dimora
I
con
en]s.kvk\xdaesso, XlhQ'fi*/*
rivate dalle precedenti sono: K-fl in,
messèikà
senza di
lui,
al fine
||1/SK«
ca-
et
te-
AdA. là'li (AXA.) sopm^ ;*•!: tàhti {^hd:) sotto, aHTSm. loiisti e/iirOj 'TKÌÌA mà'/cel (anche n^^-) meng^/ò) fra, in
mezzo
a,
t^ teqà
più precedute
da
vicino a, presso di,
AdA. » 9^X:d » sopra monte, (a pie del), hH K-fl
»
hAi* » h^fl
»
•??i'fiA
—
usano per
si
K-fl, se non siano rette da altra
»
la terra,
lO-Tim.
»
»
K-fl
(Uìh
»
»
r^A-t
Vh^
•
»
soito
entro la casa,
due montagne (amba),
frct
lo
part., p. es.
ecc.
iZ
J^-fl t
;
Jl!:!hdà eh ri dopo, -||+JC^ beqedmi innanzi, 'ttX^Hìd bedéhri indietro; queste ultime hanno anche le forme •fl+JC^I* beqedmit, 'aX:!hd^ bedehrit, per es.
^Si:^ qedmi prima,
•nJtA^I*
»
fiVlf^
*
^^
^
Ictsciato
indietro.
— JC^
(e cosi -ll+JC^ e -flJ^ìh^)? se uniti al pron. 5° ord.
nel
l'ultima
loro
rad.,
essi ; —
p. es.
suff.,
jC^h
innanzi al pron.
cambiano
prima di
te,
suff. di 1" sing.
'nX:àìà^h9^
dietro di
pongono
l^ord. l'ultima rad., p. es. •fl+Jt^^jB»
al
e JCrA^
»
innanzi a me.
Avverbi § 61.
— La pari, indicativa
h^-
unita al pron. suff. e sostituisce
egU è i/ci
(eccolo),
tu sei, t; Db
Vito,
il
1
con senso
di ecco è
sempre
verbo essere; quindi: Xf^ ey ù
\f ejà essa è (eccola), i^TJ ikk tu sei, J^*fi. X& ^yé io sono (per À.-Hèj&), lif-^ eyòm
Grammatica
tigrigna.
8
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— ^
voi siete
Jffl-^ ^ìif
i
che aggiunti con ecc.
Per
dicono
la
I
avendosi hjf. iyù
j&,
— Fra
iy^y-
J^ e
suff. di 1^ pers.)
pron.
dosi cosi ìijf^f^ 'iyattom, T»)&;i'ìhV
il
»
pron. suff. delle 3' pers. sono an-
KS^f^
iyé
pron. plur. può inserirsi il
i/t^àtken
ecc., p. es. "fi^»!
sono nostri padroni.
f,
li^y,
ìiUP
e n-
ennihéwà, JiiìfcTi ^nnihéA^à (JikTi), Jiiìffi. ìùA\ ^nnihénni ecc. Tali forme sono talora impiega-
{ìiVfL^
'hVi'^
corrispondenza del nostro avere^
p. es. fl)&>«
birra. —
ho solamente esprime
Si
—
pel
:
te in
à^
aven-
pi. di pi.,
Con senso del nostro ecco è usato Jil^if ennihò quale può ricevere i soli suff. pronom. del verbo
nihéwò,
ella èy
sono, e taluni
io
per esprimere
l\^^\n
gli Seioani
«
il
)^f iyà
egli è,
pers. sing. si ha pure ;^p»
l*"
J^frjB»
(o Tirih col
buona,
la via è
^
—
y è n ^s§e sonOj hj^^ ikiim voi siete j hSffi f., ;^¥ ina ( n n à ) noi siamo j p. es. ^ao^^ «
Xf^
essi sonOj,
iké^
58
nome o
negazione nel verbo,
la
i
ftfl*
vXlt^St
•
pron. separato,
preponendo Kj& e apponendo ^, p. es. Kj&^X'hi? àymez'én egli non venne j ti f^'t^iiTt 1"* ayqèttel^n io non uccido^ 2""
àyeqètt(?len
telen
wòdd ed
il
pron.
h-
(
)k j&
i
n non
non uccide
egli
p+ìhA
-^
figlio ;
il
(§6, b),
YìX^^M àyyeqét-
^gH ^on fa uccidere; fc/MD^^ ayFra Ytf» hf'hn a y 'à n e n non io.
^
)
—
verbo può essere frammessa
la
sola
e altre particelle, precedono, e
relat.
assorbita, p. es.
Hji'ìhWCT
che essa non riferisce,
part. f^ (§ 62):
K
la
della negaz. é
zéytnèggeren
— Innanzi alla
{nn-^hf») quello ^ della negazione, il pron.
X cambiasi in ^, p. es. hf»VtìTtTt ayhavenn^^n non La ^ della negaz. viene talvolta omessa. diede, suff.
—
—
PA^ y e non & èy
1 1
p. es.
La neg. sere y
è n (da Kj& h- fiHr esister e^ esservi -h
di
^j& i^ —
divenire -h
^
s
p/^^
«
è
) ,
t
il
non
e*
)
vale no^
è acqua.
hf'Wì aykr/onnèn p. es.
^
mi
^aor^t^
«
X'fl*^
»
(da Y\f» -h
ì\f»Wì
»
IfiJ
^^^
es-
^ia
non è buona. In corrispondenza del nostro
non avere sono usate
le
locu-
y e V e 1 ù n (lett. non in lui) egli non hay f-flA** yev^llàn essa non ha y f-flAh yev<9lkà tu m, non haìy
zioni p-n A-^
1
Digitized by
VjOOQIC
e
f-fllAlS,
f^AJl yevelléy
>,
,»
-
59
non ho, e pel
io
lo me n esèinon hanno, f-flAII, P-IIAn-*^>
— Ricorre
ancora,
ma
y e vel-
pi. f-||A-*»;i
P'flAlf|1'»;.f'flAST^.
albòn
raramente, l'arcaismo fiM^Ti
(in Tigre
Mfl-, M(Mt)> ^iSato in' luogo di f-flA-^. ll^CU embi no! (rifiuto), puQ ricevere il pron. suff. che inserisce con A, p. es. X^-nA^ « A.A- » (em billèy), ?o no^ ha detto,
— Con
lo,
A.^JB-
iyày,
e J^^Ji^
ste^o senso .di
Ji^fl. e di }i9^-flAJ&/
Affermativa è X^^ (pron. 'w|é) f-5P
pron. y ò
(
).
aoTrl^
*
-^ f9Cih incute timore tfh
f-Vf»*
'
è egli
»
hV^C^Tfì^ -*-
^
morto
suff. à)&.(è)&) varie part.
ma
?
-»-
quanto?,
talvolta enclt, e
/^
è pericolosa questa
)
fc^AC? ^JfA* »
»
-S.!^
{Tff^Tf^f,xì
^
»
lfi^Rj&
meniky)
^n\L mà'à^é
p. es. •T^lt.i ìhTij&Jt
menzionano
Si
ricco?
vèy dove?
(hf» ?
«
^^
—
Gol
infine:
»
K'fllLf^
(stato)
kendéy
che?
perchè?, h^jB» ka-,
y com^ ? ; p. es. hdf» » )&}-flC »
quando? ^
—
via
Xrfrììhfii
»
^fl^^^
ni a
soldati? ecc.— Inoltre
sem-
sono passate a interrogative, rimanen-
dove? (moto e direzione),
T^^f»
JC*
la part. Jk.
àyyeferreh^ndò
*
nel loro significato, cosi: hXif» a
nàvèy
^tìf»
qualche provincia,
in.
con verbi o con
(puoi) scrivere V amarico? U^;**^
do o pur no
—
^se / ;
/^. proclittica,
enqlt., quest' ultima, soltanto
eQ. hXLf. j
p.
usati
—
Interr^ative sono
pre
sono
iyà'ày.—
(anche
¥fl)&
ffiTihC
j&TijBpJC-
qui
—
(stato),
»
quanti
>
^Mt, ^Wt,
quaj^do partirai?
ab^iyù
«
^dlt) V«fllL&
n a V i y ù qui (moto e direz.),, K'fl'fcC^ a b t y ù là (stato), ff-fl-fc^ n à b ti y ù là (moto e direz.) ; ^p» n e y é (?oZà (stato), J^p» n e nn y é colà (direz.) — h^lLf^ k a m xr y ù così 7? gena an-3'
i
?*
i
;
cora^ «7^ a^<:?^to;
JiAiC
geddi
— UIL
dàhàr
lòmi
o^9j9?j
•f/l»
(JCrAC, R#hC)
»
*R.Jt
»
zevàh
beynù
rfo/)0^
domani,
subito, e +fl
accompagnate dal
A«Ah
(!)&>.
qès
—
w^ \vo
qedèm
tv
\i
(lett
:
prima,
sempre,
1^A« temmàli ^m^
adagio,
A-^ ecc.
sono quasi sempre
verbo (lA ^^/^^^ dicendo : subito)
Perf. comi^. del
^^^ s?^6«Yo
T^iti ter ah
soltanto,
he^r (U^lhegrgri) ora, +|l^
JCflA
tolò
/or^e^
;
;
P- es. -f /!•
—
e cosi
Digitized by
»
lo
VjOOQIC
— 60 — è spesso {
-+-
ìmS^
ìmS^ come? nelle interrog. h^Aìt^ ) fifJCMT • come
ìaTH^Aln^*
dirette, p. es.
avete pernottato
t
Congiunzioni §
62.
— La part. Xin.1
ewùn,
segue
e,
parola che debba
la
essere congiunta ad altra, ed è unita a quella o scritta separata,
^A'Xin.1'
p. es.
— la
domanda; i
nomi
vari
uomo
e V
AQJ&1
nomi e
soli
^Ift
»
•
si
e
ripete con
sevàyn feres^n
cavallo.
il
premette separato,
Oj ovvero, si
bianco o nero, mf,
»
appone a
part. f, e^ si
congiunti, p. es.
wòy,
(Df^
Mijf^
e
yteyyiqewùn
^il cavallo^ j^V/^^iDJJ
i
^>|
i
ID/^
i
Vh^
p. es. Hà^^^^f»^ o piano o monte ;
—
i
s'aggiunge A, per es. llflJ&>iDJ&Ai liberale o avaro ? (Df»h » Ih*? » (Df^ i X^fl »
nelle frasi interrogative, (
wòys
^fi
I
^hA*?^
)
é r/n
»
monte o un' amba
TI gen ma, hèih
»
?
precede o segue
il
termine cui
^
riferite, p. es.
«
•WA* h^^h ma rerrò un altro giorno, hnoMìdU:* »
»
TI T^#W& ^•AAi ma Iddio mi ha fatto ritornare (restUuì) me soloj^'M^nc embèr {fJì9^(ÌC de'àmbèr) bensì, «7iJ geddà però, in vece, seguono sempre, p. es. ffiTStlCh X9^flC bensì il tuo servo, AUim fl+A.^ 1^ jWlAlh (^0 pascolano — però e cavalli e muli; e cosi pure hW kà'àn (h^, tlW) ma anche, fj^ de'à an^^^ p. es. hAX flWL^ Mi m« T^' è) »
»
»
*
>
»
•
•
«
»
»
»
anche un altro canto, ^IL(^ s U^ i l*fi.Jt- 1 an^i, andiamo di qua; mentre Xl"* emmò ma però, precede sempre, scrivendosi unita alla parola antecedente o da essa separata,
{kidummò) tornate
-f A»
subito,
Kj&^^AA » A.**l
»
^^
»
<^^
M'&>
mentre V
morire
?,
parola
p. es. T«^Jt**l
enclt.
— *&
Q
vale
,
»
pure
all'
però
opposto, al contrario,
' <^
buona quella strada ?
enclt.,
vale a riprendere un
ll^
(àne/cé) X^^OH^/^*
enclt. p. »
ma
andate,
»
»
^f « A^+fl
»
al contrario, è cattiva.
concetto, p. es.
»
s
— L'
X'fl"+
A.**lìhlh^
»
tì^^V
Ml^tkJ&JC- » VA;»- » nfKA)& » hV mercato j comprami uno scudo, ma però
'iMp
non dimenticartene. p. es. ^Htf^n-S.
l'^AA-;*'
»
p. es.
M^
»
(f
,
^^
^) è usata a dar
JC'^^P»
»
^/i<^
debba
enfasi ad
^ ^^^« sciabola,
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^o
una
sangue
VjOOQIC
(è)
~
—
61
la cena sua^ Usitatìssima è Y enclt.
A
>
che ha senso
di
un
de-
bole ma^ ed è spesso accompagnata da altra part. avversativa p. es.
hf^iDM^ nwui- n^KHr
non é
t7
«
»
loro figUq che
ha
«
M
>
AQ
>
(
xi^ac^ » XP » casa: chi V ha dii>i
MAQ
»
IP»
» )
»
iflCtl-
»
se io ero colà! XHt^
kèm
p. es. ìmìì^
come, se unita
k a m à ù come
Precedono
KlJ^ìhC p. es.
verbo
il
entèy
Wiirf'
senza che,
endeh^r dopo
M^f,
I
7ILCI1
»
—
M^f:^ ewqéAeta
che, le quali
si
à,
M
innanzi che,
scrivono separate^
senza che abbia fatto,
^ft quando, allorché,
prepongono
aggiunge una
al pron. suff, si lui.
le part.:
dopo che ha fatto ; si
n^f^ùriì
distrutto qr testa
strutta, invece, è quello schiavo;
ma
>
MJtAC
»
7fl«Cll »
mentre, f^ se (condizionale) che
al solo Perf. sempl., l'ultima
mai disgiunta da
mésgeveré allorché fece, }iV7fl^ ennàgeveré mentre fece, 9^^(l/i megeveré egli farebbe; Mi* ente (Mh) se (soggiunt), e M^ (Mìì) se, intanto
questo, p. es. frigida
sempre
che,
unite al verbo : V
verbo se questo
M'tnMttd'ì
se
sia
una e V
negativo, per
es.
Miimc
non facesse,
altra
prepongono
M-MA^
»
Tf al
se facesse,
M^HM'ftC
se egli fa,
intanto che non fa; Il
affinchè, la quale
ketgèbber non
si
prepone
affinché essa
al
solo hnperf. p. es.
non faccia,
hf»mCÌ
Yì^HìC
affinchè egli
faccia.
ll^lHl
»
TI-» da che,
MX
»
H-i
fino
a
che,
h^
s
ti-i
sic-
come, ^M-fc»!!-» perchè (causale), •mi=» per quello che, p. es. Xlh-n » II,AC+ » da che ruba, ftiUh » ìK^Oh^ i fino a che muoia,
ecc.
Interiezioni
§63.-1 nomi al vocativo aggiungono spesso f p. es. ÌLA?f ' q^/oTàyé ragazzo! (ragazzo mio!). Con nomi liturgici si ,
premette o
aggiunge l'antica
si
hWVUMìàhC
»
o Dio!,
—
la
part. del vocat. )k,
per esemp.
quale in Hamasién è usata ancora
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VjOOQIC
— 62 — S
nel volgare, p. es.
passata ad t^p
'a'ò.
»
ì?4K«
— In
o Gabrii!
»
— e neirOéule Guzai
senso vocativo,
il
pronom.
é
pers. sep.
forme J^H* anté-fo/^ otu! Wì^^ antùni pel m. pi.
knpiegia sovente per le 2^ pers. le
anti
pel m., Kì'ìl
mf, wèy aggiunge con
pel
f.
sing.,
vale^/i.^ ehi!, oA/; usata
si
'-
Per 1^,
pron.
^«V. ecc. v. §. 31;
TfW n'ànà
inter. di sorpresa,
per
es.
aiJBA^>
§u^
andiamo!
come
fJiy Tf^, h^, fMh, sono usati soltanto col verbo flA, formando: Wl*
interiezioni e avverbi,
Tkf^fK, ecc.,
come
suff. dì 1* sing.,
quante api !
tVfì^^ oh ! Alcune
A
il
^H), H^'flA» tacere {dire: zitto!), Xtìt^^aii^^edersiy accomodarsi, fush^dh^ alzarsi ii piedi, diit acconsentire (dire:
Tk9^fUifi'
»
HA
»
rifiutare, ecc.
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VjOOQIC
È
^
— 63 —
SINTASSI DEL VERBO
Tempi §
64.
e
modi
Perfètto semplice enuncia
Il
l'azione compiuta,
senza determinare se quella sia tale anche pei suoi
propriamente
tempo
il
avvenute nel passato,
effetti.
della narrazione, quiando ?i parla di azioni p. es. V-n
»
9^TfiXL
»
iO/ifL^
«
ò^KoèJÌ
— ed
i^^àith^* df scese alla sorgente e n'empì la sua anfora
suo impiego
debba
si
estende
*
il
presente ed al futuro quando l'azione
al
come compiuta perchè
ritenersi
—
rivarne un'altra, p. es. YtHuih
i
dai suoi
TI^Tini
s
effetti
}i«
'
possa de-
M»
chiun-
»
que mi troverà mi ucciderà.
Uso che
particolare del Perf. sempl. è per esprimere : un'azione
compie nel momento
si
che se ne parla, IUW*fÌ
'
zione
p. es.
Tl1*ff^Aj&
il
cui
siderare
M^f»
compimento è o
come avvenuto,
§
sua pelle 65.
Il
(1)
Gesell.
H/ihtìì
pone
litlA.
»
può con-
-flAAl » +>IUA
»
»
in salvo innanzi
Perfetto composto esprime azione interamente atto e pei suoi effetti.
come ha passato
passato; A^òhtt dici:
»
serpente^ si
ti
?
— oppure un'a-
cosi certo che si
si ritiene
espressione del passato, p. es. »
che cosa gradisci
'
p. es. i^aoTff
fatto stesso
(1).
compiuta nel suo
't'HXCf^
^t-fTi
»
o pel
^uoi tu vendermi del grano?
•
chi ha veduto (una volta) alla
in cui si parla
non udii!
Praetorius,
»
fiume?
il
hfié^òìt
— ovvero
h^J&A*
»
»
^Nìfii
»
— Esso
ìh4-fl
A
»
è usato:
ir'HXCSP »
guado
come
•flli*7<-
»
ha pure
(a piedi) lo
tu hai ascoltato e
a significare un'azione circostanziale
Tigrina-Spruchwòrter,
n. 25.
(Zeit. d. Deutsch.
Morgenl.
XXXVm).
Digitized by
VjOOQIC
— 64 — anteriore air azione principale, nel qual caso
valere
nostro Gerundio comp., p. es. XtÌA*
il
avendo trebbiato
htÙGf^
i
»
il
granoj
soldati di
lo ventila ;
Ras Mangascià
^f»
i
Perf.
il »
comp. può
K^H^
^KA.
•
»
f Tfcy
^•Wf
e quelli di Degiat
»
»
1f»
«
Debéb^
avendo combattuto fra lorOj quelli di Ras Mangascià, avendo
U fugarono.
vinto,
comp. è talvolta usato come espressione d' una moinerente ad un verbo, e allora sta per un nostro avverbio,
Perf.
Il
dalità
:
p. es.
nf^nn Mita òHrCh
ad un
sostant., e quindi sta
a^Mrf» > a^HA » lAflm* » e acqua dalla sua anfora. nelV abbeveratoio nuovamente (avendo ripetuto) essa versò ; — oppure a significare un'azione inerente »
^•A«h-
*
I^'OIP
»
»
A^TLfr
V-fl
»
per un nostro participio, p.es.
+*n.<-
»
»
«
la corrente
OhH^
i
divenuta pieno,
avendo trovata, passò a nuoto; ohJt^ » T^A* » l^'ttP » -OliK- » +*n.<- f avendo trovata la corrente scemata, passò a guado. § 66.
L'Imperfetto
indica l'azione incompiuta, senza de-
terminare se quella abbia avuto o pur no principio. Si adopera
:
come
espressione del presente o del futuro, p. es. ìi^Tih
hMdblf* una
tinuOj
thf^liTk
»
»
XAC/h » thf^lih » MCV^ » non lavoro di conuna volta riposo (alterno il lavoro col
volta lavoro,
4*Ain.^ » jt^ifli » ma r/n o/iro giorno verrò più presto;— e a significare un'azione che ha riposo) ;
luogo
hAX n^M: TI »
in tutti
^U^i:
»
»
tempi
i
(il
»
pres. indeterminato) p. es. 'MìiJtvtìàhC
»
o tosto o tardi dà questa sorte, o povertà o
/ddi'o
agiatezza.
esprime l'azione
Si
p.es. lfi^>|h«i (h^fth-») iniziata,
lflTij&J?:»
Z)ot?e
va?
Va
d'inizio imminente,
K+A
*
hM^
poniamo
andrò
io
—
facendo seguire J^-i concordante col verbo pel f»^f»f: » A.P » V-fl » h^P (s'è avviato) al mercato;
eh' essa riceve, p. es. VIDE.
Xfi a
premettendo h, per lui; l'azione
inizio intenzionale,
di
»
»
—
premettendo
ìm^^m
»
»
ik.V
*
h
suff.
jMiJlJ?:
l'azione
e posponendo Jk.-«, p.
poni
•
es.
in assetto le robe (che) ci
in marcia.
Digitized by
VjOOQIC
—
— La
§ 67.
65
—
accompagna
part. J^-»
l'uno o l'altro
talvolta
tempo del verbo come corroborativo di certezza p. es. JCIIA • •7JI s f»(D^à ' TkV-^ » domani pioverà certamente. L' lussivo è il modo del comando, del desiderio e § 68. ,
—
dell'imprecazione;
— le
2* pers. sing.
e
pi.
sono usate soltanto
verbo negativo: nel verbo affermativo sono
col
l'Imperativo, p.
ìiìm^ I^CtMlb
'
ll^Pw ti
»
»
con
sostituite
Kj&^A'flin' non rovesciarlo! 'fi.-S. ' ^fl^**l » va (o donna) alla foresta, e cerca legna; >T»iJ » es.
— La
colga (trovi) un fulmine !
premette sempre
h
tnflC
p. es.
,
1* pers. sing. dell' luss.
eh' io lo faccia (abbia V in-
»
tenzione di farlo).
Dopo l'Imperativo usa r lussi vo,
t
'ìf^i.
lasciare^ e analoghi, si
lascia che
i
lingua tigrigna esprime con le radici >fl^
,
IIU.^ '^1tAl^
p. es.
*
f»9^fih
*
§ 69.
— La
del nostro verbo essere.
vari significati
,
vale
permanere
in
uno
stavo olla Corte; ^f, « J^WlC » 6gf^^ ^^^ i^ Adua. nire^ p. es. T»)&;i'ftn
ricco ; e J^Tiio-^
il »
ìiìH
suo Imperf.
diverrà cieco.
K¥^A KAm.
«
»
Tali verbi
Vfl^<.
—
^'
i
»
sta nel
—
p. es. K-fl
bam-
^f,
s
lfij&>«
an^t
ftifr
Con esprime
il
(o
i^Utì
*
»
lei
padrone
e'
«
è divenuto
p. es.
sono
costruiti
òifKC '
acqua;
è
K^^Ab
ausiliari,
numero
tempi
i
*
fc-fl »
—
seguendo
al
e persona.
dell'
azione dura-
,
l'
,
Imperf. del
trova corrispondenza nel nostro
« TtVò'^ « hf^i.iiV'n « >n*. » paese a Noemi non V avevano riconosciuta. ;
Tfìi^P
cavalli ;
facevi? — È
*
»
Vf^^W Mìh^
p. es.
ììl'ìXk
comprar
^7
nostro trapassato prossimo, mentre
abitanti del di
hH hX:V
comp.) del verbo, col Perf. sempl. di Jfl^
verbo, col Perf. semp. di Jfl^ imperfetto,
«
(§ 31) significa esistere^
possono impiegarsi come
sempl.
XlCth
«
^^o/ cavalli sono nella scuderia.
l'ausilio di >fl^
e
JiV
verbo >fl^
^T-/**
senso di un futuro,
verbo principale con cui concordano per
tiva. Il Perf.
M^
'
Il
JiV significa anzitutto dive»
verbo hùr
Il
»
—
v'era stata acqua;
verbo
Il
U^;**^
»
esservij trovar sij p. es. *
oL,
st.
io
gli
«
vengano!
bini
fc/t*
del verbo
«
\ìf»?n
i.hn
usato
il
De Vito, Orammatica
»
*
VflClh
M^f»
Perf. tigrigna,
'
»
ero andato al mercato per
^(iOti
*
Midi
comp. anziché
il
*
prima che cosa
Perf. sempl. di Jfl^ 9
Digitized by
VjOOQIC
j
-
—
66
quando occorre determinare che un'azione ha anteriormente perdurato, cosi
come
indica
il
tih
«
^n
*
T^flTf
«
»
:
Tausil.
è riferito al
,
)
»
M,
compimento o incompimento dell'azione
il
momento
che l'azione
verificarsi, p. es.
7(U<-
*
Ji^+jt
l'+^l^
«
tlrA-f^5^ » l-S. forse avendolo
'
i
Jfijty.
con j&Tiio-^ che essa deve an-
tempo senza esser sepolto; ^f, nftODfUìiX^
determinandosi con
di cui si parla,
s' è già verificata e
cora
Uf»V9^
»
ticciso
»
mA
fu
»
»
•TILAI*
lasciato Iringo
XP» « 4*Anu^ * essendo incominciato a piovere^ non son venuto più
sollecitamente ;
h^ìOvtìàhC
at^rà da<(7 la grazia ;
S^iD^à
«
^f^h^
'
mi/^^
loro una lettera. — Talvolta
«
»
hj^V-
«
ìtfl"i
«
)&TÌio-^
/okfo'o
«
/m
f^KkA^UrT^ f^'Vh « scriveranno Xìf»^ esprime la possibilità che un'a'
»
zione sia avvenuta, p. es. Vf^ii
il
(
invece egli è giovane.
Con
—
momento
rispetto al
h> > ilf. hdX^ )&^ftAi » >ll.<- » >W- § 7 ^i ^^o sembrato che BurriX fosse vecchio TkV-
di cui si parla, p. es.
ma
suo tempo,
»
lfij&>- »
è possibile che sia
morto;
—
qual senso di possibiltà è immedesimato in fi,'^aht L'ausil. tilìr si usa col solo Imperf. del verbo e stabilisce che
il
.
soggetto trovasi a fare l'azione, p. es. hfiiinh
sto supplicando^ ATSh^jB*
nendo.
«
—
)&^'>»X'}i
»
Nella stessa proposizione, l'ausil.
mente
costrutti, è
hllr
»
»
«^
comune
apposto all'ultimo di
^T?:t n^ ^ìì'W^C PT9** Ml^ *
»
»
hùr*^ » io ti ^io servo sta ve»
a più verbi ugual-
essi, p. es. p-^filA »
e nel deserto
»
ìkiDJJ
»
Giovanni
insegnava e battezzava. § 70. -- Alcune particelle, preposte a determinati tempi del
verbo tigrigno, ne variano a)
Le pari ^ft, ^,
il
JiV,
significato.
M^rf»,
si
prepongono
al solo Per-
fetto semplice.
Con ^ft, il verbo ha valore di azione di riferimento, per esempio ^fti+X » ^Ù9kf* » allorché è divenuto secco, lo fa falciare ; con acquista valore del nostro condizionale, per
—
^
esempio ^iA^"^ possibile; con
—
al nostro
»
TI h)&WA)&
M
»
il
«
m^*
Perf. sempl. s'
piacerebbe,
ma
non mi
è
impiega spesso in analogia
gerundio semplice, per esprimere azioni
Digitized by
circostanziali,
VjOOQIC
— 67 — piangendo;— coli Mirf» è espressa razione eccettuata, p. es. •nfrl i ^^A-fc « M+jB. ^*Wl » tiTi * Aar lasciato passare +Jp mo/^i giorni senza venire, s b) Le part. h ^Xl-fc \i XllHI H ÌAÌi TI si premetp.es.
hvnìif
<
l'Af-» lo seguì
«
i )
(
,
tono
«
,
«
,
,
al solo Imperfetto,
h
Retto da
r Imperf. indica l'azione
,
finale, p. es. V*fl
Jk^/J
«
»
XfÌA. » lUlTWi » h/B»-^ « Ml^ « <^^o andato al mercato a comprare granaglie; se dipendente da ^M-fc « h esprime azione con-
—
,
seguente, p. es.
Vnh-
«
^^X.h-
— con Xlh-fl
per interrogarlo;
»
*
^Ji^M: TI e
«
lUT)&+
h4Ji
«
TI
,
s^*
«
recò
da
lui
T Imperf. significa
azioni di riferimento rispettivamente anteriori e posteriori ad
XIlHI * IL^^io-1* » ^hCrt » 9^i»1* » )&Tiio-^ * sono dieci anni da che è morto; lniù\ « THfAff » JfVA aspetta che abbia altra, p. es.
•
finito di scrivere, e)
Le
part.
MJC-AC
li^+JW* reggono generalmente il solo h^JtAC » •l'VI.dV Tri'^d^ faremo la
e
Perfetto composto ^ p. es.
^
pace dopo che avremo combattuto; A^^-f +fl'tff^
to^^o eserciti
^
»
«
«
?i^+JW* » i'VXPf^^ si dispersero prima che avessero com»
battuto, d)
e
La
part.
la part.
M't
Mt^
il
ll'H'I'^'tifl
*
»
il
Perfetto semplice o
il
composto^
Perfetto semplice o V Imperfetto.
M^ dà senso esempio JCnA
regge
verbo d'azione
al
^f»
jBrìh^TI
»
di
dubbioso accadere, per
?i^1'^+*^ » pioverà domani ?y 'hàìA * la ^ il ladro vien trovato^ è afferrato;
»
sua neg. è M+HiB», p. es. M+||j&^*8.fl"Ì « s'egli non mi avesse trovato; M^r dà senso d'azione rispondente alla realtà, per
—
esempio ^f» i M^r(D^Ù contemporanea ad altra,
j^A
:
nell'andare biata il
Re a Adua;
mentre
il
con Mirìlf'
.
»
t^ M^ »
^^ p/oce
«
p. es. 17-/»'
parla
«
—
/a freddo,
M-fcH^fl*
«
\^Mh
tutti tacciono^ Tihft:V
«
fr4»
o s
M'tììf'f: ' la sua neg. è M^ìHf» che spesso è scamFra o e il verbo, può frapporsi
M^
'
M^,
pron. relativo di richiamo (§ 96).
—
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68
—
Regime del Verbo § 71.— Il verbo regge direttamente
Toggetto
(o in accusativo):
—
l'oggetto i'^^du ' rìiandami una guida ; o accusativo interno, il quale è generalmente un nome avente
diretto, p. es. hf^fJif,
le stesse rad. del
h^òr
«
M^
s
non è morto ^
«
f^S^^ hf'V't'ì
verbo, p. es.
ma
specificazione, p. es. tìBUt/i
—
«
per morire;
sta
7tf*A
»
«
^Tt
»
— l'accusativo di
'tHVh Ml^
«
ÌU^^HB^
»
»
era vestito di
»
W
» fu uomo A-fl * sembra vecchio;— un aggetj&^»«»ftAi tivo usalo avverbialmente, § 74 le determinazioni di tempo, p. es. 9^^!i\ i %À\^r « f»(i9kà^ * arriveranno domani mattina^ ecc.
pelo di cammello
;
dabbene y hCl/t
predicato, p. es. f^%
il
»
nai
»
;
—
Verbi che hanno due oggetti, pongono p. es.
Tt^
A-SsA
:
nuovo servo,
—
«
7H hCfìS" verbo può reggere
ffiTShC
Un
i
»
'
«
in accus.
il
più vicino,
vedere la casa al
/^^
in accus.
due
quando Tuno di essi sia un pron. pers., p. es. ^f» i qU fece bere acqua; o quando i due ogg. stiano fra rapporto
^ 72.
^^
*
— La
(^^^uto
part.
^
un
figlio^ al
indica
la
hMr^^
:
»
loro nel
oi^ (DHJfn ho^ » •04- « quale ho posto nome Burrù.
di soggetto a predicato, p. es.
ÌMO*Kh»lt
oggetti
«
*
trasmissione dell'azione sull'og-
^XA. ^T-A.A Kfi- Ì\^é9:9^ il Ro.§ ha fatto tagliare la mano al ladro ; lo scopo d' un movimento manderò il e la destinazione, p. es. ^Mf> hAJtJt Ti^M*^ getto più lontano, p. es.
»
*
»
«
—
*
*
«
—
l'interesse, p. es. ^fc^^Ah » ^f» » mio servo dal tuo servo; ' h+JtA * M» attingerò acqua per i tuoi cammelli; e talvolta
—
(mìif» * t^^ìùì^ùl^ » ho fatto testimonianza in favore di quell'uomo, Con t è sottinteso l'arrivo
esprime
il
favore, p. es. ^1s
:
—
ad uno scopo, iD^+1^
«
y&f^
'
p. es.
TthJ^V
9kàui*
*
f^'
*
h/B»-^
'^(^l'itto
«
è
una
andato a Adua^ Ali * Scium ; la
lettera allo
direzione allo scopo è significata con V-O, p. cs. V-O \ìf,H-t è partito
(indirizza)
La
part.
una
f
relazione fra
per Adua^ Aft» io^+^ lettera, allo
V-fl
j
fr^
«
^^^
fcJtV j
»
.ser?b^*
Scium,
è spessissimo impiegata il
*
•
come segno
verbo e l'oggetto su cui
si
esterno della
esercita
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l'azione.
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p. es.
io
hf^hn Tlt+Ahi^ »
che uccisi queir uomo;
»
t^Mìhf' non sono HCf oppure tH ilCf hcihfMif
^Aiìhf»
M
»
«eppure
«
«
'
s
»
«
questa schiava j discacciala! Sul pron.
suff. in dativo, v.
hCht for
ì9dAA sembrare j
§
dissej
hCh?*
gii
«
flA di^e^
vedere^ ecc., reggono in accusativo
Togg. indiretto quando espresso con un pron.
mi
come
Taluni verbi,
50.
mostrò; —
altri
pers., p. es.
di^X* verbi come >7^ parla rej
raccontare^ ^lAfl pensare^ ricordarsi^ ricevono in dativo suff. delle 2* pers., p. es.
pron.
>7C?« gli raccontò ^
il
solo
ma >7^Ah'
—
il raccontò; ^(i(ì\ » pensò a me y 'liAflAh » pensò a te; pers. verbo UH dare^ concedere^ si unisce in accus. il pronome
ti
anche con senso
di
un
dativo, e lo riceve
porsi in evidenza l'interesse dell'oggetto, p. es.
'MìOi^àhC f linAj&
datOy
*>-I-/M
I
jii^
esprime mento,
VjB»
è significato
il
«
h^i:
Mhlì
«
«
«
possesso, p. es.
— mentre
Miraì^P
ò^h
'
•
'hi-ù
dall' Asmara
*
Vii
»
^iì+f» « ^f» » 7 AOm-f «
— Nelle determinazioni per estremi MhH e JiAJi,
nome retto da MrfHÌ è per lo più seguito dal verbo Kn»^ cominciare, p. es. ìi'^MSh j&ACA »
]fi4}|
j
/•ffl*
Col verbo pass,
rifl.,
^on
*
a esprimere
la
comp.
Perf. '
MhH
del
*7^ìh
«
«
lavora continuamente, da mattina a sera.
MhH
precede l'agente,
t^enne ricevuto dal Re.
K)&++flAT' Pel suo significato '
hh^^^i*^
*
ìiTihiì
il
j
si
fino a Gura,
di limiti di tempo, spazio, ecc. aventi
JSJ^'I^J.
Mha
con
quanto al bestiame che
«
sua anfora versò acqua nelV abbeveratoio,
datila
mdohàu- Vf» '
separazione e l'allontana-
l'origine, la provenienza, la
p. es: }|^}M1
quando è da ^Sia^X mi hanno
mi conceda (per me),
Iddio
questo prato era del Re^
:
egli avesse smarrito^
tlAJi
»
«
§ 73.— Con
A
con
—
p. es. hlrh'fì
di allontanamento, la part.
diversità fra
MhH
due cose comparate l'una
'
T'T-/*'»
è usata
all'altra:
lo stato, la qualità,
ecc. oggetto della comparazione, sono espressi
col verbo o con
aggettivo, p. es. -o^.
l'
Burrd è vigoroso (m^h^ JtJf'fl^»» è
s
MhH
n;'A»
«
•
esser vigoroso) più diBoggale,
migliore (buono più) di lui, Mhrlì
»
f^VTfììC
»
Mhiìh*'
ì^à^Oh
«
^(Ufks
grandi
« ^f» ' fJi^ A-n^ìh » ?iP ^llft. « rf^ <^/^^^ ^6 (ragguardevoli) famiglie, quella dei Degiàt Sebhàt è la (più)
ìhio-A-?.
••
••
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— 70 —
— L'uguaglianza è espressa
grande.
con
h^,
P- 6S.
h^« OJ'/W»
J&TT'hC » é vigoroso come Boggcde. § 74.— La part. -fl è usata come strumentale e modale, p.es.M»
KT^+Til'lfl-^ » KA*TÌ* « ?o vi battei j^o con acqua ^ ^Arn f talvolta come locativa, •flRA^**i » ritienilo per trio nemico; •fl^ji
»
—
per
—
(o ¥-fl), in locuzioni rimaste dell'antica lingua.
X-fl
Perf.
comp.
nomi
retti
ifl^ usato avverbialmente
di
da
-fl,
II
(§65) può seguire
e anche sostituire questa, p. es. Hhh^'^li*^
If'C^^'liM* » passarono per VAsmara; #h1f*fìC » If'Cf^' J&'tH ^ (o fa afferrare dai soldati. Le part. -fl e X-fl valgono pure a costrurre determinazioni
— Gli
avverbiali.
aggettivi e
i
nomi
di volta
verbialmente senza nulla premettere, sciato assai, hAi^lf)!
*
JM-flC
«
lo
p. es.
fa per
la
possono usarsi av-flIM
è ere-
Wih* «
«
seconda volta ;
—
i
denominativi (num. ordinali compresi) per passare ad avverbi richiedono X-fl, P- cs. da AMJ& superiore, ^hì^f» inferiore, hàihf' secondo, formansi X-fl ' AMJB» « superiormente, X-fl i
^Hì^fi' e
i
num.
•flh-Jl*
ha
'
«
inferiormente, tiH
*
card, premettono
-fl
veramente (anche
^OH^SX
«
«
hfiihSf»* in
o
V^
X-fl »
premette,
§ 75.
finalmente, -fl^KI-
^ft regge p. es.
•flH^
la
»
«
^^^ P^^j
insieme, ecc., di stato, nulla
«
/i«
il
si
osserva:
soggetto compie
combattuto con (contro di)
^^SL
»
lf»CP
s
5^^^
^o
ha fatto sen^a
l'azione,
lui;
cosa senza di cui l'azione viene compiuta, p.
— menes..1ft-«
(contro) la
mia
;
y^^-fc regge p. es.
8err/^ -fl#h^
sost.
i
fedelmente,
di vero), -flCXA*
come avverbio
cosa assieme a cui
«
volontà
a
»
»
—
M
^AK- +Vl,h-
tre -flU^, la
«
» /^/ '^ pace. dC4Ì * Sull'impiego delle rimanenti prep.
p. es.
—
p. es. -flh^Jl-
,
h-Jl*
eccetto qualche sost. che impiegato
secondo luogo;
-flIM
*
il
^^At
nome che '
giorni per imparare,
f JtA. « T^Trìl » ^^iC « occorrono mx)lti mentre tn^ il nome esprimente la
—
causa da cui l'azione deriva, rattristarti
indica la ragione di un'azione,
,
p. es.
KjM^lTI
«
h^-S.
*
tA9
«
a cagione del fanciullo.
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^w>/i
— 71 —
DEL NOME
Uso del genere e del numero. 76.
§
— La distinzione del
larmente nei Tolti
nomi
i
di specie d'esseri animati,
mei
altri
si
f.
guerra
^w^^j» Vh-VI* lancia^
strada j
ma
definisce pel
d^dlì cavallo^ fl4*A«
nomi come
altri
ecc. usati al
j,
nome può
lo stesso
fl#hj&
per
f.,
gli
costruirsi al
IMS^ « a^l^ » oppure Ml,^ ao'tl^ * questa Quando occorra, si generalmente prevale il m.
p. es.
,
come
ritengono m., e alcuni
havvi incertezza e spesso
m. o
nell'uso, osservata rego-
è,
designanti esseri di sesso diverso.
soli sostantivi
mtdOj ecc. che solej
genere
••
,
—
nome
il
m. o
il
f.
mediante
i
qualificativi i'ilà^S^
masehiOj X^Tf+jM; femmina, o AflJ&i: donna,^ p. es. +nft;''^ 1^A9 » fanciullo maschio fl4*A« « h^Ti+j&'fc * mula.
*
j,
I
sost. presi in
senso diminutivo, e cosi pure quelli che in sé
racchiudono un'idea diminutiva, sono usati quel puledrinOj H^hTl+jt
questo piccione^ ecc.
come
p. es.
f.,
cammelli II
f.
*
<w»}f
— Anche
K*7^Ah
*
^^
hh'bm^
'
f.,
p. es.
xi'^AlA'
questo libretto^ HC^fì/t
è inoltre usato pel m.
furono abbeverati
quando
VI,
»
si
t'fìi^t «
«
flA.^
:
come
^^^10-
-•
f-flA-^
(1)
l
hM
•
ha mangiatoj ha mangiato^ (ma avendo il
cibo) sale (sapore)
tamente ^ e quindi errata la direzione ^ dice che) è
tuoi
nei proverbi,
ha camminato^ ha camminato (ma avendo camminato e'
i
vuol dare significato
all'asserto della preposizione,
mangiato distrattamente ^ dice che
non
*
considerano talvolta
pi. fratti si
i
nelle sentenze, ecc., p. es. flA.^ »
al
?
di generalità
h^^
i
il
non ha ; distrat-
villaggio
(1).
Praetorius, Tigr. Spriichw. N. 27, op.
cit.
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—
-12 §
77.
—
nome
Il
Quando designa
specie.
secondo
nato,
è usato a significare V unità o la
al sing.
esso è determinato o indetermi-
l'unità,
senso del discorso,
il
Vài^ TMKAj6
X^HhtDCJC* « se scendi al mercato^ comprami uno scudo ;
»
*
— quando la specie, è impiegato p. es. i^/JCì
fl4*A«^
»
'
p. es. Tiìi^p
come un
f ^XtK-A*
plurale indeterminato,
conducono a
«
«
lui cavalli e
muli.
plurale semplice è generalmente usato in senso determi-
Il
A?niC
nato, p. es.
«
f»fiKàk^ « arrivano
i
soldati ( HiTf hC
'
«
J&flX*#h«
arrivano soldati). plurale di plurale è impiegato a esprimere pluralità inde-
Il
terminata, o moltitudine di cose, ovvero col particolare significato del § seguente.
§ 78.
— Nel
discorso confidenziale
in quello familiare rispettoso, le
2*^
pi.;
persona ragguardevole, s'impiegano
mao^
Ras predò
il
«
pers. 2*
e
3* pi.
bestiame.
il
impiegate
come
si
le
—
usano
le 2*
pers. sing.
3*^
pi.,
p. es.
irML
Nel discorso
*
lì^'t
^
il pi. di pi., p. es. ^^-f » h^M-f^ * ti^-f Loro Signorie come hanno trascorso questo tempo?
*
alle
diretto,
sing. di rispetto, corrisponde
loro plurale
;
parlando a persona o di
a
^ ^ »
Regime del Nome § 79.
— Le
forme brevi del dimostrativo (§55) assai spesso
valgono come determinativi
di
un nome seguente,
p. es.
Mi
i
AAA.» ^+^ » tAlh « Muft- « XhMrmC « K'TL*- * Xilf » il monaco, avendo raccolti intorno a sé i ragazzetti, incominciò a insegnare,
— e talvolta sono richieste per specificare Wt
p. es.
«
si rafforza
flCi?
lo schiavo,
«
preponendo
al
HQCi?
nome
guire quella lunga, p. es. -nM-t faticoso
§
(è)
«
la
genere del nome,
la schiava.
—
Il
dimostr.
forma breve e facendo se-
f:%r
»
m
«
hà^ìU
«
hìLf
»
^^^^
questo lavoro qui.
80. — Col
nato e passa
Ml^
»
«
il
Kiìti^
numerale al
*
pi.
lini
»
il
nome rimane
al sing. se indetermi-
^J& « AhMr due o tre sacchi di grano; \ìMr
se determinato, p. es. hA^I*
dammi
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»
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» «
— 73 — A#+
KftIL ' UttX cardinali ricevono »
nome
—o
come un
pi.
suflF.
numeri
I
determinativo del
AAA'fcX^s lAif ' i tre soldati (pi. lAK-)^ per meglio definirsi, p. es. Yìài'iih^ » iToHi^s if-ift^f-jT»! ambedue (essi due) sono rimasti sulla ma.
§
es.
usati sostant.,
— V aggettivo
81.
j
anziché precedere, spesso segue al
tivo, p. es.
^H,f^ AAAi:X^ «
— Due agg.
due, p. es. -flIM
«
1ll«h>
/iO
»
ih^/^C
ììff^C
«
X^i
precedono ambe-
molte pietre ammucchiatej— ov-
»
segue, p. es.
l'altro
questi tre cavalli
et
»
qualificanti lo stesso sost. o
vero l'uno precede e *
d^dlì
«
«
Jtft-4»
comprato un buon cavallo sauro
i^/Jì
sost. pi.
qualificato si trovi al pi. di
— L'agg.
buoni cavalli.
ma
;
K^^A^»
sempre
è
-flIM molto, volge al »
h9£*lì
moltissimi cavalli. — V agg. sing. vale ogni^ p. es.
que annesso ad un nome lioo*
^AA>fc
»
il
UVi,
»
Yv-iiUlh
8
qual è
ìv-fii
s
sost.
tanti il
^fi
»
f^iDVC
al sing.,
tutto, tutti^
nome
«
(§ 52) preposto
«
nome
il
il »
soltanto se
pi.
—
Vh-AH^
al pi., vale
K^^-Al*
»
molti cavalli^ -IIM*:*^
«
pastore va al pascolo; apposto ad un
8
se
al sing.
quando
al pi.
p. es. Jtft-^1*
pi.,
sost. sia al pi. di pi., p. es. -fllM
ad un nome
»
4*J&ih
nell'uso vivo della lingua spesso rimane al
ad un
sing. innanzi
«
(rosso).
L'agg. per regola concorda col sost: esso è sost. sia al sing.;
sost.,
un numerale o da un dimostra-
se questo sìa già preceduto da
bai.
—
due sacchi di grano.
i
pron.
il
seguente, p.
quando
j^-fl I
dammi
»
ogni
«
o comun-
noi
p. es.
t
del capo di tutti
questi villaggi?
la
— Se
un nome ne segue un altro come permutativo^ prep. che dovesse reggere il primo nome è ripetuta innanzi § 82.
all'altro, p. es.
§ 83.
7#h7fh^J&
— Un sost.
in stato costrutto
^+J?:A
«
»
cil
che determini un
quando
due
i
mio servo Tedia. altro sost. è a questo unito
senso
sost. siano cosi legati dal
da esprimere un unico concetto. Il sost. determinante segue immediatamente il sost. determinato, p. es. MSi « i^Uti « scuderia (casa di cavalli)^ ^f, » ^IffL» acqua sorgiva (di sorgente)^ fcfl^
»
iVA.
»
direttore spirituale (padre dell'anima J ;
determinato finisce con un la
i
3**
terminale cambiasi in De
Vito,
Grammatica
tigrigna.
ord. derivato
e^
da un
o scompare,
— se
il
sost.
antico 6° (§35),
p. es. iDJ(:
s
AflJ&i:
'
10
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VjOOQIC
,
— 74 — wòdde (wod) sevèyti (iD^^A")
terminale è invece mutato nel 1^ p.
6° ord.
dizioni
il
n^
desertoj fl,+
il
8
Old
ehiesaj
nomi,
I
'
frfl
posto fra essi
volgono
:
modo che
senderìej 1fl,+
§
84. —
ponendo
al pi.
ttCti'bft
può essere
il
s
n»^
denominazione,
p. es. 'Vi,
'
K/nfiif
:
p. es.
tClW* #hC^TI
nuto,
la
»
hAi"
ferro,
o
misura ed
due
l'altro dei
pi.
4*C?t
•
M^
«
^"fi.
«
KV4-Ó+J6
»
«
^we
fe
al sost. deter-
m^
p^^^^ d'elefante,
KfliL
—
^^'^ te/fer/ d/
*
— la
l'Italia,
»
Tf.
s
/sr/Vrr di chi, sei tu?,
valore, p. es. ^Jfl*
il
*
»
inter-
olla tua famiglia.
»
^6i
di Terù, ^A"fi.
^
solo determinante
minato. Esprime l'origine e T appartenenza, p. es. ^fìglio
»
determinante vengono
al solo
:
apposizione segue anch' esso
sost. in
Il
al pi.
pron. suff., p. es.
Hii^J^h
*
«
^Jt^ »
es.
sono riguardati come un solo
del determinante; nulla
a questo conviene
richiesti
i
la famiglia^ fl,+
uniti in stato costrutto
num.
aggiunti
»
talune
contado,
«^
»
mudJ^
a
sost. del gen. e
nel
— in
imbelle;
«
— la
specificazione,
materia,
la
-fl^l*
»
il
conte-
catino di
il
grano, ecc.
— L'uno
può volgere ove occorra al
sost. cosi costrutti
e ricevere quel pron. suff. che fosse richiesto, p. es. ihlTfìC
7"J&;i'j6
*
mio signore,
soldati del
i
interporsi altre parole, e se altre determinazioni,
§ 85.
— La
due
i
il
— ma
nome
sost.
fra essi
il
»
non possono
apposto dovesse ricevere
vengono
part. ¥j6 individua
i
sost.
collegati
con Vj6
.
determinante: onde le
apposizioni possono risolversi fac^endo precedere o anche seguire
determinante retto da ¥|& p. ^figlio di ras Michele, Vf, s ^ijjj il
VfM
,
*
«
-flCA.
collana d'oro, ¥j6 «
uso proprio
h^A.
«
?+
iWiiJi^
i
4»C?t
«
Or'i
«
^hA.
i
^tlh>A
«
^/^ tallero
il
esso. — Di
»
la via del mercato^ »
di.
me* caffè,
«
i
Jiró
la
ecc.— Un
è per significare la partizione, p. es.
dell'altro,
MLP
«
parte di
^^^«
»
denza l'uno
A^
di Vf»
:
¥j6
«
caraffa d' idromele, ¥j6
l^
«
es. tDJi^
Ali»
più determinanti in dipen-
primo mantiene,
gli altri
omettono
il
Vjt
Ani* « tAI^ « 2 ,^5^^^* cfe//^ genti di questo paese. La part. Vf» del determinante è omessa se il nome determinato debba esser inetto da altra part., p. es. V-fl « l^S^^f» » p. es.
ILI*
s
Vf»
«
i^^CdhX
'
«
Vi,
«
^i guidò verso
la
casa del mio signore.
Digitized by
—
VjOOQIC
— 75 — nome può
Il
ponendolo
nitivo
p. es. K-fl
Re
'
^ihrb
mettere in evidenza un suo determinante
al ge-
richiamandolo con un pron.
suff.,
al dativo e »
^'^^/''•f
l'ì'hi^
»
«
f-^lft
§otio
«
regno di
il
Giovanni,
— Dei
nome d'azione può reggere altro nome in accus. come oggetto, p. es. ^^JCh ^^flC H fii^e la tua volontàj—o in genitivo come soggetto, p.es. mc* ^ài^/^* Uorqii. — Il nome d'azione, se ometto il nuotare di (che fa) 86.
§
nomi
verbali^
il
«
«
*
di
verbo, rimane in accus., p. es. ^ìti^p*
nuotare ; se oggetto
scopo
un verbo
d'
J&fìhA
«
di volontà
^on può
»
o se esprime
,
lo
premette ^, p.es. ^^J^rh-'l^^flC' X^lA.» desidero fare la tua volontà. d' un'azione,
nome
Il
i^^Oh
si fa seguire, p. es.
Uorqù,— o fl^C*
§
»
—
nome regge
ma
sivo, p. es. d^/J^
rifl.,
verbo,
il
p. es. Ift.
attiva
:
i
con senso
talvolta ff j6TJ^
riflessivo è espresso
•1-+1-A
«
conveniente pron.
si
»
egli stesso lo
è suicidato (lett:
farà,
da
p. es. ^ft.
suff*.,
Ms
i
la
Il
rifles-
sua forma pass,
— ovvero :
con
i^^i^ (o
ChA-
«
la
forma
J^A.
++A
«
cLnilett.:
nome QAA-' padrone ^ che ^
è usato a esprimere
pron. rinforzato egli stesso^ da sé stesso^ f'I'ttC
«
mio proprio cavallo.
nome ChlL
il
suff*.,
il
o con
egli si uccise^
uccise. —
sua propria testa il
(l'amico di)
un nostro pron.
di
ha venduto
«
ma) con l'opportuno pron. riceve
ama
colui che
pron. pers. con valore d'un pos-
il
che prende come oggetto
egli la
«
quale
il
l'amico di Uorqù.
«
Il
sessivo (§ 52),
— Nel
OIC^
«
in accus.,
reggerlo in genitivo, facendolo precedere, p. es. VJ&
i.^^
87.
nome
d'agente può reggere altro
ecc., p. es.
ff»^: fldA-
«
fl**j6+
«
nostro
il
^A-
'
quello
flóA*
«
Scium
sé stesso morì).
Si nota per incidenza che
i
nomi
ghfL uwo^ AfI
uomo
(homo)j
Vie cosaj oggetto^ «7i|>i cosa^ e, per allitterazione, ^Hh ^Hh » (i due ultimi sempre col verbo negativo), sono usati in corri«
spondenza del nostro pron.
indefinito, p. es. ghfi
qualcuno^ AfI
nessuno entra, JiC
qualche cosa^
non
e'
«
hS^Mit
«7i|X
«
fiit
»
«
non
e'
é nulla.,
é proprio nulla che dia luogo
a
«
«
«
Otti,
^Hh ^Hh «
manda ^, dammi
AHJ^ «
IL^Cih «
(faccia) temere.
Digitized by
VjOOQIC
— 76 — §88.— Con
la
una parte
ripetizione di
esprimesi intensità o continuazione,
^CtHI
ììKSiV^
«
*
ripetuti
%éh^
»
— se
X^+T^f X^+T^f
p. es.
«
P^^ quanto avesse corso non è
giungerlo (trovarlo)^
nomi
della proposizione
"fi.Jt
i
{.q
:
{.q
riuscito
cammina lungo
i
esprimono pure distribuzione
il
»
a rag-
fiume.
—
I
(cfr.§ 54), p.es. 1,#ii1*»
ciascun mese;
ogni mattina j
h'tì
nome
7 o da •fl si ripete la part. (la prima Jl^^» A-S.JW^^* ha mandato ciascuno al
il
volt'! al
1**
è retto da
ord.), p. es.
proprio paesej
iOCì,
«
«
K-fl
,
t^Ci,
'
^'^
»
,
fl-fliDl^» pe/'
ogni specie, d'ogni lato; fl-flAK:^A>
alla spicciolata.
§ 89. il
suff.
— Molti
Oh
appellativi,
ncy
(u), p. es.
passando a nomi propri^ ricevono
schiavo, ncfcih oppure nj&<- lo Schiavo;
+A4- speranza, i'M^ la Speranza. Se il nome è formato di due appellativi determinato riceve si tralasci
il
il
suff.
ah, e
determinante, p.
e per abbrev. tDfii^i
es. (DfiifL
,
a
W
Woldù; h^A Xf'CXh «
gis (;SC3lA0, abbrev. h^A.
«
Kefiié
il
f quando per brevità old e Kidàn, h.>S^
talvolta »
in stato costrutto,
Kèflà Giyòr-
«
(1).
DELLA PROPOSIZIONE
Proposizioni semplici.
§ 90.—
Il
pronome
pers. separato è
omesso innanzi
al verlx)
soggetto. — Un
quando non importi porre in evidenza il sconosciuto, o che non si vuol nominare, viene il
senso, con la 3* pers.
forma passiva,
p. es. V-fl
pi. «
del
hlì^'^lt*
sero che l'hanno rubata gente K-fl
«
(1)
lirnt
«
così si
Gran parte
dei
fa nomi
descritto,
verbo, o con »
frfl
dell'
«
Aà^V
Asmara;
sogg.
secondo
la 3* sing. »
flA-V-fc
hy^l^f-
«
»
della
ci dis-
J&*7flC
»
in Abissinia.
in uso
sono tratti dair antico lessico, per altra
parte dal lessico amarigna. Pel regime di questi ultimi, v. Guidi, op.
Digitized by
cit.,
VjOOQIC
§ 54.
1 .
— 77 — L'oggetto del verbo, se determinato per senso o per è richiamato dal pron.
ao^^^^ due
Sacerdote ha benedetto
il
oggetti,
M
e
I
pron.
il
quando
y
hciy— avevaj dicante
suflF.
— ebbe),
gli
figli,
frfl
hA+
«
»
un
di
può essere J&^'^R.
pi.,
o se
vengono
»
nome
il
che
sia al sing.
frfl
tutti
sing. è
al pi.,
chiesa ;
«
^fl»+
— se o
al sing.
f'OoKli
»
i
parenti.
hC/W:^^
al plur., p. es.
La copula
fra
>ifl
:
Il
tuoi parenti
i
ì^hMh
sogg. e
il
(§ 61), p.es. ai-iitu*
—
s
fl,+
«
hjt^
TUMI fAf> «
»
s
un
i
il
naof:
lo
agg.,
sono
Vh-ApOH
al sing.,
A;h^
«
'
i
tutti gli amici. la part.
concorda col sogg.,
^-
X^^AlfL»
tuo Signore è
il
t
sposo vanno in
Vh-ApOH
i
parenti^
mieiy
i
verbo
il
i
verbo può essere
un predicato nominale è
sing.)
«
aoCVtt
p. es.
il
mio.
^i^A^
p. es.
è desideroso degli altrui averi.
»
"MCl^f^
è al sing.
nooft:
tronchi d'albero sono sgrossati ;
i
^P
i
»
mhf^^K^^ K^^Ah.» (K^^Ah^luO ( f.
predicato, se è
ììCXtlr-^
sposa e
J&Tit*^» l^
»
61),
— Due o più nomi pi.,
»
quando
collettivo, »
in-
hii^hf^
«
nome
il
(W-
presi in senso indeterminato,
(o J&I7DX.0 vengono tutti
t
f^4i
hA+ Mt
un
p. es.
se determinati, s'accordano col verbo al
<w»C9iO-^
»
nome
il
»
:
con senso
(rispett. egli
— Cosi pure la part. Xilf (§ «
» i
richiamano col pron. accus. «
dà^fh
»
I
verbo concorda per regola col sogg. se
Il
^IV
nostro avere
il
possesso, p. es. XlLP
il
«
sposi. — Essendovi — verbi ttòr, ifl^
diretto.
il
possessore, p. es. hHS^
il
usata a indicare
»
richiama
usati per esprimere
quest'uomo ha due
frfl
accus., p. es. Tl+?t
suflF.
altro,
«
V-fl
—
Le
»
fl-fl «
rela-
tempo finito fra il sogg. e il suo predicato esprimono coi verbi Jfl^ e lij p. es. iD'téhf^à-^ »
zioni durative o di
nominale, •HM-r^l* Vi«.A»iiH
8
si
,
>j6C^
«
•fltH
8
«
i
r^Hl
molta tristezza per
soldati erano molti ; «
Ini
«
^^^
-1
»
(§ 62),
i
rarsi singolarmente, p. es. il
»
«
i
termini doppi possano unirsi
nomi sono congiunti con Km.? quando » ,
se da conside-
^Mìhf^ ^^^Aai.7 fAjZ9^ l'uomo
ambedue sono mortij
»
«
cavallo sono caduti abbasso; Ytti'khf^
^i^dh'i
^frfl
tutti.
da riguardarsi complessivamente, e con - ^ e
«
vostra partenza fu (cagione di)
Nella prop. complessa in cui
con Km.? o
^"fi^JMfl-^
e
*
l'uomo e
fl**j6-f^ il
-
»
^àiìhf''i
»
cavallo.
Digitized by
VjOOQIC
§
91.— L'ordine
semplice è
KO
«
'ilf^
per
it-^
'
comune
più
delle parti della proposizione
soggetto - oggetto - verbo. Essendovi
:
l'indiretto
getti,
—
78
più precede
lo
M^
«
^A m^* «
)
diretto, p. es.
il
J&AJtJt
«
il
«
due
i
»
¥J&
og-
m^i
padre del
gio-
vane invia a casa della fanciulla V incaricato della domanda.
— L'una
o
l'altra
facendola precedere, p.es.
YiS^^
'fì^inp
l
lu^«ni|Ti
questo villaggio y
«
può mettersi
parte della prop.
^ci'
«
Nella prop. nominale, per regola
è vecchio ;
— ma
\^?
«
evidenza
«
-fl<.
hCU^ ^P «
Nell'ordinaria costruzione,
il
Burrix
»
quando
predicato, p. es. /hif ^JB>i:
il
»
KJf
»
donna !
^ amorevole y questa
»
distrutto.
è usata la posposizione del soggetto
vogliasi porre in
HAflJM;
hanno
soggetto precede, e
il
predicato è seguito dalla copula, p. es.
H^IUP»
a casa tua!;
ribelli lo
i
evidenza
in
determinazioni della proposi-
le
zione trovano posto prima del verbo o del predicato nominale;
— ma se strumentali, modali. p. es. SiAiCCÈ/i
la sferza Off»
»
;
«
f»^/i9
X^||,ik-flA.C
^JtTiil'
»
o a povertà, o
fl^JB» «
»
»
Anali, ecc., facilmente
•fl^T-^¥
iDf»
'Jll^'l;
»
»
*6imA^ »
«
iDf,n'i%h^ »
1109± » j&IMI
»
o tosto o tardi dà la sorte,
/rfrffo
ad agiatezza ; XTI
dopo viene fustigato con
e
»
anche dopo,
-fld^JB»
«
Jtfl^ » Xfr »
t^KVì
«
questo bue è atto al someggio, § 92.
— Proposizione negativa.
ciato della proposiz., p. es.
hff^m
ragazzo;
—
se
»
il
h^-S.
si
*
Il
'
HiA9
rattristarti
me non
«
il
essa,
di
^X.li-
«
tutto
Ki& — 1
la part.
^0^
»
nega una parte
^ venuto da,
nega
si
verbo riceve
riceve la part. neg., p. es. vnj6
h^flC
Se
il
l'
«
enun-
(§ 61),
a cagione
del
termine negato
KjtiDJth^
tuo figlio, bensì
il
«
#h7fhCtl
»
tuo servo.
sogg. o l'ogg. negato possono porsi in evidenza facendoli
precedere e richiamandoli col pron.
'JKJM*
'
thf^9
-
'J'fiAh
«
non sono
io,
che andai a
rei.,
p.es.
Adua
hf^hn^ TlhiJMfl-^*
(mentre: KjMfLJtlfh^
«
M
»
non andai a Adua); Kj61ik**il « TIRV*lfl-**i hP» » TIR Vdlfl- « non sei tu che io chiamai : un io
«
altro
chiamai. Nella prop. nominale la neg. di
Wl,P
«
Jtft*4»
»
Kj&Ml
«
;^-
«
è
hfMTi
,
questo cavallo non è buono.
Digitized by
p. es.
H^^A
»
— Nella prop.
VjOOQIC
— possessiva 11,'flAd
»
^Hò
f•flAJt'J
usa
si
»
^on ho acqua
«
e nella locativa fA'J
HAiìhf' quest'uomo ha nulla da mangiare j ^f»
f-flA-^
f-flA-T
»
,
f A^
;
Pwo«
?
^^
'
^on
^Xr^*
verbo, p. es.
il
scrivere
("sa^}
»
domanda
Risposta negativa ad una
negativamente
—
79
e'
,
P- es.
Jtl-hhA
— Non posso — oppure, j
o ripetendo
:
Kj&hXA^
«
secondo
con X^fl. o Kff'y con KjtliW, con f A^, o con M&4.Aè
il
suo destino)
hj&^h>*fi7 93.
§
;
^'Oti
»
p. es.
A4I fLhf»l^hf»^t ••
«
K-fl.*
veduto gente sulla (per) vìa?
<»«»n^ «
— No^ non
— Proposizione interrogativa. Per 57,61.— La
interrogative, v. §§
(lett:
«
veramente
è sicura (non
fa
egli è
è salubre
il
—
la
copula
K^^C?
paese?;
Vamarigna?
;
L'una e
«
^-0>
^'•Jt^*
l'altra
non
pulative, avversative, ecc., p. es.
}^f
8
p. es.
ha un
è
umanaj
^A-
«
o è malevole?;
^jtliW
—
IMS^
ao'iiJi^
:
temere) questa strada? — Di
con verbi o con
(solo
morto?
le part.
»
X^fl«AJ&
8
si
«
Ill'hXA
»
àìf^f^ ^f '
»
»
»
»
•S.P
»
P^^oi scrivere
ripetono nelle prop. co-
— spesso
TlflA
•fl'lits
minor forza è Jt
^Vi, ^^'i
P- ^s.
alla
hf^Càìtf-
i
«
(ne) vidi.
parola su cui più specialmente cade l'interrogazione, p. es. i^fl**J&+
non
M64^J&
pron. e
i
«
senso,
il
premessa o apposta
part. /^ è
i
è acqua.
è formata «
»
/orse
^f» ' ìt^M: « esprimono dubbio, *
fu
c/ie no/i
egli
che
omesse allorché nella prop. siavi già pron. o avverbio interr., p. es. ao^ « XP » chi è? tnfLf» » o quando basti l' inflessione della voce JIK- » quanti erano ?^ rifiutato?;
e sono
—
per segnare l'interrogazione. L' interr.
può
prop. afferm., p.
altresì es.
esprimersi facendo seguire HjMiJ^ alla
^A-
»
IfìXIP
'
f^f^ì^n
»
egli^
l'ha fattOj
non
è vero?
Unione
di più Proposizioni
Proposizioni coordinate 94.
si
— Proposizioni copulative. Prop. indipendenti fra loro
uniscono con hiO/iy apposto al primo termine
delle proposiz. congiunte
ad una precedente,
di
p. es.
ciascuna
h^^fiiflr^
Digitized
byGò^l(
—
- 80
X^iJ e
^T-/»*
8
«vv^in-?
«
A^<- »
«
Generale attendò nel recinto
il
metà nel
legatici
con Ain.7
hà^Mf
«
rimanenti
i
nel recinto di Mincioàl e
K-fl
»
una prop. subordinata vien
di
sua protasi,
alla
iC^fii^
Xl+Ain.
»
^KJM* K+m.
p. es.
«
^JhlL
^XA.
»
Km^n
»
^'^l'Hlf
*
M^ ^ hàOÈ.
(
talvolta col-
I
)
«
mentre che Ras Mangascià e Ras gli Italiani entrarono in Adtaa.
« ^^^
»
«
Ecceghié, e
recinto reale di Meqtiin.
Anche Tapodosi
hCÈ/t
dell'
accamparono metà
Italiani e Abissini
entrarono in Adua,
ffU Italiani
Alala trovavansi nel Gheralta^
ma
Più pi'op. coordinate fra loro,
modo P
M
te
pf'/*
medesima
alla
es.
subordinate nello stessa
principale, ripetono la part. subordinante,
lin^«}|r- » HflAtir- > Vh-ApOH I X-MI^Ah tatto ciò che gli scrivesti e gli dicestì. i
»
Xfr
«
/^^A'd
Frequente è T omissione della copulativa nel coordinamento
M*JMC
di prop., p. es.
solleva.
X+AdA*
*
«
colei
che
sorregge e lo
lo
— Prop. grammaticalmente indipendenti, ma logicamente
dipendenti
Puna
uniscono per coordinamento (con
dall'altra, si
verbo
asindeto): la prop. che contiene la premessa! è costrutta col
p.
comp. e precede quella che contiene
Perf.
al (
s.
Vh-ApOH
«
portato ria tuttOy e capra,
Al^TL
Le prop. oppositive sono
«
«
«
conseguenza,
»
—
prop. che Xfr
la
hf^lM- OkA hf»lM- » hanno non hanno lasciato né una vacca ^ né una
fliA.*f»*JP
»
si
congiunge ad
é ricco o e povero
Può IIV;^r
hi
>nclfl-
1>^;^J& Jfi> « Prima »
con mf, (§62) premessa alla
0^^^
^fl
«
«
mf,
«
JC-Tj »
?
— M
M tll^ T» OH, IIUP- tóTi- T> ^Jt f -niLik-IIA^ -fl^A^ hit* XP. «•«• M A^*
usai'si '
unite
altra, p. es.
«
*
»
«
come
»
«
«
»
io
il
»
ma
'
«
••
»
ero ricco,
non é craccio per me,
disgiuntiva, p. es.
»
»
-flAJ&l
«
«
» » »
ora ecconu divenato povero: ciò
mio Signore Iddio amo
assai, sia
buona,
mi dà). avversative. La prop. avversativa
sia cattiva (la sorte eh' Egli
§ 95. si
— Proposizioni
unisce alla precedente con
congiunta, o dopo
il
T>, che
primo termine
sta in principio della prop.
di essa, p. es. £JhlL
Digitized by
'
j8^*R-
VjOOQIC
*
— hAWn ^t
s
«
hSf»hi'iDJTr
fias è venuto^
il
«
—
81
ma non ha fatto atto
non entrò); tir^ « UtUih « ^'•^Ml hfiih * ^^A^t ^^ » Am.^ll « V9 » ogrgr« sei venuto tardi, ma un altro giorno vieni più presto. La part. «71 suol seguire sia ad una prop. aflfermativa, che ad una negativa, p. es. n-/»* « hf»MriD/i » di sottomissione
(
leti.:
«
*
—
T> è
K-fl
«
per
oo^iJi^
»
i
hjf^
^^
''
«
via.
Maggiore
efficacia di
-n ha M^nc
in fine della prop. avversante, p. es.
KjiWi'
ma il
ma
^w)n é arrivato (entrato),
VJi
«
ìdM^
s
»
Xif
«
bensì del figlio suo;
Ras non ha
vinto,
}k^flC
^XA.
ma
(HK^^flC), che
Hll-fl^ifl»
«
'hìl.h
«
M&*Y^1 +/*•%
»
pone
si
¥J& 'JT-/*' » questa lettera non è del Re, «
«
—
invece è stato vinto.
»
jUi9^flC
«
La prop.
»
av-
versante può inoltre essere costrutta con ^tt e con X^flC,
hf'i'tihn •J'j » oo^^ s iLACft « h^^nc » VAbissinia non mancò di forza, ma bensì di ehi coltivi il ter-
p. es. iinif
reno.
— La
rijtA.
I
s
••
cedere all'avversata quando
ir/»*
p. es.
non
venire,
^K+fl'
»
è
'>^«
«
h^flC può
prop. avversante costrutta con la
farsi pre-
voglia porre in evidenza,
si
hàm. M^ac AMi-m.1 «^ Re sta per entrato; hf»h+ainr X^flC h»* hi-m.A -J-fl^ » Ì6«*»R.
-
«
«
-•
»
»
»
»
non è entrato, perchè se fosse entrato, sarebbe il pranzo. Per le altre part. avvers., v. § 62.
—
servito (entrerebbe)
Proposizioni subordinate
—
§ 96.
nendo
La proposizione relativa
pron.
il
rei. al Perf.
sempl. o
si
costruisce prepo-
Imperf. del verbo, per
all'
che morì, H.AJtJt ' H quale manda. Se ha un ausiliare (§69) al Perf. sempl. o all' Imperf.,
UVi*
esempio:
ricevuto anche da questo, p. es. ILn^X-
nendo;—
il
verbo può essere
ausiliare al Perf. sémpl. o
all'
al Perf.
'
If
Ain.
«
IL41A*?
«
Imperf. per sostenere
rei.,
il
H quale aveva munto. — Anche
che non ha acqua.
— Come
è
il
la
per
prop.
rei., p. e.
^j6s
nella prop. semplice cosi
nella rei. l'oggetto e le altre determinazioni De Vito, Chrammatica agrigna.
rei.
il
che stanno ve-
comp., quando siavi un
esempio dULtt" « lUWlC » costrutta con la negat. f-flA*^ ' consente a questa :
verbo
il
«
precedono
il
verbo: 11
Digitized by
VjOOQIC
— e questo può richiamare pron. suff. ; p. es. OiC*
ILHIC
che abita con
»
La
prop.
I
che morirono;
— se
segue ad esso,
p. es.
verbo
(§ 51, b) flfl^
»
X^HhOAS: »
>1C
«
J^4»^Tf
io (questa)
«
THI-ntlf-
»
non
talleri
locativo,
ò aggiunto
/l^^
Iffogo nel
»
il
pron.
il
acc, p.
suflF.
es.
hf't'Hnìfiih
»
pron.
quale
ci
«
ciò
l'
»
sitff.
uomo
Ms
rei.
come
sta
dativo, p. es. X^^*fiflA-
troviamo. Col
accus.,
rei. in
»
al quale desti
pron.
il
il
untigli i
cosa della quale sto discorrendo;
àHhSf»
»
ìlèr^
)
un caso obliquo,
nel valore di il
^HììiX
qtutlcuno che osservi
*
ha ringraziato;— ma se
ti
lo pre-
permne
le (quelle)
i
K +
{Al* +
»
ìi,Ctu
rei. sta
della prop. rei. s'aggiunge
H A***i i
pron.
»
dipende da un pron. o da un numerale,
che mi stai dicendo; ghfL il
Uorqù^ 9*AK-
che dipende da un nome, generalmente
rei.
Quando
amo
quale
il
»
luì.
"hf^ ^I^^s;^
cede, p. es.
suo oggetto mediante l'opportuno
il
H.^^^
»
—
82
il
»
suff.
di richiamo è facilmente omesso.
Una
prop. retta dal
9^Tfi' » HK^ sia venuto per te,
p. es. io
TlWmAJB»
«
rei.
H^KMt
»
ma
— ovvero dell'oggetto,
la
llflA-
?,
»
non
sembri che
M%à-
p. es. «
ti
S^i'^hài,
»
WW'ft
«
n^i
»
porve
prop. oggetto di altra che esprima volontà,
desiderio, ricerca, ecc.,
pone innanzi
del soggetto di altra,
Kj6*^AAt|
»
vuoi vendermi del pane
che dicessero ;
la si
può tener luogo
al
si
costruisce pure con
verbo di quella,
p. es.
h K>
e Tlmperf., e «
'ìif^^ì^f^
»
>|A+ fo voglio che siate in pace fra voi. Il pron. rei. può usarsi come richiamo d'una parte del discorso che preceda: onde anche una prop. principale può pre-
dC4i
'
hl'hìh
mettere
»
»
suo verbo,
rei. al
il
Jt^-f^ HIWAT »
si
conosce;
— ed
»
§
97.
— La
retta
da
ti
,
i
«
fl^+^^l^l*
soldati,
il
loro
«
>/M?y*
»
numero non
il
suo verbo
retto dal rei., p. e.
^AK-
»
è con lui che abita.
»
»
•flWM'
una prop. verbale può passare a nominale,
ponendo come predicato
"M ILWIC
p. es.
essendo molti
e
prop. fincde si
si
costruisce col verbo all'Imperf.
colloca per lo più innanzi al verbo della prop.
ìnUSh « tè^iP » ììS^iL « >flCln- » sono stato al mercato per comprar cavalli, \hh^^ XI+flA « dicendo
da cui dipende,
p. es.
/^ft
«
«
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»
—
— ma
per far ridere;
83
—
se negativa, o se dipendente da breve
può anche seguire a questa, p. es. "h^ : #hX.^ « ììf^àilXì * ^on prendere quel ferro afflnchè non ti
prop. principale, hf»^ìr\lH
«
scotti;— 'tni^ X-Mic » XP. ranza di trovarne un'altra
s
:
§
—
98.
h — «)
lìiy^
h^i
«
n^/iro spe-
••
volta,
A»*
Mr-fl4*AJ&
chiostro, affinchè
da
XTI
e.
»
« y^h^-t « hlTHif^ » jrft-4» « /<5fm/>i« òene Vinprepossa scrivere bene, anche ma talvolta
—
verbo, p. es. ^ifl
il
retto
e suol seguire all'altra da cui dipende, p.
»
cedendone
»
La prop. consecutiva usa V Imperfetto
iThlrt »
hfiih
«
^hH:
«
luTiJ&J?:
«
a casa. prop. modale s'introduce con
AI'^k
»
/o liberò
affinchè tornasse
§ 99. — La esempio: hy»
h^ ti
»
TIA-fTi
«
HflA-f
»
Mi*
«
Ifl^A
»
Tititll
«
h^:
ti
—
per
s,
com'ella gli disse, così fece a lei;
«
camminare) come
tu vai, (puoi
'*^e
piaee.
§ 100.— La prop.
causale pone
il
suo verbo
al Perf.
e precede al verbo della prop. da cui dipende, p.
+KACh
»
§ 101.
)flCt|
— La
che regge /o
«
il
prop. circostanziale s'introduce con
Perf. sempl., p. es;
§
Kn%*
8
102. —
sempl. retto
*
«
»
XVlHdlfl-
}i?fl*fif
*
i'Af'
f'IlC lo
»
'
H
,
s
t
XV — f^V^
« WI.?fX ' compro) mi muo•
i^io
amico
scrive, e
costruisce col Perf. al
•^^A'fc
'
verbo della prop.
M^fi'
»
i^^Khh
»
hai lasciato trascorrere molti giorni senza venire.
§ 103.— Nella prop. temporale, se
ranea,
fl^^
seguì piangendo.
La prop. eccettuativa si da M^f^ « e si pone innanzi
cui è dipendente, p. es. -flW't
Jl**Ì
'
esse ogni volta (che le
d^oht MA^i* ^Ój6
parla con me;
comp.
stato imprigionato, perchè hai rubato.
compro pecore^ ed
iono;
da
^d
es.
la
prop. è retta da
^ft—
«
l'azione è contempo-
col Perf. sempl., o
da
M^—^
^ft>+R hCÈ/} tò^^f- e quando è divenuto secco, lo fa falciare; Jt?* r/fA ttlLò^ ^H « »*AM * M^h j6Jt » aspetta, quando avrai mangiato il tuo desinare, allora andrai; e r Imperf., p. es.
«
»
«
*
-
«
quando andrai al mercato ^ compra uno scudo per me, ma però non dimenticartene ; 0#hj& M^^Kf^ ^IH f^XTh.^ mentre •'
•
»
«
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— U
tramonta y
sole
%C+ Kfl4*A \fià*X — se l'azione è anteriore, »
»
A^flJ-f»•
K*TU?^
j6WK-
gnare, sta
»
Ir'ìfiC
«
Gondar; — se
in
TI
7"^>SC
«
J&WK- hAh
«
'
«
«
»
IUÌ**+
h^X «
^rf
^AA.'
p. es.
»
MtMI
razione è posteriore, »
»
«
ll,J*7a»-
«
che incominciò a re-
^^j» rf«
^'
•
«««. dopo che ebbe
//
»
»
mali;
dieci
o X^4»Jt^
»
con Tlmperf.,
n-t^»*JP
costruisce con Tlmperf. retto da J^-fl
—
X^JCAC
suo esercito; t'h/^
il
K-fl
»
«
guerreggiato, disciolse «
«
»
prop. usa
la
ovvero }|7>M1
MJtAC + V%*»*
KìMì ^KVò X^tA^A
partendo da Massai/a^ aoeva
«
col Perf. comp.,
—
condvee a casa ;
le
*
«
84
ti
—
^^^
i,
prop.
la
si
fW^m.** ' Gondar fino
p. es.
sto/^à in
a che morrà, § 104.
con "M'ir
La
—
prop. condizionali,
Nelle
M^ —
o
«
«
d), precede
(§ 70,
introdotta
la protasi,
verbo
il
dell'
apodosi.
da "M'ir » reggente il Perf. sempl. o comp., ovvero da h^-Hijl^ « seguente all'Imperf., possibilità della protasi è indicata
—
p. es. Tthlì
^f, I
>i^+fli4»«^
ìì-nért
«
J^'fiflC* ^^
«
»
M^iAi^
^''^^or
p. es. ìt^/iJtrh^V
non
^^
»
^ikj&V
«
'^
'
«
Xfr
»
qualora piova, farà freddo;
(ovvero X^-^t*
»
hl+lij&lll
essere rispettato, rispetta gli
reale o la cosa certa,
soccorrerci,
f»lLCC
I
da
Mi* —
«
« )
-JllAX»
altri;—
col Perf. sempl.
M^nf^hhMt^r' hf»^dMhV '
»
se
il
fatto
o l'Imperf.,
non potete
M^MiìV
ci
dimenticate !;
e«
arrampichiamo su quesf altura, scorgeremo
V-fl
«
ti-*»?
»
•flIM
«
»
molto paese.
La p. es. sibile,
espressa da ^^ piacerebbe
possibilità, nell' apodosi, é
X^+TIMAj6 ^^-f Ti* «
— ovvero da ^JfJ
J^^^'fi.'IM^»
§ 105.
—
«
«
seguente
al
^ col Perf. sempl., se ciò
verbo, p. es.
mi fosse pos
h^+HJ&T^f
^TiJ « se rion avesse corso, non l'avrebbe raggiunto Il discorso diretto è usitatissimo, e in esso si
mutano molte prop. secondarie esprimenti propri o
altrui
scorsi, opinioni, ecc., o sentimenti e circostanze inerenti al
di
sogg
Le prop. enunciative dipendenti dal verbo flA « dire, si volgono senz'altro in discorso diretto, p. es. "ff»^ « flA » j^X+m. il Capo ha detto: « (Ella) entri! » ; h%òhh hf^lmòlt^ iMIA »
hai ascoltato, e dici: « non udii! »; riferire,
»
— quelle dipendenti dai
verbi
reputare, dichiarare e simili, e le prop. esprimenti altre
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—
-
85
circostanze ecc., mutandosi in discorso diretto, aggiungono in fine
il
Perf.
comp.
di flA
nella pers. e nel
«
num.
richiesto dal
senso: le prop. cosi chiuse, generalmente precedono al verbo
da cui dipendenti,
della prop.
questo, p. es. egli
tihm.t
domanda:
M^S^
«
quel cosa
«
li
ma
possono anche seguire a
JlC » KflAW" « Kit « J&TJ&* « ed ha fatti essere in lite fra loro? »;
»
« to 11 1^ X^ Kj&Xll+^ il sole tramonterai !y^ ha detto j ma ancora non è tramontato; h^J&Ah*
0Aif^
(
«
trì^lHh
«
fc.A
»
»
»
»
h^Jt + A«Atl ) VilAh • com£ hai passata
c/i«
la giornata?
:
«
(lett.:
m
modo?y^ avendo tu detto ^ hai passata la giornata?);
A^Jtl-m.1
«
f^C^^ XhA »
«
tuXAC » J&in*
«
imprigionato!
y^.
dici sentenziano: €il tale sia
§ 106. precede,
pende.
due
— La
»
e
i
giu-
prop. d'interrogazione indiretta per lo più anche seguire al verbo della prop. da cui di-
essendovi un pron. o una part.
preponendo Perf., p. es.
è entrato;
M+
Vt/*'
«
i
al
interr.,
suo verbo, se questo
M+
«
K-fcf^ »
^At
»
p. es. 1"i^3t
»
essa
si
se
i,
S^ACHì
«
co-
sia all'uno
vedete se
— ovvero facendogli seguire XHMfijtl —
debba trovarsi all'Imperfetto,
dimmi
fc^A-f*"
ma può
Non
struisce
dei
( f.)
»
il
il
Re
verbo
Xl+hJ&y-
«
s'egli lavora.
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nSODIOE
FONOLOGIA Dei Suoni p.
6.
—
Delie Parole p. 10.
—
Leggi e alterazioni fonetiche p. 11.
MORFOIiOaiA Del Verbo. Forme
— Flessione
del Verbo p. 15.
— Flessione
del Verbo derivato p. 23.
Del Nome. Forme
del
Nome
p. 38.
—
del Verbo fondamentale p. 18.
Del Verbo alterato p. 27.
— Flessione
del
Nome
p. 44.
—
Nume-
rali p. 48.
Del Pronome. p. 54.
Pronomi personali
— Pronome interrogativo
Delle. Particelle. Preposizioni
—
p. 50.
— Pronome dimostrativo
e relativo
e indefinito p. 55.
p. 56.
— Avverbi p. S7. ^ Congiunzioni
p. 60.
Interiezioni p. 61.
SINTASSI Del Verbo. Tempi e modi p. Del Nome. Uso del genere e
63.
—
del
numero
Regime del Verbo p. 71.
p. 68.
— Regime
Della Proposizione. Proposizioni semplici p. 76. Unione di più Proposizioni. Proposizioni coordinate
del
p. 79.
Nome
p. 72.
— Proposizioni
subordinate p. 81.
-^l*-
»# ?
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ERRATA-CORRIGE ^w>^'^^w>i«%.rw
Pag.
8,
leggasi: 'e rùf
riga30:'erùf nota: (§§ 52, 54)
»
19,
»
»
(§§ 48, 52)
»
rad. asp. gutt.
20, riga 19; p.28,
»
27,
»
13:ynvèlvel
»
ynvélvel
»
36,
»
27, 28: redensero^
»
redimono
»
24,
»
1,2: sostituire:
r.
10: rad. forte
I
quadril.
medengèz, grueeiay da
usano
la
forma tf^JMHJSr
p. es. tfv#h1hA.
mehenkesi
A7llA zoppicare.
52,
25: riconoscete
riconosceste
59,
12: enclt.
proci.
59,
non faccia
61,
24:
63,
13: lrt-ffmAJ&
64,
15:
faccia
àltWP
IMPRIMATUR Fr.
Raphael Pierotti O. P.
S. P.
A. Mag.
IMPRIMATUR lulius Lenti Patr. Constantinop.
NIHIL
Vicesgerens
OBSTAT
Prof. Vincentius Bugarini
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THB NBW YORK PUBUG LIBRARY RBFBRBNGB DBPARTMBNT
ff »
1
é
1*$'!
^M
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