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L ABUS D'ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTE, A CONSOMMER AVEC MODERATION,
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BEN PLAYE R Reverse air, Hawaii 2010.
BIENVENUE CHEZ NOUS ...
Photo: Shadbolt
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10 # RAPHAËL FREDEFON RÈGLE SA FOCALE. 14 # LES NEWS DE LA PLANÈTE « BOOGIE », 16#TRIPAMER POUR LEE KELLY ÀTAHITI, ,
22 # MINI VIEW -ANGELO LESIZZA, 24 # AFTER SESSION, 26 # LUNA PARK, 34 # PORTFOLIO SPECIAL OK,
40 # FOUNOBOARO : LA NOUVELLE AVENTURE DE MITCH RAWLlNS,44 # VOYAGE EN TERRE MAORt 52# ÉCHAUFFES TOI AVEC PLC, 54 # FRENCH CONNECTION 60 # RETOUR AU SOURCE DU BOOGIE AVEC MOREY, 64 , # OZ : LES MAGICIENS REUNIONNAIS, 72 # GALERIE MONOCHROME, 80 # RÉGIONS, 82# BIENVENIDO AL FRONTON 1
Ce magazine e Jl mis sous film ave<: un DVO FUNDAMENTAL en double offre. Un courrier est joint sur uue partie du routage abonn"' .
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Anne-marie Granda
Dépotlêgal : A parution
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L.Shadbolt. F.Oe.ard.J .Bourseguin. M.Mi leJla/C.ChapeJ~"1. M.OeJaph ie. G.Marchal. G.Renamboo:.J.Pacary, J.Bourseguin. P.A.Maroun. Mat MileJ1a ILLUSTRATIONS: Estibab.com GRAPHISTE: Draktus.com
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étez dans un barrel à Bud Bud, à coup sûr vous l'entendez à Lafiténia ... Eh oui, la rumeur qui circule depuis quelques semaines déjà dans les couloirs de la « boogie » sphère, était donc bel et bien fondée: il y a effectivement un nouveau rédacteur en chef à bodyboard mag. Mais que tout le monde se
rassure, de révolution il n'y aura pas. Même si cette ébauche de premier opus, préparée dans l'urgence d'une fondue familiale ayant tristement tournée à l'incendie, souligne
clairement la nouvelle direction graphique souhaitée pour BBMag. Alors certes, reste encore à trouver le bon équilibre mais dans les grandes lignes: plus de photos, moins de textes, plus de tricks ... en bref, quelque chose de différent concocté avec toute la passion qu'un bodyboardeur peut mettre au service d'autres bodyboardeurs. Bien évidemment, personne n'est dupe et autant se fourrer profondément sa palme dans l'œil que de penser satisfaire tout le monde. Peu importe, en attendant le digestif, profitez bien de l'apéro ! t
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*ERWAN * THOM GE N R E * DANKAAS DUBLANC * EMMADAUENHAUER
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Souventdans les bons coups,jérémy Arnoux ne manque pas une occasion de laquiner les beach-breaks landais ... surtout s'il ya moyen de s'envoler! Reverse air mammouth juillet 2010 " haugomat
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SI VOUS CHERCHEZ DES CLICHES DE GLISSE « MADE IN » REUNION, VOUS PASSEREZ ' " , FORCEMENT, AUN MOMENT OU AUN AUTRE, PAR LUI. EN EXIL DEPUIS DEUXDECENNIES, RAPHAEL FREDEFON AURA FINALEMENT ATTENDU LA NAISSANCE DE SON FILS POUR PASSER DE L'AUTRE COTE DE L'OBJECTIF ... VU LE RESULTAT, BONNE IDEE A
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ujourd'hui, on connalt tes clichés or tu n'as pas toujours été de ce côté là de L'objectif. Rider engagé, OK rider confirmé ... comme es-tu
arrivé dans le boogie ? Je suis né à Biarritz ... je devais avoir environ 6 ans pour mon premier ride. C'était sur une bonne vieille planche en polystyrène qui brûle
le ventre ! Pour moi, ces premiers « tout droit dans la mousse» étaient déjà une révélation. Après avoir cassé la planche polys en deux, on m'a offert un «Piping Hob> rose en mousse bien flexible avec dérives et poignée qui m'a permis de commencer à glisser sur les parois: bref une énorme révolution. Ce fût ensuite mon premier mach 7 « first génération » (avec le dessous
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DE ,MON FILS EN 2005
JAl FINALEMENT DECIDE D'INVESTJR DANS
MON PREMIER REFLEX NUMERIQUE noir qui faisait des cloques). C'était au milieu des années 80. J'avais 10 ans et le bodyboard commençait à vraiment prendre de l'ampleur sur la côte basque. Aujourd'hui tu vis à la Réunion. Qu'est-ce qui t'as poussé à devenir un "zoreiLle" ? En 1989 mon père s'est installé sur l'île. Je suis
venu le voir cette année -là et j'ai adoré le style de vie, le climat, les gens ... qui plus est, les
vagues étaient magiques! Deux ans plus tard, je quittais le Pays Basque pour venir m'installer à la Réunion. Quand as-tu décidé de passer de l'autre côté de L'objectif?
J'ai d'abord commencé à filmer, avant de m'essayer à la photo avec les tous premiers appareils numériques, genre Sony Mavica à disquette: résultat pitoyable. À la naissance de mon fils en 2005, j'ai finalement décidé d'investir dans mon premier Reflex numérique: un Nikon 070 avec lequel j'ai fait mes premières armes malgré un piètre 300mm. Au fil des ans et des shoots, j'ai amélioré ma gamme d'objectifs et de boitiers pour finalement investir en 2007 dans un calsson. Une petite présentation de ta vitrine sur la toile (dodo,Land.com) ? A la base ce site a été conçu pour partager mes
après de longs mois d'attente d'autant qu'il y a peu de photos aquatiques de ce spot. Quels sont les riders avec lesquels tu aimes travailler? J'ai toujours eu un bon feeling avec Charly (Chapelet, ndlr). C'est un gars motivé et toujours à la recherche de nouveaux angles. Il sait aussi adapter son ride à la photo et c'est toujours un grand plaisir de le shooter. Idem pour Amaury. Quand il est là, c'est du bonheur tellement il envoie dans tous les sens ... tu es obligé de scorer ! J'aime également Lucas Vergnes et Laury Grenier pour leur style, Yoann et Rage car ils sont assez imprévisibles dans leur surf... d'une manière générale, tous les riders qui peuvent sortir un gros trick à tout moment. Ton cliché de bodyboard préféré?
photos avec les copams. À l'époque, je voulais un site plus personnalisé qu'un simple blog or le temps consacré aux mises à jour n'est pas négligeable et aujourd'hui je pense plutôt m'orienter vers un site plus simple et donc plus rapide, même si cela passera par moins de photos en ligne. Néanmoins, ça permet de montrer mon travail, c'est en quelque sorte mon book. y a-t-il un cliché dont tu es particulièrement fier? Mes premiers aquashots à « Kasscolé ». C'est un spot qui fonctionne uniquement par houle cyclonique et les sessions se comptent sur les doigts d'une maln chaque année. Shooter des barrels dans l'eau est une grande récompense
Cet énorme Spin Air de Yoann Florantin. Je pense que c'est le plus gros et le plus parfait que j'ai vu de mes propres yeux. C'était couvert ce matin là et comme par magie, une éclaircie est apparue. J'ai juste eu le temps de changer rapidement les réglages. Après le take off, je n'avais plus Yoan dans tobjectif mais Iai senti qu'il étail fu~ speed et que ça allait sérieusement décoller. Ça n'a pas loupé. Une parution? L'article sur le DK à la Réunion écrit par Greg Sisco & Olivier Marimoutou ... d'autant que le sujet me tenait à cœur. Le magazine est sorti en plein Challenge David Legleye et toute la scène réunionnaise du bodyboard a pu le lire. De nombreux riders sont venus me féliciter, me dire que c'était bien. Recueillir à chaud ces commentaires et ces encouragements, m'a vraiment fait plaisir. t
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RETOUR DU HEROS Après un bon Trip sur Tahiti, c'est retour à la malson en fanfare pour Amaury. Intervi ew, photos ... et direction le plateau télé pour passer en direct au Journal de 12h (Antenne Réunion) ! Un juste retour des choses pour celui qui a inscrit son nom dans la légende en s'imp osant à Pipe. Inépuisable, « Moz » a ensuite trempé ses palmes sur le spot des aigrettes avant de retrouver les potes le 16 juillet dernier au QG de l'Ouest chez la légende du coin Yan « galette »Leg al pour un « barbecue musical». Juste hi stoire de féliciter le héros et admirer le trophée glané à Pipe.
INDUSTRIE #
Après Adam Benwell, la marque Française Milk Bodyboard shape désormais des planches pour deux Australiens de la nouvelle génération Trent Brown et l'excellent OK rider Li am O'Keefe. Son team Français est composé de Julien Miremont, Mat Desaphie, Julien Lacouture, Max Castillo, Julien Lesehan, Anne Cécile Lacoste, Jimmy Petillon. Plus d'infos sur le blog Milk: http://miLkbodyboards,bLogspot,com
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+ j.ACêTS
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SEN NO SEN a lancé cette année des séries de t-shirts et sweats premium, fabriqués en Eu rope, de haute qualité. Les t-shirts sont souvent des collaborations comme le modèle avec les Australiens de Claws and Teeth (producteurs de Pastiche) ou des riders du team. + d'infos sur www.sennosen.com
SO;tRD~· ,,-
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OENZIEN, la marque d'accessoires de Spencer Skipper est désormais distribuée en Eu rope et dispo dans les meilleurs shops. Des leashes solides made in USA, testés et approuvés par la légende Hawaiienne.
CHURCHIt.L HUBS
6 DANS LE CASQUE ... DE MAT DESAPHIE THRICE wood and wire # RISE AGAINST Prayer of the refugee # SLASH FEAT. LEMMY KILMISTER Dodor Alibi # LILLY WOOD AND THE PRICK my best Angus # JULIA STONE Yel/ow brick raad •
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L'ANAELLE CHALLENGE .. , DE RETOUR
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l e Tomahawk BSC nous ressert sur un plateau le plus spectaculaire challeng e du bodyboard fran çais : le Milk Bodyboard An aëlle Challenge, deuxième du nom . Et comme on ne change pas une équipe qui gagne, le cocktail reste qu asiment le même que l'an née dernière: le slab « Annaëlle » au large du Finistère nord, plus de 2 mois de « waiting period », un e org ani sation min utie use et une list e de 20 rid ers t riés sur Le vo let et ultra motivés: Amaury Lavernhe, Pierre Louis Costes, Julien Miremont, ErwanGenre, Sylvain Langlet, Benat Elosua, Inico Gainzarain, Benoit Cren, Man"n Mouradian, Y-Made Lefoum, Maël L'Helgoualc'h, Antonin Ortoli, .---...", Ghislain Vaginay, Laurent Jegoudez, Jérémy Arnoux, Martin Viezzer. Adam Benwell. David Le fèvre, Max Castillo, Yann Salaün . Petite nouveauté de l'évé nement l'entrée dans l'a rène de quelques OK riders, avec notam ment Fred Compag non, Mike Baccon, Raphaël Rajinera . .. pour une expressio n sessio n in éd ite. Plus d'inform ati on sur le site enti èrement dédi ée à cet évé nement unl que en so n ge nre: www.ann aellec halle nge. corn Partenaires: Mlk Bodyboards, Inside surfschoo. Bodyboard' mag, SNS, Lidous shop, Phenüm, Soyroil, Denzien, Palé Hénaff, Spongercity, Nautisme en Finistère, le conseil général du Finistère.
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VIMEOSDU MOIS Pou r célébre r le lancement de la nouvelle Turbo 5, la ma rque de boogie a organisé un co ncours, bie n décidée à dé nicher la nouvelle ét oile montante du bodyboa rd inte rn ational. En jeu : ni plus ni moins qu'une place dans le team pro. Plusieurs mois de visionnage et voilà une petite sélection des meilleurs clips ... ça dépote grave ! Quant au vainqueur, il s'agit de l'australien Sa m Strachan qui devient donc le nouvea u rider de Turbo. http://vimeo,com/ 5726478 Nate Rubio (23 ans Hawaii) http://vimeo,com/12543010 Damien Martin (25 ans Australie) http://vimeo.com/12806538 Kalani Lattanzi's (16 ans Brazil) http://vimeo.com/13144604 Renan Faccini
ERRATUM : Dans le de rnie r nu mero HS, l'avent ure à Fuerte (p.76/ 78) n'est pas crédité. Re ndons à S.Mic haud ce qui appa rtient à S.Michaud. l es noms des bodyboa rdeuses ont été aussi in versés. Touj ours da ns le hors série (p. 45), il ne s'agissait pas d'A lvi no Tupui mais du jeun e Fred Temorere du tea m Milk et SNS Tahiti .
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IL YAVRAIMENT DES FOIS OU RIEN. NE SE PASSE COMME PREVU. ET CE N'EST PAS , LE PHOTOGRAPHE LEE KELLY, FRAICHEMENT RENTRE DE TAHITI AVEC LA FERME , INTENTION DE RAMENER QUELQUES BONS CLICHES D'AMAURY LAVERNHE, QUI DIRA , LE CONTRAIRE. RECIT... •
SUNSET POUR AMAURY "Kelly
ALEX BUNTING n'est sûrement pas venu à Taapuna
enfiler des perles
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l'origine, j'ai décidé de faire ce voyage pour retrouver mon ami Amaury Lavernhe qui, je pense, le futur champion du monde. Dans l'idée je voulais prendre quelques photos exclusives de lui pour les magazines du monde entier. Avec nous, Alex Bunting et le local,
Julien Miremont. Le plan avait l'air infaillible ... l'air seulement car au final c'était pour moi, un
trip plein de mésaventures. À commencer par le vol. En transit, je me suis retrouvé bloqué en Nouvelle Zélande pendant quatre jours à cause
d'une grève sur Tahiti ... aucun vol! Bien sûr, pendant ce temps, le swell était vraiment bon
sur Tahiti. Une fois sur place, j'entends dire que les vagues étaient petites mais bonnes pour shooter avec le grand angle (fish -eye). Seule condition:
ramer jusqu'au pic. Je pars donc avec mon flash pour finalement me rendre compte que le spot est vraiment loin et pas du tout propice au fish-eye. Peu importe, je me lance. J'attache ma board à une bouée et tente à la nage de prendre quelques photos. Après trois heures, je décide de rentrer ... et là, plus de planche. Je me retrouve seul avec mes bras pour rejoindre la plage. La nage à contre courant sur lkm était vraiment sympa! Concernant le meilleur jour de vagues, Amaury n'est pas passé me prendre pour aller shooter. Au final je n'ai tout simplement pas de photos décentes de lui pour son profile ... je ne peux pas l'expliquer. Quant à Julien, il travaillait ce jour-là et je n'ai donc pas de photos de lui non plus. Quand rien va, rien va ! t
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LE PLAN AVAIT L'AIR
INFAILLIBLE
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LE PLAN AVAIT L'AIR
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TOUT JUSTE DE RETOUR DE TRIP EN AUSTRALIE [AUX CÔTÉS DE CHARLY CHAPELET. LUCAS VERGNES ET RAPHAËL FREDEFONI OÙ IL ACONNU QUELQUES GALÈRES. ANGELO LESIZZA FAIT CLAIREMENT PARTIE DE CETTE JEUNE GÉNÉRATION MONTANTE OU BODYBOARD RÉUNIONNAIS. FOCUS SUR ...
u viens de rentrer d'Australie où la fin de trip n'a pas été de tout repos pour toi? C'est clair. Après notre trip, on a tous pris des chemins différentes. Raph et Charly sont rentrés à la réunion et Lucas est parti dans l'Ouest de L'Australie ... quant à moi je ne savais pas trop où aller. Fin alement, l'appendicite a choisi pour moi. Direction l'hôpital de Milton où je me suis fait opérer avant d'être transféré en urgence vers l'hôpital de Nora suite à une infection. Résultat: 10 jours à l'hosto! C'était le bad d'autant que c'est assez dur pour le mental d'être seul, loin de sa famille et de ses proches avec en plus la barrière de la langue pour décrire ses douleurs, les problèmes d'assurance ... c'est d'ailleurs un truc à bien prévoir (travelling assurance) lorsqu'on part en voyage. Justement, comment s'est « goupillé» ce trip en Australie? L'hi stoire c'est que Charly cherchait à faire venir Raphaël à tout prix et comme Lucas et moi on était dispo et chaud pour l'Australie ... grâce au sponsor, tout s'est bien goupillé. C'était vraiment un bon trip même s'il n'y a pas eu de gros swell. C'est dommage parce que contrairement à la Réunion, en Australie, plus c'est gros plus c'est beau. On quand même eu de bonnes vagues tous les jours. Tu vis à la Réunion (la salines) où tu rides sérieusement depuis sept ans ... comment estu arrivé dans le bodyboard ? Un peu par hasard parce qu'en fait je viens plutôt du skate. Maisj'ai de suite accroché. Ma rencontre avec Charly Chapelet a été déterminante car au départ je surfais les roches noires, un spot peu
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J'AI DÉCOUVERT L'HERMITAGEOU JAl CALE , MON PREMIER BARREL ET LA JE ME SUIS DIT
« JE SAIS POURQUOI JE FAIS CA ». 1
propice au bodyboard mais Charly m'a trimballé sur d'autres spots. Grâce à lui, j'ai notamment découvert l'Hermitage où j'ai calé mon premier barrel et là je me suis dit: « je sais pourquoi je fais ça ». Des projets? Continuer à faire les compétitions nationales même si je mise plus sur le free surf. En fait, j'ai vraiment envie de voyager et de faire des images avec mon frère et toute la Focus Prod. Pour moi, c'est d'ailleurs par là que doit passer l'évolution du bodyboard: montrer des tricks, des gros tubes ... faire le show!
Et le Tour Mondial? J'aimerai bien mais il faut un budget et ça pour l'heure c'est difficilement envisageable dans le bodyboard. C'est presque un objectif irréalisable. Ton meilleur souvenir à L'eau? Chaque session en Australie est assez maglque par la proximité et la pureté de la nature. Mais celle de l'année dernière à Number Two's avec Lucas Vergnes ... trois mètres parfait, quatre dans l'eau. Le genre de session où tu es a fond, complètement déconnecté, à 200 % ! Un moment vraiment à part, comme si c'était un rêve . t
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., l existe de nombreux moments où le surf se met à dépasser les seules sensations qu'il peut nous procurer dans l'eau. L'un de mes préférés est celui que l'on a après la session de surf où l'on raconte sa meilleure vague, manœuvre ou boite, où l'on parle de shape de board et parfois même où l'on se met refaire le monde. L'histoire se passe en juillet 2005 lors d'un trip en Indonésie avec des potes. Un de nos plans était de faire un boat trip vers les îles de Nusa Lambogan, Lombok et Sumbawa. Déjà sur place, mon frère commence alors à prospecter et rencontre forcément le fameux « Doggy the man» bien connu dans le Buckit qui lui propose un prix défiant toute concurrence avec 10 jours de trip au prix de sept. Quand j'apprends la nouvelle je n'en reviens pas et n'ai qu'une hâte: être sur le bateau pour scorer. J'arrive alors sur Bali et rejoins les autres à luwatu. À peine, le temps de défaire mes valises
que Doggy arrive un peu nerveux , très speed.. Il commence alors à nous parler du boat trip et change le deal : 8 jours pour un peu plus cher! Un de nos potes d'origine marocaine (la Gervaise) ne se laisse pas faire et lui d'aller se faire ... bref que ça ne nous intéresse plus. Doggy s'énerve et lui donne un coup de poing dans l'épaule. La tension monte d'un cran. Doggy continue son cirque et dit à mon frère, la gervoise et Lors, en les pointant du doigt: « toi, toi et toi, je vous coupe le cou »... Sueur froide et panique. Je commence alors à discuter avec lui pour calmer les esprits, mais il continue de plus belle en nous disant: « tu sais qui je suis, je suis un fou moi, rien de me fait peur» tout en donnant des coups de poing dans le mur en face de lui. On tente de le calmer (sauf La Gervaise qui reste dans sa chambre car Doggy ne veut plus le voir). Clou du spectacle, il sort une étoile japonaise de sa poche et commence à nous menacer. Il fait plusieurs fois des feintes de lancé sur un pote
TEXTE - MAEL L'HELGOUALC'H
(Ludo) et s'arrête à quelques centimètres de son front. Ça commence à sérieusement à sentir le roussi ! Surtout que Ludo, adepte de samba combat, est un peu nerveux. Les solutions sont simples: soit on le défonce et on le laisse dans un fossé, ce qui signifie alors qu'on doit changer nos billets de suite pour rentrer en France (alors que je sors à peine de l'avion) soit on s'écrase et on essaye de limiter la casse. On a bien évidemment choisi la deuxième option et finalement réussi à négocier neuf jours de trip pour le prix de sept. Par ailleurs, Sasha Specker qui vivait dans une chambre à côté de la nôtre nous expliqua que Doggy était coutumier du fait. En effet, l'année juste avant notre altercation, deux Australiens avaient refusé de payer et s'étaient gentiment fait remercier sur la plage d'Uluwatu par le frère bodybuildé de Doggy. Au final, plus de peur que de mal et en plus on a scoré les meilleures vagues que j'ai pu surfer en indo. t
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T~~~!~~!l. Stg:teuses BODYBOARD
ooepause en découvrant nos sur les spots de la côte
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SUVez le Sü1 SES."" SLnvnet TOIX 20Il 8U'
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Le Surf Session Summer Tour 2010 International Surfing Day 11/ 20 Juin - Hossegor Coupe de France Longboard 1/1 3 et 4 Juillet - Montalivet Journées découverte du surflll 6 et 7 Juillet - Biscarrosse Journées découverte du surflll 8 et 9 Juillet - Cap Ferret Festival du Film de Surf 11/ 10 Juillet - Anglet Journées découverte du surf7// 15 Juillet St Gilles Croix de Vie Journées découverte du surf7// 7 Ju ft
Kabana Surf Club 11/ 19 Juillet - Ile d'Oléron Anglet Beach Rugby Festival III du 23 au 25 Juillet Anglet Billabong Tétards 11/ ~ J 1 o· Soirée Surf Session au Rock Food III 7 Août - Hossegor O'Neill Surf de Nuit 11/ 14 Août - Anglet Rip Curt & Hawaiian Tropic Girts Tour 2010 11/ 15 Août Hossegor Soorüz Lacanau Pro 11/ du 19 'lU 22 Août - Lacamll:' ft
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"Tirage au sort effeclué par un huissier de justice . Règlement complet déposé chez Me Olivier Ugolini - Huissier de justice associé· 5. 8\1 de Jaulerry - 64200 Biarritz. Réglemem complet disponible sur www.suri session-oonoours.comouparcourriersurdemandeadresséeàEditions Surf Session , jeu-concours Surf Session Summer Tour 2010, PA de Malgnon , 20, rue Maryse Bastié, 64600 Anglet. n Joumée découverte du surf de la Fédération Française de Surt.
itué à plusieurs heures au Sud de Melbourne, le spot de Luna Park se trouve au milieu de nulle part. Hormis quelques fermes, des chemins de terre, des falai ses, beauco up de dang ers et de longues heures de route, il n'y a rien. Pas de secou rs, pas de téléph one ... rien
M. NIBBS Le sit e en lui-même dégage vraiment quelque chose d'étrange. Une fois sur place, il faut descendre les 360 marches de la falaise avec l'adrénali ne qui com mence à sérieusement monter. Ensuite, il faut marcher. Quinze longues minutes pendant lesq uelles tu vois des énormes masses d'ea u ex plosaient sur qu elques pieds de fond . Reste encore 20 minutes de rame dans une passe aussi large qu'une route et enfin le pic. Mais là enco re rien n'est fait ca r le take off est chaud, très chaud. Il faut prendre suffisamment de vitesse pour passe r une section d'e nviro n 30 mètres, ensuite, la vague s'enroule, se déforme et explose su r elle-même. Si par chan ce, tu arrives à gérer le take-off, tu peux surfer l'un des meilleurs barrels de ta vie. Dans le cas co ntraire, tu te retrouves traîner sur le reef et probablement vouer à prendre les cinq prochaines vagues sur le nez.
HORMIS QUELQUES FERMES, DES CHEMINS DE TERRE,
IL N'y A RIEN. p,AS DE SECOURS,
PAS DE TELEPHONE ... RIEN!
de bienvenue sur la voiture, c'est quand même beaucoup plus relax aujourd'hui. Il peut y avoir jusqu'à 20 gars au pic venus de toute l'Australie et même du monde entier. Quoi qu'il en soit, c'est un gros test de patience et de maîtrise. Ça peut te donner le ride de ta vie comme te réduire en miette. C'est une terre rude, avec des gens durs et des conséquences qui peuvent s'avérer très graves ... Bienvenue à Lun a Park!
Quand c'est t ro p bas, c'est trop bas ... " Shaboldt
L. SHADBOLT
En tant que photographe, c'est dur de rester en place. Il y a beaucoup de mouvement d'eau sans doute lié au fait que les vagues cassent en dessous du niveau de la mer. C'est aussi pour cette raison qu'il est extrêmement difficile de prendre de bonnes photos de barrels d'autant qu'il y a des énormes sets qui cassent à outside et balayent tout sur
leur passage. Il y a quelques mOlS, on a pns 15 pieds sur la figure et lorsqu'on a refait surface, le gars a côté de moi avait perdu sa caméra. Elle flottait à la zone d'impact ( ... ) Quant aux locaux, s'ils ont eu du mal à accepter l'idée que leur spot soit surfé et qu'il n'est pas rare de voir des pneus crevés, des pare-brise explosés et autres messages
Lun a est vraiment une bête de vague. Arrivant des eaux profondes, le swell lève brusquement sur le reef garantissant presque toujours au rider un take off rock'n roll. Quand la lèvre touche la surface de l'eau, tu peux entendre l'onde de choc à 500m à la ronde. Si tu te loupes, tu risques très probablement de faire une promenade sub -aquatique le long des rochers. Prendre des photos à Lun a Park est aussi difficile que de rider la vague. Si tu restes assis dans la passe, tu dois éviter les sets qui décalent ... sans oublier le froid qui tétanise les muscles et donne des crampes en quelques minutes. J'ai passé quelques jours làbas avec Kingy (Damian King) et Jones Russel, sans téléphone ni aucune autre connection avec le monde extérieur. Une expérience qui rajoute de la saveur à cet endroit particulier, à cette partie vierge de l'Australie qui exige le respect. t
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SOIS POU-BleA:
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qui continuent de rêver toute l'année sur les bancs de l'école t Cet agenda rojXe infos utiles et photos de vos riders fra,nça.iS préférés. Le petit.plUS : un lexique de 20 pages décrypte les termes tecbnjques couramment utjljsés da.ns l'univers du surf·
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Mat Desaphie, Julien Miremont, Jérémy Arnoux, Nico Padois, Max & Alex Castillo, Anne Cécile Lacoste,
Bertrand Druart, Julien Lesehan, Flo Al7aiY, Dorian La.fitte, Julien Charvet, Davo Fever, Yves-Ma Lefourn, Cédric Dufaure et Eric Gamez.
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MATHIEU INCHAUSPE. Quand on est adepte de OK et
droitier de surcroix, Cloud 9 c'est quand même le top. QLanitz
SEBASTIEN GELEZ Matinale Landaise. "Haugomat
PAUL ROACH nettoie ['objectif de Ray ColLins. ° Collins
CHARLES PONTNAUT (et non pas Fred Compagnon - cf p.SO HS nOl). Bon d'accord La cagoule, pas vraiment estival. " 5alerno
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INTERVIEW PAR FRANÇOIS DESARD
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APRES L'HISTOIRE DE LEIGHTON BLOCH ET SA DECOUVERTE DU BODYBOARD AUX FINS FOND LA TASMANIE, HALTE AUJOURD'HUI EN WESTERN AUSTRALIA, RENCONTRE AVEC MITCH RAWLINS, PAPA D'UNE NOUVELLE MARQUE DE PLANCHE: FOUND BOARDS,
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u viens de Lancer ta marque de board. Comment est née cette idée? En fait, ça doit bien faire une dizaine d'années que j'ai cette idée dans la tête. Je suis un grand rêveur et c'est un de mes rêves qui se réalise. Versus a été une super expérience mais aujourd'hui je sens que c'est le bon moment pour me lancer dans l'industrie du bodyboard. FOUND Boards a officiellement été lancé le 1 Juin dernier. Je souhaite apporter ma pierre à l'édifice autrement qu'en tant que simple rider. Aussi, j'ai envie de créer un team pour partir en trip, sponsoriser des compétitions locales ou internationales...
Avec Foundboard, M.Rawlins se lance dans l'industrie du bodyboard,
Qui te suit dans cette aventure? Je suis l'unique propriétaire et gérant de Found boards... et tiens à le rester. Niveau production, je travaille avec Glen Edwards. Cela fait maintenant plus de vingt ans que ce gars-là pétrit de la biscotte, il sait de quoi il parle! Chez Versus, je ridais des customs shapés par Jarrod Gibson. Elles étaient vraiment bonnes, mais grâce à une étroite collaboration avec Glen, nous avons créé une board parfaitement au point. La transition s'est donc faite en douceur.
Justement, parles-nous un petit peu de tes pLanches? Pour être honnête, j'étais un peu flippé à l'idée que mes boards ne soient plus fabriquées par Jarrod Gibson. Mais après toutes ces années à surfer des customs, j'ai acquis une grande connaissance du shape à laquelle s'ajoute tout le travail accompli avec Glen pour Found boards. Désormais, je me sens confiant pour présenter
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CARTE D'IDENTITE Age: 27 ans Taille/ poids: 1,76cm/75 kg Pays: OZ Pratique: 15ans (dont six sur l'IBA Wolrd Tour) Résultats: 2nd !BA World Tour
Spots: Kirra, Rabbit Hale ...
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ON A CONCU UNE PREMIERE GAMME DE PLANCHES , OUI COUVRE TOUTES LES ASPIRATIONS DES RIDERS
POUR TOUT TYPE DE CONDITIONS dans les années à venir les meilleures boards. On a conçu une première gamme de planches qui couvre toutes les aspirations des riders pour tout type de conditions. J'explore actuellement de nouveaux concepts pour essayer d'améliorer le bodyboard en général. C'est un gros challenge mais c'est tellement captivant de se lancer dans cette nouvelle aventure!
Un projet qui ne ['empêche de rider - Hawaï 2010. " Shadbolt
En parlant d'aventure, cela fait maintenant trois ans que tu travailles avec Tom Hannan sur ton projet vidéo «hidding from comforb>. À quand sa sortie? J'espère cette année. J'annoncerai une date dès lors que je serai sûr de pouvoir tenir l'échéance, mais vraisemblablement autour octobre. Quelle vision du bodyboard souhaites-tu montrer avec «Hidding from confort» ? Le bodyboard sous son meilleur jour pour que
tout le monde se rende compte à quel point ce sport est génial! Rien de plus. Tom n'est peut-être pas à l'origine du projet mais il a énormément apporté. Durant ces trois années nous avons shooté tout autour de l'Australie, principalement sur la Gold coast et en Western Australia. Maintenant, j'espère améliorer ce que nous avons en apportant un peu plus de matière et je serai globalement satisfait! Penses-tu que le grand public soit conscient que le body board est un sport extrême et non un vulgaire jouet de plage? Je pense que nous sommes encore loin du compte. La crédibilité de notre sport passera par plus de médiatisation, de diffusions TV, des films haute qualité ... afin de sensibiliser le grand public et voir enfin le bodyboard reconnu à sa juste valeur. Néanmoins, il est en bonne voie. Il suffit juste de persévérer. t
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ETI MENTS ECIIAUFFEMENTS MIEUXVAUT UN BON ÉCHAUFFEMENT ET QUELQUESÉTIREMENTS, QU'UN VIEUXCLAQUAGE SOUVENT SYNONYME DE QUELQUESSEMAINESSANS SURF_PIONNIER DU BOOYBOARO SUR LA CÔTE BASQUE ET AUJOURO-HUI KINÉ, AYMERIC DEBOUYN REVIENT POUR NOUSSUR QUELQUESNOTIONS DE BASEINDISPENSABLESÀLA PRATIQUE DU BODYBOARD AVEC PLC ÀLA MANŒUVRE_ 110ER: PIERRt lOUIS C05TES· PIOTOS : HUCO UGARDE
Pour l'essentieL, la pratique du bodyboa rd sollicite Les me mbres supérieurs (grand pectoral, g ra nd do rsaL et deLtoïdes), les rac hi s (muscle spinaux, g ra nd do rsal) et les me mbres infé rieurs (psoas, fessie r, isc hios) . Un bon échauffe me nt (a rticulaire et musculaire) co mpLété de quelques étireme nts permet do nc de préve nir ce rtains ri sques d'accide nts. Il doit être cou rt, intense et profo nd: ci nq min utes gra nd max. Les exercices doivent s'enchaîne r sans temps mort et se décomposer en cinq séries de 15 mouvements.
1 - LES MEMBRES SUPERI EU RS ÉCHAUFFEMENT: Alterner des petits ce rcles avec Les bras dans un sens puis da ns l'autre (photo 1) + pompes
ÉTIREMENTS: le grand pectoral - Attraper un point fixe en hauteu r légè rement en retrait pa r rapport au tronc. Le pied opposé éta nt lui en amont du tronc. Ët irer pui s in ve rser la posit io n. LE GRAND DORSAL - Attraper un point fixe en ha uteur légèrement désaxé par rapport au tronc. La jambe opposée tient l'axe pendant que l'autre vien t croiser. Ëtirer pu is inverse r la posit ion. DELTOÏDES - Attraper le coude et le ramener douce ment vers le côté opposé (photo 2). Ëtirer pui s in ve rse r la position.
2 - LES RACHIS ÉCHAU FFEM ENT : ~enroulement (photo 3) - Debout, ." .n rouler jusqu'à finir accroupl en position de l'œuf. Se redresser. Réitérer le mouve fois. Pompes + apelon1ini'ux : Colonne vertébrale (photo 4) Jambes éc.~rtée,;, allez latéralement chercher le plus loin avec un bras en passant par dessus la - -_...
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3 - LES MEMBRES INFERIEURS ÉCHAUFFEMENT : Squat! (photo 5) - Flexion sur les jambes. Tenir la position puis relâcher. Réitérer plusieurs fois le mouvement. ÉTIREMENTS: Psoas (photo 6) - Bars tendus devant. Avancer une jambe. Fléchir. Étirer puis inverser la position. Fessier (photo 7) - Debout. Attraper un genou et le ramener doucement vers soi. Étirer, relâcher et inverser la position. t
WON MARTI NEZ Classique landaise. OIlSoilerrlO
DU RICAIN PAR CI,, DU BRÉZILIEN PAR LÀ, DE lAUSTRALIEN EN VEUX-TU EN VOILA... ET LES FRANCAIS DANS TOUT CA AVEC DEUX , , RIDERS TRICOLORES AUX DEUX PREMIÈRES PLACES DU CLASSEMENT MONDIAL IBA [ALAVERNHE ET PLCl, LA SCÈNE FRANÇAISE MONTE CLAIREMENT EN PUISSANCE PORTÉE PAR UNE GÉNÉRATION OUI A , SERIEUSEMENT « LA DALLE » 1
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ALAN « GOUAKY " L' H ELGOUALC' H. Reverse Air - Porscarn, Finistère Sud. "Gladu
JÉRÉMY ARNOUX Backflip - Comme on dit, cdui-l.à, il est doublement dans la boite. "Gouirriec
WES " MAMAZ • LE FOURN Secret spot, Bretagne Sud.
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LES ROIS DU PÉTROLE ,
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VERITABLE LEGENDE VIVANTE DU MARCHE SURF ET REFERENCE INDENIABLE , , POUR TOUS CEUX QUI SE SONT ,INTERESSES UN JOUR AUX ORIGINES DE LA , PLANCHE EN MOUSSE EXPANSEE, TOM MOREY ADONNE SON NOM AU LABEL , " , AUJOURD'HUI LEGENDAIRE. NEE AU DEBUT DES ANNEES 1970, LA MARQUE . MOREY BOOGIE FAIT PARTIE DES MEUBLES DE L'INDUSTRIE BODYBOARD. TEXTE: JULIEN BOURSEGUIN ,
L' HISTOIRE Les premières planches sont fabriquées. dans Né en 1935 dans le Michigan Tom Morey est à· son garage à Carlsbad et ce n'est qu'à la fin des la fois ingénieur, musicien confirmé et bien _ années 70 que l'entreprise doit déménager pour évidemment surfeur dans l'âme. Il commence des locaux plus grands. Mais les fonds s'épuisent. sa carrière dans l'aéronavale ou il se familiarise Tom Morey a alors besoin d'argent et n'ayant pas avec les matériaux «plastiques» et les mousses. l'appui des banques, il entreprend de s'associer Mais ce travail ne le satisfaisait pas. Il plaque avec Gordon & Smith. L'entreprise prospère, mais tout et décide de se lancer dans le business du l'économie de marché a raison d'elle. Tom et surf, alors en plein essor. En 1971, il s'installe Jim revendent alors le tout à Kransco qui assure à Hawaii, commence quelques essais puis le développement fulgurant que l'on a connu jusqu'à aujourd'hui. déménage à Kailua en face du spot d'Honols où il sort de son garage un bout de mousse qu'il , taille au feeling afin de lui donner une forme de pierre tombale. Il s'empresse de l'essayer et comprend rapidement tout le potentiel de son invention: une planche très maniable, légère, , sécurisante et follement ludique. Le premier bodyboard est né. Il quitte ensuite Hawaii pour la Floride avant de finalement s'installer fin 1971 en Californie, mettant de côté le surf business. Puis un jour en se baladant dans l'usine Willshire Foam, il aperçoit une pile de «peaux» en mousse résultant des déchets d'épuration de blocs de mousse. Il vient de trouver ce qu'il lui manquait pour fabriquer une vraie planche: le slick skin (surface de glisse). Pour la petite l'histoire, à la base le bodyboard s'appelait le snake (SNAK E correspondant aux différentes parties du corps soumises à un effort pendant la pratique de ce nouveau sport« Slide, Navel, Arm, Knee, Elbow » (Flanc, Nombril, Bras, Genoux, Coude). Mais le nom n'accroche pas. Passionné de musique (batteur émérite), Tom Morey en cherche alors un qui sonne mieux. En 1975, il s'associe à Jim Faivre et dépose « Morey Boogie ». Selon ses propres termes: « les meilleurs 10$ que je n'ai jamais dépensé dans ma vie.»
VOUS AVEZ DIT LEGENDAIRE ? Parmi les tout premiers riders de la marque, on peut citer Bobby Szabad et Rick Broderson. Mais les premiers riders internationaux sont arrivés dans les années 80 avec notamment
Jack Lindh olm, la légende vivante Mike Stewart, Keith Sasaki, Jay Reale, Hoauli Reeves, Paul Roach ... Morey a également été la première marque à organiser une compétition internationale à Pipe.
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EN 1975. IL S'ASSOCIE A JIM FAIVRE ET DEPOSE MOREY BOOGIE :« LES MEILLEURS 10$ ,
QUE JE N'AI JAMAIS DEPENSE DANS MA VIE. »
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MOREY EN fRAl'\lCE ET EN EUROPE Spécialisée dans la distribution de matériel de glisse, la société Hoff est pionnière dans le milieu du bodybard. En 1976, séduit par l'i nvention de Tom Morey et flairant le bon mon, Michel Hoff introduit le bodyboa rd (et en particulier la marque Morey Boogie) en Europe. C'est le début d'un succès fu lg urant. Michel Hoff est aussi à l'origi ne de la pre mière co mp étition sur l'hexagone: «Morey Boogie Hawaï Contest» qui permettait au vainqueur de disputer les championnats du Monde à Hawai·.
;E MARQGE LEGITIME L'a tou t majeur de la marque est bien évide mment sa légitimité. Et pour cause, le créateur de Ll marque n'est ni pLus ni moins que L'i nventeur de la discipline. Bien évidemment. les moments forts de la marque sont ét roitement liés à la commerdaLisation de modèles aujourd'hui
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L'ATO UT MAJEUR DE LA MAR OUE EST SA LEGITI MITE .
LE CR EATEUR N' ES T NI PL US NI MO I NS QU E L'I NVEN TEU R
DE LA DISCIPLINE devenus légendaires : mach 7, Mach 7-7 Stewart, Mach 755 ... En outre, si le logo a évolué, il est clair que la charte graphique des années 80, celle même Qui a fa it l'image de ta marque, reste un point fort de Morey Boagie. Aujou rd'hui, Morey s'appuie sur ses «best sellers» comme le Mach 7X ou le Mach 7SS et sur le feedback de ses proriders pOUT remettre au goüt du jour des shapes intemporels qui ont fait leur preuve et propose r
chaque année des planches toujours plus performantes. C'est pa r exemple le cas du Mach 7XP Alex Bunting ou du Mach 7SS David Hubbard. LE. MOT DE. lA FIN PAR 1.'f.Q -IPE.IIOfF «Un cli n d'œil à Michel Hoff qui nous a permis de découv rir ce s.port en Europe et à qui on souhaite plein de bo nnes choses pour ses nouveaux projets.» t
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Lorsque Charly Chapelet, Lucas Vergnes e t Angelo Lessiza se retrouven t e n Australie devant l'objectif de Raphaë l Fredefon , ce n 'est sùre me nl pas pour faÎre du u-icol. _. maÎs p lutô t pour e nvoye r du gros. Charly Chapelet Reverse _ méga _ Air - OZ, Juin 2010.
IL FUT UN TEMPS OÙ TOUT BON BODYBOARDEUR EN QUÊTE DU GRAAL SE DEVAIT DE PRENDRE LA MÊME DIRECTION QUE BON NOMBRE DE GLISSEURS EN JOUT GENRE POUR SE RUER VERS LE NORTH SHORE HAWAIIEN ET SON CAPHARNAÜM AQUATIQUE. LES ANNÉES 2000 ONT CEPENDANT VU L·ÉMERGE ~ E D'UN NOUVEAU PÈLERINAGE ESTAMPILLÉ «BODYBOARD ONLY., • LA FAMEUSE SOUTH COAST AUSTRALIENNE. E : MATHIEU MIlElU /C HARlY CHAPElET - PHOTOS: FREDH ON
CHARLY CHAPELET
près aVOlr suivi le troupeau les années précédentes, le choix cette année de jouer les brebis galeuses était motivé par l'envie de devancer l'afflux des pèlerins académiques. Au risque donc de rater quelques sessions intersaisonnalolégendaires à la kaz, le parachutage en Australie a eu lieu début juin. Objectif: scorer du bombie, du slab, du wedge ... bref, tout ce qu'on ne peut pas régulièrement se mettre sous la board à La Réunion. Très vite, le contact est établi avec un second crew de petits malins: les Californiens de Ring Of Fire 2. Ils sont là pour faire la promo de leur DVD et faire des images pour le prochain. Étant les seuls étrangers sur place, le courant
passe aisément, et les bonnes vibrations avec. «Right time, right place» : voilà le challenge majeur à relever lorsque vous êtes loin de la petite île que vous connaissez comme votre poche et où plus rien - ou presque - ne vous surprend. Orientés par buoyweather.com, avec en complément des checkpoints stratégiques révélés par quelques précieux indics locaux rencontrés les années précédentes, nous savions pourquoi nous étions là, en ce lieu paisible, retiré de toute agitation citadine : pour débusquer la (voire mieux, les) «sick sesh ». Celle qui nous donnerait du bowl à détordre, qui nous permettrait de repousser nos limites et qui resterait finalement gravé à tout jamais dans nos mémoires ...
mais aussi dans l'une des cartes mémoires de notre ami photographe Raphaël Frédefon qui avait réussi à s'octroyer deux semaines de répit professionnel afin de réaliser un rêve de gamin: fouler la terre sacrée des aborigènes. Charly et Angelo, arrivés une semaine avant Lucas et Rapha, brûlaient d'impatience à l'idée de pouvoir enfin prendre une douche chaude et dormir dans un lit décent, un confort non négligeable après une semaine en autarcie dans le Wicked van. Une fois le Run team installé dans sa villa de location aux allures de palace, les choses sérieuses pouvaient commencer. Le rythme de croisière a vite été pris: lever à l'aube, motivation des troupes, lever du drapeau
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AUSTRALIE
STRALIE
, et vrombissement du van. La longue marche le long de la plage, jusqu'à ce wedge en passe de devenir La Mecque du bodyboard mondial, avait des allures de chemin de croix pour Rapha et son gros sac, mais constituait l'échauffement indispensable pour qui veut être prêt à affronter les rampes vertigineuses offertes à profusion par ce spot unique. C'est bien évidemment lui qui au final nous aura offert l'un des deux plus beaux moments du trip: un matin pluvieux. On se retrouve seuls à l'eau en compagnie de l'illustre Steve « Macca » Mac Kenzie, légende locale toujours bien présente au pic, un des rares de sa génération d'ailleurs à avoir tenu la distance depuis les années 80. Très accueillant, on tape la causette avec lui pendant les accalmies, et il nous confie que c'est
ON SE RETROUVE SEULS A L'EAU EN COMPAGNIE ,
DE STEVE «MACCA» MAC KENZIE, ,
LEGENDE LOCALE mUJOURS PRESENTE AU PIC à La Réunion qu'il a vu le plus gros reqUln de toute sa vie. C'était au tristement célèbre Pic du Diable, le jour où Alistair Taylor et lui-même avaient dû se jeter à l'eau pendant la finale des filles de la mythique étape «GOB» des Archers, pour entamer une randonnée aquatique en eaux troubles et mal fréquentées avec ces demoiselles désemparées, n'arrivant plus à sortir de l'eau. Pendant ce temps, au bord, notre courageux «lensman» s'abritait tant bien que mal sous un
blouson plus ou mOlns imperméable, pour finir transit de froid. Mais avec le sentiment agréable du devoir accompli, puisque ce jour-là, les photographes présents n'ont pas daigné braver les intempéries. A notre grande joie, les meilleurs riders sont d'ailleurs arrivés après la bataille, chose rare vu leur connaissance approfondie de l'endroit. Cette fois, les Thurston, Mac Arthur, Richardson et autres Pyne n'ont pu que ramasser les restes, sous notre regard amusé ...
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T R A L 1 E
, C'EST UN TOUT OUI FAIT OU'UN VOYAGE
A TRAVERS LA LAND OF PLENJY,
C'EST TOUJOURS DU PAIN BENI Le deuxième highlight du trip a eu lieu un peu plus tard, sur un slab du coin que l'on peut présenter comme le petit frère du grand méchant Supers. Bon Karma pour nous ce matin-là puisqu'encore une fois, nous avons pu rider seuls, mais cette fois, vraiment seuls: trois riders et un photographe en aqua ... notre rêve. La raison se résume en un nom: 8lackrock. En effet, les prévisions avaient laissé entrevoir un créneau pour que LAussie Pipe se réveille, et forcément, le
tout-Sydney s'est rué bêtement pour se retrouver à cinquante voire plus au pic de Summercloud Bay. fJ.JJ fi nal si c'est essentiellement grâce à ses deux pépites que nous avons pu rentabiliser le trip aussi bien en termes de vidéo pour Focusbodyboarding que de photo pour Dodosland, ily a bien évidemment tout le reste. Que ce soit les talents culinaires (inexistants) d'Angelo et Lucas, les marches du matin (chagrin) par zéro degré à travers les prairies gelées, lambiance
chaleureuse du Marlin Hotel, le bistrot du coin où même les sexagénaires swinguent jusqu'à pas d'heure, ou encore la rencontre du trio de pêcheurs Occos, Dickos et Craig, purs produits du fin fond du terroir ozzie, celle de nos amis californiens et leur leader Mike Lepi ere, sorte d'Astérix amerloque. C'est un tout qui fait qu'un voyage à travers la Land of Plenty, c'est toujours du pain béni! t
CHARLY.
ROB ISAMBERT.
(Ring of Fire) pris en fl.agrant délit de tournage par Raphaël Fredelon - Oz, 2010.
RAPHEL FREDEFON "J'aime bien utiliser le noir & blanc les jours couverts ou pluvieux, lorsque les couleurs sont fades ou dans des nuances de gris. Je trouve
alors que le monochrome prend toute son ampleur, j'adore créer un contraste entre l'eau et le ciel, et jouer sur la densité des nuages
pour donner du relief. L'absence de couleurs n'empêche pas la nuance. Et sur l'océan, calme ou déchaîné, l'effet est parfois saisissant".
N o B L
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THORP WALJEW. Inwrt.
ERI C CAMEZ "Pour moi le noir et blanc respecte les t onalités réelles, le rendu est doux
et naturel. Dans certaines situations, il donne même plus de magie à la phot o et pe rmet de faire, pa r exemple, resso rtir les traits du visage",
N o
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B L A N c
BAPTISTE HAUGOMAT "Ra res so nt les occasions de
proposer de la monoc hromie (... ) La fo rce mystique, le gain d'é moti on, voilà ce que m'inspire le noir et blanc. Une réalité intemporelle, et parfois même nostalgique ( ... ) même si selon moi il ne prend pas toute sa force dans les sports de glisse, à l'instar du portrait. C'est peut être pour ce la qu'on l'utili se assez peu dan s le milieu. Ceci dit, ce rtains clichés monochromes seraient bien appréciables de temp s à autre",
L UKE SHADBOLT "Les photos e n noir et blanc sont souvent plus subtiles et dégagent plus de simplicité qu e les clichés
couleurs",
JASON FINLAY ~hiMIbott
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VINCENT DEVERT
"Pour ma part, le noir et blanc est utile lorsqu e tu as un e bonne ph ot o mais qu'il n'y a pas vraim ent de co uleurs attraya ntes. Cela peut intensifi er l'imp act d'une im age. Je l'utili se en portrait, paysage et en pan orami c parfois pour faire resso rtir un élément en particulier ou pour plong er la ph ot o dans une ce rtaine ambi ance. Cela dit, j e ne sui s pas un grand passionn é de noir et blanc. Ici a Tahiti, les co uleurs so nt extrao rdin aires, que ce so it le matin lors des premi ers rayo ns de so leil da ns les vag ues ou le soir pour le sun set sur le lagon. Je remercie la nature t ous les j ours pour nous offrir cette magie".
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RONANGLADU "J'aime le noir et blanc parce
qu'il permet, en supprimant les couleurs, d'accentuer les contrastes et donc de renforcer ou de diminuer certains aspects de la photo ... Même s'il m'arrive de shooter directement en monochrome, c'est souvent sur l'ordinateur, après coup, que je fais le choix de passer en noir et blanc telle ou telle photo ... Souvent au «feeling» ! c'est parfois une incroyable chance de revisiter une photo".
DALLAS SINGER. Hawaï 2010. " Shadbolt
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AVIS AUX RIDERS ! N'HÉSITEZ PAS ÀCONTACTER LES CORRESPONOANTS OE VOTRE RÉGION POUR COMPLÉTER CETTE RUBRIOUE NEWS LOCALES,
GIRONDE par Mat Desaphie [email protected]
Le bodyboard shop Li cious compte désormais Eri c Gamez dans ses rangs. # De son côté Maxime Castillo intègre le pôle France sport-étude de Bayonne, ce qui laisse présager un joli futur pour le champion d'Europe espoir. # NieD Padais s'est fait quelques expéditions sur une nouvelle vague au large du bassin d'Arcachon, on a pu avoir un petit aperçu sur le blog de son club Ocean Roots. Le meilleur reste donc à venir. # Julien Charvet a effectué son stage de commerce international dans les bureaux de TURBO en Australie où il a pu accompagner Andrew Lester en tournée commerciale, surfer Shark Island régulièrement et se faire shaper une planche par Glenn Taylor ... rien que ça !
GUADElOUPE
LANDES
par Mat Desaphie licious.shop @gmail.com
par Gontrand Marchal [email protected]
Martin Mouradian a passé le mois de Juillet à Tahiti où il a fait pas mal d'images pour son prochain podcast
Julien Miremont, toujours sur Tahiti devrait revenir au pays quelques mois pour participer aux dernières épreuves du tour pro. Il a passé
vidéo pour ses sponsors NOMAD et SEN NO SEN.
ces derniers mOlS à filmer pour sa séquence dans la vidéo WITHIN de The Drift Production. # Sylvain Langlet bénéficie désormais de l'aide de Creatures of Leisure. # Derek Crater devrait s'envoler à la rentrée pour les Philippines en compagnie d'Anthony Zozaya. # De son côté, le DK rider Th omas Quirante travaille son tube ride aux Mentawati jusqu'en septembre. Julien Miremont, toujours sur Tahiti devrait revenir au pays quelques mois pour participer aux dernières épreuves du tour pro.
BREIZH par Gwen Renambot [email protected]
Yannick Allançon a ouvert son école de surfbodyboard (surfing iroise) sur le spot des blancs sablons au Conquet. Il coache également les kids du Minou Surf Club depuis Avril et porte désormais des fringues Kana Beach. # Antho Le Nair a gagné la première étape du Breizh DK Tour à la baie des trépassés, malheureusement le BDKT a souffert du manque de vague au printemps ... étapes décalées à la rentrée. # La coupe de France de bodyboard fera quant à elle une halte dans le Finistère Nord sur le spot du Gouérou (Lampaul-Plouarzel) les 16 et 17 octobre. # Alan L'H elgoualc'h et le surfer Th omas Joncour ont pour projet un tour du monde prévu à la rentrée 2010, projet filmé et monté par une boite de production Française. Leur avancée pourra être suivie sur un blog. # Triste calendrier fédéral breton, aucune compétition open n'a eu lieu cette année ... Yo «Meuleb> Chardonnet, Claudio Loaec, Fwed et Gwillaume Habasque sont soutenus par la marque Mile 6.
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NORMANDIE
REUNION
par Jennifer Pacary apocalypseee@hotmailofr
par Mat Milella
Richard Forcadel a ouvert le DK dense bodyboard shop à Cherbourg. On y trouve tout le matos boogie : Soyroll, Phenum, Nobelum, Kanabeach, SNS, Grand Flavour, Cartel, Sniper, Milk, NMD... Le ,hop soutient également plusieurs riders : Olivier Brosson, Mathieu Calvez, Lé o Le Goff ... # Avis aux amateurs de surf «made-in » îles Anglo-Normandes, une nouvelle compagnie maritime vient d'être créée (Vedettes du Cotentin) et va rallier les îles tout au long de l'année:
L'hiver austral marque traditionnellement le joyeux retour des exilés: le plus célèbre d'entre eux, Amaury Lavernhe, est arrivé mi-juillet de Tahiti via la West Oz. Autres retours fracassants, ceux de Brice Bornarel et Guillaume Sautron, respectivement mahorais et bordelais d'adoption mais qui n'ont pas traîné pour reprendre leur place au pic sur leurs homespots respectifs. # Laury Grenier continue à faire parler de lui en remportant in extremis la Coupe 2010 devant Yoan Florantin lors de la dernière étape au 3ème Pic, spot décidément maudit pour «Peck» cette année après son accident lors du Challenge Legleye. En OK, c'est Yves «El Tuco» Oelapelin qui détrône son vieux dalon David «Rasta» Huet, vainqueur en 2009. # Matthieu Schiller et Loris Gasbarre viennent d'annoncer la naissance de leur marque «Local Brothers». Le boardshort en hommage à David Legleye sera le fer de lance de leur première collection ... plus de détails dans le prochain numéro.
www.vedeUesducotentin.com
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VENDEE par Julien Boursegui n [email protected]
13 e édition du Bud Contest les 18 et 19 septembre prochains à Longeville sur Mer. Plein de nouveautés cette année avec une promotion Virgin Radio et TV Vendée, une expo d'artistes sur l'univers du surfing, la venue de l'incontournable Ali Renault, DJ intense from London entre autres ...
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SENEGAL E
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par Pierre Abel Maroun [email protected]
Én orme performance de AYMERIC SENGHOR qui se paye le luxe de remporter le challenge D.LEGLEYE à la REUNION et de faire une finale en DK. Au Sénégal aussi, on sait rider ... en prône et drop!
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LE CADEAU BONUS
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LA GRAPPE PLEASE II"
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L ABUS D'ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTE, A CONSOMMER AVEC MODERATION,
