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P. Labbe
InDesign_CS3_prune
Auteur de nombreux livres sur Photoshop, Illustrator, InDesign et XPress, Pierre Labbe (
[email protected] ; http://pierrelabbe.com) est l’un des formateurs les plus réputés dans le monde de l’infographie. Il participe également au site Wisibility.com, blog de formation en ligne sur Photoshop et les logiciels des métiers de l’image, qui présente gratuitement des trucs et astuces sous forme de séquences vidéo.
Le livre de référence sur InDesign CS3
InDesign CS3
Véritable mine de conseils pratiques et d’astuces de travail, cet ouvrage richement illustré dresse un panorama complet d’InDesign CS3, des acquis fondamentaux aux techniques les plus avancées. Couvrant toutes les nouveautés de cette version CS3, il conduit le lecteur de la prise en main du logiciel jusqu’à la maîtrise de ses fonctions les plus pointues. Nourri par la très grande expérience de l’auteur, cet ouvrage constitue un excellent manuel d’apprentissage pour les graphistes et maquettistes débutants comme pour les professionnels.
Au sommaire L’interface d’InDesign • Outils et palettes • Environnement de travail • Gestion du travail • La démarche de travail • Version Cue : la gestion de fichiers • Mise en place du document • Travail avec des calques • Gestion des objets • Dessin des objets • Remplissage des blocs • Manipulations d’objets • Traitements particuliers • Objets ancrés • Enrichissements des objets et styles d’objet • Colorations • Transparence et effets • Styles d’objet • Gestion du texte • Saisie d’un texte • Position d’un texte • Importation d’un texte • Chaînages • Textes en colonnes • Textes sur des tracés • Gestion des images • Types d’images • Préparation des images • Importations et traitements d’images • La typographie dans InDesign • Caractères • Inclinaison • Styles de caractère • Attributs de paragraphe • Listes • Composition des textes • Lettrines • Filets de paragraphe • Travail des textes tabulés • Tableaux • Styles de paragraphe • Fonction Rechercher/Remplacer • Vérification de l’orthographe • Les habillages • Habillage d’un objet • Habillages particuliers • Gestion des pages et des fichiers • Gabarits • Variables de texte • Numérotation des pages • Notes • Transferts entre documents • Bibliothèque • Distribution des fichiers • Préparation pour l’impression • Impression d’un document • Exportations.
P i e r r e
L a b b e
9 782212 123517
Code éditeur : G12351
ISBN : 978-2-212-12351-7
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39,90 €
Conception Nord Compo
Sur le site www.editions-eyrolles.com
To u t e n co u le u rs !
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CHEZ LE MÊME ÉDITEUR P. Labbe. – Photoshop CS3. Pour PC et Mac. N°12121, 2008, 530 pages. E. Canivet. – InDesign. De la créa à l’exé. N°12122, 2008, 228 pages. P. Prévôt, K. Izoulet. – Réaliser un magazine avec InDesign et Photoshop. N°12024, 2007, 200 pages. M. Lavant. – XPress en production. N°12111, 2007, 242 pages. D. Dabner. – Maquette et mise en pages. N°11795, 2006, 128 pages. D. Dabner. – Création graphique. N°11566, 2005, 190 pages. C. De Jong, A. W. Purvis. – Créations typographiques. N°11937, 2007, 400 pages. W. Hill. – Le langage de la typographique. N°11659, 2006, 192 pages. K. Cheng. – Design typographique. N°11745, 2006, 232 pages. P. Prévôt, K. Izoulet. – De la préparation de copie à la mise en pages. N°11798, 2006, 64 pages. P. Prévôt, F. Rocher. – Techniques d’impression. N°11797, 2006, 96 pages. J. Peters. – Fabrication du document imprimé. N°11509, 2006, 280 pages. K. Johansson, P. Lundberg, R. Ryberg. – La chaîne graphique. N°11336, 2004, 340 pages. T. Buanic. – Le PDF pour le prépresse. Acrobat 8 et 7. N°12087, 256 pages. À paraître. P. Evans. – PLV – Publicité – Packaging. N°12017, 264 pages. P. Prévôt, F. Rocher. – Techniques d’impression. N°11797, 2006, 96 pages. P. Prévôt, K. Izoulet. – De la préparation de copie à la mise en pages. N°11797, 2006, 64 pages.
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ÉDITIONS EYROLLES 61, bd Saint-Germain 75240 Paris Cedex 05 www.editions-eyrolles.com
Le code de la propriété intellectuelle du 1er juillet 1992 interdit en effet expressément la photocopie à usage collectif sans autorisation des ayants droit. Or, cette pratique s’est généralisée notamment dans les établissements d’enseignement, provoquant une baisse brutale des achats de livres, au point que la possibilité même pour les auteurs de créer des œuvres nouvelles et de les faire éditer correctement est aujourd’hui menacée. En application de la loi du 11 mars 1957, il est interdit de reproduire intégralement ou partiellement le présent ouvrage, sur quelque support que ce soit, sans autorisation de l’éditeur ou du Centre Français d’Exploitation du Droit de Copie, 20, rue des Grands-Augustins, 75006 Paris. © Groupe Eyrolles, 2008, ISBN : 978-2-212-12351-7
Tous mes remerciements à Madame Stéphanie Saïssay d’Adobe Systems France Monsieur Denis-Pierre Guidot d’Adobe Systems France Monsieur Stéphane Baril d’Adobe Systems France
Pour ses conseils et sa collaboration à ce livre par une relecture attentive et efficace, je remercie tout particulièrement Monsieur Yves Chatain (
[email protected]) formateur sur les logiciels de la Creative Suite.
Yves Chatain et moi-même sommes membres de l’équipe de wisibility.com, le (meilleur) site gratuit d’astuces et de formation en ligne sur les logiciels de la Creative Suite. Certaines photos de ce livre m’ont été fournies par Monsieur Adrien Labbe, je l’en remercie vivement.
I N D ESIGN CS3
Avertissement Mac et Windows
I
nDesign fonctionne sur les environnements Windows et Macintosh. Les différences de fonctionnement entre les deux plates-formes sont uniquement dues aux environnements respectifs. Ce livre ayant été écrit sur Macintosh (avec InDesign, bien sûr), la majorité des copies d’écran a été réalisée sur cette plate-forme. Les raccourcis clavier (personnalisables) sont indiqués d’abord pour Mac puis, entre crochets […], pour Windows. De nombreux menus contextuels sont disponibles ; ils nécessitent le bouton droit de la souris. Sur Macintosh, si vous n’avez pas encore investi dans une souris à deux boutons et une molette (fort utile pour le déplacement dans la page), vous pouvez dérouler ces menus en enfonçant la touche ctrl. Quelques précisions sur la terminologie employée dans cet ouvrage : cliquer signifie appuyer d’un coup sec sur le bouton de la souris et glisser signifie maintenir enfoncé le bouton tout en déplaçant la souris. Le tableau ci-dessous indique les conventions utilisées pour désigner les touches des claviers Mac et Windows. Touche Mac
Aspect
Touche PC
Aspect
Commande ou
¢
Contrôle
Ctrl
Option (alt)
∏
Alt
Alt
Majuscule
Ó
Shift ou Ó
Contrôle
ctrl
Cette touche n’existe pas, on utilise le clic droit.
Ó ou Ó
Dernier point à signaler : dans certains paragraphes, des encadrés gris présenteront une remarque, une note, une astuce de travail ou un conseil. De parfois présente dans la marge, signale une nouveauté de plus, l’icône la version CS3.
2
TABLE DES MATIÈRES
Introduction
C
e livre dresse un panorama complet d’InDesign mais principalement dans une optique PAO. Il vous montrera qu’associé à Photoshop, Illustrator et Bridge, ce logiciel est incontournable dans le domaine de la mise en pages. La version CS3 s’est enrichie de nombreuses nouveautés qui faciliteront votre travail aussi bien dans la gestion des blocs (avec les effets, la gestion de la transparence et des importations) que dans celle des textes (avec les styles de tableau, de cellule, de liste ou des variables de texte). Elles seront développées tout au long de cet ouvrage et accompagnées de nombreuses astuces de travail. Ce livre a pour but de vous proposer des méthodes et des techniques pour préparer vos travaux en vue de les publier principalement sur papier (document imprimé), mais également sur le Web ou tout autre réseau (sous forme de document PDF), depuis la préparation des éléments jusqu’à leur mise en place dans le document prêt à être publié. Les utilisations conjointes à d’autres logiciels sont indiquées et exploitées tout au long du livre.
Vous pouvez m’écrire pour me poser des questions sur ce logiciel à l’adresse suivante :
[email protected], ou découvrir sur wisibility.com les dernières astuces trouvées.
Et maintenant bonne lecture ! Pierre Labbe
3
TABLE DES MATIÈRES
Table des matières Les retouches de tracés.......................................................55
1 L’interface d’InDesign Les outils et les palettes
9 Les outils ..................................................................................... 9 Les palettes ..............................................................................13
L’environnement de travail
22 La personnalisation de l’espace de travail....................22 La personnalisation des raccourcis .................................24 La gestion de l’affichage .....................................................25
2 La gestion du travail La démarche de travail
27 De la maquette à la distribution ......................................27 Les enregistrements et annulations ...............................28
Version Cue : la gestion de fichiers
29 La description de Version Cue ..........................................29 Les projets avec Version Cue .............................................30
La mise en place du document
35
La configuration du document ........................................35 Les repères et les grilles ......................................................37
Le travail avec des calques
41 La gestion des calques ........................................................41 Le travail sur calques ............................................................42 Les manipulations de calques ..........................................42
3 La gestion des objets Le dessin des objets
45 Les types d’objets ..................................................................45 La création de blocs géométriques ................................45 Le dessin à la plume .............................................................47 Le dessin au crayon ..............................................................49 Le dessin de traits ou de filets ..........................................51 Les conversions de formes et de traits ..........................51 Les blocs spéciaux.................................................................52
Le remplissage des blocs
57
Le remplissage par importation.......................................57 Le placement depuis Bridge .............................................59 Le collage d’une image ou d’un texte dans un bloc 59 Le placement dans plusieurs blocs .................................59 Le texte de substitution ......................................................59
Les manipulations d’objets
60
Les sélections ..........................................................................60 Les déplacements .................................................................63 Les copies .................................................................................65 Les transformations ..............................................................66
Les traitements particuliers
71
Les combinaisons Pathfinder ............................................71 Les groupes d’objets ............................................................74 Les alignements et les répartitions d’objets ................75 Les superpositions d’objets ...............................................76 Le verrouillage des blocs ....................................................76
Les objets ancrés
77
Le principe de l’ancrage dans un texte et sa réalisation ......................................................................77 Les sélections et les traitements du bloc ancré..........79 La position de l’objet ancré................................................79 Les imbrications d’objets ....................................................85
4 Les enrichissements des objets et les styles d’objet Les colorations
87
L’affichage des couleurs ......................................................87 L’affectation d’attributs de coloration ...........................89 La préparation d’une couleur ...........................................90 Les contours ............................................................................94 Les dégradés ...........................................................................98 Les transferts d’attributs de couleurs.......................... 101
5
I N D ESIGN CS3
La transparence et les effets
102 La destination des réglages............................................ 102 La transparence .................................................................. 103 Les modes de fusion ......................................................... 106 Les effets ................................................................................ 108 Les effets de flou................................................................. 112 Les problèmes liés à la transparence .......................... 113
Les styles d’objet
113 L’intérêt des styles .............................................................. 113 La préparation d’un style d’objet.................................. 113 L’affectation du style d’objet .......................................... 117 Les modifications d’un objet stylé ............................... 118 La gestion des styles d’objet .......................................... 120
5 La gestion du texte La saisie d’un texte
123 Le bloc de texte................................................................... 123 La frappe au kilomètre ..................................................... 123 L’insertion de signes particuliers .................................. 124 L’insertion d’un texte de substitution ......................... 127 Le Mode éditeur.................................................................. 127 Les sélections et les manipulations du texte ........... 128
La position du texte
130 Les marges à l’intérieur du bloc .................................... 130 L’alignement vertical ......................................................... 131 Le décalage de la première ligne.................................. 131 Les options du bloc et les styles d’objet .................... 132
Les importations de texte
133 Les importations et les liens ........................................... 133 Les méthodes de placement du texte importé....... 136
Les chaînages
140 L’intérêt du chaînage......................................................... 140 La création d’un chaînage............................................... 141 La modification d’un chaînage...................................... 142 La rupture d’un chaînage ................................................ 142
Les textes en colonnes
143 Le document multicolonnes .......................................... 143 Les réglages de colonnes ................................................ 144 Le travail dans une composition en colonnes ......... 147
6
Les textes sur des tracés
147
La création de textes curvilignes .................................. 147 Les chaînages de textes curvilignes ............................ 148 La position du texte sur le tracé .................................... 149 Les colorations des textes curvilignes ........................ 149
6 La gestion des images Les types d’images
151
Les images pixellisées (bitmap) .................................... 151 Les images vectorielles .................................................... 152
La préparation des images
152
Les résolutions..................................................................... 152 Les formats d’images ........................................................ 153 La préparation du détourage dans Photoshop ....... 157 Le profil ICC des images ................................................... 160
Les importations
161
Les placements d’images ................................................ 161 Les options d’importation............................................... 163 L’affichage des images importées ................................ 169 Les liens avec le fichier externe ..................................... 169
Les traitements d’images
171
Les transformations ........................................................... 171 Les colorations .................................................................... 173 Le masque de détourage ................................................ 174
7 La typographie dans InDesign Les préliminaires
179
Les textes sélectionnés ou non ..................................... 179 L’automatisation avec les styles .................................... 180
Les caractères
180
Les attributs typographiques ........................................ 181 La police................................................................................. 181 Le corps ou la taille des caractères .............................. 182 L’interligne ............................................................................ 183 L’aspect des caractères ..................................................... 184 Les approches...................................................................... 186 Le changement d’échelle ................................................ 187 Le décalage vertical ........................................................... 188
TABLE DES MATIÈRES L’inclinaison .......................................................................... 188 Les effets sur les textes curvilignes .............................. 188 La rotation de lettres ......................................................... 189 La coloration d’un texte ................................................... 189 La copie d’attributs de caractère .................................. 190
Les styles de caractère
192
L’intérêt des styles de caractère .................................... 192 La préparation d’un style de caractère ....................... 192 L’affectation d’un style de caractère............................ 194 La gestion des styles de caractère ............................... 195 Les modifications d’un texte stylé ............................... 198
Les attributs de paragraphe
201
Les alignements horizontaux......................................... 201 Les retraits et alinéas ......................................................... 204
Les listes
207
Le paramétrage des listes à puces et numérotées ..207 Les listes numérotées ....................................................... 207 Les listes à puces................................................................. 209 La conversion d’une liste ................................................. 210
La composition des textes
211
La composition verticale du texte................................ 211 Les grilles de ligne de base ............................................. 214 La composition horizontale du texte .......................... 218
Les lettrines
223
Les différents types de lettrines .................................... 223 La création d’une lettrine en saillie .............................. 223 La lettrine habillée au carré ............................................ 223 La lettrine par les styles imbriqués .............................. 224 Les lettrines spéciales de type bloc ............................. 226
Les filets de paragraphe
231
Les utilisations ..................................................................... 231 Les tabulations et les taquets ........................................ 231 La palette Tabulations ...................................................... 232
236
L’obtention d’un tableau.................................................. 236 Le remplissage du tableau .............................................. 238 La sélection des éléments du tableau ........................ 242 La gestion des éléments du tableau ........................... 243 L’aspect d’un tableau ........................................................ 248 Les styles de cellule et de tableau ................................ 252 La gestion des styles de tableau ................................... 255
Les styles de paragraphe
261
L’intérêt des styles de paragraphe ............................... 261 La préparation d’un style de paragraphe .................. 261 L’utilisation des styles imbriqués .................................. 264 L’application classique d’un style de paragraphe .. 272 L’application en cascade avec Style suivant ............. 275 La gestion des styles de paragraphe........................... 279 Les modifications d’un texte stylé ............................... 281
La fonction Rechercher/Remplacer
283
Les réglages communs..................................................... 283 Rechercher/Remplacer du texte ................................... 285 Rechercher/Remplacer des expressions, utilisation du GREP ............................................................ 287 Rechercher/Remplacer des glyphes............................ 290 Rechercher/Remplacer des objets ............................... 291 Les utilisations de Rechercher/Remplacer ................ 291
La vérification de l’orthographe
296
La vérification classique ................................................... 296 La vérification dynamique .............................................. 296 La vérification automatique ........................................... 296
8 Les habillages L’habillage d’un objet
228
La création d’un filet ......................................................... 228 Les réglages du filet........................................................... 228 Les utilisations et traitements des filets ..................... 230
Le travail des textes tabulés
Les tableaux
297
Le principe de l’habillage ................................................ 297 Les réglages d’habillage .................................................. 297 Le bloc sans habillage....................................................... 298 Les habillages de blocs .................................................... 299 Les habillages de formes ................................................. 302 Le travail de l’habillage .................................................... 305
Les habillages particuliers
307
L’habillage par un tracé ajouté ...................................... 307
7
I N D ESIGN CS3 L’habillage et l’objet ancré .............................................. 308 L’habillage et les gabarits ................................................ 309
9 La gestion des pages et des fichiers La gestion des pages
311
La palette Pages .................................................................. 311 L’affichage de pages .......................................................... 312 La création de pages ......................................................... 312 La suppression de pages ................................................. 313 Le déplacement de pages ............................................... 314 Les configurations particulières.................................... 314
Les gabarits
315
Le principe du gabarit ...................................................... 315 La préparation d’un gabarit ........................................... 315 L’application d’un autre gabarit .................................... 319 Les manipulations dans les pages courantes........... 319 Les modifications dans le gabarit................................. 322 La création d’un nouveau gabarit ................................ 323 La copie et la suppression d’un gabarit ..................... 324
Les variables de texte
325
Le principe de la variable de texte ............................... 325 Les types de variable de texte ....................................... 325 La gestion des variables de texte ................................. 327
La numérotation des pages
331
Le principe de la numérotation .................................... 331 La modification de la pagination.................................. 332
Les notes
333
Les notes éditoriales.......................................................... 333 Les notes de renvoi entre pages ................................... 334 Les notes de bas de page ................................................ 335
Les transferts entre documents
340
Le transfert d’objets ........................................................... 340 Le transfert de pages ........................................................ 340
8
Les transferts XPress vers InDesign.............................. 340
La bibliothèque
342 Le principe de la bibliothèque ...................................... 342 La création d’une bibliothèque..................................... 342 Le remplissage de la bibliothèque............................... 342 L’utilisation de la bibliothèque ...................................... 343
La gestion des fichiers
344 Les documents modèles.................................................. 344 La fusion de données avec un fichier externe ......... 344 La gestion de fichiers par la palette Livre .................. 348 Les listes ou tables des matières ................................... 351 L’index..................................................................................... 359
10 La distribution des fichiers La préparation pour l’impression
365 L’aplatissement des transparences .............................. 365 Les recouvrements et les surimpressions.................. 367 La gestion des encres ....................................................... 370 La préparation des fichiers pour le flasheur ............. 371
L’impression d’un document
373
Les options générales d’impression ............................ 373 Les options de format ....................................................... 373 Les repères et les fonds perdus ..................................... 374 Les options de sortie ......................................................... 374 Les options graphiques.................................................... 375 Les options de gestion des couleurs ........................... 376 Les options de la rubrique Avancé .............................. 376 Les fichiers PostScript ....................................................... 377 Les impressions prédéfinies ........................................... 377
Les exportations
378
L’exportation au format EPS ........................................... 378 L’exportation en PDF ......................................................... 378
Index
385 à 395
L’INTERFACE D’I N D ESIGN
1 L’interface d’InDesign
Les outils et les palettes Les outils La palette Outils d’InDesign présente des similitudes avec celles de Photoshop et d’Illustrator. Les outils se répartissent en plusieurs catégories : outils de sélection, outils de dessin (coloriage, retouche, tampon…), outils texte, outils de gestion de l’écran…
Certains outils sont masqués et deviennent accessibles lorsqu’on clique sur les outils de la palette dont l’angle inférieur droit contient un petit triangle ou lorsqu’on tape plusieurs fois une lettre associée à l’outil avec la touche Ó (comme dans Photoshop et Illustrator). Les pages qui suivent proposent une description rapide des différents outils.
La palette Outils sur une colonne.
V Sé Sélection. ÓA Position
/Sélection directe A .
P Plu Pl Plume / = Plume + ÓT Texte curviligne
/ _ Plume –
/ ÓC Conversion
.
/Bloc polygonal
.
/Texte T .
N Cra Crayon/Arrondi
/Gomme
.
Trait § . Polygone
/Rectangle M .
/Ellipse
Ciseaux C .
O Déformation
/Mise à l’échelle S .
Transformation manuelle E .
F Bl Blo Bloc rectangulaire /Bloc elliptique B Bou Bouton. R Rot Rotation.
G Dé Dégradé/ ÓG Contour progressif dégradé
.
N e. Not Note.
K Mesure
/Pipette I .
H Ma Main (ou défilement). Loupe (ou Zoom) Z . Couleur par défaut D . Mise en forme appliquée au conteneur ou au texte La couleur , /Le dégradé . /Appliquer Sans / .
ÓX Permuter les couleurs. X Fon Fond et Contour. W Normal/Aperçu/Fond No perdu/Ligne-bloc.
9
I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 1
Outils
Icône
Activation
Utilisation
O UTILS DE SÉLECTION : trois outils permettent la réalisation de sélection. Le choix dépend du traitement à effectuer.
Sélection
V
C’est l’outil de mise en page. L’outil Flèche noire permet la sélection de bloc ou de groupe de blocs. Cet outil est utile pour les traitements d’un bloc entier (importation, déplacement, déformation…). ASTUCE Le raccourci V (et bien d’autres) peut avantageusement être remplacé par une touche de fonction ( F1, par exemple) ; nous en reparlerons plus loin.
Sélection directe
Position
A
C’est l’outil de traitement ou de modification. L’outil Flèche blanche permet la sélection et la manipulation de points de construction du bloc — appelés aussi points d’ancrage du tracé —, ainsi que le traitement du contenu du bloc (déplacement, transformation…).
ÓA
Cet outil possède deux fonctions. S’il est sur une image, il se transforme en outil Main et permet d’accéder directement au contenu du bloc, c’est-à-dire à l’image pour la déplacer ou la recadrer. Avec un bloc de texte, il se transforme en point d’insertion et permet le traitement du texte (une fois celui-ci sélectionné). ASTUCE Par double-clic sur l’outil Position, on affiche une fenêtre qui permet de régler le délai d’affichage de la partie masquée de l’image lors de son déplacement ou recadrage.
O UTILS DE TEXTE
Texte Texte curviligne
T ÓT
Cet outil permet de dessiner un bloc de texte mais également de sélectionner un texte en vue de le traiter. Cet outil permet de placer un texte le long d’un tracé préalablement sélectionné. Il permet également de gérer les textes curvilignes.
O UTILS DE DESSIN D’OBJET (TRACÉS DE B ÉZIERS) : pour créer un élément vectoriel d’aspect personnalisé.
Crayon
N
Il permet de réaliser des tracés vectoriels de manière libre par glissement de l’outil comme dans Illustrator. Il s’utilise également pour retoucher un tracé. ASTUCE Par double-clic sur l’outil Crayon, on affiche sa fenêtre de réglages.
Plume
P
Il permet de réaliser des tracés vectoriels comportant des points d’ancrage. Les tracés peuvent être rectilignes ou curvilignes, ou encore un mélange des deux (son fonctionnement est le même que dans Illustrator ou Photoshop)
O UTILS DE RETOUCHE DE TRACÉS : on distingue deux catégories, ceux de type Crayon (Arrondi et Gomme) qui agissent sur le tracé, et ceux de type Plume (Plume + ou – et Conversion) qui agissent sur les points ou les tangentes.
Arrondi
Il permet d’adoucir les courbures d’un tracé par glissement de l’outil le long du tracé. ASTUCE Par double-clic sur l’outil Arrondi, on affiche sa fenêtre de réglages.
10
L’INTERFACE D’I N D ESIGN
Outils
Icône
Activation
Utilisation Par glissement de cet outil sur une partie d’un tracé sélectionné on en supprime une partie.
Gomme Ciseaux
C
L’outil permet de scinder en deux un tracé ouvert ou « d’ouvrir » un tracé fermé. Les deux points se trouvent alors superposés.
Ajout de points
=
Lors de retouches de tracés, il est parfois nécessaire d’ajouter des points d’ancrage, c’est le rôle de cet outil.
Suppression de points
–
Avec les tracés, cet outil est indispensable pour enlever un point inutile.
ÓC
Conversion de point
Un tracé peut contenir différents types de points. Cet outil permettra les conversions, c’est-à-dire de passer d’un type de point à un autre. ASTUCE En plaçant l’outil Plume sur le tracé on obtient directement l’outil Plume + ; en le plaçant sur un point, on voit l’outil Plume –. Pour l’outil Conversion, il faut enfoncer la touche ∏ [Alt].
O UTILS DE DESSIN GÉOMÉTRIQUE : pour créer un élément vectoriel d’aspect prédéfini. Ils permettent de créer des rectangles (ou des carrés avec
enfoncée). Avec
Bloc rectangle et Rectangle
et
Bloc elliptique et Ellipse
et
Ils permettent de créer une ellipse (ou un cercle avec Ó enfoncée). Comme les outils précédents, le premier outil crée une forme avec les attributs par défaut alors que le second crée un objet dépourvu d’attribut (ni fond, ni contour).
Bloc polygonal et Polygone
et
Ils permettent d’obtenir un polygone régulier (avec ou sans contenu, comme l’outil précédent). Par un double-clic sur ces outils, on affiche une fenêtre qui permet de paramétrer le polygone, voire d’obtenir une étoile.
Trait
F et ÓF le premier outil, l’objet n’a pas de contenu ; avec le second, on pourra y placer un texte ou une image.
§
Il permet la création de ligne, filet ou flèche dont l’épaisseur et les caractéristiques se règlent dans la palette Contour. ASTUCE Par double-clic sur l’outil Trait, on affiche la palette Contour.
B
Cet outil permet d’ajouter des éléments interactifs dans votre page. Les boutons deviennent actifs une fois le document exporté au format PDF puis ouvert dans Acrobat.
Transformation manuelle
E
Il donne accès à l’ensemble des transformations suivantes. On passe de l’une à l’autre en utilisant certaines touches et en agissant sur certaines poignées du cadre qui apparaît autour de la sélection.
Rotation
R
Il provoque la rotation manuelle ou paramétrée d’une sélection.
Mise à l’échelle
S
Il permet d’agrandir ou de réduire (par homothétie ou non) la taille de l’objet sélectionné.
Déformation
O
Il permet d’incliner l’objet sélectionné.
Bouton O UTILS DE TRANSFORMATION
ASTUCE Par double-clic sur un des outils de transformation (Rotation, Mise à l’échelle et Déformation), on affiche la fenêtre Transformation, dans laquelle on peut paramétrer la modification.
11
I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 1
Outils
Icône
Activation
Utilisation
O UTIL DE TRANSFERT
Pipette
I
Cet outil a un double rôle. Par simple clic sur un élément, il prélève ses attributs (de bloc, de couleurs ou typographiques dans le cas d’un texte) et devient ; il permet alors de les appliquer à d’autres objets en cliquant dessus ou en glissant sur les lettres dans le cas d’un texte.
G
Il permet de changer l’orientation et l’étalement d’un dégradé appliqué à un objet, ou de le répartir sur plusieurs objets.
O UTIL DE « COLORATION »
Nuance de dégradé
ASTUCE Un double-clic sur l’outil affiche la palette Dégradé.
Contour progressif dégradé
ÓG
Cet outil permet de personnaliser le positionnement du dégradé qui définit un contour progressif sur le bloc. ASTUCE Par double-clic sur l’outil, on affiche la fenêtre de gestion des effets dans laquelle l’option Contour progressif dégradé est active.
Note
N
Cet outil permet d’ajouter un message dans une fenêtre contextuelle de note. L’opération s’effectue par clic dans le texte avec l’outil Note ; la palette Note apparaît alors automatiquement.
Mesure
K
Il permet de déterminer la distance entre deux points ou de mesurer des angles. Les résultats sont visibles dans la palette Informations qui s’affiche automatiquement.
O UTILS DE GESTION DE L’AFFICHAGE : se déplacer dans l’image agrandie et gérer son affichage.
Main ou Défilement
H
Se déplacer dans l’écran pour afficher les zones cachées de l’image. Un doubleclic sur cet outil affiche le document Taille écran. ASTUCE Il est possible de se déplacer dans le document en utilisant la molette de la souris ; le déplacement est plus rapide avec la touche et devient horizontal avec la touche ¢ [Ctrl].
Loupe ou Zoom
Z
Agrandir ou réduire le taux d’affichage du document (de 5 % à 4 000 %). Ce taux est indiqué en bas à gauche de la fenêtre du document, ainsi que dans la barre de titre. Un double-clic dans cet outil affiche le document à 100 %. ASTUCE Si vous enfoncez ∏ [Alt] , il devient possible de zoomer dans la fenêtre directement avec la molette de la souris.
CASES D’ATTRIBUTS DE COULEUR ET D’APPLICATION D’ATTRIBUT
Fond
X
La case Fond : en haut à gauche est active par défaut, elle permet l’affectation d’un attribut de dessin (couleur, dégradé) au fond du tracé ou du texte et indique l’aspect de cet attribut.
Contour
X
La case Contour : elle est inactive par défaut. Elle passe au-dessus de la case Fond quand elle est activée et permet alors l’affectation d’une couleur (ou un dégradé) au contour du bloc ou d’un texte. INFO. On passe de la case Fond active à la case Contour active (et réciproquement) en tapant X .
12
L’INTERFACE D’I N D ESIGN
Outils
Icône
Activation
Couleurs par défaut
D
Permuter Fond avec Contour
ÓX
Mise en forme du conteneur ou du texte
Appliquer la couleur
En cliquant sur cette icône on retrouve le noir comme couleur de contour et l’option Sans pour le fond. Cette icône permet d’inverser les couleurs entre le fond et le contour. Cette icône indique si la mise en forme (coloration, contour…) affecte le bloc ou le texte . Son aspect dépend de l’outil actif ; sa modification (changement d’affectation) se réalise dans les palettes Couleur ou Nuancier par clic ) pour appliquer au texte, ou sur le carré ( ) pour appliquer au sur le T ( bloc.
ou
Appliquer Sans
Utilisation
/
Cette option supprime les attributs du fond ou ceux du contour selon la case ou contour ) dans les palettes Outils, Couleur ou Nuancier.
(clavier num.) active (fond
,
Cette case Appliquer la couleur permet d’appliquer un aplat de couleur au fond ou au contour (selon la case active). Un double-clic dans cet outil affiche la palette Couleur en activant la première case de composition de la couleur. La case Appliquer le dégradé permet d’affecter un dégradé à un fond ou à un contour, ou d’en modifier les propriétés. Un double-clic dans cette case affiche la palette Dégradé.
Appliquer le dégradé LES MODES D’APERÇU DU DOCUMENT
Normal
W
C’est l’affichage par défaut du document. Les repères et les contours des blocs sont visibles qu’ils soient ou non sélectionnés.
Aperçu
W
Avec cet affichage, tous les éléments hors de la page sont masqués par une zone grise. Les bords des blocs ne sont visibles que s’ils sont sélectionnés.
Fond perdu
W
Cet affichage ressemble au précédent, mais l’aperçu de la page est agrandi jusqu’aux limites des fonds perdus définis pour le document.
Ligne-bloc
W
Aux fonds perdus s’ajoute l’espace défini par la ligne-bloc. Celui-ci constitue une zone dans laquelle s’écrivent des commentaires qui ne doivent pas apparaître sur la page.
INFO. Quand un outil présente un petit triangle en bas à droite, c’est qu’il en cache d’autres. Vous pouvez accéder aux autres outils par ∏ clic [Alt clic] sur l’outil affiché.
Les palettes L’AFFICHAGE DES PALETTES Le nombre de palettes affichées est variable. Les palettes s’affichent (ou se cachent) avec le menu Fenêtre ou le menu Texte. Comme dans Photoshop ou Illustrator, par défaut, quelques palettes sont disponibles, elles sont affichées de manière réduite calées contre le bord droit de l’écran. À l’opposé, on trouve la palette Outils (sur une ou deux colonnes). Quant à la palette Contrôle, elle se place sous les menus de l’application. Si vous ouvrez toutes les palettes pendant une séance, elles seront toutes ouvertes lors de la prochaine utilisation du programme.
Vous pouvez enregistrer leur position à un instant donné de manière à restaurer l’espace de travail dans un état enregistré. Cette opération permet de n’afficher que certaines palettes à un stade du travail et d’autres lors d’une autre phase de travail. L’opération s’effectue par le menu Fenêtre et la commande Enregistrer l’espace de travail du sousmenu Espace de travail. Au clavier, vous pouvez afficher ou masquer les palettes. Pour les cacher toutes temporairement, tapez Tabulation (attention de désélectionner tout texte) ; les palettes réapparaissent en tapant de nouveau Tabulation († [Ÿ]). Pour cacher toutes les palettes sauf la palette Outils et la palette Contrôle, tapez Ó† [ÓŸ] (avec un outil Flèche actif). A STUCE Vous pouvez modifier ces raccourcis (voir plus loin), ou tapez systématiquement Ó¢A [ÓCtrl A] pour désélectionner et ainsi rendre utilisables † [Ÿ] ou Ó† [ÓŸ] lorsque vous travaillez dans un texte sans faire apparaître de caractère dans le texte.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 1 Nous allons passer en revue toutes les palettes avant d’étudier la palette Contrôle qui est une des plus importantes. Palette
Icône
Description et remarques
LES PALETTES DE COLORATION
Couleur F6
Contour F10 ou
Cette palette permet, une fois le modèle colorimétrique choisi dans son menu local (RVB, CMJN…), de définir une couleur ; celle-ci est automatiquement affectée, selon la case activée dans la palette, au fond ou au contour de l’objet sélectionné. Si l’on réduit la taille de la palette, on ne voit plus que la bande spectrale dans laquelle il est possible de prélever la couleur. C’est dans cette palette qu’on spécifie l’épaisseur du contour appliqué au tracé ou au texte. Des options supplémentaires, que l’on affiche ou masque par le menu local, permettent de paramétrer l’aspect du trait (extrémité, sommet, position, pointillé, flèche, etc.).
¢F10 [Ctrl F10]
Dégradé
La préparation ou la modification d’un dégradé se réalise dans cette palette (elle s’utilise conjointement à la palette Couleur et/ou Nuancier). Elle s’affiche par un double-clic sur l’outil Dégradé ; dans sa taille réduite, la palette ne montre que la bande de dégradé.
Nuancier
Cette palette peut renfermer quatre types d’échantillons ou nuances : des nuances de couleurs quadrichromiques, des nuances de tons directs, des nuances ou groupe d’encres mélangées et des nuances de dégradés. Des icônes, en bas de la palette, permettent de gérer les échantillons (copie ou suppression) ou de filtrer l’affichage d’une catégorie. C’est dans cette palette que sont stockés des couleurs ou des dégradés. Lors de l’ajout d’une nouvelle couleur, un menu local donne accès à d’autres nuanciers (tel que Pantone).
F5
Effets
14
On retrouve dans cette palette les réglages d’opacité et les modes de fusion. Ils s’appliquent au fond du bloc ou à son contour ou encore à son contenu. Une liste d’effets (du type de ceux de Photoshop) est Ó¢F10 désormais accessible par cette palette ; parmi eux on trouve, l’ombre [ÓCtrl F10] portée, les lueurs… ainsi que des options de contour progressif.
Aspect (complet)
L’INTERFACE D’I N D ESIGN
Palette
Icône
Description et remarques
Aspect (complet)
G ESTION DU DOCUMENT : pages, calques, affichage (navigation).
Pages F12
La gestion des pages s’effectue à partir de cette palette : affichage, ajout, suppression, copie de pages, mais également préparation et affectation de pages types (appelées gabarit). Selon le réglage de ses options, le contenu des pages peut être visible.
ou
¢F12 [Ctrl F12]
Calques F7
Toute mise en page peut être décomposée en plusieurs feuilles de travail (une pour les textes, une pour les photos…) que l’on superpose, chacune d’elles constituant un calque. C’est la palette Calques qui permet de gérer cette superposition. Chaque calque peut être édité, caché ou verrouillé, seul ou avec d’autres calques (comme dans Illustrator). Des icônes et un menu local vous permettront d’organiser votre travail sur les calques : ajout de calque, suppression, options… ATTENTION Pour les calques contenant des blocs d’image, choisissez judicieusement la couleur du calque de manière à bien différencier la couleur du contour du bloc sélectionné de celle de l’image sélectionnée.
Navigation
Cette palette, que l’on retrouve dans Photoshop et Illustrator, permet de gérer l’affichage du document en continu, de 5 % jusqu’à 4 000 %, par simple glissement du curseur et une fenêtre de positionnement, qui peut afficher une ou toutes les pages du document grâce à son menu local. Un rectangle rouge apparaît quand vous zoomez une partie d’un document à une taille supérieure à celle de l’écran ; il indique la zone affichée à l’écran, vous pouvez la déplacer pour en voir une autre. L’affichage se gère également au clavier : ¢ = (ou +) [Ctrl =] pour zoomer ; ¢ – [Ctrl –] pour réduire ; ¢ & (ou 1) [Ctrl &] pour afficher à 100 % ou taille réelle. On obtient ce résultat par double-clic sur l’outil Loupe ; ¢ à (ou 0) [Ctrl à] ajuster la page à la fenêtre (taille écran). On obtient ce résultat par double-clic sur l’outil Main ; ¢∏ à [Alt Ctrl à] pour ajuster la planche à la fenêtre ; Ó∏ ¢ à [Ó Alt Ctrl à] pour voir la totalité de la planche de travail. ASTUCE Il est possible d’ouvrir une seconde fenêtre du document (menu Fenêtre/Disposition/ Nouvelle fenêtre) et d’y visualiser une autre page ou la même avec un taux d’affichage différent.
G ESTIONS DES OBJETS : styles d’objet, habillage, liens…
Styles d’objet
Cette palette présente des ressemblances de fonctionnement avec les palettes Styles de paragraphe et Styles de caractère. On y prépare des styles graphiques englobant tous les attributs que l’on peut affec¢F7 ter au bloc (couleur, contour, effets, habillage, etc.). L’application de [Ctrl F7] style d’objet permettra d’automatiser la mise en forme des blocs.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 1
Palette
Habillage de texte
Icône
Description et remarques
Aspect (complet)
Cette palette comporte des icônes correspondant au placement du texte par rapport au bloc actif. Des valeurs et des menus locaux permettront des réglages plus fins. Certains d’entre eux utiliseront des éléments (couche ou tracé) préparés dans Photoshop. La palette Contrôle (voir ci-dessous) reprend les habillages de base, mais sans possibilité de réglage.
Liens
Informations
Cette palette assure un lien entre l’image importée et son fichier externe. Elle mémorise également les opérations effectuées (rotation, mise à l’échelle…) afin de les répercuter sur la nouvelle image en cas de Ó¢D remplacement ou de mise à jour. Elle permet d’imbriquer l’image dans [ÓCtrl D] le document pour que celle-ci ne soit plus liée à un fichier. Elle possède les mêmes fonctions que la palette Liens d’Illustrator. Elle affiche des renseignements liés à la sélection. Par exemple, avec un bloc de texte, la palette précise la composition : nombre de caractères visibles et invisibles (débord de texte), de lignes… ; avec une photo, la palette affiche sa taille, son format, sa résolution…
MISE EN PLACE ET TRAITEMENT DES OBJETS
Alignement
Cette palette comprend trois lignes d’icônes (si les options sont affichées). Celle du haut permet l’alignement d’objets selon des critères à définir (verticalement, horizontalement…). Celle du milieu s’utilise avec une sélection contenant plus de trois objets : elle permet de choisir comment doivent se répartir les objets intermédiaires entre les deux objets extrêmes. La troisième série, qui s’affiche par le menu local, permet d’ajouter un espace entre les objets. Un menu pop-up permet de choisir une référence pour l’alignement (aligner sur la sélection, sur la page…).
Transformation
La palette Transformation permet de changer la position, la taille, l’orientation ou l’inclinaison d’une sélection (bloc ou contenu en fonction de l’outil de sélection actif) en choisissant un point de référence dans l’enveloppe de cette sélection. Le menu local donne accès à des rotations et à des symétries particulières. Cette palette n’est plus indispensable car on retrouve toutes ses fonctions dans la palette Contrôle quand un outil de sélection (outil Flèche…) est actif. ASTUCE Si ∏ [Alt] est enfoncée lorsque vous validez une valeur, il y aura une copie de la sélection.
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L’INTERFACE D’I N D ESIGN
Palette
Icône
Description et remarques
Aspect (complet)
Il s’agit d’une palette dans laquelle on retrouve les opérations de base pour combiner les blocs entre eux (les combinaisons obtenues sont définitives). Les icônes du bas de la palette permettent de convertir la forme du bloc, d’ouvrir ou de fermer un tracé.
Pathfinder
G ESTION DU TEXTE ET DES TABLEAUX
Caractère ¢T [Ctrl T]
Tous les attributs de caractères se choisissent et s’appliquent à un texte à partir de la palette Caractère. Celle-ci peut avoir deux dimensions selon que l’on désire ou non modifier davantage d’attributs typographiques.
ASTUCE La palette Paragraphe n’est plus indispensable ; en effet, on retrouve également l’ensemble de ses fonctionnalités dans la palette Contrôle quand l’outil Texte est actif.
Paragraphe
La gestion des paragraphes est très aisée à partir de la palette du même nom. Ici aussi, par des clics multiples sur l’onglet, la palette peut s’agrandir pour spécifier d’autres attributs que les retraits, alinéas ou ∏ ¢T alignements. Le menu local donne accès aux filets de paragraphe, ainsi [Alt Ctrl T] qu’à de multiples options : justification, gestion de césures des lignes et de mots, etc.
Tabulations
Il s’agit d’une palette un peu particulière, que vous n’afficherez qu’à la demande (en tapant Ó¢T [ÓCtrl T]). Elle vient se caler sur le bloc de texte pour faciliter la gestion des tabulations.
Styles de caractère
Afin d’automatiser les tâches, il est possible (et même fortement conseillé) de préparer un ensemble d’attributs de caractères ou feuille de style. Celui-ci s’applique à une sélection à partir de la palette Styles de caractère (ou de la palette Contrôle). C’est également à partir de celle-ci que le style peut être modifié.
ÓF11
INFO. Les listes de styles des palettes Styles de caractère ou Styles de paragraphe sont disponibles dans la palette Contrôle. Des menus locaux permettent également de les gérer.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 1
Palette
Icône
Description et remarques
F11
La plupart des attributs de paragraphe (et de caractère) peuvent être regroupés dans un style qui s’appliquera à l’ensemble du paragraphe. Ici aussi, les modifications sont possibles et directement répercutées sur les paragraphes stylés.
Styles de paragraphe
Tableau Ó F9
Aspect (complet)
Dans cette palette, on trouve bon nombre de commandes qui figurent dans le menu Tableau ou encore dans la palette Contrôle quand un tableau est sélectionné. On y définit le nombre de lignes ou de colonnes, la taille des cellules du tableau et le positionnement du texte dans ces cellules.
Styles de tableau
À l’aide de styles de cellule et de styles de paragraphe, vous pouvez élaborer un style de tableau. Il permettra de gérer l’aspect du tableau.
Styles de cellule
Comme pour les styles de paragraphe, vous pouvez désormais définir l’aspect d’une cellule d’un tableau ainsi que le style de paragraphe appliqué à la saisie présente dans la cellule.
INFO. Les listes de styles des palettes Styles de cellule ou Styles de tableau sont disponibles dans la palette Contrôle. Des menus locaux permettent également de les gérer.
C’est dans cette petite palette que l’on gère l’alignement optique des marges en fonction du corps du texte. Cela permet de placer certaines ponctuations hors de la justification du texte pour obtenir un pavé de texte plus esthétique.
Article
Glyphes
Cette palette répertorie le dessin de tous les caractères des polices. Il est possible d’ajouter à la palette des jeux de caractères correspondants à certains glyphes que vous utilisez souvent pour y avoir plus Ó∏F11 facilement accès.
[ÓAlt F11]
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L’INTERFACE D’I N D ESIGN
Palette
Icône
Index ÓF8
Description et remarques
Aspect (complet)
Cette palette permet de créer, modifier et prévisualiser l’index. Elle comporte deux modes : le premier, Référence, affiche l’ensemble des entrées d’index et permet d’en ajouter ; le second, Rubrique, n’affiche que les rubriques (sans numéro ni référence), il s’utilise pour créer la structure de l’index.
AUTOMATISATION
Fusion des données
Cette palette affiche les champs provenant du fichier de source de données. Ces champs sont utilisés pour définir des balises d’emplacement de texte et de graphiques dans le document cible. Lors de la fusion, ces emplacements seront remplis par les données (texte ou illustration) du fichier source de données.
Scripts
La palette Scripts permet d’exécuter des scripts sans quitter InDesign (ils permettent d’automatiser de nombreuses tâches à l’aide de JavaScript, AppleScript ou Visual Basic). Ces scripts sont situés dans les dossiers Scripts du dossier de l’application InDesign et dans vos dossiers Préférences. Lorsque vous créez ou recevez un script, placez-le dans le dossier Scripts pour qu’il apparaisse avec les autres.
Intitulé de script
Cette palette permet de définir l’intitulé d’un élément de page, tel qu’un bloc de texte ou une forme. Cet élément est utile pour la création de scripts dans lesquels vous souhaitez identifier un objet.
OBJETS INTERACTIFS ET BALISES POUR L’EXPORT PDF OU XML
Hyperliens
Il est possible d’associer à un texte un lien (hyperlien) vers une page, un signet, une adresse URL… La palette Hyperliens permet de les définir et de naviguer dans le document. Une fois exportés en pages PDF, les liens sont opérationnels dans Acrobat Reader.
États
Cette palette fonctionne conjointement aux blocs de type bouton. Elle permet de définir les différents états d’un bouton lors du passage de la souris (une fois la page PDF visualisée dans Acrobat). Le menu local de la palette donne accès aux options du bouton (comportement).
Signets
Un signet facilite la consultation d’un document exporté en PDF en constituant une destination (ancre) dans une page. Les entrées d’une table des matières peuvent générer des signets. Tous les signets sont disponibles dans Acrobat (panneau Signets situé à gauche).
Balises
C’est à partir de cette palette que vous définissez des balises XML dans votre document avant de l’exporter dans un fichier XML. Ces balises sont affectées au texte et autres éléments (tels que blocs et tableaux) que vous souhaitez exporter. Vous devez également baliser les éléments que vous avez créés et définis comme blocs de substitution réservés au contenu XML importé.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 1
Palette
Icône
Description et remarques
Aspect (complet)
S ORTIE
Aperçu de l’aplatissement
Cette palette permet de visualiser les éléments comportant des options de transparence (opacité, ombre portée, contour progressif…).
Aperçu des séparations
C’est dans cette palette que l’on visualise, film par film, les couleurs séparées du document. Le taux d’encrage de chaque couleur est précisé quand on survole un élément coloré.
ÓF6
Recouvrements prédéfinis
On y définit le comportement du logiciel dans les zones comportant des couleurs en recouvrement.
Options d’objet
Cette palette trouve son importance pour gérer les surimpressions des couleurs ou pour définir l’impression ou non d’un élément de la page.
L A PALETTE CONTRÔLE Il s’agit d’une palette « contextuelle » qui s’avère très importante car elle regroupe les fonctions les plus utiles (accessibles à partir de plusieurs palettes). Son aspect varie en fonction de l’outil actif (flèche, texte…) et de l’objet sélectionné (texte, tableau, image), de la taille de l’écran, de l’option activée dans la palette elle-même (caractère ou paragraphe). À l’aide du menu local, le contenu est personnalisable en fonction de vos besoins (voire de la taille de votre écran). À son extrémité droite figurent deux icônes : la première, Application rapide , donne accès à toutes les fonctions du affiche la fenêtre de Bridge. logiciel ; la seconde
Personnaliser dans le menu de la palette Contrôle affiche cette fen fenêtre.
La palette Contrôle complète avec un bloc d’image sélectionné.
La palette Contrôle complète avec un texte sélectionné et ici un tableau.
Ci-contre la palette Contrôle a été personnalisée.
20
L’INTERFACE D’I N D ESIGN Bridge est un programme à part entière qui permet, entre autre, la gestion des fichiers issus ou non des logiciels Adobe. Nous en reparlerons plus loin dans ce chapitre.
ASTUCE Un clic droit sur l’icône d’une palette donne accès à un menu local qui permet le regroupement, la fermeture automatique des palettes ou l’affichage des préférences.
L A RÉORGANISATION DES PALETTES Avec la version CS3, toutes les palettes sont par défaut placées sur une colonne contre le bord droit de l’écran. On retrouve la même interface dans Photoshop ou Illustrator (la plupart des palettes ont la même icône). Leur taille horizontale est modulable de manière à ne voir qu’une icône, une icône avec le nom de la palette ou encore la totalité de la palette. Des petits triangles ( ou ) permettent de passer d’une configuration réduite à une configuration étendue.
Quand vous cliquez sur une icône de palette, celle-ci se développe pour montrer son contenu. Elle se masque en cliquant à nouveau sur son icône (ou sur celle d’une autre palette). La palette ouverte peut présenter plusieurs onglets selon qu’elle a été groupée ou non avec d’autres.
Les palettes affichent leur vignette et nom..
Toutes les palettes de la colonne affichent leur contenu.
Les palettes sont réduites. Un clicc sur une vignette ouvre la palette.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 1 En effet, certaines palettes sont associées par groupes de deux ou trois. Vous pouvez modifier ces associations, cette opération s’effectue par glissement : une ligne bleue montre « l’accrochage » de la palette. Celui-ci peut se réaliser entre deux palettes, en bas de la colonne ou contre celle-ci (voire contre la palette Outils) ; dans ce cas, il y aura création d’une nouvelle colonne.
Vous pouvez également rendre la palette complètement indépendante (comme dans les anciennes versions d’InDesign) ou fermer celle que vous n’utilisez pas ou qu’occasionnellement. Pour cela, cliquez sur la croix située à droite du nom dans l’onglet de la palette ouverte. Si la palette que vous fermez fait partie d’un groupe, c’est tout le groupe qui sera fermé. Par la suite, les palettes disparues pourront être réaffichées par le menu Fenêtre.
ASTUCE Pour qu’une palette reste ouverte en permanence, détachez-la des autres pour la rendre indépendante, ou placez-la seule sur une colonne et affichez-la de façon étendue par clic sur le triangle . Dans les préférences (rubrique Interface), vous pouvez définir qu’une palette ouverte par clic sur son icône se referme automatiquement.
L’environnement de travail La personnalisation de l’espace de travail L’ENREGISTREMENT DE L’ESPACE DE TRAVAIL
L’AFFICHAGE ET L’ESPACE DE TRAVAIL
La position et le comportement des palettes sur l’écran peut être enregistrée (menu Fenêtre/Espace de travail) ; cela vous permet de définir différents environnements de travail, en affichant ou masquant certaines palettes, de manière à les faire correspondre à diverses phases du travail. C’est à partir du menu local Espace de travail de la barre d’options que vous passerez d’un espace à l’autre. Vous pouvez même envisager d’affecter un raccourci à chacun de ces espaces pour passer plus rapidement de l’un à l’autre.
La version CS3 propose une option intéressante liée à l’affichage des palettes ; en effet, quand vous cachez toutes les palettes en tapant † [Ÿ] (attention, c’est l’outil Sélection qui doit être actif), une étroite bande verticale grise apparaît dès que le curseur atteint un bord de l’écran et les palettes se réaffichent. Elles disparaissent quand le curseur revient sur la page. ASTUCE Si vous tapez Ó† [Ó Ÿ] , vous cachez toutes les palettes sauf les palettes Outils et Contrôle.
L’ASPECT DES MENUS Lors de l’enregistrement de l’espace de travail, une fenêtre permet d’associer ou non à cet espace une personnalisation de l’apparence des menus. En effet, en plus de l’ajout de raccourcis clavier (que nous verrons plus loin), InDesign offre la possibilité de masquer ou de colorer certaines commandes des menus afin de les personnaliser.
L’espace de travail ail peut être enregistré enregistré. Vous pouvez même en enregistrer plusieurs phases de votre eurs correspondant à différentes d travail ou aux différents types d de productions. ff d
22
Cette opération se réalise à partir de la commande Menus du menu Édition. Dans la fenêtre (voir page suivante), vous pouvez visualiser les différents jeux de menus personnalisés (voire les modifier) et créer vos propres jeux en modifiant les commandes des menus ou des palettes.
L’INTERFACE D’I N D ESIGN
Dans cette fenêtre, on cachee certaines commandes et on en colore d’autres d’autres. s.
d permet de d créer é des d Le masquage de certaines commandes menus plus courts et ainsi de faciliter l’accès aux commandes qui vous semblent essentielles. De même, l’affectation d’une couleur permet de repérer plus facilement une commande que vous utilisez souvent et pour laquelle vous n’avez pas affecté de raccourci.
C Comme pour lles espaces de travail, vous pouvez faire des séries de jeux de menus correspondant à des phases de travail. Par défaut, le programme en propose quelques-uns. Parmi ces derniers figure une option nommée Nouveautés et amélioration dans CS3. Dans ce cas, les menus affichent en bleu toutes les nouvelles commandes de la version, ce qui facilite leur découverte.
Dans ce menu Texte, on a masqué certaines commandes (auxquelles on accède le plus souvent par raccourcis ou par la palette Contrôle) et coloré d’autres.
A STUCE Quand vous avez supprimé des commandes des menus, celles-ci demeurent accessibles si le menu est déroulé en enfonçant la touche ¢ [Ctrl]. Si vous enfoncez les touches Ó∏ ¢ [ÓAlt Ctrl] , toutes les commandes des menus sont listées par ordre alphabétique.
A c cet espace de Avec d travail, toutes les nouveautés le es n oouveautés ou o les commandes modifiées sont colorées en bleu. modi m i
23
I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 1
La personnalisation des raccourcis En plus de la personnalisation des menus, vous pouvez personnaliser votre environnement de travail en ajoutant des raccourcis aux commandes qui n’en possèdent pas ou modifier les raccourcis existant pour les mémoriser plus rapidement. La plupart des raccourcis font appel à certaines touches du clavier. Le tableau ci-dessous vous rappelle les noms utilisés dans ce livre et les correspondances entre Mac et PC. Touche Mac Commande ¢ ou Option (alt) Majuscule Ó Contrôle
Symbole
Touche PC
Symbole
¢
Ctrl
Ctrl
∏ Ó ctrl (= clic droit)
Alt Alt Ó Ó La touche n’existe pas sur PC, on utilise le clic droit.
Certains raccourcis proposés peuvent entraîner des erreurs, il ne faut donc pas hésiter à les changer ou à affecter un second raccourci. C’est le cas de celui qui active l’outil Sélection (Flèche noire) : la lettre V ; au lieu d’activer l’outil, elle fait apparaître un « v » quand vous êtes en train d’éditer un texte. Pour l’éviter, affectez à cet outil la touche F1. Il en est de même avec bon nombre de raccourcis qui entrent en conflit quand vous travaillez un texte (par exemple, I pour la pipette, † [Ÿ] pour cacher les palettes, etc.). Voici donc quelques propositions de raccourcis (pour Mac) : Manipulation Flèche noire Flèche blanche
Pour créer le raccourci, sélectionnez la commande souhaitée (si elle possède déjà un raccourci, elle le gardera à condition qu’il n’ait pas été affecté à une autre commande), tapez la séquence voulue dans la case Nouveau raccourci, choisissez le contexte dans le menu local, puis cliquez sur Attribuer.
Ancien raccourci
F1
V
ÓF1
A
Outil Position ctrl F1 ou Óctrl F1 Outil Pipette
Pour voir et éditer les raccourcis, dans le menu Édition, lancez la commande Raccourcis clavier : une fenêtre s’affiche. Vous pouvez visualiser, par menus, les différentes rubriques et leurs raccourcis. Si vous voulez modifier ou ajouter des raccourcis qui manqueraient à la liste, InDesign vous invitera à créer un ensemble qui pourra être enregistré. Le fichier ainsi créé est placé dans le dossier InDesign Shortcut Sets (lui-même dans Préférences/Adobe InDesign/Version 5.0). Il pourra être utilisé sur un autre ordinateur à condition que vous ne changiez pas de plate-forme.
Raccourci (Mac)
ÓA
ctrl I (ctrl i)
I
ctrl T
T
Bascule entre Aperçu/Normal
ctrl esc (Echap)
W
Passer de à (palette Contrôle)
ctrl A ou ctrl P
∏¢ è
Afficher/Masquer toutes les palettes
Ó esc
†
Outil Texte
ASTUCE Vous pouvez aussi garder les raccourcis existants et taper Ó¢ A [ÓCtrl A] pour systématiquement tout désélectionner avant de taper le raccourci (cependant, il faudra resélectionner).
Si vous avez peur de ne pas mémoriser certains raccourcis, vous pouvez affecter à la commande une série de raccourcis ayant une touche commune : vous finirez bien par retenir l’une des combinaisons choisies (il sera alors temps de supprimer les autres devenues inutiles).
On peut affecter plusieurs ussieurs sieurs racco raccourcis ourcis à une commande.
On choisit la commande, comma ande, on tapee le raccourci ande ra et on l’attribue. ttribue ttribue. Pensez à utiliser pourr limiter ser un contexte c limit le raccourci à un domaine. dom
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INFO. Les raccourcis indiqués dans ce livre sont ceux par défaut. N’hésitez pas à les personnaliser.
L’INTERFACE D’I N D ESIGN
La gestion de l’affichage LES TAUX D’AFFICHAGE Vous pouvez régler le taux d’affichage avec une valeur comprise entre 5 % et 4 000 %. Ce réglage peut s’effectuer : – en tapant une valeur dans la case d’information en bas à gauche de la palette Navigation ou de la fenêtre du document (un menu local propose une série de valeurs) ;
Dans la palette Navigation, il est possible de ne visualiser que le plan de travail avec une page ou toutes les pages. Un rectangle rouge vous montre la zone visualisée du document ; en le déplaçant, vous pouvez la changer. Pour afficher une autre page, utilisez la palette Pages : par un double-clic sur une icône de page, vous affichez la page sélectionnée ou la double page par un double-clic sur le numéro.
– en glissant la loupe (avec ¢ Espace [Ctrl Espace]) ; – en tapant plusieurs fois le raccourci d’agrandissement ou de réduction. En attendant de mémoriser les différents raccourcis (d’affichage ou autre), pensez à utiliser les menus contextuels (ctrl clic [clic droit]) ; cependant, l’outil Flèche doit être actif ou, si ce n’est pas le cas, aucun bloc ne doit être sélectionné.
Ce rectangle ngle indique indiqu la zone affichée.. Par double-clic sur la page age a g ou sur le numéro, on affiche fiche la page ou double page contre les règles.
ASTUCE La palette Navigation affiche des petites croix rouges pour indiquer les blocs avec du texte en débordement.
La partie affichagee d du menu contextuel.
L A NAVIGATION DANS LE DOCUMENT Le déplacement dans un document s’effectue de plusieurs manières : – avec l’outil Défilement (Main) affiché en enfonçant la barre d’Espace (ou ∏ [Alt] si l’outil Texte est actif) ; – avec la molette de la souris (avec Ó le déplacement est horizontal) ; – par la fenêtre de la palette Navigation.
UNE NOUVELLE VUE La commande Nouvelle fenêtre (menu Fenêtre/Disposition) permet de créer une seconde vue de votre document. Celle-ci pourra avoir un taux d’affichage différent. Cela pourrait être un gabarit afin de visualiser ses modifications sur les pages courantes. Pour visualiser côte à côte ces fenêtres, utilisez l’une des commandes Mosaïque.
Vue d d’ensemble et vue ue de détail. dé
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L A GESTION DU TRAVAIL
2 La gestion du travail
La démarche de travail De la maquette à la distribution L A PRÉPARATION PAPIER Avant de commencer un travail de mise en pages sur l’ordinateur, il est préférable d’avoir une idée précise de l’aspect que devront avoir les pages et même d’en ébaucher un crayonné sur une feuille de papier. Ce petit travail préparatoire permet de fixer quelques paramètres tels que la valeur des marges, les positions des bandeaux de titres, des illustrations, des légendes, la typographie employée (corps, police, style, couleurs…), etc. Plus cette préparation papier est élaborée, plus votre travail sur l’ordinateur sera facilité.
LE PLACEMENT DES TEXTES ET DES VISUELS Dans les réserves créées, placez les textes par saisie directe ou par importation. De même pour les images : les plus simples d’entre elles pourront être réalisées avec les outils de dessin d’InDesign, mais les plus délicates seront créées ou traitées dans Photoshop ou Illustrator, puis importées.
À l’aide des différents repères de mise en pages, on place les blocs et on les remplit avec les textes et les images.
Une maquette crayonnée permet de fixer les idées.
L A MISE EN PAGE Sur la feuille affichée à l’écran, vous commencerez par placer des repères — certains apparaîtront suite à la configuration du document — ou vous définirez une grille de manière à refléter l’aspect général de la composition. Ces éléments constitueront une aide précieuse pour le placement et le dimensionnement des objets que vous allez réaliser. La deuxième étape du travail consistera à disposer sur les pages les différents blocs de façon à obtenir la mise en page voulue. Éventuellement, un bloc pourra être mis en attente sur le côté de la page pour y subir des traitements préalables avant d’être incorporé dans la page. Cette étape comprend différentes phases : la création et le positionnement des objets (bloc, trait, dessin…), leur transformation éventuelle (rotation, mise à l’échelle…), leur enrichissement (coloration, cadre…), etc.
ASTUCE Les images (et les textes) peuvent être importées directement sur la page sans préparer de bloc pour les recevoir : celui-ci sera dessiné avec le curseur d’importation.
LES FINITIONS C’est l’étape qui demande le plus de temps, de minutie et de connaissance des possibilités du logiciel. Elle consiste, pour les textes, à régler la typographie, à vérifier les encombrements de textes et leur comportement en présence d’images ou d’un autre texte… ; pour les images, à affiner les dimensions, le détourage et l’habillage.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 2 L’impression à partir de pages PDF pourra être envisagée ; celles-ci seront créées selon les recommandations de l’imprimeur. Une distribution sous forme de pages HTML pour une exploitation sur le Web peut également être effectuée (elle pourra nécessiter une mise au point dans Dreamweaver). Ces deux types d’exportation pourront être traités directement depuis InDesign. Dans les chapitres qui suivent, nous allons aborder ces différentes étapes sensiblement dans cet ordre. L’orientation Web ne sera pas développée dans ce livre.
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Les enregistrements et annulations …puis sur les visuels. Ici, on a ajouté des ombres aux photos.
LES ENREGISTREMENTS
L A DISTRIBUTION Elle s’effectue le plus souvent sous forme papier par une impression des fichiers InDesign. Sa préparation nécessitera des réglages de séparation, de recouvrements de couleurs et la gestion des fichiers correspondant aux éléments importés de manière à obtenir une impression de qualité optimale. InDesign propose toutes les commandes nécessaires à la mise au point de cette préparation (aperçu de la surimpression ou de l’aplatissement des transparences, g des données…). l’assemblage
L’une des étapes importantes (et répétitives) du travail est l’enregistrement du fichier sur le disque. InDesign met trois commandes à votre disposition : Enregistrer, Enregistrer sous et Enregistrer une copie ; si vous avez installé Version Cue, vous pouvez également utiliser Archiver (voir plus loin). La première commande, Enregistrer, s’utilise lors de la première sauvegarde : on vous demandera un nom de fichier et une position sur le disque. Puis, régulièrement vous mettrez à jour ce fichier après chaque étape importante du travail en tapant ¢S [Ctrl S]. La deuxième commande, Enregistrer sous, vous permet de changer le nom du document ou son dossier d’enregistrement, mais de le garder toujours ouvert à l’écran. La troisième, Enregistrer une copie, est utile pour créer une copie du fichier que vous ne souhaitez pas afficher à l’écran.
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L A GESTION DU TRAVAIL Les enregistrements sont très importants pour garder des traces du travail réalisé. Cependant, InDesign dispose d’une fonction intéressante. En effet, si le programme bloque en cours de travail, votre dernier document s’affiche au redémarrage d’InDesign (même s’il n’a pas encore été enregistré) dans un état légèrement antérieur au « plantage ». Le fichier porte alors la mention Récupéré, qui disparaît lorsque vous enregistrez le fichier de manière à le mettre à jour sur le disque. Vous pouvez également revenir à la dernière version enregistrée.
LES ANNULATIONS Pour terminer sur l’environnement de travail, rappelons que les annulations sont multiples dans InDesign. Vous pouvez, grâce aux deux premières commandes du menu Édition : Annuler (¢Z [Ctrl Z]) et Rétablir (Ó¢Z [ÓCtrl Z] avec les raccourcis par défaut d’InDesign), revenir en arrière dans votre travail ou rétablir une opération qui vient d’être annulée. Comme dans Illustrator, même après une sauvegarde (par ¢ S [Ctrl S]), il est possible d’utiliser les commandes Annuler ou Rétablir.
La commande Version précédente (menu Fichier) peut également constituer une bonne méthode pour revenir en arrière dans le travail. Seulement elle ne peut être visualisée qu’avec une bonne maîtrise des sauvegardes. Si vous employez Version Cue, il est possible de rouvrir le document dans un état correspondant à l’une des versions enregistrées.
LES INSTANTANÉS AVEC LES EXTRAITS (SNIPET) Si vous souhaitez garder une étape intermédiaire d’une page dans une phase de travail (une sorte d’instantané), vous pouvez créer un extrait en sélectionnant les éléments de la page et en les glissant sur le Bureau, ou mieux, sur une fenêtre de Bridge que vous aurez préalablement ouverte (par exemple de la palette Contrôle). Pour récuen cliquant sur l’icône pérer les éléments de l’extrait, il suffira, depuis Bridge (ou du Bureau), de glisser la vignette de l’extrait sur la page. Tous les éléments que contient l’extrait se placeront à l’endroit où ils étaient, emplacement original, ou à l’emplacement du curseur, selon les préférences d’InDesign (menu InDesign [Édition]/Préférences/Gestion des fichiers). Il ne restera qu’à supprimer les éléments en trop.
Version Cue : la gestion de fichiers La description de Version Cue LES PRINCIPALES FONCTIONS Version Cue est un logiciel qui facilite la gestion de projets au sein d’un groupe de travail ou d’un espace de travail privé.
La gestion des fichiers Version Cue permet la création de plusieurs versions d’un même fichier ainsi que leur gestion et leur localisation quelle que soit l’origine du fichier (Photoshop, Illustrator, InDesign…). Cette gestion des versions de fichier est intéressante dans la mesure où vous gardez à votre disposition toutes les versions avec des informations les concernant. Si vous travaillez seul, Version Cue s’avère également utile car il permet d’éviter la gestion de multiples fichiers correspondant à différents essais de mise en pages par exemple. Dans le cas d’un travail en groupe, le fichier peut être placé sur un site FTP de manière à être partagé par plusieurs personnes.
La gestion de l’espace de travail par projet Un espace de travail (local ou distant) est défini. À l’intérieur de celui-ci, vous pouvez spécifier des projets privés et des projets collectifs en autorisant d’autres membres de votre équipe à accéder aux fichiers (sans installation matérielle ou logicielle).
Le partage des fichiers avec contrôle des versions Version Cue permet une collaboration d’utilisateurs sur des projets. Le travail collectif est facilité, chacun disposant des versions de fichier correctes sans risque d’écrasement des fichiers. Les versions des fichiers sont visualisées directement dans Bridge.
La recherche dans les informations sur les fichiers Version Cue vous permet d’effectuer la recherche d’un fichier ou d’une de ses différentes versions depuis tout logiciel de la Creative Suite. Pour ce faire, on utilise des vignettes (pour une recherche visuelle), des métadonnées, des mots-clés, des commentaires, des noms de fichier, des noms d’auteur…
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 2
Le statut des fichiers
L’activation de Version Cue dans InDesign
Version Cue permet de vérifier rapidement le statut d’un fichier et de connaître son numéro de version, les commentaires qui lui sont associés ou le nom de la personne qui est en train de le modifier.
Une fois Version Cue démarré, dans InDesign, affichez les Préférences (menu InDesign [Édition]), choisissez la rubrique Gestion des fichiers et vérifiez que l’option Activer Version Cue est bien cochée puis cliquez sur OK.
L’INSTALLATION DE VERSION CUE L’installation de l’espace de travail Votre groupe de travail et vous-même devez accéder à un espace de travail pour utiliser Version Cue. Lors de l’installation complète de la Creative Suite, un espace de travail Version Cue est automatiquement installé sur votre ordinateur. En fonction des projets, vous pouvez décider de travailler avec cet espace ou avec d’autres espaces situés sur un ordinateur distant ou sur un serveur. Dans le cas de projets privés, il est plus simple d’utiliser l’espace de travail sur votre propre ordinateur. Par la suite, grâce à Version Cue, il sera possible de partager tout autre projet. Si vous travaillez en collaboration avec d’autres utilisateurs, définissez un espace de travail Version Cue sur un ordinateur accessible à tous via un réseau afin d’y stocker les projets collectifs.
INFO. L’opération devra également être faite dans Illustrator, Photoshop ou InCopy.
Les projets avec Version Cue Un projet Version Cue est un ensemble de fichiers. Chaque fichier (fichier maître) peut lui-même renfermer plusieurs états d’une mise en page sous forme de fichiers appelés versions.
L A CRÉATION D’UN PROJET VERSION CUE Vous pouvez créer un projet privé ou un projet collectif ; sa réalisation s’effectue dans Bridge ou à partir de InDesign.
Le projet dans Bridge L’activation de l’espace de travail Version Cue Pour autoriser ou non d’autres utilisateurs à voir l’espace de travail et à y accéder via le réseau, vous devez régler Version Cue. Pour ce faire, ouvrez les Préférences Système [Panneau de configuration] puis Adobe Version Cue ou accédez directement aux préférences en cliquant sur l’icône située à droite dans la barre de menus du Mac ou des commandes sur Windows. Sélectionnez l’option Visible par les autres dans le menu Visibilité du serveur Si vous voulez que cet espace reste privé, sélectionnez Un utilisateur à la rubrique Taille du groupe de travail. Cliquez sur Démarrer puis Appliquer maintenant [OK] pour valider les réglages.
Pour créer un projet, sélectionnez Version Cue dans l’onglet Favoris : Bridge montre un écran de bienvenue dans lequel figure au centre votre espace de travail (c’est le serveur de la colonne Atteindre). Cliquez dessus pour l’ouvrir puis sur l’icône du haut de la fenêtre pour lancer la commande Nouveau projet (celle-ci est également accessible par le menu Outils puis Version Cue).
On affiche l’espace ace de travail tra avail (Mon (M serveur) et on clique ici pour créer un nouveau au projet. ASTUCE Si Version Cue n’est pas visible dans les favoris de Bridge, cochez l’option Version Cue dans les préférences de Bridge (¢K [Ctrl K]) à la rubrique Générales.
Quelques réglages de Version Cue.
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L A GESTION DU TRAVAIL Une fenêtre permet de configurer le projet et de lui ajouter un commentaire. Une fois le projet défini, il apparaît dans Bridge sous la forme d’un dossier ; si le projet est partagé avec d’autres utilisateurs, son icône le signale. Il est possible de désactiver ce partage par clic droit sur l’icône (un menu local affiche certaines options). Le projet est vide, il ne reste qu’à le remplir.
L’AJOUT DE FICHIERS AU PROJET Comme pour la création d’un projet, l’ajout de fichiers dans le projet s’effectue depuis Bridge ou InDesign.
Le transfert à partir de Bridge C’est la méthode la plus simple ; de plus, elle permet d’ajouter plusieurs fichiers (ou dossiers) simultanément. Pour ajouter des éléments, ouvrez deux fenêtres de Bridge (le menu Fichier permet cette opération, au clavier tapez ¢N [Ctrl N]). Dans l’une d’elles, affichez les fichiers à mettre dans le projet, et dans la seconde, Version Cue afin de voir le projet voulu. Sélectionnez les fichiers à transférer et glissez-les dans le dossier du projet.
Le projet dans InDesign Dans InDesign, lancez la commande Ouvrir (menu Fichier), choisissez l’interface Adobe en cliquant sur le bouton correspondant en bas à gauche de la fenêtre. La colonne de gauche montre la liste des éléments favoris définis dans Bridge. Dans cette liste, sélectionnez Version Cue : la partie droite de la fenêtre montre alors l’icône de l’espace de travail et le dossier (.local) contenant les projets existants. (ou par clic droit sur le Dans le menu Outils de projet dossier de votre serveur local), sélectionnez Nouveau projet : la fenêtre de création de projet apparaît, vous pouvez y définir l’emplacement du projet en choisissant soit le dossier local (poste de travail), soit le dossier distant (si vous en avez créé un en utilisant les fonctions de gestion avancée d’administrateur à partir des préférences, nous en reparlerons plus loin).
idge ett On affiche deux fenêtres de Bridge on glisse les éléments dans le projet.
Quand le transfert est terminé (Bridge a créé une copie des éléments), vous pouvez ouvrir le dossier du projet pour voir les éléments qui y sont placés. Il est possible de créer des dossiers pour y ranger les différents éléments par catégorie de fichiers.
Le remplissage par enregistrement dans InDesign On clique ici icci ci pour choisir Nouveau u projet. projett
Quand le projet est créé, il est vide, il ne reste qu’à le remplir. Avant de fermer la fenêtre par Annuler, vous pouvez ajouter le projet aux favoris par clic droit sur son icône.
Pour ajouter un fichier au projet, ouvrez-le comme n’importe quel fichier et lancez la commande Enregistrer sous. Dans la fenêtre d’enregistrement, affichez puis ouvrez le projet Version Cue. Saisissez un nom de fichier, choisissez un format et cliquez sur Enregistrer pour placer le fichier dans le projet ; une seconde fenêtre permettra d’ajouter des commentaires pour cette version.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 2 Une fois enregistré, le fichier apparaît avec la mention Synchronisation effectuée en bas à gauche (il en est de même dans la fenêtre de Bridge).
Par la suite, à partir d’InDesign, tout membre du groupe de travail pourra créer une nouvelle version d’une image par édition dans Photoshop. Nous reparlerons de ces diverses possibilités dans le chapitre consacré aux images.
hiers h hi ers liés que q l’on peut ouvrir dans Dans Bridge Bridge, on voit les fichiers Photoshop pour créer des versions.
L A CRÉATION DE VERSIONS D’UN FICHIER Une fois enregistré, InDesign indique que le fichier est synchronisé.
La gestion des images placées Après avoir enregistré le fichier de mise en page dans le projet Version Cue, en une seule opération à partir d’InDesign, vous pouvez placer une copie des images importées dans un dossier du projet. Pour cela, lancez la commande Copier le(s) lien(s) vers… dans le menu local de la palette Liens, puis choisissez un dossier du projet dans la fenêtre d’enregistrement : les liens sont automatiquement redirigés vers ce nouveau dossier.
Quand vous ouvrez un fichier appartenant à un projet Version Cue et réalisez une modification sur celui-ci, la mention Extrait par moi apparaît dans la barre d’état du document. Quand les modifications sont terminées et que le fichier a l’aspect souhaité, vous pouvez en créer une nouvelle version à l’aide de la commande Archiver du menu Fichier d’InDesign. Celle-ci affiche une fenêtre pour ajouter des commentaires.
P la a palette Liens Liens et cette co omm Par commande, on o peut pe copier les fichiers liés sur le serveur. sserveu n ouverte est en cours de d modification. on on. La version
prend le sstatut SynDès que la version est créée créée, le fichier reprend chronisation effectuée ; vous pouvez le modifier à nouveau en vue d’enregistrer une autre version et préparer ainsi plusieurs versions d’un même fichier.
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L A GESTION DU TRAVAIL Toutes les versions du fichier apparaîtront dans Bridge si vous affichez le panneau Inspecteur ou par clic droit sur le fichier pour choisir l’option Versions.
La fenêtre de gestion des versions qui s’affiche montre les commentaires et les dates pour chaque version ; vous pouvez ouvrir, gérer ou supprimer l’une d’elles. Si vous décidez de remplacer le document affiché (version courante) par une ancienne version, InDesign créera automatiquement une nouvelle version qui s’affichera alors à la place de la version actuelle (celle-ci n’est pas écrasée). La version inutile pourra être supprimée ultérieurement.
Le panneau Inspe Inspecteur eccteurr de Bridge montree les versions. versions
rsions i d conserver con La gestion des versions permett de plusieurs versions successives d’un même fichier en cours d’utilisation afin de pouvoir récupérer une version antérieure de celui-ci. Ce type de sauvegarde par versions vous assure de ne jamais écraser une version de votre travail ou, dans un groupe de travail, que personne n’écrase le travail de quelqu’un d’autre dans un projet. En outre, il permet d’éviter le verrouillage de fichier qui empêcherait plusieurs utilisateurs de travailler sur un même fichier. Vous pouvez également utiliser ces fonctions pour comparer rapidement des versions de fichiers réalisées par différentes personnes du groupe de travail afin de choisir une version finale.
À partir d’une version que vous désignez, désignez Version Cue crée une nouvelle version qu’il ouvre.
L’ouverture d’une version dans Bridge Depuis Bridge, vous pouvez aussi ouvrir la fenêtre de gestion des versions. Pour cela, effectuez un clic droit sur la vignette du fichier et choisissez la commande Versions du menu contextuel. La définition d’une ancienne version en version actuelle s’effectue également par clic droit directement sur la vignette d’une des versions.
L A GESTION DES VERSIONS D’UN FICHIER L’ouverture d’une version dans InDesign Pour ouvrir une version particulière d’un fichier, dans la fenêtre de la commande Ouvrir, effectuez un clic droit sur le fichier désiré ) et lancez la commande Versions ; (ou utilisez le menu local si le fichier est déjà ouvert, vous accédez à cette commande par le menu local situé en bas de la fenêtre du document.
Depuis Bridge, Bridge on peut définir une un ne version à utiliser comme version ve actuelle (Version Cue créera une nouvelle version à partir de celle-ci). ve
À partir de la commande Ouvrirr ou depuis Bridge, Bridge on lance lance cette commande pour afficher la fenêtre montrant les versions ons du fichier.
ATTENTION Dans Bridge, si vous changez les métadonnées du fichier, modifiez son étiquette ou sa note, le fichier prend le statut « Extrait par moi », ce qui rend les versions inaccessibles ; pour éviter cette situation, vous devez, par clic droit sur sa vignette, lancer la commande Synchroniser (une nouvelle version sera créée) ou lancer Rétablir la version précédente (les métadonnées ne sont pas ajoutées).
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 2
LE PARTAGE D’UN PROJET EN COURS Lorsque vous souhaitez travailler avec d’autres utilisateurs sur l’un de vos projets privés, vous pouvez les autoriser à accéder au projet. Dans InDesign, lancez la commande Ouvrir, cliquez sur l’icône Version Cue, puis ouvrez l’espace de travail Version Cue contenant le projet que vous voulez partager. Sélectionnez ce projet, puis dans le menu Outils (ou par clic droit), lancez la commande Modifier les propriétés pour cocher Partager le projet. Cette opération de partage peut également s’effectuer dans Bridge par clic droit sur le dossier du projet à partager. INFO. Quand des projets sont partagés, les fichiers du projet sont copiés sur l’ordinateur qui partage le projet. Pour que les dernières versions des fichiers du serveur correspondent aux fichiers copiés, il faudra en faire la mise à jour en lançant la commande Synchroniser.
L’ADMINISTRATION DE L’ESPACE DE TRAVAIL VERSION CUE Vous pouvez définir une collaboration simple de partage d’un projet Version Cue avec toute personne utilisant une application Creative Suite ou imposer un contrôle plus important sur le projet dans lequel les utilisateurs devront se connecter avant d’accéder à ce projet.
La commande Administration avancée qui peut être lancée par clic droit sur l’icône située dans la barre de menus [ou des tâches] permet de définir des ID utilisateur et leurs privilèges de projet associés, de supprimer des verrouillages de fichiers, de modifier les préférences d’espace de travail Version Cue et d’effectuer d’autres opérations de gestion de projets et d’espace de travail. Pour afficher la page de connexion de l’utilitaire Administration de l’espace de travail Version Cue, lancez la commande Ouvrir, affichez le projet, lancez Modifier les propriétés du menu Outils de projet : dans la fenêtre qui s’affiche, cliquez sur Administration avancée. Dans la page de connexion de l’utilitaire Administration de Version Cue qui s’ouvre dans une fenêtre de navigateur, saisissez les informations de connexion en tant qu’administrateur (par défaut : « system » pour l’ID de connexion et « system » pour le mot de passe), puis cliquez sur Connexion. Des rubriques de gestion deviennent disponibles pour définir les critères d’utilisation des projets, créer un nouveau projet sur un FTP qui pourra être partagé par la suite.
Ici, ci, on a défini un pprojet sur un FTP. tous les projets On peut afficher to et définir leur partage.
Sur un poste distant, on ne voit que les serveurs partagés avec, ici, celui disponible sur un FTP.
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L A GESTION DU TRAVAIL
La mise en place du document La configuration du document Pour commencer un travail, déroulez le menu Fichier jusqu’à la commande Nouveau ou tapez ¢ N [Ctrl N]. Une boîte de dialogue apparaît : elle vous permet de configurer votre composition en indiquant certaines caractéristiques des pages que vous utiliserez : nombre et format, marges…
La fenêtre dee configuratio configuration fi tion on du d document. d t On O peutt choisir un autre format et l’enregistrer en tant que format format prédéfini.
En dehors du format de page qui est choisi dans le menu local, vous devez entrer des valeurs dans les différentes cases. Pour cela :
– cliquez sur le libellé à gauche de la case et tapez directement la nouvelle valeur (sans préciser l’unité sauf pour en changer) ;
– utilisez les petites flèches devant la case de valeur. Elles incrémentent la valeur de 1 (ou de 10 avec Ó) ; – passez d’une case à la suivante en tapant la touche † [Ÿ] (ou Ó† [ÓŸ] pour revenir à la case précédente). Vous pouvez aussi taper la valeur ou utiliser les touches fléchées du clavier pour augmenter ou réduire la valeur en cours (avec Ó, l’incrément est de 10). Avant d’entamer tout travail de mise en pages sur l’ordinateur, il faut avoir une idée globale de votre future publication (connaître le format des feuilles, ses marges, le nombre de colonnes, etc.). Nous allons à présent passer en revue les différentes options de configuration du document.
Dans la boîte de dialogue de configuration du document (comme dans toutes les boîtes de dialogue), vous pouvez utiliser différentes unités (le tableau qui suit les récapitule), ainsi que des opérations sur les valeurs en utilisant les symboles suivants : + pour l’addition, – pour la soustraction, * pour la multiplication, et / pour la division. Unité
Symbole Valeur en mm
Point
pt
Pica
p
Pouce
po
Millimètre
mm
Centimètre
cm
Remarque On peut écrire p 1 pt = 0,353 mm suivi du chiffre (p12 = 12 pt). 1 p = 4,233 mm 2p6 = 2 picas + (ou 12 pt) 6 points. 1 po = 25,4 mm Tapez : po, (ou 72 pt) pouce ou ". 1 cm = 10 mm
L’orientation de la feuille s’effectue d’après les valeurs des cases Largeur et Hauteur, mais également en cliquant sur le bouton correspondant à l’orientation voulue.
LES PAGES EN VIS-À-VIS OU LE RECTO VERSO Cette option permet, lorsqu’elle est activée, d’avoir le recto et le verso côte à côte. Les rectos correspondent aux pages impaires, ils se trouvent à droite sur l’écran ; les versos, pages paires, sont situés à gauche sur l’écran.
LE BLOC DE TEXTE TYPE Quand vous cochez cette option, InDesign place dans la page de maquette un bloc de texte aux dimensions du rectangle d’empagement défini par les marges et les colonnes (voir ci-après). Ce bloc de texte type est utilisé (de manière transparente) lorsque vous importez un texte long et que vous placez ce texte sur la page en cliquant sur celle-ci avec la touche Ó enfoncée : il y a chaînage du texte vers de nouvelles pages même si le document n’a pas été configuré avec plusieurs pages (sans la touche Ó, le texte ne coule pas vers les autres pages).
L A TAILLE DE LA PAGE
LES MARGES
Différents choix de format sont possibles : A4 (210 mm par 297 mm, format par défaut) et d’autres formats standards (Tabloïd, A3, A5…), ou une taille quelconque (valeur maximale 5 486 mm ou 216 ").
Les marges sont comptées depuis les bords de la feuille et sont très importantes pour l’équilibre et l’aération de la page. Elles permettent de définir un rectangle d’empagement dans lequel vous placerez les éléments de la mise en page.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 2 En fonction de l’option d’affichage des pages en vis-à-vis ou non, les cases Petit fond et Grand fond — qui correspondent respectivement à la marge de reliure et à la marge extérieure — prennent les noms À gauche et À droite.
Une fois toutes les options choisies, cliquez sur OK. Une page affichée à la taille maximale pour l’écran apparaît. Vous pouvez y voir les repères de marge en magenta et les repères de colonne en violet. Les repères de marge constituent un rectangle (empagement). Sur les côtés verticaux de la page sont superposés les repères de colonnes (voir plus loin la description des repères).
Document avecc ou sans page g een vis-à-vis.
Si vous vous êtes trompé dans les valeurs du format du document, fermez le fichier et créez-en un nouveau.
Quelles que soient les valeurs entrées, vous pourrez disposer des objets dans les marges, par exemple une photo à fond perdu. Par défaut, les valeurs sont de 1/2 pouce, soit (qui devient alors ), 12,7 mm. En cliquant sur l’icône toutes les marges deviennent identiques.
LES COLONNES Vous pouvez définir le nombre de colonnes de votre publication (par défaut 1), ainsi que la gouttière (ou espace) entre chaque colonne. InDesign placera des repères de colonne dans lesquelles vous pourrez par la suite dessiner ou placer des blocs de texte (ou d’image).
LES RÉGLAGES DU FOND PERDU ET DE LA ZONE DE LIGNE - BLOC Le fond perdu définit la zone dans laquelle les objets peuvent déborder au-delà des bords du format de la page. La zone de ligne-bloc définit un espace dans lequel vous placerez des informations (marques de pliure, date de modification et nom du fichier gérés par des variables de texte…) ou des instructions pour l’imprimeur (selon les options d’exportation, cette zone est conservée lors d’export en PDF). Tous les éléments (ou parties d’éléments) situés dans ces zones disparaissent quand le document est rogné à sa taille finale. Pour les définir, cliquez sur le bouton Plus d’options et saisissez les valeurs souhaitées dans les champs correspondants. Les zones sont marquées par des filets rouges pour le fond perdu et bleus pour les lignes-blocs.
Marge de tête.
Repère de colonne.
La première double page du document. cument.
Marge de grand fond (ou droite). Marge de petit fond (ou gauche).
Fond p perdu. Marge de pied. Ligne-bloc. g
Les pages du document affichées en vis-à-vis.
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L A GESTION DU TRAVAIL
L A MÉMORISATION DES RÉGLAGES
LES REPÈRES DE MARGE
Si vous créez souvent des documents ayant le même nombre de pages et le même format de page, vous pouvez changer les valeurs par défaut qui réapparaissent à chaque fois que vous définissez un nouveau document. Pour cela, fermez tous les documents et lancez la commande Format du document du menu Fichier.
Les repères de marge définissent le rectangle d’empagement ; ce dernier a les dimensions de la page, moins celles des marges. Il détermine les dimensions du bloc de texte qui sera créé quand vous cliquerez sur la page avec l’icône de placement de texte importé.
InDesign permet également d’enregistrer la configuration complète affectée à un nouveau document de manière à pouvoir l’utiliser plus facilement. Pour cela, il suffit de cliquer sur le bouton Enreg. prédéfini… dans la fenêtre Nouveau document (menu Fichier) : la configuration enregistrée sera alors disponible dans le menu local Paramètre prédéfini. Par défaut, toute création de document fait référence aux derniers paramètres prédénis utilisés.
Pour les modifier, lancez la commande Marges et colonnes dans le menu Page. Une fenêtre de configuration s’affiche pour définir les nouvelles valeurs de marges. Si vous effectuez cette opération dans la page courante, elle n’affecte pas les autres pages ; en revanche, si vous modifiez les marges à partir des pages de gabarits (affichées par un double-clic sur leurs icônes dans la palette Pages), toutes les pages courantes subiront les modifications. S’il y a un bloc de texte type dans la page de gabarit, il devra être redimensionné à part.
Les repères et les grilles Les repères et les grilles offrent une aide précieuse à la mise en place des éléments sur la page. En effet, non seulement ils constituent un guide visuel, mais aussi, grâce à leur magnétisme, ils facilitent le positionnement des objets.
LES DIFFÉRENTS TYPES DE REPÈRES
On peut changer les repères de marge depuis la page courante (et n’affecter que cette dernière), ou les changer depuis le gabarit.
InDesign propose trois types de repères : les repères de marge (en magenta), les repères de colonne (en violet) et les repères de règle (en cyan par défaut mais modifiable à volonté). À ces repères s’ajoutent, si vous avez coché l’option Bloc de texte type, les lignes des blocs types : elles ont la couleur du calque (par défaut bleu clair).
LES REPÈRES DE COLONNE
LES LIGNES DES BLOCS TYPES
Les repères de colonne peuvent être manipulés à partir de la commande Marges et colonnes du menu Page — un changement des valeurs de marges entraîne un changement des largeurs de colonnes, mais, si le texte a déjà été placé, seuls les repères, et non pas les blocs, sont modifiés.
Il ne s’agit pas de repères car ces lignes ne sont pas magnétisées. Elles sont cachées sous les repères de marge et ne deviennent visibles que si vous modifiez (menu Page) ou masquez (menu Affichage ou menu contextuel) les repères de marge. Ces lignes délimitent le bord du bloc présent dans la page type ; ce dernier ne peut être modifié ou effacé dans une page courante que s’il a été rempli. En effet, il ne s’agit pas de repères mais d’un bloc de texte que vous pouvez voir (sélectionner et modifier) dans le gabarit (dit aussi page maquette, qui s’affiche via la palette Pages ou F12). Ce bloc (ou ces blocs dans le cas d’un document recto verso) a été obtenu lors de la configuration du document en cochant l’option Bloc de texte type. Rappelons que ces blocs, aux dimensions du rectangle d’empagement, sont utilisés dans les pages courantes lors du placement automatique d’un texte.
Lors du placement automatique d’un texte, ces repères provoquent l’écoulement du texte de colonne en colonne ; cependant, le bloc démarre à la hauteur et depuis la colonne où s’est effectué le clic, sauf si le bloc de texte type a été défini à la configuration du document.
En déverrouillant les repères de colonne (menu contextuel ou menu Affichage/Grilles et repères), vous pouvez les manipuler directement sur le document par glissement des lignes violettes (gouttières ou bords de colonne) et visualiser leurs coordonnées dans la palette Contrôle.
On déverrouille les repères res de colonne par le menu contextuel.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 2 Ce type de manipulation permet d’obtenir des colonnes de largeur différente. Comme cela a été signalé, il conviendra d’effectuer ces opérations dans les pages types si vous souhaitez voir le changement dans toutes les pages courantes et d’adapter puis créer les blocs aux largeurs des colonnes. Cettee valeur indique en dessous desso de quel taux les repères disparaissent. araissent. Ces options ne s’appliquent qu’aux repères sélectionnés ou aux ffuturs repères placés.
Les calques de repère
On glisse sse les repères sse repèree de colonne. On adapte le bloc et on on en crée cré un. ASTUCE Pour retrouver les colonnes égales, lancez la commande Marges et colonnes (menu Page) : le nombre de colonnes est remplacé par « personnalisé » ; utilisez les triangles pour rétablir le nombre initial de colonnes.
Une fois déverrouillés, les repères de règle sont manipulables à volonté (déplacement, copie, effacement…). Vous pouvez créer un calque spécial pour les y placer. Pour cela, en enfondepuis la palette Calques, cliquez sur l’icône çant la touche ∏ [Alt] de manière à nommer le calque (repères ou guides, par exemple). Par la suite, vous pourrez cacher son contenu (donc les repères) en cliquant sur l’œil ( ) en regard du nom du calque, ou le verrouiller en cliquant dans la case de la seconde colonne (le signe apparaîtra). Pour continuer à travailler, il faudra activer un autre calque en cliquant sur son nom dans la palette Calques. Vous pouvez aussi utiliser les options de calque pour cacher ou verrouiller les repères sur un calque donné. ASTUCE Bien que déverrouillés, les repères placés sur une page de gabarit restent inaccessibles sur les pages courantes. Pour sélectionner un repère du gabarit, à l’instar d’un bloc type, enfoncez les touches Ó¢ [Ó Ctrl] et cliquez sur le repère : il apparaît alors avec la couleur du calque.
LES REPÈRES DE RÈGLE Vous pouvez les obtenir de deux façons : par programmation à partir de la commande Créer des repères du menu Page ou manuellement par glissement depuis les graduations des règles pour un placement parallèle à la règle (ou double-clic sur une graduation pour un placement perpendiculaire au niveau de cette graduation). Avant de voir comment les créer, examinons quelques propriétés.
Les propriétés des repères Couleur et affichage des repères
L’obtention paramétrée des repères Si vous lancez la commande Créer les repères du menu Page, une fenêtre apparaît et permet de créer une grille de montage qui découpe votre document de façon à faciliter la création de blocs ou les placements d’objets. Cette grille de lignes et/ou de colonnes est définie à partir des bords (gauche et droit) de la page ou des bords de marges (option Aux marges ou À la page). En cochant Aperçu, vous contrôlez le positionnement de cette grille.
Placés de manière paramétrée ou manuelle, les repères apparaissent en couleur cyan ; vous pouvez changer cette dernière à partir de la commande Repères de règle du menu Page. Ces réglages ne s’appliquent que sur les futurs repères ; cependant, ils peuvent être spécifiés par repère comme nous le verrons plus loin. La fenêtre permet de définir à partir de quel taux d’affichage (Seuil) les repères ne doivent plus être visibles ; cependant, si des repères ont déjà été positionnés avec un seuil inférieur à celui que vous programmez, ils resteront visibles même si le taux d’affichage devient inférieur au seuil que vous avez fixé.
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Cette comm C commande permet de une grille c créer gri de repères (ici, lla gouttière go è des rangées est pour obtenir des zones n nulle horizontales équivalentes). h horiz
L A GESTION DU TRAVAIL Si vous relancez cette commande pour modifier un premier réglage, cochez l’option Supprimer les repères de règle existants ; vous pouvez aussi ajouter un autre calque pour recevoir les nouveaux repères. Les repères de colonne qui apparaissent avec cette commande n’ont aucune influence sur le flux de texte lors de son placement automatique ; ils ne constituent qu’une aide visuelle (mais magnétisée) à la mise en page.
Les couleurs des repères
L’obtention manuelle des repères
Un repère d’une page courante peut être sélectionné (seul ou avec d’autres avec Ó, s’ils ne sont plus verrouillés) en vue d’être déplacé ou copié. Ce déplacement (avec ou sans copie) s’effectue de multiples façons :
Pour placer les repères manuellement, les règles doivent être affichées. Leur placement s’obtient par double-clic dans les graduations de la règle, ou par glissement de la souris depuis les graduations jusqu’à l’endroit voulu. Avec cette seconde technique, vous pouvez obtenir un meilleur contrôle du placement en consultant la palette Contrôle. Il existe quelques contraintes pour ce placement, le tableau suivant les résume : Touche
Contrainte sur le repère Le repère se place sur une valeur juste des Ó graduations. Le repère devient long et s’affiche sur la ¢ [Ctrl] double page (c’est le repère de planche). En partant du croisement des graduations, ∏¢ [Atl Ctrl] on obtient un croisement de repères. N’affiche le repère qu’à partir du seuil de ∏ [Atl] zoom utilisé au moment de sa création. Si les repères ont été déverrouillés (option Verrouiller les repères non cochée dans le menu Affichage/Grilles et repères ou menu contextuel), un repère qui vient d’être placé (donc encore sélectionné) peut être positionné en entrant ses coordonnées dans la case X ou Y de la palette Contrôle. Les coordonnées sont définies à partir de l’origine des règles, qui par défaut coïncide avec l’angle supérieur gauche de la page. Pour déplacer l’origine, faites glisser la case de croisement des règles à l’endroit voulu ; pour changer les unités, affichez le menu contextuel dans les graduations de la règle. A STUCE Dans la palette Contrôle, quand un repère est sélectionné, on passe d’un repère à l’autre en cliquant sur l’icône (ou ).
Les manipulations de repères Pour être manipulé, un repère (déverrouillé) doit être sélectionné en cliquant dessus (l’outil Flèche devient ou quand le repère est pointé). Cependant, s’il a été placé sur le gabarit, sa sélection sur la page courante n’est possible que si vous enfoncez les touches Ó¢ [Ó Ctrl] et cliquez sur le repère ; il apparaîtra alors avec la couleur du calque et ne fera plus partie du gabarit.
Quand un repère est sélectionné (ou qu’il vient juste d’être placé depuis les règles), vous pouvez changer sa couleur par la commande Repères de règle affichée par clic droit (menu contextuel). Cette couleur ne sera visible qu’une fois le repère désélectionné. Les déplacements et copies
– par glissement pour un déplacement ; – par la commande Déplacer les repères (affichée par clic droit ou par double-clic sur l’outil Déplacement ou Flèche noire) ;
– par la palette Contrôle (pour une copie, validez en tapant ∏ ‚ (Entrée) [Alt ‚ (Entrée)]) ; – par copier-coller s’il doit être placé sur une autre page (ou un autre document de même format ; il y apparaîtra à la même position que dans sa page d’origine). Les alignements Quand un ou plusieurs repères sont sélectionnés, il est possible d’utiliser les icônes d’alignement et de distribution de la palette Alignement. La version CS3 de cette palette propose des options intéressantes pour aligner (espacer ou répartir) selon des critères particuliers (sur les marges, sur la page…).
Comme les blocs, les repères peuvent être alignés ou distribués selon cer ccertains tain critères.
LES GRILLES InDesign met à votre disposition deux grilles. La première joue le rôle de papier millimétré, c’est la grille du document ; la seconde a une fonction typographique, c’est la grille de ligne de base : elle permet les alignements des lignes de texte. Nous l’étudierons dans la partie consacrée à la typographie. Pour afficher la grille du document, lancez la commande correspondante du menu Affichage ou du menu contextuel (s’il n’y a pas d’objet sélectionné).
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 2
Cette commande permet d’afficher ceci.
Un papier millimétré couvre l’écran, ill se positionne en foncf tion de l’origine des règles. Pour replacer l’origine à sa position initiale, effectuez un double-clic dans le croisement des règles. La grille se place à l’arrière-plan des objets présents sur la page mais peut être mise au premier plan (menu Affichage ou menu contextuel). Le paramétrage de cette grille s’effectue avec la commande Grilles des Préférences (menu InDesign [Fichier]). En effet, une fenêtre permet de choisir la couleur et le pas — espace entre deux lignes qui se règle séparément horizontalement et verticalement —, ainsi que le nombre de subdivisions. Pour obtenir un vrai papier millimétré, entrez une valeur de 10 mm pour le pas et de 10 pour les subdivisions. Vous ne visualiserez correctement les graduations que si le taux d’affichage est suffisamment grand ; dans le cas contraire, les graduations seront placées selon des multiples des valeurs de paramétrage. Dans tous les cas, son magnétisme agit sur les lignes de subdivisions affichées ou non (à condition que l’option ne soit pas désactivée dans le menu Affichage).
On règle è l la l grille ill ici. i i
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Les deux grilles (de ligne de base et du document) exercent un magnétisme aussi bien lors du placement ou de la création de blocs, que de celui de repères. Le magnétisme de la grille du document est débrayable à l’aide de la commande Magnétiser la grille du menu Affichage. Lors d’un traçage indique que le magnétisme de la grille de bloc, le signe ou des repères est actif. Dans le cas de la grille du document, le magnétisme reste actif même si la grille est cachée.
L A GESTION DU TRAVAIL
Le travail avec des calques La gestion des calques L A DÉMARCHE DE TRAVAIL
L’AJOUT DE CALQUE Il s’effectue en cliquant sur l’icône de la palette Calques ; l’ajout de certaines touches augmente les possibilités :
D’autres options comme l’affichage, le verrouillage… se manipulent par le menu de la palette ou encore par les icônes de la palette ; le tableau suivant les récapitule. Touche Affichage
La palette Calques.
La fenêtre d’options du calque.
Verrouillage
Comme Illustrator et Photoshop, InDesign vous offre la possibilité de travailler par superposition de calques. Certains d’entre eux pourront recevoir les textes avec, dans le cas d’une composition multilingue, un calque par langue ; sur d’autres calques, vous placerez les illustrations ; sur d’autres, les repères, et sur d’autres encore, les éléments types… Vous aurez la possibilité de verrouiller ou de masquer les calques sur lesquels vous ne travaillez pas. La gestion des plans, des sélections et, d’une manière générale, du travail de mise en page s’en trouvera simplifiée. La plupart des manipulations de calques s’effectuent à partir de la palette Calques.
Aucune touche
Case cliquée (
)
∏ [Alt]
Masquer/Afficher le calque. Masquer/Afficher les autres calques.
∏ [Alt] Aucune touche
Effet sur les calques
(
)
Verrouiller/Déverrouiller le calque. Verrouiller/Déverrouiller les autres calques.
Particularités Clic sur avec : Aucune Nouveau calque au premier plan des touche calques avec nom et couleur imposés. Nouveau calque au premier plan et ∏ [Alt] affichage de la fenêtre d’options. Nouveau calque au-dessus du calque ¢ [Ctrl] actif. Nouveau calque au-dessous du calque ∏¢ [Alt Ctrl] actif. Vous ne pouvez travailler que sur le calque actif, repéré par une petite plume à droite de son nom. En revanche, il est possible de sélectionner plusieurs calques en même temps — par Ó clics s’ils se suivent dans la liste (et ¢ clic [Ctrl clic] dans le cas contraire) — en vue d’en modifier les options ou l’ordre de superposition.
LES OPTIONS DES CALQUES Certaines options, comme le choix du nom, de la couleur de sélection et l’état des repères ne peuvent se régler qu’en affichant la fenêtre d’options par un double-clic sur le nom du, ou des, calques sélectionnés.
ma és pourr n'afficher n'affich ' ffi h qu'une ' l Certains calquess sont masqués seule langue, d'autres sont verrouillés pour protég protéger leur contenu. INFO. Tous les objets situés sur un calque masqué ne sont ni imprimés, ni exportés avec le format EPS.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 2
Le travail sur calques L A CRÉATION D’OBJET Avant de créer un objet, activez le calque sur lequel vous souhaitez le placer. Si l’objet que vous venez de dessiner ou d’importer ne se situe pas sur le bon calque, transférez-le sur le calque voulu.
LES SÉLECTIONS SUR LES CALQUES Dès que vous sélectionnez un objet, le calque qui le contient s’active et un carré coloré apparaît en regard du nom. Si plusieurs objets appartenant à différents calques sont sélectionnés, plusieurs carrés colorés apparaîtront.
ASTUCE Si le calque vers lequel vous souhaitez transférer un objet est verrouillé ou masqué, enfoncez la touche ¢ [Ctrl] pendant le glissement, cela évitera d’avoir à déverrouiller ou réafficher le calque (dans le cas du calque masqué, l’objet disparaîtra).
La copie d’une sélection d’objets vers un autre calque Pour obtenir la copie d’une sélection d’objets, pendant son transfert, enfoncez la touche ∏ [Alt] (vous verrez ). Pour réaliser des effets de superposition de photos normales et éclaircies, vous pouvez faire des copies par glissement de calque.
Les manipulations de calques Les manipulations s’organisent à partir de la palette Calques mais certaines d’entre elles peuvent être réalisées à partir de leur menu local : duplication, suppression, fusion… Cet objet bjet sélec sélectionné appartient à cee calque, calque l cee carré carrréé l’indique. l indique l’l’i indique. d
Pour sélectionner tous les objets d’un calque, enfoncez la touche ∏ [Alt] et cliquez sur son nom ; par Ó∏ clic [ÓAlt clic], vous sélectionnerez le contenu de plusieurs calques.
LES REPÈRES ET LES CALQUES Quand vous placez des repères, ils appartiennent au calque actif. Vous pouvez les masquer ou les verrouiller, indépendamment de l’état du calque, à partir des options du calque. Pour faciliter les manipulations des repères, vous pouvez aussi les placer sur un même calque et le nommer repères.
LE CHANGEMENT DE L’ORDRE Dans la palette, le calque situé en haut de la liste correspond à celui du premier plan. En déplaçant un calque dans la liste, vous pouvez modifier l’ordre d’affichage des objets qui se superposent ou se chevauchent. Pour obtenir le nouvel ordre, glissez le calque et amenez-le devant ou derrière le calque voulu. Pour déplacer plusieurs calques, sélectionnez-les par ¢ clic [Ctrl clic] (ou Óclic).
L A DUPLICATION DE CALQUE Pour copier un calque, glissez son nom sur l’icône de la palette Calques. Le calque est copié avec son contenu, il apparaît au-dessus du calque d’origine.
LES TRANSFERTS ENTRE CALQUES Le déplacement d’une sélection d’objets vers un calque
L A FUSION DES CALQUES
Un bloc appartenant à un calque peut être transféré (voire copié) vers un autre calque. Ces opérations sont utiles lorsqu’un objet n’a pas été créé sur le bon calque ou lorsque vous avez travaillé sur plusieurs objets d’un même calque et que leur gestion devient trop délicate. Il devient impératif de répartir les objets sur différents calques que vous aurez pris soin de créer. Quand l’objet est sélectionné, un carré coloré s’affiche dans la palette Calques à droite du nom du calque contenant la sélection. Pour transférer l’objet, glissez ce carré sur le nom du calque de destination (vous verrez ) ; dès que vous relâchez, l’objet change de calque, son cadre de sélection ou son tracé prennent la couleur du nouveau calque — il se place au premier plan de ce calque.
Cette commande permet de convertir un ensemble de calques en un seul contenant tous les objets. Pour obtenir la fusion, sélectionnez les calques à fusionner en cliquant (avec ¢ clic [Ctrl clic] ou Ó clic) sur leur nom. Une fois la sélection des calques réalisée, activez le calque de destination de la fusion en cliquant sur son nom — la plume s’affichera à droite du nom — et lancez Fusionner les calques dans le menu local de la palette.
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I NFO. Quand vous groupez des objets (menu Objet), ils passent sur le même calque (celui contenant l’objet le plus au premier plan).
L A GESTION DU TRAVAIL
L A SUPPRESSION D’UN CALQUE La suppression d’un calque par glissement sur entraîne celle des objets qu’il contient ; un message vous l’indique, sauf si vous effectuez l’opération avec la touche ∏ [Alt] enfoncée. Le menu de la palette Calques comporte également une commande qui permet la suppression des calques vides.
LES CALQUES ET L’EXPORTATION PDF POUR ACROBAT 6 OU + Lors de l’exportation du document InDesign, si vous choisissez le format Acrobat 6 ou + (PDF 1.5 ou +), une option permet de conserver la structure des calques d’InDesign. Dans Acrobat, vous pourrez alors afficher ou masquer certains calques et, ainsi, imprimer plusieurs ul versions d’une mise en page à partir d’un seul document. Dans InDesign, le document comporte des calques masqués. és.
Seuls Acrobat 6 à Acrobat 8 S permettent d’exporter avec cette p perm option de création des calques. o optio
Dans Acrobat (ici, version 8), on peut choisir le calque à afficherr (avec les versions inférieures à 6, les calques masqués sont affichés).
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L A GESTION DES OBJETS
3 La gestion des objets Dans ce chapitre, nous allons aborder la gestion des objets sous tous ses aspects : depuis leur création, leur retouche, leur manipulation (déplacement, copie ou transformation…), leur remplissage, leur coloration, jusqu’à leur gestion par des styles d’objet.
Le dessin des objets Les types d’objets LES BLOCS ET LES FILETS Dans InDesign, on distingue quatre catégories d’objets (également appelés blocs) : les blocs de texte, les blocs d’image, les blocs sans contenu et les traits ou filets. À n’importe quel moment, il sera possible de passer d’un type de bloc à un autre (sauf pour les traits) et ceci de différentes manières : d’une part, le sous-menu Contenu du menu Objet vous propose les trois choix (on retrouve ce sous-menu dans le menu contextuel) ; d’autre part, lors d’une importation, la sélection d’un bloc déjà rempli entraînera sa conversion dans le même type que l’élément importé.
Les contraintes du traçage Si vous n’avez pas relâché le bouton de la souris, en enfonçant certaines touches, vous pouvez déplacer le bloc, le transformer en carré (ou en cercle), etc. ; cependant, il ne faudra relâcher cette touche qu’après le bouton de la souris. Le tableau ci-dessous indique les manipulations possibles ; elles sont communes à Photoshop et Illustrator. Touches utilisées
Espace ∏ [Alt]
Action sur le bloc Déplacement possible. Centrage du bloc.
Ó
Bloc carré ou circulaire.
Ó∏ [ÓAlt]
Centrage du bloc carré.
ASTUCE Si, au lieu de glisser, vous cliquez sur la page (avec ou sans ∏ [Alt] ), une fenêtre permettra de spécifier les dimensions du bloc qui va être créé.
En cliquant avec l’outil de ccréation, on affiche cette créat de dialogue pour b boîte régler ré égle les dimensions du bloc. b bloc
LES OUTILS DE DESSIN Vous disposez de nombreux outils pour dessiner les blocs : un outil pour les rectangles , un pour les ovales (ou ellipses) , un pour les polygones et étoiles , deux outils de dessin libre (plume et crayon ), un pour les traits , sans oublier l’outil Texte avec lequel il est possible de tracer des blocs de texte rectangulaires.
La création de blocs géométriques LES FORMES SIMPLES : RECTANGLES ET OVALES Pour créer un bloc rectangulaire (ou ovale), sélectionnez ( ) ou ( ). Amenez l’outil sur la page et fail’outil tes-le glisser pour dessiner l’objet voulu. Les objets dessinés avec les outils de création de blocs graphiques (non attribués , …) sont dotés d’attributs (contour noir 1 pt par défaut) et du style d’objet [Bloc graphique standard] alors que les blocs d’image ou blocs de texte ( , ) en sont systématiquement dépourvus, c’est le style [Sans] qui leur est affecté.
L’utilisation des repères Dans la page, les repères de marge (ou de règle) sont visibles. Vous pouvez mettre à profit leur présence pour dessiner un bloc. En effet, quand vous placez l’outil de dessin ( ) sur le repère, son changement d’aspect ( ) indique la superposition avec le repère (s’il est magnétisé) ; de même, lors du glissement de l’outil jusqu’à un autre repère, le magnétisme des repères permet d’arrêter précisément le glissement de l’outil sur le repère choisi.
Les réglages de position et de dimensions Quand vous placez l’outil sur la page, vous pouvez repérer ses coordonnées dans la palette Contrôle. De même, pendant le traçage, vous contrôlez la taille du dessin dans cette palette (ou la palette Transformation). La précision g g augmente avec le taux d’affichage.
Pendant la création, réation, on voit réation voit ici iicci la position p du curseur ett là, l les là dimensions du bloc.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3 Quand le bloc est dessiné, vous pouvez régler ses dimensions et sa position (par rapport à l’origine des règles) à l’aide de la palette Contrôle (ou de la palette Transformation). Avant d’entrer des valeurs dans les cases X, Y, L et H, il est nécessaire de définir un point de référence sur l’objet en à cliquant sur l’un des neuf points visualisés dans l’icône gauche dans la palette Contrôle. En effet, les coordonnées du bloc sont définies d’une part par rapport à ce point de référence, et d’autre part, c’est ce point qui reste fixe quand vous changez les dimensions de l’objet. Pour activer une case, cliquez sur son intitulé (X, Y, L ou H) et saisissez directement la nouvelle valeur (elle remplacera l’ancienne). Passez d’une case à la suivante (ou à la précédente) en tapant † [Ÿ] (ou Ó† [ÓŸ]). Dans chaque case, vous pouvez employer n’importe quelle unité ou % et faire des opérations sur les données (+, –, *, /). Quand une valeur est saisie, n’oubliez pas de la valider en tapant ‚ (Entrée) pour l’appliquer à l’objet ; pour la tester et garder la case active, tapez Ó ‚. ASTUCE Si vous n’avez pas cliqué sur l’icône , vous pouvez cependant conserver les proportions du bloc (rapport L/H), en saisissant la valeur de L (ou H) puis en validant par ¢ ‚ [Ctrl ‚]. InDesign adapte la valeur de H (ou L) pour conserver le rapport L/H constant (il y a homothétie). Pour obtenir une copie, ajoutez la touche ∏ [Alt] lors de la validation.
Les rectangles arrondis Ils ne s’obtiennent pas directement : une fois le rectangle dessiné, lancez Options d’arrondis du menu Objet et choisissez l’option Arrondis. Saisissez une valeur et contrôlez l’aspect avec l’aperçu.
Ces C es a arrondis se règlent avec cette commande du menu Objet. comm m Avec cette icône,, le bloc devient également arrondi. égal
Design offre également la possiInDesign bilité de convertir un bloc rectangulaire en bloc arrondi en cliquant de la palette Pathsur l’icône finder (le réglage de l’arrondi s’effectue dans la fenêtre de la commande Options d’arrondis).
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Le changement de contenu Quand le bloc est dessiné, il apparaît sélectionné. Vous pouvez passer d’un type de bloc à l’autre à l’aide de la rubrique Contenu du menu contextuel (ctrl clic [clic droit]) ou par le menu Objet. En effet, le sous-menu Contenu propose trois options : Image, Texte et Non attribué (sans contenu), Quand vous changez le type du bloc, celui-ci conserve ses attributs de coloration.
Avec ces commandes, on change le contenu.
De gauche à droite : bloc de texte, bloc d’image et non attribué.
Vous pouvez obtenir un bloc de texte à partir d’un bloc d’un autre type en cliquant simplement dessus avec l’outil Texte. De même, lors d’une importation, le bloc sélectionné prend le type correspondant à l’élément importé.
LES BLOCS DE TEXTE AVEC L’OUTIL TEXTE Quand vous souhaitez saisir un texte, vous devez obligatoirement sélectionner un bloc à cet effet. Si aucun bloc n’est disponible, utilisez l’outil Texte pour le créer ; en effet, cet outil se manipule par glissement comme dans le cas d’une création avec l’outil Rectangle. À l’issue du traçage, le point d’insertion clignote en haut du tracé, vous pouvez alors commencer votre saisie. ATTENTION Si vous dessinez le bloc sur un bloc de texte déjà présent, le curseur devient (et non pas ). Il faut commencer à dessiner à l’extérieur du bloc puis, sans relâcher la souris, ramener le tracé à l’endroit voulu en enfonçant la touche Espace.
LES FORMES POLYGONALES : POLYGONES ET ÉTOILES InDesign propose deux formes particulières de tracé : des polygones et des étoiles. Avant d’utiliser cet outil, vous devez le configurer pour qu’il dessine des polygones ou des ou . étoiles, en effectuant un double-clic dans l’outil Une fenêtre s’affiche : par défaut, elle propose un polygone à six côtés (hexagone).
L A GESTION DES OBJETS Pour dessiner des polygones autres que des hexagones, ne changez que le nombre de côtés. Pour dessiner des étoiles, réglez le nombre de côtés (il sera égal au nombre de branches de l’étoile) et la valeur Marge en étoile. Cette dernière définit le rayon intérieur de l’étoile en réduction par rapport au rayon extérieur. Par exemple, une valeur de 50 % donnera un rayon intérieur égal à la moitié du rayon extérieur ; une valeur de 100 % donnera un rayon nul. Pour créer le bloc, glissez l’outil sur la page ; si vous enfoncez la touche Ó, le polygone (ou l’étoile) s’inscrit dans un carré.
Pour obtenir des traits verticaux, horizontaux ou multiples de 45°, cliquez en maintenant enfoncée Ó. Pour fermer un tracé, amenez la plume sur l’origine du tracé (elle change d’aspect ) et cliquez dessus. La plume redevient . ASTUCE Pendant le traçage, il faut cliquer pour placer un point. Si, au lieu de cliquer, vous pressez sans bouger la souris, le point apparaît et vous pouvez alors changer sa position en maintenant la touche Espace enfoncée. Dès que vous relâchez Espace, vous devez relâcher le bouton de la souris (ou ne plus la déplacer) sous peine de créer une tangente.
LES ASPECTS DE LA PLUME Quand vous utilisez la plume, son aspect vous renseigne sur sa fonction en cours (voir le tableau ci-dessous). Par double-clic sur l’outil Polygone, olygone l e, on accè accède è à des réglages, on peut ainsii dessiner des éto étoiles. A STUCE Pour changer le nombre de côtés du polygone pendant sa création, utilisez les touches fléchées (vers le haut pour augmenter et le bas pour réduire) ; pour modifier les marges de l’étoile, utilisez les flèches gauche et droite. Cependant, déplacez la souris en même temps que vous tapez la touche pour que le changement soit pris en compte.
Le dessin à la plume Le travail de la plume est le même que dans Illustrator ; il permet deux types de tracés : rectilignes et curvilignes. Les premiers s’obtiennent en dessinant par clics successifs, alors que les seconds se dessinent par glissement de la souris. Le tracé obtenu peut être ouvert et constituer un filet ou être fermé pour recevoir un texte ou une image.
LES TRACÉS RECTILIGNES Les tracés créés avec la plume peuvent être ouverts (segment simple ou ligne brisée) ou fermés (polygones). Pour créer un tracé rectiligne, cliquez à différents endroits de la page : InDesign place un point d’ancrage à chaque clic et les relie par une ligne. Pour arrêter le tracé, enfoncez la touche ¢ [Ctrl] et cliquez sur une zone vide de la page (vous pouvez aussi cliquer sur l’outil Plume ou changer d’outil).
Aspect
Fonction de la plume Prête à dessiner (pour créer un nouveau tracé). En cours de traçage. Sur une extrémité (pour reprendre).
ou
Sur l’origine du tracé (pour fermer).
LES TRACÉS COURBES Ils s’obtiennent par glissements successifs de la plume et non plus par des clics. Chaque segment d’une courbe est défini par deux points d’ancrage ; entre ces derniers, le tracé peut prendre des allures différentes. Les tangentes créées en ces points lors du traçage indiquent la direction du tracé au voisinage de chaque point.
L’allure de ces tracés est es liée à l’orientation on n et à la longueur ueurr des lignes llignes directrices ou tangentes. gentes.
Voici le principe en cinq images : 1
2
On active l’outil, l on clique : un n point apparaît ; on s’écarte…
3
4
…on clique, un trait apparaît ; on s’écarte, on clique, un autre trait apparaît…
5
…on arrête par ¢ clic [Ctrl clic].
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3 Pour obtenir ces points d’ancrage, appelés inflexions ou points lisses, il ne faut pas cliquer aux différents points, mais glisser dans la direction que doit prendre la future courbe. En effet, quand vous glissez la souris, InDesign crée une tangente dont vous pouvez changer l’orientation et la longueur à volonté. C’est plus tard que le tracé apparaîtra (quand InDesign reliera les points d’ancrage). Voici le principe en quelques images : 1
Les inflexions : elles donnent un tracé aux courbures régulières et plutôt arrondies (sans cassure). Elles s’obtiennent par glissement de l’outil Plume ; une ellipse en comprend quatre. Les sommets : ils indiquent un changement de direction (cassure) dans le tracé. Les tangentes ne sont pas alignées. Il n’est pas possible d’obtenir directement un sommet avec la plume. Il faut impérativement passer par une inflexion pour avoir deux tangentes, puis changer l’orientation de l’une d’entre elles par conversion.
2
Voici les détails de la méthode permettant d’obtenir le tracé ABC ci-dessous, le point B est un sommet : A
A
B
Pour créer un segment entre A et B : en A, on glisse la souris pour créer une tangente. 3
B
C
On désire créer ce tracé avec un sommet en B.
On relâche et on place la plume en B.
A
B
1. Commencez par tracer le segment AB. Quand la ligne directrice en B devient visible, enfoncez la touche ∏ [Alt]
4
et glissez la souris pour réorienter la ligne directrice. 1
C A
B
En B, on glisse la plume pour créer une tangente.
Quand on relâche, le tracé apparaît, on peut alors aller créer un autre point (en C).
Comme pour les traits rectilignes, pour arrêter le tracé sans le fermer, enfoncez la touche ¢ [Ctrl], écartez la plume du tracé et cliquez sur l’écran : la plume reprend l’aspect . En revanche, pour fermer un tracé courbe, approchez la plume du premier point du tracé (elle devient ), glissez-la sur le point pour faire apparaître les tangentes, puis relâchez quand le tracé a l’aspect voulu. ASTUCE Quand vous glissez la plume et que les tangentes apparaissent, comme dans Illustrator, vous pouvez déplacer le point d’ancrage en enfonçant la touche Espace ; dès que vous relâchez cette touche, ce sont les tangentes que vous modifiez à nouveau. De plus, pour obtenir des tangentes orientées selon un angle multiple de 45°, enfoncez Ó pendant la modification des tangentes.
LES TRACÉS AVEC SOMMETS Dans un tracé, on peut distinguer trois types de points d’ancrage : les points simples, les inflexions (ou points lisses) et les sommets (ou points anguleux). Chacun d’eux possède des propriétés différentes. Les points simples : ils sont obtenus avec l’outil Plume par un clic — un rectangle en contient quatre. Ce type de point d’ancrage ne comporte pas de tangente.
48
A
On crée le segment AB, avec ses lignes directrices en B.
B
2. Quand la ligne directrice a la direction voulue, relâchez la souris et la touche ∏ [Alt] : le segment AB se colorie et la plume redevient
prête à poursuivre le dessin. p
2
Avec ∏ [Alt], on réoriente la l ligne directrice… A
B
3. Placez la plume en C pour y créer un nouveau point : glissez la souris pour dessiner les lignes directrices de la nouvelle inflexion. Quand vous relâchez, le tracé se dessine entre B et C. 3
C
…on a relâché, on peut eut alo alors aller créer un autre point en C.
Par glissement, on a créé le point d’inflexion en C.
LE TRAVAIL DU TRACÉ Le prolongement d’un tracé Si vous désirez poursuivre un tracé ouvert (pour le fermer par exemple), il faut impérativement partir d’une extrémité de ce tracé et glisser la plume sur cette dernière pour faire apparaître des tangentes. Quand la plume ( ) est placée même si les points du sur une extrémité, elle devient tracé ne sont pas sélectionnés.
L A GESTION DES OBJETS
A STUCE Si vous souhaitez que le point B possède deux tangentes (afin de pouvoir modifier ultérieurement la partie BC), au lieu de cliquer sur B, enfoncez la touche ∏ [Alt] et glissez la plume dans la direction de C pour faire apparaître une tangente, puis cliquez en C. L’aspect de la plumee ind iindique ique s’il y aura continuité continu dans le tracé. ASTUCE Si vous placez la plume sur une extrémité de tracé, elle devient pour vous indiquer que le tracé se prolonge. Si vous souhaitez démarrer un nouveau tracé indépendant, enfoncez la touche Ó pour que la plume devienne .
La combinaison : droites et courbes
La fermeture d’un tracé Pour obtenir la fermeture d’un tracé en cours, amenez la souris sur l’origine du tracé (le curseur devient ) : il y aura fermeture si vous cliquez ou glissez la souris sur ce point. Si vous enfoncez la touche ∏ [Alt] et glissez la plume sur le point de fermeture, vous obtiendrez un sommet (une tangente indépendante apparaîtra).
De la droite à la courbe On veut créer le tracé ABC ci-dessous, la partie AB est rectiligne, la partie BC est curviligne, voici la méthode en images. 1
2
B
B
C
A
I NFO. La palette Pathfinder propose une icône : , sur laquelle il suffit de cliquer pour fermer un tracé ouvert. On retrouve cette possibilité avec l’option Fermer le tracé (menu Objet/Tracés).
C
A Avec cette option, on ferme A facilement un tracé. fa facile On place la plume sur l’extrémité B…
… on la glisse pour créer la tangente.
3
4
B
B
C
A
Si vous n’êtes pas familiarisé avec le maniement de la plume, vous pouvez, dans un premier temps, dessiner par des clics successifs pour créer un polygone, puis, dans un second temps, effectuer des retouches sur le tracé, c’est-à-dire convertir les pointes pour adoucir les angles du tracé (voir plus loin les retouches de tracé) ou utiliser le crayon, dont nous allons examiner le principe dans les paragraphes qui suivent.
C
A
On relâche, on place la plume en C pour la glisser de nouveau pour créer une inflexion.
De la courbe à la droite On veut dessiner le tracé ABC de la figure n° 1 ci-dessous. La partie AB est curviligne, la partie BC est rectiligne, voici la méthode en images. 1
C A
B
A
B
On trace la courbe AB par glissements… C
B
C
A
On veut dessiner ce tracé ABC. 3
2
4
A
C
Le dessin au crayon LE PRINCIPE DU DESSIN Pour activer l’outil Crayon appuyez sur N. Pour dessiner, glissez sur la feuille, le crayon affiche un × ( ) : un tracé pointillé apparaît, il se transforme en tracé continu dès que vous relâchez le bouton de la souris. Ce tracé comporte des petits carrés colorés (ce sont les points d’ancrage du tracé) et l’intérieur du tracé se remplit de la couleur de fond définie dans la palette Outils ou dans la palette Couleur ; le contour prend l’aspect défini dans la palette Contour.
B
…on clique en B (suppression du point directeur), puis en C.
49
I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3
LES RÉGLAGES DU CRAYON
NOUVEAU TRACÉ OU RETOUCHES AVEC LE CRAYON ?
L’aspect du tracé dépend du réglage de l’outil. En effet, avant de commencer à dessiner, il convient de régler les préférences du crayon (on y accède par un double-clic sur l’outil). La fenêtre des préférences comporte deux catégories de réglages : la première, Tolérances, concerne l’aspect du tracé, la seconde, Options, définit le comportement du tracé et du crayon une fois le dessin terminé.
Quand un tracé est sélectionné et l’option Modifier les tracés sélectionnés des préférences de l’outil Crayon cochée, vous pouvez changer son aspect en repassant le crayon le long du tracé : un nouveau tracé remplacera automatiquement le précédent. En opérant plusieurs passages, vous pouvez ajuster l’aspect du dessin jusqu’à obtenir l’effet souhaité. ATTENTION Le glissement du crayon doit impérativement démarrer à proximité du contour du tracé (le crayon perd son x) et s’arrêter à un autre endroit mais toujours sur ce contour. Si vous relâchez hors du tracé, une partie de ce dernier risque de disparaître. Entre deux glissements, vous pouvez changer le réglage du crayon (pour lisser davantage, par exemple).
LES TRACÉS MULTIPLES RAPPROCHÉS
Les réglages pour our les retouches retouc es du tracé.
Les réglages d’as d’aspect d as du tracé.
L’aspect du tracé Les réglages Fidélité et Lissage prédéterminent la précision du tracé. Si la fidélité est faible, le tracé comporte beaucoup de points de manière à être le plus proche possible du chemin réellement suivi par le crayon, alors qu’avec une valeur forte, le tracé s’en éloigne davantage et apparaît simplifié avec des courbures adoucies.
Si vous souhaitez créer un second tracé proche du premier, vous devez désélectionner le dernier tracé. Pour cela, enfoncez la touche ¢ [Ctrl] et cliquez hors du tracé : une fois la touche relâchée, le crayon redevient . Pour réaliser des tracés très proches les uns des autres, décochez l’option Modifier les tracés sélectionnés afin que l’outil Crayon reste actif ( ) et ne dessine que de nouveaux tracés sans retoucher celui qui vient d’être réalisé. Il est possible de trouver un compromis en choisissant la distance à partir de laquelle le crayon en « mode retouche » se désactive au profit du crayon en « mode dessin ». Cette distance se définit dans la case Dans les limites de dans l’option Modifier les tracés sélectionnés.
LES TRACÉS FERMÉS Pour obtenir une coloration correcte d’un objet, son tracé doit être fermé. Pour fermer lors de la création, enfoncez ∏ [Alt], le crayon devient ,, amenez-le alors sur le point de départ du tracé. Si vous relâchez la souris avant le point d’origine, InDesign ferme le tracé par une ligne droite. De gauche à droite : Fidélité 0 : 2,5 ; 10 et 20. Lissage : 0 ; 0 ; 50 et 100. En pointillés, le chemin réellement suivi par le crayon.
INFO. Comme indiqué précédemment, la palette Pathfinder propose l’icône : ; un clic dessus permet de fermer un tracé par un segment droit. L’option Fermer le tracé (menu Objet/Tracés) offre la même possibilité.
Les réglages pour les retouches du tracé Dans les préférences de l’outil Crayon, si l’option Conserver la sélection est cochée (elle l’est par défaut), le tracé réalisé reste sélectionné, ce qui est indispensable pour le retravailler en glissant à nouveau le crayon dessus — l’outil prend l’aspect suivant : . Cependant, ceci n’est possible que si Modifier les tracés sélectionnés est également cochée.
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LE PROLONGEMENT D’UN TRACÉ Pour prolonger un tracé, il n’est pas utile de le sélectionner, amenez le crayon près d’une extrémité : quand il devient (sans x) commencez à glisser le crayon, il y aura prolongement du tracé. Si le tracé n’était pas sélectionné, il n’apparaîtra pas sélectionné à l’issue de l’opération.
L A GESTION DES OBJETS
LE RACCORDEMENT DE DEUX TRACÉS Pour relier deux tracés, inutile de les sélectionner : dessinez depuis une de leurs extrémités, puis enfoncez la touche ¢ [Ctrl] et glissez le crayon (devenu ) sur une partie du second tracé à raccorder : dès que vous relâchez la souris, les deux tracés sont reliés et ne font plus qu’un seul tracé ouvert. Pour fermer ce tracé ouvert, vous devez maintenant partir d’une des extrémités du tracé ouvert, puis, quand le tracé apparaît, enfoncer la touche ∏ [Alt] (le crayon se transforme en ) et rejoindre l’autre extrémité.
Le dessin de traits ou de filets Les traits ou filets s’obtiennent à partir de trois outils : Plume, Crayon et Trait. Ce dernier ne crée que des tracés ouverts et bénéficie d’options par l’ajout de certaines touches du clavier : Touches utilisées
Espace ∏ [Alt] Ó Ó∏ [ÓAlt]
On glisse lle crayon depuis depuii une d extrémitéé de l’un des trac tracés.
On enfonce ¢ [Ctrl] et on glisse gliss li jusqu’à l’autre tracé.
Action sur le trait Déplacement possible. Centrage du trait. Trait selon un angle multiple de 45°. Centrage et angle multiple de 45°.
Avant d’entamer le dessin du trait (quel que soit l’outil), désélectionnez tous les tracés (en tapant Ó¢A [ÓCtrl A]) et réglez l’aspect du futur dessin dans la palette Contrôle ou Contour si vous souhaitez ajuster certaines options des traits (extrémité, sommet, type…). Ces réglages deviendront les réglages par défaut des futurs dessins.
Les conversions de formes et de traits Quand on lâche, he, les h l tracés tracés é sont reliés, on a obtenu un seul tracé (ouvert).)
Pour le fermer, cette fois f i on glisse depuis une extrémité puis on enfonce ∏ [Alt].
L’EFFACEMENT D’UN TRACÉ Pour effacer un tracé que vous venez de terminer (encore sélectionné), tapez la touche Efface ou lancez Annuler (menu Édition ou ¢ Z [Ctrl Z]).
LES CONVERSIONS DE FORMES La forme d’un bloc quelconque peut être transformée en une autre forme. Pour ce faire, cliquez sur l’une des icônes de la deuxième ou troisième ligne de la palette Pathfinder, ou utilisez le sous-menu Convertir la forme du menu Objet. La conversion de forme s’effectue avec ces icônes ou ces commandes.
LES PRÉFÉRENCES DES TRACÉS Avant de créer un bloc avec la plume, le crayon ou un des outils de dessin de forme vectorielle (rectangle, ellipse…), définissez certaines caractéristiques du futur tracé (sauf pour les qui demeurent toujours sans fond ni contour). blocs Pour cela, activez l’outil Flèche noire (en tapant V, par exemple), désélectionnez tous les tracés et définissez dans la palette Outils, la palette Couleur et la palette Contour les attributs des futurs tracés. Il est possible d’englober dans ces attributs de coloration d’autres réglages de la palette Effets (tels que l’ombre portée, la transparence, le contour progressif…) ainsi que l’Habillage (menu Fenêtre/Habillage de texte). I NFO. Depuis la version CS2, il est possible de créer des Styles d’objet, qui à l’instar des Styles de paragraphe, permettront une mise en forme rapide des blocs. Ainsi, pour définir l’aspect par défaut, il est souvent préférable de modifier le style nommé [style graphique standard].
Certaines conversions nécessitent un réglage de l’aspect apparaît selon les du futur bloc. En effet, le polygone réglages définis dans la fenêtre de création du polygone (affichée par double-clic sur l’outil ) ; le rectangle arrondi et ) prend l’aspect spécifié dans la ou en biseau ( , commande Options d’arrondis (menu Objet), mais il reste modifiable en relançant Options d’arrondis.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3
LES CONVERSIONS DE TRAITS En cliquant sur l’une des sept icônes de formes de la palette Pathfinder, un tracé peut être converti en forme (sauf s’il est vertical ou horizontal). De même, il peut devenir rectiliou gne (vertical, horizontal ou oblique) en cliquant sur . Ces conversions sont accessibles via le sous-menu sur Convertir la forme du menu Objet.
Par la suite, ce bloc peut être déformé, se voir appliquer certains attributs typographiques (alignement, marge, décalage vertical…) ou être rempli par une image. Nous reparlerons des objets ancrés à la fin de ce chapitre.
Les blocs spéciaux LES BLOCS PAR VECTORISATION D’UN TEXTE InDesign est capable de vectoriser un texte pour le transformer en tracé. Cette opération peut s’effectuer de deux manières avec la commande Vectoriser du menu Texte : à partir d’une sélection avec l’outil Flèche ou à partir d’une sélection avec l’outil Texte.
La vectorisation avec l’outil Flèche : le tracé libre Si vous effectuez la vectorisation en ayant sélectionné le texte (ou plus exactement le bloc de texte) avec l’outil Flèche, le tracé correspondant au texte vectorisé remplacera le bloc de texte. L’ensemble des blocs obtenu est libre. En utilisant l’outil Flèche blanche, il est alors possible de déformer le dessin des lettres.
O sélectionne On sélectio le bloc et on vectorise. b
On peut déformer certaines lettres, les colorer…
Cette par C tt lettrine l tt i e estt constituée con tit é d’un d’ bloc bl ancréé obtenu bt vectorisation (on peu peut facilement le remplir d’une image). ASTUCE Si vous lancez la vectorisation en ayant enfoncé la touche ∏ [Alt] , vous conservez le texte original.
LES OBJETS PAR TRANSFERT DEPUIS ILLUSTRATOR Si vous transférez un tracé d’Illustrator vers InDesign par copier-coller ou par glisser-déposer, vous obtenez un bloc complètement éditable comme s’il avait été réalisé dans InDesign. Cette technique peut être intéressante pour préparer dans Illustrator des blocs difficiles à obtenir dans InDesign du fait de l’absence de certaines fonctions de traitements de tracés vectoriels, ou pour placer une illustration dans une mise en page sans qu’elle soit liée à un fichier. ATTENTION Le collage ou le glissement sont soumis à des réglages dans les préférences des deux logiciels. En effet, l’objet n’apparaît modifiable dans InDesign (c’est-à-dire vectoriel) que si, dans Illustrator, l’option AICB est cochée à la rubrique Gestion des fichiers et presse-papiers des préférences du logiciel (valeur par défaut). En revanche, si l’option PDF est cochée dans Illustrator, dans les préférences d’InDesign (Gestion du presse-papiers), l’option Préférer le PDF au collage ne doit pas être cochée (c’est le cas par défaut).
La vectorisation avec l’outil Texte : l’objet ancré Si vous sélectionnez le texte (ou une partie d’un texte) avec l’outil Texte, la vectorisation donnera un objet ancré dans le texte. C’est un bloc (ou ensemble de blocs s’il y a plusieurs lettres vectorisées) qui est « emprisonné » dans le bloc de texte et dont la position reste la même par rapport au reste du texte qui n’a pas subi de vectorisation.
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Les préf préférences d’Illustrator et d’Illustra celles ll d’InDesign. d’
L A GESTION DES OBJETS Ce type de transfert permet d’avoir dans InDesign, une forme particulière qui sera manipulable et pourra être traitée (couleur, contour, effets, transparence…) sans être obligé de repasser dans Illustrator.
Le dessin ddans Ill Illustrator t t ett son collage ll dans d InDesign I D i : on obtient bti t un groupe dont on peut sélectionner chaque partie.
Les constituants du collage Les couleurs du collage On a réduit l’opacité de cet élément.
Si les documents Illustrator et InDesign n’utilisent pas le même modèle colorimétrique (RVB ou CMJN), les couleurs des objets peuvent être différentes d’un logiciel à l’autre. Pensez à synchroniser les couleurs avec Bridge. Les éléments transparents et mode de fusion Lorsque le document Illustrator comporte des éléments transparents ou auxquels vous avez affecté des modes de fusion, l’aspect de l’objet collé dans InDesign dépend du réglage des préférences d’Illustrator :
– si l’option Conserver les tracés est cochée, les réglages de transparence ne sont pas conservés mais les tracés restent intacts ;
– si c’est l’option Conserver l’aspect… qui est cochée, l’aspect du collage dans InDesign reflète le réglage de transparence d’Illustrator mais les tracés sont redécoupés pour respecter les colorations de chaque partie (c’est l’aplatissement des transparences).
On perd la transparence, rence, si on rence transfère en conservant rvant les tracés. tra
Il y a découpe écoupe des tracés si on conserve nserve l’aspect.
Pour pallier ce problème, il peut être souhaitable d’effectuer un collage avec l’option Conserver les tracés puis de redéfinir pour certaines parties du dessin les réglages de transparence dans InDesign et leur redonner l’aspect qu’elles avaient dans Illustrator. On rétablit facilement transparence rétabllit fac ent la l transparen ce à partir des tracés conservés. d tra servés.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3 Les éléments bitmap
L A CRÉATION DU BLOC LORS DE L’IMPORTATION
Si l’élément Illustrator contient des effets bitmap (ombre portée, par exemple), les parties correspondantes ne seront plus éditables dans InDesign (elles apparaissent en tant qu’éléments bitmap donc avec un fond blanc). Pour obtenir une impression de qualité, pensez à régler les paramètres de pixellisation d’Illustrator avec une résolution suffisamment élevée (300 ppp). Vous pouvez également supprimer ces ombres et les réaffecter dans InDesign à partir de la palette Effets.
Quand vous importez un texte ou une image, vous pouvez le placer dans un bloc, vous pouvez néanmoins dessiner un bloc rectangulaire par glissement de l’icône de placement ( ou ) qui apparaît lors de l’importation. En cours de création, ce bloc peut être déplacé en enfonçant Espace. Si, au lieu de glisser l’icône, vous cliquez sur l’écran, vous obtiendrez un bloc qui prend la dimension exacte de l’image dans le cas d’une importation d’image ou un bloc qui prend les dimensions du rectangle d’empagement dans le cas d’une importation de texte. Si vous souhaitez annuler l’importation, cliquez sur l’outil Flèche avec l’icône de placement ou mieux, tapez la touche esc [Echap].
LE BLOC PAR IMPORTATION D’UN DÉTOURAGE DE PHOTOSHOP Si vous avez réalisé un détourage dans Photoshop à l’aide d’un masque de fusion ou vectoriel, vous pouvez utiliser ce détourage pour obtenir un bloc ayant la forme du masque. Voici les méthodes qui diffèrent selon la nature du masque. Dans Illustrator, o on a affecté une or, or un ne ombre portée.. Dans InDesign, elle apparaît avec la l résolution l n des effets p pixellisés d’Illustrator.r.
Le bloc à partir du masque vectoriel de Photoshop Dans Photoshop, créez un document détouré en utilisant un masque vectoriel sur une photo ou à l’aide d’un calque de forme vectorielle. Affichez la palette Tracés et doublecliquez sur le tracé pour le nommer (ce qui aura pour effet de le dupliquer). Définissez ce tracé en tant que masque en lançant la commande Masque du menu de la palette Tracés et enregistrez le document au format Photoshop.
On peut supprimer er l’ombre et la réappliquer au groupee (ou (ou à une partie) par les l effets ff d’InDesign. d Dans Photoshop, on nomme omme le l tracé t é du d masque vectoriel et on définit ce dernier comme masque avec cette commande. ande d . ASTUCE Le transfert vers InDesign d’une forme créée dans Photoshop n’est pas possible. Il faut d’abord faire un collage de la forme dans Illustrator puis un transfert de ce dernier vers InDesign. Vous pouvez également utiliser la technique d’importation du masque de détourage décrite ci-après.
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Dans InDesign, importez le document Photoshop : l’image détourée apparaît. Pour qu’elle se place dans un bloc qui a la forme du tracé vectoriel de Photoshop, lancez la commande Convertir le masque en bloc depuis le menu contextuel. Par la suite, vous pourrez éventuellement effacer l’image pour ne garder que le bloc.
L A GESTION DES OBJETS On importe le document Photoshop.
Les retouches de tracés Les retouches se divisent en deux catégories : celles de type plume réalisées sur un tracé en cours fait à la plume, un tracé terminé ou un bloc de forme prédéfinie, et celles de type retouches spéciales au crayon. Nous parlerons plus loin d’autres manipulations réalisables avec la palette Pathfinder.
On obtient le O le bloc avec cette ccommande. On peut p supprimer er l’image pour ne garder que le bloc.
Le bloc à partir du masque de fusion de Photoshop Si, dans Photoshop, vous n’avez pas renommé le tracé du masque vectoriel ou si vous avez utilisé un masque de fusion pour détourer l’image, vous pouvez néanmoins obtenir le bloc qui aura l’aspect de la zone transparente du document. Pour cela, importez dans InDesign le document Photoshop, lancez la commande Masque du menu Objet et choisissez le type Couche alpha : l’option Transparence s’active alors automatiquement ; si des zones transparentes se situent à l’intérieur de l’image détourée, cochez l’option Inclure les contours intérieurs. Une fois le masque créé, lancez Convertir le masque en bloc à partir du menu contextuel.
LES RETOUCHES CLASSIQUES À LA PLUME Pendant l’élaboration d’un bloc avec l’outil Plume, vous pouvez déplacer un point en cours de réalisation en enfonçant la touche Espace. En revanche, si vous avez relâché la souris ou s’il s’agit d’un point déjà dessiné, vous pouvez le déplacer sans changer d’outil. En effet, l’outil Plume change de fonction selon sa position ou en enfonçant certaines touches (¢ [Ctrl] ou ∏ [Alt]), il permet d’effectuer certaines manipulations. Elles sont résumées dans le tableau ci-dessous. Les outils de retouches de type plume : ils sont accessibles directement avec la plume et certaines touches.
SSelon sa position, la plume me permet de supprimerr perm d’ajouter un point.. ou d’a On crée le masque (donc le bloc) à partir des zones transparentes.
Retouche
Outil ou Plume + touche
Sélection
Flèche blanche Plume et ¢ [Ctrl]
Déplacement
Flèche blanche Plume et ¢ [Ctrl]
Ajout Plume + de point Plume Suppression Plume – de point Plume
Dans tous les cas, avec ¢ [Ctrl], elle permet de le déplacer..
Aspect selon la position de l’outil sur le tracé sur le fond du tracé. sur un point. sur le tracé. sur un point. sur une tangente. sur un segment. n’importe où. sur le tracé uniquement. n’importe où.
Position et action de l’outil Cliquez sur le tracé ou son fond (si le bloc a un fond coloré). Glissez le point 1, la tangente ou le segment. Cliquez sur le segment ou glissez 2 l’outil sur le segment 3. Cliquez sur le point.
sur un point uniquement. … /…
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3
Retouche
Outil ou Plume + touche
Conversion de point Conversion directeur de point Plume et ∏ [Alt]
Aspect selon la position de l’outil sur le tracé
n’importe où (même hors du tracé).
Position et action de l’outil Cliquez sur le point => d’ancrage (carré) Pressez sur le point => puis glissez-le Pressez sur l’extrémité de la => tangente (rond) puis glissez-la
disparition des tangentes. apparition de tangentes. modification de tangentes.
1. Il est possible de déplacer le point avec les touches fléchées du clavier. Ce déplacement, défini dans les Préférences/Unités et incréments, devient 10 fois plus grand avec Ó. 2. Si vous cliquez, le point apparaît ; si vous glissez l’outil sur le tracé, le point apparaît également mais ses tangentes sont visibles et modifiables. 3. Si vous enfoncez la touche Espace, vous pourrez glisser le point qui apparaît.
LES RETOUCHES SPÉCIALES DE TYPE CRAYON À l’instar d’Illustrator, InDesign propose une autre série de retouches de tracé applicables à tout type de tracé. Ces retouches peuvent s’effectuer de trois manières : avec l’outil Crayon, avec l’outil Arrondi ou encore avec l’outil Gomme s’il s’agit de supprimer une partie de tracé.
ATTENTION Le glissement du crayon doit démarrer sur le contour du tracé et s’arrêter à un autre endroit mais toujours sur ce contour. En effet, si vous relâchez hors du tracé, une partie de ce dernier risque de disparaître ou le bloc peut prendre un aspect particulier (voir ci-dessous).
Les outils de retouches.
Les retouches avec l’outil Crayon Quand un tracé est sélectionné et l’option Modifier les tracés sélectionnés des préférences de l’outil Crayon cochée, vous pouvez changer son aspect en repassant le crayon le long de son dessin : un nouveau tracé remplacera automatiquement le précédent ; en opérant plusieurs passages, vous pouvez ajuster la forme du dessin.
On n amène le crayon crayo sur le tracé à modifier. modif
On n glisse le crayon en terminant son chemin su sur le tracé.
Le bloc prend une allure correcte si on termine sur le tracé.
Il prend une allure imprévisible si on le termine hors du tracé. ASTUCE Avant de retoucher le tracé, vous pouvez afficher les préférences de l’outil Crayon pour changer les valeurs de tolérances ; ceci permet d’obtenir, sur un même tracé, des parties plus ou moins lissées.
Le bloc se modifie automatiquement.
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L A GESTION DES OBJETS
Les retouches avec l’outil Arrondi
Les retouches avec l’outil Gomme
Vous pouvez activer l’outil Arrondi de deux façons : depuis la palette Outils par ∏ [Alt] clic sur l’outil Crayon ou sur la page, à partir de l’outil Crayon (ou l’outil Gomme) qui devient outil Arrondi en maintenant ∏ [Alt] enfoncée. Ici aussi le tracé doit être sélectionné, mais comme l’outil n’agit que sur un tracé à la fois, vous pouvez le faire en tapant ¢ A [Ctrl A].
L’outil Gomme s’active par ∏ clic [Alt clic] sur l’outil Arrondi. Si vous la glissez le long d’un tracé, elle provoque un effacement partiel de ce dernier. Cela peut s’avérer pratique pour raccourcir un tracé ou pour créer un trou dans un tracé fermé en vue de le raccorder avec un autre.
Cet outil s’utilise par glissements le long du tracé à modifier, il permet un lissage du tracé par élimination de zones anguleuses. Son action est beaucoup plus douce que celle du crayon ; de plus, il n’est plus impératif d’arrêter le glissement de l’outil sur le tracé. Vous pouvez paramétrer l’outil dans sa fenêtre d’options (affichée par double-clic sur l’outil Arrondi) pour que le lissage soit plus ou moins important ; cependant, l’influence des réglages est assez faible.
Le tracé doit être sélectionné pour que la gomme puisse agir ; dans le cas contraire, enfoncez la touche ¢ [Ctrl] et cliquez sur le tracé ou tapez ¢ A [Ctrl A] (tous les tracés seront sélectionnés mais vous n’agirez que sur l’un d’eux).
On veut supprimer i une partie de ce tracé.
On glisse la gomme omme po pour obtenir l’effacement de la partie. ti
A STUCE La gomme est sans action sur un tracé de texte curviligne. Procédez par ajout de points (avec l’outil Plume +) suivi de l’effacement de l’extrémité. L’outil est peu sensible aux réglages spécifiés dans cette fenêtre.
Le remplissage des blocs Quels que soient l’aspect et la nature du bloc, vous pouvez le remplir de deux façons : par importation (simple ou multiple) ou par collage ; dans le dernier cas, un bloc devra impérativement être sélectionné. Pour le texte, InDesign propose une méthode supplémentaire qui consiste à remplir le bloc avec un texte de substitution (cela peut s’avérer utile pour calibrer un bloc).
Les éléments importés
Le placement (importation) peut également se réaliser à partir de Bridge (menu Fichier/Importer/Dans InDesign). La commande n’est accessible qu’une fois les éléments sélectionnés dans la fenêtre de Bridge.
L’importation simple
Le remplissage par importation
InDesign importe des textes (de différents formats), des tableaux Excel, des images (également de différents formats), et même des pages InDesign (fichier .indd) ou encore des extraits de page (fichier .inds).
Elle se réalise avec ou sans la présence d’un bloc (sélectionné ou non).
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3 Pour importer dans le bloc que vous avez sélectionné (en cliquant dessus avec un des outils Flèche), lancez la commande Importer du menu Fichier (au clavier, ¢ D [Ctrl D]) : une fenêtre permet de choisir le fichier voulu. I NFO. La fenêtre Importer peut se présenter sous deux aspects : Dialogue SE (Système d’Exploitation) ou Dialogue Adobe. Ce dernier propose d’avantage d’options (notamment au niveau de la visualisation des fichiers), mais n’est disponible qu’avec Version Cue activé (sans obligation d’utiliser ses autres fonctionnalités de partage).
Dans le cas où vous avez rempli un bloc par erreur, tapez ¢ Z [Ctrl Z] pour annuler le remplissage du bloc actif et retrouver ou ). De même, pour le curseur de placement ( ou vider le curseur sans placer son contenu (donc interrompre le placement), tapez esc [Echap]. La fenêtre Importer propose également l’option Afficher les options d’importation. Cette fonctionnalité ainsi que des notions relatives aux formats de fichiers importés seront développées dans les chapitres consacrés à la gestion du texte et à la gestion des images.
Les importations multiples Cochez cette C option ooptio pour remplir reemp le bloc sélectionné séélect (ici, (ici, la fenêtre a été affichée affich avec le Dialogue Adobe). Dialo D
InDesign permet d’importer simultanément plusieurs fichiers (de type différent). En effet, dans la fenêtre Importer, vous pouvez sélectionner plusieurs fichiers (par Ó clic s’ils sont contigus, ou ¢ clic [Ctrl clic] dans le cas contraire).
O a sélectionné On cinq ci inq iimages (dans cette ce ette sélection, il pourrait p ourr y avoir textes, des des te d documents docum d InDesign In nDes ou des extraits ex xtrai InDesign).
Dans la fenêtre Importer, si l’option Remplacer l’élément sélectionné est cochée, le fichier remplit automatiquement le bloc sélectionné (ou remplace son contenu). ATTENTION Si le curseur d’insertion clignote dans un texte, l’élément importé se placera dans ce texte. Il faudra annuler par ¢ Z [Ctrl Z] pour retrouver le curseur de placement et finir l’importation manuellement comme indiqué ci-après.
Si l’option de remplacement n’est pas cochée, aucun bloc n’est rempli ; il apparaît un curseur de placement muni d’une vignette montrant le contenu du fichier image ou le début du texte. Dans le cas d’importation d’image, l’aspect du curseur varie selon que le bloc survolé est vide , ou non (avec un fichier au format PDF ou AI version 9 ou +, le est remplacé par ). En enfonçant la touche ∏ pinceau [Alt], le curseur devient systématiquement (ou ). Quand le curseur est , cela signifie qu’il provoque le remplissage du bloc sur lequel vous cliquez ; quand il est , cela indique que vous devez créer le bloc par clic ou glissement sur la page. Muni d’un d aperçu, le curseur curse change ge d’aspect quand il d’aspec ssurvole ur vo ou non un bloc vide.
Si le bloc survolé a déjàà un contenu, le curseurr prend cet aspect..
58
Après validation, le curseur de placement apparaît sur la page ; il affiche l’aperçu du premier fichier sélectionné et un chiffre indiquant le nombre d’éléments à placer. Pour passer d’un élément à l’autre de cette pile (ou visualiser les différents éléments à placer), tapez une ou plusieurs fois les touches fléchées. Pour éliminer l’élément dont vous voyez l’aperçu, tapez esc [Echap]. Ce chiffre ch indique nombre de le nom fichiers importés. fichie
On passe de l’un n à l’autre avec less touches fléchées. s.
Le placement se réalise manuellement : par clic sur un bloc vide, par ∏ clic [Alt clic] sur un bloc ayant un contenu, ou par glissement (ou clic) si le bloc doit être dessiné. À chaque clic, le chiffre se réduit pour indiquer le nombre de fichiers restant. Dans tous les cas, vous pouvez revenir en arrière et annuler les placements en tapant plusieurs fois ¢ Z [Ctrl Z].
On place less différents d différe ff nts fichiers fic f chier h par clic sur ur le l bloc, bl le l nombre b se réduit au fur mesure ur et à m esure des placements. ts.
L A GESTION DES OBJETS
Le placement depuis Bridge Dans Bridge, affichez le dossier contenant les éléments à importer et sélectionnez ces derniers par clic sur leurs vignettes (Ó clic s’ils sont contigus, ou ¢ clic [Ctrl clic] dans le cas contraire). Déroulez le menu Fichier jusqu’à Importer et choisissez Dans InDesign. De retour dans InDesign, vous obtiendrez le curseur de placement ou le remplissage du bloc selon le nombre de fichiers sélectionnés.
Pour créer des effets particuliers comme changer la couleur d’une partie de texte, vous pouvez utiliser les manipulations suivantes :
1. Avec l’outil Flèche noire, sélectionnez puis copiez le bloc de texte (si le texte fait partie d’un ensemble de blocs chaînés, groupez les blocs avant de les copier).
2. Dessinez sur le texte un bloc de forme particulière (colorez éventuellement son fond).
Au lieu d’utiliser cette commande d’importation, vous pouvez réduire la taille de la fenêtre de Bridge en cliquant sur (située en haut à droite de la fenêtre) et glisser l’icône la sélection des fichiers sur la page, vous retrouverez alors l’icône de placement.
Une fois le texte copié, dessine un bloc sur on de le texte. text
3. Lancez Coller dedans (menu Édition ou ∏¢ V [Alt Ctrl V]) pour placer le bloc de texte dans cette forme colorée.
4. Par clic sur l’icône
de la palette Contrôle, sélectionnez le contenu du bloc donc du texte collé puis colorezde la palette Nuancier. le en ayant cliqué sur l’icône
On sélectionne ctionne les fichiers, on les glissee sur laa page et on obtient ce curseur de placement. ment.
Le collage d’une image ou d’un texte dans un bloc
Par clic ici ici,i oon n ccolore le texte dans xte colléé da ans le bloc coloré. l
Si un bloc de la page contient une image que vous souhaitez la placer dans un autre bloc, vous pouvez la copier (ou la transférer) par un collage spécial. Pour effectuer ce transfert, réalisez les opérations suivantes :
1. Sélectionnez le contenu du bloc en cliquant dessus avec l’outil Flèche blanche ou l’outil Position
.
A STUCE Si le bloc contenant l’image a été sélectionné avec l’outil Flèche noire, cliquez sur l’icône de la palette Contrôle pour sélectionner le contenu du bloc (l’image).
Le placement dans plusieurs blocs Pour remplir plusieurs blocs avec la même image de manière qu’elle s’étale dans la série de blocs, opérez ainsi : sélectionnez de la palette Pathfinla série de blocs et lancez Addition der, puis effectuez l’importation de l’image ou son collage (avec Coller dedans du menu Édition ∏¢ V [Alt Ctrl V]).
2. Copiez l’image (¢ C [Ctrl C]) ou coupez-la (¢ X [Ctrl X]). 3. Sélectionnez le bloc de destination, mais, cette fois-ci,
Le texte de substitution
avec l’outil Flèche noire.
4. Collez dans le bloc à l’aide de la commande Coller dedans du menu Édition (au clavier, ∏¢ V [Alt Ctrl V]).
Pour remplir un bloc avec un texte quelconque, cliquez sur ce bloc avec l’outil Texte et lancez la commande Remplir avec le texte de substitution (menu Texte ou contextuel).
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3
Les manipulations d’objets Les sélections LES OUTILS DE SÉLECTION Pour réaliser les différentes manipulations sur les blocs, ceux-ci doivent être sélectionnés. Cette opération peut s’effectuer à l’aide de l’un des outils de sélection : Flèche noire, , Flèche blanche et Flèche blanche +. Le choix Position de l’outil dépend de l’élément (conteneur ou contenu) sur lequel vous souhaitez agir. Le tableau suivant résume les possibilités. Nature de la sélection : contenu ou conteneur
Outil Outil Sélection Flèche noire
Conteneur Contenu
Outil Position
Avec ¢ [Ctrl] : conteneur
Sélection directe Flèche blanche
(2)
Contenu Avec ¢ [Ctrl] : conteneur
Pour faire cette distinction, observez les poignées du cadre de sélection :
Bloc non sélectionné (pas de poignées visibles).
Aspect de l’outil sur le bloc
Manipulation réalisable
sur tous types de bloc.
Traitement du conteneur et remplissage.
sur les pixels de l’image. sur un texte. sur un bloc sans contenu.
Traitement du contenu (1).
sur tous types de bloc. sur les pixels de l’image. sur un texte ou un bloc sans contenu. sur les pixels de l’image. sur un texte.
1. Un clic sur le bloc de texte active automatiquement l’outil Texte. 2. En enfonçant la touche ∏ [Alt], on obtient l’outil Flèche blanche + (outil Sélection directe progressive) qui donne une sélection de tous les points du tracé par double-clic sur un bloc d’image. 3. Un double-clic sur le bloc de texte active automatiquement l’outil Texte.
L’outil Position est l’outil idéal pour bon nombre de situations car il change de fonction selon le bloc actif. N’hésitez pas à lui affecter un raccourci utilisable en toutes circonstances. J’ai affecté af ces raccourcis de sélection. aux outils o
SÉLECTION DU BLOC, DU TRACÉ OU DE L’IMAGE ? Avec les blocs rectangulaires, le cadre d’encombrement de l’image peut avoir les mêmes dimensions que le tracé du bloc. Il est alors délicat de voir si la sélection correspond au bloc, à son tracé ou au cadre de l’image.
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A STUCE La version CS3 propose une option très intéressante. En effet, par double-clic sur un bloc, on passe d’une sélection du bloc (comme celle réalisée avec l’outil Flèche noire) à une sélection du tracé (comme celle réalisée avec l’outil Flèche blanche) et réciproquement. Chaque doubleclic sur le bloc permet ainsi de basculer d’un outil à l’autre.
Traitement du conteneur et remplissage. Traitement de l’image. Retouche du tracé (3). Retouche du tracé.
– il y a sélection du bloc si les poignées (au nombre de huit) sont grandes et de la couleur du calque : c’est le cadre de transformation du bloc qui est affiché ; Bloc sélectionné
– il y a sélection du tracé si les
(huit poignées visibles).
poignées sont petites et au nombre de quatre : ce sont les points d’ancrage du tracé qui sont affichés. Avec un bloc non rectangulaire, le nombre de points dépend Tracé sélectionné (quatre poignées visibles). de l’aspect du bloc ;
– il y a sélection de l’image si les poignées sont grandes et de la couleur inverse à celle du calque : c’est le cadre de l’image qui est affiché. Image sélectionnée ctionnée (8 poignées). nées).
L A GESTION DES OBJETS
LE PASSAGE D’UN OUTIL À L’AUTRE Quand un bloc, ou son contenu, est sélectionné, le fait de changer d’outil ( , tion (contenu, tracé, conteneur). Passage
Type du bloc
Effet sur la sélection
Image
Aucun effet.
Texte
Sélection du bloc
Image
Aucun effet quand c’est l’image qui est sélectionnée.
Texte
Sélection du tracé
sélection du tracé.
) peut modifier la nature de la sélec-
active l’outil Texte. Un clic dans le bloc avec Il faut cliquer avec ¢ [Ctrl] pour changer la nature de la sélection.
sélection du bloc.
Un clic dans le bloc avec
Il faut cliquer dans le bloc pour passer à la sélection de l’image.
Sélection du bloc
sélection du tracé.
Texte
Sélection du bloc
sélection du tracé.
active l’outil Texte.
Il faut cliquer dans le bloc pour passer à la sélection du texte.
Aucun effet. Texte
ou
Remarque Il faut cliquer sur le bloc pour changer la nature de la sélection.
Image
ou
,
Sélection du texte
sélection du bloc.
Sélection du texte
sélection du tracé.
Dans le cas d’une image, la palette Contrôle permet de faire la distinction quant à la nature de la sélection (image ou tracé…). Si c’est l’image qui est sélectionnée, les deux premières cases de la palette Contrôle sont respectivement X+ et Y+, alors que si c’est le tracé ou le bloc (conteneur) qui est sélectionné, les cases sont X et Y.
Tout « survol » de bloc fera apparaître temporairement ses poignées : un clic permettra sa sélection alors qu’un glissement provoquera son déplacement sans que ce dernier n’apparaisse sélectionné quand vous relâcherez la souris. S’il y a des superpositions, il sera possible d’accéder aux blocs des plans inférieurs, comme indiqué un peu plus loin.
X+ ett Y+ Y+, c’est ’ t l’image l’i l’im i quii estt sélectionnée él ti é (en ( cliquant li t ici, ici,i on passe au conteneur). nteneur). X et Y, cc’est esst le le bloc blo qui est sélectionné (on sélectionne le contenu en cliquant l t ici). ici c )).
ASTUCE Quand vous souhaitez déplacer un bloc situé audessus d’un autre bloc en utilisant l’outil Texte et la touche ¢ [Ctrl], il est préférable de partir d’une désélection (obtenue en tapant Ó¢ A [ÓCtrl A]) car le glissement de la sélection (avec ¢ [Ctrl]) provoquera le déplacement du bloc inférieur.
LES MÉTHODES DE SÉLECTION ATTENTION Quand le tracé est sélectionné, si vous essayez de glisser le bloc (avec l’outil Flèche blanche ou l’outil Position), c’est l’image qui se déplace : il y a automatiquement sélection de cette dernière (le curseur l’indique). Il faut enfoncer la touche ¢ [Ctrl] pour que ce soit le conteneur qui se déplace.
Les sélections multiples Pour sélectionner des blocs avec l’outil Flèche, vous pouvez : – en partant de l’extérieur de tout tracé, dessiner (avec la flèche) un cadre qui touche les objets à sélectionner ;
– enfoncer la touche Ó et cliquer sur les objets (ceux qui sont déjà sélectionnés se désélectionneront) ;
D E L’OUTIL TEXTE À L’OUTIL FLÈCHE Si vous enfoncez la touche ¢ [Ctrl] alors que l’outil Texte est actif, ce dernier se transforme en outil Flèche blanche ou Flèche noire selon la nature de l’outil qui était actif avant l’outil Texte — c’est une flèche noire qui apparaît si l’outil Position était actif avant l’outil Texte.
– combiner les deux formules précédentes.
La sélection par calque Pour sélectionner tous les objets contenus dans un calque (sur la planche active), affichez la palette Calques, avec l’outil Flèche et la touche ∏ [Alt] enfoncée, cliquez sur le nom du calque.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3
Les sélections par le menu Édition Le menu Édition propose deux commandes : Tout sélectionner (¢A [Ctrl A]) et Tout désélectionner (Ó¢A [ÓCtrl A]). ATTENTION Si vous avez choisi les raccourcis d’XPress, la commande Tout désélectionner n’a plus de raccourci.
A STUCE Si vous enfoncez la touche ∏ [Alt] , l’outil Flèche blanche devient Flèche blanche + (outil Sélection directe progressive) ; elle permet la sélection d’un élément d’un groupe. Si vous cliquez plusieurs fois progressivement, la sélection affecte le groupe supérieur, puis le groupe suivant dans la hiérarchie des groupements effectués.
LES SÉLECTIONS DANS LES SUPERPOSITIONS D’OBJETS La sélection du contenu ou du conteneur Cas d’un bloc d’image Quand un bloc d’image est sélectionné, le menu Objet (ou menu contextuel) propose le sous-menu Sélectionner pour obtenir la sélection du contenu ou du conteneur (selon la sélection initiale). Pensez à utiliser la commande Raccourcis clavier (du menu Édition) pour affecter des raccourcis à ces commandes — à titre d’exemple, j’utilise F2 pour le contenu et F3 pour le conteneur.
Objet/Sélectionner propose commandes de sélection. cces co On leur O le a affecté des rraccourcis. racco o
De même, la palette Contrôle comporte deux icônes et dont l’une est active. Elles permettent en cliquant sur d’obtenir la sélection du contenu ou en cliquant sur , celle du conteneur.
Lorsque des objets sont superposés, il est délicat de sélectionner un tracé situé dans un des plans inférieurs (surtout quand ceux qui sont au-dessus le cachent). InDesign propose deux méthodes selon que vous souhaitez sélectionner le bloc (ou le tracé) ou l’image contenue dans le bloc.
La sélection de blocs superposés Quand vous cliquez sur une superposition d’objets, vous obtenez la sélection de l’objet au premier plan. Si vous enfoncez ¢ [Ctrl] et continuez à cliquer, vous sélectionnez l’objet dans le plan inférieur ; le clic suivant avec ¢ [Ctrl] donne le plan inférieur… et ainsi de suite jusqu’à l’objet à l’arrière-plan. Avec l’outil Flèche noire ou Position, il est possible de « remonter » dans la superposition en enfonçant les touches ∏ et ¢ [Alt Ctrl] : les clics successifs feront aboutir progressivement au premier plan. A STUCE Si vous souhaitez déplacer un objet situé dans un plan intermédiaire, sélectionnez celui juste au-dessus, enfoncez ¢ [Ctrl] (ou ∏ ¢ [Alt Ctrl] pour le copier) et glissez la souris. Il est parfois plus simple de le sélectionner et de le déplacer avec les touches fléchées.
La sélection d’images superposées E cliquant En liquantt sur cette c tt icône, i ô on sélectionne él ti le l conteneur. t Avec celle-ci, elle-ci,, on ssélectionne le contenu.
ASTUCE Quand l’outil Flèche noire est actif, par doubleclic sur un bloc d’image, on sélectionne le tracé et par triple clic, on sélectionne l’image.
La méthode de sélection précédente ne permet pas de sélectionner l’image contenue dans le bloc. Pour l’obtenir, une fois la sélection du bloc réalisée, cliquez sur l’icône . Certaines de ces sélections sont réalisables à partir du menu Objet (ou contextuel) et son sous-menu Sélectionner ou des icônes ou de la palette Contrôle. Ces raccourcis et icôn icônes ne sont pas toujours très pratiques car la sélection affec affecte tous les blocs de la page même s’ils ne figurent pas visue visuellement dans la zone de superposition.
LES SÉLECTIONS SPÉCIALES Cas d’un groupe de blocs Si la sélection est constituée par un élément d’un groupe, l’icône permet la sélection du groupe entier, alors que permet d’accéder aux constituants du groupe. l’icône Dans ce dernier cas, on passe de l’un à un autre par les icônes ou — on retrouve ces possibilités dans le sous-menu Sélectionner (menu Objet ou contextuel) avec Objet précédent dans le groupe et Objet suivant dans le groupe.
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La sélection d’un élément de gabarit Quand on compose un document sur plusieurs pages, on utilise des gabarits. On place dans ces gabarits tous les objets qui doivent apparaître dans toutes les pages courantes (marque de pagination, titre courant, etc.). On appelle ces objets des éléments de gabarit ou éléments types ; dans la page courante, ces éléments s’affichent toujours à l’arrière-plan des objets de la page, ils sont verrouillés.
L A GESTION DES OBJETS Pour indiquer qu’un objet a été placé sur le gabarit, InDesign affiche désormais ses contours en pointillés. Si vous devez sélectionner un des éléments de gabarit sur une page courante (afin de le déplacer, le modifier, voire le supprimer), vous ne pourrez réaliser cette sélection que si vous enfoncez les touches Ó¢ [Ó Ctrl] pendant que vous cliquez sur l’élément type. À l’issue de la sélection, l’objet passe automatiquement au premier plan du calque actif (ce n’est plus un élément de gabarit, mais il garde certains liens de mise à jour avec ce dernier).
Les déplacements Ils s’effectuent selon plusieurs méthodes : manuellement par glissement, au clavier, par la palette Contrôle (ou Transformation) ou encore par la commande Déplacement. Nous allons examiner ces différentes méthodes et préciser leurs avantages respectifs. Le cas du centrage de l’image dans le bloc est traité plus loin avec les ajustements.
LE DÉPLACEMENT MANUEL PAR GLISSEMENT Le déplacement et l’outil de sélection
Sur la page courante, les éléments tts du d gabarit ga abarit b it sontt en pointillés p ; si on sélectionne par p Ó Ó¢ clic [Ó Ctrl trl clic],, ils dev deviennent viennent éditables.
Avec les images, le choix de l’outil de sélection (seul ou avec une touche) influe sur la nature de l’élément déplacé (bloc et/ ou image). Le tableau suivant résume les choix possibles. Élément à déplacer
La sélection des blocs de texte dans une chaîne Quand le texte est trop long pour tenir dans un seul bloc, on « place » le surplus du texte dans un ou plusieurs autres blocs (sur la même page ou sur des pages différentes) : on dit que les blocs sont chaînés entre eux (nous étudierons en détail les techniques de chaînage dans le chapitre consacré à la gestion du texte).
Conteneur (bloc + contenu) Image seule
Outils
Remarque
+ ¢ [Ctrl] + ¢ [Ctrl] + ¢ [Ctrl]
Placé sur le bloc, le curseur doit prendre l’aspect suivant : (ou avec l’outil Flèche blanche sur un bloc de texte).
ou
Sur l’image, on voit :
.
Pour déplacer, relâchez ∏ [Alt] et glissez le tracé (et non pas clic sur le tracé) le fond du bloc).
+ ∏ [Alt] Tracé sans (sélection par l’image Déplacement du bloc
InDesign montre cette chaîne si vous lancez la commande Afficher le texte lié du menu Affichage. De plus, il vous permet, à partir du moment où un des blocs de la chaîne est actif, de sélectionner l’un des autres blocs de la chaîne en utilisant un des raccourcis du tableau ci-dessous. On tape
On sélectionne*
∏¢
[Alt Ctrl ]
Le bloc suivant dans la chaîne.
∏¢
[Alt Ctrl ]
Le bloc précédent dans la chaîne.
Ó∏¢
[ÓCtrl Alt ] Le dernier bloc de la chaîne.
Ó∏¢
[ÓCtrl Alt ] Le premier bloc de la chaîne.
* Si le point d’insertion clignote dans un bloc, c’est le contenu du bloc, c’est-à-dire le texte, qui sera sélectionné.
On sélectionne avec l’outil Flèche noire.
On glisse le bloc et on relâche r quand sa position : sition est correcte c l’image g réapparaît.
INFO. Ces raccourcis sont valables même si les blocs n’appartiennent pas à la même page.
InDesign ne réaffiche le contenu du bloc qu’une fois son déplacement terminé ; cependant, si vous patientez une demi-seconde puis glissez l’objet, InDesign affichera le contenu du bloc au cours de son déplacement (ce délai est réglable par double-clic sur l’outil Position).
Maintenant que nous avons fait le tour de toutes les techniques de sélection, nous allons passer en revue les différents traitements que peut subir le bloc sélectionné.
ATTENTION Quand vous déplacez l’image seule, toutes ses parties situées à l’extérieur du bloc sont masquées. De même, si vous déplacez le tracé du bloc sans l’image, vous ne verrez plus les parties de l’image à l’extérieur du tracé.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3
LE DÉPLACEMENT D’OBJET AU CLAVIER
Déplacement de l’image
Sélection n avec l’outil l’ou Flèche blanche. On glissee la sélectio sélection et on relâche quand sa a position est correcte : l’image g est recadrée dans le bloc.
Déplacement du tracé
Il est possible d’obtenir des déplacements précis avec les touches fléchées du clavier. En effet, chaque frappe provoque un mouvement dans le sens indiqué par la touche, d’une valeur programmable dans les Préférences/Unités et incréments (menu InDesign [Fichier]). En ajoutant Ó, le déplacement sera dix fois plus important. ASTUCE N’hésitez pas à programmer une valeur faible dans la case Touche curseur des préférences (par exemple 0,1 pt) car cette valeur peut être multipliée par dix en enfonçant Ó.
ATTENTION Ici aussi, en fonction de l’outil actif (Flèche noire, Flèche blanche ou Position) et de la sélection affichée, vous déplacerez le bloc et l’image, l’image seule ou le tracé seul.
LE POSITIONNEMENT PAR LA PALETTE CONTRÔLE Sélection n sur le tracé avec l’outil l Flèche blanche et ∏ [Alt] . On glisse le tracé relâche acé et on relâ quand sa position correcte : le ition est corre tracé est repositionné sur l’image.
La palette Contrôle permet d’effectuer des déplacements précis en modifiant la valeur de position définie par les cases X ou Y accessibles après une sélection du bloc avec l’outil Flèche noire, ou des cases X+ ou Y+ avec une image sélectionnée avec l’outil Flèche blanche ou l’outil Position.
En cliquant surr la lettre, on active le contenu de la case. ASTUCE Pour obtenir un mouvement uniquement vertical (ou horizontal), commencez le déplacement, puis enfoncez Ó.
Le déplacement et le magnétisme Si, au cours du déplacement, le bord du cadre de sélection est en superposition avec un repère, la flèche devient blanche quelle que soit sa position sur l’objet.
La référence du positionnement Les valeurs des cases X et Y indiquent la position d’un point ; cette de référence désigné par le point noir sur l’icône position est définie par rapport à l’origine de règle. Celle-ci peut être déplacée par glissement du croisement des règles ou ramenée à sa place initiale (bord supérieur gauche de la page), par double-clic dans le croisement des règles.
Les changements de valeurs Le déplacement avec l’outil Texte Si vous enfoncez ¢ [Ctrl], l’outil en cours se transforme en flèche et les poignées s’affichent sur le bloc « survolé » par le curseur. Ceci permet, par exemple, de déplacer un bloc de texte avec l’outil Texte actif. ASTUCE S’il y a des superpositions de blocs, il est préférable de commencer par désélectionner (Ó¢ A [Ó Ctrl A]) le bloc à déplacer, d’enfoncer la touche ¢ [Ctrl] puis de glisser le bloc dès que ses poignées s’affichent. Si vous n’opérez pas ainsi, c’est le bloc situé dans un plan inférieur qui sera déplacé.
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Ils s’effectuent par remplacement de la valeur en cours ou par une opération sur cette dernière (+ ou –). Dans les deux cas, vous devez valider pour appliquer le changement. Pour cela, utilisez la touche † [Ÿ] et passez à la case suivante, ou tapez ‚ ou encore Ó ‚ pour garder la case active. Le changement de valeur peut se faire par incrémentation (de 1 unité et 10 avec Ó) à l’aide des touches Flèche vers le haut ou vers le bas, une fois la case X ou Y active. ASTUCE Si vous enfoncez ∏ [Alt] en tapant une des touches fléchées comme indiqué ci-dessus, il y aura une copie.
L A GESTION DES OBJETS
L A COMMANDE D ÉPLACEMENT Comme Illustrator, InDesign possède une commande Déplacement. On y accède de multiples façons : par double-clic dans un des outils flèche de la palette Outils, par le sous-menu Transformation (menu Objet ou menu contextuel) ou encore au clavier en tapant Ó¢ M [Ó Ctrl M].
Cette commande permet un déplacement de réaliser réa ou une un copie.
On sélectionne, onne, on glisse, on enfonce once ∏ [Alt] et on lâche.
Si vous sélectionnez le bloc avec l’outil Flèche blanche ou l’outil Position, enfoncez d’abord ¢ [Ctrl] seul, glissez le bloc puis enfoncez ∏ [Alt] juste avant de relâcher le bloc à l’endroit où la copie doit apparaître.
La copie de l’image dans un nouveau bloc
Cette commande affiche une fenêtre dans laquelle vous pouvez choisir si le déplacement s’applique au bloc seul ou au bloc et à son contenu (pour les images). Un aperçu permet un contrôle du positionnement de l’objet ; de plus, une copie peut être envisagée.
Pour obtenir une copie de l’image dans un bloc rectangulaire de même taille que l’image, au lieu d’un copier-coller opérez ainsi : désélectionnez le bloc (Ó¢A [Ó Ctrl A] ), activez l’outil Flèche blanche ou Position, enfoncez ∏ [Alt], et glissez directement l’image à l’endroit voulu : une copie apparaît dans un bloc rectangulaire de la taille de l’image.
A STUCE La fenêtre Déplacement s’affiche également à partir de la palette Contrôle par ∏ clic [Alt clic] sur l’intitulé de la case X ou Y (ou X+ ou Y+ selon le type de sélection). Sans sélection, on enfonce et on glisse l’outil Flèche blanche sur l’image avec ∏ [Alt].
POSITION RELATIVE OU ABSOLUE ? Quand un objet fait partie d’un groupe ou d’un ensemble d’objets imbriqués (voir plus loin) ou, pour une image dans son bloc, les cases X et Y pour le bloc (ou X+ et Y+, pour l’image) indiquent la position de la sélection par rapport à son conteneur. Pour obtenir ces coordonnées par rapport aux bords de la page et non plus par rapport au conteneur, lancez la commande Afficher le décalage du contenu dans le menu local ( ) de la palette Contrôle (ou Transformation). Relancez cette commande pour retrouver les coordonnées relatives au conteneur.
Les copies Comme pour les déplacements, les copies se réalisent de plusieurs façons et notamment par la commande Déplacement mentionnée ci-dessus. Voici la description des autres possibilités.
L A COPIE PAR GLISSEMENT
Quand on relâche, on obtient un bloc de la taille de l’image.
L A COPIE PAR LA PALETTE CONTRÔLE La manipulation est identique à celle du déplacement par la palette Contrôle (ou encore Transformation), à un détail près : il faut valider l’opération en tapant ∏ ‚ [Alt ‚]. ASTUCE En utilisant les touches fléchées pour modifier les valeurs de X ou Y, il y a copie si vous enfoncez ∏ [Alt].
L A COPIE PAR DUPLICATION La duplication d’un bloc (ou d’un ensemble de blocs) s’obtient avec les commandes du menu Édition : Dupliquer ou Exécuter et répéter.
La copie du bloc et de son contenu Pour réaliser cette copie, sélectionnez le bloc avec l’outil Flèche noire, enfoncez ∏ [Alt] (la flèche devient ) et, sans viser une poignée, glissez le bloc jusqu’à l’endroit voulu.
Dupliquer (Ó∏¢ D [Ó Alt Ctrl D]), crée (la première fois) une copie décalée de 10 pt vers le bas et de 10 pt vers la droite. Par la suite, elle utilise les valeurs correspondant à la dernière copie manuelle par glissement.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3 Exécuter et répéter (∏¢ U [Alt Ctrl U]), affiche une fenêtre dans laquelle vous spécifiez le nombre de copies et leur déplacement (horizontal et vertical) par rapport à l’original. Cette commande permet de créer de multiples copies décalées.
I NFO. Toutes les valeurs qui apparaissent dans la fenêtre Exécuter et répéter correspondent également à la dernière copie réalisée manuellement. Elles restent mémorisées jusqu’à ce que vous les changiez et sont utilisées par Dupliquer.
Les transformations Les transformations se répartissent en quatre catégories : la mise à l’échelle, la rotation, la déformation (ou inclinaison) et la symétrie. La plupart d’entre elles se réalisent par programmation (palette Contrôle ou Transformation), ou manuellement par les outils de la palette Outils.
LES MISES À L’ÉCHELLE Elles s’effectuent de manière libre (par glissement) ou paramétrée (par les palettes) si des valeurs précises sont nécessaires.
La mise à l’échelle manuelle (par glissement)
L A COPIE PAR COPIER- COLLER La technique du copier-coller (¢ C [Ctrl C] puis ¢ V [Ctrl V]) présente l’avantage de faire transiter la sélection par le presse-papiers, ce qui permet des collages multiples sur des pages ou des documents différents.
Il s’agit du glissement d’une des poignées du cadre de sélection. L’élément mis à l’échelle dépend de la nature de la sélection et des touches ajoutées lors du glissement. Le tableau ci-dessous résume les différents cas de figure (quelques copies d’écran avec une image les illustrent).
INFO. Coller sur place (menu Édition ou Ó∏¢ V [ÓAlt Ctrl V]) permet de placer la copie aux mêmes coordonnées que l’original lorsqu’il a été copié ou coupé.
ASTUCE Lors de ces transformations, si vous patientez une demi-seconde avant de glisser la souris, vous pourrez voir le bloc et son contenu.
On a sélectionné Bloc (Flèche noire)
On agit sur Poignée
On sé sélectionne le bloc avec l’outill Flèche Flèc ch noire, on presse sur la poignée, poig gn on attend puis on glisse (selon (sel on les préférences, le cadre de l’image l’im mag ou l’image s’affiche).
Bloc (Flèche noire)
Poignée + ¢ [Ctrl]
On sélectionne sé le bloc avec l’outil Flèche noire, on pressee l’outi sur la poignée avec ¢ [Ctrl], on attend un peu puis on glisse.
Image (Flèche blanche ou outil Position)
Poignée
On sélectionne sé l’image avec l’outil Position ou Flèche l’outi blanche, on presse sur la poignée,, blan puis on glisse. on attend at
66
On a mis à l’échelle Le bloc seul (avec recadrage pour l’image) : le contenu n’est pas modifié (il disparaît ou apparaît). La transformation n’affecte qu’une seule dimension (avec une poignée latérale) ou les deux (avec une poignée d’angle). Avec Ó, il y a homothétie (on garde le rapport L/H). Quand on lâche, on a redimensionné le bloc seul (et dévoilé l’illustration).
Le bloc et le contenu : la transformation n’affecte qu’une seule dimension ou les deux selon la poignée ; en ajoutant Ó, il y a homothétie. Attention : lors d’un glissement avec ¢ [Ctrl], le contour est mis à l’échelle. Quand on lâche, on a redimensionné le bloc et l’image (homothétiquement avec Ó)
L’image seule : on réduit (ou agrandit) l’image sur une seule dimension (poignée latérale) ou les deux (poignée d’angle). Avec Ó, il y a homothétie. Quand on lâche, on a redimensionné l’image seule.
L A GESTION DES OBJETS La mise à l’échelle manuelle avec un bloc d’image Quand la taille d’une image a été changée par glissement, vous pouvez connaître l’ampleur de cette modification et vérifier si l’homothétie est conservée en sélectionnant ou triple clic avec l’outil Flèl’image seule (avec l’outil et de la palette che noire) et en consultant les cases Contrôle. Pour ramener l’image sélectionnée à 100 % (sans modifier la taille du bloc), utilisez la commande Effacer les transformations du menu de la palette Contrôle.
Pour cela, sélectionnez le bloc avec l’outil Flèche noire et de la palette Contrôle (utilisez Ajuscliquez sur l’icône ter le bloc au contenu du menu Objet ou contextuel, à la rubrique Ajustement). Le bloc initial. Le blocc a été ajusté.
On peut transformer er en glissant la poignée poi oi avec ¢ [Ctrl]. Cette image a été réduite mais elle a conservé son homothétie. conse
ATTENTION N’oubliez pas que l’agrandissement de la taille d’une image bitmap entraîne une réduction de la résolution : il peut en résulter une perte de qualité lors de l’impression si celle-ci est trop importante (> à 20 %). La palette Informations (menu Fenêtre) peut indiquer la nouvelle résolution ppp effectifs (sauf avec les images au format PDF).
L’image initiale iale et l’l’image redimensionnée mensionnée manuellement ; attention, résolution modifiée. ttention tention n, sa résolutio so ut oon a été m od ée.
Cet ajustement est réalisable manuellement par double-clic sur une des poignées du bloc (éventuellement avec ¢ [Ctrl] et l’outil Texte). L’ajustement s’effectue sur deux dimensions avec une poignée d’angle et une seule avec une poignée latérale. Dans tous les cas, la réduction s’effectue vers la poignée opposée à celle sur laquelle vous avez cliqué. On do double-clique ici et la réduction ré se fait it vers cette c poignée. Ici, on conserve la hauteur du bloc, il y a ajustement de sa largeur à celle du contenu. En ag agissant en haut, la rréduc réduction se fait vers la po poignée du bas.. Ici, on conserve la largeur du bloc il y a ajustement de sa hauteur à celle du contenu. Avec l’angle inférieurr droit, elle s’effectue vers ll’angle opposé. Ici, on ajuste hauteur et largeur en l’adaptant au contenu (on conserve les proportions initiales)
La mise à l’échelle manuelle d’un ensemble de blocs Pour redimensionner simultanément un ensemble de blocs sélectionnés, il faut impérativement en faire un groupe (¢ G [Ctrl G] ou menu Objet) et agir sur les poignées de ce dernier avec ¢ [Ctrl] enfoncée, sinon la transformation ne s’appliquera qu’à l’objet sur les poignées duquel vous agissez. La mise à l’échelle manuelle avec un bloc de texte Avec un bloc de texte, si les dimensions du bloc deviennent trop petites par rapport au texte, une partie de celui-ci disparaît — un + rouge indique que du texte est caché (il faudra chaîner vers un autre bloc ou réduire l’encombrement du texte ou ajuster le bloc, voir plus loin). En général, ce genre de transformation s’effectue dans le sens d’un agrandissement du bloc ; il a pour but de réafficher un texte devenu (partiellement) invisible. Si vous attendez une demi-seconde avant de glisser la poignée, vous pourrez visualiser le contenu du bloc.
On souhaite réduire les trois blocs …mais on n’en modifi modifie ie qu’u qu’un. ci-dessus en même temps… En g groupant, on les transforme p transform ttous les trois. i
Avant d’effectuer la transformation d’un bloc de texte par glissement, vous pouvez adapter ses dimensions à l’encombrement du texte, ce qui facilitera le contrôle de la transformation.
67
I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3
L’outil Mise à l’échelle
et la fenêtre Mise à l’échelle
Selon la sélection, la transformation par l’outil Mise à l’échelle affecte le bloc et l’image, l’image ou le tracé seul. Avec un bloc de texte, tous deux subissent la transformation. Ici, vous pouvez choisir la position de l’axe de transformation. Une fois l’obactivé, une petite jet sélectionné et l’outil Mise à l’échelle croix marque cet axe (c’est le point noir de l’icône de la palette Contrôle), mais vous pouvez la déplacer (même hors de l’objet, l’icône deviendra ) en la glissant (l’outil devient ) ou en cliquant sur l’un des points de l’icône . Quand l’origine est positionnée, vous pouvez transformer manuellement par glissement ou en paramètrant. Mise à l’échelle manuelle : commencez par écarter l’outil de l’axe (éventuellement, attendez une demi-seconde pour visualiser), puis glissez. Avec Ó, on n’agit que sur un seul axe (glissement horizontal ou vertical), ou par homothétie (glissement en biais). Avec ∏ [Alt], on obtient une copie.
Les mises à l’échelle par incrémentations Comme dans toutes les cases comportant une valeur, en tapant Flèche vers le haut ou vers le bas, vous pouvez incrémenter, et donc, dans le cas d’une mise à l’échelle, augmenter ou réduire la valeur en cours de 1 % (1 mm pour L et H) et 10 % avec Ó. Si vous ajoutez ∏ [Alt], il y aura copie. Les valeurs relatives et absolues Avec une sélection de bloc, après transformation, les cases indiquent toujours 100 % (sauf si vous choisissez Ajuster le pourcentage de mise à l’échelle dans les Préférences/Général) : elles se réfèrent à la taille relative. Avec une sélection d’une image, les valeurs (en %) reflètent la taille absolue. Pour la ramener à sa taille d’origine (100 %), utilisez la commande Effacer les transformations du menu de la palette Contrôle.
LES CHANGEMENTS DE TAILLE PAR AJUSTEMENT L’ajustement par le menu Objet ou la palette Contrôle
Mise à l’échelle paramétrée : elle s’effectue avec une fenêtre qui donne un aperçu de la mise à l’échelle ; pour l’afficher, double-cliquez sur l’outil. Pour afficher la fenêtre tout en repositionnant l’axe, effectuez un ∏ clic [Alt clic]. La fenêtre de mise à l’échelle paramétrée (son intérêt réside dans l’aperçu).
La mise à l’échelle par la palette Contrôle Elle s’effectue (dans la palette Contrôle ou Transformation) à et (et, éventuell’aide des cases % de mise à l’échelle lement, leurs menus locaux), ou des cases L et H (des opérations, +, –, *, /, sont possibles). Pensez à choisir l’axe ( ) de la transformation avant de changer les valeurs ; pour le placer à l’extérieur du bloc, activez un outil de transformation et glissez l’axe. Ici aussi, selon la sélection, la transformation affecte le bloc et l’image, l’image ou le tracé seul, mais avec un bloc de texte, tous deux subissent la transformation (sauf avec les cases L et H). Pour conserver les proportions du bloc, cliquez sur l’icône (elle devient ). Quand vous saisissez une valeur, vous devez la valider en tapant ‚ (Entrée). ASTUCE Vous avez différentes possibilités pour valider : – avec Ó ‚ (Ó Entrée), la case reste active ; – avec ¢ ‚ [Ctrl ‚] , il y a homothétie même si le lien n’est pas activé ( ) ; – avec ∏ ‚ [Alt ‚], il y a copie.
ATTENTION Comme lors un glissement avec ¢ [Ctrl], il y a mise à l’échelle du contour sauf si vous avez décoché Ajuster l’épaisseur… dans le menu de la palette Contrôle.
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Avec un bloc d’image, quand le bloc ou son image sont sélectionnés, le sous-menu Ajustement (menu Objet ou contextuel) propose différentes mises à l’échelle (et un centrage) du bloc et de l’image. Ces manipulations sont réalisables depuis les icônes de la palette Contrôle. Le tableau fférents cas. ci-dessous résume les différents
On a sélectionné l’imagee dans son bloc pour utiliserr ces icône icônes.
Commande
Action i obtenue b
Ajuster le L’image occupe tout le contenu bloc et prend ses dimenau bloc sions. Elle peut apparaître déformée. Ajuster le bloc Le bloc devient un recau contenu tangle aux dimensions l’image qui est alors parfaitement recadrée. Ajuster le contenu proportionnellement
Force l’image dans le bloc homothétiquement. L’image n’occupe pas toujours tout le bloc, un centrage peut s’avérer utile.
Remplir le bloc Force l’image dans le bloc proportionnel- homothétiquement, une lement partie de celle-ci peut disparaître (centrage parfois utile).
E Exemple l
L A GESTION DES OBJETS
Le centrage du contenu
L A ROTATION
Cette option figure avec les icônes d’ajustement de la palette Contrôle et dans le sous-menu Ajustement (menu Objet ou contextuel). Elle ne modifie que la position de l’image ; celleci apparaît au centre du bloc.
Le principe
On sélectionne sé le bloc et on n centre l’image dans le bloc centr avec cette icône.
Comme pour les mises à l’échelle, la sélection reste valable : Flèche noire pour faire pivoter le bloc et son contenu ; Flèche blanche pour le tracé seul ou l’image seule ; outil Position pour l’image seule. Pour les textes (ou les blocs sans contenu), sélectionnez indifféremment avec l’outil Flèche noire ou Flèche blanche. La touche ∏ [Alt] permettra la création de copies.
La rotation par la palette Contrôle (ou Transformation) Les options d’ajustement Il s’agit d’une nouvelle option de la version CS3. Elle s’applique à un ou plusieurs blocs contenant une image ou à un bloc d’image vide. Dans ce cas, cela permet de prédéfinir la façon dont l’image s’ajustera et se positionnera dans le bloc quand elle y sera collée ou importée.
Après avoir choisi la position de l’axe de rotation (par un clic ou par glissement de l’axe avec l’outil Rotation sur ), vous disposez de quatre méthodes pour faire pivoter l’objet :
– saisir une valeur dans la case Angle de rotation , puis valider en tapant ‚ (∏ ‚ [Alt ‚] pour une copie) ; – utiliser le menu local de valeur à droite de la case
;
– cliquer dans la case , puis incrémenter degré par degré avec les touches Flèche vers le haut ou vers le bas (avec Ó, l’incrément passe à 5°) — cette méthode est particulièrement intéressante pour affiner une rotation ;
– utiliser le menu local de la palette Contrôle (ou Transformation) pour choisir l’une des trois rotations proposées.
Cette commande permet de prédéfinir l’ajustement et le positionnement de l’image dans le bloc.
L’ajustement bloc-contenu par double-clic Quand on double-clique sur une poignée d’un bloc, on ajuste la taille du bloc à celle du contenu. Les résultats diffèrent selon la poignée cliquée et selon le type du bloc d’image ou de texte. Si on clique sur un angle, les deux dimensions sont modifiées alors qu’avec une poignée latérale, seule la hauteur ou la largeur sont ajustées. Dans le cas d’une image, l’agrandissement du bloc s’effectue vers la droite et/ou le bas ; avec un texte, il s’effectue vers la poignée opposée à l’endroit où on clique.
Rotattion dee l’image seule RRotation oou du u bloc et de l’image. e.
La palette Contrôle propose deux icônes et pour faire pivoter selon des angles multiples de 90° autour de l’axe montre l’orientation que défini par l’icône (un aperçu prend le bloc). On obtient des copies par ∏ clic [Alt clic]. Ces options correspondent à des rotations prédéfinies que l’on retrouve dans le menu de la palette Transformation. Certaines des manipulations précédentes s’obtiennent avec l’outil Rotation. C’est ce que nous allons voir maintenant.
L’outil Rotation Avec une poignée latérale, la on change une dimension, change n,, on en ch g deux eux avec un angle. ang e.
L’outil Rotation s’utilise comme l’outil Mise à l’échelle : on positionne l’axe de rotation par glissement ou par un clic sur l’icône dans la palette Contrôle (ou Transformation). On s’écarte de l’axe et on fait pivoter par glissement.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3
ASTUCE Attendez une demi-seconde avant de glisser l’objet et vous verrez son contenu au cours de la rotation. Avec Ó, la rotation s’effectue selon des multiples de 45°. Si on ajoute ∏ [Alt], on crée une copie.
Pour redresser un objet (image ou tracé), sélectionnez-le avec l’outil ad hoc et tapez 0 dans la case Angle de rotation de la palette Contrôle (ou Transformation).
La fenêtre Rotation Si vous double-cliquez sur l’outil (ou ∏ clic [Alt clic] sur de la palette Contrôle), une fenêtre de rotation l’icône apparaît. Elle permet de prévisualiser la rotation et d’obtenir une copie. Attention, cette fenêtre n’indique pas l’orientation du bloc mais l’angle de la rotation qui va être réalisée.
ASTUCE La valeur saisie dans la case correspond à une inclinaison horizontale ; pour réaliser une inclinaison verticale uniquement, entrez la même valeur dans la case de rotation et dans celle d’inclinaison.
L’outil Déformation L’outil Déformation s’utilise comme les autres outils de transformation : on place l’axe par glissement de l’origine directement sur le bloc ou par un clic sur dans la palette. On s’écarte de l’axe et on glisse pour déformer l’objet. Selon le glissement opéré, l’outil Déformation peut provoquer des inclinaisons selon les deux axes : la palette Contrôle indique alors l’angle d’inclinaison horizontale ainsi qu’un changement de l’angle de la rotation et des valeurs de mise à l’échelle du contenu (dans le cas d’une image).
La fenêtre Déformation Si vous double-cliquez sur l’outil (ou ∏ clic [Alt clic] sur de la palette Contrôle), la fenêtre Déformation l’icône apparaît. Elle permet de prévisualiser la future transformation, voire d’obtenir une copie.
ATTENTION Contrairement à la case de la palette Contrôle, la fenêtre Rotation n’indique pas l’orientation de l’objet mais uniquement l’angle de la future rotation.
Cette fenêtre indique la valeur de la future déformation.
L’INCLINAISON ET LA DÉFORMATION Avec la palette Contrôle (ou Transformation), on limite la transformation à une inclinaison de l’objet selon un axe horizontal, alors qu’avec l’outil Déformation, la transformation peut être une inclinaison horizontale et verticale, ou les deux en même temps.
ATTENTION La case de la palette Contrôle affiche la valeur de la déformation déjà affectée à l’objet alors que la fenêtre Déformation indique celle de la future transformation.
L’inclinaison par la palette Contrôle
LES SYMÉTRIES
Vous disposez des mêmes techniques que pour la rotation. Choisissez d’abord l’origine de la déformation (par clic sur un point de l’icône ), puis transformez en saisissant une valeur dans la case Angle de déformation sur X et en validant par ‚ (∏ ‚ [Alt ‚] pour une copie), en utilisant le menu local de valeur à droite de la case , ou encore en cliquant sur l’icône et en incrémentant avec les touches Flèche vers le haut ou vers le bas (l’incrément de 1, passe à 5° avec Ó). indique qu’il y a eu inclinaison. L’aperçu
Elles s’effectuent par les icônes et de la palette Contrôle (ou par le menu local de la palette Transformation). Avant de faire la symétrie, définissez l’origine de la transformation en cliquant sur l’un des points de l’icône , ou en activant n’importe quel outil de transformation (rotation, mise à l’échelle…) pour glisser l’axe à l’endroit voulu. Quand on réalise une ou On a placé symétrie, l’aperçu l’indique ( , cé l’axe ici pour les deux symétries cumulées). La et réduit l’opacité copie s’obtient en enfonçant ∏ [Alt]. de la copie. i ASTUCE Avec des pourcentages négatifs (–100 % par exemple) dans les cases de mise à l’échelle, on obtient une symétrie (pour une copie, validez par ∏ ‚ [Alt ‚]).
Le bloc initial. Inclinaison de l’image seule ou du bloc o seul. oc
70
L A GESTION DES OBJETS
L’OUTIL TRANSFORMATION MANUELLE
Action sur
Cet outil (qui s’active en tapant E) regroupe la plupart des autres transformations. Son action dépend de l’endroit où vous agissez sur le cadre de sélection et de la touche ajoutée. Si la sélection est réalisée avec l’outil Flèche noire, la transformation affecte toujours le bloc et son contenu. Le tableau suivant résume ses possibilités. Action sur
Résultat
Redimensionnement qui n’affecte Poignée latérale qu’une seule dimension. Poignée d’angle
Redimensionnement qui affecte les deux dimensions.
Poignée d’angle Redimensionnement homothétique +Ó (conservation du rapport L/H). Poignée + ∏ [Alt]
Redimensionnement centré.
Poignée latérale Inclinaison*. + ¢ [Ctrl] Poignée latérale Inclinaison* horizontale ou verticale. + Ó¢ [ÓCtrl]
Résultat
Poignée latérale Inclinaison* centrée. + ∏¢ [Ctrl Alt] Hors du bloc
Rotation (multiple de 45° avec Ó).
* Attention : commencez à glisser la poignée, puis enfoncer ¢ [Ctrl] ou Ó¢ [ÓCtrl] ou ∏¢ [∏Ctrl]. ASTUCE Cet outil s’avère intéressant pour réaliser manuellement une mise à l’échelle centrée. L’outil Flèche (même avec ∏ [Alt]) ne permet pas cette opération.
Ce paragraphe termine l’étude des transformations. Rappelons qu’elles sont applicables à un objet ou à un ensemble d’objets. Dans le cas des images, il sera préférable d’effectuer certaines opérations de transformation dans le logiciel où cette image a été créée. Cela évitera, d’une part, des modifications de résolution qui pourront altérer la qualité de l’image (pour les agrandissements notamment), et d’autre part, des temps de calcul importants lors de l’impression. De plus, si les images sont déjà recadrées aux bonnes dimensions, elles seront plus petites, s’importeront plus vite et nécessiteront moins de mémoire.
Les traitements particuliers Les combinaisons Pathfinder La palette Pathfinder propose cinq icônes pour créer des combinaisons entre tracés. On retrouve ces opérations dans le sous-menu Pathfinder du menu Objet ; on distingue :
– l’Addition :
;
– la Soustraction : – l’Intersection :
L’ADDITION DE TRACÉS Dans la palette Pathfinder, elle s’effectue par clic sur l’icône Addition . L’addition donne un tracé unique (sauf si les tracés initiaux ne se superposaient pas). L’ensemble de tracés prend la couleur et le contenu de l’objet au premier plan ; le contour (s’il y en avait un sur l’objet au premier plan) se place sur les bords extérieurs de l’ensemble.
; Avan et après Avant addition. ad
;
– l’Exclusion du chevauchement :
;
– la Soustraction (avant-arrière) : . LLes es cinq cin combinaisons de Pathfinder. lla palette pal
Avant et après addition (le rectangle et le triangle ont des options d’arrondis).
71
I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3 Voici deux exemples d’utilisation d’addition de blocs.
Le bloc à bords partiellement arrondis Voici une méthode qui permet par addition, d’obtenir un bloc contenant un tableau dont seuls les bords supérieurs sont arrondis. Le bloc obtenu est imbriqué (l’étude des blocs imbriqués est détaillée à la fin de ce chapitre).
On obtie obtient nt ceci par pa ar addition. additio ajouté On y a aj jouté un contour.
1. Dessinez un nouveau bloc pour y créer le tableau voulu (il est préférable qu’il n’ait pas de contour extérieur). Ajustez les dimensions du bloc à son contenu (par clic sur si l’outil Flèche noire est actif, ou en tapant Ó¢C [Ó Ctrl C] dans le cas contraire).
5. Déroulez le menu contextuel (clic droit) sur le bloc et choisissez Coller dedans (ou menu Édition, au clavier ∏¢ V [Alt Ctrl V]) : le tableau se place dans le bloc et le haut présente des bords arrondis.
On a créé un bloc et adapté ses dimensions à celles du tableau qu’il contient. On peut copier ce bloc. Avec cette commande A ommand du menu contextuel, on a collé le tableau conte bloc arrondi. initial dans le bl
2. Sélectionnez ce bloc avec l’outil Flèche noire et copiez-le en tapant ¢C [Ctrl C]. Lancez Coller sur place (menu Édition ou clic contextuel, au clavier Ó∏¢ V [ÓAlt Ctrl V]). Vous obtenez deux blocs identiques superposés contenant chacun un tableau. Sélectionnez la poignée latérale supérieure du bloc et réduisez de moitié la hauteur du bloc.
La photo dans un ensemble de blocs Si vous souhaitez placer un visuel dans un ensemble de blocs, ces derniers doivent être combinés par addition. On souhaite placer une illustration dans cet ensemble de trois blocs. ensem
Dans cette superposition de blocs, on réduit réd de moitié la hauteur de celui au premier plan.
On les combine comb biine par addition. additio alors On peut pe alo orrs les remplir (par (p importation iimpo i ou collage). ll )
3. Le bloc à l’arrière-plan ayant réapparu, sélectionnez-le et affectez-lui un arrondi avec la commande Options d’arrondis du menu Objet (réglée sur l’effet Arrondis avec, par exemple, 5 mm). Le tableau se décale vers la droite mais cela n’a pas d’importance pour la suite.
LES SOUSTRACTIONS Dans la palette Pathfinder, il y a deux icônes de soustracet la tions : la Soustraction (normale : arrière - avant) Soustraction (avant - arrière) . Elles sont liées à l’ordre de superposition des tracés.
On a affectéé cet arro arrondi o au bloc au premier plan p n (le tableau tablee se décale).
4. Sélectionnez les deux blocs et réalisez l’addition en cliquant sur l’icône de la palette Pathfinder (un des tableaux disparaît). Ajoutez un contour au résultat obtenu si le tableau devait en avoir un.
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La soustraction arrière-avant Cela permet de supprimer une partie d’un dessin. Le(s) tracé(s) au premier plan (à l’avant) agissent un peu comme une gomme, ils viennent effacer une partie de l’objet à l’arrière-plan (à l’arrière) : il ne reste que la partie du tracé à l’arrière-plan qui n’était pas recouverte par d’autres tracés.
L A GESTION DES OBJETS La soustraction peut se faire par plusieurs objets ; en revanche, vous devez d’abord les sélectionner (ils sont à l’arrièreplan) et leur appliquer une addition pour créer un seul objet. Cette opération n’est pas nécessaire avec un texte vectorisé. On a fait une addition eentre ent re ces tracés avant faire la soust soustraction de fai act oon par pa arr ce a ccelui-ci. elui ci ci.
L’intersection multiple (entre plusieurs objets) Si vous essayez de l’utiliser avec plusieurs tracés au premier plan et plusieurs tracés à l’arrière-plan, la commande Intersection est inopérante. Pour contourner le problème, opérez comme pour les soustractions multiples. Sélectionnez uniquement les tracés à l’arrière-plan et lancez la commande Addition, puis sélectionnez ceux au premier plan, relancez une Addition ; sélectionnez enfin l’ensemble et lancez Intersection. On a fait une addition entre ces tracés puis intersection avec une in celui-ci. celuice ellui ui ci.
LES EXCLUSIONS DU CHEVAUCHEMENT Un texte vectorisé ctorisé ctori isé peu ppeut faire une soustraction sur un bloc.
La soustraction avant-arrière
Les objets doivent présenter une zone de recouvrement pour que l’Exclusion du chevauchement puisse créer un trou sur le fond des parties communes entre les tracés : la transparence y est totale. Contrairement aux commandes précédentes, l’exclusion peut s’effectuer avec une sélection comportant plusieurs tracés. Après addition de ces tracés, on utilise ce tracés blocc à l’arrière-plan b blo une exclusion. pour u
C’est une soustraction également, mais le ou les objets à l’arrière-plan effacent une partie de l’objet au premier plan. Il ne reste qu’une ou des parties du tracé qui étaient initialement au premier plan. Cette opération se réalise avec l’icône de la palette Pathfinder. A STUCE Si un des objets est obtenu avec une copie par glissement, il apparaît toujours au premier plan. Utilisez les commandes Disposition du menu Objet ou contextuel pour rectifier les plans.
L’INTERSECTION D’OBJETS L’intersection entre deux objets Pour utiliser la commande Intersection de la palette Pathfinder ou du menu Objet, il est indispensable que les objets sélectionnés aient une partie commune (zone de recouvrement) puisque c’est elle qui constitue le tracé final (elle prendra les couleurs de l’objet au premier plan). Cette opération est pratique pour ne garder qu’une partie d’un dessin.
L’exclusion entre un texte vectorisé vector t isé et e un bloc donnee ceci. INFO. Nous verrons, dans la partie consacrée à la transparence du chapitre suivant, qu’une sorte d’exclusion peut être obtenue avec un texte sans le vectoriser ou avec un tracé qui restera modifiable.
PATHFINDER ET LES TRACÉS TRANSPARENTS Après application d’une opération Pathfinder (Soustraction, Intersection ou Exclusion), les tracés résultants sont comme « liés » : vous avez obtenu une « forme composée », qu’InDesign appelle Tracés transparents, dans laquelle il est impossible de sélectionner ou colorer séparément un élément.
73
I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3 InDesign propose, dans le sous-menu Tracés du menu Objet, des commandes pour gérer cette forme composée et, éventuellement, la décomposer en tracés indépendants (Annuler le tracé transparent). Nous allons les examiner. I NFO. InDesign crée également des tracés transparents quand vous appliquez une addition à des tracés sans zone commune, ou quand un texte est vectorisé (pour que l’intérieur de certaines lettres, a, e, p… soit transparent).
Le tracé transparent dont parle InDesign devrait plutôt s’appeler Tracés composés (la version anglaise, l’appelle Compound Path : tracé composé). En fait, il s’agit d’un ensemble de tracés dont les parties en recouvrement sont (le plus souvent) transparentes. La création de tels tracés permet d’obtenir des formes particulières, mais leur présence peut empêcher certaines manipulations. Il faut parfois annuler ces tracés.
La création d’un tracé transparent L’obtention d’un tracé transparent est souvent automatique, cependant vous pouvez être amené (dans quelques rares cas) à en créer. Pour cela, lancez la commande Créer un tracé transparent (menu Objet/Tracés). L’ensemble prend les attributs de couleur de l’objet à l’arrière-plan, et la partie commune aux tracés disparaît en devenant transparente.
La coloration affecte toujours l’ensemble du tracé transparent.
Si, dans un ensemble de tracés, un des éléments n’a pas créé le « trou » qu’il aurait dû, sélectionnez un de ses points par encadrement avec l’outil Flèche blanche et lancez Inverser le tracé (menu Objet/Tracés).
L’annulation des tracés transparents Tous les éléments d’un ensemble de tracés transparents sont liés ; il n’est pas possible d’en sélectionner un séparément. De plus, toute coloration affecte forcément l’ensemble des tracés. Pour manipuler un élément librement (sauf pour des retouches de tracé), il faudra obligatoirement annuler cette option par la commande Annuler le tracé transparent (Objet/Tracés). La coloration peut alors se réaliser en resélectionnant l’élément voulu devenu indépendant.
Les groupes d’objets Quand des objets doivent toujours être manipulés ensemble (déplacés, copiés, transformés), il est impératif de les associer. Leur sélection avec l’outil Flèche noire en sera simplifiée ; l’ensemble agit alors comme une seule entité. Néanmoins, chaque élément de cette entité peut toujours être manipulé individuellement s’il est sélectionné avec l’outil Flèche blanche ou l’outil Position. INFO. InDesign permet désormais une sélection simplifiée d’un élément d’un groupe. Elle s’obtient directement avec l’outil Flèche noire par double-clic sur l’élément du groupe. Si cet élément est une image, l’outil Flèche blanche devient actif ; si c’est un texte, c’est l’outil Texte qui devient actif.
Pour obtenir le groupe, effectuez la sélection des éléments et lancez la commande Associer du menu Objet (au clavier ¢ G [Ctrl G]). Un cadre unique en pointillés entoure alors le groupe (il définit son encombrement). Un groupe peut lui-même être associé à d’autres objets (ou groupes) pour former un groupe plus important. À gauche, les blocs indépendants, à droite, ils ont été groupés (un seul jeu de poignées à l’extérieur du tout).
ASTUCE Pour appliquer à plusieurs objets la même mise à l’échelle par glissement (voir page 66), associez-les, glissez la poignée, ajoutez ¢ [Ctrl] pour modifier le contenu, puis dissociez le groupe pour rendre les blocs indépendants.
La transformation n’agit que sur un n des tracés bien qu’ils soient tous sélectionnés, nnés,
On annule le tracé transparent, la coloration devient possible. ASTUCE Avec certains morceaux décomposés (cas du « R » dans l’exemple), il faut parfois appliquer une opération Pathfinder de type Exclusion pour obtenir un résultat correct.
74
Si on crée un groupe, la mise à l’échelle s’applique que à l’ensembl l’ense l’ensemble des tracés (et à leur contenu avec ¢ [Ctrl]).)
L A GESTION DES OBJETS Pour déplacer un seul élément d’un groupe, la méthode dépend type du bloc (d’image ou de texte). Cependant, dans tous les cas vous sélectionnez le groupe avec l’outil Flèche noire, puis activez l’outil Flèche blanche et glissez le bloc à déplacer. Vous pouvez aussi sélectionner le bloc par clic avec l’outil Position, puis activer l’outil Flèche noire et déplacer le bloc avec les touches fléchées. S’il s’agit de déplacer un sousgroupe, sélectionnez-le par quelques clics avec l’outil Flèche blanche + (Flèche blanche et ∏ [Alt]), enfoncez ¢ [Ctrl] et glissez le cadre d’un des éléments (et non pas son contenu).
Quand plusieurs blocs sont sélectionnés, la palette Contrôle affiche, dans sa partie droite, certaines icônes de la palette Alignement avec au centre de ces derniers une icône pour définir la référence de l’alignement.
Selon la sélection on peut voir ceci. eci. En cliquant eci cliqu qu t ici, ici ci, on voit cee menu.
ATTENTION S’il y a un groupe dans la sélection, il se comporte comme un objet unique s’il a été sélectionné avec l’outil Flèche noire ; en revanche, ses constituants réagissent indépendamment s’ils ont été sélectionnés avec l’outil Flèche blanche ou l’outil Position. On sélectionne tionne le groupe gr avec l’outil Flèche he noire et on active l’outil Flèche blanche. e.
LES ALIGNEMENTS
On glisse le bloc à l’endroit voulu.
La sélection d’un sous-groupe dans un groupe peut s’effectuer à partir des icônes , , et de la palette Contrôle ; en revanche, il sera préférable, dans ce cas, de faire les déplacements avec les touches fléchées, les cases X et Y de la palette Contrôle ou encore la commande Déplacement.
Avec la version CS3, il faut distinguer deux types d’alignement : ceux entre les objets (la sélection) et ceux par rapport à un élément de référence (marges, page ou planche). ATTENTION Quand vous utilisez les icônes d’alignement (ou de répartition), vérifiez que le menu local de la palette Contrôle correspond bien au critère que vous souhaitez.
L’alignement sur la sélection Pour dissocier un groupe, sélectionnez-le et lancez Dissocier du menu Objet (au clavier Ó¢ G [ÓCtrl G]). Si le groupe contient des sous-groupes, il faudra dissocier plusieurs fois pour aboutir aux éléments individuels.
Les alignements et les répartitions d’objets
Dans ce cas, les six icônes de la première série permettent de placer sur un axe horizontal ou vertical certains points des objets sélectionnés : points gauches , centres , ou hauts , centres et bas . L’axe d’alignedroits ment est placé sur le point de l’objet qui correspond le mieux au critère choisi (le plus haut, par exemple, dans le cas d’un alignement par ) ou sur une position moyenne des extrêmes pour l’option centrée.
La palette Alignement, affichée avec ses options, comprend trois rangées d’icônes : la première pour les alignements, la deuxième pour les distributions et la troisième pour les espacements d’objets. Au centre apparaît un menu pop-up qui permet de définir une référence à cet alignement.
Dans cette palette, on peut définir référence aux alignements. une ré
On a sélectionné ces trois groupes avec a l’outil Flèc Flèche noire.
On les a alignés sur le haut ( ).
75
I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3
L’alignement sur une référence Dans ce cas, la sélection ne peut comporter qu’un seul élément. L’alignement s’effectue par rapport au critère choisi de la palette Contrôle ou celui de dans le menu local la palette Alignement. Par exemple, en choisissant l’option Sur les marges et les icônes et , on peut facilement centrer un objet dans le rectangle d’empagement ou entre les deux colonnes d’une mise en pages en colonnes.
LES RÉPARTITIONS (DES POINTS) DES OBJETS Dès que la sélection comporte deux éléments (ou plus), les six icônes de répartition deviennent accessibles dans la palette Contrôle (ou utilisable dans la deuxième rangée de la palette Alignement). Ils s’utilisent pour répartir l’espace de manière identique entre certains points de référence de chaque objet (points gauches, centres, droits…). Seuls les objets aux extrémités (gauche, droite, ou haute et basse) ne bougent pas sauf si vous avez choisi une référence autre que Sur la sélection. En général, les résultats ne sont intéressants qu’avec des objets ayant des dimensions identiques (dans ce cas, les trois icônes donnent le même résultat), car il s’agit de l’espace entre les points de référence des objets et non pas entre les objets eux-mêmes. Une option permet de définir une valeur d’espacement entre les points choisis (elle est sans effet avec les références d’alignement Sur les marges, Sur la page et Sur la planche). Avec des objets différents, utilisez plutôt la commande d’espacement (voir ci-après).
On a sélectionné né ces troi trois is groupess précédemm précédemment alignés.
On les a répartis avec cette option
.
LES ESPACEMENTS ENTRE LES OBJETS Les espacements entre objets ne sont disponibles que dans la palette Alignement. En effet, les deux icônes ( et ) de la troisième rangée permettent de spécifier le même espace entre les bords des objets sélectionnés. Une option permet de définir une valeur d’espacement entre les objets. Cette valeur peut être nulle, dans ce cas les objets sont bord à bord ; elle peut aussi être négative, il y a alors chevauchement entre les objets.
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On a réglé l’espacee entre ces trois groupes avecc ces options options. s. On avait utilisé ce même typee de réglage pour espacer la photo et sa légende. À con condition de faire une sélection avec l’outil Flèche blanche, on peut réaliser l’opération sans dissocier le groupe. l’opér
Les superpositions d’objets Quand vous créez des objets sur un calque, le dernier dessiné se place au-dessus des autres. De même, quand vous copiez un objet par glissement, la copie se place toujours devant les autres objets du calque. Le sous-menu Disposition du menu Objet (ou menu contextuel) permet de modifier l’ordre des superpositions à l’aide de quatre commandes : Premier plan envoie devant tous les objets du calque actif, En avant fait monter d’un plan, En arrière fait descendre d’un plan et Arrière-plan envoie derrière tous les objets du calque actif. Comm le menu Objet, le Comme menu contextuel permet des plans sur la gestion ges même calque. un m
INFO. Un groupe d’objets se gère comme un objet unique. Quand vous sélectionnez l’un de ses constituants, vous ne pouvez modifier son ordre de superposition qu’au sein du groupe.
Le verrouillage des blocs La commande Verrouiller la position (menu Objet ou contextuel) permet de fixer la position d’un objet dans la mise en page (un cadenas s’affichera). L’objet verrouillé reste sélectionnable pour l’application de certains traitements mais ne peut être ni déplacé manuellement, ni transformé par les outils ou les palettes. On le libère par la commande Déverrouiller.
L A GESTION DES OBJETS
Les objets ancrés Il faut distinguer les objets ancrés et les objets imbriqués. Les premiers sont des objets « insérés » dans un texte, alors que les seconds sont « collés » dans un bloc d’image (leur étude est abordée à la fin de ce chapitre).
Le principe de l’ancrage dans un texte et sa réalisation LE PRINCIPE ET LES UTILISATIONS DES OBJETS ANCRÉS Un objet ancré est un bloc de texte, un bloc d’image, un trait, un filet ou encore un groupe d’objets dont la position est définie par rapport au texte, c’est-à-dire qu’il est placé au niveau d’un caractère et le restera quel que soit le traitement que vous ferez subir au texte. En effet, si vous supprimez ou ajoutez du texte ou, plus généralement, si vous modifiez son encombrement, l’objet ancré suivra le mouvement de manière à conserver sa position par rapport aux caractères entre lesquels il a été ancré. L’ancrage d’un bloc est intéressant dans de nombreux cas. En voici quelques exemples : – ajouter un cadre autour d’un titre ou d’un sous-titre ; – incruster une petite image en remplacement d’une lettre ou d’un mot ; – placer une lettrine créée (par vectorisation) ou importée ; – conserver le positionnement d’une illustration (un logo ou un pictogramme, par exemple) par rapport à un en face paragraphe. C’est le cas des pictogrammes de certains paragraphes de ce livre, mais également de la majorité des copies d’écran de ce livre (elles font partie d’un groupe avec leur légende et les flèches) ;
4
– insérer un tableau de données dans un texte (la plupart des tableaux de ce livre sont des objets ancrés, voir un exemple page 71) ; – placer un rectangle coloré ou une photo sous un paragraphe (en utilisant certains modes de positionnement ou un mode de fusion) ; – créer une case à cocher ou à remplir. Selon ses options, un objet ancré réagit comme un caractère. On peut lui affecter quelques-uns des attributs typographiques qui s’appliquent d’habitude aux caractères ou aux paragraphes : sélection en tant que texte, copier-coller, décalage vertical, interligne, alignement… Il est même possible d’ancrer un bloc dans un objet ancré.
L’OBTENTION DE L’OBJET ANCRÉ L’ancrage de l’objet s’effectue selon plusieurs méthodes : – collage : méthode applicable à tout type de bloc ou groupe ;
– importation : n’est envisageable qu’avec une illustration ; – insertion d’un emplacement : cela permet de placer un bloc (de texte, d’image ou sans contenu) non rempli.
L’ancrage par collage Il s’effectue en deux étapes. Avant son ancrage, le bloc peut être rempli par une image ou un texte selon le cas ; mais même ancré, le contenu du bloc pourra être modifié, remplacé ou effacé. Le bloc peut être coloré (aplat ou dégradé) ou se voir attribuer un contour.
1. Couper avec l’outil Flèche noire : pour ancrer, sélectionnez l’élément à ancrer avec l’outil Flèche noire et coupez-le en tapant ¢ X [Ctrl X] : l’élément disparaît.
1 5 2
On sélectionne le blocc pour le couper (ou le copier). pier).)
2. Coller avec l’outil Texte : activez l’outil Texte et placez le 3 2
4
Bloc ombré pour un titre ; 2 Petit dessin ou flèche ancrée ; Groupe de blocs (image + textes) ; 4 Remplacement d’un texte par une image ou un bloc ; 5 Lettre vectorisée (remplie d’une image).
point d’insertion à l’endroit voulu dans le texte ou sélectionnez le texte que l’objet ancré doit remplacer, éventuellement, tapez un retour paragraphe pour créer une ligne vide dans laquelle vous placerez le bloc ; collez le contenu du presse-papiers (¢ V [Ctrl V]). L’objet ancré apparaît ; selon sa taille, il chasse une partie du texte.
1 3
ATTENTION Pour ancrer plusieurs blocs, il faut les grouper.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3
L’ancrage par insertion d’un emplacement Cette possibilité d’ancrage apparaît avec la version CS2. Elle consiste, une fois le point d’insertion placé dans le texte, à lancer la commande Insérer du sous-menu Objet ancré du menu Objet ou du menu contextuel.
On place le point d’insertion rtion dans le texte et on colle.
La base de l’objet ancré repose sur la ligne de base des caractères adjacents ; le point d’insertion clignote derrière le bloc, sa hauteur est la même que celle de l’objet ancré. En général, l’objet ancré nécessite certains traitements pour parfaire son positionnement dans le texte ; ceux-ci sont abordés un peu plus loin. I NFO . Si le bloc que vous ancrez est plus large que la colonne ou le bloc de texte dans lequel vous souhaitez l’ancrer, il débordera du bloc (une partie du texte peut disparaître mais elle réapparaîtra en redimensionnant l’objet ancré).
L’ancrage par importation Si les dimensions de l’image que vous allez ancrer sont bien inférieures à celles du bloc de texte, vous pouvez utiliser cette méthode d’ancrage. Sinon, il est préférable d’importer l’image en la plaçant sur une zone vide de la page, de redimensionner l’image, puis de l’ancrer selon la méthode précédente (par collage).
On n place le point d’insertion d’i et on lance cette commande. mmande mmande.
Une fenêtre apparaît : vous pouvez y définir le type du contenu, les styles utilisés (nous en parlerons à la fin de ce chapitre), la taille du bloc (elle sera modifiable par la suite) ainsi que sa position par rapport au texte selon deux options : Personnalisé ou Sur la ligne ou au-dessus de la ligne. La première offre de nombreuses possibilités de placements que nous étudierons plus loin, la seconde donne un placement plus classique comme celui obtenu par collage ou importation.
Pour un ancrage par importation, il suffit de placer le point d’insertion dans le texte, ou de sélectionner le texte à remplacer par l’image, et de lancer la commande d’importation du menu Fichier.
Ici, ci, on a inséré une ligne vide puis centré le para paragraphe.
On importe l’image, elle mage, el lle s’ancre dans la ligne vide.
Si l’image prend la place d’un mot ou s’insère entre deux lettres, il faudra la décaler verticalement pour la centrer par rapport aux autres caractères de la ligne. Pour éviter qu’une image un peu grande ne couvre une partie du texte lors de son ancrage, réglez l’interligne de la ligne sur l’option Automatique (palette Contrôle) avant d’importer l’image. Ces réglages, et quelques autres, vont être étudiés dans les paragraphes qui suivent.
78
Ici, ci, on peut perso personnaliser la position du bloc et avec vec cette option, plus classique. on obtient ce type de placement p
L A GESTION DES OBJETS
ASTUCE Afin de bénéficier d’un aperçu qui facilite le positionnement, vous pouvez valider la fenêtre d’insertion de l’objet ancré avec les options de positionnement par défaut puis lancer menu Objet/Objet ancré/Options (ou contextuel) pour retrouver la fenêtre de réglages.
Les sélections et les traitements du bloc ancré
La position de l’objet ancré
La nature du traitement réalisable varie en fonction du type de sélection réalisée (elle-même dépend de l’outil utilisé pour la faire). Dans tous les cas, la sélection du bloc ancré ou de son contenu donne la possibilité d’accéder à ses options d’objet ancré (elles permettent sont positionnement, voir page suivante). Le tableau ci-dessous résume les autres actions ou traitements possibles : Outil Flèche noire
Outil Position
Contenu/ Objet ancré Objet ancré
Contenu
Objet ancré
Flèche blanche
Contenu
Objet ancré Outil Texte
Objet ancré
I NFO . Si un texte comporte un objet ancré et que les caractères masqués sont affichés (menu Texte), le signe apparaît au point d’ancrage de l’objet, c’est le marqueur d’ancrage. De plus, si la position du bloc a été personnalisée (voir plus loin) et la commande Afficher le texte lié (menu Affichage) a été lancée, un trait en pointillés relie ce marqueur ( ) à une ancre placée sur l’objet ancré.
InDesign comporte une fonctionnalité pour gérer les options de l’objet ancré : la commande Options accessible à partir du sous-menu Objet ancré (du menu Objet ou du menu contextuel). Elle permet de positionner le bloc ancré, non seulement par rapport à la ligne de texte dans laquelle il est ancré, mais également par rapport au bloc de texte ou encore à la page. Ses réglages pourront être ajoutés à un style d’objet (ce que nous verrons à la fin de ce chapitre).
Méthode de sélection Clic sur l’objet ancré.
Traitements réalisables (en plus des options de bloc ancré) Traitements du conteneur 1 et remplissage (pour les images).
Image Clic sur l’objet ancré. Texte Double-clic sur le bloc*. Non attribué Clic sur l’objet ancré mais avec ¢ [Ctrl] pour les images.
Traitements de l’image 2 ou édition du texte.
Image
Traitements de l’image ou édition du texte
Clic sur l’objet ancré.
Texte Double-clic sur le bloc*. Non attribué Clic sur l’objet ancré mais avec ¢ [Ctrl] pour les images. Sélection** ou ratissage dans le texte où est ancré le texte.
Idem flèche noire. Idem flèche noire.
Idem flèche noire. Idem flèche noire mais aussi traitements du tracé 3. Traitements de texte 4.
* Un double-clic sur le bloc active automatiquement l’outil Texte : le point d’insertion clignote dans le bloc. ** Le bloc ancré se sélectionne comme un caractère (il apparaît en surbrillance). Pour certains réglages, il suffit de cliquer devant (ou derrière) l’objet ancré pour placer le point d’insertion dans la ligne de texte. 1. Traitements du conteneur : déplacement, transformation (mise à l’échelle, rotation, inclinaison… par la palette Contrôle ou les outils), coloration, transparence, remplissage (pour les images), ajout d’une ombre ou d’un effet d’arrondi, détourage… 2. Traitements de l’image : recadrage, mise à l’échelle… (traitements du conteneur appliqués à l’image). 3. Traitements du tracé : modifier, retoucher le tracé (déplacer, ajouter, supprimer, convertir un point). 4. Traitements de texte : alignement, interligne, décalage vertical… Ici, on a fait pivoter le bloc avec l’outil Transformation manuelle. Là, on a ajouté une ombre portée à l’image.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3 Cette commande remplace différents réglages de positionnement qui se réalisaient par sélection de l’objet ancré en tant que texte : décalage vertical, alignement, espace avant ou après… Elle comporte deux rubriques de positionnement : Sur la ligne ou au-dessus de la ligne et Personnalisée.
L A POSITION SUR LA LIGNE OU AU - DESSUS DE LA LIGNE Ce type de positionnement comporte deux choix : Sur la ligne et Au-dessus de la ligne. Dans les deux cas, l’objet est à l’arrière-plan.
Sur la ligne Cela correspond au positionnement classique d’un objet ancré dont la taille est généralement petite par rapport au texte (cas d’un petit objet qui remplace un mot, par exemple). C type Ce typ de positionnement propose deux types de propo p prop placement. p place e
Avec l’option Sur la ligne, le bas de l’objet ancré s’aligne sur la ligne de base du texte (ligne ou repose les lettres sans jambage telles que a, e, i). La valeur de la case Décalage sur Y permet d’ajuster sa position verticale mais celle-ci ne peut varier que dans certaines limites liées à l’interligne du texte. Le réglage du décalage entraîne une modification de l’interlignage de la ligne sur lequel se trouve l’objet ancré (en fait, quand l’interligne n’a pas une valeur absolue, c’est la ligne qui monte ou descend et non le bloc ancré).
ASTUCE Pour déplacer un objet positionné Sur la ligne ou au-dessus de la ligne de manière qu’il se trouve hors du bloc de texte, convertissez-le en objet positionné avec l’option Personnalisée.
Au-dessus de la ligne Ce choix correspond au positionnement effectué en ajoutant un paragraphe vide pour recevoir l’objet ancré. Avec l’option Au-dessus de la ligne, l’objet ancré se place audessus de la ligne contenant le marqueur d’ancrage. Vous pouvez définir l’Alignement de l’objet ancré sur cette « ligne » ajoutée par InDesign, ainsi que l’Espace avant ou après l’objet. Les alignements de l’objet ancré Le menu local Alignement proposer six alignements répartis en trois catégories.
Ce choix cho oix évite évi l’ajout d’une ligne vide. vide Ce Ce menu propose six alignements. p nts.
Les alignements classiques (Aligné à gauche, Aligné à droite ou Centré) : ces trois options ne tiennent pas compte des retraits que possède le texte dans le bloc ou la colonne.
L’objet et est sur la l ligne de base du texte. En saisissant une valeurr de d décalage dé l g sur Y on « descend » l’objet. Le bloc avec ec la position sur la a ligne et au-dessus u-dessus de la ligne.. On peut choisir de le centrer.
Le bloc ancré peut être déplacé manuellement (verticalement seulement), par glissement ou avec les touches fléchées, s’il a été sélectionné en tant qu’objet ancré : Flèche noire ou ¢ clic [Ctrl clic] avec l’outil Position. Ce déplacement peut être interdit avec l’option Empêcher le positionnement manuel dans la fenêtre Options du bloc ancré.
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Les alignements réels (Alignement du texte) : l’objet ancré garde l’alignement du paragraphe dans lequel se trouve le marqueur d’ancrage. Les retraits du paragraphe sont conservés.
L A GESTION DES OBJETS Les alignements relatifs (apparus avec la CS2, Aligné au dos ou Aligné à l’opposé du dos) : l’alignement change selon que le bloc se trouve sur un recto ou un verso. L’élément aligné au dos est à gauche sur un recto, à droite sur un verso. Ici aussi les retraits ne sont pas pris en compte.
INFO. Si la ligne contenant le marqueur d’ancrage passe sur la colonne ou la page suivante (du fait de l’encombrement du bloc ancré ou du texte), l’objet ancré reste solidaire et passera sur la même colonne ou page que la ligne du marqueur.
L A POSITION PERSONNALISÉE Dans cette rubrique, vous devez définir des points de référence : celui de l’Objet ancré et celui de la Position ancrée.
Deux zones de référence de référe e : ll’ancrage l’ancr ancrr celle de d l’objet et celle ll de d la position.
Ces blocs locs ancréss au-dessus de la ligne avec l’option Aligné au dos. Si un bloc passe est modifié. pa sur l’autre page, son alignement p g
Si vous cochez l’option Relative au dos, les points de référence sur l’objet ancré et sur la page (Position ancrée) seront liés à la nature de la page (recto ou verso). Les icônes et les positions des points de référence changent.
Les espaces avant et après Ces options permettent d’augmenter ou de réduire les espaces entre l’objet et les lignes de texte situées au-dessus et en dessous de l’objet ancré.
Sans ou avec l’option relative au dos, les points de dos référence ont des positions positio ou dess différents.. liens d
Quand le bloc est placé au-dessus de la ligne, on peut augmenter l’espace avec les lignes adjacentes et les options d’espacement.
Espace avant définit la position de l’objet par rapport au bas de la ligne qui précède l’objet. Les valeurs positives font baisser l’objet et le texte situé en dessous ; les valeurs négatives font remonter le texte situé sous cet objet. La valeur négative maximale correspond à la hauteur de l’objet.
Ces blocs ocs ont un n ancrage personnalisé avec l’option Rela Relatif au dos. Si un position est modifiée. u bloc ppasse sur l’autre page, p g , sa p mo
Espace après correspond à la distance entre l’objet et le haut de la ligne située sous l’objet. Les valeurs positives écartent le texte situé sous l’objet ; les valeurs négatives le font remonter vers cet objet — l’objet ancré peut apparaître sous le texte qui le suit. Cette option peut permettre de « glisser » un fond coloré sous un paragraphe (voir plus loin, les réglages particuliers).
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3
Le point de référence sur l’Objet ancré Ce point indique la zone de l’objet qui sera alignée avec le point de la page défini comme référence d’ancrage, c’est-àdire avec la Position ancrée dans le texte (voir ci-après). Pour définir ce point sur l’objet, cliquez sur l’un des neuf points ou . de l’icône
Le point oiint de rré référence de l’objet s’aligne sur le marqueur m marqueur.r
L’objet peut être déplacé dans la fenêtre Options d’objet ancré avec les cases Décalage sur X et Y, ou, directement sur la page, par glissement ou avec les touches fléchées. Attention, l’objet ancré étant au premier plan, modifiez éventuellement ses options de fusion pour voir le texte à l’arrière-plan. Bord de colonne et Bloc de texte : ces deux options sont équivalentes quand le bloc ne possède qu’une colonne. Le point de référence de l’objet se place contre le bord du bloc (ou contre la gouttière si le texte ne se trouve pas dans la première colonne). Un décalage sur X permet de l’écarter un peu. Selon le point de référence sur l’objet et sur la page, l’objet ancré peut se trouver à l’intérieur du bloc de texte. C’est l’option que j’utilise pour placer des petits pictogrammes (voir ci-contre) dans la gouttière ou sur la gauche de la première colonne. Cee blo C bloc ancré a été réglé avec ces c options..
Le point de référence de la Position ancrée Le point indique l’endroit de la page sur lequel s’alignera le point désigné sur l’objet ancré. Cette référence d’ancrage est définie à l’aide des menus locaux Axe des X relatif à et Axe des Y relatif à, et par clic sur l’un des points de l’icône ; elle est affinée avec les valeurs de décalage. ou La position sur l’axe des X Le menu local Axe des X relatif à comporte cinq options. LLes cin cinq options de placement horizontal (X) de l’objet ancré. horizo
Marqueur d’ancrage : l’objet se place contre le signe ; sa position reste fixe indépendamment du point de référence . Si l’objet est grand, il couvre le de Position ancrée texte ; aussi, cette option n’est intéressante (dans quelques rares cas) que pour les petits objets que l’on souhaite placer sur une partie du texte (une lettre, un mot qu’il n’est pas possible de mettre dans l’objet ancré). Ces d deux signes (? et !) doivent être « couverts» par un cercle coloré (avec un mode de fusion color ad d hoc). h
Marge de page : cette option donne le même résultat que Bloc de texte sauf dans le cas où les marges de la page ne coïncident pas avec le bord du bloc de texte. Bord de page : cette option permet le placement de l’objet ancré contre le bord de la page. Attention, selon son point de référence, l’objet peut se trouver hors de la page. Une valeur négative de décalage sur X permettra de ramener l’objet vers l’intérieur de la page et une valeur positive le fera sortir (pour une image à fond perdu, par exemple).
Le blocc réglé par rapport rt au bord de la page (avec ( un léger décalage) e) et ci-contre, il est réglé par rapportt au bord de la margee (également avec un décalage).
ancre un premier cercle. On an
On règle rè ses options de position. On le copie puis on le colle pour le second signe. On obtient ceci. secon
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I NFO . Avec les quatre positions horizontales, Bloc de texte, Bord de colonne et Marge ou Bord de page, et l’une des positions verticales relatives à la Ligne, une option supplémentaire devient accessible. Il s’agit de Conserver dans les limites supérieures/inférieures de colonne : elle permet de décaler la position de l’objet ancré afin qu’il ne déborde pas du bas ou du haut du bloc de texte.
L A GESTION DES OBJETS
Le texte d’ancrage hors de la page On a activé Conserver dans les limites… pourr que l’objet se cale sur le bord du bloc.
La position sur l’axe des Y Le menu local Axes des Y relatif à comporte sept options.
Le bloc de texte dans lequel les objets sont ancrés peut se trouver hors de la page. Si un de ses bords la touche, les objets ancrés qu’il comporte se positionneront correctement par rapport aux marges ou aux bords de page avec des réglages personnalisés. Ceci peut s’avérer intéressant pour créer des blocs particuliers (folio, titre…) dans un gabarit (page type).
Les se sept options de placement vertical (Y) de l’objet ancré. vertic
Il y a trois options Ligne : Ligne de base, Hauteur des capitales et Haut de la ligne-bloc. La première place le point de référence de l’objet ancré sur une ligne située sur la base des lettres sans jambage (a, e, i, x, etc.). La deuxième amène l’objet sur une ligne située en haut des capitales. Quant à la troisième, elle place l’objet sur la ligne de base de la ligne précédente. Pour placer l’objet à gauche ou à droite de la ligne, choisissez ou . en conséquence le point de référence
Cee bloc est hors du gabarit, g il comporte deux omporte deu ux blocs bloc ancrés (titre et ffolio) li ) quii se placent correctement sur la page dès que le bord du bloc père touche la page.
Bord de colonne et Bloc de texte : ces deux options donnent le même résultat. Le point de référence de l’objet se place contre le bord du bloc. Marge de page : cette option donne le même résultat que Bloc de texte sauf si les marges de la page ne coïncident pas avec le bord du bloc de texte. Bord de page : cette option place l’objet contre le bord de la page. Attention, selon son point de référence, l’objet peut se trouver hors de la page. Un décalage positif sur Y descend l’objet dans la page alors qu’une valeur négative le monte. On peut utiliser cette option pour placer automatiquement des repères de plis verticaux dans le cas de pages multiples.
Le folio et le titre se placent « automatiquement » si une copie du bloc père p touche un recto.
Q UELQUES RÉGLAGES PARTICULIERS Le réglage de l’interligne Dans le cas d’un objet ancré sur la ligne, si l’interligne n’est pas en automatique ou pas assez grand, des parties de lignes peuvent être chassées ou couvertes par l’objet ancré. Si l’interligne n’est pas le même pour toutes les lignes du paragraphe de l’objet ancré, les espacements entre les lignes ne seront pas réguliers. Pour les harmoniser, réglez l’interligne dans la palette Caractère ou Contrôle (case ) après avoir sélectionné la totalité du paragraphe avec l’outil Texte.
L’objet couvre le texte. t On rectifie ici iici apr après sélection on des lig lignes.
L’espace de chaque côté de l’objet ancré Pour modifier l’espace entre un objet ancré sur une ligne et le texte qui l’encadre, vous devez régler le crénage (approche de paire) : cliquez devant ou derrière l’objet et utilisez la case Crénage ( ) des palettes Contrôle (ou Caractère) ; vous pouvez aussi ajouter des espaces.
On règle ici l’espacee entre l’objet l objet ancré et le texte text qui l’encadre.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3 Si l’objet ancré est le premier signe du paragraphe, vous pouvez écarter le texte en définissant (palette Contrôle ou Paragraphe) une lettrine sur le nombre voulu de lignes et en augmentant l’approche entre l’objet et le caractère qui le suit. Cependant, si la lettrine doit avoir un habillage particulier, il faudra opérer comme indiqué dans les paragraphes qui suivent.
A STUCE Si vous comptez utiliser ce type de paragraphe pour d’autres ancrages de ce genre, n’hésitez pas à en faire un style de paragraphe (en cliquant sur l’icône de la palette Styles de paragraphe).
On a créé ce stylee (que l’on a renommé)) en cliquant ici.
2. Une fois les réglages du paragraphe terminés, ancrez le
Pour écarter rter le texte, text on a défini une lettrine t ne et au tri augmenté le crénage.
bloc qui devra être habillé. Sélectionnez le bloc ancré et réglez sa position (personnalisée) par rapport au texte. Par exemple, contre le bord droit du bloc et descendu avec l’option Décalage sur Y ou par glissement. On ancre le bloc et sa oon personnalise pe position sur le texte. p positi
L’objet ancré et son habillage par un texte Il n’est pas possible d’utiliser les fonctions d’habillage avec un objet ancré sur une ligne. De même, dans le cas d’un ancrage avec un positionnement personnalisé, l’habillage ne fonctionne que pour les lignes situées sous la ligne contenant le marqueur d’ancrage ( ). Pour pallier ce problème, vous pouvez utiliser l’astuce suivante :
1. Juste au-dessus du paragraphe contenant le texte qui doit habiller le bloc ancré, ajoutez un retour paragraphe vide. Sélectionnez ce paragraphe et réglez le coprs à 0,1 pt et l’interligne à 0 (case ). De même, supprimez les espaces avant ou après paragraphe s’il y en avait. Pour être sûr que le paragraphe du bloc ancré ne se désolidarise pas du texte qui l’habille, affichez la fenêtre Options d’enchaînement (menu local de la palette Paragraphe ou Contrôle) pour saisir 2 à la rubrique Paragraphes solidaires.
3. Affichez la palette d’habillage (menu Fenêtre/Habillage de texte) et réglez la position du texte. Par exemple, l’icône donnera un habillage selon la forme du bloc ancré, et l’option selon la forme de l’image (le menu local Options de contours et l’option Détecter les contours, permettent au texte d’épouser l’image). On règle l’habillage dans cette palette. p
On n ajoute un paragraphe paragrap phe h vide et on règle son corps et son so interligne.
Avec cette valeur,, on « attache » le paragraphe au texte qui suit.
On peut réaliser le même t ype d’ef fet avec une lettrine (texte vectorisé) que l’on souhaite habiller comme une image. ATTENTION Si vous n’obtenez pas l’habillage du bloc ancré par le texte, c’est peut-être que le bloc contenant le texte a été réglé avec l’option Ignorer l’habillage (voir Objet/ Options de bloc de texte).
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L A GESTION DES OBJETS
Le placement de l’objet à l’arrièreplan d’un paragraphe Il est possible de placer un bloc à l’arrière-plan d’un paragraphe pour créer un fond coloré (voire y placer une photo). Pour cela, utilisez un positionnement avec l’option Audessus de la ligne et un Espace après de valeur négative importante. Attention, avec un positionnement Personnalisé, l’objet ancré passe au premier plan.
L’intérêt de telles imbrications, réside dans le fait que le bloc conteneur joue le rôle de masque sur les éléments imbriqués qu’il contient et qu’il peut avoir une forme que l’on ne pourrait pas directement utiliser pour le contenu.
Le texte à gauche ne devient plus visible dans un bloc circulaire de petite taille (au centre) ; par imbrication, il reste visible (à droite).
L’OBTENTION DE L’IMBRICATION L’imbrication s’effectue en deux opérations réalisées avec l’outil Flèche noire : 1. Couper avec l’outil Flèche noire : pour imbriquer, sélectionnez l’élément avec l’outil Flèche noire et coupez-le en tapant ¢ X [Ctrl X] : l’élément disparaît.
Cett effet est réalisé avec vec un objet obje ancré ayant ces options de positionnement.
On sélectionne sélect ce bloc pour l’imbriquer et on le coupe co mbriquer dans ce bloc. blo ATTENTION Pour placer plusieurs blocs, il faut les grouper.
2. Coller dedans avec l’outil Flèche noire : sans changer
L A COPIE OU LA SUPPRESSION DE L’OBJET ANCRÉ La copie de l’objet ancré se fait avec l’outil Flèche noire ou l’outil Texte. Le premier rend le bloc indépendant lors du « collage » ; le second permet d’ancrer le bloc à d’autres endroits dans le texte. Pour supprimer l’objet ancré, sélectionnez-le en tant que texte ou bloc, puis effacez-le. Pour le rendre indépendant, la méthode diffère selon que la position de l’objet ancré a été réglée ou non avec l’option Personnalisé. Dans le premier cas, sélectionnez l’objet ancré avec l’outil Flèche noire, lancez la commande Annuler du menu Objet/Objet ancré. Dans le second cas (non personnalisé), coupez l’objet avec ¢ X [Ctrl X] puis collez-le avec ¢ V [Ctrl V].
Les imbrications d’objets On parle d’objets ancrés pour les objets « insérés » dans un texte, alors que l’on parle d’objets imbriqués pour les objets « collés » dans un bloc d’image.
LE PRINCIPE ET L’INTÉRÊT Lorsqu’un objet contient un autre objet, on dit que l’objet contenu est imbriqué. Il est possible d’imbriquer un tracé, un bloc ou un groupe dans un bloc. Vous pouvez également utiliser toute combinaison de tracés, de blocs et de groupes pour créer des hiérarchies d’objets par imbrications (voir également, le tableau partiellement arrondi, page 72).
d’outil, sélectionnez le bloc (d’image ou de texte) ; lancez Coller dedans du menu Édition (ou menu contextuel, au clavier ∏¢ V [Ctrl Alt V]). L’objet imbriqué (contenu) se centre dans le bloc conteneur ; avant de couper, pour que ce centrage soit profitable, il est parfois utile de redimensionner l’objet à imbriquer (en cliquant par exemple, sur l’icône de la palette Contrôle).
O a oobtenu ceci en u On utilisant ccette ccommande nde du menu m ccontextuel. contex Avec cet objet dont la taille a été réduite, on obtient directement ce résultat. direct sultat.
Selon la forme et la taille respective des blocs, l’objet imbriqué peut n’être que partiellement visible (le conteneur joue le rôle de masque) : sélectionnez-le avec l’outil Flèche blanche ou l’outil Position pour le déplacer. On peut sélectionner le contenu con te (outil Position) et le déplacer dép la dans le conteneur. eneur.
Si vous utilisez à nouveau la commande Coller dedans pour imbriquer un autre bloc, celui-ci prendra la place du précédent. En effet, il ne peut y avoir qu’un seul élément imbriqué dans un bloc ; cependant, l’élément imbriqué peut lui-même contenir un élément imbriqué.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 3 Au lieu d’imbriquer un bloc, il est possible d’imbriquer un groupe complet ; cette opération permet de placer dans un bloc plusieurs éléments, ainsi l’ensemble se manipulera comme un seul élément.
Dans tous les cas, il doit être sélectionné avec l’outil Flèche blanche, l’outil Position ou l’outil Texte, ou encore, après sélection du conteneur, par clic sur l’icône Sélectionner enu de la palette Contrôle. le contenu On sélectionne O sé le conteneur neur puis le bloc imbriqué ( contenu). tenu).
À partir de cet ensemble de 4 blocs, ensem on a ccréé un groupe…
…on peut alors le coller (imbriquer) dans ce blocc et lui affecter une ombree interne.
Si l’imbrication doit se réaliser dans un ensemble de blocs, utilisez l’opération Addition du Pathfinder pour que cet ensemble puisse recevoir les blocs imbriqués ; cette opération n’est pas nécessaire avec un texte vectorisé.
On peut le transformer (pivoter, agrandir…).
On peut aussi éditer si édit ter le texte qu’il contient.
On a sélectionné le contenu pour le faire pivoter..
LES PROPRIÉTÉS DU BLOC CONTENEUR
Le texte imbriqué dans un texte vectorisé ctorisé reste éditable. éd
LES PROPRIÉTÉS DU BLOC IMBRIQUÉ Bien que le bloc imbriqué soit situé à l’intérieur d’un autre bloc, il garde ses propriétés : il peut être déplacé, transformé, édité dans le cas d’un texte, on peut lui ajouter une ombre…
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Le bloc conteneur garde ses propriétés classiques, il joue le rôle de masque sur les éléments qu’il contient. Cela peut être utile pour cacher une partie des objets imbriqués, voire pour masquer une partie d’une ombre portée et créer ainsi un effet d’ombre interne sur un objet troué par un autre. On sélectionne O sé conteneur. lee con On peut le colorer, ajouter des effets… On peut le transformer seul (outil Flèche noire) ( ou ave avec son contenu (par Transformation manuelle). Transfo
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET
4 Les enrichissements des objets et les styles d’objet Dans le chapitre qui précède, nous avons abordé les traitements des objets. Nous allons voir maintenant comment changer leur aspect, c’est-à-dire les enrichir. Cette étude comporte plusieurs parties : la première concerne leur coloration, c’est-à-dire la gestion des couleurs, des contours et des dégradés ; la seconde concerne la transparence, elle englobe l’opacité des objets, le mode de fusion des couleurs superposées mais également des attributs particuliers tels le contour progressif et l’ombre portée. Pour terminer cette étude sur l’enrichissement des blocs, nous présenterons une notion, les styles d’objet, qui permet d’automatiser la mise en forme des objets.
Les colorations L’affichage des couleurs LES TYPES DE DOCUMENTS RVB, CMJN InDesign propose deux espaces colorimétriques de travail : Espace RVB pour les documents destinés à l’écran (Web) et Espace CMJN pour ceux destinés à l’impression (print). Lors de sa création, un document est configuré avec l’espace CMJN. Si vous gardez ce réglage, les couleurs définies avec une composition RVB seront converties à l’écran en couleurs imprimables vers cet espace CMJN, ce qui peut entraîner des décalages d’affichage. Pour les éviter, choisissez l’espace correspondant au type de travail envisagé, le passage d’un type d’espace à l’autre se réalisant avec une des commandes du menu Édition/Espace de fusion des transparences.
Le CMS compare l’espace colorimétrique de création d’une couleur (entrée) avec l’espace colorimétrique de reproduction (sortie) et effectue les ajustements nécessaires pour représenter cette couleur de façon aussi homogène que possible sur les différents périphériques (écran, imprimante…). Ces ajustements sont réalisés à l’aide des profils colorimétriques en utilisant différents modes de conversion appelés modes de rendu.
Les profils colorimétriques (profils ICC) Le profil est un fichier normalisé (selon l’ICC, International Color Consortium), il indique l’étendue des couleurs utilisées par le périphérique (gamme des couleurs ou gamut) et comporte une description mathématique de chaque couleur dans un espace de référence colorimétrique (CIE LAB). Cette description tient compte de l’interprétation faites par le périphérique, c’est-à-dire des « déformations » de la couleur (ou « déviations ») liées à des caractéristiques ou limites techniques ou encore à des conditions d’utilisation. Par exemple, le profil d’un écran indique comment cet écran (selon ses réglages ou sa capacité) affiche les couleurs ; le profil d’un système d’impression ou d’une imprimante précise comment ces couleurs seront reproduites (interprétées) en fonction de ses caractéristiques techniques (presse, jet d’encre…) ou de certaines contraintes de travail (papier, encre…).
Le système de gestion des couleurs
Il est donc primordial de connaître la façon dont chaque couleur sera affichée par votre écran ou imprimée sur le système de sortie choisi, ainsi que l’étendue de la gamme de couleurs (espace colorimétrique) qui peuvent être visualisées (ou imprimées). Dans le cas des écrans, le profil s’élabore à partir d’un étalonnage à l’aide d’un utilitaire matériel (sonde colorimétrique), ou à défaut avec un utilitaire logiciel (tel qu’Adobe Gamma). Dans le cas des systèmes d’impression, le profil peut être un fichier standardisé respectant une norme (que suivra votre imprimeur) ou, pour une imprimante, un fichier personnalisé créé à l’aide d’utilitaires matériel et logiciel.
L’affichage des couleurs ne peut être optimisé que sur un écran calibré. En fonction des réglages spécifiés (menu Édition/Couleurs), le système de gestion des couleurs (ou CMS, Color Management System) utilise le profil colorimétrique de l’écran (obtenu lors du calibrage) et ceux de vos espaces de travail RVB ou CMJN pour interpréter et convertir les couleurs d’un périphérique à l’autre avec exactitude et homogénéité.
Si le profil de l’écran est automatiquement pris en compte par le système qui gère l’ordinateur, le choix des profils ou des espaces RVB et CMJN de travail dans InDesign s’effectue avec la commande Couleurs du menu Édition. Ce choix définit la façon dont une couleur RVB sera convertie en CMJN et assure une cohérence d’affichage des couleurs entre les différents logiciels.
INFO. Le choix de l’espace n’affecte pas l’élément importé (tel qu’une photo couleur) qui conserve ses couleurs d’origine.
L A GESTION DES COULEURS
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4 Une fenêtre liste une série de configurations prédéfinies de gestion des couleurs à l’aide de profils parmi lesquels vous devez choisir celui correspondant aux travaux à réaliser. Le haut de la fenêtre indique s’il y a ( ) ou non ( ) synchronisation des couleurs et permet de l’obtenir le cas échéant.
En cliquant ici, ci, on peut choisir ci une autre configuration. nfiguration..
Si vous travaillez sur des documents pour le Web, choisissez le paramètre Web/Internet pour l’Europe, qui définit les couleurs RVB selon l’espace sRVB. Pour les documents PAO (prépresse), sélectionnez plutôt le paramètre Prépresse pour l’Europe 2, il utilise les espaces Adobe RVB (1 998) pour les couleurs RVB, et Coated FOGRAF27 (ISO 12 647) pour les couleurs CMJN. Le FOGRA utilise la norme IS0 12 647, il correspond aux conditions générales d’impression en Europe. Il est donc adapté si votre imprimeur se conforme à cette norme (consultez-le pour savoir si cet espace lui convient). I NFO. Sur le site eci.org, vous pouvez télécharger d’autres profils, toujours conformes à la norme ISO 12 647, mais avec d’autres spécifications (d’encrage, par exemple). C’est le cas de ECI-RGB et de ISO Coated… Une fois téléchargés, les fichiers devront être placés dans le dossier des profils pour être utilisés :
– sur Mac : Bibliothèque/Application Support/Adobe/Color/ Profiles/Recommended
– sur PC : C:\WINDOWS\system32\spool\drivers\color
L A SYNCHRONISATION DES COULEURS DANS LA CREATIVE SUITE Pour obtenir une configuration des couleurs qui soit la même dans Photoshop, Illustrator, InDesign et Acrobat, utilisez la fonction de définition des couleurs de Bridge. Ce dernier peut être lancé depuis InDesign en cliquant sur l’icône de la palette Contrôle. Bridge offre la possibilité de synchroniser la gestion des couleurs sur tous les programmes de la Creative Suite. Cette opération s’effectue à partir de la commande Paramètres de couleur de la Creative Suite du menu Édition.
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L configuration La fi i choisie hoisie h i i iicii ((esp (espace RVB RVB, espace CMJN CMJN, etc.)) est affectée à tous les logiciels ogiciels de la l Creative Suite.
LES PRÉVISUALISATIONS DES COULEURS : COULEURS D’ÉPREUVE En fonction de l’espace RVB ou CMJN de travail, InDesign peut simuler les couleurs du document telles qu’elles seront affichées sur différents écrans (pour un travail RVB), ou telles qu’elles apparaîtront imprimées avec différents systèmes. L’opération s’effectue en deux étapes : le réglage de la simulation, puis son affichage. Ces réglages ne sont accessibles qu’avec la gestion des couleurs activée (menu Édition/ Couleurs). Le réglage de la simulation des couleurs affichées s’effectue dans le menu Affichage/Format d’épreuve. Il consiste à choisir le périphérique de sortie (écran ou imprimante). Deux options sont disponibles : Espace CMJN du document et Espace CMJN de travail. Ce dernier correspond au choix fait dans la commande Couleurs du menu Édition alors que le premier tient compte d’un changement éventuel de profil pour le document actif par les commandes Attribuer des profils et Convertir en profil du menu Édition.
Cette tte com commande s’active dès qu’un choix est fait ici.
L’option Personnalisé permet d’afficher une liste dans laquelle figurent des espaces colorimétriques ou profils ICC correspondant à divers systèmes d’impression qui seront utilisés pour des épreuves de contrôle par exemple.
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET
INFO. Certains des attributs d’effets (opacité, ombre portée) et de contour (épaisseur, type) peuvent se régler directement dans la palette Contrôle.
Les couleurs par défaut
En cliquant ici, ci,i on affiche ffi h une liste li de d profils de sortie.
Une fois le réglage réalisé, InDesign simule les couleurs en activant automatiquement la commande Couleurs d’épreuve du menu Affichage (une coche se place devant la commande et la fenêtre du document indique entre parenthèses le nom du profil d’aperçu). Pour désactiver cet affichage, relancez la commande.
Pour retrouver les couleurs par défaut (sans fond, contour noir), cliquez sur l’icône de la palette Outils ou tapez la lettre D. Dans le cas des textes, les couleurs par défaut des caractères sont le noir pour le fond et sans couleur pour le contour. ATTENTION Si vous préparez ou sélectionnez une couleur alors qu’aucune sélection d’objet n’est faite, les attributs ainsi définis deviennent les couleurs par défaut et s’appliqueront à tout nouvel objet que vous dessinerez (sauf les blocs d’image qui n’ont ni fond ni contour).
ASTUCE La commande Couleurs d’épreuve permet également de visualiser en CMJN les photos RVB importées.
L’absence d’attribut
L’affectation d’attributs de coloration LES DIFFÉRENTS ATTRIBUTS Les palettes de coloration
Pour supprimer les attributs du contour ou du fond d’un bloc sélectionné avec l’outil Flèche, vous pouvez soit activer dans la la case voulue (fond ou contour) et cliquer sur palette Outils ou sur l’échantillon des palettes Couleur ou Nuancier (au clavier numérique, tapez / ), soit glisser ce même échantillon directement sur le fond ou le contour de la sélection : une icône s’affichera pour indiquer l’affectation.
Les attributs d’enrichissement s’appliquent ou se règlent principalement à partir de quatre palettes : Couleur, Nuancier, Contour et Dégradé. Les quatre palettes d’attributs d’enrichissement des blocs. Aucun n fond ni contour. ontour. Palette Nuancier. Palette Couleurs.
Palette Contours.
Le type d’attribut du fond Pour les fonds, il est possible de choisir entre un aplat et un dégradé dans la palette Outils en cliquant respectivement (au clavier, sous les cases Fond et Contour, sur les icônes ; cette action provoque l’affichage et l’activatapez ,) ou tion de la palette correspondante, Couleur ou Dégradé. Quand la palette Outils est sur une colonne, un clic ou affiche un menu sur l’avant dernière icône local qui permet de choisir le type d’attribut.
Dégradé. Palette Dégradé Par ce menu, on peut choisir un type ty d’attribut.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4
L’AFFECTATION D’UN ATTRIBUT Qu’il s’agisse d’une couleur de contour, de fond ou d’un dégradé de fond, la méthode d’application depuis les palettes de coloration est la même. L’objet peut être sélectionné ou non.
La préparation d’une couleur La préparation s’effectue soit à partir de la palette Couleur, soit à partir du Nuancier.
LES COULEURS SANS OU AVEC NOM Avec une sélection La destination : fond ou contour Quand un objet est sélectionné — un tracé de bloc avec l’outil Flèche noire (ou blanche), une image avec l’outil Flèche blanche, un texte avec l’outil Texte —, avant de choisir l’attribut voulu dans les palettes Couleur, Nuancier…, vous devez spécifier si la nuance s’applique au contour ou au fond de l’objet. Ce choix se réalise de plusieurs façons : en cliquant sur la case Fond (ou sur la case Contour) dans la palette Outils, de la palette Couleur ou encore de la palette Nuancier ; au clavier en tapant X pour passer d’une case à l’autre. L’inversion des affectations Pour appliquer l’attribut de fond au contour (et réciproquement), cliquez sur l’icône de la palette Outils ou tapez ÓX. Coloration du texte ou du bloc Dans le cas d’un bloc de texte sélectionné avec l’outil Flèche, une icône des palettes de coloration permet de spécifier si la nuance doit s’appliquer au bloc ou à la totalité . du texte
L’affectation par glissement sans sélection Si vous avez préparé une couleur et que le bloc n’est pas sélectionné, il est possible (mais pas recommandé) de la lui affecter sans le sélectionner. Il en est de même pour n’importe quel attribut choisi ou réglé dans les palettes Couleur, Dégradé, Nuancier ou affiché dans les cases couleurs de la palette Outils.
À l’instar d’Illustrator (mais avec une terminologie différente), InDesign utilise deux types de couleurs : les couleurs sans nom (non globales pour Illustrator) et les couleurs nommées (globales pour Illustrator).
La couleur sans nom Une couleur préparée dans la palette Couleur est une couleur sans nom (par défaut, elle ne figurera pas dans le Nuancier). Cette couleur n’est pas dynamique, c’est-à-dire qu’un changement de sa composition n’affecte que les objets sélectionnés lorsque vous redéfinissez la couleur.
La couleur nommée Une couleur préparée dans le Nuancier (ou dans lequel elle est stockée) possède un nom. Une couleur nommée est dynamique, c’est-à-dire que tout changement de sa composition sera répercuté sur tous les éléments qui l’utilisent (fond, contour, dégradé, styles…) ; de plus, il est possible de définir une teinte ou un pourcentage de cette couleur.
L A PRÉPARATION PAR LA PALETTE COULEUR Dans le cas d’une préparation avec la palette Couleur, l’une des premières opérations consiste à choisir le mode colorimétrique (RVB, CMJN ou LAB) à partir du menu local de la palette (voir un peu plus loin la description des différents modes). Vous pouvez également passer d’un mode à l’autre par Óclics sur la bande spectrale (initialement blanche) en bas de la palette Couleur. Une fois le mode choisi, la couleur se définit par réglage des différentes composantes (RVB, CMJN ou Lab).
ATTENTION Les attributs ainsi définis deviennent les couleurs par défaut et s’appliqueront à tout nouvel objet que vous dessinerez.
Pour affecter une nuance, glissez la case Fond ou Contour de la palette Couleur (ou Outils) ou l’échantillon du Nuancier directement sur le fond ou le contour du bloc : une icône ( ou ) s’affiche pour indiquer quel élément a été ciblé lors du glissement.
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Par Ó clicc ici ou p par ce men menu, on choisit le modèle colorimétrique. A STUCE La couleur peut être choisie directement en cliquant sur la bande spectrale en bas de la palette Couleur. Avec l’outil Pipette, la couleur peut être prélevée sur une photo importée.
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET Quand une couleur est définie dans la palette Couleur, vous pouvez la transférer dans le Nuancier par la commande Ajouter au Nuancier du menu local de la palette Couleur ou par un clic sur l’icône du Nuancier : elle prend un nom lié à sa composition. Par ¢ clic [Ctrl clic] sur , vous obtiendrez un ton direct et par ∏ clic [Alt clic], c’est la fenêtre d’options de la nuance s’affichera. ASTUCE Par double-clic sur l’aperçu de la palette Couleur, on affiche un sélecteur de couleurs voisin de celui de Photoshop.
L A PRÉPARATION D’UNE COULEUR PAR LE NUANCIER
On choisit le mod O mode ccolorimétrique ou o l’un des nuanciers prédéfinis. n nuan
Pour préparer une couleur à partir du Nuancier, lancez la commande Nouvelle couleur dans le menu local de la palette. Une fenêtre permet alors de définir la couleur. Cette préparation comporte quatre étapes : le nom de la couleur, son type, son mode colorimétrique et sa composition.
Une fois les manipulations terminées, la couleur apparaît dans le Nuancier. Selon le mode d’affichage du Nuancier, à droite de son nom figurent deux icônes ; celles-ci diffèrent en fonction du type de la couleur (quadri ou ton direct ) de colorimétriqu et du mode colorimétrique (Lab , CMJN ou RVB ). La a nu nuance a un u n nom no lié à sa composition. co omp La fenêtre d’options de la nouvelle couleur. Ton direct ect ( ) et quadrichromie quadrich mie ( ).)
Le nom de la couleur Le nom peut être personnalisé ou défini à partir de la composition (option par défaut). Tout changement de la composition de la couleur (au cours de sa création ou ultérieurement) entraîne une mise à jour du nom si ce dernier a été défini à partir de la composition.
Le choix du type de couleur Il y a deux types : Quadrichromie ou Ton direct. Le choix est déterminant pour les compositions imprimées avec séparation des couleurs. En effet, avec une couleur de type Quadrichromie, il y aura séparation en cyan, magenta, jaune et noir (soit quatre films) ; avec le type Ton direct, appelé aussi couleur d’accompagnement, la couleur ne fera l’objet d’aucune séparation (un seul film), et sera imprimée avec une encre spéciale (cinquième encre prémélangée).
Le choix du mode colorimétrique Le choix d’un mode colorimétrique (voir plus loin) donne accès aux réglages des différentes composantes (RVB, CMJN ou Lab) ou à des nuanciers référencés (Pantone, Toyo…).
A STUCE Quand vous préparez la couleur dans le mode RVB, un petit signe s’affiche si la couleur ainsi définie ne peut pas être imprimée en CMJN. En cliquant sur ce signe, vous obtiendrez la couleur imprimable la plus proche.
Quand vous sélectionnez une nuance dans le Nuancier, la palette Couleur ne permet pas d’en modifier la composition ; elle donne accès à un curseur de réglage de teinte. Pour revenir sur la composition d’une couleur du Nuancier, effectuez un double-clic sur le nom de cette dernière dans le Nuancier. Le mode RVB Ce mode est particulièrement adapté aux compositions destinées à être affichées sur un écran (Web). Un point coloré d’un objet est caractérisé par trois valeurs chromatiques R, V et B (synthèse additive) ; chaque composante, rouge, verte ou bleue, peut prendre une teinte parmi 256 nuances, donc une valeur comprise entre 0 et 255. Par combinaison de ces 256 teintes par composante, on atteint environ 16,7 millions de couleurs.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4 Le mode CMJN Cet espace correspond aux couleurs des images imprimées (couleurs de la quadrichromie). Chaque point coloré possède quatre composantes (cyan, magenta, jaune et noir), dont les valeurs sont comprises entre 0 et 100 %. Il s’agit d’une synthèse soustractive des couleurs.
INFO. Si vous changez la composition d’une couleur nommée et choisissez un Pantone dans les modes colorimétriques, celle-ci prendra le nom et la composition du Pantone choisi.
L A GESTION ET LES MANIPULATIONS DES COULEURS Le mode Lab Ce mode correspond aux couleurs « vraies », indépendantes du périphérique. Elles sont définies mathématiquement par une méthode élaborée par la CIE (Commission internationale de l’éclairage). Certains périphériques de sortie sont capables d’imprimer directement avec les couleurs Lab. Elles sont caractérisées par trois valeurs : L est la Luminance, variation du clair au foncé pour une couleur donnée (elle est comprise entre 0 et 100 %). a et b correspondent à une information de chrominance définie à partir d’un mélange de vert à magenta (a) et un mélange de bleu à jaune (b) ; les valeurs sont comprises entre –127 et +127. Ce mode s’avère pratique pour créer des variantes de couleurs où seule la luminosité est modifiée.
Les nuanciers de couleurs prédéfinies Certains nuanciers, notamment Web, System (Macintosh) et System (Windows), sont spécifiques aux compositions destinées à une distribution en ligne : ils comportent, pour le premier, les 216 couleurs (RVB) des navigateurs Web et, pour les deux autres, les 256 couleurs des systèmes. Les autres nuanciers (notamment Pantone, couché ou non) sont orientés distribution papier. Quand vous sélectionnez un nuancier, la liste des couleurs qu’il renferme s’affiche, vous pouvez alors choisir une nuance ou taper son numéro de référence dans la case prévue à cet effet.
Les couleurs hors gamme CMJN, non imprimables Quand vous travaillez sur des documents destinés à l’impression quadri définie avec l’espace CMJN, il est préférable de composer les couleurs à partir de ce mode de couleur. Si malgré tout vous utilisez le mode RVB, au moment de définir une couleur dans la palette Couleur (ou dans la fenêtre de définition du Nuancier), un petit triangle avec un point apparaît si la couleur choisie ne peut d’exclamation être imprimée à partir d’encres CMJN. Cependant, InDesign affecte automatiquement la couleur imprimable la plus proreste affiché. che, mais le signe
Les nuances de teintes À partir des couleurs qui figurent dans le Nuancier, que vous les ayez créées, ou qu’elles proviennent d’autres nuanciers (voir plus loin), vous pouvez préparer une nuance de teinte. Celle-ci est constituée d’un certain pourcentage d’une couleur de base. Cette possibilité est particulièrement intéressante pour créer des couleurs tramées (par exemple, un gris constitué de 30 % de noir). De plus, si par la suite vous modifiez la composition (voire le nom) de la couleur qui a servi à faire la nuance de teinte, cette dernière sera également changée en conséquence. Pour définir la nuance de teinte, sélectionnez l’échantillon voulu dans le Nuancier et choisissez Nouvelle teinte dans le menu local de la palette : une fenêtre s’affiche, entrez le pourcentage de teinte souhaité.
En changeant cettee valeur, l on crée rapidement nt une teinte. À partir de cee menu, oon accède à différents nuanciers.
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Par la suite, si vous éditez la nuance de teinte pour modifier son pourcentage, tous les objets qui utilisent cette nuance seront changés.
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET
La conversion de couleur sans nom en couleur nommée
Les nuances et groupe d’encres mélangées
Quand des couleurs sans nom ont été affectées, elles ne figurent pas dans le nuancier ; tout changement de leur composition ne peut se faire qu’à partir de l’objet sélectionné. Pour pallier ce problème, InDesign propose, dans le menu du Nuancier, une commande, Ajouter les couleurs sans nom. Elleattribue un nom aux couleurs créées depuis la palette Couleur et les fait figurer dans le Nuancier. Tout changement de composition de cette couleur nouvellement nommée est alors répercuté sur les objets qui la contiennent.
Le menu du Nuancier propose deux commandes : Nouvelle nuance d’encres mélangées et Nouveau groupe d’encres mélangées. La première permet de préparer une couleur à partir d’un mélange d’encres dont l’une est un ton direct (présent dans le nuancier) : une fenêtre s’affiche pour indiquer la composition du mélange. Cette option permet d’obtenir un nombre plus important de couleurs disponibles dans le Nuancier sans augmenter le nombre d’encres utilisées pour les imprimer.
A STUCE Avec un objet sélectionné, la conversion inverse (couleur nommée vers couleur sans nom), s’effectue dans la palette Couleur. Pour cela, choisissez un mode colorimétrique RVB ou CMJN dans le menu local de cette palette.
La conversion d’un ton direct en quadri Pour convertir un ton direct que vous avez créé, changez son type en Quadrichromie à la place de Ton direct (pour effectuer cette opération), double-cliquez sur le ton direct. Dans le cas d’un Pantone, ce dernier est défini en ton direct par défaut et le changement de type n’est pas accessible, mais il le devient en choisissant d’abord le mode CMJN.
On peut obtenir une nua nuance par mélange nge de couleurs. couleurs
La seconde commande, Nouveau groupe d’encres mélangées, s’utilise pour créer une série de nuances à partir d’un mélange d’encres. Celles-ci sont obtenues par ajout d’un pourcentage de chaque nuance suivant un nombre spécifié d’incrémentations. Par exemple, à partir d’un Pantone donné (à 100 %) et d’un noir à 10 %, on peut ajouter 10 % de noir 4 fois : on obtiendra 5 nuances dans le groupe (de Pantone 100 % + noir 10 % jusqu’à Pantone 100 % + noir 50 %).
Pour accéder au typee de la couleur, couleur on change d’abord le mode. mod m
La fusion des couleurs La fusion des couleurs permet d’appliquer une nuance unique aux éléments qui utilisent différentes nuances — elle peut faire suite à une conversion des couleurs. Pour l’effectuer, commencez par sélectionner dans le Nuancier la nuance correspondant à la couleur finale voulue, puis sélectionnez les autres par ¢ clic [Ctrl clic]. Enfin, lancez la commande Fusionner les nuances dans le menu du Nuancier. ASTUCE Un résultat similaire est obtenu par suppression des couleurs ( ) ; une fenêtre permet alors de spécifier la couleur de remplacement. Quand on supprime des couleurs appliquées, on peut cchoisir une couleur p de remplacement. rem
On mélange ge le l Pantone P t à 100 10 % et le noir à 10 % et on ajoute plusieurs foiss plus 10 % de noir i : on obtient b i ces nuances..
Si par la suite, vous remplacez le ton direct utilisé dans un mélange ou un groupe, les nuances qui en découlent (mélange simple ou groupe) sont mises à jour.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4
L A GESTION DES NUANCIERS
Les contours
Le nuancier par défaut Si vous souhaitez que les couleurs que vous allez placer dans le Nuancier apparaissent dans tous les documents, il faut effectuer les manipulations de création de nuances alors qu’aucun document n’est ouvert à l’écran. Pensez également à supprimer les nuances que vous n’utilisez jamais.
L’importation d’un nuancier InDesign Si certains documents possèdent un Nuancier renfermant des couleurs que vous souhaitez utiliser dans le document en cours, lancez la commande Charger un nuancier du menu de la palette Nuancier. Les couleurs viendront s’ajouter aux couleurs existantes. A STUCE Vous pouvez, alors qu’aucun document n’est ouvert, demander de charger un nuancier à partir d’un document existant.
L’exportation d’un nuancier vers Illustrator ou Photoshop InDesign permet d’exporter un nuancier de manière qu’il devienne utilisable dans Illustrator ou Photoshop. Pour réaliser l’exportation, sélectionnez les nuances voulues dans les nuanciers (par Ó clic ou ¢ clic [Ctrl clic] si elles ne sont pas consécutives) et lancez la commande Enregistrer le nuancier dans le menu de la palette Nuancier. Un fichier ayant l’extension .ase est créé : vous pouvez l’ouvrir dans Illustrator ou Photoshop à l’aide la commande Ouvrir la bibliothèque de nuances/Autre ou Charger un nuancier du menu de la palette Nuancier.
Les nuanciers issus d’Illustrator ou Photoshop
LES PALETTES DE GESTION DU CONTOUR Une fois la case de contour ( ou ) activée dans la palette Outils, la palette Couleur ou le Nuancier, la couleur affectée au contour se choisit de la même façon que celle attribuée au fond. Cependant, il faut spécifier une épaisseur et éventuellement un certain nombre de caractéristiques modifiant l’aspect du contour. En effet, de nombreuses options relatives aux contours sont accessibles dans la palette Contour à partir du moment où celle-ci est affichée en entier : l’épaisseur, la pointe, l’extrémité, le sommet, la position, le type du trait (plein, double, en pointillés…) et enfin, l’aspect des extrémités (pointe de flèche ou différents symboles). Le contour se gère dans la palette Contour, mais, dans le cas des blocs et des traits, l’épaisseur et le style du contour se spécifient également directement dans la palette Contrôle. La gestion des contours se fait ici et là p pour certains objets.
L’ÉPAISSEUR DU CONTOUR La palette Contour (ou Contrôle pour les blocs et traits) propose plusieurs façons de procéder au réglage de l’épaisseur :
– en cliquant sur les petites flèches à gauche de la case Épaisseur ;
– en déroulant le menu pop-up à droite de la valeur en cours (ou par le menu contextuel directement sur l’objet et en sélectionnant Épaisseur de contour), vous accédez à une liste de valeurs prédéfinies ;
Depuis Illustrator ou Photoshop, ouvrez un fichier contenant une palette de nuances puis utilisez la commande Enregistrer le nuancier pour l’échange ou ASE du menu de la palette Nuancier — les dégradés et les motifs d’Illustrator ne seront visibles ni dans InDesign ni dans Photoshop. Dans InDesign, l’ouverture du nuancier Illustrator ou Photoshop s’effectue par la commande Charger un nuancier du menu de la palette Nuancier. Les nouvelles couleurs s’ajoutent à celles déjà présentes.
– en tapant une valeur dans la case (validez en tapant ‚ ou tester avec Ó ‚ ). La valeur est en points (pt ou pts),
I NFO. Quand vous importez une illustration provenant d’Illustrator, les couleurs (de type global) qu’elle contient sont ajoutées à celles du Nuancier d’InDesign. Il en est de même avec les images de type bichromie ou contenant des couches de tons directs provenant de Photoshop.
A STUCE Lors d’une mise à l’échelle du bloc, le contour garde (ou non) son épaisseur selon que l’option Ajuster l’épaisseur du contour lors de la mise à l’échelle est cochée (ou non) dans le menu local de la palette Contrôle (ou Transformation).
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mais vous pouvez spécifier une autre unité ;
– en cliquant dans la case Épaisseur et en utilisant les touches fléchées (l’incrément est de 1 ; il passe à 10 avec Ó).
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET
L A POSITION DU CONTOUR Le contour des blocs Par défaut, le contour se place à cheval sur le tracé du bloc, ce qui augmente la taille de ce dernier. Les cases L et H des palettes Contrôle et Transformation en tiennent compte sauf si vous décochez l’option Les dimensions incluent l’épaisseur du contour dans le menu local de la palette Contrôle (ou Transformation). La palette Contour propose des options pour gérer la position du contour par rapport au tracé du bloc. En effet, la rubrique Alignement comporte trois icônes pour choisir entre : le contour à cheval le contour à l’intérieur le contour à l’extérieur
Les trois positions de contour.
Un contour triplee sur un texte vectorisé. INFO. Dans le contour Fin - Fin, l’espace central représente 66,6 % de l’épaisseur totale du trait, chaque filet qui encadre cet espace fait 16,7 %. Dans le contour Épais - Épais, l’espace est de 33,3 % et chaque filet fait également 33,3 % de l’épaisseur. Vous pouvez créer d’autres contours par la commande Style du contour du menu local de la palette Contrôle ou Contour.
L A FORME DES EXTRÉMITÉS ET DES SOMMETS Les extrémités
Le contour d’un texte Quand vous affectez un contour à un texte possédant un fond de couleur, celui-ci se place à l’extérieur du caractère de manière à ne pas couvrir certaines de ses parties intérieures (ceci augmente la taille des lettres). En revanche, si le ntour est à cheval. texte n’a pas de fond ( ), le con INFO. Si vous vectorisez le texte, son contour se place par défaut à cheval sur le tracé, mais se gère maintenant comme pour un bloc.
Le contour triple sur un bloc Il s’agit d’un contour coloré ou blanc, emprisonné entre deux contours noirs (ou colorés), et il s’utilise plus fréquemment sur des textes de grande taille (et généralement vectorisés). Si vous souhaitez un réglage particulier des épaisseurs, il faut faire une superposition des deux tracés (copier puis coller sur place), l’un à l’arrière-plan avec un fond coloré et un contour épais, l’autre au-dessus avec un contour plus fin et sans fond. Pour les blocs et les textes vectorisés, vous pouvez appliquer l’un des deux contours triples proposés par le programme (ou en créer de nouveaux), ils se définissent à la rubrique Type de la palette Contour : choisissez le type du contour Épais - Épais ou Fin - Fin, puis la couleur de l’espace (et éventuellement sa teinte).
Le type d’extrémité est géré dans la palette Contour. Il affecte les tracés ouverts avec des épaisseurs suffisantes, ainsi que les tirets ; en revanche, il est sans effet sur les pointillés. Il y a trois cas possibles :
– carrée
: le contour a la même longueur.
– arrondie
: le contour déborde d’un demi-cercle de diamètre égal à l’épaisseur.
– projetée
: le contour déborde d’un demi-carré de côté égal à l’épaisseur.
L’aspect des extrémités Quand un tracé est ouvert, InDesign peut ajouter un dessin à chaque extrémité (pour le transformer en flèche, par exemple). Des menus locaux, Début et Fin, permettent de choisir le type du symbole, ainsi que l’extrémité sur laquelle il sera ajouté.
Les différents types d’extrémités. ités.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4
ASTUCE L’aspect de certaines extrémités (flèche, carré…) est modifié par le réglage d’Extrémité et de Sommet, principalement avec les options Arrondi ( et ). Extrémités carrées.
Par exemple, dans le contour Épais - Épais, l’espace est de 33,3 % et chaque filet fait également 33,3 % de l’épaisseur. Vous pouvez créer d’autres contours par la commande Styles de contour du menu local des palettes Contrôle ou Contour.
Extrémités arrondies.
Les sommets Il y a trois types de sommets : en pointe ; en arrondi ; en biseau . Vous les choisissez dans la palette Contour en cliquant sur l’icône correspondante. Dans le cas du réglage en pointe, une option Pointe permet d’obtenir, si la valeur est suffisamment augmentée, le prolongement du contour dans les parties pointues des tracés.
Trait continu.
Épais - Épais.
Épais - Fin.
Épais - Fin - Épais.
Fin - Épais.
Fin - Épais - Fin.
Fin - Fin.
Triple.
Les pointillés InDesign propose quelques pointillés. La taille des points et leur espacement varient avec l’épaisseur du contour. Il est également possible de créer d’autres types de pointillés. De haut en bas : le trait continu (3 pt), le pointillé (3 pt) et le même à 6 pt.
Sommet en pointe, en arrondi et en biseau. Sommet en pointe avec le réglage en pointe par défaut et avec une valeur augmentée.
LE STYLE OU TYPE DU CONTOUR
Les tirets
Il est possible de définir le style du contour dans la palette Contour mais également dans la palette Contrôle quand l’outil Flèche noire (ou blanche) est actif.
On retrouve le principe des pointillés. La taille du tiret varie avec l’épaisseur mais l’espacement entre les tirets n’est pas réglable (il faudra créer d’autres types de tirets). Les traits fantaisie
On peut choisir le style du contour ici. ci ci.
Un menu local propose une liste de types de contours. Si vous choisissez un style de contour avec un des outils de création actif, c’està-dire avant de dessiner l’objet, votre choix deviendra le réglage par défaut des futurs tracés.
Il s’agit de hachurages avec diverses inclinaisons ou de juxtaposition de motifs (losanges, sinusoïdes…).
LLes différ différents rents traits t fantaisie. fan ntaisiee.
La création d’un style de contour Les différents types de traits On distingue cinq types de traits : le trait continu, les traits multiples, les tirets, les pointillés et les traits fantaisie.
Pour créer de nouveaux types de traits (pointillés, tirets ou autre), vous disposez de la commande Styles de contour du menu local de la palette Contrôle ou Contour.
Le trait continu C’est le type par défaut, le trait continu est un trait plein. Les traits ou bandes multiples (double, triple) InDesign propose des traits multiples constitués d’une juxtaposition horizontale de filets (ou bandes) et d’espaces de même épaisseur ou d’épaisseurs différentes. Celles-ci sont définies en pourcentage de l’épaisseur totale du contour.
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En cli cliquant ici on pourra définir les pourr caractéristiques du carac nouveau contour. nouv
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET Un clic sur Nouveau permet de créer un type de contour pour le document en cours. Celui-ci s’affiche dans une seconde fenêtre, son aspect dépend de la sélection avant lancement de la commande Styles de contour.
Cet espace est coloriable à partir du menu local (Couleur d’espace) qui affiche les couleurs présentes dans le Nuancier. Une fois la couleur choisie, vous pouvez spécifier une teinte de cette couleur.
Pour créer une copie d’un st yle existant, sélec tionnez-le dans la liste avant de cliquer Nouveau. Un menu local Type permet de choisir le type du contour : Bande, Pointillés et Tirets. Dans chaque cas, par glissement de la souris dans la partie graduée, vous pouvez ajouter un nouvel élément (bande, point ou tiret) et définir sa taille.
LES OPTIONS D’ARRONDIS Les options d’arrondis ne sont pas exactement des attributs de contour, mais elles font partie des enrichissements de bloc que l’on règle généralement en même temps que les contours (si on souhaite qu’ils soient visibles).
Ici, ci, on peut choisir le type ci (Tiret, iret, t Bande ou Pointillés).
Le menu Objet comporte la commande Options d’arrondis qui permet, sans modifier le tracé du bloc, de changer l’aspect de ses angles selon cinq types d’effets (Fantaisie, Biseau, Marge, Arrondi inversé et Arrondis). Les effets sont modifiables à volonté en relançant la commande. En effet, la commande Options d’arrondis affiche une fenêtre dans laquelle vous choisissez le type de l’effet ainsi que sa valeur et une option d’aperçu facilite les réglages.
Les différentes options d’arrondis. On modifie d f ll’aspect en glissant l les curseurs et en changeant les valeurs et les options.
Le nombre d’options varie avec le type du style (bande, pointillés ou tiret). Une fois défini, le style apparaît dans la fenêtre Styles de contour et en fin de liste dans le menu Type de la palette Contour. Ces styles de contours sont définis pour le document en cours sauf s’ils sont créés alors sans document ouvert. Il est possible de les enregistrer dans un fichier séparé afin de pouvoir les charger dans un autre document. A STUCE Les nouveaux styles réalisés sont disponibles dans le menu local des types de contours, mais également dans les rubriques liées au texte comme les filets de paragraphe et les contours de cellules et de tableaux. Un style de contour permet de créer des filets de paragraphes ou des soulignements avec des extrémités arrondies ; il s’agit d’un tiret avec des valeurs identiques de Longueur et Longueur motif, et des extrémités arrondies.
La couleur et la teinte de l’espace Quand le trait n’est pas continu, il y a des espaces entre les filets, les pointillés ou les tirets. Par défaut, cet espace n’a pas de couleur, il est donc transparent et peut laisser apparaître la couleur du fond du bloc selon la position du contour. En effet, si cet objet possède une nuance de fond, il ne sera réel). lement transparent que si le contour est à l’extérieur (
Sans.
Fantaisie.
Biseau.
Marge.
Arrondi inversé.
Arrondi.
L’utilisation la plus courante est Arrondis. On pourra l’appliquer avec des valeurs importantes pour transformer un rectangle en ovale, avec des valeurs plus faibles sur un tracé à la plume pour adoucir les angles, sur un texte vectorisé pour changer l’aspect de sa typographie… ASTUCE Si on applique un effet d’arrondi à un bloc contenant un texte centré verticalement, le centrage n’est plus correct. On peut parfois le rectifier en augmentant les Marges à l’intérieur du bloc dans la commande Options de bloc de texte (menu Objet) ou mieux encore, en utilisant une imbrication de blocs comme cela est décrit à la page 85.
Quand vous utilisez les commandes de la palette Pathfinder qui créent des effets d’arrondis (de biseau ou autre), InDesign prend les derniers réglages de la fenêtre Options d’arrondis.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4
Les dégradés L A PRÉPARATION D’UN DÉGRADÉ Le dégradé peut se préparer de deux façons : à partir de la palette Nuancier ou à partir de la palette Dégradé. Dans ce dernier cas, avant d’envisager la création du dégradé, il faut ajouter au Nuancier les couleurs (en tons directs ou en quadrichromie) que vous souhaitez utiliser dans le dégradé.
La préparation des couleurs du dégradé
On clique ici ci pour afficher affic la liste des couleurs.
Le dégradé peut s’élaborer avec des couleurs à définir pendant sa préparation, mais celles du nuancier (nommées) ont l’avantage d’être dynamiques, ce qui donne une plus grande souplesse de travail ; en effet, le changement de leur composition sera répercuté dans le dégradé de manière automatique. Pour ajouter des couleurs au nuancier, utilisez la commande Nouvelle couleur du menu de la palette Nuancier (voir la partie consacrée aux préparations des couleurs, page 92). Si vous comptez réaliser des dégradés entre une couleur du nuancier (un Pantone par exemple) et cette même couleur avec une teinte différente, préparez une Nouvelle teinte à partir de la commande du menu du Nuancier.
Pour définir l’aspect de la couleur de départ, cliquez sur la petite icône située sous l’extrémité gauche de la Gamme des dégradés (sa pointe devient noire pour montrer que la couleur est sélectionnée) afin d’accéder à la zone de composition de la couleur. Le menu local Couleur propose par défaut l’option Nuancier qui affiche la liste des couleurs du Nuancier. Vous pouvez choisir un mode colorimétrique : CMJN, LAB ou RVB et définir la composition de la couleur de départ.
On a ajouté les couleurs et nuances de teinte que l’on nuan souhaite souha a utiliser.
ASTUCE Il est possible d’utiliser une couleur présente dans une photo importée. Pour cela, activez l’outil Pipette et cliquez dans la photo sur la couleur à prélever. Une fois cette opération réalisée, dans le menu de la palette Couleur, lancez Ajouter au nuancier pour y faire figurer la couleur prélevée.
L’affichage des dégradés N’oubliez pas qu’InDesign montre toujours les aplats ainsi que les dégradés avec les couleurs converties en CMJN, même si ces dernières ont été définies en RVB. Pour que le document apparaisse avec les couleurs RVB, dans le menu Édition, choisissez l’espace de fusion des transparences RVB : l’impression s’effectuera cependant selon l’aspect CMJN.
On peut ut maintenant choisir choisi la couleur uleur de départ. départ En cliquantt ici, iici, on peutt définir celle d’arrivé d’arrivée.
Pour régler la couleur d’arrivée, cliquez sur l’icône à l’extrémité droite de la Gamme des dégradés : elle devient . Choisissez l’une des couleurs nommées du Nuancier ou le mode colorimétrique pour définir la composition de la couleur finale du dégradé. Si vous cliquez entre les couleurs départ et arrivée, vous pouvez ajouter une couleur intermédiaire, puis définir sa composition (ou lui affecter une couleur nommée, une nuance de teinte, par exemple). Quand le dégradé a l’aspect voulu, cliquez sur OK pour qu’il apparaisse dans la palette Nuancier. Il est maintenant prêt à l’emploi. Si vous souhaitez revenir sur sa composition, effectuez un double-clic sur son nom dans la palette. Vous pourrez, par exemple, changer son type de Linéaire en Radial.
La création du dégradé par le Nuancier La création par la palette Dégradé Pour créer un dégradé à partir du Nuancier, lancez la commande Nouveau dégradé dans le menu local de la palette Nuancier. Une fenêtre de paramétrage apparaît, vous devez y nommer le dégradé et définir les couleurs de départ, d’arrivée du dégradé et éventuellement intermédiaires, et la façon dont elles se mélangent (étalement du dégradé).
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Vous pouvez créer un dégradé sans passer par la palette Nuancier, mais celui-ci sera considéré comme un dégradé sans nom et ne figurera pas dans le Nuancier. Ces modifications ne se font qu’en sélectionnant l’objet auquel le dégradé est affecté et se limiteront à cet objet.
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET Pour réaliser ce type de dégradé, dessinez ou sélectionnez un objet avec l’outil Flèche noire et activez la case Fond (de la palette Outils) : ce dernier servira d’aperçu pour visualiser le dégradé et évitera que vos réglages ne deviennent les couleurs par défaut. Effectuez un double-clic dans l’outil Dégradé (ou lancez la commande Dégradé du menu Fenêtre) : la palette Dégradé s’affiche. Glissez-la sur la page si elle se trouve attachée aux autres palettes, de manière à la voir simultanément avec la palette Couleur ou Nuancier.
INFO. Quand vous stockez dans le Nuancier un dégradé contenant des couleurs définies à partir de la palette Couleur (couleurs non nommées), InDesign n’ajoute pas ces couleurs dans le Nuancier. Il faudra les y transférer séparément.
Lors de la création d’un dégradé, vous pouvez glisser les icônes des couleurs, ainsi que le point médian (50 % départ et 50 % arrivée) pour modifier la façon dont les couleurs se dégradent. Si vous superposez les deux couleurs, il n’y a plus dégradé, on obtient une juxtaposition de deux couleurs (horizontale ou verticale avec un angle de 90°). On affiche la palette et on la détache.
Cliquez sur la case d’aperçu (en haut à gauche) pour visualiser les icônes des couleurs de départ et d’arrivée ( et ). Cliquez sur l’une d’elles pour la sélectionner (elles deviennent respectivement ou ) et définissez-la. Si vous souhaitez utiliser une couleur nommée du Nuancier, enfoncez ∏ [Alt] et cliquez sur la nuance désirée : la palette Couleur indique la nuance affectée à la couleur du dégradé.
O a superposé les deux couleurs On leurs eurs : elles e s ne dégradent plus, mais se juxtaposent. sse dég xtaposent.
L’APPLICATION D’UN DÉGRADÉ Le dégradé simple Pour appliquer un dégradé à un objet, sélectionnez le bloc, activez la case Fond ou Contour dans la palette Outils et cliquez sur le nom du dégradé dans la palette Nuancier. Vous pouvez aussi afficher la palette Dégradé et créer le dégradé en même temps qu’il s’applique.
On n active cette icône icô et on choisit oisit unee nuance avec ∏ [Alt]. ATTENTION Si vous n’enfoncez pas ∏ [Alt], le dégradé ne sera pas modifié et la couleur sélectionnée deviendra la couleur de fond de la sélection.
Si vous définissez la couleur dans la palette Couleur, celle-ci doit comporter l’icône . Si les curseurs RVB ou CMJN ne sont pas visibles, affichez-les à partir du menu de la palette Couleur en choisissant RVB ou CMJN.
Pour modifier l’étalement ou l’orientation du dégradé, changez les paramètres dans la palette Dégradé, ou activez l’outil Dégradé et glissez-le sur le bloc : le dégradé s’étalera du point de départ jusqu’au point d’arrêt du glissement avec l’orientation définie par ce tracé. Ceci C ecii iindique ndique di qu’il ’il s’agit s’’agit i d’une couleur de dégradé.
Si vous voulez garder une trace de ce dégradé, vous pouvez le transférer dans la palette Nuancier en cliquant sur l’icône en bas de la palette ; enfoncez ∏ [Alt] si vous souhaitez le renommer. Une fois stocké dans le Nuancier, le dégradé devient éditable comme s’il y avait été créé directement.
Le dégradé radé remplit la sélection. on. On le stocke tocke pour le réutiliser. r
On sélectionne tionne le bloc et on n applique app pliqu uee le dégradé cliquant dessus dé en cliq sus ici. icii. On peut aussi l’appliquer à un contour. ontour. ur
O active cet outil On out que ue l’on modifier l’étalement glisse pour modif g ’étalement et l’orientation l’ i i du d dégradé. Certaines modifications cations sont réalisables directement danss cette palette. palett
Pour retrouver le dégradé par défaut (horizontal), appliquez n’importe quel aplat de couleur, puis réappliquez le dégradé.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4
Le dégradé sur plusieurs objets
LE DÉGRADÉ VERS LE TRANSPARENT
Pour qu’un dégradé s’étale sur plusieurs objets, sélectionnez-les ensemble, appliquez-leur le dégradé voulu, puis activez et glissez l’outil Dégradé sur la sélection : le dégradé s’étalera sur les blocs.
Depuis le Nuancier, il n’est pas possible de créer un dégradé d’une couleur vers le transparent. Cependant, en utilisant l’effet Contour p progressif dégradé, cette création est réaliContour progressif dégradé permettra de sable ; l’outil modifier l’orientation et l’étalement de ce dégradé. Voici les étapes de sa mise en place :
1. Sélectionnez le bloc. S’il ne contient ni photo, ni texte, On sélectionne les blocs et on applique le dégradé.
appliquez-lui une couleur de fond.
On glisse l’outil Dégradé pour obtenir l’étalement.
Le dégradé sur un texte Un dégradé peut s’appliquer à un texte sans qu’il soit nécessaire de le vectoriser ; cependant, pour que le dégradé remplisse le texte, celui-ci doit être sélectionné avec l’outil Texte. Par défaut, le dégradé se place comme s’il couvrait le bloc, mais n’apparaît que dans le texte. Pour modifier son étalement ou son orientation, activez l’outil Dégradé et glissez-le sur la sélection du texte.
Le dégradé s’applique au fond fo ond du bloc, au textee ou à l’objet (fond, contour et contenu). d, conto ontenu).
2. Affichez la fenêtre Contour progressif dégradé. Pour cela, vous disposez de plusieurs possibilités :
On peut appliquer un dégradé à condition dégra de le ssélectionner avec l’outil Texte.
– Double-cliquez sur l’outil Contour progressif dégradé de la palette Outils.
– Lancez la commande Effets, puis Contour progressif dégradé du menu Objet. de la palette Effets, puis choisissez Contour progressif dégradé.
– Cliquez sur l’icône
3. Dans la fenêtre de réglages, choisissez à qui s’applique
LES MODIFICATIONS D’UN DÉGRADÉ Elles peuvent être locales ou globales.
Les modifications locales
le dégradé. Par défaut, c’est à l’objet, c’est-à-dire au bloc et son contenu (par exemple, à une photo si le bloc en contient une). Dans le cas d’un bloc de texte, vous pouvez sélectionner Fond pour ne pas modifier les couleurs du texte, ou Texte pour garder le fond du bloc intact (éventuellement, on peut aussi appliquer le dégradé au contour s’il est suffisamment épais).
Elles s’effectuent sur un objet sélectionné à l’aide de la palette permet l’inversion du Dégradé — par exemple, l’icône dégradé — ou avec l’outil Dégradé pour l’inclinaison et l’étalement. Ces modifications n’affectent que la sélection.
Les modifications globales Elles s’effectuent en éditant le dégradé par double-clic sur son nom dans le Nuancier. Dans ce cas, les modifications affectent tous les objets (sélectionnés ou non) remplis par ce dégradé. De même, si vous changez la composition d’une des couleurs nommées du dégradé, ce dernier est modifié.
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On choisit h ici à qui est affecté aff le l dégradé. d d On peut cumuler l les affectationss (il faudr faudra à nouveau sélectionner Contour progressif… d dans la l colonne gauche) et leur appliquer des réglages différents.
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET
Les transferts d’attributs de couleurs LE PRÉLÈVEMENT D’ATTRIBUTS : L’OUTIL PIPETTE
Le dégradé dé appliqué avec les valeurs par défaut. Ici, il affecte le fond et texte.
Le réglage de la pipette Le réglage de la pipette permet de choisir les attributs de dessin prélevés sur l’objet. Pour le paramétrer, effectuez un double-clic sur l’outil Pipette dans la palette Outils.
4. Glissez les curseurs et pour régler le dégradé : le noir correspond à la couleur opaque à 100 % et le blanc, à la couleur transparente (opacité 0 %). Ces valeurs sont modifiables par la case Opacité (les curseurs deviennent alors gris) ; vous pouvez aussi ajouter une autre nuance de transparence en cliquant entre les deux présentes. Enfin, réglez l’orientation du dégradé ou son type (Linéaire ou Radial), puis validez. On peut glisser les curseurs et changer leur chang valeur. valeu
On af affiche cette fenêtre nêtre par un do double-clic cet outil. sur ce Par clic sur les triangles de rubrique, on choisit les éléments prélevés.
5. Par la suite, comme pour un dégradé classique, vous pouvez glisser l’outil pour modifier le placement et l’étalement du dégradé. Si vous changez la couleur du fond ou du texte, celle-ci est mise à jour dans le dégradé choisi.
Le prélèvement sans sélection Le prélèvement est le plus souvent suivi d’un transfert des attributs vers un ou d’autres objets. Il ne s’agit que de prélever une couleur pour l’appliquer aux futurs tracés ; assurez-vous qu’il n’y a aucune sélection sur l’écran (sauf, éventuellement, le tracé sur lequel se réalise le prélèvement). Celui-ci s’effectue avec l’outil Pipette (il s’active en tapant I, cependant, n’hésitez pas à lui affecter un raccourci qui reste utilisable quand vous manipulez du texte).
On a affecté un dégradé transparent nt à ce ce texte, text on peut modifier son aspect par glissement ement de d l’outil.
Vous pouvez changer l’affectation du dégradé (du texte vers le fond, ou l’objet par exemple), en glissant le marqueur à droite de l’élément affecté, sur la nouvelle destination du dégradé. Si vous glissez le en enfonçant ∏ [Alt], il y aura copie de l’effet.
On a glissé ccette et te ic icône pourr affecter le dégradé au texte text seulement. ent.
Quand vous cliquez sur un tracé (sélectionné ou non) avec la pipette( , pipette de prélèvement), tous les attributs de l’objet (ou une partie d’entre eux selon les réglages) s’affichent dans les différentes palettes (Outils, Couleur, Effets…) et deviennent actifs (prêts à remplir les futurs tracés) ; la pipette vide devient pleine (ou noire , pipette de remplissage). Cette pipette noire est équivalente à l’outil Pot de peinture d’Illustrator : elle permet d’appliquer, en cliquant sur un objet non sélectionné, tout ou partie (selon les réglages) des attributs qui ont été précédemment prélevés ou qui sont affichés dans les différentes palettes. Un clic sur une zone vide de la page, réaffecte les attributs par défaut des blocs. A STUCE La pipette noire (remplissage) devient pipette blanche (prélèvement) si vous enfoncez ∏ [Alt] et permet d’effectuer un nouveau prélèvement sans changer d’outil.
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Le prélèvement avec sélection : transfert Pour appliquer les attributs d’un objet à un autre objet, sélectionnez-le ou les objets à colorier et cliquez sur le fond ou sur le contour de l’objet ayant les attributs désirés avec l’outil Pipette. Le fond, ou le contour de l’objet sélectionné, prend automatiquement les attributs prélevés. Si vous enfoncez Ó, la pipette devient , le transfert est alors sélectif : l’élément sélectionné garde les réglages spécifiés dans la palette Effets (c’est-à-dire la transparence, et les effets tels que l’ombre, le contour progressif…). Seule la couleur de l’élément sur lequel vous cliquez (fond ou contour) est transférée au fond avec la case Fond active dans la palette Outils (ou au contour dans le cas contraire).
ASTUCE Avec ce type de transfert, l’épaisseur du contour est transférée sur l’élément sélectionné. L’opération peut s’effectuer sur une photo dont vous souhaitez affecter une des couleurs à un élément de votre mise en page.
Le prélèvement sélectif et le transfert sélectif sans sélection Le prélèvement sélectif s’effectue sans sélection mais avec la touche Ó. En effet, si vous enfoncez Ó, l’outil Pipette devient pipette blanche ; en cliquant sur le fond (ou sur le contour) d’un objet vous ne prélevez que la couleur de son fond (ou de son contour selon l’endroit cliqué). Elle apparaît dans la case active (Fond ou Contour) de la palette Outils.
Le prélèvement sur une photo Activez la case Fond ou Contour de la palette Outils (en tapant X, on inverse l’activation). Sélectionnez l’élément à colorier et cliquez sur la photo avec la pipette (blanche).
Pour n’appliquer la couleur prélevée qu’au fond (ou au contour) d’un autre objet (transfert sélectif), enfoncez Ó et, avec l’outil Pipette devenu pipette noire avec un signe + ( ), cliquez sur le fond ou le contour de l’objet à colorier.
La transparence et les effets On retrouve dans InDesign les fonctionnalités de transparence et certains effets de calques de Photoshop ou d’Illustrator. Tous ces éléments se gèrent dans la palette Effets ou la palette Contrôle, par objet (contenu ou conteneur dans le cas des blocs d’image) ou par groupe (mais pas par calque), donc avec une sélection avec l’outil Flèche. Quelques paramètres doivent être spécifiés : le réglage de transparence ou pourcentage d’Opacité et le Mode de fusion des couleurs sur les objets à l’arrière-plan ; deux options, l’une liée à l’opacité (Groupe perçant ou de masquage) et l’autre au mode de fusion (Fusion isolée), peuvent être ajoutées dans certains cas. Un clic sur l’icône du bas de la palette Effets (ou au centre de la palette Contrôle) affiche les différentes possibilités que l’on retrouve dans le menu contextuel (sous-menu Effets).
Palette Contrôle ou Effets, en cliquant sur cette icône on affiche cette liste.
La destination des réglages Qu’il s’agisse d’un réglage de transparence ou d’un effet, vous devez indiquer à InDesign à qui s’applique l’effet (Objet, Contour, Fond ou Texte). En l’absence de cette information, InDesign applique l’effet à l’objet ; cependant, il restera possible de changer la destination du réglage ultérieurement. Pour définir la destination, une fois la sélection réalisée, vous pouvez utiliser la palette Effets, la palette Contrôle ou encore la fenêtre de réglages de l’effet. Dans le premier cas (palette Effets), il suffit de cliquer sur la ligne correspondant à la destination voulue. Dans le cas de la palette Contrôle, c’est en cliquant sur l’icône que s’affiche la liste des destinations possibles. Une fois ce choix réalisé, effectuez le réglage désiré, puis, éventuellement, choisissez une autre destination pour un autre réglage ou un autre effet.
En cliquant cl sur un de ces éléments on le définit comme destination de l’effet. défin choix peut Ce ch p se faire dans ce menu.
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L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET
ASTUCE Pour appliquer le même effet à l’objet et au texte (ou inversement), dans la palette Effets, glissez la marque de l’objet vers le texte en enfonçant ∏ [Alt] pour copier l’effet.
Quand vous affichez la fenêtre de réglages des effets (en choisissant l’un d’eux dans le menu des effets ), la destination se sélectionne dans le menu local Paramètres pour de la fenêtre. Vous pouvez également afficher cette fenêtre par double-clic sur le nom de la destination choisie (Objet, Contour, Fond ou Texte) dans la liste de la palette Effets, dans ce cas, la fenêtre de réglages sélectionne directement la destination correspondante.
ASTUCE Une réduction de l’opacité d’un objet ayant une ombre portée entraîne une réduction de l’opacité de cette dernière. Pour pallier ce problème, vous pouvez augmenter l’opacité de l’ombre mais si celle de l’objet est faible, cela ne suffira pas. Il faudra avoir recours à une astuce en utilisant un Groupe perçant (voir plus loin).
LES MODES DE TRANSPARENCE Sans ou avec transparence, un objet peut avoir différents comportements sur les objets à l’arrière-plan.
Le comportement des objets opaques : défonce
Dans cette fenêtre, re, on choisit h i it la l destination d ti ti puis i on règle l’effet.
Quand des objets opaques sont partiellement superposés, la zone de recouvrement ne laisse voir que la couleur de l’objet au premier plan. Cette zone correspond à un masquage ou une défonce sur la partie de l’objet à l’arrière-plan dans la zone de recouvrement — on dit aussi que l’objet au premier plan perce celui à l’arrière-plan qui disparaît ainsi partiellement. Par défaut, lors de l’impression, il y aura une défonce du premier plan sur l’arrière-plan (sauf s’il est noir ou si vous le réglez pour qu’il soit imprimé en surimpression dans la fenêtre Options d’objet).
La transparence L A RÉDUCTION DE L’OPACITÉ Ce type de réglage intervient à chaque fois que vous souhaitez laisser apparaître un objet à travers un autre objet. L’objet à l’arrière-plan peut être une photo ou n’importe quel objet (texte ou fond) ou groupe d’objets. Cet oobjet est opaque, ici, opaq il est ttransparent. arent.
+ Cet objet est opaque, paque, il perce la couleur de l’objet à l’arrière-plan. rrière-pl À l’impression, on aura ceci. eci.
Le comportement des objets transparents : surimpression Il est maintenant facile de réduire l’opacité du fond fon sans que celle ne soit du contenu co modifiée. modi
Si vous appliquez un réglage de transparence à des objets superposés, la zone de recouvrement entre les objets montre alors le mélange partiel (surimpression) de la couleur de l’objet au premier plan avec celle de l’objet à l’arrière-plan : il n’y a plus de masquage des couleurs mais un mélange qui tient compte du degré d’opacité. L’objet au premier plan ne perce pas ceux à l’arrière-plan.
+ Pour réaffecter une opacité de 100 % à l’élément sélectionné, cliquez sur l’icône du bas de la palette Effets. Attention, ceci supprime également le mode de fusion et les effets.
Cet objet est transparent, parent, ili se superpose à la couleur de l’objet l’arrière-plan. À l’impression, on aura ceci. bjet à l’ar
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4
La défonce de l’objet transparent dans un groupe perçant Si vous souhaitez qu’un objet ayant une opacité réduite masque certains objets inférieurs, sélectionnez cet objet transparent ainsi que ceux qu’il doit défoncer, groupez-les (menu Objet/Associer ou ¢ G [Ctrl G]) puis, dans la palette Effets, cochez l’option Groupe perçant (cette option s’appelle Groupe de masquage dans la fenêtre Effets). La partie des objets du groupe recouverte par l’objet transparent disparaît pour ne laisser voir que l’objet au premier plan ; ce dernier demeure transparent sur les objets situés à l’arrièreplan et ne faisant pas partie du groupe. On souhaite que cet objet transparent perce objet mais pas ceux à cet oob l’arrière-plan. l’arriè è
On sélectionne les deux d ux objets, de obje on les es groupe et on applique que cette option..
4. Réduisez l’opacité de l’objet collé ; attention, rien n’est visible à cause de l’objet à l’arrière-plan.
On a collé sur place et réduit l’opacité.
5. Sélectionnez les deux objets superposés et groupez-les (¢ G [Ctrl G]). Dans la palette Effets, appliquez à la sélection, c’est-à-dire au groupe, l’ombre portée souhaitée et cochez l’option Groupe perçant : l’objet au premier plan retrouve sa transparence et perce celui à l’arrière-plan, elle reste intense.
Pour obtenir o ceci, eci, on sélec sélectionne le groupe, on ajoute group ute une ombre om et on coche cette option. i
Q UELQUES EXEMPLES D’UTILISATION L’ombre sur un objet transparent Comme cela a été signalé à la page précédente, si un objet a une opacité réduite, son ombre s’estompe. Pour obtenir un objet transparent avec une ombre (nous parlerons plus loin des réglages de l’ombre), opérez ainsi :
1. Pour rendre plus facile les sélections, travaillez hors de la page ou placez sur un calque verrouillé (et à l’arrière-plan) les éléments sur lesquels vous souhaitez faire figurer votre objet transparent.
2. Sélectionnez cet objet, s’il est déjà transparent avec une ombre, réglez son opacité à 100 % et supprimez son ombre portée.
Dans cette fenêtre, on retrouve t ou e ici trouve c l’option l’o o Groupe perçant.
Dans notre exemple, le texte reste éditable. Pour modifier sa saisie et la typographie, utilisez la commande Rechercher/ Remplacer du menu Édition qui (nous le verrons plus tard) permet de remplacer le texte par un autre avec un autre style préalablement préparé. ASTUCE Si vous réglez l’opacité de l’objet au premier plan sur une valeur nulle, on ne verra que l’ombre.
Le perçage d’un bloc par un texte non vectorisé
On a placé seul sur ur un calq calque l ue non no verrouillé, l’objet et qui aura l’ombre .
On peut trouer un bloc (ici un rectangle) par un texte, mais, à la différence de l’exclusion par la palette Pathfinder, le texte n’est pas vectorisé et demeure facilement éditable. Cet effet s’obtient avec la méthode suivante :
1. Dessinez le bloc à percer et 3. Avec l’outil Flèche noire, copiez cet objet (¢ C [Ctrl C]) et collez-le sur place par le menu Édition/Coller sur place (ou au clavier Ó∏¢ V [ÓCtrl Alt V]).
colorez son fond. Créez dessus un bloc de texte et saisissez le mot voulu. Sur le bloc à trouer, on a créé un texte.
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L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET 2. Sélectionnez le bloc de texte avec l’outil Flèche et affec-
Le remplissage d’un texte ombré avec une photo
tez-lui une opacité nulle : il disparaît.
3. Sélectionnez le texte et le bloc à l’arrière-plan et groupez-les (menu Objet/Associer ou ¢ G [Ctrl G] ). Pour trouer le rectangle, cochez l’option Groupe perçant dans la palette Effets.
Pour obtenir cet effet, il faut deux blocs de texte : un blanc utilisé pour l’ombre, un noir (de couleur [Repérage]) dans un bloc blanc placé ; et un bloc d’image « rempli » par la photo. Voici le détail des opérations : Les trois éléments du montage.
On a sélectionné le bloc et le texte que l’on groupe avant d’appliquer ceci.
1. Commencez par importer une photo ; recadrez-la à une taille voisine de celle du texte qu’elle va remplir.
Placez l’élément voulu à l’arrière-plan du groupe, vous constaterez que le bloc est bien troué par le texte.
On importe une photo que l’on recadre approximativement à l’encombrement du texte.
Le trou n’est visiblee qu’avec un arrière-plan..
g Il n’est pas possible d’affecter une ombre au groupe : le résultat ne serait pas satisfaisant. Pour obtenir une ombre correcte, il faut imbriquer ce groupe dans un bloc. Pour cela, le groupe étant sélectionné, coupez-le (¢ X [Ctrl X]). Tracez un nouveau bloc (plus grand que le groupe) et supprimez sa couleur de fond et de contour. Lancez Coller dedans (menu Édition ou ∏¢ V [Alt Ctrl V]). Le groupe apparaît dans le bloc, appliquezlui une ombre portée : elle se place correctement. Pour affecter une ombre qui soit so correcte, on imbriqué le groupe a imb dans un autre bloc par collage. collag
2. Dessinez dessus un bloc de texte qui couvre complètement la photo.
3. Saisissez le texte et réglez sa typographie. Centrez le texte dans le bloc : horizontalement avec l’icône et verticalement par le menu Objet/Options de bloc de texte puis Alignement et Centrer. Colorez ce texte en blanc (éventuellement avec un contour) et affectez-lui une ombre. Sélectionnez le bloc et copiez-le ; il sera collé ultérieurement pour faire apparaître l’ombre. On saisit le texte dans un bloc un peu plus grand que la photo.
Il est possible d’ajuster la taille du bloc par rapport à son contenu (le groupe) mais cela rendra plus délicate la visualisation des éléments sélectionnés. En outre, si le conteneur est réduit, il ne montrera qu’une partie de son contenu. INFO. Si vous changez la saisie du texte, sa transparence n’est temporairement plus visible (tant que l’outil Texte est actif) : elle le redevient avec l’outil Flèche.
4. Supprimez l’ombre et colorez le texte avec la nuance [Repérage] (noir ayant 100 % de chaque composante colorée). Colorez le fond du bloc en blanc ; la photo est alors recouverte de blanc. Le fond du bloc cache la photo.
On peut pe encore modifier la typographie du texte ou remplir typog d’une image le bloc groupé avec le l texte.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4 5. Appliquez au bloc le mode Éclaircir : la couleur noire du texte disparaît et la photo devient visible en remplissant le texte.
Les modes de fusion L’AFFECTATION DU MODE DE FUSION Comme Photoshop ou Illustrator avec les éléments sur des calques superposés, InDesign peut créer des effets de fusion entre les couleurs d’objets superposés. Ces mélanges, définis par un mode de fusion, peuvent être combinés à une réduction d’opacité. Un mode s’attribue à l’objet, à son contour, son fond ou à un texte ; il s’applique également à un groupe.
La photo réapparaît avec ce mode qui « supprime » le noir du texte.
6. Sélectionnez les deux blocs (celui de la photo et du texte) pour les grouper et leur appliquer le mode Obscurcir afin que les zones blanches disparaissent si on place l’ensemble sur d’autres blocs.
ASTUCE Dans un travail PAO en CMJN, pour ne pas risquer des décalages de couleurs lors de l’impression, évitez l’application de mode de fusion aux objets remplis de tons directs.
LES DIFFÉRENTS MODES DE FUSION On retrouve dans InDesign tous les modes de fusion de couleurs présents dans Illustrator. En effet, si vous cliquez sur Normal dans la palette Effets, une liste de modes de fusion apparaît (voir ci-contre). La photo réapparaît avec ce mode qui « supprime » le noir du texte.
7. Pour placer l’ombre, collez sur place (menu Édition/Coller sur place) le bloc contenant le texte blanc (copié au début des opérations). Envoyez-le à l’arrière-plan par clic droit (Disposition/Arrière-plan). On colle l’ombre sur place puis on l’envoie à l’arrière-plan.
Chaque mode détermine la façon dont InDesign combine la couleur de l’objet actif avec celle des objets situés dans les plans inférieurs.
Les modes de fusion.
ATTENTION Les aspects diffèrent selon que vous avez choisi un espace RVB ou CMJN pour la fusion des transparences du document (menu Édition). Avec RVB, les effets sont semblables à ceux de Photoshop dans un document RVB.
Le mode Normal 8. Groupez l’ensemble du texte blanc et du groupe contenant la photo afin d’en faciliter le déplacement.
Le résultat final.
Normal est le mode actif par défaut. La couleur de l’objet est complètement visible (selon le degré d’opacité choisi), il n’y a pas de mélange, l’objet est opaque et cache les couleurs à l’arrière-plan.
Le mode Produit La couleur résultante est plus sombre. Les parties blanches de l’objet disparaissent (le blanc est la couleur neutre de ce mode, c’est-à-dire qu’elle ne sera pas visible) ; en revanche, les parties noires le restent. Le mode Produit s’utilise pour faire disparaître des parties blanches d’un dessin ou d’un dégradé placé sur un arrière-plan coloré.
Le texte utilisé dans cet effet reste éditable. Pour en modifier la saisie, utilisez la commande Rechercher/Remplacer du menu Édition. Mode Normal.
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Mode Produit.
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET
Le mode Superposition
Les modes Différence et Exclusion
La couleur résultante est éclaircie et, dans certains cas, remplacée par le blanc. Les parties noires de l’objet disparaissent, le noir quadrichromique devient même transparent ; en revanche, les parties blanches le restent.
Le mode Incrustation Selon la couleur de l’arrière-plan, InDesign applique les modes Produit ou Superposition ; il y a donc un mélange des couleurs des objets au premier plan et à l’arrière-plan mais la luminosité de la couleur de l’ensemble correspond à celle de l’arrière-plan. L’image résultante contient les parties les plus claires et les plus foncées des objets superposés.
Les modes Lumière tamisée et Lumière crue En fonction de la couleur de l’objet au premier plan, les couleurs à l’arrière-plan sont assombries ou éclaircies. Cela donne l’aspect d’une image éclairée par une lumière diffuse. Avec le mode Lumière crue, l’effet est semblable à Lumière tamisée mais en plus prononcé — ce dernier est parfois sans effet.
Le mode Densité – Ce mode de fusion agit sur la saturation de l’objet et provoque une augmentation de cette dernière. L’effet est plus fort sur les zones claires de l’objet inférieur et s’accompagne d’une augmentation du contraste et de la luminosité (la couleur résultante est plus claire).
Le mode Densité + Ce mode donne sensiblement le même effet que Produit mais avec une légère augmentation du contraste et de la saturation des couleurs. Elle est plus forte sur les zones claires de l’objet à l’arrière-plan. En revanche, la luminosité est réduite sur les zones sombres.
InDesign applique à la zone de recouvrement des objets la différence entre la valeur chromatique la plus élevée et la valeur chromatique la plus faible de cette zone : on obtient une inversion (négatif) des couleurs ; celle-ci est d’autant plus prononcée que l’arrière-plan est clair. La couleur du premier plan reste intacte sur les zones sombres de l’objet à l’arrière-plan. Avec Exclusion, l’effet est moins prononcé.
La série des colorations La dernière série comporte quatre modes de fusion, Teinte, Saturation, Couleur et Luminosité, qui provoquent des modifications sur les caractéristiques de teinte, saturation et luminosité (T, S, L) des couleurs. La couleur résultante garde au moins une des caractéristiques T, S ou L de l’une des deux couleurs superposées. ATTENTION Ces modes (ainsi que Différence et Exclusion) ne provoquent pas de fusion avec les couleurs de tons directs, ce qui peut entraîner des problèmes à l’impression.
INFO. Si le ou l’un des objets à l’arrière-plan possède des zones blanches ou noires, la couleur de l’objet au-dessus ne sera plus visible (sauf avec le mode Luminosité).
Le mode Teinte L’objet au premier plan garde sa teinte mais prend la luminosité et la saturation de l’objet à l’arrière-plan. Ce mode est délicat à utiliser. Le mode Saturation L’objet au premier plan garde sa saturation mais prend la teinte et la luminosité de l’objet à l’arrière-plan. Ce mode est délicat à utiliser.
Les modes Obscurcir ou Éclaircir
Le mode Couleur
On devrait plutôt parler d’addition et de soustraction des couleurs. Pour constituer la couleur mélangée, InDesign ajoute chaque composante de couleur (Obscurcir) ou les soustrait (Éclaircir) — on obtient du blanc si l’objet inférieur ne renferme pas la composante de l’objet supérieur. Ces modes de fusion donnent souvent des résultats voisins à ceux des modes Produit et Superposition.
Ce mode de fusion n’altère pas les niveaux de gris de l’objet situé à l’arrière-plan : si celui-ci est blanc ou noir, il le reste. La couleur du mélange correspond à la teinte et à la saturation de l’objet au premier plan mais sa luminosité est celle de l’objet à l’arrière-plan. Ce mode est intéressant pour changer les couleurs d’une image par superposition de zones colorées. En effet, l’image résultante garde la luminosité de l’image initiale et prend la couleur de l’objet au premier plan. Le mode Luminosité
Mode Normal.
Mode Éclaircir.
Quand l’arrière-plan est noir (ou blanc), on les utilise pour faire disparaître des zones blanches (ou noires) dans une superposition de fonds.
La couleur résultante prend la luminosité et la saturation de l’objet au premier plan mais garde la teinte de celui à l’arrière-plan ; dans certains cas, l’objet devient gris.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4
L A LIMITE OU L’ISOLEMENT DE LA FUSION Quand vous appliquez un mode à un objet, la fusion des couleurs s’effectue avec tous les objets à l’arrière-plan, quel que soit le calque sur lequel ils se trouvent. InDesign permet cependant de limiter cette fusion à certains objets. Pour cela, sélectionnez les objets sur lesquels doit se limiter le mode de fusion et groupez-les (ils passent alors dans le même calque), affichez la palette Effets et cochez l’option Fusion isolée.
Cet et objet fait une fusion avec mode Produit. vec le m
Pour éviter toute erreur de manipulation, vous pouvez contrôler la destination de l’effet (objet ou graphique) dans la palette Effets, d’autant plus que certains peuvent ne pas être visibles en fonction des tailles respectives du bloc et de l’image.
Effet appliqué au bloc et à son contenu.
ASTUCE Pour appliquer le même effet à l’objet et au texte, glissez la marque en enfonçant ∏ [Alt] pour copier l’effet. Celle-ci s’effectue avecc cet objet à l’arrière-plan de l’ensemble. nsemble.
L’OMBRE PORTÉE Les réglages de l’ombre Pour limiter la P a fusion, on a créé un groupe et appliqué cette u gr c option. ooptio
L’affectation d’une ombre portée (qui peut aussi s’effectuer par le menu contextuel) affiche une fenêtre dans laquelle vous devez spécifier des options :
Les effets Le menu Objet/Effets, la palette Effets ( ) et la palette Contrôle ( ) proposent une série d’effets, parmi lesquels : les ombres, les lueurs, le biseau et l’estampage, le satin et les contours progressifs. Ils font tous apparaître une fenêtre dans laquelle ils seront tous disponibles.
L’effet Ombre portée propose de nombreux réglages. La liste des effets.
Les réglages de Fusion Ils sont au nombre de trois : Mode, Couleur et Opacité.
– Mode : choisissez le mode Normal si vous remplacez le noir par une couleur dont l’aspect change en raison de l’arrière-plan.
– Couleur : noir par défaut. La couleur se choisit parmi celles du nuancier mais vous ne pouvez pas en définir la composition.
– Opacité : 75 % par défaut ; vous pouvez adoucir l’ombre en réduisant ce pourcentage. Les réglages de Position En choisissant un effet, on accède à cette fenêtre qui les liste tous. On peut spécifier à qui appliquer l’effet.
Chaque effet peut s’appliquer à l’objet, au fond, au contour ou au contenu (texte ou image). Pour le texte, le choix s’effectue dans la palette (ou la fenêtre) Effets, alors qu’avec l’image, l’application est liée à la sélection : Flèche blanche pour l’image (ou graphique), et Flèche noire pour le bloc (ou objet).
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Distance et Décalages définissent la position de l’ombre. Ces derniers peuvent être négatifs pour placer l’ombre en haut à gauche, par exemple. Ils se modifient automatiquement en fonction des valeurs des cases Distance et Angle. L’option, Utiliser l’éclairage global permet d’assurer une cohérence dans les effets. Par la suite, l’angle global peut être modifié par la commande Éclairage global (menu de la palette Effets).
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET Les réglages des Options
– Taille : cette option gère l’atténuation de l’ombre. Des valeurs faibles donnent une ombre nette, des valeurs importantes donnent une ombre floue.
Pour cumuler une ombre sur le fond et sur l’image (détourée), il faudra sélectionner cette dernière avec l’outil Position ou Flèche blanche (ou triple clic avec l’outil Flèche noire).
– Grossi et Bruit : le premier intensifie l’ombre, le second ajoute du grain. Si vous appliquez d’autres effets (par exemple, un biseau ou un contour progressif), cochez l’option Autres effets respectés par l’ombre afin que l’ombre n’apparaisse pas sous cet effet ajouté.
Bloc sans fond ni contour, par défaut, l’ombre s’applique à l’image (ici détourée), ou au bloc si elle l’occupe entièrement.
L’ombre avec ou sans fond de bloc Avec un texte, si le bloc n’a pas de couleur de fond, l’ombre s’applique au texte, mais elle apparaît cependant autour du bloc dès que ce dernier a une couleur de fond. Si le bloc a un contour, l’ombre s’applique au contour et au contenu. Si le bloc a un fond, l’ombre apparaît autour du bloc.
Si le bloc n’a qu’un contour, l’ombre apparaît sur celui-ci et sur l’image (si elle est détourée). En sélectionnant l’image, on peut lui affecter une ombre (en plus de celle du fond) mais elle ne sera visible que sur les images détourées.
L’ombre sur un objet dans un bloc sans fond ni contour : c’est le texte qui prend l’ombre.
L’application rapide d’une ombre standard Ici, comme l’indique cette palette, on a appliqué une ombre différente au fond et au texte. ASTUCE Pour d’obtenir un mot ombré dans une phrase, il faut couper ce mot pour le placer dans un bloc indépendant, puis ancrer ce bloc dans le texte où le mot a été coupé.
L’ombre portée, qui constitue un effet très courant, est (l’omaccessible depuis la palette Contrôle et son icône bre s’applique avec les réglages par défaut). On peut également supprimer l’ombre en cliquant sur l’icône .
L’OMBRE INTERNE L’ombre interne se place à l’intérieur de l’objet lui donnant ainsi un effet d’encastrement. Comme avec l’ombre portée, on retrouve des réglages de fusion, de position et d’options pour décaler l’ombre interne ou modifier son aspect (Maigri joue le même rôle que Grossi dans l’ombre portée).
Ce titre ombré est constitué d’un bloc ancré dans le texte.
Avec une image, on retrouve le même principe. Si le bloc n’a ni fond ni contour, l’affectation de l’ombre à l’objet fait apparaître une ombre sur l’image (autour de celle-ci si elle est détourée). S’il y a un contour mais pas de fond, il y aura deux ombres si l’image est détourée (une seule si elle occupe tout le bloc).
Les réglages de l’effet Ombre interne.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4
Le biseau et l’estampage Cet effet comporte de nombreux réglages rangés en deux catégories : Structure et Ombrage.
Ombre interne sur un texte et sur un bloc d’image.
LES EFFETS : LUEUR , BISEAU… Les lueurs Qu’elles soient externes ou internes, hormis la position de l’éclairage par rapport à l’objet, les réglages sont voisins pour les deux lueurs.
Les réglages des effets Lueur externe et interne.
Les réglages de l’effet Biseau et estampage.
Les réglages de Structure L’effet propose plusieurs styles de biseautage.
– Biseau interne : appliqué par défaut, il crée é un biseau bi quii bombe les bords intérieurs du contenu du calque ;
– Biseau externe : crée un biseau sur les bords extérieurs ; – Estampage : produit un estampage du calque par rapport aux calques inférieurs ;
– Estampage oreiller : crée un effet de creux sur les On retrouve certains paramètres des effets d’ombre au niveau des réglages de fusion, tels que le Mode, la Couleur et l’Opacité. Pour les lueurs, le mode de fusion est Superposition du fait que la couleur utilisée est plutôt claire. Au niveau de l’opacité, il est souvent souhaitable de la pousser à 100 % surtout si l’arrière-plan n’est pas très foncé. Taille définit l’étendue de la lueur (par défaut, faible) alors que l’intensité est liée à la valeur de la case Grossi ou Maigri. Le Bruit règle l’aspect granuleux de la lueur. Technique propose deux options qui permettent de modifier l’aspect du flou de la lueur. Avec l’option Précis, la lueur est plus intense et suit davantage les bords de l’objet ; elle convient mieux à des textes ou à des objets présentant des petits détails. L’option Plus lisse crée un rendu plus doux.
Lueur
Lueur externe ; elle nécessite un arrière-plan foncé.
Lueur interne ; elle se réalise sur un élément foncé.
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ns les lees calques de dessous. contours du calque dans
pile Biseau interne.
Biseau externe.
pile Estampage.
Estampage oreiller.
Pour chaque style de biseau, vous pouvez choisir différents paramètres (Taille, Technique, Profondeur…) pour modifier l’aspect du biais. Profondeur définit la hauteur du relief que provoque le biseau en augmentant le contraste entre les zones éclairées et les zones d’ombre. Son réglage n’est visible que si Taille n’est plus nulle. En effet, l’option Taille permet d’augmenter l’étendue du biseau.
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET Le menu Technique propose trois options qui définissent la façon dont sont dessinés les bords du biseau. L’option Arrondi crée un effet de flou sur les bords qui donne un aspect bombé. Cisèlement épais crée un biseau avec des arêtes plus saillantes (cette option convient mieux aux textes), avec Cisèlement fin ce biseau est plus précis. Dans les deux cas, on peut adoucir les pointes en augmentant très légèrement la valeur de la case Atténuation.
LES CONTOURS PROGRESSIFS Dans la version CS3, ils sont au nombre de trois. Le dernier d’entre eux, Contour progressif dégradé, peut être manipulé par l’outil directement sur la page.
Le contour progressif simple Il permet d’adoucir les bords de l’objet dans un fondu plus ou moins important. La fenêtre de réglages permet de définir la largeur du fondu (Épaisseur de contour) ainsi que l’aspect de ses angles (Diffus, Pointus, Arrondis) ; l’option Bruit transforme le fondu en grain.
Arrondi.
Cisèlement épais.
Cisèlement fin.
Cisèlement épais avec Atténuation de 0,3 mm.
Les réglages de l’effet Contour progressif simple.
Ce traitement peut s’avérer utile pour adoucir les bords d’une image détourée. Dans certains cas, pour mieux visualiser le résultat, il faudra masquer les bords du bloc (¢ H [Ctrl H]).
L’effet Satin Cet effet donne un aspect satiné par juxtaposition des copies de l’objet rempli de la couleur spécifiée.
Contour progressif sur le bloc, sur l’image et sur le bloc et le texte. Les réglages de l’effet Satin.
Ces copies peuvent subir différents traitements dont chacun correspond à une des options :
– Opacité : définit le degré de transparence des copies ;
Le contour progressif directionnel Ici, vous pouvez spécifier un fondu avec un étalement identique ou différent sur chaque bord de l’objet. Pour cela, cliquez sur le maillon pour désolidariser les côtés (le maillon devient ) et saisissez une valeur dans chaque case. Une valeur nulle fait disparaître l’effet sur ce bord.
– Distance et Angle : correspondent au décalage des copies (l’une vers la droite et l’autre vers la gauche avec des angles opposés). Avec une Distance nulle, les copies sont superposées à l’original ;
– Taille : l’option définit l’étendue du flou appliqué aux copies. Si la valeur est trop augmentée, l’effet disparaît. Les réglages de l’effet Contour progressif directionnel.
Satin (l’effet est appliqué au bloc et au texte).
Les valeurs Opacité, Taille et Distance ont été augmentées.
Comme avec le contour précédent, l’option Maigri permet de durcir le fondu. Selon la forme de l’élément, n’hésitez pas à changer la forme du fondu ; le plus souvent, c’est l’option Premier bord uniquement qui donne le meilleur résultat avec les textes ; en revanche, utilisez Bord d’interligne ou Tous les bords quand le bloc n’est pas rectangulaire.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4 1. Sélectionnez le bloc et affichez la palette Effets. Afin Contour progressif sur le bloc et le texte avec des bords différents. En haut, la forme est Premier bord… et en bas Bord d’interlignage.
Le contour progressif dégradé Avec cet effet, vous définissez un étalement du contour progressif dans une direction donnée (définie par la valeur de l’angle) en glissant les icônes aux extrémités de l’aperçu. Il est possible d’ajouter des nuances de transparence en cliquant sur cette bande, puis de régler leur opacité. Les réglages du contour progressif dégradé.
d’afficher la fenêtre de réglages des effets, double-cliquez sur Objet (ou sur Text s’il s’agit d’appliquer le flou au texte sans modifier le fond du bloc).
FLOU On veut créer un flou sur ce texte. On affiche la fenêtre de réglages d’effets par double-clic ici.
2. Appliquez à l’élément spécifié (objet ou texte), une ombre portée ayant la couleur que devra avoir l’élément. Réglez l’opacité à 100 %, affectez-lui une distance de 0 pour que cette ombre se place autour de l’élément. La valeur Taille définit l’étendue du flou qui peut être intensifié avec un léger grossi.
FLOU
On applique une ombre portée de la couleur du texte avec ces paramètres.
Dans le cas d’une photo (ou d’un texte), si le fond du bloc a une couleur, il sera possible de créer un fondu de la photo (ou du texte) vers cette couleur. On a appliqué un contour progressif simple et un contour progressif dégradé pour créer le fondu à droite sous le texte.
Pour créer cet effet de reflet, on a dupliqué le bloc, fait et appliqué un la symétrie sym Contour progressif dégradé Conto sur la copie du bas.
Les effets de flou Dans InDesign, il n’existe pas d’effet de flou comme dans Photoshop (ou Illustrator). Cependant, en utilisant l’effet Ombre portée et un Contour progressif simple de grande dimension (pour faire disparaître la couleur du fond et ne voir que l’ombre), on obtient ce type de résultat. Ce flou peut s’appliquer au fond d’un bloc ou à un texte (dans ce cas, on garde la possibilité d’en modifier la saisie ou la typographie). Voici les étapes de la méthode. On peut envisager d’en faire un style d’objet de manière à réutiliser l’effet plus facilement.
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3. Cliquez sur l’effet Contour progressif simple et saisissez une grande valeur, par exemple 150 mm. La couleur de l’élément disparaît pour ne laisser voir que l’ombre qui donne ainsi un aspect flou à l’élément. On ajoute à l’ombre un contour progressif très épais pour faire disparaître la couleur de l’objet.
Si on prépare un style, on peut facilement appliquer cet effet à d’autres objets. Dans certains cas, il faudra adapter la valeur Taille pour ajuster le flou.
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET
Les problèmes liés à la transparence Dans un document InDesign, les pages sont décrites à l’aide du langage PostScript ; c’est également ce langage qu’utilisent les imprimantes et les RIP (processeurs d’images tramées, employés par une flasheuse pour créer les films ou les plaques). Le transparent n’est pas interprété par le PostScript, il l’est seulement avec le PDF 1.4 ou + (Acrobat 5 ou +, Illustrator 9 ou +). Les programmes tels InDesign et Illustrator qui permettent de créer des éléments avec transparence utilisent un processus appelé aplatissement de la transparence pour convertir « le transparent » dans un format que le PostScript comprendra.
Lors de l’aplatissement, InDesign procède à une décomposition des zones en morceaux vectoriels ou pixellisés que le PostScript peut gérer, simulant la transparence sans modification de l’aspect visuel du document. Si l’aplatissement n’est pas correctement réglé ou si le document comporte des zones trop complexes, des problèmes peuvent survenir. Nous en reparlerons dans la partie consacrée à l’impression. Afin de contrôler l’aspect qu’aura le document imprimé, vous pouvez simuler une impression vers « l’imprimante » Acrobat PDF puis visualiser et contrôler le résultat dans Acrobat professionnal. A STUCE Avec une image détourée, pour éviter des problèmes d’aplatissement de transparence, appliquez l’ombre portée ou la lueur externe à l’image plutôt qu’à son bloc.
Les styles d’objet L’intérêt des styles À l’instar d’un style de caractère qui est un ensemble d’attributs de caractères (police, corps, échelle, etc.), un style d’objet est un ensemble d’attributs (coloration ou autre, voir le tableau ci-contre) que vous pourrez appliquer à un objet sélectionné ou que vous comptez dessiner. Les styles assurent l’automatisation de la mise en forme des objets et garantissent une harmonisation de leur aspect. Par la suite, si vous modifiez un style, les objets auxquels il a été affecté sont automatiquement mis à jour sans avoir à les sélectionner — et ceci dans la totalité d’un livre, si les différents chapitres utilisent les mêmes styles (c’est le cas de ce livre). La mise en œuvre des styles comprend deux étapes : d’une part, la préparation et, d’autre part, l’application. Les opérations s’effectuent dans la palette Styles d’objet affichée par le menu Fenêtre ou à partir de la palette Contrôle. ASTUCE Affectez-lui un raccourci du même type que ceux des palettes Styles de paragraphe F11 ou Styles de caractère ÓF11, par exemple ∏¢ F11 [Alt Ctrl F11].
Vous pouvez également combiner les deux méthodes. Une option d’aperçu facilitera alors les mises au point.
LE RÉGLAGE DE L’ASPECT D’UN OBJET POUR UN STYLE Dessinez ou sélectionnez un bloc (de texte ou d’image), un trait ou un objet ancré et affectez-lui les attributs souhaités pour qu’il prenne l’aspect voulu. Le tableau suivant indique les différentes catégories d’attributs applicables ainsi que l’endroit où les régler. Catégorie d’attributs d’objet Fond Contour Options d’arrondis Opacité et mode de fusion Effets (ombre, contour progressif) Habillage
Palette ou menu Palette Nuancier ou Couleur Palette Contour ou Contrôle. Menu Objet. Palette Effets ou Contrôle. Menu Objet, palette Effets ou Contrôle. Palette Habillage.
– Avec un bloc de texte, vous pouvez définir le nombre de
La préparation d’un style d’objet LES MÉTHODES DE PRÉPARATION Le style d’objet se fabrique sur le même principe que le style de paragraphe ou de caractère. Vous disposez de deux méthodes pour préparer le style d’objet : par préparation directe (mais aveugle) depuis la palette Styles d’objet (ou la palette Contrôle), ou par transformation en style d’une mise en forme réalisée avec un bloc sélectionné sur la page.
colonnes, les marges à l’intérieur du bloc et l’alignement vertical texte dans le bloc par la fenêtre Options de bloc de texte du menu Objet ou, selon l’attribut, par la palette Contrôle (ces notions sont abordées dans le chapitre suivant). De plus, si vous affectez un style de paragraphe au texte du bloc, il peut être retenu dans le style d’objet.
– Avec un objet ancré, vous pouvez définir, avec la commande Options du menu Objet/Objet ancré, la position de l’objet par rapport au texte dans lequel il est ancré ou par rapport à la page et ses marges.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4 Quand l’objet a exactement l’aspect souhaité, passez à la seconde étape : l’obtention d’un style à partir de cet objet sélectionné. Quand l’objet a l’aspect souhaité, on peut créer le style.
L A TRANSFORMATION EN STYLE D’OBJET Pour définir un style à partir d’un objet formaté, sélectionnez-le avec l’outil Flèche noire et affichez la fenêtre Nouveau style d’objet soit à partir de la palette Styles d’objet par ∏ clic [Alt clic] sur l’icône (ou par la commande Nouveau style dans le menu de cette palette) ; soit par la palette Contrôle par clic sur l’icône Style d’objet pour choisir la première commande du menu local.
La partie droite de la fenêtre (Paramètres) affiche la liste des catégories d’attributs avec des triangles sur lesquels il suffit de cliquer pour voir le détail des réglages que vous avez affectés à la sélection. Nommez ce style et choisissez un raccourci qui permettra de l’affecter au clavier. Pour cela, cliquez dans la case Raccourci et tapez un chiffre du pavé numérique (verrouillé sur Windows) en enfonçant Ó ou ¢ [Ctrl] ou ∏ [Alt] ou une combinaison de ces touches. Le style que vous êtes en train de finaliser peut lui-même dépendre d’un style d’objet déjà préparé (style de base), ainsi les modifications sur ce dernier seront répercutées. Le menu local, D’après, énumère les styles existants. Si vous choisissez l’un d’eux, la partie basse de la fenêtre n’indiquera que les différences entre le style en cours et celui de base.
L A MISE AU POINT DU STYLE D’OBJET La finition du style Dans ce menu local, on peut choisir la première commande, ou dans cette palette, faire ∏ clic [Alt clic] sur cette icône.
Dans la fenêtre de configuration du style, on voit la liste des attributs et des effets applicables à l’objet. Cochez immédiatement cette option pour que le style s’applique à l’objet sélectionné.
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La colonne gauche de la fenêtre comporte des catégories d’attributs : Fond, Contour, Options de contours et d’arrondis, Styles de paragraphe (qui n’est pas cochée), Options générales de bloc de texte, Ligne de base de bloc de texte, Options d’article, Habillage et divers, Options d’objet ancré et Options d’ajustement de bloc ; ainsi que la liste des effets au premier rang desquels figure la transparence (seuls sont cochés les effets appliqués à la sélection).
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET Fond
Contour
Options de contours et d’arrondis
Styles de paragraphe
Options générales de bloc de texte
Ligne de base de bloc de texte
Options d’article
Options d’ajustement de bloc
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4 Options d’objet ancré
Habillage et divers
Effets : Transparence En plus des réglages de transparence (et du mode de fusion), on retrouve tous les effets applicables à l’objet, au contour, au fond ou au texte : ombre portée, ombre interne, biseau et estampage, satin et les trois contours progressifs.
Effets : Ombre portée
Effets : Contour progressif
Chacune catégorie ou effet affiche une fenêtre dans laquelle figurent les réglages accessibles dans les palettes correspondantes (Contrôle, Nuancier, Effets…) — vous pouvez, par exemple, changer la couleur du fond à la volée. Passez ces différentes fenêtres en revue pour vérifier que vous n’avez pas omis d’affecter un attribut au bloc sélectionné (on passe d’une fenêtre à la suivante (ou précédente) avec les touches Flèche vers le haut (ou vers le bas) du clavier). Quand cette mise au point est faite, le style est prêt, cliquez sur OK pour l’enregistrer.
La rubrique Style de paragraphe n’est pas activée par défaut ; si vous la cochez, vous pouvez choisir le style de paragraphe qui sera affecté à l’ensemble du texte présent dans le bloc de texte auquel ce style d’objet sera affecté. Une option, Appliquer le style suivant, permet d’affecter au deuxième paragraphe du bloc de texte le style qui aura été spécifié lors de la préparation du style de paragraphe choisi dans la rubrique Style de paragraphe (nous étudierons cette option très intéressante au chapitre 7, consacré à la typographie).
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L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET
Les catégories d’attributs : activées, désactivées (non définies) ou ignorées Dans la partie gauche de la fenêtre de configuration du style, chaque catégorie d’attributs est précédée d’une case qui peut contenir une coche , un tiret [ou carré] ou être vide . Son aspect dépend de l’état de la catégorie d’attributs, on distingue trois cas : activée, désactivée et ignorée: Catég Catégorie activée.. Catég go désactivée. g éee. Catégorie Caté é Catégorie ignorée.
L’affectation du style d’objet InDesign propose trois méthodes pour appliquer un style d’objet : à partir des palettes Contrôle ou Styles d’objet, par glissement depuis cette dernière et par application rapide (au clavier). ATTENTION Lors de la configuration du style, cochez l’option Appliquer le style à la sélection pour que les modifications ultérieures du style soient répercutées sur l’objet.
L’AFFECTATION PAR LES PALETTES Activée L’attribut fait partie du style. Lors de l’affectation de ce dernier, l’attribut est appliqué tel qu’il est défini dans le style. Si, avant affectation du style, l’objet possédait un attribut de d’une catégorie activée mais avec des réglages différents, InDesign considérera que, sur cet attribut, il y a eu des remplacements et les supprimera (sauf si vous décochez l’option Effacer les remplacements pendant l’application du style dans le menu local de la palette Styles d’objet). Par la suite, InDesign surveille cet attribut ; si vous changez ses réglages, un signe + apparaîtra en regard du nom du style pour indiquer qu’il y a eu des remplacements (valeurs du différentes de celles définies dans le style). L’icône bas de la palette Styles d’objet ou Contrôle indiquera également ces remplacements et permettra de les supprimer. Désactivée L’attribut n’est pas inclus dans le style ; il n’y est pas défini. Lors de l’application du style, si l’objet possédait déjà un attribut d’une catégorie désactivée, InDesign le laisse intact. En effet, il considère qu’il n’y a pas eu de remplacement car cet attribut n’existe pas dans le style : le signe + n’apparaît du bas de la palette Styles pas ; en revanche, l’icône d’objet ou Contrôle indique la présence d’un attribut non défini et permet de l’éliminer. Le fait d’activer ( ) ou de désactiver ( ) certaines catégories permet de n’appliquer que quelques attributs (ceux des catégories activées) sans en modifier d’autres (ceux des catégories désactivées, non définies dans le style). Si vous appliquez, par exemple, un style dans lequel la catégorie Contour est désactivée ( ) à un objet ayant déjà un contour, celui-ci n’est pas modifié ni considéré comme ayant subi des remplacements. Ignorée Cet état n’apparaît que pour les effets. Quand la case n’est pas cochée, l’effet est exclu du style : InDesign le supprime lors de l’application du style. Si par la suite vous affectez à l’objet stylé un effet d’une catégorie ignorée, il apparaîtra comme un remet signe + à droite du style). placement (icône
Quand un objet (bloc d’image, bloc de texte, trait…) est sélectionné, vous pouvez lui appliquer un style d’objet en cliquant sur le nom de ce dernier dans la palette Styles d’objet ou, si un des outils Flèche ou Position est actif, en sélectionnant ce nom dans la liste des styles affichée dans la palette Contrôle à droite de l’icône Style d’objet .
À partir de cee menu ou en ccliquant ici, on applique le cliqu sstyle tyle à l’objet.
On a sélectionnéé tro trois oi blo ois blocs ocs de texte non liés liés, l’application l application du style inclus la mise en for forme contenu r du rme u cont tenu avec les styles de paragraphe. para
L’AFFECTATION PAR GLISSEMENT Afin d’appliquer un style d’objet sans changer d’outil et sans sélectionner l’objet, affichez la palette Styles d’objet et glissez le style voulu directement sur l’objet.
L’APPLICATION RAPIDE ET LES STYLES D’OBJET InDesign propose une autre méthode d’affectation, c’est l’Application rapide. On y accède par clic sur l’icône de la palette Contrôle ou Styles d’objet, ou en tapant ¢ ‚ (¢ Retour) [Ctrl‚ (Ctrl Entrée)].
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4 InDesign affiche alors dans l’angle supérieur droit de l’écran une palette qui liste des commandes parmi lesquelles les styles. Tapez le début du nom d’un style, InDesign montre une liste dans laquelle figure le style voulu. Utiliser les touches fléchées du clavier pour le choisir puis tapez ‚ (Retour [Entrée]) pour l’affecter à l’objet. On a affiché l’Application ation rapide et tapé un « f » pour voir ces styles.
En double-cliquant sur le nom d’un des styles ([bloc de texte standard] ou [bloc graphique standard]), vous pouvez l’éditer et modifier sa composition (ou le nombre de catégories actives). Avant de dessiner un bloc, vous pouvez sélectionner l’un des styles d’objet précédents (ou un autre que vous avez créé) pour le définir comme style par défaut à la place de [Sans]. Pour cela, glissez l’icône ou sur le style d’objet souhaité.
Par g glissement de l’icône, on définit le style par défaut. défin Cette opération se réalise également par clic droit sur égale le style sty voulu. A STUCE Si vous tapez « o: » (pour style d’objet) suivi du début du nom du style, InDesign n’affiche que les styles d’objet. Le menu local de la palette Application rapide permet également de n’afficher que les styles afin d’avoir des listes moins longues. On a réduit l’affichage aux styles seuls en tapant « o: ». Avec les touches fléchées, on choisit ce style. y
La palette Application rapide utilise différents modes d’application selon les touches ajoutées à la touche ‚ lors de la validation. Le tableau suivant résume les possibilités. Touches de validation
∏ ‚ [Alt ‚] Ó‚ ¢ ‚ [Ctrl ‚]
Type d’application Application avec suppression des remplacements. Application de type test : Application rapide reste affichée pour un autre choix. Affichage de la fenêtre de composition du style.
INFO. L’Application rapide évite d’avoir à mémoriser les raccourcis affectés aux styles ou permet de les retrouver plus rapidement dans une liste devenue longue.
LES STYLES D’OBJET PAR DÉFAUT Dans tout nouveau document, la palette Styles d’objet comporte par défaut trois styles d’objet : [Sans], [bloc de texte standard] et [bloc graphique standard]. Par défaut, c’est le style [Sans] qui est affecté à tout bloc créé aussi bien avec les outils que lors d’une importation.
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Cette opération peut s’effectuer à partir de la palette Application rapide. En effet, pour définir le style de bloc de texte par défaut, désélectionnez tous les blocs en tapant Ó¢ A [ÓCtrl A], activez l’outil Texte (en tapant T ), affichez l’Application rapide en tapant ¢ ‚ [Ctrl ‚], tapez « o:b », et choisissez le style voulu (éventuellement, remplacez b par le début du nom d’un style personnalisé). De même, pour le style de bloc graphique par défaut, activez d’abord l’outil Flèche avant d’afficher l’Application rapide. Quand aucun bloc n’est sélectionné, les styles peuvent également être choisis à partir de leur raccourci respectif ou dans la palette Contrôle. ATTENTION Avant de dessiner un bloc, examinez la palette Styles d’objet (ou la palette Contrôle) pour voir quels sont les styles par défaut. Si l’un d’eux possède un signe +, il y aura des substitutions d’attributs ; pour les supprimer, cliquez sur l’icône (le signe + disparaîtra).
Les modifications d’un objet stylé LES MODIFICATIONS D’UN STYLE D’OBJET Les modifications de la palette Styles d’objet Pour modifier le contenu d’un style, il n’est pas utile de sélectionner le bloc où il est appliqué. Il suffit d’effectuer un double-clic sur le nom du style à modifier pour afficher sa fenêtre de définition et y apporter les changements voulus dans les différentes rubriques. Si le style est déjà attribué à des objets, cochez la case Aperçu pour voir les changements avant de les appliquer définitivement au style. Même si l’option d’aperçu n’est pas cochée, la fermeture de la fenêtre de modifications du style entraîne la mise à jour automatique des blocs auxquels le style est affecté.
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET
ATTENTION Si un bloc est sélectionné quand vous doublecliquez sur le nom du style pour le modifier, ce dernier lui sera appliqué ; pour éviter cela, utilisez la commande Modifier “le style…” du menu contextuel déroulé sur son nom.
Avec le menu contextuel sur le style, Avec A accède à sa fenêtre de définition on ac appliquer le style. sans a
La modification d’un attribut non défini est indiquée par cette icône..
La suppression des modifications locales La suppression des remplacements Pour réafficher l’objet avec l’aspect correspondant au style sans aucune modification, c’est-à-dire supprimer les remplacements (signe +), cliquez sur l’icône Effacer les remplade la palette Styles d’objet ou Contrôle. Vous cements pouvez également cliquer sur le nom du style en enfonçant ∏ [Alt] ou encore utiliser le menu local de la palette Styles d’objet et sa commande Annuler les substitutions.
La rupture du lien entre l’objet et le style Quand vous modifiez la composition d’un style, les objets sur lesquels il est appliqué sont modifiés. Si vous souhaitez que certains blocs gardent leur aspect, avant de modifier leur style, dans le menu de la palette Styles d’objet choisissez la commande Rompre le lien au style ; cette commande est également accessible par le menu local affiché en cliquant sur l’icône Style d’objet de la palette Contrôle.
LES MODIFICATIONS LOCALES
A STUCE Avec l’Application rapide (affichée par ¢ ‚ [Ctrl ‚]), si vous sélectionnez le style déjà affecté et validez en tapant ∏ ‚ [Alt ‚], l’objet sera réinitialisé selon le style d’objet et les remplacements supprimés.
La suppression des attributs non définis modifiés Pour effacer les attributs qui ne font pas partie du style, cliquez sur l’icône Effacer les attributs non définis par le de la palette Styles d’objet ou Contrôle. style
La visualisation des modifications locales
La redéfinition du style après modifications locales
Comme nous l’avons vu, les catégories d’attributs peuvent avoir trois états : activée , désactivée ou ignorée .
Si, après avoir fait des changements locaux du type remplacement (signe + visible), vous souhaitez que ces derniers figurent dans la définition du style, lancez la commande Redéfinir le style du menu local de la palette Styles d’objet ou du menu Style d’objet de la palette Contrôle. Tous les autres blocs auxquels le style est appliqué changeront d’aspect et le signe + en regard du nom du style disparaîtra (en revanche, il a conservation des attributs non définis modifiés, ).
Si l’attribut fait partie d’une catégorie activée (ou ignorée pour un effet), InDesign considère qu’il y a remplacement dès que l’attribut est modifié (ou affecté pour un effet). Un signe + du apparaît en regard du nom du style ; de plus, l’icône bas de la palette Styles d’objet ou Contrôle devient active.
En utilisant les remplacements, on peut rédéfinir le style le avec cette commande. Le style sans modification.
Ceci iindique di des d remplacements. rem mplace l
Si l’attribut appartient à une catégorie désactivée, il n’est pas défini dans le style. Si vous le modifiez, InDesign estime qu’il n’y a pas eu de remplacement et n’affiche pas le signe +. En revanche, cette modification est indiquée par du bas de la palette Styles d’objet ou Contrôle l’icône qui devient active.
I NFO. Redéfinir le style n’est disponible que si l’objet comporte des modifications de type remplacement ; en effet, seules ces dernières sont utilisées pour la redéfinition.
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I N D ESIGN CS3 – CHAPITRE 4
La gestion des styles d’objet LES GROUPES DE STYLES Pour réduire la liste des styles ou pour les regrouper en différentes catégories, vous pouvez utiliser les dossiers (ou groupe) de styles de la palette Styles d’objet.
2. Dans la zone Rechercher le format d’objet, cliquez sur l’icône pour afficher une fenêtre dans laquelle vous pourrez définir le style d’objet à rechercher. De même dans la zone Remplacer le format de l’objet, cliquez sur l’icône pour spécifier le style de remplacement.
On a placé certains styles yles dans des dossiers pourr less ranger par catégories..
on obtient Avec lles A es dossiers, dossiers, i obtien b une liliste plus courte. u
On a sélectionné cet et onglet puis on n a cliqué cliq qué ici pour définir le style d’objet obje b t à rechercher rech hercher h ercher dans cettee fenêtre. fenêêtre. fen
Si les styles sont sélectionnés dans la palette Styles d’objet, une commande permet de les transférer dans un dossier créé à la volée. Un dossier peut lui-même contenir des dossiers.
L A COPIE D’UN STYLE Lorsqu’un style est créé, vous pouvez le dupliquer afin d’en préparer une variante. Ce nouveau style étant réalisé d’après un style de base, si vous changez la composition de ce dernier, les modifications seront répercutées sur la copie. Pour créer cette variante de style, effectuez les opérations suivantes :
1. Dupliquez un style dans la palette Styles d’objet en glissant son nom sur l’icône .
2. Appliquez le style à une sélection. 3. Double-cliquez sur le nom de la copie du style pour en modifier le contenu. En opérant ainsi, l’Aperçu de la fenêtre de définition du style d’objet permettra de voir l’aspect de la sélection changer au fur et à mesure des modifications de la composition du style.
3. Dans la partie basse de la fenêtre, vous pouvez modifier l’étendue de la recherche en utilisant différents critères : – le menu Chercher dans, permet de limiter la recherche à la sélection ou au document (voire à tous) ; – le menu Type permet de limiter la rechercheà un type de bloc ; – les icônes du bas de la fenêtre définissent sur quels éléments la recherche peut être orientée (calques verrouillés ou gabarits).
LE REMPLACEMENT DE STYLE Cette opération s’effectue par la commande Rechercher/ Remplacer, elle comporte quelques étapes.
1. Dans le menu Édition, lancez la commande Rechercher/Remplacer. Activez l’onglet Objet pour orienter la recherche sur les objets et non sur le texte.
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On peut modifier l’étendue de la recherche.
L ES ENRICHISSEMENTS DES OBJETS ET LES STYLES D’OBJET 4. Une fois tous les réglages réalisés, lancez la recherche (bouton Rechercher) puis le remplacement avec les boutons correspondants. I NFO. Tous les réglages effectués dans la fenêtre Rechercher/Remplacer peuvent être enregistrés en tant que requête que vous pourrez utiliser dans d’autres documents. Pour cela, cliquez sur l’icône , l’enregistrement apparaîtra dans la liste Requête.
On enregistre tre lla re requête, elle apparaît alors dans cette liste. lisste.
L A SUPPRESSION D’UN STYLE Pour supprimer un style, sélectionnez-le dans la palette et cliquez sur la corbeille (vous pouvez également utiliser le menu local de la palette). Avant de supprimer le style, InDesign demande par quel style il doit être remplacé. Si vous souhaitez que les blocs sur lesquels le style était appliqué ne subissent aucun changement d’aspect, c’est l’option [Sans] que vous devez choisir. Cette opération est utile si les styles à supprimer ne sont pas utilisés — pour faciliter leur sélection, le menu de la palette propose la commande Sélectionner tous les styles inutilisés. Cette suppression peut également être utilisée en guise de remplacement d’un style par un autre ; cependant, si vous ne souhaitez pas perdre le style remplacé, pensez à le dupliquer avant de demander sa suppression.
L’IMPORTATION DE STYLES Il est possible d’importer (ou charger) des styles créés dans d’autres fichiers InDesign. L’opération se réalise avec la commande Charger des styles d’objet du menu de la palette. Styles d’objet (ou Contrôle, icône Styles d’objet ). Une fenêtre permet de désigner le fichier contenant les styles à ajouter. Si parmi ceux-ci figure un style ayant le même nom qu’un style déjà présent dans le document, une fenêtre permettra de gérer le conflit de noms.
Quan on sélectionne Quand Q un style, u sty on peut voir sa ccomposition ici. comp
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L A GESTION DU TEXTE
5 La gestion du texte
Le bloc de texte Pour saisir un texte, sélectionnez un bloc de texte en cliquant dedans avec l’outil Texte (celui-ci s’active en tapant T). Le pointeur se transforme en curseur d’insertion , et un trait vertical clignote contre le bord du bloc : c’est le point d’insertion. S’il n’y a pas de bloc de texte, vous pouvez en dessiner un avec l’outil Texte ; ce bloc sera automatiquement prêt à recevoir une saisie (ou un texte importé). Si vous souhaitez saisir le texte dans le bloc de texte type, commencez par l’activer en effectuant un double-clic sur la page avec les touches Ó¢ [Ó Ctrl], puis tapez le texte voulu.
La frappe au kilomètre Comme vous le savez certainement, toutes les saisies de texte s’effectuent « au kilomètre », c’est-à-dire que vous tapez le texte en continu, sans vous préoccuper des retours à la ligne (ils se feront automatiquement quand le texte arrivera au bord du bloc) ni de l’espacement entre les différents paragraphes.
L A NOTION DE PARAGRAPHE Dans InDesign, comme dans tous les logiciels de mise en page ou de traitement de texte, la notion de paragraphe est différente de celle à laquelle on est habitué. En effet, InDesign identifie toute séquence de signes comme un paragraphe dans les trois cas suivants : si elle est comprise entre le haut du bloc et la marque de paragraphe (¶, obtenue en tapant Retour) ; si elle est comprise entre deux marques de paragraphe ; si elle est comprise entre la marque de paragraphe et le bas du bloc.
L’EXAMEN D’UNE SAISIE Visuellement, vous ne verrez aucune différence entre une saisie bien faite et une saisie mal faite. Cependant, la bonne saisie sera aisée à mettre en forme et surtout très facile à retoucher, alors que la mauvaise saisie demandera beaucoup de temps pour ces deux opérations.
Les caractères invisibles ou masqués Une aide précieuse pour étudier (ou réaliser) une saisie consiste à afficher les caractères invisibles à l’aide de la commande Afficher les caractères masqués du menu Texte (au clavier ∏¢ I [Alt Ctrl I]). Il s’agit des signes tels que les espaces, les tabulations ou les fins de paragraphe (¶)… qu’InDesign montre dans la couleur du calque, mais qu’il n’imprime pas. Le tableau suivant en indique quelques-uns. Touche
Espace † [Ÿ] Retour ‚ [Entrée] ÓRetour [ÓEntrée] Entrée [Entr.] * ÓEntrée [ÓEntr.] Aucune
Effet sur la saisie Ajoute une espace normale (entre deux mots par exemple). Pousse le texte jusqu’au taquet de tabulation suivant. Passe à la ligne en créant un nouveau paragraphe. Passe à la ligne sans créer de nouveau paragraphe. Passe** à la colonne suivante (ou au bloc chaîné suivant).
Symbole
. » ¶ ¬
Passe** au bloc suivant.
«
La saisie d’un texte
INFO. Certains paragraphes peuvent être vides, c’est-à-dire ne contenir aucun caractère visible (ou imprimable). Oubliez la notion de paragraphe classique ; pour InDesign, depuis le début de la page (à partir de « Dans ce chapitre… ») jusqu’à la fin de cette ligne, vous avez lu neuf paragraphes.
^
Dans ce chapitre, nous n’aborderons que la gestion du texte au niveau de son placement (par saisie, importation…), et de son positionnement dans le bloc ; la modification de son aspect sera étudiée dans le chapitre 7, consacré à la typographie des textes.
Fin d’article dans un bloc (ou une cellule de tableau).
#
* La touche Entrée ( sur un Mac) ou [Entr.] (sur un PC) est située en bas à droite du clavier numérique. ** Si ces touches ne donnent pas le résultat voulu, utilisez le menu Texte puis Insérer un caractère de saut.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 5 Ces caractères masqués sont souvent très utiles, non seulement pour contrôler une saisie dont vous n’êtes pas l’auteur, mais aussi pour mieux comprendre le comportement du logiciel lorsque vous lancez certaines fonctions de mise en forme du texte (alignement des textes, espacement des paragraphes, filet de paragraphe, etc.).
Les caractères spéciaux se placent également à partir du menu Texte (ou menu contextuel) et du sous-menu Insérer un caractère spécial. Si vous avez sélectionné une partie de texte, le caractère inséré remplacera la sélection. Le sousmenu propose cinq catégori catégories de caractères : Le so sous-menu Insérer un caractère spécial distingue cinq types de signes. spéci
Les frappes interdites Certains de ces signes doivent être utilisés avec modération et à bon escient. Voici quelques recommandations :
Les symboles
– Les espaces : n’utilisez pas la barre d’espace pour décaler le début d’une ligne ou pour aligner entre elles plusieurs lignes. Un décalage (retrait ou alinéa) s’effectue avec les commandes de la palette Paragraphe ou Contrôle.
– Les tabulations : pour placer des textes en forme de tableau (sans utiliser les commandes de tableaux), ne tapez qu’une seule fois la touche Tabulation († [Ÿ]) entre chaque partie de texte : c’est par la palette de Tabulations que s’effectuera le positionnement des parties de texte lors du placement des taquets de tabulation. De même, pour créer des retraits gauches (ou des alinéas), n’utilisez pas la touche † [Ÿ] à chaque début de ligne, mais les commandes de la palette Paragraphe ou Contrôle.
– Les retours paragraphe : n’utilisez ni la touche ‚ du clavier alphanumérique (ni celle du clavier numérique) pour espacer les paragraphes entre eux (voir plus loin les différents retours ou sauts). Les commandes de la palette Paragraphe ou Contrôle permettront d’aérer les paragraphes.
L’insertion de signes particuliers On distingue plusieurs catégories : caractères spéciaux, espaces et caractères de saut. Quand le point d’insertion clignote dans le texte ou qu’une partie de celui-ci est sélectionnée, on accède à ces caractères par le menu Texte (Insérer…) ou le menu contextuel.
Il s’agit de symboles classiques, tels que puce •, copyright ©, marque déposée ® et commerciale ™, marque de section § et de paragraphe ¶. Les symboles.
Les marques Il s’agit de numérotations de pages. La première, Numéro de page active, s’utilise dans les gabarits pour obtenir un foliotage automatique (on voit un « A » dans le bloc).
Les numérotations.
Les césures et tirets Les tirets peuvent avoir des longueurs différentes (cadratin (1), demi-cadratin…) et des comportements différents : sécable ou non, conditionnel.
Les tirets.
Quand le tiret est sécable, il est utilisé comme tiret de césure de mot. S’il est conditionnel, il disparaît dès que la césure du mot ne doit plus se faire. Quant au tiret insécable, il ne joue pas le rôle de tiret de césure mais solidarise deux mots (trait d’union) pour éviter leur séparation sur deux lignes (c’est-à-dire qu’il ne se placera jamais en fin de ligne).
Les guillemets Cette partie du menu contextuel montre les conte signes que l’on peut signe insérer.
LES CARACTÈRES SPÉCIAUX Certains des caractères spéciaux peuvent être placés directement lors de la saisie en tapant une combinaison de touches (∏ [Alt] ou Ó∏ [ÓAlt]) ; par exemple : ∏ - [ÓAlt -] pour —, ∏ C [Alt g] pour ©, ∏ R [Alt R] pour ®, etc.
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Les guillemets français (chevrons ouvrants « et fermants ») apparaissent automatiquement à condition que vous n’ayez pas modifié les options par défaut des Préférences.
Les guillemets.
En effet, d’une part, Utiliser les guillemets typographiques doit être actif dans la rubrique Texte et d’autre part, les guillemets doubles « » sélectionnés dans la rubrique Dictionnaire. (1) Un cadratin est un carré ayant comme côté la taille du corps des lettres utilisées. Cela correspond à la largeur d’un « m ».
L A GESTION DU TEXTE En utilisant les commandes d’insertion de caractère, vous pouvez obtenir les guillemets anglais (“ et ”) — également obtenus en tapant ∏ " [Alt )] ou ∏ ¢ " [ÓAlt )] — guillemets allemands ou apostrophes (‘ et ’) ou des guillemets dactylos (").
Espace
Caractère masqué
Largueur du corps du caractère (appelée aussi espace em). Moitié de l’espace cadratin (appelée aussi espace en). Largeur de l’espace obtenue avec la touche Espace. Dans un texte justifié, cette largeur varie pour assurer la justification (espace justifiante), mais empêche la séparation des mots sur des lignes différentes. Largeur fixe. Elle empêche la séparation entre deux mots mais garde une chasse fixe si le texte est justifié. Elle est identique au caractère Espace insécable d’InDesign CS2.
Cadratin Demi-cadratin
Seuls les guillemets français sont encadrés d’espaces (normale et fine pour les chevrons ouvrants, ou fine et normale pour les chevrons fermants) ; les guillemets anglais ou allemands sont collés au texte.
Insécable
Les autres caractères – Tabulation (caractère masqué ) : cette insertion est particulièrement utile dans une cellule d’un tableau (la saisie d’une tabulation provoque le passage à la cellule suivante).
Insécable (chasse fixe) Les autres signes (certains raccourcis ont été modifiés).
Largeur et particularités
½4 d’une espace cadratin.
Ultra fine Quarter space
¼ d’une espace cadratin.
– Tabulation de retrait à droite ( ) : cette marque ajoute une
Fine
1⁄8 d’une espace cadratin.
tabulation alignée à droite contre la marge droite du bloc. Ce caractère (obtenu en tapant Ó† [ÓŸ]) s’utilise pour envoyer contre la marge droite un signe particulier (voire une signature), situé à la fin d’un paragraphe justifié.
Sixth space
1⁄6 d’une espace cadratin.
Third space
1⁄3 d’une espace cadratin.
– Retrait jusqu’à ce point ( ) : les lignes de texte du para-
De ponctuation
Largeur d’un point (ou point-virgule) dans le style de caractère. Elle est insécable et permet
d’« attacher» la ponctuation au mot qui la précède.
graphe s’alignent sur ce caractère inséré.
– Fin du style imbriqué ici ( ) : cette marque s’insère pour définir l’étendue du style imbriqué du paragraphe.
– NJ (Non-joiner) ( ) : ce caractère (également appelé antiliant sans chasse), ne s’utilise qu’avec certaines langues (arabe, notamment) ou certaines polices. Il a pour but d’empêcher la formation de liaisons cursives ou de dissocier des ligatures. Dans ces mots, on a placé des caractères NJ (non-joiner) dans ce texte xte contenant des ligatures.
Largeur d’un chiffre. Elle s’utilise pour aligner les chiffres d’un tableau de comptabilité. Largeur variable. Elle se place après le dernier mot d’une ligne ou d’un paragraphe (avec l’option Justifier toutes les lignes) et évite sa justification en ajoutant une quantité variable d’espace après le mot.
Sans alinéa
LES CARACTÈRES DE SAUT SSans ces caractères, les ligatures apparaissent.
LES ESPACES InDesign permet d’insérer diverses espaces de taille spécifique. Ces espaces sont pratiquement toutes insécables ; certaines sont justifiantes, d’autres sont fixes. Ces caractères peuvent s’utiliser notamment quand deux mots ou deux caractères ne doivent pas être séparés sur deux lignes.
Tabulaire (Lisibilité dans InDesign CS2)
Il s’agit d’une série de caractères masqués qui ont pour effet de pousser le texte qui les suit vers un élément particulier.
Les caractères de saut.
Il peut s’agir de la ligne suivante (Saut de ligne forcé ¬), de la colonne suivante (Saut de colonne ), du bloc suivant (Saut de bloc ), de la page suivante (Saut de page ), de la page impaire suivante (Saut de page impaire ), de la page paire suivante (Saut de page paire ) ou du paragraphe suivant (Saut de paragraphe ¶). Les espaces.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 5 Avec le Saut de ligne forcé (obtenu en tapant Ó‚), on ne crée pas de nouveau paragraphe, c’est-à-dire que la nouvelle ligne ne constitue pas une première ligne de paragraphe ; elle aura toujours le même alignement ou interlignage que les lignes qui la précèdent, et cela quels que soient les réglages effectués. Avec le Saut de colonne, s’il n’y a qu’une colonne dans le bloc, ce saut envoie au bloc chaîné suivant. ASTUCE Si vous placez un saut de ligne forcé dans un paragraphe justifié, le texte qui précède ce saut sera justifié sur la ligne ; si vous ne souhaitez pas qu’il le soit, insérez avant ce saut de ligne une tabulation de marge droite (Ó† [ÓŸ]).
ATTENTION Dans un texte justifié, les caractères masqués correspondant à des sauts de ligne forcés (¬) ne sont pas visibles. Si vous souhaitez les repérer, réglez temporairement le paragraphe avec un alignement à gauche.
LES LIGATURES Une ligature est un signe typographique qui regroupe deux caractères en un seul. Les polices possèdent quelques ligatures, comme celle du « f » suivi d’un « i » ou d’un « l » — pour les voir, affichez la palette Glyphes à l’aide de la commande Glyphes du menu Texte. En fonction de la police, certaines ligatures apparaissent automatiquement. Pour obtenir les autres, il faut sélectionner le texte (ou le bloc de texte) et lancer la commande Ligatures dans le menu local de la palette Caractère ou celui de la palette Contrôle à condition que l’outil Texte soit actif ainsi que l’option Mise en forme des caractères (à gauche de la palette).
On n a inséré ce glyphe h dan dans le texte te par double-clic double clic sur sa case. case ASTUCE Sur Mac, certains glyphes, comme le « e dans l’o » (œ), s’insèrent directement au clavier (tapez ∏ o pour obtenir œ).
Les polices OpenType Les polices OpenType (surtout celles qui ont la mention « Pro ») contiennent davantage de glyphes que les autres polices (TrueType, Type 1…). Une police OpenType étant constituée d’un jeu étendu de caractères (reposant sur la norme de codage Unicode) et de fonctions de mise en page (lettre ornée, fraction…), apporte une plus grande liberté linguistique et une meilleure précision typographique. De plus, elle assure une compatibilité multi-plate-forme (le même fichier de polices est compatible avec les ordinateurs Macintosh et Windows). La palette Glyphes propose un menu local, Afficher, qui permet d’afficher les glyphes par catégories.
La fille flirte le long du fleuve. Un texte exte sans et e aavec vvec ec lig ligatures. atures.
La fille l e flirte le lo long ong du fleuve. eu L’INSERTION D’UN GLYPHE La palette Glyphes
Cette policee est OpenType : certains caractères ont des variantes. variiantes variantes
Avec InDesign, il est possible d’insérer facilement n’importe quels glyphes d’un caractère d’une police (les glyphes sont les formes classiques ou particulières que peut prendre un caractère). Avec certaines polices, une même lettre peut être disponible sous plusieurs formes, telles qu’une lettre italique ornée et en petite majuscule. L’insertion du glyphe s’effectue à partir de la palette Glyphes (elle s’affiche par le menu Texte) ; en effet, vous pouvez y rechercher le glyphe voulu et l’insérer par double-clic dessus (à la place du texte sélectionné ou après le point d’insertion). Le glyphe utilisé figurera dans la zone de glyphes récemment utilisés afin d’être plus rapidement retrouvé lors d’une autre utilisation.
Le jeu de glyphes personnalisés
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Si vous utilisez souvent certains glyphes d’une ou plusieurs polices données, vous pouvez les regrouper dans une palette (ou jeu de glyphes) dont la taille sera ainsi plus réduite, ce qui rendra la sélection du glyphe plus facile.
Une palette personnalisée de glyphes (pour la réduire, on a aussi masqué les options).
L A GESTION DU TEXTE Pour créer et remplir la nouvelle palette, effectuez les opérations suivantes :
1. Dans le menu local de la palette Glyphes, choisissez Nouveau jeu de glyphes et nommez le futur jeu.
2. En bas à gauche de la palette Glyphes, choisissez la police contenant les glyphes qui vous intéressent ; effectuez un clic droit sur le caractère à placer dans le jeu et choisissez Ajouter au glyphe (puis le nom du jeu).
Avant de lancer cette commande, il convient de sélectionner chaque bloc et de définir (dans la palette Contrôle ou les palettes Caractère et Paragraphe) les attributs typographiques du texte afin qu’ils s’appliquent au texte de substitution. ASTUCE Vous pouvez utiliser le texte de substitution pour calibrer un bloc. En effet, une fois le texte placé, la palette Informations indique le nombre de caractères, lignes, etc.
La palette t e Informations tt tte Inform indiquee la quantité quan de texte présente dans le é d bloc.
Par clicc droit sur lle glyphe, g on choisit le jeu précédemment créé.
3. Recommencez l’opération avec un autre caractère dans la même police ou dans une autre. Pour visualiser le jeu ainsi créé, utilisez la commande Afficher le jeu de glyphes dans le menu local de la palette (ou dans le menu Afficher). Pour mieux visualiser les glyphes, vous pouvez alors augmenter le taux d’affichage.
4. Pour que le glyphe ajouté dans le jeu soit indépendant de la police utilisée, lancez la commande Modifier le jeu puis, dans la fenêtre qui s’affiche, sélectionnez le glyphe afin de décocher l’option Mémoriser la police (un petit U rouge apparaîtra dans la case du glyphe). O a sélectionné On glyphe et lee gly oon a décoché ccette ette option le rendre p pour indépendant de in ndép utilisée. la a police po
Le Mode éditeur L’ACTIVATION ET LA DESCRIPTION Le Mode éditeur s’active par la commande du menu Édition ou contextuel déroulé dans un texte (ou en tapant ¢ Y [Ctrl Y]). Il affiche une fenêtre comportant deux colonnes :
– La colonne des styles de paragraphe : elle se situe à gauche et peut être masquée (menu Affichage) ou redimensionnée par glissement de la ligne de séparation. Elle affiche, en regard de chaque paragraphe, le style de paragraphe qui lui est appliqué.
– La colonne de texte : elle se situe à droite et montre la totalité du texte (article) présent dans l’ensemble des blocs chaînés, y compris le texte en excès qui n’est pas visible dans le bloc.
L’insertion d’un texte de substitution Quand vous préparez des essais de composition pour un client, il est préférable de remplir les blocs de texte avec un faux texte pour avoir une meilleure idée du rendu de la mise en page. InDesign permet de remplir le bloc avec un texte de substitution via la commande Remplir avec le texte de substitution du menu Texte (ou menu contextuel).
La colonne des styles tyles de paragraphe. paragrap
La zo zone on ne d’éditi dd’édition éditi du texte. Le texte excès est indiqué. teexxte en exc
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 5
LES PRÉFÉRENCES DU M ODE ÉDITEUR Dans la fenêtre Préférences (menu InDesign ou [Édition]), la rubrique Affichage en mode éditeur montre une série d’options qui définissent l’apparence du texte en Mode éditeur. Vous pouvez y choisir l’aspect du texte (police, taille, couleur…) et du curseur d’insertion affiché dans le Mode éditeur. Il existe des configurations (thèmes) prédéfinies.
Le Mode éditeur supprime la plupart des attributs de texte et affiche des icônes pour signaler la présence de certains éléments. Le tableau suivant indique les principales icônes. Icône
Élément Balise XML. Marque d’index. Note de bas de page. Objet ancré (quelle que soit sa nature). Point d’ancrage de lien hypertexte. Source de lien hypertexte. Tableau. Variable de texte.
Dans le Mode mise en page, si vous effectuez un clic droit sur un bloc ancré de type texte, il sera possible d’afficher son contenu dans sa propre fenêtre avec le Mode éditeur. Cette copie d’écran C vous vo ous montre, dans Mode éditeur, lee Mo du bloc lee contenu con ancré suivant.
Des réglages ges sont disponibles pour p modifier l’aspect de l’éditeur.
LE TRAVAIL DANS LE M ODE ÉDITEUR Vous pouvez travailler un texte (le saisir ou le manipuler) dans la page (Mode mise en page) ou dans la fenêtre du Mode éditeur. Ce dernier présente deux avantages :
– L’affichage du texte est simplifié ; celui-ci apparaît avec des attributs de base (police, taille et interligne) spécifiés dans les préférences. L’article est affiché sans mise en page ni mise en forme, ce qui permet de se concentrer sur l’écriture et l’édition du texte. INFO. De nombreux attributs de texte ne s’affichent pas dans le Mode éditeur ; cependant, le gras, l’italique, les majuscules et les petites majuscules seront visibles.
– La navigation est plus aisée : le texte défile dans une seule colonne alignée à gauche, sans interruption d’un bout à l’autre de l’article, quel que soit le nombre de pages sur lequel il se trouve. Lorsque vous éditez un article, les modifications dans la fenêtre du Mode éditeur s’affichent dans la fenêtre du Mode mise en page ; vous passez de l’une à l’autre en tapant ¢ Y [Ctrl Y]. Il est possible d’afficher plusieurs articles dans le Mode éditeur, les fenêtres des articles ouverts sont alors répertoriées dans le menu Fenêtre. Pour un même article, vous pouvez ouvrir plusieurs fenêtres dans le Mode éditeur (menu Fenêtre/Disposition/Nouvelle fenêtre) : cette manipulation facilite les comparaisons ou les transferts de texte du début vers la fin (ou réciproquement) d’un article réparti sur plusieurs pages.
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INFO. Dans la fenêtre du Mode éditeur, il est possible de faire des copier-coller des icônes ( …), voire de les utiliser dans la fonction Rechercher/Remplacer.
Les sélections et les manipulations du texte LES DÉPLACEMENTS DANS LE TEXTE Ils s’effectuent avec la souris en cliquant sur l’endroit désiré ou avec les touches fléchées, associées parfois à la touche ¢ [Ctrl]. Le tableau ci-dessous indique les différents déplacements possibles. Touches utilisées (ou
(ou
Un caractère à droite (ou à gauche).
)
¢ [Ctrl] +
(ou )
(touche début ou fin)
(ou
Déplacements obtenus
) Un mot à droite (ou à gauche). Jusqu’au début de la ligne (ou jusqu’à la fin de la ligne). Une ligne au-dessus (ou en dessous).
)
¢ [Ctrl] +
(ou
Jusqu’au début du paragraphe ) précédent (ou suivant).
¢ [Ctrl] +
(ou
) Fin (ou début) d’article.
L A GESTION DU TEXTE L’utilisation de ces touches permet un déplacement de page en page sans employer de commandes d’affichage particulières, ni même des bandes de défilement.
LES SÉLECTIONS DE TEXTE La sélection du bloc avec l’outil Flèche Pour changer la typographie de tout le texte d’un bloc, sélectionnez le bloc avec l’outil Flèche — si le bloc est chaîné vers un autre, il faudra d’abord le déchaîner pour que tout l’article soit modifié (nous évoquerons ceci plus loin).
La sélection avec l’outil Texte et la souris L’outil Flèche devient outil Texte par double-clic dans le bloc, la sélection peut alors se réaliser de multiples façons :
LES DÉPLACEMENTS OU COPIES DE TEXTE Le couper-coller et le copier-coller Le couper-coller : ¢ X [Ctrl X] puis ¢ V [Ctrl V] provoque le transfert du texte — il faut placer le point d’insertion devant le caractère où le texte doit s’insérer avant de coller. Le copier-coller, ¢ C [Ctrl C] puis ¢ V [Ctrl V], garde l’original sur place ; le contenu pourra être collé plusieurs fois. A STUCE Selon les préférences (rubrique Texte/Ajuster l’espacement…), InDesign gère automatiquement les espaces nécessaires (ajout ou suppression). De même, si le texte provient d’un autre programme, selon les préférences (Gestion du presse-papiers), le texte collé peut garder ou non son formatage. Lors d’un collage, la suppression du formatage s’obtient au clavier en tapant Ó¢V [ÓCtrl V].
– Par clics multiples : pour sélectionner un mot, doublecliquez dessus ; pour une ligne, faites trois clics et quatre pour un paragraphe.
– Par Ó clics : cliquez devant le premier caractère à sélectionner, enfoncez Ó et cliquez derrière le dernier caractère à sélectionner.
– Par ratissage : placez le curseur d’insertion devant le premier caractère, pressez et glissez la souris jusqu’au dernier caractère.
Le transfert ou la copie par glissement Pour transférer une partie d’un texte par glissement, sélectionnez le texte voulu (il peut comporter un objet ancré), quand le curseur prend l’aspect suivant , glissez la sélection à l’endroit voulu : le point d’insertion indique où le texte se placera quand vous relâcherez le bouton de la souris. ASTUCE Ces transferts se réalisent d’un document à un autre et même vers une case de la fenêtre Rechercher/Remplacer.
La sélection avec l’outil Texte et le clavier Enfoncez Ó et utilisez les touches de déplacement pour sélectionner le texte (flèches, début et fin). Vous pouvez combiner la sélection au clavier et à la souris en gardant enfoncée Ó ; en revanche, la sélection ne peut être que continue (texte consécutif). La sélection au clavier peut s’effectuer sans voir le texte à sélectionner. Par exemple, pour sélectionner depuis un paragraphe de la page en cours jusqu’à la fin de l’article (située plusieurs pages plus loin), cliquez devant le premier paragraphe de la sélection, enfoncez Ó¢ [Ó Ctrl] et tapez la touche fin ( ). INFO. Quand vous réalisez une sélection dans un bloc puis en activez un autre, la sélection disparaît quand vous revenez dans le premier bloc : InDesign n’a pas gardé la sélection.
En utilisant certaines touches, le glissement peut donner des résultats différents. Touche
Aucune Ó
Pour désélectionner un texte, cliquez de nouveau dans le texte ou tapez sur l’une des touches fléchées, ou encore, cliquez hors du bloc.
Résultat Transfert normal. Transfert sans mise en forme.
∏ [Alt]
Copie avec mise en forme.
Ó∏ [Ó Alt]
Copie sans mise en forme.
¢ [Ctrl] Ó¢ [ÓCtrl] ∏¢ [Alt Ctrl]
L A DÉSÉLECTION D’UN TEXTE
Aspect du curseur
Ó∏¢ [Ó Alt Ctrl]
Transfert dans un nouveau bloc (mise en forme conservée). Transfert dans un bloc (mise en forme non conservée). Copie dans un nouveau bloc (mise en forme conservée) Copie dans un nouveau bloc (mise en forme non conservée)
A STUCE Quand vous importez un texte dont vous ne connaissez ni l’encombrement exact ni le contenu, placez-le sur la table de montage, puis transférer chaque partie de texte par glissement vers un bloc prévu à cet effet ou créé à la volée avec la touche ¢[Ctrl].
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La position du texte Il s’agit de la position du texte dans son ensemble par rapport aux bords du bloc. Ces réglages s’effectuent sans avoir à sélectionner le texte et même si le bloc n’en contient pas : ils constituent des attributs ou options du bloc et non du texte. Ils se définissent dans la fenêtre Options de bloc de texte du menu Objet (ou du menu contextuel), que le bloc soit sélectionné avec l’outil Flèche ou avec l’outil Texte (au clavier, tapez ¢ B [Ctrl B]).
Les marges à l’intérieur du bloc
A STUCE Pour accéder à la fenêtre Options de bloc de texte, enfoncez ∏ [Alt] et cliquez sur l’icône de la palette Contrôle (avec un outil Flèche actif).
La rubrique Marges à l’intérieur du bloc de la fenêtre Options de bloc de texte (onglet Général) permet d’écarter le texte des bords du bloc. Ces marges sont indispensables (esthétiquement) si le bloc possède une couleur de fond ou un contour. En cliquant sur le maillon (il devient ), vous pouvez régler séparément le retrait de tête, de pied, à gauche et à droite ; par défaut, ils sont tous nuls. Pour régler ces marges, saisissez une valeur et utilisez les petits triangles , ou cliquez dans une des cases et incrémentez avec les touches fléchées (l’incrément passe de 1 à 10 avec Ó).
Cette fenêtre permet plusieurs types de réglages : le retrait du texte dans le bloc ou Marges à l’intérieur du bloc, l’alignement vertical du texte dans le bloc ou Justification verticale. Une rubrique séparée gère le décalage du haut du texte ou Première ligne de base.
Quand vous réglez les marges du bloc, InDesign le visualise dans le cadre de sélection à l’aide d’un rectangle situé à l’intérieur du bloc, sur les côtés duquel le texte vient s’appuyer. Ce rectangle des marges n’est plus affiché si le bloc est sélectionné avec l’outil Texte (sauf quand la fenêtre Options de bloc de texte est active). INFO. La valeur affectée à la marge De pied n’est respectée que lorsque l’alignement vertical est justifié ou en bas.
On a écarté le texte des bords bloc du b lo en augmentant ces valeurs valeu eu urs dee marge.
On règle la position on du texte par rapport aux bords du bloc et la position de laa première ligne p lign g du texte.
Quand le bloc n’est pas rectangulaire (ou possède des options d’arrondis), la rubrique Marges à l’intérieur du bloc ne comporte plus qu’une seule case Marge : la valeur s’applique alors sur tous les bords du bloc.
Quand le bloc n’est n plus rectangulaire, il n’y a qu’une seule l valeur l de d marge.
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L A GESTION DU TEXTE
L’alignement vertical L’alignement vertical se règle dans la partie basse de la fenêtre Options de bloc de texte.
INFO. Pour les blocs de texte issus d’un gabarit, le réglage de l’alignement s’effectue dans le gabarit : il affecte alors l’ensemble des blocs sur toutes les pages utilisant ce gabarit.
ATTENTION Si le texte contenu dans le bloc habille un autre bloc, les alignements verticaux autres qu’En tête (Aligné en haut) se seront plus respectés.
On retrouve les alignements de cette tte fenêtre sous forme form d’icônes dans cette palette.
Ce réglage est également disponible sous forme d’icônes dans la palette Contrôle lorsque l’outil Flèche est actif. On distingue quatre types d’alignements : Aligné en haut , Centré , Aligné en bas et Justifié verticalement .
Avant l’habillage, le texte A centré verticalement est ce dans le bloc. le texte A l’habillage, Avec l perd sson alignement et p place en haut du bloc. se pla
– Aligné en haut
: 1 c’est l’option par défaut, le texte démarre en haut du bloc contre la marge intérieure du bloc (au décalage près).
– Centré
: le texte se centre verticalement entre les marges intérieures supérieure et inférieure. 2
Pour résoudre ce problème d’alignement, on pourrait utiliser un bloc ajusté à la taille du texte,, imbriqué et q dans le bloc principal p centré dans ce dernier.
– Aligné en bas
: 3 la ligne de base de la dernière ligne de l’article vient se caler contre la marge inférieure du bloc. Le texte ne démarre donc pas en haut du bloc.
– Justifié verticalement
: 4 les lignes de texte se répartissent entre les marges supérieure et inférieure. S’il y a justification verticale, l’interligne du texte peut s’en trouver modifié. Outre une répartition régulière de l’espace entre les lignes, il est possible de commencer par écarter les paragraphes entre eux, dans la limite indiquée dans la case Limite d’espacement des paragraphes.
1
2
3
4
Les différents alignements verticaux.
Pour revoir la technique d’imbrication d’un bloc dans un autre, reportezvous à la page 85.
Le décalage de la première ligne Dans la fenêtre Options de bloc de texte, la zone Première ligne de base de la rubrique Options de ligne de base permet, grâce au menu Décalage, de définir la position de la première ligne du texte par rapport à la marge supérieure du bloc — si cette marge est nulle, c’est la position par rapport au haut du bloc.
Les options ptions de régla réglage de la première ligne du texte.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 5 Le décalage peut prendre les valeurs suivantes : Ascendante, Hauteur des capitales, Interligne, Œil et Fixe. Dans tous les cas, la case Min. permet d’augmenter le décalage.
– Ascendante : c’est l’option par défaut. Avec ce réglage, l’accent d’une capitale se situe à cheval sur la marge intérieure supérieure du bloc ou le bord du bloc si elle est nulle.
Décalage sur l’Ascendante.
– Hauteur des capitales : dans ce cas, le haut des capitales touche la marge intérieure du bloc (ou le haut du bloc si la marge est nulle).
Décalage sur la Hauteur des capitales.
– Interligne : avec ce réglage, la distance entre la marge et
– Fixe : avec cette option, la ligne de base du texte se place sur la marge du bloc (ou sur le bord supérieur du bloc), vous pouvez descendre le texte en augmentant la valeur de la case Min. (par défaut nulle). Vous spécifiez ainsi la distance séparant la ligne de base de la première ligne de texte et la marge du bloc (ou le haut du bloc).
Décalage Fixe . Si Min. = 0, la première ligne se place sur la marge du bloc.
Les options du bloc et les styles d’objet Quand vous créez un style d’objet à partir d’un bloc de texte dont vous avez modifié les options de bloc, ces dernières sont englobées dans le style. Par la suite, ces options peuvent être mises à jour par modification du style d’objet aux rubriques Options générales de bloc de texte et Ligne de base de bloc de texte.
la ligne de base de la première ligne de texte est égale à l’interligne du texte.
Décalage sur l’Interligne.
– Œil : ici, le haut des bas-de-casse sans ascendante (a, v…) touche la ligne d’encart du bloc (ou le haut du bloc avec une marge nulle).
Décalage sur l’Œil (des bas de casse).
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Dans les styles t l d’ d’objet, bj t on retrouve t les l rubriques rubriqu bi dee positionnement ement et les options d’alignement vertical v al du texte. text
L A GESTION DU TEXTE
Les importations de texte Le texte peut être saisi directement dans InDesign, placé par copier-coller (cas d’un texte copié dans une page Web), ou importé sous forme d’un fichier texte.
Les importations et les liens
La fenêtre d’options d’un fichier de type texte seul.
LES FORMATS IMPORTÉS InDesign importe les textes provenant de la plupart des traitements de texte (Mac ou Windows) ; ces derniers (tel Microsoft Word) génèrent des fichiers dont l’enregistrement peut se faire principalement selon trois formats : format natif du logiciel (.doc de Word) ; format RTF (texte enrichi, .rtf) ; format Texte (.txt) pour les textes sans attributs typographiques. En plus de ces formats courants, InDesign peut importer d’autres formats tels que :
Les options du format RTF et Microsoft Word Ces deux formats proposent la même fenêtre d’options. On y distingue des options d’inclusion d’éléments particuliers (tels les tables des matières, index et notes de bas de page) et des options de mise en forme.
– le Texte référencé : il s’agit d’un fichier texte généré par InDesign par exportation, il renferme la description complète de la mise en forme réalisée dans InDesign.
– la feuille de calcul (format .xls) issue d’un tableur tel Microsoft Excel.
LES OPTIONS D’IMPORTATION InDesign possède des filtres de conversion pour faciliter les transferts d’un logiciel à un autre ; ils permettent, lors de l’importation, de spécifier certaines options de conversion. Celles-ci sont fonction du format du fichier et se définissent dans la fenêtre Options d’importation… qui s’affiche en cochant l’option Afficher les options d’importation dans la fenêtre Importer (lancée depuis le menu Fichier). ATTENTION Ceux sont les derniers réglages spécifiés dans la fenêtre Options d’importation qui s’appliquent par défaut lors des importations dans lesquelles la fenêtre d’options n’est pas affichée.
INFO. Avec InDesign CS3, il est possible d’importer plusieurs fichiers texte en une seule opération. Si vous avez coché les options d’importation, les fenêtres s’afficheront pour chaque fichier importé.
Les options pour le fichier texte Les principales options sont : Jeu de caractères, qui permet de préciser le jeu de caractères (ANSI, Unicode…) utilisé pour créer le fichier texte et Plate-forme, qui indique si le fichier a été réalisé sous Windows (PC) ou Mac (Intel ou autre).
Les options d’importation de fichier Word ou RTF.
Les éléments particuliers : note, index… Dans la rubrique Inclure, si vous cochez l’une des options (Texte de table des matières, Notes de bas de page/de fin de page et Texte d’index), l’élément correspondant est intégré dans le texte. Les notes : selon leur type, les notes se placent à la fin de l’article importé ou au bas de chaque page. Avec le texte RTF, si les notes de bas de page avaient une numérotation par page, elle est remplacée par une numérotation continue sur l’ensemble des pages. Avec un texte issu de Word, les numéros gardent leur lien avec le texte de la note. Un style de paragraphe apparaît dont le nom est le même que celui donné dans Word précédé de « footnote text » ou « Endnotes ». ASTUCE Les documents Word (.doc) contenant des notes de fin de page posent des problèmes (voir page 338) : la totalité du texte n’apparaît pas. Si tel est le cas, enregistrez le document Word au format RTF et réimportez le texte, ces notes de fin de page ne poseront plus de problème.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 5 Les tables des matières : celles de Word, comme celles des fichiers RTF, sont importées dans InDesign mais la définition de la table à partir des styles de paragraphe devra être recréée pour pouvoir effectuer des mises à jour. Les styles de paragraphe appliqués au texte de la table des matières apparaissent précédés de « toc… » avec le document RTF et de « TM… » avec le document Word.
Les options pour le format Microsoft Excel Pour les tableaux créés dans Excel, vous pouvez également préciser quelques réglages lors de l’importation. Ils se divisent en deux catégories : Options et Mise en forme.
L’index : les entrées d’index du document Word ou RTF sont importées dans InDesign avec les styles de paragraphe qui leur sont associées. Elles sont visibles dans la palette Index (menu Fenêtre/Texte et tableaux) mais leur numérotation devra être mise à jour à partir de la commande Mettre à jour l’aperçu du menu de la palette Index. Les options de mise en forme Si vous cochez l’option Supprimer la mise en forme du texte et de tableau, le texte apparaîtra sans aucun attribut typographique (comme un texte brut) ni feuille de styles. Dans ce cas, les tableaux peuvent être convertis en texte brut délimité par des tabulations. Une option, Sauts de pages manuels, permet la transformation des sauts de pages Word en sauts de pages ou de colonne InDesign ou encore leur suppression (Aucune césure). Si vous cochez l’option Conserver la mise en forme du texte et de tableau, le texte apparaîtra formaté et les styles de Word seront récupérés — éventuellement renommés en cas de conflit de nom. Une nouvelle option, Personnaliser l’importation des styles, permet de les remplacer par ceux créés dans InDesign : à l’aide d’une liste, on établit une correspondance entre les styles. L’enregistrement des options d’importation Si vous cliquez sur Enreg. prédéfini, InDesign stocke les options d’importation de Word dans un style prédéfini d’importation qui pourra être utilisé ultérieurement ou choisi comme paramètre par défaut.
Les options pour le format Texte référencé Lorsqu’il est ouvert dans un traitement de texte, un fichier de texte référencé apparaît balisé ; vous pouvez alors modifier le contenu des balises ou faire des recherches sur celles-ci. Une fois réimporté dans InDesign, le texte peut apparaître sans formatage en cochant l’option lors de l’importation.
Les options d’importation se séparent en deux catégories.
Les options Si le fichier Excel comporte plusieurs feuilles de calcul, choisissez celle à importer dans le menu pop-up Feuille. De même, l’option Plage de cellules permet de spécifier une série de cellules à importer (par exemple A1:F16) ou de désigner une plage dans la liste de celles nommées dans le tableur. La mise en forme L’option Tableau comporte quatre choix pour définir l’aspect du texte dans InDesign. La version CS3 propose nouvelle une n option optio d’importation. d’imp
– Avec Tableau mis en forme, InDesign essaie de conserver la mise en forme réalisée dans Excel, (cependant, ce n’est pas toujours le cas pour les textes des cellules). Si la feuille de calcul est liée, sa mise à jour risque de modifier la mise en forme utilisée dans InDesign puisque c’est celle d’Excel qui est réappliquée (voir plus loin).
– L’option Tableau non mis en forme assure la création du tableau basique dont il vous restera à faire la mise en forme. Vous pouvez appliquer un style au tableau.
– L’option Texte tabulé non mis en forme fait apparaître un texte brut délimité par des tabulations que vous pourrez convertir en tableau par la suite.
– Mis en forme une seule fois importe le tableau avec Les options de texte référencé.
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sa mise en forme Excel, mais lors des mises à jour, c’est celle réalisée dans InDesign qui est conservée à condition qu’elle soit faite avec des styles de cellule et de tableau.
L A GESTION DU TEXTE Ci-contre, le fichier dans Excel. Il possède une mise en forme. Ci-dessous, l’aspect du tableau* avec l’option Tableau mis en forme ou Mis en forme une seule fois. Hormis le problème de police différente, la mise en forme est bien respectée.
À gauche, le tableau* obtenu avec l’option Tableau non mis en forme. À droite, le texte* issu de l’importation avec l’option Texte tabulé non mis en forme.
* Dans toutes les importations affichées, on a choisi de réduire le nombre de décimales à 1 (au lieu de 2).
ATTENTION Pour examiner le contenu des cellules d’un Tableau mis en forme, celles-ci doivent avoir été créées dans le tableur avec une hauteur suffisante.
Dès qu’un fichier est importé, la palette Liens (affichée par le menu Fenêtre ou Ó¢ D [Ó Ctrl D]) signale le lien en affichant le nom du fichier externe (et le numéro de la page où il se trouve).
LES LIENS EXTERNES AVEC LE FICHIER TEXTE OU E XCEL Lorsque vous importez un fichier dans InDesign, il y a création d’une copie du contenu du fichier ; celle-ci est placée dans le bloc de texte d’InDesign. Le fichier d’origine reste intact. InDesign peut garder un lien avec le fichier externe afin que toute modification dans le fichier d’origine soit répercutée dans le bloc InDesign. L’activation du lien doit être réalisée avant d’importer le fichier. Pour cela, affichez les Préférences (menu InDesign [Édition] à la rubrique Texte) et cochez l’option Créer des liens avec les fichiers de texte et de feuilles de calcul importés de la zone Liens.
Cochez cette t opt option pour conserver un lien avec le fichier Excel.
Ce tableau a été importé avec un lien avec le fichier fichiier externe. ext Par clic sur le crayon situé en bas de la palette, tte, on ouvre la feuille de calcul dans Excel pour y faire les modifications voulues. i l
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 5
LES MISES À JOUR DES FICHIERS EXTERNES LIÉS Les modifications apportées au fichier externe (dans le traitement de texte ou le tableur) sont répercutées automatiquement dans InDesign. Si la mise à jour n’a pas été réalisée, située à droite du nom du fichier le signale et l’icône du bas de la palette permet de l’effectuer. l’icône Cette icône indique que le fichier externe a été modifié. extern mise à jour manuelle peut La mi faite être fa a avec cette icône.
Avec les fichiers texte, la mise à jour fait toujours réapparaître le texte avec ses attributs typographiques d’origine (les attributs InDesign sont perdus). Avec un fichier Excel, le résultat dépend de l’option de mise en forme choisie dans la fenêtre d’importation. Dans les deux cas, un message signale que les changements apportés dans InDesign seront perdus.
Les méthodes de placement du texte importé Dans InDesign, un texte peut être importé selon trois méthodes : les deux premières font appel à un bloc (celui que vous avez dessiné ou le bloc de texte type) ; la dernière méthode s’applique quand aucun bloc n’a été prévu pour le texte.
LES IMPORTATIONS MULTIPLES Quelle que soit la méthode choisie, avec la version CS3, vous pouvez n’importer qu’un seul texte (comme dans les anciennes versions), ou plusieurs textes (en sélectionnant les fichiers dans la fenêtre d’importation ou par glissement des fichiers sélectionnés depuis une fenêtre de Bridge). Par glissement depuis Bridge, on peut importer plusieurs fichiers texte en même temps. ps.
Ce message indique la perte des attributs InDesign.
Dans ce cas, l’icône de placement indique le nombre de fichiers à placer et le début du texte du fichier en cours de placement. LLe tab tableau a été mod modifié difié dans da ns Excel (au niveau nivea au du contenu et de con conte d la l forme). f )
À l’issue de ce premier placement, le nombre de fichiers se décrémente, l’aperçu montre le texte suivant et vous pouvez procéder à son placement. Si vous souhaitez passer au texte suivant, utilisez les touches fléchées du clavier. Pour éliminer un texte de la série, tapez la touche esc [Echap]. A STUCE Quand vous utilisez les touches fléchées pour passer au fichier suivant, si la mise à jour de la vignette du curseur ne s’est pas faite, enfoncez puis relâchez la touche ∏ [Alt].
La mise à jour se répercute sur le contenu dans les deux cas ca as mais mais le tableau de gauche (option Avecc Tableau mis en forme) e repren reprend les attributs d’Excel, celui de droite (option Mis en forme une seule fois) perd ses attributs (on n’a pas utilisé de styles dans InDesign).
Vous pouvez rompre le lien entre le texte et le fichier externe par la commande Rompre le lien du menu de la palette Liens : le nom du fichier disparaît alors de la palette et le texte devient indépendant.
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L’IMPORTATION DANS UNE PAGE AVEC BLOC Bloc sélectionné ou non Si vous n’importez qu’un seul fichier texte (par exemple par la commande Importer du menu Fichier ou en tapant ¢ D [Ctrl D]), et qu’un bloc de texte est sélectionné, le texte remplira automatiquement le bloc sélectionné (sauf si vous avez décoché l’option Remplacer l’élément sélectionné dans la fenêtre Importer).
L A GESTION DU TEXTE Si vous importez plusieurs textes, l’icône de placement changera d’aspect au survol d’un bloc vide (elle passe de à ), mais le remplissage ne s’effectue pas automatiquement même si un bloc est sélectionné, il faut cliquer sur le bloc voulu.
Le curseur rseur a cet aspect aspe à l’extérieur rieur de tout bloc, blo mais il change au survol h d’un bloc vide.
On n a supprimé les remplacements pour obtenir bt i l’application l’a l’ correcte orrecte des styles. styles
L’aspect du bloc Avantt de pla placer l cer le texte, on peut « visualiser err » le fichier suivant su avec les es touches touche fléchées.
Si le ou les blocs ont été préparés avec des styles d’objet, la palette Styles d’objet indiquera (par un signe +) que des remplacements ont été effectués : il s’agit généralement des attributs de paragraphes que contient le style qui n’ont pas été affectés correctement au texte. Ils le seront en sélectionnant le ou les blocs avec l’outil Flèche et en cliquant de suppression des remplacements dans la sur l’icône palette Styles d’objet ou Contrôle.
Après importation, si vous sélectionnez le bloc avec l’outil Flèche, celui-ci comporte deux carrés en plus des huit poignées de son cadre de transformation : l’un, en haut et à gauche, s’appelle le port d’entrée du texte ; l’autre, en bas et à droite, le port de sortie. Leur aspect change selon que le texte est complètement visible ou qu’il ne l’est que partiellement. Le texte est complet : si ses deux ports sont blancs, c’est que vous voyez le texte en entier. Par la suite, si vous avez sélectionné une partie du texte avec l’outil Texte ou si le point d’insertion clignote dans le bloc, vous ne verrez plus les ports d’entrée et de sortie.
Port d’entrée. ntrée.
Port de d sortie vide : le texte est ccomplet.
Le texte est incomplet : si le port de sortie est rouge et comporte un signe +, c’est que la fin du texte n’est pas visible. Si vous travaillez le texte avec l’outil Texte, vous ne verrez que le port de sortie avec un +. De plus, si vous affichez la palette Informations, celle-ci vous indique le nombre de caractères, de mots et de paragraphes en débord.
Cee signe et cett cette te iicône cône ô indiquent que le style ttyle l d’objet d’obj d’ bj n’a pas été correctement (présence de remplacement). orrectement appliqué a appliqu app placeme
Port d’entrée. ntrée.
d Port de sortie avec le signe sign + : le texte tex est incomplet. incom
137
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 5 Le texte complet reste toujours lisible et éditable dans le Mode éditeur, mais, pour voir la suite de l’article sur la page, il faudra : soit réduire l’encombrement du texte, soit agrandir le bloc, soit chaîner le texte avec un autre bloc (sur la même page ou une autre).
L’IMPORTATION AVEC OU SANS BLOC DE TEXTE TYPE Lors de sa création, vous pouvez (ou non) configurer le document en cochant l’option Bloc de texte type. Cela entraîne l’ajout (ou non), dans les pages courantes, d’un bloc de texte qui peut être utilisé lors de l’importation d’un texte. Dans tous les cas, le placement du texte peut s’effectuer de trois manières : placement manuel simple, placements multiples semi-automatiques et placement automatique. Le bloc a étéé créé (jusqu’à (jusqu à la marge de pied) et rempli par le texte.
LES PLACEMENTS MULTIPLES SEMI-AUTOMATIQUES À la configuration, on coche cette option optiion po pour créer le bloc de texte type dans le gabarit. Il sera utilisé tilisé sur les pages courantes.
LE PLACEMENT SIMPLE Si le texte que vous importez est court ou ne doit pas déborder sur une autre page du document, effectuez un placement simple. Pour ce faire, lancez Importer du menu Fichier pour choisir le fichier voulu. Sur la page, s’il y a un bloc de texte type, le curseur devient curseur de placement ; en dehors de ce bloc de texte type ou s’il n’y a simple . Dans les deux cas, cliquez sur la pas de bloc, il devient page pour y afficher le texte. Si vous cliquez alors qu’il n’y a pas de bloc, InDesign le crée : il le démarre à la hauteur du clic et l’arrête contre la marge de pied de la page. Si le texte a un encombrement supérieur à celui du bloc de texte type (ou du bloc créé), un signe + rouge s’affichera sur son port de sortie.
Le curseur rseur prend cet aspect asp car il n’y a pas de bloc de texte xte type sur cette page. pa
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Avec ces placements semi-automatiques, vous contrôlez le positionnement du texte au cours de son importation, c’est-à-dire que vous choisissez sur quel bloc (ou page) se place la suite du texte. L’aspect du curseur dépend de la présence ou non d’un bloc ; en son absence le bloc est créé en cliquant ou en glissant le curseur pour dessiner le bloc. Pour obtenir ce placement, enfoncez ∏ [Alt] : le curseur de (ou s’il n’y a aucun bloc) devient placement simple (ou en curseur de placement semi-automatique l’absence de bloc). Dès que vous cliquez sur le bloc de texte type, le texte remplit la page (ou un bloc est créé puis rempli s’il n’y en avait pas) et le curseur de placement s’affiche de ou selon que ∏ [Alt] est restée enfoncée nouveau ( ou non). Vous pouvez ainsi poursuivre le placement en semiautomatique si vous maintenez enfoncées ∏ [Alt] ou en placement simple sans ∏ [Alt] ; dans ce cas, le curseur deviendra s’il « survole » le bloc de texte type sur une autre page.
Sur cette page sans bloc de texte type, type ce curseur curseu indique que le placement ement est semi-automatique. semi-automatiqu
L A GESTION DU TEXTE Pour cela, enfoncez Ó, le curseur devient curseur de places’il survole sur le bloc de texte type ment automatique hors du bloc (ou si le gabarit n’en comporte pas). et Un clic dans ce bloc de texte type y fera apparaître le texte, mais InDesign ajoutera les pages et les blocs pour que l’article complet soit placé dans le document. Si le document ne comporte pas de bloc de texte type, InDesign crée un bloc (ou plusieurs, un bloc pour chaque colonne si le document est multicolonnes) mais n’ajoute pas de nouvelle page.
Le bloc a été créé puis rempli ; on retrouve le curseur de placement. p
La suite de l’importation se réalise soit en cliquant sur le bloc de texte type d’une autre page, soit en créant le bloc, par exemple, par glissement du curseur pour dessiner un rectangle qui délimite le bloc.
ASTUCE Si vous enfoncez Ó et ∏ [Alt] lors d’un placement, le curseur devient ou (sur le bloc de texte type) et le placement s’effectue de manière automatique mais uniquement avec les pages existantes ; c’est-à-dire qu’InDesign ne rajoute jamais de nouvelle page.
L A CRÉATION DU BLOC LORS DU PLACEMENT Quand la page ne comporte pas de bloc, vous pouvez le dessiner avec le curseur de placement. Cependant, avant de dessiner, si vous approchez le curseur d’un repère, son magnétisme sera indiqué par le petit changement d’aspect du curseur ( ). Lors du dessin du bloc, on retrouve des propriétés des autres outils de création de bloc : si vous glissez avec la touche Ó, le bloc devient carré ; si vous enfoncez Espace, vous pouvez déplacer le bloc en cours de création. Voici un tableau qui récapitule l’aspect des curseurs. Position Aspect Touche curseur curseur
Sur la a page suivan suivante, te, on a tracé te t le bloc par glissement. glissementt Une fois fo le bloc rempli, le curs curseur permet seur perm met de poursuivre le placement.
Si vous effectuez le placement sans ∏ [Alt], et si le texte a un encombrement supérieur au bloc, celui-ci affichera un signe + rouge dans son port de sortie. Vous pouvez soit annuler le placement (¢ Z [Ctrl Z]) pour le recommencer en mode semi-automatique (ou automatique, voir ci-après), soit cliquer dans le signe + pour réactiver le curseur de placement.
LE PLACEMENT AVEC CHAÎNAGE AUTOMATIQUE Ce type de placement est pratique pour importer un article de plusieurs pages dans un document comportant un bloc de texte type. Si vous avez fait un placement simple par erreur, vous pouvez l’annuler par ¢ Z [Ctrl Z] : vous retrouve(hors du bloc) ou (sur un bloc) et pourrez l’icône rez procéder à un placement automatique.
Hors Aucune du bloc Sur Aucune le bloc Hors du bloc
Ó
Sur le bloc
Ó
Hors ∏ [Alt] du bloc Sur ∏ [Alt] le bloc Hors Ó∏ du bloc [ÓAlt] Sur Ó∏ le bloc [ÓAlt]
Résultat du clic
Création et remplissage d’un bloc (placement manuel unique). Remplissage du bloc survolé par un placement manuel unique. Création et remplissage du 1er bloc puis placement automatique avec insertion de pages. Remplissage du bloc puis placement automatique avec insertion de pages. Création et remplissage du 1er bloc et poursuite du placement en semi-automatique. Remplissage du bloc puis placement semi-automatique. Création du 1er bloc et placement automatique sans ajout de page. Remplissage des blocs par placement automatique mais sans ajout de page.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 5
Les chaînages L’intérêt du chaînage LES DEUX CAS DE CHAÎNAGE Le chaînage consiste à créer une liaison entre deux blocs pour que le texte qui démarre dans l’un se poursuive dans l’autre. Ce genre de manipulation est nécessaire dans deux cas : d’une part, lorsqu’un bloc de texte contient une quantité de texte supérieure à son encombrement (signalé par un signe + rouge), et d’autre part, quand vous souhaitez rediriger la suite d’un texte vers un bloc différent de celui dans lequel il coule actuellement. Dans le premier cas, il s’agit d’une création de chaînage, dans le second cas, c’est une modification du chaînage. INFO. Certains chaînages peuvent nécessiter l’ajout d’une note de renvoi pour indiquer au lecteur où se trouve la suite de l’article (nous en parlerons dans le chapitre consacré à la gestion des pages).
LES ÉLÉMENTS DE CHAÎNAGE
Si un bloc est chaîné avec un (ou plusieurs) autre bloc, son port d’entrée et/ou de sortie comporte un triangle. Dans ce cas, vous pouvez utiliser la commande Afficher le texte lié du menu Affichage pour visualiser le chaînage entre les blocs. Il est matérialisé par un trait (de la couleur du calque) qui joint le port de sortie d’un bloc au port d’entrée du suivant.
Le triangle indique le chaînage.
Ce trait tra matérialise le lien.
LE CHAÎNAGE DANS LE PROCESSUS DE MISE EN PAGE Une mise en page peut s’élaborer selon deux méthodes : par création des blocs avant ou pendant l’importation.
La création préliminaire des blocs On commence par dessiner les différents blocs (de texte ou d’image) sur la ou les pages du document, puis, avant même d’importer le texte, on effectue les chaînages entre les blocs, et enfin, une fois le chaînage terminé, on importe le texte.
Pour créer ou modifier le chaînage, vous devrez utiliser les ports d’entrée et de sortie des blocs (petits carrés visibles quand le bloc est sélectionné avec l’outil Flèche noire). Ils sont situés en haut à gauche et en bas à droite du bloc. Le bloc contenant le début du texte possède un port d’entrée vide ; celui qui contient la fin du texte comporte un port de sortie vide. Si un bloc comprend une partie de texte non affichée, son port de sortie est rouge et contient le signe +. d sortie Port de vide. Port d’entrée. ntrée. On dessine les blocs ocs sur les différentes d pages.
Port d’entrée. ntrée.
Port d’entrée. ntrée.
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d Port de sortie vide : le texte tex est complet. comp
d Port de sortie avec le signe sign + : le texte tex est incomplet. incom
L A GESTION DU TEXTE 2. Cliquez sur le port de sortie (il comporte un + si le texte est présent) : la flèche se transforme en curseur de place); ment de texte (
On cl clique sur le port sortie : on obtient le de sor curseur de placement. curse
3. Placez le curseur au-dessus du second bloc : il se trans-
On crée les liens entre les blocs.
forme alors en maillon . Cliquez sur le bloc avec ce maillon pour réaliser le chaînage : le port d’entrée du bloc se remplira alors d’un triangle.
On place le curseur sur le bloc pourr voir l’outil cha chaînage et on clique pour chaîner les blocs. ocs.
INFO. Si vous chaînez un texte vers un bloc qui contient déjà un texte, ce dernier se placera à la fin du texte chaîné.
La création des blocs au fur et à mesure
LES CHAÎNAGES MULTIPLES
On importe le texte que l’on place sur chaque page en dessinant le bloc nécessaire avec l’outil de placement semi-automatique (obtenu avec ∏ [Alt]). Avec cette méthode, décrite dans les pages précédentes, il n’y a pas de chaînage à réaliser.
Ils consistent à créer des liens entre plus de deux blocs de texte. Cette méthode vous évitera, comme c’est le cas lors d’un chaînage simple, d’avoir à cliquer de nouveau sur le port de sortie du dernier bloc de la chaîne pour réafficher le curseur de placement.
La création d’un chaînage LE CHAÎNAGE SIMPLE Le chaînage se réalise de la même façon, que le bloc soit vide ou déjà rempli d’un texte. Il n’y a pas d’outil spécifique pour le chaînage ; pour créer un lien entre les deux blocs, effectuez les manipulations suivantes :
1. Activez l’outil Flèche noire (en tapant V, par exemple) et
Pour réaliser les chaînages multiples, cliquez sur le port de sortie du premier bloc, puis maintenez enfoncée ∏ [Alt] : le curseur se transforme alors en icône de placement semi). automatique ( O a cliqué sur le On port po ort de d sortie du bloc en bl loc précédent p enfonçant f ∏ [Alt].
cliquez sur le bloc qui contient ou contiendra le début du texte pour afficher ses ports d’entrée et de sortie.
On n sélectionne le bloc b à chaîner de manière à voir ses ports d’en d’entrée et de sortie.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 5 Vous pouvez alors cliquer sur les différents blocs à chaîner (en respectant l’ordre de lecture). Pour arrêter le chaînage après avoir cliqué sur le dernier bloc, tapez esc [Echap] pour désactiver le curseur de placement. Pour visualiser ce chaînage, lancez Afficher le texte lié dans le menu Affichage (∏¢ Y [Ctrl Alt Y]). Tooujo en Toujours maintenant ∏ [Alt] m main enfoncée, on clique en nfon sur su ur les différents blocs… bllocs
INFO. Il est impossible de chaîner depuis ou vers un bloc ancré.
CHAÎNAGE ET IMPORTATION DE TEXTE Quand vous importez un texte dont vous ne connaissez ni l’encombrement exact ni le contenu, vous pouvez le placer sur un bloc créé sur la table de montage (à droite ou à gauche des pages courantes) afin de l’examiner puis chaîner ce bloc vers le ou les blocs de la page. Par la suite, le bloc initial situé sur le plan de montage pourra être supprimé.
La rupture d’un chaînage Vous pouvez supprimer le lien entre des blocs de deux façons : soit en « déchaînant » les blocs, soit en supprimant le bloc de la chaîne. On peut alors afficher af ffich le chaînage en n tapant ta ∏¢Y [Alt Ctrl C Y].
LE « DÉCHAÎNAGE » Le fait d’interrompre la chaîne à la sortie d’un bloc provoque la disparition du texte dans tous les autres blocs qui étaient liés. Ce déchaînage s’obtient de deux façons : – par un double-clic sur le port de sortie du bloc (celui qui devra contenir la suite de la chaîne du texte) ;
– par un clic sur le port de sortie (ou d’entrée), puis sur le bloc lui-même, avec le curseur qui a pris la forme d’un . maillon brisé
Si le bloc initial contient un texte, les opérations se déroulent de la même façon : InDesign remplit les blocs avec le texte au fur et à mesure que vous cliquez dedans avec ∏ [Alt]. Si vous chaînez vers un bloc contenant un article, celui-ci se placera à la fin du texte chaîné.
La modification d’un chaînage Dans une chaîne de texte comportant une série de blocs liés, il est possible d’intercaler un bloc pour modifier l’aspect de la mise en page. Ce changement de chaînage peut s’effectuer (sur n’importe quelle page) vers un bloc existant ou être créé avec l’outil de placement. Pour le réaliser, cliquez sur le port de sortie d’un bloc de la chaîne à l’endroit où vous souhaitez « dévier » le texte : le curseur de placement s’affiche. Cliquez sur le bloc prévu pour recevoir le texte ou ou ). dessinez-le avec le curseur (
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On a cliqué surr le port d’entrée, on n déchaîne en cliquant sur le bloc.
Dans les deux cas, le bloc récupère la totalité du texte ; une partie n’étant plus affichée, le port de sortie devient rouge et présente un signe +.
L A SUPPRESSION DU BLOC Si vous supprimez un bloc lié à d’autres blocs dans une chaîne de texte, vous ne détruisez pas le chaînage des autres blocs. En effet, celle-ci se reforme sur les blocs restants tout en gardant la totalité du texte de la chaîne (comme lorsqu’on redimensionne un bloc). Si vous avez coupé le bloc (¢ X [Ctrl X]), la chaîne est également reformée avec les autres blocs et la totalité du texte, mais le bloc coupé, une fois collé (par ¢ V [Ctrl V]), apparaîtra avec le texte qu’il contenait quand il faisait encore partie de la chaîne.
L A GESTION DU TEXTE
Les textes en colonnes Dans le travail d’une composition avec un texte en colonnes, vous pouvez rencontrer différents cas de figure : toutes les pages ont le même nombre de colonnes ou certaines pages comportent un nombre de colonnes différent. De plus, dans les deux cas, les colonnes peuvent être de même largeur ou de largeur différente.
– Document avec le bloc de texte type : InDesign ajoute des pages qui disposent toutes d’un bloc à deux colonnes selon la configuration du document.
Avec la page ayant le bloc de texte type, le placement s’effectue dans un seul bloc b à deux colonnes. colon
Le document multicolonnes Si vous commencez une mise en page dont le texte doit être composé sur plusieurs colonnes dans toutes les pages de la composition, indiquez-le à InDesign dans la boîte de dialogue de la commande Nouveau.
– Document sans le bloc de texte type : les pages montrent bien des textes en colonnes, mais, ici, chaque page présente deux blocs à une colonne et non pas un seul bloc à deux colonnes — les modifications seront plus délicates à réaliser. On configuree avec deux colonnes, colo ss, avec ou sans bloc blo de texte type. ASTUCE Quand vous travaillez une composition en colonnes, vous pouvez créer autant de blocs qu’il y a de colonnes (option choisie avec les chaînages multiples des pages précédentes), ou utiliser un seul bloc défini avec plusieurs colonnes.
Avec la page sans le bloc de texte type, le placement automatique crée autom deux blocs chaînés.
LE PLACEMENT AUTOMATIQUE EN COLONNES Suivant que le document est configuré ou non avec l’option Bloc de texte type cochée, les blocs utilisés lors du placement automatique d’un texte importé sont différents.
L A CONFIGURATION DE LA COLONNE Quand vous configurez le document, vous ne pouvez pas définir la largeur de la colonne puisque vous n’avez accès qu’à la largeur de la gouttière. Pour pallier ce problème, vous pouvez faire un calcul pour déterminer la largeur des colonnes (sachant que la largeur de la page est égale à la somme des marges + la largeur de l’ensemble des colonnes + la largeur de l’ensemble des gouttières) ou modifier les caractéristiques du bloc et des repères de colonne dans la page gabarit ou la page courante. La page ge configu configurée avec deux colonnes et un texte xte importé. importé
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 5
LES REPÈRES DE COLONNE
Les réglages de colonnes
Quand vous travaillez une page avec des colonnes, vous pouvez définir le document mono colonne et choisir de définir une grille de repères définissant un nombre de colonnes plus grand qui vous permettra de dessiner et positionner les blocs correspondant aux colonnes désirées avec plus de souplesse. Pour cela, affichez la page du gabarit (par double-clic sur l’icône du gabarit dans la palette Pages) et lancez la commande Repères de règle du menu Page. Une fenêtre permet de définir des repères de colonne. Leur nombre sera défini avec un nombre multiple du nombre de colonnes souhaité (dans l’exemple qui suit, on a fixé à 6 colonnes pour une composition en deux colonnes). Ces repères faciliteront le dessin des blocs (de texte ou d’image) respectant un encombrement particulier. On affiche le gabarit par double-clic sur cette icône dans la palette Pages. g
définit O dé On éfi des repères de colonne colon nn pour créer un gabarit montage sur la page. de mo mon
LE TRAVAIL SUR LA PAGE COURANTE OU LE GABARIT Vous devez travailler sur la page courante si le réglage des colonnes ne doit affecter que la page active (modifications locales) ; en revanche, si les changements doivent s’appliquer à toutes les pages, c’est dans le gabarit qu’il faut les effectuer (modifications globales). Dans le premier cas, ces modifications n’affectant qu’une page, vous devez d’abord afficher et activer cette dernière par un double-clic sur son icône dans la palette Pages (elle liste toutes les pages courantes et les gabarits). Dans le second cas, pour que les modifications affectent toutes les pages, commencez par afficher le gabarit par un double-clic sur son nom dans la palette Pages. Toutes ces modifications sur les colonnes s’effectuent en deux étapes (une seule, si la page ne comporte pas de bloc de texte type). L’une d’elles consiste à modifier les repères de colonne, l’autre concerne les caractéristiques du bloc que l’on met en correspondance avec les repères. Cette dernière opération peut être automatique (mais pas toujours sur la première page) si vous cochez l’option Activer la modification de mise en page de la commande Modifier la mise en page (menu Page).
L A MODIFICATIONS DES REPÈRES DE COLONNE Si la page ne contient pas de blocs, seuls les repères de colonne sont visibles sur la page et leur configuration détermine celles des futurs blocs (dessinés ou créés par importation). Le changement de configuration des repères s’effectue en lançant la commande Marges et colonnes du menu Page. Une fenêtre permet de changer le nombre de colonnes et la largeur de leur gouttière (et, par conséquent, celle des colonnes).
On a affiché le gabarit g bar t ga pour y changer les repères de d colonne. l
On peut facilement et nt utiliser les repères pour créer les blocs b composer plus librement rement la page en colonnes. colonn nes.
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L A GESTION DU TEXTE
L A MODIFICATIONS DES CARACTÉRISTIQUES DU BLOC Les options de bloc de texte Si la page (courante ou gabarit) comporte un bloc (bloc de texte type pour le gabarit), ce dernier ne change pas de configuration quand on règle les repères de colonne : il faut modifier les caractéristiques du bloc. U ffois les repères Une colonne modifiés, de co d il fau faut ajuster les réglages ré églages du bloc. b
De même, si la page comporte un bloc rempli d’un texte, c’est la configuration du bloc qu’il faut modifier pour faire apparaître des colonnes ou pour en changer le nombre et la gouttière. Ces modifications de bloc seront répercutées sur les pages courantes si elles sont réalisées sur le gabarit (sauf si les pages ont subi des modifications locales de configuration de bloc). La modification des caractéristiques du bloc s’effectue, une fois le bloc sélectionné, par la commande Options de bloc de texte du menu Objet (¢ B [Ctrl B]) ou du menu contextuel.
Avec ces valeurs, rs, on faitt correspondre lee blocc aux repères de colonne. l nne..
Dans les pages courantes, le texte est recomposé dans les blocs modifiés.
ASTUCE Vous pouvez afficher la fenêtre Options de bloc de texte par ∏ clic [Alt clic] sur l’icône de la palette Contrôle. En outre, si vous ne souhaitez changer que le nombre de colonnes du bloc sans toucher à la largeur du bloc, utilisez la case à droite de l’icône .
Largeur du bloc fixe ou largeur de colonne fixe Par défaut, la largeur du bloc est conservée quand vous effectuez un changement de la largeur de la gouttière ou du nombre de colonnes. Tout changement de l’un des deux entraîne une modification de la largeur de la colonne pour garder intacte la taille du bloc. Si vous cochez l’option Largeur de colonne fixe, une réduction du nombre de colonnes entraînera une réduction de la largeur du bloc (avec une augmentation, le bloc débordera des marges). À l’issue de ces réglages, les repères de colonne gardent toujours leur configuration. Vous pouvez les modifier par la commande Marges et colonnes du menu Page.
Avec cette op A option, le bloc n’occupe que 2 b La llargeur ccolonnes. colon l du bloc d bl a été réduite conserver celle p pour de la colonne. d ATTENTION Avec le réglage précédent, pour qu’InDesign répercute correctement le changement du nombre de colonnes du gabarit sur les blocs des pages courantes contenant déjà un texte placé, décochez l’option Largeur de colonne fixe avant de cliquer sur OK. En outre, si vous laissiez cette option cochée, elle serait appliquée lors de tout changement du nombre de colonnes réalisé avec la case de l’icône de la palette Contrôle.
L A CONFIGURATION D’UNE LARGEUR DE COLONNE Pour affecter une valeur précise à la largeur de colonne, commencez par régler la configuration du bloc avant celle des repères. Pour cela, sélectionnez le bloc dans le gabarit et lancez Options de bloc de texte (menu Objet). Cochez l’option Largeur de colonne fixe, entrez la largeur voulue pour la colonne, puis modifiez celle de la gouttière pour ramener le bloc contre les repères de marge. Avant de valider, notez la valeur de la gouttière et décochez l’option Largeur de colonne fixe.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 5 Une fois cette première opération terminée, lancez la commande Marges et colonnes du menu Page et reportez la valeur précédente dans la case Gouttière. ATTENTION Dans les opérations précédentes, n’oubliez pas de décocher l’option Largeur de colonne fixe avant de cliquer sur OK pour qu’InDesign répercute les modifications sur les blocs des pages courantes contenant du texte.
LES COLONNES INÉGALES Comme précédemment, les opérations seront réalisées dans le gabarit si toutes les pages doivent avoir la même configuration, et dans la page courante dans le cas contraire. L’obtention de colonnes inégales s’effectue en deux étapes : la modification des repères, suivie de celle des blocs.
ASTUCE Pour retrouver les colonnes égales, relancez deux fois Marges et colonnes : la première fois pour choisir une seule colonne et la seconde pour rétablir le nombre initial.
Les réglages des blocs Si vous aviez masqué le calque, réaffichez-le en cliquant sur la colonne de l’œil dans la palette Calques. Sélectionnez le bloc de texte type. Par glissement de poignée, modifiez sa largeur pour l’amener sur le repère de gouttière déplacé et réduisez son nombre de colonnes (par la palette Contrôle) de manière à ce que l’aspect du bloc corresponde au nouveau dessin des colonnes. À l’aide des repères de colonne, dessinez un bloc de texte dans la ou les colonnes devenues vides.
Les réglages des repères Une fois le gabarit affiché (par un double-clic sur son nom dans la palette Pages), effectuez les opérations suivantes :
1. Déverrouillez les repères de colonne en lançant la commande Verrouiller les repères de colonne (pour supprimer la coche) dans le menu Affichage/Grille et repères ou menu contextuel. On a déverrouillé les repères de co colonne (pas de coche).
2. Avec l’outil Flèche noire, tapez Ó¢A [Ó Ctrl A] pour
On réduit it la largeur du bloc puis son nombre de col colonnes. s.
On dessine un second bloc loc (ici, on l’a coloré).
La page gabarit dispose maintenant de plusieurs blocs. Dans les pages courantes, le bloc type possède son chaînage et les blocs des autres colonnes sont également liés entre eux. Si les chaînages ne vous conviennent pas, vous pourrez toujours les modifier localement sur les pages courantes.
désélectionner tout bloc. Pour éviter de déplacer le bloc de la page, vous pouvez aussi, cacher le contenu de calque en cliquant sur son œil dans la palette Calques.
3. G lisse z le rep ère de gout tière (lignes vio lettes) jusqu’à l’endroit voulu. Lors de ce glissement, le positionnement des repères peut être contrôlé dans la case X de la palette Contrôle (choisissez d’abord un point de référence par clic sur l’icône ). On glisse se le repère de colonne. co
4. Vous pouvez verrouiller à nouveau veau les repè repères de colonne en relançant Verrouiller les repères de colonne (pour réafficher la coche).
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Sur les pages e courantes, es cou ura antes, on a placé lee texte t (en ( autot matique sur la gauche, l colonne l h semiautomatique sur celle de droite). ASTUCE Lors de la configuration des blocs, pensez à créer des styles d’objet pour faciliter les modifications ultérieures.
L A GESTION DU TEXTE
Le travail dans une composition en colonnes L A SAISIE D’UN TEXTE EN COLONNES Pour saisir un texte en colonnes, activez l’outil Texte, dessinez le bloc de texte sur la page (s’il n’en existe pas), affectez-lui le nombre de colonnes voulu (dans la palette Contrôle) puis réglez leur gouttière par l’intermédiaire de la commande Options de bloc de texte (affichée par ∏ clic [Alt clic] sur l’icône ). Si le document a été configuré avec l’option Bloc de texte type cochée, le bloc à colonnes existe déjà sur la page. Vous pouvez le sélectionner avec l’outil Texte en cliquant dessus avec les touches Ó¢ [Ó Ctrl] enfoncées. Une fois le bloc sélectionné, cliquez de nouveau dessus pour démarrer la saisie. Dans les deux cas (bloc dessiné ou sélectionné), le point d’insertion se place automatiquement dans la première colonne, même si vous avez cliqué dans la deuxième ; en effet, les colonnes sont chaînées car elles appartiennent au même bloc. Saisissez le texte en tapant sur la touche ‚ pour créer les nouveaux paragraphes (et Ó‚ pour passer à la ligne sans changer de paragraphe).
Si vous voulez passer à la colonne suivante (ou à la page suivante) sans avoir complètement rempli la première, insérez un saut de colonne ou un saut de page. Pour obtenir ces caractères particuliers, utilisez le menu Texte et son sous sous-menu Insérer un caractère de saut. Vous pouvez également obtenir ces sauts par insertion à partir du menu contextuel et sous sous-menu Insérer un caractère de saut.
L’IMPORTATION D’UN TEXTE EN COLONNES Elle s’effectue comme avec une configuration mono colonne. Si le document est configuré avec le bloc de texte type et le texte placé en automatique, chaque page comporte un seul bloc multicolonnes. Si la page gabarit ne possède pas de bloc, ce sont les repères de colonne qui sont utilisés pour le placement automatique du texte : dans ce cas, chaque page contient plusieurs blocs à une colonne. Les colonnes sont alors indépendantes car chacune d’elles est constituée d’un bloc (bloc de colonne) qui peut être manipulé séparément. Si vous effectuez un placement semi-automatique, quelle que soit la configuration du document, vous pouvez dessiner des blocs indépendants en vous aidant des repères de colonne.
Les textes sur des tracés La création de textes curvilignes La saisie Pour obtenir un texte curviligne, dessinez un tracé ouvert (en tapant ou fermé, activez l’outil Texte curviligne ÓT par exemple) et cliquez sur le tracé avec le curseur qui devient : le point d’insertion clignote (au début du tracé s’il est ouvert ou à l’endroit du clic s’il est fermé), la saisie peut alors commencer ; vous pouvez aussi importer le texte. Le texte se place le long du tracé mais ce dernier garde ses attributs de coloration (fond et contour).
Les particularités du texte Quand le texte curviligne est sélectionné avec l’outil Flèche, il comporte des marques qui facilitent sa gestion. On distingue des marques d’alignement (traits verticaux qu’InDesign appelle équerres) et les marques de chaînage c’est-à-dire les ports d’entrée et de sortie. Les ports p d’entrée et de sortie.
L marqu Les marques d’alignement. d’aligneme . On place l’outil sur le tracé, il change d’aspect.
On clique sur le tracé, é le point poi d’insertion peut ’insertion insertion clignote c : on peu saisir lle texte.
Les marques d’alignement Il s’agit de trois traits verticaux. L’outil Flèche change d’aspect quand il « survole » l’un de ces traits , , .
– Marque à gauche sur le tracé : elle indique la position ATTENTION L’endroit où vous cliquez sur le tracé fermé définit la position de la première lettre avec un texte aligné à gauche.
du début du texte s’il est aligné à gauche (position par défaut). Son glissement (avec le curseur ) permet de changer la position du texte sur le tracé.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 5
ASTUCE Avec un tracé fermé, et bien que l’on ait cliqué en haut du tracé, le texte se place en bas du tracé dès qu’on lui affecte l’alignement centré. Pour le repositionner, il faut glisser vers le haut la marque située en bas . L’outil til Flèche prend cet aspect asp sur la marque gauche.
On glisse se lla marqu marque, le texte se déplace p q quand on relâche. Aligné à gauche, uche, le texte xte s’aligne s aligne sur le clic c ; centré, il se placee en bas. ba En glissant gll la marque , on marq repositionne le repos texte en haut.
– Marque du milieu : elle indique la position du centre du texte si ce dernier était centré par la palette Paragraphe ou Contrôle. Son glissement ( ) permet également de changer la position du texte sur le tracé. Il y aura retournement du texte si vous la glissez sous le tracé — cette opération s’effectue également à partir du menu Texte/ Texte curviligne/Options en cochant Symétrie.
On glisse la marque arque sous le tracé, le texte tee xte s’inverse. s’invers
Les marques de chaînage Il s’agit des ports d’entrée et de sortie d’un bloc de texte. Ces marques carrées sont presque superposées si le tracé est fermé. Si le texte n’est pas complet, un signe + rouge remplit le . port de sortie : un clic dessus donne l’icône de chaînage ASTUCE Il n’est pas possible sur un même cercle de placer un texte en haut et un texte en bas : il faut réaliser une copie du cercle (pivotée à 180°), il y aura ainsi un cercle pour le texte du haut et un pour celui du bas.
Les chaînages de textes curvilignes – Marque à droite : elle indique la position de la fin du texte dans les cas d’alignement à droite ou justifié. Cette marque est superposée à la première dans le cas d’un tracé fermé. Son glissement ( ) permet de changer la position du texte s’il est aligné à droite ou sa largeur de justification s’il est justifié. Avec un tracé ouvert, cette marque devra être glissée dans le cas où vous rallongez le tracé ou augmentez ses dimensions. Pour voir la fin du texte, il faut rallonger le tracé. aut rallong
Le chaînage d’un texte curviligne peut se faire vers un bloc (rectangulaire ou non) avec un texte captif à l’intérieur d’un tracé ou le long d’un tracé de texte curviligne.
LE CHAÎNAGE VERS UN TEXTE CAPTIF Ce type de chaînage s’effectue comme avec les blocs de texte : après avoir cliqué sur le port de sortie, vous pouvez pour créer le bloc qui tracer un rectangle avec l’icône contiendra la suite, ou cliquer sur un bloc déjà présent sur la . Le chaînage peut être page avec l’icône qui devient multiple vers d’autres blocs avec ∏ [Alt].
LE CHAÎNAGE VERS UN TEXTE CURVILIGNE Le tracé a été modifié, od difié, on glisse la marque ue pourr étaler ét l le l texte. t t
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Pour ce chaînage, avant de cliquer sur le port de sortie du texte incomplet, dessinez le tracé sur lequel vous placerez la suite du texte et cliquez dessus avec l’outil Texte curviligne pour y voir le point d’insertion (et les ports d’entrée et de sortie), c’est-à-dire le définir comme tracé de texte curviligne.
L A GESTION DU TEXTE
Pour placer la suite de ce texte, tex on a créé tracé de texte un tra tr curviligne. curvi i
On a cliqué sur ce port sortie et on amène de so l’icône ll’icôn icôn sur le tracé de texte curviligne.
Les réglages d’Effet.
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I V EZ L A F
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CH E FL ÈC HE SU I VEZ L A FL ÈC A FL HE ÈC HE EZ SU I V L A
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IVEZ L A F
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Vous pouvez maintenant cliquer sur le port contenant le , puis sur le second signe + rouge pour obtenir l’icône . tracé avec l’icône qui doit devenir
IVEZ L
INDESIG N
Les réglages d’Alignement.
INDESIGN
S IN DE IG N
INDESIGN
sur le tracé On clique c texte curviligne de te pour afficher la suite du texte. te
Les colorations des textes curvilignes ATTENTION Si l’icône est dans le tracé.
, le texte apparaîtra captif
Si vous devez placer un texte plus long, il est possible d’envisager des chaînages multiples (avec ∏ [Alt]) sur plusieurs tracés de texte curviligne puis d’importer le texte.
On a chaîné aîné ces tracés traccé de texte curviligne puis is on a importé impo m rté le texte.
Elles s’effectuent comme avec les blocs de texte (captif). Une fois le texte curviligne sélectionné avec la flèche noire, dans la pour colorer le texte, cliquez sur l’icône de texte palette Couleur ou Nuancier ; pour colorer le tracé cliquez . sur l’icône du bloc
Coloratioon du texte. Coloration ttexte Coloratio on du bloc. Coloration
La position du texte sur le tracé InDesign propose des réglages prédéfinis pour décaler un texte sur un tracé. On y accède par le menu Texte/Texte curviligne/Options. La rubrique Aligner de la fenêtre d’options propose quatre types de décalages par rapport au tracé. De plus, dans la rubrique Effet, l’option Marche d’escalier simule un décalage vertical sur chaque lettre.
Avec les textes curvilignes, vous disposez de quelques options de positionnement du texte par rapport port au tracé.
ATTENTION Certains réglages, d’épaisseur de contour notamment, peuvent entraîner un déplacement du texte que l’on repositionne alors en plaçant correctement les marques d’alignement (qui ont été déplacées).
ASTUCE Pensez à créer des styles d’objet afin de faciliter les changements ultérieurs. D’autres traitements sur les textes curvilignes seront abordés dans le chapitre consacré à la typographie.
149
L A GESTION DES IMAGES
6 La gestion des images
Les types d’images On distingue deux types d’images : les images pixellisées (bitmap) et les images vectorielles.
Les images pixellisées (bitmap)
L’ÉCHANTILLONNAGE DES COULEURS Le nombre de couleurs que peut prendre le pixel d’une image est appelé profondeur ou échantillonnage des couleurs ; il est mesuré en bits. On distingue trois catégories d’images : les images 1 bit, 8 bits et 24 bits.
Elles sont obtenues par numérisation d’une photo, à partir d’un appareil photo numérique ou par création à l’aide d’un programme de dessin bitmap tel que Photoshop. De telles images sont composées d’une juxtaposition de petits carrés (ou grille de points), chaque point étant appelé pixel. Les pixels de l’image ont une taille fixe définie à la création de l’image ou à la numérisation de la photo ; la taille du pixel détermine la résolution de l’image. Chaque pixel possède une couleur, qui va du noir ou du blanc à une nuance choisie dans une palette de 16,7 millions de couleurs.
Ces images, appelées également bitmap, sont des images au trait. Elles ne présentent que des pixels noirs ou blancs (deux couleurs). Leur poids sur le disque est faible et leur résolution doit être grande pour montrer suffisamment de détails de l’image et éviter l’apparition d’escaliers (aliasing) dans certaines parties de l’image. Avec certains formats, les pixels blancs de l’image 1 bit sont remplacés par des pixels transparents.
LA RÉSOLUTION
Les images 8 bits
La résolution d’une image est liée à la finesse du pixel exprimée en nombre de pixels par pouce, ppp (en anglais dpi, dot per inch). Une image de résolution 72 ppp est considérée comme étant de basse résolution ; les pixels y sont relativement gros (0,35 mm) et l’impression à 100 % risque de faire apparaître des « escaliers » dans les zones de fort contraste. Une résolution de 300 ppp (ou plus) correspond à une image haute résolution. À l’impression, une image haute résolution présentera une grande finesse. Si l’image subit un changement de taille dans InDesign, sa résolution sera modifiée. En effet, si elle est réduite à 50 % de sa taille initiale, ses pixels sont réduits de moitié et sont donc plus fins : on a doublé la résolution de l’image. En revanche, si l’image passe à 200 % de sa taille d’origine, sa résolution est divisée par deux (l’image apparaîtra « pixellisée »).
Ces images disposent d’un maximum de 256 couleurs. On distingue trois catégories d’images 8 bits :
INFO. La palette Informations (menu Fenêtre) indique la résolution de l’image importée avant et après un redimensionnement.
Si on change la taille de l’image, la nouvelle valeur de résolution sera indiquée ici.
Les images 1 bit
– Les images à niveaux de gris : appelées similis, elles présentent un maximum de 256 nuances de gris.
– Les images à couleurs indexées : surtout utilisées dans les documents sur le Web. Elles sont composées d’un maximum de 256 couleurs référencées (indexées) dans une palette. Ce type d’image ne convient pas pour des travaux de PAO.
– Les bichromies : elles sont constituées de 256 nuances obtenues à partir de deux couleurs de base (le noir et une autre couleur, ou deux couleurs différentes). Dans certains cas (trichromie, quadrichromie), davantage de couleurs peuvent être utilisées.
Les images 24 bits Les images 24 bits peuvent présenter un maximum de 16,7 millions de couleurs. Elles sont obtenues en utilisant l’un des trois espaces colorimétriques suivants : RVB, Lab ou CMJN. Les images pour le Web et certains travaux de PAO utilisent les couleurs RVB ; les couleurs Lab et CMJN sont utilisées uniquement dans les images qui feront l’objet de publications imprimées — le standard étant constitué par les images CMJN (appelées quadri).
151
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 6
INFO. La palette Informations (menu Fenêtre) indique l’espace de couleurs de toute image importée sélectionnée.
Les images vectorielles Elles sont produites par des logiciels de dessin vectoriel tels qu’Illustrator (ou encore Flash). La plupart d’entre eux sont capables de manier du vectoriel et du bitmap.
LES CARACTÉRISTIQUES D’UNE IMAGE VECTORIELLE Dans une image vectorielle, il ne s’agit plus d’une grille de pixels mais d’une juxtaposition d’objets définis par des formules mathématiques. L’image est décrite à l’aide du langage de description vectoriel PostScript (c’est aussi le langage de la plupart des imprimantes PostScript). Comme dans InDesign, les objets peuvent se superposer dans les logiciels de dessin vectoriel. Ils sont faciles à sélectionner, à déplacer, à modifier ou à colorier (si on déplace un objet, on découvre ceux qui sont placés en dessous). De nombreuses polices de caractères sont vectorielles ; elles sont décrites par des objets et des courbes.
L A RÉSOLUTION D’IMAGE VECTORIELLE Une image vectorielle ne possède pas de résolution propre ; en effet, grâce aux formules mathématiques, la résolution de l’image s’adapte automatiquement à celle du périphérique de sortie (imprimante, flasheuse) à condition que ce dernier gère le langage PostScript. En effet, au cours de l’impression, les objets vectoriels sont convertis en pixels dont la taille est liée à la résolution du périphérique : c’est la rastérisation ; elle est effectuée par le RIP (Raster Image Processor) PostScript du périphérique de sortie. Le dessin vectoriel permet donc d’obtenir des images de grande qualité sur des imprimantes PostScript. L’écran (qui est aussi un périphérique de sortie) n’est pas capable d’afficher des objets PostScript (comme certaines imprimantes non PostScript de type jet d’encre). Pour cette raison, le logiciel de dessin vectoriel englobe toujours dans le fichier de l’image PostScript une image bitmap basse résolution (72 ppp) pour son affichage à l’écran — cette « version écran » étant toujours de moins bonne qualité que la version imprimée. InDesign, permet quant à lui, en fonction du réglage de ses préférences d’afficher directement l’image PostScript (donc avec une haute résolution).
La préparation des images Les résolutions
L A LINÉATURE ET LA RÉSOLUTION DES IMPRIMANTES La linéature de la trame de demi-teinte
Il ne faut pas confondre la résolution de l’image exprimée en ppp, la résolution de sortie ou de l’imprimante exprimée également en ppp et la résolution de trame ou linéature exprimée en lignes par pouce (lpp ou lpi — lines per inch).
L A RÉSOLUTION DES IMAGES BITMAP La résolution que vous allez choisir pour vos images dépend de la destination finale du document InDesign. Une résolution de 72 ppp (celle de l’écran) est suffisante pour une mise en page pour le Web, destinée à être affichée ; en revanche, pour une mise en page destinée à l’imprimeur, les caractéristiques de l’imprimante, la qualité du papier et la taille d’impression souhaitée rentrent en ligne de compte dans le choix de la résolution (voir plus loin). Plus cette dernière est grande, plus les pixels de l’image sont petits et plus l’image sera fine. Si la résolution est trop faible, l’image manquera de détails et présentera une pixellisation, c’est-à-dire que les pixels de l’image deviendront visibles et formeront des escaliers.
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Pour imprimer, la plupart des imprimantes PostScript (photocomposeuses) utilisent un tramage constitué d’une juxtaposition régulière de cellules dites de demi-teinte. Ces cellules sont réparties en lignes, dont le nombre par pouce s’appelle linéature, fréquence de trame ou encore résolution de trame (exprimée en lpp).
Le nombre de niveaux de gris imprimés Chaque cellule de demi-teinte est constituée d’un certain nombre de points laser créés par l’imprimante. C’est le nombre et la répartition de ces points dans la cellule qui permettent de reproduire une nuance ou niveau de gris sur le film ou sur le papier. Le nombre maximal de points contenus dans chaque cellule définit le nombre de niveaux de gris qui peuvent être reproduits. Plus ce nombre est important (avec un maximum de 256), plus l’image imprimée apparaît fine et présente des détails et des transitions dans les couleurs.
L A GESTION DES IMAGES – Pour les travaux Web, image à afficher sur un écran :
La linéature et la résolution de l’imprimante Les résolutions des imprimantes utilisant une trame d’impression varient entre 300 et 600 ppp pour les imprimantes d’entrée de gamme et 1 200 et 3 600 ppp pour les flasheuses. À chaque imprimante est associée une valeur de linéature optimale à laquelle correspond un nombre de niveaux de gris ; en effet, c’est en divisant la résolution de l’imprimante (nombre de points par pouce) par la linéature (nombre de cellules par pouce) que l’on détermine la largeur de la cellule de demi-teinte (en nombre de points), et c’est en multipliant cette largeur par elle-même que l’on obtient le nombre de niveaux de gris. Par exemple, pour une imprimante de résolution 1 200 ppp, une linéature de 85 lpp donne une largeur de cellule de 1 200/85 soit, environ 14 et donc 196 niveaux de gris (14 × 14). Avec cette imprimante, une linéature de 133 lpp, donne une largeur de à 9 et donc 81 niveaux de gris, ce qui peut se révéler insuffisant pour certains types de travaux. En revanche, pour une imprimante à 2 400 ppp et une linéature de 150 lpp, on obtient 256 niveaux de gris, ce qui assure une qualité optimale. Plus la résolution de l’imprimante est élevée, plus son point est fin, et plus la linéature peut être grande. Le choix de la linéature est fonction du papier utilisé lors de l’impression : sa valeur doit être augmentée en même temps que la qualité du papier.
L A RÉSOLUTION DE L’IMAGE ET LA LINÉATURE Sauf pour les images au trait, où la résolution est plus grande (de 600 à 1 200 ppp), pour obtenir une qualité optimale à la sortie, il convient de régler la résolution de la photo sur une valeur comprise entre 1,5 et 2 fois la linéature d’impression. Ainsi, des images de résolution de 200 à 300 ppp s’imprimeront avec une bonne qualité sur des photocomposeuses à 1 200 ou 2 400 ppp. Cependant, il faut, éventuellement, multiplier la valeur de résolution par le taux d’agrandissement si la photo est agrandie dans le logiciel de mise en page où s’effectue la sortie finale. Pour résumer :
– Pour les travaux de PAO, image à niveaux de gris, bichromie ou couleur destinée à l’imprimeur(1) : Résolution de l’image = Linéature × 2 ×
%
Les formats d’images LES FORMATS DISPONIBLES InDesign est capable d’importer de nombreux formats d’images. On peut les regrouper en catégories :
– les formats natifs de Photoshop (.psd) et d’Illustrator (.ai) : ce sont les plus intéressants à utiliser (avec le PDF) ;
– les classiques de la PAO : TIFF (.tif), EPS (.eps), DCS (.eps) ; – les formats du Web : GIF (.gif), JPEG (.jpg) et PNG (.png) ; – le format Acrobat PDF (.pdf) généré par Illustrator, Photoshop ou encore InDesign. Les descriptions de formats qui suivent concernent Photoshop et Illustrator. Pour le premier, ils s’obtiennent par enregistrement, pour le second par enregistrement ou par exportation. Il existe d’autres formats (Pict, Bmp, Scitex…), qui, étant moins courants, ne sont pas décrits dans les paragraphes qui suivent. Reportez-vous aux documentations des logiciels pour de plus amples informations.
Les formats natifs de Photoshop et Illustrator Dans le passé, on avait le plus souvent recours à des fichiers au format EPS ou TIFF ; désormais, il est possible de tirer profit de la technologie commune aux applications de la Creative Suite d’Adobe et de placer des fichiers natifs (.ai) d’Illustrator et des fichiers natifs (.psd) de Photoshop dans InDesign. Les avantages de ces formats natifs sont nombreux ; ainsi, leur utilisation permet de reculer l’aplatissement nécessaire le plus tard possible dans le déroulement de vos opérations de conception. Le format natif de Photoshop : format PSD
% (2)
– Pour les travaux de PAO, image au trait à imprimer : Résolution de l’image = 600 à 1 200 ppp ×
Résolution de l’image = 72 ppp (rés. écran) ×
%
(1) Pour les imprimantes de type jet d’encre dont les sorties utilisent un tramage particulier, vous pouvez régler la résolution des images (couleur ou niveaux de gris) sur une valeur comprise entre 200 et 250 ppp ; consultez leur documentation pour connaître le réglage optimal. (2) % : taux d’agrandissement ou de réduction de l’image.
Ce format gère tous les espaces colorimétriques : CMJN (avec ou sans tons directs), RVB (avec ou sans tons directs), Bichromie, Niveaux de gris, Noir et blanc (bitmap 1 bit) ; cependant, un fichier PSD multicouche (obtenu à partir d’une bichromie ou d’un fichier CMJN) ne peut pas être importé par InDesign (un message le signalera). I NFO. Avec le format PSD, les pixels blancs d’une image 1 bit sont remplacés par des pixels transparents.
153
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 6 Il est particulièrement intéressant d’utiliser le format natif de Photoshop car il vous évitera des manipulations supplémentaires. En effet, non seulement le document conserve intacts tous les calques, ce qui facilite les retouches dans Photoshop mais il sera possible de choisir ceux qui devront être affichés dans InDesign. De plus, si le document Photoshop n’a plus de calque d’arrière-plan mais possède un calque avec des zones transparentes (même partiellement) liées à la présence d’un masque de fusion ou d’un détourage (par Extraire, par exemple), celles-ci apparaîtront transparentes dans InDesign sans qu’il soit nécessaire de créer le moindre tracé ou couche alpha.
Le tableau ci-dessous indique l’état (conservé ou perdu dans InDesign) des éléments Photoshop (transparence, calques, couches, tracés) : Élément Photoshop
État
Transparence Conservé.
Calques Conservé.
Couches Conservé.
Tracés Conservé.
Tons directs Conservé.
Dans Photoshop, l’image mage présente zones transparentes des zo d ntes avec fondu.
Dans InDesign, la transparence D est intégralement conservée. g o servée on
Particularités du format PSD (dans InDesign) Les zones transparentes des calques sont conservées même si la transparence est partielle (zone de fondu). Les calques peuvent être affichés ou non dans InDesign ; de même, les compositions de calques sont disponibles. Les couches sont utilisables lors de l’importation (avec les options d’importation), puis pour créer un tracé de détourage (Objet/Masque). Ils ne sont utilisables pour créer un tracé de détourage (Objet/Masque) ou un chemin d’habillage que s’ils ont été renommés dans Photoshop. Les tons directs de l’image (CMJN ou RVB) sont ajoutés dans le nuancier lors de l’importation.
ASTUCE Une image à niveaux de gris au format PSD peut être recolorée dans InDesign mais à condition qu’elle ne possède ni transparence ni couche alpha. Il n’y a pas de restriction pour les images noir et blanc (1 bit).
Le format natif d’Illustrator : le format AI Il s’utilise comme le format EPS d’Illustrator mais il prés’u sente l’avantage par rapport à ce dernier de ne pas se aavoir à définir l’aplatissement des transparences (c’est InDesign qui s’en chargera). Avec ce format, les zones extérieures aux tracés d deviennent transparentes dans InDesign, même si le les objets comportent un effet bitmap tel une ombre po portée, ce qui n’est pas le cas avec des images au format EPS qui subissent un aplatissement (la zone transparence eest alors remplacée par un fond blanc). Avec Illustrator, n’hésitez pas à utiliser le format natif en remplacement du format EPS qui n’est plus indispensable. INFO. Dans InDesign CS3, il est possible de choisir les calques que vous souhaitez importer dans la mise en page.
154
L A GESTION DES IMAGES
Les formats classiques de la PAO Il s’agit des formats TIFF, EPS et DCS, qui sont progressivement remplacés par les formats natifs. Le format TIFF Le format TIFF (Tag Image File Format), reconnu par la majorité des logiciels de mise en page, n’est pas disponible pour les images de type bichromie. Si le document Photoshop est constitué par un calque contenant des zones transparentes, celles-ci le seront également dans InDesign si vous cochez l’option Enregistrer transparence dans la fenêtre des options TIFF lors de l’enregistrement du fichier. Le tableau cidessous indique l’état (conservé ou perdu dans InDesign) des éléments (transparence, calques, couches, tracés) : Élément Photoshop
État
Transparence Conservé.
Calques
Conservé.
Couches
Conservé.
Tracés
Conservé.
Tons directs
Conservé.
Particularités du format TIFF Si Enregistrer transparence est coché dans les options d’enregistrement TIFF, les zones transparentes des calques sont conservées même si la transparence est partielle (c’est-àdire avec zone de fondu). Les calques peuvent être affichés ou non dans InDesign ; de même, les compositions de calques sont disponibles. Les couches sont utilisables lors de l’importation (avec les options d’importation), puis pour créer un tracé de détourage (Objet/Masque). Ils ne sont utilisables pour créer un tracé de détourage (Objet/Masque) ou un chemin d’habillage que s’ils ont été renommés dans Photoshop. Les tons directs de l’image (CMJN ou RVB) sont ajoutés dans le nuancier lors de l’importation.
Une image à niveaux de gris peut être recolorée dans InDesign si elle ne possède ni transparence, ni couche alpha. En revanche, toutes les images bitmap (1 bit) peuvent être recolorées ; avec de telles images, seuls les pixels noirs sont visibles, les pixels blancs deviennent automatiquement transparents. Le format EPS L’EPS (Encapsulated PostScript) est (était) avec le TIFF un des formats d’images les plus répandus dans la PAO. Le document est décrit dans un langage PostScript utilisé par la plupart des RIP d’impression (c’est pourquoi il est apprécié par les applications de mise en page). De plus en plus, on peut le remplacer par le format PSD.
Dans Photoshop, si les images sont en couleur, vous pouvez les convertir au mode CMJN ou laisser InDesign faire la conversion et placer le fichier en RVB (avec son profil). Dans ce cas, cette conversion s’effectue à l’aide du profil qui définit l’espace CMJN de travail d’InDesign. Dans la fenêtre Options EPS de Photoshop, si vous avez coché Gestion des couleurs PostScript lors de l’enregistrement d’une image à niveaux de gris, cela entraînera, dans InDesign, la séparation des niveaux de gris en couleurs quadrichromiques lors de l’impression avec séparation ; l’aperçu des surimpressions permettra de le visualiser. En contrepartie, vous pourrez coloriser l’image à niveaux de gris dans InDesign. Avec les images 1 bit (noir et blanc), le blanc pourra être défini comme étant transparent. Les formats DCS Il faut distinguer le DCS 1 et le DCS 2. Il s’agit de variantes de l’EPS qui permettent la séparation des couleurs et convertissent le document en CMJN. Le format DCS 1 ne gère que les images CMJN ; lors de l’enregistrement Photoshop crée cinq fichiers : quatre fichiers de séparation (un par couleur primaire : cyan, magenta, jaune et noir), plus un cinquième fichier composite pour le placement dans InDesign ; lors du rassemblement des données pour l’imprimeur, InDesign regroupe les cinq fichiers. Le DCS 2 s’utilise avec les documents CMJN (ou RVB) avec ou sans tons directs ainsi qu’avec certaines bichromies. Le format DCS 2 peut produire cinq fichiers (ou plus), comme le DCS 1, ou un seul comportant tous les éléments nécessaires à la séparation et au placement dans InDesign. Élément Photoshop
Particularités des formats EPS et DCS Les zones transparentes sont remplacées par du blanc ; cependant, l’image Conservé peut apparaître détourée selon la Transparence automatiquement si un tracé préparation a été défini comme Masque Photoshop. dans la palette Tracés de Photoshop — il ne peut pas y avoir de zone de fondu. Les calques sont fusionnés Calques Perdu. sur un calque d’arrière-plan. Couches Perdu. Les couches sont perdues. Les tracés sont utilisables pour créer un détourage (Objet/Masque) ou un Tracés Conservé. chemin d’habillage s’ils ont été renommés dans Photoshop. Les tons directs des images au format DCS 2 sont ajoutés Tons directs Conservé. dans le nuancier lors de l’importation. État
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 6 Les fichiers TIFF et EPS peuvent intégrer des commentaires OPI (Open Prepress Interface) reconnus par InDesign. Ces commentaires permettent l’utilisation d’un système d’impression à base de serveur OPI : il s’agit d’un serveur d’impression piloté par un logiciel qui crée une version basse résolution de l’image. Celle-ci servira au placement dans le logiciel de mise en page. Mais, lors de l’impression, l’image basse résolution sera remplacée par l’image haute résolution (cette dernière subissant les traitements réalisés dans le logiciel de mise en page : recadrage, rotation…). INFO. Avec InDesign, vous pouvez importer les images en RVB car le programme convertit à la volée tous les fichiers RVB importés en CMJN lors de l’impression ou de l’exportation (en utilisant les profils ICC spécifiés).
Le format Adobe PDF Avec Photoshop, le format PDF est intéressant car c’est le seul format qui conserve intégralement le caractère vectoriel des éléments, tels les textes et les formes. En effet, avec le format PSD, il y a une pixellisation de ces éléments une fois l’image importée dans InDesign ; en revanche, le PSD conserve la gestion de l’affichage des calques. De plus, le format PDF, dans ses versions 1.4 à 1.7, gère la transparence tout comme le PSD et les images à niveaux de gris sont coloriables. Cependant, l’aspect des images n’est correct que si vous affichez l’aperçu des surimpressions par le menu Affichage : par exemple, certains tons directs n’apparaissent pas ou l’image paraît pixellisée même avec l’affichage de qualité supérieure. Le tableau ci-dessous indique l’état (conservé ou perdu dans InDesign) des éléments Photoshop (transparence, calques, couches, tracés) : Élément Photoshop
État
Conservé (selon les Transparence options et la version PDF).
Calques
156
Conservé.
Particularités du format PDF Les zones transparentes de l’image sont conservées dans InDesign si vous avez coché l’option Arrière-plan transparent dans la fenêtre d’options d’importation d’InDesign. Comme pour les images EPS, vous pouvez utiliser un tracé défini comme Masque dans la palette Tracés, mais il n’y aura plus de zone de fondu. L’image apparaît aplatie dans InDesign mais on retrouve les calques quand elle est rouverte dans Photoshop.
Élément Photoshop Couches
Tracés
Tons directs
Particularités du format PDF Elles n’apparaissent que dans Perdu. le document rouvert dans Photoshop. Ils n’apparaissent que dans Perdu. le document rouvert dans Photoshop. Les tons directs des images au format PDF sont ajoutés Conservé. dans le nuancier lors de l’importation. État
Si le document PDF est multipages (par exemple, un fichier InDesign exporté en PDF), vous pourrez choisir la ou les pages à importer dans la fenêtre d’options d’importation.
Les formats pour le Web Le format GIF GIF (Graphics Interface Format) est l’un des formats les plus utilisés pour les images contenues dans les pages HTML sur le Web. Cependant, il ne s’applique qu’à des images aux couleurs indexées, bitmap ou à niveaux de gris, c’est-àdire aux images comportant un nombre limité de couleurs (logo, graphes, etc.). Le GIF sera moins efficace pour l’affichage en ligne de photographies ou de dégradés. En effet, l’image RVB subit une conversion qui entraîne souvent une dégradation de ses couleurs, ce qui rend ce format impropre à une impression commerciale. Le GIF offre la possibilité de définir des zones de transparence (avec une couche alpha) pour obtenir le détourage de certaines parties de l’image. Ce détourage, normalement visible dans la page HTML, ne sera pas conservé dans InDesign. ATTENTION Si la résolution de l’image n’est pas de 72 ppp lors de l’importation dans InDesign, les pixels sont rééchantillonnés et l’image redimensionnée pour atteindre cette résolution.
Le format JPEG Le format JPEG (Joint Photographic Experts Group) est principalement utilisé pour afficher des photographies (et des images à tons continus) sur le Web. Il permet une compression importante. Celle-ci conserve toutes les informations de couleur des images RVB ; en revanche, en fonction du taux de compression, certaines données sont éliminées (l’image décompressée est légèrement différente de l’original, sauf avec l’option de qualité maximale). Le format JPEG convient parfaitement aux images avec des tons continus (photographies), mais évitez de l’utiliser avec des images unies, présentant de grandes zones d’aplat, car elles perdront de leur netteté.
L A GESTION DES IMAGES Le format JPEG peut servir à la fois pour les documents destinés au Web et aux impressions commerciales si sa résolution a été réglée en conséquence et si la compression est la plus faible possible ; les tracés vectoriels (pas les couches) sont conservés et pourront être utilisés dans InDesign. Le format PNG Il s’agit également d’un format d’affichage d’images dans les pages Web. Le format PNG-24 conserve toutes les informations de couleur (mais le profil ICC n’est pas incorporé), ainsi que la transparence et les tracés (renommés). Il s’agit d’un fichier compressé mais sans perte d’informations.
LE CHOIX DU FORMAT ET DES COULEURS Quelle que soit la destination finale, Web ou papier (PAO), de la mise en page, vous pouvez choisir de travailler avec des images RVB au format natif Photoshop ou Illustrator.
Les détourages pixellisés Il y a trois méthodes pour les obtenir : – Les effacements de pixels : il s’agit de détourages obtenus par les gommes (magique, d’arrière-plan…) ou par la commande Extraire du menu Filtre ; ils sont efficaces mais irréversibles.
– Le masque de fusion : il cache une partie de calque mais de manière réversible et facilement modifiable ; il est obtenu, le plus souvent, à partir d’une sélection de la zone à détourer.
– La couche alpha : elle n’agira qu’une fois l’image importée dans InDesign soit à l’importation dans la fenêtre d’options, soit après l’utilisation de la commande Masque d’InDesign, mais uniquement avec les formats PSD ou TIFF.
Le travail pour le Web Dans le cadre d’un travail Web, vous pourrez enregistrer vos images automatiquement avec des formats Web lors de l’exportation en HTML ou garder vos images avec leur format d’origine. Une fois l’assemblage ouvert dans Dreamweaver, les images seront enregistrées à la volée dans le format souhaité et l’optimisation voulue lors de leur placement dans la page HTML. Pour éviter certains problèmes de transfert, tapez les noms de fichiers sans accent ni signe de ponctuation.
Le travail pour la PAO Dans le cadre d’un travail de PAO, c’est lors de l’impression ou de l’exportation en PDF qu’InDesign convertira à la volée les images RVB dans l’espace CMJN en utilisant les profils spécifiés dans les fenêtres d’impression ou d’exportation. En opérant ainsi, il vous sera possible de choisir le profil en fonction de la destination du fichier (impression d’épreuve avec le profil de l’imprimante ou impression sur presse avec un profil spécifique…).
La préparation du détourage dans Photoshop LES MÉTHODES DE DÉTOURAGE Pour détourer une image dans Photoshop, vous disposez de plusieurs méthodes qui, si le format d’enregistrement final permet de les gérer, peuvent être cumulées. Ces détourages se répartissent en deux catégories : détourages pixellisés et détourages vectoriels.
Détourage avec un n masque masq de fusion (formats ts PSD, TIFF TI et PDF).
Détourage par effacement avec les gommes, extraire… (formats PSD, TIFF et PDF).
LL’image imag importée InDesign (et d dans habillée par un texte). h habill
ATTENTION La transparence n’existe pas dans un fichier EPS. L’image détourée apparaît sur un fond blanc une fois rouverte dans Photoshop ou importée dans InDesign.
157
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 6 Les détourages pixellisés présentent l’avantage de pouvoir employer des zones semi-transparentes, c’est-à-dire présentant un fondu entre la partie détourée et le reste (ce qui est impossible avec un détourage vectoriel ou créé directement dans InDesign).
Détourages urages cumulés lé avec zone de fondu ndu (gommes et et Extraire aire + masque d de ffusion). i )
ATTENTION La transparence n’existe pas dans un fichier PDF enregistré avec le standard PDF/X car celui-ci aplatit l’image en fusionnant les calques ; de même, toute conversion des couleurs dans la fenêtre Options d’enregistrement PDF (rubrique Sortie) entraînera l’aplatissement de l’image et la perte de la transparence.
Si vous enregistrez au format EPS (ou DCS) une image ayant des zones transparentes obtenues par un détourage pixellisé, celles-ci seront remplies par du blanc dans le fichier enregistré. Une fois l’image placée dans InDesign, elle ne semblera détourée que si l’arrière-plan sous l’image est blanc. Si vous utilisez les fonctions d’InDesign pour rendre le détourage réel, il perdra son caractère pixellisé ; en effet, tous les détourages effectués via la commande Masque d’InDesign sont vectoriels.
Les détourages vectoriels Il y a deux méthodes pour les obtenir :
– Le masque vectoriel : il se réalise comme le masque de
L’image conserve les fondus...
fusion mais à partir d’un tracé. Ce dernier cache une partie de calque mais de manière réversible et facilement modifiable avec des outils vectoriels.
Ces détourages sont principalement utilisés avec les formats PSD, PDF et TIFF. Avec ce dernier, les zones transparentes des calques n’apparaîtront à l’importation dans InDesign que si l’option Enregistrer transparence a été cochée dans la fenêtre d’enregistrement du fichier du format TIFF.
Icci, l’im Ici, l’image est détourée par ce d détouré masque vectoriel. el.
ASTUCE Selon l’image, il est parfois possible dans InDesign d’obtenir ces effets de fondu sur certains bords de l’image. Dans l’exemple ci-dessous, on a redessiné une partie de la forme du bloc, et on lui a appliqué des effets de contour progressif (directionnel ou autre).
– Le tracé : il sera défini ou non comme masque dans
En utilisant des effets ts de contours progressifs ssifs f directionnel et dégradé radé dé à ce bloc redessiné,, on a obtenu un fondu. ndu.
158
Photoshop et n’agira qu’une fois l’image importée dans InDesign. Il peut également être obtenu par conversion d’une sélection de la zone à détourer (voir plus loin).
Icci, l’im Ici, l’image sera détourée par ce d détouré tracéé vectoriell défini comme masque.
L A GESTION DES IMAGES
À par partir de la sélection et de cette commande, on obtient le tracé comm m vectoriel vecto o qu’il q faudra renommer. Dans InDesign, l’image apparaît détourée grâce au tracé vectoriel.
– À partir d des zones transparentes d’un calque récupérées Les bords d’une image ayant un détourage vectoriel sont forcément nets (sans zone de fondu). Avec les formats EPS et DCS, le détourage par le tracé défini comme masque constitue le seul moyen d’obtenir un détourage réel, c’est-à-dire avec des zones masquées (et non pas blanches) autour de l’image détourée. Les paragraphes qui suivent indiquent comment obtenir le tracé puis le définir en masque.
L’OBTENTION DU DÉTOURAGE PAR UN TRACÉ DÉFINI EN MASQUE
sous forme de sélection (par clic droit sur la vignette du calque ou par la commande Récupérer la sélection du menu Sélection) et converties en tracé.
La définition du tracé Photoshop en masque Pour définir le tracé en masque dans Photoshop, renommez le tracé de détourage par double-clic sur sa vignette puis lancez la commande Masque dans le menu de la palette Tracés. Le nom du tracé s’affiche dans la fenêtre Masque puis apparaît en relief dans la palette Tracés.
La création du tracé de détourage Dans Photoshop, le tracé s’obtient de plusieurs façons : – En suivant le contour de la zone à détourer avec la plume.
– En créant une forme vectorielle correspondant à la partie de l’image qui devra être visible.
On a dessiné la forme rmee vecto vectorielle orielle qui va détourer l’image l’im l im (puis on a nomméé le tracé). tracé)).
– En effectuant la sélection de la zone à détourer et en convertissant cette sélection en tracé à partir de la commande Convertir en tracé dans le menu local de la palette Tracés ou du menu contextuel.
Dans cette palette, on lance cette commande pour afficher cette fenêtre et y définir le tracé comme masque.
Si vous ne faites pas cette manipulation, l’image ne sera pas détourée dans InDesign, mais il sera cependant possible d’obtenir son détourage avec la commande Masque du menu Objet (nous en reparlerons plus loin). Dans InDesign, quel que soit son format, une image ayant un tracé défini en masque apparaît automatiquement détourée sans qu’il soit nécessaire d’utiliser les options d’importation.
Dans InDesign, l’image mage apparaît détourée (on n lui a ajouté une ombre portée). é )
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Le profil ICC des images L’INTÉRÊT DU PROFIL La présence et l’utilisation du profil dans une image assurent une homogénéité dans l’affichage des couleurs dans les différents programmes Photoshop, Illustrator et InDesign. Ainsi, vous pouvez aussi prévoir l’aspect des images sur différents systèmes d’impression. Pour que le profil puisse être utilisé dans InDesign, vous devez activer la gestion des couleurs dans la fenêtre Couleurs du menu Édition. Bridge, le logiciel de gestion des fichiers de la Creative Suite, permet de synchroniser la gestion des couleurs sur tous les programmes de la Creative Suite (Photoshop, Illustrator, InDesign et Acrobat). Cette opération s’effectue dans le menu Édition à la commande Paramètres de couleur Creative Suite.
Les profils dans Illustrator Cette affectation n’est pas possible avec le format EPS ; en revanche, le profil peut être incorporé aux images enregistrées au format natif Illustrator (.ai) ou PDF, ou exportées aux formats TIFF, JPEG ou Photoshop PSD. Pour obtenir l’insertion du profil, cochez l’option correspondante dans la fenêtre d’options d’enregistrement ou d’exportation du menu Fichier.
LE CHOIX DU PROFIL À INCORPORER À L’IMAGE Les profils dans Photoshop Ils sont définis dans le sous-menu Couleurs du menu Édition à la rubrique : Espace de travail puis RVB ou CMJN — ou, comme indiqué précédemment, par le menu Édition de Bridge. Il est préférable de choisir un profil correspondant à une gamme de couleurs suffisamment large, pour ne pas perdre trop d’informations couleurs, et qui est sensiblement commune à la plupart des écrans, pour assurer la portabilité de l’image sur différentes plates-formes. Si vous travaillez sur des documents pour le Web, l’espace sRVB IEC61966-2.1 s’avère être le meilleur choix. Pour les documents PAO, utilisez plutôt les espaces Adobe RVB (1 998) ou ECI RGB (s’il a été installé) pour les images RVB et Europe ISO Coated FOGRA27 (ou ISO Coated (ECI) ou personnalisé selon votre système d’impression) pour les images CMJN. Vous pouvez affecter un profil à une image par la commande Attribuer un profil, qui figure désormais dans le menu Édition.
Les profils dans Illustrator Ils sont définis par les commandes Couleurs et Attribuer un profil du menu Édition si vous n’avez pas effectué de synchronisation avec Bridge.
LE CHANGEMENT DE PROFIL D’UNE IMAGE
La gestion des couleurs a été synchronisée sur la Creative Suite avec Bridge. Ici, ill s’agit des valeurs par défaut. Vous Vou pouvez importer des profils et les définir comme espace de travail RVB et CMJN. INFO. La gestion des couleurs dans InDesign ne s’applique qu’aux fichiers images qui utilisent le modèle colorimétrique RVB, CMJN ou Lab.
Il est possible de visualiser ou de supprimer des paramètres de profil existants dans une image importée soit lors de son importation, soit lors de son édition dans la mise en page. Cela peut s’avérer utile avec une image contenant un profil incorrectement incorporé ou ne contenant aucun profil. Pour cela, sélectionnez l’image déjà importée et choisissez Couleurs de l’image du menu Objet — si l’image n’est pas encore importée, choisissez Fichier/Importer, sélectionnez Afficher les options d’importation, puis l’onglet Couleur, enfin dans le menu local Profil, choisissez le profil source à appliquer à l’image du document.
L’AFFECTATION D’UN PROFIL À UNE IMAGE Les profils dans Photoshop Un profil ICC peut être imbriqué dans le fichier image s’il est enregistré avec un des formats suivants : PSD, TIFF, EPS et DCS, PDF, JPEG. Le profil est affecté si vous cochez l’option correspondante dans la fenêtre d’enregistrement.
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Par cee menu Profil, Profill on pe peut changer le profil de l’image.
L A GESTION DES IMAGES
Les importations Les placements d’images LE PLACEMENT PAR IMPORTATION L’importation simple Elle se réalise avec ou sans la présence d’un bloc (sélectionné ou non) en lançant la commande Importer du menu Fichier (au clavier, ¢ D [Ctrl D]). Celle-ci affiche une fenêtre qui permet de choisir le fichier voulu. ASTUCE La fenêtre Importer peut se présenter sous deux aspects : Dialogue SE (Système d’Exploitation) ou Dialogue Adobe. Ce dernier propose d’avantage d’options (notamment au niveau de la visualisation des fichiers), mais n’est disponible qu’avec Version Cue activé (sans obligation d’utiliser ses autres fonctionnalités de partage).
On sélectionne électionne le bloc bloc et e on importe : lee bloc se remplit. re
Pour visualiser la taille de l’image par rapport au bloc, cliquez sur l’image avec l’outil de sélection directe (Flèche blanche) ou l’outil Position .
On sélectionne l’image pour voir son encombrement.
A STUCE Si vous effectuez un triple clic sur l’image avec l’outil Flèche noire, vous la sélectionnerez (et visualiserez son encombrement dans le bloc).
Le placement dans un bloc sélectionné Pour importer une image dans un bloc, sélectionnez-le en cliquant dessus avec un des outils Flèche, puis, dans la fenêtre Importer, cochez l’option Remplacer l’élément sélectionné : le fichier remplit automatiquement le bloc sélectionné (ou remplace son contenu).
C Cochez cette option pour ooptio remplir re emp le bloc sélectionné sé élect (i(ici, ci, la fenêtre a été affichée a ffich avec le Dialogue Adobe). Dialo D
Le placement sans bloc sélectionné Si aucun bloc n’est sélectionné ou si l’option de remplacement n’est pas cochée, aucun bloc n’est rempli ; il apparaît un curseur de placement muni d’une vignette montrant le contenu du fichier image. L’aspect du curseur varie selon (avec un fichier que le bloc survolé est vide , ou non au format PDF, le pinceau est remplacé par ). En enfonçant la touche ∏ [Alt], le curseur devient systématiquement . Quand le curseur est , cela signifie qu’il provoque le remplissage du bloc sur lequel vous cliquez ; quand il est , cela indique que vous devez créer le bloc par clic ou glissement sur la page.
ATTENTION Si le curseur d’insertion clignote dans un texte, l’élément importé se placera dans ce texte. Il faudra annuler par ¢ Z [Ctrl Z] pour retrouver le curseur de placement et finir l’importation manuellement comme indiqué ci-après. À l’issue de l’importation, tion, on voiti le cu curseur de placement et par ar clic cllic on place l’image (on peut aussi glisser le curseur pour créer le bloc).
Quand l’image s’affiche, le bloc joue le rôle de masque, c’est-à-dire que seule la partie de l’image à l’intérieur du bloc est visible. Par la suite, vous pourrez recadrer le bloc ou l’image (voir plus loin la partie sur les traitements).
Dans le cas où vous avez rempli un bloc par erreur, tapez ¢ Z [Ctrl Z] pour annuler le remplissage du bloc actif et retrouver le curseur de placement ( ). De même, pour vider le curseur sans placer son contenu (donc interrompre le placement), tapez esc [Echap].
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Les importations multiples Dans la fenêtre Importer, InDesign permet d’importer simultanément plusieurs fichiers qu’il vous suffit de sélectionner par Ó clic s’ils sont contigus ou ¢ clic [Ctrl clic] dans le cas contraire.
De retour dans InDesign, vous obtiendrez le curseur de placement ou le remplissage du bloc selon le nombre de fichiers sélectionnés. Au lieu d’utiliser cette commande d’importation, vous pouvez réduire la taille de la fenêtre de Bridge en cliquant sur (située en haut à droite de la fenêtre) et glisser l’icône la sélection des fichiers sur la page, vous retrouverez alors l’icône de placement.
O a sélectionné On cinq ci inq iimages.
Après validation, le curseur de placement apparaît sur la page ; il affiche l’aperçu du premier fichier sélectionné et un chiffre indiquant le nombre d’éléments à placer. Pour passer d’un élément à l’autre de cette pile (ou visualiser les différents éléments à placer), tapez une ou plusieurs fois les touches fléchées. Pour éliminer l’élément dont vous voyez l’aperçu, tapez esc [Echap]. n Ce chiffre ch indique On passe de l’un à l’autre avec less nombre de le nom s. fichiers importés. touches fléchées. fichie
Le placement se réalise manuellement : par clic sur un bloc vide, par ∏ clic [Alt clic] sur un bloc ayant un contenu, ou par glissement (ou clic) si le bloc doit être dessiné. À chaque clic, le chiffre se réduit pour indiquer le nombre de fichiers restants. Dans tous les cas, vous pouvez revenir en arrière et annuler les placements en tapant plusieurs fois ¢ Z [Ctrl Z].
On place less différents d différe ff nts fichiers f chier fic h par clic sur ur le l bloc, bl le l nombre b se réduit au fur mesure ur et à m esure des placements. ts. A STUCE Il est possible d’effectuer un glissement d’objet de Photoshop vers InDesign. Cependant, n’oubliez pas que l’image (ou le morceau d’image s’il y a une sélection) ainsi transférée aura une résolution de 72 ppp.
LE PLACEMENT DEPUIS BRIDGE Dans Bridge, affichez le dossier des images à importer et sélectionnez-les par Ó clic sur leurs vignettes si elles sont contiguës (¢ clic [Ctrl clic] dans le cas contraire). Déroulez le menu Fichier puis Importer et choisissez Dans InDesign.
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On sélectionne les l fichiers, fi hi on les glisse se sur la page et on obtient de placement. btient ce curseur cu acemen nt.
LE PLACEMENT PAR GLISSEMENT DE FICHIERS Si vous avez plusieurs images situées dans un même dossier à placer dans une mise en page, vous pouvez les sélectionner sur le Bureau, ou mieux encore dans Bridge, et glisser directement les vignettes des fichiers sur la page. InDesign place chaque image dans un bloc à ses dimensions. Pour ce placement, il utilise les derniers paramétrages de la fenêtre d’options d’importation.
LES PLACEMENTS SPÉCIAUX DEPUIS ILLUSTRATOR Comme Photoshop, Illustrator permet les placements par glissement ou par copier-coller, mais, dans ce cas, l’élément placé garde son caractère vectoriel, ainsi dans InDesign vous avez la possibilité de retoucher le tracé comme s’il avait été réalisé directement dans InDesign. En revanche, comme il s’agit d’une partie d’illustration, il n’y a aucun lien vers un fichier externe. Le dessin ainsi transféré constitue un bloc qui peut être rempli d’une image ou d’un texte comme s’il avait été réalisé dans InDesign. Si le tracé d’Illustrator comporte plusieurs parties, chacune d’elles peut être manipulée ou coloriée séparément dans InDesign si elle est sélectionnée avec l’outil Flèche blanche. Lors du transfert, les couleurs restent intactes ; elles apparaîtront identiques à l’écran si la gestion des couleurs a été synchronisée dans les deux programmes. Certains éléments d’Illustrator subissent des modifications dans InDesign : les dégradés sont transformés en objets constitués de plusieurs morceaux ; les motifs deviennent une juxtaposition de carreaux qui contiennent des tracés représentant le dessin du motif créé dans Illustrator. Les formes composées (obtenues par la palette Pathfinder d’Illustrator) doivent être décomposées avant d’être placées dans InDesign.
L A GESTION DES IMAGES
Les options d’importation Pour afficher la fenêtre Options d’importation d’image, cliquez sur la rubrique correspondante dans la fenêtre d’importation. Son contenu varie en fonction du format de l’image importée. On distingue deux (parfois trois) rubriques : Image ou Général qui concernent les options de détourage de l’image, Couleur, pour les options de gestion des couleurs et Calques qui permet de choisir les calques (ou la composition de calques avec les images au format PSD) à afficher.
Quand l’option on est cochée, le détourage tourage peut être utiliséé p pour créer un bloc.. Par la suite, on n peut même supprimer mer l’imagee et colorer le fond du bloc. c c.
Dans le cas des images aux formats TIFF et PSD, une rubrique supplémentaire, Couche alpha, liste les couches disponibles pour détourer l’image.
Selon le format de l’image, il y a trois rois ou deux deux rubriqu rubriques d’options.
Le paramétrage spécifié dans la fenêtre s’appliquera par défaut à chaque image importée (sans afficher la fenêtre d’options d’importation).
Dans Photoshop, d’arrièreD Ph t h la l photo h t n’a ’ plus l d’ r iè rrièreplan mais ne possède pas de masque de fusion. Elle comporte deux couches..
ASTUCE Si vous enfoncez Ó lors de l’ouverture du fichier importé, InDesign affichera la fenêtre des options d’importation sans que vous ayez besoin de cocher l’option.
LES OPTIONS DES FICHIERS PHOTOSHOP L’onglet Image Quel que soit le format de l’image, InDesign propose l’option Appliquer le masque Photoshop : cette option n’a d’influence sur l’aspect de l’image importée que si elle a été préparée dans Photoshop avec un tracé défini en masque (voir page 159).
A Transparence, Avec parence, e il n’y a pas de d détourage dé ge (car il n’y a pas de masque dans Photoshop). m masq Ph t En choisissant une des couches, on peut détourer l’image.
En effet, cette option permet d’une part, d’afficher l’image détourée selon le masque de Photoshop et d’autre part, de rendre disponible une commande du menu contextuel (Convertir le masque en bloc) pour transformer le bloc rectangulaire de l’image en bloc ayant la forme du tracé avec lequel l’image a été détourée.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 6
L’onglet Couleurs
Colorimétrie relative
Si vous intégrez un profil ICC à une image Photoshop ou Illustrator, InDesign lit automatiquement le profil imbriqué et l’utilise comme profil source. Néanmoins, lors de l’importation, vous pouvez remplacer ce profil dans la fenêtre Options d’importation et l’onglet Couleurs. Le menu Profil présente une liste dans laquelle vous pouvez choisir le profil voulu.
Le blanc de l’espace destination est calé sur celui de l’espace source ; il y a un écrêtage des couleurs hors gamme de la source : les couleurs écrêtées prennent la valeur de la couleur en bordure du gamut de destination. Ce mode de rendu préserve davantage les couleurs originales de l’image, mais respecte moins les sensations visuelles de l’image initiale (pour les photos, beaucoup lui préfèrent le mode Perception).
Le type des profils correspond à l’espace de travail des couleurs de l’image importée (RVB, CMJN, Lab). Si vous choisissez l’option RVB par défaut Adobe InDesign, c’est le profil défini dans la fenêtre Couleur (menu Édition, sous-menu Couleurs) qui sera appliqué à l’image. Quel que soit votre choix, le profil intégré à l’image dans Photoshop n’est pas modifié ; de plus, il demeure accessible et réapplicable à tout instant.
Exemple de conversions d’un espace vers un espace (Adobe-RVB) plus étroit (sRVB). a et b sont les couleurs en limite de l’espace source et de l’espace destination. t.PEF$PMPSJNÏUSJFSFMBUJWF Espace Adobe-RVB a
Espace sRVB
Quand on change d’espace, il faut choisir un n mod mode de de re rendu.
Pour la gestion des couleurs, InDesign réalise un ajustement des couleurs définies dans le profil source (espace source) et de celles définies dans le profil destination (espace destination spécifié dans l’onglet Couleurs). Cette conversion (mapping) d’un espace vers un autre plus étroit implique généralement un compromis ; c’est pourquoi plusieurs méthodes, appelées modes de rendu, sont disponibles, chacune d’elles étant optimisée pour un type d’image. Le mode de rendu qui s’affiche dans la fenêtre Options d’importation correspond au mode par défaut. Si ce mode ne vous semble pas adapté à l’image, vous pouvez faire un autre choix. Voici les caractéristiques de chacun des modes de rendu : Perception (image) Le blanc de l’espace source se cale sur le blanc de la destination. De même, la couleur en limite de gamme de l’espace source prend la valeur de celle en limite dans l’espace destination. Les couleurs intermédiaires sont redistribuées (elles subissent une modification, certaines sont supprimées), mais les écarts relatifs de contraste sont conservés proportionnellement (voir schéma ci-après), ce qui permet de conserver le modelé et d’obtenir un rendu plus naturel. Ce mode convient aux images photographiques pour lesquelles on passe d’un espace donné vers un espace plus petit. Saturation (graphique) Ce mode s’utilise avec les images de type graphique. Il y a conservation des saturations relatives au détriment de la teinte. Les couleurs deviennent éclatantes.
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b Certaines couleurs sont écrêtées vers la couleur limite (b) de l’espace destination.
t.PEF1FSDFQUJPO JNBHF Espace Adobe-RVB a
Espace sRVB
b Les écarts entre les couleurs sont conservés proportionnellement.
Colorimétrie absolue Ce mode s’applique aux images dont les couleurs doivent être reproduites exactement (logo) ; les couleurs hors gamme sont modifiées mais gardent leur luminosité d’origine. Ce mode est utile pour les impressions d’épreuves. En effet, le blanc du profil de destination est pris en compte pour simuler le blanc du papier lors de l’épreuvage. Ce mode et le précédent préservent la précision de la couleur au détriment du maintien de l’équilibre entre les couleurs. Vous pouvez changer le profil source d’une image ou le mode de rendu à n’importe quel moment de votre travail, en lançant la commande Couleurs de l’image du menu Objet (ou à partir du menu contextuel, après avoir sélectionné une image). Le premier profil de la liste qui s’affiche correspond à celui qui était intégré à l’image dans le logiciel où elle a été préparée.
L A GESTION DES IMAGES
Les calques et les compositions de calques Si vous importez une image au format PSD comportant plusieurs calques ou compositions de calques, InDesign propose une option d’importation supplémentaire nommée Calques. Elle peut être utilisée lors de l’importation ou lorsque l’image placée dans la page est sélectionnée ; dans ce cas, c’est par la commande Options de calque d’objet (du menu Objet ou du menu contextuel) que vous afficherez une fenêtre équivalente à celle qui apparaît lors de l’importation.
L’image a été importée une fois puis copiée deux fois. L’icône indique que l’on a changé l’affichage des calques de certaines.
Dans les options d’importation, vous pouvez choisir que, suite à la mise à jour du fichier dans Photoshop, il y ait conservation de l’affichage tel qu’il a été défini dans InDesign ou tel qu’il a été créé dans Photoshop.
On définit ici cii l’affichage à la mis mise à jour du fichier. ATTENTION Quand vous effectuez des modifications dans Photoshop à partir d’un fichier importé plusieurs fois avec des affichages de calques différents, il faut parfois faire les mises à jour sur les autres occurrences du fichier car elles peuvent apparaître également modifiées.
Dans cette ette ett t e liste, liste on ppeut choisir quels calques affichés ou non.
Chaque version de l’image affichée dans InDesign peut correspondre soit à une combinaison de calques (que vous affichez ou masquez en cliquant sur l’œil en regard du nom du calque), soit au choix d’une des différentes compositions de calques créées dans Photoshop (que vous affichez en la sélectionnant dans la liste).
Cette possibilité d’affichage des calques (ou compositions de calques) est pratique pour placer plusieurs versions d’une image dans une mise en page avec un seul fichier contenant les différents aspects souhaités de cette image.
LES OPTIONS D’IMPORTATION DE FICHIERS NATIFS I LLUSTRATOR (. AI) ET PDF Le format natif d’Illustrator est un format PDF, c’est pour cette raison que les images .ai ou .pdf partagent les mêmes options d’importation. Celles-ci ne comportent que deux rubriques : Général (liées à l’aspect du fond et des pages à importer) et Calques (pour la sélection des calques à importer).
Dans cette lliste, on choisit le(s) Dans calque(s) calq ue(s) à afficher. a L L’image dans da Illustrator et lles options d’importation p dans InDesign. d Design.
Dans la palette Liens, une petite icône jaune en forme d’œil apparaît derrière le nom du fichier dont vous avez changé l’aspect en modifiant l’affichage des calques ou des compositions de calques.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 6 Le curseur d’importation d’un fichier .ai montre une icône correspondant au formatt PDF. On voit cette icône de placement avec un fichier natif Illustrator.
Les options de l’onglet Général L’aspect du fond de l’image Le fond blanc de l’image peut être rendu transparent en cochant l’option Arrière-plan transparent. En plus d’un recadrage dans Illustrator, un recadrage peut être réalisé selon différents critères à l’importation (certains donnent des résultats identiques avec les images au format .ai provenant d’Illustrator ; c’est le cas de Rogner, Fond perdu et Support).
Les options de pages Si vous importez un document PDF multipages (par exemple, créé par exportation depuis InDesign ou par réalisation d’une présentation PDF dans Photoshop), il sera possible de choisir lors de l’importation le numéro de la page à importer ou de placer toute la série d’images. Si vous importez plusieurs pages, le curseur de placement comportera un numéro correspondant au nombre de pages importées. On retrouvera cette option lors de l’importation d’un fichier InDesign (.indd).
Les options de l’onglet calques
Les options de recadrage.
Dans la fenêtre d’importation, vous pouvez choisir d’importer tous les calques ou seulement certains (voire un seul). Si vous avez choisi l’option Cadre de sélection, le recadrage se centre sur la partie de l’illustration présente dans les calques choisis.
On n a défini une zzone zo one de recadrage avec av vec ccet outil.
Option
Cadre de sélection
Graphiques ou Recadrage
Rogner
Fond perdu
Support
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Aperçu
Résultat Image .ai : il y a découpe pour ne garder que la zone correspondant à l’encombrement de la sélection de tous les objets de l’illustration. Image .pdf avec traits de coupe définis à l’enregistrement : c’est la totalité de ce qui s’affiche dans Acrobat qui est importé. On n’importe que la zone qui s’affiche ou s’imprime dans Acrobat. Dans Illustrator, on peut définir cette zone avec l’outil Zone de recadrage pour dessiner autour d’un élément. On n’importe que la zone représentant la taille finale de coupe du document après l’impression et la coupe, si des repères sont présents. On n’importe que la zone représentant l’emplacement où le contenu de la page doit être découpé, s’il existe une zone de fond perdu.
On importe la zone représentant le format du papier avec les marques de repérage.
Dans Illustrator, vous pouvez afficher tous les calques ou seulement ent certains d’entre eux. ux Dans tous les cas, dans InDesign, InDesign vous pouvez choisir ceux que q vous souhaitez importer. p
L A GESTION DES IMAGES Si le document Illustrator comporte des tons directs (Pantone, par exemple), InDesign n’ajoute à son Nuancier que ceux contenus dans la partie du dessin correspondant aux calques affichés dans la fenêtre Options d’importation.
L’utilisation de cette possibilité d’affichage des calques à importer (ou à afficher, si l’image est déjà importée) est pratique pour placer une ou plusieurs versions de cette image dans une mise en page à partir d’un seul fichier contenant les différents aspects souhaités du visuel ; il peut s’agir, par exemple, d’une illustration comportant le même logo avec différentes couleurs. Dans tous les cas, il n’est pas nécessaire que les différents dessins soient superposés, ce qui facilite leur construction et leur visualisation dans Illustrator.
LES OPTIONS D’IMPORTATION DE FICHIERS IND ESIGN L’objet dynamique selon InDesign Avec l’importation d’un fichier InDesign (.indd) dans une mise en page InDesign, on retrouve en quelque sorte, le principe de l’objet dynamique de Photoshop (ou du symbole d’Illustrator). En effet, par ∏ double-clic [Alt double-clic] sur « l’image InDesign », vous ouvrez le document dans InDesign et pouvez réaliser les modifications voulues comme dans tous documents. À l’enregistrement de ce dernier, la mise à jour sera réalisée sur l’image initiale. Si la mise en page comporte plusieurs occurrences de cette image InDesign, il faudra en faire la mise à jour comme indiquée plus loin. Lors de l’importation d’un n seul ca calque, ee,, il n’a été ajouté que le seull ton direct dir présent dans cette partie d’illustration. n.
Si vous réimportez la même illustration en affichant un autre calque, ou si vous utilisez la commande Option de calque d’objet du menu Objet pour changer de calque, non seulement l’image se positionne exactement en remplacement de la précédente (bien que ces parties d’image n’aient pas été forcément superposées dans Illustrator), mais en plus, le ton direct présent dans cette nouvelle partie est ajouté au Nuancier d’InDesign.
Deux onglets ets de réglages dont l’un l un permet un recadrage. adrage adrage.
Les options de Général Dans cet onglet, on choisit le nombre de pages et le recadrage. Le choix des pages importées Comme pour les fichiers PDF, il est possible d’importer la page sélectionné dans la partie gauche ou une série de pages. Le curseur de placement en indiquera le nombre. Le recadrage de la page Le menu local propose trois options de recadrage :
– Page : cette option découpe l’image pour ne garder que la zone minimale correspondant au format du document InDesign, c’est-à-dire à la taille exacte de la page. Si on n change less options option i dee calque l de d l’image, InDesign rajoute les directs age, InDesig n rajou es tons dir présents la t dans d l nouvelle l partie ti d’image d’i e et la positionne correctement dans le bloc. oc
– Fond perdu : ici, la page est importée avec sa zone de fond perdu.
– Ligne-bloc : à la zone de fond perdu est ajoutée la zone correspondant à la ligne-bloc du document.
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Les options de l’onglet calques On retrouve la possibilité de n’importer que les calques souhaités (celle possibilité pourra être utilisée avec la commande Option de calque d’objet).
L’utilisation de cette possibilité d’affichage des calques est pratique pour placer plusieurs versions d’une mise en page InDesign avec un seul fichier comportant des textes en plusieurs langues, par exemple.
LES IMAGES POST SCRIPT EPS InDesign ne peut pas modifier les profils des images EPS ou PDF ; les options de couleurs ne seront donc pas accessibles dans la fenêtre d’options d’importation.
Les images EPS Dans le cas des images EPS, vous disposez de deux options d’importation : l’application ou non du masque de Photoshop et la gestion de liens OPI.
Le document InDesign ign peut comporter plusie plusieurs calques parmi lesquels on choisira ceux que l’on souhaite importer. im
De plus, le document peut être copié plusieurs fois, transformé ou encore placé dans un bloc différent. La palette Liens montrera le nombre de fichiers placés ainsi que le nombre d’images contenu dans le document importé.
Dans le document, on peut importer le fichier InDesign plusieurs fois avec différents calques affichés comme le montre la palette Liens. p ns.
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Les options pour les images EPS.
Le procédé OPI (Open Prepress Interface) se fonde sur le principe de la substitution d’images. Quand on enregistre un fichier d’image haute résolution (TIFF, EPS ou DCS) sur un serveur OPI, celui-ci génère automatiquement une image basse résolution OPI de faible encombrement. Cette basse résolution est utilisée comme image de placement dans la mise en page InDesign. Lors de l’impression, les informations relatives à la maquette et à son contexte rédactionnel sont envoyées au serveur (ce sont les commentaires OPI ; ils concernent la taille de l’image, son recadrage, etc.). Le serveur remplace les images basse résolution par les images haute résolution stockées dans le serveur ; les images traitées sont ensuite envoyées à la flasheuse.
L A GESTION DES IMAGES Dans la fenêtre d’options d’importation, si vous cochez l’option Lire les liens d’images incorporés OPI, c’est InDesign qui effectue le remplacement de l’image dans le fichier de sortie grâce au lien avec le serveur OPI. Si vous ne cochez pas cette option, c’est votre prestataire de services qui effectuera cette substitution lors de l’impression. Rapide.
Standard.
Qualité supérieure.
L’affichage des images importées Les liens avec le fichier externe LES NIVEAUX DE RÉGLAGE L’affichage des images peut s’effectuer selon trois réglages : rapide, standard et qualité supérieure. Le choix est spécifié à deux niveaux : pour le document, avec le sous-menu Performances d’affichage du menu Affichage (la rubrique Performances d’affichage dans les Préférences du menu InDesign [Édition] permet d’affiner les réglages) et pour l’objet sélectionné, à l’aide du sous-menu Performances d’affichage du menu Objet ou du menu contextuel.
LES LIENS EXTERNES Lors de l’importation, si l’image a un poids supérieur à 48 Ko, InDesign crée une copie basse résolution (doublure) qu’il intègre dans le document et garde un lien vers le fichier externe. Si l’image a un poids inférieur à 48 Ko, il intègre l’image à sa résolution maximale dans le document, mais garde quand même en mémoire le chemin d’accès au fichier externe. Le lien est utilisé lors de l’impression pour transférer les données haute résolution à l’imprimante ou pour effectuer des mises à jour si vous modifiez le fichier externe. Il ne faut pas déplacer, renommer ou effacer le fichier de l’image sur le disque sous peine de ne plus pouvoir imprimer correctement les images non intégrées dans InDesign. En effet, l’impression ne pourra alors s’effectuer qu’avec la partie de la doublure. À l’ouverture du document, un message signalera les fichiers manquants ou modifiés.
L A PALETTE LIENS Les réglages d’affichage d affichage ddes images.
LES TYPES D’AFFICHAGES Pour certains réglages particuliers (positionnement précis, détourage, habillage, etc.), un affichage avec une résolution basse peut se révéler imprécis. InDesign permet d’en changer en proposant trois types d’affichages :
– Affichage rapide : avec cette option, les images ne sont plus visibles et sont remplacées par un rectangle gris, ce qui permet d’accélérer l’affichage.
– Affichage standard : c’est l’affichage basse résolution. Avec cette option, les images s’affichent avec une résolution de 72 ppp.
– Affichage de qualité supérieure : les images s’affichent avec une grande finesse. Pour les images pixellisées, InDesign utilise leur haute résolution (si elles ont été préparées avec une telle résolution) ; avec les images vectorielles, on accède à la même précision que dans Illustrator. En revanche, les temps de réactualisation de l’écran sont plus importants et peuvent être pénalisants.
La palette Liens, qui s’affiche par le menu Fichier, vous permet de recenser les images du document, de connaître leur position dans ce dernier (numéro de page) et de vérifier leur état par rapport à l’image originale (c’est-à-dire au fichier externe) : le signe indique que le fichier externe est manquant et le signe que l’original a été modifié. Un doubleclic sur le nom d’une image permet d’afficher une fenêtre d’informations sur cette image. La palette Liens liste les fichiers externes avec le numéro de la page exter où ilss se situent. Ici les Ici, lees noms décalés correspondent importés dans le fichier aux fifichiers i externe de type InDesign. extern
La partie basse de la palette comprend quatre icônes qui permettent de gérer les images. Elles correspondent à des commandes que l’on retrouve dans le menu local de la palette Liens : Rééditer le lien, Atteindre le lien, Mettre à jour le lien et Éditer l’original.
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La commande Rééditer le lien Si un fichier a été déplacé, supprimé ou renommé, le signe l’indique dans la palette Liens. Un clic sur l’icône affiche une fenêtre dans laquelle vous pourrez désigner (à l’aide du bouton Parcourir) le chemin d’accès au fichier de remplacement. Cette icône s’utilise également pour remplacer une image par une autre. Si elle a été placée plusieurs fois, une option permettra de rééditer toutes les occurrences.
La commande Atteindre le lien Cette commande concerne l’affichage de l’image. Cette icône a pour effet d’afficher l’image sélectionnée au milieu de l’écran (avec un taux d’affichage important).
La commande Éditer l’original Un clic sur cette icône démarre le programme dans lequel l’image sélectionnée a été créée et l’affiche afin de pouvoir la modifier (si vous effectuez un double-clic sur l’image en enfonçant ∏ [Alt], vous obtiendrez le même résultat). De retour sur InDesign, l’image est mise à jour. Pour les autres s’affichera : vous occurrences de cette image, un signe . devrez en faire la mise à jour avec l’icône On a modifié cette image dans Photoshop en cliquant cette icône. sur ce autres occurrences ne Ces a sont ppas mises à jour.
Vous pouvez accéder à la commande Éditer l’original directement sur l’image sélectionnée à l’aide du menu contextuel. ASTUCE Avec les images au format PDF, c’est Acrobat (et non pas Photoshop) qui sera ouvert. Pour pallier ce problème, effectuez un clic droit sur l’image pour l’afficher dans Bridge (par le sous-menu Graphiques). Dans ce dernier, également par clic droit, vous pourrez l’ouvrir dans le logiciel voulu.
La commande Mettre à jour le lien
Cette opération peut s’avérer intéressante pour rapatrier dans un dossier particulier certaines images ; l’assemblage, (voir plus loin), reprend cette manipulation sur l’ensemble des fichiers.
L’INCORPORATION DE L’IMAGE En dehors des fichiers InDesign importés en tant qu’images, vous pouvez intégrer l’image au document et par la même occasion rompre le lien avec son fichier externe. Pour cela, sélectionnez l’image dans la palette Liens et lancez la commande Incorporer le fichier du menu de la palette. Cette opération alourdit le fichier InDesign (un message le signale), mais, en contrepartie, celui-ci n’est plus lié au fichier externe de l’image. En réalité, le lien n’est pas définitivement perdu, il peut être restauré en utilisant la commande Annuler l’intégration du lien (un message demandera une confirmation pour recréer le lien avec le fichier original). Cette icône indique que l’image est incorporée au fichier InDesign. incorp
L A PRÉPARATION POUR L’IMPRIMEUR Si l’impression du document doit s’effectuer sur un ordinateur distant (celui de l’imprimeur), vous devez préparer tous les éléments nécessaires à cette opération : d’une part, les fichiers externes d’images, et d’autre part, les fichiers des polices. InDesign peut rassembler toutes ces données à partir de la commande Assemblage du menu Fichier. Quand on lance l’assemblage, cet avertissement s’affiche. a avert
Avant de réaliser cette opération, vous pouvez lancer la commande Contrôle en amont pour vérifier si des éléments sont manquants ou incorrects (résolution trop faible, profil ICC non adapté…). Ces différentes manipulations seront étudiées dans la partie consacrée à l’impression.
Si une image a été modifiée dans le programme dans lequel elle a été créée, un signe s’affiche. Vous pouvez en faire la . mise à jour en cliquant sur l’icône On p peut mettre à jour ces occurrences sélectionnées en ooccur occ urr cliquant ccliqua qua a t sur cette icône.
L A COPIE LIÉE DU FICHIER EXTERNE Le menu de la palette Liens propose la commande Copier le(s) lien(s) vers… qui permet, quand une ou plusieurs images sont sélectionnées, de placer une copie du fichier dans le dossier désigné et d’utiliser cette copie comme lien.
170
InDesign signale nale les problèmes de colorimétrie. co On peut contrôler les résolutions ne sont ns (les problèmes de résolutions réso ont pas signalés).
L A GESTION DES IMAGES
Les traitements d’images Les transformations Les transformations se répartissent en quatre catégories : la mise à l’échelle, la rotation, la déformation (ou inclinaison) et la symétrie. Elles s’effectuent par programmation depuis la palette Contrôle (ou Transformation), à partir du menu local de la palette, ou manuellement à l’aide d’un des outils de transformation de la palette Outils. Voici quelques rappels de leur étude (voir pages 66 à 71).
L’ÉTENDUE DE LA TRANSFORMATION N’oubliez pas que l’étendue de la transformation dépend de la nature de la sélection. Quand vous sélectionnez l’image avec l’outil Flèche blanche ou Position ( ), les modifications n’affectent que l’image ; quand le bloc est sélectionné avec l’outil Flèche noire, elles affectent le bloc seul si vous intervenez sur les cases L et H, et le bloc et son contenu avec une mise à l’échelle par les cases et (en %).
L A TRANSFORMATION PAR UN OUTIL DE TRANSFORMATION Dès que vous activez un outil de transformation (Mise à l’échelle , Rotation , Déformation ), une petite croix marque l’origine de la transformation. Par défaut, ce point se situe sur l’angle supérieur gauche du cadre de sélection. Vous pouvez le déplacer en le glissant (l’outil devient alors ) ou en cliquant sur l’un des neuf points de référence ( ) affichés dans la partie gauche de la palette Contrôle (ou Transformation).
LA TRANSFORMATION PAR LA PALETTE CONTRÔLE OU TRANSFORMATION Elle s’effectue à partir de différentes cases de la palette : – L et H (en mm) ou et (en %) pour les mises à l’échelle ;
–
pour les rotations ;
–
pour les inclinaisons.
Dans tous les cas, n’oubliez pas que l’étendue de la transforg ou bloc) ; en outre, mation dépend de la sélection (image choisissez d’abord le point d’origine de la transformation avant de changer les valeurs. Pour placer l’axe à l’extérieur du bloc, activez un outil de transformation afin de pouvoir le glisser. Si vous enfoncez ∏ [Alt] pendant les modifications et lorsque vous validez une valeur, vous créerez une ou plusieurs copies.
La transformation par incrémentation Quand l’une des quatre cases de mise à l’échelle est active, vous pouvez augmenter ou réduire (incrémenter) la valeur en cours de 1 mm ou de 1 % en tapant les touches Flèche vers le haut ou vers le bas (en ajoutant Ó, l’incrément sera de 10 mm ou de 10 %). Dans les deux cas, les valeurs sont arrondies à l’unité ou à la dizaine la plus proche. Si vous enfoncez ∏ [Alt] pendant les modifications, vous créerez une copie ; si la touche ¢ [Ctrl] est ajoutée, l’incrémentation devient homothétique (les cases et prennent des valeurs identiques même si l’option n’est pas active).
Les mises à l’échelle homothétiques Par exemple, pour obtenir une rotation centrée sur l’objet, cliquez sur le point central , mais pour le besoin de certaines transformations, vous pouvez aussi glisser l’origine n’importe où, voire à l’extérieur de la sélection. Quand l’origine est positionnée, écartez l’outil puis glissez-le pour démarrer la transformation. Avec Ó, la transformation s’effectue avec une contrainte (homothétie pour une mise à l’échelle, selon des angles de 45° pour une rotation, etc.). Pour contrôler les valeurs, utilisez les palettes Contrôle ou Transformation (voir ci-après). A STUCE Selon le réglage de la rubrique Performances d’affichage des préférences, après le placement de l’axe, si vous attendez une demi-seconde le réaffichage de l’objet avant de glisser l’outil, vous le verrez en permanence au cours de sa transformation (ou son déplacement).
Pour conserver les proportions du bloc (rapport L/H), saisissez la valeur de L et tapez ¢ ‚ [Ctrl ‚]. InDesign calcule automatiquement la valeur de H de façon à garder le rapport L/H constant. De la même manière, pour saisir des valeurs identiques dans les et , tapez la valeur voulue dans l’une d’elcases les et validez en tapant ¢ ‚ [Ctrl ‚]. Si vous tapez ∏¢ ‚ [Ctrl Alt ‚], il y aura copie. Pour la mise à l’échelle, vous disposez de deux techniques supplémentaires : il s’agit d’une part, de la mise à l’échelle par glissement d’une des poignées du cadre de sélection et d’autre part, de la mise à l’échelle par ajustement.
La mise à l’échelle par glissement Le tableau de la page suivante rappelle les différentes possibilités au niveau de la mise à l’échelle par glissement.
171
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 6
On a sélectionné Bloc (Flèche noire)
On agit sur
On a mis à l’échelle Le bloc seul (avec recadrage pour l’image) : le contenu n’est pas modifié (il disparaît ou apparaît). La transformation n’affecte qu’une seule dimension (avec une poignée latérale) ou les deux (avec une poignée d’angle). Avec Ó, il y a homothétie (on garde le rapport L/H).
Poignée
Quand on lâche, on a redimensionné le bloc seul (et dévoilé l’illustration).
On sé sélectionne le bloc avec l’outill Flèche Flèc ch noire, on presse sur la poignée, poig gn on attend puis on glisse (selon (sel on les préférences, le cadre de l’image l’im mag ou l’image s’affiche).
Bloc (Flèche noire)
Poignée + ¢ [Ctrl]
Le bloc et le contenu : la transformation n’affecte qu’une seule dimension ou les deux selon la poignée ; en ajoutant Ó, il y a homothétie. Attention : lors d’un glissement avec ¢ [Ctrl], le contour est mis à l’échelle. Quand on lâche, on a redimensionné le bloc et l’image (homothétiquement avec Ó)
On sélectionne sé le bloc avec l’outil Flèche noire, on pressee l’outi sur la poignée avec ¢ [Ctrl], on attend un peu puis on glisse.
Image (Flèche blanche ou outil Position)
L’image seule : on réduit (ou agrandit) l’image sur une seule dimension (poignée latérale) ou les deux (poignée d’angle). Avec Ó, il y a homothétie.
Poignée
O sélectionne On sé l’image avec ll’outil Position ou Flèche l’outi blanche, on presse sur la poignée,, b blan on puis on glisse. o attend at
Les changements de taille par ajustement L’ajustement par le menu Objet ou la palette Contrôle Avec un bloc d’image, quand le bloc ou son image sont sélectionnés, le sous-menu Ajustement (menu Objet ou contextuel) propose différentes mises à l’échelle (et un centrage) du bloc et de l’image. Commande
Action obtenue
Ajuster le L’image occupe tout le contenu bloc et prend ses dimenau bloc sions. Elle peut apparaître déformée.
Ajuster le bloc Le bloc devient un recau contenu tangle aux dimensions de l’image qui est alors parfaitement recadrée.
172
Exemple
Quand on lâche, on a redimensionné l’image seule.
Ces manipulations sont réalisables depuis les icônes de la palette Contrôle. Le tableau ci-dessous résume les différents cas.
On a sélectionné l’imagee dans son bloc pour utiliserr ces icône icônes.
Commande Ajuster le contenu proportionnellement
Action obtenue Force l’image dans le bloc homothétiquement. L’image n’occupe pas toujours tout le bloc, un centrage peut s’avérer utile.
Remplir le bloc Force l’image dans le bloc proportionnel- homothétiquement, une lement partie de celle-ci peut disparaître (centrage parfois utile).
Exemple
L A GESTION DES IMAGES Le centrage du contenu Cette option figure avec les icônes d’ajustement de la palette Contrôle et dans le sous-menu Ajustement (menu Objet ou contextuel). Elle ne modifie que la position de l’image ; celleci apparaît au centre du bloc.
On sélectionne sé le bloc et l’image dans ce on centre ce dernier avec cette icône. dern
La palette Informations indique la résolution réelle de l’image (celle à l’importation, sauf pour les images au format PDF) et sa résolution effective, c’est-à-dire celle obtenue après redimensionnement. Il est impératif que cette dernière ne soit pas trop faible pour ne pas risquer une impression de mauvaise qualité.
L’image initiale iale et l’l’image redimensionnée mensionnée manuellement ; attention, modifiée. ttention tention n, sa résolution réso s lutio so ut oon a été m od ée.
Les options d’ajustement Il s’agit d’une nouvelle option de la version CS3. Elle s’applique à un ou plusieurs blocs contenant une image ou à un bloc d’image vide. Dans ce cas, cela permet de prédéfinir la façon dont l’image s’ajustera et se positionnera dans le bloc quand elle y sera collée ou importée.
Les colorations L A COLORATION DE L’IMAGE BITMAP OU À NIVEAUX DE GRIS
La coloration ne peut se réaliser que sur les images à niveaux de gris ou au trait (bitmap ou noir et blanc). Cependant, les images TIFF et PSD ne doivent pas avoir de couche de transparence ou alpha ; pour les images EPS, l’option Gestion des couleurs PostScript doit avoir été activée à l’enregistrement. Ce changement de couleur s’effectue en trois étapes : Cette commande permet de prédéfinir l’ajustement et le positionnement de l’image dans le bloc.
L’ajustement bloc/contenu par double-clic Quand on double-clique sur une poignée d’un bloc, on ajuste la taille du bloc à celle du contenu. Les résultats diffèrent selon la poignée cliquée. Si on clique sur un angle, les deux dimensions sont modifiées alors qu’avec une poignée latérale, seule la hauteur ou la largeur sont ajustées (l’agrandissement du bloc s’effectue vers la droite et/ou le bas).
Avec une poignée latérale, la on change une dimension, change deux n, on en ch eux avec un angle. ang e.
1. Commencez par créer une nuance de couleur dans le Nuancier par son menu local et la commande Nouvelle couleur (par exemple, un Pantone). On ajoute ute une nuance. nuanc
2. Sélectionnez l’image avec l’outil Flèche blanche anche (ou p par clic sur l’icône de la palette Contrôle ou triple clic sur le bloc) : les poignées de sélection doivent apparaître avec la couleur complémentaire de celle du calque.
On sélectionne sé l’image (ici 1 bit) l’imag triple clic sur par tr bloc. le blo
LES MISES À L’ÉCHELLE ET LA RÉSOLUTION La mise à l’échelle d’une photo (élément bitmap) engendre un changement de sa résolution. Ainsi, une réduction de la taille provoque une augmentation de la résolution alors qu’un agrandissement de l’image réduit sa résolution.
173
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 6 3. Cliquez sur la couleur précédemment préparée, éventuellement réduisez-en la teinte : les niveaux de gris sont remplacés par la teinte de la nuance.
On applique ap ppliqu ue la couleur avec coule vec la teinte voulue. l
Le masque peut être préparé d de trois t i façons pour obtenir le détour détourage rage g cette image.
Le masque par détection des contours
LE CADRE D’UNE IMAGE Si vous souhaitez ajouter un cadre à un bloc, commencez par cliquer dessus avec l’outil Flèche noire pour le sélectionner. Activez la case Contour dans la palette Outils ou la palette Couleurs ( ), choisissez une couleur dans le Nuancier et définissez une épaisseur dans la palette Contour. Pour mieux voir le résultat, désélectionnez le bloc et lancez la commande Masquer les contours du bloc du menu Affichage.
Le masque de détourage Les détourages réalisés dans Photoshop par un masque de fusion donnent les résultats les plus précis ; InDesign permet également de créer un masque de détourage (de type vectoriel) ou de le manipuler.
L A CRÉATION DU TRACÉ DU MASQUE PAR IND ESIGN Si, dans Photoshop, vous n’avez pas créé de tracé défini en masque, vous pouvez le faire dans InDesign. Cette opération est possible dans les cas suivants : la zone à détourer se situe sur un arrière-plan uni blanc (ou de couleur très claire), l’image possède une couche alpha ou un tracé de détourage créé dans Photoshop (mais non appliqué). En effet, quand une image est sélectionnée, le menu Objet propose la commande Masque qui permet de créer un tracé vectoriel de détourage selon trois techniques : par détection des contours de l’image (si elle a un arrière-plan blanc), par une couche alpha ajoutée dans Photoshop, ou à l’aide du tracé préparé dans Photoshop.
Quand vous réglez le Type du masque sur Détection des contours, la fenêtre Masque affiche différents paramètres (Seuil, Tolérance, Bloc…) qui permettent de régler l’aspect du tracé de détourage ; l’option Aperçu facilite le travail. Le réglage du Seuil La valeur du Seuil varie de 0 pour les pixels les plus clairs à 255 pour les plus foncés. Cette valeur, saisie ou choisie par glissement du curseur, détermine quels pixels seront utilisés pour définir le masque. Si l’arrière-plan est très clair, réduisez la valeur par défaut, mais augmentez-la au contraire si le fond est un peu plus foncé. Cette augmentation peut entraîner une disparition des zones les plus claires de l’image situées à la périphérie. Si les pixels clairs qui devraient être visibles deviennent invisibles, c’est que le seuil est trop élevé. Le réglage de la Tolérance Pour une même valeur de Seuil, le réglage de la Tolérance permet d’obtenir un lissage du tracé en ajoutant au masque des pixels parasites plus foncés. Les valeurs sont comprises entre 0 et 10. Des valeurs de tolérance plus élevées créent généralement un masque plus grand avec des lignes plus douces (plus lisses). Des valeurs de tolérance trop faibles créent un masque moins fin contenant beaucoup de points, ce qui peut le rendre plus difficile à imprimer.
ASTUCE Pour obtenir une meilleure visualisation des réglages appliqués, avant de lancer la commande Masque, réglez l’affichage de l’image avec la qualité supérieure (clic droit sur l’image puis Performances d’affichage). À gauche, le détourage par défaut ; à droite, il a été amélioré en augmentant le Seuil et réduisant la Tolérance.
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L A GESTION DES IMAGES Le détourage intérieur
Le masque par la couche alpha
L’option Inclure les contours intérieurs rend transparentes les zones situées à l’intérieur du masque dont les valeurs de luminosité sont identiques à celles de l’arrière-plan à masquer. Cette option provoque la disparition (masquage) de toutes les parties de même couleur que le fond ; si vous souhaitez en conserver certaines, il est préférable de préparer le masque dans Photoshop.
Quand vous choisissez le masque de type Couche alpha, une liste de couches s’affiche. InDesign utilise l’une d’elles pour dessiner un tracé de détourage. Pour que le tracé corresponde le plus possible à la couche alpha, il faut réduire fortement les valeurs Seuil et Tolérance.
Le décalage du tracé Malgré les réglages des valeurs de Seuil et de Tolérance, il peut subsister un liseré de couleur claire autour de l’image détourée. C’est le réglage de la case Bloc de la commande Masque qui permettra de l’éliminer. La valeur de Bloc définit le rétrécissement du tracé afin de rendre invisibles les pixels périphériques qui n’ont pas été éliminés par les valeurs Seuil et Tolérance (qu’il faudra parfois réajuster), et qui seraient visibles sur un arrière-plan sombre. Si vous entrez une valeur négative, le tracé s’écarte de l’image détourée : le bloc obtenu devenant plus grand, une bande claire entoure l’image.
Avec cette option, on peut choisir une des couches alpha créées dans Photoshop.
Cee type de déto détourage u implique une réduction duction du Seuil Seeu et de la Tolérance.
À gauche, le détourage avec l’option Inclure les contours intérieurs. À droite, on a désélectionné le bloc pour mieux voir. En augmentant encore la valeur de Bloc, c, on peut affiner le masque. ue.
L’inversion du masque Sélectionnez l’option Inverser pour intervertir les zones visibles et les zones transparentes. Cette option peut être utile si vous souhaitez détourer un objet clair sur un fond uni de couleur sombre. L’image haute résolution Cette option (cochée par défaut ) permet une précision maximale. Désélectionnez-la pour tracer le masque à partir de la doublure : cette méthode est plus rapide mais moins précise.
ATTENTION Si la couche possède des zones de fondu (elles étaient grises dans Photoshop), elles disparaissent ; en effet, un masque vectoriel ne peut faire qu’un détourage net.
Comme signalé précédemment, dans une image enregistrée au format natif PSD, un détourage réalisé dans Photoshop par un masque de fusion donne des résultats plus précis ; il permet, en outre, d’avoir des zones de transparence partielle (zone de fondu).
Le masque par le tracé Photoshop Si vous importez une photo en cochant l’option Appliquer le masque Photoshop, InDesign active automatiquement le masque de type Tracé Photoshop dans la fenêtre Masque et choisit le tracé défini en masque dans Photoshop. Si vous n’avez pas coché Appliquer le masque Photoshop, vous pouvez établir le détourage avec ce tracé dans la fenêtre de Masque en sélectionnant le type Tracé Photoshop puis le tracé voulu.
175
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 6 Vous pouvez également y choisir un autre tracé si vous en avez préparé dans Photoshop. Avec ce type de masque, il n’y a pas de réglage de seuil ou de tolérance puisque c’est le tracé Photoshop qui est directement utilisé.
Le tracé acé réalisé dans dan Photoshop donne ne un masque de très rès bonne qualité dans InDesign.
LES MANIPULATIONS DU MASQUE
La conversion du masque en bloc Si vous avez créé un tracé de détourage défini en masque dans Photoshop (voir page 159) puis importé l’image avec l’option Appliquer le masque de Photoshop ou si vous avez fait dessiner ce tracé par InDesign (à partir des contours, d’une couche ou d’un tracé), vous pouvez le convertir en bloc ayant la forme du tracé et dans lequel l’image apparaîtra détourée. Ce bloc correspondant au détourage (et rempli de l’image détourée) constitue un bloc imbriqué dans le bloc initial de l’image complète. Pour réaliser cette conversion, effectuez un clic droit sur l’image sélectionnée pour afficher le menu contextuel et lancez la commande Convertir le masque en bloc. InDesign crée alors un bloc à partir du tracé de Photoshop dans lequel l’image apparaît détourée. Par la suite, il est possible de supprimer l’image et de colorer le bloc (voir plus loin).
Le travail du masque En plus de l’outil Sélection directe (Flèche blanche), il est possible de retravailler le tracé du masque avec les différents outils de dessin vectoriel : Plume, Plume +, Plume – et Conversion ou, mieux encore, l’outil Crayon et l’outil Arrondi. Par exemple, si vous constatez qu’une zone de l’image a disparu, vous pouvez éliminer la partie de tracé correspondante en cliquant sur les différents points qui la composent avec l’outil Plume – ( ) jusqu’à ce qu’ils soient tous supprimés ; de la même manière, par glissements de l’outil Crayon sur le tracé ou par glissement d’un point sélectionné avec l’outil Flèche blanche, vous pouvez ajuster certaines parties du masque de façon à faire apparaître ou disparaître une zone de l’image mal détourée.
On a converti lee masque en bloc, on peut supprimer mer l’image et colorer le blocc ou lui affecter un contour. c
L’annulation du masque Quand vous avez converti le masque en bloc, il est possible de retrouver l’image sans détourage en utilisant le sousmenu Ajustement du menu Objet et la commande Ajuster le bloc au contenu (ou l’icône correspondante de la palette Contrôle). S’il s’agit d’une image détourée par la commande Masque, c’est en relançant cette commande avec le type Sans que vous retrouverez l’image entière.
L’image ge sans masque et ici, avec un masque par détection d de contours. des imperfections ours. Il présente p perfections que l’on peut p pe éliminer.
LES MANIPULATIONS D’UNE IMAGE DANS LE BLOC OBTENU PAR CONVERSION DU MASQUE
Lorsque vous sélectionnez un objet avec l’outil Flèche noire, le cadre de transformation est muni de huit poignées de la couleur du calque. Lors d’une sélection avec l’outil Flèche blanche, si c’est le tracé qui est sélectionné (par ¢ clic [Ctrl clic] ou clic sur le bord de l’image détourée), on voit des points d’ancrage et un tracé de la couleur du calque (il suit le contour de l’image). Si c’est l’image qui est sélectionnée, il y a huit poignées autour d’un cadre de sélection qui a la couleur complémentaire du calque (attention, avec les deux dernières sélections, on voit la main à l’intérieur du bloc).
176
L A GESTION DES IMAGES
A STUCE Si vous avez un doute quant à la nature de la sélection (bloc ou image), affichez la palette Effets. Si elle affiche une liste démarrant par Objet, c’est qu’il s’agit de la sélection du bloc. Si cette liste ne comporte que Graphique, c’est que vous avez réalisé la sélection de l’image.
A STUCE Attendez un instant avant de glisser la poignée, vous visualiserez comment va s’effectuer la transformation.
Ici, on a attendu avant de glisser on voit que l’image la poignée, po n’est pas p transformée.
La suppression de l’image
Sélection n du bloc ((Flèche noire), sélection ction du tracé (Flèche blanche). Dans les deux ( bl eux cas, la palette Effets l ff affiche cette liste. Sélection de l’image, g la palette montre ceci.
Pour supprimer une image figurant dans un bloc de détourage, sélectionnez-la avec l’outil Flèche blanche ou l’outil Position et tapez la touche Efface : le bloc se vide et une croix apparaît. Vous pouvez alors sélectionner le tracé pour lui affecter une couleur de fond ou lui attribuer un contour. Ce type de manipulation vous permet de réaliser un bloc de forme particulière à partir de l’importation d’une image détourée.
Les redimensionnements On sélectionne tionne l’image et e on efface, on obtient ceci. ecci.
Quand une image se situe dans un bloc créé à partir du masque, il est nécessaire de prendre certaines précautions pour changer la taille de l’ensemble. D’une part, veillez à faire une sélection avec l’outil Flèche noire ; en effet, avec l’outil Flèche blanche, vous risquez de ne sélectionner et ne modifier que l’image sans toucher au tracé. D’autre part, si vous effectuez une modification par glissement des poignées, prenez soin d’enfoncer la touche ¢ [Ctrl] pour déformer ensemble image et tracé (avec Ó, vous conserverez les proportions).
L’importation dans un bloc de détourage Qu’il contienne ou non une image, il est possible de placer une nouvelle image dans un bloc de détourage obtenu par conversion du masque. Cette opération peut s’effectuer par simple importation après la sélection du bloc avec l’outil Flèche noire ou la commande Coller dedans du menu Édition. Il est possible de placer une image comportant également un tracé de détourage, voire de ne conserver que son tracé.
Ce blo bloc a été transformé mé sans et avec ave la touche ¢ [Ctrl]. Ctrl].
On peut colorer rer le bloc, oou le remplir d’une image.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 6
Le bloc à partir du masque pour un vernis Pour définir une zone de vernis sur l’image, effectuez les opérations suivantes : 1. Réalisez une copie du bloc d’image.
2. Sur cette copie, créez le tracé de détourage à partir d’une couche, par exemple, ou autre (commande Masque du menu Objet).
3. Lancez la commande Convertir le masque en bloc pour obtenir le bloc ayant la forme de la zone à vernir.
La copie de l’image et le bloc coloré. ré. Avec Aveec cettee option, oopttion, tion à l’impression, il y aura création d’une ’une zone z verni vernie.
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4. Supprimez l’image. 5. Colorez le bloc avec un ton direct et affectez-lui l’option Surimpression du fond dans la palette Options d’objet ; vous pouvez créer un style d’objet pour le réutiliser sur d’autres images. À l’impression des séparations, le ton direct définira la zone vernie.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
7 La typographie dans InDesign
Les préliminaires Ce chapitre concerne les caractères, les paragraphes, les tabulations, les approches, les coupures de mots…, en bref, tous les attributs typographiques d’un texte. Ils sont accessibles soit par les commandes du menu Texte, soit par les palettes Contrôle ou Caractère et Paragraphe, ou encore Styles de caractère et Styles de paragraphe.
Les textes sélectionnés ou non
– Par ratissage : placez le curseur d’insertion devant le premier caractère, pressez et glissez la souris jusqu’au dernier caractère.
L A SÉLECTION AVEC L’OUTIL TEXTE ET LE CLAVIER Enfoncez Ó et utilisez les touches de déplacement pour sélectionner le texte. Le tableau suivant vous indique les sélections obtenues.
Pour être traité, un texte doit être sélectionné. Selon l’étendue de la zone à traiter, la sélection peut être réalisée avec l’outil Flèche ou avec l’outil Texte (dans ce cas, il apparaît en surbrillance). Pour désélectionner un texte, vous devez cliquer dedans (ou taper une des touches fléchées). Voici les différentes façons de sélectionner un texte.
Ó+
L A SÉLECTION DU BLOC AVEC L’OUTIL FLÈCHE
Ó+
Pour changer la typographie de tout le texte d’un bloc, sélectionnez-le avec l’outil Flèche puis activez l’outil Texte. Si le bloc est chaîné vers un autre, il faudra d’abord le déchaîner pour que tout l’article soit modifié puis rechaîner après modification.
L A SÉLECTION PAR LE MENU ÉDITION Pour sélectionner le texte complet, cliquez dans le bloc avec l’outil Texte et utilisez la commande Tout sélectionner du menu Édition ou encore ¢ A [Ctrl A].
L A SÉLECTION AVEC L’OUTIL TEXTE ET LA SOURIS L’outil Flèche devient l’outil Texte par double-clic dans le bloc, la sélection peut alors se réaliser de plusieurs façons :
– Par clics multiples : pour sélectionner un mot, doublecliquez dessus ; pour une ligne, faites trois clics et quatre pour un paragraphe (cinq pour la totalité).
– Par Ó clics : cliquez devant le premier caractère à sélectionner, enfoncez Ó et cliquez derrière le dernier carac-
Touches utilisées (ou
)
Ó + ¢ [Ctrl] + (ou
Sélection obtenue Un caractère à droite (ou à gauche).
(ou
)
Jusqu’au début de la ligne (ou jusqu’à la fin de la ligne).
)
(début ou fin)
Ó+
(ou
Un mot à droite (ou à gauche).
Une ligne au-dessus (ou en dessous).
)
Jusqu’au début du paragraphe précédent (ou suivant).
Ó + ¢ [Ctrl] +
(ou
)
Ó + ¢ [Ctrl] +
(ou
) Fin (ou début) d’article.
Vous pouvez combiner la sélection au clavier et à la souris en gardant enfoncée Ó ; en revanche, la sélection ne peut être que continue (texte consécutif). La sélection au clavier peut s’effectuer sans voir le texte à sélectionner. Par exemple, pour sélectionner depuis un paragraphe de la page en cours jusqu’à la fin de l’article (situé plusieurs pages plus loin), cliquez devant le premier paragraphe de la sélection, enfoncez Ó¢ [Ó Ctrl] et tapez la flèche fin . I NFO . Quand vous réalisez une sélection dans un bloc puis en activez un autre, cette sélection disparaît quand vous revenez dans le premier bloc : InDesign n’a pas gardé la sélection.
tère à sélectionner.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
LES ATTRIBUTS PAR DÉFAUT Si aucun texte n’est sélectionné, mais que le point d’insertion clignote, les modifications de caractères s’appliqueront au texte que vous saisirez par la suite ; celles de formatage de paragraphes s’appliqueront au paragraphe dans lequel se trouve le point d’insertion et au texte que vous taperez après ce point. Si aucun bloc de texte n’est actif, les attributs choisis deviennent les attributs par défaut et s’appliqueront dans les futurs blocs de texte créés. D’une manière générale, si vous lancez une commande ou si vous choisissez un attribut typographique et que le texte ne change pas d’aspect, c’est que vous avez oublié de sélectionner le texte.
Si vous effectuez les saisies sur InDesign, il est conseillé, quand cela est possible, de choisir les attributs avant de commencer la saisie ; vous éviterez ainsi des problèmes de sélection.
L’automatisation avec les styles Les opérations de formatage du texte peuvent être automatisées. Vous utiliserez pour cela des styles ; ceux-ci contiennent un ensemble d’attributs de caractère et/ou de paragraphe qui s’appliqueront aux caractères sélectionnés ou au paragraphe entier. Avant de créer des styles, nous allons passer en revue les différentes commandes utiles à leur réalisation.
Les caractères Que le texte soit importé ou saisi directement dans InDesign, vous pouvez modifier les attributs de ses caractères, c’est-à-dire :
– la police : dessin du caractère (gras et italique) ; – le corps : taille du caractère ; – l’interligne : distance entre les lignes de base(1) de deux lignes consécutives ; – le style du caractère : type de lettre (bas-de-casse, capitale…), position (normal, exposant…), barré, souligné ;
– le crénage : espacement entre deux lettres ; – l’approche : espacement entre les caractères ; – l’échelle horizontale ou verticale : caractère étroitisé ou élargi ;
– l’inclinaison ; – le décalage vertical : position du pied de la lettre par rapport à la ligne de base du texte ;
– les attributs de coloration.
(1) La ligne de base est la ligne (invisible) sur laquelle reposent les caractères sans jambage inférieur (a, c, e, o…).
Palette Contrôle : option Caractère Corps Police
Style tyle
p Exposant Soul g é Capitale Souligné
Petite Barré P tite Ba rré Interligne lign i e capitale c pitale Indice Ind diice
Crénage Échelle verticale
Décalage D écalage A Approche vvertical rtical
Palette Caractère et son menu
Police Style orps Corps Crénage calee Échelle verticale Décalage
180
Interl Interligne Appr A Approche É h lle Échel l horizontale ho Échelle IInclin li Inclinaison Langue Langue
Échelle horizontale
Inclinaison clinaison
Styles de caractère
Langue Bridge ridg gee g
Application rapide p
Menu Me eenu
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Les attributs typographiques Quelques attributs (Police, Taille) peuvent être modifiés à partir du menu Texte. Tous peuvent être réglés à partir de la palette Caractère ou mieux encore à partir de la palette Contrôle (avec l’outil Texte actif, voir page précédente) ; ces attributs se situent sur la partie gauche de la palette quand l’option est active, alors qu’ils sont après les attributs de paragraphe quand c’est l’option qui est active. Selon la taille de votre écran, la palette Contrôle peut montrer la totalité des attributs de caractère et de paragraphe. Si ce n’est pas le cas avec votre écran, vous pouvez, à l’aide du menu local de la palette Contrôle, choisir les éléments qui doivent rester affichés de manière à voir simultanément les attributs de caractère et ceux de paragraphe que vous utilisez le plus fréquemment.
Les polices TrueType (TT) Ce type de police n’est constitué que d’un seul fichier renfermant la description mathématique de la police — elle permet l’affichage lissé des caractères et leur impression sur les tous types d’imprimantes principalement non PostScript. Les imprimantes PostScript (flasheuses notamment) doivent effectuer la « traduction du TrueType », ce qui n’est pas toujours réalisable ou ralentit l’impression. ASTUCE Si une police PostScript de même dessin (et nom) qu’une police TrueType est installée sur votre ordinateur, utilisez de préférence la police PostScript : elle se repère par l’icône (l’icône correspond à la police TrueType).
Les polices PostScript (T1) La catégorie Type 1 est la plus courante des polices PostScript. Chacune d’elles comporte deux éléments : l’un, bitmap, permet l’affichage (écran et menus déroulants) ; l’autre, vectoriel, est utilisé à l’impression — il contient la description PostScript qui est téléchargée vers l’imprimante PostScript si les polices n’y sont pas résidentes. La plupart des programmes Adobe sont fournis avec des polices PostScript ; utilisez-les en remplacement des polices TrueType.
Les polices OpenType (OTF) Par défaut, la palette Contrôle affiche tous les attributs de caractère et de paragraphe ; s’il le faut, certains peuvent ne pas être masqués.
La police LES POLICES VECTORIELLES InDesign utilise principalement des polices vectorielles ; on en distingue trois types : TrueType, PostScript et OpenType. I NFO . InDesign affiche un aperçu des polices dans les menus où elles figurent (sauf le menu contextuel) ; la taille de l’aperçu est réglable dans les préférences, rubrique Texte.
InDesign affiche un aperçu des polices dans les menus où elles figurent.
Les polices OpenType (icône ) contiennent davantage de glyphes (ou signes) que les autres polices (TrueType ou T 1). Pour les gérer, InDesign propose la palette Glyphes (menu Texte) qui permet d’afficher les glyphes d’une police OpenType par catégories. Une police OpenType, étant constituée d’un jeu étendu de caractères (reposant sur la norme universelle de codage Unicode) et de fonctions de mise en pages (lettre ornée, fraction…), apporte une plus grande liberté linguistique et une meilleure précision typographique. Une police OpentType garantit une compatibilité multi-plates-formes car le fichier d’une telle police est compatible avec les ordinateurs Macintosh et Windows.
LES POLICES BITMAP À l’instar des images, il s’agit de polices dessinées point par point et non par des fonctions mathématiques comme les polices vectorielles. Ce type de police n’a qu’un intérêt restreint ; en effet un agrandissement de leur corps risque de faire apparaître des escaliers et elles peuvent poser certains problèmes lors du flashage. Utilisez de préférence les polices vectorielles. Quand vous utilisez une police bitmap, InDesign affiche un message pour préciser que certaines fonctions ne seront pas disponibles.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
L’AFFECTATION D’UNE POLICE Pendant une saisie ou lorsque vous sélectionnez du texte, InDesign vous indique, dans la palette Caractère, la police utilisée. Si le texte sélectionné comporte plusieurs polices, rien ne sera mentionné. Il y a plusieurs façons d’appliquer une police à un texte, mais quelle que soit la méthode utilisée, vous devez impérativement sélectionner le texte (ou le bloc si la totalité de son contenu est concernée).
Quand le document sera terminé, la commande Assemblage permettra de créer une copie des polices pour les donner au flasheur afin qu’il imprime correctement votre document.
Avec le menu Texte et le sous-menu Police Déroulez le menu Texte jusqu’à la commande Police, puis, choisissez la police et le style qui vous conviennent ; la police en cours d’utilisation est cochée. A STUCE Vous pouvez choisir la police (et d’une manière générale, tous les attributs) avant de taper le texte. Celui-ci apparaîtra directement dans la police choisie.
Le contrôle en amont permet de lister les es polices présentes p dans le document et d’en connaître aître le type. typ
LES POLICES SUBSTITUÉES Avec les palettes Contrôle ou Caractère De la même manière, cliquez sur le triangle à droite du nom de la police dans les palettes Contrôle ou Caractère. Choisissez une police dans la liste. Sélectionnez ensuite le style de cette police (regular, bold, italic, etc.). Vous pouvez aussi taper le nom de cette police après avoir fait un double-clic sur le nom de l’ancienne.
O choisit la police On pol puis le l style.
A STUCE Si un bloc de texte est sélectionné ou lorsque des caractères sont sélectionnés, vous pouvez visualiser le texte du bloc dans les différentes polices en cliquant dans la case Police et en tapant les touches Flèche vers le haut ou vers le bas.
Si vous ouvrez un document ayant une police non installée dans le système, un message vous avertit et propose de choisir une police de substitution. Vous pouvez ainsi continuer à travailler ; les caractères affichés avec une police de substitution sont mis en évidence (surbrillance rose) sauf si vous désactivez la case Polices substituées dans la fenêtre des Préférences, rubrique Composition (menu InDesign [Édition]).
Les polices remplacées seront visualisées avec ec cette option. opti
Si vous sélectionnez un texte contenant une police manquante, celle-ci s’affiche entre crochets dans la palette Contrôle ou Caractère.
Le corps ou la taille des caractères LE CHANGEMENT DE CORPS
LES POLICES UTILISÉES Dans une composition, il faut connaître les polices qui ont été utilisées afin d’en communiquer la liste au flasheur, de les dénombrer ou, éventuellement, de les remplacer par d’autres. Pour cela, activez dans le menu Fichier la commande Contrôle en amont : InDesign indique la liste des polices du document à la rubrique Polices. Le type de la police est également mentionné ; le cas échéant, vous pourrez remplacer certains types de police par d’autres pour éviter des problèmes à l’impression.
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Le corps d’un caractère correspond à son encombrement vertical. Il comprend l’œil de la lettre (partie visible) augmenté des talus de tête et de pied (invisibles). Les talus et les œils n’ont pas les mêmes valeurs d’une police à l’autre ; ainsi, pour un même corps, certaines polices ont un encombrement plus faible (notamment les polices scripts). Ces quatre textes ont le même corps.
Times
Arno Pro
Caflisch Script Pro
Big Caslon
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Le menu Texte et le sous-menu Taille Vous pouvez choisir un corps compris entre 0,1 point et 1 296 points (à 0,001 point près !) quelle que soit la police utilisée. Des valeurs prédéfinies sont accessibles directement dans la liste des Tailles du menu Texte. Pour les autres valeurs, choisissez l’option Autre du sous-menu Taille : elle affiche la palette Caractère en activant la case Corps ( ) de cette dernière.
Le réglage du corps par les palettes Contrôle ou Caractères À partir de ces palettes, pour changer le corps vous pouvez :
– dérouler le menu local
(celui-ci affiche une liste de valeurs ; celles du menu Texte) et choisir une des valeurs ;
– cliquer dans la case et taper les touches Flèche vers le haut (ou vers le bas) : l’incrément est de 1 pt (10 avec Ó) ; – activer la case en cliquant sur , entrer une valeur et la valider : ‚ (Retour [Entrée] ou ^ (Entrée clavier num.) [‚ (Entr. clavier num.)]. La valeur sera testée en tapant Ó ‚ ou Ó^ [ÓEntrée] (la case reste active pour recevoir une valeur).
Le réglage par le menu contextuel Si vous avez sélectionné un texte (ou même cliqué dans un bloc de texte) avec l’outil Texte, vous pouvez utiliser le menu contextuel (clic droit) pour changer la taille des lettres.
Le changement de corps au clavier Il existe des raccourcis pour augmenter ou réduire le corps ; l’incrément est défini pour le document actif dans la fenêtre des préférences Unités et incréments (menu InDesign ou [Fichier]). Les raccourcis peuvent être modifiés par le menu Édition puis Raccourcis clavier.
Ó¢; [ÓCtrl ;] pour augmenter le corps (× 5 avec ∏ [Alt]).
A STUCE Après une modification du corps, vous pouvez retrouver la valeur initiale en utilisant Effacer tous les remplacements du menu contextuel : cette commande supprime toutes les modifications appliquées au texte (police, style, corps…).
L’interligne L’interligne est la distance qui sépare une ligne de base(1) de celle qui la précède. Il existe deux types d’interligne : l’un est automatique (il est relatif au corps), l’autre a une valeur absolue (non liée au corps). ASTUCE Dans XPress, l’interligne est un attribut de paragraphe, dans InDesign, c’est un attribut de caractère. Il est possible de changer l’interligne d’une ligne sans que cela affecte les autres lignes du paragraphe. Si vous préférez que l’interligne affecte systématiquement toutes les lignes du paragraphe, cochez l’option Appliquer l’interligne à l’ensemble du paragraphe dans les préférences à la rubrique Texte.
L’interligne auto Par défaut, InDesign fixe l’interligne en fonction du corps le plus grand dans la ligne : c’est l’interligne automatique. Sa valeur (modifiable dans la fenêtre Justification à laquelle on accède par le menu local de la palette Paragraphe) est égale à 120 % du corps le plus grand (dans la ligne). Par exemple, pour un texte en corps 12 pt, l’interligne est de 14,4 pt (12 + 20 % de 12, soit 12 + 2,4). Si, dans une ligne de texte, vous augmentez le corps d’un caractère, InDesign ajuste l’interligne sur la taille de ce caractère (120 % de son corps). Il y aura un décalage par rapport aux autres lignes du paragraphe. La valeur de l’interligne automatique est indiquée entre parenthèses dans la case d’interligne de la palette Contrôle ou Caractère.
Ó¢, [Ó Ctrl ,] pour le réduire (× 5 avec ∏ [Alt]). Le rac raccourci clavier est lié à la valeur spécifiée dans les spéci préférences. éfé
LES UNITÉS DE CORPS Les valeurs peuvent être saisies en précisant une unité autre que le point (pour mémoire : po pour pouce, p pour pica et mm pour millimètre). Par ailleurs, InDesign accepte les valeurs combinées du genre : 10 + 4 pour obtenir 14 points, ou même 10 + 2 mm pour obtenir un corps de 10 points augmenté de 2 millimètres. Si vous désirez doubler la valeur d’un corps, vous pouvez utiliser le signe de multiplication (*) ; pour le réduire de moitié, utilisez le signe de division (/).
Le réglage de l’interligne automatique.
L’interligne absolu L’interligne automatique n’est intéressant que si tout le texte est uniforme ; dès qu’il y a différentes valeurs de corps, il est préférable de fixer l’interligne sur une valeur non relative à une taille de caractère ; on parle alors d’interligne absolu. (1) La ligne de base est la ligne (invisible) sur laquelle reposent les caractères sans jambage inférieur (a, c, e, o…).
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
ATTENTION Pour le régler, sélectionnez le paragraphe complet (par 4 clics). Si vous vous contentez de cliquer dans le paragraphe, aucune modification n’apparaîtra dans le texte ; de même, si vous ne sélectionnez qu’un mot (par un doubleclic), seule la ligne contenant ce mot sera modifiée.
LES STYLES DE POLICE Leur nombre varie en fonction de la famille de police. Le choix s’effectue à partir du menu Texte et son sous-menu Police, à partir des palettes Contrôle ou Caractère et de leur case Style (sous la case Police), ou au clavier pour les plus courants :
Ó¢B [ÓCtrl B] pour le style Bold ou Gras ; ASTUCE Pour régler l’interligne de manière identique sur l’ensemble du paragraphe (comme dans XPress), cocher l’option Appliquer l’interligne à l’ensemble du paragraphe dans la rubrique Texte des Préférences (¢ K [Ctrl K]).
Ó¢I [ÓCtrl I] pour le style Italique ou Oblique ; Ó¢Y [ÓCtrl Y] pour le style Roman ou Regular.
L nombre de sty Le styles dépend de disponibles dépe dispo police choisie. la po
Cochez cette ette option optio tii n si vous v souhaitez avoir un réglage d’interligne ’interligne par paragraphe.
Pour définir les valeurs d’interligne absolu, vous pouvez utiliser la palette Contrôle ou Caractère ou des touches du clavier. L’interligne par les palettes Contrôle ou Caractère À la rubrique Interligne ( ), vous pouvez :
A STUCE Après un changement de style des caractères, pour retrouver le texte initial, utilisez Effacer tous les remplacements du menu contextuel : cette commande supprime toutes les modifications (il y a réinitialisation sur le style de paragraphe s’il y en a eu un d’appliqué).
– dérouler le menu local
: celui-ci affiche une liste de valeurs (une coche devant Automatique indique que c’est l’interligne appliqué au texte) ;
– cliquer dans la case et taper les touches Flèche vers le haut (ou vers le bas) : l’incrément est de 1 pt (10 avec Ó) ; – entrer une valeur dans la case et la valider (‚ ou Ó‚). L’interligne au clavier Pour augmenter ou réduire l’interligne directement au clavier par incrément prédéfini — avec le même que pour les corps (2 pt par défaut, réglable dans les préférences) —, tapez une fois ou davantage :
∏
[Alt
] (flèche vers le haut), pour réduire l’interligne ;
∏
[Alt
] (flèche vers le bas), pour l’augmenter.
L’incrément est multiplié par 5 en ajoutant ¢ [Ctrl]. ASTUCE Pour retrouver l’interligne automatique, vous pouvez taper Ó∏¢ A [Ó Alt Ctrl A].
L’aspect des caractères Il faut distinguer les styles de caractère correspondant à des variations dans une famille de police (gras, italique, etc.) et les styles particuliers (capitale, souligné, etc.).
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LES ATTRIBUTS PARTICULIERS Ils sont au nombre de six, on y accède directement par la palette Contrôle : Tout en capitales , Petites capitales , Exposant , Indice , Souligné et Barré . On peut également affecter ces attributs à partir du menu local de la palette Caractère. Pour annuler l’effet, cliquez à nouveau sur l’icône de l’attribut affecté dans la palette Contrôle ou déroulez de nouveau le menu de la palette Caractère pour décocher l’option ou encore tapez le raccourci donnant le style de caractère normal, par défaut : Ó¢ Y [ÓCtrl Y].
Le passage de capitale à minuscule Si vous avez saisi (ou importé) un texte avec des capitales (majuscules), vous pouvez modifier l’aspect du texte pour qu’il apparaisse en bas-de-casse (minuscules) ou avec une capitale sur la première lettre de chaque mot ou au début de la phrase. Cette opération s’effectue sur le bloc entier s’il est sélectionné avec l’outil Flèche ou sur une partie du texte s’il est sélectionné avec l’outil Texte, à l’aide du sous-menu Modifier la casse du menu Texte (ou menu contextuel). Celui-ci propose des options qui fonctionnent indifféremment à partir d’un texte en capitales ou en bas-de-casse. On change l’aspect de la saisie avec ces commandes.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Les réglages des styles Exposant, Indice et Petites capitales Certains styles, Exposant, Indice et Petites capitales, sont réglables en pourcentage du corps par l’intermédiaire de la rubrique Texte avancé des Préférences (menu InDesign [Édition]). Les ré réglages dans les préférences (rubrique préfé Texte avancé).
Vous pouvez également soit créer des styles de caractère (voir plus loin) ayant le type de soulignement souhaité. Vous pourrez ainsi affecter aux textes déjà saisis ou importés, soit effectuer des transferts d’attributs de soulignement d’un texte vers un autre en utilisant la pipette. Lorem ipsum Lorem ipsum Lorem ipsum Soulignement de base et soulignements personnalisés.
ASTUCE Les options de soulignement peuvent être détournées (surtout dans des styles de caractère) pour créer des effets typographiques particuliers (voir également la partie sur les textes tabulés page 231).
Les réglages du soulignement L’aspect du soulignement peut être défini en couleur, en épaisseur… L’opération s’effectue via la commande Options de soulignement du menu local de la palette Contrôle (ou Caractère).
Utili cette Utilisez tt commande d pour créer un souligné particulier.
Pour créer un texte de type noir au blanc : saisissez un texte, colorez-le (en blanc) et affectez-lui un souligné dont vous avez changé la couleur et augmenté l’épaisseur pour que le trait couvre tout le texte une fois le décalage modifié (avec une valeur négative, voir ci-dessous). Petit texte comportant orr tan an a nt un noir au blanc dans da d ns une ligne du paragraphe. agraphe.
Pour ou obtenir o ceci, on a préparé soulignement comportant un so type de trait particulier un typ (avec extrémités arrondies).
Cette commande affiche une fenêtre dans laquelle vous pouvez spécifier :
– la graisse (ou épaisseur) ; – le type : ceux des traits (continu, double, pointillés) ; – la couleur : si vous choisissez une autre que celle du texte, la teinte devient modifiable ;
– le décalage : c’est la position verticale du soulignement.
Les réglages du texte barré Par défaut, le trait qui barre le texte a la couleur du texte et se trouve au centre de ce dernier. L’aspect de cette barre peut être modifié : l’opération s’effectue via le menu local de la palette Contrôle (ou Caractère). La commande Options de texte barré affiche une fenêtre (identique à celle du soulignement) dans laquelle vous pouvez spécifier : la graisse, le type (les mêmes que ceux des traits), la couleur (et la teinte) et le décalage.
La fenêtre de réglages du soulignement.
Quand vous réglez le soulignement, les modifications ne s’appliquent qu’à la sélection. Si vous souhaitez définir un soulignement par défaut, désélectionnez tous les blocs, activez l’attribut Souligné puis réglez le soulignement dans le menu local, enfin désactivez l’attribut Souligné. Le prochain texte que vous saisirez et auquel vous affecterez l’attribut Souligné aura l’aspect défini dans la fenêtre Options de soulignement.
Texte comportant ortan t t des tan des de e mots barrés da dans d dan ans une ligne du paragraphe. agraphe.
Pour obtenir o ceci, on a préparé type de texte barré dans le un typ menu de la palette Contrôle.
INFO. Avec un texte barré, le trait se trouve au premier plan alors qu’il est à l’arrière-plan dans le cas d’un soulignement. Vous pouvez demander la surimpression d’un texte barré.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
Les approches L’APPROCHE DE PAIRE OU CRÉNAGE Cette fonction permet d’ajuster l’espace entre deux lettres : on l’appelle le crénage. En effet, certaines paires de lettres nécessitent parfois d’être rapprochées (ou écartées) l’une de l’autre. Cet ajustement peut s’effectuer manuellement ou automatiquement.
Vous pouvez alors dérouler le menu local et choisir une valeur dans la liste ; ou taper les touches Flèche vers le haut ou vers le bas (la modification est de 10 unités par frappe, et 25 avec Ó), ou entrer une valeur dans la case et la valider (‚ ou Ó ‚). Si la valeur d’approche est positive, les caractères s’écartent, si elle est négative, ils se rapprochent.
Les crénages automatiques métrique et optique Par défaut, le texte est réglé avec un crénage automatique, c’est-à-dire qu’InDesign utilise les valeurs d’approche de paire préconisées par le dessinateur de la police. Celles-ci sont intégrées dans la police afin d’obtenir des ensembles plus harmonieux lorsque certaines paires de lettres sont associées. La case de crénage ( ) de la palette Contrôle ou Caractère indique que le crénage automatique est actif par le terme Métrique. Si vous cliquez entre deux lettres, la case indique la valeur d’approche entre les deux lettres.
Le crénage ge automa matique est activé. é.
La a valeur de crénag crénage optique.
Le crénagee a été personnalisé.
I NFO . L’unité d’approche est le 1/1 000 de cadratin (le cadratin est un carré dont la largeur est égale à la force du corps utilisé). Sur XPress, l’unité est 5 fois plus grande.
Il est également possible de travailler l’approche de paire directement au clavier. L’incrément de modification (par défaut, 20) se règle dans la case Crénage de la rubrique Unités et incréments (des Préférences, ¢ K [Ctrl K]) — il peut être intéressant de choisir un crénage de 5.
∏
[Alt
] (flèche à droite), pour écarter les caractères ;
∏
[Alt
] (flèche à gauche), pour les rapprocher.
En ajoutant ¢ [Ctrl], l’incrément est multiplié par 5. Le rac raccourci clavier est lié à la valeur spécifiée dans les spéci préférences (ici, elle préfé a été réduite).
La va valeurr du crénag crénage est indiquée pour cette paire indiq de lettres. let
Pour désactiver le crénage automatique, sélectionnez l’ensemble du texte avec l’outil Texte et remplacez l’indication Métrique par la valeur 0 (disponible dans le menu local). Si, par la suite, vous souhaitez réactiver le crénage automatique, il vous suffira, après avoir sélectionné le texte, de remplacer la valeur 0 par Métrique. InDesign propose une autre option de crénage automatique, le crénage optique. Celui-ci est particulièrement intéressant lorsqu’un texte est dans une police dont le crénage intégré est réduit ou inexistant ; l’espacement entre les caractères s’effectue alors en fonction de leur apparence.
Le crénage manuel Le crénage est modifiable à volonté. Pour le régler, cliquez entre deux lettres avec l’outil Texte pour y placer le point d’insertion. La case de crénage ( ) indique la valeur d’approche ; si celle-ci est entre parenthèses, c’est qu’il s’agit de l’approche automatique.
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L’APPROCHE DE GROUPE Elle permet d’espacer uniformément les caractères d’un texte sélectionné et donc de modifier son encombrement. L’approche s’applique à un mot (dans le cas d’un titre, par exemple), à une ligne ou à tout un texte, selon l’ampleur de la sélection. L’approche pourra être positive pour augmenter l’encombrement ou négative pour le réduire. Les réglages s’effectuent dans la case Approche ( ) de la même manière que pour le crénage. De plus, au clavier, les réglages d’approche de groupe sont identiques à ceux du crénage indiqués précédemment. Appro Approche de 0 pour le texte du haut ha et de 200 pour celui en bas.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
ATTENTION Les raccourcis clavier pour modifier l’approche ne fonctionnent qu’avec un texte sélectionné avec l’outil Texte. Avec une sélection par l’outil Flèche, l’approche de la totalité du texte peut être modifiée mais uniquement les cases d’approche de la palette Caractère (ou Contrôle si vous activez l’outil Texte).
Parfois un paragraphe contient une ligne creuse (il s’agit parfois d’un seul mot). Une modification d’approche sur l’ensemble du paragraphe permettra de faire sauter cette ligne (voir ci-dessous).
Le changement d’échelle LE RÉGLAGE PAR LES PALETTES CONTRÔLE OU C ARACTÈRE Il est possible de changer l’échelle verticale (hauteur) ou l’échelle horizontale (largeur ou chasse). Le premier réglage (case ) correspond à un changement du corps sans modifier l’encombrement horizontal du texte et sans que la chasse du texte ne soit changée. Le second réglage (case ) entraîne une modification de l’encombrement. ASTUCE Dans les deux cas, le dessin du caractère est modifié ; il est préférable d’utiliser une police condensée (ou élargie) si elle existe car son dessin et ses crénages ont été prévus. Cependant, pour certaines polices, les écarts entre la police condensée et celle étroitisée par vos soins sont faibles. Myria Pro bold. Myriad M Myriad Pro bold étroitisée à 75 % Myria y et Myriad Myyyr Bold Condensed. gauche, sous le premier Àg mot, on a placé un texte mo noir en Condensed. noi
Approche 0.
Approche de groupe –10.
ASTUCE Si l’option Approche/Crénage personnalisés est cochée dans les Préférences/Composition (menu InDesign [Édition]), InDesign montre en surbrillance tous les caractères dont l’approche de groupe n’est plus nulle.
Si cette cet option est cochée, tout ttexte avec une approche non nulle est appro mis een surbrillance.
L’APPROCHE DANS LES TEXTES CURVILIGNES
L
L
Dans le cas d’un texte curviligne, bien que la commande Options du sous-menu Texte curviligne (menu Texte) propose une case Espacement qui permet, avec des valeurs négatives, d’espacer les caractères, il est préférable d’utiliser l’approche de groupe. Cependant, celle-ci ne peut se régler par les palettes Contrôle ou Caractère que si le texte a été sélectionné avec l’outil Texte.
e
e
t te x te
e é t alé sur l
et
ra
cé
x te étalé su rl e
Approche de 0 pour le texte du haut et de 100 pour celui en bas.
tra
cé
Pour effectuer un réglage, sélectionnez le texte, cliquez sur ou selon la modification souhaitée et tapez la case une valeur (elle est appliquée en tapant ‚ ou testée avec Ó‚), ou utilisez les Flèches vers le haut et vers le bas du clavier (chaque frappe modifie de 1 %, et 10 % avec Ó). Pour ramener les pourcentages à 100 %, tapez Ó¢ X [ÓCtrl X].
LES UTILISATIONS Un changement d’échelle permet de créer des effets intéressants pour des titrages. Une police convenablement étroitisée peut avoir un dessin agréable palliant l’absence de la police condensée. Une réduction de l’échelle peut aussi parfois se révéler utile pour réduire légèrement l’encombrement d’un texte. Dans ce cas, travaillez l’échelle avec modération (± 2 %) de façon à toujours privilégier la lisibilité sans trop modifier le dessin de la police. Gardez à l’esprit qu’une modification de l’échelle entraîne un changement du dessin des lettres. InDesign propose de nombreuses commandes (corps, approche, interligne…) pour réduire l’encombrement d’un texte en jouant de façon presque imperceptible sur chacune des lettres.
L’ÉCHELLE PAR TRANSFORMATION DU BLOC Pour obtenir un changement d’échelle en même temps qu’un changement de la taille du bloc, sélectionnez le bloc avec l’outil Flèche et utilisez les cases de changement d’échelle (en %, ou ) de la palette Contrôle ou Transformation (avec ou sans le maillon, selon que la modification doit être ou non homothétique) ou glissez les poignées du bloc en enfonçant ¢ [Ctrl].
187
EC
UR V I L
IG TE
TE
X
XT
E CURVILIG XT
NE
E CURVILIG XT
NE
TE
CU RV I LI G
NE
TE
NE
Le décalage vertical
TE
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
LE DÉCALAGE VERTICAL DES TEXTES Cette option place les caractères au-dessus ou au-dessous de la ligne de base(1) ; on obtient ainsi des effets particuliers ou, plus simplement, des caractères en exposant ou en indice à une hauteur particulière. Par défaut, le décalage est compté en points, mais vous pouvez utiliser une autre unité.
Zone Zone
Ligne de base. Ascendante. Descendante. En pointillés le tracé sur lequel le texte a été saisi.
Centrer.
Quand le contour du tracé est épais, à l’aide de la rubrique Sur le tracé, vous pouvez définir la position de la ligne d’alignement (choisie à la rubrique Alignement) par rapport au tracé. Celle-ci peut se placer en haut, au centre ou en bas.
Les lettres sans et avec un décalage vertical.
Le décalage se règle dans la case de la palette Contrôle (option Caractère) ou de la palette Caractère ; vous pouvez y saisir une valeur (positive pour monter le texte ou négative pour le descendre) ou utiliser les touches Flèche vers le haut ou vers le bas (chaque frappe monte ou descend de 1 pt, et de 10 pt avec Ó). Il est possible de décaler verticalement un texte au clavier à l’aide des raccourcis ci-dessous (ils ne fonctionnent qu’avec l’outil Texte actif). Ce décalage s’effectue par un incrément indiqué (par défaut 2) dans la case Décalage vertical d’Unités et incréments (Préférences du menu InDesign [Fichier], ¢ K [Ctrl K]).
Ó∏
[ÓAlt
] (flèche vers le haut), pour monter ;
Ó∏
[ÓAlt
] (flèche vers le bas), pour descendre.
Une fois la ligne d’alignement d alignement définie, on choisit isit ici sa position positio sur le tracé.
L’inclinaison Si la police que vous avez choisie ne possède pas de caractère oblique, vous pouvez le simuler en inclinant le texte. de la palette Cette inclinaison se règle dans la case Contrôle ou Caractère affichée avec ses options.
Zone Zone Les lettres sans et avec des inclinaisons différentes.
En ajoutant ¢ [Ctrl], l’incrément est multiplié par 5. Le rac raccourci clavier est lié à la valeur spécifiée dans les spéci préférences. préfé
LE DÉCALAGE AVEC LES TEXTES CURVILIGNES InDesign propose des réglages prédéfinis pour décaler un texte sur un tracé. On y accède par le menu Texte/Texte curviligne/Options : la commande agit sur la totalité du texte. La rubrique Aligner de la fenêtre d’options propose quatre types de décalages de la ligne de base du texte par rapport au tracé.
Les effets sur les textes curvilignes InDesign propose des réglages pour déformer (incliner, décaler…) un texte sur un tracé. On y accède par le menu Texte puis Texte curviligne/Options. La commande agit sur la totalité du texte même si la sélection n’est que partielle.
Les effets ets et ts de place placement des lettres d’un texte curviligne. Arc-en-ciel (option par défaut).
Les alignements verticaux ve d’un texte curviligne. (1) La ligne de base est la ligne (invisible) sur laquelle reposent les caractères sans jambage inférieur (a, c, e, o…).
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E CUR V I L XT T E Inclinaison. I G N E
E T E C U R VI X LI TE G Marche NE LE
L
d’escalier.
Ruban 3D.
Gravité.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
La rotation de lettres Dans un texte, il n’est pas possible de faire pivoter une lettre seule autour de son centre. Pour pallier ce manque, effectuez les opérations suivantes :
La coloration d’un texte
Zon On a pivoté une lettre.
1. Coupez la lettre à faire pivoter et collez-la dans un bloc. On a coupé le « e » du mot zone » pour le coller dans « zon un bloc bl de texte.
L A COLORATION DU FOND DU TEXTE PAR UN APLAT Si la coloration doit s’appliquer à la totalité du texte, le bloc peut être sélectionné avec l’outil Flèche mais, dans ce cas, du Nuancier ou prenez soin de cliquer sur l’icône Texte de la palette Couleur pour que la coloration affecte le texte et non pas le fond du bloc. Si la coloration doit s’appliquer à une partie du texte, sélectionnez-le avec l’outil Texte.
2. Dans les réglages d’options du bloc de texte (¢B [Ctrl B]), à l’onglet Option de ligne de base, choisissez l’option Œil (à la place d’Ascendante). Sélectionnez le bloc avec l’outil Flèche et réduisez sa taille à son minimum en cliquant sur l’icône de la palette Contrôle.
Après une sélection ectio i n avec ave l’outil Flèche, on clique ici pour colorer la totalité du texte dans le bloc sélectionné. é.
Ici, la coloration n’affectera que le texte sélectionné avec l’outil Texte. On a placé l é le l « e » en haut du bloc blooc avec cette option. opti t on
3. Faites-le pivoter en saisissant une valeur dans la case rotation
de la palette Contrôle.
On a fait O f i p pivoter le bloc blo oc du « e ».
4. Coupez-le bloc et ancrez-le dans le texte à l’endroit voulu.
Une fois la sélection effectuée, vous pouvez aussi définir la composition de la couleur dans la palette Couleur (après avoir choisi un espace colorimétrique : RVB, CMJN…). Cependant, si vous comptez appliquer cette couleur à d’autres parties de texte, il est préférable de préparer les couleurs dans le Nuancier ou de transférer toutes celles créées dans la palette Couleur avec la commande Ajouter les couleurs sans nom du menu de la palette Nuancier ou de les y placer une par une dès leur création par la commande Ajouter au nuancier de menu de la palette Couleur. Si la couleur figure dans le Nuancier, vous pourrez appliquer une teinte de cette couleur à une sélection.
On a ancré le bloc à sa place dans le texte.
Vous pouvez également vectoriser la lettre puis faire pivoter le bloc obtenu. Pour cela, sélectionnez la lettre avec l’outil Texte, lancez la commande Vectoriser du menu Texte. Cliquez sur la lettre devenue bloc avec l’outil Flèche pour la sélectionner en tant que bloc et faites-la pivoter avec l’outil Transformation manuelle ou en entrant une valeur dans la case . Ici, on Ici n vectorise la lettre et on la a fait pivoter. pivoter
On peut ut affecter une teinte nte qquand la couleur coule l ur a été nommée mmée (elle doit figurer dans le Nuancier). Nuancier) r
INFO. Quand vous appliquez une couleur à un texte préalablement sélectionné et affiché en inversion vidéo, ses couleurs apparaissent alors en négatif.
189
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 Si la couleur doit être appliquée à plusieurs mots (ou partie de texte), utilisez la pipette pour effectuer le transfert de la couleur (attention, selon les réglages de la pipette, d’autres attributs seront transférés).
Le fond peut se voir attribuer une autre opacité ou un autre effet ; pour appliquer le même effet, au fond, au contour et au texte, choisissez l’option Objet. Si le bloc ne comporte pas de fond, l’application de l’effet à l’Objet ou au Texte donne le même résultat.
L A COLORATION DU FOND PAR UN DÉGRADÉ Le dégradé s’applique de la même manière que l’aplat. Commencez par le préparer dans le Nuancier. Sélectionnez le texte avec l’outil Texte si la coloration doit être partielle, si c’est le ou sélectionnez le bloc et cliquez sur l’icône texte complet qui doit être coloré. Si vous souhaitez donner une orientation particulière au dégradé, utilisez l’outil Dégradé de la palette Outils et glissez-le sur le texte.
On a affecté un dégradé gradé linéairee au texte entier (il avait sélectionné vait été sélect tionné néé avec l’outil l outil Texte). Texte
Du 2 mai au 30 juin, exposition dans les rues de la ville des sculptures métalliques de Johan Yoprazik.
On peut O pe régler éégler l sép séparément ép effets sur le ll’opacité ’opac opac ett les effe ffond ond d et sur le l texte.
ASTUCE Les attributs d’effet tels qu’Opacité, Ombre portée… Contour progressif ne s’appliquent pas à une partie de texte. Pour pallier ce problème, utilisez des blocs ancrés.
L’AFFECTATION D’UN CONTOUR Pour appliquer un contour à un texte, activez la case dans la palette Outils ou la palette Couleur, Contour et choisissez la nuance voulue (ou créez-la dans la palette Couleur). Une fois la couleur déterminée, fixez l’épaisseur du contour dans la palette Contour. Si l’épaisseur est importante, pensez à augmenter l’approche de groupe du texte si vous ne souhaitez pas que les lettres se touchent. En effet, quand vous affectez un contour à un texte possédant un fond de couleur, celui-ci se place à l’extérieur du caractère de manière à ne pas couvrir certaines de ses parties intérieures. Ceci a pour effet d’augmenter la taille des lettres. Si le texte n’a pas de fond ( ), le contour est à cheval.
La copie d’attributs de caractère Une fois des attributs de caractère affectés à un texte, il est possible d’appliquer les mêmes attributs à d’autres caractères sans passer par un style de caractère (l’utilisation d’un style de caractère est malgré tout préférable, car les mises à jour sont plus faciles). Cette opération de copie s’effectue avec l’outil Pipette. Avant de procéder à cette copie, il convient de définir ce qui doit être prélevé afin de le limiter, éventuellement, à certains attributs. Pour cela, double-cliquez sur l’outil Pipette pour afficher ses options et décochez les attributs que vous ne souhaitez pas transférer (par exemple, les attributs de paragraphe).
SPOT Ici, le texte possède un fond.
Ici, Ici, il n n’y a pas de fond.
L’AFFECTATION D’UN EFFET Quand le bloc est sélectionné avec l’outil Flèche, il est possible de n’appliquer le réglage d’opacité (et/ou un effet tel qu’une ombre portée) qu’au texte. Pour cela, dans la palette Effets, sélectionnez l’attribut Texte (à la place d’Objet). On retrouve cette possibilité de choix dans la fenêtre de réglade la palette ges des effets, ou en cliquant sur l’icône Contrôle avant de cliquer sur l’icône d’effet .
190
Ici, on a choisi de ne transférer que les attributs de caractère dont vous pouvez voir le détail ci-contre..
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
ASTUCE Si vous utilisez fréquemment l’outil Pipette, affectez-lui un autre raccourci que i de manière à pouvoir l’activer même quand un texte est sélectionné. Sur Mac, par exemple, j’utilise ctrl i (et ctrl T pour réactiver l’outil Texte).
Pour effectuer la copie d’attributs, vous avez deux possibilités : sans et avec sélection de texte. Ici, le texte « source » (mis (m miis mis i en en forme) et, ci-après, lee texte de « destination tion n » (à (à mettre ettre en forme). forme)
Les ca caractères ayant la mise een forme voulue.
Les ca caractères dont on veut changer chang les attributs.
L A COPIE D’ATTRIBUTS AVEC SÉLECTION DU TEXTE Dans ce cas, il y a également deux possibilités de sélection : sélection de la source ou sélection de la destination. La deuxième solution est préférable à la première (qui correspond davantage à une « erreur » de manipulation).
Sélection de la source Si vous sélectionnez le texte ayant les attributs à prélever q vous activez l’outil Pipette (le curseur (source), dès que 1 ), vous devez impérativement cliquer dans devient p cette sélection pour remplir la pipette avec les attributs de p est pleine (elle devient ), la sélection 2 . Quand la pipette glissez-la sur les caractères 3 à mettre en forme (destinaq vous relâchez, le texte prend les attributs de la tion). Dès que source 4 . Vous pouvez recommencer les glissements à différents endroits sur d’autres caractères situés dans le même bloc ou dans un autre bloc (voire un autre document). 1
IIci, Ici cii, le l tte texte « source » ((mis mis en et, ci-après, lee texte de fforme)) e «d destination » (à mettre i ettre en forme). forme e) e). 2
Ici, Ici cii le tte texte « source ce » ((mis mis is en e forme) et, e ci-après, s, le texte de « destination » (à mettre en forme).
On a sélectionné lee texte te tex et activé l’outil Pipette. l’outi La pipette se remplit dès que l’on clique sur la sélection pour prélever ses attributs.
3
Icii le tte Ici Ici, texte « source ource » (mis en fforme)) et, e ci-après, ci-a i-aprè prrès, s, lee texte ttex ex te de « destination » (à mettre en forme). d i
On ra ratisse le texte avec la pipette pleine. plein
4
Le tex texte prend l’aspect Ici, Ici ci, le ci l tte texte « source ource » (mis en voulu. On peut utiliser voulu et, ci-après, forme) e aprè près, prè s, le le texte tex te tex t de de pipette ailleurs. « destination destin n » (à (à mettre en forme). la pip
Vous pouvez copier les attributs par clics : – double-clic sur un mot pour lui appliquer les attributs ;
– trois clics pour une ligne ;
– quatre pour la totalité du paragraphe ; – avec un seul clic, seuls les attributs de paragraphe sont copiés.
Sélection de la destination Si vous sélectionnez le texte à mettre en forme 1 (destination), dès que vous activez l’outil Pipette ( ), vous devez cette fois-ci,, cliquer directement sur le texte qui sert de modèle 2 (source). La sélection prend l’aspect de la source et la pipette devient . Vous pouvez éventuellement l’utilig , cliquer…) pour mettre en forme d’autres caracser (glisser, tères 3 . 1
Ici Ici, cii le tte texte « source » ((mis m s en mi mis en et, ci-après, forme)) e -aaprè près, pr s le le texte de « destination forme).). n » (à mettre en forme)
On a sélectionné le texte à mettre en forme et activé la pipette. pipet t
On cl clique l sur le texte 3 source pour prélever sourc Ici Ici, cii le tte texte « source rce e » (mis en attributs qui ses a at et, ci-après, forme)) e prrès,, le prè le texte te tex te exx te te de de aussitôt ss’appliquent app p « destination » (à ( mettre tt en forme). f ) s’app à la ssélection. 2 On a désélectionné. O Ici, Ici cii le tte texte « source ource » (mis en n peut utiliser la On p forme) et, e ci-après, prrès, p prè s, lee texte te tex ex te de pipette pipet t pleine sur des « destination » (à forme). (à mettre en form me). carac caractères. c
L A COPIE D’ATTRIBUTS VERS UN TEXTE NON SÉLECTIONNÉ Dans ce cas, il est préférable qu’il n’y ait aucune sélection 1 (ni de texte, ni de bloc, tapez Ó¢A [Ó Ctrl A]). Pour copier les attributs, activez l’outil Pipette , cliquez sur les caractères sources ayant la mise en forme voulue (pendant le 2 ). Quand la pipette prélèvement la pipette se remplit elle est pleine, amenez-la sur les caractères à modifier (elle que le ratisdevient ) et glissez-la sur ces derniers 3 . Dès q sage est fini, le texte prend l’aspect de la source 4 . Comme indiqué précédemment, vous pouvez opérer par clics. 1
Ici, Ici cii le tte texte « source » (mis en forme) et, e ci-après, le texte de « destination » (à mettre en forme).. 2
Icii le tte Ici, texte « source ur e » ((mis mis en forme) et, e ci-après, le texte de « destination » (à mettre ettre en forme). forme)
Sans aucune sélection, la pipette. on active ac On cl clique sur le texte pour prélever ses attributs (la pipette se attrib remplit).
3
Icii le tte Ici, texte « source » (mis en et, ci-après, forme)) e ci-a i-aprè i-a prè prè rès, rès, s, le le texte tex exx te te de de « destination » (à (à mettre en forme).
On ra ratisse le texte avec pipette pleine. la pip
Dès q que l’on relâche, le 4 texte se met en forme Icii le tte Ici, texte « source ource » ((mis i en selon la source. forme) et, e ci-après, près, lee texte tex te ex te exte te de d peut utiliser la « destination » (à (à mettre en forme). On pe pipette ailleurs. pipet
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
ATTENTION Si vous avez sélectionné le bloc avec l’outil Flèche avant de faire le prélèvement avec la pipette, celui-ci se verra attribuer les attributs de couleur du texte. Tapez ¢Z [Ctrl Z] pour annuler la copie d’attributs, retrouvez le bloc intact et la pipette prête à être utilisée.
LES NOUVEAUX PRÉLÈVEMENTS Pour faire un nouveau prélèvement, enfoncez ∏ [Alt] (la pipette redevient vide ) et cliquez sur les caractères voulus. Dès que vous relâchez ∏ [Alt], vous retrouvez la pipette pleine ( ) prête au transfert.
Entre deux prélèvements, vous pouvez éventuellement changer les réglages de la pipette. L’utilisation de ces transferts s’avère très pratique car l’opération est rapide et facile ; en revanche, si vous modifiez les caractères sources, les caractères sur lesquels vous avez transféré les attributs ne sont pas mis à jour. Si vous souhaitez qu’il y ait mise à jour, vous devez utiliser les styles de caractère (et de paragraphe). C’est ce que nous allons voir dans les paragraphes qui suivent.
Les styles de caractère L’intérêt des styles de caractère Un style de caractère est un ensemble d’attributs de caractère (police, corps, échelle, etc.) appliqué de manière globale à un texte préalablement sélectionné. L’utilisation des styles permet d’automatiser la mise en forme des textes. De plus, elle garantit une cohérence typographique et rend plus facile les mises à jour. En effet, si vous modifiez un style de caractère, tous les caractères auxquels il a été affecté sont automatiquement mis à jour sans qu’il soit nécessaire de les sélectionner. La mise en œuvre des styles comprend deux étapes, la préparation et l’application, qui s’effectuent avec la palette Styles de caractère (affichée par le menu Fenêtre ou en tapant Ó F11) ou via la palette Contrôle.
L A MISE EN FORME DU TEXTE POUR UN STYLE Sélectionnez le texte (il peut s’agir d’une seule lettre) et mettez-le en forme de manière classique, c’est-à-dire comme indiqué dans les pages précédentes, à partir de la palette Contrôle (et/ou Caractère) pour les attributs typographiques et de la palette Nuancier ou Couleur pour les colorations. Quand le texte a exactement l’aspect souhaité, vous pouvez passer à la seconde étape : l’obtention d’un style à partir de cette mise en forme.
On met en forme le texte au niveau i de d sa typographie ttyp et de sa ccouleur.
Par ce menu u on définira le style et par cette te liste t on ll’l’appliquera.
La préparation d’un style de caractère LES MÉTHODES DE PRÉPARATION Vous disposez de deux méthodes pour préparer un style de caractère : par préparation directe (mais aveugle) depuis la palette Contrôle (ou Styles de caractère), ou par transformation en style d’une mise en forme réalisée avec un texte sélectionné sur la page. Vous pouvez également faire une combinaison des deux méthodes. Une option d’aperçu facilitera alors les mises au point.
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L A TRANSFORMATION EN STYLE DE CARACTÈRE Pour définir un style à partir d’un texte mis en forme, affichez la fenêtre Nouveau style de caractère : cette opération se réalise directement par la palette Contrôle en cliquant sur l’icône située vers la droite de la palette pour choisir Nouveau style de caractère. Vous pouvez aussi utiliser la palette Styles de caractère. Dans ce cas, enfoncez ∏ [Alt] et cliquez sur l’icône (sans ∏ [Alt], le style ne peut pas être renommé et n’est appliqué qu’à la sélection).
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN La partie basse de la fenêtre (zone Style) affiche la liste de tous les attributs typographiques et colorimétriques que vous avez affectés à la sélection de texte.
Dans ce menu u de la palette Contrôle, on lance cette commande pour créer un nouveau style. On affiche alors cette fenêtre.
Chacune d’elles affiche une zone dans laquelle vous retrouverez les différentes commandes accessibles dans les palettes Contrôle ou Caractère et la palette Nuancier (vous pouvez, par exemple, ajouter une couleur à la volée). Examinez ces différentes rubriques pour vérifier que vous n’avez pas omis d’affecter un attribut au texte sélectionné. Quand la colonne des rubriques est active, passez de l’une à la suivante (ou à la précédente) en tapant Flèche vers le haut (ou vers le bas). Si la colonne n’est pas active, tapez une ou plusieurs fois la touche † [Ÿ] pour passer d’un champ actif dans la zone à droite à la colonne des rubriques. Une case vide correspond à un attribut non affecté.
Nommez ce style et choisissez un raccourci qui vous permettra de l’affecter au clavier. Pour cela, cliquez dans la case Raccourci et tapez un chiffre du pavé numérique (verrouillé sur Windows) en enfonçant Ó ou ¢ [Ctrl] ou ∏ [Alt] ou une combinaison de ces touches. Le style que vous êtes en train de finaliser peut lui-même dépendre d’un style de caractère déjà préparé (style de base), ainsi les modifications seront répercutées sur ce dernier. Un menu local, D’après, liste les styles existants. Si vous choisissez l’un d’eux, la partie basse de la fenêtre n’indiquera que les différences entre le style en cours et celui de base.
Ici, aucune au modification n’a éété faite, mais on peut en faire fa maintenant.
En double-cliquant ici, on ajoute une couleur : elle apparaîtra dans le nuancier.
LES MISES AU POINT DU STYLE Avant de passer à la mise au point du style ou avant de cliquer sur OK pour l’enregistrer, cochez l’option Appliquer le style à la sélection. Cette option permet de garantir que le texte qui a servi à faire le style sera mis à jour si le style est modifié. De plus, elle permet l’utilisation de l’aperçu afin de visualiser les nouveaux réglages du style sur la sélection. L’option restera active pour les styles que vous préparerez par la suite.
Une option n très intéressante da dans la mise au point d’un style.
La colonne gauche de la fenêtre comporte, en plus de la rubrique Général, six autres rubriques : Formats de caractère de base, Formats des caractères avancés, Couleur des caractères, Fonctionnalités OpenType, Options de soulignement et Options de texte barré.
Avec une police OpenType, des ooptions spécifiques peuvent être ajoutées. peuve
L’aspect du soulignement et du texte barré peut être personnalisé.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
LES CATÉGORIES D’UN ATTRIBUT : ACTIVÉ OU DÉSACTIVÉ On retrouve avec les styles de caractère le principe évoqué pour les styles d’objet (voir page 117). En effet, dans les différentes rubriques de la fenêtre Styles de caractère, selon que la case de l’attribut comporte ou non une valeur ou une coche, l’attribut sera considéré activé ou désactivé (ou ignoré). InDesign ne se comporte pas de la même façon selon la catégorie de l’attribut (activé ou désactivé). Les paragraphes qui suivent indiquent ses comportements.
L’attribut activé (ou de remplacement) Dans la fenêtre de composition du style, l’attribut possède une valeur ou une coche ( ). Lors de l’affectation du style, l’attribut est appliqué tel qu’il est défini dans le style. Si, avant affectation du style, les caractères possédaient un attribut activé dans le style mais avec des réglages différents, InDesign considérera que, sur cet attribut, il y a eu des remplacements et les supprimera en réinitialisant l’attribut selon la valeur indiquée dans le style.
À partir de ce texte, texte on a défini le style de caractère caractère (police, corps, couleur…). l )
Ce texte tex a un corps réduit, uit, il est remplacé rempla par celui définii dans le style que l’on a appliqué. i é
Le fait de spécifier ou non une valeur aux attributs permet d’appliquer des attributs sans modifier ceux déjà appliqués et non définis dans le style (sans valeur, ni coche). Par exemple, si vous appliquez à des caractères en italique (ou en gras), un style dans lequel l’attribut Style de police n’a pas de valeur, ceux-ci ne seront pas modifiés. A STUCE Si par la suite vous modifiez (hors de la fenêtre de définition du style) un des attributs activés dans le style, InDesign l’interprète comme un remplacement et un signe + apparaît en regard du nom du style dans la palette Styles de caractère ou Contrôle. En revanche, si l’attribut modifié n’est pas défini (désactivé), aucun signe + n’apparaîtra (nous en reparlerons un peu plus loin dans ce chapitre).
L’affectation d’un style de caractère L’APPLICATION D’UN STYLE DE CARACTÈRE Pour affecter un style à d’autres caractères, effectuez les opérations suivantes : sélectionnez les caractères puis, dans la palette Contrôle, cliquez sur [Sans] pour afficher la liste des styles de caractère et choisir le style voulu. Vous pouvez aussi cliquer directement sur le nom du style dans la palette Styles de caractère (ou encore taper le raccourci si vous en avez attribué un au style).
L’attribut désactivé ou ignoré (non défini dans le style) Dans la fenêtre de composition du style, l’attribut ne possède pas de valeur ou n’a pas de coche ( ou ). Il n’est pas inclus dans le style et n’y est pas défini. Lors de l’application du style, si les caractères possédaient déjà un attribut désactivé dans le style, InDesign ne modifie pas cet attribut. En effet, il considère qu’il n’y a pas eu de remplacement car cet attribut n’existe pas dans le style : le signe + n’apparaît pas.
Cee texte a l’as l’aspect défini éfini dans ans le style de d caractère. ctère.
Ce texte tex est souligné ; il le reste car n’est pas défini le soulignement so dans le style qu’on lui a appliqué. d li é
ASTUCE Avec le cas précédent, dans la palette Contrôle (sous les styles de paragraphe) ou dans le bas de la palette Styles de paragraphe, l’icône s’activera et vous obtiendrez la suppression des attributs de caractère non définis (mais également des attributs remplacés) par ¢ clic [Ctrl clic] sur l’icône (nous en reparlerons plus loin).
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Le texte sélectionné es est sans stylee de caractère. caractère
On choisit sit ici le style de d caractèree : la sélection se met aussitôt i ô en forme.
Si vous sélectionnez un bloc de texte avec l’outil Flèche et choisissez un style de caractère, il s’applique à la totalité des caractères du bloc. De même, si vous cliquez sur le nom du style alors qu’aucune sélection (ni de caractère ni de bloc) n’est réalisée, vous définissez l’aspect qu’auront les textes dans les futurs blocs que vous créerez.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
L’APPLICATION RAPIDE ET LES STYLES DE CARACTÈRE
LE STYLE DE CARACTÈRE PAR DÉFAUT
InDesign propose une méthode, nommée Application rapide, pour affecter un style. Il s’agit d’une fonctionnalité à laquelle on accède à partir de la palette Contrôle par clic sur l’icône ou en tapant ¢ ‚ [Ctrl ‚] (¢ Retour [Ctrl Entrée]). Dans les deux cas, InDesign affiche dans l’angle supérieur droit de l’écran une palette qui liste toutes les commandes disponibles. En tapant « c: », vous ne gardez affichés que les styles de caractère, vous pouvez continuer la saisie avec le début du nom du style ou utiliser les touches fléchées du clavier pour le choisir puis taper ‚ pour l’affecter à la sélection.
Si vous cliquez sur un style dans la palette Styles de caractère ou dans la palette Contrôle alors qu’aucun texte (ni bloc) n’est sélectionné, vous définissez l’aspect qu’aura la future saisie ou le prochain collage (avec la commande Coller sans mise en forme du menu Édition ou Ó¢ V [Ó Ctrl V] ). Pour revenir au texte basique, tapez Ó¢ A [ÓCtrl A] pour tout désélectionner, puis cliquez sur le style [Sans] dans la palette Styles de caractère.
La gestion des styles de caractère L A COPIE D’UN STYLE Lorsqu’un style est créé, vous pouvez le dupliquer afin d’en préparer une variante. Pour ce faire, vous disposez de deux méthodes à partir de la palette Styles de caractère.
La palette alette l tt Ap A Application rapide liste toutes les commandes.
En tapant nt « c: », lla liste ne montre que les styles de caractère.
La palette Application rapide utilise différents modes d’application selon les touches ajoutées à la touche ‚ lors de la validation. Le tableau suivant résume les possibilités. Touches de validation
∏ ‚ [Alt ‚] Ó‚ ¢ ‚ [Ctrl ‚]
Type d’application Application avec suppression des remplacements. Application de type test : Application rapide reste affichée pour un autre choix. Affichage de la fenêtre de composition du style.
La copie de style par duplication Pour obtenir cette copie, effectuez un clic droit sur le nom du style pour choisir Dupliquer un style : la copie créée possède le même contenu mais le style dupliqué mais n’est pas basé sur l’original (le menu local D’après permet éventuellement de le choisir). Quand on duplique un style par cclic droit (ou par le menu p de la palette), la copie n’est sur l’original. pas basée p b g
ASTUCE Si vous n’utilisez la palette Application rapide que pour les styles (voire certains seulement), vous pouvez limiter son affichage à l’aide du menu de cette palette.
La copie par création à partir d’une base
L’affichage de la palette a été réduit en n décochant déécochant h certaines ceertaine commandes dans la liste proposée.
Pour obtenir ce type de copie, cliquez sur le style à copier, enfoncez ∏ [Alt] et cliquez sur l’icône ; n’utilisez pas le glissement du style sur . Dans ce cas, le nouveau style est basé sur le style dupliqué, ainsi si vous changez la composition de ce dernier, les modifications seront répercutées sur la copie.
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Quand on copie un style par ∏ ∏clic [Alt clic] sur cette icône, icônee, le style créé est basé sur l’original. l’oo g
I NFO. Lorsqu’un style est basé sur un autre, un bouton Réinitialiser à la base permet de supprimer toutes les modifications apportées pour retrouver le style de base.
LES GROUPES DE STYLES
Vous pouvez modifier le contenu du style en visualisant les modifications (Aperçu coché) à condition d’avoir réalisé une sélection et d’avoir coché l’option Appliquer à la sélection.
On effectue les es modificatio modifications ns voulues danss les différentess rubriques d’attributs. attributs
Une fois les réglages effectués, ces derniers apparaissent dans la zone Paramètres de la fenêtre de la rubrique Général. La création du style est terminée, vous pouvez l’affecter à d’autres sélections.
On retrouve des similitudes avec la gestion des styles d’objet. Notamment, il est possible de ranger les styles de caractère dans des dossiers de manière à les regrouper par catégories par exemple. Pour réaliser cette opération, vous pouvez cliquer sur l’icône de dossier de la palette Style de caractère, puis glisser le ou les styles voulus dedans. Vous pouvez également sélectionner un ou plusieurs styles puis faire un clic droit sur l’un d’eux pour choisir Nouveau groupe d’après les calques (une fenêtre permettra de nommer le dossier). On sélectionne un ou plusieurs styles et on lance cette commande style pour créer un dossier. pou
ASTUCE Quand vous sélectionnez des caractères auxquels un style est appliqué, selon le nombre de styles présents dans la palette Style de caractère, ce style n’est pas toujours visible. En revanche, son nom apparaît toujours en haut de la palette (sous l’onglet de titre de la palette) et il est possible, par clic droit sur celui-ci, de faire apparaître le menu contextuel des commandes applicables au style.
Lee nom du style appliqué à la sélection apparaît toujours élection a ici,i même ê s’il n’est pas visible Parr clic droit, on peut utiliser d er ce dans la liste des styles. menu et effectuer des opérations. rations. Ici c sont affichées modifications les mod quii ss’appliquent ’a automatiquement autom au texte tex (ici, il a été désélectionné). déséle
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LE REMPLACEMENT D’UN STYLE DE CARACTÈRE Cette opération s’effectue de deux façons selon que vous souhaitez un remplacement total ou partiel.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Le remplacement partiel d’un style par un autre Ce type de remplacement s’effectue dans la fenêtre de la commande Rechercher/Remplacer du menu Édition. En effet, vous pouvez lancer une recherche sans saisir de texte dans la case de recherche ni dans celle de remplacement et orienter la recherche sur le style de caractère à rechercher. Pour cela, cliquez sur le bouton Spécifier les attributs ( visible avec Plus d’options) dans la rubrique Rechercher le format et sélectionnez le style de caractère à rechercher, de la puis cliquez sur le bouton Spécifier les attributs zone Remplacer le format et sélectionnez le style de caractère de remplacement.
le style On supprime su et on choisit un style de remplacement rem dans ce menu.
Avec cette option, n, ll’aspect n aspect du ttexte ne change pas quand on supprime un style par [Sans]. le que l’on remplace rem
L A SUPPRESSION D’UN STYLE DE CARACTÈRE Pour supprimer un style, sélectionnez-le dans la palette et cliquez sur la corbeille (vous pouvez également utiliser le menu local de la palette). Quand le style disparaît, une fenêtre s’affiche s’il est appliqué à un texte : elle propose de le remplacer par le style [Sans] et de conserver le texte intact (Conserver la mise en forme). ASTUCE Quand vous supprimez un style qui sert de base à un autre, si vous décochez l’option Conserver la mise en forme, le style basé dessus perdra une partie de sa mise en forme. En revanche, si vous choisissez un style de remplacement, il sera défini comme nouvelle base.
En dehors du remplacement de style signalé plus tôt, cette opération n’est utile que si les styles à supprimer ne sont pas utilisés. Pour faciliter leur sélection, le menu de la palette propose la commande Sélectionner tous les styles inutilisés.
L’IMPORTATION DE STYLES DE CARACTÈRE On cherche des attributs ts que q l’on rempla remplace p par par d’autres.
Le remplacement s’effectue par étapes avec les boutons Remplacer/Rechercher et Suivant, ou de manière totale avec Tout remplacer.
Il est possible d’importer (charger) des styles créés dans d’autres fichiers InDesign. L’opération s’effectue avec la commande Charger des styles de caractère du menu de la palette Styles de caractère (ou du menu des styles de la palette Contrôle).
Le remplacement total d’un style par un autre Le remplacement total s’obtient en supprimant le style de caractère et en le remplaçant par un autre. Pour éviter de perdre le premier, commencez par en faire la duplication (par clic droit). C’est également par clic droit sur le style que vous le supprimerez. Une fenêtre vous permettra de choisir le nouveau style.
Une première fenêtre permet de désigner le fichier contenant les styles à ajouter. Une seconde fenêtre liste les styles présents dans le fichier désigné. Par défaut, tous les styles de caractère sont importés (cochés), mais vous pouvez choisir ceux que vous ne souhaitez pas charger en les décochant.
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ASTUCE Vous pouvez également afficher la fenêtre de définition du style en le sélectionnant par l’Application rapide et en validant par ¢ ‚ [Ctrl ‚].
Sans sélection de caractères stylés Si aucun texte n’est sélectionné (ou un texte avec un autre style), dans la palette Styles de caractère, effectuez un clic droit sur le nom du style à modifier et choisissez Modifier “nom du style“. InDesign permet de choisir les styles et gère les conflits de noms.
Si parmi les styles cochés figure un style ayant le même nom qu’un style déjà présent dans le document, vous pouvez en visualiser la composition en cliquant sur son nom (elle s’affiche à côté de celle du style présent) puis choisir s’il doit être renommé ou remplacer le style existant. Si vous importez un style basé sur un autre, sa base sera également chargée dans le document. I NFO. Si vous importez un texte Word ou RTF ayant des styles de caractère (ou de paragraphe), InDesign ajoute ces derniers dans la palette Styles de caractère et place l’icône à droite de leur nom pour indiquer qu’ils ont été importés (l’icône disparaît si vous modifiez la définition du style).
Les modifications d’un texte stylé LES MODIFICATIONS DU STYLE DE CARACTÈRE Les modifications de la composition du style depuis sa fenêtre de définition Pour modifier le contenu d’un style, vous devez afficher sa fenêtre de définition (ou d’options) et y apporter les changements voulus dans les différentes rubriques. La méthode pour l’afficher diffère selon qu’il y a ou non un texte sélectionné avec ce style. Avec une sélection de caractères ayant le style Si un texte ayant le style à modifier est sélectionné, effectuez un double-clic sur son nom qui apparaît systématiquement en haut de la palette Style de caractère ; vous pouvez utiliser le menu des styles dans la palette Contrôle pour choisir Options de style. Par double-clic sur le nom du style visible ici ic ci on affiche la fenêtre d’options du style.
ATTENTION Si un texte est sélectionné, par double-clic dans le style vous le modifiez, mais il est également appliqué.
Si le style est déjà attribué à des caractères, cochez la case Aperçu afin de visualiser les changements avant de les appliquer définitivement au style. Même si l’option d’aperçu n’est pas cochée, la fermeture de la fenêtre de modification du style entraîne la mise à jour automatique des caractères auxquels il est affecté.
La suppression d’un lien entre un texte et son style Quand vous modifiez la composition d’un style, les caractères sur lesquels il était appliqué sont modifiés. Si vous souhaitez que certains caractères gardent leur aspect, avant de réaliser ces changements, appliquez-leur la commande Annuler le lien au style (menu local de la palette Styles de de la palette Contrôle) : caractère ou menu des styles InDesign laisse le texte intact mais lui affecte le style [Sans]. Cette opération peut aussi être réalisée à l’aide de la commande Rechercher/Remplacer, avec [Sans] comme style de remplacement.
LES MODIFICATIONS LOCALES D’UN TEXTE STYLÉ Les attributs activés et désactivés ou non définis Ccomme nous l’avons vu (page 194), il y a deux catégories d’attributs dans un style de caractère. Attribut activé Lorsque vous définissez le style, si vous spécifiez un attribut (en saisissant ou choisissant une valeur ou en cochant une case ), celui-ci devient un attribut activé qui peut subir un remplacement qui sera repéré par InDesign. Attribut désactivé Si vous ne spécifiez aucune valeur (case vide) ou décochez certaines options ( ou ), on dit qu’il s’agit d’un attribut désactivé ou non défini, il sera « ignoré » par InDesign.
198
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
La visualisation des modifications locales Dès que vous effectuez des modifications à partir des palettes Contrôle, Caractère, Couleur, Nuancier ou du menu Texte… sur un texte stylé, les palettes Styles de caractère et Contrôle affiche un signe + à droite du nom si la modification affecte un attribut activé (pour InDesign, il y a remplacement) ; en revanche, InDesign n’indique rien s’il s’agit d’un attribut désactivé (non défini).
On lance cette commande nde pour ajouter ces modifications ns au style. Il y a misee à jou jour su sur les autres es aut es mots. m
ASTUCE Quand vous placez la souris sur le nom du style dans la palette Styles de caractère, InDesign indique dans une étiquette jaune les remplacements effectués sur le style. A STUCE Si la commande Redéfinir le style n’est pas accessible, c’est que les modifications effectuées n’affectent que des attributs désactivés, non définis dans le style ; ce dernier n’a donc subi aucun remplacement (pas de signe +).
Par rapport au style yle original, des modifications ont été faites sur cee texte stylé. Le signe + ici ci l’indique.
Si vous souhaitez ajouter à un style des modifications ne concernant que des attributs non définis (sans la présence de remplacement, pas de signe +), affichez la fenêtre de définition du style pour y ajouter les attributs voulus. Comme indiqué précédemment, il n’est pas possible d’effectuer cette opération directement par la commande Redéfinir le style ; cependant, vous pouvez réaliser la manipulation en utilisant l’astuce suivante :
1. Commencez par modifier un des attributs activés pour faire apparaître un remplacement (en plus des modifications des attributs désactivés). Le signe + doit être visible devant le nom du style. En amenantt la l ssouris sur le style, une petite ét éétiquette ique indique remplacements. ique les remp
2. Redéfinissez le style : le signe + disparaît et toutes les
L’ajout des modifications locales au style
3. Supprimez la modification de l’attribut de remplacement
Si, après avoir fait des changements locaux dont certains correspondent à des remplacements, vous souhaitez que ces derniers soient ajoutés dans la définition du style, autrement dit, si vous souhaitez redéfinir le style à partir de l’aspect du texte sélectionné, lancez la commande Redéfinir de le style (menu de la palette Styles de caractère ou la palette Contrôle) ou tapez Ó∏¢ C [Ó Alt Ctrl C]. Toutes les occurrences du texte auxquelles le style est appliqué changeront d’aspect et le signe + en regard du nom du style disparaîtra. Dans le texte ci-dessous, on a appliqué un style de caractère à trois mots.
signe Ce sig nee indique que sur su ce mot, on on a fait des modifications mod (couleur, casse, souligné). (coule
modifications sont ajoutées à la définition du style. effectuée à la première opération (le signe + réapparaît).
4. Redéfinissez une nouvelle fois le style : le signe + disparaît et le style a désormais l’aspect souhaité.
La suppression des modifications des caractères stylés La suppression des modifications locales s’effectue deux façons : par la palette Styles de caractère ou par la palette Styles de paragraphe. L’annulation par la palette Styles de caractère Cette annulation ne concerne que les attributs de remplacement ; elle a pour effet de les réinitialiser selon les valeurs spécifiées dans le style. Pour cela, sélectionnez les caractères ayant le style avec des remplacements (la sélection ne doit comporter que des caractères de même style), enfoncez la touche ∏ [Alt] et cliquez sur le nom du style à réinitialiser : le signe + disparaît, les changements locaux également.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
ASTUCE Quand vous placez la souris sur le nom du style comportant le signe+, InDesign vous indique dans une petite étiquette jaune (voir page précédente) les remplacements qui seront effacés par ∏ clic [Alt clic] sur le nom du style.
Si vous réappliquez le style de caractère par Application rapide en validant avec ∏‚ [Alt ‚], les remplacements seront annulés. L’annulation par la palette Styles de paragraphe Pour supprimer toutes les modifications sur les attributs (activés ou désactivés), sélectionnez l’ensemble des caractères présentant les modifications à effacer (ils peuvent avoir des styles différents ou pas de style), enfoncez ¢ [Ctrl] et cliquez sur l’icône du bas de la palette Styles de paragraphe ou sous la liste des styles de paragraphe dans la palette Contrôle (affichée, selon la taille de votre écran, avec l’option Paragraphe ).
A STUCE Il est possible d’affecter un raccourci à cet effacement. Pour cela, lancez Raccourcis clavier (menu Édition) : dans la rubrique Texte et tableaux, sélectionnez Effacer les remplacements de caractères. Profitez-en pour ajouter un raccourci Effacer les remplacements de paragraphes (plus bas dans la liste), il joue le même rôle au niveau des attributs de paragraphe.
Quand un texte est sélectionné et que vous déroulez le menu contextuel par clic droit pour lancer la commande Effacer tous les remplacements, InDesign supprime les modifications (remplacements ou non) de caractère ainsi que celles de paragraphe. Tout le texte sélectionné se trouve réinitialisé selon les styles de caractère et de paragraphe affectés à ses différentes parties ; les lettres qui n’avaient pas de styles de caractère prennent les attributs de caractère par défaut du paragraphe.
L A SUPPRESSION DES STYLES DE CARACTÈRE DANS UN PARAGRAPHE
ASTUCE L’effacement précédent est intéressant car il s’applique également aux caractères sans style de caractère modifiés par rapport aux attributs par défaut du paragraphe. Ainsi, pour « réinitialiser » tous les caractères d’un paragraphe, cliquez dans une ligne de ce dernier avant de faire ¢ clic [Ctrl clic] sur l’icône . ATTENTION Évitez d’utiliser ce type d’effacement de remplacements si vous n’avez pas appliqué de style de paragraphe au texte (ou si vous avez rompu le lien qu’il avait avec un style de paragraphe), car la réinitialisation peut faire apparaître le texte de base d’InDesign (Times, corps 12 pt…).
200
Si un paragraphe comporte des caractères ayant différents styles, il est possible de redonner à ces caractères l’aspect du reste du paragraphe, c’est-à-dire de supprimer tous les styles de caractère. Pour cela, cliquez dans le paragraphe, enfoncez les touches Ó∏ [ÓAlt] et cliquez sur le nom du style de paragraphe en surbrillance ou, à défaut, sur [Paragraphe standard] dans la palette Styles de paragraphe. ATTENTION C’est l’ensemble du paragraphe qui sera réinitialisé ; toutes les modifications locales (sur les caractères et sur le paragraphe) seront également effacées.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Les attributs de paragraphe De nombreux attributs de paragraphe sont définis dans la palette Contrôle (option Paragraphe , mais selon la taille de votre écran, la palette peut montrer l’ensemble des attributs de paragraphe, puis ceux de caractère), ou la palette Paragraphe, et les menus locaux respectifs ; pour certains, on peut utiliser la palette Tabulation. ASTUCE Si le ou les blocs ont été sélectionnés avec l’outil Flèche (ou outil Sélection), tous les paragraphes des blocs prendront les attributs choisis.
La plupart des attributs de paragraphe pourront faire l’objet d’une automatisation par la création d’un style de paragraphe (parfois associé à des styles de caractère sous la forme de styles imbriqués). A STUCE Quand vous effectuez une mise en forme des paragraphes, pensez à afficher les caractères invisibles (menu Texte/Afficher les caractères masqués). Cela vous permettra de mieux comprendre le comportement du texte et de visualiser l’étendue de chaque paragraphe.
Palette Contrôle : option Paragraphe g
Retrait gauche g Alignement A g e
Retrait droit
Espace avant
Espace après Listes
Les alignements horizontaux LES DIFFÉRENTS TYPES D’ALIGNEMENTS Ils sont au nombre de huit dans la palette Contrôle et neuf dans la palette Paragraphe : – Trois alignements pour le texte non justifié : • Aligner à gauche . • Centrer . • Aligner à droite .
– Trois pour le texte justifié, la variation s’effectuant sur la dernière ligne, on trouve : • Justifier avec la dernière ligne alignée à gauche . • Justifier avec la dernière ligne centrée . • Justifier avec la dernière ligne justifiée . • La palette Paragraphe propose également Justifier avec la dernière alignée ligne à droite.
– Deux alignements dynamiques liés au type recto ou verso de la page (le dos est au centre de la double page). • Aligner au dos . • Aligner à l’opposé du dos .
Menu des styles y
Styles de paragraphe p g p
Nombre de colonnes
Retraitt de Retrait de d R Retra b de d caractères Césure Cé Césur G ille Grille Nombre de Nombre première automatique ère lignee dernière derni ligne lignes en lettrine en lettrine autom ique
Position P ii Positio du cur curseur
Application rapide p
Bridg Br Bridge idge
Palette Paragraphe et son menu. Alignement Retrait gauche
Retrait droit Retrait à droite de la dernière ligne Espace après Nombre de caractères en lettrine
Retrait de première ligne Espace avant Nombre de lignes en lettrine Césure automatique utomati e
Grille Gri
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
LES PARTICULARITÉS DES TEXTES NON JUSTIFIÉS
Alignements des textes non justifiés. Les véritables crêpes Suzette ont été créées par Escoffier et ne sont jamais flambées. La petite histoire évoque une jeune fille du nom de Suzette, compagne du Prince-de-Galles auquel aurait été proposé ce dessert, mais ce n’est qu’une légende.
Les véritables crêpes Suzette ont été créées par Escoffier et ne sont jamais flambées. La petite histoire évoque une jeune fille du nom de Suzette, compagne du Prince-de-Galles auquel aurait été proposé ce dessert, mais ce n’est qu’une légende.
Aligner à gauche. Centrer. Alignements des textes non justifiés.
Les véritables crêpes Suzette ont été créées par Escoffier et ne sont jamais flambées. La petite histoire évoque une jeune fille du nom de Suzette, compagne du Prince-de-Galles auquel aurait été proposé ce dessert, mais ce n’est qu’une légende.
Aligner à droite.
Les véritables crêpes Suzette ont été créées par Escoffier et ne sont jamais flambées. La petite histoire évoque une jeune fille du nom de Suzet te, compagne du Prince-de-Galles auquel aurait été proposé ce dessert, mais ce n’est qu’une légende.
Les véritables crêpes Suzette ont été créées par Escoffier et ne sont jamais flambées. La petite histoire évoque une jeune fille du nom de Suzet te, compagne du Prince-de-Galles auquel aurait été proposé ce dessert, mais ce n’est qu’une légende.
L e s v é r i ta b l e s c r ê p e s Suzet te ont été créées par Escoffier et ne sont jamais flambées. La petite histoire évoque une jeune fille du nom de Suzette, compagne du Prince-deGalles auquel aurait été proposé ce dessert, mais ce n’est qu’une légende.
Justifier (à gauche).
Justifier (centré).
Justifier (forcé).
Pour appliquer ces alignements à un paragraphe, cliquez dedans et choisissez l’option voulue dans les palettes Contrôle ou Paragraphe. Pour les appliquer à plusieurs paragraphes, sélectionnez-les avant de choisir le type d’alignement ; si vous sélectionnez le bloc avec l’outil Flèche, l’alignement s’applique à tous ses paragraphes. InDesign aligne le texte sur les bords du bloc ou de la colonne (compte tenu des marges intérieures spécifiées dans les options du bloc) : sur le bord gauche pour Aligner à gauche, sur le bord droit pour Aligner à droite, sur les deux bords pour Justifier et au milieu pour Centrer. ASTUCE Avec les textes justifiés, InDesign montre en surbrillance jaune toutes les lignes trop espacées ou resserrées (l’intensité de la couleur augmente avec l’importance de l’infraction). Cette surbrillance jaune n’apparaît que si l’option Infractions de césure et de justification a été cochée dans les Préférences/Composition (menu InDesign [Édition]).
Quand un texte est aligné à gauche, du fait de la présence ou non de la césure, certaines lignes sont plus longues que d’autres. Le menu des palettes Contrôle ou Paragraphe propose la commande Équilibrer les lignes en drapeau pour harmoniser les longueurs des lignes. Les véritables crêpes Suzette ont été créées par Escoffier et ne sont jamais flambées. La petite histoire évoque une jeune fille du nom de Suzette, compagne du Prince-de-Galles auquel aurait été proposé ce dessert, mais ce n’est qu’une légende.
Les véritables crêpes Suzette ont été créées par Escoffier et ne sont jamais flambées. La petite histoire évoque une jeune fille du nom de Suzette, compagne du Prince-de-Galles auquel aurait été proposé ce dessert, mais ce n’est qu’une légende.
Les textes alignés à gauche, sur celui de droite on a appliqué l’option Équilibrer les lignes en drapeau. q g
LES PARTICULARITÉS DES TEXTES JUSTIFIÉS Les retours à la ligne dans un paragraphe justifié Pour envoyer une partie du texte à la ligne suivante sans créer de nouveau paragraphe, vous devez placer un retour à la ligne, ou Saut de ligne forcé, en tapant Ó ‚ (ou menu contextuel Insérer un caractère de saut) ; le texte précédant ce saut forcé est recomposé pour être justifié. Si vous souhaitez que la ligne contenant le saut reste alignée à gauche (ligne non justifiée dans un paragraphe justifié), placez une Tabulation de retrait à droite obtenue en tapant Ó† [Ó Ÿ] (ou menu contextuel Insérer un caractère spécial) suivie d’un Saut de ligne forcé (Ó ‚ ).
Grâcee à cette option op des préférences, préfér r ces, on peut p voir en jaune zones resserrées les zo o é ou étalées.
On veut envoyer cette ette partie à la ligne..
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On crée un nouveau paragraphe aragraphe si s on tape ‚.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Le titre est centré.
Il y a justification ification des lign lignes En tapant unee tabulation et recomposition de retrait à droite position si on tape ta Ó ‚ ite et Ó ‚ : (il n’y a pas dde nouveau paragraphe). raphe). il n’y a pas de recomposition.
Le titre es est justifié entre les marges gauche et droite.
Cette espacee permett une justification correcte des lignes contenant peu d de mots.
Les paragraphes en pavé Pour que le bloc de texte ait une apparence plus régulière, vous pouvez demander à InDesign de réaliser un alignement optique des marges. Pour cela, cliquez dans le texte (avec l’outil Texte ou l’outil Flèche) et lancez la commande Article du menu Texte. Après avoir spécifié le corps du texte, cochez l’option Alignement optique des marges : les ponctuations (virgule, point-virgule…) et les tirets (césure, etc.) sont alors rejetés à l’extérieur du bloc ; de même, certains caractères (V, A, etc.) sont légèrement décalés de manière à créer un pavé plus régulier.
Avec deux ux mots, la justi j fication n’est correcte. ’est plus cor
On a remplacé mplacé l’espace par une espace cadratin.
ASTUCE Composé en colonne étroite, un texte justifié peut ne comporter que quelques mots par ligne. Si la répartition du blanc n’y est pas équilibrée (placé uniquement entre les mots), remplacez les espaces normales par des espaces cadratin.
L’utilisation d’une espace spéciale : espace sans alinéa
Dans le bloc de gauche, les ponctuations nctua sont dans la justification ; à droite, e, elless sont en dehors avec cette option..
L’effet produit par l’espace sans alinéa n’est visible que dans la dernière ligne d’un paragraphe ayant l’option Justifier toutes les lignes . Cette espace sans alinéa place une quantité suffisante d’espace entre le dernier mot de la ligne et un signe de fin d’article pour qu’il s’aligne à droite (ce signe peut être un objet image ancré ou un glyphe d’une police décorative). Utilisée avec du texte non justifié, l’espace sans alinéa apparaît comme une espace normale. Pour placer une Espace sans alinéa, supprimez l’espace normale et utilisez le menu contextuel et son sous-menu Insérer une espace.
Les titres étalés L’utilisation de l’alignement Justifier toutes les lignes permet l’étalement d’un titre. Mais si celui-ci comporte plusieurs mots, l’étalement n’est plus correct : l’espace se place entre les mots au lieu de se répartir entre chaque lettre. Pour qu’il soit correct, remplacez chaque espace entre les mots par une espace Cadratin obtenue par le menu contextuel et le sous-menu Insérer une espace (ou en tapant Ó¢M [ÓCtrl M]).
En fin d’article d’un paragraphe jjustifié , on peut utiliser cette espace..
On a remplacé l’espace espace normale nor par une espacee sans alinéa.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
LES ALIGNEMENTS AU DOS DE LA PAGE Avec l’option Aligner au dos , le texte d’un paragraphe situé sur une page recto s’aligne à gauche (contre la reliure ou dos) ; sur la page verso, il s’aligne à droite (contre le dos). S’il s’étend sur plusieurs pages ou s’il est déplacé d’une page à l’autre, son alignement est modifié en conséquence. Quand à un paragravous appliquez Aligner à l’opposé du dos phe, le texte sur la page recto est aligné à droite, celui sur la page verso est aligné à gauche : cette option s’avère intéressante pour les folios (paginations) ou les titres courants dans les gabarits ; en effet, en fonction de la page où est situé le bloc, le texte s’alignera toujours contre le centre de la double page avec l’alignement au dos (ou à son opposé).
La justification d’un texte curviligne s’effectue uniquement en utilisant l’alignement forcé . Le texte s’étale alors entre les marques gauche et droite mais l’espace est placé entre les mots et non pas réparti entre les lettres. Pour obtenir une justification différente, remplacez les espaces normales par des espaces cadratin ou des espaces de ponctuation.
Le texte s’aligne contre la marque gauche.
Le texte est justifié entre les deux marques (option ).
Les retraits et alinéas LES RETRAITS GAUCHE ET DROIT Avec cet alignement,t, le texte se place placce selo selon n le type de d la page.
A STUCE Le principe d’alignement avec le dos s’applique également avec un objet ancré dont le positionnement varie selon le type de la page (recto ou verso), ainsi, il y aura une harmonisation entre le positionnement du bloc et l’alignement du texte qu’il contient.
Les retraits correspondent au décalage de l’ensemble du texte par rapport aux bords du bloc (ou aux marges intérieures définies dans les options du bloc de texte). Par défaut, les retraits sont nuls, ce qui place le texte contre les bords des marges du bloc. Cette position peut être modi(Retrait gauche) fiée en entrant une valeur dans la case (Retrait droit) des palettes Contrôle ou Paragraphe. ou Pour la tester, tapez Ó‚ ou cliquez dans la case et utilisez les touches Flèche vers le haut ou vers le bas pour modifier le retrait (de 1 mm ou de 10 mm avec Ó). Quand un paragraphe comporte des retraits, l’alignement ou la justification du texte s’effectue par rapport à ces derniers. Ce tit titre possède des retraits gauche et droit. gauc
Ce principe principe p d’alignement avec le dos s’utilise avec les lees objets objetts ancrés (et leur contenu).
retraits gauche ou droit Les re sont ccomptés à partir des marges marg g à l’intérieur du bloc.
LE RETRAIT À GAUCHE DE PREMIÈRE LIGNE OU ALINÉA LES ALIGNEMENTS DES TEXTES CURVILIGNES Les alignements des textes curvilignes (gauche, centré et droit) ne s’effectuent pas à l’endroit où vous avez cliqué sur le tracé mais sur les marques d’alignement (gauche, centrée et droite). Il s’agit de traits verticaux visibles sur le tracé lorsque le texte est sélectionné avec l’outil Flèche. Un glissement de la marque sur le tracé entraîne un déplacement du texte.
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L’alinéa correspond au retrait ou au décalage de la première ligne par rapport à la marge gauche. Il est compté positivement vers la droite, et négativement vers la gauche. Il se définit par la case des palettes Contrôle ou Paragraphe.
L’alinéa positif ou retrait positif de première ligne C’est l’alinéa le plus courant. Il permet de marquer le début d’un nouveau paragraphe en décalant sa première ligne vers la droite.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN Pour le réglage, glissez l’un des triangles : la case X indique la valeur d’alinéa ou de retrait et un trait vertical montre l’alignement que suivra le texte quand vous lâcherez le bouton de la souris. L’alinéa ne peut être négatif qu’avec un retrait gauche. Ces p paragraphes possèdent retrait de première ligne. un re
L’alinéa négatif ou retrait négatif de première ligne Le retrait négatif de première ligne donne une présentation dite en sommaire. Cet alinéa négatif ne peut être employé que s’il y a un retrait gauche (un message le signale). Il est utilisé pour les paragraphes numérotés ou les paragraphes démarrant par une puce ou un tiret ; le plus souvent, l’alinéa et le retrait ont la même valeur au signe près. ASTUCE Afin d’obtenir un alignement correct, il est impératif de saisir une tabulation († [Ÿ]) devant le mot de la première ligne qui doit s’aligner sur le retrait gauche.
Pour une présentation en sommaire (avec ou sans puce, ou numéro), il est préférable d’utiliser les attributs de paragraphe nommés listes, ils donneront le même résultat avec plus de souplesse (les listes sont décrites un peu plus loin dans ce chapitre).
Le retrait à droite de la dernière ligne Il permet de décaler la fin de la dernière ligne par rapport au reste du paragraphe. À l’instar de l’alinéa, le retrait de la dernière ligne ne peut être négatif que s’il y a un retrait à droite. Ce retrait s’avère utile pour régler la position d’une partie de texte située dans la dernière ligne après une tabulation de retrait à droite qui la rejette contre le retrait droit. Dans une table des matières, par exemple, un retrait droit et un retrait de dernière ligne négatif permettront de dégager, sur la dernière ligne, les numéros du reste du paragraphe (chaque numéro aura été précédé d’une tabulation de retrait à droite).
O glis On glisse li sse lle retrait t it gauche h (ou ( de d première iè ligne), li ) un trait t it indique i on lâche. le réglage. régla ga age. g . Le texte est recomposé recompos p é quand q
ASTUCE Si vous déplacez le triangle de retrait gauche, celui de l’alinéa suit le mouvement puisqu’il est défini à partir du retrait ; pour déplacer le retrait seul, enfoncez Ó.
La saisie dans un paragraphe avec alinéa Dans un paragraphe avec alinéa, si vous désirez envoyer une partie du texte à la ligne, vous avez deux possibilités : tapez ‚, c’est le retour chariot ; ou tapez Ó ‚, c’est le retour à la ligne ou Saut de ligne forcé. – Le retour chariot : le texte qui va à la ligne est un nouveau paragraphe, sa première ligne prend un alinéa. – Le retour à la ligne : le texte envoyé à la ligne fait toujours partie du même paragraphe ; il n’appartient donc pas à la première ligne du paragraphe et par conséquent ne prend pas d’alinéa. On veut envoyer cette partie à la ligne.
Les réglages des retraits par la palette Tabulations Pour créer un alinéa et des retraits gauche ou droit, vous pouvez utiliser la palette Tabulations. Pour ce faire, cliquez dans le paragraphe (ou sélectionnez le bloc avec l’outil Flèche) et affichez la palette à partir du menu Texte ou tapez Ó¢T [ÓCtrl T]. La palette se cale en haut du bloc ; sinon, cliquez sur l’aimant . Elle présente deux demi-triangles à gauche, en haut pour l’alinéa, en bas pour le retrait gauche, et un seul à droite pour le retrait droit.
Avec un retour etour chariot, on crée cré un nouveau au paragraphe (donc (don il y a retrait et alinéa)
Avec un retour à la ligne, on o reste dans le même me paragraphe paragrap (il n’y a donc pas d’alinéa).
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 Si le texte est justifié, faites précéder ce saut de ligne d’une espace sans alinéa pour empêcher la justification des mots.
LE CARACTÈRE D’ALIGNEMENT OU R ETRAIT JUSQU’À CE POINT Pour créer rapidement une composition en sommaire (ou sous-liste) à l’intérieur d’un même paragraphe (comportant ou non un retrait de première ligne), vous pouvez utiliser un caractère spécial d’alignement. Pour cela, placez le point d’insertion après le caractère sous lequel le texte doit s’aligner, insérez un Retrait jusqu’à ce point par le menu contextuel (ou menu Texte) et son sous-menu Insérer un caractère spécial/Autre (au clavier, ¢§ [Ctrl μ]) : le texte qui suit s’aligne dès la ligne suivante sous ce signe dont le caractère masqué est (il ne fonctionne qu’au sein d’un même paragraphe). Si vous souhaitez écarter davantage le texte, ajoutez une espace devant le caractère d’alignement. Dans le texte qui suit le caractère de retrait, vous pouvez taper des sauts de ligne forcé pour que le début de chaque ligne créée s’aligne sous ce caractère d’alignement. On veut aligner ces textes texte sous le premier mier tiret.
On veut aligner sous so ce « E » le reste de l’adresse. l’adresse l adresse
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On a ajouté un u Retraitt jusqu’à ce point et des sauts de ligne forcés. forc A STUCE Si le paragraphe comportant le caractère de retrait jusqu’à ce point est justifié, et que vous utilisez des sauts de ligne forcés, il faudra insérer une espace sans alinéa (menu Texte/Insérer une espace) avant chaque saut de ligne forcé pour empêcher la justification de la fin de ligne.
Cette méthode est rapide mais n’est pas automatisable dans un style ; de plus, les réglages sont moins souples et nécessitent une saisie sur chaque paragraphe ayant ce type d’alinéa (par copier-coller ou en utilisant de la fonction Rechercher/remplacer).
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Les listes Nous venons de voir les décalages sur la première ligne du paragraphe. InDesign propose d’ajouter automatiquement des éléments (numéro ou puce) au début du paragraphe ; cette fonction porte le nom de liste. Deux types de listes sont proposés : liste numérotée et liste à puces.
Le paramétrage des listes à puces et numérotées
Les listes numérotées Une fois choisie Numéros dans le menu Type de liste, vous accédez aux réglages de la liste numérotée. Vous devez définir le style de numérotation (format, texte qui accompagne, style du texte, premier numéro) et la position du numéro par rapport au paragraphe (retrait ou non…). Ici, on a choisii Numéro Numéros pour préparer une liste numérotée.
Avant d’appliquer une liste à un paragraphe, vous pouvez définir l’aspect qu’elle aura. Si vous souhaitez le prévisualiser, cliquez dans un paragraphe avec l’outil Texte pour y placer le point d’insertion. Par la suite, la liste que vous allez prédéfinir pourra être appliquée ou non au paragraphe. Pour effectuer le réglage, enfoncez ∏ [Alt] et cliquez dans ou de la palette Contrôle (ces icônes ne sont l’icône visibles que lorsque la palette est affichée avec l’outil Texte et l’option Paragraphe ). Vous pouvez aussi lancer la commande Puces et numérotation du menu de la palette Paragraphe ou Contrôle. Quelle que soit la méthode choisie, c’est la même fenêtre qui apparaît, elle permet de prédéfinir l’aspect d’une liste à puces ou numérotée. Cependant, pour choisir celle qui vous intéresse, cliquez sur le menu Type de liste et sélectionnez Puces ou Numéros à la place de Sans. On doit régler l’aspect et la position des numéros. Par ∏ clic [Alt clic] ici,, on affiche cette fenêtre e ê et on choisit une liste. liste
LE STYLE DE NUMÉROTATION L’option Numéro Par défaut le numéro (représenté par le code ^#) est suivi d’un point et d’une tabulation (de code ^t). Vous pouvez remplacer certains de ces signes par une parenthèse, un tiret, voire un texte particulier (par exemple : « question », « fig. » ou « Figure. », « Tableau.», etc.). Un menu local permet de choisir des caractères spéciaux ou un niveau de liste.
À l’issue du réglage, repassez à l’option Sans si ce dernier ne doit pas s’appliquer au paragraphe. La prochaine fois que fois vous appliquerez une liste, elle aura ce dernier réglage.
Ci co Ci-contre, on a utilisé l’option Numéro par défaut, et pour de Nu paragraphes ci-dessous, on les pa appliqué ce numéro. a app
Comme pout tout réglage d’attributs de paragraphe, il est possible de créer un style de paragraphe utilisant une liste à puces ou numérotée, le réglage de son aspect peut s’effectuer lors de la réalisation de ce style (nous l’aborderons plus loin).
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
L’option Liste
L’option Format
Cette option permet de définir une liste de manière que sa numérotation ne soit pas interrompue par d’autres paragraphes dans le cas où les textes de la liste ne font pas partie du même article ; c’est le cas quand les paragraphes appartiennent à des blocs non liés ou à des documents différents (mais qui composent un livre). La définition d’une liste permet d’étendre la numérotation sur plusieurs blocs.
Le numéro peut s’écrire avec des chiffres classiques (ou arabes 1, 2, 3), romains (I, II, III) ou avec une notation juridique (i, ii, iii) ou alphabétique. Le choix s’effectue par le menu local Format. Les formats
Comme les listes ne sont pas dans le même article, les numéros ne se suivent pas (ils sont identiques) : il faut définir une liste.
de numéro..
ître le numéro. numéro L’option Sans permet de ne pas faire apparaître Cette possibilité s’avère utile quand une série de paragraphes doit systématiquement démarrer par le même texte (que l’on aura saisi dans la case Numéro : cas de dialogues d’interview, de questions-réponses, etc.). En outre, comme nous le verrons plus loin, associée à une liste nommée, cette possibilité peut s’avérer intéressante pour obtenir une réinitialisation automatique à 1 du numéro de la liste située dans le paragraphe suivant. Avec cette liste sans numéro, le paragraphe numé démarrera par le texte déma ici (voir ci-dessous). ssaisi ic
Pour définir la liste, dans le menu local Liste, choisissez Nouvelle liste, puis nommez-la et réglez ses options (actives par défaut).
L’option Mode : suite ou début de la numérotation Par défaut, l’option Mode indique que le numéro suit celui du paragraphe précédent. Ainsi, dans une série de paragraphes de listes numérotées, les numéros se suivent. De plus, si un paragraphe, ne faisant pas partie de la liste, est intercalé entre deux paragraphes d’une liste numérotée, la numérotation continue en respectant la suite des numéros. Ces options ptions pe ptions permettent erm de ne pas interrompre la numérotation.
Ces paragraphes e font partie es d’une liste ; leurs r numéros see rs suivent malgréé lla présence é e des paragraphes « Réponse ».. Ci-dessus, il y a continuité des numéros dans les différents blocs en définissant une liste nommée « figure g » (on ( a ajouté jouté ce c texte).
Quand vous importez une liste numérotée à partir d’un document Word, une liste est automatiquement définie pour ce document (elle est nommée « List1 »). Toutes les listes d’un document (importées ou non) peuvent être gérées à partir de la commande Définir des listes (menu Texte/ Listes à puces et numérotées).
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Si la liste en cours doit redémarrer à 1, effectuez un clic droit sur le paragraphe pour choisir Numérotation recommencer dans le menu contextuel : son numéro reprendra à 1 et les paragraphes suivants seront renumérotés en conséquence. Il est possible de définir un niveau pour chaque liste (par défaut, le niveau 1 est attribué dans le menu local Niveau). Ainsi, quand la liste constitue une sous-liste, il y aura une numérotation différente pour chaque liste et sous-liste. Quand la liste n’est pas de niveau 1 (donc sous-liste de niveau 2, par exemple), il est possible de faire redémarrer sa numérotation à chaque fois qu’elle est précédée par une liste de niveau 1 (dit, niveau précédent).
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN De plus, à l’aide du menu local à droite de la case Numéro, on peut faire apparaître le numéro du niveau précédent devant le numéro de la liste en cours (on aura par exemple : 1.1, 1.2, 1.3).
Cee code indique ind que l’on a ajouté outé le numéro du niveau choisi ici..
Les retraits Par défaut, le Retrait à gauche du paragraphe est de ¼ de pouce (6,35 mm), le Retrait de première ligne est négatif de valeur identique. Le numéro est ainsi dégagé et amené contre le bord du bloc (ou de sa marge intérieure). Ces deux valeurs peuvent être modifiées dans la fenêtre Puces et numérotation et dans la palette Contrôle ou Paragraphe. Vous pouvez modifier ces valeurs, par exemple, pour rapprocher ou écarter le corps du paragraphe du numéro. Cependant, cette opération ne peut se réaliser que si vous commencez par réduire la valeur de Retrait de 1re ligne avant celle de Retrait à gauche.
Ces lis listes tees sont de d niveau 1 ; celle-ci celle-c ll ci (sous-liste) ( l ) est est de d niveau n 2. Ici, I on redémarre red dém marre la numérotation numérotattion après ap près un niveauu précédent. précéédent.
L’aspect du numéro Par défaut, la numérotation utilise les attributs du premier caractère du paragraphe (police, taille, couleur…). Pour en choisir d’autres, avant de régler l’aspect de la liste, préparez un ou plusieurs styles de caractère, ils deviendront accessibles dans la fenêtre Puces et numérotation dans le menu local Style de caractère et définiront l’aspect des numéros.
L va Les vvaleurs alleurs saisies i i ici i i se retro retrouveront to t ddans lles palettes l tt C Contrôle t ôl ou Paragraphe. a aragraphe.
Si les retraits sont nuls, la deuxième ligne du paragraphe se place contre le bord du bloc (sous le numéro). La case Position de la tabulation permet alors de régler l’écartement entre le numéro et le texte qui le suit dans la première ligne.
Les listes à puces Comme pour la liste numérotée, pour régler cette liste de enfoncez la touche ∏ [Alt] et cliquez dans l’icône la palette Contrôle. Deux réglages doivent être effectués : celui de l’aspect de la puce et celui de sa position. Pour mettre tre en forme ces liste listes, on a utiliséé ce style de caractè caractère.
L A POSITION DE LA NUMÉROTATION La position du numéro (il en sera de même pour les puces) s’établit dans la partie basse de la fenêtre Puces et numérotation, avec un alignement et des retraits.
Les alignements Par défaut, l’alignement s’effectue à gauche : le numéro se place contre le retrait gauche (s’il y en a un). L’Alignement à droite permet, lorsque le numéro comporte un ou deux chiffres, d’avoir un alignement sur le chiffre à droite.
Une liste à un, puis deux chiffres avec alignement à droite.
Deux types dee réglages : l’aspect de la puce et sa position. position
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
L’ASPECT DE LA PUCE Si vous ne souhaitez pas utiliser l’une des puces existantes, vous pouvez en ajouter de nouvelles dans la grille Puce (bouton Ajouter). Chacune d’elles est définie par un codage Unicode ; si ce codage n’existe pas dans la police active, la case de la puce apparaît en rose pour indiquer qu’elle sera substituée. Pour éviter ce remplacement, lorsque vous choisissez la puce, mémorisez la police qui lui est associée, il est également possible d’affecter un style de caractère à la puce (cela permet d’en changer la taille ou la couleur, par exemple).
ASTUCE Si vous avez défini une puce avec une police mémorisée, il faudra la supprimer et la recréer pour la définir sans police associée.
L A POSITION DE LA PUCE Ce réglage est identique au réglage de position de la numérotation dans une liste numérotée : vous pouvez spécifier des retraits ou un alignement à gauche suivi d’une tabulation.
La conversion d’une liste
La puce peut être définie ie avec un gglyphe lyyphe d’une d une autre police. police
Dans une liste il n’est pas possible de sélectionner le numéro (ni le texte qui l’accompagne) ou la puce, ni d’utiliser des fonctions de recherche pour y accéder. Pour pallier ce problème ou pour rendre les paragraphes indépendants mais garder leur numérotation, vous devez convertir la liste en texte à l’aide de la commande Convertir puce et numérotation en texte dans le menu Texte/Listes à puces et numérotées (ou contextuel ou de la palette Paragraphe). Les paragraphes perdent leur attribut de liste et leurs premiers caractères deviennent accessibles et sont suivis d’un caractère de tabulation. Ils pourront, par exemple, être mis en forme par un style imbriqué.
Les puces classiques avec un tiret et avec un caractère mis en forme par un style de caractère.
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L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
La composition des textes La composition verticale du texte Dans les paragraphes qui suivent, nous allons nous intéresser à la façon dont InDesign règle les espacements entre les lignes et/ou entre les paragraphes, c’est-à-dire la façon dont il compose le texte verticalement.
LES ESPACES AVANT ET APRÈS Les palettes Contrôle ou Paragraphe proposent deux cases et/ou en despour placer du blanc (ou espace) au-dessus d’un paragraphe. Le réglage s’effectue en cliquant sous dans la case et en tapant une valeur, ou en cliquant dans la case et en utilisant les touches fléchées. Dans tous les cas, vérifiez l’étendue de la sélection avant d’entrer des valeurs ; en effet, dans le cas d’une sélection comportant plusieurs paragraphes, seul un blanc avant le paragraphe sera nécessaire.
LES COUPURES DE PARAGRAPHES Le menu local de la palette Paragraphe ou de la palette Contrôle (activée avec l’outil Texte et avec l’option Paragraphe ) permet d’accéder à la rubrique Options d’enchaînement (au clavier, tapez ∏¢ K [Ctrl Alt K]). Celle-ci affiche une fenêtre dans laquelle se spécifie le comportement des paragraphes quand ils se trouvent à cheval sur deux colonnes ou deux pages. En effet, comme pour les césures au niveau des mots, vous pouvez définir d’une part, si le paragraphe est sécable ou non, comment il doit être coupé… autrement dit, gérer les coupures de paragraphes, et d’autre part, choisir l’endroit où il doit démarrer : sur une nouvelle colonne, sur une nouvelle page, etc.
Ici, Ic ci, on ggère la coupure ci du paragraphe. ééventuelle ventu Ici,i, on gère la position du paragraphe dans la composition. On veut écarter cee tte texte xte een italique italiqu ue des paragraphes paragraph agraphe qui l’entourent (titre de la recette rec tte et description). deescription).
La solidarisation des paragraphes Pour éviter qu’un paragraphe de titre (ou d’intertitre) ne se retrouve seul en bas d’une colonne (ou d’une page) alors que le texte courant continue sur la colonne (ou page) suivante, spécifiez dans la case Paragraphes solidaires, le nombre de lignes du paragraphe suivant à solidariser au titre (ou à l’intertitre). Si le paramétrage ne peut pas être respecté, le paragraphe est rejeté intégralement ou partiellement à la colonne ou à la page suivante.
Avecc cette valeur, valeur on « attache » le paragraphe actif au suivant. Pour les paragraphes, on utilise les commandes our écarter le mandes d’espace mand avant vant et après (les visuels à droite des textes étant ant des objets ancrés, déplacent également). é ils il se dé A STUCE Pour aérer une composition, n’ajoutez pas des retours chariot pour créer des lignes vides ; ces opérations, pratiques pour les petites saisies, ne sont pas automatisables dans des styles de paragraphe et ne permettent pas un réglage aussi souple que les espaces avant ou après.
Les paragraphes insécables Pour qu’un paragraphe ne soit pas coupé entre deux colonnes ou deux pages, cochez les options Lignes solidaires, puis Toutes les lignes du paragraphe. Le paragraphe auquel cette option est affectée sera automatiquement rejeté à la colonne ou à la page suivante. C’est l’option qui a été choisie pour tous les paragraphes de ce livre.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 On a éliminé la ligne veuve avec a ec ces réglages. ég
Ce parag paragraphe graph he est e t coupé sur deuxx colonn colonnes.. Avec cette option, on empêche sa coupure, il empê passe à la colonne suivante.
Dans le cas de la veuve, s’il ne peut respecter le nombre minimal de lignes en bas de la colonne, il rejettera la totalité du paragraphe sur la colonne (ou la page) suivante. Lorsque des lignes sont renvoyées vers une autre colonne ou page, un blanc plus ou moins important peut apparaître en bas de la page ou de la colonne. Il faudra le combler par un réglage d’approche ou d’interligne ou encore par une justification verticale par les options du bloc. ASTUCE Dans le cas d’une ligne veuve, si celle-ci est creuse (c’est-à-dire d’une longueur inférieure à un tiers de la justification), on peut parfois régler le problème en réduisant l’approche du ou des paragraphes qui précèdent.
La position du paragraphe Les veuves et les orphelines La veuve est la dernière ligne d’un paragraphe, isolée en haut d’une colonne ou d’une page. L’orpheline est la première ligne d’un paragraphe qui se trouve isolée au bas d’une colonne ou d’une page.
Si vous souhaitez qu’un paragraphe démarre systématiquement en haut de la colonne ou de la page suivante (si les chaînages ont été réalisés), utilisez le menu local Début du paragraphe et choisissez l’option voulue : Colonne suivante, Bloc suivant, Page suivante… Ce réglage peut s’avérer utile pour les titres qui doivent apparaître en haut de colonne ou de page. Il pourra être configuré dans un style de paragraphe qui sera systématiquement affecté aux paragraphes concernés.
Dans ce bloc justifié verticalement, vertic paragraphe ce pa comporte une ligne comp veuve. veuve
Pour éviter l’apparition de ce genre de lignes, cochez les options Lignes solidaires, puis Au début/à la fin du paragraphe et entrez une valeur dans les cases Début et Fin. Celles-ci indiquent à InDesign le nombre minimal de lignes qui doit figurer en début ou en fin de colonne ou de page.
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Ces deux ux titres d doivent être pl placés en tête de colonne.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN En tant qu’attribut de bloc de texte, un alignement vertical peut faire l’objet d’un style d’objet et permettre l’automatisation du formatage des blocs. Ce réglage se réalise dans la fenêtre Options de bloc de texte (menu Objet ou ¢ B [Ctrl B] ) ou dans la palette Contrôle quand l’outil Flèche est actif. On distingue quatre types d’alignement : Aligné en haut (option par défaut), Centré , Aligné en bas et Justifié verticalement .
Les réglages d’alignementt vertical vertical du texte dans le bloc. Avecc cette option A option, n, les titres titr trres se trouvent trou uvvent en tête de colonne.
De même, vous pouvez utiliser cette option d’enchaînement avec une liste de paragraphes (légende, crédit photo…) que vous souhaitez placer dans une série de blocs préalablement chaînés. Les textes couleront d’un bloc à l’autre quelle que soit la taille du bloc.
La justification verticale Quand vous affectez au bloc l’option Justifié (pour aligner des bas de colonnes, par exemple), le blanc situé en bas du bloc se répartit entre les lignes de texte, et le bas du texte se cale contre le bord inférieur du bloc (ou ses marges intérieures, s’il y en a) : il y a justification verticale. L’interligne du texte peut s’en trouver modifié.
On O n a ssaisi une liste et chaîné chaîîné les blocs bllocs (ils ( ls (il pourraient po ourrraient figurés sur des pages es différentes). différen différ n
Les textes ne se terminent inent pas à la même mêm me hauteur. hauteur On utilise l’alignement ent Justifierr pour aligner alligner le bas ba a des paragraphes dee l’interligne). aph hes h es (ce (ceci engendre une modification modifi l inter e ligne
Pour tous les paragraphes, aragrra raphess, on a réglé les options ns d’enchaînement d’en n nchaîn nemeent sur Bloc suivant. t
LES ALIGNEMENTS VERTICAUX Les options de bloc de texte Nous avons déjà parlé des alignements verticaux du texte dans le chapitre consacré à la gestion du texte (voir page 131). Rappelons qu’il ne s’agit pas d’un attribut de paragraphe mais d’une option de bloc et qu’en tant que telle, elle se règle pour le bloc quel que soit son contenu.
Pour éviter une modification trop importante de l’interligne, il est possible de demander à InDesign de commencer par écarter les paragraphes entre eux puis de répartir l’espace restant entre les lignes. L’écartement maximum des paragraphes se définit dans la fenêtre Options de bloc de texte dans la case Limite d’espacement des paragraphes. Si vous souhaitez que l’interligne ne soit pas modifié, n’hésitez pas à saisir une très grande valeur.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
L’interligne est rectifié en augmentant g ant cette valeur. val
ASTUCE Vous pouvez profiter du réglage de justification dans la fenêtre Options de bloc pour ajouter une marge de pied à l’intérieur du bloc afin de réduire l’espace à répartir et remonter le bas du texte (voir ci-dessus).
Dans cette composition, on, on souhaite aligner on alig gner le gner les lignes lignes des dees paragraphes et les bass de colonnes.
Ce type de justification ne convenant pas toujours, il faudra parfois avoir recours à la grille, c’est ce que nous allons voir maintenant.
Les grilles de ligne de base Les grilles de ligne de base constituent un moyen de régler l’interligne et les problèmes d’alignement de bas de colonnes ou de pages, ou de justification verticale du texte.
LE PRINCIPE DE LA GRILLE En plus de la grille du document (grille de repères qui facilitent les alignements optiques et magnétisent les blocs), InDesign propose des grilles de ligne de base : il s’agit d’un ensemble de lignes de repère possédant un magnétisme particulier. Une fois appliquée, la grille force les lignes de base d’un paragraphe à s’aligner sur ses lignes de repère. Cela permet d’éviter les décalages entre les lignes de base des textes en colonne ou des pages en vis-à-vis. En contrepartie, selon le mode d’application, l’interligne est « bloqué » ; il est lié à l’espacement des lignes de la grille. InDesign propose deux grilles de ligne de base : l’une pour l’ensemble du document, et l’autre, réglable par bloc. Dans les deux cas, la mise en œuvre d’une grille comporte trois étapes : affichage, préparation (ou réglage) et application aux paragraphes par les palettes Contrôle ou Paragraphe. L’utilisation des styles d’objet et de paragraphe (étudiés en détail plus loin) facilite l’application à une série de blocs ou de paragraphes.
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On a obtenu les alignements ents à l’aide ents l aide de la la grille. grill grille
L’AFFICHAGE DE LA GRILLE DE LIGNE DE BASE Il est indispensable d’afficher la grille pour faciliter son réglage. Cette opération s’effectue avec la commande Afficher la grille de ligne de base du menu Affichage puis Grilles et repères (au clavier ∏ ¢ ’ [Ctrl Alt ’]). Les lignes de grille apparaissent en bleu clair mais la couleur peut être changée dans la fenêtre des préférences affichée par ∏ clic [Alt clic] sur l’icône de la palette Contrôle (ou par Préférences, puis Grilles du menu InDesign [Fichier]). Comme nous allons le voir, c’est également dans cette fenêtre que la grille de ligne de base du document se règle ; cependant, elle ne reste visible que si le taux d’affichage est supérieur à la valeur Seuil.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN La position relative au haut de la page La valeur 0 place la première ligne de la grille contre le bord supérieur de la page. Haut de page est utile quand le bloc ne se situe pas contre la marge supérieure de la page. Dans ce cas, la valeur de Début doit être voisine de celle du Y du bloc contenant le texte à aligner (valeur qui peut être lue dans la palette Contrôle si le bloc de texte est sélectionné avec l’outil Flèche) à laquelle on ajoute la valeur du corps du texte. O a affiché la grille du On règle document,, on la règ d g ici.
Début (Haut de page) = Y du bloc (en mm) + corps (en pt) À l’issue du réglage, la première ligne de la grille doit se situer très légèrement sous la première ligne du texte à aligner. Si elle est trop près du texte ou si elle le touche, la première ligne du texte sautera à la deuxième ligne de la grille. Pour faciliter le réglage, n’hésitez pas à zoomer le haut du bloc pour mieux visualiser la position de cette première ligne par rapport au texte. La position relative à la marge supérieure (de la page)
ASTUCE Si vous utilisez la grille de ligne de base définie pour le bloc sélectionné, cette dernière ne sera visible que si vous avez d’abord affiché la grille de ligne de base du document.
La préparation diffère légèrement selon qu’il s’agit de la grille pour le document ou de celle pour le bloc.
L A PRÉPARATION DE GRILLE DE LIGNE DE BASE DU DOCUMENT
Cette grille sera identique sur toutes les pages du document. Elle se règle dans la fenêtre des préférences (qu’il y ait un texte ou non). Son réglage comporte deux paramètres principaux : la position de la première ligne de la grille ou Début et l’espacement entre les lignes de la grille ou Pas. Les deux paramètres res fondamentaux dans ns le réglage de grille.
Avec l’option Marge supérieure, la valeur 0 place la première ligne contre la marge de tête de la page (elle correspond au bord supérieur du bloc de texte type s’il y en a un). Avec cette option, les lignes n’apparaissent qu’à l’intérieur des marges du document, c’est-à-dire à l’intérieur du bloc de texte type (comme pour les grilles de bloc abordées plus loin). Si le bloc est placé contre la marge supérieure, la valeur Début doit généralement être égale aux 2⁄3 de l’interligne du texte à aligner. Début (Marge supérieure) = 2⁄3 de l’interligne (en pt) ASTUCE Quand vous saisissez une valeur en points, n’oubliez pas d’écrire l’unité (pt) à la fin de la saisie. Pour éviter cet oubli, réglez les unités verticales en points au lieu de millimètres, dans la rubrique Unités et incréments des préférences.
Le pas de la grille de ligne de base du document La position de la première ligne de la grille du document La valeur de la case Début, correspond à la position de la première ligne de la grille. InDesign propose deux possibilités (Haut de page et Marge supérieure du document) pour définir cette position, le choix s’effectuant par le menu local Relative à.
Dans la case Pas, la valeur que vous entrez doit être égale (ou éventuellement supérieure) à l’interligne du texte. Vous pouvez saisir cette valeur en points (en précisant l’unité : pt), InDesign la convertira en millimètres. Si le pas est inférieur à l’interligne, les lignes du texte se caleront sur la grille de ligne de base, mais en sautant une ligne de grille sur deux. Pas = (ou >) interligne du texte (en pt) C avec C’est a l’interligne Pas. que l’on q l’o règle le P Pas a .
A ccette Avec ette option, la première positionne p premi ère ligne se po rapportt à cette par ra p tt marge.
InDesign a converti en pt.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
La grille de ligne de base du bloc
Les avantages de ce type de grille par rapport à celle du document sont multiples :
Cette grille est prioritaire sur la grille de ligne de base du document.
– La grille peut être personnalisée sur chaque page et
Les réglages
– Sa mise au point est facilitée par l’aperçu.
Pour régler cette grille, sélectionnez le bloc — par exemple, cliquez dans le bloc avec l’outil Texte — et lancez la commande Options de bloc de texte du menu Objet (au clavier ¢ B [Ctrl B]). Sélectionnez ensuite l’onglet Options de ligne de base puis cliquez sur Utiliser la grille de base personnalisée : la grille s’affiche à l’intérieur du bloc ; elle a la couleur du calque mais vous pouvez personnaliser cette couleur pour la distinguer des autres grilles.
– Un déplacement du bloc entraîne celui de sa grille (sauf
ASTUCE La grille de ligne du bloc s’affiche avec celle du document. Si cette dernière vous gène, réglez l’option Relative à sur Marge supérieure ou changez sa couleur pour le blanc.
chaque bloc.
si vous avez choisi l’option Marge supérieure de la page ou Haut de page).
– Des blocs voisins, contenant des légendes de photo par exemple, pourront avoir le même réglage de grille (relatif à la page, par exemple), mais différent de celui de la grille du document : leur contenu s’alignera facilement sans avoir à placer des repères.
La grille du bloc et les styles d’objet La grille du bloc présente un autre avantage : son réglage peut être intégré dans un style d’objet. Cette possibilité facilitera son application répétée ainsi que ses mises à jour. En effet, elles pourront s’effectuer à partir du style sans avoir à sélectionner le bloc.
On peut inclure le réglage age de la grille g de ligne de base dans le style.
La grille de ligne de base et les objets ancrés La grille du bloc en orange ange avec celle du d document ument een bleu (visible ible hors du bloc). bloc
Son réglage, facilité par l’aperçu, s’effectue selon les mêmes critères que pour la grille de ligne de base du document. Le menu Relative à propose quatre options de positionnement de la première ligne. Deux relatives à la page, Haut de page et Marge supérieure (de la page) ; et deux (les dernières) relatives au bloc, Marge supérieure (il s’agit de la marge intérieure du bloc) et Haut de bloc. Le positionnement par défaut (Marge supérieure) est sur la marge intérieure du bloc, il coïncide avec le haut du bloc quand la marge intérieure est nulle.
Vous pouvez appliquer la grille au paragraphe d’un texte situé dans un bloc ancré mais ses lignes de texte s’aligneront en utilisant la grille de ligne de base du document et non pas celle du bloc de texte dans lequel l’objet est ancré (s’il en possède une). Pour pallier ce problème, définissez une grille dans le bloc ancré ; son réglage peut être identique ou différent de celui du bloc où s’est fait l’ancrage.
L’APPLICATION DE LA GRILLE DE LIGNE DE BASE InDesign propose deux modes d’application de cette grille : au paragraphe entier ou uniquement à sa première ligne.
L’application au paragraphe entier ATTENTION Quand vous essayez de régler la grille du bloc, si l’aperçu ne la montre pas, c’est que vous avez oublié de lancer la commande qui permet de l’afficher (Ó¢ ’ [Ctrl Alt ’]).
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Pour obtenir l’alignement des lignes du texte sur la grille, sélectionnez le ou les paragraphes concernés (ou encore le bloc avec l’outil Flèche), puis cliquez dans la case d’alignedes palettes Contrôle ou Paragraphe. ment sur la grille
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
L’application aux autres paragraphes
L’application à la première ligne du paragraphe
Pour appliquer la grille à d’autres paragraphes, vous pouvez utiliser un style de paragraphe (voir plus loin). Cependant, si vous n’en avez pas fait et ne comptez pas en faire, vous pouvez appliquer la grille en utilisant l’outil Pipette.
Pour éviter le problème de la prépondérance du pas de la grille sur l’interligne (voir également ci-après, les modifications de l’interligne), InDesign propose une alternative intéressante. Au lieu d’aligner toutes les lignes du paragraphe sur la grille de ligne de base, vous pouvez n’aligner que sa première ligne ; les autres lignes s’espacent alors suivant les valeurs d’interligne spécifiées dans la case Interligne ( ) de la palette Caractère ou Contrôle (option Caractère ) et non plus selon le Pas de la grille de ligne de base.
La méthode comporte trois étapes :
1. Par double-clic sur l’outil Pipette dans la palette Outils, commencez par la régler pour ne transférer (en les gardant cochés) que les attributs de paragraphe ou mieux, uniquement l’attribut Aligner sur la grille.
Pour mettre en place cet alignement, cliquez dans le paragraphe aligné sur la grille (avec l’option ) et lancez la commande Aligner seulement la première ligne sur la grille du menu local de la palette Contrôle (option Paragraphe ) ou de la palette Paragraphe.
On rè règle la pipette pour qu’elle ne prélève que qu’ell attribut. cet a
2. Avec la pipette vide
, cliquez dans un paragraphe déjà aligné sur la grille pour prélever l’attribut voulu.
3. Avec la pipette devenue pleine
, cliquez sur chacun des paragraphes à aligner sur la grille.
On prélève pr l’attribut sur paragraphe le premier pre que l’on l’ a aligné sur grille. la gril
Avec cette pipette, te, on clique sur les différents férentss paragraphes pour lles aligner sur la grille.
Si on applique la grille à ce paragraphe, para raphe, les alignements alignement sont corrects mais l’interligne erligne ne convient con ent plus (le texte se place pla une ligne sur deux car l’interligne est supérieur au pas de la grille). l’i li
Pour réctifier, on peut utiliser cette option d’application n de la grille uniquement à la première ligne : le texte reprend alors son interligne ne dès la deuxième uxième ligne. l
A STUCE Cette commande d’alignement de la première ligne peut faire l’objet d’un style de paragraphe (nous en reparlerons plus loin dans ce chapitre). Dans la fenêtre de définition du style y de paragraphe, retrouve les options on re d’application de la grille. d’app
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
LES MODIFICATIONS DE LA GRILLE Bien que la grille soit appliquée, le début et le pas de la grille peuvent être à nouveau réglés.
Les déplacements du texte La position de la première ligne (liée à la valeur de Début) permet de descendre ou de remonter le texte dans le bloc de façon à le positionner correctement par rapport au haut du bloc. Si la première ligne de la grille est vide, c’est que la distance entre celle-ci et le haut du bloc est insuffisante pour que InDesign y place une ligne de texte. Si vous déplacez le bloc de texte, le comportement du texte dépend de la nature et du réglage de la grille.
– Le texte garde sa position dans le bloc s’il s’agit d’une grille de bloc définie relativement à Marge supérieure (à l’intérieur du bloc) ou Haut du bloc.
– Il reste en place par rapport à la page s’il s’agit d’une grille pour le document ou pour le bloc mais définie relativement à la Marge supérieure (de la page) ou au Haut de la page. S’il y a une photo habillée par un texte aligné sur la grille, celui-ci ne bougera pas si vous déplacez un peu l’image : il reste bloqué sur la grille.
Si vous modifiez le pas de la grille ou l’interligne, assurezvous que la condition précédente est toujours remplie. Cette condition n’a plus à être respectée quand il n’y a que la première ligne du paragraphe alignée sur la grille. Si la grille est définie dans un style d’objet, sa mise à jour s’effectue par modification du style ; elle sera répercutée sur les styles qui dépendent de ce style de base. ATTENTION Si l’interligne du texte est plus grand que le Pas de la grille, les lignes du texte seront trop espacées (une ligne de grille sur deux sera utilisée pour aligner le texte).
Dans les paragraphes suivants, nous allons nous intéresser à la façon dont InDesign règle les espacements entre les mots et/ou les lettres, c’est-à-dire la façon dont il compose le texte horizontalement.
La composition horizontale du texte LES COMPOSITEURS DE TEXTE InDesign peut composer les lignes d’un texte selon deux méthodes : la première s’effectue ligne par ligne à l’aide du compositeur ligne simple ; la seconde, compose le texte en prenant en compte plusieurs lignes à l’aide du compositeur de paragraphe. Le choix du compositeur s’effectue dans le menu local de la palette Paragraphe ou dans la fenêtre de la commande Justification (voir plus loin). Deux exemples de compositions (les différences ne sont pas toujours aussi visibles).
Ce tex ttexte te est al aligné sur la grille, si on déplace é ace la photo, épl ph les lignes du texte restent en place.
Compositeur de paragraphe.
Les modifications de l’interligne avec la grille Dans un texte aligné sur la grille, l’interligne est fixé par l’espacement des lignes de la grille. Pour le modifier, changez la valeur du Pas dans les Préférences de Grilles ou les Options de bloc de texte selon la nature de la grille. Pour que la grille s’applique correctement, réglez éventuellement la valeur de l’interligne dans la palette Contrôle ou Paragraphe. La condition suivante doit toujours être respectée : Interligne = (ou <) Pas de la grille
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Compositeur ligne simple.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Le compositeur ligne simple Adobe Ce compositeur fonctionne de manière traditionnelle : le texte est composé ligne par ligne. Utilisez ce compositeur si vous préférez contrôler manuellement les sauts de ligne. Il utilise les règles suivantes : avant de créer une coupure de mot, il commence par réduire ou augmenter les espaces intermots ; il coupe le mot plutôt que de réduire ou d’augmenter l’interlettrage. Si l’espacement doit être modifié, il se fera de préférence dans le sens d’une diminution. ASTUCE C’est le compositeur de paragraphe qui doit être activé si vous voulez rendre efficace la commande Équilibrer les lignes en drapeau du menu local des palettes Contrôle ou Paragraphe.
Le compositeur de paragraphe Adobe Le compositeur de paragraphe est actif par défaut. Il prend en considération des coupures possibles sur toutes les lignes du paragraphe. Lors d’une saisie, les lignes précédentes sont recomposées et optimisées afin d’éliminer les coupures inesthétiques. Les espaces intermots et interlettres sont redistribués sur l’ensemble des lignes de manière à obtenir un gris typographique plus harmonieux et plus régulier. L’utilisation du compositeur de paragraphe entraîne un espacement plus régulier et moins de césures. Sur une plage de lignes, InDesign analyse les sauts de lignes possibles et leur attribue des pénalités plus ou moins importantes en fonction de critères prédéfinis. Une fois l’évaluation terminée, InDesign compose les lignes en utilisant les sauts qui contiennent le moins de pénalités. Les principaux critères de pénalisation sont liés aux espacements et aux césures. Pour les espacements, la plus grande importance étant accordée à la régularité de l’espacement des lettres et des mots, un saut de ligne est d’autant plus pénalisé qu’il entraîne un écart important par rapport à l’espacement optimal — défini dans la commande Justification du menu local des palettes Contrôle ou Paragraphe. Pour les césures, l’absence de césure étant privilégiée, le saut de ligne qui nécessite une césure est davantage pénalisé que celui qui crée un espacement irrégulier.
LES ESPACEMENTS INTERMOTS ET INTERLETTRES Les espacements se règlent à partir de la commande Justification du menu de la palette Contrôle ou de la palette Paragraphe. Les réglages que vous spécifiez dans la fenêtre Justification influent sur le comportement du compositeur. Ces réglages ont pour principal objectif de donner à InDesign une liberté d’action dans la composition des lignes d’un texte justifié.
La fenêtre de réglages de la justification.
En effet, celui-ci pourra utiliser une plage de valeurs (entre Maximum et Minimum) pour définir les espacements entre les mots et les lettres, de manière à remplir la ligne.
Les intermots La rubrique Intermots permet d’indiquer à InDesign l’espacement entre les mots. Il est exprimé en pourcentage de l’espace intermot normal (pour la police et le corps utilisés). Il y a deux cas à envisager : celui de textes non justifiés et celui de textes justifiés. Avec un texte non justifié Dans le cas d’un texte non justifié, 100 % correspond à une espace d’un quart de cadratin dans la police considérée ; elle est obtenue en tapant sur la barre d’espace. InDesign espace les mots en utilisant systématiquement la valeur de la case Optimum d’Intermots. Néanmoins, celle-ci doit demeurer supérieure à la valeur Minimum et inférieure à Maximum. Avec un texte justifié Quand InDesign justifie un texte, il essaie d’espacer les mots en utilisant la valeur de la case Optimum d’Intermots ; si ce n’est pas possible, il utilise la valeur la plus proche comprise entre Minimum et Maximum. La valeur minimale est toujours respectée, mais la valeur maximale peut être dépassée si InDesign ne peut pas justifier la ligne autrement, comme dans le cas où il n’y aurait pas de coupure de mot. Ces infractions peuvent être mises en surbrillance jaune (plus ou moins foncé selon leur importance) grâce au réglage des Préférences, rubrique Composition. Ces surbrillances sont masquées quand on passe à l’affichage en mode Aperçu (icône du bas de la palette Outils). Quand ces options sont cochées, InDesign montre en jaune les problèmes d’espacement. p
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L’interlettrage
LES CÉSURES AUTOMATIQUES
Il s’agit des valeurs concernant l’espacement souhaité entre les caractères (exprimées en pourcentage d’un quart de cadratin). Pendant la justification, InDesign essaie d’espacer selon la valeur de la case Optimum d’Interlettrage.
Par défaut, l’option Césure des palettes Contrôle et Paragraphe est cochée, ainsi InDesign peut couper les mots pour composer les lignes d’un paragraphe. Cependant, vous pouvez spécifier la façon dont les césures doivent se faire en affichant la fenêtre Paramètres de césure depuis la commande Césure du menu des palettes Contrôle ou Paragraphe.
S’il ne le peut pas, il fait varier l’espace intercaractère entre les valeurs Minimum (qui peut être négative) et Maximum. La valeur minimale est toujours respectée. Comme pour l’intermot, seule la valeur de la case Optimum est utilisée pour les textes non justifiés. A STUCE Dans le cas de textes situés dans des colonnes étroites avec le compositeur de paragraphe, vous obtiendrez un gris typographique plus régulier avec moins de coupures de mots en appliquant des valeurs Minimum et Optimum d’intermots inférieures à 100 % et en attribuant à l’interlettrage une valeur négative au Minimum et faiblement positive à l’Optimum.
Si on n décoche cette op option, option il n’yy a pas de césure aautomatique.
Les réglages de césure. césure
Les réglages de césure
Avec des valeurs réduites d’intermots, un minimum d’interlettrage négatif et une faible valeur positive pour l’optimum, on obtient moins d’infractions : le gris typographique est plus régulier.
Dans la fenêtre Césure, vous pouvez alors choisir : – le nombre de caractères du plus petit mot coupé (plus le chiffre est grand, moins il y aura de coupures) ; – le nombre minimal de caractères avant et après la coupure, c’est-à-dire avant et après le tiret de césure ; – le nombre de césures consécutives (souvent 2 ou 3) ; – l’équilibre entre espacements et nombre de coupures ; – la césure ou non des mots en majuscules ; – la césure ou non entre deux colonnes ; – la césure ou non du dernier mot du paragraphe.
La déformation des glyphes (dessin des caractères) Afin d’augmenter la liberté d’action d’InDesign dans la composition du texte (en évitant au maximum les césures de mots), vous pouvez, dans une certaine limite qui reste à définir, l’autoriser à déformer les caractères en entrant des valeurs dans les cases Minimum et Maximum de la rubrique Mise à l’échelle glyphe. Pour les textes non justifiés, saisir une valeur dans la case Optimum reviendrait à modifier l’échelle des caractères dans des palettes Caractère ou Contrôle. Avec le compositeur ligne simple, la plage de valeurs doit être faible pour obtenir une composition régulière, alors qu’elle doit être plus élevée dans le cas du compositeur de paragraphe, de manière à favoriser les bons sauts de lignes par rapport aux mauvais. Pour éviter une distorsion importante des lettres, limitez la déformation à environ 2 %.
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A STUCE Avec le compositeur ligne simple, il peut arriver qu’une ligne comprenne un mot qui aurait dû être coupé mais ne l’est pas du fait du nombre de césures consécutives. Ce mot est donc rejeté à la ligne et provoque des espacements importants entre les mots — une surbrillance le signale. Pour les atténuer, modifiez les approches pour réduire l’encombrement de certaines lignes ou empêchez (ou modifiez) une coupure sur une ligne précédente (voir plus loin les césures).
La zone de césure Elle ne concerne que les textes non justifiés utilisant le compositeur ligne simple. L’option zone de césure permet de spécifier à quelle distance de la fin de la ligne doit s’effectuer la coupure du mot.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN L’équilibre entre espacements et nombre de césures
L’absence de coupures de mots
La fenêtre Césure propose un réglage par curseur pour réduire le nombre de césures au détriment des espacements ou, inversement, améliorer les espacements au détriment du nombre de césures.
Dans un paragraphe ayant un alignement à gauche, si vous désirez qu’aucune césure ne soit faite par InDesign, supprimez la coche de l’option Césure des palettes Contrôle ou Paragraphe.
L A LANGUE DE CÉSURE Afin que les coupures de mots soient adaptées au texte, il est important de définir la langue de césure identique à celle de saisie. Elle se définit dans la palette Caractère ou dans la palette Contrôle (option Caractère), sous la liste des styles de caractère.
Valeur par défaut, il y a un compromis entre espacements et coupures. On peut modifier les espacements en augmentant ou en réduisant le nombre de coupures de mot dans p le paragraphe.
A STUCE Si vous effectuez des réglages dans la fenêtre Césure sans avoir sélectionné le moindre bloc ni le moindre texte, les réglages deviendront le paramétrage par défaut qui s’appliquera aux futures saisies ou importations de textes bruts. De même, la fenêtre Césure pourra être personnalisée dans un style de paragraphe.
LES CÉSURES MANUELLES La césure conditionnelle : création ou modification
La césure proposée et exception de césure Sélectionnez un mot, lancez Dictionnaire du menu Édition puis Orthographe, et cliquez sur Césure. InDesign vous indique les césures possibles pour ce mot.
En n cli cliquant iquant ici, InDesign In nDessign indique comment co omm il coupe mot sélectionné lee mo le texte (ici, le d dans mott « paragraphe ».
Dans certains cas, InDesign ne coupe pas des mots qui pourraient l’être, soit parce que le mot ne figure pas dans son dictionnaire de coupure, soit parce que les contraintes entrées dans la fenêtre Césure l’empêchent de le couper. Dans d’autres cas, le mot pourrait être coupé différemment. Pour couper un mot à l’endroit voulu, placez le point d’insertion à cet endroit et insérez un Tiret conditionnel obtenu en tapant Ó¢ – [ÓCtrl –] : si la césure est possible, le mot sera coupé ; si elle ne l’est pas, le tiret ne sera pas visible. Ce tiret est également obtenu par le menu contextuel Insérer un caractère spécial/Césures et tirets/Tiret conditionnel.
On veut couper ce mott après le « a », on doit y placer un tiret conditionnel.
La coupure sera modifiée iffiée si le texte peut passer. Dans certains cas, le mot entier est rejeté à la ligne gne (sans césure).
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
ATTENTION Si vous tapez un tiret normal, le mot sera coupé, mais le tiret restera visible, même si le mot ne doit plus être coupé du fait d’une modification d’approche ou de saisie.
La solidarisation de mots ou de signes L’espace insécable Pour que certains signes (caractères ou ponctuations) ne soient jamais séparés du mot qui les précède (une partie sur une ligne et le reste sur la suivante), remplacez l’espace normale saisie entre les mots ou les deux signes par une Espace insécable obtenue en tapant ∏¢ X [Ctrl Alt X] ou à partir du menu Texte ou contextuel (Insérer une espace/ Espace insécable). Pour certaines ponctuations (; : ! ou ?), utilisez une Espace fine également disponible dans le sousmenu Insérer une espace. L’option Sans retour automatique Dans certains cas, notamment avec des petits objets ancrés, l’espace insécable ne fonctionne pas toujours et ne permet pas d’attacher une ponctuation ou une parenthèse à l’objet ancré pour éviter que ce signe se retrouve rejeté seul à la ligne suivante. Dans ce cas, sélectionnez tous les signes qui doivent être « attachés » (y compris l’objet ancré) et lancez la commande Sans retour automatique située dans le menu local de la palette Caractère (vous pouvez également y accéder par la palette Application rapide, ¢‚ [Ctrl ‚], en y tapant le début du nom de la commande « sans » ou « sans re »). Si vous devez souvent affecter cet attribut de caractère, pensez à créer un style de caractère dans lequel il sera inclus. Vous pourrez également utiliser ce style en remplacement de la saisie d’une espace insécable.
Le tiret insécable Dans le cas d’un mot composé, pour obtenir un tiret qui ne fera pas une division en fin de ligne, remplacez le tiret normal par un tiret insécable (Trait d’union insécable) obtenu par le menu Texte (ou contextuel) : Insérer un caractère spécial/Césures et tirets/Trait d’union insécable (au clavier ∏¢ – [Ctrl Alt –]).
La suppression d’une césure Pour supprimer la coupure d’un mot, insérez juste devant ce mot le Tiret conditionnel (Ó¢– [ÓCtrl –]) : placé devant un mot, il empêchera sa coupure. Les lignes sont recomposées, le mot peut être inclus dans la ligne ou rejeter à la suivante. Avec le compositeur de paragraphe, l’ajout d’un tiret conditionnel devant un mot a souvent une incidence sur plusieurs lignes. N’utilisez pas de retour à la ligne forcé pour envoyer un mot à la ligne suivante, ce signe restera en place si le texte est modifié (il y provoquera des espacements importants dans la ligne justifiée). De plus, son caractère masqué ne sera pas visible, ce qui rendra difficile la compréhension du problème. Pour faire « remonter » un mot coupé sur la ligne précédente, sélectionnez la ligne entière (et éventuellement davantage) et réduisez son approche de groupe. Inversement, pour repousser à la ligne suivante une partie de mot coupé, sélectionnez la ligne et augmentez son encombrement en modifiant son approche. Si le mot passe entièrement à la ligne, placez un tiret conditionnel à l’endroit souhaité pour la coupure. Avec le compositeur de paragraphe, chaque modification entraînera une recomposition du texte sur plusieurs lignes.
Pour que ce mot puisse tenir dans la ligne, lign on a lé légèrement réduit è éd l’approche du paragraphe. pp Ce bloc oc ancré doit do resté solidaire des parenthèses. thèses. On a appliqué applliqué à l’ensemble Sans retour automatique. semble San
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L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Les lettrines InDesign permet de créer automatiquement certains types de lettrines. Avant de voir la marche à suivre, nous allons passer en revue les différentes sortes de lettrines.
On sélectionne la première mière lettre lettr du paragraphe. e.
On O n fixe ll’int l’interligne intterlignee et on aaugmente ugmente le corps, p , on n obtient obtien nt ceci.
Les différents types de lettrines LETTRINE EN SAILLIE
C’
est la première lettre du paragraphe dont le corps est augmenté ; dans certains cas, il y a deux signes dont la taille est augmentée. Ce type de lettrine ne pose aucun problème, mais l’interligne doit être fixé en fonction du corps du texte courant (interligne absolu).
LETTRINE HABILLÉE AU CARRÉ
C’
est la lettrine la plus courante. Le texte qui suit la lettre habille la lettrine sur plusieurs lignes. Le paragraphe qui la contient peut posséder un alinéa ou, au contraire, c’est la lettre qui peut être en retrait par rapport au reste du texte. InDesign réalise cette lettrine de façon automatique par les palettes Contrôle ou Paragraphe.
La lettrine habillée au carré L’OBTENTION MANUELLE DE LA LETTRINE Cette lettrine s’obtient et se règle par l’intermédiaire de deux cases des palettes Contrôle ou Paragraphe après avoir cliqué dans le paragraphe. Dans la première case , entrez la hauteur de la lettrine en nombre de lignes ; dans la seconde , entrez le nombre de signes qui forment la lettrine : par défaut, un (cela peut être deux s’il y a une apostrophe…). InDesign règle le haut de la lettrine sur l’ascendante des caractères de la première ligne et le pied de la lettrine sur la dernière ligne adjacente — d’autres réglages peuvent être nécessaires.
LETTRINE HABILLÉE On clique cl dans paragraphe. le par
vec certaines lettres (comme A, V et D…), on pourra effectuer des habillages plus serrés de la lettre en raison de sa forme particulière. La lettre peut être réalisée dans un logiciel de dessin puis importée, ou créée directement dans InDesign par vectorisation d’un texte.
La création d’une lettrine en saillie Cette lettrine se réalise dans la palette Contrôle (option Caractère) ou dans la palette Caractère. Pour cela, sélectionnez la première lettre du paragraphe et réglez son interligne sur une valeur absolue dans la case Interligne ( ) en tapant une valeur identique à celle déjà inscrite, mais sans les parenthèses. Cliquez maintenant dans la case Corps ( ) et augmentez la valeur en saisissant le chiffre voulu, ou en tapant plusieurs fois sur la touche Flèche vers le haut (avec Ó l’augmentation se fait de 10 en 10). Vous pouvez définir un style de caractère que vous pouvez utiliser pour d’autres lettrines.
On définit O défini le nombre de lignes et de caractères. è
LE TRAVAIL DE LA LETTRINE L’espacement de la lettrine et du texte Pour écarter les lignes de texte qui habillent la lettrine, cliquez juste derrière cette dernière et augmentez le crénage dans la case des palettes Contrôle ou Caractère (au clavier ∏ [Alt ]).
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 S’il y a des styles de caractère, il faudra utiliser l’outil Pipette pour prélever des attributs sur un texte n’ayant pas de style particulier.
La lettrine par les styles imbriqués On clique après la lettrine let et on augmente le crénage nage ici. i . ici
L’OBTENTION DE LETTRINE AVEC DES STYLES ASTUCE Nous verrons un peu plus loin qu’il est possible de créer un style (lettrines et styles imbriqués) qui gère automatiquement cet espacement.
L’alignement de la lettrine sur la marge gauche Selon la police utilisée (en fait avec presque toutes), la lettrine n’apparaît pas alignée avec le bord gauche du reste du texte situé sous la lettrine. Pour pallier ce problème, InDesign propose une option qui automatise la correction. Elle consiste à afficher la fenêtre Lettrines et styles imbriqués ; pour cela, placez le point d’insertion dans le paragraphe de la letde la palette trine, enfoncez ∏ [Alt] et cliquez sur l’icône Contrôle (ou Paragraphe). Dans cette fenêtre, cochez l’option Aligner le bord gauche : automatiquement, la lettrine se cale contre le bord du bloc et s’aligne avec le reste du texte.
Il s’agit de la même lettrine que celle qui vient d’être étudiée mais elle se crée avec une méthode basée sur les styles de caractère qui donnera une plus grande souplesse de réglage. En effet, cette lettrine élaborée depuis la fenêtre Lettrines et styles imbriqués (affichée par ∏ clic [Alt clic] ou des palettes Contrôle ou Paragraphe), sur l’icône utilise un style de caractère qu’il faut préparer avant de la créer (revoir pages 192 à 194). Par la suite, on pourra éventuellement définir un style de paragraphe (spécial lettrine) pour l’appliquer facilement à d’autres paragraphes.
LES ÉTAPES DE CRÉATION DE LA LETTRINE On distingue donc deux étapes : la préparation d’un style de caractère pour la lettrine et l’obtention de cette dernière.
La préparation du style de caractère Cette lettrine n’est alignée sur pas a bord du bloc le bo comme le reste du comm texte. texte
Le style de caractère que l’on utilisera lors de la création de la lettrine peut être mis au point à partir de la mise en forme de la première lettre du paragraphe. Pour cela :
1. Sélectionnez la première lettre du paragraphe. Par ∏ clic [Alt clic] ici ici, on a affiche la fenêtre fe ci-dessous dans laquelle règle de quelle elle cette cet option opt p g l’alignement g d la lettrine.
2. Affectez-lui les attributs souhaités : police, etc., par la palette Contrôle (option Caractère palette Nuancier…
) ; couleur par la
On sélectionne nne la première lettre et on la met en form forme dans les différentes palettes. palettes
La suppression de la lettrine Pour supprimer la lettrine d’un paragraphe, il ne faut pas effacer la première lettre de ce dernier (la lettrine se ferait avec le caractère suivant), mais taper 0 dans la case de hauteur de lettrine de la palette Contrôle ou Paragraphe.
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3. Cliquez sur l’icône
(à gauche de la liste des styles) de la palette Contrôle pour choisir Nouveau style de caractère et afficher la fenêtre de définition du style afin d’y régler le style de caractère ; dans sa composition, n’indiquez pas le corps pour qu’il s’adapte correctement à la taille de la lettrine.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
En cliquant ici, ci, on crée un style avec cettee com commande. a de. ande. Dans la composition soit position du style, pour que la taille tail dee la lettrine lett correcte, le corps pss du texte ne doit pas être êtr indiqué. é
On peut peeut tester d d’autres autres lettriness avec d d’autre d’autres autre réglages. Ici, le style comporte soulignement. comp portte des options de soulig gnemen nt.
Une fois le style défini, il n’est pas utile de l’appliquer à la première lettre du paragraphe, il le sera d’office lors de la création de la lettrine. Par la suite, des mises au point du style Le style est créé mais pourront être réalisées une fois la let- il n’est pas appliqué. trine en place.
L’obtention de la lettrine Pour obtenir la lettrine, dans la palette Contrôle (option : Paragraphe ), enfoncez ∏ [Alt] et cliquez sur l’icône la fenêtre ci-dessous apparaît. Saisissez le nombre de lignes pour définir la hauteur de la lettrine, le nombre de caractères, cochez l’option d’alignement sur le bord, et enfin, choisissez le style de caractère précédemment préparé à la place de [Sans]. L’aperçu vous permet de contrôler l’aspect.
Le style de paragraphe avec lettrine La lettrine, définie ou non à partir de la fenêtre Lettrines et styles imbriqués, constitue un attribut de paragraphe. À ce titre, elle peut faire l’objet d’un style de paragraphe. Pour cela, cliquez sur l’icône Style de paragraphe (située à gauche de la liste des styles) dans la palette Contrôle pour choisir Nouveau style de paragraphe. Dans la fenêtre qui s’affiche, nommez le style. Lors de l’opération de définition, n’oubliez pas de cocher l’option Appliquer le style à la sélection afin que les mises à jour ultérieures lui soient affectées (voir plus loin dans ce chapitre la partie consacrée aux styles de paragraphe).
Quand la lettrine a l’aspect pectt souhaité, on clique ici pour lancer cette commande. mandee. On renomme re le style et on l’applique au paragraphe l’appl avec cette option. c o
On règlee la lettrine lettri lettrin n en choisissant nt ici le style sty de caractère voulu.
Les variantes de lettrine Si vous avez préparé différents styles de caractère, vous pouvez voir l’aspect que prend la lettrine avec chacun d’eux, éventuellement avec un nombre de lignes différent. Dans certains cas, des mises au point du style de caractère peuvent être nécessaires pour tenir compte de la taille de la lettre. Elles s’effectuent par le menu contextuel (clic droit) déroulé sur le nom du style de caractère à modifier dans la palette Styles de caractère.
On peut maintenant facilement l’appliquerr à d’autres paragraphes..
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
Les réglages de lettrines avec des styles Si vous avez utilisé un style de caractère dans la fenêtre Lettrines et styles imbriqués, il est possible de régler certains problèmes d’espacement après la lettrine. En effet, le réglage de l’espace entre la lettrine et le texte adjacent s’effectue en modifiant le style de caractère utilisé lors de la confection de la lettrine. Quand vous sélectionnez la lettrine, son style de caractère n’est pas indiqué dans la palette Contrôle mais il l’est dans le bas de la palette Styles de caractère. Une fois ce nom repéré, effectuez un clic droit sur le nom du style dans la palette Styles de caractère. Dans la rubrique Formats de caractère standard, il suffit de saisir une valeur d’approche suffisante (par exemple, entre 50 et 100) pour écarter le texte ; l’aperçu permet de contrôler le réglage. Quand on clique devant la lettrine, cette palette indique le style qui lui est appliqué.
Les lettrines spéciales de type bloc L A CRÉATION D’UNE LETTRINE AVEC UN BLOC HABILLÉ Avec ce type de lettrine, il ne s’agit plus d’un attribut de paragraphe, mais d’un bloc ayant la forme d’une lettre. Les lignes de texte adjacentes seront écartées grâce à un habillage du bloc. Elle se réalise en quatre étapes : la préparation du bloc lettrine, la conversion en bloc (vectorisation), la suppression de la lettrine texte et la finition de l’habillage.
La préparation du bloc lettrine Sélectionnez la première lettre du paragraphe, éventuellement, changez sa couleur et sa police puis réaliser une lettrine sur le nombre de lignes voulues à partir des icônes et de la palette Contrôle ou de la palette Paragraphe. Une fois la première lettre sélectionnée (et recolorée), sélect fait une lettrine selon la on fa méthode classique indiquée méth précédemment. précé
Par sur son P clic cll droit d nom, on peut éditer le style pour augmenter p l’approche et écarter l’appr le texte. texx
La vectorisation de la lettrine Quand elle a l’aspect souhaité, sélectionnez la lettre, lancez la commande Vectoriser du menu Texte : un bloc de la forme de la lettre apparaît à l’emplacement de la lettre.
La suppression de la lettrine texte
La suppression de la lettrine et de son style
L’attribut de paragraphe qui a permis la création de la lettrine est maintenant inutile, supprimez-le en saisissant une de la palette Contrôle ou Paravaleur nulle dans la case graphe : le bloc lettrine apparaît alors en saillie. Sélectionnez le bloc avec l’outil Flèche noire (ou Sélection) et glissez-le vers le bas pour le repositionner correctement dans le texte (vous pouvez affiner ce placement en utilisant les touches fléchées). À ce stade, le bloc lettrine est recouvert par le texte du paragraphe.
Pour supprimer une lettrine, il ne faut pas l’effacer mais des palettes taper 0 dans la case de hauteur de lettrine Contrôle ou Paragraphe. Selon la façon dont la lettrine a été préparée, lors de sa disparition, une lettre du paragraphe peut garder certains de ses attributs. Pour réinitialiser cette lettre avec l’aspect du reste du texte, sélectionnez-la, activez l’outil Pipette (son option Caractères doit être cochée) et cliquez sur l’une des autres lettres du paragraphe : ses attributs s’appliquent alors à la lettre sélectionnée.
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On a vectorisé la lettre puis supprimé l’attribut qui créait la lettrine.
On repositionne le bloc sur le texte.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Le réglage de l’habillage de la lettrine Sélectionnez le bloc avec l’outil Flèche blanche. Pour que les lignes de texte suivent le tracé de la lettrine, lancez la commande Habillage de texte du menu Fenêtre : une palette s’affiche. Cliquez sur la deuxième icône ( ) et réduisez la valeur inscrite dans la première case pour rapprocher le texte du bloc. Pour l’instant, le bloc lettre est habillé au carré et l’on peut voir une ligne d’habillage verticale le long du texte.
La let lettriine est en place (il sagit d’un bloc ancré). Ci-contre, on a ajouté Ci-co contour et une un co ombre portée. ombr
Pour mieux visualiser le résultat, vous pouvez cacher les bords du bloc avec la commande Masquer les contours du bloc du menu Affichage (au clavier ¢ H [Ctrl H]).
L A CRÉATION D’UNE LETTRINE REMPLIE D’UNE IMAGE On a appliqué cet habilla habillage au blocc pour écarter le texte. tex e.. On voit ici une ligne d’habillag d’habillage que suit le texte.
Toujours avec l’outil Flèche blanche, glissez certains points des lignes d’habillage pour que les mots (à droite ou sous la lettrine) se placent correctement aux bords de la lettre. Selon l’aspect de la lettre, vous pouvez supprimer des points en cliquant dessus avec l’outil Plume ou en ajouter cliquant entre deux points sur la ligne d’habillage (le déplacement du point se réalise avec l’outil Flèche blanche).
Si vous souhaitez réaliser une lettrine habillée au carré et la remplir avec une image, opérez ainsi : avec la palette Contrôle ou Paragraphe, créez une lettrine sur plusieurs lignes avec une police assez épaisse (Bold, Ultra ou Extra bold). Sélectionnez-la et lancez la commande Vectoriser du menu Texte ; la lettrine est transformée en bloc qui se trouve ancré dans le texte — éventuellement, augmentez le crénage entre le bloc et le texte adjacent pour écarter ce dernier. Cliquez sur la lettrine avec l’outil Flèche blanche et importez une image dedans. Vous pouvez affecter au bloc un contour ou une ombre.
On affine le positionnement du p texte autour de la lettrine en glissant lettrin (parfois de points po on en ajoute ou on supprime). en su Dans ce bloc ancré constitué co d’une lettrine vectorisée, une image. ctorisée, on a importé im
La lettrine est maintenant terminée, vous pouvez changer la couleur de fond du bloc, lui affecter un contour ou une ombre portée…
ASTUCE La lettrine avec un habillage personnalisé décrit précédemment peut également être utilisée pour importer une image.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
Les filets de paragraphe La création d’un filet La commande Filets de paragraphe du menu de la palette Contrôle ou Paragraphe (au clavier ∏¢ J [Ctrl Alt J]) permet de placer un filet au-dessus et au-dessous du paragraphe sélectionné. Ces filets sont ancrés dans le texte et se déplacent avec lui. Avant de placer le filet, il est recommandé d’ajouter à la palette Nuancier les nuances (couleur et dégradé) que vous affecterez aux filets.
À partir de cette commande commande, on accède a à cette fenêtre qui propose deux types pes de filets.
Les options disponibles permettent de régler l’aspect des filets, c’est-à-dire l’épaisseur, la couleur, le type, la largeur et la position par rapport à la ligne de base du texte. La case Aperçu permet de voir l’effet du filet avant de l’appliquer définitivement au paragraphe.
On règle l’aspect du filet : taille,, couleur, position…
On règle gle gl le tout en contrôlant contrôlant l’aspect l asp du filet. l’asp
Les réglages du filet L A GRAISSE (OU HAUTEUR) DU FILET
La fenêtre Filets de paragraphe propose un paramétrage qui ne devient accessible que lorsque vous cochez l’option Filet. Ce paramétrage est identique pour les deux types de filets : au-dessus et au-dessous. Le premier, Filet au-dessus, place un trait sur la ligne de base de la première ligne du paragraphe, et le second, Filet au-dessous, met le trait sous la ligne de base de la dernière ligne du paragraphe. Pour voir le filet, on coche et l’aperçu. cette option p
InDesign propose une liste de graisses ; si aucune ne vous convient, cliquez dans la case et saisissez une valeur. Par défaut, InDesign utilise le point, mais vous pouvez utiliser une autre unité à condition de la spécifier. Le réglage d’épaisseur peut également se faire, après avoir cliqué dans la case, en utilisant la touche Flèche vers le haut ou vers le bas (l’incrément est de 1 pt et 10 avec Ó). Pour le filet audessus, l’augmentation de l’épaisseur agrandit le filet vers le haut ; pour celui au-dessous, elle l’agrandit vers le bas. Si le filet devient épais, il cachera le texte ; il faudra alors lui affecter une couleur différente et/ou le décaler verticalement. Si le paragraphe est en haut du bloc et que l’épaisseur devient grande, le filet apparaîtra partiellement hors du bloc (sauf si vous cochez l’option Conserver dans le bloc ce qui aura pour effet de descendre le texte). A STUCE Si vous souhaitez que la hauteur du filet s’adapte automatiquement à celle du paragraphe, il ne faut pas utiliser un filet mais avoir recours à l’astuce qui consiste à réaliser une conversion du paragraphe (voire de plusieurs) en tableau. Afin qu’il ne soit constitué que d’une seule cellule (dont on colore le fond et on supprime le contour), lors de la conversion, il faudra choisir un caractère séparateur qui ne figure pas dans le texte (les tableaux sont étudiés plus loin dans ce livre). On peut aussi insérer un tableau comportant plusieurs lignes dont certaines ne seront pas colorées puis y glisser le texte.
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L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
L A LARGEUR DU FILET Il existe deux options de largeur : Texte ou Colonne. Pour obtenir o ce type d’effet, d’effe d effe on n’utilise un filet de pas u paragragraphe mais parag g du texte une conversion co en tableau à l’aide de t b cette commande du menu Tableau.
L A COULEUR DU FILET La couleur par défaut est celle qui est appliquée au texte. Vous pouvez en choisir une autre dans la liste qui s’affiche en cliquant sur l’option Couleur du texte. Cette liste correspond aux couleurs disponibles dans le Nuancier, c’est-à-dire à celles que vous y avez préalablement ajoutées. Il est possible d’affecter un dégradé ; celui-ci s’étalera horizontalement sur la longueur du filet. Par défaut, le filet est défoncé sur les couleurs à l’arrière-plan ; pour qu’il soit surimprimé, cochez l’option Surimpression du trait. De plus, vous pouvez en réduire la teinte.
LE TYPE DU FILET À la rubrique Type de la fenêtre d’options du filet, on retrouve tous les types présents dans la palette Contour (sauf les flèches). Avec certains d’entre eux, on obtient des effets classiques (type bon à découper) ; avec d’autres, il est possible de choisir une couleur pour remplir l’espace entre les filets (pointillés, hachures…) et ainsi réaliser certains effets.
– L’option Texte : la largeur du filet est égale à celle des caractères visibles sur la première ou dernière ligne, selon le type du filet (une espace n’est pas considérée comme du texte).
– L’option Colonne : la largeur du filet est égale à celle de la justification même si la ligne est vide.
Les deux réglages de largeur.
ASTUCE Si le bloc a des marges à l’intérieur du bloc (définies dans les Options de bloc de texte), le filet ne touchera pas le bord du bloc et s’arrêtera au niveau de ces marges.
LES RETRAITS DU FILET Pour une largeur donnée (Colonne ou Texte), le filet peut être raccourci (ou rallongé) à gauche ou à droite, en entrant des valeurs positives (ou négatives) dans les cases Retrait à gauche ou Retrait à droite. Pour ce réglage, vous pouvez également cliquer dans la case et utiliser les touches Flèche vers le haut (pour rallonger) ou vers le bas (pour raccourcir) ; l’incrément est de 1 mm, il passe à 10 mm avec Ó.
Ces fifilets, de la longueur rallongés. du texte, texx , ont étéé ral a long g
En utilisant des po pointillés ointillés i tillé col colorées loré l s (ou en dégradé) avec des espace espaces de la même couleur avec le même dégradé), on obtient des filets uleur eur (ou ave file à bouts arrondis. s s.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
ASTUCE La longueur du filet est indépendante de la présence d’un retrait de paragraphe ou d’un alinéa. En revanche, si le texte habille un autre bloc, cet habillage peut provoquer la disparition complète ou partielle du filet.
Afin que le filet ne déborde pas du bloc, le texte devra posséder un retrait de première ligne positif (ou un retrait gauche) de même valeur que le retrait du filet.
Le pa paragraphe a possède retrait gauche. Quant un re t à son filet, il a été décalé vers le bas ett réduit à droite.
Il n’est pas possible d’obtenir, avec un filet de paragraphe, un filet limité à un mot dans le paragraphe. Pour obtenir ce genre d’effet, il faudra appliquer aux caractères du mot un soulignement ( ) en ayant préparé, dans les options de soulignement, un style de souligné correspondant à l’aspect souhaité pour le filet (l’ensemble pouvant faire l’objet d’un style de caractère). C’est ce qui a été fait dans le bloc gris indiquant une astuce (voir ci-dessus).
LE DÉCALAGE DU FILET Par défaut, le filet se cale sur la ligne de base du texte (première ou dernière ligne selon le type du filet). Pour le décaler, cliquez dans la case Décalage et entrez une valeur positive pour monter le filet, négative pour le descendre. Le décalage se paramètre en cliquant dans la case et en tapant les touches Flèche vers le haut pour monter le filet ou vers le bas pour le descendre (l’incrément est de 1 mm et 10 mm avec Ó). ASTUCE Le décalage est compté en millimètres, si vous souhaitez effectuer les réglages en points. Vous pouvez changer l’unité verticale dans les Préférences à la rubrique Unités et incréments (¢ K [Ctrl K]). Cependant, c’est cette même unité qui sera utilisée pour les espaces avant et après paragraphe.
LES CUMULS DE FILETS Si le paragraphe comporte plusieurs lignes, il est possible de placer deux filets : un sur la première ligne et un sur la dernière. Chacun d’eux se règle séparément. Si le paragraphe ne comporte qu’une ligne, les filets au-dessus et au-dessous apparaissent sur la même ligne. En utilisant certaines valeurs de décalage, ils peuvent même se superposer — le filet au-dessous étant au premier plan.
Ces fifilets ont été décalés verticalement (on vertic c na modifié modi i les unitéss pour les régler en pt). Par superposition de filets, on peutt obtenir cet effet dde titrage.
LES MODIFICATIONS ET LA SUPPRESSION DU FILET
Les utilisations et traitements des filets UNE UTILISATION PARTICULIÈRE : LE NOIR AU BLANC Pour obtenir un texte blanc sur une ligne colorée (ou noir au blanc), il est possible d’utiliser un filet au-dessus, dont la graisse sera légèrement supérieure à celle du corps du texte et dont le décalage sera négatif. La largeur sera réglée sur celle du texte et rallongée avec des retraits négatifs à gauche et à droite.
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Pour modifier un filet, cliquez dans le paragraphe dans lequel il se situe et relancez la commande Filets de paragraphe. Dans la fenêtre Filets, changez les paramètres voulus. Pour supprimer un filet, enlevez la coche de l’option Filet.
LES TRANSFERTS DE FILET PAR LA PIPETTE Outre la création de styles que nous verrons plus loin, l’affectation d’un filet à des paragraphes peut s’effectuer avec la pipette. Avant de l’utiliser, effectuez un double-clic dessus pour vérifier que l’option Paragraphes est cochée. Cliquez sur le texte ayant le filet puis ratissez celui qui doit prendre le même aspect.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Le travail des textes tabulés Les utilisations Comme nous le verrons dans la rubrique consacrée aux tableaux, InDesign possède une fonction de mise en forme des tableaux facile à mettre en œuvre et très efficace. Cette fonction réduit la mise en forme des textes tabulés par gestion des tabulations à quelques cas de figure tels que les coupons réponses, les sommaires et, d’une manière plus générale, les textes présentant des zones avec des points de conduite. Dans les autres cas, avec une saisie réalisée par vos soins avec des tabulations ou un fichier texte importé, un texte tabulé pourra facilement être mis en forme par conversion en tableau à l’aide de la commande Convertir en tableau du menu Tableau.
Le bon à découper per comporte un texte tabulé, ta les sommaires res éégalement. galement.
L’un ne va pas sans l’autre. En effet, les taquets sont inopérants si le texte ne comporte pas de caractères de tabulation, et réciproquement, les alignements de texte ne seront pas corrects s’il n’y a pas de taquets.
Le caractère de tabulation Le caractère de tabulation (dit tabulation) est un caractère masqué, comme le retour chariot, le retour à la ligne… Il s’efface, se copie… et possède des attributs comme n’importe quel caractère. InDesign l’affiche sous la forme d’un chevron (», voir copie d’écran ci-contre) en lançant la commande Afficher les caractères masqués du menu Texte ou du menu contextuel (au clavier ∏¢ I [Alt Ctrl I]). À un caractère de tabulation est toujours associé un taquet de tabulation : soit un taquet standard, soit un taquet personnalisé que vous placerez dans la palette Tabulations. InDesign fixe les taquets standards tous les 12,7 mm (1/2 pouce) — soit 12,7 ; 25,4 ; 38,1 ; 50,8… Par défaut (sans taquet placé), une tabulation chasse le texte, au maximum de 12,7 mm. En outre, la position de la tabulation par rapport aux taquets standards détermine la longueur de l’espace qui la suit.
Le taquet de tabulation Il se place avec la palette Tabulations (voir plus loin) et agit sur le texte qui suit la tabulation qui lui est associée dans le texte sélectionné. Il permet d’aligner un texte sur un point donné et de choisir son alignement (à gauche, centré…).
LES SAISIES DES TEXTES TABULÉS La misee en forme ne pe peut pas s’effectuer par la fonction Tableau u mais par la gestion ge n des tabulations. tabul b atio
Les tabulations et les taquets LE PRINCIPE Un texte tabulé comporte en réalité deux parties :
Un texte tabulé se présentera, une fois formaté, sous forme de colonnes. Si le texte de la première colonne n’est pas aligné à gauche, il devra comporter autant de tabulations qu’il y a de colonnes. En revanche, s’il est aligné à gauche, il est inutile de placer une tabulation devant le texte de la première colonne et il y aura alors un taquet de moins que le nombre de colonnes. ASTUCE Si le texte doit comporter des points de conduite, saisissez une première tabulation pour ces points et une seconde pour arrêter les points de conduite et ménager un blanc entre ces points et le texte.
– le caractère de tabulation : c’est un signe à saisir dans le texte (en tapant sur la touche Tabulation : † [Ÿ]) ; – le taquet de tabulation : invisible dans le texte, mais visible sur la graduation où il se règle, c’est-à-dire dans la fenêtre Tabulations (Tabulations du menu Texte ou Ó¢ T [ÓCtrl T]).
Ici, il y a deuxx tabula tabulations ations de devant ce texte : une pour arrêter les points de conduite, onduite, l’autre pour po écarter le texte qui les suit.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
La palette Tabulations Pour faire apparaître cette palette, lancez la commande Tabulations du menu Texte (Ó¢ T [ÓCtrl T]). La palette se place en haut du bloc de texte (si ce n’était pas le cas, cliquez sur l’aimant ( ) pour l’y placer). Elle permet de positionner des taquets de tabulation, mais également de modifier les retraits et l’alinéa. Les taquets standards y sont visibles sous forme de petits tirets verticaux ; ils disparaissent dès que vous placez un taquet de valeur supérieure.
On glisse la souris ici cii et on contrôle avec avvec cee trait.
Le texte s’aligne sous le taquet. La palette Tabulations avec le lles es taquets standards. sstandard d d
L A POSE D’UN TAQUET Sélectionnez d’abord le texte (ou cliquez dans le paragraphe) avant de passer à la pose du taquet. Celle-ci s’effectue en deux étapes : le positionnement du taquet et la sélection du type de taquet si celui qui est actif ne convient pas. Le taquet peut être accompagné d’un caractère ou point de conduite. ASTUCE Si tous les paragraphes du bloc doivent avoir les mêmes taquets, réalisez la sélection avec l’outil Flèche.
On choisit isit icii le type typ d’alignement.
Recommencez les opérations pour placer tous les taquets. S’il en manque un par rapport au nombre de tabulations, le texte qui suit la dernière tabulation (celle qui n’a pas de taquet associé) se placera sur le taquet standard suivant le plus proche. Si les taquets doivent être disposés à intervalles réguliers, placez le premier taquet et lancez la commande Répéter la tabulation dans le menu local de la palette.
– La position : entrez une valeur dans la case X ou pressez juste au-dessus des graduations et glissez le taquet sur la valeur souhaitée. Un contrôle peut s’effectuer dans la case X et directement sur le texte grâce à la ligne verticale qui matérialise l’alignement qui sera obtenu dès que le taquet sera posé.
– L’alignement : choisissez le type d’alignement en
On place les autres utres taquets (autant qu’il y a de tabulations, tabulatio ici 2)
cliquant sur l’une des quatre icônes d’alignement : Gauche : le texte est aligné à gauche du taquet. Centré : le texte est centré sur le taquet. Droit : le texte est aligné à droite du taquet. Aligner sur un caractère : le caractère d’alignement doit être spécifié dans la case Aligner sur. Pour changer le type d’alignement, vous pouvez également enfoncer ∏ [Alt] et cliquer plusieurs fois sur le taquet que vous venez de placer dans la règle ; celui-ci passera par les différents types d’alignement.
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ASTUCE Si vous utilisez le taquet de type Aligner sur un caractère et que le texte ne comporte pas le signe saisi dans la case Aligner sur, c’est le dernier caractère qui sera aligné sur le taquet. Cela permet d’aligner correctement des colonnes contenant un mélange de nombres entre parenthèses et de nombres avec ou sans décimale.
LE DÉPLACEMENT ET LA SUPPRESSION D’UN TAQUET Pour déplacer le taquet, glissez-le le long de la règle. La ligne verticale d’alignement s’affiche pendant le glissement et la case X indique la nouvelle valeur.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN Pour déplacer le taquet par incréments de 1 mm, sélectionnez-le dans la palette Tabulations (il apparaît en bleu et sa position s’affiche dans la case X). Cliquez sur le X devant la case position et utilisez les touches Flèche vers le haut ou vers le bas : chaque frappe déplace le taquet de 1 mm.
Les réglages Si vous ne désirez pas que les points de conduite touchent le texte, il faudra placer une espace devant et derrière le caractère de tabulation.
Pour supprimer un taquet, sélectionnez-le et glissez-le hors de la règle. Pour tous les supprimer en une seule fois, lancez la commande Tout supprimer du menu local de la palette. Dans le texte, on a sais saisii des espa espaces aces après a la tabulation.
L A MODIFICATION DE L’ALIGNEMENT D’UN TAQUET Pour changer le type d’alignement d’un taquet, commencez par le sélectionner en cliquant dessus : il devient bleu et sa position s’affiche dans la case X. Vous pouvez choisir le nouveau type d’alignement (ou ajouter un point de conduite). ASTUCE N’oubliez pas qu’une tabulation ne joue son rôle (pousser un texte) que si vous avez placé un taquet, et qu’il doit y avoir autant de taquets dans la palette Tabulations qu’il y a de tabulations dans le texte. Si le dernier taquet d’une ligne se trouve trop près de la marge droite, la tabulation sur laquelle il agit chassera le texte à la ligne suivante.
Si vous souhaitez placer un blanc plus important, utilisez deux tabulations successives avec leurs taquets correspondants, l’un pour les points de conduite et l’autre pour définir le blanc après ces points. A STUCE Utilisez la fonction Rechercher/Remplacer (menu Édition) pour remplacer le caractère de tabulation par ce même caractère précédé et/ou suivi d’une espace (normale ou cadratin, voire de plusieurs). Nous étudierons cette commande en fin de ce chapitre.
LES POINTS DE CONDUITE Le principe Par répétition, le point de conduite va remplir le blanc compris entre le caractère de tabulation et le texte qui suit cette tabulation. Vous pouvez choisir de remplir avec « . » ou « - » ou encore « _ » ; vous pouvez taper plusieurs signes.
L’obtention Pour obtenir les points de conduite, sélectionnez les paragraphes concernés, affichez la palette Tabulations. Dans la règle, cliquez sur le taquet qui suit la tabulation « à remplir » (il devient bleu). Dans la case Point de conduite, tapez le caractère et validez (‚) pour que les points de conduite apparaissent dans le texte. Si vous validez avec Ó ‚, les points s’affichent mais la case reste active pour tester un autre signe.
Pour obtenir ceci, eci, on ssélectionne ectionne lee taq taquet quet et on saisit le caractère ca point de conduite. uite.
On recherche cherche la tab tabulati tabulation bulati (^t) obtenue ue par la liste déroulée ici ici que l’on on remplace par le même caractère ère (^t) ((^t) suivi d’une espace cadratin (^m) également obtenue dans une liste l l .
Pour supprimer les caractères de remplissage, cliquez sur le taquet correspondant dans la palette Tabulations, effacez le contenu de la case Point de conduite et validez (‚).
La typographie des points de conduite Pour changer la typographie des points de conduite (graisse ou police, par exemple), vous devez sélectionner dans le paragraphe le caractère de tabulation, puis opérer comme pour n’importe quel caractère. Ainsi, vous pouvez : – changer les approches pour espacer les points ou resserrer des tirets ; – réduire le corps pour obtenir un pointillé ou un signe plus petit ;
233
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 – décaler verticalement pour monter ou descendre le caractère du point de conduite ;
– changer la police et la graisse (par exemple, utiliser une police de symbole) pour créer des effets particuliers… ASTUCE Vous pouvez même créer un style de caractère uniquement pour la tabulation, puis utiliser la fonction Rechercher/Remplacer pour l’appliquer à d’autres tabulations. Avec le bouton Plus d’options, une icône (Spécifier les attributs à modifier) devient visible et permet de choisir le style de caractère à appliquer au texte de remplacement.
On obtient cet effet avec cee style et cee soulignement. soulignemen
LES PEIGNES AVEC LES TABULATIONS
À partir de la mise en forme d’u d’une tabulation, on a créé un style de d caractère. ca arac
On a appliqué ce style de caractères aux autres par utres tabulations tabu Rechercher/Remplacer (ou, éventuellement, ent, avec la l pipette).
LES SOULIGNEMENTS DE CARACTÈRE ET LES TABULATIONS Au lieu d’utiliser les points de conduite de la palette Tabulations, vous pouvez utiliser l’astuce suivante. Elle consiste, sans avoir à définir de point de conduite, à appliquer aux tabulations concernées un style de caractère dans lequel vous spécifiez des options de soulignement correspondant à l’aspect souhaité pour les points de conduite ainsi simulés. L’utilisation des styles de caractère donne davantage de souplesse de réglages et leurs modifications sont facilitées car elles s’effectuent via les styles.
Comme précédemment, il s’agit d’une utilisation particulière des styles et des tabulations. Cette fois-ci, elle fait appel aux options de texte souligné et de texte barré dans lequel on applique un type de filet préalablement créé. Les opérations s’effectuent en deux étapes : la préparation du filet et la mise au point du style avec les réglages du souligné et du barré.
Pour obtenir ces peignes, on utilise un style de caractère (avec souligné et barré) appliqué à des tabulations.
La préparation du filet Activez l’outil Flèche et lancez Styles de contour dans le menu local de la palette Contrôle. Dans la fenêtre qui apparaît, cliquez sur Nouveau pour créer un nouveau style de contour.
Cette fenêtre s’affiche à partir de cette te comma commande.
En cliquant ici, E cli on peut définir o pe un filet. u nouveau no
On obtient ceci ave avec cee style de caractère carac ayant nt ce soulignement. soulignemen
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Dans la seconde fenêtre, renommez le style et définissez les différentes options comme indiqué ci-après en précisant bien l’unité (pt et non mm).
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN – Longueur : saisissez une valeur de 0,5 pt : elle correspond à l’épaisseur du trait.
– Longueur du motif : saisissez 12 pt ; cela correspond à l’espace entre deux traits verticaux (soit une largeur de caractère).
– Angles : choisissez Ajuster les espaces pour que le trait
On applique l’attributt Barré au caractère caractèère de tabulation et e on lance les options de Contrôle). ptio p t ns de texte teex exte barré (menu ( d la palette p Contr
vertical se termine correctement.
On règle le ces fifilet let avec a valeurs. va aleu leu
– L’obtention du style : la sélection ayant l’aspect soude la palette Contrôle (à haité, cliquez sur l’icône gauche de [Sans]) pour choisir Nouveau style de caractère. Nommez ce style et cochez l’option d’application à la sélection. Appliquez-le aux autres tabulations par la fonction Rechercher/Remplacer, par exemple.
La mise au point du style de caractère O cr On crée le style que l’on à la l’o on applique a sélection sé élect avec cette option. op ptio On peut O pe maitenant l’appliquer aux l’a appl autres a utres caractères dee tabulation. d tab
Une fois cette première opération réalisée, passez à la création du style de caractère. Elle s’effectue en trois étapes : il faut régler l’aspect du souligné, celui du barré puis créer le style. Pour faciliter la mise au point avec l’aperçu, sélectionnez un caractère de tabulation dans le texte.
– Le réglage du souligné : affectez à la sélection l’option Souligné par la palette Contrôle, puis lancez la commande Options de soulignement dans le menu de cette palette afin de définir son positionnement à l’aide des options Épaisseur = 0,5 pt et Décalage = 1 pt.
LE TRANSFERT DES TAQUETS DE TABULATION On applique l’attributt Souligné au caractère cara actèrre de tabulation tabulattion et e on lance les options de soulignement (menu oulignement g (men nu dee la palette Contrôle). Contr
Comme pour les attributs de caractère, utilisez l’outil Pipette (réglé avec l’option Paragraphe seule ou avec l’option Caractère) pour transférer les taquets de tabulation : sélectionnez les paragraphes à mettre en forme et cliquez dans le paragraphe correctement réglé avec l’outil Pipette. Une autre méthode est disponible, elle fait appel aux styles de paragraphe (leur étude sera abordée après celle des tableaux).
L A TABULATION DE RETRAIT À DROITE – Le réglage du texte barré : affectez à la sélection l’option Barré de la palette Contrôle, puis lancez Options de texte barré dans le menu de la palette. Choisissez le type du filet correspondant à celui précédemment créé, augmentez l’Épaisseur à 10 pt et réglez le Décalage (4 pt environ) pour amener les traits verticaux sur le souligné.
Il s’agit d’un caractère spécial (le caractère masqué est ) obtenu par le menu contextuel ou en tapant Ó† [ÓŸ] (ÓTabulation). Il a pour effet de placer contre le retrait droit du texte un taquet aligné à droite. Ce taquet n’apparaît pas dans la règle de tabulation, mais il prend le point de conduite du taquet qui le précède dans cette règle.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
Les tableaux L’obtention d’un tableau Un tableau comporte des lignes et des colonnes ; l’intersection d’une ligne et d’une colonne constitue une cellule. Chaque cellule est un bloc de texte dans lequel vous pouvez placer un texte, une image ou un autre tableau.
Les Lignes de pied de tableau sont des rangées qui contiennent des éléments devant apparaître en bas du tableau et répétés automatiquement si le tableau s’étend sur plusieurs colonnes de page ou plusieurs pages. Si le tableau ne s’étend que sur un bloc, la définition d’une ligne d’en-tête n’est pas obligatoire mais facilite la sélection.
Un tableau s’obtient de trois façons : par création, par conversion d’un texte tabulé et par importation d’un texte mis en forme dans un tableau ou issu d’un tableur.
L A CRÉATION D’UN NOUVEAU TABLEAU La configuration du tableau Pour créer un nouveau tableau, dessinez un bloc de texte ou cliquez dans un bloc existant, activez l’outil Texte et lancez la commande Insérer un tableau du menu Tableau. La fenêtre de configuration du tableau s’affiche : vous pouvez y spécifier le nombre de lignes et de colonnes requis. Quand le tableau apparaît, sa largeur correspond à celle du bloc dans lequel il a été créé. La hauteur d’une ligne est liée aux attributs de texte du point d’insertion dans le bloc.
Ligne gne de corps, co lignes e d’en-tête es d’en--ttête et lignes de d piedd de tableau t (répétées é sur lles blocs chaînés). ées chaîn nés). n INFO. Si vous n’avez pas défini de ligne d’en-tête (ou de pied de tableau) lors de la création, InDesign propose des commandes à cet effet par conversion d’une ligne courante : menu Tableau/Convertir ligne/En ligne d’en-tête.
LES IMPORTATIONS D’UN TABLEAU Si le tableau a été saisi dans Word ou dans Excel, il est possible de l’importer dans InDesign sans perdre (complètement) sa mise en forme.
L’importation d’un fichier Word Pour que le tableau créé dans Word conserve son aspect initial, il faut cocher l’option Conserver les styles et la mise en forme du texte et des tableaux dans la fenêtre Options d’importation Microsoft Word. On clique dans un bloc de texte et on insère lee tableau : il prend la largeur argeur du bloc. bloc
Les constituants du tableau InDesign appelle Ligne de corps une ligne courante (ou rangée) du tableau. La Ligne d’en-tête est la ligne située en haut du tableau qui contient les titres (ou têtières) de chaque colonne du tableau. Si le tableau s’étend sur plusieurs colonnes (de page), blocs ou pages, les lignes d’en-tête seront automatiquement répétées sur chaque colonne, bloc ou page.
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Si on coche he cette h tt option ti ddans les options d’importation, le tableau dans InDesign garde ga l’aspect qu’il avait dans Word.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Les cellules gardent g leur mise en forme créée danss Word. Word d Les cellules gardent g (partiellement) (p la mise en forme d’Excel. d Exc d’Exc
L’importation d’un fichier Excel Dans la fenêtre Options d’importation Microsoft Excel, vous pouvez choisir la feuille de calcul que vous souhaitez importer. Par défaut, le tableau Excel conserve son aspect dans InDesign sauf si vous choisissez une autre option à la rubrique Tableau. Avec l’option Mise en forme une fois, vous conserverez la mise en forme InDesign à condition d’utiliser des styles de cellule ou de tableau.
L A CONVERSION D’UN TEXTE TABULÉ EN TABLEAU Pour effectuer la conversion en tableau d’un texte tabulé, sélectionnez ce dernier avec l’outil Texte et lancez la commande Convertir le texte en tableau dans le menu Tableau. Une fenêtre permet de spécifier des options de conversion.
Si on choisit cette option on dans lles options d’importation, le tableau dans InDesign qu’il avait dans Excel mais, n garde l’aspect l’a lors des mises à jour, il conservera la mise en forme réalisée dans InDesign à condition d’utiliser des styles.
On sélectionnee le texte teexte et on lance sa conversion en tableau : cette apparaît. te fenêtre ap ppara aît.
ASTUCE Il est possible de garder un lien entre le tableau dans InDesign et le fichier (Word ou Excel) en cochant l’option Créer des liens… dans les Préférences/Textes. Cependant, les mises à jour risquent de faire disparaître les modifications locales réalisées sur le tableau dans InDesign (voir également page 257).
237
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 En effet, par défaut, chaque colonne du tableau est réalisée à partir d’une tabulation et chaque ligne à partir d’un retour chariot mais, selon l’aspect de la saisie, vous pouvez définir d’autres séparateurs pour les colonnes et les lignes, voire placer dans le texte des signes particuliers (*, £ ou $ par exemple) pour définir les futures lignes et colonnes ; les signes saisis disparaîtront après la conversion.
Le texte est converti en tableau (ici, le signe + rrouge ouge indique qu’il n’est pas complet). Pendant la conversion, on aurait pu affecter un style de tableau pour le mettre en forme. ASTUCE Si le texte a été saisi avec des retours à la ligne forcés au lieu de retours chariot, la conversion ne s’effectue pas correctement. Dans ce cas, il faut d’abord utiliser Rechercher/ Remplacer du menu Édition pour effectuer, dans la sélection à convertir, le remplacement du retour à la ligne forcé (obtenu en tapant ^n) par le retour chariot (^p). Ces signes s’obtiennent à partir des menus locaux de la fenêtre de recherche.
Ce point rouge ind indique que tout le contenu de la cellule n’est pas visible. Pour our le voir, on a fusionné les cellules de la première ligne.
Avant d’aborder ces manipulations, nous allons voir comment remplir un tableau ou en modifier le contenu. ASTUCE Dans un bloc de texte quelconque, si vous sélectionnez un paragraphe sans son retour chariot (¶) et lancez la commande Convertir le texte en tableau, celui-ci sera placé dans un tableau (ne contenant qu’une cellule) et apparaît ainsi encadré. Par la suite, il sera possible de changer l’aspect de la cellule pour créer un titre par exemple.
À l’issue de la conversion (mais également lors des importations), il se peut que le contenu du tableau ou d’une cellule ne soit pas entièrement visible. Dans le cas d’un tableau incomplet, une croix rouge est visible dans le port de sortie du bloc (voir ci-dessus) : il faudra agrandir le bloc contenant le tableau ou le chaîner vers un autre bloc. Pour cela, vous pouvez cliquer dans une cellule et utiliser la commande Ajuster le bloc au contenu dans le menu Objet/Ajustement.
On sélectionne le texte xte sans le retour paragraphe et on n convertit en tableau. On peutt alors réduire la cellule et changer sa rédui h couleur pour créer un titrage coule particulier. parti
Le remplissage du tableau On clique dans une cellule et on fait apparaître le tableau complet mplet avec cette commande.
Le remplissage peut s’effectuer par une simple saisie, par copier-coller ou par importation de texte ou d’image. Cependant, afin de pouvoir remplir les différentes cellules d’un tableau (ou de modifier leur contenu si elles sont déjà remplies), il est important de savoir se déplacer dans le tableau.
LE DÉPLACEMENT DANS LE TABLEAU Dans le cas du contenu d’une cellule, un point rouge est visible dans cette dernière (voir page précédente, l’importation d’un fichier Excel) : c’est la hauteur ou la largeur de la cellule qui devra être ajustée pour faire réapparaître l’excédent ; dans certains cas, la cellule en cause pourra être fusionnée avec des cellules adjacentes.
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Ce déplacement s’effectue de plusieurs façons :
– avec les touches fléchées : le déplacement suit le sens de la flèche. Si les cellules sont vides, on passe de cellule en cellule ; s’il y a du texte, on se déplace de caractère en caractère, puis vers la colonne adjacente, ou de ligne de texte en ligne de texte puis vers la rangée adjacente.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN – avec la touche † [Ÿ] ( Tabulation) : le déplacement s’effectue vers la colonne de droite ou vers celle de gauche en ajoutant Ó. Dans les deux cas, le contenu de la cellule apparaît sélectionné. Attention, sur la dernière cellule, il y aura création d’une nouvelle ligne.
…on lance Importer pour y placer l’image. cellule s’agrandit La cel en hauteur. ha
– avec la souris : en cliquant dans la cellule souhaitée, vous placez le point d’insertion dans celle-ci.
– avec Atteindre à la ligne : si le tableau est grand, utilisez la commande Atteindre à la ligne du menu Tableau pour désigner la ligne à sélectionner (toutes ses cellules apparaîtront en noir).
L A SAISIE DANS UN TABLEAU La saisie simple Pour remplir une cellule, sélectionnez-la comme indiquée ci-dessus et tapez le texte voulu comme dans n’importe quel bloc. Le passage à la ligne s’effectue automatiquement et la cellule s’agrandit en hauteur au fur et à mesure pour recevoir le texte.
Les sauts de ligne ou de paragraphe Pour imposer un retour à la ligne (sans créer de nouveau paragraphe), tapez Ó ‚ (touche Entrée). Pour créer une nouvelle ligne dans un nouveau paragraphe, tapez ‚. La touche du clavier numérique ^ [Entr.] est sans action dans un tableau.
Dans certains cas, la photo peut déborder en largeur et couvrir une partie de la colonne adjacente. Pour éviter ou corriger ce problème de débordement, il est possible de gérer l’importation en deux temps à l’aide d’un copier-coller comme indiqué ci-après ou d’utiliser une fonction pour tronquer l’image dans la cellule (voir ci-après la gestion de l’excédent).
LE REMPLISSAGE PAR GLISSEMENT Dans le cas des textes, au lieu d’importer directement dans une cellule, vous pouvez importer le texte sur le plan de montage, puis sélectionner la partie voulue et la glisser dans la cellule désirée. Si vous avez déjà préparé une mise en forme de paragraphe dans les cellules, effectuez ce glissement avec Ó enfoncée pour que le texte glissé l’adopte. Pour garder une copie du texte dans le bloc extérieur, effectuez le glissement avec ∏ [Alt] (ou Ó∏ [ÓAlt] pour une copie).
Les tabulations dans une cellule Pour créer un texte tabulé dans une cellule, tapez ∏† [Alt Ÿ] à chaque fois que vous souhaitez insérer une tabulation. ASTUCE Les caractères précédents (tabulation, saut et autres) peuvent être insérés par les menus d’insertion de caractère (spécial ou de saut) du menu Texte (ou contextuel).
L’IMPORTATION DE TEXTE ET D’IMAGE DANS UN TABLEAU
On a sélectionné la partie tie de texte importé imp sur le plan de montage g et on l’a glissé g é dans le tableau tablea (ici avec Ó∏ [ÓAlt]).
Pour importer un texte ou une image, cliquez dans la cellule voulue (le point d’insertion doit y clignoter) et lancez la commande Importer du menu Fichier. Avec un texte, la cellule s’agrandit automatiquement (en hauteur) pour afficher la totalité du texte. Avec une photo, la hauteur de la cellule s’ajuste à celle de la photo. On clique cl dans la cellule pour y afficher le point d’insertion… d’inse
Ce type de glissement, qui n’est possible que si l’option a été activée (Activer en mode mise en page des préférences rubrique Texte), a été abordé dans le chapitre sur la gestion des textes (page 129). Le tableau suivant rappelle quelques manipulations de transfert.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
Touche
Aucune Ó
Curseur
Résultat Transfert normal avec sa mise en forme (le texte garde la mise en forme qu’il a au départ du glissement). Transfert sans mise en forme, (le texte prend la mise en forme de la cellule de destination).
∏ [Alt]
Copie avec mise en forme.
Ó∏ [Ó Alt]
Copie sans mise en forme.
LE REMPLISSAGE PAR COLLAGE Le collage d’un texte tabulé Les commandes du menu Édition (Couper, Copier et Coller ou Coller sans mise en forme) peuvent être utilisées afin de remplir une ou plusieurs cellules sélectionnées à partir d’un texte tabulé copié depuis un bloc. Ainsi, au lieu d’importer directement un texte dans une cellule, vous pouvez l’importer hors du tableau dans un bloc créé lors de l’importation puis transférer les paragraphes voulus dans les différentes cellules par copier-coller. Ici, c’est l’utilisation du collage sans mise en forme du menu Édition (au clavier, Ó¢V [ÓCtrl V]) qui permettra au texte de prendre la mise en forme créée dans la cellule du tableau. Attention, la sélection des cellules (obtenue par ratisssage) dans lesquelles s’effectuera le collage doit comporter autant de lignes que le texte comporte de retours chariot (¶), et de colonnes qu’il y a de tabulations (») dans le texte. Dans certains cas, vous pouvez modifier le texte (avec la commande Recherche/Remplacer du menu Édition) pour que les correspondances ligne/retour chariot et colonne/ tabulation soient correctes.
2. Le tableau comportant quatre colonnes (Name, Address, Web site et Comments), il doit y avoir trois tabulations dans le texte (4 colonnes – 1). On utilise la commande Rechercher/Remplacer pour ajouter dans le texte les caractères manquants.
Pour cela : – On remplace le retour chariot après chaque nom de vin (en italique) par une tabulation.
– On insère une tabulation avec et après chaque adresse de site Web (donc avant « www » et après « .com »).
On insère une tabulation (^t)) avant les 3 w (on o a on supprimé la virgule rgule gule qui précède).
– Enfin, on insère un retour à la ligne forcé après « CA », pour que l’adresse figure sur deux lignes. On insère un retour à la ligne gne n forcé (^n) avant le CA.
Voir un exemple de remplissage de tableau :
1. On a créé un tableau que l’on souhaite remplir par un texte que l’on a importé dans un bloc. La correspondance est correcte, on peut procéder au collage.
3. On sélectionne l’ensemble du texte que l’on copie. On veut remplir emplir ce tableau u avec ce texte.
On sélectionne et on copie le texte (on peut aussi le couper).
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L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN 4. On sélectionne les cellules situées sous la têtière (soit 4 lignes et 4 colonnes) et on colle.
On sélectionne les cellules à remplir (par (pa ratissage) et on colle pour obtenir ce tableau ((on ppeut encore recti rectifier les largeurs de colonnes).
ASTUCE Avec des cellules sans contour (ce n’est pas le cas par défaut) et selon le contenu de la cellule adjacente, le débordement de l’image n’est pas forcément gênant.
Avec certaines images, vous pouvez utiliser une autre méthode : elle consiste à cocher l’option Écrêter le contenu selon la cellule dans la fenêtre Options de cellule (menu Tableau/Options de cellule/Texte).
Le copier-coller d’image dans un tableau Quand vous souhaitez placer une image dans une cellule, il peut être judicieux de l’importer hors du tableau, de la redimensionner à la taille de la cellule puis de l’y placer par copier-coller.
L’image est tronquée é et ne déborde plus de la cellule en cochant cette option. p
La gestion de l’excédent de texte et d’image Un excédent de texte est matérialisé par un point rouge en bas à droite de la cellule. Il peut apparaître à l’importation d’un tableau Excel (ou Word) ou suite à une réduction (ou rotation) d’une cellule contenant du texte dont les mots ne peuvent pas être coupés. L’excédent d’une image provoque son débordement dans la cellule adjacente (celle de droite car le tableau s’agrandit automatiquement en hauteur). Pour supprimer cet excédent, vous pouvez redimensionner la cellule (plus exactement, la colonne ou la ligne comme nous le verrons plus loin) ou modifier la taille de son contenu.
Quan on importe (ou Quand colle) une image, elle peut déborder sur la cellule voisine. cellul On peut redimensionner cellule pour corriger le la cel problème. probl
L’IMBRICATION DE TABLEAUX Quand le point d’insertion clignote dans une cellule, vous pouvez utiliser la commande Insérer un tableau du menu Tableau pour y placer un nouveau tableau ; il occupera la largeur de la cellule (compte tenu des marges de cellule qu’elle possède). Ce placement peut également se réaliser par conversion d’un texte tabulé présent dans une cellule ou, si la cellule est assez grande, par importation. Dans ce cas, il est préférable d’importer hors du tableau puis de procéder à un copier-coller après redimensionnement.
Dans une cellule, ule, on peut insérer un tableau.
A STUCE L’imbrication de tableaux s’avére intéressante pour placer un texte encadré au centre d’une cellule. Le tableau inséré ne comportera alors qu’une ligne et une colonne, il peut être obtenu par conversion en tableau de la sélection du texte de la cellule (voir page 238).
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La sélection des éléments du tableau Afin de gérer certaines caractéristiques du contenu des cellules (position, dimension, typographie…) ou de limiter un traitement à une seule cellule, une colonne, une ligne ou à la totalité du tableau, il est important de savoir faire la sélection de l’élément concerné. La sélection d’éléments du tableau se réalise avec l’outil Texte — sauf celle d’une image dans une cellule qui s’effectue avec l’outil Flèche.
Sélection d’un texte, xte, la palette Contrô Contrôle n’affiche que les attributs typographiques. yp g graphiques. p q
… … La sélection multiple de cellules adjacentes Pour sélectionner plusieurs cellules voisines, effectuez un ratissage qui démarre dans une cellule et se termine dans la dernière cellule à sélectionner. Les cellules apparaissent alors en noir. La sélection ne peut être que rectangulaire. Vous pouvez aussi sélectionner la première cellule par clic dedans puis esc [Echap], enfoncer Ó et cliquer sur la dernière cellule (ou encore utiliser les touches fléchées).
Sélection du bloc bl avec l’outil Sélection (Flèche noire).
L A SÉLECTION DE CELLULES Le mode de sélection varie selon le traitement souhaité :
Les traitements typographiques globaux et les traitements de cellule Cliquez dans la cellule et tapez esc [Echap] : la cellule devient entièrement noire et la palette Contrôle affiche, à gauche, quelques traitements typographiques et, à droite, des traitements de cellule.
À partir de la sélection d’une cellule, l llule, on a sélectionné dess cellules adjacentes avec les touches fléchées et Ó. c chées
La sélection d’une cellule par les menus Le menu Tableau et le menu contextuel (si le point d’insertion est dans une cellule) permettent la sélection d’une cellule. En effet, si vous déroulez ces menus jusqu’à Sélection, vous disposerez de la commande Cellule pour faire la sélection correspondante.
Sélection d’une cellule, ellule, la palette p Contrôle affiche les deux types d’attributs (typographique raphique p q et de tableau). blea au).
… … Les traitements typographiques locaux Cliquez dans la cellule et ratissez le texte à traiter ; pour sélectionner la totalité du texte de la cellule, tapez deux fois esc [Echap]. Il s’agit ici, d’une sélection classique comme dans un bloc de texte, la palette Contrôle garde l’aspect habituel suite à une sélection de texte. Si vous devez effectuer des traitements de cellule, il faudra utiliser la palette Tableau ou le menu Tableau.
ASTUCE Quand l’outil Flèche est actif, il devient outil Texte par double-clic sur le texte d’une cellule du tableau.
L A SÉLECTION DE COLONNES Cette sélection s’effectue avec l’outil Texte, sans qu’il soit indispensable de sélectionner le bloc. En effet, placez le curseur sur le bord supérieur de la colonne à sélectionner : le curseur prend l’aspect d’une flèche noire ( ) avec laquelle il suffit de cliquer pour obtenir la sélection de la colonne.
Le curseur prend rend cet as aspect quand on le place en haut d’une colonne du tableau.
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L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Par un clic on n sélection sélectionne la colonne.
Le curseur prend ce cet aspect quand on le place sur le bord supérieur gauche du d tableau.
Dans le cas où le tableau ne comporte pas de ligne d’entête (ou de ligne de pied de tableau), si vous enfoncez Ó, il est possible de sélectionner la colonne adjacente par clic ou, plus simplesur son bord supérieur avec le curseur ment, en tapant Ó Flèche vers la droite ou vers la gauche.
Par un clic, on sélectionne l’ensemble du tableau.
Cette opération s’avère délicate à réaliser si le tableau ne possède pas de contour et si vous avez masqué les contours du bloc par le menu Affichage. Dans ce cas, cliquez dans une cellule de la colonne à sélectionner et affichez le menu contextuel pour y choisir Sélectionner puis Colonne, vous pouvez aussi utiliser le menu Tableau.
Si vous cliquez dans une cellule du tableau à sélectionner, vous pouvez utiliser le menu contextuel pour choisir Sélectionner puis Tableau ; vous pouvez aussi utiliser le menu Tableau ou le raccourci ∏¢ A [Alt Ctrl A] (c’est le seul raccourci qui fonctionne correctement dans ceux indiqués dans les commandes de sélection des éléments d’un tableau).
L A SÉLECTION DE LIGNES Comme pour une colonne, placez le curseur sur le bord gauche de la ligne à sélectionner : le curseur prend l’aspect d’une flèche noire , cliquez pour sélectionner la ligne. Si la ligne sélectionnée n’est pas une ligne d’en-tête, en enfonçant Ó, il est possible d’ajouter à la sélection la ligne adjacente par clic sur son bord gauche avec le curseur ou, plus simplement, en tapant Ó Flèche vers le bas ou vers le haut.
La gestion des éléments du tableau Les paragraphes qui suivent concernent la gestion des lignes et des colonnes : redimensionnement, insertion, fusion, suppression… Dans tous les cas, le tableau doit être activé par clic dans une cellule avec l’outil Texte (ou double-clic avec l’outil Flèche).
LE REDIMENSIONNEMENT DES ÉLÉMENTS
Le curseur prend ce cet aspect quand on le place sur le bord gauche tableau. d’une ligne du tab
Le redimensionnement s’effectue par ligne, par colonne ou pour le tableau entier : il peut être manuel, paramétré ou encore uniforme.
Le redimensionnement manuel d’une ligne ou d’une colonne Par un clic, on sélectionne la lligne.
Si vous cliquez dans une cellule de la ligne à sélectionner, vous pouvez utiliser le menu contextuel pour choisir Sélectionner puis Ligne (vous pouvez aussi utiliser le menu Tableau). Le sous-menu Sélectionner permet également soit la sélection des lignes d’en-tête, soit celle des lignes de corps (c’est-à-dire de toutes les lignes sauf les en-têtes et les pieds de tableau).
Ce redimensionnement ne nécessite pas de sélection particulière, il peut affecter ou non la taille de l’ensemble du tableau. Redimensionner et changer la taille du tableau
– Pour une ligne : placez la souris sur le bas de la ligne, le curseur devient , glissez la souris vers le haut ou le bas : InDesign visualise les nouvelles dimensions de la ligne et du tableau ; elles deviendront définitives dès que vous lâcherez le bouton de la souris.
L A SÉLECTION DU TABLEAU ENTIER Cette sélection s’effectue toujours avec l’outil Texte ; cliquez dans une cellule pour activer le tableau et placez la souris sur l’angle supérieur gauche du tableau : le curseur prend l’aspect d’une flèche noire ( ), cliquez pour sélectionner le tableau.
On place le curseur entre re deux lignes ign de cellules et on on le le glisse. gl
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Quand on lâche le bouton uton de la souris, so le tableau se redimmensionne. A STUCE Par un réglage manuel, une ligne ne peut pas devenir moins haute que son contenu.
Quand on lâche le bouton de la souris, le tableau se redimmensionne. redimmension INFO. Si le tableau s’étend sur plusieurs blocs chaînés, il est impossible de redimensionner le tableau entier avec la souris.
– Pour une colonne : placez la souris sur le bord droit de la colonne et glissez le curseur devenu — un agrandissement peut faire déborder le tableau sur la droite du bloc dans lequel il se trouve.
Redimensionner sans changer la taille du tableau Placez la souris sur la séparation entre deux colonnes, enfoncez Ó et glissez le curseur devenu (pour les lignes, ceci n’est réalisable qui si elles ont déjà été redimensionnées) : InDesign ne montre que le trait de séparation avec la colonne adjacente ; quand vous relâchez, cette dernière est réajustée pour que le tableau garde sa taille initiale.
On place le curseur ur entre deux de colonnes de cellules et on le glisse. g
On place le curseur entre deuxx colonnes et on le glisse g avec Ó : la taille du tableau n’est pas modifiée. deux odifiée. On a redimmensionné redimm colonnes adjacentes.
Quand on lâche le bouton de la souris, s, le tableau se redimmensionne.
Quand le tableau devient plus petit que la largeur du bloc dans lequel il se trouve, vous pouvez le centrer dans le bloc en cliquant à droite du tableau puis sur l’icône de centrage de la palette Contrôle ou Paragraphe. de texte
– Pour l’ensemble du tableau : en plaçant la souris dans l’angle inférieur droit du tableau, la souris devient et c’est le tableau entier qui sera redimensionné par glissement. Avec Ó, on conserve son rapport largeur/hauteur.
Le redimensionnement uniforme (distribution) Il s’applique, selon la sélection, à la totalité du tableau ou à quelques lignes ou colonnes. Pour l’obtenir, une fois la sélection réalisée, utilisez la commande Répartir les lignes uniformément (ou Répartir les colonnes uniformément) du menu Tableau (ou du menu contextuel). Les lignes ou les colonnes prennent la même largeur ou hauteur selon le cas, mais le tableau n’est pas redimensionné.
On place le curseur ur dans l’angle du tableau et on le glisse. g On sélectionne nne la série de lignes voulue ulue et on lance cette commande dans le menu contextuel. el.
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L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
L’INSERTION D’ÉLÉMENT D’UN TABLEAU Comme le redimensionnement, l’insertion d’une colonne ou d’une ligne se réalise de deux façons : manuellement ou de manière paramétrée (à partir d’une des commandes d’insertion). Les colonnes nnes prennent prennen la même dimension. A STUCE Le redimensionnement uniforme peut entraîner la disparition d’une partie du texte ou le débordement des images sur les cellules voisines. Dans le cas des images, le débordement pourra alors être éliminé (et les images tronquées, voir page 241) à partir de la fenêtre de la commande Texte (menu Tableau/Options de cellule).
L’insertion manuelle d’une ligne ou d’une colonne Pour la réaliser, placez la souris sur la ligne de séparation entre deux lignes (ou deux colonnes) pour voir l’icône ou , commencez à glisser la souris puis enfoncez ∏ [Alt] ; quand le déplacement est plus grand que la hauteur de la ligne à dupliquer (ou que la largeur de la colonne), vous pouvez lâcher pour obtenir l’insertion.
Le redimensionnement paramétré de lignes ou de colonnes Ce redimensionnement nécessite la sélection de l’élément à redimensionner. Pour ne régler qu’une seule ligne ou colonne, il suffit de cliquer dans une de leurs cellules. Pour en régler plusieurs, il faut une sélection qui comporte au moins une cellule de chaque ligne ou colonne à régler. Le réglage se réalise depuis les palettes Contrôle ou Tableau, ou depuis la rubrique Lignes et colonnes de la fenêtre Options de cellule du menu Tableau (ou contextuel si les lignes et les colonnes sont sélectionnées complètement). Cette fenêtre s’affiche par ∏ clic [Alt clic] sur l’icône ou de la palette Contrôle.
On place le curseur urseur entre deux colonnes co et on glisse avec ∏ [Alt], quand le glissement ement est suffisant suffisant une colonne colo o nne est ajoutée.
Si le déplacement est trop important, InDesign peut insérer deux lignes (ou colonnes) ou davantage ; il affiche un trait à chaque fois qu’une nouvelle ligne (ou colonne) est ajoutée. Pour n’obtenir qu’une seule ligne (ou colonne), votre déplacement ne doit pas dépasser le premier trait.
On règle laa largeur de d colonne ou la hauteur teur de ligne lign à plusieurss endroits.
A STUCE Si vous insérez beaucoup de lignes, le tableau deviendra plus haut que le bloc qui le contient et certaines lignes disparaîtront en bas du bloc — une croix rouge apparaîtra dans le port de sortie du bloc si ce dernier n’est pas chaîné vers un autre bloc. De la même manière, si vous insérez plusieurs colonnes, le tableau peut déborder sur la droite du bloc mais reste visible.
L’insertion paramétrée A STUCE Pour la hauteur de ligne, il s’agit d’une hauteur minimale qui n’est pas forcément respectée en fonction du contenu. Pour qu’elle le soit, cliquez sur l’option Supérieure ou égale à et choisissez Égale à (le contenu des cellules peut disparaître).
Pour insérer des lignes en bas du tableau, ou à sa droite pour les colonnes, utilisez les cases Nombre de lignes ( ) ou Nombre de colonnes ( ) de la palette Tableau ou Contrôle, ou de la rubrique Format de tableau de la fenêtre Option de tableau affichée par ∏ clic [Alt clic] sur l’icône ou de la palette Contrôle.
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En augmentant cess valeurs, valeu urs, on peut insérer des lignes urs lig ou colonnes aux extrémités tréémités du tableau.
En revanche, pour préciser certaines options d’insertion (quantité et position par rapport à la cellule active), cliquez dans la cellule et lancez la commande Ligne (ou Colonne) du sous-menu Insérer (menu Tableau ou contextuel ou de la palette Tableau) : une fenêtre vous permettra de définir l’emplacement et le nombre de lignes (ou colonnes) insérées.
Par clic droit, on lance cette commande pour insérerr des lignes à l’endroit voulu. ulu.
Inversement, vous pouvez fractionner une cellule sélectionnée (en noir) en deux cellules ; pour ce faire, utilisez les commandes Scinder la cellule dans le sens horizontal (ou vertical) du menu Tableau (ou contextuel). Vous pouvez relancer cette commande plusieurs fois, chacune des cellules de la sélection sera à nouveau partagée en deux. Il est possible de ne fractionner qu’une série de lignes (ou de colonnes) afin de créer une cellule de sous-titre par fusion de certaines cellules obtenues lors de la scission. Voici un exemple :
1. On veut créer une cellule de sous-titre vertical sur quelques lignes. On a donc sélectionné les premières cellules des lignes concernées pour les scinder.
Pourr obtenir ce sous-titre, sous-titr on a scindé quelques cellules. ce .
2. Une fois les cellules scindées, le texte qu’elles contenaient apparaît dans celles de gauche. On peut transférer les textes vers les colonnes de droite afin de vider la colonne de gauche.
L A FUSION ET LA DIVISION DE CELLULES Pour créer un titre qui s’étale sur plusieurs cellules, vous pouvez fusionner des cellules d’une même ligne ou d’une même colonne.
3. On peut maintenant sélectionner les cellules de gauche pour les fusionner. Une fois la cellule redimensionnée, le texte peut être saisi puis pivoté (voir plus loin).
Pour placer ce titre tre sur plu plusieurs colonnes on a dû les fusionner.
Une fois la sélection des cellules réalisée, la manipulation s’effectue en cliquant sur l’icône de la palette Contrôle (ou par la commande Fusionner les cellules du menu Tableau ou du menu contextuel). Cette fusion peut être annulée à tout moment par clic sur l’icône (ou la commande correspondante des menus).
Pour fusionner, on sélectionne onne les cellules et on lance cette tte commande du menu contextuel (clic droit).
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On transfèree le texte x par glissement puis on sélectionne les cellules cellule pour les fusionner ionner (on peut p alors redimensionner sionner le résultat).
L A SUPPRESSION D’ÉLÉMENT D’UN TABLEAU Pour supprimer une ligne ou une colonne (voire le tableau entier), cliquez dans une cellule (ou sélectionnez-en plusieurs pour supprimer plusieurs lignes ou colonnes) et lancez la commande Ligne, Colonne ou Tableau dans le sous-menu Supprimer du menu contextuel ou du menu Tableau.
On a sélectionné cettee série de cellules pour les supprimer.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Les propriétés
Dès la suppression réalisée, InDesign sélectionne la ligne suivante.
Quand un tableau possède des lignes d’en-tête (ou de pied de tableau), la sélection de l’une d’elles entraîne celle de toutes les lignes d’en-tête du tableau (quel que soit le nombre de blocs ou de pages sur lesquels s’étale le tableau). De même, toutes les modifications sur une des cellules d’entête sont répercutées sur les autres.
Cette manipulation s’effectue également au clavier en tapant respectivement : ¢ Efface [Ctrl Efface] pour supprimer une ligne et Ó Efface pour une colonne. Par couper-coller, on peut réaliser le déplacement (transfert) d’une ligne ; cependant, avant de coller, insérez une ligne et sélectionnez-la.
LES LIGNES D’EN -TÊTE ET DE PIED DE TABLEAU
Si on modifie odifie la prem première ligne d’en-tête, les autres utres le sont s aussi.
Les lignes d’en-tête et de pied de tableau ont un statut particulier, aussi InDesign permet leur sélection directe à partir du sous-menu Sélection (du menu Tableau ou contextuel).
En outre, si vous insérez (ou supprimez) des lignes ou changez la taille du bloc, les lignes de corps se placeront de telle manière que les lignes d’en-tête restent en haut des blocs (en bas pour les lignes de pied de tableau).
L’obtention de ligne d’en-tête ou de pied de tableau Les lignes d’en-tête et de pied de tableau sont créées lors de la configuration du tableau. En revanche, elles n’existent pas quand le tableau est obtenu par conversion d’un texte tabulé. Pour les définir, sélectionnez la première (ou la dernière) ligne du tableau, ou insérez-en une en haut (ou en bas) du tableau et lancez la commande En ligne d’en-tête (ou En ligne de pied de tableau) du menu Tableau/Convertir les lignes.
INFO. Si vous essayez de modifier une ligne d’en-tête qui n’est pas la première du tableau, un cadenas s’affichera pour vous prévenir qu’elle n’est pas modifiable. Un cadenas indique que la ligne d’en-tête n’est pas modifiable si ce n’est pas la première du tableau.
LES CHAÎNAGES DE TABLEAUX On veut définir cette ligne O tableau. ccomme omme o en-tête du tableau On peut O pe t utiliser tili cette tt commande.
Un bloc contenant un tableau peut être chaîné (ou déchaîné) comme n’importe quel bloc. L’opération s’effectue en cliquant sur le port de sortie du bloc (il contient un signe + rouge) puis en cliquant sur le bloc suivant ou en le dessinant. Lors du chaînage, les lignes d’en-tête et de pied de tableau apparaîtront sur tous les blocs de la chaîne ; en revanche, elles disparaîtront automatiquement si le bloc renferme à nouveau le tableau entier.
Cette ligne d’en-têtee figure alors à chaque début de tableau.
Dès leur création, si le tableau se situe sur plusieurs blocs chaînés, les lignes d’en-tête et de pied de tableau apparaîtront sur chacun des blocs pour respecter l’option de répétition spécifiée dans la fenêtre de la commande En-têtes et pieds de page (du menu Tableau puis Options de tableau).
On choisit ici ci la façon façon dont d se répète l’en-tête.
On veut passer cette ligne à la page p suivante. suivante
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 Si vous sélectionnez une ligne d’un tableau, vous pouvez définir sa position dans les blocs (ou pages) et ainsi la rejeter sur le bloc suivant (ou page suivante). À l’instar des lignes d’un paragraphe, vous pouvez solidariser des lignes d’un tableau.
Vous pouvez ainsi changer les caractéristiques du bloc ou de l’image selon que la sélection a été faite avec l’outil Flèche noire ou Flèche blanche. L’ombre portée, le contour progressif… ou encore les effets de transparence sont également disponibles.
On a renvoyé la a ligne à la page suivante (elle passe p sous l’en-tête).
Il est possible sible de sélectionner l’image pour pou en changer la taille ou d d’affecter a ecte ecter e au bloc b oc un u effet particulier.
Ces options d’enchaînement des lignes d’un tableau se définissent dans la fenêtre Lignes et colonnes, à laquelle on accède par le sous-menu Options de cellule du menu Tableau (ou contextuel si une cellule est sélectionnée).
La typographie des textes On retrouve pour les lignes d’un tableau tabl les mêmes options d’enchaînement que pour les lignes gnes d’un paragraphe. paragraph
L’aspect d’un tableau Dans cette partie, nous allons voir comment ajouter de la couleur au fond des cellules ou placer des contours autour de celles-ci. Ces manipulations se réalisent par cellule, par ligne, par colonne ou pour le tableau entier. L’affectation est donc liée à l’étendue de la sélection qui s’effectue (comme indiqué à la page 242). Avant d’aborder ces notions, nous allons voir un certain nombre d’attributs plus classiques de mise en forme du contenu de cellule.
Les opérations s’effectuent, comme pour un texte dans un bloc, avec les palettes Contrôle, Caractère ou Paragraphe. Selon la sélection, le réglage affectera la ligne complète, la colonne ou encore tout le tableau. Il est possible de préparer des styles de caractère ou de paragraphe spécifiques pour les textes des tableaux. Par la suite, les styles de paragraphe pourront être utilisés dans un style de cellule.
On sélectionne la ligne ne et on règle g les attributs.
LES ATTRIBUTS CLASSIQUES DU CONTENU Le réglage des images Les images dans les tableaux se règlent de la même manière que les images hors d’un tableau. Il suffit de sélectionner le bloc de l’image pour accéder à ses différents attributs dans la palette Contrôle.
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On peut préparer p parer des styl styles les de paragraphee et les appliquer u à plusieurs uer plusieurs cellules. celllules.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
On retrouve les mêmes possibilités de réglages que dans le cas d’un bloc de texte : alignement horizontal, alignement vertical et les marges de cellule. À ces réglages s’ajoute le pivotement du contenu de la cellule.
Dans le cas de l’option Justifié verticalement, il est possible de définir la limite d’espacement des paragraphes — ce réglage s’effectue dans la fenêtre Options de cellule du menu Tableau (à la rubrique Texte). C’est également dans cette fenêtre que se règle le décalage de la première ligne de base (comme pour le texte dans un bloc de texte).
L’alignement horizontal dans la cellule
Les marges de cellule
Il s’agit d’un attribut typographique qui se règle par cellule, ligne, colonne ou pour le tableau entier. Pour le choisir, utilisez l’une des icônes d’alignement de la palette Contrôle ou de la palette Paragraphe (ou taper le raccourci correspondant).
Lors de la création du tableau, toutes les cellules possèdent des marges de cellule de 1,411 mm ; elles ont pour effet d’écarter le contenu du bord de la cellule afin qu’il ne touche pas le contour présent par défaut. Ces marges de cellule, identiques sur tous les côtés de la cellule, peuvent être personnalisées ou supprimées avec une valeur nulle s’il n’y a ni contour ni couleur de fond de cellule.
L A POSITION DU CONTENU DANS LA CELLULE
On sélectionne les es cellules et on o change l’alignement gnementt du contenu (avec les textes, ce réglage peut peu être ajouté au style de paragraphe). paragraph p g p
Pour réaliser ce réglage, utilisez les icônes, ou (pour la largeur) et ou (pour la hauteur), situées dans la palette Contrôle ou Tableau, ou affichez la fenêtre Options de cellule à la rubrique Texte (menu Tableau ou au clavier ∏¢ B [Alt Ctrl B]) pour y paramétrer les différentes valeurs de marge de cellule. Cette fenêtre, Options de cellule, s’affiche également par ∏ clic [Alt clic] sur l’icône ou de la palette Contrôle. Les valeurs (identiques pour toutes les marges ou non ) peuvent être appliquées à l’ensemble du tableau ou n’affecter que certaines cellules selon l’étendue de la sélection. Une marge de cellule peut être utilisée pour remplacer un retrait de paragraphe.
Les trois réglages qui suivent sont des paramètres spécifiques des tableaux ; à ce titre, ils peuvent se définir dans la palette Tableau ( ), à la rubrique Texte de la commande Options de cellule du menu Tableau ou depuis des icônes de la palette Contrôle.
L’alignement vertical dans la cellule
Pour régler les marges de cette cellule, on peut agir ici ci ou là.
Ce type d’alignement se règle par cellule, colonne, ligne ou tableau entier. On retrouve les quatre options de positionnement du texte dans un bloc : en haut , au centre , en bas et justifié .
Le pivotement du contenu Une fois les cellules ou le tableau sélectionnés, on règle l’alignement ici ci ou là. à.
Qu’il contienne du texte ou une image, le contenu d’une cellule peut être On veut faire pivoté. Quatre angles de pivoter ce textee rotation sont possibles (0°, dans cettee 90°, 180° et –90°) ; vous poucellule. vez les choisir par les icônes de la palette Contrôle ou Tableau (ou par le menu contextuel).
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
La coloration des éléments du tableau
Avec ces iicônes, on fait A pivoté ce texte ; on peut alors réduire la largeurr de la cellule.
Pour colorer des éléments du tableau (cellules, lignes, colonnes), sélectionnez-les (selon les méthodes de la page 242), activez la case Fond ( ) de la palette Nuancier puis cliquez sur la nuance voulue. Vous pouvez aussi lancer la commande Contours et fonds du sous-menu Options de cellule (menu Tableau). Dans les deux cas, vous ne verrez la couleur réelle des cellules que lorsqu’elles seront désélectionnées.
Si la hauteur de ligne est insuffisante, le texte ou l’image qu’elle contient disparaît, un point rouge indique cette disparition. Il faudra redimensionner la cellule. ASTUCE Dans certains cas, les cellules voisines dans une même colonne auront été fusionnées (voir « La gestion des éléments du tableau », page 246) pour que la hauteur de la cellule résultante devienne suffisante pour voir le contenu. On n sélectionne les cellules les (ici la colonne) co ne) et on clique cliqu ue sur la l nuance n à appliquer (la couleur n’apparaît réellement cou r ement qu’après qu’aprrès désélection). désséle
L A COLORATION DU FOND DES ÉLÉMENTS D’UN TABLEAU
L’alternance des couleurs de fond
La préparation des nuances
Une fois le tableau activé en cliquant dans une cellule avec l’outil Texte, InDesign propose une commande de coloration de l’ensemble des lignes ou colonnes par alternance de nuances. Ce type de coloration s’effectue par la commande Fonds (du menu Tableau/Options de tableau) qui offre différentes options de coloration.
Avant de procéder à la coloration des cellules, commencez par ajouter au Nuancier les couleurs, teintes de couleurs ou dégradés que vous souhaitez utiliser. Pour réaliser ces opérations préliminaires, lancez la commande Nouvelle couleur (teinte ou dégradé) du menu Nuancier, composez la couleur ou le dégradé, puis cliquez sur Ajouter ; recommencez pour les autres nuances. Vous pouvez également modifier les couleurs importées avec le tableau.
La coloration par cellule (outil Flèche) La coloration d’une cellule s’obtient directement avec l’outil Flèche sans avoir à sélectionner la cellule ni même le bloc contenant le tableau. Pour cela, glissez une nuance du Nuancier (couleur, teinte ou dégradé) sur une cellule : le curseur devient , si vous lâchez, il y aura coloration de son fond. Si vous survolez une bordure, le curseur devient et c’est le contour de la cellule qui se colorera.
On glisse la nuancee d directement irecteemen nt sur la cellule pour laa colorer.r On a cliqué iqué danss le tableau puis on n adéfini ad l’alternance ll’alt altternance des d couleurs rs dans cette ce fenêtre.
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L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN Avec cette commande, les colorations sont directement visibles avec l’aperçu car les cellules n’ont pas besoin d’être sélectionnées. Une fois le Motif en alternance choisi, réglez la fréquence de l’alternance si celle proposée dans les cases Premières et Suivantes ne vous convient pas ; dans ce cas, c’est l’option Ligne personnalisée ou Colonne personnalisée qui s’affichera à la rubrique Motif en alternance.
Les réglages des contours de cellule ou de ligne Le contour d’une cellule est en réalité un rectangle constitué de quatre traits. Ces traits peuvent être réglés de manière identique ou différente, par paires (traits horizontaux et traits verticaux), ou individuellement. Dans le cas d’une ligne (ou d’une colonne ou de plusieurs cellules), les traits de séparation ou intérieurs (horizontaux ou verticaux ou les deux selon la sélection) viennent s’ajouter à ces quatre traits ; ces traits ont également leur propre réglage (qui, éventuellement, peut être identique à celui des autres). Vous devez d’abord indiquer quels traits vous souhaitez régler en désélectionnant ceux qui ne doivent pas subir le réglage.
Les sélections des traits du contour
Ici, on a réalisé une alternance nance bicolore. La ligne d’en-tête n’est pas modifiée.
L’alternance démarre après la ligne d’en-tête avec la nuance (et la teinte) spécifiée dans le menu local Couleur. Elle peut s’effectuer entre deux couleurs si vous remplacez l’option Sans (dans la partie droite de la fenêtre) par la nuance voulue ; de plus, vous pouvez décaler son démarrage avec l’option Ignorer premier(ères). Les couleurs déjà affectées aux cellules disparaissent, sauf si vous cochez l’option Conserver la mise en forme locale.
LES CONTOURS DES ÉLÉMENTS DU TABLEAU Pour les contours de cellules, on retrouve le même principe d’affectation avec l’outil Flèche que pour le fond ; cependant, par glissement vous ne colorerez qu’un trait à la fois. Pour bénéficier d’un nombre supplémentaire d’options, il est préférable de faire la sélection en tant qu’élément d’un tableau ou de sélectionner le tableau complet.
La case des contours de la palette Contour ou Contrôle prend un aspect différent selon que la sélection ne comporte qu’une seule cellule ou qu’elle englobe plusieurs cellules ou le tableau entier. Dans ces deux dernier cas (ensemble de cellules ou le tableau), on distingue la bordure (qui encadre l’ensemble) et les traits intérieurs (qui le « fractionnent »). Élément de tableau
Cellule
Ligne
Colonne
Tableau (cellules)
Aspect
Pour sélectionner (ou désélectionner), cliquez sur le trait.
On désélectionne par clic sur le trait.
Par double-clic, vous sélectionnez (ou désélectionnez) la bordure ou les traits intérieurs. De même, par clic droit sur l’aperçu des contours, vous pouvez réaliser certaines sélections à l’aide d’un menu pop-up qui indique les désélections (avec le terme « effacer ») ou les sélections réalisables. Les sélections ou désélections par le menu contextuel.
Par défaut, les éléments d’un tableau possèdent un contour. Le réglage de ce dernier se réalise de multiples façons : par la palette Contrôle, par la commande Contours et fonds du sous-menu Options de cellule (menu Tableau) ou encore par effet d’alternance, mais pour l’ensemble du tableau, avec les commandes Contours de lignes en alternance et Contours de colonnes en alternance du menu Tableau/ Options de tableau. ASTUCE Afin de mieux visualiser les contours que vous allez affecter aux cellules, masquez ceux des blocs en tapant ¢ H [Ctrl H] ou à l’aide de la commande du menu Affichage.
Quand la sélection des traits vous convient, choisissez une épaisseur de contour (une valeur nulle supprime le contour), un type et une couleur (ou un dégradé). Quand ce premier réglage est fait, vous pouvez faire une autre sélection de traits pour leur affecter un réglage différent.
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La bordure du tableau
Les traits en diagonale
Une commande spéciale permet de gérer séparément la bordure par défaut du tableau ; il s’agit de Format de tableau (menu Tableau/Options de tableau ou Ó∏¢ B [ÓAlt Ctrl B]) : cette fenêtre propose une rubrique Bordure du tableau pour définir le contour du tableau. Par exemple, pour supprimer cette bordure, il suffit d’entrer une épaisseur nulle (ou de choisir Sans pour la couleur).
La fenêtre Options de cellules (menu Tableau) comporte la rubrique Traits diagonaux qui permet de barrer la cellule de . Comme pour les autres contours, trois façons : vous devez préciser l’épaisseur, le type (plein, pointillés…), la couleur ainsi que la position par rapport au contenu (diagonale au premier plan ou à l’arrière-plan).
Les styles de cellule et de tableau
L’alternance de traits Comme avec les fonds, InDesign propose, pour l’ensemble du tableau actif, une commande pour placer des contours de ligne ou de colonne en alternance. Cette opération s’effectue dans la fenêtre Options de tableau (du menu Tableau) avec les rubriques Contours de ligne et Contours de colonne. Pour chaque alternance (Premières et Suivantes), vous devez définir l’épaisseur, le type, la couleur et la teinte. Si vous spécifiez les mêmes réglages pour les deux alternances, il y aura des traits sur toutes les lignes (ou sur toutes les colonnes) ; si vous spécifiez une épaisseur nulle, le trait est supprimé. Dans la fenêtre Options de tableau, vous pouvez combiner les alternances de contours sur les lignes et sur les colonnes puis ajouter des alternances de fonds.
Il est possible de définir à l’avance les réglages des cellules pour paramétrer l’aspect des futurs tableaux. L’ensemble de ces réglages définit un style de tableau dont la préparation s’effectue en plusieurs étapes. En effet, le style de tableau utilise des styles de cellule qui eux-mêmes peuvent faire appel à des styles de paragraphe pour faciliter leur remplissage.
LES STYLES TYPOGRAPHIQUES POUR LES CELLULES Nous verrons plus en détail le style de paragraphe après l’étude des tableaux. Pour le créer depuis une cellule, effectuez les opérations suivantes :
1. Sélectionnez le texte de la cellule et mettez-le en forme à partir des différentes palettes (Contrôle, Paragraphe, Caractère et Nuancier).
2. Quand le texte a l’aspect souhaité, dans la palette à gauche Contrôle (option ), cliquez sur l’icône de [Aucun style de paragraphe] et choisissez Nouveau style de paragraphe. Dans la fenêtre qui s’affiche, nommez ce nouveau style (éventuellement, avec un nom indiquant qu’il sera utilisé dans une cellule, par exemple : « cel_en-tête », « cel_courante », « cel_titre »…) et cochez l’option Appliquer à la sélection. Pour élaborer le tableau ci-dessus,, on a utilisé deux alternances.
On met en n forme le texte dans la cellule celllule et on lance ceci cii pour afficher a cette fenêtre tre dans laquelle q on nomme et oon applique pp q le style. y Ici, less traitss sont son nt identiques. dentiques. q
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ssuppri uppri pp Là,, less traits sont supprimés.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN Le style est prêt et appliqué ; il figure désormais dans la palette Styles de paragraphe et dans la liste des styles de paragraphe de la palette Contrôle.
Vérifiez que vous n’avez pas oublié de paramètres en consultant les trois rubriques (Texte, Contours et fonds et Traits diagonaux) de la fenêtre Nouveau style de cellule. Vous y retrouverez les paramètres disponibles dans les onglets de la fenêtre Options de cellule.
On a préparé paré plusieu plusieurs styles de paragraphe phe que l’on retrouve ici (certains seront utilisés l é dans les styles de cellule). La rubrique ubrique de gestion du texte avec les marges, l’alignement…. la l’a
LES STYLES DE CELLULE Pour élaborer un style de cellule, sélectionnez une cellule (clic dedans puis esc [Echap]) et effectuez sa mise en forme classiquement. Dans les différentes palettes ou fenêtres d’options de cellule : définissez la couleur de son fond, ses contours, ses marges, l’alignement de son contenu… Quand la cellule a l’aspect voulu, dans la palette Contrôle, cliquez sur l’icône pour choisir Nouveau style de cellule (vous pouvez aussi enfoncer ∏ [Alt] et cliquer sur l’icône de la palette Styles de cellule). Nommez le style et dans la rubrique générale, sélectionnez le style de paragraphe qui devra être appliqué au texte des cellules.
La rubrique brique de gestion de la coloration du fond et du contour.
ique de gestion des traits. La rubrique On met en n forme u une cellule sélectionnée, puiss on définit un style que l’on affine ffine dans dan cette fenêtre.
On peut choisir le style de paragraphe appliqué ué au texte de la cellule.
Recommencez ces opérations avec les autres cellules. Tous les styles ainsi créés figureront dans la palette Styles de cellule et dans la liste des styles de la palette Contrôle.
On crée un style avec cette cellule (il ne comporte qu’un n centrage du u texte, teee, un contour en bas et un style l de d paragraphe). h )
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 Si des styles doivent avoir des éléments communs, vous pouvez définir l’un d’eux en utilisant l’autre comme base de départ. Ainsi, la modification de la base entraînera celle de l’autre.
La création du style de tableau Pour cette étape, le tableau doit être actif, mais il n’est pas indispensable qu’il soit sélectionné. Pour cela, cliquez dans une de ses cellules, vous bénéficierez d’une meilleure visibilité lors de la dernière étape. Pour créer le style de tableau, dans la palette Contrôle, cliquez sur l’icône pour choisir Nouveau style de tableau ou enfoncez ∏ [Alt] et cliquez sur l’icône de la palette Styles de tableau. Contentezvous de nommer le style et de fermer la fenêtre du style.
On peut baser er un style de cellule sur s un autre et ne varier que qu quelques éléments ments (par exemple, le style de paragraphe et la l couleur de fond).
À ce stade, les styles de cellule peuvent être appliqués aux cellules ou utilisés pour réaliser un style de tableau. C’est ce que nous allons voir maintenant.
LES STYLES DE TABLEAU Si vous réalisez un style de tableau à partir d’un tableau mis en forme de façon locale, le style ne sera pas complet. Il est préférable, pour créer et mettre au point le style de tableau, de procéder en trois étapes : la réinitialisation, la création et l’application avec la mise au point.
La réinitialisation du tableau
On a « réinitialisé » le tableau et crééé le style de tableau. tab On peut l’l’appliquer et l’éditer li ’éditerr par double-clic sur son nom. nom
L’application et la mise au point du style Pour appliquer le style au tableau et afficher sa fenêtre de définition, double-cliquez sur son nom dans la palette Styles de tableau. La mise au point peut commencer avec l’aperçu sur le tableau. Cette mise au point consiste, notamment, à indiquer les styles de cellule qui doivent être appliqués aux rangées (ou lignes) d’en-tête et aux rangées (ou lignes) de corps.
La première étape (qui n’est pas toujours indispensable) consiste à supprimer tous les remplacements (réalisés lors de la préparation des différents styles de cellule) pour que le style de tableau s’applique correctement et sans surprise à toutes les cellules. Pour cela, sélectionnez le tableau complet par clic sur son angle supérieur gauche (il s’affiche en inversion vidéo), puis, dans le bas de la palette Styles de (Effacer les attributs…, comcellule, cliquez sur l’icône mande que l’on retrouve dans le menu des styles de cellule de la palette Contrôle). Après les rangées gées d’en-tête, d’en-t e on ch choisit hois isit i d dans ans cette cet t liste le style de cellule appliqué courantes de corps). qué aux lignes lig es (Rangées (Rangée (
On supprime pprime p différents attributs a attributts par ∏ clic [Alt clic] sur cettee icône..
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L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN Si vous avez fait des variantes de style de cellule (ou d’autres styles), vous pouvez définir l’aspect de la première colonne (gauche) et de la dernière colonne (droite) du tableau.
En outre, l’application d’un style de cellule (ou de tableau) supprime la mise en forme appliquée par un style précédent, mais ne supprime pas la mise en forme locale de la cellule (ou du tableau) effectuée dans les fenêtres Options de cellule ou de tableau. C’est pour cette raison qu’une réinitialisation est souvent nécessaire avant l’application ou la mise au point du style.
Les styles de cellule dans le style de tableau
On a défini l’aspect des colo colonnes onnes g gauche et droite avec avec ces styles. s
Un style de tableau peut utiliser jusqu’à cinq styles de cellule (rangée d’en-tête, rangée de pied de tableau, rangée de corps, colonne de gauche et colonne de droite), certains pouvant être utilisés plusieurs fois. Dans tous les cas, quand vous sélectionnez une cellule du tableau auquel vous avez affecté un style de tableau, la palette Styles de cellule ou Contrôle n’indique pas quel style de cellule lui appliquer par l’intermédiaire du style de tableau. Cependant, le nom du style de cellule appliqué à la cellule est indiqué en bas de la palette Styles de cellule
Vous pouvez également modifier des attributs des rubriques Format de tableau, Contours de ligne et de colonne ou Fonds, par exemple, pour définir une alternance de fond.
Dans cett cette rubrique, rique, on peut peu définir une alternance de fonds.
On a cliqué dans dan unee cellule du tableauu mais aucun style de cellule n’est sélectionné dans cette palette ; l cependant son style est précisé ici.
La gestion des styles de tableau LE COMPORTEMENT DES STYLES
L’APPLICATION D’UN STYLE DE TABLEAU
Les styles de cellule et les styles de tableau
La technique diffère un peu selon qu’il s’agit d’un tableau créé dans InDesign ou Word, obtenu par conversion ou importé d’Excel.
Les styles de cellule et de tableau se comportent différemment des caractères avec les styles de paragraphe. En effet, ces styles n’ayant pas d’attribut commun, l’application d’un style de tableau n’engendre aucun remplacement au niveau de la mise en forme des cellules. De même, l’application d’un style de cellule ne fait apparaître aucun remplacement dans la mise en forme du tableau. Avec les caractères, en revanche un changement de leur attribut engendre l’apparition d’un remplacement ( ) au niveau du style de paragraphe.
L’application à un tableau InDesign ou Word Pour appliquer correctement un style de tableau (utilisant des styles de cellule) à un tableau créé et mis en forme dans InDesign, ou importé de Word avec sa mise en forme, vous devez procéder en trois étapes : la réinitialisation, l’application et la finalisation.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
On définit dé certaines lignes respectivement comme ligne d’en-tête comm et ligne lign de pied de tableau. tablea a
On souhaite appliquer à ce tableau issu de Word avec sa mise en forme un style de tableau (variante de celui utilisé sur le tableau du haut de cette colonne).
La réinitialisation Elle consiste à supprimer tous les attributs (de paragraphe, de cellule ou de tableau) que possède le tableau. Cette opération se réalise (après sélection du tableau) en cliquant sur les icônes d’effacement des remplacements du bas des palettes Styles de tableau ( ), Style de cellule ( ) et Styles de paragraphe ( ).
L’application d’un style à un tableau obtenu par conversion Lors de la conversion, une fenêtre apparaît : sa partie basse permet de définir le style qui définira la mise en forme du tableau qui sera créé. Éventuellement, il ne restera plus qu’à convertir certaines lignes du tableau (les premières et les dernières) en lignes d’en-tête et lignes de pied et à redimensionner, voire fusionner, certaines cellules.
On réinitialise alise le tab tableau en cliquant sur différentes icônes ur ces diff d’effacement des remplacements..
L’application du style Cette opération est très simple puisqu’elle se réalise en cliquant sur le nom du style de tableau dans la palette Styles de tableau ou la palette Contrôle. Le tableau commence à prendre l’aspect souhaité mais certaines cellules ne seront pas correctement formatées car elles n’ont pas été définies comme en-tête ou pied de tableau, c’est le but de la troisième étape.
On applique ap lee style (et on redimensionne red onne le tableau et le bloc). tablea bl )
La finition Cette étape consiste à sélectionner la (ou les) premières lignes du tableau pour les convertir en lignes d’en-tête puis de faire de même avec les dernières lignes pour les convertir en lignes de pied de tableau, ainsi les styles de cellule définis dans le style de tableau leur seront appliqués. Pour terminer, il peut rester à modifier certains attributs de paragraphe (tels des alignements) pour harmoniser la mise en forme des textes dans certaines cellules.
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On peut ut convertir ce texte text en tableau au en lui appliquant appliquan ce style. t e. tyl
Le tableau tab apparaît directement mis en forme direc selon le style.
On a fusionné les cellules première ligne de la p les et redimensionné red d colonnes. On a défini ces colon deux lignes comme entête (ici, (i on peut supprimer dernière ligne). la der
L’application d’un style à un tableau importé d’Excel Lors de l’importation, si vous affichez la fenêtre Options d’importation, vous pouvez supprimer la mise en forme d’Excel pour appliquer au tableau celle d’InDesign par l’intermédiaire d’un style de tableau.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN Une fois importé, le fichier Excel sera listé dans la palette Liens (comme les fichiers image).
Cochez cettee option ddes préférences pour garder un lien externe.
Le choix du mode de mise en forme à l’importation
On peut choisir le style tyle à appliquer appl si on importe sans la mise m en forme d’Excel.
Comme avec les autres cas d’application de style de tableau, il faudra définir les lignes d’en-tête et de pied, redimensionner, fusionner certaines cellules et parfois supprimer certains remplacements dans quelques cellules. Le tab tableau apparaît mis forme selon le style en for mais il reste certaines manipulations à faire. mani
Quand vous importez un fichier Excel en affichant la fenêtre d’options d’importation, celle-ci propose un menu local Tableau avec plusieurs choix de mise en forme du tableau. Si vous souhaitez que la mise à jour du fichier Excel ne perturbe pas la mise en forme réalisée dans InDesign, choisissez impérativement Mis en forme une seule fois. En effet, avec cette option, le tableau apparaît tel qu’il était dans Excel mais conserve la mise en forme InDesign lors des mises à jour Excel. Avec l’option Tableau mis en forme, à chaque mise à jour, le tableau reprend la mise en forme d’Excel, vous risquez donc de perdre (totalement ou partiellement) celle d’InDesign.
Choisissez cette option ption pour une gestion correcte des mises à jour. On a rredimensionné et O fusionné puis défini les fusion lignes d’en-tête et de pied de d tableau.
LES STYLES ET LES MISES À JOUR EXTERNES AVEC E XCEL Pour que les opérations de mises à jour puissent être possibles et se passent correctement, c’est-à-dire sans perdre la mise en forme effectuée dans InDesign, il faut respecter certaines conditions avant d’importer, lors de l’importation puis dans le choix du formatage du tableau avec les styles.
L’activation des liaisons externes
Le tableau u dans Excel et dans ans InDesign, une partie de la mise en forme est conservée et un lien est établi. b . bli
Quand vous importez un tableau Excel, InDesign peut garder un lien avec le fichier externe de manière à pouvoir y effectuer des mises à jour. Pour cela, cochez l’option Créer des liens avec les fichiers… de feuilles de calculs importés des préférences (rubrique Texte).
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Les types de styles à utiliser
D Dans Excel, oon fait fai des modifications modif m odiff des données d do o (répercutés dans (réper (r réperr les le es calculs). cal
Pour ne pas perdre la mise en forme appliquée dans InDesign, en plus d’importer avec l’option Mise en forme une seule fois, il est impératif d’utiliser les styles de tableau et de cellule (un message le précisera).
Dans les deux cas, suite mise à jour, les à la m llignes lig ness ont perdu leur statutt d’en-tête ou de pied de d tableau mais ici, elles ici ell le ont conservé grâce au leur aspect a style de d cellule qui leur avait été appliqué (des ffusions de cellules restent à faire). resten
On a obtenu ceci avec des styless de cellule et un styl style y de tableau.
Cependant, si votre tableau comporte des lignes définies comme en-tête et de pied de tableau, gardez à l’esprit qu’elles perdront leur statut lors de la mise à jour du tableau ; en conséquence, elles perdront leur aspect car elles deviennent lignes de corps et prennent le style de cellule défini dans le style de tableau. En revanche, elles retrouveront leur aspect en les redéfinissant comme en-tête et pied de tableau. Pour conserver cette mise en forme InDesign sur les premières (ou dernières) lignes, vous pouvez leur affecter des styles de cellule particuliers (ceux utilisés dans le style de tableau), sans pour autant les définir comme en-tête ou pied de tableau (si cela n’est pas nécessaire). Pour un même aspect, le tableau peut être mis en forme…
Si le tableau avait été importé avec l’option Tableau mis en forme, il aurait cet aspect p
LES TRAITEMENTS DES STYLES Les modifications et les mises à jour des styles Étant donné qu’un style de tableau comporte des styles incorporés (style de cellule comportant eux-mêmes des styles de paragraphe), les modifications peuvent s’effectuer à différents niveaux. Dans tous les cas, si vous modifiez le style de paragraphe de cellule, les changements sont répercutés sur les éléments qui utilisent ces styles. Pour effectuer ces modifications, vous avez deux possibilités : changer la composition du style ou le redéfinir à partir d’une modification locale.
Le changement de composition du style …avec un style s de tableau seul, ou u un style de tableau et des d styles de cellulee appliqués (ligne dee pied, parr exemple). ap ppliqués à quelques cellules cell e
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Que l’élément soit sélectionné ou non, vous pouvez par clic droit sur le nom d’un style (dans la palette Style) modifier la composition de ce dernier.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN Qu’il s’agisse d’une couleur nommée, d’un style de paragraphe, de cellule ou de tableau, l’aperçu permettra de contrôler vos modifications sur la mise en pages.
On veut modifier d fier di l’aspect de cette tt cellule dont on a repéré le style ici.. Par clicc droit oit sur le nom du u style, on lance commandee nce cette com pourr afficher cette fenêtre. p pou fenêtreee..
Ici, on a changéé l’épaisseur et la couleur du contour tour ur : toutes les cellules qui utilisent ce style y yle changent aussitôtt d’aspect.
L’effacement des remplacements Si vous avez réalisé des modifications locales, tant au niveau de la typographie des textes qu’au niveau de l’aspect des cellules ou du tableau, un signe + apparaît en regard du nom du style correspondant (ou du style standard, si aucun style personnalisé n’a été créé). Ce signe indique la présence de ce qu’InDesign appelle les remplacements. Ces derniers peuvent être effacés en cliquant sur les icônes correspondantes : dans la palette Styles de tableau, dans la palette Styles de cellule et dans la palette Styles de paragraphe.
Les importations de styles À l’instar des styles de caractère et, comme nous le verrons plus loin, des styles de paragraphe, il est possible de charger des styles de cellule ou de tableau créés dans d’autres documents. Lors de ce chargement, qui se réalise par les commandes des menus locaux des palettes de styles, tous les éléments nécessaires à la composition du style sont chargés dans le document. En cas de conflit de nom, des fenêtres permettent de résoudre le problème.
UN TABLEAU SPÉCIAL : LES PEIGNES En utilisant un tableau d’une ligne et comportant autant de colonnes qu’il y a de signes dans la justification du texte, il est possible de faire des peignes.
La redéfinition du style Quand vous modifiez localement, par la fenêtre Options de tableau (ou de cellule), un tableau (ou une cellule) auquel est affecté un style, un signe + apparaît à droite de son nom dans la palette Styles de tableau (ou de cellule). Vous pouvez incorporer ce changement dans le style, c’est-àdire redéfinir le style ; cette opération se réalise par la commande correspondante du menu local des styles ( ou ) de la palette Contrôle (ou des palettes de styles).
On peut créer des peignes en utilisant des tableaux.
La préparation des styles du peigne Pour sa réalisation, il faut deux styles de cellule (l’un pour les cellules remplies, et l’autre pour les cellules à remplir), et un style de tableau qui utilise le style des cellules à remplir pour le formatage de base. On a créé un style de tableau et deux styles de cellule.
On a changé les couleurs d’alternance des fonds, cee signe indique ind ce remplacement ment que l’on peut incorporer dans le style y avec ceci.
Le style des cases remplies : il s’agit des cases dans lesquelles sera saisi le texte indiquant l’information à remplir dans les cases vides (par exemple : nom, prénom, adresse…). Ces cellules ne doivent comporter aucun contour. On peut régler l’alignement du texte en bas de la cellule si l’on souhaite que sa ligne de base coïncide avec les filets des cases voisines.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 De même, on peut ajouter une marge droite pour que les textes ne collent pas à la cellule voisine quand il y a un alignement à droite. Vous pouvez affecter (par la rubrique Général du style de cellule), un style de paragraphe pour formater le texte qui figurera dans les cellules.
La mise en place du peigne La mise en place comporte quelques étapes : l’insertion du tableau, la sélection et la conversion de quelques cases vides en cases de type « remplie », puis la saisie du texte. L’insertion du tableau Une fois le point d’insertion dans le bloc, lancez la commande Insérer un tableau du menu Tableau. Dans la fenêtre qui s’affiche, régler le tableau avec une seule ligne et autant de colonnes que vous voulez de signes dans la ligne de texte. Quand le tableau apparaît, cliquez dans le bloc sous le tableau et tapez un retour chariot et pour recommencer l’insertion d’un autre tableau (et ainsi de suite jusqu’à avoir le nombre de lignes souhaité).
Pour le style des cases remplies : un alignement en bas b et une petite marge uniquement ment à droite et bien sûr, pas de d contour. tour.
Le style des cases à remplir : il s’agit des cases vides que le lecteur devra renseigner. Ces cellules comportent un contour, mais sur trois côtés uniquement (le haut est supprimé). On insère un tableau d’une seule ligne en choisissant choisis ce style. style
La conversion des cellules La conversion d’une case à remplir en case remplie s’effectue en trois étapes : la sélection les cellules, la fusion de la sélection et l’affectation à la cellule obtenue du style des cases remplies. Pour le style des cases à remplir : justee un contour sur trois côtés.
Le style du tableau : il ne fait qu’indiquer l’utilisation du style des cases à remplir comme style de formatage des rangées de corps.
On sélectionne les cellules dans lequelles on doit écrire un texte.
On fusionne les cellules es et on leur affecte ce style de cellule. llule.
On peut p aussi affecter le style sty par glissement depuis la palette. depu
Le remplissage des cellules Il s’agit d’une simple saisie. Dans certains cas, il faudra changer l’alignement du texte. Le stylee des cases à remplir rem est utilisé pour formater les rangées de corps. ps. On saisit isit le texte, il se place en bas de la cellule.
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L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Les styles de paragraphe L’intérêt des styles de paragraphe
L A MISE EN FORME DU TEXTE POUR UN STYLE DE PARAGRAPHE
Un style de paragraphe est un ensemble d’attributs de paragraphe et de caractère que vous pourrez appliquer de manière globale à un texte préalablement sélectionné. L’utilisation des styles permet d’automatiser la mise en forme des textes ; de plus, elle garantit une cohérence typographique. Par la suite, si vous modifiez un style, tous les paragraphes auxquels il a été affecté sont automatiquement mis à jour sans qu’il soit nécessaire de les sélectionner. L’utilisation des styles comporte deux étapes : d’une part, la préparation et, d’autre part, l’application. Les opérations s’effectuent dans la palette Styles de paragraphe, qui s’affiche par le menu Fenêtre ou en tapant F11.
Sélectionnez le paragraphe entier (par quatre clics) et mettez-le en forme de manière classique (sans utiliser les styles de caractère) : pour les attributs de caractère, utilisez les palettes Contrôle ou Caractère, et Nuancier ou Couleur ; pour les attributs de paragraphe, utilisez les palettes Contrôle ou Paragraphe et leur menu.
La préparation d’un style de paragraphe Ce sous-titre ous-titre a été té mis en forme aavec vec cess pale palettes. alettes. t ttes
LES MÉTHODES ET LES OPÉRATIONS PRÉLIMINAIRES Comme pour les styles de caractère, vous disposez de deux méthodes pour préparer un style de paragraphe : par préparation directe (mais aveugle) depuis la palette Styles de paragraphe ou par transformation en style d’une mise en forme réalisée avec un texte sélectionné sur la page. Vous pouvez également combiner ces deux méthodes ; dans ce cas, une option d’aperçu facilitera les mises au point. Dans tous les cas, avant de commencer l’élaboration des styles, vous devez préparer certains éléments que vous serez peut-être amené à utiliser dans vos styles de paragraphe. Voici la liste des tâches préliminaires :
Quand le texte a l’aspect souhaité, passez à la seconde étape : l’obtention d’un style à partir de cette mise en forme.
L’OBTENTION DU STYLE DE PARAGRAPHE Pour définir un style à partir d’un texte mis en forme, dans la palette Contrôle (option Paragraphe ), cliquez sur l’icône (Styles de paragraphe) à gauche de [Aucun style de paragraphe] pour choisir Nouveau style de paragraphe. Vous pouvez aussi afficher la palette Styles de paragraphe (F11), enfoncez ∏ [Alt] et cliquez sur l’icône ou encore lancer Nouveau style de paragraphe dans son menu local. Dans les deux cas, la fenêtre de définition du style s’affiche.
– définir des styles de caractère que vous comptez utiliser pour les lettrines et les styles imbriqués ;
– régler la grille de ligne de base si vous comptez l’utiliser
Depuis cette icône, ne, on peut llancer cettee commande qui affiche cette fenêtre. êt e.
— cette opération peut être réalisée après la création du style (à l’aide du style d’objet, par exemple) mais vous ne bénéficierez pas de l’aperçu ;
– créer des types de traits (pour les soulignements ou les filets de paragraphe). A STUCE Ajoutez au Nuancier les différentes couleurs, mélanges d’encres ou dégradés que vous utiliserez pour colorer les caractères ou les filets. Il sera néanmoins possible de réaliser certaines de ces opérations pendant l’élaboration du style dans la rubrique Couleur des caractères.
Nommez ommez le style et cochez cette ceette option optiio qui applique le style et permet rmet de bénéficier d’un aperçu apeerçu pour pou la finition.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 La partie basse de la fenêtre (rubrique Paramètres) liste tous les attributs de caractère et de paragraphe affectés à la sélection de texte. Nommez ce style et choisissez un raccourci. Pour cela, cliquez dans la case Raccourci et tapez un chiffre du pavé numérique (verrouillé sur Windows) en enfonçant Ó∏¢ [ÓAlt Ctrl] ou ∏¢ [Alt Ctrl] ∏ [Alt] ou ¢ [Ctrl]. Cochez l’option Appliquer le style à la sélection afin de profiter de l’aperçu et de finaliser plus facilement le style. ASTUCE L’option Style suivant permet de choisir le style attribué au paragraphe qui apparaîtra si vous tapez la touche ‚ (par défaut, le même style). Cette option permet également l’application en cascade de styles (nous le verrons plus loin).
Les attributs avancés.
Rubriques de typographie des paragraphes
LES MISES AU POINT DU STYLE DE PARAGRAPHE Dans la fenêtre, la colonne de gauche énumère des catégories d’attributs. Chacune d’elles affiche une fenêtre dans laquelle vous retrouvez les différentes commandes accessibles dans les palettes Contrôle ou Paragraphe et leur menu, la palette Caractère et son menu, ou encore la palette Nuancier. Passez ces différentes fenêtres en revue pour vérifier que vous n’avez pas omis d’affecter un attribut au texte même s’il n’est plus sélectionné. Les deux premières catégories et les quatre dernières correspondent aux attributs de caractère et à leur coloration. Les autres correspondent aux attributs de paragraphe et tabulations.
Attributs de base des paragraphes : alignement, retrait… mais aussi l’affectation de la grille d’alignement.
La règle de tabulation pour le placement des taquets.
Si aucune case de saisie n’est active, vous pouvez passer d’une fenêtre à la suivante en tapant ¢ [Ctrl] Flèche vers le haut (ou vers le bas pour la précédente). Les copies d’écran qui suivent vous montrent ces différentes fenêtres.
Rubriques de typographie des caractères
Les filets de paragraphe. Pour ajouter une couleur, utilisez la rubrique Couleur des caractères.
Attributs de base des caractères. Les cases laissées vides définissent un attribut ignoré dans le style.
Les options de solidarisation des lignes du paragraphe. Ici, on a attaché les sous-titres aux lignes suivantes.
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L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Rubriques d’options typographiques des caractères
La rubrique de gestion des césures. La a coloration des caractères s’effectue s effectue ici ici. En ccliquant sur le caractère aractère coloré, on pourra ajouter une couleur. coule La couleur créée peut s’ajouter au Nuancier. Elle sera disponible pour les filets, les soulignés et les barrés. Les réglages du gris typographique.
Si vous utilisez des polices OpenType, de nombreuses options d’enrichissement typographique sont disponibles. Cette rubrique peut nécessiter d’avoir préparé un ou plusieurs styles de caractère.
Les options de soulignement des caractères.
Rubrique de gestion ti des d listes li t (à puces ou numérotées). é té ) Un U style de caractère peut être nécessaire.
Les réglages pour obtenir des caractères barrés.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 Quand cette mise au point est faite, le style est prêt et son nom apparaît dans les palettes Contrôle et Styles de paragraphe.
Le style réalisé est maintenant accessible dans les palettes Contrôle a access ntrôle eet de paragraphe. S Styles
Vous pouvez préparer ainsi les différents styles de paragraphe en sélectionnant une autre partie de texte ou en affichant directement la fenêtre Styles de paragraphe pour créer le style d’après une liste d’attributs d’une charte graphique.
Élément
Définition pour InDesign Suite de mots se terminant par un point (suivi Phrase ou non d’une espace). Chaîne de caractères se terminant par une espace. Si deux chaînes de caractères (ou Mot plus) sont séparées par une espace insécable, elles ne constituent qu’un seul mot pour InDesign. Signe qui peut être une lettre, un chiffre ou Caractère n’importe quel glyphe d’une police.
Voici trois exemples de paragraphes pour des styles imbriqués avec des commentaires pour expliquer leur décomposition.
Exemple 1 : la liste de produits – La description : il s’agit d’une liste comportant un nom de produit suivi d’un commentaire et d’un prix envoyé à droite avec une tabulation de retrait à droite (obtenue en tapant Ó† [ÓŸ]). Pour cee paragrap paragraphe, on a préparé cee style.
Avant d’étudier les différentes méthodes d’application des styles aux autres paragraphes d’un article ou d’une composition, nous allons voir en détail comment réaliser un style de paragraphe comportant des styles imbriqués (le cas de la lettrine a déjà été étudié avec les styles de caractère, page 225).
A STUCE Si la saisie a été réalisée avec une tabulation normale, elle pourra être remplacée par une tabulation de retrait à droite avec la fonction Rechercher/Remplacer (voir plus loin).
L’utilisation des styles imbriqués La saisie initiale iale et l’asp l’aspect souhaité p pour le texte.
Pour élaborer un style de paragraphe utilisant des styles imbriqués, suivez la procédure suivante : examen de la saisie, modification de cette dernière si elle n’est pas directement exploitable, préparation des styles de caractère et enfin, création du style de paragraphe.
L’EXAMEN DES PARAGRAPHES À STYLER Le paragraphe peut comporter plusieurs lignes, justifiées ou non, avec ou sans retours à la ligne forcés. Cependant, afin de pouvoir définir l’affectation d’un style de caractère aux différentes parties de chaque paragraphe, il est indispensable que chacun d’entre eux ait la même construction et que ses parties présentent des éléments communs tels que la terminaison par un même caractère (par exemple : « : », « ; », « ( », « ) »…) ou la présence du même nombre d’éléments de texte (par exemple : même nombre de mots, de lettres, de chiffres, de phrases, de lignes…).
– Les styles nécessaires : on distingue trois chaînes de caractères d’aspects différents : celle du nom du produit, celle des commentaires et celle du prix (ou reste du texte). Il faudra donc trois styles de caractère ; en fait, deux suffiront, le troisième sera défini dans le style du paragraphe.
1er style.
2e style.
Caractères de base b (3e style).
– Les délimiteurs (ou fin du style) : le nom du produit INFO. Un paragraphe est constitué d’éléments de texte tels que les phrases, les mots et les caractères. Il est important d’en connaître la définition dans InDesign.
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qui utilise le 1er style est toujours suivi d’une parenthèse ouvrante. Celle-ci constitue donc la limite du premier style.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN Le commentaire et sa parenthèse fermante auxquels s’appliquera le 2e style, sont toujours suivis d’un caractère de tabulation de retrait à droite ( ). Ce signe constitue la limite du 2e style.
Limite du 1er style.
Limite du 2e style.
Dans cet exemple, le style de paragraphe comportera deux styles imbriqués et le format des caractères de base du paragraphe sera appliqué au texte de fin de ligne (au prix).
Exemple 2 : le carnet d’adresses – La description : il s’agit d’un carnet d’adresses de magasin. Il comporte le nom du magasin (en couleur), l’adresse (avec ou sans téléphone) et une adresse de site Web sur la dernière ligne du paragraphe ; cette dernière est en bleu et soulignée.
Le 2e style s’applique à l’adresse postale, c’est-à-dire sur une ligne (retour à la ligne forcé ), ou deux si le téléphone est précisé. Le dernier style s’applique au site Web donc sur un seul mot (il n’y a jamais d’espace dans les adresses de site). On peut aussi limiter le style par la fin du paragraphe. 1er style jusqu’ici. 2e style sur 2 retours à la ligne forcés. 3e style sur 1 mot.
Dans cet exemple, le style de paragraphe comportera donc trois styles imbriqués dont l’un (le deuxième) sera défini par le format des caractères de base du paragraphe (c’est-à-dire [Sans] style de caractère). ASTUCE En changeant la saisie, on pourrait envisager de faire un style de paragraphe pour l’adresse du site qui se trouve séparée du reste du texte. L’avantage du style imbriqué réside dans le fait que la mise en forme du texte s’effectue en une seule application de style, contre deux si l’adresse de site Web avait son propre style ; cependant, la saisie doit être en conséquence : retour à la ligne forcé et non retour chariot à la fin de l’adresse postale (ou du téléphone).
La variante ci-dessous est possible ; dans ce cas, le délimiteur de l’adresse postale est un caractère spécial, Fin du style imbriqué ici ( ), qu’il faut placer avant l’adresse du site. Il est obtenu par le menu Texte/Insérer un caractère spécial/Autre. Son placement peut se réaliser (nous le verrons plus loin), avec la fonction Rechercher/Remplacer du menu Édition. Saisie initiale.
Aspect souhaité pour le texte.
– Les styles : dans cet exemple, on aura également trois chaînes de caractères d’aspects différents : celle du nom du magasin, celle de l’adresse postale et celle de l’URL. L’aspect des caractères de l’adresse sera défini dans le style de paragraphe, il faudra donc deux styles de caractère (un pour le nom du magasin et un pour le site Web).
SSi on modifie la saisie, on peut ffaire cette variante.
1er style. 2e style (caractères tères de base). e). e
3 style.
C’est jusqu’à squ’à ce signe que le 2e style yle s’applique.
– Les délimiteurs : le 1er style doit s’appliquer au nom du magasin, donc jusqu’aux deux-points (non inclus).
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
Exemple 3 : une liste de livres avec leur description – La description : il s’agit d’une liste de livres dans laquelle figure, en couleur, le titre du livre (avec parfois son auteur) suivi, entre parenthèses, du nom de l’éditeur, du nombre de pages et du prix (en rouge et en gras).
1er style jusqu’ici (signe exclu).
2e style [Sans] jusqu’à ce signe inclus.
3e style jusque-là (signe exclu).
Dans cet exemple, le style de paragraphe comportera trois styles imbriqués dont l’un (le deuxième), est constitué par le format des caractères de base (style de caractère [Sans]).
L A MODIFICATION DE LA SAISIE
La saisie aisie initiale et ll’aspect final souhaité pour le texte.
Si c’est vous qui réalisez la saisie, celle-ci devra être conforme au modèle de paragraphe à partir duquel vous avez étudié l’élaboration de votre style. S’il s’agit d’un texte importé, il faudra vérifier que les paragraphes sont construits selon le modèle. Si ce n’est pas le cas, il ne faudra pas hésiter à utiliser la fonction Rechercher/Remplacer du menu Édition pour rendre les paragraphes conformes.
– Les styles : l’exemple ci-dessus comporte une suite de
Il faudra peut-être : remplacer des marques de paragraphe (^p) par des retours à la ligne forcés (^n) ou une tabulation normale (^t) par une tabulation de retrait à droite (^y) ; insérer des caractères spéciaux tels que Fin du style imbriqué ici (^h), en remplaçant un texte commun à chaque paragraphe par ce même texte précédé ou suivi, selon le contexte du paragraphe, de ce caractère spécial. Pour remplir les cases Rechercher ou Remplacer, opérez par saisie (les codes de certains signes seront précisés lors de l’étude complète de la fonction Rechercher/Remplacer à la fin de ce chapitre), par glissement depuis l’article ou encore à l’aide des menus locaux ( ) à droite des cases de saisie de recherche ou de remplacement.
quatre chaînes de caractères avec des aspects différents : celle du titre du livre (avec ou sans son auteur, elle constitue le 1er style), celle du nom de l’éditeur avec le nombre de pages (2e style), celle du prix (3e style) et enfin, celle pour la fermeture de la parenthèse et du point final. Ici, il faudra créer deux styles de caractère : l’un pour le titre du livre (1er style), l’autre pour le prix (3e style) ; les deux autres chaînes de caractères utilisent le format des caractères de base du paragraphe, c’est-à-dire le style [Sans].
1er style.
2e style ([Sans], caractère de base)..
3e style style. e.
– Les délimiteurs : le 1er style n’affecte que le titre du livre, il s’appliquera jusqu’à la parenthèse ouvrante (non comprise), l’option (jusqu’à) permettra d’exclure ce délimiteur. Le style suivant, [Sans], doit s’appliquer jusqu’au deuxpoints (inclus), l’option (sur) permettra d’inclure ce délimiteur. Le 3e style s’appliquera au prix jusqu’à la parenthèse fermante (non comprise). Les caractères qui suivent prendront automatiquement le format de base (style [Sans]) et ce, sans qu’il soit nécessaire de le préciser.
266
On remplace mp place par le même te texte e précédéé d’un signe style g Fin du st imbriqué ici (obtenu par ce menu local). local).
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
L A PRÉPARATION DES STYLES DE CARACTÈRE ET DES STYLES IMBRIQUÉS
Pour chaque exemple, examinons la préparation des styles de caractère et leur imbrication dans le style de paragraphe.
Remplissez la rubrique Formats de caractères de base comme l’indique la copie d’écran ci-dessous. Ces attributs définissent l’aspect des caractères auxquels on n’appliquera aucun style de caractère lors de l’imbrication des styles ; dans notre liste de produits, il s’agit du prix.
Exemple 1 : la liste de produits Les styles de caractère Le style de caractère du nom du produit (ex.1 nom produit) a les caractéristiques indiquées ci-dessous.
Ici,, on règle des attributs de base des caractères (ils définissent l’aspect spect des caractères auxquels on o affectera le style [Sans]).
On met et en forme ce mot mo avec ec ces attributs ib et cette c tte couleur. coule
Pour le style des commentaires (ex.1 commentaires), on a utilisé la police Myriad Pro Regular et un corps réduit à 7 pt.
Vous pouvez modifier les autres rubriques : par exemple, ajouter des espaces entre les paragraphes (rubrique Retrait et espacement), insérer un filet sous le paragraphe (rubrique Filets de paragraphe), etc. Affichez maintenant la rubrique Lettrines et styles imbriqués. La fenêtre ne comporte pas de style imbriqué, cliquez deux fois sur Nouveau style imbriqué pour en ajouter deux.
Le corps des commentaires mment est réduit..
La réinitialisation des caractères Pour que le style de paragraphe que vous allez préparer s’applique correctement, il faut « réinitialiser » le formatage du paragraphe que vous allez utiliser pour l’élaborer. Pour cela, sélectionnez-le complètement (4 clics), appliquez-lui le style de caractère [Sans] par la palette Styles de caractère ou Contrôle (option ), puis cliquez sur l’icône dans la palette Styles de paragraphe ou Contrôle (option ).
Dans cette rubrique, on a cliqué qué ici c pour p ur ajouter ajoute ces deux deux nouveaux styles imbriqués.
Pour régler ces styles, effectuez les trois opérations suivantes :
1. Sélectionnez le premier style imbriqué en haut de la liste
On a sélectionné tout le paragraphe aragrap r he pour le réinitialiser en appliquant liquant ce stylee de caractère et en cliquant q t sur cette tt icône. i e.
en cliquant sur [Sans] pour choisir le style de caractère ex.1 nom produit dans le menu local. Il sera ainsi affecté à la première chaîne de caractères.
2. Pour ne pas inclure le délimiteur, cliquez sur la case sur et choisissez jusqu’à.
3. Activez enfin la case Mots (à droite du chiffre 1) en cliLes styles imbriqués de la liste de produits Créez un nouveau style de paragraphe. Pour cela, dans la à gaupalette Contrôle (option ), cliquez sur l’icône che de [Aucun style de paragraphe] pour choisir Nouveau style de paragraphe ; nommez ce style (par exemple, ex.1 produit/commentaire/prix) et cochez l’option Appliquer à la sélection pour voir les éventuelles modifications.
quant dessus et tapez « ( » puisque la parenthèse ouvrante constitue le premier délimiteur pour ce style imbriqué.
Ici, on a choisi le style de caractère tère et là, à on a saisi le délimiteur.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
I NFO. Excepté les codes de certains signes (^n, ^t, etc.), dans la case du délimiteur, vous ne pouvez placer qu’un seul caractère.
Passez au réglage du second style imbriqué en effectuant les trois opérations suivantes :
1. Sélectionnez le second style imbriqué de la liste en cliquant sur [Sans] pour choisir le style de caractère ex.1 commentaires dans le menu local. Il sera affecté à la deuxième chaîne de caractères.
Exemple 2 : le carnet d’adresses Les styles de caractère Il y a deux styles à créer. Celui pour le nom du magasin (ex.2 nom magasin) a les caractéristiques suivantes : Myriad Pro black (12 pt) avec un Pantone rouge. Pour le style de l’adresse du site (ex.2 www), on a utilisé la police Minion BoldItalic (12 pt) colorée en bleu et soulignée.
On doit créer ces deux styles de caractère.
2. Cliquez sur la case sur pour choisir jusqu’à. 3. Activez la case Mots (à droite du 1) en cliquant dessus et tapez « ^y » ; il s’agit du caractère masqué correspondant à la tabulation de retrait à droite qui constitue le délimiteur pour ce second style imbriqué — il peut d’ailleurs être inclus (sur) ou non (jusqu’à).
On a ch O choisi le second style et saisi aisi le code cod de du délimiteur. paragraphe prendd cet aspect. Le parag aspectt. Le style est fini. f
Les attributss du premier sstyle. tyle.
u souligné. Les attributs du texte bleu
La réinitialisation des caractères
ASTUCE Pour obtenir ce délimiteur, vous pouvez fermer la fenêtre de style, sélectionner la tabulation de retrait à droite dans le texte, la copier puis réafficher la fenêtre de style afin de l’y coller dans la case voulue — cette méthode est valable pour tous les caractères à placer dans cette case.
Le style de paragraphe est terminé, sélectionnez les autres paragraphes du texte et appliquez-leur ce style par la palette Contrôle ou Styles de paragraphe. INFO. Quand on clique sur des caractères mis en forme par des styles imbriqués, la palette Styles de caractère active [Sans] et affiche, à sa base, le nom du style imbriqué.
On a ap a appliqué ppliqué le style styl st e de d paragraphe. Lee style dee caractère de n’est c d ce caractère c indiqué ndiqué qu’en qu bas de cette palette. l
268
Comme avec l’exemple précédent, n’oubliez pas de réinitialiser le paragraphe avant de l’utiliser pour créer le style : appliquez-lui le style de caractère [Sans] (palette Styles de caractère) et cliquez sur l’icône de palette Contrôle (option ). ASTUCE La réinitialisation peut être évitée en ne cochant pas Appliquer le style à la sélection quand vous créez le style de caractère. Vous pouvez aussi faire le style de paragraphe puis le réappliquer en enfonçant Ó∏ [Ó Alt] (voir plus loin).
Les styles imbriqués du carnet d’adresses Créez un style de paragraphe en cliquant sur l’icône de la palette Contrôle (option ) et choisissez Nouveau style de paragraphe. Nommez ce style (par exemple, ex.2 adresse 2 lignes + tel). Remplissez la rubrique Formats de caractères de base pour définir l’aspect des caractères auxquels on appliquera [Sans] par styles imbriqués : on a choisi la même police (et le même corps) que l’adresse du site mais en Regular avec un interligne réduit à 13 pt. Les a attributs base des de ba caractères du carac paragraphe. parag
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN Réglez la rubrique Retrait et espacement pour ajouter des espaces entre les paragraphes. Affichez maintenant la rubrique Lettrines et styles imbriqués. La fenêtre ne comporte pas de style imbriqué, cliquez trois fois sur Nouveau style imbriqué pour en ajouter trois et réglez-les.
Le style de paragraphe est terminé, appliquez-le par la palette Contrôle aux paragraphes du carnet d’adresses comportant quatre lignes. En effet, pour les paragraphes sans téléphone, il n’y a qu’un retour à la ligne forcé, il faut donc faire une variante du style, puis leur appliquer cette variante (que l’on nommera ex.2 adresse 2 lignes).
Pour q que ces paragraphes soient correctement soien formatés, forma a il faut dupliquer le style styll et régler la deuxième imbrication sur une ligne. imbri i
On a ajouté trois rois styles imbriqués auxquels ls on va affecterr un style et une limite d’application. lication.
1. Réglage du 1er style imbriqué : – Cliquez sur [Sans] pour choisir le style ex.2 nom magasin dans le menu local. Il sera ainsi affecté à la première chaîne de caractères.
– Cliquez sur la case sur pour choisir jusqu’à (pour exclure). – Activez enfin la case Mots (à droite du chiffre 1) en cliquant dessus et tapez « : » (délimiteur de ce style).
Pour cela, dupliquez le style de paragraphe précédent (par clic droit sur son nom dans la palette Styles de paragraphe) et éditez sa rubrique Lettrines et styles imbriqués en saisissant la valeur 1 (à la place de 2) devant la case Saut de ligne forcé.
2. Réglage du 2e style imbriqué : Il n’y a que deux opérations à réaliser. En effet, la deuxième chaîne de caractères devant avoir l’aspect des caractères de base, le style reste [Sans]. De plus, la deuxième case garde la valeur sur car le style doit s’appliquer sur deux lignes.
– Cliquez sur la case 1 et remplacez ce chiffre par un 2. – Activez la case Mots puis son menu local à droite pour choisir Saut de ligne forcé (il s’agit du délimiteur pour ce deuxième style imbriqué).
On a dupliqué qué le style pour modifier mo cette imbrication. imbricat a ion On peut appliquer ppliquer ce style y aux paragraphes p g p es concernés.
3. Réglage du 3e style imbriqué Ce style s’applique à l’adresse du site, il n’y a qu’à cliquer sur [Sans] pour choisir le style ex.2 www dans le menu local. Les autres options restent inchangées car ce style ne s’applique que sur 1 mot.
Les réglages ges des trois troi styles imbriqués briqués et leur aspect dans d l le paragraphe.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
Exemple 3 : la liste de livres avec leur description
Configurez les styles imbriqués comme l’indique la copie d’écran précédente ou le tableau ci-dessous.
Les styles de caractère Il faut deux styles : celui du titre du livre (ex.3 titre livre) en Minion Pro Bold Italic (corps 13 pt, interligne 14 pt) coloré en rouge orangé ; et celui du prix (ex.3 prix) pour lequel on utilise la police des caractères de base (Myriad Pro, corps 12 pt) mais en Bold et en rouge.
Ordre 1er
Sur (inclus) ou Qté Limite Jusqu’à (exclu)
ex.3 titre livre
Jusqu’à (exclu)
1
(
e
[Sans]
Sur
(inclus)
1
:
e
ex.3 prix
Jusqu’à (exclu)
1
)
2 On doit créer ces deux styles de caractère.
Nom du style imbriqué
3
Le style de paragraphe est terminé, appliquez-le aux paragraphes concernés par la palette Contrôle ou par les méthodes décrites dans les pages suivantes. Le style de paragraphe est prêt.. On l’applique au texte concerné. é.
Les attributs ttributs du premier style. e.
LES RÉPÉTITIONS DANS UN STYLE IMBRIQUÉ Les attributs du prixx en rouge.
Les styles imbriqués de la liste de livres Comme pour les autres exemples, après réinitialisation, créez un nouveau style de paragraphe par clic sur l’icône de la palette Contrôle. Nommez ce style ex.3 titre livre/ pages/prix et remplissez la rubrique Formats de caractères de base pour définir l’aspect des caractères qui seront sans style de caractère lors de l’imbrication des styles, soit : Myriad Pro Regular, corps 12 pt. Réglez la rubrique Retrait et espacement pour insérer des espaces entre les paragraphes.
Le principe de la répétition Avec les styles imbriqués, InDesign propose une option intéressante qui consiste à répéter une série de styles de caractère dans un paragraphe. Cette option s’avère utile quand un texte comporte des séries de chaînes de caractères dont l’aspect doit se reproduire plusieurs fois dans le paragraphe. Voici un exemple en images.
Affichez la rubrique Lettrines et styles imbriqués et cliquez trois fois sur Nouveau style imbriqué pour ajouter les trois styles nécessaires pour cet exemple. Chaque aque chaîne de caractères commence commen par un titree et se termine termin par un astérisque. On veut les mettre en e forme comme me ci-dessous. ci-dessou
La configuration des trois ois styles im imbriqués.
270
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN Chaque chaîne de caractères peut être mise en forme par une série de styles imbriqués utilisant différents styles de caractère. Une fois la série de styles déterminée, une option (Répéter) placée en fin de la série, permettra de répéter le nombre de styles voulu de la série sur les chaînes suivantes.
La préparation des styles imbriqués Examinons la chaîne afin de trouver le nombre de styles nécessaires et les limites de chacun d’eux. Le nombre de styles de caractère
Ordre Nom du style Sur ou Jusqu’à Qté 1er
1er style.
Limite
titre_du_livre Jusqu’à (exclu)
1
(
e
[Sans]
Sur
(inclus)
1
:
e
3
prix
Jusqu’à (exclu)
1
)
4e
[Sans]
Jusqu’à (exclu)
1
espace
5e
astérisque
Sur
2
caractères
2 3e style. 4 e style [Sans]. 5e style.
2e style [Sans].
L’examen montre qu’il faut cinq styles, mais comme deux d’entre eux correspondent aux caractères de base du paragraphe, il ne faut en préparer que trois.
Pour les trois premiers styles, on retrouve les mêmes délimiteurs que dans l’exemple 3 (liste de livres). Pour le quatrième style, c’est une espace (elle suit toujours un point) qui servira de limite. Pour le style astérisque, il sera appliqué sur 2 caractères plutôt que le signe « * », ce qui permettra de remplacer ce signe par un autre pour changer l’aspect du glyphe. Le tableau ci-dessous montre la liste de limites retenues.
(inclus)
La mise en place des styles imbriqués avec répétition
Il ne faut que trois styles.
Ces styles ressemblent à ceux de l’exemple 3 (liste de livres). Cependant, pour le style prix, on peut ajouter l’option, Sans retour automatique ; elle empêchera la séparation des chiffres et du symbole euro (€).
Créez un style de paragraphe en cliquant sur l’icône de la palette Contrôle ( ) et choisissez Nouveau style de paragraphe. Nommez ce style et remplissez la rubrique Formats de caractères de base (pour définir l’aspect style [Sans] des styles imbriqués) ; on a choisi Myriad Pro Regular (corps 12, interligne automatique). Affichez la rubrique Lettrines et styles imbriqués. Cliquez six fois sur Nouveau style imbriqué ; en effet, il faut cinq styles imbriqués plus un pour la répétition de ces cinq styles. Réglez les styles comme indiqué précédemment et comme vous pouvez le voir sur la copie d’écran suivante.
Pour le prix, hormis le petit changement de police, c’estt cette option qui permettra de solidariser les chiffres et le symbole dee l’euro.
Pour le style de caractère astérisque, on change de police (Zaft Dingbat, police de symbole), on augmente le corps et on décale vers le bas.
O spécifie On sp ifie ici le no nombre de styles répétition que l’on choisit pris dans p d s la répétit ce menu (en d dans ( réalité, la fenêtre montre que trois styles à la fois). ne mo n
On peut envisager (voir ci-dessous) de ne pas répéter le(s) premier(s) style(s) en saisissant un nombre inférieur au nombre total de styles.
On a utilisé cette te po police olice ppour remplacer l’astérisque par un symbole.
La limite de chaque style imbriqué 1re limi limite.
2e
4e 3e 5e((2 ccaractères). Le style tyle de ces cara caractères est indiqué icii car ill fait partie d’u d’un style imbriqué.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
L’application classique d’un style de paragraphe L’APPLICATION D’UN STYLE PAR LES PALETTES Si vous venez d’élaborer un style à partir d’un texte sélectionné, il est appliqué à la sélection si vous aviez coché l’option correspondante dans la fenêtre de définition du style. Pour les autres paragraphes, il faut leur appliquer le style, le résultat de cette opération dépend de leur contenu et du mode d’application du style.
Ce paragraph paragraphe comporte des remplacements indiquéss ici i i (mot ( t en italique) que) et des de styles de caractère (mot coloré).
Les modes d’application du style de paragraphe Pour appliquer un style aux paragraphes, effectuez les opérations suivantes :
1. Cliquez dans le paragraphe pour le sélectionner (vous pouvez ratisser pour en sélectionner plusieurs).
2. Dans la palette Contrôle (affichée avec l’option On a créé deux styles que l’on veut appliquer aux autres paragraphes.
), déroulez la liste des styles en cliquant sur [Aucun style de paragraphe] et choisissez le style voulu. Vous pouvez également cliquer sur le nom du style dans la palette Styles de paragraphe (ou taper son raccourci).
Le contenu de la sélection : styles de caractère et remplacements Lors de l’application du style de paragraphe, plusieurs cas sont à envisager selon que la sélection contient ou non des caractères avec des styles de caractère, et qu’elle comporte ou non des remplacements d’attribut. On dit qu’il y a des remplacements dans la sélection, quand ses attributs de caractère et/ou ses attributs de paragraphe sont différents de ceux définis dans le style de paragraphe standard (ou dans le style déjà appliqué au paragraphe). Il peut donc y avoir deux types de remplacements : remplacement de type caractère ou remplacement de type paragraphe. Dans les deux cas, leur présence est indiquée par l’icône en bas de la palette Styles de paragraphe ou la palette Contrôle sous la zone des styles de paragraphe.
On a appliqué ppliqué ce style tyle à ce paragraphe, agraphe, oon a conservéé ses remplacements de caractère et son style de caractère. è
Quand un style de paragraphe s’applique à un texte, tous les remplacements de type paragraphe sont effacés ; en revanche, l’effacement des remplacements de type caractère ou la suppression des styles de caractère dépend de la façon dont vous appliquez le style, c’est-à-dire des touches ajoutées lors de l’application du style. Le tableau suivant résume les modes d’application. Application avec
Résultat
Application simple (effacement des remplacements de paragraphe). Effacement des remplacements de ∏ [Alt] caractère. Conservation des styles de caractère. Effacement des styles de caractère. Ó * Conservation des remplacements de caractère. Effacement des styles de caractère et Ó∏ [ÓAlt] des remplacements de caractère.
Aucune touche
Ce paragraphe ne n comporte aucun remplacement. mplacement.
272
* Ce mode d’application ne s’obtient que par le menu des styles de paragraphe de la palette Contrôle.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN Application avec ∏ [Alt]. Poour ccopier les Pour styles, st tyles cette option op ptio doit être cochée. co oché On a appliqué ∏ [Alt] Alt] : on a ef effacé f ses remplacements mais conservé cons son style de caractère. è Application avec Ó.
Pour faire cette copie d’attribut, effectuez les manipulations suivantes :
1. Avec l’outil Texte, cliquez dans le paragraphe à mettre en forme.
On a conservé ses remplacements emplacem et supprimé son style caractère, yle de carac par application avec Ó mais par la palette Contrôle. Application avec Ó∏ [ÓAlt].
Avec l’outil l’o ’ l Texte, on a cliqué dans le paragraphe.
2. Activez l’outil Pipette
.
3. Cliquez sur le paragraphe déjà stylé (source) : le paragraOn efface tout (remplacements mplaceme et sstyle de caractère)) en appliquant appliq avec Ó∏ [ÓAlt]. a
Par clic droit sur le nom du style dans la palette Styles de paragraphe s’affiche un menu dans lequel vous pouvez choisir l’une des trois commandes Appliquer "le style", Effacer les remplacements ; Appliquer "le style", Effacer les styles de caractères et Appliquer "le style", Tout effacer. Si on applique le style par clic droit, on peut choisir le mode d’application p du style.
phe initial se met en forme comme la source et la pipette devient ;
On clique que dans le modèle, e, le paragraphe se met en forme.
4. Avec cette pipette chargée, vous pouvez cliquer dans d’autres paragraphes pour leur appliquer le style.
On peut cliquer dans un autre paragraphe. paragraphe
L’AFFECTATION DU STYLE DE PARAGRAPHE PAR LA PIPETTE L’outil Pipette peut être utilisé pour appliquer un style à partir du moment où ce dernier a déjà été appliqué sur un paragraphe. Pour que la copie de style s’effectue, la pipette doit avoir l’option Styles de paragraphe cochée ; pensez à le vérifier par double-clic sur l’outil.
ASTUCE Si le paragraphe de destination possède des remplacements d’attributs de caractère et des styles de caractère, il les gardera. Si vous souhaitez les faire disparaître, glissez la pipette chargée sur la totalité du paragraphe de destination. Attention, l’option Caractères doit être cochée dans les options de la pipette.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
Les modes d’application La palette Application rapide permet différents modes d’application selon les touches ajoutées à la touche ‚ lors de la validation. Le tableau suivant résume les possibilités : Si on n glisse la pipette charg chargée, on efface les remplacements cements et e on supprime prime les styles de caractère. carac
Pour faire un nouveau prélèvement, enfoncez ∏ [Alt] (la pipette redevient vide ) et cliquez sur le paragraphe voulu. Dès que vous relâchez ∏ [Alt], vous retrouvez la pipette chargée ( ) prête au transfert. Entre deux prélèvements, vous pouvez éventuellement changer les réglages de la pipette.
Si on enfonce ∏ [Alt], on peut ffaire un nouveau prélèvement. prélèv
ASTUCE Le prélèvement peut se réaliser dans un autre document que celui dans lequel vous souhaitez affecter les styles.
Touches de validation
‚ ∏‚ [Alt ‚]
Mode d’application rapide Application normale. Application avec suppression des remplacements de caractère mais conservation des styles de caractère.
Ó∏ ‚ [ÓAlt ‚]
Application avec suppression des remplacements et des styles de caractère.
Ó‚
Application équivalente à un test car la palette Application rapide reste affichée pour y choisir un autre style.
¢‚ [Ctrl ‚]
Affichage de la fenêtre de définition du style de paragraphe.
ASTUCE Si vous n’utilisez la palette Application rapide que pour les styles, limitez son affichage à l’aide de son menu.
L’APPLICATION RAPIDE ET LES STYLES DE PARAGRAPHE La mise en œuvre de l’application rapide Pour affecter un style, InDesign propose une méthode déjà mentionnée avec les styles d’objet et de caractère, il s’agit de l’Application rapide. Cette fonctionnalité à laquelle on accède à partir de la palette Contrôle par clic sur l’icône ou au clavier en tapant ¢ ‚ [Ctrl ‚] affiche, dans l’angle supérieur droit de l’écran, une palette qui liste toutes les commandes disponibles. En tapant « p: », vous ne gardez affichés que les styles de paragraphe, vous pouvez continuer la saisie avec le début du nom du style ou utiliser les touches fléchées du clavier pour le choisir puis taper ‚ pour l’affecter à la sélection.
L’affichage de la palette a été réduit en n décochant déécochant h certaines ceertaine ine commandes dans la liste proposée. ASTUCE Avec l’Application rapide, vous n’avez pas besoin de mémoriser les raccourcis affectés aux styles ; en revanche, choisissez bien le nom des styles pour les retrouver facilement.
L’AFFECTATION PAR REMPLACEMENT La palette alette l tt Ap A Application rapide liste toutes les commandes.
En tapant ant p:, la liste ne montre que les styles d de paragraphe.
ASTUCE Après quelques utilisations, pour retrouver la liste complète des styles dans la palette Application rapide, effacez le contenu de la case. N’oubliez pas que la palette est commune à tous les styles (de paragraphe, de caractère et d’objet).
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Cette opération ne se réalise pas dans la palette Styles de paragraphe mais dans la fenêtre de la commande Rechercher/Remplacer du menu Édition. Pour que la recherche et le remplacement s’orientent sur les paragraphes, dans la case Rechercher puis la case Remplacer par, tapez « ^p » ou sélectionnez Fin de paragraphe dans le menu local à droite de ces cases. Cliquez sur le bouton de format de la zone Remplacer le format et sélectionnez le style de paragraphe à appliquer.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
E cli En cliquant ici, affiche cette oon af liliste. iste.
L’application en cascade avec Style suivant UNE AUTRE FONCTION DE L’OPTION STYLE SUIVANT Nous avons vu que Style suivant indique à InDesign le style de paragraphe qu’il doit appliquer au texte qui va apparaître lors de la saisie quand vous taperez la touche ‚ pour aller à la ligne et démarrer un nouveau paragraphe.
Et Et en cliquant ici, icci, on affiche cette ceeette tte fenêtre.
On peut choisir le stylee d remplacement. dee rempl
Cliquez une première fois sur le bouton Suivant pour qu’InDesign sélectionne le premier retour chariot. Vous pouvez alors cliquer sur Suivant si le style ne doit pas être appliqué à ce paragraphe ou sur Remplacer/Rechercher s’il doit l’être. Recommencez les opérations (Suivant ou Remplacer/Rechercher) jusqu’à ce que l’article ait l’aspect souhaité ; cliquez alors sur Terminer. ASTUCE Si, sur un paragraphe, vous avez cliqué sur Remplacer/Rechercher au lieu de Suivant, annulez le remplacement en tapant ¢ Z [Ctrl Z].
Pour appliquer un autre style à une autre série de paragraphes, modifiez les critères de recherche : cliquez sur le bouton (Rechercher un format) et choisissez [Aucun style de (Remplacer paragraphe] ; cliquez ensuite sur le bouton le format) et choisissez le style à appliquer. En opérant ainsi, InDesign ne montrera que les paragraphes qui n’ont pas encore de style de paragraphe et, éventuellement, selon l’article, il sera possible d’utiliser le bouton Tout remplacer.
Avec cettee option, lors de la saisie, s le titre de niveau 1 sera suivi d’un titre de niveau 2.
Cette option, qui entre dans la composition du style de paragraphe, a une autre fonction ; elle permet l’application de styles en cascade. En voici le principe : si la sélection à laquelle vous souhaitez appliquer les styles comporte plusieurs paragraphes et que ce style a été défini avec l’option Style suivant, le style désigné dans l’option est appliqué au deuxième paragraphe de la sélection. Si ce second style est également défini avec un style suivant, il sera appliqué au troisième paragraphe et ainsi de suite… Selon la façon dont les styles sont préparés et selon la structure du texte, on peut envisager deux types d’application : la cascade simple et la cascade en boucle. Dans les deux cas, une fois la sélection réalisée, l’application s’effectue à partir de la palette Styles de paragraphe par clic droit sur le style à affecter pour lancer Appliquer « le style… », puis Style suivant. Une option supplémentaire permet, le cas échéant, d’effacer également les remplacements et/ou les styles de caractère.
On recherche cce style sty que l’on rremplace par remp celui-ci. ccelui celuiPar clic droit, on peut faire une application n simple ou avec lle style styl suivant (dans les deux cas, avec ou sans effacement). ffacement).
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
ASTUCE La sélection doit comporter plusieurs paragraphes sur lesquels les styles de paragraphe vont être affectés. Il peut s’agir d’une sélection du bloc avec l’outil Flèche. Si la sélection n’est pas correcte ou si le style n’est pas défini avec un style suivant autre que [Même style], la commande ne proposera pas l’option puis Style suivant.
Exemple 2 : une annonce immobilière Dans cet exemple, chaque bloc comporte trois paragraphes mis en forme par des styles : le premier est le titre de l’annonce (sa localisation), le deuxième constitue sa description (elle démarre par la surface dont la mise en forme utilise des styles imbriqués) et le troisième indique le prix.
L’APPLICATION EN CASCADE SIMPLE Pour ce type d’application, la sélection comportera le plus souvent un nombre restreint de paragraphes correspondant généralement aux nombres de styles ayant un style suivant. Par exemple, si la sélection comporte trois paragraphes, le premier paragraphe utilise le style 1 qui a comme style suivant, le style 2 ; le deuxième paragraphe utilise le style 2 qui a comme suivant le style 3 ; le troisième paragraphe utilise le style 3 — il n’a pas de style suivant défini (lui-même). On peut envisager des cas où il n’y a pas de style 3 et le style 2 est suivi par lui-même ; dans ce cas, le troisième paragraphe (et les suivants s’ils étaient sélectionnés), se verra appliquer le style 2.
La répartition des styles utilisés pour cette annonce.
Pour cette série de paragraphes, les styles qui seront utilisés pour les deux premiers sont définis avec un style suivant.
Les d deux premiers styles sont définis avec un style suivant.
Exemple 1 : le titre suivi d’un texte courant C’est un cas fréquent : le premier paragraphe de la sélection est un titre ou intertitre, les suivants sont des paragraphes contenant le corps de l’article (body ou texte courant). Pour appliquer les styles en cascade, sélectionnez l’intertitre et les paragraphes qui le suivent (jusqu’à l’intertitre suivant non compris) et, dans la palette des styles, appliquez par clic droit sur le style de l’intertitre. N’oubliez pas avant d’appliquer le style de le définir avec le style suivant du texte courant. On a défini l’intertitre avec style un sty y suivant, celui du corps de l’article.
Le style Titre est suivi suiv du style description suivi ivi lui-même du style prix..
Pour appliquer les styles en cascade, sélectionnez la série de paragraphes à formater, ou le bloc si la saisie de chaque annonce a été séparée par bloc, puis, par clic droit, appliquez le premier style de la série avec l’option puis style suivant : les paragraphes se mettent en forme automatiquement. On sélectionne la série de paragraphes ou le bloc… oc…
on lance lan ceci : il y a application des styles applic y en cascade. casca
O sé On sélectionne é jusqu’à l’intertitre suivant exclu et l’i interr pour obtenir oon n applique ap p résultat ci-dessus. lee rés
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L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
L’APPLICATION EN CASCADE EN BOUCLE Le principe de la boucle Ce type d’application s’utilise avec des alternances de deux types de paragraphe dont chacun utilise un style qui a comme style suivant celui qui doit être appliqué à l’autre paragraphe. Par exemple, le paragraphe de type 1 utilise le style 1 qui a comme style suivant, le style 2 ; le paragraphe de type 2 utilise le style 2 qui a comme suivant le style 1. Dans certains types de saisie, on peut pousser la mise en forme automatique un peu plus loin avec davantage de paragraphes et de styles ; en effet, si le style du dernier paragraphe de la série a comme style suivant, le style du premier paragraphe, la cascade est en boucle.
On sélectionne le bloc et on applique pplique le style par clic droit.
Exemple d’une liste d’expositions Cet exemple est du même type que le précédent (annonce immobilière) mais il comporte davantage de styles. Le dernier d’entre eux a pour Style suivant le premier ; cela permet de mettre en forme la totalité du texte en une seule opération.
Touss les paragraphes paragraphe se mettent en n forme (celui du téléphone utilise puces avec un style se une liste à puc yle de caractère). ASTUCE Si le texte provient d’un tableur, après quelques remplacements, sa mise en forme par cette technique sera facile à mettre en œuvre (nous verrons comment plus loin).
Chaque paragraphe sera mis en forme par un style.
Ci-dessus, chaque style a pour Style suivant celui qui le suit dans cette liste.
Dans l’exemple de l’annonce immobilière, le style prix (dernier style) peut avoir comme style suivant Annonce (le premier) ainsi selon la saisie, l’ensemble se met en forme en une application.
On sélectionne onne n le bloc b et on lance cettee commande pour mettre en forme toute la saisie s isie (le titre titr utilise une liste numérotée). num
Ici, la cascade boucle sur elle-même.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
L’APPLICATION EN CASCADE DANS UN TABLEAU Avec les tableaux, contrairement au style de bloc (voir ciaprès), l’option Style suivant ne fonctionne pas quand on applique un style de tableau utilisant un style de cellule associé à un style de paragraphe avec un style suivant. Cependant, si vous avez placé dans un tableau une série d’annonces (comme celles de l’exemple de la page précédente), il est possible d’appliquer les styles en cascade à l’ensemble du texte en sélectionnant le tableau (par clic sur son angle supérieur gauche avec le curseur ) et en affectant le premier style par clic droit sur son nom dans la palette Styles de paragraphe pour l’appliquer à l’option de style suivant.
L’APPLICATION D’UN STYLE DE PARAGRAPHE DANS UN STYLE D’OBJET Quand vous préparez un style d’objet, en plus de l’aspect du bloc, il est possible d’indiquer quel style de paragraphe doit être appliqué au texte contenu dans le bloc. Une option permet également de définir si le style suivant doit être affecté au deuxième paragraphe du texte. Ce dernier doit bien entendu être précisé dans la composition du style de paragraphe choisi.
Dans cette rubrique, on définit le style appliqué. Cette option affectera le style suivant spécifié dans le style de paragraphe désigné.
Avec ces options, si vous appliquez un style d’objet à des blocs, leur aspect et leur contenu se mettent en forme automatiquement.
On sélectionne le tableau et on appliquee le l style l (avec ( suivant).
On sélectionne sé la série de d blocs et on applique le style appli i d’objet. d d’obj objjje
L’ensemble mble se met en forme, en désélectionnant on obtient ceci. blocs et Les bl l se leur contenu c mettent mette tt en forme automatiquement autom avec l’application en cascade des styles grâce au style suivant.
ATTENTION Cette option d’application du style suivant par le style d’objet ne fonctionne pas si les blocs sont chaînés.
Nous verrons plus loin dans ce chapitre que le tableau peut être obtenu par conversion en tableau d’un texte qui a été « préparé » en utilisant les fonctions de la commande Rechercher/Remplacer. De plus, le tableau peut être préformaté à l’aide d’un style de tableau attribué à la conversion du texte.
278
Cette option peut également être utilisée pour des objets ancrés pour lesquels le style d’objet définira l’aspect du bloc, la position (par rapport au texte ou à la page) et la mise en forme en cascade du contenu.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
La gestion des styles de paragraphe L A COPIE D’UN STYLE Lorsqu’un style est créé, vous pouvez le dupliquer afin d’en préparer une variante. Pour cela, vous disposez de deux méthodes à partir de la palette Styles de paragraphe.
Par la suite, si vous changez la composition de cette base, les modifications seront répercutées sur le style qui a été créé d’après cette dernière. ASTUCE Lorsqu’un style est basé sur un autre, le bouton Réinitialiser à la base permet de supprimer toutes les modifications apportées pour retrouver le style de base.
La copie de style par duplication
LE REMPLACEMENT D’UN STYLE DE PARAGRAPHE
Pour obtenir cette copie, effectuez un clic droit sur le nom du style pour choisir Dupliquer un style ou glissez ce nom sur l’icône : la copie créée possède le même contenu que le style dupliqué mais n’est pas basée sur ce dernier ; le menu local D’après permet (éventuellement) de le choisir.
Comme pour les styles de caractère, cette opération se réalise de deux façons selon que vous souhaitez un remplacement total ou partiel.
On duplique du le style par clic : le style n’est pas basé sur d droit mais en a le contenu. ll’original ’origi g
Le remplacement partiel d’un style par un autre Ce type de remplacement s’effectue dans la fenêtre de la commande Rechercher/Remplacer du menu Édition. En effet, vous pouvez lancer une recherche sans saisir de texte dans la case de recherche ni dans celle de remplacement et orienter la recherche sur le style de caractère à recherdans la rubrique cher. Pour cela, cliquez sur le bouton Rechercher un format et sélectionner le style de caractère à rechercher puis cliquez sur le bouton de la zone Remplacer le format et sélectionnez le style de paragraphe de remplacement.
La copie par création à partir d’une base Il ne s’agit pas réellement d’une copie mais de la création d’un nouveau style en ayant défini un modèle. Pour cela, sélectionner le style qui servira de base au nouveau style, enfoncez ∏ [Alt] et cliquez sur l’icône pour obtenir ce dernier. Si un paragraphe était sélectionné et l’option Appliquer le style à la sélection active, vous pouvez modifier le contenu du style et voir les changements grâce à l’Aperçu. Sans anss saisir de texte, en cliquant ici, a an ci En cliqu ci, cliquant uant ici, ici on a choisi le style on n a choisi le style à rechercher. de remplacement. remplacement.
Le remplacement s’effectue par étapes avec les boutons Remplacer/Rechercher et Suivant, ou de manière totale avec Tout remplacer.
Le remplacement total d’un style par un autre On a créé éé le style par ∏ clic [clic Alt] A sur l’icône sur : le style l est basé ba sur l’original.
Le remplacement s’obtient en supprimant le style de paragraphe et en le remplaçant par un autre. Pour éviter de perdre le premier, commencez par en faire la duplication (par clic droit).
279
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 C’est également par clic droit sur le style que vous le supprimerez. Une fenêtre vous permettra de choisir le style qui remplacera le style qui va disparaître.
Si parmi les styles restés cochés figure un style ayant le même nom qu’un style déjà présent dans le document, vous pouvez en visualiser la composition en cliquant sur son nom (elle s’affiche à côté de celle du style présent) puis choisir s’il doit être renommé ou remplacer le style existant.
Quand on supprime un style, on peut choisir isirr celui de remplacement. nt.
L A SUPPRESSION D’UN STYLE DE PARAGRAPHE Pour supprimer un style, sélectionnez-le dans la palette et cliquez sur la corbeille (vous pouvez également utiliser le menu local de la palette). Quand le style disparaît, s’il est appliqué à un texte, une fenêtre s’affiche : elle permet de le remplacer par le style [Aucun style de paragraphe] et de conserver texte intact (Conserver la mise en forme). ASTUCE Si vous supprimez un style qui sert de base à un autre en décochant l’option Conserver la mise en forme, le style basé perdra une partie de sa mise en forme. En revanche, si vous choisissez un style de remplacement, il sera défini comme nouvelle base.
En dehors du remplacement de style mentionné précédemment, cette opération n’est utile que si les styles à supprimer ne sont pas utilisés. Pour faciliter leur sélection, le menu de la palette propose la commande Sélectionner tous les styles inutilisés.
Lors de l’importation, l’im rtation, t ti t les l style styles t lees de d caractère c tè utilisés utttilisé sontt ajoutés aj tés et les conflits indiqués. ndiqués. ASTUCE Quand vous importez un texte Word ou RTF contenant des styles, ces derniers sont ajoutés à la palette Styles de paragraphe. InDesign place l’icône à droite de leur nom pour indiquer qu’ils proviennent d’une importation. Quand vous chargez des styles d’objet, les styles de paragraphe qu’ils utilisent le sont également.
LES STYLES ET LES TEXTES IMPORTÉS À l’importation d’un texte, si vous affichez la fenêtre Options d’importation (en maintenant Ó enfoncée lors de la sélection du fichier à importer), vous pouvez choisir de remplacer les styles créés dans Word par ceux élaborés dans InDesign. En effet, si vous cochez Personnaliser l’importation des styles et cliquez sur Correspondance de style, une fenêtre permet d’établir la correspondance entre les styles Word et InDesign.
L’IMPORTATION DE STYLE DE PARAGRAPHE Il est possible d’importer (charger) des styles créés dans d’autres fichiers InDesign. L’opération s’effectue avec la commande Charger des styles de paragraphe du menu de la palette. Une commande permet d’importer tous les styles de texte ; cependant, si le style de paragraphe importé utilise des styles de caractère, ils seront également chargés (cas d’un style imbriqué, par exemple). Une première fenêtre permet de désigner le fichier contenant les styles à ajouter,une seconde liste les styles présents dans le fichier désigné. Par défaut, tous les styles sont importés (cochés), cependant, vous pouvez choisir ceux que vous ne souhaitez pas charger en les décochant.
280
On cochee ceci puis on clique ici ci pour afficher af la fenêtre (voir page suivante) dans laquelle on définit vante) e da défin quels styles d’InDesign remplacent ceux de d Word.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Les modifications par la palette Styles de paragraphe Pour modifier le contenu d’un style par cette palette, il n’est pas utile de sélectionner un texte — l’opération peut même se réaliser avec l’outil Flèche. En effet, il suffit d’effectuer un clic droit sur le nom du style à modifier et de choisir Modifier "nom du style" pour afficher sa fenêtre de définition et y apporter les changements voulus. On peut ut remplacer un style de Word par l’un un de ceux ce d’InDesign.
On peut enregistrer les options d’importation (et donc les correspondances) pour les réutiliser avec d’autres fichiers.
LE STYLE DE PARAGRAPHE PAR DÉFAUT Pour définir le style de paragraphe par défaut (c’est-à-dire, le style appliqué automatiquement dans tout nouveau bloc de texte), cliquez en dehors de tout bloc pour qu’aucun élément ne soit sélectionné et choisissez le style de paragraphe souhaité (le style [Paragraphe standard] peut jouer ce rôle). Si au contraire vous souhaitez qu’aucun style ne soit appliqué, ne sélectionnez aucun bloc et effectuez les opérations suivantes : dans la palette Styles de paragraphe, sélectionnez le style nommé [Paragraphe standard], affichez le menu de la palette et choisissez Annuler le lien au style (c’est [Aucun style de paragraphe] qui sera désormais affecté au contenu du prochain bloc de texte).
Toute sélection est inutile sii on lance cette commande par clic droit.
L’annulation du lien entre un texte et son style Quand vous changez la composition d’un style, les paragraphes dans lesquels il est appliqué sont également modifiés. Si certains paragraphes doivent garder leur aspect malgré ces modifications, sélectionnez-les, puis dans le menu de la palette Styles de paragraphe, lancez la commande Annuler le lien au style : la palette indiquera (Aucun style). Cette opération se réalise également à l’aide de la commande Rechercher/Remplacer : le style de remplacement sera [Aucun style de paragraphe] et l’opération s’effectuera par étapes avec les commandes Suivant ou Remplacer/Rechercher, selon que le paragraphe doit garder ou non le style (le caractère de recherche sera le signe Fin de paragraphe sélectionné dans la liste des caractères de recherche).
Les modifications d’un texte stylé LES MODIFICATIONS D’UN STYLE DE PARAGRAPHE Les modifications depuis la palette Contrôle Pour modifier le contenu d’un style, avec l’outil Texte, commencez par cliquer dans l’un des paragraphes ayant ce style pour l’activer. Dans la palette Contrôle (affichée avec l’icône pour voir les attributs de paragraphe), cliquez sur l’icône (Styles de paragraphe) et choisissez Options de style. La fenêtre de définition du style s’affiche : faites les changements voulus en contrôlant le résultat avec l’aperçu.
On clique dans le paragraphe à modifier et on lance cette commande..
INFO. Quand vous annulez le lien au style, le paragraphe ne change pas d’aspect, mais si par la suite le style est modifié, le paragraphe ne subit plus ses modifications et conserve les attributs qu’il avait avant l’annulation.
LES MODIFICATIONS LOCALES DE PARAGRAPHES STYLÉS La visualisation et l’effacement des remplacements Quand vous effectuez des modifications sur un paragraphe sans passer par la fenêtre du style, InDesign considère que vous effectuez des remplacements d’attributs. Selon le type d’attribut, il peut s’agir de remplacements de caractère ou de remplacements de paragraphe. Dès que la sélection comporte des remplacements, un signe + apparaît à droite du nom du style et l’icône devient active : .
Si la sélection é él a des remplacements, ces es icônes s’activent. s’activent
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
A STUCE Les styles des caractères affectés dans un paragraphe ne sont pas considérés comme remplacement d’attribut (l’icône ne s’active pas). Pour les supprimer, réaffectez le style comme indiqué ci-après.
La façon d’effacer les remplacements varie selon leur nature. Dans tous les cas, les annulations s’obtiennent par clic (avec ou sans touche) sur l’icône de la palette Styles de paragraphe ou de la palette Contrôle mais affichée avec l’option Paragraphe . Le tableau suivant résume les cas de figure : Manipulation
Clic sur
(sans touche)
La redéfinition du style après des modifications locales Si, après avoir fait des changements locaux (même sur un seul mot), vous souhaitez que ces derniers figurent dans la définition du style, autrement dit, si vous voulez redéfinir le style à partir de l’aspect du texte sélectionné, tapez Ó∏¢ R [ÓCtrl Alt R] ou lancez Redéfinir le style du menu ou celui de la palette Styles de paragraphe. Tous les autres paragraphes auxquels le style est appliqué changeront d’aspect et le signe + en regard du nom du style disparaîtra.
Effacer Tous les remplacements.
¢ clic [Ctrl clic] sur
Remplacements de caractère.
Ó¢ clic [Ó Ctrl clic] sur
Remplacements de paragraphe.
A STUCE Les effacements ci-dessus se réalisent sur une sélection de plusieurs paragraphes avec des styles différents. Il est même possible de sélectionner le bloc avec l’outil Flèche pour effacer tous les remplacements qu’il renferme.
On a modifié difié le texte. Avec Av cette commande, on englobe en ces modifications sont mis à jour. ions dans le style sty : les autres utres paragraphes p paragraphe g
L’application d’un autre style à un paragraphe modifié Lors de l’application d’un autre style à un paragraphe stylé, on retrouve les mêmes possibilités que la première affectation d’un style à un paragraphe. Dans tous les cas, les remplacements de paragraphe sont effacés. En revanche, la disparition des remplacements de caractère ainsi que des styles de caractère dépend de la façon dont le style est appliqué. Le tableau suivant rappelle les possibilités. Application avec
Résultat
Application simple (effacement des Aucune touche remplacements de paragraphe). Effacement des remplacements de ∏ [Alt] caractère. Conservation des styles de caractère. Effacement des styles de caractère. Ó* Conservation des remplacements. Effacement des styles de caractère et Ó∏ [ÓAlt] des remplacements de caractère. * Ce mode d’application ne s’obtient que par le menu des styles de paragraphe de la palette Contrôle.
Rappelons également que par clic droit sur le nom du style dans la palette Styles de paragraphe, s’affiche un menu dans lequel vous pouvez choisir l’une des trois commandes : Appliquer "le style", Effacer les remplacements ; Appliquer "le style", Effacer les styles de caractères et Appliquer "le style", Tout effacer.
282
INFO. Cette manipulation permet une mise à jour (rapide et facile) d’un style sans passer par sa fenêtre de définition. Redéfinir le style existe aussi pour les styles de caractère.
L A SUPPRESSION DE LA MISE EN FORME DU TEXTE Pour supprimer les styles appliqués (caractère et paragraphe) et la mise en forme du paragraphe et des caractères (locale ou par le style), sélectionnez le texte voulu et appliquez le style [Aucun style de paragraphe] dans le menu des styles de paragraphe de la palette Contrôle. I NFO. Après cette suppression, le texte apparaîtra systématiquement en Times, corps 12 pt, aligné à gauche.
Si vous sélectionnez un bloc de texte (non chaîné) avec l’outil Flèche et faites la manipulation précédente, elle s’appliquera à l’ensemble des paragraphes du bloc. Si le bloc est chaîné, il faudra d’abord le déchaîner par double-clic sur son port de sortie avant de faire la manipulation précédente. Ceci termine l’étude de la typographie, elle montre la puissance d’InDesign dans ce domaine. Les paragraphes qui suivent concernent l’étude de fonctions présentes dans les logiciels de traitement de texte. Il s’agit de la fonction Rechercher/Remplacer et de la correction orthographique.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
La fonction Rechercher/Remplacer C’est une fonction présente dans la plupart des traitements de texte. Dans InDesign, ses fonctionnalités ont évolué car les recherches ne se limitent plus qu’aux textes. En effet, inDesign propose désormais quatre types de recherche : – Texte (c’est la recherche classique) ;
– GREP (Global Regular Expression Print , recherche sur des expressions) ;
– Glyphes ; – Objets.
Recherche de type Texte.
Les réglages communs L A GESTION DE LA RECHERCHE Pour faire une recherche, lancez la commande Rechercher/ Remplacer située dans le menu Édition (au clavier, ¢ F [Ctrl F]). Une fenêtre vous invite à définir les éléments (texte, expression, glyphe ou objet) à rechercher et, éventuellement, ceux de remplacement. Une fois certains critères de recherche définis, cliquez sur le bouton Rechercher pour qu’InDesign commence la recherche ; quand il trouve l’élément désigné, il le met en surbrillance, vous avez alors cinq possibilités :
Les options de recherche.
– Terminer : provoque la fermeture de la fenêtre sans effectuer d’opération (on peut aussi taper esc [Échap]). – Suivant : InDesign recherche de nouveau l’élément indiRecherche de type GREP.
qué sans modifier celui qu’il a trouvé.
– Remplacer : l’élément sélectionné est remplacé, InDesign attend vos consignes ; c’est cette option qu’il faut choisir si vous désirez voir comment s’effectue le remplacement avant de le lancer de façon systématique.
– Tout remplacer : InDesign effectue le remplacement chaRecherche de type Glyphe.
que fois qu’il rencontre l’élément indiqué. Un message indique la fin du travail et le nombre de remplacements.
– Remplacer/Rechercher : l’élément est remplacé (ou effacé s’il n’y avait pas d’élément de remplacement ni de remplacement de format). InDesign poursuit la recherche et sélectionne le prochain élément à remplacer s’il existe. ASTUCE Quel que soit le bouton cliqué (sauf Suivant), il est possible, sans fermer la fenêtre de recherche, d’annuler le remplacement (quel qu’il soit) en tapant ¢ Z [Ctrl Z].
LES CRITÈRES DE RECHERCHE Recherche de type Objet.
On peut les classer en trois catégories : – la localisation de la recherche ;
– les critères d’aspect de saisie (uniquement pour la recherche de type Texte) ;
– les critères typographiques (obtenu avec le bouton Plus d’options mais uniquement pour les recherches de type Texte ou GREP).
283
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
La localisation de la recherche Les limites de recherche Quel que soit le type de recherche, le menu local Chercher dans permet d’orienter la recherche vers cinq localisations.
L’aspect de la saisie Il s’agit de deux options (Respect de la casse et Mot entier ) qui ne sont accessibles qu’avec les recherches de type Texte. Le respect de la casse
Voici les caractéristiques de chacune d’elle :
Si l’option n’est pas cochée, InDesign ne tient pas compte des majuscules en début de mot. Il sélectionnera le mot quel que soit l’aspect (capitale ou bas-de-casse) de la première lettre. En revanche, si vous cochez cette option, il ne sélectionnera le mot que s’il a été saisi exactement comme dans la case de recherche.
– Sélection : cette option n’est disponible que si une partie
Le mot entier ou une partie de mot
Avec cee menu menu, u, les recherches rec peuvent être localisées.
de texte (ou un ensemble de blocs) est sélectionnée. Elle est utile pour limiter la recherche à quelques caractères, paragraphes, lignes ou colonnes d’un tableau, voire quelques blocs. ATTENTION L’option Sélection s’active souvent seule et peut rendre la recherche infructueuse si l’élément à rechercher ne figure pas dans la sélection. De plus, elle peut empêcher la poursuite de la recherche sur le reste du texte.
– Article(s) : cette option limite la recherche à la totalité du bloc actif et à ceux avec lesquels il est chaîné.
– Jusqu’à la fin de l’article : la recherche démarre à l’endroit où se trouve le point d’insertion et se termine à la fin de l’article (le début du texte n’est pas modifié).
– Document : si vous avez oublié de sélectionner un bloc ou de cliquer dedans avec l’outil Texte, vous ne disposez que de cette option (et la suivante). Elle permet de lancer une recherche sans être obligé de cliquer dans un bloc, la recherche s’effectuant sur tous les blocs du document.
– Tous les documents : ici, la recherche sera étendue à l’ensemble des fichiers InDesign ouverts à l’écran. Cette option peut s’avérer utile pour harmoniser plusieurs documents en une seule opération. ATTENTION Avec l’option Document (ou Tous les documents) active, la recherche s’effectue dans tous les blocs.
Les zones particulières Quelques options permettent d’inclure ou d’exclure de la recherche quelques éléments particuliers d’une mise en pages : Calques verrouillés , Articles verrouillés , Calet Notes de bas de page ques masqués , Gabarits . Quand les éléments sont verrouillés (calques ou articles), InDesign ne peut faire qu’une recherche ; avec les calques masqués, le remplacement est réalisé, mais n’est pas montré.
284
La recherche peut s’effectuer sur une partie de mot ou sur le mot entier. Par exemple, dans le cas d’une recherche sur le mot « temps », InDesign s’arrêtera sur les mots : « printemps », « longtemps » et « temps » si vous n’avez pas coché l’option Mot entier, alors qu’il ne s’arrêtera que sur « temps » si vous avez coché Mot entier. A STUCE Cette option, intéressante pour restreindre les recherches, s’utilise dans d’autres cas. Par exemple, si vous cochez Mot entier, tapez « ^p » (retour chariot) dans la case Rechercher et laissez vide la case Remplacer par, cela vous permettra de ne supprimer que les retours chariot correspondant à des lignes vides — sans l’option Mot entier, ils disparaîtraient tous.
Les critères typographiques Pour les recherches de type Texte ou GREP, vous pouvez définir des critères typographiques de recherche ou de remplacement. Pour y accéder, cliquez sur le bouton Plus d’options (il devient Moins d’options). Deux zones apparaissent : Rechercher le format, qui permet grâce au bouton , d’orienter la recherche sur un texte ayant tel ou tel format ou tel ou tel style de caractère ou de paragraphe…; et Remplacer le format qui permet, grâce au bouton , de choisir l’aspect du texte qui apparaîtra après remplacement. Dès que vous sélectionnez un critère typographique, l’icône s’affiche en regard de la case de saisie de recherche ou de remplacement. En cliquant sur ces icônes, icône e on accède à une ffenêtre listant tous lles attributs caractère et de de ca paragraphe. parag
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Rechercher/Remplacer du texte LE CONTENU DE LA RECHERCHE Les saisies Pour cette recherche classique, vous devez saisir le texte à rechercher dans la première case et le texte de remplacement dans la deuxième. En l’absence de ce dernier, le texte trouvé sera supprimé. A STUCE Les cases Rechercher ou Remplacer peuvent être remplies par glissement d’un texte sélectionné sur la page (ou encore par copier-coller).
Le début de la liste montre quelques caractères masqués qui font l’objet de fréquentes recherches (Tabulation, Saut de ligne forcé et Fin de paragraphe). À chacun d’eux correspond un code (respectivement ^t, ^n et ^p), qu’InDesign affiche dans la case quand vous sélectionnez l’un de ces caractères. Par la suite, vous pourrez saisir directement ce code quand vous l’aurez mémorisé.
1 2 3 4 5 6 7 8 9
L’ensemble dess signes utilisables. s
On trouve également d’autres signes typographiques ou génériques (tels que caractère le quelconque ^?, le chiffre quelconque ^9 et la lettre quelconque ^$). Les copies d’écran qui suivent vous les montrent en détail. 1
2
On a glis glissé l séé cette sé sélection dans cette case puis on a saisi le de remplacement. texte d pl 3
5
4
6
7 8
Avec Tout remplacer, on obtient ceci et le message obtien indique le nombre de qui in n remplacements. remplacem mpl em ments
Les caractères spéciaux La fonction Rechercher/Remplacer peut s’appliquer aux caractères masqués ou aux caractères spéciaux. Pour choisir ces signes, InDesign met à votre disposition un menu déroulant dans lequel figurent différentes rubriques renfermant l’ensemble des principaux signes.
9
Le menu local des caractères spéciaux de la zone Remplacer propose sensiblement les mêmes rubriques. Il y a deux changements. La rubrique Caractères génériques ne figure que dans la partie Rechercher. Il faut laisser la case Remplacer par vide pour qu’ils ne disparaissent pas. On les utilisera pour une simple recherche ou pour leur faire subir un changement de format. Dans les autres cas, on utilisera des recherches de type GREP. En outre, la rubrique Autre, comporte deux nouvelles options qui permettent de remplacer le texte par le contenu du presse-papiers (nous verrons un exemple plus loin). La zone de remplacement (rubrique Autre) propose deuxx ffonctions très d deu intéressantes de « collage ». intére
285
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 On a obtenu ce résultat annulant la recherche en an précédente pour la relancer précé avec ces saisies.
Après désélection, on obtient ceci. La liste contenue dans le bloc de texte ancré s’est correctement numérotée (grâce à la présence de l’espace dans le bloc et du style qui lui est affecté).
L’ENREGISTREMENT DES RECHERCHES Avec ce code, un retour à la ligne forcé devant le texte (« tél »). ode, on a placé p
À droite des cases de saisie, figure un second menu local ( ) qui mémorise les dernières recherches (ou remplacements) effectuées pour les réutiliser sans avoir à en refaire la saisie.
LES REMPLACEMENTS AVEC « COLLAGE » Au contenu du presse-papiers correspond le code ^c ou ^C. S’il s’agit d’un texte, ^c permet de garder la mise en forme, et ^C fait prendre celle de l’endroit où il apparaîtra. Ce code peut être saisi (ou ajouté à partir du menu ) dans la zone de remplacement et peut y figurer seul ou avec d’autres caractères (tel un retour chariot ou autre). Cette possibilité s’avère utile dans de nombreux cas ; elle permettra, par exemple, de placer devant certains paragraphes un objet ancré préalablement copié. Celui-ci pourra contenir, par exemple, un logo, une photo ou un texte particulier (ou être vide). Dans l’exemple qui suit, on a copié dans le presse-papiers un objet ancré contenant un texte formaté par un style de paragraphe qui définit une liste numérotée (il s’agit d’une espace, elle suffira à faire apparaître les différents numéros). On veut ajouter bloc rond ce blo après chaque paragraphe (^p). parag
La démarche est la même pour tous les types de recherche (Texte, GREP, Glyphe ou Objet). Toutes les requêtes que vous saisissez dans la fenêtre de Rechercher/Remplacer peuvent être mémorisées : les fichiers créés seront placés dans le dossier Find-Change-Queries (sur Mac, il est situé dans User/Bibliothèque/Préférences/Adobe Indesign/ Find-Change-Queries) ; ce dossier comporte quatre sousdossiers (Glyph, GREP, Object et Text). Pour réaliser cette mémorisation, cliquez sur l’icône du haut de la palette de recherche : une fenêtre permet de nommer la requête qui, par la suite, apparaît dans la liste des requêtes visible en haut de la fenêtre. Cette liste renferme quelques requêtes prédéfinies mais peut comporter jusqu’à quatre zones séparées par une ligne pointillée (en haut se trouve les requêtes de type Texte, puis celle de type GREP, de type Objet en enfin celles de type Glyphe).
Pour mémoriser la requête, on clique ici.i.i Cette fenêtre apparaît aît alors. requête mémorisée L req La ss’affiche ici. s’affic
C objet ancré a été copié. Le code du collage figure ici Cet ic entre d’autres caractères aractères (Fin ( de paragraphe ^p, ^p p, Espace et ccaractère de Retrait jusqu’à ce point (^i).
286
En cliquant ici, ci, on peut voir lles autres. autres utress. s
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Rechercher/Remplacer des expressions, utilisation du GREP
L’ensemble des rubriques de recherche avec quelques rubriques sspécifiques. sp pécif
Espaces
Les rubriques de remplacement rem avec une rubrique av vec u spéciale.
Marqueurs
La saisie utilise un mélange de saisie classique et de codes ou métacaractères (obtenus par les menus locaux ). Ces derniers ne sont pas les mêmes que ceux utilisés dans une requête de type Texte. En effet, le début de la liste reprend les mêmes sous-menus, mais quelques rubriques supplémentaires apparaissent ; certaines sont spécifiques à la recherche (Emplacement, Répétition, Correspondance…) et d’autres au remplacement (Trouvé).
Tirets
LE CONTENU DE LA RECHERCHE
Caractères
LES CODES OU MÉTACARACTÈRES DE REQUÊTE
Tabulation Fin de paragraphe Saut de ligne forcé Puce Caret Barre oblique inverse Symbole de copyright Points de suspension Tilde Marque de paragraphe Symbole de marque déposée Symbole de section Symbole de marque
Code Code Glyphe Texte GREP ^t \t ^p \r ou ~b ^n \n ^8 ~8 • ^^ \^ ^ \ \\ \ ^2 ~2 © ^e ~e … ~ \~ ~ ^7 ~7 ¶ ^r ^6 ^d
~r ~6 ~d
® § ™
Caractères de saut
Symboles
Caractères
Guillemets
La majorité des métacaractères des requêtes de type Texte commencent par un caret (^), ceux des requêtes GREP commencent par un tilde (~) ou une barre oblique inverse (\).
Code Code Glyphe Texte GREP
Numéro de page suivant
^X
~X
Numéro de page précédente
^V
~V
Marque de section
^x
~x
* Marqueur d’objet ancré * Marqueur de référence de note de bas de page * Marque d’index
^a
~a
^F
~F
^I
~I
Tiret cadratin
^_
~_
Tiret demi-cadratin
^=
~=
Tiret conditionnel
^-
~-
Trait d’union insécable
^~
~~
Espace cadratin
^m
~m
Espace demi-cadratin
^>
~>
Espace insécable Espace insécable (chasse fixe) Tiers d’espace
^s
~s
^S
~S
^3
~3
Quart d’espace
^4
~4
Sixième d’espace
^%
~%
Espace sans alinéa
^f
~f
Espace ultrafine
^|
~|
Espace fine
^<
~<
Espace tabulaire (de lisibilité)
^/
~/
— – -
Espace de ponctuation
^.
~.
Guillemet anglais quelconque Guillemet allemand quelconque Guillemet anglais droit
«
«
« ou »
’
’
’ ou ‘
^»
~»
Guillemet anglais ouvrant
^{
~{
Guillemet anglais fermant
^}
~}
Guillemet allemand droit
^’
~’
Guillemet allemand ouvrant
^[
~[
Guillemet allemand fermant
^]
~]
Retour chariot standard
^b
~b ou \r
Saut de colonne
^M
~M
Saut de bloc
^R
~R ~P
Saut de page
^P
Saut de page impaire
^L
~L
Saut de page paire
^E
~E
Saut de ligne conditionnel
^j
~a
" “ ” ' ‘ ’
287
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
Caractères génériques
* Espace (toute espace ou tabulation) * Caractère (autre qu’espace) * Caractère de mot quelconque * Caractère quelconque autre que caractère de mot * Lettre capitale quelconque * Caractère quelconque autre que lettre capitale * Lettre minuscule (toute) * Caractère quelconque autre que lettre minuscule
~u ~T ~H ~S ~o ~D ~l (ℓ) ~y ~i ~h ~k ~c ~C
^?
\d \D [\l\u] . (point dans
^w
\s (espace dans
Remplacer) Remplacer)
\S \w \W \u \U \l \L
Trouvé Emplacement
~Z
Répétition
~Y
Code Code Glyphe Texte GREP ** Tout le texte recherché $0 $1 à $9 Caractères
Correspondance
Parenthèse ouvrante Parenthèse fermante Accolade ouvrante Accolade fermante Crochet ouvrant Crochet fermant * Variable quelconque En-tête continu ^Y (style de paragraphe) En-tête continu ^Z (style de caractère) Texte personnalisé ^u Dernier numéro de page ^T Numéro de chapitre ^H Date de création ^S Date de modification ^o Date de sortie ^D Nom de fichier ^l (ℓ) Tabulation de retrait à droite ^y Retrait jusqu’à ce point ^i Fin du style imbriqué ici ^h NJ (Non-joiner) ^k Contenu du presse-papiers ^c avec mise en forme Contenu du presse-papiers ^C sans mise en forme *Chiffre quelconque ^9 * Caractère (autre que chiffre) * Lettre quelconque ^$ * Caractère quelconque
288
Code Code Glyphe Texte GREP ( \( ( ) \) ) { \{ { } \} } [ \[ [ ] \] ] ^v ~v
Touches de modification
Autres
Variables
Parenthèses…
Caractères
** Texte recherché 1-9 Début de mot Fin de mot Limite de mot Opposé de limite de mot Début de paragraphe Fin de paragraphe [emplacement] Zéro ou une fois Zéro ou plusieurs fois Une ou plusieurs fois Zéro ou une fois (correspondance la plus courte) Zéro ou plusieurs fois (correspondance la plus courte) Une ou plusieurs fois Sous-expression marquante Sous-expression non marquante Jeu de caractères Ou Lookbehind positif Lookbehind négatif Lookahead positif Lookahead négatif Respect de la casse désactivé Respect de la casse activé Multiligne activé Multiligne désactivé Ligne par ligne activé Ligne par ligne désactivé Ignorer les espaces activé Ignorer les espaces désactivé
(expression 1 à 9 de Rechercher)
\< \> \b \B ^ $ ? * + ?? *? +? () (?: ) [] | (?<= ) (?
* Ne peut être entré que dans la zone Rechercher et non Remplacer par. ** Ne peut être entré que dans la case Remplacer par. $0 correspond à l’ensemble du texte trouvé. $1 correspond à la première expression trouvée ($3 à la troisième). Dans la case Rechercher, chaque expression est écrite entre parenthèses.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
L’ENREGISTREMENT DES REQUÊTES L’enregistrement d’une requête de type GREP s’effectue de la même façon que les autres requêtes par clic sur l’icône .
Dans ce second exemple, on veut placer devant le premier caractère du paragraphe (qui est en italique), le contenu du presse-papiers (il s’agit d’un glyphe que l’on aura préalablement copié en tapant ¢C [¢V]).
E XEMPLE DE RECHERCHE GREP Pour vous familiariser avec l’utilisation des requêtes GREP, consultez les exemples fournis avec InDesign. Ils se situent dans le menu local Requête de la fenêtre de Rechercher/ Remplacer.
Les requêtes GREP présentent par p défaut. Utilisez-les pour tester.
On veut placer ce glyp glyphe phe devant chaque premier p premie mii r signe sig g en italique des paragraphes du texte. texte. te
On recherche che deux retours chariot cha (~b~b) ou plus (+) pour les remplacer par un seul (\r). r
On va utiliser cette requête.
Commencez par un examen des signes présents dans les cases. Ici, le retour chariot peut être obtenu à deux endroits dans les menus locaux . Les codes sont différents (\r ou ~b) mais ils donnent le même résultat. Les deux retours chariot (~b) peuvent être obtenus par Caractère de saut ou par Fin de paragraphe (\r).
La requête de recherche doit commencer par définir l’emplacement de l’élément à rechercher (Début de paragraphe : ^) et sa nature (Lettre quelconque : [\l\u]) ; sa typographie est spécifiée par les options de formatage. On la position de la recherche. O définit dé
Pour la répétition ((+), (+ +), on a utilisé ce métacaractère. m métac
On définit la nature de la recherche.
289
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7 La requête de remplacement indique de faire un collage (Contenu du presse-papiers avec mise en forme : ~c) suivi du texte qui a été trouvé (Texte trouvé : $0).
L’élément préalablement copié p est collé.
Après le collage, on replace le texte trouvé.
Les requêtes peuvent être conditionnelles en utilisant le ou (dont le code est |). Par exemple, la requête (\.com)|(\. fr) permet de rechercher les expressions contenant soit « .com », soit « .fr » ( \. étant le code du point, alors que le point seul est le code d’un caractère quelconque). La mise en place des requêtes demande parfois un peu de réflexion mais elles permettent une automatisation intéressante de certaines tâches.
Rechercher/Remplacer des glyphes
LE CONTENU DE LA RECHERCHE Dans la zone de recherche, à la rubrique Famille de polices, sélectionnez l’une des polices utilisées dans le document (ce sont les seules disponibles), puis sélectionnez le Style de police du glyphe. Si vous connaissez la valeur unicode du glyphe, saisissez-la ou retrouvez ce dernier dans la fenêtre affichée en cliquant sur le triangle à droite de la case Glyphe (celle-ci propose différents menus pour le trouver). Vous pouvez également sélectionner un glyphe dans le document et choisir Charger le glyphe sélectionné dans Rechercher dans le menu contextuel.
Le plus simple est d’utiliser cette commande nde du menu men contextuel, pour remplir cette case de recherche du glyphe.
À partir partiir de ce m part menu, menu, on accède à cette cet e te fenêtre. fen nêtre. n
L’utilisation de la rubrique Glyphe de Rechercher/Remplacer est utile pour remplacer un glyphe par une de ses variantes (de même valeur unicode).
Cee menu ne propose que less polices du document.
Ici,, on retrouvera la majorité des IIci menus de la palette Glyphe. menu
Dans la zone Remplacer le glyphe, entrez le glyphe de remplacement à l’aide des méthodes utilisées pour entrer le glyphe à rechercher. Vous pouvez alors lancer la requête pour obtenir les remplacements.
On choisit la variante ante dans cette fenêtre.. On peut alors lancer cer le remplacement. On utilise l’onglet Gl Glyphe lyphe principalement pour remplacer un glyphe par une variante. ia ante.
290
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
Rechercher/Remplacer des objets L A RECHERCHE DE TYPE O BJET Ce type de recherche permet de rechercher et remplacer les attributs et les effets appliqués aux objets (blocs graphiques, de texte ou sans contenu tels les traits) afin, par exemple, d’harmoniser les réglages ou de leur affecter un même style d’objet s’ils n’en avaient pas.
LE CHANGEMENT DE POLICE LOCALISÉ Cette fonction peut être utilisée pour remplacer un mot dans une police par une autre. Cela peut permettre, par exemple, de mettre en gras certains mots répétés dans un article — sur le même principe, on pourra changer leur couleur. Les copies d’écran ci-dessous montrent un cas où l’on remplace un texte par un symbole obtenu avec la police particulière (auquel un style de caractère est affecté pour faciliter les réglages ultérieurs).
LE CONTENU DE LA RECHERCHE Avec cette recherche, il n’y a pas de saisie, la recherche (ou le remplacement) ne s’effectue que selon un format sélectionné après avoir cliqué sur l’icône (ou dans la zone grise sous les mots Rechercher le format ou Remplacer le format) : une fenêtre du type Options de styles d’objet liste les attributs disponibles pour la recherche ou le remplacement. Le menu Type permet de limiter la recherche à un certain type d’objet. Avec cette te requête et ce style, e, on veut remplacer remp plac le mot «tél. : » par un signe g (%) ( ) dont l’aspect p donnera do onnera ceci.
Le style de caractère du signe comporte ces attributs.
Pour our spéc spécifier écifier ifi les l crit critères it de la requête, requ uête, on a cliqué cliqué ici, icci, ci on affiche cette fenêtre. f Tous les attributs et les es effets applicables aux objets ets y figurent. figurent
Les utilisations de Rechercher/ Remplacer Les utilisations de la fonction Rechercher/Remplacer sont très nombreuses et faciles à mettre en place, d’autant plus qu’elles peuvent être annulées à tout moment.
D ES UTILISATIONS TYPOGRAPHIQUES Vous pouvez rechercher une police (non installée, par exemple) pour la remplacer par une autre ; cette utilisation correspond à Rechercher une police du menu Texte. Si un texte (importé ou saisi) comporte des guillemets, vous pouvez utiliser des requêtes GREP pour, d’une part, remplacer les guillemets ouvrants et fermants anglais par des guillements français (“ et ” en « et ») ou réciproquement, et d’autre part, placer des fines (espaces insécables).
L’APPLICATION D’UN STYLE DE PARAGRAPHE (OU DE CARACTÈRE) Excepté pour affecter un style de caractère à des mots particuliers, le remplacement d’un style par un autre ne nécessite pas de saisie dans les cases Rechercher et Remplacer par. Cette utilisation a déjà été développée page 279.
Ces requêtes uêtes ess remplacent remp placent les guillemets ouvrants ouvr ou fermants anglais par les chevrons avec l’espace insécable (après ou avant). chevvrons français fr inséc
291
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
L A CORRECTION D’UNE SAISIE N’importe quel texte peut comporter des erreurs de saisie (dues à une méconnaissance du code typographique ou à de l’inattention). Cela peut être deux espaces consécutives, une espace avant une virgule ou un point, pas d’espace après la virgule et le point, l’oubli d’une espace avant le point-virgule (;) ou les deux-points (:), des retours chariot ou des tabulations en trop, ou encore des retours à la ligne à la place des retours chariot. La fonction Rechercher/Remplacer peut corriger la plupart de ces erreurs.
Ces requêtes quêtees placent placcent une fine devant le point-virgule po et le deux points. s.
L A PRÉPARATION D’UN TABLEAU Avec certaines saisies que vous souhaitez mettre en forme à l’aide d’un tableau (par la conversion du menu Tableau, voir page 240), il est nécessaire d’y faire apparaître une tabulation à chaque fois qu’il devra y avoir une colonne et un retour chariot (et un seul) à chaque fois qu’il doit y avoir une nouvelle ligne. En utilisant les requêtes de type Texte ou GREP, vous pouvez facilement modifier la saisie dans ce sens.
Quand vous importez un tel texte provenant d’Excel avec l’option Texte tabulé non mis en forme, celui-ci apparaît avec une tabulation entre chaque donnée qui figurait dans une cellule du tableur. On ré récupère le texte sous ccette forme après importation avec cette impo option. optio p
Afin de pouvoir appliquer les styles en cascade (comme dans l’exemple de la page 277), après suppression du premier paragraphe qui constituait le texte de la têtière, on remplace les tabulations par des retours chariot à l’aide de la commande Rechercher/Remplacer.
L A PRÉPARATION D’UN TEXTE POUR UNE AFFECTATION DE STYLE
Afin de pouvoir utiliser les mises en forme particulières à l’aide de styles de paragraphe qui utilisent soit des styles imbriqués (pour une application séquentielle), soit des styles avec l’option Style suivant (pour une application en cascade), il faut modifier certaines saisies pour y faire figurer quelques métacaractères tels que Fin du style imbriqué ici, Retour chariot standard ou Saut de ligne forcé. Dans Excel vous pouvez saisir (ou récupérer) une série de données (par exemple, une liste des expositions) que vous souhaitez mettre en forme dans InDesign en utilisant des styles plutôt qu’un tableau.
On récupère ces données depuis Excel pour les mettre en forme dans InDesign avec des styles en cascade.
292
On n a remplacé emplacé les tabulations ta abulations par des retours avec cette requête.
Il reste à appliquer le style d’objet. Celui-ci affecte un style de paragraphe (et son suivant) : le style 1_Ville appelle un style suivant qui lui-même en appelle un autre… d’où une mise en forme en cascade grâce à l’option Style suivant.
Le texte complet est mis en forme grâce au style d’objet.
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN
L’AJOUT D’UN BLOC POUR LE PLACEMENT UNE PHOTO Afin de placer une photo devant certaines parties d’un texte, on peut utiliser une requête qui fera appel au contenu du presse-papiers. Quand les blocs seront en place, il ne restera qu’à faire une importation multiple pour remplir ces blocs ancrés par l’image voulue. Deux cas peuvent être envisagés selon que le texte est mis en forme de manière classique (succession de paragraphes) ou avec un tableau (succession de lignes).
Après cette première mise en place, on peut couper le bloc (il disparaît) et lancer la commande Rechercher/Remplacer. Dans une requête de type GREP, on recherche au début du paragraphe (^) un caractère quelconque (.) ayant le style Txt_courant ( pour les options de format), que l’on remplace par le contenu du presse-papiers avec mise en forme (~c) suivi du texte trouvé ($0).
La mise en forme classique du texte Voici les étapes de ce type de placement. Nous supposerons que le texte de l’article a été mis en forme en utilisant des styles de paragraphe.
Le tex texte a été mis en forme avec des styles form de paragraphe. pa On veut vve placer un bloc après chaque titre ((nom de domaine) pour y dom mettre un visuel. mett
Dans le premier paragraphe concerné, on insère l’objet ancré de type graphique que l’on remplit de la photo voulue puis on règle son positionnement, son contenu et son habillage afin d’en faire un style d’objet (ce qui facilitera les modifications ultérieures).
O a obtenu ces On placements d’objet p place e a é avec cette ancré rrequête requê q ê et ce format.
La dernière étape consiste à remplacer Le curseur de les photos en effectuant une importa- placements tion de fichiers multiples. Cette opération multiples. s’effectue par ∏ clic [Alt clic] sur chaque bloc avec le curseur de placement.
Le résultat final.
On a inséré éré ll’ob l’objet bjet aancré, on l’a rempli mplil et créé un style l d’objet une fois que sa position, son habillage… correctement réglés. … ont été correctem
293
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
La mise en forme avec un tableau Si le texte est dans un tableau, afin de placer un visuel, il faut insérer une colonne (ou, selon le cas, une ligne), y placer un bloc ancré puis procéder à l’importation du visuel. Selon l’avancée de la mise en forme du tableau, il est possible, à l’aide de l’astuce suivante, de mettre en place certains éléments à l’aide de quelques requêtes (Texte ou GREP).
Le remplacement rem mplacement cement fait apparaître ici un co copyright et une tabulation en trop paragraphe et ligne forcée). rop (il n’y a pas eu distinction en para
3. Une deuxième requête permettra de supprimer les signes en trop apparus après le retour à la ligne forcé présent dans certains paragraphes. Poour « nettoyer», on recherche Pour le retour reto à la ligne forcé (\n) suivi su uivi du copyright (~2) et de la tabulation (\t). ta abul On les le remplace par un retour le On à la ligne forcé (\n) seul. li
Devant les textes texte de ce tableau mis en forme avec des ess styles, stylles on n souhaite placer une colonne avec un bloc ancré.
1. Pour pouvoir utiliser les fonctions de Rechercher/Remplacer, la première étape consiste à convertir le tableau en texte. Avant d’appliquer ce traitement au tableau, pensez à créer des styles de cellule et un style de tableau de manière à réutiliser facilement la mise en forme déjà réalisée.
LLa a saisie es estt maintenant correcte, on a supprimé les signes en trop.
4. La dernière requête permet de remplacer le copyright par un bloc ancré préalablement préparé (avec un style d’objet) et copié dans le presse-papiers (¢C [Ctrl C]). O recherche On re le symbole (~2). de copyright d co
Afin d’insérer ici une tabulation qui deviendra par la suite A converti le tableau. u colonne on a co une o
On par le contenu n le remplace re du presse-papiers avec sa u pre es mise miise een forme (~c).
2. Dans ce texte, on doit ajouter une tabulation (elle deviendra colonne une fois le texte reconverti en tableau) et un glyphe remarquable (par exemple, un copyright) que l’on remplacera par le bloc ancré. Pour cela, on peut utiliser cette première requête : On recherche On re le premier caractère du paragraphe (^.). ca arac On O n le remplace par lui-même (($0) $0) p précédé du symbole dee copyright (~2) et d’une coo tabulation (\t). ta abul
294
Le copyright a été remplacé par le contenu du presse-papiers (c’est-à-dire par le bloc d’image).
L A TYPOGRAPHIE DANS I N D ESIGN 5. On peut maintenant, sélectionnez l’ensemble du texte pour procéder à sa conversion en tableau (le style du tableau peut lui être affecté lors de cette conversion).
6. Pour que le tableau retrouve un aspect correct, il faut : – modifier la largeur de certaines colonnes, – supprimer les remplacements au niveau des styles de cellule,
– redéfinir la première ligne comme ligne d’en-tête du tableau (pour qu’elle retrouve le style de cellule affecté par les styles de tableau).
Avec cette conversion, ersion, on a récupéré le tableau avec sa nouvelle ersion colonne contenant ant le bloc d’image.
On a rectifié O ifié ll’aspect du tableau.
7. Dernière étape, on place les photos voulues par une importation multiple comme pour l’exemple précédent. On obtient l’aspect ci-dessous.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 7
La vérification de l’orthographe InDesign propose trois modes de vérification de l’orthographe : le mode classique (celui des anciennes versions), le mode dynamique qui permet un contrôle au moment de la saisie et le mode automatique. Dans tous les cas, vous devez définir la langue utilisée pour réaliser la vérification (dans les Préférences/Dictionnaire) ; attention, il ne s’agit pas d’un correcteur grammatical.
La vérification classique Le contrôle de l’orthographe s’effectue par la commande Orthographe du menu Édition (ou du menu contextuel). InDesign scanne le texte et sélectionne chaque mot douteux : il s’agit de mots ne figurant pas dans son dictionnaire. Vous pouvez alors passer sur le mot douteux suivant ou demander à InDesign de vous proposer des corrections possibles pour ce mot. Si aucune ne vous convient, tapez la correction. Le menu local Chercher dans permet d’orienter la correction sur l’ensemble du document ou de la limiter à l’article, voire seulement à la sélection le cas échéant.
Avec cette opt option, les d’orthographe sont fautes d’ortho faute mises en évidence. Par cclic droit, on accède à propositions. des p
ASTUCE Si vous avez besoin d’afficher le menu contextuel classique, placez la souris à l’extérieur du texte avant de faire un clic droit.
Cette vérification est très pratique pour la détection d’erreurs de saisie ; vous pouvez la désactiver (ou l’activer) par clic droit dans le texte.
La vérification automatique
C’est dans cette fenêtre que l’on lance la procédure de correction. Attention d’y choisir correctement la langue.
Elle utilise une sorte de glossaire (Préférences/Correction automatique) contenant des mots mal orthographiés et leur correction. Quand votre saisie correspond à l’un d’eux, InDesign le corrige. Vous pouvez ajouter des entrées et utiliser ce type de correction comme un glossaire de termes importants.
La vérification dynamique Elle se règle dans les Préférences/Orthographe. Vous pouvez indiquer les types d’erreur à rechercher et comment elles apparaîtront dans le texte. Quand InDesign rencontre une erreur, il la souligne en rouge. Par clic droit dessus, il propose une série de corrections possibles ou l’ajout éventuel à son dictionnaire si le mot est correct.
On peut aussi utiliserr la correction dynam dynamique comme glossaire. Si on tape « IND », il apparaît « InDesign ». »
296
L ES HABILLAGES
8 Les habillages
L’habillage d’un objet Le principe de l’habillage On parle d’habillage chaque fois qu’on place un objet sur ou sous un bloc de texte. Selon qu’il est à l’arrière-plan ou au premier plan, le texte peut être recouvert par l’objet ou recouvrir ce dernier ; il peut aussi être chassé et par conséquent s’écarter de l’objet. Dans ce cas, on dit que le texte habille l’objet et différents réglages d’habillage sont alors possibles. Tous les réglages d’habillage (sauf s’ils sont personnalisés) peuvent être incorporés dans le style d’objet.
Les réglages d’habillage
L A GESTION DE L’HABILLAGE PAR LES PLANS Dans InDesign, un objet peut être habillé par un texte dont le bloc se trouve au-dessus ou en dessous de l’image. Cependant, la fenêtre Préférences d’InDesign (¢ K [Ctrl K]) propose, à la rubrique Composition, l’option L’habillage n’agit que sur le texte au-dessous qui permet de retrouver le principe d’XPress dans lequel un texte ne subit pas les réglages d’habillage des blocs situés à son arrière-plan. Pour faciliter davantage cette gestion de l’habillage, vous pouvez non seulement cocher cette option mais ajouter au document un calque au premier plan afin d’y glisser les blocs de texte qui ne devront pas subir d’habillage, les blocs à habiller étant toujours situés dans des calques inférieurs.
LES TYPES D’HABILLAGE Pour paramétrer l’habillage, sélectionnez l’objet qui doit être habillé (s’il est à l’arrière-plan, enfoncez ¢ [Ctrl] et cliquez dessus plusieurs fois) et affichez la palette Habillage de texte en lançant la commande Habillage de texte du menu Fenêtre (au clavier, ∏¢W [Alt Ctrl W]). Cette palette comporte cinq icônes permettant de gérer tous les types d’habillage possibles : La palette Habillage de texte.
Sans habillage : l’objet est recouvert par le texte s’il est à l’arrière-plan ou bien il cache le texte s’il est au premier plan. Habiller le cadre de sélection : le texte est chassé et se place autour du rectangle correspondant à l’encombrement du cadre de sélection. Habiller la forme de l’objet : le texte est chassé, mais il suit les contours de la forme de l’objet situé dans le bloc.
Avec cette option, n, seuls les tex n textes à l’arrière-plan habillent les blocs.
L’HABILLAGE ET LA SÉLECTION Pour régler l’habillage d’un bloc d’image, celui-ci doit être sélectionné soit en tant que contenu (sélection de l’image), soit en tant que conteneur (sélection du bloc). Si vous réglez l’habillage après une sélection de l’image, il ne sera pas possible de visualiser ce réglage si vous réalisez une nouvelle sélection mais en tant que bloc. En effet, la palette Habillage de texte montrera l’option Sans habillage quel que soit le réglage fait au niveau de l’image (sauf avec Habiller la forme). De plus, si vous modifiez cet habillage avec cette sélection de bloc, l’habillage au niveau de l’image sera perdu (et passera à son tour sur Sans habillage).
Ne pas habiller l’objet : le texte est chassé, aucun texte ne sera visible à droite et à gauche de l’objet dans la colonne ou dans la page s’il n’y a qu’une seule colonne. Passer à la colonne suivante : le texte sous l’objet est chassé jusqu’à la colonne ou la page suivante. Si aucun objet n’est sélectionné quand vous réglez l’habillage, vous définissez les valeurs par défaut.
Ici,, on n a réglé l’habilla l’habillage avec une un ne ssélection de l’image. l’ima
297
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 8
LLe blo bloc de ce texte a un habillage : il chasse chas les autres. Avec une sélection du d bloc, bl on ne voit oit it plus le l réglage é l précédent. p
LES CALQUES ET L’HABILLAGE
Pour une meilleure visibilité des réglages, gérez l’habillage au niveau du bloc plutôt qu’au niveau de l’image.
Afin de faciliter la sélection des objets, pensez à créer deux calques : un pour le texte et un pour l’image. Cela dit, si vous travaillez sur un seul calque, n’oubliez pas que lorsque des blocs sont superposés, on sélectionne (avec l’outil Flèche noire) les objets dans les arrière-plans en enfonçant la touche ¢ [Ctrl] et en cliquant plusieurs fois sur la zone où les éléments se superposent.
A STUCE Si des objets font partie d’un groupe, ils peuvent avoir un réglage d’habillage qui leur est propre et un autre pour le groupe. Ces habillages se cumulent mais celui du groupe est perdu si on le dissocie.
Pour simplifier la gestion des blocs ssuperposés, utilisez des calques. super q
Nous allons passer en revue les différentes options d’habillage et étudier les possibilités correspondantes.
Le bloc sans habillage Par défaut, quand vous superposez des blocs entre eux, le texte n’est pas chassé par les autres blocs (au premier plan ou à l’arrière-plan), c’est-à-dire que c’est l’option Sans qui est active. habillage
LE CAS D’UNE IMAGE ET D’UN TEXTE Si l’image est à l’arrière-plan du texte, ce dernier la couvre. Si elle est au premier plan, elle sera positionnée de façon à ne masquer que partiellement le texte à l’arrière-plan (il peut s’agir d’une image détourée, éventuellement d’une copie détourée d’une image à l’arrière-plan du texte).
LES UTILISATIONS Elles sont nombreuses. Cela peut être une image utilisée en fond de page (à fond perdu, par exemple) avec un texte dessus, une image détourée (ou semi-transparente) placée sur une partie de texte, une flèche ou un trait au premier plan, un bloc coloré qui sert à colorer une partie d’un texte ou encore un texte de grandes dimensions placé sur (ou sous) un autre texte.
Sans habillage : le texte n’est pas chassé mais il peut être caché aché partiellement par l’image. ge.
LE CAS D’UN TEXTE SUR UN TEXTE Dans ce cas, les deux blocs de texte doivent être réglés sans habillage, sinon l’un des deux risque de disparaître. Au-dessus ou en dessous, sans habillage, le texte n’est pas chassé.
298
On a placé le texte entre deux images. Avec l’affichage des calques de l’image (PSD),), celle située au-dessus est détourée, celle en dessous est complète. p
L ES HABILLAGES
LES RÉGLAGES DE L’HABILLAGE DU CADRE
Les habillages de blocs
Le décalage du texte
L’HABILLAGE DU CADRE DE SÉLECTION L’habillage du cadre de sélection correspond à l’option de la palette Habillage de texte. Dans ce cas, le texte en superposition avec le bloc est repoussé jusqu’aux limites du cadre de sélection du bloc (qui peut être au premier ou à l’arrière-plan).
L’habillage du cadre de sélection.
C’est un cas très courant, d’autant plus que les images sont souvent de forme rectangulaire ; néanmoins, l’habillage peut s’appliquer à des blocs de texte ou encore à des blocs de forme quelconque. Dans tous les cas, le texte qui habille dégagera un rectangle de la taille du cadre de sélection du bloc.
Avec ce type d’habillage, quatre cases deviennent disponibles dans la palette Habillage de texte pour définir l’espace (décalage) entre le texte et les bords gauche, droit, haut et bas du bloc. Pour les régler (de manière identique ou non ), saisissez une valeur dans chaque case ou cliquez dans la case voulue et pressez les touches Flèche vers le haut ou vers le bas pour incrémenter de 1 mm (avec Ó, l’incrément passe à 10 mm). Ces valeurs peuvent être négatives, le bloc couvrira alors partiellement le texte, mais celui-ci ne sera lisible que si le bloc est transparent ou s’il est à l’arrière-plan du texte qui l’habille. De fines lignes d’habillage encadrent le bloc et repoussent le texte qui habille le cadre du bloc.
On voit ici les es lignes d’ha d’habillage. abillage. Verticalement, nt, c’est l’interligne l’inteerligne du textee (ou le pas de la l grille) qui détermine (ou modifie) d f lle décalage de l’habillage.
Si le texte chassé (donc qui habille) ne tient plus en entier dans son bloc, un petit signe + dans le port de sortie en bas du bloc apparaîtra (sauf si le bloc est chaîné vers un autre bloc) ; modifiez alors les valeurs d’habillage, l’encombrement du texte chassé ou la taille de son bloc. Dans cette composition, chaque image (groupée avec sa légende) a la largeur de la colonne. L’habillage est défini sur le groupe.
La position du texte qui habille La zone Options d’habillage de la palette Habillage de texte, (obtenue en affichant les options) propose un menu Habiller pour choisir où le texte doit de placer par rapport au bloc habillé. Dans ces six options (disponibles avec l’habillage de la forme), on distingue : Côté droit, Côté gauche, Côtés gauche et droit (option par défaut), Côté dos, Côté opposé au dos et Plus grande zone.
On règle la position du texte par rapport au bloc.
– Côté droit : le texte se place à droite du bloc habillé, la zone à gauche reste vide. Ici, le bloc contenant le texte d’accroche a un habillage de cadre de sélection. Le texte en colonne est aligné sur la grille.
– Côté gauche : le texte se place à gauche du bloc habillé, la zone à droite reste vide.
299
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 8 – Côtés gauche et droit : c’est l’option par défaut, le texte se place de part et d’autre de l’objet habillé. Cette option n’est intéressante que si l’élément habillé est de petite taille car la lecture risque de devenir délicate.
– Côté dos : que le bloc habillé soit sur un recto ou un verso, le texte se place du côté de la marge de reliure (côté intérieur de la page).
Si la composition ne comporte qu’une colonne, vous pouvez empêcher ce décalage en décochant l’option Ignorer par interlignage dans la fenêtre des Préférences (¢ K [Ctrl K]) à la rubrique Composition — cette option s’applique à l’ensemble du document. Dans ce cas, on déplace l’image et le texte en dessous se déplace aussitôt alors qu’avec l’option, il se déplace (ou non) mais en respectant les lignes d’interligne (qui jouent le rôle de grille).
– Côté opposé au dos : à l’inverse du cas précédent, qu’il soit sur un recto ou un verso, le texte se place du côté extérieur de la page.
– Plus grande zone : InDesign détecte automatiquement si la zone la plus large est à gauche ou à droite de l’objet habillé et place le texte.
L’habillage et l’interligne L’espace entre le bloc habillé et les lignes de texte situées en dessous ne correspond pas toujours à la valeur saisie dans la case Décalage en bas de la palette Habillage de texte, il dépend de l’interligne du texte. En effet, par défaut, même si la grille de ligne de base n’est pas activée, les lignes se décalent vers le bas pour s’aligner avec celles des colonnes voisines.
Sans l’option Ignorer par interlignage, un déplacement de l’image entraîne celui du texte.
Avec l’option Ignorer par interlignage, un déplacement de l’image n’entraîne pas (toujours) celui du texte en dessous (cela rend plus facile le centrage de l’objet habillé).
L’obtention d’un blanc tournant Même sans grille, les lignes de texte se calent sous l’image en fonction de l’interligne et s’alignent entre colonnes adjacentes.
Pour obtenir un équilibre des blancs autour de l’objet habillé par le texte, il convient d’effectuer quelques réglages. Les manipulations dépendent de la configuration de la mise en pages. En effet, l’objet peut occuper la largeur de la colonne ou se situer à cheval sur deux colonnes. L’objet seul dans la colonne
Les lignes respectent davantage l’habillage mais ne s’alignent plus entre colonnes si on décoche l’option Ignorer par interlignage. p
Un réglage optique peut être réalisé en descendant l’objet avec les touches fléchées du clavier (et en rectifiant, éventuellement les valeurs des cases de décalage en haut ou en bas de manière indépendante). Cependant, si vous souhaitez une grande précision, vous pouvez effectuer les opérations suivantes :
1. Tracez un rectangle (sans habillage) ayant une hauteur comprise entre la ligne de base au-dessus du bloc habillé et le haut de la ligne de texte située juste en dessous de ce bloc.
300
L ES HABILLAGES
On veut centrer cette image dans l’espace entre les lignes.
1. Une fois le bloc en place sur le texte, dans la palette Habillage de texte, réglez son habillage sur une valeur (provisoire) identique pour toutes les cases (option ).
un rectangle ayant On trace tr de cet espace. la hauteur ha
2. Ajoutez à la sélection du rectangle celle du bloc habillé et choisissez l’alignement vertical centré palette Contrôle ou Alignement).
(dans la
Provisoirement, on a réglé l’habillage avec ces valeurs. valeur
2. Sur le bloc habillé, dessinez un rectangle (sans habillage) partant de la ligne de base du texte au-dessus du bloc habillé jusqu’au haut de l’œil des caractères sous le bloc habillé (ou éventuellement jusqu’au haut des capitales). U liligne est passée au-dessus Une quand on a centré les deux blocs avec cette icône.
3. Sélectionnez le rectangle et le bloc habillé et centrez-les verticalement avec l’icône (palette Contrôle). Si une ligne de texte est passée au-dessus du bloc, chassez-la en augmentant la valeur de la case Décalage en haut (attention, le maillon doit être désactivé, option ).
3. Si une ligne de texte est passée au-dessus de l’objet habillé, sélectionnez ce dernier seul et augmentez légèrement la valeur de Décalage en haut dans la palette Habillage de texte. Si l’option Ignorer par interlignage n’est pas cochée, le texte sous l’image se déplacera ; utilisez alors la case Décalage en bas pour le ramener à sa position définie par le rectangle dessiné précédemment. On dessine sine un rectang rectangle an le et e on procède au centrage. centrage
4. Désélectionnez l’image (par Ó clic dessus) : le rectangle On réajuste l’ha l’habillage en modifiant cette valeur.
est resté sélectionné. Réduisez sa hauteur par le bas pour l’amener jusqu’en haut du bloc habillé. Copiez sa hauteur dans la case H de la palette Contrôle.
4. Supprimez le rectangle. L’objet à cheval sur deux colonnes Pour obtenir un réglage correct tout autour de l’image, vous pouvez utiliser la procédure suivante :
On a modifié d fié l’habillage en haut,, puis di p réduit le rec rectangle : sa hauteur ur s’affiche ici..
301
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 8 5. Supprimez le rectangle, sélectionnez le bloc habillé et collez la valeur précédente dans les cases Décalage à gauche et Décalage à droite de la palette Habillage de texte afin d’obtenir un blanc tournant.
L’HABILLAGE D’UNE FORME Pour obtenir ce type d’habillage avec un bloc de forme non rectangulaire, il suffit de sélectionner le bloc et d’activer la Habiller la forme de l’objet de la palette troisième icône Habillage de texte. Automatiquement, InDesign passe à une sélection du contenu et affiche des lignes d’habillage (plus fines et plus claires que celles du contour de sélection du bloc) qui définissent le décalage (ou réserve) entre le tracé du bloc et le texte qui habille.
On obtient ceci après ajustement de l’habillage avec ces es valeurs.
LES HABILLAGES RÉDUITS InDesign propose deux options d’habillage qu’il appelle Ne et Passer à la colonne suivante . pas habiller l’image Dans le premier cas, aucune ligne de texte ne se placera à droite ni à gauche du bloc ; dans la palette Habillage de texte seules les cases Décalage en haut et en bas auront une action. Dans le second cas, tout le texte situé sous le bloc est renvoyé à la colonne ou à la page suivante.
On sélectionne tionne le bloc et on active cette t te option. Ill y a sélec sélection du contenu et apparition dde liligness d’habillage. d ha
Les habillages de formes Lorsque le bloc à habiller n’est pas de forme rectangulaire ou s’il s’agit d’une image détourée dans un bloc, il peut être intéressant d’habiller la forme du bloc ou de l’image par un texte.
Pour spécifier cette réserve (par défaut 10 pt, soit 3,528 mm), les cases de décalage restent toutes actives ; cependant, si vous entrez différentes valeurs, c’est la plus petite d’entre elles qui sera utilisée pour définir le décalage.
En bas, b on a fixé bas fi l’habillage à partir de l’image. ll’image image. Ici, I c’est c la forme for du d bloc qui règle gle l’habillage du texte. tex
302
Il peutt ap apparaître pparaître des défauts défau d’habillage modifie illa age quand on modi f la valeur aleur de réserve (dans n’importe quelle case). ase).
L ES HABILLAGES Le menu local Habiller permettra également d’éviter la présence de texte à gauche, à droite… selon la configuration de la composition.
INFO. La fenêtre de la commande Masque (menu Objet) affiche également le nom du tracé Photoshop s’il est présent.
L’habillage d’image avec un tracé de détourage L’habillage s’obtient en une étape qui consiste à activer de la palette Habillage de texte. La case Décal’icône lage en haut permet de définir la réserve entre le bord de l’image et le texte. Comme pour les habillages précédents, le menu Habiller de la zone Options d’habillage propose six options de placement du texte : Côté droit, Côté gauche, Côtés gauche et droit, Côté dos, Côté opposé au dos et Plus grande zone. On élimine mine certains problèmes problèm avec less options menu local. ns d’habillage et son m
Comme nous le verrons avec le travail de l’habillage (voir plus loin), il sera possible de modifier les lignes d’habillage de manière à écarter ou rapprocher quelques mots du texte qui habille. ATTENTION Avec cet habillage (et le suivant), les lignes d’habillage n’apparaissent qu’avec une sélection de contenu (outil Flèche blanche ou trois clics avec l’outil Flèche noire).
L’HABILLAGE D’UNE IMAGE DÉTOURÉE L’habillage d’une image s’effectue en une ou deux étapes selon que l’image a été ou non préparée dans Photoshop avec un tracé défini en masque (voir page 258). La présence de ce tracé est indiquée lors de l’importation de l’image quand vous affichez la fenêtre d’options d’importation : celle-ci comporte une coche (modifiable) devant l’option Appliquer le masque Photoshop qui est active. Cependant, l’image peut être détourée par d’autres techniques (transparence, masque de fusion ou masque vectoriel).
Les options indiquent par ar cette option mod modifiabl modifiable difiabl la présence d’un tracé défini commee masque de détourage « automatique » ; ci-dessous, il y a un détourage g mais i pas p par p ce type yyp de tracé.
On importe et on choisit ce type d’habillage, aussitôt le tracé du masque (automatique) est utilisé pour l’habillage. abillageee.
Ce texte pourra être ê chassé avec l’option Côté droit de Habiller.
L’habillage d’une image sans tracé de détourage L’habillage se règle en deux étapes : la première consiste à de la palette Habillage de texte ; la cliquer sur l’icône seconde, à choisir l’élément de détourage utilisé pour définir la zone d’habillage. Une case ( ) permet de spécifier la réserve entre le bord de cette zone et le texte.
303
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 8 – Couche alpha : cette option affiche une liste de couches disponibles si l’image (au format PSD, TIFF ou PDF) a été enregistrée avec une couche alpha ou comportait un calque avec des pixels transparents (couche de transparence). Cette couche est utilisée pour définir la zone d’habillage.
On importe et on choisit ce type d’habillage mais c’est le bloc qui sert de masque et qui est utilisé pour l’habillage. g
On obtient cet habil O habillage avecc contour. ccette option de cont Ce texte pourra être chassé avec a l’option Côté gauche de Habiller. Habi
– Tracé Photoshop : avec cette option, c’est une liste de tracés qui s’affiche si ces derniers ont été créés dans Photoshop. Le tracé choisi définit alors la zone d’habillage.
– Bloc graphique : la zone d’habillage prend l’aspect défini par la forme du bloc. Cet élément se spécifie dans la palette Habillage de texte à la rubrique Option de contour. Son menu Type propose six options : Identique au masque, Cadre de sélection, Détection des contours, Couche alpha, Tracé Photoshop et Bloc graphique.
ASTUCE Dans Photoshop, vous pouvez préparer plusieurs couches alpha et utiliser l’une d’elles pour le détourage et une autre pour l’habillage.
– Identique au masque : option active par défaut, mais tant qu’il n’y a pas de masque défini par un tracé, c’est le bloc qui est utilisé pour définir l’habillage. Cette opération est réalisable dans InDesign par la commande Masque du menu Objet.
– Cadre de sélection : avec cette option, la zone d’habillage a l’aspect d’un rectangle correspondant à l’encombrement rectangulaire du bloc quelle que soit la forme de celui-ci.
– Détection des contours : pour créer la zone d’habillage, InDesign utilise les parties blanches qui entourent l’image détourée (comme avec la commande Masque du menu Objet mais ici sans possibilité de réglage). Une option supplémentaire, Inclure les contours intérieurs, permet alors au texte de se placer dans les parties intérieures de l’image si celles-ci comportaient des zones blanches.
304
Avec ce choix, choix i l’h l’habillage b correspond au détourage du masque masqu de fusion (couche alpha de Photoshop).
L ES HABILLAGES
L’habillage illage n’est pas p correct, la ligne affichée ici cii montre montr pourquoi.
Avec ce choix, choix i l’habillage l’h b e correspond à la couche alpha créée spécialement dans Photoshop oshop pour définir le placement du texte. te
Le travail de l’habillage L A PERSONNALISATION DE LA ZONE D’HABILLAGE Quel que soit le type de son habillage, quand le bloc habillé est sélectionné par trois clics avec l’outil Flèche noire, une ligne d’habillage (plus fine) entoure l’objet. Cette ligne comporte des points d’ancrage (plus petits) qui sont manipulables comme ceux d’un tracé. Avec l’outil Flèche blanche (Sélection directe) ou avec l’outil Plume et certaines touches du clavier, vous pouvez :
– Déplacer un point : cliquez sur le point pour le sélectionner et glissez-le à l’endroit voulu. Pour agir avec la plume, il faudra garder enfoncée la touche ¢ [Ctrl].
– Modifier les tangentes : cliquez sur le point ou entre
On peut eut déplacer des points po ou en supprimer pour ur rectifier l’habillage.
Après des retouches sur le tracé, la palette Habillage de texte indique que le tracé a été modifié par l’utilisateur à la rubrique Type des options de contour. Cette rubrique permet de retrouver le tracé initial.
Le tracé a été personnalisé.
L’HABILLAGE INVERSÉ Pour certains habillages, notamment l’habillage de tracé, vous pouvez cocher l’option Inverser de la palette Habillage de texte de manière à ce que le texte se place à l’intérieur du tracé du bloc (avec une réserve également à l’intérieur). Dans ce cas, le bloc de texte doit impérativement être au premier plan (et l’opacité de l’image réduite), sinon il disparaîtra sous le bloc qui sert à l’habillage. Comme pour l’habillage précédent, vous pouvez manipuler les points du tracé d’habillage. Si vous souhaitez que le placement du texte soit correct, le bloc de texte doit être plus grand que le bloc qui permet l’habillage.
deux points pour faire apparaître les tangentes et glissez leur extrémité.
– Ajouter un point : activez l’outil Plume, placez-le entre deux points (il devient ) et cliquez. Glissez le point qui apparaît en enfonçant ¢ [Ctrl].
– Supprimer un point : activez l’outil Plume et placez-le sur un point (il devient ), cliquez sur le point à enlever.
Ici, on a inversé l’habillage pour que le texte se place à l’intérieur. Le tracé a été modifié pour affiner le p placement du texte.
– Convertir un point : activez l’outil Conversion (ou l’outil Plume avec la touche ∏ [Alt]) et glissez le point pour faire apparaître des tangentes ; s’il en possède déjà, glissez l’extrémité de l’une d’elles pour changer son orientation et obtenir un sommet. I NFO. Il n’est hélas pas possible de dessiner avec l’outil Crayon le long de la ligne d’habillage pour la modifier.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 8
L’ANNULATION DE L’HABILLAGE SUR UN BLOC Quand un bloc possède un habillage (quel que soit son type), il chasse (ou est habillé par) tous les textes qui lui sont superposés, aussi bien ceux au premier plan que ceux à l’arrière-plan (sauf si les préférences ont été modifiées, voir page 297). Si vous souhaitez qu’un texte ne soit pas chassé par un bloc (par une image dont les lignes d’habillage couvrent le texte, par exemple), affichez la fenêtre Options de bloc de texte (à partir du menu Objet ou en tapant ¢B [Ctrl B]) et cochez l’option Ignorer l’habillage.
Le texte de ce bloc oc disparaît à cause de l’habillage abillage de cette image. im
Ces oobjets sont placés sur même le mê ê calque.
Si on cache le calque, e, les habillages des objets restent actifs.
Avec cette option de bloc, le texte réapparaît.
Avec Avec cette ooption, l’habillage des objets d disparaît avec le d ob calque. Cela permet d’afficher c calqu d’autres calques avec des objets d d’autr habillés différents. h habill fférents.
L’HABILLAGE ET LES OPTIONS DE CALQUE Si vous masquez un calque contenant un bloc ou une image habillée par un texte situé sur un autre calque, le bloc ou l’image disparaissent mais le texte garde l’aspect qu’il avait. Si vous souhaitez que le texte n’habille plus le bloc masqué, affichez la fenêtre d’options de ce bloc (par double-clic sur son nom dans la palette Calques) et cochez l’option Supprimer l’habillage lorsque le calque est masqué.
306
L ES HABILLAGES
A STUCE Si vous sélectionnez avec l’outil Flèche blanche une image habillée par un texte en vue de l’effacer, son tracé d’habillage ne sera pas supprimé et le texte restera composé comme s’il y avait encore l’image.
L’HABILLAGE ET LES STYLES D’OBJET Quand vous avez mis en forme un bloc et défini la façon dont il doit être habillé par un texte, vous pouvez créer un style d’objet à partir de l’aspect et du comportement du bloc vis-à-vis du texte. En effet, la rubrique Habillage et divers des options de style d’objet comporte tous les réglages d’habillage que l’on trouve dans la palette Habillage de texte. Le style d’objet peut englober tous les réglages es d’habillage d d’hab hab de texte.
Les habillages particuliers L’habillage par un tracé ajouté Quand une image est recouverte par un texte, il n’est pas toujours possible d’utiliser les fonctions d’habillage sur cette image pour que le texte l’habille partiellement. Pour pallier ce problème, vous pouvez dessiner, à la plume ou au crayon, un tracé (sans fond ni contour) qui épouse la zone de l’image à habiller par le texte et appliquer à ce tracé un habillage de avec la réserve voulue pour écarter le texte. forme Si vous souhaitez associer le tracé à l’image, vous devrez placer les deux objets sur le même calque. Cependant, évitez cette manipulation car une fois groupé, le tracé n’est plus visible et sa sélection devient délicate. Il est préférable de l’isoler sur un calque à part. La sélection de ce tracé n’en sera que plus facile (par ∏ clic [Alt clic] sur le nom du calque) ; de plus, ce calque pourra être masqué ou verrouillé. ASTUCE Au lieu de dessiner un tracé sur une partie de l’image, il est possible de modifier le tracé du bloc de texte de manière à ce qu’un de ses bords suive la zone à détourer de l’image. Cependant, cette solution n’est pas la meilleure car l’habillage ne serait plus correct si vous déplaciez le bloc de texte
Pour obtenir cet habillage, on a créé un bloc sur ce calque. alque. l Il n’a ni fond ni contour et sert juste à être habillé par le texte.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 8 En effet, la ligne où l’objet a été ancré ne subit pas l’habillage (elle peut même disparaître sous cet objet ancré).
La a ligne conten contenant le bloc ancré ne l’habillee pas. Le bloc ancré anc peut (comme iici) cacher une partie de cettee ligne.
Pour obtenir le résultat de la page précédente, on a dessiné dessin au crayon un bloc qui suit les bords dee la zone à détourer.
Dans certains cas, pour pallier ce problème, vous pouvez utiliser l’astuce suivante : elle consiste à placer le bloc ancré dans le paragraphe supérieur (voire à ajouter ce dernier), à régler la position du bloc ancré avec les options personnalisées pour qu’il se place sur les lignes du paragraphe qui le suit, puis à définir l’habillage souhaité.
1. Si le paragraphe situé au-dessus de celui contenant le texte qui doit habiller le bloc ancré ne convient pas, ajoutez un retour chariot vide. Sélectionnez complètement ce paragraphe vide et réglez le corps à 0,1 pt et l’interligne à 0 (le paragraphe doit disparaître). Annulez les espaces avant ou après paragraphe s’ils y en avaient. Pour être sûr que le paragraphe du bloc ancré ne se désolidarise pas du texte qui l’habille, affichez la fenêtre Options d’enchaînement (menu local de la palette Paragraphe ou Contrôle) pour saisir 2 à la rubrique Paragraphes solidaires.
On ajoute j un paragraphe h vide et on règle son corps et e son interligne. On a supprimé les couleurs et choisi cettee option. On peut pe ensuite rectifier le contour du tracé pour ajuster l’habillage du texte. t Avec cette valeur,, on « attache » le paragraphe au texte qui suit.
L’habillage et l’objet ancré L’OBJET ANCRÉ HABILLÉ PAR LES LIGNES DU PARAGRAPHE L’habillage que vous affectez à un objet ancré ne s’effectue qu’avec les lignes de texte appartenant au même bloc que la ligne contenant le marqueur d’ancrage ( ), et uniquement avec celles situées sous ce marqueur.
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ASTUCE Pour réutiliser ce type de paragraphe pour d’autres ancrages de ce genre, créez un style de paragraphe (en cliquant sur l’icône de la palette Styles de paragraphe).
L ES HABILLAGES 2. Une fois les réglages du paragraphe terminés, ancrez l’objet (ou le groupe) qui devra être habillé. Sélectionnez l’élément ancré et réglez sa position avec l’option Personnalisée (menu Objet ancré/Options) : placez-le, par exemple, contre le bord droit du bloc (ou de la colonne) et descendez-le avec un Décalage sur Y (ou manuellement par glissement).
Pensez à créer des styles pour réutiliser ces ancragess particuliers.
L’OBJET ANCRÉ SANS HABILLAGE À L’ARRIÈRE - PLAN D’UN PARAGRAPHE Pour placer un bloc à l’arrière-plan d’un paragraphe afin de créer un fond coloré (voire y placer une photo), utilisez un positionnement avec l’option Au-dessus de la ligne et un Espace après avec une valeur négative importante. Attention, avec un positionnement Personnalisé, l’objet ancré passe au premier plan.
Dans le paragraphee vide, on a ancré l’objet. On peut alors régler sa a position. n. n.
On veut placer un objet ancré sous ce paragraphe.
3. Dans la palette Habillage de texte, choisissez l’habillage voulu ( habillage au carré ou habillage de la forme ou de l’image). Affinez la position du texte avec les options d’habillage (par exemple, Côté gauche) et les options de contour.
On a ancré ancr l’objet et réglé sa position avec ces options de positionnement. ent.
I NFO. Les objets ancrés sur la ligne dans une cellule de tableau ne prennent pas en charge l’habillage.
L’habillage et les gabarits On ob obtient ceci une fois l’habillage d l’objet de l’ob ancré ncré réglé. régl ASTUCE Sélectionnez l’objet ancré et créez un style d’objet pour le réutiliser avec d’autres objets ancrés.
Dans InDesign, l’habillage d’un élément placé dans une page de gabarit se répercute sur les pages courantes (ce n’était pas le cas avant la version CS3). Une option du menu local de la palette Habillage de texte permet de limiter cette action au gabarit seulement.
309
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS
9 La gestion des pages et des fichiers Dans ce chapitre, nous aborderons plusieurs thèmes concernant la gestion des pages d’un document, comme : – l’utilisation des gabarits, – le remplissage des pages avec des éléments récurrents tels que les variables de texte, la numérotation et les notes, – les transferts d’éléments d’une page ou de pages entières et leur stockage dans la bibliothèque.
Nous aborderons également la gestion des fichiers et notamment : – les modèles, – les fusions de données, – les utilisations des fonctions livre, table des matières et index.
La gestion des pages Elle se résume à cinq types de manipulations : affichage, insertion, suppression, déplacement et enfin, préparation et application de gabarit. La plupart de ces manipulations s’effectuent à partir de la palette Pages ou du menu Page. Avant d’aborder les différentes fonctions, commençons par une description de la palette Pages.
La palette Pages LES DIFFÉRENTES ZONES DE LA PALETTE PAGES Pour visualiser la palette Pages, lancez la commande de la palette Pages du menu Fenêtre : une palette apparaît, elle peut être redimensionnée, déplacée, etc. La palette Pages présente trois zones dont le contenu change d’aspect selon les opérations en cours ou la configuration du document. La palette Pages du chapitre que vous êtes en train de lire. La zo zone des gabarits. La zo zone des pages courantes (ici av avec page en vis-à-vis).
La zo zone de création, copie ou suppression des pages. suppr
L A ZONE DES PAGES COURANTES La partie basse de la palette comporte des icônes de pages qui correspondent aux pages courantes. Vous pouvez en sélectionner une pour l’activer, la copier, la supprimer, lui appliquer un gabarit ou la définir comme point de départ d’une nouvelle numérotation (appelée section). Il est également possible de déplacer une page (ou plusieurs) pour modifier sa position dans le document. L’aspect des pages dans la palette Pages dépend de celui du gabarit, c’est-à-dire des options choisies lors de la configuration du document (recto verso ou non). Quand le nombre de pages courantes devient important, vous pouvez agrandir la zone supérieure de la palette de manière à visualiser davantage de pages. A STUCE La palette Pages montre désormais le contenu des pages. Si le numéro d’une page est suivi de l’icône , c’est que la planche comporte une page contenant des éléments transparents (opacité réduite, effet tel ombre portée, etc.).
L A ZONE DES GABARITS OU MAQUETTES C’est à partir de cette zone que vous gérez les gabarits : l’affichage, la création d’un nouveau gabarit, la sélection pour l’appliquer, le supprimer ou en faire une copie, et l’ajout de pages courantes selon un gabarit précis.
311
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9
L A ZONE DE CRÉATION, COPIE OU SUPPRESSION C’est la zone des icônes situées en bas de la palette. L’icône permet d’insérer de nouvelles pages courantes ou des gabarits, voire de faire une copie des pages par glissement sur l’icône. La seconde icône permet de supprimer une page courante ou un gabarit sélectionné.
Toutes les autres manipulations concernant les pages se font à partir de la palette Pages (de son menu et de ses icônes) ou du sous-menu Pages (menu Page).
Les commandess de gestion des pages.
L’affichage de pages La création de pages L A GESTION DE L’AFFICHAGE PAR LE MENU PAGE Dans un document comportant plusieurs pages, vous pouvez choisir d’afficher telle ou telle page par le menu Page. En effet, il propose une série de commandes (Première page, Page précédente, Page suivante et Dernière page) qui place la page au centre de l’écran avec le taux d’affichage en cours. Pour obtenir ces affichages, vous pouvez aussi utiliser les raccourcis correspondants indiqués dans le menu Page.
L’AFFICHAGE À PARTIR DU DOCUMENT La fenêtre du document présente, en bas à gauche, une zone de navigation dans les pages à l’aide de quatre icônes : pour afficher la première page, pour la page précédente, pour la page suivante et pour aller à la dernière page. Le numéro de la page s’inscrit dans la case située au centre de ces icônes. Vous pouvez d’ailleurs y saisir directement le numéro de la page que vous souhaitez visualiser ; au clavier, on affiche une fenêtre équivalente à cette case en tapant ¢ J [Ctrl J].
L’INSERTION DE PAGES L’insertion par les menus Si vous utilisez la commande Ajouter une page du menu Page puis Pages, InDesign n’ajoute qu’une seule page qu’il place après la planche active. Pour mieux maîtriser cet ajout de page, utilisez la commande Insérer des pages : une fenêtre s’affiche et permet d’ajouter des pages à un document. Choisissez-y le nombre de pages à insérer, l’endroit où elles doivent être placées (après ou avant telle page, à la fin du document…) et l’aspect des pages ajoutées (blanches ou identiques à tel gabarit).
On choisit le nombre, nombre le type et e l’emplacement. l’l ’emplacement emplacement
L’icône de la page ajoutée comporte un A si elle a l’aspect du gabarit A ; elle ne comporte pas de A si vous avez ajouté une page blanche (sans gabarit appliqué).
L’insertion par l’icône de création de la palette Pages Les icônes es de de navigation navig et son menu. me
L’AFFICHAGE À PARTIR DE LA PALETTE NAVIGATION La palette Navigation s’affiche par le menu Fenêtre. Son menu local propose l’option Afficher toutes les pages ; quand celle-ci est active, si la palette Navigation est suffisamment grande, vous pouvez glisser son rectangle rouge pour afficher telle ou telle page.
L A GESTION DE L’AFFICHAGE PAR LA PALETTE PAGES Pour qu’InDesign affiche une page donnée, faites un double-clic sur son icône ou son numéro dans la palette Pages. Celle-ci devient active (en surbrillance) et s’affiche au milieu de la fenêtre du document. Pour afficher une double page, vous devez impérativement cliquer sur les numéros.
312
Avant d’insérer la page, effectuez un double-clic sur le numéro de la page après laquelle l’insertion doit s’effectuer. Une fois l’emplacement désigné, cliquez sur l’icône pour ajouter une page. Cette dernière prend systématiquement l’aspect du gabarit A. Pour en choisir un autre ou ajouter plusieurs pages, cliquez sur l’icône en enfonçant ∏ [Alt] : la fenêtre Insérer des pages s’affichera et vous n’aurez qu’à spécifier le nombre de pages désiré ainsi que leur aspect. Si votre document est recto verso (pages en vis-à-vis), l’insertion d’une seule page ou d’un nombre impair de pages peut perturber le type des pages suivantes (faire passer un recto en verso ou réciproquement). Les résultats dépendent de l’activation ou non (coche ou non) de la commande Autoriser la réorganisation des pages du document du menu de la palette Pages.
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Le document initial. On veut insérer une page cette planche ou page. a après cette page est de type I ce Ici, vverso. verso o
ASTUCE Pour éviter tout changement de type des pages, ajoutez toujours un nombre pair de pages si vous travaillez avec le mode Pages en vis-à-vis.
L’insertion par glissement de page
Verso
L’insertion sans réorganisation autorisée (option non cochée) Si la page est insérée par clic sur l’icône , la nouvelle page se place seule sur une nouvelle planche après la planche active. La planche suivante contient des pages qui ont conservé leur type.
Dans la zone des gabarits de la palette Pages, glissez le nom (pour insérer une double page) ou l’icône (pour insérer une seule page recto ou verso) et amenez la souris entre des pages ou à la fin du document. Si vous amenez la souris à gauche ou à droite d’une page, voire entre deux pages, un trait vertical apparaît. Comme précédemment, la position de la page insérée dépend de l’activation ou non de la commande Autoriser la réorganisation des pages du menu de la palette Pages.
– Option non cochée : la page se place dans la planche On insère la page : une planche est ajoutée et cette page reste de type verso.
qui contient désormais trois pages, c’est-à-dire qu’elle reste à gauche ou à droite de la page située contre le trait comme pour réaliser un dépliant.
Verso
Si la page est insérée entre deux pages d’une planche (par ∏ clic [Alt clic] sur ), la planche active est modifiée et comporte trois pages. Les pages conservent leur type.
On insère une page age : laa planche est modifiée odifiéee mais cette pagee conserve son type verso.
contre le trait et, dans le cas d’un document recto verso, il y a changement du type des pages situées après la page insérée. ASTUCE Pour ajouter un nombre de pages plus important, n’utilisez pas la méthode du glissement mais plutôt la commande Insérer des pages (menu Page puis Pages).
L A COPIE DE PAGES
Verso
Dans les deux cas, si vous souhaitez qu’InDesign modifie les planches pour n’avoir que des doubles pages recto verso (et change le type des pages), lancez la commande Autoriser la réorganisation des pages du menu de la palette Pages. L’insertion avec réorganisation autorisée (option cochée) La page insérée se place après la planche active (ou la page désignée) et la page devant laquelle elle a été insérée est repoussée dans la planche suivante, il y a donc changement du type de toutes pages qui suivent cette nouvelle page. nsère une nouv On insère nouvelle page soit dans la planche active soit dans la planche planch p planch suivante 2 .
1
,
1
2
RRectoo Re
– Option cochée : la page se place avant ou après la page
Recto
Dans les deuxx cas, cas les lees pages sont repoussées reep pousséess et le verso v devient devvvient recto. d recto
Si vous travaillez sur un document avec des pages en vis-àvis (recto verso), vous ne pourrez copier (ou dupliquer) que des planches ou doubles pages (sauf la première page). Pour effectuer cette copie, cliquez sur le numéro de la planche à copier (un double-clic si vous souhaitez en même temps l’afficher) ; celle-ci se sélectionne. Glissez alors la sélection sur l’icône du bas de la palette ou lancez la commande Dupliquer une planche du menu local de la palette. Les pages copiées apparaissent toujours à la fin du document, mais il sera toujours possible de les déplacer ultérieurement. ASTUCE Pour ne copier qu’une des pages d’une planche, opérez en deux étapes : copiez d’abord la planche, puis supprimez l’une des pages inutile par la méthode indiquée ci-après.
La suppression de pages Pour supprimer plusieurs pages d’un document, assurez-vous qu’elles ne comportent plus d’objets importants, puis sélectionnez-les dans la palette Pages (par Óclic sur leurs icônes si elles sont contiguës et ¢ clic [Ctrl clic] dans le cas contraire).
313
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9 Une fois les pages mises en surbrillance, cliquez dans la corbeille de la palette ou glissez la sélection sur la corbeille ; vous pouvez aussi lancer la commande de suppression du menu local de la palette. Dans tous les cas, un message de confirmation apparaît (sauf si vous avez enfoncé ∏ [Alt]).
2. Insérez une ou plusieurs pages et déplacez-les pour les incorporer dans la planche.
On a glissé les pages dans la planche pour créer le dépliant. p planc
A STUCE Pour désélectionner une ou plusieurs pages, enfoncez ¢ [Ctrl] et cliquez sur son icône.
Le déplacement de pages Sélectionnez la ou les pages (par Óclics ou ¢ clics [Ctrl clics] sur leurs icônes selon leur position), glissez la sélection et amenez-la jusqu’à la nouvelle position (indiquée par un trait vertical). Avant d’effectuer ce déplacement, vous pouvez vérifier que la commande Autoriser la réorganisation des pages est cochée pour que les pages soient repositionnées correctement en double page. ATTENTION Lors d’insertion, de suppression ou de déplacement, veillez à ce que le nombre de pages manipulées ne perturbe pas l’ordre logique des rectos versos, surtout si l’option Autoriser la réorganisation des pages est cochée dans le menu de la palette Pages.
Les configurations particulières LES PAGES EN PLANCHES POUR CRÉER UN DÉPLIANT InDesign appelle planche une série de deux pages ou plus en vis-à-vis, comme on peut en voir dans certains dépliants en accordéon. Leur préparation s’effectue en plusieurs étapes :
1. Sélectionnez la double page et lancez la commande Autoriser la réorganisation de la planche sélectionnée du menu de la palette Pages pour y faire disparaître la coche : le ou les numéros des pages apparaît alors entre crochets.
L’aspectt des numéros avec et ssans ans Autoriser la l réorganisation de la planche lanche sélectionnée.
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Avec cette méthode, l’aspect de la planche ne sera plus modifié même si vous avez coché l’option Autoriser la réorganisation des pages du menu de la palette Pages. A STUCE Pour séparer les pages ainsi montées, relancez Autoriser la réorganisation de la planche sélectionnée du menu de la palette Pages (pour cocher l’option) puis déplacez la page comme indiqué précédemment ou utilisez Autoriser la réorganisation des pages.
LE DOCUMENT DÉMARRANT PAR UNE DOUBLE PAGE Un document recto verso démarre toujours par une page recto (la page 1). Pour le faire démarrer par une page paire et donc par une double page (ou planche), vous pouvez utiliser la méthode suivante s’il s’agit d’un document vierge :
3. Sélectionnez la planche (2-3) et lancez (par clic droit dans la palette Pages) Autoriser la réorganisation de la planche sélectionnée (pour que l’option ne soit plus cochée) et que les numéros de pages de la planche apparaissent entre crochets. On sélectionne sé la planche et lance on lan n cette commande pour ne n plus autoriser la réorganisation de la planche. réorg a
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS 4. Décochez la commande Autoriser l’organisation des
5. Supprimer la première page du document.
pages dans le menu de la palette Pages. Ainsi, les manipulations de page (suppression) ne provoqueront pas les réorganisations des autres pages.
On décoche cette te commande d pour p empêcher la réorganisation des pages.
On a supprimé la première page : commence par le document le doc double page (qu’il faudra une d u rrenuméroter). renum
ASTUCE S’il s’agit d’un quatre pages dans lequel doivent apparaître les numérotations des pages, il faudra définir des options de numérotation pour les deux premières pages (voir plus loin dans ce chapitre l’étude de la numérotation des pages).
Les gabarits Le principe du gabarit LE CONCEPT DU GABARIT L’utilisation de gabarits est intéressante lors d’un travail multipages dans lequel des éléments apparaissent en commun dans plusieurs pages. Le gabarit d’InDesign contient des éléments (dits éléments de gabarits) qui sont placés en fond de page comme si l’on travaillait sur une page à entête au lieu d’une page blanche. Ces éléments apparaissent à l’arrière-plan des objets créés dans une page courante (leur contour de bloc est en pointillés) ; chaque modification apportée à un élément de gabarit dans le gabarit est répercutée dans la page courante. Sur une page courante et sous certaines conditions, il est possible de manipuler un élément de gabarit (importation de texte, déplacement, coloration…). Ce dernier est en quelque sorte remplacé par un élément courant et passe au premier plan des autres éléments de gabarit (selon leur disposition dans les calques). Cet élément remplacé — InDesign utilise le terme « libéré » — garde un lien avec l’élément de gabarit et sera mis à jour si ce dernier est modifié dans le gabarit ; cependant, selon les modifications subies par l’élément libéré, la mise à jour peut n’être que partielle. INFO. Dans la version CS3, les éléments de gabarit peuvent être « verrouillés » pour interdire leur remplacement.
LE CONTENU DU GABARIT Vous pouvez placer des blocs de texte ou d’image sur le gabarit, le laisser vide ou y ajouter des en-têtes, des titres courants, un folio, une photo, un logo, etc. Ces éléments peuvent être placés sur différents calques correspondant à leur ordre de superposition. Tous ces éléments seront reproduits sur les pages choisies, mais il sera possible, au moment voulu, de ne reproduire ces éléments que sur certaines pages, soit en créant plusieurs gabarits, soit en supprimant certains éléments de gabarit sur la page courante. ASTUCE Pour faciliter les mises à jour, pensez à créer des styles d’objet. Ils pourront être modifiés sans avoir à faire de sélection.
La préparation d’un gabarit L A DÉMARCHE DE TRAVAIL La préparation du ou des gabarits constitue une des premières étapes du travail. En effet, à partir de votre maquette papier, vous allez repérer les éléments que vous retrouverez dans les différentes pages, c’est-à-dire faire l’inventaire des éléments de gabarit (ou éléments communs aux pages).
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9
LE GABARIT PAR DÉFAUT Tout document InDesign possède un gabarit par défaut, celui-ci est nommé A-Gabarit. Vous pouvez le renommer avec la commande Options de gabarit pour A-Gabarit affichée par clic droit sur son nom. Pour afficher le gabarit, double-cliquez sur son nom. L’aspect des pages dépend de la configuration du document : recto verso ou non.
PPar ar d double-clic ici, ici on affiche lié à la configuration de un gabarit u ga lla page. pag Ici, grâce ce au bloc de texte un cchaînage. ttype, yp , il y a u a age. g
Pa Par ar cl clic droit sur le nom, on n peut pe choisir ceci pour afficher af ffich cette fenêtre.
Selon le cas, il y aura un ou deux gabarits modifiables. Le gabarit comporte un bloc de texte si vous avez coché l’option Bloc de texte type dans la fenêtre de la commande Nouveau (menu Fichier), sinon il ne possède que des repères (également modifiables). Les gabarits ont tous le même format, c’est-à-dire que les marges de leurs pages sont celles que vous avez spécifiées dans la fenêtre de la commande Nouveau. Par défaut, c’est le gabarit A qui est appliqué à la première page du document.
LE REMPLISSAGE DU GABARIT L’affichage du gabarit Pour placer des éléments dans le gabarit, vous devez le visualiser à l’écran. Pour cela, double-cliquez sur le nom du gabarit dans la palette Pages. L’écran vous montre une page (ou deux si vous travaillez sur un recto verso) et indique son nom, A-Gabarit, en bas à gauche de la fenêtre du document (dans la zone des numéros de pages). C’est également par le menu local de cette zone que vous pouvez afficher le gabarit. Le gabarit s’affiche également par ce menu local.
Le contenu initial Selon que vous avez ou non coché la case Bloc de texte type dans la fenêtre de configuration du document, le gabarit possédera ou non un bloc de texte et il y aura un chaînage automatique. Pour afficher le bloc, vous devez le sélectionner.
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Les différents éléments de gabarit Les blocs et tracés Comme sur une page normale, vous pouvez placer des blocs de texte avec un titre, une date, un en-tête, la raison sociale de l’entreprise, la numérotation (folio), etc., un bloc d’image rempli d’un logo ou d’une photo, divers blocs, traits ou filets (horizontaux ou verticaux, encadrement, flèches…). Vous pouvez également colorer les blocs, régler les marges intérieures, créer et appliquer des styles d’objet, etc. ASTUCE Pour tous les éléments que vous placez, pensez à utiliser : – des alignements avec le dos (ou à l’opposé du dos) pour les textes (titres, folios…) qui doivent se placer différemment sur le recto et le verso ; – des styles de caractère et/ou des styles de paragraphe (rangés dans des dossiers), ils vous éviteront des allersretours dans la page du gabarit (cependant, la mise à jour dans les pages courantes n’est parfois effectuée qu’en réactualisant l’affichage de la page) ; – des styles d’objet pour tous les blocs, les traits… que vous placez. Ici aussi, ils vous éviteront d’avoir à réafficher la page du gabarit pour faire certaines modifications ; – des blocs contenant des objets ancrés avec un positionnement personnalisé (défini dans un style d’objet) ; – des calques pour faciliter les sélections, le verrouillage, etc.
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Ces Ce eess te textes e ont des alignements l’opposé du dos. à ll’op p
Les textes (folio, ttitre, légendes…) possèdent des styles p possè rrangés dans un rangé dossier. d dossi
Ce bloc folio o est ancré dans ce bloc de titre, lui-même ancré dans ce bloc placé n’importe où dans la page. Leur position est personnalisée dans un style d’objet.
Les colonnes Pour un travail en colonnes sur plusieurs pages, si le document n’est pas configuré avec des colonnes, sélectionnez le bloc de texte type et indiquez le nombre de colonnes avec la commande Options de bloc de texte du menu Objet ou directement dans la palette Contrôle.
Les objets ont des Le es ob styles st tyles et sont répartis sur différents calques. su ur di
Pour cela, cliquez sur le port de sortie du premier bloc, puis sur le port d’entrée du suivant, et ainsi de suite (comme pour tout chaînage). Lorsque vous placerez du texte de manière automatique dans les pages courantes, il s’écoulera de bloc en bloc.
Si les colonnes doivent être de largeurs différentes, créez des blocs aux dimensions des colonnes et chaînez-les convenablement. Toutes les pages insérées posséderont le même nombre de colonnes que le gabarit. Pour revenir à une colonne (ou à un nombre différent), il faudra soit créer un autre gabarit, soit modifier la page courante. Les repères Pour faciliter la mise en pages de certains éléments, créez un gabarit de montage avec les repères ; pour cela, utilisez la commande Créer des repères du menu Page. Tous les repères placés dans le gabarit seront visibles dans les pages courantes. Pour les repères horizontaux, seuls seront visibles ceux obtenus par placement partant de l’intérieur de la page (ce sont les repères de page simple qui ne débordent pas hors de la page). Comme pour les colonnes, vous pouvez supprimer ou modifier les repères sur les pages courantes. Les chaînages particuliers Pour une mise en pages particulière comportant, comme dans l’exemple ci-dessus, des colonnes colorées avec des marges intérieures de bloc et une gouttière sans couleur, il faudra créer les colonnes par copies de blocs puis faire des chaînages dans le gabarit.
Pour obtenir ce colonnage particulier, lier, on a créé des blocs et on les a chaînés.
Les habillages des blocs de gabarit Les habillages définis dans les gabarits sont désormais pris en compte dans les pages courantes. Cependant, si cet habillage ne doit se réaliser que dans les pages de gabarit, vous pouvez sélectionner le bloc en cause et utiliser la commande Appliquer au gabarit seulement de la palette Habillage de texte.
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L’APPLICATION DU GABARIT
L A PRÉPARATION À PARTIR DE PAGES COURANTES
L’application par défaut
À l’instar des styles de paragraphe, vous pouvez définir un gabarit à partir d’une composition réalisée sur des pages courantes. Pour cela, effectuez la mise en page des éléments mais en travaillant sur une double page courante dans le cas d’un document recto verso. Les blocs de texte peuvent être remplis d’un texte de substitution mais il faudra supprimer celui du bloc courant.
Quand la préparation du gabarit est terminée, affichez la page courante en effectuant un double-clic sur l’icône de la page voulue dans la palette Pages. La page courante prend l’aspect correspondant à la page A-Gabarit (page de droite dans le cas d’une double page). La présence du A dans son icône indique que c’est ce gabarit qui lui est appliqué.
Cette lettr llettre indique A est que lee gabarit ga appliqué à la page. appliq
Les pages insérées Si vous insérez une ou plusieurs pages manuellement ou si vous placez un long texte de manière automatique, les pages ajoutées prendront l’aspect de la page A-Gabarit.
On a rempli et mis en forme la double page avec tous les éléments voulus et on veut l’utiliser comme gabarit.
Une fois que les pages ont l’aspect souhaité, lancez la commande Enregistrer comme gabarit dans le menu de la palette Pages (ou contextuel) — vous pouvez aussi glisser l’icône des pages courantes dans la zone des gabarits. Cette double page étant C sélectionnée, par clic droit, on sé élect lance la ance cette commande.
On a importé un texte qui a ajouté des pages : elles prennentt l’aspect du gabarit.
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Une nouvelle planche de gabarits apparaît dans la palette (B-gabarit), vous pouvez la renommer. InDesign l’affiche à l’écran : certains éléments (notamment l’encombrement des blocs de folios) peuvent être rectifiés, mais surtout, il est alors impératif de vider de leur texte les blocs constituant la chaîne principale des pages. Videz chaque bloc de l’image qu’il contient sauf si elle doit apparaître sur toutes les pages (tel un logo) et redéfinissez les habillages.
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS
On obtient alors un nouveau gabarit dans lequel il ne faut g gaba cconserver que les éléments qui cons sseront communs à toutes les seron pages. p page Ci-dessous, on a vidé les différents blocs.
Quand la sélection des pages est réalisée, vous pouvez aussi lancer la commande Appliquer un gabarit aux pages par le menu contextuel (ou celui de la palette ou menu Pages/ Pages) : il faudra confirmer la série des pages à traiter et préciser le gabarit sur la page à utiliser. O sélectionne On sé les pages puis, clic droit, on lance cette par cl p ccommande. omm
Dans tous les cas, tous les éléments issus du précédent gabarit et présents dans la page courante sont substitués par ceux du nouveau gabarit. Cependant, les objets ajoutés et les éléments de gabarit modifiés (appelés éléments libérés, voir ci-après) ne subissent aucun changement. ASTUCE Lors de l’ajout de pages par la commande Insérer des pages, vous pouvez préciser le gabarit à utiliser.
Les manipulations dans les pages courantes ASTUCE Si vous créez les gabarits avec des blocs courants déjà remplis d’un texte, celui-ci figurera dans toutes les pages auxquelles vous affecterez ces gabarits.
Pour que la mise à jour des pages courantes s’effectue correctement quand ces nouveaux gabarits seront modifiés, il est indispensable de supprimer les pages courantes (simples ou doubles) qui ont servi à leur élaboration et d’en rajouter de nouvelles auxquelles vous affecterez ces nouveaux gabarits (voir ci-après). Le remplissage des pages insérées peut alors s’effectuer avec les éléments voulus.
L’application d’un autre gabarit Quand il n’y a qu’un gabarit (A-Gabarit), celui-ci s’applique automatiquement à toutes les pages du document, mais lorsque vous créez — avec la méthode de la page précédente ou avec celle qui sera décrite plus loin — un second gabarit (B-Gabarit), vous devez l’appliquer aux pages. Cette opération s’effectue dans la palette Pages de plusieurs façons dont la plus simple consiste à sélectionner la ou les pages (par Ó clics ou ¢ clics [Ctrl clics] sur leurs icônes) puis, avec ∏ [Alt] enfoncée, à cliquer sur le nom du gabarit.
L’ÉLÉMENT DE GABARIT ET L’ÉLÉMENT LIBÉRÉ Pour manipuler un élément de gabarit dans une page courante, ce dernier (initialement affiché en pointillés) doit être sélectionné. Cette opération entraîne la modification de son statut d’élément de gabarit qui devient alors élément libéré.
Ce bloc en pointillés ointillés i tillé estt un élément élém élé de gabarit (il renferme plusieurs blocs ocs ancrés avec un positionnement personnalisé).
Une fois « libéré », l’élément peut subir différents traitements. Vous pouvez, par exemple, le déplacer, changer ses dimensions, son cadre, son fond… et surtout, le remplir d’un texte, d’une image ou remplacer son contenu. Une fois désélectionné, l’élément n’apparaîtra plus en pointillés.
Cet élément de d gabarit a été é libéré, on peut modifier son contenu. ASTUCE Dans le gabarit, par clic droit sur un objet, vous pouvez empêcher sa libération dans la page courante. Il n’y apparaîtra plus en pointillés.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9
LES LIBÉRATIONS D’ÉLÉMENTS DE GABARIT Les libérations peuvent être localisées ou globales.
La libération localisée sur un élément de gabarit Il y a deux façons de libérer un élément de gabarit selon que le bloc est vide ou plein : Les p pointillées indiquent que cces éléments proviennent du gabarit. provi i
Un élément de gabarit appartenant à un calque est toujours situé à l’arrière-plan des autres objets de ce calque, ce qui rend parfois sa sélection délicate sur la page courante. Afin de manipuler plus facilement les éléments de gabarit, il est préférable de les isoler sur un calque à part (que l’on pourra afficher seul, par exemple). Si vous n’aviez pas prévu de calques pour n’y placer que les éléments de gabarit, réaffichez les pages du gabarit pour distribuer les éléments du gabarit sur différents calques.
Par importation avec un bloc vide
Pour cela, opérez ainsi : affichez la palette Calques et ajoutez un nouveau calque. Sélectionnez l’élément de gabarit voulu, un petit carré coloré apparaît alors à droite du nom du calque ; glissez-le sur le nouveau calque. Une fois cette distribution réalisée, sur les pages courantes, la sélection d’éléments de gabarit sera facilitée par le verrouillage des calques qui contiennent des objets en superposition avec ceux du gabarit.
Un clic sur le bloc de gabarit vide avec l’icône d’importation (de texte ou d’image) entraîne sa conversion en bloc libéré.
La libération globale de tous les éléments de gabarit
A STUCE Si les éléments de gabarit ont été groupés, la libération de l’un d’entre eux entraîne celles de tout le groupe.
On im importe une image. Quan on la place Quand dans le bloc, celui-ci est libéré. libéré
Si vous souhaitez que tous les blocs de gabarit de la page courante soient libérés, utilisez la commande Libérer tous les éléments de gabarit dans le menu local de la palette Pages (au clavier, tapez Ó¢∏ L [Ó Ctrl Alt L]).
On souhaite libérer touss les éléments de gabarit présents dans cette page. g ge.
bloc de la légende Le blo libéré car est également ég était groupé avec le il étai d’image. bloc d
Par sélection spéciale du bloc Pour la réaliser, enfoncez Ó¢ [¢ Ctrl] et cliquez sur l’élément de gabarit ; dès qu’il est sélectionné, il devient modifiable. Cette opération est réalisable avec un bloc vide.
Dans cette palette, par clic droit, on lance lan cette commande.
Par Ó Ó¢clic [Ó Ctrl clic] on a libéré ce bloc (et l celui du d dessus avec lequel leque il était groupé).
Si vous effectuez cette opération, tous les blocs issus des gabarits deviendront sélectionnables et manipulables directement mais garderont un lien de mise à jour si le gabarit est modifié.
320
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS
ATTENTION Quand vous masquez des éléments de gabarit parmi lesquels figurent des objets avec des habillages de texte, ces derniers restent appliqués au texte présent bien que les objets ne soient plus visibles sur la page. Il est donc souvent préférable de supprimer ces objets. Tous les éléments de gabarit sont maintenant sélectionnables.
L’ANNULATION DES TRAITEMENTS LOCAUX Le retour des éléments de gabarit supprimés
LES MODIFICATIONS LOCALES D’ÉLÉMENTS DE GABARIT Un élément de gabarit libéré devient manipulable comme tout bloc traditionnel. À tout moment, il sera possible de le retrouver tel qu’il était dans le gabarit en utilisant l’une des techniques décrites ci-après.
Une fois supprimé ou modifié sur une page courante, un élément de gabarit pourra réapparaître tel qu’il était dans le gabarit si vous réappliquez le gabarit à la page. Non seulement InDesign replace (à l’arrière-plan des éléments libérés) tous les éléments de gabarit qui avaient disparu sur la page courante, mais également ceux qui ont le statut d’éléments libérés. De ce fait, il peut y avoir une superposition d’objets : l’élément libéré (c’est-à-dire l’élément de gabarit modifié localement) et l’élément de gabarit dans son état initial (à l’arrière-plan) ; il faudra souvent supprimer l’un d’eux.
L’annulation des remplacements locaux Après avoir modifié un élément de gabarit dans une page courante, il est possible de le restaurer tel qu’il était dans le gabarit sans avoir à le réappliquer. Pour cela, sélectionnez l’objet en question et lancez la commande Réinitialiser l’élément de gabarit libéré dans le menu de la palette Pages. ATTENTION S’il s’agit d’un bloc qui est vide dans le gabarit et dans lequel vous avez placé (importé ou collé…) un texte ou une image dans la page courante, il réapparaîtra vide.
Les objets e libér ets libérés rés peuvent être déplacés éplacés ép placés ou modif pl modifiés. fiéés. és
LES SUPPRESSIONS LOCALES D’ÉLÉMENTS DE GABARIT Un élément de gabarit sélectionné (donc libéré) s’efface comme tout autre objet. En revanche, si vous souhaitez que tous les éléments de gabarit non libérés n’apparaissent pas sur une page courante, lancez la commande Masquer les éléments types du menu de la palette Pages. Relancez cette commande (devenue Afficher les éléments types) pour réafficher les éléments de gabarit.
On a restauré cet et élément de gabarit. g Ici, la a restauratio restauration vide le bloc
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9 Si vous déroulez le menu de la palette Pages sans sélectionner d’objet, la commande devient Réinitialiser tous les éléments de gabarit, c’est-à-dire qu’elle s’appliquera à tous les objets libérés (aussi bien à ceux qui ont été supprimés qu’à ceux modifiés dans la page dont le numéro est sélectionné). Cela revient à réappliquer le gabarit sans conserver les modifications locales.
Si vous avez utilisé des styles (de paragraphe et/ou d’objet) certaines modifications sont réalisables directement en éditant le style ; cependant, la mise à jour sur les pages courantes ne sera visible qu’après avoir réactualisé l’affichage des pages. On veut modifier l’aspect de ce trait vertical qui q a ce style. y
ATTENTION Si vous avez placé un texte dans le bloc de texte type, il disparaîtra. Pour ne pas le perdre, il faudra d’abord le sélectionner et le couper, puis le replacer par collage ou avec un placement semi-automatique.
Les modifications dans le gabarit
O lance cette ccommande On pour modifier ce réglage. p g g
L A MODIFICATION DES ÉLÉMENTS DE GABARIT Pour ajouter, déplacer, modifier ou supprimer un élément de gabarit, vous devez d’abord réafficher le gabarit par l’intermédiaire de la palette Pages (ou du triangle situé en bas à gauche de la fenêtre du document), sélectionner l’élément voulu et le modifier. Quand vous repasserez sur les pages courantes, les modifications seront répercutées. Cependant, celles-ci n’apparaîtront pas toutes sur les éléments de gabarit qui ont été utilisés (libérés). En effet, InDesign répercute les changements de couleur, de contour, de taille et les déplacements sur les blocs libérés sauf s’ils en ont subi dans les pages courantes.
L’aspect initial ial du bloc b dans le gabarit.
On a monté le bloc bloc et ajouté une ombre. mbre.
Il y a mise à jour sur les pages. pages p g
ASTUCE Pour visualiser plus rapidement les mises à jour sur les pages courantes, ouvrez une seconde fenêtre (menu Fenêtre/Disposition/Nouvelle fenêtre). Dans l’une d’elles, affichez les pages courantes et dans l’autre, les gabarits.
L A MODIFICATION DES REPÈRES DE MARGE DU GABARIT
Dans les pages courantes, rantes, rantes s les lees blocs blocs sont son mis à jour.
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Les repères qui apparaissent en violet sur les pages courantes sont définis à partir des valeurs données dans la configuration du document. Il s’agit de repères de gabarit, ils sont parfois utiles pour tracer des blocs dans des colonnes ou pour diverses autres raisons. Si, après avoir affiché le gabarit, vous modifiez ses repères à l’aide de la commande Marges et colonnes du menu Page, ils le seront également sur les pages courantes. Par défaut, le bloc de texte type ne suit pas les modifications (ni sur les gabarits ni sur les pages courantes).
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Les réglages provoquent la modification des repères et du bloc de texte type, mais celui-ci nécessite parfois un ajustement en hauteur pour qu’il coïncide avec ces repères modifiés. Dans tous les cas, la mise à jour s’effectue sur les pages courantes — vous pouvez la contrôler en temps réel si vous avez affiché plusieurs fenêtres du document.
On souhaite modifier les marges et les repères.
Si vous souhaitez modifier le bloc de texte type sur toutes les pages (gabarits et courantes), suivez les étapes suivantes :
1. Lancez Modification de la mise en page du menu Page. Cochez Activer la modification de mise en page et réglez certaines options de modification. Si vous avez placé des repères, décochez l’option Autoriser le déplacement des repères de règle.
On coche oche cette op option pour que certains éléments des pages pag suivent modifications. nt les modific
2. Lancez la commande Marges et colonnes du menu Page et effectuez les réglages voulus de manière à réduire ou à agrandir le bloc. Si vous changez le nombre de colonnes et la gouttière, il faudra reporter les nouvelles valeurs dans les options du bloc de texte.
Après avoir modifié odifié les repères, on réajuste r réajust te les blocs de texte types contre ces repères. titres courants ères. Les blocs des titr res cou urants et le groupe photo légende se repositionnent automatiquement.
Dans les pages courantes, les modifications sont répercutées.
La création d’un nouveau gabarit Un document peut posséder plusieurs gabarits. Leur création s’effectue à partir de la palette Pages (ou à partir des pages courantes comme indiqué à la page 318). À l’instar des styles de paragraphe, le nouveau gabarit peut être basé sur un autre gabarit — c’est le cas quand il est réalisé à partir de pages courantes. Cette pratique a un avantage : les modifications du gabarit de base entraînent une mise à jour en cascade des gabarits qui l’utilisent. Cela est particulièrement utile pour créer des variations sur l’aspect de certains gabarits. Pour créer un gabarit, lancez la commande Nouveau gabarit du menu de la palette Pages ou enfoncez ¢ ∏ [Ctrl et Alt] et cliquez sur l’icône pour faire apparaître la fenêtre d’options du gabarit. Vous pouvez également créer un nouveau gabarit en cliquant sur avec ¢[Ctrl] — le gabarit est basé sur la page blanche ([Sans]) — puis appliquer par glissement le gabarit qui servira de base à ce nouveau gabarit : la lettre de la page de base s’inscrira. Saisissez le nom du gabarit dans la fenêtre d’options si celui qui est proposé ne vous convient pas, choisissez la page qui servira de base dans le menu local (D’après le gabarit) et le nombre de pages (1 pour recto seul, 2 pour recto verso).
On crée le nouveau gabarit à partir tir d’un d un gabarit existant.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9 Cliquez sur OK pour afficher le nouveau gabarit et voir son nom dans la palette Pages — son icône porte la lettre du gabarit de base. Vous pouvez maintenant ajouter les éléments voulus. Si certains doivent apparaître à l’arrière-plan de blocs déjà présents, placez-les sur un nouveau calque situé sous les autres. Les blocs déjà présents sur la page sont modifiables, mais ils se comportent comme des éléments de gabarit sur une page courante, c’est-à-dire que leur sélection s’obtient par Ó¢ clic [ÓCtrl clic]. Dans ce nouveau gabarit, le bloc de texte type peut également subir des transformations, mais certaines d’entre elles (changement de taille notamment) empêcheront la mise à jour des pages courantes si vous apportez de nouvelles modifications au bloc de texte type dans le gabarit de base.
Pour les modifier, fier, les éléments doivent fier d être libérés. ss. On voit ici ic le nouveau gabarit. arit.
Ci-dessus, on a modifié odifié le gabarit gab B sur lequel est basé le gabarit C. Ces modifications odifications sont répercutées sur les pages qui utilisent le gabarit C. i B ou lle gabarit b
La copie et la suppression d’un gabarit Évitez de faire une copie d’un gabarit. En effet, il est préférable d’en créer un nouveau, basé sur celui que vous souhaitiez copier. Au niveau de la suppression du gabarit, qui se réalise par glissement sur la corbeille, assurez-vous d’abord que le gabarit à supprimer n’est pas affecté à des pages courantes ou à d’autres gabarits.
On a appliqué le gabarit à cette double page. L’application doub peut se faire par glissement.
324
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS
Les variables de texte Le principe de la variable de texte Une variable de texte est un élément dont le contenu peut varier en fonction du contexte (elle prend la typographie du texte dans laquelle elle a été insérée). Par exemple, il peut s’agir de la date de sortie du document qui sera mise à jour à chaque impression. InDesign propose une série de variables de texte prédéfinies que vous pouvez personnaliser en ajoutant vos propres variables. Certaines trouveront davantage leur place dans un gabarit (par exemple, En-tête continu et Numéro de chapitre), alors que d’autres se placeront dans la zone de ligne-bloc pour l’impression (par exemple, Date de création et Nom de fichier).
Les types de variable de texte
– Date de modification : cette variable insère la date ou l’heure du dernier enregistrement du fichier.
– Date de sortie : cette variable insère la date ou l’heure à laquelle le document a été envoyé à l’impression, exporté au format PDF ou assemblé. A STUCE Ces deux dernières variables sont utiles pour vérifier que l’on utilise bien la dernière version du fichier.
Le format des dates Le format de la date peut être saisi directement dans la zone Format de date ou choisi à l’aide de différentes rubriques affichées en cliquant sur le triangle situé à droite de la zone. La zone Aperçu en bas de la fenêtre permet de contrôler l’aspect du texte qui sera inséré.
LES DIFFÉRENTS TYPES La liste de variables de texte disponibles s’affiche à partir du menu Texte/Variables de texte puis Insérer une variable. Cependant, si le document sur lequel vous travaillez provient d’une version antérieure d’InDesign, la liste n’existe pas. Il faudra définir les variables (Texte/Variables de texte puis Définir, nous en reparlerons plus loin) afin qu’elles apparaissent dans la liste.
E cli En cliquant ici, affiche cette oon af de formats. lliste d ** *
*
*
Chaque rubrique possède ses options. La liste des variables de texte ddisponibles isponibles bl par défaut. Cette liste peut être re vide si le document provient d’InDesign CS2. CS2
Dans un nouveau document, la liste comporte 7 variables de texte auxquelles on pourra ajouter celle du texte personnalisé. Elles ont un point commun qui est la possibilité de placer du texte avant ou après celui généré par la variable. Des caractères spéciaux peuvent être insérés dans une variable de texte à l’aide du triangle situé à droite de la zone de texte.
LES VARIABLES DE DATE
* ** *
*
Par exemple, le format de date dd/MM/yy (d pour jour, M pour mois et y pour année) s’affiche ainsi : 12/09/08. En saisissant le format dd MMM. yyyy, la date apparaîtra sous la forme 12 sep. 2008. Les variables de date utilisent la langue appliquée au texte : les noms de jour ou de mois peuvent ainsi apparaître en italien ou en anglais…
Les types de date
D ERNIER NUMÉRO DE PAGE
Il y a trois types de date : Date de création, Date de modification et Date de sortie.
Cette variable permet d’indiquer le nombre de pages total d’un document. Elle peut être ajoutée à la numérotation automatique présente dans un en-tête ou un pied de page. Elle s’utilisera, par exemple, pour obtenir « page 2/25 », dans lequel « 2 » est le numéro de page active, et « 25 » est obtenue par la variable Dernier numéro de page.
– Date de création : la variable insère la date ou l’heure à laquelle le document a été enregistré pour la première fois sur le disque.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9 Cette variable bénéficie du même style de numéro que la numérotation active mais il est possible d’en spécifier un autre que celui utilisé dans le document. Sa mise à jour est effectuée lorsque des pages sont ajoutées ou supprimées. Vous pouvez insérer du texte avant ou après le dernier numéro de page. Dans le menu Étendue, choisissez une option pour déterminer si c’est le dernier numéro de page de la section ou du document qui est utilisé.
NOM DE FICHIER Cette variable insère le nom du fichier actif dans le document. Il peut être pratique de placer cette variable dans la zone de ligne-bloc du document pour l’impression. On peut également l’utiliser dans les en-têtes et les pieds de page. Comme la plupart des variables, un texte peut être ajouté avant ou après la variable. En outre, deux options peuvent la compléter : l’une pour le chemin et l’autre pour l’extension.
Inclure le chemin entier du dossier Cette option ajoute devant le nom du fichier son chemin d’accès complet sur le disque.
E cliquant En li ici, i i on affiche une liste de styles.
ATTENTION Selon la position du fichier sur le disque, le chemin complet peut être très long et provoquer un excès de texte qui empêchera l’apparition de la variable.
Inclure l’extension de fichier Cette option ajoute au nom du fichier son extension.
Ici, ajouter du ci, on peut ajoute u texte et là, définir déf sii le numéro se limite lim au document ou o à la section.
Le nom du fichier peut être du êt tre précédé p chemin ch hem ou suivi dee l’extension. d l’eex
EN -TÊTE CONTINU (STYLE DE PARAGRAPHE OU DE CARACTÈRE) La variable En-tête continu insère sur la page la première ou la dernière occurrence du texte ayant le style de paragraphe ou de caractère désigné. Cette variable se place sur le gabarit et se remplira sur la page courante du texte voulu.
La variable Nom de fichier est mise à jour dès que vous enregistrez le fichier sous un nouveau nom ou à un nouvel emplacement. Le chemin d’accès et l’extension n’apparaissent pas dans le document jusqu’à ce qu’il soit enregistré.
NUMÉRO DE CHAPITRE
On peut p choisir entree en-tête et pied dde page.
Comme nous le verrons plus loin dans ce chapitre, un ensemble de fichiers peut être défini comme faisant partie d’un livre ; chacun d’eux constituant alors un chapitre. La gestion des chapitres s’effectue à partir de la palette Livre. C’est à partir de cette palette et de la commande Options de numérotation du document que chaque chapitre peut être numéroté de manière automatique. Ici, on a ajouté du texte d tex avant variable. la var
Ici, ci, on désigne le sty style de paragraphe graphe que Ici, on ppeut changer qui constituera l’aspect du texte. doit avoir le texte qu era la variable. l’asp
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La variable de texte Numéro de chapitre insère le numéro de chapitre spécifié dans la fenêtre Options de numérotation du document.
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Ce numéro peut être précédé ou suivi d’un texte à spécifier et un style de numérotation peut lui être affecté. Si le numéro de chapitre du document est défini pour continuer à partir du document précédent dans le livre, il faudra parfois mettre à jour la numérotation du livre pour que le numéro de chapitre soit correct.
Cette fenêtre affiche une liste de variables, vous pouvez soit double-cliquer sur l’un d’elles pour l’éditer et ainsi la personnaliser, soit cliquer sur le bouton Nouvelle dans le cas où votre liste serait vide (fichier issu d’une version précédente d’InDesign) ou si vous souhaitez créer une seconde variable d’un type déjà présent ou un texte personnalisé. Dans ce cas, une fenêtre s’affichera avec le premier type sélectionné mais le menu Type vous permettra d’en choisir un autre. On peut doublecliquer sur une des cliqu variables ou en créer varia nouvelle… une n
Le numéro du chapitre en cours est iindiqué ici. ici Avec Av la fonction fonct Livre, sa numérotation peut être automatique et continue. c
Le fichier que vous lisez comporte unee variable N Numéro de chapitre. Le premier texte « InDesign CS3 » est ég également une variable mais de type Texte personnalisé.
TEXTE PERSONNALISÉ Cette variable s’utilise pour placer un texte susceptible d’être localisé très facilement et remplacé par un autre de manière simple. Par exemple, si vous travaillez sur un livre dont le nom n’est pas encore définitif, vous pouvez créer une variable de texte personnalisé avec un nom provisoire (et l’insérer dans le gabarit de chaque chapitre). Une fois le nom déterminé, la modification de la variable s’accompagnera de la mise à jour de toutes les occurrences présentes dans les chapitres du livre (une fonction de la palette Livre permettra d’assurer cette synchronisation).
La gestion des variables de texte L A MISE EN PLACE DE LA VARIABLE Elle comporte deux étapes : la définition de la variable et son insertion dans le bloc de texte.
La définition de la variable de texte Afin de pouvoir être insérée, la variable doit être définie. Cette opération permet de choisir le type de la variable et de régler son contenu. L’opération s’effectue dans la fenêtre de la commande Définir (menu Texte/Variables de texte).
…il faut alors choisirr le type de la variable. e e.
Dans la fenêtre de définition de la variable, vous devez nommer cette dernière et spécifier certaines options. Le texte avant et après Vous pouvez placer du texte avant et après celui de la variable mais selon sa nature, n’oubliez d’insérer des espaces en fin ou en début du champ. Un menu local permet de choisir des espaces de taille particulière (cadratin, demi-cadratin) ainsi que des caractères spéciaux. Les cases peuvent également être remplies par copier-coller mais les caractères tels que tabulation, retour ou numéro de page active… seront exclus du collage. ATTENTION Pour ne pas risquer de créer un texte en excès dans le bloc où la variable est insérée, n’ajoutez pas trop de texte ni dans les champs Texte avant ou après, ni dans le champ d’une variable de type Texte personnalisé. En effet, le texte de variable ne peut pas se placer sur plusieurs lignes. Si le texte de la variable est long, prévoyez deux variables distinctes que vous insérerez sur deux lignes consécutives.
Le format des dates Comme cela a été signalé précédemment, des rubriques particulières définissent l’aspect des dates.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9 Au niveau des heures et des minutes, il n’est pas possible d’intercaler l’abréviation H dans le format pour obtenir, par exemple, 14 H 29. Il faudra créer deux variables, l’une pour la date avec l’heure et un H comme texte suivant, et la seconde juste pour les minutes (précédée d’une espace si elle n’a pas été placée dans la variable précédente).
1. Si le document n’a pas été configuré avec une ligne-bloc, lancez la commande Format de document du menu Fichier pour l’ajouter.
Pour obtenir cecii avec lee H, on a utilisé deux variables.
On a configuré le documentt avec cette ligne-bloc. lligne igne-
2. Sous le bas de la première page et entre la ligne de fond perdu et la ligne-bloc, créez un bloc de texte. Insérez dans ce bloc un tableau ayant autant de lignes que d’informations à faire apparaître. Dans notre exemple, il y aura cinq lignes (créateur, nom du fichier, dates de création, de modification et d’exportation en PDF).
Le format du numéro On retrouve ici les numérotations communes aux paginations et aux listes numérotées. Par défaut, la numérotation sélectionnée est celle de la fenêtre Options de numérotation et de section (affichée par le menu de la palette Pages).
1 2
L’insertion de la variable 3
Selon la nature de la variable et l’endroit où elle doit apparaître, affichez le gabarit ou la page courante voulu, dessinez un bloc de texte ou placez le point d’insertion dans un texte existant et lancez la commande Insérez une variable du menu contextuel (vous pouvez aussi la lancer par le menu Texte puis Variable de texte) pour choisir celle que vous avez préalablement définie.
On voit :
1 2 3
le bas de la page (noir), le fond perdu (rouge) et la ligne-bloc (bleu).
Le table tableau eau comporte cinq cin n emplacements placcements pour les variables bl de d texte.
3. Préparez les variables de texte, notamment avec les formats de date souhaités (attention de renommer chaque variable pour les différencier de celles par défaut). Une variable de texte personnalisé a été créée pour obtenir le nom du créateur du fichier.
4. Préparez et affectez des styles de cellule et de paragraphe aux différents éléments du tableau. Dans les différentes cellules du tableau, insérez les variables. Dans le gabarit, on a cliqué dans d le texte. On peut lancer cer ceci pour insérer la variablee du dernier numéro de page. de
Sur la page courante (numéro 4), on voit oit ceci.
LES MANIPULATIONS DE VARIABLES DE TEXTE
Quand les variables sont prêtes,, on peut les insérer dans le texte.
Le positionnement dans la zone de ligne-bloc Si vous avez défini un fond perdu et une ligne-bloc à la configuration du document, vous pouvez utiliser ces dernières pour y placer des variables de texte qui permettront un archivage efficace. Voici le principe.
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Attention, cette variablee peut devenir d très longue et masquer squer le texte.
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Lors de l’impression ou de l’exportation en PDF, pour que les informations précédentes soient visibles, il faudra cocher l’option Inclure la zone de ligne-bloc dans la rubrique Repères et fond perdu.
On a fait pivoter bloc contenant le blo tableau avec les le tab variables de texte. variab
Sans cette tte option à l’exportation PDF ou à l’impression, les informations ations des vvariables de texte ne seront pas visibles.
Le positionnement automatique avec un bloc ancré Il s’agit d’une astuce que m’a indiquée Yves Chatain. Elle consiste à utiliser un petit bloc de texte qui contient luimême un objet ancré dont le positionnement personnalisé l’amène à l’endroit voulu sur la page, c’est-à-dire dans la zone de ligne-bloc. Ce positionnement peut se faire en bas de la page (comme dans l’exemple précédent) ou à droite comme le préconise Yves Chatain. En effet, avec un tel placement du bloc (pivoté à 90°), on peut envisager d’augmenter l’encombrement du tableau, ce qui assurera de ne pas avoir de débordement de texte (avec le chemin du fichier, par exemple). Voici les éléments de la mise en place de ce bloc d’infos.
1. Comme précédemment, préparez (n’importe où sur la page) le bloc contenant le tableau et les variables de texte correctement insérées. ATTENTION N’oubliez pas de renommer toutes les variables, sinon, ce sont celles par défaut du document qui seront utilisées quand vous placerez le bloc dans un nouveau document.
On a créé un n style d’objet d’objet objet que l’on a ensuite appliqué. te appliq qué. q
3. Coupez le bloc pivoté (¢X [Ctrl X]). Créez un petit bloc de texte de quelques millimètres de côté et collez le bloc précédent pour l’ancrer : le bloc ancré n’est plus visible mais il va réapparaître en modifiant le style d’objet qui lui a été appliqué.
4. Par clic droit sur le nom du style, lancez Modifier "infos_ ligne-bloc" pour afficher la fenêtre d’options du style. Sélectionnez la rubrique Options d’objet ancré. Dans le menu Position, choisissez l’option Personnalisée puis réglez les autres options selon la copie d’écran ci-dessous. Elles doivent amener le bloc près du bord droit de la page. On a ancré les infos dans ce bloc. On les positionne contre positi p la page pag en éditant son st style tyle d’objet. d
Ci-co Ci-contre, C les vvariables de texte variab ssélectionnées ont sélect été personnalisées et nommées.
2. Pour un placement à droite de la page, pivotez le bloc de 90° par la palette Contrôle. Sélectionnez-le avec l’outil Flèche et créez un style d’objet par ∏ clic [Alt clic] sur l’icône de la palette Styles d’objet. Nommez le style (par exemple infos_ligne-bloc) et cochez l’option d’application à la sélection. Fermer la fenêtre de style, sa mise au point s’effectuera une fois le bloc ancré.
Grâcee à cette option et ces rég réglages, ges, on positionne ges posit le bloc ancré.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9 Le principe serait le même, si le bloc n’a pas été pivoté.
Icci, le style amène Ici, l’objet l’o obje ancré dans cee bloc blo contre la ligne lig gne de fond perdu du u bas ba a de la page.
Les transferts de variables de texte La fenêtre de définition des variables permet de charger des variables de texte réalisées dans un autre fichier. De la même manière, à l’aide des commandes de la palette Livre, il sera possible de synchroniser les variables (comme les styles et bien d’autres éléments) pour qu’elles figurent dans tous les chapitres du livre.
Les mises à jour et les recherches de variable
5. Pour réutiliser ce petit bloc dans lequel sont ancrées les informations d’archivage, créez une bibliothèque (voir plus loin dans ce chapitre) et glissez-le dans la palette de la bibliothèque. Pour afficher des informations dans un nouveau document, il suffira de glisser ce petit bloc de la bibliothèque sur un bord de la page.
Pour mettre à jour une variable (de texte personnalisé, par exemple), il suffit d’afficher sa fenêtre de définition pour éditer le texte qu’elle contient. Pour visualiser rapidement sa position dans le document, vous pouvez utiliser la fonction Rechercher/Remplacer et lancez une requête de type Texte ou GREP. Le menu local permet de choisir une variable. La recherche pourra être étendue aux gabarits s’il le faut.
On peut eut ut recherch rechercher une variable dont laa liste cette option. te s’affiche te s’affiche affic en choisissant c n n.
Pour afficher h r les inform he informations, on glisse l’élément ment de la bibliothèque sur la page. choisi. e. Elles s’affichent s’affich en bas ou à droitee selon l’élément l’é
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L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS
La numérotation des pages Le principe de la numérotation InDesign permet de paginer ou de numéroter automatiquement les pages d’un document et de changer de numérotation sur certaines parties.
Si votre document correspond, par exemple, au deuxième chapitre d’un livre ou si vous souhaitez employer une numérotation qui n’utilise pas les chiffres arabes pour certaines pages, vous allez devoir changer certaines options de la section ou en créer une seconde.
Les options de la section
LE PLACEMENT DE LA MARQUE DE NUMÉROTATION La marque de numérotation automatique se place sur le ou les gabarits, ou sur les pages courantes. Si elle se trouve sur le gabarit, tout le document sera paginé automatiquement. Pour placer cette marque, affichez le gabarit, créez un bloc de texte que vous positionnez à l’endroit où doit apparaître le numéro de la page, affichez le menu contextuel et sélectionnez la commande Insérer un caractère spécial puis Marques pour choisir Numéro de page active. La lettre correspondant au gabarit s’affiche dans le bloc de texte ; elle est remplacée par le numéro de la page dans les pages courantes.
Dans un bloc de texte du gabarit, on insère ce caractère carac : on obtient ce résultat. Dans la page courante te 2,, on voit v ceci.
Pour les régler, cliquez sur la première page de la palette Pages et déroulez son menu local pour y choisir la commande Options de numérotation et de section ou effectuez un double-clic sur le triangle noir situé au-dessus de l’icône Par double-clic ici, on affiche les options de numérotation. de la première page. Une fenêtre d’options s’affiche : la rubrique Début de section est grisée car la première page du document est obligatoirement un début de section. Vous pouvez lui attribuer un nom (préfixe de section de cinq lettres au maximum) qui s’affichera dans la case située en bas à gauche de la fenêtre du document. Dans la fenêtre d’options pour la section, vous devez choisir le type de chiffres (arabe, romain…) et le numéro que doit avoir la page qui débute la section (par défaut, c’est le numéro 1). Attention aux numéros : impair donne un recto et pair crée un verso.
La marque de numérotation peut être précédée ou suivie par un texte ou une variable de texte, par exemple, un titre courant ou des tirets ; vous pouvez en outre régler sa typographie comme pour n’importe quel texte. ASTUCE Selon la taille du bloc contenant la numérotation, utilisez l’alignement à l’opposé du dos ; ainsi, l’alignement sera correct que le bloc soit situé sur le recto ou sur le verso.
LE RÉGLAGE DE LA NUMÉROTATION : LA SECTION Une fois la marque de numérotation placée, affichez la page courante. Si le numéro de la page n’est pas celui que vous souhaitez, vous pouvez le régler dans la palette Pages. Par défaut, la numérotation de la première page du document démarre à 1 ; cette page constitue la première d’une série de pages qu’InDesign appelle section ; par défaut, un document ne comporte qu’une section.
On peut définir éfinir un nouve nouveau numéro et un style de numérotation.
Vous pouvez créer une pagination composite. Il s’agit d’un texte (appelé marque de section) utilisé en préfixe du numéro de page. Pour cela, dans le gabarit, vous devez placer la marque de section devant la marque de pagination (elle s’obtient également à partir du menu contextuel).
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9 Sur le gabarit, le mot Section apparaît ; sur les pages courantes, ce mot sera remplacé par le texte que vous avez saisi dans la case Marque de section de la fenêtre d’options de la section.
La création d’une autre section Si vous souhaitez créer une nouvelle section pour provoquer un changement dans le type de numérotation (pour un encart publicitaire, par exemple), il suffit de sélectionner la page voulue dans la palette Pages avant de lancer la commande Options de section. La rubrique Début de section est disponible et un triangle marque la page dans la palette.
L A PAGINATION SUR UNE PAGE COURANTE Si vous ne voulez pas numéroter automatiquement le document, placez les marques de pagination uniquement sur les pages courantes à numéroter ; dans ce cas, vous verrez directement le numéro de la page s’afficher à la place de la marque de numérotation.
La modification de la pagination L A TYPOGRAPHIE
ASTUCE Au lieu de créer de multiples sections, vous pouvez séparer vos documents en plusieurs fichiers de manière à ce que chacun d’eux ne comporte qu’une seule section. Ainsi, les fichiers seront moins volumineux et les numérotations plus simples à gérer.
La marque de pagination se « travaille » comme n’importe quel texte. Vous pouvez changer sa police, la graisser, l’aligner horizontalement (à gauche, à droite, au dos, à l’opposé du dos…) ou verticalement. Pour faciliter les réglages ultérieurs, n’hésitez pas à préparer un style de paragraphe (ou de caractère) que vous affecterez à la marque de numérotation. En opérant ainsi, il ne sera plus nécessaire d’afficher le gabarit pour modifier l’aspect du numéro de page.
Si un document dispose d’une seconde section et si vous déplacez la page correspondante devant la page 1, cette dernière perd son statut de début de section et son numéro 1. Pour éviter cela, vous devez redéfinir la page 1 avec l’option Début de numérotation des pages (et la valeur 1) dans la fenêtre Options de numérotation.
ASTUCE N’hésitez pas à créer un style de paragraphe pour la pagination ; ainsi, vous pourrez changer son aspect par simple modification de la composition de son style de paragraphe, sans avoir à afficher les gabarits ni faire de sélection. Dans le même esprit, vous pouvez placer la pagination dans un bloc géré par un style d’objet.
Ce genre de manipulation peut être utile si vous créez un document de quatre pages que vous souhaitez présenter sous la forme 4,1 et 2,3. Il faut définir une section avec la page 4 pour pouvoir la placer devant la page 1 ; cette dernière prend alors le numéro 5 et il faut définir une nouvelle section avec cette page 5 pour qu’elle retrouve son numéro 1.
L’affichage des numéros dans la palette Pages La palette Pages montre, sous chaque icône de page, le numéro qui s’inscrira dans la page courante (si une marque de pagination y est présente). Si vous souhaitez voir le numéro d’ordre de la page dans le document (indépendamment des réglages d’options de section), affichez les Préférences (menu Fichier) ; dans la rubrique Générale puis Numérotation des pages, choisissez Numérotation absolue dans le menu local Affichage. Ce choix est sans incidence sur le numéro qui s’affichera sur la page courante.
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L A SUPPRESSION DE LA NUMÉROTATION Pour enlever le numéro d’une ou de plusieurs pages, supprimez le bloc contenant la pagination dans les pages où il ne doit pas apparaître (sa sélection s’obtient par Ó¢ clic [¢Ctrl clic] car il s’agit d’un élément de gabarit). Dans le gabarit, pensez à créer un calque spécial pour y placer le bloc de texte contenant la marque de numérotation. Ainsi, sa sélection sur les pages courantes sera plus facile si vous cachez les autres calques.
L A SUPPRESSION D’UNE SECTION Elle s’effectue simplement avec la palette Pages : doublecliquez sur le triangle situé au-dessus de la page marquant le début de la section et décochez la case Début de section.
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS
Les notes Dans InDesign, on distingue trois types de notes : les notes éditoriales, les notes de renvoi entre pages et les (classiques) notes de bas de page.
Les notes éditoriales
Si c’est l’affichage Aperçu qui est actif, rien ne sera visible sur la page ; en revanche, avec l’affichage Normal, vous verrez deux triangles superposés de la couleur de l’utilisateur. Dans la fenêtre du mode éditeur, vous pouvez voir le texte de la note entre deux triangles noirs sur fond coloré.
LE PRINCIPE Ces notes n’ont aucune influence sur le contenu de la page. Il s’agit de marques visuelles (comme le sont les Post-it sur le papier) ; elles s’utilisent dans un travail personnel ou de groupe (une utilisation conjointe avec InCopy est envisageable, mais elle ne sera pas développée dans ce livre). En effet, ces notes permettent d’une part, d’indiquer un travail particulier à réaliser à l’emplacement de la note et d’autre part, un déplacement dans le document (de note en note) comme on pourrait le faire avec les signets. Ces notes peuvent être visualisées dans la fenêtre du mode éditeur.
L A MISE EN PLACE DES NOTES ÉDITORIALES
On a cliqué icii et saisi la no note dans cette ettte palette. palette l On voit ceci avec l’affichage éditeur. vec l’affichag g Normall eett ceci dans le mode m
Avant de placer une note, vous pouvez définir un nom et une couleur d’utilisateur. Si le fichier est traité par plusieurs personnes, chaque utilisateur peut être identifié par son nom et sa couleur. Cette opération s’effectue dans le menu Fichier par la commande Utilisateur. Chaque utilisateur (auteur des notes) est personnalisé par un nom et une couleur.
Pour ajouter une note éditoriale, cliquez dans le texte où vous souhaitez placer la note et lancez la commande Nouvelle note du menu Notes. Cette manipulation aura pour effet d’afficher la palette Notes, dans laquelle vous n’avez qu’à saisir le commentaire voulu.
On veut placer une note dans ce bloc pour indiquer un travail à faire.
Vous pouvez placer d’autres notes à différents endroits du texte, dans le même article ou dans d’autres blocs.
On a placé une ne note ici, on la a voitt dans cette palette. alettee.
LES MANIPULATIONS DE NOTES ÉDITORIALES Ces manipulations sont peu nombreuses. On peut les séparer en deux catégories : les manipulations d’édition et les manipulations de visualisation de la note.
333
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9
L’édition des notes Quand un texte est sélectionné dans un article, il peut être converti en note (il ne sera alors visible que dans la palette Notes). Réciproquement, quand une note est affichée dans la palette Notes, elle peut être convertie en texte (celui-ci s’insérera à la place du marqueur de note et prendra la typographie du texte). Ces deux opérations se réalisent indifféremment dans le menu Notes ou dans la palette Notes.
La visualisation Pour retrouver une note afin de retravailler l’élément notifié, utilisez les triangles situés en bas de la palette Notes. À chaque fois qu’InDesign passe d’une note à la suivante (ou à la précédente), le point d’insertion clignote dans la palette pour que le curseur passe Notes, cliquez dans l’icône dans l’article où se situe le marqueur de note ( ).
PPour placer l le l point i d’insertion d’ d’i i ici, iic on a ccliquéé sur ce bouton (on passe de note note avec les een no l triangles). l )
ASTUCE Les textes utilisés dans les notes de renvoi peuvent être réalisés à l’aide de variables de texte personnalisé. Leur modification n’en sera que plus facile.
3. Dans le haut de la page sur laquelle se situe la suite de l’article, dessinez un bloc de texte et réglez sa taille et son habillage pour qu’il chasse une ligne du haut du bloc. Saisissez dans ce bloc un texte du type « suite de la page », faites-le suivre du caractère spécial Numéro de page précédent (ce caractère correspond au numéro de la page où se situe le début de l’article).
Ce texte commence nce en page 1 et se poursuit en page 5.
Les notes de renvoi entre pages Quand un article est chaîné sur plusieurs blocs, si sa lecture ne s’effectue pas de manière relativement logique (sur la page suivante, par exemple), il faut indiquer au lecteur (par des notes de renvoi) sur quelle page se situe la suite ; de même, sur la page contenant la suite de l’article, il faut indiquer sur quelle page se trouve le début de ce dernier. Pour créer des notes de renvoi, effectuez les opérations suivantes :
En bas de la page 1, on placee ce bloc avec un caractère spécial de numéro éro de page. pa En haut de la page 5, on place celui-ci.
Avec un habillage billage d dee ce type, on chasse le texte de l’article. l
1. En bas de la page sur laquelle se trouve le début de l’article, dessinez un bloc de texte et réglez sa taille et son habillage pour qu’il chasse une ligne de la fin du bloc de la palette Habillage de texte). (icône
2. Saisissez dans ce bloc un texte du type « suite page » et faites-le suivre du caractère spécial Numéro de page suivant (obtenu par clic droit : Insérer un caractère spécial puis Marques). Ce caractère correspond au numéro de la page où se situe la suite de l’article mais il n’apparaît correctement que si le bloc est en place dans l’article.
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ASTUCE Si vous gérez les notes de renvoi selon la méthode indiquée ci-dessus, le bloc contenant le renvoi doit obligatoirement toucher celui de la chaîne.
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Au lieu d’utiliser un bloc classique, vous pouvez utiliser la technique de l’objet ancré dans un bloc placé sur le bord de la page (à la manière de ce qui a été fait avec les blocs d’infos et les variables de texte, voir page 329). Ce bloc ancré se positionne correctement quand son bloc d’ancrage touche la page de l’article (voir ci-dessous) ; pour cela on lui affecte un style d’objet comportant une option de positionnement personnalisée d’objet ancré. De même, sa mise en forme est assurée par un style de paragraphe prévu à cet effet.
L’obtention de la note Pour placer la note, positionnez le point d’insertion dans le texte à l’endroit où devra apparaître le numéro de la note et lancez Insérer une note de bas de page du menu Texte ou contextuel : InDesign ajoute, en bas de la page, un numéro et vous permet d’effectuer la saisie du texte de la note.
On a créé un bloc dans lequel on a ancré un bloc leque renvoi avec un style dee ren d d’objet qui le positionne d’obje L’objet LL’o bje ancré se place sur l’article dès que le bloc l’artic touche la page. touch
On cl clique danss le texte text et on lance cette commande mmande : on obtient ceci. On peut saisir le texte obtien obtie de la note,, puis p en créer d’autre.
De D la même façon sur la page pa suite (mais avec un au autre u style d’objet), le bloc de d renvoi se place sur l’article ll’artic artic dès que son bloc d’ancrage touche la page. d’anc Dans les deux cas, on a modifié les marges intérieures de pied ou in de tête du bloc de l’article rticle principal. principal
La gestion de l’habillage pose problème car elle ne peut pas être effectuée par le style d’objet (puisqu’il s’agit d’un bloc ancré). Pour pallier ce problème, il faudra modifier les marges intérieures (de tête ou de pied selon le renvoi) pour dégager une ligne en haut ou en bas du bloc de l’article.
Les notes de bas de page L A CRÉATION D’UNE NOTE DE BAS DE PAGE
Les notes de bas de page sont numérotées automatiquement au fur et à mesure de leur ajout au document. Leur numérotation repart à 1 pour chaque article mais, comme nous le verrons plus loin, il est possible de spécifier un autre numéro ; de même, vous pouvez définir son aspect, selon le texte de la note et sa mise en page dans le bas de la page. Pour retourner dans le texte principal, une fois la saisie de la note terminée, utilisez la commande Atteindre la référence de note de bas de page du menu Texte ou contextuel. Inversement, retournez dans le texte de la note à partir de sa référence par la commande Atteindre le texte de la note. Cependant, cette dernière n’est accessible que par le menu contextuel et lorsque le numéro de la note est sélectionné.
Le principe des notes de bas de page La note de bas de page permet d’ajouter un complément d’information sur un mot ou une partie de texte. Elle est constituée de deux parties liées : le marqueur ou référence de la note (c’est le numéro positionné dans le texte) et le texte de la note (situé en bas de la colonne, de la page ou encore à la fin de l’article). Vous pouvez créer des notes de bas de page dans InDesign ou utiliser celles élaborées dans Word ou les documents RTF et importées avec le texte placé dans InDesign. Selon l’importation, InDesign les gère comme s’il les avait créées.
ASTUCE Il n’est pas possible d’ajouter de notes de bas de page à un texte placé dans un tableau. En outre, si vous insérez une note à un texte situé dans un objet ancré, le texte de la note se placera dans le bas du bloc ancré.
Si par mégarde vous supprimez le numéro au début du texte de la note, vous pouvez le rétablir en insérant le caractère spécial Numéro de note de bas de page par le menu contextuel déroulé au début du texte de la note de bas de page. En revanche, si vous effacez le numéro de référence de la note dans le texte principal, le texte de la note sera supprimé.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9
LES RÉGLAGES DES NOTES DE BAS DE PAGE
Le début de la numérotation
Les réglages des notes de bas de page s’effectuent indifféremment avant ou après les avoir insérées à partir de la fenêtre Options de notes de bas de page du document (du menu Texte). Cette fenêtre comporte deux rubriques : l’une pour la mise en forme et l’autre pour la mise en page.
Par défaut, le numéro débute à 1 et s’incrémente avec les notes suivantes jusqu’à la fin de l’article. Il reprend à 1 avec l’article suivant sauf si vous spécifiez dans la case Début le numéro à utiliser pour la première note de bas de page de l’article. Ainsi, dans le cas d’un livre, vous pouvez faire en sorte que les numéros des notes de bas de page se suivent d’un chapitre à l’autre. Une option et un menu local permettent de déterminer l’endroit où la numérotation des notes doit repartir du début.
On fixe l’endroit oit où la numérotation otation re recommence à la valeur Début. ASTUCE Avec certains types de numérotation, comme l’astérisque (*), il est conseillé de reprendre la numérotation au début à chaque page.
L’ajout de préfixe ou de suffixe au numéro La fenêtre comporte deux zones distinctes de réglages. ASTUCE Si vous effectuez ces réglages sans document affiché à l’écran, vous définissez l’aspect et la position des notes par défaut pour les futurs documents. Il restera possible de faire des modifications sur tel ou tel document.
Des préfixes ou des suffixes — tels que parenthèses (1), crochets [1] ou autres — peuvent être ajoutés dans la numérotation, soit au niveau de la référence, soit au niveau du texte de la note, soit aux deux.
La mise en forme des notes de bas de page
Avec cette option, n, référence ce et texte de note auront le même aspect.
Dans la rubrique de mise en forme des notes, il faut distinguer la partie Numérotation qui concerne le style du numéro et la partie Mise en forme qui concerne les attributs typographiques du numéro et du texte de la note (qui font appel à des styles de paragraphe et de caractère qu’il faut préalablement préparer).
Vous pouvez saisir les caractères voulus ou les sélectionner dans les menus locaux Préfixe et Suffixe. Pour écarter le numéro de référence de la note du texte qui le précède, vous pouvez ajouter une espace comme préfixe. Un menu local permet de choisir le type de l’espace. Il faudra l’utiliser deux fois si l’espace doit figurer avant la parenthèse ou le crochet.
L’aspect de la numérotation des notes Style de la numérotation Un menu local Style permet de définir le style de numérotation à appliquer aux numéros de référence des notes de bas de page.
Ici,i, on a placé une esp espace fine avant la parenthèse.
Les styles de numérotation.
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L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS
La typographie des notes de bas de page
L A MISE EN PAGE DES NOTES DE BAS DE PAGE
Les attributs de caractère
La fenêtre Options des notes de bas de page propose un second onglet, Mise en page, pour gérer la mise en page des notes. On y distingue quatre rubriques :
Par défaut, la référence de la note est placée en tant que caractère supérieur et exposant (réduit et décalé). Si vous en avez préparé un, il est possible d’appliquer un style de caractère au numéro. Dans ce cas, choisissez l’option Normale et spécifiez le style de caractère dans le menu local qui affiche les styles disponibles dans la palette Styles de caractère. Ce style peut avoir une position normale avec une ligne de base surélevée (décalage vertical) ou encore une police Open Type ayant des exposants.
– Options d’espacement, – Première ligne de base, – Options de positionnement, – Filet au-dessus.
Les attributs de paragraphe Le texte des notes de bas de page peut être mis en forme à l’aide d’un style de paragraphe que vous aurez préparé et qui sera disponible à la place du style [Paragraphe standard] utilisé par défaut. La zone de gestion de la mise en forme de la p palette Options de bas de page. note de b
On a choisi des style styles (de caractère et de actère pour la référence ré réf paragraphe pour la note). obtient ceci. On ob
L’onglet Mise en page des notes propose quatre rubriques.
Les options d’espacement
L’espacement entre le numéro et le texte de la note L’option Séparateur définit l’espacement entre le numéro de la note et le début du texte de cette dernière. Par défaut, c’est une tabulation dont l’espacement pourra être défini par un style de paragraphe. Pour la remplacer par un autre séparateur, commencez par effacer le contenu de la case Séparateur, puis choisissez le nouveau séparateur dans le menu local ou saisissez-le (il peut comporter plusieurs caractères). Vous pouvez utiliser les métacaractères de la fonction Rechercher/Remplacer.
Deux options permettent de définir l’espacement, d’une part, entre le bas du texte principal et le haut du texte des notes (ou filet), et d’autre part, entre chaque note. Selon les valeurs saisies et le nombre de lignes de la note (l’autorisation ou non de son fractionnement), une partie du texte principal peut être rejeté dans le bloc suivant.
Espace minimum entre le bas dee l’article a t c e et la première note.
Espace p entre deux notes.
ASTUCE Pour éviter d’avoir à définir un style de paragraphe avec un retrait gauche et un alinéa négatif, vous pouvez utiliser comme séparateur une espace demi-cadratin (^>) suivi d’un caractère spécial Retrait jusqu’à ce point obtenu en tapant ^i (voir copie d’écran ci-dessus).
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INFO. Les valeurs d’Espace avant/après spécifiées dans un paragraphe de note ne s’appliquent que si celle-ci comprend plusieurs paragraphes.
On obtient le résultat ci-contre, on a utilisé ci-con réglages ces ré g g de filet.
Le décalage de la première ligne de base Il s’agit ici de la distance entre le filet et la première ligne de base du texte de la note ainsi que la distance entre la ligne de base de la dernière ligne de la première note et celle de la première ligne de la note suivante. Par défaut, elle correspond à l’interligne du texte de la note mais peut être modifiée selon des valeurs prédéfinies ou à saisir. ASTUCE En réglant la position du filet (Décalage, voir ciaprès), il sera possible d’écarter le texte de la première note du filet sans que cela se répercute sur les notes suivantes.
Les options de positionnement L’option Placer les notes de bas de page de fin d’article en bas du texte concerne la dernière colonne (ou page) contenant la fin de l’article. Si elle comprend une note, celle-ci se place juste sous le texte si cette option est active. Dans le cas contraire, elle se place en bas de la colonne ou de la page.
LES NOTES DE BAS DE PAGE ET L’HABILLAGE Les notes de bas de page sont insensibles au réglage d’habillage des blocs. Il faut donc impérativement placer les images habillées au-dessus des notes de bas de page.
L A SUPPRESSION D’UNE NOTE Pour supprimer une note de bas de page, sélectionnez le numéro de référence à la note dans le texte et effacez-le. Si vous ne supprimez que le texte de note, le numéro de référence et la structure de la note seront conservés.
L’IMPORTATION DE FICHIERS WORD ET RTF COMPORTANT DES NOTES DE BAS DE PAGE
Sur la dernière page (ou colonne), la note se place par p défaut comme ceci, vous pouvez changer ce réglage age pour obtenir cela.
Dans Word, il est possible d’insérer des notes de bas de page ou des notes de fin de page : ces dernières sont regroupées en fin d’article et non pas en bas de chaque page. Lors de l’importation d’un tel fichier, InDesign peut gérer ces notes mais son comportement varie selon le type de notes.
L’option Autoriser le fractionnement des notes de bas de page doit être cochée si vous souhaitez que le texte de la note continue sur une autre colonne quand elle dépasse l’espace maximal disponible pour les notes de cette colonne. Si la note ne peut pas être divisée, la ligne du texte principal contenant le numéro de la note est renvoyée à la colonne suivante. Le réglage du filet au-dessus Les options que vous sélectionnez s’appliquent à la première note de la colonne ou aux suites des notes, selon la sélection dans le menu local. Les réglages sont les mêmes que pour un filet de paragraphe.
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Lors de l’importation, les notes de bas de page age sont incluses. incluses ATTENTION InDesign n’est pas capable d’importer un fichier Word (.doc) comportant des notes de fin de page. Il faudra décocher les deux options de notes pour placer le texte (il perdra ses références de note).
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS
L’importation de fichier avec notes de bas de page
L’importation de fichiers avec notes de fin de page
Avec un fichier Word (.doc) ou un fichier de texte de type RTF, les références sont conservées, mais elles sont renumérotées en fonction des paramètres définis pour les notes de bas de page du document. Les liens entre les références et le texte de la note sont conservés.
InDesign importe les notes de fin de page comme partie intégrante du texte à la fin de l’article. Les liens entre les références et les notes sont rompus. Pour l’importation de fichiers Word, il faut ouvrir le fichier dans Word et l’enregistrer au format RTF avant de l’importer dans InDesign. INFO. Dans les deux cas, la mise en forme des notes est à reprendre au niveau des options des notes de bas de page d’InDesign, et des styles de paragraphe.
Texte Word avec notes de bas de page.
Les notes Les no de bas de page sont importées correctement, elles im mpo o prennent la mise en forme définie p prenn le document InDesign. d dans
Texte RTF avec notes de fin de page.
Les ré Les références des notes sont perdues reste juste le numéro). (i(ilil res LLes es notes n no de fin de page sont importées comme un texte courant. im mpoo
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Les transferts entre documents Lorsque plusieurs documents sont ouverts en même temps, vous pouvez transférer des éléments (blocs, traits, groupe…) ou des pages d’un document à un autre.
Le transfert d’objets L’AFFICHAGE DES DOCUMENTS Pour réaliser plus facilement les transferts entre documents, InDesign propose un affichage en mosaïque des documents ouverts. Il s’effectue via le menu Fenêtre et sa commande Mosaïque. Avec cet affichage, InDesign montre autant de fenêtres qu’il y a de documents ouverts ; les fenêtres sont placées les unes au-dessous des autres (ou côte à côte selon leur nombre).
LE TRANSFERT PAR GLISSEMENT Il existe bien sûr le traditionnel copier-coller mais la méthode du glissement est beaucoup plus facile à utiliser. Pour l’appliquer, sélectionnez les objets à transférer avec l’outil Flèche noire, glissez l’ensemble sur le document de destination. Dès que vous lâchez la souris, les objets sont transférés ; ils apparaissent avec les dimensions correspondant à l’affichage du document. Replacez-les correctement sur la page. A STUCE Si vous glissez un bloc de texte contenant un texte chaîné sur plusieurs blocs, vous ne transférerez que la partie du texte visible dans le bloc qui a été glissé (la chaîne est rompue). Pour transférer la totalité du texte, opérez par copier-coller de l’ensemble du texte.
Si un bloc de texte transféré possède un style d’objet ou s’il comprend un texte avec des styles, ces derniers apparaîtront dans les palettes Styles d’objet, Styles de caractères et Styles de paragraphes du document destination.
Le transfert de pages En théorie, ce type de transfert est possible, en pratique, il réserve quelques surprises. En effet, tous les éléments de gabarit ne sont pas transférés ; de plus, le gabarit et les sections disparaissent. Pour effectuer le transfert, sélectionnez la ou les pages dans la palette Pages et glissez la sélection sur le document de destination : les pages apparaîtront en fin du document.
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Vous pouvez envisager de transférer les gabarits d’un document vers un autre ; quelques remaniements de repères seront alors nécessaires à l’issue du transfert. ATTENTION Dans le transfert des pages, les deux documents doivent avoir le même format (A4, A3…) et la même orientation ; s’ils n’ont pas tous les deux la même configuration (recto verso ou recto seulement), il peut y avoir une désorganisation de pages transférées.
Les transferts XPress vers InDesign InDesign convertit des fichiers XPress (version 3.3 ou 4). Les fichiers ouverts sont des copies, les originaux restent intacts. INFO. Pour les fichiers au format XPress 5, 6 et +, il existe un plug-in d’InDesign qui permet ce type de conversion, il s’agit de Q2ID (de Markzware).
L’OUVERTURE DE FICHIERS XPRESS Lorsque vous ouvrez un fichier XPress, InDesign convertit les données de ce fichier en données natives InDesign. Nous allons passer en revue quelques éléments de conversion.
Le format du document et des blocs Une des premières opérations à vérifier lors de l’ouverture du document dans InDesign est le contrôle des dimensions de la page en affichant la fenêtre Format du document (menu Fichier). En effet, InDesign modifie légèrement les valeurs d’XPress s’il doit arrondir certaines dimensions. Cela peut entraîner la chasse des textes s’ils se situent dans des blocs de taille un peu juste. On peut retrouver ce même problème sous la forme de disparition d’un texte dans des blocs légèrement redimensionnés par InDesign. Les positionnements verticaux de texte dans le bloc (en tête, en pied, centré et justifié) sont conservés.
La conversion des textes Les textes sont convertis en blocs de texte InDesign. Le texte est recomposé en utilisant le compositeur de paragraphe Adobe. Si vous préférez la composition d’XPress, optez pour le compositeur ligne simple (rubrique Justification du menu de la palette Paragraphe).
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Dans l’ensemble, la plupart des attributs typographiques sont correctement convertis par InDesign — certains caractères spéciaux disparaissent cependant. Les lettrines XPress sont conservées mais les alinéas tabulés sont à reprendre. Les styles d’XPress sont convertis en styles InDesign et ajoutés aux palettes Styles de paragraphe et Styles de caractère. ATTENTION La langue de césure (français dans XPress) peut changer dans InDesign (langue anglaise) et ainsi entraîner une modification dans les coupures de mots et dans l’aspect de la composition des textes.
La conversion des images
En revanche, les profils affectés dans XPress ou non compatibles ICC sont ignorés et remplacés, soit par celui qui est imbriqué dans le logiciel d’édition de photo, soit par celui qui est défini par défaut dans le système de gestion des couleurs d’InDesign. Les couleurs sont converties en couleurs InDesign exactes, sauf dans les cas suivants : les couleurs TSL de XPress 3 sont converties en RVB, celles des nuanciers sont converties selon leurs valeurs CMJN ; les couleurs TSL et Lab de XPress 4 sont converties en RVB. Les teintes appliquées aux couleurs sont récupérées dans InDesign, les dégradés également mais ils ne figurent pas dans le nuancier.
Les maquettes
Les liens externes Les liens avec les fichiers image externes sont conservés et apparaissent dans la palette Liens. Les images intégrées, c’est-à-dire placées par collage, peuvent apparaître dégradées si elles ont été redimensionnées dans XPress. Les détourages Les détourages réalisés dans XPress à partir de la commande Détourage et d’une couche alpha peuvent subir de légères modifications s’ils possèdent une valeur de réserve extérieure (négative notamment). Il faudra ajuster la valeur d’encart dans la fenêtre de la commande Masque (sa valeur devenant nulle dans InDesign). Les habillages Les habillages d’images détourées (et des blocs) ne sont pas rigoureusement respectés, sauf pour les images EPS accompagnées d’un tracé de détourage. S’il y a des superpositions de blocs, certains habillages seront incorrects.
La conversion des couleurs Les profils imbriqués dans les images restent disponibles dans InDesign comme si les images avaient été importées directement dans un nouveau document InDesign.
Les maquettes d’XPress sont converties en gabarits InDesign. La numérotation disparaît si la marque de pagination a été placée dans un bloc ancré. Les repères XPress sont placés sur le gabarit InDesign.
Les objets et leurs attributs Les tracés vectoriels (XPress 4) sont convertis et restent éditables dans InDesign. Les objets associés le restent aussi, sauf si des éléments non imprimables sont inclus dans un groupe. Les blocs ancrés apparaissent tous en saillie. Tous les contours et les traits sont convertis en style plein ou en pointillés. INFO. Si InDesign ne peut pas convertir un fichier ou un aspect spécifique d’un fichier, il affiche un message d’avertissement décrivant les raisons de l’échec et les résultats de la conversion.
En dehors des habillages, des détourages et de quelques détails de justification et de césure, les conversions sont correctes. En ce qui concerne la typographie et pour faciliter les retouches, dans XPress, n’hésitez pas à utiliser au maximum les styles de paragraphe. Certains éléments qui ne sont pas gérés par InDesign disparaissent.
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La bibliothèque Le principe de la bibliothèque C’est une palette dans laquelle vous pourrez placer des éléments créés ou importés dans InDesign et que vous comptez utiliser fréquemment dans différents documents. Voici quelques exemples d’éléments que l’on peut placer dans la bibliothèque mais la liste est très longue : – blocs sans contenu, blocs de texte ou d’image vides ayant une forme particulière ;
– blocs de texte contenant des éléments divers, tels des objets ancrés qui se positionnent automatiquement grâce à un style d’objet ;
– tableau avec des réglages particuliers (plus exactement, bloc contenant un tableau) ;
– blocs d’image avec ou sans illustration, avec ou sans réglage d’habillage ;
– groupes de blocs divers (tout le contenu d’une page, par exemple). Si les blocs contiennent des images, InDesign enregistre dans la bibliothèque le lien vers le fichier de l’image. La bibliothèque reste affichée quand vous fermez le document : elle permet donc des transferts entre documents. Une partie de la bibliothèque utilisée pour écrire ce livre.
L’OUVERTURE D’UNE BIBLIOTHÈQUE Si vous avez déjà créé une bibliothèque, elle sera accessible par le menu Fichier et la commande Ouvrir. Elle s’affichera sous la forme d’une palette.
Le remplissage de la bibliothèque Il peut s’effectuer de plusieurs façons : par glissement ou à partir des commandes de la palette Bibliothèque.
L’INSERTION PAR GLISSEMENT Sur la page du document, sélectionnez le ou les éléments à insérer en tant qu’objet unique. Faites glisser la sélection sur la bibliothèque, la flèche se transforme en main avec un signe + ; relâchez le bouton de la souris, l’objet s’affiche dans la bibliothèque. Si le nom qu’il porte ne vous convient pas, double-cliquez dessus pour le changer dans la fenêtre d’informations. Vous pouvez aussi afficher cette fenêtre en située en bas de la palette. cliquant sur l’icône
On sélectionne l’objet sur la page pourr le glisser g dans da la bibliothèque. hèque. Il y apparaît appar araît ra en miniaturee quand on le l relâche.
La création d’une bibliothèque L A CRÉATION D’UNE NOUVELLE BIBLIOTHÈQUE Dans le menu Fichier, déroulez le sous-menu Nouveau pour y choisir Bibliothèque. Une fenêtre permet de nommer et d’enregistrer sur le disque le fichier (d’extension .indl) qui contiendra la bibliothèque afin de pouvoir la créer.
Une nouvelle bibliothèque vide.
Dans la bibliothèque, un objet apparaît en taille réduite. Son nom est en gras quand il est sélectionné. Il sera restitué tel qu’il était lors d’une insertion dans un document. Pour voir davantage d’objets déjà insérés, redimensionnez la bibliothèque. ASTUCE Si vous avez ouvert deux bibliothèques, vous pouvez faire glisser un objet de l’une vers l’autre. Il faudra d’abord les séparer car à l’ouverture les bibliothèques se regroupent.
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L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS
L’INSERTION PAR LES COMMANDES Sélectionnez l’objet avec l’outil Flèche noire, dans la palette de la bibliothèque, cliquez sur l’icône . Si vous cliquez en enfonçant ∏ [Alt], vous pourrez renommer l’objet ; vous pouvez aussi utiliser la commande Ajouter un élément du menu de la palette.
On sélectionne l’élément ment ett on n clique ici. L’élément apparaît dans la LLélém bibliothèque et on peut le b biblio rrenommer. renom
L’utilisation de la bibliothèque L’IMPORTATION DEPUIS LA BIBLIOTHÈQUE Pour placer dans un document un objet d’une bibliothèque, opérez par glissement direct de cet objet vers la page ou par la commande Importer un/des élément(s) du menu de la palette. Dans les deux cas, l’objet devra préalablement être sélectionné dans la bibliothèque par un clic sur son nom ou sa vignette. Si l’objet importé de la bibliothèque est une image, la palette Liens se remplira pour indiquer le nom du fichier lié à cette image. Si l’option Coller selon les calques a été activée dans le menu de la palette Calques, lors de l’importation d’un objet depuis la bibliothèque, il y aura, le cas échéant, création d’un calque identique à celui sur lequel se trouvait l’objet lors de son insertion dans la bibliothèque.
L A RECHERCHE D’OBJETS Les informations sur l’objet
ASTUCE L’insertion d’objets dans la bibliothèque ne peut pas s’annuler. Si vous avez placé un objet par erreur, glissez-le dans la corbeille de la palette Bibliothèque.
InDesign permet de placer tous les éléments d’une page (double ou simple) sans avoir à les sélectionner. Pour cela, il suffit de lancer la commande Ajouter les éléments sur la page dans le menu local de la palette Bibliothèque — avec Ajouter les éléments sur la page en tant qu’objet indépendant, ils apparaissent séparés. Les éléments de gabarit ne sont pas transférés (sauf si vous effectuez cette opération depuis un gabarit) ; en revanche les éléments en dehors de la page sont ajoutés.
Dès que vous insérez un objet dans la bibliothèque, nommez-le et affectez-lui un petit texte descriptif dans la fenêtre d’informations affichée par un double-clic sur l’objet. Cela vous permettra d’utiliser des fonctions de recherche avec des critères fondés sur le nom, sur le texte contenu dans le descriptif ou sur le type de l’objet.
La fonction de recherche Par défaut, InDesign affiche tous les objets de la bibliothèque. Pour rechercher un objet particulier, cliquez sur l’icône ou lancez Afficher le sous-ensemble dans le menu de la palette. Une fenêtre de recherche s’affiche. Saisissez le nom de l’objet à rechercher si vous le connaissez ou définissez un critère de recherche à partir d’un mot inclus dans le nom de l’élément ou dans sa description (ou les deux si vous cliquez sur Plus de choix). Pour voir de nouveau tous les objets, choisissez Tout afficher dans le menu local de la palette. INFO. Les boutons Arrière et Avant de la fenêtre de recherche permettent de relancer une recherche déjà effectuée.
L A MISE À JOUR D’UN ÉLÉMENT Si vous modifiez sur la page un objet qui vient d’être placé dans la bibliothèque, il peut être mis à jour dans cette dernière par la commande Mettre à jour l’élément de la bibliothèque de son menu.
L’ENREGISTREMENT DE LA BIBLIOTHÈQUE La bibliothèque est enregistrée automatiquement au moment où vous quittez le programme ou si vous la fermez en cours de travail à l’aide de la commande de son menu.
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La gestion des fichiers Les documents modèles
La fusion de données avec un fichier externe
L A CRÉATION D’UN MODÈLE Lorsque vous travaillez sur plusieurs publications de présentation identique, vous pouvez créer un document modèle qui vous évitera de recommencer toutes les opérations. À l’ouverture du modèle, InDesign crée une copie de ce dernier — il faudra lui donner un nom à la première sauvegarde. Ainsi, le modèle original restera intact et utilisable pour une autre fois. Préparez votre modèle comme s’il s’agissait d’un document normal avec :
– le nombre de pages voulu ; – le ou les gabarits désirés ; – les feuilles de style, etc. ;
LE PRINCIPE Quand vous souhaitez créer des lettres types, des listes ou des étiquettes d’adresses, vous pouvez utiliser la fusion entre un fichier de source de données et un document cible InDesign.
Le fichier de source de données C’est un fichier texte qui peut provenir d’une feuille de calcul Excel. Il contient des champs (ou informations telles que numéro, nom, adresse…) et chaque donnée d’un champ est séparée par une virgule (fichier .csv) ou par une tabulation (fichier .txt).
– enfin, tout ce qui devra se retrouver sur la plupart de vos documents (blocs de texte ou d’image, filets, etc.). Au moment de la sauvegarde, pour que ce document soit enregistré en tant que modèle, dans la fenêtre d’enregistrement, déroulez le menu local Format pour choisir Modèle InDesign CS3.
L’OUVERTURE D’UN FICHIER À PARTIR D’UN MODÈLE Un modèle porte l’extension .indt (t pour template). Quand vous l’ouvrez, InDesign en crée une copie pour garder intact le modèle. Si vous n’avez pas enregistré le document comme modèle, lors de son ouverture, vous pouvez quand même l’utiliser en tant que tel en choisissant l’option Ouvrir copie. InDesign propose une série de modèles auxquels vous pouvez accéder par l’écran de bienvenue (menu Aide).
On cliquant ici, ci, Bridge affiche une séri ci série de dossiers contenant différents modèles dèles de fichier InDesign.
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Le fichier source avec les données, don il sera enregistré au format txt.
Le document cible InDesign Il contient d’une part, des marques de réservation de texte ou d’image (mises en forme à l’aide de styles de paragraphe ou de styles d’objet) qui seront remplies à partir des champs de données lors de la fusion et, d’autre part, des éléments qui resteront inchangés dans le document fusionné.
Le document cible avec les marqu marques marq de réservation résservation formatées par des sstyles sty lles de d paragraphe h (ou d’objet). d b
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Pour éviter tout souci de chemin d’accès au fichier, placez le fichier de données, le fichier InDesign et les fichiers image dans le même dossier. En opérant ainsi, il suffira d’indiquer le nom du fichier image pour renseigner le champ correspondant aux photos. Dans le cas contraire, c’est le chemin complet qu’il faudra saisir dans le champ @photo. Sur Mac, il sera de la forme : Macintosh HD:Users:Nom_ Utilisateur:Desktop:Dossier_Images:Nom_du_fichier.psd et sur Windows : C\Documents and Settings\Administrateur\Bureau\Dossier_Images\nom_du_fichier.jpg
Cette colonne nne de champs permet le placemen placement d’une d une image. image Le résultat de la données fusion des don seul (ici sur un seu document de pages) plusieurs pag
L A PRÉPARATION DU FICHIER DE SOURCE DE DONNÉES
Une fois la saisie terminée, enregistrez le fichier de données au format texte délimité par des virgules (.csv) ou par des tabulations (.txt). Ce fichier peut être créé directement dans un traitement de texte. Il peut contenir des colonnes qui ne seront pas utilisées dans InDesign.
La structure ou l’organisation des données
L A PRÉPARATION DU FICHIER CIBLE
Dans le fichier source Excel, il doit y avoir autant de colonnes que de rubriques à renseigner, chaque cellule contenant un champ (qui peut être vide) ; une ligne de champs constitue une « fiche » appelée enregistrement. La première ligne de la feuille de calcul est impérativement constituée des noms ou titres de champs (ou de rubrique) ; la deuxième représente le premier enregistrement. Dans le document fusionné, il y aura autant de fiches qu’il y a d’enregistrements dans la feuille de calcul (ou dans le fichier texte). Un champ pourra être utilisé plusieurs fois dans le document cible.
Cette technique de fusion de données d’InDesign reprend le principe des mailings de certains logiciels de traitement de texte. Ainsi, après avoir créé le fichier de source de données, vous devez préparer le document cible dans InDesign. Cette préparation comporte trois étapes : la configuration du document, la sélection du fichier source et le placement des marques de réservation.
La configuration du document Quand vous créez le document, vous devez définir la taille de la page. Deux cas sont à envisager : soit chaque page ne contiendra qu’une seule fiche, c’est un enregistrement unique — cas d’un mailing destiné à faire une série d’enveloppes ou des fiches de produit, soit les pages sont remplies par une série de fiches, ce sont les enregistrements multiples — cas d’un mailing destiné à faire une liste d’éléments.
On a mis en rouge le nom n des champs. hamps Ceci con hamps. constitue un champ.
L’ajout d’un champ pour le placement d’une photo La fusion peut se réaliser avec le placement d’une photo dans une réserve définie à cet effet. Dans ce cas, le document source de données devra comporter une colonne dont le titre est un nom précédé de @ (par exemple : @photo, @image, etc.). Cependant, dans Excel, il faut faire précéder ce signe @ d’une apostrophe ( ’ ) afin qu’il puisse apparaître dans la cellule. Chaque champ de cette rubrique contiendra l’adresse du fichier sur le disque.
ATTENTION Il ne faut pas changer le nombre de colonnes du document en cours de travail, sans quoi la fusion ne sera pas correcte. En effet, InDesign continuera d’utiliser le nombre de colonnes défini à la création du document.
La typographie Préparez tous les styles de paragraphe qui seront nécessaires à la mise en forme des différents textes. Éventuellement, créez des styles d’objet pour les blocs d’image.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9 Vous pouvez placer des marques de réservation dans un bloc d’une page courante du document (voire dans un tableau) ou dans un bloc du gabarit. Dans ce dernier cas, vous disposez d’options supplémentaires de mise à jour ; en revanche, seul l’enregistrement unique sera possible (une fiche par page). On a préparé le document ainsi a nsi que les styles de paragraphe paragraphe.
La sélection du fichier de source de données Une fois le document InDesign créé, la sélection du fichier de source de données s’effectue à partir de la palette Fusion des données (affichée par le menu Fenêtre puis Automatisation). Pour définir ce fichier, lancez la commande Sélectionner la source de données du menu local de la palette.
C par ce men C’est menu que des ll’on désigne le fichier f données. d é
Le fichier des données apparaîtra dans la palette Liens (comme un fichier image importé ). Cette palette permettra de gérer les mises à jour et les modifications du fichier source.
Cette te palette m montre que l’on a sélectionné ctionné le fichier source des données. Les noms des champs apparaissent dans cette palette..
Pour insérer une marque de réservation, placez le point d’insertion après un texte fixe ou sélectionnez un texte en vue de le remplacer et cliquez sur le nom du champ de données du fichier de source dans la palette Fusions des données : il y a insertion du nom du champ entre chevrons (par exemple, <
>) et le numéro de la page s’affiche à droite du champ dans la palette. Au lieu de cliquer sur le nom d’un champ, vous pouvez le glisser depuis la palette jusqu’au point d’insertion.
On p place par glissement ou par p ar cclic ssur le nom du champ données de do onn (si le point d’insertion est dans le texte). d’inse
Pensez à espacer les marqueurs à l’aide de retours chariot pour qu’ils constituent des paragraphes distincts. Le placement des marques ne doit pas obligatoirement correspondre à l’ordre affiché dans la palette Fusions des données.
Le placement des marques de réservation d’image Si le champ de données correspond à une photo (dont l’adresse a été saisie correctement dans le fichier source), vous pouvez sélectionner un bloc graphique vide puis glisser dessus le nom du champ de données : il apparaîtra en haut du bloc entouré des chevrons. Au lieu du glissement, vous pouvez procéder comme pour une marque de texte : dans ce cas, un bloc ancré apparaîtra à l’endroit du point d’insertion et sa mise en place pourra être réalisée avec un style d’objet ayant un positionnement personnalisé d’objet ancré. Cette méthode présente l’avantage d’une plus grande souplesse de modification de la position une fois la fusion réalisée.
Le placement des marques de réservation de texte Dans le document doivent figurer des blocs de texte contenant des parties de texte « fixes » (communes à toutes les fiches) et des parties « variables » qui seront remplacées par le contenu des champs du fichier source. Ces parties variables sont appelées marques de réservation ; à chacune d’elles correspondra un nom de champ de données dans la palette Fusions des données.
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On a ancré sur ur le point d’insertion d la marque de réservation réservatio pour l’image en cliquant sur ce champ..
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS
Avec un style d’objet, d d’obje obje on a positionné nné et préparé l’habillage du bloc réservation d’image. loc de réservat
On peut affiner ner certa certains ain ns réglages en affichant l’aperçu ud de la fusion.
La mise en forme des marques de réservation Une fois le placement des marques effectué, vous pouvez mettre les textes en forme à l’aide de styles de paragraphe ou en appliquant au bloc un style d’objet qui appelle des styles de paragraphe en cascade.
Les marques ques de réservation r ont été mises es en formee avec ce ces styles de paragraphe.
Dans le cas des marques de réservation d’image, des options supplémentaires, auxquelles on accède par le menu de la palette Fusion des données, permettent d’affiner le positionnement de l’image dans le bloc. En effet, vous pouvez définir des ajustements de taille par rapport au bloc ainsi que son centrage dans ce dernier. De plus, lors de la fusion, les images peuvent être incorporées ou liées (option par défaut) au document fusionné.
Des options permettent d’ajuster la taille le de l’image l image ou du bloc et de lier les fichiers image au document fusionné.
L’aperçu des fiches avant fusion Avant d’établir la fusion, pour vérifier que l’aspect du document cible vous convient, vous pouvez afficher un aperçu des enregistrements en cochant la case Aperçu de la palette Fusion des données.
Vous pouvez alors passer d’un enregistrement à l’autre en cliquant sur les triangles de navigation.
On contrôle ontrôle les différentes rentess fichess en cliqua cliquant ici.i.
L’OBTENTION ET LE RÉGLAGE DE LA FUSION Lors de la fusion des données, InDesign crée un nouveau document dans lequel il remplace les marques de réservation par les données des champs du fichier de source de données. Pour obtenir cette fusion, de la palette cliquez sur l’icône Fusion des données ou lancez la commande Créer un document En cliquant ici, on lance la fusion des données. fusionné de son menu. Vous pouvez opter pour un enregistrement unique (le seul disponible si les champs ont été mis en place dans le gabarit) ou des enregistrements multiples. Dans ce dernier cas, les fiches se placent l’une sous l’autre sur la première page puis sur les suivantes selon le nombre d’enregistrements ; un aperçu permet de régler les options disponibles avant de procéder à la fusion. Certaines de ces options se situent dans l’onglet Mise en page d’enregistrements multiples (voir page suivante) : il s’agit notamment des marges et des espacements entre les enregistrements qu’il faut régler de manière à ce que la page puisse comporter un nombre correct d’enregistrements.
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La gestion de fichiers par la palette Livre LE PRINCIPE DU LIVRE
On dispose de deux ux types d’enregis d d’enregistrement. enregis nt. Les options de mise nt en page et l’aperçu disponibles qu’avec u ne sont disponi u’avec le deuxième.
Un livre est un fichier qui apparaît sous la forme d’une palette. Il permet de gérer un ensemble de documents en établissant des liens entre chaque document que l’on appelle chapitre : les documents peuvent partager des styles, des nuanciers ou encore des variables de texte. Un chapitre (ou plusieurs) peut être ouvert, fermé, exporté en PDF ou imprimé par l’intermédiaire de la palette Livre qui, de plus, gère les numérotations de pages ainsi que l’harmonisation (appelée synchronisation) de tous les styles et autres éléments utilisés dans les différents chapitres à partir de l’un d’eux défini comme référence (ou chapitre maître). L’utilisation d’un livre peut s’avérer intéressante dans un groupe de travail en réseau ; dans ce cas, pour en faciliter l’accès, il conviendra de stocker les fichiers livre dans un dossier partagé entre les différents utilisateurs (dans un projet Version Cue, sur un serveur par exemple) et de placer dans ce dossier partagé tous les éléments utiles au travail des chapitres du livre (polices, images, bibliothèque…). Toutes les modifications qui pourront être apportées au livre par un des utilisateurs (ouverture, nouvelle disposition des chapitres…), seront répercutées chez tous les membres du groupe dont une copie du livre est ouverte.
L A CRÉATION DU LIVRE Pour créer un livre, lancez la commande Livre du sous-menu Nouveau dans le menu Fichier. Après avoir indiqué le nom du livre, une palette s’affiche à l’écran : elle permet la gestion La palette d’un nouveau livre. des chapitres du livre. Quand la palette d’un nouveau livre s’affiche, elle est vide, vous devez donc la remplir avec des chapitres. Le premier chapitre ajouté est défini comme chapitre maître, il marque également le début de la numérotation du livre (mais celleci peut être modifiée dans n’importe quel chapitre).
L A PRÉPARATION En modifiant ces es valeurs valeurs, on affinee le placement des enregistrements.
L A MISE À JOUR DES DONNÉES (CHAMPS DANS UN GABARIT) Si les marques de réservation ont été placées dans la page du gabarit, vous pouvez modifier le fichier de source de données et en demander la mise à jour dans le document fusionné à l’aide de la commande Mettre à jour le contenu des champs de données du menu de la palette Fusion des données.
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Avant d’utiliser la fonction Livre pour réaliser un ouvrage, préparez un ou plusieurs documents modèles pour tous les chapitres du livre (la fonction de modèle s’active lors de l’enregistrement du fichier). Ces documents renfermeront tous les éléments susceptibles d’être utilisés dans les futurs chapitres de l’ouvrage, c’est-à-dire non seulement les couleurs, styles (de paragraphe, de caractère et d’objet), etc., mais également les différentes pages de gabarit telles que celles qui seront employées pour la table des matières, pour les chapitres courants, pour l’index, etc.
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Un exemplaire du modèle sera utilisé comme chapitre maître et chaque nouveau chapitre créé au fur et à mesure des besoins sera obtenu en ouvrant une copie d’un des modèles placés dans le dossier partagé afin d’être disponibles pour tous les membres du groupe de travail.
L A CONSTITUTION DU LIVRE Pour ajouter un chapitre au livre, cliquez sur l’icône située en bas de la palette Livre : une fenêtre d’ouverture de fichier permet de spécifier les chapitres à ajouter (plusieurs fichiers peuvent être sélectionnés). Par la suite, si un nouveau chapitre est créé, vous pourrez toujours le réintégrer dans le livre en l’ajoutant. Le fichier du livre s’enregistre par l’icône de la palette ou par la commande du menu local de la palette.
ASTUCE Si un chapitre est ouvert sans passer par la palette Livre, sa numérotation ne correspondra plus (temporairement) à celle qu’il avait dans le livre (sauf s’il comporte des sections) ; en revanche, il retrouvera sa numérotation lorsqu’il sera rouvert par la palette Livre.
– Manquant : l’icône
apparaît lorsqu’un fichier du livre a été déplacé, renommé ou supprimé. Un double-clic sur le nom du chapitre permet de localiser le fichier manquant.
– Utilisé : une icône
indique que le fichier est ouvert sur
un poste distant.
Le chapitre maître : source des styles… L’icône située devant le nom d’un chapitre indique qu’il s’agit du chapitre maître, c’est-à-dire du document qui contient toutes les couleurs, les styles (de paragraphe, de caractère et d’objet), les rayures et filets que l’on souhaite utiliser dans les autres chapitres du livre. Pour désigner un autre chapitre comme maître, cliquez sur la case vide de la première colonne devant son nom, l’icône s’affichera et une option de synchronisation deviendra disponible pour mettre à jour les chapitres.
Le remplacement d’un fichier Avec A vec ces tro trois ois fich fichiers, hiers, on vveut créer hiers h livre. cette un liv vre. On On les a insérés dans d palette de en cliquant sur palet l d livre l cette icône : la numérotation est réajustée réajus s sur les trois chapitres.
L A GESTION D’UN LIVRE Les caractéristiques des chapitres Chaque ligne de la palette Livre indique quelques caractéristiques du chapitre telles que le nom du fichier, sa numérotation et son état. Pour ce dernier, il y a plusieurs cas possibles : Disponible, Ouvert, Modifié, Manquant et Utilisé.
– Disponible : indique que vous pouvez ouvrir le fichier. – Ouvert : pour ouvrir un chapitre, double-cliquez sur son nom dans la liste des fichiers, l’icône s’affiche à droite du nom. Les autres utilisateurs du livre verront une autre icône indiquant que le fichier est utilisé.
– Modifié : l’icône
apparaît pour indiquer que le chapitre a été ouvert et modifié par quelqu’un en dehors de la palette Livre, c’est-à-dire par le menu Fichier et la commande Ouvrir. Cette icône peut apparaître quand le fichier est enregistré alors que la palette Livre, bien que présente, n’est pas visible à l’écran.
Il s’effectue à partir de la fenêtre de la commande Informations sur le document (menu de la palette Livre) : une zone indique le chemin du fichier sur le disque et un bouton Remplacer permet d’en indiquer un autre.
La modification de l’ordre Tout utilisateur (mais il est préférable qu’un seul s’en charge) peut modifier l’ordre des chapitres par l’intermédiaire de la palette Livre ; pour ce faire, il doit cliquer sur le nom du chapitre et le glisser dans la liste pour changer son ordre de superposition. Les numérotations seront mises à jour dans les chapitres du livre quel que soit leur état.
La numérotation des chapitres d’un livre Si vous n’avez pas défini de section dans l’un des chapitres, la numérotation commence à 1 pour le premier chapitre de la liste et se poursuit sur les autres chapitres. En revanche, si l’un des chapitres comporte un début de section, la pagination tiendra compte de cette nouvelle numérotation dans les chapitres qui suivent jusqu’à ce qu’elle rencontre une nouvelle section… Par défaut, la repagination est automatique et se produit dès que vous ajoutez ou supprimez des pages de document dans un livre ou lorsque vous y apportez des modifications telles que la réorganisation des pages, l’ajout ou la suppression de documents.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9 La repagination peut s’accompagner de l’ajout de pages blanches pour respecter les règles définies dans la fenêtre Options de numérotation des pages du livre (menu de la palette Livre). Dans cette fenêtre, vous pouvez également désactiver la pagination automatique ; dans ce cas, il faudra la lancer manuellement par l’une des commandes du sousmenu Mettre à jour la numérotation du menu de la palette.
Les modifications
Avec v ces deuxx options, InDesign ajoute une page vide pour que le vec chapitre démarre toujours par une page impaire (recto). h hapitre dém m
On a fait des es réglag réglages é l de styles et dee variables de textee dans le chapitre maître.
À chaque fois que vous réalisez une modification qui doit se répercuter sur tous les chapitres (par exemple, un changement de couleur ou de composition d’un style), effectuez cette opération sur le chapitre maître, puis utilisez la synchronisation pour en faire la mise à jour sur les chapitres du livre.
Si un document est manquant ou ne peut pas être ouvert, la zone des numéros affiche un signe « ? » depuis la page d’emplacement du document manquant jusqu’à la fin du livre pour indiquer que la véritable étendue des pages n’est pas connue.
La synchronisation du livre Pour harmoniser les différents chapitres d’un livre, InDesign met à votre disposition une fonction de synchronisation. Avant de mettre en œuvre cette opération, dans la palette Livre, lancez la commande Options de synchronisation afin de consulter ce qui va être synchronisé. Si des chapitres sont sélectionnés, la synchronisation peut être lancée depuis cette fenêtre d’options. Dans le cas contraire, sélectionnez les documents ouverts ou disponibles à synchroniser et cliquez sur l’icône ; si aucun document n’est sélectionné, c’est le livre entier qui sera synchronisé.
C bo Ce bouton est disponible si d dispo sont des fichiers d fic sélectionnés. sé élect Avant de l’utiliser, A Avan désélectionnez les d désél ééléments à ne pas élém synchroniser. sy ynch
Si les documents sont fermés, InDesign les « ouvre » (dans la palette seulement), effectue les modifications nécessaires, les enregistre et les ferme. En revanche, les documents ouverts sont modifiés mais ne sont pas enregistrés. La synchronisation permet d’assurer l’utilisation des mêmes couleurs, styles, tirets, listes… dans tous les chapitres du livre en se basant sur les caractéristiques du chapitre maître. Avec la version CS3, elle s’est étendue aux styles de cellule et tableau, aux gabarits et aux variables de texte.
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Dans les autres chapitres, apitres, les modifi apitres modificatio modifications on n n’apparaissent ns n’ap pparaissent qu’après p avoir synchronisé (le n’aurait pas y ( gabarit g pa p as dû l’être l’êttre pour éviter évit ceci).)
ASTUCE Il est impossible d’annuler une synchronisation. Pour pallier ce problème, annulez les modifications réalisées dans le chapitre maître et relancer une synchronisation.
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS
L’impression et ses préparatifs
L A PRÉPARATION DE LA TABLE DES MATIÈRES
Si les chapitres sont dans l’état Disponible ou Ouvert, vous pouvez les imprimer en les sélectionnant dans la palette Livre. S’ils se suivent, sélectionnez-les avec Ó, dans le cas contraire avec ¢ [Ctrl]. Une fois cette sélection réalisée, cliquez sur l’icône pour lancer le processus d’impression. De la même manière, le menu de la palette Livre propose d’autres fonctions liées à l’impression : – réaliser un contrôle en amont pour vérifier la conformité des données en vue de leur impression ;
La préparation comporte plusieurs étapes : les préparations des styles de caractère et de paragraphe qui seront appliqués aux textes utilisés pour générer la table des matières et la désignation des styles référencés dans la table. Ces opérations s’effectuent, d’une part, dans les palettes Styles de caractère et Styles de paragraphe et, d’autre part, dans la fenêtre Styles de tables des matières (menu Page).
– assembler ou regrouper des données (fichiers, images,
Afin de mettre en forme les entrées de votre table des matières, préparez autant de styles de paragraphe qu’il y aura de niveaux d’entrée (et éventuellement, un pour le titre). Cependant, vous pourrez utiliser les styles affectés aux paragraphes définis comme entrée de la table (voir plus loin). Préparez également des styles de caractère que vous appliquerez aux numéros de pages ainsi qu’aux signes (tabulation ou autre) qui les accompagnent.
polices) pour le flasheur ;
– exporter au format PDF : la création des pages s’effectue avec les mêmes réglages que dans le Distiller d’Acrobat (voir le chapitre consacré à l’impression).
Les listes ou tables des matières LE PRINCIPE DES TABLES DES MATIÈRES La fonction Table des matières du menu Page permet, comme son nom l’indique, la création d’une table des matières (ou d’une liste de termes qui pourront être utilisés dans une page Web pour créer des liens URL, ou encore une liste de crédits photo) à partir du contenu de paragraphes auxquels on a appliqué une feuille de style.
Les styles typographiques utilisés dans la table
ASTUCE Pour repérer les styles destinés à la table des matières, ajoutez à leur nom un préfixe tel que tdm (ou toc_).
Chaque q titre a un style. y
On des On a ccréé réé éé d es sstyles les pour pou ur définir l’aspect des textes dans ns la table des matières.
Si vous écrivez un livre, élaborez tous ces styles dans le document maître puis synchronisez le livre.
La création d’un style de tables des matières
On O n veut veu ut ffaire ut aire figu ffigurer urer ce ces es texte textes eess dans une table des d matières. ma atières..
La création d’un style de tables des matières comporte deux étapes : la désignation des textes, c’est-à-dire des paragraphes retenus pour créer la table (à partir de leur style de paragraphe) et le formatage des textes qui seront affichés dans la table que l’on appelle les entrées. Ces opérations s’effectuent dans la fenêtre Styles de tables des matières (du menu Page) ; vous pouvez y préparer plusieurs styles de tables des matières (par exemple, un sommaire et une liste de crédits photo). Si vous comptez n’en utiliser qu’une, cliquez sur Modifier pour travailler sur celle par défaut (sinon, cliquez sur Nouveau pour élaborer la première).
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9
O peut On pe modifier la table des matières par défaut ou en créer m matiè nouvelles. Dans tous les cas, de no d à cette fenêtre. oon aboutit ab
Le formatage des entrées Pour définir le formatage des entrées, cliquez d’abord sur le bouton Plus d’options. Dans la liste Inclure les styles de paragraphes figurent toutes les entrées ; pour chacune d’elles vous pouvez définir l’aspect à l’aide de styles et de caractères spéciaux. Pour cela, cliquez sur la première entrée, puis, dans la zone Style de la fenêtre, définissez les options à l’aide des menus locaux :
– Style des entrées : cette option permet de choisir le style de paragraphe appliqué à l’entrée affichée dans la table des matières générée.
– Numéro de page : avec chaque entrée apparaît (ou non)
La fenêtre listee les styles de paragraphe à retenir pour créer la table.
La désignation des entrées par les styles de paragraphe Commencez par saisir le titre de la table des matières dans le champ Titre (videz-le pour supprimer le titre), affectez-lui un style de paragraphe (menu Style à droite du titre). Dans la zone Autres styles, double-cliquez sur le nom du style de paragraphe dont le texte à qui il est appliqué doit figurer en tant qu’entrée dans la table : ce style s’affiche alors dans la zone Inclure les styles de paragraphes. Recommencez avec les styles suivants à inclure en respectant l’ordre hiérarchique des paragraphes (commencez par le titre le plus important) — cette hiérarchie apparaît dans la partie gauche de la fenêtre.
On crée cette list liste par double-clic surr le style. style Avec ces options, ons, la ons hiérarchie styles retenus pourra être modifiée. ie des sty mo
Si les styles utilisés comme entrées comportent des listes numérotées, vous pouvez faire apparaître dans la table des matières, le texte avec ou sans ce numéro et les signes qui l’accompagnent. Pour cela, dans le bas de la fenêtre, choisissez l’option voulue à la rubrique Paragraphes numérotés.
Avec cette dernière option, option signes définis dans ces si ns le style (rubrique Puces ett numérotation) n’apparaîtront num dans la table des matières pas d (voir l’exemple page 356).
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le numéro de page. Le menu permet de choisir sa position (avant ou après) ; à sa droite, le menu Style définit le style de caractère appliqué au numéro. Son formatage peut être défini dans un style imbriqué (délimité par le caractère spécial : Style imbriqué de fin ajouté par l’option suivante).
– Entre l’entrée et le numéro : par défaut, une tabulation sépare l’entrée du numéro (situé après l’entrée). Un menu pop-up permet de remplacer ce signe par un ou plusieurs caractères spéciaux ; un second menu définit le style de caractère utilisé pour formater ces signes (celui-ci pourra encore être La liste des caractères spécifié une fois la table réalisée). disponibles.
Pour Pou ur certaines entrées, ent tré on peut associer ass soc un style de paragraphe pa p p ou de caractère. e.
Choisissez ici de placer ou non le numéro des pages.
Recommencez ces opérations pour les autres entrées ; éventuellement, rectifiez leur niveau hiérarchique avec l’option Niveau. ASTUCE Si vous choisissez de placer une tabulation (^t) entre l’entrée et le numéro, prévoyez de définir la position, l’alignement et les points de conduite de cette tabulation dans le style de paragraphe qui sera appliqué à cette entrée. Un style de caractère pourra lui être affectée pour que les points de conduite soient plus petits, par exemple.
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Quand le style de tables des matières est prêt, vous pouvez en préparer d’autres en cliquant sur Nouveau et ainsi en élaborer d’autres de manière à obtenir, en fonction des critères que vous avez utilisés pour la définir : une véritable table des matières (c’est le cas pour ce livre, par exemple) ; une simple liste de noms d’images (à partir de leur légende, par exemple) ou d’auteurs par ordre alphabétique (à partir de leur signature à la fin de chaque article), etc.
O peut On p préparer plusieurs tables des p plusie matières (et même m matiè ccharger celles d’un charg autre document).
ASTUCE Si vous travaillez avec la fonction Livre, créez les styles dans le document maître puis synchronisez le livre — de plus, cochez l’option Inclure les documents du livre…
Les signets PDF Si vous cochez l’option Créer les signets PDF (située en bas de la fenêtre Styles de tables des matières), puis exportez le document au format PDF dans Acrobat, les textes de la table des matières posséderont un lien qui vous enverra directement à la page indiquée par l’entrée de la table.
Les entrées particulières : les titres image
1. Dessinez un bloc de texte sur l’image qui constitue le titre. Afin que la table des matières s’effectue dans un ordre correct, il est préférable que ce bloc déborde hors de la marge gauche. Par la palette Options d’objet, affectez au bloc l’option Non imprimable (le bloc disparaîtra avec l’affichage Aperçu). Saisissez le texte qui doit apparaître dans la table des matières et appliquez-lui le style de paragraphe correspondant. Pour y placer le texte voulu avec le style qui convient pour la table, on a créé un bloc qui ne s’imprimera pas. p
2. Insérez à l’endroit voulu un paragraphe avec le style désigné pour créer la table des matières puis faites le disparaître sans qu’il décale les autres paragraphes en réglant sa couleur sur celle du papier, son interligne et les espaces avant et après à 0. On peut aussi insérer un paragraphe avec le style correct p parag puis lle faire disparaître sans p décaler les autres paragraphes d déca sa couleur sur celle een réglant rég son interligne et les du papier, d pa eespaces avant et après espac p à 0.
Si un titre (ou sous-titre) est sous forme d’image, il n’est pas possible de lui affecter un style de paragraphe et par conséquent de le faire figurer dans la table des matières. La préparation des styles de tables des matières étant terminée, vous pouvez passer à leur génération.
L A GESTION DE LA TABLE DES MATIÈRES L’affichage de la table des matières
Ces titres es sont constitués constituéés d’images. On veut apparaissent matières. ut qu’ils apparais ssent dans la table des m ma tières. iè
Pour pallier ce problème, vous pouvez recourir à l’une des deux astuces suivantes :
Dans InDesign, il n’existe pas de palette pour prévisualiser la table des matières avant de la générer ni pour naviguer dans les paragraphes qu’elle contient. Pour pallier ce manque, lors de sa génération, vous pouvez cocher l’option Créer des signets PDF. Ainsi, InDesign remplira la palette Signets (affichée par le menu Fenêtre/Objets interactifs) afin d’y faire figurer toutes les entrées de la table. Par double-clic sur l’un d’eux, vous afficherez la page et le paragraphe correspondant.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9
La génération de la table des matières Quand le travail sur la composition du document est terminé, vous pouvez passer à la compilation de la table des matières. Cependant, avant de réaliser cette opération, il faut déterminer l’endroit où elle devra être placée, c’est-àdire qu’il faut ajouter une page (avec son gabarit associé prévu à cet effet) et, éventuellement, un bloc avec son style d’objet pour le mettre en forme. Celui-ci peut être dessiné qui au dernier moment avec l’icône de placement apparaît une fois la table des matières créée. Dans certains cas, il peut être pratique de créer le bloc en dehors de la page puis de le mettre en place (par glissement ou coupercoller) dans la page voulue. La génération de la table des matières s’obtient par la commande Table des matières du menu Page. La fenêtre qui s’affiche ressemble à celle où l’on élabore les styles de tables — vous pouvez d’ailleurs y faire une mise au point de celle choisie dans le menu Style de table des matières avant de la générer en cliquant sur OK.
On a généré la table : avec le curseur, peut la placer seur, on p dans un bloc et obtenir ceci..
Si l’option Remplacer la table des matières existante est cochée en bas de la fenêtre; il y aura mise à jour de son aspect en validant par OK.
Les styles ont modifié l’aspect de la table.
Les problèmes d’ordre des entrées Si la table des matières est réalisée à partir de paragraphes situés dans un seul article (c’est-à-dire dans une série de blocs chaînés), elle ne présentera pas de problème d’ordre dans les entrées. En revanche, si la table des matières est créée à partir de paragraphes situés dans des blocs qui n’ont aucun lien entre eux (voir aussi l’exemple du quatre pages page 357), un mauvais classement dans l’ordre des entrées peut apparaître. En effet, pour établir l’ordre dans lequel il doit disposer les entrées, InDesign tient compte de la position du bloc dans la page. Ainsi, il commence par afficher les entrées correspondant aux blocs situés le plus à gauche de la page quelle que soit leur position dans la hauteur de la page. Pour une même position horizontale du bloc, c’est celui situé le plus haut qui est placé en premier. Par exemple, si une page est constituée d’un petit bloc contenant un titre centré et d’un bloc principal situé contre la marge gauche avec des sous-titres, dans la table des matières, ces derniers seront placés avant le titre car ils sont situés dans un bloc plus à gauche que celui du titre.
La finition de la table des matières Une fois la table générée, vous pouvez préparer certains styles de caractère pour les appliquer à des signes employés dans la table (numéro, tabulation ou autre). Par exemple, les points de conduite utilisés peuvent être modifiés par un style. Pour cela, relancez la commande Table des matières (du menu Page) et ajoutez les styles voulus aux entrées. L’en L’entrée ntrrée corresp correspondant à ce titre n’est car le bloc n’es st pas p bien placée p contenant le conte l titre se situe plus droite que le bloc du texte à dro principal. princi On applique à cess signes sig i nes les styles quii définiront défi i t lleurr aspect.t
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L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Pour corriger ce problème, vous avez deux solutions :
– modifier la taille du bloc titre pour qu’il se place contre la marge (comme le bloc principal) ;
– créer un chaînage qui démarre sur le port de sortie du titre pour aller sur le port d’entrée du bloc principal — ce chaînage n’aura pas d’incidence sur le contenu des blocs sauf si le bloc du titre ne comporte pas de retour chariot ; cependant, il est préférable de le faire en fin de travail (et de placer un texte d’explication hors de la page ou mieux, une note éditoriale dans le cas d’un travail de groupe).
Pour pouvoir réaliser la compilation de la table, les chapitres doivent être disponibles (mais pas forcément ouverts). Cette opération peut s’effectue à partir de n’importe quel document du livre. Deux cas sont envisageables selon que la table des matières sera placée à la fin ou au début du livre.
La table des matières à la fin du livre Si la table des matières est placée sur une page insérée après la dernière page du dernier chapitre du livre, son placement en automatique provoquera l’insertion des pages nécessaires sans perturber les numéros des entrées de la table des matières.
La table des matières au début du livre Si vous souhaitez placer la table avant la première page du premier chapitre (comme c’est le cas dans ce livre et dans le premier des trois exemples décrits à la page suivante), l’opération nécessite une préparation en deux étapes : Pour rétablir r ablir l’ordre d des entrées dans la table des matières mat recompilée, recom lé on a réalisé é l un chaînage entre le bloc titre et le chaîn texte principal.
Une troisième solution peut être envisagée. Elle fait appel à l’astuce qui consiste, dans un premier temps, à copier le bloc titre sur un autre calque (nommé, par exemple, « pour TdM »), à placer cette copie du bloc suffisamment sur la gauche puis à masquer ce calque, et dans un second temps, à annuler le lien au style du titre resté visible et à modifier le style de tables des matières (menu Page) en cochant l’option Inclure les textes des calques masqués.
On a placé la copie du bloc sur un calque masqué. q
On a supprimé upprim mé lee lilien ien au style s du titre pour qu’il u’il n’apparaisse n’a appara aisse pas pa deux fois dans la table des matières.
LES TABLES DES MATIÈRES AVEC UN LIVRE Si vous gérez un ensemble de fichiers par la fonction Livre, vous pouvez créer la table des matières du livre en cochant l’option Inclure les documents du livre dans la fenêtre Table des matières (ou Styles de tables des matières).
1. Si le document n’a que des rectos (sans pages en vis-àvis), insérez une page — ou plus selon l’encombrement estimé de la table — avant la première page du premier chapitre puis réglez les options de numérotation de cette nouvelle page avec un style de numéro différent du reste du livre (par exemple : I, II, III…). Si le document est configuré avec des rectos versos, insérez deux pages (ou un nombre pair de pages) mais activez d’abord l’option Autoriser la réorganisation des pages par le menu de la palette Pages.
2. Définissez les options de numérotation de l’ancienne première page afin qu’elle débute de nouveau avec le numéro 1 et avec un style de numérotation classique (1, 2, 3…), qui sera également utilisé pour le reste du livre. A STUCE Vous pouvez aussi ajouter au livre un fichier (nommé, par exemple, « TdM.indd ») défini comme premier chapitre avec des options de numérotation ayant un style de numéro différent du reste du livre (par exemple : I, II, III…). Il faudra cependant redéfinir les options de numérotation du deuxième chapitre afin qu’il soit considéré comme un début de section. Cette technique présente l’avantage de pouvoir placer la table des matières en automatique.
LES REMPLACEMENTS DE LA TABLE DES MATIÈRES Après avoir réalisé une première table des matières, si vous apportez des modifications au texte (ou aux pages, aux styles…), il faudra générer une nouvelle table des matières ; celle-ci remplacera automatiquement la précédente si vous lancez la commande Mettre à jour la table des matières du menu Page.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9
Q UELQUES EXEMPLES DE TABLE DES MATIÈRES Voici trois exemples de table de matières : le premier est une liste de noms de châteaux (elle sera obtenue à partir du fichier utilisé précédemment pour l’étude de la table des matières), le deuxième est une liste de photos placées dans les chapitres d’un livre et le troisième est une table des matières ajoutée au fichier d’un quatre pages.
Une fois la table générée, on obtient g ccette liste des noms de châteaux et de d lleur e-mail. Elle a éété placée sur deux ccolonnes.
La liste de noms Il s’agit de créer une liste qui affiche par ordre alphabétique une série de données (les noms de châteaux du Bordelais avec leur e-mail quand ils en ont un).
O ve On veut faire une liste ccontenant les noms conte châteaux et leur de ch d h ee-mail. -ma a
La table des matières de la liste de photos Dans cet exemple, outre la table des matières qui démarre le livre, on souhaite créer la liste des photos du livre à partir de leur légende et indiquer à quelle page elles se situent. Chaque légende possède un style de paragraphe nommé légende. Il faut donc commencer par créer une seconde table des matières qui utilisera ce style pour définir les entrées (des styles de paragraphe peuvent être créés pour mettre en forme les données dans la table).
Pour cela, on définit un style de tables des matières avec deux entrées : l’une pour les châteaux avec un tri alphabétique et un numéro de page devant ; l’autre pour l’adresse e-mail.
Les réglages ages des deux entrées de la table des matières.
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En utilisant less légen légendes nde des des dees photos, on n veut créer unee liste (tab ((table ble d des matières).
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Une fois le chapitre maître ouvert (ici chap_1), lancez la commande Styles de tables des matières. Dans la fenêtre qui s’affiche figure le style par défaut, cliquez sur Nouveau pour créer un second style de tables des matières. Nommez ce dernier (liste photo par exemple) et réglez ses options comme l’indique la copie d’écran suivante.
Le sommaire d’un bulletin de quatre pages Il s’agit d’un quatre pages constitué de nombreux articles présentant des rubriques et dont on souhaite créer le sommaire en page 1 dans un bloc prévu à cet effet. L’examen du document Le document comporte deux types de paragraphes qui devront figurer dans la table des matières : les titres des rubriques auxquels est affecté le style de paragraphe Titre rubrique et les sous-titres à l’intérieur de ces rubriques, auxquels est affecté Sous rubrique. Il y aura donc deux types d’entrées ; on a préparé les styles correspondants (toc-Titre rubrique et toc-sous rubrique) en plus de celui destiné au titre de la table (toc-Titre table). Il y a deux niveaux de titre : le premier, le second.
On définit le style de la table des matières (liste des photos).
Les options de la table des matières sont les suivantes : – Titre : Photothèque (par exemple) avec le Style : tdm_photothèque ;
– Inclure les styles : légende ; – Style des entrées : tdm_photothèque ; – Numéro de page : Avant l’entrée (style tdm_numero) ; – Entre l’entrée et le numéro : ^m (espace cadratin). Quand le style de tables des matières est prêt, fermez les fenêtres (en cliquant sur OK) et effectuez une synchronisation du livre en désélectionnant tous les chapitres dans la palette Livre 4 ; ainsi, le style de tables des matières est utilisable depuis tous les fichiers. Ouvrez le fichier chap_3 et insérez une page à la fin du document par la commande du menu de la palette Pages. Lancez Table des matières du menu Page : le style liste photo y est déjà sélectionné, cliquez sur OK pour créer la table qu’il vous restera à placer sur le bloc de gabarit de la page. Éventuellement, supprimez certains éléments de gabarit inutiles sur cette page.
On synchronise le livre, puis On peu peut supprimer cet élément dans le chapitre 3, on fait la table. le. de gaba gabarit inutile sur cette page.
C’est ici ci que l’on l’o souhaite aite placer plac le sommaire.
Pour la mise en forme, on a utilisé deux styles de paragraphe (on a créé deux autres styles pour la table des matières). atières).
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9 La préparation et la génération de la table des matières La préparation de cette table peut s’effectuer directement dans la fenêtre de la commande Table des matières du menu Page avant d’être générée. Sa configuration est : – Titre : Sommaire avec le Style : toc-Titre table ;
– Inclure les styles : Titre rubrique et Sous rubrique ; – Style des entrées : respectivement toc-Titre rubrique et toc-sous rubrique ;
– Numéro de page : Après l’entrée ; – Entre l’entrée et le numéro : ^y (tabulation de marge à
Page 4 : ces diffé différents férentss titres tittres ne sont pas dans un ordre correct coorrectt dans da ans le sommaire.
droite).
En effet, c’est la position horizontale des blocs de titre ou sous-titre et leur chaînage qui définissent l’ordre des entrées dans la table. C’est ce que nous allons rectifier sur les pages 1 et 4 de ce quatre pages (ce problème a été déjà signalé et décrit page 354). La mise au point de la table des matières
Pour les entrées, trées, on a utilisé le trées les styles des différents niveaux de titre.
Quand la configuration est correcte, il n’y a plus qu’à générer la table des matières en cliquant sur OK. Son placement s’effectue dans le bloc coloré situé en bas à droite de la première page. La table des matières n’est pas correcte au niveau de l’ordre des entrées des pages 1 et 4.
Dans la page 1, le titre « Rubrique people » se retrouve dans la table des matières après les deux sous-titres de la colonne de gauche car le bloc de ce titre ne démarre pas contre la marge gauche. Pour rectifier cet ordre, étirez le bloc jusqu’à la marge, le texte gardera sa position par rapport au visuel à gauche grâce à l’habillage qui avait été réglé sur ce dernier (on aurait pu modifier la marge gauche du titre). Une fois cette modification réalisée, cliquez dans la table pour rendre utilisable la commande Mettre à jour la table des matières du menu Page ; lancez-la pour visualiser le résultat. On ajuste le bloc contre la marge et on met à jour la marg table qui devient correcte cette p partie. sur ce
Page 1 : ces es deux deeux titres de niveau n 2 sont situéss avant 1.. ava ant celui de niveau n
358
Pour faciliter le réglage de la page 4, vous pouvez afficher deux fenêtres du document (menu Fenêtre/Disposition/ Nouvelle fenêtre) : l’une pour afficher le bas de la page 1 (et voir la table des matières) ; l’autre pour visualiser l’ensemble de la page 4.
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Dans cette page, le problème se règle en deux étapes : la première consiste à étirer les blocs des trois titres (« Brèves », « Événements du jour » et « Quiz ») contre la marge gauche — et, si nécessaire, à rectifier les retraits dans les blocs ou les habillages des visuels situés à leur gauche. Cliquez dans la table des matières et effectuez une première mise à jour de la table. Vous pouvez constater qu’il en faudra une seconde après correction, cette fois-ci, par un chaînage des blocs des colonnes.
Avecc les chaînages réalisés, rééa s, la mise à jour du som sommaire mm e donne un résultat correct.
L’index LE PRINCIPE DE L’INDEX
Unee fois les blocs étir étirés jusqu’à laa marge, rge, les entrées se replacent correctement dans le sommaire. Il reste problème avecc ces entrées. ste ce prob ent
La seconde étape consiste à chaîner les blocs par rubriques dans l’ordre où ils doivent apparaître dans la table des matières : pour la première rubrique (« Brèves »), du bloc « Les seniors » vers le bloc « Les nouvelles… » et, pour la deuxième rubrique (« Événements… »), du bloc « Rencontre » au bloc « Entraînement » puis au bloc « Sarcelles… » et enfin vers le bloc « La dernière… ». ATTENTION Avant de chaîner les blocs, assurez-vous que chaque texte se termine par un retour chariot pour que chaque texte reste dans son bloc.
Après cette modification, cliquez à nouveau dans la table des matières de la page et relancez une mise à jour de la table qui doit désormais être correcte.
Un index est un ensemble d’entrées classées par ordre alphabétique, généralement sous des titres de section (A, B, C, etc.). Chaque entrée contient un terme associé à une référence de page (numéro) ou une référence croisée — c’est-à-dire un renvoi vers une autre entrée ; une référence croisée comporte les mentions Voir ou Voir aussi. Un index se crée en deux étapes :
1. La préparation, qui consiste à étiqueter les mots à indexer à l’aide de la palette Index.
2. La compilation de l’index, c’est-à-dire le rassemblement de toutes les entrées d’index dans une ou plusieurs pages qu’InDesign créera automatiquement à la fin du document.
L A PRÉPARATION DE L’INDEX Une entrée d’index peut se définir selon plusieurs niveaux (quatre au total). L’indexation d’un texte s’effectue à l’aide de la palette Index qui s’affiche à partir du menu Fenêtre puis Textes et tableaux.
La palette Index (vide).
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9 Celle-ci propose deux modes d’affichage : Référence et Rubrique. Avec Référence, la palette affiche les entrées d’index dans le document (ou dans le livre). Avec Rubrique, la palette n’affiche pas les numéros de pages ni les références croisées, mais uniquement les rubriques.
L’entrée de premier niveau Pour indexer un mot, sélectionnez-le dans le texte, assurezvous que l’option Référence est active dans la palette Index et cliquez sur son icône de création d’entrée : une fenêtre Nouvelle référence de page s’affiche : le texte y apparaît au premier niveau dans la colonne Niveaux de rubrique, cliquez sur Ajouter pour qu’InDesign crée l’entrée et la fasse figurer dans le bas de la fenêtre Nouvelle référence et dans la palette Index. Au niveau du texte dans l’article, si les caractères masqués sont affichés (par le menu Texte), le signe ^ se place sous le texte pour indiquer qu’il s’agit d’une entrée d’index.
L’étendue du référencement Par défaut, quand vous indexez un mot, InDesign n’indique en référence que le numéro de la page sur laquelle se trouve ce mot (Page active) ; vous pouvez modifier l’étendue des numéros en choisissant l’option voulue dans le menu Type de la fenêtre Nouvelle référence. Si vous souhaitez changer le référencement d’une entrée existante, double-cliquez sur le numéro de page sous l’entrée dans la palette Index pour afficher la fenêtre Options de page de référence et sélectionner la nouvelle option : les numéros seront modifiés dans la palette.
PPour changer l’étendue, l’éten l éten on utilise affichée par double-clic ccette ette fenêtre affich sur lle numéro dans la palette Index. d
La répétition d’une entrée On sélectionne nne le texte et on clique sur cette te icône icôn pour afficher cette fenêtre le texte apparaît. re d’indexation dans laquelle q
Chaque fois que vous créez une entrée à partir d’une sélection dans la page, la fenêtre Nouvelle référence propose le bouton Tout ajouter qui permet d’indexer toutes les occurrences de la sélection dans le document (ou le livre). Par la suite, vous pouvez supprimer les entrées qui pointent vers une information moins pertinente.
On souhaite indexer le mot « Sauternes » (apparu la première fois en page age 4). On a ajouté uté toutes ces ce occurrences en cliquant sur le bouton Tout ajouter. jouter.r On a fait apparaître sur ce bouton. paraître ll’entrée entrée ici en cliquant c uton uton.
Dans le texte, on voit ce sign signe i e eet dans cette ette palette te on a une entrée d’index avec le numéro laquelle é de d page dans d l ll elle est visible.
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Le niveau des entrées d’index À partir du moment où un mot a été indexé au premier niveau, il devient possible de placer une entrée au deuxième niveau de ce mot. De même, lorsqu’il y aura un deuxième niveau, il deviendra possible de créer un troisième niveau et ainsi de suite… Le principe de l’indexation de niveau inférieur s’établit de la façon suivante : sélectionnez le texte à indexer au deuxième niveau (ou troisième niveau) — sa saisie apparaît dans la case 1 de Niveaux de rubrique — cliquez sur l’icône pour descendre d’un niveau.
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS Cliquez dans la case située au premier niveau et saisissez l’entrée de premier niveau ou affichez-la dans la liste des rubriques située en bas de la fenêtre et double-cliquez dessus puis sur Ajouter. Dans la palette Index, la nouvelle entrée apparaît sous celle de niveau supérieur avec un léger décalage vers la droite : il indique la différence de niveau.
L’indexation rapide Pour créer rapidement une entrée d’index qui utilise le paramétrage par défaut de la fenêtre Nouvelle référence, sélectionnez le mot à indexer et tapez Ó∏¢) [ÓAlt Ctrl )]. L’entrée apparaît directement dans la palette Index sans que la fenêtre de réglages ne s’affiche.
LES FONCTIONS DE LA PALETTE INDEX La palette Index propose deux fonctions utiles : d’une part, la possibilité d’afficher sur la page le texte lié à l’entrée et, d’autre part, la recherche d’une entrée dans l’index. Pour cette dernière, la commande Rechercher du menu de la palette affiche une zone de recherche en haut de la palette ; il suffit d’y saisir l’entrée voulue. Pour afficher dans le document le texte correspondant à une entrée de l’index, sélectionnez le numéro de page de l’entrée et cliquez sur la preen bas de la palette (ou utilisez la commande mière icône Atteindre la marque sélectionnée du menu de la palette). Cettee entrée co constitue un second nd niveau de Château. Less niveaux inférieurs s’affichent décalés dans la palette Index.
Les références croisées Une référence croisée permet de renvoyer vers une autre entrée de l’index. Pour la créer, sélectionnez le texte dans l’article, cliquez sur l’icône pour afficher la fenêtre Nouvelle référence, réglez le niveau de l’entrée puis choisissez une des options de référence croisée en bas de la liste Type (l’option [Référence croisée personnalisée] permet de spécifier le texte de renvoi). Dans la partie basse de la fenêtre, affichez l’entrée vers laquelle renvoie le texte et glissez-la dans la case Référencée (vous pouvez aussi la saisir). Après avoir cliqué sur Ajouter puis OK, la palette Index indique la référence croisée sous l’entrée.
L’IMPORTATION D’UN TEXTE INDEXÉ Si la saisie du texte a été réalisée dans Word, son auteur peut préparer son propre index, c’est-à-dire définir ses entrées. À condition que les caractères invisibles soient affichés (en cliquant sur ¶), ces entrées sont identifiables dans la saisie par un texte entre crochets {…} qui débute par EX. Lors de l’importation d’un texte Word, affichez les options d’importation pour vérifier que l’option Texte d’index est bien cochée. Une fois le texte placé dans la page, InDesign montre les entrées dans la palette Index ; cependant, celles-ci nécessiteront des mises au point.
Cochez ez cette option opti pour récupérer l’indexation de Word. A STUCE Vous pouvez afficher les caractères masqués (menu Texte) pour voir les marques d’index.
LES MISES AU POINT DE L’INDEXATION IMPORTÉE Les accents
Cettee entrée renvoie ren oie vers ce celle-ci elle cii elle-ci que l’on a désignée désig ée par glissement. gliissemeent. La palette Index l’indique. ’i di
Un index associé à un texte importé depuis Word présente des imperfections de saisie au niveau des accents (remplacés par des signes de substitution). Pour corriger ce problème, il faudra double-cliquer sur chacune de ces entrées pour reprendre la saisie.
Les mots accentués doivent être vérifiés.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 9
La palette Index ne montre pas les références de pages après chaque entrée. Pour qu’elles apparaissent, cliquez sur Mettre à jour l’aperçu (ou lancez la commande l’icône correspondante dans le menu de la palette Index).
En revanche, l’indexation de toutes les occurrences d’un mot contenu dans le livre ainsi que la compilation de l’index ne nécessitent pas d’ouvrir tous les chapitres. Si vous changez le nombre de pages d’un chapitre, repaginez le livre par le menu de la palette Livre et effectuez la mise à jour de l’inMettre à jour l’aperçu. dex en cliquant sur l’icône
INFO. L’index peut nécessiter d’autres mises au point qui ne sont pas spécifiques à un texte importé (les pluriels, les capitales et les minuscules), c’est ce que nous allons voir maintenant.
A STUCE Un index peut être compilé sur tout un livre. Cependant, lorsque vous créez cet index, il doit être incorporé dans le dernier chapitre sinon les numéros de pages qui suivent le chapitre de l’index risquent de changer.
Les numéros de pages
La casse des entrées
L A GÉNÉRATION OU COMPILATION DE L’INDEX
Lorsque l’index est préparé ou même importé, certaines entrées ont été saisies avec la première lettre en capitale ou en minuscule. Ceci peut provoquer une double apparition de l’entrée dans l’index. Pour pallier ce problème, InDesign propose une commande dans le menu de la palette Index qui s’active lorsqu’une entrée a été sélectionnée dans l’index. Il s’agit de la commande Composer en capitales ; elle affiche une fenêtre qui permet de choisir quelles seront les rubriques traitées. Une fois la commande validée, l’index est recomposé (les entrées en doublon disparaissent).
Elle s’effectue en trois étapes : la mise en forme, la compilation proprement dite et le placement dans le document. Pour cette dernière, il faudra parfois insérer une page et placer le texte en automatique pour que les pages éventuellement nécessaires soient ajoutées.
La mise en forme des entrées et la compilation de l’index Ces deux opérations s’effectuent dans la même fenêtre. Générer l’inCelle-ci s’affiche en cliquant sur l’icône dex (ou par la commande correspondante du menu de la palette Index).
Ceci permet de rectifier la casse des entrées. La fenêtre s’affiche depuis le menu de la palette Index si une entrée est sélectionnée.
Les entrées au pluriel et au singulier Avant de compiler l’index, consultez la palette Index pour voir si certains textes apparaissent plusieurs fois au pluriel et au singulier. Dans ce cas, double-cliquez sur chacune de ces entrées pour rectifier la saisie. Il n’y a malheureusement aucune possibilité d’effectuer cette opération de manière simple et automatisée avec une fonction du type Rechercher/Remplacer.
L’INDEX D’UN LIVRE Si vous ouvrez un fichier appartenant à un livre (par la palette Livre), la palette Index propose l’option Livre, qui, une fois cochée, permet de visualiser toutes les entrées d’index des chapitres du livre à condition qu’ils soient ouverts.
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Cettee option p est accessible à partir rtir d’un livre.
InDesign propose une série de styles imbriqués prêts à l’emploi pour mettre en forme l’index (vous pourrez les personnaliser par la suite). Si vous avez créé un style pour le titre de l’index, vous pouvez le spécifier en cliquant sur Titre de l’index. Si vous souhaitez utiliser vos propres styles pour les entrées de l’index, cliquez sur Plus d’options : la fenêtre s’agrandit (voir page suivante) pour afficher une série de choix possibles pour chaque niveau d’entrée, titre de section (lettres A, B, C…), numéro de page, etc.
On a préparé des styles pour les entrées d’index.
Quand la mise en forme est prête, cochez l’option Inclure les documents du livre s’il s’agit d’un livre puis cliquez sur OK pour obtenir l’icône de placement de texte contenant l’index.
L A GESTION DES PAGES ET DES FICHIERS
Un fois prêt, on crée l’index que l’on place dans la page.
Pour chacun des niveaux, es nive eaux, oon a choisi un style en remplacement de celui proposé. eaux
Les mises à jour de l’index Quand l’index a été composé, vous pouvez à tout moment modifier les feuilles de style qui ont été utilisées pour le créer. Si vous modifiez le texte ou les entrées, vous pourrez effectuer la mise à jour de l’index (comme pour la table des matières) en programmant le remplacement de l’index précédent.
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L A DISTRIBUTION DES FICHIERS
10 La distribution des fichiers
La préparation pour l’impression La préparation de l’impression comporte plusieurs étapes : la gestion des transparences, la gestion des encres, éventuellement la création de recouvrements et de surimpressions, et enfin le rassemblement des données.
L’aplatissement des transparences LE PRINCIPE DE L’APLATISSEMENT Lorsque vous imprimez à partir d’InDesign ou que vous exportez vers un format autre qu’Adobe PDF 1.4 ou ultérieur, InDesign effectue une opération appelée aplatissement, qui consiste à éliminer les zones transparentes du document en le découpant en portions discontinues qui sont soit des objets vectoriels, soit des zones pixellisées. Plus l’illustration est complexe (mélange d’images, de vecteurs, de texte, de tons directs, de surimpression, etc.), plus l’aplatissement et le résultat le seront aussi.
La palette Pages vous indique si votre page contient des zones transparentes. En effet, sur toute page contenant un objet transparent (exigeant l’aplatissement) apparaît une à droite du numéro. L’aplaicône présentant un damier tissement est mis en œuvre quand vous imprimez un fichier ou l’exportez avec le format EPS ou PDF 1.3 (Acrobat 4).
LES RÉGLAGES D’APLATISSEMENT La commande Aplatissements prédéfinis des transparences du menu Édition permet de spécifier les paramètres d’aplatissement en les personnalisant ou en utilisant les options prédéfinies. L’aplatissement s’effectue selon l’espace de fusion RVB ou CMJN choisi dans le menu Édition.
InDesign pixellise une région quand il est impossible de préserver l’aspect sous la forme de vecteur, par exemple dans le cas d’une photo avec une ombre superposée à un fond. La seule solution pour préserver l’aspect est de pixelliser le fond et l’ombre. Lors de l’aplatissement, InDesign analyse le fichier entier et recherche des zones complexes (où beaucoup d’objets se superposent), qu’il pixellise pour des raisons d’exécution (pour réduire le temps de travail du RIP).
LES ÉLÉMENTS TRANSPARENTS Il faut savoir que la transparence peut apparaître dans un document InDesign pour différentes raisons :
– application d’un Mode de fusion ou d’une valeur d’opacité inférieure à 100 % dans la palette Transparence ;
– application d’une Ombre portée (menu Objet) ;
La fenêtre des aplatissements avec les trois paramètres prédéfinis.
Les aplatissements prédéfinis Les paramètres ont été conçus pour optimiser la rapidité et la qualité de l’aplatissement, avec une résolution appropriée des zones transparentes pixellisées, en fonction d’une utilisation définie.
– Basse résolution : elle permet d’obtenir des épreuves rapides à imprimer sur des imprimantes de bureau en noir et blanc et pour des documents destinés à être publiés sur le Web.
Les paramètres d’aplatissement basse résolution.
– application d’un Contour progressif (menu Objet) ; – importation d’un fichier natif Illustrator (.ai) qui contient des zones transparentes ;
– i mportation d’un fichier natif Photoshop (.psd) qui contient des zones transparentes.
– Résolution moyenne : elle convient pour les épreuves de bureau et les documents destinés à une impression sur des imprimantes couleur PostScript.
Aplatissement résolution moyenne.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 10 – Haute résolution : cette option est utilisée pour les
– Valeur 100 : elle conserve le plus possible d’objets en
impressions finales sur presse et les épreuves haute qualité comme les épreuves présentant une séparation des couleurs. Avec ce réglage, la pixellisation est minimale, InDesign essaie de conserver au maximum les objets sous forme vectorielle ; quand il doit les pixelliser, il le fait avec une haute résolution.
vectoriel. Toutefois, les parties très complexes sont pixellisées. Ce réglage augmente le temps de travail et nécessite davantage de mémoire. En revanche, il produit la meilleure qualité de résolution.
Les valeurs pour l’aplatissement haute résolution.
Les styles personnalisés d’aplatissement Si les réglages par défaut ne vous conviennent pas, sélectionnez l’un d’eux pour l’utiliser comme base et cliquez sur Nouveau pour personnaliser le style d’aplatissement. Dans la fenêtre qui apparaît alors, précisez la proportion de pixels et de vecteurs du document, les valeurs de résolution de pixellisation ainsi que les options de vectorisation. Le style que vous créez ainsi sera disponible dans les différentes fenêtres dans lesquelles se définit l’aplatissement (impression, exportation…).
La résolution du texte et des dessins au trait Cette option spécifie la résolution appliquée aux objets vectoriels pixellisés. La résolution agit sur la précision des intersections entre éléments vectoriels et pixellisés. Pour la majorité des imprimantes, une résolution de 600 ppp assure une qualité suffisante pour représenter les éléments fins et les textes. Avec une photocomposeuse, la valeur peut être augmentée — par exemple, 1 200 ppp pour une photocomposeuse à 2 400 points. La résolution de dégradé et de filet Cette option définit la résolution appliquée aux dégradés pixellisés, aux ombres portées et aux contours progressifs lors de l’impression ou de l’exportation. La résolution agit sur la précision des intersections lors de l’aplatissement. Elle doit être définie entre 150 et 300 ppp — une valeur plus élevée n’améliore pas le résultat, en revanche, elle augmente le temps d’impression et la taille du fichier. L’option Vectoriser tout le texte
Cette fenêtre permet de personnaliser l’aplatissement des transparences.
Cette option provoque la conversion de tous les objets de texte en vecteur, ce qui garantit la régularité de la largeur du texte pendant l’aplatissement. Cependant, les petites polices apparaissent légèrement plus épaisses si elles sont affichées dans Acrobat ou imprimées sur des imprimantes de bureau à basse résolution. Il n’y a pas d’altération sur photocomposeuses ou imprimantes à haute résolution.
L’équilibre entre pixels et vecteurs
L’option Vectoriser tous les contours
On peut distinguer cinq paliers de réglage, depuis le document avec une majorité de morceaux pixellisés (0) jusqu’à celui où l’on garde le maximum de parties vectorielles (100).
Cette option provoque la conversion des contours en tracés remplis d’un fond. Elle garantit la régularité de la largeur des contours pendant l’aplatissement ; cependant, les contours fins apparaissent légèrement plus épais.
– Valeur 0 : elle entraîne la pixellisation de tous les objets de l’illustration. Ce réglage convient quand vous imprimez ou exportez des documents complexes avec beaucoup d’objets transparents ou pour des travaux destinés au Web.
– Valeur 25 : elle maintient en vectoriel les objets simples mais pixellise les zones complexes. Ce réglage est idéal pour les documents ne contenant que quelques objets transparents.
– Valeur 50 : elle conserve davantage d’objets en vectoriel mais pixellise les zones les plus complexes.
– Valeur 75 : elle conserve la majorité des objets en vectoriel et ne pixellise que les zones très complexes. Ce réglage augmente le temps de travail si le document comporte beaucoup d’objets transparents.
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L’option Écrêter les zones complexes Cette option, quand elle n’est pas cochée, permet d’améliorer la qualité des raccords entre les parties tramées (pixellisées) et les parties vectorielles. Cependant, certains tracés risquent d’être trop complexes pour l’imprimante ; dans ce cas, cochez l’option pour minimiser les problèmes de raccord. ASTUCE Si vous souhaitez que l’aplatissement des transparences s’applique à toutes les pages de votre document InDesign, affichez le gabarit et créez un bloc sans fond ni contour qui englobe la page. Réglez l’opacité de ce bloc à 99,9 %. Dans la palette Pages, il apparaîtra un damier à droite du nom du gabarit ( ), il indique qu’il y aura aplatissement, celui-ci se produira sur toutes les pages.
L A DISTRIBUTION DES FICHIERS
L’APLATISSEMENT PERSONNALISÉ PAR PLANCHE En remplacement de l’aplatissement choisi dans la commande du menu Édition pour l’ensemble du document ou du livre, vous pouvez appliquer des paramètres d’aplatissement à chaque planche d’un document. Pour cela, sélectionnez la planche voulue dans la palette Pages et, depuis son menu local, lancez la commande Aplatissement des planches puis Personnalisé. Une fenêtre similaire à celle de la page précédente apparaît alors pour définir le réglage. Cette opération est utile pour contrôler la qualité d’aplatissement des documents comportant à la fois des images haute résolution et de nombreuses transparences et images basse résolution. Vous utiliserez une qualité supérieure pour la planche complexe et une qualité moindre sur les autres planches.
Les recouvrements et les surimpressions Les réglages de recouvrement et de surimpression n’interviennent que lorsque vous réalisez une impression avec séparation des couleurs, laquelle se spécifie à la rubrique Sortie de la fenêtre Imprimer. Lors de ce type d’impression, vous devez indiquer le comportement d’InDesign lorsqu’il rencontre des zones colorées se recouvrant. Trois réglages sont disponibles : Désactivé, Intégré à l’application et Adobe In-RIP. Avec les deux derniers, le recouvrement est automatique, avec le premier, il n’y a pas de recouvrement, vous devez alors le créer manuellement par objet.
A STUCE Lors de l’exportation ou de l’impression (à la rubrique Avancé), il est possible de rétablir les paramètres d’aplatissement pour le document ou le livre en cochant l’option Ignorer le remplacement des planches.
L A PRÉVISUALISATION DE L’APLATISSEMENT Il est possible de prévisualiser l’aplatissement du document. Cette opération s’effectue à l’aide de la palette Aperçu de l’aplatissement du menu Fenêtre/Sortie. Par défaut, l’option Sans est active, un clic dessus affiche une liste pour choisir les zones à afficher en surbrillance : Zones complexes pixellisées, Objets transparents… Le menu de la palette donne accès aux réglages d’aplatissement qui se trouvent facilités par l’affichage en surbrillance rose de la zone choisie (le reste de la page étant estompé et à niveaux de gris).
Quand il y a séparation aration des couleurs, les recouvrements ts interviennent. intervienn
Avant d’étudier ces différents réglages automatiques et manuels, rappelons le principe des recouvrements et des surimpressions.
LE PRINCIPE DE DÉFONCE OU DE SURIMPRESSION Lorsqu’un objet est sélectionné, la palette Options d’objet (qui s’affiche par le menu Fenêtre) comporte deux boutons (Surimpression du fond et Surimpression du contour) qui permettent de gérer les surimpressions lorsque des objets se recouvrent. Par défaut, aucune option n’est cochée : il y a défonce, c’est-à-dire qu’InDesign crée, lors de l’impression des séparations, une zone de défonce (un trou sur la couleur à l’arrière-plan) sur la partie commune aux objets superposés de couleurs différentes. En revanche, si vous cochez le bouton Surimpression du fond (ou Surimpression du contour), aucune zone de défonce n’est créée ; il y aura mélange des couleurs des parties superposées des deux objets, c’est-à-dire qu’il y aura une surimpression.
Objetss avec le réglage par défaut (défonce) et avec ec laa surimpression. surim La page sans ns et avec l’aperçu perçu : p les zones concernées oncernées s’affichent en rose. À partir de cee menu, on peutt choisirr l’élément à afficher. ff h
Cyan
Magenta
Films de séparation : il y a un trou, c’est la défonce.
Cyan
Magenta Magent
Films de séparation : il y a un mélange, c’est la surimpression.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 10
Les types de recouvrements
Le noir riche
Le recouvrement permet de remédier à un défaut d’alignement des plaques d’impression dans les presses d’imprimerie. En effet, la zone de défonce ayant la même taille que la partie de l’objet en superposition, un léger décalage des plaques fait apparaître une zone blanche. Pour assurer la continuité des couleurs, un recouvrement devra être réalisé. Il s’effectue par dilatation ou par contraction.
La surimpression du noir peut provoquer des différences de teinte entre deux objets noirs dont l’un est placé sur un arrière-plan coloré (rouge, par exemple). Pour éviter ces différences d’aspect, vous pouvez créer un noir enrichi. Il s’agit d’un noir renfermant 30 % de cyan et/ou 30 % de magenta. Ce noir enrichi, imprimé en surimpression, prend la même teinte sur tous les fonds. Attention, il faudra cocher l’option de surimpression pour tous les objets qui utilisent cette couleur.
Le recouvrement par dilatation : grossi On doit dilater la couleur claire par rapport à la couleur foncée si la couleur claire se trouve au premier plan : ainsi elle déborde sur le foncé.
Noir en surimpression.
Noir en défonce.
Noir avec soutien de magenta.
ASTUCE Dans le cas des textes, vous pouvez créer des styles de caractère ou de paragraphe afin d’automatiser l’attribution de ce noir enrichi et l’affectation de la surimpression. L’objet au premier plan est plus clair : il y a dilatation tation de la zone z de recouvrement (grossi).
Le recouvrement par contraction : maigri
La surimpression d’un vernis
Si la couleur claire se trouve à l’arrière-plan, elle doit être contrac tée. Dans les deux cas, la couleur foncée n’est pas modifiée ; on préserve ainsi les formes des objets (texte ou dessin).
Si vous souhaitez placer un vernis sur des éléments d ’un do cum ent, vous devez ajouter un ton direct au nuancier et l’appliquer à l’objet souhaité. Pour qu’il y ait surimpression, cochez l’option Surimpression du fond dans la palette Options d’objet — l’aperçu des surimpressions (voir ci-après) permet de prévisualiser le résultat.
L’objet au premier plan est plus foncé : il y a contraction traction de la zone de recouvrement (maigri).
La surimpression des encres Le cas du noir Si l’objet est de couleur très sombre, il peut être imprimé en surimpression. C’est le cas du noir — celui nommé [Noir] dans la palette Nuancier —, qu’InDesign surimprime systématiquement. Ce réglage est spécifié dans la rubrique des options générales des préférences du programme (menu InDesign [Fichier]). L’option peut être désactivée (dans les préférences, rubrique Aperçu du noir) si vous souhaitez imprimer le noir en défonce. Dans ce cas, vous pourrez régler par objet la surimpression, si vous le souhaitez, à partir de la palette Options d’objet (ou Filets de paragraphe).
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Utilisez cette option avec un ton direct appliqué au fond de l’objet pour simuler un vernis.
L’aperçu des surimpressions La palette Séparation du menu Fenêtre et sous-menu Aperçu de la sortie vous permet de visualiser les surimpressions à l’écran. Pour cela, cliquez sur Désactivé pour choisir Séparations (cette opération équivaut à la sélection de la commande Aperçu de la surimpression du menu Affichage).
L A DISTRIBUTION DES FICHIERS Selon la composition du document, la palette comporte les quatre couleurs de la quadrichromie auxquelles s’ajoutent éventuellement les tons directs. En cliquant sur l’une des encres affichées, vous visualisez cette encre seule — cela permet de vérifier le comportement d’une encre (un vernis par exemple) et de modifier son comportement s’il n’est pas correct.
La simulation de la surimpression Si vous devez exporter au format Acrobat 4.0 (PDF 1.3) un document contenant des tons directs pour créer un fichier PDF destiné à être visualisé à l’écran (pour révision du client par exemple), lors de l’exportation (rubrique Avancé), sélectionnez l’option Simuler la surimpression. Cette option convertit tous les tons directs en équivalents quadri de manière à simuler les zones de transparence et de tons directs — attention, l’option ne devra pas être sélectionnée dans le document destiné à réaliser la sortie avec les couleurs séparées. De même, l’option Simuler la surimpression est utile pour contrôler les effets de surimpression des encres de tons directs avec différentes valeurs de densité neutre (par exemple, rouge et bleu). Dans le cas d’une sortie sur une imprimante couleur, la simulation de la surimpression permet de vérifier si certaines encres subissent une surimpression ou sont masquées.
LE RECOUVREMENT AUTOMATIQUE
Le documentt affiché normalement.t. Le vernis masque la photo.
L’aperçu surimpression erçu de la surimpres montre ntre le comportement comportemen du vernis sur l’image.
On a masqué l’encre l encre correspondant ndant au vernis.
Ici, on a affiché fiché le vernis seul seul.
L’utilisation des tons directs avec certains modes de fusion peut parfois produire des résultats inattendus (et parfois la disparition de l’objet) car InDesign utilise des équivalents quadri à l’écran et des tons directs à l’impression. L’utilisation de l’Aperçu de la surimpression permet de contrôler si l’aspect du document est celui désiré. Dans le cas contraire, essayez un autre mode de fusion (ou aucun mode) — évitez d’utiliser les modes Différence, Exclusion, Teinte, Saturation, Couleur et Luminosité.
Par défaut, lors d’une impression avec séparation, la fonction de recouvrement n’est pas activée. Si vous choisissez l’option Intégré à l’application, le recouvrement devient automatique ; vous pouvez également choisir l’option Adobe In-RIP (à condition de travailler avec des séparations In-RIP). Cette solution de recouvrement automatique n’est envisageable qu’avec les périphériques de sortie PostScript 3. En effet, grâce aux fonctionnalités du langage PostScript, ces périphériques sont capables d’effectuer les séparations et les recouvrements des couleurs au niveau du RIP d’impression. Renseignez-vous auprès de votre imprimeur pour savoir si son système d’impression possède un RIP qui prend en charge les traitements Adobe In-RIP. Selon l’option choisie, InDesign (ou le RIP) analyse les couleurs contiguës du document (aussi bien celles des objets créés que celles des images importées) après comparaison de leur densité neutre ou DN (elle correspond approximativement à la luminosité ou proportion de « noir » dans la couleur). Il détermine si elles nécessitent un recouvrement. Dans la plupart des cas, il provoque une dilatation des couleurs claires sur les couleurs foncées. INFO. Pour certaines encres, il est possible de modifier les réglages. Nous en reparlerons dans la partie consacrée à la gestion des encres un peu plus loin.
LES RECOUVREMENTS MANUELS Les couleurs quadri sans recouvrement Une solution proposée par InDesign, simple mais restrictive, consiste à n’employer que des couleurs quadri qui ne nécessitent pas de recouvrement ; c’est-à-dire que chacune d’elles possède une portion d’une même composante quadri.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 10 Par exemple, un vert et un bleu auront en commun un pourcentage de cyan ; celui-ci atténuera l’effet de liseré blanc dû à un mauvais repérage. ASTUCE Le nuancier Focoltone (disponible dans les modes colorimétriques lorsque vous créez une nouvelle nuance de couleur à partir du Nuancier) correspond à un système de couleurs pour l’impression en quadrichromie qui comporte 763 couleurs choisies pour éviter au maximum les problèmes de recouvrement.
Contours de recouvrement.
Zones nes de recouvrement des couleurs. INFO. Étant donné qu’il y a surimpression du contour, la couleur de fond de l’objet conserve son encombrement initial, mais cela n’est pas visible sur l’écran.
Les recouvrements personnalisés Vous pouvez réaliser vous-même les recouvrements à partir des objets. Deux cas sont à envisager selon que les objets sont en superposition totale avec un seul fond coloré ou non. Superposition totale des objets La couleur foncée peut être à l’arrière-plan ou au premier plan par rapport à la couleur claire. Quel que soit le cas de figure, le recouvrement se réalise à partir de l’objet au premier plan avec un contour ayant la couleur la plus claire. ASTUCE Si vous n’arrivez pas à établir quelle est la couleur la plus claire, vous pouvez sélectionner à tour de rôle les objets et comparer la composition de chaque couleur dans la palette Couleur. En passant en mode Lab, la couleur la plus claire a la valeur L la plus grande.
Pour créer une zone de recouvrement, commencez par sélectionner l’objet au premier plan. Il s’agit de lui ajouter un contour de la couleur claire (dont la teinte peut être réduite à 50 %) en le plaçant à l’extérieur à l’aide de l’option adéquate dans la palette Contour afin qu’il corresponde à une dilatation de la couleur claire par rapport à la taille initiale de l’objet. L’épaisseur du contour sera égale à la valeur de recouvrement souhaitée. Surtout, n’oubliez pas de cocher l’option Surimprimer le contour dans la palette Options d’objet.
Les objets colorés sur des fonds différents.
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Superposition partielle des objets Si les objets sont en superposition partielle (sur un ou plusieurs fonds), le recouvrement est plus délicat à réaliser. En effet, vous ne pouvez pas appliquer un contour de recouvrement car ce dernier s’appliquera à tout l’objet : aussi bien à la partie en recouvrement avec le fond qu’à la partie qui n’est pas en recouvrement (ou située sur un autre fond). Pour réaliser ce recouvrement, ajoutez un calque et glissez dessus une copie de l’objet (à partir du carré de sélection qui a été glissé avec ∏ [Alt]). Comme nous l’avons déjà indiqué, appliquez à l’objet un contour de couleur claire en surimpression (avec la position extérieure) et la nuance Sans pour son fond. Avec l’outil Flèche blanche, sélectionnez l’objet et l’arrière-plan. Une fois les deux tracés affichés, activez l’outil Ciseaux et cliquez sur chaque intersection entre l’objet et l’arrière-plan. Sélectionnez puis effacez les morceaux qui ne sont pas en recouvrement avec l’arrière-plan. Cette méthode est plutôt laborieuse mais c’est la seule disponible si vous ne pouvez pas utiliser la technique des recouvrements automatiques (intégrée ou In-RIP).
La gestion des encres L A CONVERSION DES TONS DIRECTS EN COULEURS QUADRI Avant de lancer une impression, il est important de contrôler le nombre de couleurs qui seront utilisées et, éventuellement, de convertir les tons directs en couleurs quadrichromiques. Cette conversion est nécessaire si vous avez ajouté par mégarde un ton direct à un document en couleurs quadri ou si le nombre de tons directs du document est trop élevé pour envisager une impression. Cette conversion ne se répercute pas sur la définition des couleurs dans le document. Elle se réalise dans le Gestionnaire d’encres qui s’affiche à partir du menu local de la palette Nuancier. Il s’agit d’une fenêtre qui répertorie l’ensemble des couleurs imprimées (quadri et tons directs).
L A DISTRIBUTION DES FICHIERS En entrant de nouvelles valeurs, vous pouvez garantir qu’une encre qui paraît plus foncée ou plus claire est perçue comme telle dans InDesign et que le recouvrement approprié lui sera appliqué. Quelques traitements spéciaux sont proposés dans la liste Type, disponible quand une encre est sélectionnée. On distingue Normal, Transparent, Opaque et Ignorer Opaque. Les traitements spéciaux de recouvrement.
– Normal : ce réglage convient aux encres quadrichromi-
La fenêtre être liste tous les tons directs. I NFO . Le Gestionnaire d’encres s’affiche également à partir du menu de la palette Aperçu des séparations, dans la rubrique Sortie de la fenêtre Imprimer, dans la rubrique Avancé des fenêtres Exporter au format PDF ou Exporter au format EPS.
ques traditionnelles et à la plupart des encres de tons directs.
– Transparent : utilisez cette option pour les vernis, les encres de découpe et les encres claires. Elle permet de garantir le recouvrement des éléments sous-jacents.
– Opaque : utilisez cette option avec les encres métallisées et les encres lourdes et non transparentes pour éviter le recouvrement des couleurs sous-jacentes tout en permettant le recouvrement le long des bords de l’encre.
En cliquant sur le bouton Quadrichromie, tous les tons directs sont convertis en mélange CMJN : dans la liste, l’icône de la quadrichromie s’affiche devant leur nom. Si vous ne souhaitez convertir que quelques tons directs, cliquez sur l’icône située à gauche de leur nom, elle deviendra icône de quadrichromie .
– Ignorer Opaque : utilisez cette option avec des encres lourdes et non transparentes qui posent des problèmes d’interaction avec d’autres encres telles que les vernis et les encres métallisées. Elle permet d’éviter le recouvrement des couleurs sous-jacentes. Les tons toons directs d s’impriment s’imp prime en quadri d en cliquant cliqu a ici.
L A PERSONNALISATION DU RECOUVREMENT
Dans le Gestionnaire d’encres, vous pouvez également régler la séquence de recouvrement (ou ordre de recouvrement). Elle correspond à l’ordre d’impression des encres sur la presse. Ces réglages sont utiles lors d’une impression avec plusieurs couleurs opaques, telles que des encres métallisées : l’encre ayant un numéro de séquence inférieur est étalée sous les encres de numéro supérieur. Consultez votre prestataire de services prépresse pour connaître les réglages à appliquer.
DES ENCRES SPÉCIALES
Quand un ton direct est sélectionné dans la liste, il est possible de modifier certaines de ses caractéristiques pour l’impression, notamment les réglages du recouvrement. Pour un ton direct, le recouvrement est déterminé en fonction de la valeur de densité neutre (DN) de son équivalent CMJN. Dans la majorité des cas, ces valeurs sont suffisamment précises pour créer un recouvrement correct. Cependant, certains tons directs difficiles à simuler à l’aide d’encres quadri, telles que les vernis et les encres métallisées, peuvent nécessiter un ajustement de leur valeur DN afin que le moteur de recouvrement puisse les recouvrir correctement (consultez à ce sujet votre prestataire de services prépresse).
La préparation des fichiers pour le flasheur LE CONTRÔLE EN AMONT OU PREFLIGHT Cette opération est capitale pour réaliser une impression extérieure mais elle est également indispensable avant de préparer un fichier PostScript ou PDF. Le Contrôle en amont (en anglais, Preflight) s’effectue à partir du menu Fichier (également depuis la palette Livre) ; il permet de vérifier si des éléments du document (images, textes, etc.) ne risquent pas de poser des problèmes à l’impression.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 10 Une fenêtre de contrôle apparaît : elle affiche une synthèse du contrôle et permet par différentes rubriques de consulter la liste des composants du document : polices, liens et images, couleurs et encres. Si un problème existe, il est signalé ; certains d’entre eux pourront être résolus dans la fenêtre.
Dans ce cas, il faudra ouvrir l’image dans le logiciel de création (Photoshop, par exemple) pour faire la conversion vers le mode CMJN. Quand une image est sélectionnée, une zone indique sa résolution réelle (à l’importation) et celle liée à un redimensionnement. Cela vous permet de repérer la présence d’images basse résolution.
– Pour les couleurs : la liste des couleurs apparaît ; elle permet d’en vérifier le nombre. Le cas échéant, il faudra peut-être convertir un ton direct si sa présence n’est pas justifiée.
La fenêtre de contrôle signale tous les problèmes potentiels.
– Pour les polices : InDesign indique si elles sont présentes, ainsi que leur type. Si vous avez utilisé une police bitmap, par exemple, vous devrez la substituer par une police de type 1 avant de rassembler les données.
Tous les tonss directs sont llistés.
– Pour l’impression : une liste permet de contrôler vos choix pour les options d’impression.
La fenêtre être montre les réglages régla d’impression.
LE RASSEMBLEMENT DES DONNÉES Le typee de la police est indiqué. indiqué On peut faire des recherches. erches erches.
– Pour les images : les liens manquants, rompus ou nécessitant une mise à jour sont signalés ainsi que les modèles colorimétriques qui ne sont pas conformes à une impression en quadrichromie avec séparations.
Si tout est conforme, il ne reste plus qu’à cliquer sur le bouton Assemblage : InDesign affiche une première fenêtre pour spécifier les éléments à inclure dans l’assemblage puis un formulaire d’instructions d’impression. Enfin, il copie dans un dossier à spécifier l’ensemble des données pour le flasheur (fichiers InDesign, polices et images liées au document). Ce dossier sera transmis (sur un support amovible ou un serveur FTP) au service d’impression.
Le mode dee des couleurs et l’état d l état du lien d de ll’imag l’image imag sont indiqués. Il y a copie des fichiers nécessaires nécess à l’impression.
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L A DISTRIBUTION DES FICHIERS
L’impression d’un document Elle s’effectue par la commande Imprimer du menu Fichier (au clavier ¢P [Ctrl P] ) qui donne accès à une fenêtre permettant de paramétrer différentes options d’impression. Cette fenêtre propose un grand nombre d’options réparties en sept rubriques : Général, Format, Repères et fond perdu, Sortie, Graphiques, Gestion des couleurs et Avancé. Chaque rubrique affiche une fenêtre de réglages. On passe de l’une à l’autre au clavier en tapant Flèche vers le bas ou vers le haut.
Une fois cette première opération réalisée, lancez la commande Configuration d’imprimante ou Centre d’impression (dossier Application/Utilitaires [Démarrer/Paramètres/Imprimantes]). Cliquez sur Ajouter une imprimante, choisissez un port de connexion de type IP et renseignez l’adresse de l’imprimante avec une adresse IP quelconque par exemple 1.1.1.1.1. Dans la zone Modèle de l’imprimante, sélectionnez Autre afin de retrouver le PPD.
Les options générales d’impression Dans la rubrique Général (voir ci-contre), définissez les options de base : nombre de copies, séquence et ordre d’impression. Une zone (Options) permet de spécifier l’impression ou non de certains éléments (objets non imprimables, pages vides, grilles…). Pour certaines impressions, pensez à utiliser la commande Imprimer le livret (menu Fichier).
Les options de format LES RÉGLAGES DU FORMAT DU PAPIER La zone Format donne accès à la taille du papier et à son orientation. Si vous avez sélectionné une flasheuse et l’option Personnalisés de Format du papier, des options supplémentaires sont disponibles. Les es rubriques d’options d’impression on et ici la liste des imprimantes. i INFO. La dernière rubrique, Synthèse, récapitule toutes les autres rubriques et signale les problèmes qui peuvent survenir pendant l’impression à cause de la présence de certains éléments.
La partie haute de la fenêtre permet de choisir le type d’imprimante utilisée (et son fichier PPD associé). Ces réglages peuvent faire l’objet de styles d’impression dont la liste s’affichera en haut de la fenêtre (Impression prédéfinie). Nous en reparlerons plus loin dans ce chapitre après avoir étudié tous les réglages d’impression. Si vous avez installé la Creative Suite ou Acrobat 8 Pro, par défaut, une imprimante nommée Adobe PDF 8.0 est disponible pour imprimer directement vers le Distiller. Vous pouvez ajouter d’autres imprimantes même sans y être physiquement relié en utilisant l’impression via une IP. Pour cela, il vous faut télécharger le PPD (fichier de description de l’imprimante que vous trouverez sur le site d’Adobe à l’adresse http://www.adobe.com/support/downloads/main.html).
On rè règle gle les dimensions dimension du papier. Avec une flasheuse, automatiquement. flash use, elles s’adaptent s’adap En cliquant cliq sur l’aperçu on peut connaître les dimensions du connaî conn document et du papier. docu
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 10
LES AGRANDISSEMENTS ET RÉDUCTIONS
La mosaïque automatique
La zone Options de la rubrique Format permet de définir le taux de réduction ou d’agrandissement — on retrouve ces options en cliquant sur le bouton Format de page. L’option Ajuster permet d’adapter la taille du document à celle du papier utilisé. Dans le cas d’un agrandissement, il faudra envisager l’impression d’une mosaïque. Inversement, pour imprimer une planche de deux pages sur une feuille de grand format, utilisez la commande Imprimer le livret (menu Fichier).
La page est découpée automatiquement mais vous pouvez choisir une valeur de chevauchement ; elle comportera la partie commune aux morceaux adjacents afin d’établir le raccord lors de l’assemblage de la mosaïque. L’option Justification automatique entraîne des chevauchements plus grands de manière à ce que les bords droit et inférieur de la mosaïque correspondent respectivement aux bords droit et inférieur du document.
L’IMPRESSION DE MINIATURES OU VIGNETTES InDesign vous permet d’imprimer l’ensemble d’un document multipages à l’aide de miniatures ou de vignettes ; on appelle ce type de sortie le chemin de fer. Pour le réaliser, cochez l’option Vignettes et choisissez le nombre de vignettes dans le menu local.
Les repères et les fonds perdus InDesign peut placer des repères d’impression (traits de coupe, bande Brunner…) à partir de la rubrique Repères et fond perdu de la fenêtre d’impression. Les éléments sélectionnés se placent autour du document, l’aperçu permet de contrôler leur présence. Dans cette rubrique, vous pouvez également spécifier les dimensions des fonds perdus pour que la zone imprimée s’étende au-delà du format du document. N’oubliez pas de cocher l’option Inclure la zone de ligne-bloc si vous avez placé des éléments dans cette zone.
On peut imprimer mprimer de d des ees miniatures en cliquant ici. ic
LES IMPRESSIONS EN MOSAÏQUE Cela consiste à imprimer sur plusieurs feuilles une page de taille supérieure à celle du papier. La mosaïque est également indispensable suite à un agrandissement si la taille du document devient supérieure à celle du papier. Les différentes parties obtenues seront ensuite assemblées à la main. La mosaïque peut se faire de deux façons : manuellement ou automatiquement.
On a ajouté té toutes les lees marques marq d’impression.
La page s’imprime ’impri imprime ime een n mosaïque avec cette option. o
La mosaïque manuelle Cette option permet de n’imprimer qu’une partie donnée d’une page trop grande, ou de définir l’emplacement et la dimension de la mosaïque (pour les assemblages difficiles). C’est en positionnant l’origine des règles à l’endroit voulu que vous définissez le coin supérieur gauche de la mosaïque. En répétant l’opération plusieurs fois, vous pouvez « découper » toute votre page manuellement. Chaque fois, vous déplacez l’origine pour indiquer le début du morceau suivant.
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Les options de sortie L’IMPRESSION COMPOSITE Deux types d’impression sont envisageables : composite, c’est-à-dire en couleur (RVB, CMJN ou gris selon l’imprimante) ou avec séparations. Le choix s’effectue à la rubrique Couleur. Celle-ci se modifie automatiquement en fonction de l’imprimante sélectionnée : elle affiche RVB composite avec une imprimante de type jet d’encre ou CMJN composite avec une flasheuse ou une imprimante gérée par un RIP PostScript.
L A DISTRIBUTION DES FICHIERS L’option Recouvrement assure la gestion des recouvrements des couleurs (nous avons abordé ce sujet en début de ce chapitre). Cette option n’est accessible que si la séparation des couleurs est programmée, il en est de même pour l’option Tramage.
Dans le menu Tramage, sélectionnez le couple linéature/ résolution correspondant à la qualité d’impression souhaitée (la liste dépend du PPD de l’imprimante). Éventuellement, modifiez les réglages de tramage (linéature, fréquence et angle) pour chaque encre si ceux qui sont proposés ne vous conviennent pas. Pour définir le sens de l’émulsion (vers le haut ou le bas) et/ou obtenir un négatif du film, sélectionnez le paramètre voulu dans la partie Symétrie.
Les options graphiques L A QUALITÉ DES IMAGES IMPRIMÉES La rubrique Graphiques permet de définir la qualité des images imprimées. L’option par défaut est Toutes, c’est-à-dire que la qualité est maximale : les données haute résolution des images sont envoyées à l’imprimante. Le menu local Envoi des données propose d’autres options : Échantillonnage optimisé, qui adapte la résolution des images à celle du périphérique de sortie, ce qui permet d’effectuer une sortie sur une imprimante de bureau ; Doublures, qui envoie les images avec la résolution écran (l’impression est plus rapide). Par défaut, l’impression s’effectue ffectue en couleur cou composite.
LES SÉPARATIONS DE COULEURS Pour obtenir les séparations des couleurs, il suffit de cocher l’option Séparations dans la rubrique Couleur. Vous pouvez réaliser les séparations au niveau du RIP avec l’option Séparations In-RIP ; cependant, cela n’est envisageable qu’avec un système d’impression PostScript 3 ou 2 (dont le RIP prend en charge les séparations In-RIP). De plus, si le document contient des images bichromes de Photoshop, le PostScript 3 est requis. Dans les deux cas, la zone des encres devient accessible ; elle indique la liste des encres (quelques réglages sont possibles). Vous pouvez définir quelles encres de tons directs doivent être imprimées ou non (par un double-clic sur leur nom).
S’il apparaît des encres en trop dans cette liste, cliquez pour modifier leur ici po statut. statu u
Choisissez dans cette liste te la qualité souhaitée so pour les images.
Pour une relecture du texte sans les images, choisissez Sans ; vous obtiendrez une impression plus rapide, mais sans les illustrations, qui seront remplacées par des rectangles avec une croix.
L’INCORPORATION DES POLICES Avec l’option Complet, InDesign télécharge le jeu complet des caractères (ou glyphes) utilisés dans le texte. O incorpore On in ou non les n l polices.
Si des tons directs présents dans la liste doivent être imprimés en quadrichromie, cliquez sur le bouton Gestionnaire d’encres : dans la fenêtre, cliquez sur l’icône située à gauche du nom du ton direct (elle deviendra ) ; cochez Quadrichromie si l’impression s’effectue sans ton direct.
Avec l’option Jeu partiel de la zone Téléchargement, InDesign n’incorpore que les glyphes réellement utilisés — cette option permet généralement d’obtenir des fichiers plus petits et ce, plus rapidement. Aucun téléchargement n’est réalisé avec l’option Sans.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 10 Utilisez cette option si les polices résident sur l’imprimante mais évitez-la si le document renferme des polices TrueType. Toutes les polices du document, y compris les polices résidentes, sont téléchargées avec l’option Télécharger les polices PPD, ce qui permet d’éviter des conflits de versions de polices entre l’ordinateur et l’imprimante.
Les options de gestion des couleurs Dans la rubrique Gestion des couleurs, vous pouvez adapter les couleurs au système d’impression. Si le document utilise un profil de type prépresse (Euroscale couché, par exemple), pour l’imprimer sur une imprimante de bureau, vous devez convertir ses couleurs selon l’espace colorimétrique de cette imprimante.
L A CONVERSION À PARTIR DES COULEURS DU DOCUMENT Pour convertir les couleurs du document, dans la rubrique Gestion des couleurs, cochez l’option Document (active par défaut), choisissez une imprimante RVB (dans la liste des imprimantes connectées, en haut de la fenêtre) puis le profil correspondant dans la liste des profils. InDesign convertit les données chromatiques en valeurs RVB à l’aide des profils colorimétriques sélectionnés.
Si la sortie s’effectue sur une imprimante PostScript (2 ou 3), dans la liste des profils, vous pouvez choisir Laisser l’imprimante PostScript® déterminer les couleurs. Dans ce cas, InDesign joint au profil du document les données chromatiques du document dans une version étalonnée de leur espace colorimétrique d’origine. Cet ensemble est envoyé à l’imprimante PostScript qui effectue la conversion du document selon son propre espace colorimétrique. Ce dernier est stocké dans l’imprimante, sous la forme d’un dictionnaire de rendu des couleurs (CRD - Color Rendering Dictionary) qui permet une sortie indépendante du périphérique — les CRD sont des équivalents PostScript des profils. Les résultats de cette conversion des couleurs peuvent varier d’une imprimante à l’autre.
Les options de la rubrique Avancé L’IMPRESSION OPI (O PEN PREPRESS INTERFACE) Si vous souhaitez que les images ne soient pas imprimées, vous pouvez cocher l’option Ignorer correspondant au type d’image à ne pas imprimer (EPS, PDF ou Images bitmap). Une zone blanche remplacera l’image. Ultérieurement, celle-ci pourra être incorporée par un photograveur. Vous pouvez également utiliser cette option pour les relectures. De même, c’est grâce à l’option Substitution d’image OPI que les images basse résolution seront remplacées par les images haute résolution si vous utilisez un serveur d’impression OPI ; dans le cas contraire, cette option est sans effet.
On cochee cette option eet on choisit oisit ici le profil de l’imprimante. On cochee cette opt option pour utiliser la substitution prépresse.
L A CONVERSION À PARTIR DES COULEURS DE L’ÉPREUVE Quand vous avez défini un espace de fusion des transparences RVB, vous pouvez simuler l’affichage de sortie en CMJN à partir de l’option Personnalisé du menu Affichage/ Format d’épreuve et de la commande Couleur d’épreuve. Lors de l’impression, cochez Épreuve afin de gérer les couleurs du document à l’aide des couleurs d’épreuve.
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L’APLATISSEMENT DES TRANSPARENCES Cette rubrique permet de choisir l’aplatissement des transparences. Pour une impression de qualité, choisissez l’option [Haute résolution]. Si vous avez préparé des styles d’aplatissement, ils figureront avec les trois aplatissements prédéfinis.
L A DISTRIBUTION DES FICHIERS
Les fichiers PostScript Il s’agit de créer un fichier PostScript (au format .ps) correspondant aux données qui, habituellement, sont envoyées à l’imprimante. Cette opération peut se réaliser de deux façons : lors de l’impression et par exportation (nous étudierons ce second cas plus loin). ASTUCE L’export direct en PDF depuis InDesign peut poser des problèmes avec des RIP anciens ou des dispositifs CTP…, c’est pour cette raison que le fichier PostScript est préférable. Cependant, si vous avez installé la Creative Suite sur votre ordinateur, une imprimante nommée Adobe PDF est ajoutée ; elle vous permet d’imprimer directement vers Distiller.
L’UTILISATION DES FICHIERS POST SCRIPT Le fichier PostScript qui sera réalisé (après un contrôle en amont) pourra être envoyé à une imprimante à partir d’un programme capable de gérer ce genre de transfert, donc sans lancer InDesign. Ce fichier PostScript comporte des données vectorielles, il peut être ouvert dans Illustrator ou dans Photoshop (après pixellisation à l’ouverture) ; il peut également être importé dans InDesign. La principale utilisation du fichier PostScript est la création d’un fichier PDF à l’aide d’Adobe Distiller. Selon les réglages, le PDF obtenu permettra ainsi de prévisualiser sur l’écran, à l’aide d’Acrobat, les films de séparation des couleurs du document ou bien il pourra être envoyé à l’imprimeur en vue d’une sortie sur une flasheuse.
Dans le cas d’un fichier PostScript dépendant d’un périphérique, utilisez de préférence un PPD qui offre la plus grande surface d’impression comme celui d’Agfa ou d’Heidelberg. Vous les trouverez sur le site d’Adobe à l’adresse suivante : http://www.adobe.com/support/downloads/main.html. INFO. Consultez votre imprimeur pour qu’il vous fournisse le fichier PPD et le fichier joboptions si vous devez distiller le fichier PostScript. Sur un Mac, il faudra placer le fichier PPD dans le dossier HD/Bibliothèque (ou Library)/Printers/ PPDs/Contents/Resources/en.lproj.
Les impressions prédéfinies Les styles d’impression ou impressions prédéfinies s’élaborent à deux niveaux : depuis la fenêtre Imprimer ou à partir de la commande Impressions prédéfinies du menu Fichier. Dans le premier cas, le style d’impression s’obtient en cliquant sur le bouton Enreg. prédéfini… une fois les réglages terminés. Dans le second cas, Impressions prédéfinies (du menu Fichier) puis Définir affiche une fenêtre avec un style : [Par défaut]. Le bouton Nouveau permet de préparer une nouvelle impression prédéfinie de la même manière que lors d’une impression. Par la suite, les réglages peuvent être enregistrés pour être transférés sur d’autres ordinateurs (comportant les mêmes PPD).
L A CRÉATION D’UN FICHIER POST SCRIPT Pour transférer les données PostScript dans un fichier enregistré sur le disque plutôt que vers l’imprimante, choisissez Fichier PostScript® dans le menu local Imprimante puis, dans le menu local PPD, sélectionnez Indépendant du périphérique ou une imprimante spécifique dont vous avez installé le fichier PPD. La case Imprimer se transforme alors en Enregistrer ; comme pour une impression classique, spécifiez les différents réglages (nombre de pages, séparation, repérage…). Un fichier PostScript indépendant du périphérique est conforme aux normes DSC, il s’agit d’un document composite (CMJN avec tons directs) qui est idéal pour la réalisation de tâches de prépresse comme le recouvrement et l’imposition. De plus, toutes les dépendances aux pilotes et aux périphériques étant supprimées, le fichier s’imprime sur la majorité des périphériques de sortie — cependant, certaines fonctionnalités spécifiques d’un fichier PPD peuvent être absentes.
En cliquant ici, ci, on crée une nouvelle impression prédéfinie. ci
Pour imprimer en utilisant un réglage prédéfini, vous pouvez soit utiliser le sous-menu Impressions prédéfinies, soit lancer une impression et choisir l’impression prédéfinie souhaitée dans la liste proposée en haut de la fenêtre.
On retrouve ici ci less styles dd’impression ou impressions prédéfinies.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 10
Les exportations InDesign peut exporter un fichier selon différents formats. Le choix du format s’effectue depuis la commande Exporter du menu Fichier. Parmi ces formats, on trouve : deux formats PostScript (EPS et SVG), un format Acrobat PDF (pour l’impression ou une distribution en ligne), un format graphique JPEG (exportation page par page pour une présentation écran ou une page Web) et quelques formats particuliers pour Les formats d’export. les textes (RTF…), ou le Web (XML). INFO. Lors de l’exportation, si le format choisi ne gère pas la transparence (c’est-à-dire un format autre que PDF 1.4 et ultérieurs), InDesign procède à l’aplatissement des transparences.
L’exportation au format EPS
L’exportation en PDF LES INTÉRÊTS DU PDF Les transferts de fichiers PDF Le fichier PDF qu’InDesign crée contient des données compressées. Vous disposez en un seul fichier, de la composition InDesign, des images importées dans ce document et, selon les réglages choisis, des polices utilisées. Son poids est bien inférieur à celui de tous les fichiers constituant l’ensemble du document ce qui facilite le transfert sur un réseau.
Le contrôle d’impression Vous pouvez également transformer vos documents InDesign en fichiers PDF pour contrôler les pages avant d’en effectuer la sortie sur le système d’impression. En procédant ainsi, vous limitez le nombre d’erreurs lors de l’impression.
L’impression d’un fichier PDF Le fichier PostScript peut être créé à partir de la fenêtre d’impression comme nous l’avons expliqué à la page précédente. InDesign permet également de le réaliser par exportation. Avant d’effectuer une exportation du document en fichier image EPS, lancez le Contrôle en amont du menu Fichier pour vous assurer que tous les éléments du document sont conformes à ce type d’exportation. Si vous ne passez pas par cette étape préliminaire, un message signalera les liens manquants. Ce type d’exportation permet de transformer une page d’un document en image EPS. Celle-ci pourra être ouverte dans différents logiciels de dessin ou de mise en pages. Cependant, dans le cadre d’une utilisation pour InDesign, il n’est plus indispensable et peut être avantageusement remplacé par l’importation directe du fichier au format InDesign (.indd). Lors de l’importation, les options d’importation permettront de choisir la page à importer.
L’impression d’une épreuve Un fichier PDF s’ouvre avec Acrobat, ce qui signifie qu’il peut être imprimé sans InDesign ni même les polices, à condition de les avoir toutes incorporées au fichier PDF. De plus, si vous possédez une imprimante non PostScript (cas de nombreuses imprimantes jet d’encre couleurs), vous pourrez quand même effectuer une sortie (depuis Acrobat) sur votre imprimante sans perte sensible de qualité par rapport à une imprimante PostScript (cela vous permet d’imprimer correctement les images vectorielles d’une mise en pages). L’épreuve de relecture ou de contrôle Pour une relecture par un correcteur ou un contrôle par un client, faites-leur parvenir un fichier PDF basse définition qu’ils pourront imprimer depuis Acrobat. C’est l’opération qui est réalisée pour la relecture de ce livre. Le fichier pour l’imprimeur Selon les options de compression et de gestion des couleurs choisies lors de l’exportation du document, le fichier PDF peut être utilisé par le flasheur pour réaliser une impression (cas de ce livre). La séparation des couleurs In-RIP pourra être réalisée par le flasheur s’il utilise un système d’impression PostScript 3, ou 2 si son RIP la prend en charge.
Plutôt que d’exporter en EPS pour créer une image d’une page, importez directement le fichier InDesign.
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INFO. L’export en PDF pose parfois des problèmes avec des RIP anciens ou des dispositifs CTP, consultez votre imprimeur et, le cas échéant, utilisez la méthode du fichier PostScript.
L A DISTRIBUTION DES FICHIERS Si vous avez installé la Creative Suite 2 ou Acrobat 7 Pro, l’imprimante Adobe PDF 7.0 est ajoutée par défaut. Elle vous permet d’imprimer directement vers le Distiller et de choisir (en cliquant sur le bouton Imprimante) le fichier de joboptions préconisé ou fourni par l’imprimeur.
Les pages PDF pour l’imposition
Le tableau ci-dessous résume les différentes versions du PDF avec leurs caractéristiques respectives. Version
Nom commercial
PDF 1.3
Acrobat 4
PDF 1.4
Acrobat 5
PDF 1.5
Acrobat 6
PDF 1.6 ou 1.7.
Acrobat 7 et 8
À partir du fichier PDF créé, vous pouvez envisager d’importer séparément chaque page dans un document InDesign de grand format pour y réaliser l’imposition de ces pages.
L A CRÉATION DU FICHIER PDF PAR EXPORTATION InDesign permet de créer un fichier PDF par exportation par la commande Exporter du menu Fichier (ou du menu de la palette Livre). Cependant, avant de créer le fichier, effectuez les mêmes vérifications que pour une impression ; utilisez notamment la commande Contrôle en amont pour vérifier les polices, les liens, les graphiques… Le format d’export en PDF affiche la fenêtre suivante :
Fonctionnalités PDF Gestion des polices CID* et des couleurs d’accompagnement. Aplatissement des illustrations utilisant la transparence. Gestion de la transparence et de la surimpression. Fonctions de sécurité avancées (cryptage 128 bits). Prise en charge des calques. Outils améliorés pour le traitement de documents grand format. Intégration de traitement prépresse (PDF/X, séparation de couleur, prévisualisation de la séparation…). Identiques à PDF 1.5 avec des options supplémentaires de sécurité.
* CID : polices utilisant un jeu de caractères étendu (2 octets) permettant la gestion des polices japonaises, chinoises et coréennes.
Si vous créez un document devant être diffusé à grande échelle, choisissez Acrobat 4 (PDF 1.3) ou Acrobat 5 (PDF 1.4) pour permettre à l’ensemble des utilisateurs de visualiser et d’imprimer le document.
Les paramètres prédéfinis sans standard Impression de qualité supérieure
La fenêtre de réglages de l’exportation au format PDF.
Dans le haut de la fenêtre, le menu Paramètre prédéfini Adobe PDF liste une série de réglages correspondant à des utilisations courantes. Vous pourrez y ajouter les vôtres (ils deviendront disponibles pour l’ensemble des logiciels de la Creative Suite) mais avant de voir comment procéder, passons en revue ces différentes propositions.
Les standards ou normes et la compatibilité PDF
Ce paramètre est étudié pour créer des épreuves de qualité sur des imprimantes de bureau ou des systèmes d’épreuves. Les fichiers sont enregistrés avec une haute résolution. En effet, les images couleur et niveaux de gris de résolution supérieure à 450 ppp sont sous-échantillonnées à 300 ppp (les images 1 bit de résolution supérieure à 1 800 ppp sont sous-échantillonnées à 1 200 ppp). Ce paramétrage permet d’imprimer à une plus haute résolution et préserve la quantité maximale d’informations du document d’origine. Les fichiers PDF obtenus ont la version 1.4 du format PDF ; ils peuvent être ouverts dans Acrobat 5 (et ultérieurs). Qualité optimale
Par défaut, InDesign propose six paramètres prédéfinis (dans la liste, leur nom est entre crochets). Chacun d’eux est défini ou non selon un Standard (ou Norme ISO) et avec une compatibilité avec une version PDF. Les paramètres prédéfinis présents par défaut. Vous pouvez ajouter les vôtres.
Ce paramétrage permet de créer des fichiers PDF pour la production d’impression de haute qualité (impression numérique, séparations sur photocomposeuse ou imageuse de plaques), mais ne crée pas de fichiers compatibles PDF/X. Dans ce cas, la qualité du contenu est prioritaire. L’objectif est de conserver toutes les informations contenues dans un fichier PDF nécessaires à l’imprimeur commercial ou au service de prépresse pour imprimer le document correctement.
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I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 10 Au niveau des compressions, les images couleur et niveaux de gris de résolution supérieure à 450 ppp sont sous-échantillonnées à 300 ppp (les images 1 bit de résolution supérieure à 1 800 ppp sont sous-échantillonnées à 1 200 ppp). Les sous-ensembles de polices utilisées dans le document sont incorporés dans le PDF (si elles sont autorisées, sinon elles seront remplacées). Ces fichiers ont le format PDF 1.4, ils peuvent être ouverts dans Acrobat 5 (et versions ultérieures). Qualité standard Cette option permet de créer des documents PDF professionnels fiables pour la visualisation et l’impression avec conversion des couleurs en RVB. Cet ensemble d’options utilise la compression, le sous-échantillonnage et une résolution d’image moyenne. Les documents PDF créés peuvent être ouverts dans Acrobat 5 et ultérieurs.
PDF/X-1a:2 001 Ce paramétrage requiert l’incorporation de toutes les polices et l’utilisation des couleurs CMJN avec ou sans tons directs. Les transparences sont aplaties avec le paramètre [Haute résolution]. Le PDF/X n’autorise ni la protection du document (pour permettre les corrections) ni la gestion des couleurs. Les images de résolution supérieure à 450 ppp, sont sous-échantillonnées à 300 ppp (les images 1 bit de résolution supérieure à 1 800 ppp sont sous-échantillonnées à 1 200 ppp). Les fichiers compatibles PDF/X doivent contenir des informations décrivant leurs conditions d’impression spécifiques. PDF/X-1a:2 001 utilise comme profil de rendu de la sortie, le profil défini dans la gestion des couleurs : Coated FOGRA27 avec le réglage prépresse pour l’Europe 2 (spécifié avec la commande Couleurs du menu Édition).
Taille de fichier minimale C’est le paramétrage à utiliser avec des fichiers destinés à être affichés sur le Web ou sur un réseau intranet, ou à être distribués par e-mail. Cet ensemble d’options utilise la compression, le sous-échantillonnage et une résolution d’image relativement basse. Il convertit toutes les couleurs en RVB et n’incorpore les polices que si elles sont absolument nécessaires. Il optimise également les fichiers pour le téléchargement page à page. Ces fichiers PDF (1.4) peuvent être ouverts dans Acrobat 5 et ultérieurs.
Les paramètres prédéfinis avec le standard PDF/X PDF/X est une norme ISO d’échange de contenus graphiques. Elle a été définie par Adobe en partenariat avec des constructeurs, des associations d’utilisateurs et des organisations afin de normaliser les échanges de fichiers PDF, notamment à destination d’une impression professionnelle. En effet, les spécifications de ce format (obligations et interdictions) permettent d’éliminer de nombreuses variables de couleur, police et recouvrement pouvant entraîner des problèmes d’impression, et d’assurer ainsi l’échange de contenu en toute fiabilité. InDesign prend en charge PDF/X-1a:2001 et PDF/X-1a:2003 pour les flux de production CMJN, et PDF/X-3:2002, PDF/X-3:2003 et plus récents, pour les flux de production avec gestion des couleurs. Les normes PDF/X. ASTUCE Un fichier PDF conforme à la norme PDF/X n’est pas forcément imprimable. En effet, certains points ne sont pas gérés dans la norme ; ainsi, un fichier peut comporter des images basse résolution. Il est donc indispensable d’effectuer des contrôles supplémentaires (avec Acrobat Professional, par exemple) en utilisant un « profil de contrôle » lié à l’utilisation du PDF.
380
Les fichiers PDF sont dotés de la version 1.3 du format PDF et peuvent être ouverts dans Acrobat 4 (et ultérieurs). Le contrôle en amont dans Acrobat devra être effectué avec le profil PDF/X-1a:2 001. PDF/X-3 (2 002 et 2 003) Ici, le fichier est compatible PDF/X-3. Il s’agit également d’une norme ISO d’échange de contenus graphiques qui impose l’incorporation des polices utilisées et interdit la compression et la protection du document. La principale différence réside dans le fait que PDF/X-3 autorise l’utilisation de la gestion des couleurs avec des profils et les couleurs indépendantes des périphériques en plus des couleurs CMJN et des tons directs (c’est-à-dire espace RVB, Lab). Les fichiers PDF (de version 1.3 d’Acrobat) ont une norme PDF/X adaptée aux échanges ponctuels entre graphistes, flasheurs et imprimeurs. PDF/X-4:2 007 À l’instar du format précédent, le fichier est compatible PDF/X-4. Il respecte les dernières spécifications de la norme ISO d’échange de contenus graphiques. INFO. Si vous tentez de créer un fichier conforme à PDF/X et qu’InDesign ne parvient pas à incorporer une police, un avertissement s’affiche.
L A PERSONNALISATION DES PARAMÈTRES PDF La personnalisation s’effectue dans les différentes rubriques : Général, Compression, Repères et fonds perdus, Sortie, Avancé et Sécurité. La rubrique Synthèse affiche un récapitulatif. Les réglages dépendent de l’utilisation prévue pour le fichier.
L A DISTRIBUTION DES FICHIERS
La rubrique Général Dans cette rubrique, vous définissez la version PDF souhaitée et la compatibilité du fichier avec Acrobat, ainsi que d’autres options générales relatives aux fichiers.
Si vous avez ajouté des éléments interactifs (boutons, liens hypertextes…) ou multimédia (vidéos, par exemple), il sera possible de les utiliser dans le document PDF.
La rubrique Compression Cette rubrique définit si les visuels doivent être compressés ou sous-échantillonnés ainsi que la méthode et les paramètres à utiliser pour cette compression.
Les objets jetts interactifs interactifs ajoutés da dans InDesign peuvent être exportés.
Les options de Pages Vous pouvez choisir quelles pages du document vous souhaitez exporter — avec Acrobat 6 ou 7, il sera possible de compiler en un seul fichier des pages issues de fichiers différents. L’option Planches permet d’exporter chaque planche comme une page unique mais elle empêchera l’imposition. La compatibilité Pour une diffusion plus grande, il est conseillé de choisir Acrobat 4 (PDF 1.3) ou Acrobat 5 (PDF 1.4) — choisissez Acrobat 4 pour un fichier destiné à l’imprimeur. Si vous sélectionnez la compatibilité Acrobat 6 ou + (PDF 1.5 ou +), il devient possible de conserver les calques (et la transparence), en revanche les fichiers PDF peuvent devenir incompatibles avec des versions antérieures d’Acrobat. Dans le menu local Standard, si vous choisissez l’une des normes PDF/X, certaines options des autres rubriques de la fenêtre d’exportation changent pour respecter la norme choisie. Les vignettes L’option Incorporer les vignettes de page ajoute au fichier un aperçu sous forme de vignette de chaque page à exporter qui sera visible dans Acrobat ou lors d’une importation du fichier dans InDesign. Les signets Si vous avez créé une table des matières en cochant l’option Créer des signets PDF, lors de l’exportation, cochez l’option Signets afin que ces derniers soient accessibles dans Acrobat. Ils permettront une navigation depuis la table des matières vers la page concernée.
On peut choisir de compresser ou non et de rééchantillonner ou non (et à partir de quelle résolution cela doit être fait).
Quand vous sous-échantillonnez les images (afin de réduire leur nombre de pixels), vous devez définir avec quelle résolution elles doivent l’être. Pour un fichier destiné au Web, spécifiez une valeur de 72 ppp ; pour une impression de qualité, choisissez 300 ppp (et 1 200 ppp pour les images monochromes) avec une qualité Supérieure — voire Maximale, sans compression (Sans) pour le prépresse. Consultez votre imprimeur pour utiliser les réglages qu’il préconise. A STUCE L’option Recadrer des données graphiques selon les blocs permet de réduire la taille du fichier en n’exportant que la partie visible de l’image, mais elle ne doit pas être utilisée si les images doivent subir des post-traitements (repositionnement, fond perdu…).
La rubrique Repères et fonds perdus Comme lors d’une impression, c’est dans cette rubrique que vous devez définir la présence des marques de repérage (traits de coupe…), des zones de fond perdu et de lignebloc. Cependant, il y a une légère différence avec les repères d’impression car le PDF n’est pas imprimé sur un format de page connu. Consultez votre imprimeur pour savoir si les repérages lui sont nécessaires.
381
I N D ESIGN CS3 – C HAPITRE 10
ASTUCE Si vous souhaitez ajouter des profils, sur Mac, placez-les dans le dossier Bibliothèque (ou Library)/ColorSync/Profiles et sur PC, dans le dossier WINDOWS (ou WINNT)\system32\spool\drivers\color.
L’incorporation des profils Quand la gestion des couleurs est activée, vous pouvez activer l’option Inclure les profils ICC. Le fichier PDF exporté pourra alors être utilisé dans une application capable de gérer les informations du profil incorporé. On retrouve les mêmes éléments que pour l’impression.
N’oubliez pas de cocher l’option Inclure la zone de lignebloc si vous souhaitez voir dans le PDF les éléments qui figurent dans cette zone.
La rubrique Sortie Cette rubrique, à l’instar de la fenêtre Imprimer, permet de contrôler la gestion des couleurs et de la surimpression.
Les réglages de surimpression Dans le cadre d’une exportation au format PDF 1.3 (Acrobat 4) d’un document comportant des couleurs en recouvrement, vous pouvez cocher l’option Simuler la surimpression pour visualiser à l’écran l’aspect des couleurs se chevauchant. ASTUCE Pour visualiser des fichiers PDF exportés à partir de documents InDesign contenant des surimpressions ou des transparences, il est conseillé d’utiliser Acrobat 5 (ou +) avec Aperçu de la surimpression activé.
Les réglages PDF/X Quand vous définissez une exportation selon un standard PDF/X, vous devez obligatoirement choisir un profil de rendu de la sortie afin qu’InDesign convertisse les couleurs du document selon ce profil. Les réglages d’encres
Pour mieux préparer le PDF, il peut être utile de convertir les couleurs.
Afin de mieux adapter votre fichier à son utilisation finale (fichier pour le Web, fichier pour l’imprimeur…) vous devez convertir les couleurs en utilisant les profils correspondant au périphérique de sortie (écran, imprimante d’épreuve ou système d’impression extérieur…). Les réglages de profils Lorsque vous exportez un document vers un espace RVB ou CMJN, vous devez sélectionner un profil de destination dans le menu déroulant (la liste varie avec la norme PDF choisie) si celui du document (défini dans le menu Édition/ Couleur) ne convient pas : ce profil sera utilisé pour convertir les couleurs. Toutes les informations de tons directs sont préservées, seuls leurs équivalents quadrichromiques sont convertis vers l’espace choisi.
382
Vous pouvez exporter le document en PDF en convertissant les tons directs en équivalents quadri à l’aide du Gestionnaire d’encres. Un exemple de conversion pour l’impression.
La rubrique Avancé Cette rubrique reprend certaines options de la fenêtre d’impression. On y retrouve les réglages d’incorporation de police (pour incorporer toutes les polices, entrez 0), les réglages liés au système OPI (qui permet la substitution des images par le serveur d’impression), le réglage de l’aplatissement des transparences (pour les exportations au format PDF 1.3 qui ne conserve pas les transparences).
L A DISTRIBUTION DES FICHIERS
L A CRÉATION DE PARAMÈTRES PRÉDÉFINIS D’EXPORTATION PDF Vous pouvez personnaliser des paramètres prédéfinis d’exportation PDF et les enregistrer dans un fichier PDFS (S pour Set) afin de les réutiliser pour d’autres exportations (voire sur d’autres ordinateurs).
Dans cette rubrique, b on gère è l’aplatissement des transparences selon les styles prédéfinis ou personnalisés.
L’option Créer un fichier JDF avec Acrobat n’est disponible que si Acrobat Professional est installé. Elle permet la création d’un fichier JDF (Job Definition Format) et le lancement d’Acrobat Professional en vue du traitement de ce fichier qui comporte des références aux fichiers à imprimer, ainsi que des instructions et des informations destinées aux prestataires de services prépresse.
Le principe d’obtention et d’utilisation est semblable à celui des styles d’impression. Lors d’une exportation, une fois les réglages terminés, cliquez sur le bouton Enreg. prédéfini situé en bas de la fenêtre et nommez le style. On accède également aux enregistrements des paramètres par la commande Définir du menu Fichier puis Paramètres prédéfinis d’exportation PDF. Pour utiliser le paramètre prédéfini, sélectionnez-le directement dans le sous-menu Paramètres prédéfinis d’exportation PDF du menu Fichier.
La rubrique Sécurité Quelle que soit la destination du fichier, vous pouvez lui associer des éléments de protection tels que mot de passe à l’ouverture, interdiction de modification, d’impression, etc. Les critères de protection dépendent du format Acrobat choisi.
On peut créer différents paramètres para d’exportation PDF.
Bien que ceci ne soit pas développé dans ce livre, sachez qu’InDesign est capable d’exporter pour le Web sous forme de fichier XML ou HTML.
Les options varient selon la comptabilité Acrobat choisie.
Ceci termine l’étude orientée PAO de ce logiciel, qui, comme vous avez pu le constater à la lecture de ce livre, contient nombre de fonctions très intéressantes pour aborder les mises en pages, des plus simples aux plus sophistiquées.
383
I NDEX
Index 1 bit (image)
151
8 bits (image)
insertion texte
151
24 bits (image)
annulation
151, 311
28
habillage
a
306
masque
176
palette (Styles de caractère)
addition de tracés
71
traitement locaux
administration (Version Cue)
34
couleur dégradé gabarit
340
aperçu
312 353
agrandissement (impression) bloc-contenu contrôle
69
374
prédéfini
biseau
367
367
bloc
style de caractère
16, 39, 76
style de paragraphe
au dos
204
style d’objet
cellule
249
lettrine liste
224
approche
75
ancré
80
paragraphe sélection vertical
201, 202
75 131, 213
arrondi
attribut 250
89 117
caractère 77
importation
78
46
18
style
ancrage collage
72
activé
252
187
97
rectangle article
alternance trait
272
186, 187
texte curviligne bord
alinéa 204 couleur
274
117
tableau par conversion
209
objet
195
style de paragraphe
194, 198 180
coloration
89
désactivé
117
342, 343
110
blanc tournant
99, 100 319
69, 173
alignement
185
bitmap 54 coloration 173 image 151 police 181
365, 376
365
rapide
68
option
96
barré (texte)
application gabarit
19
bibliothèque
des transparences
dégradé
68 172
objet
368
prévisualisation
ajustement
image
bande
20
des planches
table des matières
balise
20
aplatissement
316
194
b
20
surimpression
98
document page
séparation
87
199, 200
321
aperçu aplatissement
affichage
style 194, 198 ignoré 117, 194 paragraphe 201 remplacement de style transfert 101 typographie 181
78
83
256
300
45 ancré 79 chaîné 63 coloration 90 contour 95 conversion du masque de texte 123 option 213 outil Texte 46 type 35 d’image 62 groupe 62 habillage 299 lettrine 226 imbriqué 86 importation 54, 138 marge intérieure 130 mise à l’échelle 67 modification 145 remplissage 57 sans habillage 298
176
385
I N D ESIGN CS3 sélection 179 superposée 62 spécial 52 vectorisation de texte verrouillage 76 bord arrondi
coloration
52
250
bordure (tableau)
252
Bridge (placement)
attribut
89
division
246
bitmap
173
fusion
246
bloc
marge
249
cellule
242
style de
18, 252 à 255
tabulation
239
tableau
image
173
conditionnelle
222
modification
142
caractère 17, 180 attribut 180 copie d’attribut 190 de style 195 corps 182 de saut 125 masqué 123 spécial 124 rechercher 285 style de 17, 192 modification 198 tabulation 231
CMJN
mode collage
92
77
d’image
59
remplissage
14, 90, 94 95
style
251 94
251 95 111
96
tableau texte
251 95, 190
contraction (recouvrement)
36
contrainte au traçage
143
importation
ajustement
147
copie
146
insertion (tableau) 145
repère
144
cellule alignement
sélection (tableau) 143
368
45
contrôle
144, 317
largeur
386
286
240
240
configuration
texte
contour
progressif
casse 184 entrée 362 249
62
position
rechercher/remplacer
inégale
contenu
ligne
53
gabarit
35
épaisseur
ancrage
colonne
143 236
cellule
87
381
62
bloc
92
tableau
colonne
conteneur
148
211, 218
configuration
tableau
349
document
71
document
247
texte curviligne
hors gamme
capitale 184 petite 185
142
139
chapitre (livre)
87
compression (PDF)
importation de texte
tableau
164
compositeur (texte)
317
placement
164
relative combinaison
140, 141
gabarit
absolue profil
221
suppression chaînage
221
221
manuelle
149
colorimétrie
124, 220
langue
250 90, 189
curviligne
69
173
89
texte
contenu césure
250
palette
centrage
calque 15, 41 ajout 41 composition 165 copie 42 déplacement 42 duplication 42 exportation 43 fusion 42 habillage 298 option 41 repère 38, 42 sélection 42, 61 suppression 43 transfert 42 travail 42
90
niveaux de gris
59, 162
c
87, 173
251
sélection
72
coloration
contour
245
242
68
65
en amont (preflight) impression
378
inclinaison
70
mise à l’échelle palette
20
68
371
I NDEX conversion couleur 93 forme 51 liste 210 masque en bloc 176 tableau 237 ton direct en quadri 93, 370 trait 52 copie 65 calque 42 d’attribut de caractère 190 duplication 65 gabarit 324 glissement 129 objet ancré 85 page 312, 313 de style d’objet 120 de paragraphe 279 corps 182, 183 unité 183 couche alpha (masque)
175
couleur 14 affichage 87 alternance 250 d’épreuve 88, 376 d’espace 97 échantillonnage 151 filet 229 fusion 93 gestion 87 hors gamme CMJN 92 impression 376 mode 107 nommée 90 non imprimable 92 Nuancier 91, 92 onglet 164 préparation 90 quadri (recouvrement) 369 RVB 89 sans nom 90 séparation 375 coupure de mot
de paragraphe courbe crayon
habillage
retouche crénage
303
importation
49, 50 56
186 283
175
masque
159, 174
pixellisé tracé
d date (variable de texte)
325
159 158
différence (mode de fusion) dilatation (recouvrement)
155
division de cellule
décalage filet
54, 157
157
vectoriel
DCS format
177
intérieur
Photoshop
critère de recherche
document
230
première ligne
131
246
35
calque
42
curviligne
188
copie
habillage
299
style de paragraphe
tracé
175
vertical
188
déchaînage
142
défonce
éclaircir (mode de fusion)
103
effacement de tracé
70
effet
14, 98
affichage
99
contour progressif modification
112
texte
98
100, 190
transparent
100
densité (mode de fusion) déplacement calque
107
111
texte
190
curviligne
42 65
glissement
63
magnétisme
321
suppression
321
encre
recouvrement
371
surimpression
368
objet
64
recherche
page
314
requete
sélection tableau
63
28 286
289
en-tête continu (variable de texte)
238
326
entrée
64, 128
désélection de texte
93
382
enregistrement
64
319
modification
PDF
commande
51
188
élément de gabarit
mélangée
63
107
112
satin
100
Nuancier (création)
151
14, 108
flou
98
application
279
échantillonnage des couleurs
transparence
dégradé
65
e
367
déformation
107 368
duplication
texte
texte 221
détourage
211
47
index 129
360
répétition
360
387
I N D ESIGN CS3 style de paragraphe table des matières
352 352
environnement de travail épaisseur du contour épreuve
94
22
forme
f
conversion
fermeture de tracé
88 378
371
glissement
162
imprimeur
378
EPS
PostScript format
155
Image
168
espace
81, 211 97
de travail
22
Version Cue insécable espacement lettrine
largeur
229
retrait
229
lien
36
tableau
256
237
exception de césure
221
Pathfinder
mode de fusion exportation calque EPS
374
EPS
155
Excel
315
remplissage
316
317, 322 62
suppression
324
génération index
362
table des matières
134
des couleurs
154
153 156
encre
370
fichier
344
87
PAO
155
table des matières
PDF
156
version fichier
94
185
29 95
Photoshop PNG
157
354
gestion
156
image
322
préparation
43
378, 379
exposant
309, 317
322
Microsoft Word
Nuancier
extrémité
155
JPEG
marge
378
378
PDF
107
331
repère
157
Illustrator
73
319
sélection
DCS
GIF
exclusion
extrait
381
couleur
style de tableau
144, 317
habillage
format
135
319 317
324
élément
repère 134
316
modification
PDF format
311, 315, 316
copie
112
89
Excel
106 108
colonne
230
229
perdu
46
344 à 347
108
chaînage
folio (voir numérotation) fond
isolée
application
230
flou (effet)
110
167
affichage
338
type
219
93
gabarit
suppression
76
estampage étoile
30
223
objet
228
pipette
222
couleur
g
230
graisse note
246
ombre 229
décalage
avant après
42
cellule
mode de
45, 51 couleur
125
couleur d’
377
378 filet
calque
des données
InDesign (importation) exportation
302
fusion flasheur
impression
388
49
fichier
378
couleur d’
51
habillage
153
133
style d’objet
GIF (format)
120 33
156
glissement
PSD
153
copie
RTF
133
déplacement
TIFF
155
fichier
Web
156
mise à échelle
65, 129 63
162 171
353
I NDEX tableau texte
239
transfert glyphe
hyperlien
129
ICC (voir profil)
340
18, 126, 20
recherche
290
gomme (retouche) graisse de filet
57
228
GREP (voir recherche) grille
287
37, 39
interligne
218
ligne de base
214 à 216
modification
218
objet ancré
216
style d’objet
216
grossi
368
groupe bloc
62
d’objets
74
perçant
104
styles d’objet
120
styles de caractère guillemet
196
124
h, i, j habillage
297
annulation bloc
306
299
cadre de sélection calque
16
détourage forme
303
302
gabarit
309, 317, 303
interligne inversé
300
305
lettrine
227
note
338
objet
297
ancré sélection
84, 308 297
style d’objet type
299
298
de texte
19
307
297
hors gamme CMJN
92
87
Illustrator format 154 importation 165 placement 162 profil 160 transfert 52 image bit 151 8 bits 151 24 bits 151 ajustement 172 bitmap 151 résolution 152 bloc d’ 62 cadre 174 centrage 173 EPS 168 format 153 habillage 303 haute résolution 175 incorporation 170 lettrine 227 mise à l’échelle 67, 171 onglet 163 placement 161 PostScript EPS 168 profil ICC 160 suppression 177 traitement 171 transformation 171 type 151 vectorielle 152 imbrication 85 objet 85 tableau 241 importation 136, 161 ancrage 78 bloc 54 colonne 147 détourage 177 fichier InDesign 167 Illustrator 165 image dans tableau 239
index 361 lien 133 multiple 58, 162 Nuancier 94 options 133, 163 PDF 165 placement 161 remplissage 57 simple 57 style de caractère 197 de paragraphe 280 de tableau 259 d’objet 120, 121 tableau 236 texte 133 tableau 239 Word RTF note 338 imposition PDF
379
impression agrandissement 374 composite 374 contrôle 378 couleur 376 document 373 épreuve 378 livre 351 mosaïque 374 OPI 376 PDF 378 prédéfinie 377 réduction 374 vignette 374 imprimeur fichier 378 préparation 170 inclinaison 188 contrôle 70 incrustation (mode)
107
index 19, 359 génération 362 importation 361 livre 362 palette 361 rapide 361
389
I N D ESIGN CS3 indice
185
de paragraphe imbriqué
information 16 fichier 29
suppression lien
insécable espace 222 paragraphe 211 tiret 222
224
Excel
135
fichier externe importation 169
rééditer
170
installation de Version Cue
tableau
interlettrage
style de caractère d’objet
30
ligature
contour
251
d’en-tête de tableau de pied de tableau
73
insertion
245
sélection
243
linéature liste
156
247 247
152
207 à puces
213
l, m
209
numérotée
207
table des matières livre
221
largeur colonne 145 filet 229 lettrine 223 alignement 224 bloc 226 habillé 226 espacement 223 habillage 227 image 227 style de caractère 224
351
348 index
92
langue de césure
390
mise à jour fichier externe index 363
36
de tableau
justification verticale
Lab (mode)
257
126
-bloc
inversion 90 masque 175 JPEG (format)
mise à échelle 66 contrôle 68 glissement 171 image 171 résolution 173
281
119
ligne
220
219
intersection
198
de paragraphe
interligne 183 grille 218 habillage 300 objet ancré 83 intermot
169 133
palette
29
masque couche alpha 175 détection des contours 174 détourage 159 inversion 175 Photoshop 54, 159, 176 seuil 174 travail 176
16
insertion ancrage 78 colonne de tableau 245 ligne de tableau 245 page 312 tableau 245
instantané
marque 124 d’alignement 147 de chaînage 148
225
224
362
table des matières lueur (effet)
355
110
lumière crue (mode de fusion)
107
tamisée (mode de fusion) luminosité (mode de fusion) magnétisme maigri
368
marge
35
64
107 107
mode CMJN 92 colorimétrique 91 couleur 107 de fusion 53, 106 densité 107 différence 107 éclaircir 107 éditeur 127 exclusion 107 incrustation 107 Lab 92 lumière crue 107 tamisée 107 luminosité 107 obscurcir 107 produit 106 RVB 91 saturation 107 superposition 107 teinte 107 transparence 103
cellule
249
modèle
gabarit
322
modification 119 bloc 145
intérieure (bloc)
130
136
344
I NDEX dégradé 100 élément de gabarit 321 gabarit 322 grille 218 livre 350 style de caractère 198, 199 de paragraphe 281 de tableau 258 d’objet 118 suppression filet 230 texte stylé 281 mosaïque (impression)
374
mot entier (recherche)
284
multiple importation
Illustrator, Photoshop importation 94
15, 25
niveau index 360 de gris (coloration) noir
173
368 riche 368
nom de fichier (variable de texte) note 333 bas de page 335 décalage 338 édition 334 éditoriale 333 espacement 337 filet 338 habillage 338 importation 338 numérotation 336 renvoi entre page 334 suppression 338 typographie 337 nouvelle vue nuance
25
92
Nuancier 14, 94 couleur 91, 92 dégradé 98 exportation 94
326
213
20 163
impression
373
Photoshop
163
42 212
orthographe
296
outil
107
retouche dessin
57
45
mise à l’échelle palette sélection ovale
60, 61
45
p, q page
15
affichage copie
312
312, 313
création
312
déplacement insertion
suppression taille
opacité (voir transparence)
312, 313
35
transfert
340
vis-à-vis (recto verso) pagination
35
331
palette
couleur
20 90
dégradé glyphe
89 94
contrôle
103
314
312, 318
contour 104
68
9
coloration
onglet couleur 164 image 163
126, 181
d’objet
orpheline
obscurcir (mode de fusion)
OpenType
69, 173
bloc de texte
ordre
objet 45 ajustement 68 ancré 77 alignement 80 copie 85 grille 216 habillage 84, 308 interligne 83 position 79 à 82 suppression 85 déplacement 64 dynamique (InDesign) 167 espacement 76 groupe 74 imbrication 85 option 20 recherche 291 répartition 76 style d’ 113 superposition 76 transfert 340
ombre interne 109 objet transparent portée 108
ajustement 326
importation
numérotation chapitre 349 début 336 de page 331, 332 liste 207 à 209 livre 349 note 336 style 336
n, o navigation
376
option
numéro de chapitre (variable de texte) de page (dernière) 325
162
OPI (impression)
94
98 126
index
361
page
311
réorganisation tabulation
21
232
391
I N D ESIGN CS3 pipette 101 filet 230 style de paragraphe
PAO format 155 travail 157 paragraphe 17 alignement 201, 202 attribut 201 coupure 211 filet 228 insécable 211 pavé 203 style 18 style de (voir style de paragraphe)
pixellisé (détourage)
paramètre PDF
planche
380
partage de fichier
29
Pathfinder 17, 71 tracé transparent pavé
73
203
PDF
PDF/x peigne
380, 382 234, 259
Photoshop détourage 54, 157 format 153 masque 55, 159, 176 option 163 profil 160 tracé 175
392
placement 138 automatique en colonnes Bridge 59, 162 chaînage 139 Illustrator 162 image 161 importation 161 semi-automatique 138 314 55
PNG (format)
157
point de conduite
233
96
87 image 160 Illustrator 160 PDF 382 Photoshop 160
PSD (format) puce
111
48, 50
153
210
quadri (conversion)
93
r raccordement de tracé raccourci clavier
51
24
recherche 283 caractères spéciaux 285 collage 286 critère 283 glyphe 290 GREP 289 limite 284 localisation 284 métacaractère 287 objet 291 police 291 style 292 tableau 292 typographique 291
46
PostScript image EPS 168 fichier 377 police 181 371
prélèvement d’attribut 101, 192 photo 102 première ligne (décalage)
106
profil ICC
prolongement de tracé
position contour 95 objet ancré 79 texte 130
preflight
produit (mode de fusion)
projet 29 Bridge 30 InDesign 31 Version Cue 30
police 181 affectation 182 bitmap 181 incorporation 375 OpenType 126, 181 PostScript 181 recherche 291 style 184 substituée 182 TrueType 181 vectorielle 181 polygone
143
progressif (contour)
plume 47 retouche
pointillés avancé 382 compression 381 encre 382 exportation 378, 379 fond perdu 381 format 156 importation 165 imposition 379 impression 378 paramètre 380 profil 382 repère 381 sécurité 383 signet 353, 381 sortie 382 surimpression 382 vignette 381
273
157
préparation couleur 90 gabarit 315 impression 365 imprimeur 170 index 359
131
recouvrement 20, 368, 369 encre 371 personnalisé 370
I NDEX
redéfinition du style de caractère 199 de paragraphe 282 de tableau 259 d’objet 119 redimensionnement
rééditer un lien
374
170
référence croisée
361
satin
répartition d’objets
75, 76
repère 37 à 39 calque 42 colonne 37, 144 de marges 37 de règles 38 fond perdu 374 gabarit 317, 322 PDF 381 utilisation 45 répétition entrée d’index style imbriqué
360 270
résolution 151, 152 image bitmap 152, 153 mise à l’échelle 173 retouche crayon
56
21
205
107
19
PDF
353, 381
simulation de la surimpression snipet
sortie
374
PDF
382 185
standard PDF/x
380
contour
96
d’aplatissement 222
de caractère
366
17, 192
application copie
saturation mode de rendu 164 mode de fusion 107
194
195
gestion
195
modification
198
style imbriqué
19
de cellule
331
267
18, 252 à 255
de numérotation de paragraphe
383
sélection 60 bloc 179 ancré 79 chaîné 63 calque 42 cellule 242 déplacement 63 édition 179 gabarit 62 habillage 297 menu Édition 62 superposition d’objets tableau 242, 243 texte 128, 129, 179
72, 73
style
111
sécurité PDF
357
48, 96
soustraction (Pathfinder)
section
211
sommaire (voir table des matières)
soulignement
script
369
29
sommet
sans retour automatique
réorganisation des palettes
signet
RVB
saisie tableau 239 texte 123 colonne 147
remplissage bloc 57 collage 240 gabarit 316 importation 57 tableau 238
375
solidarisation des paragraphes
s
remplacer (voir rechercher)
20
couleur
rotation 69, 70 lettre 189 couleur 89 document 87 mode 91
remplacement 194 style de caractère 196, 197 paragraphe 279 table des matières 355
aperçu
série (coloration)
retrait 204, 205 à droite de la dernière ligne filet 229 jusqu’à ce point 206 liste 209
177
réduction (impression)
séparation
gomme 57 outil arrondi 57 plume 55 tracé 50, 55
rectangle arrondi 46 ovale 45
207 261
application rapide copie défaut
281
duplication
279
importation
280
lettrine lien
225
281
modification pipette
281
273
redéfinition
282
remplacement 62
274
279
279
style d’objet
278
suppression
280
typographie
262
393
I N D ESIGN CS3 de tableau 252 à 255 Excel 256 gestion 255 de table des matières 351 d’objet 15, 113 habillage 307 affectation 117 copie 120 défaut 118 grille 216 modification 118, 119 redéfinition 119 remplacement 120 suppression 121 groupe 120 imbriqué 264 lettrine 224 liste 267 répétition 270 importation (tableau) 259 modification (tableau) 258 numérotation 336 recherche 292 redéfinition (tableau) 259 suivant 275 texte importé 280 superposition mode de fusion objet 76
107
suppression calque 43 césure 222 élément gabarit 321 filet 230 gabarit 324 image 177 lettrine 224 modification caractère stylé 199 filet 230 note 338 objet ancré 85 page 312, 313 style de caractère 197, 200 de paragraphe 280
394
d’objet
121
surimpression aperçu
368
encre PDF
367
368 382
simulation
369
transparence
103
tabulation 17, 231 à 233 caractère 231 cellule 239 retrait à droite 235 taille ajustement page 35
68
symbole
124
taquet
symétrie
70
teinte 92 mode de fusion
synchronisation couleur livre
88
350
t tableau
18, 236
bordure
252
chaînage collage
247 240
coloration
250
configuration contour
236
251
conversion
237
déplacement
238
glissement
239
imbrication
241
importation
236
lien
257
ligne d’en-tête peigne
recherche
292
remplissage saisie
242
18, 252 à 255
Excel taille
238
239
sélection style
247
259
256
243
typographie Word
248
255
table des matières affichage génération gestion livre
351 à 356
353 354
353
355
préparation
351
231 à 233 107
texte 179 alignement curviligne 204 ancrage 83 barré 185 chaînage 142 captif 148 curviligne 148 colonne 143 coloration 90, 189 curviligne 149 compositeur 211, 218 contour 95, 190 copie 129 d’attribut 191 curviligne 147 décalage 188 habillage 299 dégradé 100, 190 déplacement 64, 128, 129 désélection 129 de substitution 59, 127 effet 188, 190 glissement 129 habillage de 16 importation 133 mise à l’échelle 67 outil 46 personnalisé (variable de texte) position 130 rechercher/remplacer 285 référencé 134 sélection 129, 179 tabulation 231 tracé 147 transfert 129
327
I NDEX TIFF (format) tiret
155
transfert attribut 101 calque 42 fichier PDF 378 glissement 340 Illustrator 52 objet 340 page 340 texte 129 Xpress vers InDesign
96, 124 insécable
222
titre étalé
203
ton direct
93, 370
tracé courbe
47
décalage
175
détourage
159
effacement
51
fermé
49
Photoshop
175
préférence
51
prolongement
48
raccordement
51
rectiligne
47
retouche
50
sommet
48
texte
147
transparent travail trait
74
51 continu
252
96
TrueType (police)
conversion
51
diagonale
252
fantaisie
96
traitement annulation image
340
transparence 53, 103, 113 aplatissement 365, 376 défonce 103 dégradé 100 effet 102 mode 103 ombre 104 surimpression 103
321
171
trame de demi-teinte
152
unité de corps
183
variable de texte
vérification de l’orthographe vernis 178 surimpression
181 89
296
368
verrouillage de bloc
76
Version Cue gestion fichier 29 installation 30
veuve
type attribut du fond couleur 91 filet 229 habillage 297 image 151 trait 96
325 à 330
vectorisation 52 lettrine 226
version de fichier
travail calque 41, 42 PAO 157 Web 157
48
alternance
u, v, w,x
transformation 16, 66 image 171 outil 71
50
fermeture
typographie attribut 181 note de bas de page 337 style de paragraphe 262 tableau 248 recherche 291
32
212
vignette impression 374 PDF 381 Web format 156 travail 157 Word (tableau)
236, 255
XPress ouverture de fichier transfert 340
340
395
22/05/08
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P. Labbe
InDesign_CS3_prune
Auteur de nombreux livres sur Photoshop, Illustrator, InDesign et XPress, Pierre Labbe ([email protected] ; http://pierrelabbe.com) est l’un des formateurs les plus réputés dans le monde de l’infographie. Il participe également au site Wisibility.com, blog de formation en ligne sur Photoshop et les logiciels des métiers de l’image, qui présente gratuitement des trucs et astuces sous forme de séquences vidéo.
Le livre de référence sur InDesign CS3
InDesign CS3
Véritable mine de conseils pratiques et d’astuces de travail, cet ouvrage richement illustré dresse un panorama complet d’InDesign CS3, des acquis fondamentaux aux techniques les plus avancées. Couvrant toutes les nouveautés de cette version CS3, il conduit le lecteur de la prise en main du logiciel jusqu’à la maîtrise de ses fonctions les plus pointues. Nourri par la très grande expérience de l’auteur, cet ouvrage constitue un excellent manuel d’apprentissage pour les graphistes et maquettistes débutants comme pour les professionnels.
Au sommaire L’interface d’InDesign • Outils et palettes • Environnement de travail • Gestion du travail • La démarche de travail • Version Cue : la gestion de fichiers • Mise en place du document • Travail avec des calques • Gestion des objets • Dessin des objets • Remplissage des blocs • Manipulations d’objets • Traitements particuliers • Objets ancrés • Enrichissements des objets et styles d’objet • Colorations • Transparence et effets • Styles d’objet • Gestion du texte • Saisie d’un texte • Position d’un texte • Importation d’un texte • Chaînages • Textes en colonnes • Textes sur des tracés • Gestion des images • Types d’images • Préparation des images • Importations et traitements d’images • La typographie dans InDesign • Caractères • Inclinaison • Styles de caractère • Attributs de paragraphe • Listes • Composition des textes • Lettrines • Filets de paragraphe • Travail des textes tabulés • Tableaux • Styles de paragraphe • Fonction Rechercher/Remplacer • Vérification de l’orthographe • Les habillages • Habillage d’un objet • Habillages particuliers • Gestion des pages et des fichiers • Gabarits • Variables de texte • Numérotation des pages • Notes • Transferts entre documents • Bibliothèque • Distribution des fichiers • Préparation pour l’impression • Impression d’un document • Exportations.
P i e r r e
L a b b e
9 782212 123517
Code éditeur : G12351
ISBN : 978-2-212-12351-7
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