^
LA CLE de
la
CONVERSATION ABYSSINE
VOCABULAIRE.
PHRASES, CONVERSATIONS, VERBES ET CORRESPONDANCE
L'USAGE DES NOUVEAUX AMHARISANTS par Le Chevalier A,
RAAD
B.
Docteur ôs-sciences, Pliarmacieu chimiste de 1" classe,
Sx-pharmacieii
en chef de
Impériale
GHALEB
Négociant,
la
Cour
Directeur de la société Claytou, Ghaleb et C"
d'Ethiopie
Imprimerie Catholique
Beyrouth (Syrie)
1910
L*'
TOUS DROITS RÉSERVÉS
— — 3
PREFACE La langue royale abyssine (A^i gous), dite langue
?
malgré
s),
les
AMBARIQUE
î
ou
'}1^/^ " lëçana ne-
AMARIGNA (h'^C
nombreux ouvrages qui y ont
encore mal connue. C'est au fur
ment économique
et
été faits, est
mesure du développe-
et à
commercial de l'Abyssinie que
cette
langue prendra de plus en plus de l'extention, et sera bientôt rangée
parmi
les
langues vivantes orientales les plus
importantes.
En mettant les
ce petit vocabulaire à la disposition de
commerçants, industriels
et touristes
ports directs avec ces contrées
des reconnaissances
lequel
ils
et à
le faire
se
qui ont des rap-
proposent d'y
faire
commerciales ou scientifiques, nous
aucune prétention de leur
n'avons
ment
ou qui
MM.
offrir
un ouvrage sur
puissent compter pour apprendre grammaticale-
fond
la
langue amharique, nous réservant pour
quand l'occasion sera plus propice.
Notre premier but, par
le présent
ouvrage, est bien plus
modeste tout en étant plus pratique. Nous nous sommes efforcés de faciliter les relations sins
avec
en les
facilitant
aux premiers
entre Européens et Abysles
moyens de s'exprimer
seconds. Pour cela nous avons choisi dans ce voca-
bulaire les mots les plus nécessaires à retenir et les phrases
—4— les plus usuelles,
crire à côté
de
la
en n'omettant pas
la
précaution de trans-
traduction abyssine la prononciation en
caractères latins.
Nous espérons que
le
avons passées en Abyssinie
nombre des années que nous et la
pratique que nous avons
acquise par notre contact direct avec les abyssins nous autoriseront à croire que notre modeste ouvrage rendra service aux
nouveaux amharisants.
LES AUTEURS.
— — 5
INTRODUCTION En mettant en
lettres latines
mode de
des
à côté
Pour guider
lecture le plus simple.
un accent
comme
lire
prononciation
MM.
les
le
nou-
ce o^enre de lecture, qu'ils nous per-
à
mettent de leur indiquer
Ne
la
nous nous sommes efforcés d'employer
veaux amharisants
1°
mots abyssins
les observ^ations suivantes
:
a très-ouverts que ceux qui portent
circonflexe (a).
2°
Lire les h toujours très-aspirés.
3°
Les
e
avec
un accent
circonflexe renversé Ce) indi-
quent une prononciation excessivement muette. 4"
Les q doivent être d'une prononciation gutturale
(un peu moins que c
et des
5°
celle
du J arabe) qui
h.
Le
trait
qui surmonte les
tion très ample analogue à celle 6°
tion
Les
s
spéciale
surmontés d'un qui
par
t\
/
du
trait
indique une prononciai»
arabe.
(ï)
ont une prononcia-
ne s'acquiert qu'avec l'habitude et qui
ressemble à celle du sentée
les différencie des
dans
^y>
arabe.
Cette prononciation repré-
plusieurs ouvrages est
une profonde
erreur.
7"
Ne donner aucun ton
suivent les
g
spécial aux
u
ou aux h qui
et qui n'ont eu d'autre but que d'éviter la
—6— prononciation du g
comme un
;
devant
e, i.
Pour mieux arriver à prononcer l'abyssin dans son idiome pur, nous
ne saurons trop engager M. M. les nouveaux amharisants à étudier, aussitôt possible,
l'alphabet de la
langue amharique. Ce sera le moyen le plus sûr pour tirer le plus de profit de n'importe quel ouvrage d'abyssin qui leur tombera sous la
main A.
R.&B.G.
—7— ALPHABET ABYSSIN L'alphabet abyssin se compose de
qui revêt
lettres
J3
chacune 7 formes différentes. Ces fonues correspondent
aux accents syllabiques qui font que chaque
une
syllabe à part et à
forme
lettre
une prononciation séparée des au-
tres.
La
forme, dite '7d'H
i*"®
son d'un
A
K
U
,
,
bref se rapprochant
fh
,
'^
,
,
— gue —
(originale)
î
ex
un peu de
a
un
sauf dans
l'E,
prononcent
qui se
,
bouche ou-
la
verte. 2"^®
La
un son
«
La
ou » bien
a
i
kaeb
forme,
avec un son d'« à
ï
—
sales
5"^^
dite
Ir^'fXà
s
forme, dite ^9"ft
consonne proprement
Nous
ge par un «
ï
—
e
dite
s
hanies
la
—
« ié »
;
— sades — a très
elle
l'avons représenté dans
prononce
se
,
devrait se pro-
,
mais
,
et
le
plus sou-
é ».
correspond à
la
peu ou pas de son
le texte
de cet ouvra-
» très fermé mis après les consonnes.
Enfin la 7™* forme, dite ii'iïà
tement
donne nettement
,
contentent de prononcer
6™^ forme, dite fï'^'h
spécial.
—
».
les abyssins se
La
prononce avec
se
,
— rabee —
noncer en principe avec un son de vent
—
».
4°*^
La
—
s
net,
3™^ forme, dite •'/Art
La le son
forme, dite Uù'û
prononciation « o ».
'
—
sabeé
—
,
donne
net-
Nous donnons
ci-après la
en suivant l'ordre dans lequel
nomenclature de cet alphabet les abyssins le mettent.
—9—
— 10 — 3°
Diphtongues donnant aux
lettres le
son de
4°
Diphtongues donnant aux
lettres le
son de
5°
Une
«
wou
»
:
wé
»
:
«
seule diphtongue imprime à la lettre le son de
« ia » c'est 2^
.
II
—
— — 13
L'eau
Eau
-15Gelée
Woiiriche
Glace
Barado Grêle
Humidité
îiCTfl^ l
CT-fli'lh
Nuages
^OD(^
Ombre
TA
Pluie
li^'iï
ou
î
h
i
Êrtehat
Êrhben-
nat
Dammana
a
fêla
î
i
ou TlVi^ î Zenab. Zenam
Rosée
TïéTji
Sécheresse
Baga
Sec
Daraq
Temps
Zaman
Beau temps
Bcrra
Tonnerre
Negoudgouad
Tremblement de
fî^.P,'Cî '^ïflïTï
la niêder
manaomt
terre
Vent
Nefas
Vent du Nord
la samèn nefas
»
du Sud
la dahoub nefas
»
d'Ouest
la m'erab nefas
»
d'est
In mesraq nefas
Le feu. Le feu
Eçat
Le Chauffage
Mnmoqia
Bois
Intchèt
— 19 — Dimensions et Formes.
Abaissement
— 2^ — Semaine
Ùa^'i
i
Jour
dA'>
ou
!
ou fir'i
4»'>
Seinoitn ou Sanient
Oan
Elai.
î
Heure
Saât
Demie-heure
Ekoul saât
Quart d'heure
Rouh saât
Une heure
et
And
de-
mie Minute
•Mfi-A
saât takoul
î
^4î4'îouJ^«fc.*î
Daqhj. Daqtqa
Seconde
la daq'iqa daqiq
Le matin
ïcouat
Midi
h'n-A
î
«I»*}
:
ou
kan.
Ekoiila
Après midi
Oïda houala
Soir
Mata
Nuit
A»^
Minuit
hïl-A
i
ou A»A.^ :
A.A.'h
ï
Lét. Lélit
EJwula
lélit
Zaré
Aujourd'liui
Hier
ï
'"hA'J'l-
:
Telant
Avant hier
Ka
Demain
Nam
Après demain
Ta
Le lendemain
Maghcst
Le surlendemain
Ba
La
Ath'ia
veille
Commencement
Oa-
telant o'tdia
nao^a oid'ia
sostagnao qan
Majammaria
2é Fêtes.
Fête
—-7\'eiiie
de Noël
Croix de
la
/^.^
Majesté
Yxft»
Gar^
s
i
''"ft^'A
Assé masqal
s
(17 Septembre)
En dehors
de ces
fêtes
abyssins
les
ont des fêtes
qui se répètent tous les mois mais qui, cependant, revêtent
une
fois par
an une forme plus cérémoniale.
Ces
fêtes sont
S'
George
'iS'dJtï
S'
Michel
"%hK^
S' Gabriel
La S^
S'^ \'ieroe
Abbo
Dieu »
le
Père
le Fils
La Trinité S'
Tacla Haïmanot
Gii'wrguis
s
Mikaël
i
l'flCh.A
*^C^9"
Gahreêl
i
Mariam
i
Yx^tD-
ï
(l'JA
HxHIC
i
/^AAï hfl"V
Ahho
r»A.t^
»
î
:
Bah
ï
Eighêr
Bah waU
s
Sellimê
i
'MflA
J&'^S-V
î
î
*i
Abonna manot
Tada-haï-
— 29 — Cinquante
50
Cinquante deux 52
A mm
Cinquante cinq 55
Atn.'a amniest
Cinquante
Amsci scddest
six
Soixante
56
éo
:jç
ftA^iourt.t^^î
houlat
Sélsa. Scdsa
63
Seha
sost
Soixante six
GG
Scka
seddest
Soixante dix
70
Soixante trois
Soixante douze 72
Saha ffë /in
s
i>A^
î
Saha houlat
Soixante dixsept77
Saha sahat
Quatre-vingts
Samâgna
80
Quatre-vingt un8i
Samagna and
Quatre-vingt
Samagna semnîént
88
huit
Quatre-vingt dixpo
Zatana
Quatre-vingt
^j
Zatana sahat
98
Zatana sïmmcnt
99
Zatana latagne
dix-sept
Quatre-vingt dix-huit
Quatre-vingt dix-neuf
Cent
Deux Neuf
cents cents
100
Mato
200
Houlat mato
900
Zatagne mato
Mille
1000
Chi
Troix mille
3000
So.d chi
— 31 — Un cinquième
jfC^
animest edj
and
edj
Ka
Sept neuvièmes
laiagne edj sabat
edj
Une
fend
paire
Une douzaine
And
Demi douzaine
Ehoul dar^an
Une
Asm
grosse
(12
dai'ian
houlat dar^an
douzaines)
Une grosse et demie
Asra semmentdar\an
Simple
And
edj
Double
Étf
Triple
Sosl
Quadruple
Arai
Quintuple
Ammest
Décuple
Asscr etf
Centuple
Mato
Une
And
fois
Deux
Dix
fois
fois
Cent
fois
Mille fois
etf etf
e'tf
guiié
Houlat gwié
fois
Quatre
c'tf
9.
^H.ï
Aràt guiié
ï
TJUi
Asser guïi_é
Mato Chï
giiïTS
guÏTj-
— 32 — Nombres ordinaux.
Premier
Majammaria
Second
Houlatagna
Troisième
Sostagna
Quatrième
Arâfagna
Cinquième
Amnïcstagna
Sixième
Scddcstagna
Septième
Sahatagna
Huitième
Semmeiitagna
Neuvième
Zalagncgna
Dixième
Asscragna
Onzième
Asra andagna
Douzième
Asra houlatagna,
Treizième
Asra sostaonia
Quatorzième
Asra arâtagnia
Quinzième
Asra anicstagna
Seizième
Asra scddcstagna
Dix-septième
Asra sahatagna
Dix-huitième
Asra scmmentagna
Dix-neuvième
Asra latagncgna
Vingtième
Haïagna
Vingt
et
unième
Haïa andagna
Vingt deuxième
Haïa houlatagna
Vingt troisième
Haïa sostama
— 37 — Récompense
'^'"'^"Aft
Rente
'T*CÇ
Réputation
i\9^
Revenu
voir rente
Richesse
W-fl-lh
Associé
K^iP^i ou
Société
*0ryX9
Mainmalas
î
Terf
s
Sem
i
Habt
s
Succession
4'TA
Travail
/*'<J« s
Tuteur
'PlUrt
*
ïid'ili
Anmrï. Charïk o Koupanïa 0^Jg/
s
5^m i
Mogiit
— 39 — Enfant légitime
ïtO^V'!**!"
Bâtard
-^.^A
s
Aj^-
:
s
Oiinatagna
Dz^/ak
L'ame.
Qualités,
Ame
défauts,
vertus,
vices.
lïdj
Talon
— 49 — Enha
Larme
ï\i(\
Sueur
'Plt
Lait
(D-t^î ou
s
î
ou
Urine
Tîl'lh
Cadavre
àih
Squelette
<»*»-/V- :
Accidents,
Abcès
A-fl
!
Oïi.
(D-f'l'i
s
Lâh
Oitat. Oitot C/:;^«f
s
i?é(:a
KT*}^
infirmités
î
Moz//o/^
maladies.
Aient
53
—
Opérations, Remèdes.
Remède
55
Gants
-5éEtoffes.
Broderie
-63Meubles et autres objets de la maison.
Allumette
-64Étagère
f î»^ **!
Fauteuil
î
î
'^tl'P^
la eka
cJm
masqammat-
-65USTENSILS DE CUISINE.
Broche
«^TAïf
î
Mathacha
Casserole JP/ft^
Chaudière Couvercle
s
Dèst
-67France
f «Crfl^A^
Grèce
f P'VJ
Hollande
f irA'ïjç-
Italie
Prusse Russie Suisse
Turquie
î
tilC i »
i
î
»
la faramaiL'ï agar
la
ionan
»
— 70 — Tribunal
^A"'1h
Université
voir école
Voûte
rtliîh
Voyage, Passe port
s
ï
TchcUot
Samnnat
moyens de transport.
— 71 — Harnais Foullo
Licou
Mors
Legouam
Sangle
Qcnât
Sous ventrière
Emhïagous
Sous croupière
Oidala
Selle
Kor'iicha
Navire
Markah Paquebot
h^
Bao^ages
i
ou ff*f»T
Eqa. Chaqat
Caisse
Sâtcn Valise
f ^J&'HT'
Bissyclette
i
d.^i\
i
ou ?'}4'As d,^l\i
la
mÛân
fara,:
nefâs faras
Tente
Denkoînc
Poteau de tente
Tarâda
Cordes
w
»
Aoutâr
Pieu
))
»
Kaccma
Corde d'attache
Chekàl
Entrave
Maçankaïa
Bête de
somme
Aaàssas
Chemin DE FER,
Chemin de Indicateur
fer
BATEAUX A \'aPEUR.
T*^ù nOrC i
î^Aîn^
s
:
Medra hahour
Mmmt
la
Général
d'Avant
76
Aide de camp
—
— SiDignités
Abbé Abbesse
ECCLÉSIASTIQUFS.
Jument
— 93 — NOMS PROPRES. En
abyssinie les
personnes ne portent aucun
famille et ne se distinguent que par leurs
noms
nom
de
particuliers
auxquels s'ajoutent rarement ceux de leurs pères. ;
Chaque abyssin
nom
a 2
noms
:
un nom de baptême
et
un
particulier.
Quelquefois
le
nom
de baptême seul
suffit
pour
distin-
guer une personne à laquelle on n'a point donné un particulier
;
ceci se
remarque surtout chez
nom
les esclaves.
Noms' de baptême.
Ces noms sont en général des expressions religieuses qui varient à
l'infini.
En
voici les principales
Esclave du Seigneur l'fl^
thtC Force de Dieu
'^^^
Esclave de S' Jean
l-Q^
Fille des cieux
«DA'h
ïl
ïx'^il.h'd
î
:
Gabraegiiabehèr
<
î
h9"^
Haïla amlâk
:
^thlr
i
s
rt^^
Gabra iohannes
Oilatta
Samayât
— 94 — Fils
flïA^
de Marie
r Fille
de
S*
Michel
fl'A'h
A Don du
Père
s
"VC^
Oîlda mariant
"VlK
Oïlaita mikaël
î
s
i
*^Oti
î
h-Tl
Esclave du Fils
l'fl^l
î
(D^^
Esclave (au fém.)
J^'^'t"
de S' Georges Plante de
la foi
Tri-
la
Gabra
i
T.P'CT.
oild
Amata
guiorguîs
fl s
i^VlA n-
Force de
î
^a/j/a âb
î
Vjî.'^T
s
Takla haimânot
:
VM
/^Art.
:
H««a
s
^2//A:/^'
nité
Sa force (sous-en-
y/K-A"
Haïhu
î
tendu Dieu)
Colonne du Christ
OT*^ h
Plante de S* Geor-
hCft'f'
a
Amda
Kirstos
a
l'iTlA
î
T.P'CT.ft s
Takla Guiorguis
'^Aïl'lh
i:?ai7fl
ges
Force du
Royaume :λ^A
••
s
malahot
céleste Fils des
Apôtres
fl»A^
> Grandeur
des
s
rh*P^^
Oi/^a Hawariât
ï
h'fl^l
î
4*-?'^T'
Saints
etc.. etc..
î
Kcbra qeddouçâiu
-95NOMS
PARTICULIERS.
Loin de suivre un ordre spécial ou une règle particuces
lière,
noms
ou expressions sitôt après
En La Il
sont tout simplement des mots, phrases
bisarres qu'en général la
l'accouchement.
voici quelques exemples
joie
Md
a fleuri
Dasseta
Ahhaba
i
es d'or
(UC^
Tu
es belle
(D^Q
J'ai
trouvé un frère
(Wif^'^* l^
a jugé
Dis-moi oui
Tu
n'auras
pas de
:
s
ftft;*"
Tu
Il
mère prononce aus-
>lj
s
O'irque neh
if]
î
Oiieh tieche
s
i
i
hlJ
O'mdem agagnahou
::
éLd^
s
"KtL
flA^
*
T'JÇ:
î
Farrada Echi balagne
î
eATÎi^
s
fenf iallachem
postérité
Juge
Makonnen
Prince
Masfen
Mon Tu
bouclier
es
Gachaïé
pure
ferou nech
Redoutable
Avec moi
Tafar't
h'dà'i
Ahheré
Triomphant
Achannâfi
Guet
Mattafaria
à
pen
-96Il
a été
entendu
Taçamnia
Mille ont eu peur Il
a été craint
Ma Il
Chifarra
Tafarra
HaïU
forcé
est
nouveau
Son bauclier
Tahaddaça
Tanna gâchao
s'est
fortifié
Mon
or
Oïrqé
Son argent Il
Bcrrou
Dûuh ala
a fait crac
Moulou guéta
Plein maître etc..
etc..
t—-5=-G*îÇî«=l-=5r~-^
— 97 — Conjugaison du verbe. Avoir.
J'ai le livre
«^XVhC
Tu
fl'îffU
Il
as le canif
a le sabre
Nous avons
hi
plu-
T"^^ OC^
M'-^
i
Y\t\\)
s
}\i\lr
i
Masbaf allagne Saniï allah
^lAfl>"
î
i
î
Gouradé allao
:
5M ^/k?;
î
me Vous avez
l'encrier
f 4»A9"
4*"}.^
«
h^'''tO'
Us ont
la lettre
ft'fl^fti
Oh-
/a ^a/«;n
:
alïâl-
chhou
i
M'^
î
(/fl//ii
Dahdàhic allâtchao
i
Imparfait ou passé. J'avais les livres
^'^^ihV^ •%
Tu
avais
les
en-
Il
avait les
plumes
les
nahhara-
gnc
P'Ï»A9"î 4**^/^7'
s
la qalam qaudoich
nahharah
î
•flC/'T' (D*
Nous avions
Vfl^ Masâheft
i
ïfl
criers
i
Bcr'olch nahharao
Vflil
•
i
fl^A?*-?-
i
VH^l'J
s
Billaotch
nahbaran
couteaux \'ous aviez les très
let-
A'fl'^n>?''ï'
à-'^'O'
7
i
i
Vfl
Dahdahièotch nahharâlchhou
-98avaient les sa-
Ils
'î^^?*'/" ^fl>-
bres
Le verbe avoir
N. B.
^(\à*
*
Goradèofch râîcho
s
^lA
«
nabha-
»
n'ayant en abyssin qu'un
présent et qu'un passé seulement, on emploie, pour expri-
mer
les
autres temps,
d'autres
verbes
tel
que
«
trouver »
« posséder » « prendre » etc.
Le verbe simplement
être n'existe pas
le
pronom
à côté
en abyssin
;
de l'adjectif
on emploie tout
comme
dans
la
langue arabe.
Conjugaison des verbes Actifs. Indicatif présent.
J'achète une mai-
fliih
î
ïxlHtiO-
Biét ega\7jillahou
i
son
Tu
choisis
un
jar-
U
din Il
îiCïf
vend une plan-
i
'^^^C^A
Ercha teinarrïtallah
s
J&îl^A
Sânqa
î
h'i^
s
ichatal
che
Nous vendons
celte
jolie table
J&Ui'Jî '^Ahî'^î
^n;^
Ki'S'^
.-
leJjcnnen
malkam
gahaia enchatalîen
A-}::
Vous achetez un beau
livre
'^AÇ^
Ç
s
î
''^Kilx
'\"}Hf\^'lhi
Malafia tnashàf craiallâtchou
tc-
— 99 — choisissent
Ils
la
;i'A*|î'>î'^'fl^'1hî
^^^C^H'
grande lampe
mabràt
Tallaqoun imariallou
:
Imparfait.
choisissais
Je
du
Tu
achetais du sa-
C
vendait des ver-
Nous achetions du
TlH
s
.
ïrt
:
choisissiez
emarrcï
iiahhar
Sâbouna iega^à vah-
" fcflr
O'C^ïi î ^ÎÎ'T
ï
Bourtchiko ïchdi nahfeflr
i
Endjcra cnga\â vah-
du '^ii^s 'Ih'^CrtVî
Mare/ temariou nah-
"h'if^^à'
X'J^'îH
î
W
iflC "
pain
terrain Ils
î
iflC «
res
Vous
^fl"*!'
K*^ Emhâharad
î
s
vou Il
hî^^ntl^^
CT WlC
marbre
"
îrllC
vendaient leurs
chapeaux
/j^r
J^tVl'iD*'}
ni*
^"ff
;
iOC
s
Qobâtchaon
ichaiou
nahhar
••
Passé.
Je vendai
mon
che-
'}
Tll*
s
Farac'tèv chaihou
'^rf^TlJ
î
Doiillân marrath
s
ft
val
Tu
choisis
une can- •^A'J
ï
ne 11
acheta
ma bague
Nous choisîmes couleur
la
^Art't'î' *f*A'''**'J *> s
î
•"
IH
î
Qalabaiièn
'^<1T Oalamoiin
gand viarratn
— 100 — Vous vendîtes
^l}0^'i
lu
U"
pièce
un
achetèrent
Ils
fl'^'-ï-
s
fâkaon chattâtchhou
î
^A^*}
"ïH*
;
Qpulfcn
î
ganou
cadenas
Plus-que-parfait.
acheté des
J'avais
nV^h
bougier
Tu
avais
flCll*
choisi la
avait
Vnn vendu
sa
ifl
choisi
matelas
le Ils
li*
avaient acheté
dans
la
ç-j\jai^\
s
î
ilT-f"!
Oajnjçoun
futur
et
le
.
Pour
le futur
miirretan
Saïfcn
"
nahbarn
ft
T/i"-/-
TH
Fcrâi-]:oun
" c/.'o//.
/'A*"
s
^r«(j7
chattctâi-
nabbar
ganctav
iiab-
^aro//
présent ne se distinguent pas
conjugaison des verbes amarigna,
J.3
chaiîcto
nabbara ^^CiTlT's
VH^- "
Le
marrctah
Ber'oun
••
VîîC
^l^•*fe
du cognac N. B.
nahharhoii
vendu ^li^U'ln s
ga\ietché
nahhar
VflC'î'
aviez
Chamâ
"
Ù^^Tn
une épée
Vous
ï
s
4*^'îirt"'J
chemise
Nous avions
s
"HCO^ln ^QiïWii
plume 11
THÏ
s
on emploie
comme
en arabe
le
présent.
î
Scrahcn tcharrcs
Impératif.
Termine ton vail
tra-
tlà^Vi
s
ÉtLCft
101
Qu'il agisse autre-
A>A
,P^C*7
:
Lcla iâdcrg
s
ment Finissons
vite
la
porle
^'ti*'i ^^'*H'l,^iD* "i i Itiiftlt^Ctl
Calmez votre
fu-
'•'•
'P^^nV'ii ha>-^::
Tolomaiguiaoncnnetchaires
Qout'tahcn aoiûa
reur Qu'ils
mangent leur lt\i^li*'l'(0*'ii^
pain
'fl/V
Endjerâtchaon ihhu
s
Subjonctif présent.
Le mulet que
j'a-
Je
vendes
que tu des
f î^^'IUfl*"* Kanta
s
fl4*A** "
chète de vous désire
h'^'h
oi-
gnons Qu'il dise sa prière
'rt-'JïhC'll*
'l'îlT II"
haqïo i
ïxlli^ Ghoiuikoiirtendetchat
hfl'^A
s
tanic gai_\ao
eouaddallahou
"
^ti"']^']!
jZiRA
î
Salôtotin ïslalli
^::
Que nous compo-
Ti
ï\i
Aiid qenié ennïgiam
Que vous transpor- ^TrP^i'h'i^^
Dengaïcndetaggueiou
sions
un poème
tiez des pierres
Qu'ils
habitent la
H'if^'
s
*7/nll"
*7H*
i
s
"
KOAIC
s
J1jÏ*4«
s
Ehàlagar ïnourou
campagne Infinitif présent.
Recevoir
^^4*flA
s
Maqqabal
Verbes
passifs.
Indicatif présent.
Je suis attendu au
.C^^-yAs
ïi**l(Ui
eguebbi iqoïougnal
Palais
Tu
es
le
aimé de tout ïlùOi'i Ih/Vî "tiO
ÂJ^U
monde
Nous sommes
haïs
des méchants
Vous
invités
êtes
chez moi
VA fD^îi
de leurs
^*7
sao houîou
taou-
addadh
^HlA"
i
Kefouotch iJalotinal
î
'l'snà''^
s
s
y^/*';i"'^
hrt?'.9*'f'fl>*
i
s
^
Aï^-^A* "
sujets
Ka
Oidanu faïarrâkhhou
s
Ii«
Les bons rois sont
aimés
Ïl4*?*'r
"
Dao^
ka
naga.dât
saoicbâlchao ioddafi?«.//o«
Imparfait.
J'étais
aimé de
mon fi
maître parce que j'étais
bon
hrt'^'^^
i
^'(O?^
A
s
ii-V
Tu
étais
souvent
^
puni Il
n'était
du
'flll"
pas aimé
roi parce qu'il
s
î
j
^"l
s
Tl?*?
JHC
i
7rtM7i=
a'^iamari
iod-
?7oro7/
r/flo^
^^.';7;^
nahharhounna
".
7,H,
VnC
11'}'!-/*'
^,^'i'"
î
î
î
'11*4*
" h,f»rt*
'"C^
5^:(
teqqaîa
^?«;(<j
nabbiir
Kanegous c?2/»
aioadda-
uoroal,
chcfia
— 105 — était
déserteur
Nous
étions
au
contraire recom-
A Kî
il^^
s
"i^f
•
'^"'î
i
irt
;
'f'îf
*
A
T(I^A
«
pensées
nahharanna
Ë;/7a oauen
ww«
((
\'ous étiez blâmés
de tout le
Ils
monde
élevés
étaient
aux
frais
de l'Em-
XïiïO^
i
li'/V
i4*4''ï*l'"
jÇ'JlfjR-
i
î
"i"
TC
*
^^^(0*
^Ù^'^'O^
ï
''
Ka
au
noroal. ( «
contraire ici
iachalle-
est
"
par
traduit
mais
»
)
sao houllou tanaq-
qcfâtchhou noroal
Djanhoï
iiâtchao
ia
açaddagoiiâichao
pereur
Passé.
Je fus
informé de
cette nouvelle
Dadjaz Mikaël fut tué à la
guerre
de sa
apens
avons en
i
^il
s
î
î
ftA
î
été
guet-
.t^Ç^'Jî
î
••
"t*
Dadjâimatch mihièl haii ré
yimatcha
moiou
Sch
dcfralou taqatta
«
n^^;l"
'Wî
Ihïnnïn oïrc astaoïia-
qougne
^Tf^^ «TL^l ^A fl'h*7/o
4»^
témérité
pris
0)dt
î
a été puni
Nous
î
^iD'k'^ "
H-^^ T-^
du Tigré Il
^VYi
î
i
•^^ Bamaitàfarïa
iaïâin
— I04 — Vous avez
été en-
Ùh^ ©C
chaînés
pendant
A^'rlh
trois Ils
;*•!*'
i
s
'••
Scsi oèr
ta
assarât-
chhoii
mois
ont été gouver-
h^à*
h^^tl't'i
î
nés durant quinze
*J^w»'f'
ans par Ras Ma-
^^h^Ti
konnen
•/'IW*
^/i<=f|
;
s
lït'P
;
Asra ammeat âtnat ràs
makonnen
ga~^-
-^ouâtchcw
"
Plus-que-parfait.
été prison-
J'avais
^îiàa
WlC
i
Taasseric nahhar
"•
nier
Vous
n'aviez jamais
été la
instruit
mauvaise
par for-
\\^
4*'J
i
•^'flU
s
^^i\/f
^ifl*l*'flA*'U
^flH^'i'"
tune
<wp
s
i
Y\
î
X^/bz/
beh
(^a«
mcâïeio
makara
asqa-
hhcloh aiaouqem
•'•
Futur.
Je serai accusé de
tous
Une ne
mes amis
flï-^P^.'t
ll-A*
j?»/l'|ï^'A
forte
colère
'flC'fî
sera
jamais
'i9^
approuvée cicper-
î
JP*
i
Oïdâdjotchié
houlou
'icetongnal
i
*Iî''J i
î
î
^
^lJ2»flï.Ç'
Bértou qoutta niàii-
ncm a oïddem
::
sonne Us seront reçus par le
Prince
ï\/'*î\
*PA
^A*\\^.'\'
i
s
Ras iqqahhalouâtchao;/rt/
I05
Subjonctif présent.
Je
que
désire
de
je
récompensé
sois
ma
Je veux que tu sois ca-
tes
marades
On
espère
cette nouvelle lui soit
commuai-
?i<(«A
î
"
-^.AJ-^U
ïi'i
i
K^CA
s
"
las elîgn
efalUgal-
Balandjerotchch
dtoïddouh
cii-
efalle-
gallahou
J8>ll î flï
"h'i^
!
/^CftA'lh 4«
Dekâniïé cndïmmal-
lahoii
(\(i'y0^G 'rV
Pfilh que
ïii^'i/^
î
AflA'î
PAlh
peine
aimé de
^h^ï
;'"A
î
Ih ocré endïdarreslat iasfa alla
^iA "
s
quée
Le Roi désire que Aft'7
s
ér'h
s
ît'J
Ladag
ras endenneg-
nous soyons gou-
^'"ilH i'il'/^i
ganâ
vernésparunbon
jK.^i.AJ'A* "
leggallou
negous
hfal-
prince Il
exige que vous
soyez
soumis
à
s
^^Ci
ïxi^
^d,àiP
Bafaqâdou endéttadcr ïffalgal
AM
lui
J'espère
fl
qu'ils
ne
O^-'ff'l'^
soient pas trom-
t"
pés par des faux
'/"fl**
amis
U*ï-
s
tD"^^
K^ft'/'*P
s
s
s
K'3'KJ&
:f*t\4'
f:cp^O'
"'
f
h
Ouchaiagna /oie/;
oïdad-
açastoaichao
cndaïhonou adargallahon
iasfa
— io6 — Infinitif présent.
Ce qui vous
attire
tant de louanges
né
mérite
d'être
que
(\9"^^''*ii'l'ii\ir
<^V4*'b II s
t
.ClQ
î
VflC "
Bcimettemmaçaggancbat
manaqqaf
ig-
gabhah nabbar
blâmé Passé.
un
C'est
grand
malheur de
n'a-
îiA^^rtAjTlï' 4*
î
VIC
î
s
Vl
Vfl** "
Alla maçalianou he-
fou nagar no
voir pas été bien élevé Participe
L'ennemi
étant
^A^s
présent.
î^^?f><<.
s
vaincu nous au-
flrtAî'^'a îi'î'T^'
rons
A'J
la paix.
fâlat
katachannafa
haçalam ennorallen
"
Passé.
Ayant
été
instruit
de
son
je
courus
lui
arrivée,
chez
t^9^fi}'t:'i
i
"li fl^.^Crt*
Tll'
sî
'flrt s
(T
Mamtâtoun
bcçama
oidarsou rôlhoii
— 107 — Verbes.
Indicatif Présent.
me trompe
Je
le
sur
sens de ce pas-
ne
te
souviens
C'î'^
s
T
î
'/"^At
se sert
de
*l*ï*'}
A*!!
î
^^C'*f9^
pas de la date Il
ilC
s
Banih nagar
tergoi-
mié taçassathou
0* "
sage
Tu
flïU'ïl
mon
K
î
''
Qanoun
Icb
attâdar-
ghem
flTJHftiî^rt^S'A"
Baganiabtc tçaral
argent
Nous partons pour (D^ la
fl^C
î
ïiiV'Hti'}
côte
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chez
(D^
:
réfugient
se
dans un couvent
"ifS^
-SCî •'•
^*'?rtl
î
A*
T
a
O/irï
bîétâlchen
te-
tnatallaichhou
'^fl'^fl>"
i
Oida hâher dâr enhédallcn
tt*;'''r'J«
aDfq/\';^.if,
nons Ils
;
:
"
Gadam
gabtao
tm-
mâïîanallou
Imparfait.
Je
marchais en
a-
^
vant Il
avançait douce-
ment
Kous
(D^
rivière
la
:
î
flJ'J'H
iflC
î
VnCll-
"HA"
*J'ft s
Jt passions
s
ïiih» "•
:
TCPA î
"
Oidafit cbèd nabbar/;(?«
ff»%
Qas
bclo ihèd noroal
îî
ïiiAlC î
Oh;;(
cnnechâggar
nabbar
— io8 — Vous
plantiez des
arbres
dans vos
fl;^•]nA;^-f l^
Ç
ï
"^'MflA's
C*PA
jardins
Us leurs semblaient ft*7
bon
H Ba alâkcltakhtou
î
^
«
^^ll^'f^ Dag
4
inC
fl>- î
\àj
ieiaklou noroal
«
maMîchao
«fli;kr
Passé.
Je donnai cinquan-
î
«
rtiTllh
-r4?>zi'ûi
/)i;r
saiiahon
ihalers
te
Tu
V'flC
quatre
as servi
ans
le roi
O^^^T 'i
Tr'h/*'
s
?i7A1Ay
s
Arat âfuat ncgouçén agalguclahal
A::
U
a
mangé
à
midi
Nous avons couché
î
îtïl*A
î
'f'VJ
à minuit
\'ous avez travaillé toute
fl*f*'^C
la
jour-
flA
"
A»/V.T
Baqaicr ballâ î
Ekoula
Iclit
tagnan
"
H^^''l'U''i
s
rt<««'ï*li«
«
O'ii'
Moïakhhoun houllou sarrâtchchou
née Il
voyagèrent
la se-
maine dernière
^tid^O^i ^?"^îhî
%'%
/«
fl//«/ao
sâmcnt
hédou
•'•
Plus- que-parfait.
J'avais
engagé cent
ouvriers
fùà''l"i'
i
illCfi' "
TH't
s
Mato
sarrâtagna
ganetché nahharhou
— Tu
mal
avais écrit
09
1
(D^^'t^'V
i
— t}4'
î
hf!:CW i ^V-O m*
la lettre
Oirakatoun
kcfou
adcrgah sâfhao
::
reçu
avait
Il
l'ar-
'f'4*'flA":
î
C*PA
gent
Nous avions une de
'flC
acquis
concession terrain
im-
n<^
'J
5fl/yj
:
1'*|»'flA
s
TC^A
s
Ber taqahlo noroal
::
'^
s
fl^A
T
war^/ hawoul
taqabhclan noroal
'•
mense A'ous aviez mal
fait
de frapper
do-
le
mestique
K'nh4«T'
9" Ih
h^^^^*^'
i
î
'flA
iîlC «
î
adcrgatchhoii
al-
mattatohhoutcm
::
h^/^Ai'" fl>-
*^Aîî Achkaroun malkam
Hf^CP'f'
s
I^^r Us avaient protesté
s
Aïdollam blao nahbar
Futur. Je partirai bientôt
fl4*C'fl
•^Al>
Tu à Il
arriveras lundi
Djimma
rt^
main
à creuser le
puits
ï
KV
«
'1f"in
S'^o-y/o
''^
Naga
"
s
djvnma
tega-
bâllah
^l'Hyl•îh
"Vft
Baqerb qan cnnassalïahou
s
JK.'ïri^<5-
aiï'kt
ijammeral
A"
Nous ne t'ouhli- hT-^/^UiT' rons pas
s
!
jt"?
î
AM
commencera de- Vl
^"i
:
::
Aiimçahan
mamL
—
IIO
Vous
ce
finirez
travail
dans un
^/lî
à-
an
Ils
H'if^i ^^ooi^
jeûneront
jus-
^DVî
^
.
s
•IhÉLl.C^A
i
"M'djx
!^ùt\
s
i
^fai^îA* »
qu'à Pâques
^^^^ àmat deras ïhen-
/**
nen sera tehharrcssallatchhou
Efâctkad&rasïiomallou
Impératif.
Reste tranquille
HT*
Qu'il fasse ce que
^AII*t7
i
flA
Zcm
'•'
/t*»/*^
s
bal
7^ alhoutcn isra
^« "
je lui ai dit
Vendons au même Jx'i^i A»A prix que les au-
*PJ^
i
rtfl^î
î
h'JflT "
Enda
léla
sao
wâga
cniwcbt
très
Adorez
le
Seigneur }\l\l.i\'(iih*ll'i
votre Dieu
Qu'ils tent
y
se
^li'"A'l'ïll•'J
conten-
de ce qu'il
^'J'ï-t"
ï
:
^»'{\^'l'
î
EgTJabehercn
amlà-
hàtchhonn cmanou
la
agagnout
ibqât-
fW
"*" "
a
Pliez les pièces qui
sont sur la table
hld;!" iitf^'i
AI*»
s
s
"Ul
:
:
,^
"h
Kagahata
lai
'laal-
laon tâka etafoii
Subjonctif présent.
Il
faut
que
je
ven-
"h^
s
li'A*
i
"h'i
Hqâ houlou cndechat
— III — de toute
mar-
la
Je souhaite que tu
dans
le
commerce il
me
qu'il
rende
IVi^^
TC^
i
ïii^^'l"^ '^'i Ali»
Bon gré mal gré faut
^tléi^fii
j
la traite
"
({**lK^f^
fl,!/*
ï
Cl\'H''i
s
l\d,^P^ Dieu que
:
ïi'i
9
î
cmmagnal-
g^gnc
Ba ocddem
hihon ha-
gueddem hihon nadoun
sa-
endïmal-
lésUgne iasfallegal
:•
'fl^'î''Jî ?»'}'Ç,'^
nous encaissions
AftA'J
noire argent
'UthMCt jE-Ç^^'^
s
Bancgd Urf cndetla-
lahou
•l'^AftA"'^
Plaise à
s
h
s
{\O^K'9^i n.U">:
"}
iasfallegal
"
/'A
chandise
gagnes
K'ù T
?^*7^^^
Berrâtchen niallasïcn
eiidhneg^iabe-
/;er //"^oi 2//«z
A"*:: Je veux que vous éclairiez la
lampe
'^'fl^J-i^^ï 'h'i^ ;f"fl^-
s
h^Lfi^P
Al^ « Le
Roi
ordonne
jÇ'î'lf j?»î
Mahrâtoun barra
endetta-
efaUegalla-
èo//
''"
Djâiihoï
'nAfl**
^om
qu'ils cultivent la
?i^rt«
terre
hHtt* «
î
î
marèUnera-
è^/rto
ai\a7j3u
Infinitif présent.
11
est fort de souffrir
sans se plain-
dre
^T* î\Ot* fl>-
::
fV^A^/lî Ta s
'(lC'|î
î
i
animo lamaïala-
(/^.v
sac beriou no
— 112 — Passe.
Après
s'être
permis
de tenir ce pro-
^Çt?
s
fl'}*7*74«î
Dafro
A.rt^'O^i %?»''
hancgueggue-
rou siçadban hcda
pos injurieux envers nous
il
par-
tit
présent.
Participe
Se
trouvant
bien
flï^'t*?**« fl.îi^
*
partoutil esttou-
(tj''*''\'(0*
;
WiD
jours content
'tC.
^l\
î
/'''A
*PA
s
Oidètcm
bibèd
malchao das
sim-
ïloal
••.
Passé. S'étant
mêlé
conversation
ranima
a il
par
la
ilai.CD;h
:
la
'^AÇ^
de
Kf^C^f* ihtf^'i
belles histoires
O^IO
î
Batchaoita
bigahâ
î fl***» ï
maJafia oiré aiureio
éELAï
tchaoHcwn asgoïm-
«
madja
YxîX'V*
:
7e-
Verbes UN'IPERSONNËLS. Il
a
plu toute
semaine
ia
^^"'J'ih
s
rt.WJ'fl
o^-Ar s
î
^»^»
Sàmmhii moulou Tjiniieb
addara
si-
— 113 — sur
grêlait
Il
les
montagnes
a
Il
vente
fl^^-
toute
la
nuit
Sa
quand
tonnait fallait
il
défendre
Le
de
les la
mortels
in-
patrie
bonheur
bie à
A»A,'Ï* 4-fl
voi.v
térêts
d'I'à'/»'
des
ressem-
un songe
î
A
s
s
rt.*^*!'!**
î
s
'3'7",^'î.P.'
"
T'
i
^4*1^
î
étfcl/'fî
A9"
s
rt.V^/lî ?»
ftAl^*
^ÙHf*
s
JL'»TA
ïI*A*
î
i
'^A"
AJP»
i
Tx'i^ î
J^fl;!' s
JK«
î
/h
Ji^.^^AA
Baiaràra
Ja'i
harado
nahhara
7?t"/
Lélit boulloii nefâs siiiafs
^^/r;^
addara
agarou
tcqcm
hclosmioiggat,tchouhatoii o-tv/o^
/^.
.wo
enda neguedissamjna
dasta
ïmaslal
110-
helni
— 114 —
FORMULES DE SALUTATIONS E\ USAGE CHEZ LES ABYSSINS.
N. B. genre
va sans dire qu'on donne à ces formules
11
et le
homme ou
nombre à
nécessaires suivant qu'on s'adresse à
une femme,
à
une ou
\'oici les principales formules
Comment passé
as-tu
la
nuit
à plusieurs personnes.
:
K^CIR'' Endièl addark
h'i^o't'i ?
(se dit le matin).
Comment passé
hlf^'l'
as-tu
matinée?
la
Vl
ï
1[\C&J^
Enàut arajfadk
s
*PAlfl "
Endut
"
(se dit vers midi).
Comment
ïx'i^'V
as-tu
oilk
passé la journée? (se
dit
dans
l'a-
près-midi).
Comment
h'HVl*
as-tu
passé la soirée (se dit la nuit).
?
U
"
<•
le
un
^%'^ïî
Endièt amachchah
— Comment
ne
5
— Eiidièt
as-tu
passé le temps (se dit
1
sanabhatk
?
quand on pas
s'est
vu
quelque
depuis
temp).
Comment
as-tu
hlf^-ti
h/.î^îfl "
Èndwt Iwrramk
passé l'hiver? (se
quand
dit
iJ
s'est
passé une époque
de pluie pendant
on
laquelle s'est
ne
pas vu).
Comment
es- tu ?
Comment
vas-tu
Tx^^ii ?
Que Dieu vous donne
hlr^^ riLVî
'lH "
î' î
Èndièt neh
KA
i
^flTA^
Endièt allah
"•
féna ïsMlione
la santé (se dit
quand on se à
s'adres-
une personne
qu'on respecte).
Dieu merci,
je vais
bien
Et
toi
vas-tu
?i*1H,h'flrliiC î .&
'^ft
comment ?
l'y
K'}'^ft
ï
i
J^lKi*
lt\}^
i
i
Èg-^mlchér
gan
immas-
dahlia vagin:
Jnlas aida niendcr
Comment
va
ta
santé depuis que
nous som-
nous
mes séparés
?
— nétli-ti^n X^ i
ïV
'hilhO''}
s
que toute
maison
la
bien
va
dera:
^'/Mi (Ih^Dlri
ténahcn endict hetahal
iU^t*
V
rt'J'fl
mn-
:••
I^A•
î
î
î
ifl>-
:
i
ftU
fl)^.
::
Bict
houlloii
diihia
no luaï
?
A-otre père va-t-il
bien
ro c.:kahouv
h'i^^ '^yA
Est-ce
î
Katalaïaïan djammc-
?
Passe bien
la
mati-
.^UV
'!-(0*
i
s
T
"
cha-o oï
hC^!^"'
(\?.^U'i
Abhâlch dahlia nai-
Badahua arfcd
quand
née (se
dit
on
sépare
se
^ll'î'Uî
le
matin).
Passe bien
née (se
on
la jour-
dit
fl?.llV
.'
"
Badahna
ival
quand
se sépare avant
midi).
Passe bien la soirée (se dit
fl^UV
i
h9°H
dFM'i
î
7\KC
"
Badahua amniech
quand on
se sépare à partir
de midi).
Pa^se bien la nuit (se
ditquand on se
sépare
dans
près-midi ou
l'a-
le soir).
"
Badahna cdar
117 Passebienle temps. Soit
bien.
Dieu
fl^UVî
rt'J'fl'h ss
Badahna mnhci. Ba-
ii8
—
PHRASES USUELLES. --.i'e#4@>^»-^-:~-
POUR aUESTIONNER ET REPONDRE,
Qui Qui
êtes
vous
//Que j/J'ai
"l'i
?
Comment vous pelez-vous
ap-
?
désirez vous
?
besoin de vous
connaissez-
vous
h^
s
ÏU
îïra &* 9"7
:
-'
Mal! alla ?
Mân
::
'^'i
i
'l
neh ?
Scnu'h
min
no
?
::
îhîfAU
î
Wi'i'
^
parler.
Me
î
'^^
est là ?
Pu'
:
;hiO-«J.:f Ail
Mcn
tcclmlhth
l*^ Kania gara
i
"
KA'V
i
'-'
goiiddaï
allagfie
Taoïiqagnallah ?
::
?
pas l'hon-
Je n'ai
neur
de
^A;^ÏD4»^9"
:••
AliaouaqiÙ:m
vous
connaître.
h^^'^av^
Ecoutez-moi.
vous écoute.
Je
/xMe
comprenez-
vous ixje
Admêiague.
îirt"7yAll- "
mV
'tld.i
i
Êçamahallahou.
(D^--
Nagarié gahbab
oï
?
ne vous
prends pas. Plaît-il
••'
?
com-
YlCV 9**
T"t
i
hM(V^
î
Nagareh
algahkt^
nem.
'••
KAÎl
:••
Mcn
m
?
— 119 — .'-due dites
vons
9**'i
?
^
hti'
5'"'}.f,*C
Mén
'•'
ï^>*
s
âloti ?
Mm dcrno
-'
?
?
j/P Pliiez- vo us
Je
j
é^ù'ih^
fra ii-
comprends
le
mieux que
je
K'jî
s
îlrt'^AlJ'î K'J,^'
KAV'îCl'"
ne
i
Fnrançawl âf taou
s
cçamaîlahou
"
cridjï
alcnâggafcm.
le parle.
Pour Offrir.
Que vous
Cela vous
faut-il
?
ferait- il
9°1
s
JK-îJ i
^{FlMà^i
fl)^
plaisir ?
En quoi
•
puis-je
vous être agréa-
ÇW^lf "^11
^d,^?h
Men
tefallegallah ?
Ih ihoncUhal oï
?
s:
î
^h
s
^rt
Bamcridaslâs.-agiieb?
s
ble?
Que vous i-'
préférez-
fre.
i
J&ïfA'/A
-'
Mai khaUhal
?
?
C'est de
que
9"'i
je
bon cœur ïlÇîl-^ vous
l'of-
hî^^
Aïl
i
:î
s
A*!!
s
h'"7*l*C'fl
Kafésoum
Uh
cmmâqarbclUh.
110
120
Pour demander. une
J'ai
vous
prière
ViC
•
i
Ki "
ï\tK
me
un
rendre
^rA9"'il) .^'î
faire.
Voulez-vous
ce
à
melavimeneh and
nagar
alla-
SeJtmié hêlah atadar-
guellïgncm
servi-
oi.
?
Je vous en prie. Je
la
vraiment
suis
vous
de
fâché
Ebâkéh.
f^J^
l/'V-n"-^
s
î
Ki^^\W°i)"-
la giicd hoiia Ingiw
cndâdahnêb.
importuner.
me
Cela
un
rendrait
bien
grand
Î\M»
'h'è'^
i
A^»: V'ïC
Ï^'A
service.
s
i
'^ Sélagué
J&Jf
cdjcg tâllaq
nagar ïhonagnal.
"
Pour accorder. Oui, certainement, j'y
consens.
}\Oi*'i "'i\(DJi'Y'i
Vfl^
s s
fl,^'
"
^
î
H
Aon^otiiiat no. hadj.
Ihotm.
O'i Je ferai
mon
possi-
ble.
?i'J^"î,3'A'\
^C^All'
"
"
C'est entendu.
WÙ.
Comptez-sur moi.
h^C.'^hlh «
Endamiiiïkhâlagnc adargallahoii.
Echu Adargallahoti.
— 121 — J3
me
charge de
AU
votre affaire. Si
'llCV'i
hf^i>I>Cfl
s
^»Al> "
s
vous avez besoin ^éjti**lO'\
demoijfaiies
moi
e'tcharressc
Uhallahou.
K'3'^»
i
Nagarhen
l/*'}'s^lftf^<^•'V"
Ici
fallaghagne cnda
hov as'tarragne.
prévenir.
Pour refuser. Non,
impos-
c'est
Je
ne puis y con-
me
regerde
vous demande
mille
hi^li'
A^'VA'il'
î
V^
s
Z**^*
î
pardons,
4-'fl'''^
'•'
Badj
ïamâlat
aïho-
nellignem.
h^'F* lagné
V^'VA'Î-
A'W-s ÏIC
ché que vous.
U'V "
sera
h
i
h'J'^'Ml
KOlflii
j'en suis aussi fâ-
Ce
Au!o'!um,aïtchaîcm.
sera a'idollam.
Aî^
pas.
Je
fljÇ-
•
::
^ir'i^''^9''
sentir.
Cela ne
hi^P^fy^^
AîT*
sihle.
pour une
autre fois.
AA»A "i
s
'i,H.
s
î
ftA
JS-U*
Ehâkcij l;i^/zg,
endâtkafaïamalichelo
wflg'ar ^^/a
hona.
Laléla gui^é ïbowi,
"
Pour
faire
et recevoir des remerciments. Je vous remercie.
?i*7U,^'flrh.Cî
Ji5>
EgTJiibehèrïslïllïgm.
122 n'y
Il
de
pas
a
f A*/* "
*'?/?/ s
Giicd iallanu
quoi.
Je
n'oublierai
ja-
mais ce que vous avez
fait
pour
ilfi%
à\.Yi
tf^
Il
espérer
faut
qu'un
jour
Itx
IH
ï
"l'C
î
VUV
J^'Jiy"î)'>
Aî^All
OT*
m'ac-
pourrai quittes
je
s
J
KA/ifl[2i>"
!
t-^Vous êtes vraiment ?»j^'*7 trop bon.
V'îC
s
.^*"AP»'J
Â*
moi.
^h?ȎLlV
s
s
rt
"
Selanié
ta
adarroi:
kMligne nagar câ-
mU
ién houllou al-
raçaom.
È//(1o-
M'^r
so
nc-
hïnna.
j
^A^
s
^A*ï*
Dekamhen salmalle.-sleh
alqarrem.
'••
envers
vous. Je suis enchanté de
vous
avoir
été
^îl
s
flA
î
hiiV
7x1^9^ i ?J\
s
î
KA
Das seh âlah
enïéin
dus âlagn.
''
agréable.
'i
Pour consulter, délibérer, AVISER.
Que
feriez-vous
VOUS place
étiez ?
à
si
ma
h'i't'tl
9^'i
î
î
inr: «
'fl'1hl/">î
:^*?^C1
i
Jnta..<
hcthou
iadarg nabbar.
mm
— 123 — votre place voici
V
?»
h^C
s
%ih
ï
^^,'1^1
nie conseille/-
9^^'i
î
"ï'^^lndM'fy
cnda-
hchon
Enié.<
Mcn
"•
'P^l
fasse
adarg nabhar.
Jâdérg.
?
vous Je
s
je
que
faut-il
Que
'flU"J
*
'J^lOl
ce que je ferai.
Que
h^fl
V
?
ne
fort
c'cst
trop,
sais
emba-
Mcn
temakragnallah.
'•
'flA.ÏI'V
i
h'^l^«
Kri'f'*^î?^"A "
M/jrt/
fl??aZwi
a.c^-
chagrognal.
rassaat.
Qu'en pensez-vous? î^^ftCDî {'"'J.^Cî
Je crois
que vous
vient
N'y a tre
il
une
t-ii
ï
}\^U^}i) "
s
jK-^^ftA'^'A
avez raison.
Attendez,
,^*7
me
«^J^" 'fiAfi'lh
Dao- adarraghc
idée.
AïA
ï
'^
Oo^',
/c/'/jai
iagalla-
tallïgne.
-^'}°}^
^%)&l/*7i^*
mas-
lagnal.
lA/îlA'î "
pas d'au-
moyen?
:
Mckrch mcn dïrno.
s
î
Léla niangad
flï
wt-m
aïho-
oi.
Pour affirmer.
Pour affirmer
les abys.àns
les Saints etc. et par la
Exemples
:
jurent par Dieu,
mort de
leur:, rois,
chefs
la Trinité,
ou parents.
— 124Par Dieu.
Èigucaren.
Par
la Trinité.
ScllacUn.
Par
S'
Gorgiivmi
Georges.
Par leSauevurdu
'^^:*fi^i"it\9^'i-'
Madhan'mlamcn.
Monde. etc., etc..
ou encore
Qui meurt
?
^
s
j^.ao-^-
Meurs, (masc)
a»"V
::
Meurs,
(féni.)
<"**-?'•
"
due
Ménélik
9^\ê\'i\i
:
Ma
::
ïmoui?
Moui. Moutch. jK.*"»-^-::
NcmUk
hnotit.
meurt. Qiie haïla Gorguis
'Î.P'CT.ft
i
^ai>->
meurt.
Que
V^fi
Taçamma
i'rt'^?
i
s
Haïla gorguis hnonl.
::
^tn»"l"
'-'
Taçamma
ïmout.
meurt. etc.. etc..
Pour Nier. C'est
une
C'est
un mensonge
erreur.
Cela n'est pas vrai.
^^...-..
'hP^'l^'
..,»,
'*
.
hi^'f^ti
/-,
,
Ounat
.
aïdollain.
-125 le
n'ai pas dit cela.
Ki-^tM
s
—
?iAAVl-
Êiidib aJalkoum.
— I2é — ^^^IC^^
C'est incroyable.
MO-
YlC
:
"
i
„ „
!
*.
travail
rable
admi-
ïfl>-
h'}?„°l'
C J'en suis ravi
,^fï
!
Voilà qui est bien
excellejn
'^''*àd*^
Ah! Quel bonheur!
s
C'est pour
,^ft
Èiidièt iaallaasdait-
imqï nagar
!
s
i7C
Dri.;
i
s
helognal.
Malafia nagar no.
Gond
--
no.
aÂll
/lie
Joie.
s
,^ft
î
^
Endiéi dasïa>mgnal.
A«
s
moi une
}\^**i
satisfac-
•'
'V
^1
î
'lO^
h'3'^'T rt'f
J'en suis bien aise.
i
no.
••
La
grande
^A
s
'flA^'j'A "
«
T-Ji^'
!
Gucroiim no.
Dcnq
::
''
beau.
P<^t
i
hfî^V«fe
!
nagar
.
i^'l^
Quel
lanngarrcm no.
1^9^ ^O^ C'est admirable
i
'.'.
'flA*'*î'A " *
^îl
•
nA
D«i- helognal. fi'rt'/t^o-
rf^/;
âlagne.
tien.
L'affliction. ''
C'est
malheureux
Cela
me
fait
de la peine.
!
bien
^iJR»
"
^^Z.
fVL^A'l/'J'i V'/C* ifl**
«
la m'iaçai\cn «o.
nagar
127 .ù
du cha-
bien
—
''
Assâwanagnc.
tx^Wl'Ti
grin. est inconsolable.
;i
'^"2\S''i''l*
s
f Afl*" MaTsanannat
9° "
Un
malheur ne
vient
jamais
Îlî/H^ '>
AA
s
ï
Î^H
BahaTjin
'/'ÉtL<^^ "
i
ialla-
om. lai
hoTjm
taïchammara.
seul.
^Q^id_dommaa£. suis
Je
au déses-
K*»^
s
^tl^
î
-^^-^
l-i^' -
O rna
^à^tl-'V "
Ta^/i^ aTtahoiigm.
gond
.
^
poir.
La colère,
Je suis fort
mécon- ^'J'^
tant de vous.
les reproches.
Z*'^*
s
îtK*^
•
?i.^C
•
I«
anta
sera
adergo
cdjcg
asqo'Ùetog-
A" Ma
patience est au
't'ù'*l^'°î'it\^lh'"
Teguest aitahou.
^A4*^my A"
Mm iasqottahat.
bout.
Qu'est-ce qui vous a fâché
î'"'>î
?
Je juis_furieux.
.
hÇ-f'î'
A
Quelle méchanceté! K'J^'lh' 4.->
r.
s
Kaftognal
:••
^A
î
îfl
£/;rfic?/
KdjdX^y^
?» alla kefât.
— T28 — !
C'est affreux
Vî^
.'
Vous avez mai
ao;i.
Je vous pardonne
pour
cette fois,
ft^
s
î
iï&*
Kefou sera sarrah.
:••
ftAH<«> II' î
î
^loth
i'ïC
mais ne recom-
ïi'JAll.U
mencez
ÏIC
plus.
Kefon vacrar no.
ï
s
::
\\4*
U
V'?C
s
Oh
i
s
s
**l'i s
^A
ïl'A'i''i
s
î
Sela
Tjiré
/«'./;<)«
mcrnéhaliiagarguen
evda\ih ta alla na-
gar boulatta'yna
aî-
129
CONVERSATION.
Visite.
On
A.
frappe
la porte
à
qui est
;
?^%.
.fe<^;J"A
s
"^"i
"
M)
J
î'-
Dadjou immatlal, maii vch ?
là ?
moi
^iWi
Jean,
"h^
î
^'^
^^. Entrg^sm-iûus
^70
:
KOVll) -
B.
C'est
p
i
sjeur^
sieur,
vous,
asseyez je
vous
Commeut
vous
portez-vous B.
ïohaimcs.
Ti/cs
^'^'^hllr
'^
ÈvdUt addarh
ghcta.
î
OA
a s
s
*|î
O'fî
Eigher ïmmaïgnn, qoiiich bal,
hak-
/f^/;.
"
Ji^^'l'
s
?i*7liC
i
KAlï "
End'ict allah.
?
bien, je
voi/s/tem^ck vous-mên'iè.
i
"
?i*7H,K'fl/h.C
V
prie.
,
iiagii
Giicha hakhch.
h^Cl)
h'i9x,'ti "i;**
KA. Bonjour Mon-
'^
Enîé
ait.
Bonjoiar_Mon-
^---B.
••
/
et
'J
s
llxli'l'tli
i
i
C^^fjl
.^"iVs Y'\
"h'}?,^
^'iV 9
a
-'
Ea^n-
wimasgan
dahna vague, anias
ncb.
cndawïn dcn-
— 130 — A.
Ammogne
un peu
J'ai été
indisposé mais
je
^'
i
nd.i l'y
i
vais très bien au-
sanabhai-
hounna ^aré gucn hagaro nagne. 00 o
jourd'hui.
B.
Je suis
charmé
Baggo
de vous voir ré-
la
viahonch
das belcPTial. O
tabli.
Vous
A.
aimable
bien
venu.
d'être
y
que
vous
maïlaheligne,
heioii Il
V'h ;^A'^7Vy
gtn\é
hona
taltaganagnan.
long-
bien
a
temps ne
Enl;oï
êtes
ai
je
pas
vu. B. Je
me
suis pré-
plusieurs
senté fois
chez
mais
je
vous,
n'ai
pu
Bciou h'u'teb
gii'ixé
o'uia
banata aûa-
honb; o'wdcuich cndïét no.
vous rencontrer.
Comment
va
votre frère
M"",
?
malade
Ammoi
depuis quelques
cdadj
A.
Il
est
jours.
Il
ne sort
sanabhaîa, nïoiiciin.
— 131 — de
pas
mai-
Li
son. 1].
père se
\'otre
toujours
poi'te
bien
il
santé de B.
une
a
s
Abhalcb dahna natcho
me
m.^'VOi'i
•ÇiC'l'
i
V'f'û"" "
fer.
Permettez-moi
de
'l'iD*
V
(D^, "
oï.
?
Oh,
A.
,^'Wî
JîO'T'Uî
retirer
hlfl^t
AV.^'
cho.
*^^ "
î
fcnalcho hcrtou naî-
"
Engucda mcUia. Leh'id.
parce qu'il vous arrive
du monde.
A. Je regrette que votre visite soit si
IV
i
T*È'Î*?"
s
K
A'i'^^'^Tln «
%//
Grt;za
w^./te-
qammatic.
coune.
B. Je reviendrai
moment.
autre
Au
un
revoir.
A»*!
*î*'3'
s
^All*
,P»UV
s
s
Zr'k
g^?/
/'O//.
rmaialla-
Dahua
dar.
"'
ï\?^il
A. Adieux.
?i*^^
î
îî .P.Î/V
U-'J «
Dri/;?/.'? /jo//?;.
Le temps.
^
A.
Il
.
temps hui.
fait
beau
aujourd'-
M<*»
J
P'fl/S*
ifl**
••
s
*^ln
Zarc iio.
ia
h^rra
qan
— 132 — Tant mieux, car
B.
hier
temps
le
^^h9°
'lhA'JTÇ
A A.
Je
m'en
suis
bien aperçu
TC
icnna
teJan-
no,
aiiaouaqhn
mroaJ.
::
'•
YxO^^^tU)'
Aonqî'allahoii
:
J'ai été surpris
une
Yx^
s
;l-flï4'î^î
était variable.
a Malkam
'/(D*
i
par
averse
et
trempé jusqu'aux
,^*'îl'l'
TiV'fl
î
^A'fl''VV
î
i
Déngat lenâh
tâlahi-
1^
gmnna gaddahgnc.
P'îI
fcîa où ia lenâb Ichs
A'ï "
os.
Vous
B.
donc ni
n'aviez
ni parapluie
manteau
TA
(D^.tX
s
C'A
Ay-HÏ!?"
?
î
A'flA
s
î
^i
î
aVmTjicm noroal.
TC
était si
beau que
je n'a-
vais
au-
pris
VOi^O' à'
i
7.H.Î
t
ïîliiV
s
'fl
AA
(ïï'l^Vi *ï*^l>""
cune précaution. Pauvre ami
B.
!
où étiez-vous ce
A.
moment
A une
heure de
et
à
?
demila ville
ouaJïahon
/(^
hcrra
guiié
iiabharanna
salcTtanaqqaq qarrahou.
flJ^
•
^'r
1-^ «
fl»
th»?A}
s
'"CPA \\M*^
gne.
JPUA
noroal.
Pll.,^
ginic ?
;
PïhA
î
^^'il^'
î
{DffiW A'JÎI'i
s
m-"})'
s
en pleine campa-
s
s
•••
Oïa gond, oidèthèdah
Kalutiamâ
Ia~^\ian
woiûch
oÙIahou iakoul saât
mangad mhcl.
— n3 — Tda
Vous ne pou-
B.
viez
donc
vous
mettre
l'ahri
A.
alagagnahcm
ûï-
pcis
à
?
Impossible.
Mcncin
Il
!
oucit
ques arbres dans
aûafam
champ, mais
le
vous savez combien
il
gereux de se sous
fugier
Vie
i
m
iiagargiicii i
n^
dan-
est
ha crcha
and and ;«/
y avait bien quel-
râq
bamabT.afcn
gui:;^é
s'itïaggou
ré-
nabbar.
dag
aï-
dollani.
"1
un
i
h^^^hr
•'-
arbre pendant l'orage.
Vous
B.
beau
être
A^. Ce
Èndïct rcçah ïhon ?
devriez à voir
n'est pas
?
du
Alrâihoiini.
tout,
A.
Tout
à
coup
l'orage
cesse
comme
par en-
Zen Ah
cdjcg alqoïam.
Tcqït lannnbamia
dcngal h erra
chantement. B.
A
la
bonheur
!
Duc;
110.
o'fûa.
— 134 — Le lever.
A. aui
*!'}
est là.
B.C'est moi, ouvrez
T
donc. Entrez
A.
clef
la
dans laser-
est
"hi,
*7il
Quelle heure
donc
est huit
11
V'V
"
s
Mân ïl<^
alla.
Ènié nagnc,
hrfat.
ïî
a ^hd^'f'i î
ï\
fI>"/lT
s
TV
s
?%
A'î'îr'^ll?"
s
A*
î
«*.
9^'i(f*' ï:
êtes encore au lit?
B.
a
Giu'-ba,
maJcfakha
Icaqoiilf on:it no.
ïfl** JJ
B. Comment! vous
est-il
hfi
«^îAÇ
rure.
A.
i
U"J
?
heu-
^^"!*
ft'î'lh i
X
s
Mcnuo,
^ana
nassahem oï
Sent
alla?
saH ihonn'
îî
W't'
s
l^'V î!
Soiiiiicut saât hou.i.
res.
A.
Je
ne savais
pas l'heure qu'il
^'Jîf'
K'^f !!•
ï
5rti/ ah'/ahoiiin.
5'" îî
était.
Tanaça.
B. Levez-vous.
'/"V"/
Oh
Ji'J.?»'!!'!
!
le
paresseux!
Voyons, ami, vous.
mon
reveillez-
WV
îî
îï
AïÇ^
î
V
9"ill'"i fW
.^•JP„'« '/*V"/
'JÎÇ. îî
î
?i
Endut sanaf nehennâ. mciiiio o'idadjïé, ta-
n^fa ??;^/h
— 135 — Le someil du
A.
matin
est si
doux!
dormir
J'aime
la
^
Je ne sais pas
comment
vous
pouvez rester longtemps
si
au
Ti'î'^îA
î
Tx^^JV
;
f/'ïl/h
Ç
matinée.
B.
P/'P.'lh
h'J'JîA
î
h-'^'-^A
ï
j&U'Jî ^IflA '^;J*
î
'h'If'-AAiJ
fl^4*^*'
î
enlzoïilf cii-
iJaJfdal.
^zt'/
cnhiilf
Joz/^/
7^;
coiddallahoii.
'^
h'î'^^'ih
î
la tonal
/u.
s
î
KA
Ifô/;
w/;2/
magiicta
îckhelaUah
cndïct
ahouqcm.
î:
lit.
A.
Oh
je
!
ne suis
pas ambitieux.
Dans tous
B.
les
pays, lesgens du se lèvent
travail
"hà.
"ht*
'•
î
ÇT^'V
'flSh
î
^iAiCA.
'î'Jjf'flî
Ïl'/V"
s
s
Ercu
!
ailé
he~^ou
gauiah alfaUcgucm.
Ft^Jra/
^«r-
/'o//i/o/^
ù^'l''*'iiùjy'}i
ratagua sïhon ina-
^^h^u
Wa hwassaJ.
.î'.V'iAiî
matin.
A.
fOA.^
J'ai
des rentes,
mon
argent tra-
,?^^^A*î^A!î
vaille
pour moi.
Si î
B.
Il
ne faut pas
perdre
temps.
son
TJJiîl.
7,!f.
s
d/}^^
:
ïfW-
î
s
îl
5'»5^
lïA'^AA*?; j;
G.inxcihU
oïllad
matalignâl
;
ia-
trt.o'?;^
////te içaral.
G///;J jjg^
a\U mâçallaf
-136A.
Comment
vous
faites-
^'^C Endamcn
:
PiiV a
?
B. Je partage
temps plaisir
}\i^9^'i
mon
entre
le
et les af-
faires.
*t*'l''}
îî
li«
"hïl^^fi
î
iâdargal-
lah.
Aî^f»{.fW;^
bon
;
ckaflaUa-
latchaouatan-
7,
im lagon ââaï gui\ê
K.^»C
giiïiè aàargaUahon.
'î
«
AT'^,^»
H.
'
X5i.
î
Qanonm
ï
PàV' a A. C'est bien
A
dit.
quelle heure
vous levez-vous?
B.
A
12 heures été
comme
A.
hier.
Et vous vous
couchez B.
A.
A
?
4 heures.
Je tacherai de
suivre
votre
exemple.
^é\h9°
ifl>* îi
s
^/^ft
s
H/l'J'ï'î
rt^'i*
s
'l*ï"/A
H;'?" s n.lf'>
CT*'V9^
î
ïvl'^iiO'
a
nrt'J'I'rt
Au
i
s
h
(1,1/*
Maîhwi
no
;
/oz/tv
/w seul saât
tcn-
nassaUah.
5a-^y;;
ian
&î/'o;z
hibou
Ato;/-
hâsra
sallabou.
'l';i*''î"
Ba
seuls telagndlah.
ïî
(1» A'J'>
7\ï»9^
*
(0-\\} '/*
:
th
î:
:
A.A.
?i'J*7^ ;
Baarâi saâi
Ulïi.
s
En'icin cngii'edé o'idïh
"Ki^Vi
cndnnla adargaïïa-
}\?AlPli
bon.
— 137 — Le coucher.
B,
Étes-vous con-
de
tent
journée
A. je
votre
lt\Tr^,9^
ï
*I*'}1)'}'
'ii*?^\\ii
Qauchcn cndaincn oïlk?
?
Pas mal, mais suis fatigué.
^Sl
hO^
i
5^
s
'h'i
î
DagnoaidjidaJcuioginiL
.^.Ifl'Z'^T
A.î Je vais
me
biller et
désha-
me
cou-
A'flrt»'^
*è
î
l^ B. Faut-il fermer la fenêtre
'Î^A-î tD,^
^î-îj-j-
cher de suite.
K^'^A
i
s
?i'^^A
j
Lchsïcn aouleqié oir/a
tolo
inâgncta cchè-
dalhhou.
Si
«^ftïl'lh'Jî
^'^P'.
Mashotcn te^ga
oï ?
ffl.ft îî
?
A. Vous ferez mieux yl^••^s n.U^'>A'Vî de la laisser ou-
JR>nAA
iî
Kcft
hihonclligne
ichâlal.
verte.
B. là
A.
Pourquoi
ce-
ï
'iS^
a
Mcn
no.
?
Pourvoir plus ir'JHC
me
déclare
incapable
î
A'^e-lh
tât le soleil.
Je
î^'>
de
?iJi
ï
AJ'')
rt.C'î ï
Vfl>- 4î
Ji'JnC s
s
*'?P'Th
ï
î
rt.
K
Jaiihar sioita
la
ma-
j)^a/ ?/(?.
£?/îJ
djanhar
stoïta
niaïat altcheleiii
-138Yoir le lever du
A
-'/-Al'"
a
soleil.
B. Faut-il vous réveiller à 12 res
heu-
Aftï'^Uï
fl'jK.
vous avez
le
me
malheur de
hàsra
houlai
saâf lasiia.:sah
F^^^i)
i
Dufrah amt saât
grt^'ll*
i
Ôj?»^A
oï.
,?ftV/
jnoïa ïa asnassâba-
gne cndahon awÙ-
î
réveiUer avant 4
*>
hdif^VA
heures.
Il* 11
que
doux
le
lit
est
s
"h^
^A/^
s
^^
!
h'J
î
jK.m«r.^
s
sai-
"hlr^Af*
s
fi'ï
Oh
Toit
n
du matin.
A. Je vous chasse si
T
tâhathu.
B'a/ alga mdièt
ftaf-
/t1/a/.
Aa B. C'est votre priére
du
soir
A. Cher ami, vous
m'ennuyez,
j^ïl
lais-
sez-moi dormir.
Bonne
f ^;J'
nuit.
fl*
î
5\A"
î
i
K
;i",^'ln-^^"^ sî
A
"hù
i
hOVlU
s
'P'P''^
•f B.
V^**
s
^'.î
?
A'i*'
Ih no oï ïamài-i lâ/ô/^/;,
Era bâkeb mogne
;
atâdke-
Leqaqagne
letagna.
»
d^A)^
î
C a -^«-«c-
Jx?.
Badahiia dur.
_i39 —
Toilette de l'homme.
Mon
A.
enfant,
donnez-moi mes
mon
bas et
pan-
h'i'V
Aj^
i
/«-ftï'JV 'J
i
'&
s
jV^f»
s
IXî^vS
'«
Aula
luij,
chourrâ-
Inéuna soiiréénn
sc-
tagiie.
talon.
Les voici.
I.
A.
ne trouve
Je
mes
pas
ÏvêIT
sou-
a
Einiaho.
^''i'^?"'}i (O-^Jî'i
ÎC*
fcba/Jiaciiiïê oidét tio.
i!
liers.
Us sont à côté
J.
du
A. Donnez-moi de
chaude
vais
me
raser
je
ma
<">*4» "^
î
î
HAZ-^î
s
hiTÏ'hd
lit.
l'eau
.ftlîaî^V
lehoinia haaiga
ïfl>- ;î
gah
flî'/ s ftfîl
Mw/g
i
(ïlj'la'i
A'^^Al)*
;
K
ah-
no. cn/^fli
tiinjén
Si'tagiie
cllâlcbaUa-
hou.
îî
barbe.
Voici
J.
le
miroir
et la savonnette.
l/k.
une
aussi
serviette
^^h'V^'t'
i
s
<^fi"S' Jî
j
Vfl>- :ï
K'J,^'
s
''VO'ft
et
tfn''VV
l'eau
O^'h'?
versez
de
froide
dans
cuvette.
T .P,'^
C'est bien.
Donnez-moi
"h^lV
la
sahoima. D^^^ no. f
ft
dùtliii
^
i
ïl^iH-'t* îs
EnnahûinadaoïUima
Oi"b
i
^7/rf
viabaclm
gncnna ha oiicft Z;^^/.
oïha
seta-
çahan hedàh-
— 140 — Où
peigne
est le
la
brosse
et
"î.^'i*
?
Les voici.
S'^'
î
une chemise en
Miilona
hroch
ouic!
qatuis
seta-
nâfcho.
Emnilo.
h'ili'
Donnez-moi
A.
:
a
Of' J.
'flC^n
i
fD?„'>
f(/C
*^^M
s
i
tl
iW^ a
la har gnc.
soie.
A
J.
vos
ordres
Ifi'n. i
1»^*
a
Echï guélcu
Monsieur.
Aidez-moi
A.
à
mon
pan-
gilet
met-
mettre
îiC^'V
rt*<«»f"'3'î
*
AAÎÎfî a
Erâagiic
sourrcïéii
Iclhas.
talon.
Quel
J.
trez-vous
Que
désirez-vous
encore
A.
Mon
ma J.
Ù^.ô?
i
A'fl'^A"
?
A. Mon gilet brodé,
J.
^"U
f TA^
^.^'IT
s
^»
a ù^^à^
î
î
jK.
^^Ptir a
?
chapeau
et
Icion
mclarïa
ïhh-
sallou.
'/*7
i
i
laielf sadarya no.
Dagwo wcn
ifaUe-
gallon.
^ùs'i'îi •{{'V^'ia
Ooh'ièncna hcticnèn.
canne.
Ne
serait-il
pas
prudent de prendre pluie
un
para-
h'i^' M*
i
s
TA
ï
-fl)?.
Yx^-hM^^
And Ida
hc!i\ou U'-
clmlcni oï.
"
C^'»
?
A. Je prendrai une voiture
;
si
l'on
W'^^» li« s
'h^*^'''*^l^
Bagârï
cqammaîal-
?»TjÇ.:î P'I'
lahon
cndjï;mia-
i
— 141 — \
ient
me dcman-
(ï\à-lh
dcrvous direz que je
ne tarderai pas
a rentrer,
'i
«f-A"
s
et
la
ser-
iok
î
cndahon
hiunal laçai
halcm/a ncgar.
'J
a
Toilette
l'eau
ïarra.hou
.C.^''"
î
A^A: TlAV 'ÎC
M. Donne-moi de
'h'i^AV
i
(DO^t
femme.
de
'^llTÎ
i
;
ft
tfSl'^ î:
Oihaima viâhacha sctagnc.
viette.
D. Voici de l'eau
chaude gne
M.
pei-
le
et la brosse.
Le
n'est
hilî'
U
'^.^ 15^"
'H
i
Envaho moi/q iii'idoiiiia
oïba
hroch.
a
G'îl
bien
(D
j
^F*^
i
peigne pas
a^'^
;
hA"^/nii M/^d aJtahrragam.
î
::
propre.
D. Je viens de
le
i
^^^
^*7li-^
nettoyer.
M. Chausse-moi.
D.
KD'It
Madame
tera-t-elle
souliers
ou
bottines
?
met-
^H.^'lî^'i
'tà^
i
KA'ÎÎ
fchâiniiiaycn albeça-
/'o/f^.
(Dl^'fî
'YÛ
ses
A.^PA' •fe ss
Aljoun iw ta Uirra^-
ïî
ï
ses
••
f fSl
s
^''V^i î
i
s
't .i'*
lt\^'%
où
tciwcch
tchàmnm
ïfaïïc^al-
TcUcq
lou cininHic.
— 142 — M.
Je metteraimes
souliers noirs.
Boucle et
ma ceinture me
ne
serre
Madame
a na-
turellement une élégante
taille si
qu'il serait inutile
de
'V
t
Ih
îi
6'i''ïP»
î
Teqoiiroiiiilchâiiwia-
KA'flAA
'^;iV!Vll*^f"'J
'fcA^A'ïV
ïèn clahmllahou.
MaiaÛaq'iacn
i
serrer
la
}x^'L"U
tahqchbigne.
OnH?'
î
^^hV-^i
î
ÏO**
îî
'W;lvn4*J??' s
?»
'i'^itlÛT
Eviiiictn'
o.gahwo
nnilafiii no,
maiai-
taqiao cndiîïabhaq
h^
i
qiucl-
leJelDgvcinia aita-
s
h^Kn-fl^*-!!
pas trop.
D.
T'fî^'î'
cûasfalkgiiciii.
î\é,^nT a
beaucoup.
M.
robe
Quelle
vais-je mettre au-
jourd'hui
D.
Ç'^"}
i
^"^hi
ADfl
Hd*
î
fis.
Ictoiin
a
qamh Wbas
Tjiré.
?
votre
Portez
robeeasoie bian-
^Y'îi'
î
VC
s
4*''?.
LmaJch barr
fl?' J. ^'»Anrt*îï
qami.<-
ivon ilbaçou.
che.
M.
Vois
si
mes
boucles d'oreilles sont
bien
fer-
"hh'll
i
'h't':J'?"'i
'l'il\'(\4*i
O'i
t
Esl'i
hj^'A'V
"
goutcichaln 1a-
tuhqo cndahon
K'i^^i
liii-
gnc.
niées.
Passe-moi ne de
la chai-
ma mon-
^ù^i'Wi
i
rt'JrtA
'\'i Q'J'I'l.'î
^iH*
milun
sansalal bu
aiiijatic
a:oiircili-
la
— 143 — du
autour
tre
cou.
Et quelques bagues
D. (seule).
Dag/Jio qaJahat haîâ-
ami:
aux doigts.
Comme
^ll'H
i
hin
i
ti'iùà'l-
i
tié
aghaUignc.
Ilchi
samalat endiêt
elle m'irait bien
aidiét
cette chaîne
gnallatchc! gouUt-
j'avais
!
si
seulement
cl.Hi
des boucles d'oreilles
on
a
'rc*PA
quoi beauté nesse et
gouromn
te-
hoii iioroal.
un tout au-
tre air.
A
haiiahharagnc
ciidic't
avec cela
!
teammerU-
?
sï
IVonhat tncn ladar-
sert
]a
la
jeu-
gal
F iainechc nia-
bel
hon
qondjo iiiahon
c'est
bon, mais on
iiialat
n'y fait pas attention.
Ah. Pauvreté
?
va
iiagar giicu
IC
î
r
."
*l'i
i
Art
cudjï la .
aïamercm.
Eoï cndiH deha vague.
— 144 — Un
Coiffeur.
Mcmw \ârc
Vous venez
A.
bien tard aujour-
hkabonn
qoïah.
d'hui.
Ehakwonn
Je vous en de-
C.
mande
pardon,
mais
m'a
il
aïqot.'o li-
gne malada lamamlâi aliamaîcljagticm
été
impossible deve-
nahbar.
nir plus tôt.
A. Mettez vite une
grande serviette vos
repassez
et
Tclleq foia anJefenua
A"
!
h'JTT.'.'
'^"AÉtfc'J;
AA
î
mclntchotm
sâl.
'•
r:.soirs.
\^
.
A.
Tout de
suite.
mon ami
Mais
vous m'avez coupe,
C.
je
toJo.
Mcnno
o'idâdgié
adammaljagnc.
saigne.
Non Monsieur
c'est
Edn
un
petit
bouton que enlevé.
j'ai
AïdoUavi qoiisl
giiétaê
'mllam.
iicch chefc
qoirrala-
110
Uniata-
— 145Mes mousta-
A.
ne
ches
Aricïém adgo aïdol-
lam
sont-
01.
elles pas trop lon-
gues
?
Kagonnenna kagojin
C. Elles sont bien
dans
coins
les
malafia no
mais au milieu
guen
faudrait
tcqït
il
les
un
raccourcir
peu,
nagar
kafiiahakkal
maqorai
ifal-
legal.
A" A.
Ne
me
pas
un peu veux
Tagourièn
faudrait-il
couper
maqorat
aiasfallegem
oï.
che-
les
?
Ka
C. Je les couperais
un peu par mais
rière
derje
oidahoïla
ïeqit
eqoriallahon endji,
ne
kaoida
fii
cnna
ta
voudrais pas tou-
djoro guciid tagour
cher à cette touffe
alnakam.
sur
front ni
le
dégarnir les oreilles.
M""
que
désire
mette
un
d'huile
pommade
ou
Tênnech laït
je
peu
o'im qe-
bat leqahhao oïgué-
de
taé.
?
10
— 14e — A.
Mettez un peu
Ba
parfu-
d'huile
cheitou
n'ich
\aït
ten-
qabbagne,
mée. Veuillez vous
C.
Mast'.wïtcn
regarder dans la
îmmal-
hatou.
glace.
A,
C'est très bien
Malafia no, malafia
vois que vous
je
êtes
un bon
nehenna.
latchï
coif-
feur.
Ne manquez
Naga
pas
de venir demain
scmtnent
saât Ukendetmatal-
heures
huit
à
ha
ligne.
précises.
Une
Me
A. tez
vous
linge B. la
rappor-
Oui
A'flrt.'î'î
A'^
î
h'^^'fi
fl*j&
::
Lcbsièn amattachelH-
gne
oï.
?
M""' voici
note. ;d
mon
blakchissëuse.
ho^l
i
h"!.-^
Aon
enwiétié, enna-
ho ia qoutr oïraqat.
— 147 — A.
Voyons
compte
.si
fljRi î
ft
Chemises d'hom-
s
^iWÔ
g f TA^b
Chemises bro-
dé es. é
AVî
s
Ïx"}
E;it Ick cndàhona.
ftU'ï "
est exact.
Faites l'appel.
B. 2
hd'll
le
î
ft
'I*"?.
Hoidatiatelf qamis,
:
*"1
Scddht
"
^ÙA'
4 Chemises de fem-
Bai qouïarï.
!••
% ftD'î.^
mes.
''
ia
omd
qa-
7nis, i
4*'"3!.ft"
^rat
sut qamis,
ia
me. 10 Chemises d'en-
X f Aj^"
*ï*'^A"
ï
^y^r^r /^
/îû(/
qamis\
fants.
6 Paires de bas.
% T'JJt
s
îr-^
Sedded tend chour-
"
Houlat naich sour-
41 " 2
6
Pantalons blancs.
i^ff*
rab, s
A«<«»
ré,
% flii'^
6 Gilets de flanelle.
jf
12 Mouchoirs.
î
Ù^d
"
Scdde.d.
ia
icttat sa-
darïa,
ï? <^Wi^l^ "
^^ra
/^ow/ûj^
inahar-
ram, 3
Jupons.
r
I
Nappe.
6 f Ifl;^
6 Serviettes.
4 Draps de
lit.
'fi'î'fi'J
5î
î
5a^•/
A-fl
chcnchen.
^?z^ iagabata Ich,
%
*^flïf «
SeddM mâbacha,
g
fh^P iï^*^''
Arat ma,
ia
alga cham-
— T48 — 2 Taies d'oreiller.
?
f ^/J-rt
:
ft,^
m
Houlat
terâs
bét.
A.
me
semble
cette
chemi-
Il
que se
pas
n'est
Ih qa»iï<
ianié
aï-
maflêgnem.
à
moi. B.
Nao
Pardon Mada-
me
elle
mar-
est
quée à votre
cinniétié,
sem
iar:;o
tatefobatal.
chif-
fre.
A.
Comme
chissage
le
use
linge! voilà serviettes
blan-
aiabâ
man
le
deux
dont
cndiét
cham-
ïtcharrcçal
!
clléh houlatou fota
alqoal.
je
ne pourrai bientôt plus
me
ser-
vir.
B.
Il
Be\ou cdf noroal. ba-
y avait beau-
coup de taches, elles
ne sont de-
CTA -f-'î
iî
hindi
n-nc Va>-i
bcrtou ataba no ïa ncâ'tao.
venues blanches qu'après plusieurs lessives.
Quand
faudra-t-il
vous rapporter lin Je
?
le
Maiché
Uhsonn
mallêssello.
le-
— 149 — A. Samedi matin.
^'^'^
^ B. Je n'y
T
s
Qedâmié
toiiat
::
manque- ^IhTr
'•
Ihoun.
WâgaiefalliguïalUch
rai pas.
A.
Désirez-vous
payée
être
B.
Non
M""*^
j'aime
que vous
bien
me
?
payez tous
trois
les
mois.
s
^
'fî
ï
flï^ «
f Ai^*
"ï
bien riionneur
de vous
tez
vous
bottes
C.
vous
M'appor-
!
*
flLS'
hA^-^A
î
7ff.//flwz
^o.s-/
i^t
mmî^'/Je' sost
dis.
eoiddallahou.
JZiATA't "
s
T^/a
ïstïlligne.
mes
h*}^
Cordonnier.
'^"ÎU
*
^''VP»'}'
A'V
î
îï
jK.|iU
A*^ "
*
Eiikotmattah.fchamniaxèn
ï\ahclligne
o/.
?
Oui Monsieur,
voulez-vous essayer
ta
cér en-
-saluer.
Enfin,
voilà
f
:
f C'^'C
•'•
Un A.
s
ïx'i^ùfMi'tt^
Ih J'ai
îi'^.'t
î
Art*!*
02.
?
les
h^^Tr
s
1^
T*h4*îh "
s
JE.
Joii guéia, ïniokerout.
— 150 — A. L'entrée
peu
un h4*
est
Afou
'•'
talboal.
étroite.
Laissez-moi
C.
^P,A
•
mettre un peu de
savon
et
votre
TT^n
s
t\o^'^ i
C*7A5''
A
•f'A"
s
î
"
^"îOA
Teniiich
samouna
largiicllo, tolo
iga-
bal.
pied entrera faci-
lement. Tirez plus fort.
i\^9"
^'M"fî 5flMw
î
igotietoute.
^:: A. Je crains de casser les tirants.
"î^^"»?.
Hni^
s
s
Itxi^^ -Afo
s
V
Gainadou ëndaïbbat/^/.y
bié no.
(D*v.
C. N'ayez pas peur tapez du pied.
Vous y
O^Vf^i ^^^'Uln JE-Cim* " ^.Tîf»-
voilà.
JP
A.
Ne
pas
sont-elles
un peu trop
longues
gahu.
10
Iho gabballo.
::
hA^H-'^î'"
^
ïr-
Aï
s
Alranamam
oï.
«
?
C. Elles sont com-
me on
s
Haïip, marétoun
les
porte
lt\i^
s
H
î
ftî'"
'flî ?%,^»
Êj/^û^
laré
damh
adarraghoui.
à présent. Il
faut
que
les
du
pied
puissent se
mou-
doigts
voir librement.
^T
î
Jl^i^"
;
-^V'PV^fl'f'i
A^ii'"
î
'l(0*
h'}
fat batâm endinna-
'^
qannaqqebat mal-
::
/r^^^ ^^o.
— 151 — C.
Voyez comme bottes
ces
bien
thciiveii
cudïét
bamalkam
iaçarra.
faites.
A. Donnez-moi de
bonne
la
^z<
sont
chandises
et
vous m'avez tou-
un
jours
^'ïV
;
V«:
:
ÏÎT Dahna nagar
mar-
ligmnna HflJ'I-C
î
h'i't
i
oiter
chetel-
êiiiém \a-
kânta
\and
cgaiallahou.
bon
client.
C.Pour quand vous les autres
faut-il
la qarrcutcn niatché lânûa.
souliers.
A. Je n'en suis pas
C. Tant mieux car
c'est
S' les
ïal-
lam.
pressé.
cette
lammiastchakho}
semaine la
fête
Georges
de et
ouvriers ne
travailleront pas.
Dag
110,
haiiih sâm-
ment gorguis noen11a
sarïotchou aïça-
rou/n.
— 152Un
A. Ah! vous voilà! j'allais
me
mettre
en colère contre
Tailleur.
9"^fD'i}xt\hO''iii
A*fe^U Ih
VnC
î
a
Mcnm
cskâhoun,
Uqqoi'tah nabbar-
hou.
vous. n'ai pas
pu
venir plutôt,
et
T. Je
j'ai
mis
Titlhlh'i
i
hA'h
vingt
chagiiem
nabbar^
scia lebsiuo
b'ic
garçons après vo-
safi
tre habit.
vabbar.
Voulez-vous mettre
A. Oui
altamat-
Èskahoiin
haya
asqammetchi
Imokkeroul.
le
?
donnez-le
Kii
i
h9^"\ "
Èchi am'ta.
moi.
Croyez-vous maille bien
qu'il
^/w^A'/A
?
T. Je défie quicon-
que de pareil.
faire
Ç^%^9^^C'(\'i
un
*^'i9^
i
Imnmmvierbjgne
i
î
{IXn
(D
i
?t^^rt*i ^i|jrt4»
maslahal
Màinicm
oï.
bihon
âassou aïçafam.
en-
— 153 — A. Les manches ne
h."^
pas très
9^
sont-ils
larges
^lA^H'^ (D^ a
s
s
alranamam
Èdjoii oï.
?
T. Si vous voulez je les rétrécirai.
j^dJ^^9^ l)"i
s
Ifx'i^
Ji^T^'A
s
ciidahon
Ifaqdivo
açnthrallahoîi.
l^îî A. Non, non vous avez bien
T.
Regardez-vous
dans
A.
fait.
la
glace.
fait
Il
des plis
f Ai»"
î
Ahl'*
Lorsque vous
fl')'>S'
U-A^ AflA
A.
s
me
faut
un
en-
man-
un pan ta-
teau,
et
fl'JT'
une che-
m//flw,
"
?/o.
Â'Aw
h"}^' d»
s
*'^A
s
wa/-
Esiï masîaoïiât ïout.
s
i
s
'fl
A.
KT^s ^»
hagon
Houlat saât cnkoin
hctcha
sillabba^' ei-
/o// ?ia/fl/.
ss
hO
*
ôfr
Avd
kâbba,
and
4*
sourré
and
^R^^i h
dagmo
efallegalla-
^4'J^' s
Bagou cmia taâtfoal.
M'i'
s
^
ïî
?»'J^'J
m4-A
core
lon
î
s
^
cera.
îfl*"
«^ Gm-^
ïif"^ a
heures cela
s'effa-
:
hh'ti ^tl't*P^i
l'aurez porté deux
Il
s
TÇ'PA
sur les côtés.
T.
*7Jt
î
iCA/^Alh "
garnis
/;oz/.
mise.
T.
J'ai
ma
boite
d'échantillon
sur
moi vous
n'avez qu'à choisir.
fÉtlC^*^ h^'i't'
^IL'hàV' If
s
s
i
hi
^9"^tt)r "
la tcharq ahiat allahoti,
imratou.
ijé-
einiaho
— 154 — Je vais vous pren-
A'fl
AAÎïA?*
i
Lêk
îï
lelakkâlîo.
dre la mesure.
A. Je prendrai soie
te
noire
pour manteau, drill
ba,
et
mabroukoum
roum
la
tchanga-
soiirré,
le
blanc pour
pantalon satin
Teqourou har lakâb-
cet-
la
qatnïs
ihowincllione.
le
pour
rayé
chemise.
T. Très bien la
Dag
M"", à
semaine pro-
mat'tao semoiin
Ali-
Au
ei-
charreçallahou.
chaine.
A.
no guéta, bami-
•'••
Dahna
revoir.
oïl.
Un Marchand en
A.
Je
avoir
voudrais
un chapeau
tout
^^A^^^î
gexre.
h.'i^fl'
i
Vl^'V'^i T4îCî
noir de toute pre-
^'fl
mière qualité.
Ih "
s
}\d.^Pi\
Malafia cndassoii maïggagiic
ïa-
teqour
qob efallegallahou.
— 155 — M. En qui
un
voici
n'J' •*#•'}
s
ï\'\î\
des
sort
mains de
?iiU'
ïf"
l'on-
••
f'/*rt/*'S
i
Êmiaho andoun, adïa taçarra no.
d'ts
"
vrier.
A. \'ous n'en avez pas
dont
la for-
me
soit
plus
haute
^"^ s
s
d'Aï'"
f Qoumatou kanih
ïa-
ra\iaina iallam
oi.
s
«
flî,C
rao-
de en est passée.
Je vous assure
vous va
très
A. Vous t.'ouvez bien,
f AS^'s h"ï'U "lOI^i H
M™* J^tf»-^
bien,
Eh
\\\\^\)
i
?
M. Non M"' la
qu'il
*|î''^'|:
?
je suis
s
s
^
?»/(j
î
X^'X't
î
KC
^ilS'ï
f^X)
î
-îî
^?"C'nîPK
ItxO^'l'^
Ïi9^
s
s
VflJ"" îi
Wl^"^
'•
^•fl
H*
/a//am enimétU, va;??«
Twoî^^
Tjxré
aïoïdda-
emmétié,
c?^/;7Zfl
arao
ïh
zam-
mcrhoal.
Ounat
no,
cniém
amâraune.
de votre avis.
Dites-moi
le
prix
P
de ce chapeau.
M.
C'est
PH.'tl'J
20 tha-
!
X-flC
ï
'il^^ ï
"/Oi-
s
'••
::
laiihcn qob luâga
negaragnë.
^^ja
^2r
??o.
Icrs.
A.
Vous me
donnerez bien 18 thalers.
le
à
fll3?'flC '*/
"•
î
"fiTA Ba asra scnimmt chetellignc.
her
-i5éM.
C'est impossi-
hj&lT'J^"
ble,nous ne mar-
0»^
î
chandons jamais,
*?
^Oh
nos
sont
prix
i
f'V
nÇ ^C
::
s
*PP i
î
ao-jQ
f A9"
"•
i^'JTA
s
î
Aïhonïm, hagna
biét
wâga qourt no,magahaïat iallani.
fixes.
A. Avez-vous des parapluits en soie?
M. En
voici, choi-
sissez
vous
s'il
f t/C
s
Afl^jE.
hW:
h
?»VJ'f*i
s
déJ^f^:?*''
^9°^m'
:'
la har djanhia alla o't
ennanta
\atid.
Ennaho, bifaqdwo 'miratoii.
plaît.
A. Je préfère celui-
^U ^ÏÏAA
"•
s
Ih ichâlal.
ci.
Combien
me
vendrez-vous
M.
Douze
Bamen
le ?
tha-
ffTA'4'AU ïi-flc
•"
ïahel tccbatcl-
lignalhh.
Asra houlat
•'•
bcr.
1ers.
A. C'est trop cher, acceptez-vous dix et
Et
du
demi
?
driU pour
chemises en avez-
vous
M.
?
Voulez-vous
quelque chose de
O»-^
^C Jt
î
î
Tr
'flC
-
î
ACftP^V s
:
hA
Wouddeno,
asscr ber
haalcui lesUh oï.
i fl»
^'tW Laqanw
'l'Tf'lCu
A tD^ -f ?*
s
AftTU
iK^^W i
h
)(D- a
s
s
H
ïamihon
tchangarcssa alla
oï.
«
ATlhCT
f '^.If'J
i
Larso na laachkarot-
ckwo ïamihon mal-
— 157 — pour vous
beau
ou pour mastiques A. De
do-
les
T4«
GLhC î
M. Voici de
la toi-
VfW*î
'•
qui est iiou-
hiU*
Wf^é*
ll\%t\
î
-»'/»^
f
«
)\f^i^
j
s
"'^'fl4«1fl" ill'Hl
de.
^
A
quel prix le
vendez-vous
A
M.
?
mètre.
y
Il
a
mê-
me
à 3 thalers et
à
aussi.
5
^Pifi^fl
hli%
gallou
ïfl*"
fli'flC
PC'I' î'"
s
"
î
^/"/l î
'P^fl
Oigaossa
K
îat
fc^r
'IhC
ï
^tl^^P
gai.
se ?
A
î
^tlé^^P Arat
A. Montrez-moi
le
soie.
ta sas-
ammestem
a//a.
met er
Jasfalîe-
"
ï\&^'}r
A
satin noir tout en
iahel
La and qamb Uk
pour une chemi-
s
ber no,
tcm la
sent
tre.
mm
Andou mèter bahou-
ft'J'Vs ^ÏL
en faut qua-
mahrouk,
îa a^za/
s
Il
maJ-
tankarra no.
AVl
M.
îa
no.
ï^***
'flC
î
^
"
*'2LtG î
Ènnaho addis
s
faut-il
oi.
Terou no emmefalle-
A*}.^'
mètres
tfalle-
•••
9^'ii
î
s
M'" A "
Combien de
A.
ïf»-
s
\\à\. i
2 thalers le
tcharq
go.
velle et très soli-
A.
kam
'•'
A'?a>* "
quajité.
le
T
:
^»<(.A,PA*
î
O^^»
?
meilleure
la
^^^ilT^
iasfallegal,
«
ïih'îl
C AP^ «
î
'P^lîC
K^V'I* «
Estï hqoiir bar aïnat
j
î
K
assayagne.
-158M. Nous avons de
C C
de
soierie
la
France.
A.
tout ce
C'est
qu'il faut
moi,
dd.^'i^li
pour
s
f'I'l^^*
î
hA'J
"hih
î^^
*
flJ^fl**
faites
s
Krt^P"
Bafarançaiuï agar ta
If
taçarrâ har allaim.
"'
X9"
s
::
Hl î
?if|'|'4
cmmauad-
Èv^?/; ?zo
^/o, ^^/j ai-^a?.
••
voir.
M.
\'oici
soie
la
pour manteau.
ïi)V ft
A. Coupez-ni'cn
é
ïain-
mïhon har.
"
ï^^ï^-VCs
lÙli^V
^^iTA'^
mètres.
Ennaho laharnôs
^^^iT'ii th
i
C
AOC^
î
i
"
méUr
Seddcst etab
Mk
qoiiraUllï-
gne.
Vous n'avez
M.
besoin
pas
des des
serviettes,
four-
cuillers,
chettes ai
?
J'en
C;i'
^^"JlfU^î^î
:
î^hî'"
KjB>
î
I'9^i flJ^"
A'^"
h/î'i'ï*
s
hH^
llll* s
Foia,nianlnam,choka/fallegoum
â-^wï o^',
kahonUoum
?/«/
allagnc.
aï-
'••
de toutes for-
mes.
A.
C'est
faire
de
M.
une
af-
qui dépend
ma femme.
Priez
donc
M""^^
de passer par notre
magasin
elle
^'WiTr
î
V'/C
î
fl
AQi't
î
V'r
î
?i
^^(D*^at* Ki19^if^î\i 'I.*
J
'h*"l
fl',^ll,Uî
i'^'rtl'V
î
«
JK»
AlL'l**
Ihhincn nagar balahiètié
natch etnme-
taouqo.
Evgurdcos
cmmétié
oida\'{2h
imïouniia
labtét 'm/iitfalkgou-
— 159 — trouvera tout ce qu'il
pour
lui la
à trùs
faudra
maison
et
f "'V^rf.A.T-l!*^ Ihùr
ilhCWll
s
î
ien houllou barkâ-
«
ch tagagnallou.
.Plï A"
''
?t'î'*7A.U
s
flh*^
itf**î
î»y"T
bon mar-
ché.
A.
Vous vendez
donc
à perte
M. Quelque n'est
chand
?
fois
mar-
pas
qui tou-
Je
veux
meubles
i
niHA**/*
î
^d.f\l
T4«
s
^CÇ!
î
rtfl>"
s
VP^
*
î
Engticdé
Bahoulloum falJaga
^^
hahaçâra
note emmetchait
terf ia-
so
lerou
naggâdê (ubbâlém.
JiflAy** "
jours gagne.
A.
à^
des
pour
Aft»'1h
'*'"<^C^
s
?t<^.A.*7
î
î
iflC "
Lrt&j^/ Icg
massâria efal-
nahhar.
une maison.
M. Vous trouverez P"7.
Voulez-vous
des
meubles en gènevrier
ou en bois
ordinaire.
A*
î
yA flT^
KîlP
lamïfallegout houllou
ï
JZ»*!
eniéga iggagnal.
"
s
îi'j6Efc"^s
^'t'ùà' .P/V"
l^
s
s
J&^i.A
i
(D^,il
'^^"'i'
:
t
fl
h'}6Cb'
5^/^
entchèt
carra oiV
iata-
'tfallegallou
hamanâgna en-
î^i!;^/.
^:: A. Je voudrais des meubles de bon
'^A^^î
^''*f\C^
^ptD*9^i
î
^AH
Malafia
massâria
zvâgaom ialbaiia no
— léo — goût
pas trop
et
ïamefallego.
cher.
M. La maison grande A.
Bïétwo iallaq no
est
Èdjeg maïdollam
Passablement,
J'ai
il-
kouncm addarâchou.
surtout le salon.
M.
oï.
?
un meuble
Bajao:^^ cntchèt
iata-
en noyer qui fera
çarra ma<sâria al-
votre affaire.
lagncnna larso immaichal.
A.
Est-il
lide
M.
bien so-
fanliârra no
?
Aissi
que
Aon
solide
pose-t-il Il
y
teuils,
Mên mcn
a six fau-
un
Combien
cha,
ca-
de-
a^ra
o'tnhar
A»-
mandez-vous pour ?
allabat.
Jtiaqammai-
Scddcst
douze
napé.
tous
no.
?
chaises et
A.
tanhârranna
web
joli.
A. De quoi se com-
M.
oï.
::
houlat
enna and
al-
çra no.
o
Wâgao
mm
iaJjcl
no.
— léi — M. Oh! nous nous arrangerons
Giicd iallam mncs-
mammalUn.
faci-
lement.
A.
Ce
sans
sera
doute
tppoh'
i
ai'?:
i
bien
Wâgao
imadag-
lucd
nal.
cher.
M.
Non
commerce va mal en
ment que
si
ce
mo-
je
vous
toutes
ferai
Aidollam
\r, le
il?'
î
H^ h
iiegd
;
haçàra
\àrè.
howwaicnna n'ccl)
hatcii-
zuâm aramil-
htall.ihou.
les
concessions pos-
i
gnéiaé
II-
::
sibles.
A. Enfin quel prix?
Badji sent hïr no.
M. Sept
Sahat mato
cents tha-
her.
1ers.
A.
Envoyez-les
Echi
ehiétié
dcrns ad-
chez moi et vous
rcccUigncnna
passerez demain
maftdah
toucher l'argent.
teqqahbalâllah
nagei-
hcrroun
4»nAAîi "
M.
Dans
quartier
vous
quel
Biétiuo
logez-
no.
?
11
eoidèt
scifar
— l62 — En
A.
TE-
face
alise S' Michel.
h^hh»^
Je prendrai en
même
temps
la
mesure des fencpour
tres
les
ri-
i
s
Êmikaëliâbotaïagah 7/0.
::
fl>-
M,
;^^
î
hm'ï'll
'1h î
hlK^H^
dV»^
s
'^"*t\ï^^'ri **l'P
s
i
s
Eyao schcd fnasJcotot-
?^
chcndagmoelakhâ-
?iAhAll*; '•
tlt^^^P^'^
Uahoii sela
maggà-
radjn.
deaux.
A.
Il
me
faut aussi
des tapis.
M. Soyez le
M',
tranquilj'ai
trop
9'"i"\^
1^
î
hJn,
'
i
^1
:
Mcntâf dagmo
"hd^^Pii
t*^^" ao'ii^
s
'•
gallahou.
ïi
A
s
Echi guétaé,cnïéinatc/jt'w
hmachai
d'intérêtàvendre
'^iîT:h^^A
dûllam
pour rien oublier.
9^
hoinn
«
tD.fc
s
AïUlMP*
A.
besoin de
J'ai
plusieurs
faire
tentes pour
mes
'iïït'
A
^'i^'i
s
fïhl^'t
4«'ï'
s
ft
''Vrt
"hd^^Pti
N° 19 qui
renommé
V
î
fl
s
oi,
ai-
sclaii-
mcnhn
alra-
Beiou dcnkohi
sela-
çam.
achharôichic
mâ.:-
saffat cfalleggalla-
hou.
M. Prenez du pro- ïi%J\"ll
est très
i
s
I^ "
soldats.
ofed
ft
9^
î
efallc-
th^Cl*
s
fi-^ft
A^»
s
s
hfl
hA"l'i
Edjihoutî,
harargue
c//;/^
^£?if?.: .(^/7a/?fl
/a<
kaallout
ha
-163pour ce service
Claylon
du
houhhama
Magasin
Clayton
de
Ghaleb
a.<;ra
et C° à Djibouti,
Harar
hïcl
iMnaui'gahhâ
ahoiidjadid
Ababa.
A. Etez-vous cer-
ig\ou,
cssou
Jadounhoïn
malafa
no.
tcharq
I(i\i]}
tain de la qualité
dagg
de ce tissu
taoïiqallab oi.
M. Plus que
même^ en
est
pereur
la
?
Aon
certain
preuve
part des Ras n'u-
ahiai
mahououii
aoiujallahou,
djanhûïnna râçotch
que l'Emet la plu-
hâlu
\ataguï qoiâcr
:[ei}âb
Addis
et
Ghalch
dcnkûin lamassaffât
A"7A4.^
AT-
î
i
fLé,
hù-'i
î
>
Sîfall'gou cssouniio
cm)
as.s'affou.
sent que ce tissu
pour
les tentes.
A. Est-ce que cette
J&U
Compagnie vend
A
d'autres marchandises
M.
:
s
A
ÏVOÎ^y d;'' :
î
CD^
:
A.
^if 'H
//.;
kouhhania Ula cqa
ichatal oï.
::
?
Elle a dans ses
magasins les mar-
Aie
à^
î
:
P^ïfA ll-A*
î
s
La agar
nO> eqa
ïminichal
hoidlou bahiébn
— 164 — qui
chandises
iggagnaJ,
conviennent pour le
pays
et
elle
fait
en outre
l'ex-
hoiiuu, sain, J;0(fa,
or,
telque
café,
oïrq,
Iclam houî-
lon ga^fo o'ida haher
kaddal.
portation des produits
dagmo
:
cire et
peaux.
A.
Achette-t-elle
les produits d'ad-
dis
Ababa
?
MM' 't*''?
htlH
:
h Addh
iD*/^'V
î
^^^n^TfO^l,
i
:
ma
Ahlniha ocft
mon
Imia-
larnmigag-
igaial
oï.
J&lHAïOÏJ?,!:
M.
Q.aelquefois
oui, mais la plu-
}\'i^
i
1HA
ixTr^ai ^' î
hr^i,
Andandéigaialcjid-
••••
;/,
mqarraon houlûïda agar dâr
part lui arrive de
loii
ses succursales de
ieko
l'intérieur de l'E-
Iliopia gnc\àl oeil
thiopie.
cS^O G^--
-
iai;-a':;xal
ha
-Ié5
Un
A. à
un voyage
J'ai
faire
rais
et
nociwaand
râkkoiir gâri cfal-
à
lég
ne
^'>'^
îî
-.
ga
nahhar,
peine de
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dans
vre
ania
mmmiggagne
eudahon.
?
Donne;>vous
tnanka-
hâlâ arat
En
avez-vûus à ven-
mangad man-
iiassâtié
besoin d'une
quatre roues.
C.
O'ida
j'au-
bonne voiture
dre
Carrossier.
Chctcllï-
Bifaqd luos takaîlelao-
la
gne oïda goïda
sui-
mon
ïrn-
toullïgnc.
magasin. Èiinaho das mnimi-
A. Voici une voiqui
ture
me
assagiic
gân.
plaira.
C. Je crois qu'elle
vous
convien-
àCl)iP
i
^ou'-'i-
.Cl/'VA
i
Larso immatchc
mil
îî
dra.
A. Mais lide
?
est-elle so-
mVU-
i
W'i
(O
fanhârra no
oi.
iho-
— ié6 — Solide
C.
mais
!
voyez donc
Eudh'la
ressorts en acier, et
fait
pour
l'é-
HA'jAîr
î
?n.
Les roues
5
me
Manlarakkourôtchou ses hnasiolignal
A;:
minces. ces roues
.vous pouvez re le tour
Ba\7jh
caisse
Land
Il
ne faut pas
que
les voitures
de voyage soient trop hautes.
âniat
inoiiJou
coiiâçallahou.
me
paraît bien basse.
C.
It'iopiati
Udùlalloii.
pour un an.
La
ia
agarhouUou 7na\pr
de l'E-
Je vous les garan-
A.
vtanharah-
hûiir
fai-
thiopie.
tis
aïdoîlatu
flï^, îi
bien
paraissant
Avec
harahhct oï.
Air
C.
mmnù-
laialâlam
ternité.
A.
hc-
seraon ïmmalhaioii,
en général tout
est
cnvaho
cheboomicnna
rat
ces
!
Saicnou
(i.A
î
'^AA
Xfq
helo'il
massalagm.
la inangad gâii kajfc s'il
ahnmatchem.
\
-167A. Combien vou-
n
JVâcrao: nicn iahcl
lez-vous de cette voiture
?
C. Trois mille tha-
i:°ù\
i-nCii
Sosl chi her.
ïe rs.
A.
y
Oh
!
C'est trop
hi^ii 'dîhî
Vfl»-ii
Ai
!
heipu
110.
her.
C.
Combien en
Bamcn
voulez-vous donner
iahel ïga\àl-
lou.
?
A. Deux, mille
Bahoulat
trois
cinquante
cent
thalers, c'est
mon
to her,
A1H9"
sî
chï sost
ma-
kaiïh bal a
algaifim.
dernier mot.
Ara
C. C'est vraiment trop
ché
!
%ih
guen
ui
mais puis-
viaftchamnierou
m-
que vous ne voulez
bien
j'accepte
balai
dahon iagued hadji
pas y mettre
d'avantage, faut
tcnnïchc no, ha\-
bon mar-
iiialatié
aïqarrevi.
iJ
que votre
olïre.
Kamangad sciu?7iallas
A. Je vous achèter.ii
une
autre
il i
iyfit
i
MH
Ulan
cgaiâhalla-
— ié8 — que
aussitôt
Au
a
Utilb
bon.
revenu de
serai
mon
je
voyage.
revoir
AUV
!
s
Dahua
rt'J'fl
sanhct.
»
Un marchand
A.Avez-vous deux bons de
chevaux à ven-
trait
O'ti't'
s
de chevaux.
ùlrP
i
d,
KAU
ï
flJ
é^îX
î
j2. s
A'^ffT
Houlat sanga faras ^//(j&
oi'
la machcit't.
îï
dre?
M.
deux
Voici
KVll'
ll'A'lh
s
chevaux de race
h'J**/A,nf
anglaise qui sont
é^ùh «
excellents.
'^Ahî^
A,
Ce
sont
des
fn'>.Ç'
î
î
HC
?»JC*^ î
chevaux
mâles.
J'aimerai
mieux
PA9"
î
s
'
o'//:^
laïn-
^ar foras, cd-
fis ''^'ï^^^ûw nâtcho.
V'7'
é,^l\
•/•(!>• s;
f Ennaho houlat
s
î
'i'
O'H^
î
0///^ /ar^w i;â;^ra
nâtcho,
ïallam
o'i.
fOjKi ;î
des juments.
M. Alors prenez
KlW
sont
^''i
ccs grix,
ils
î
î
^^A'1|•
é,d,h
î
J
T 9"
Ennaho houlat tcn^<;^;/2
/fl/vz;,
vicncm
— 169 — doux
anial
dociles
et
ne manquent
et
iallâtcboima
haïïagna nâtcho.
pas d'ardeur.
A. Quel âge ont-
la sent
â/iiat nâtcho.
ils ?
M.
Ils
Edjcg b)ha\a ha scd-
ont dix ans
au plus.
dest
âuicit
aïhal-
ioiim
A.
Estï eçarâtcho.
Faites-les atte-
ler.
M. Hé cocher telez ces
!
at-
h'H'
ï
hïlhC
i
chevaux
A nia
achkar
hoï,
ïnnaTjhcn faraçol-
m-
à la voiture ver-
che hârancroîdèo o o
te.
ri eçarâtcho.
A. et
au trot
Allez
Açâgucrenna têw'c-
un peu au ga-
che gâlcb.
lop.
M.
Vous voyez
qu'ils
sont
perbes,
le
ne
s'est
du
fouet.
Aïon
su-
iiâlcho,
cocher
pas servi
A. Votre enthou-
aidièt nialafia
mmïaskc-
dâicho hâlavga sen-
HA'ï.'J
ï
ft'J'?.
kotn
alnahhâtcha-
oni.
Dcnq
mahonâtchû
— IJO — siasme
me
pourrait
coûter cher.
M. Ah Monsieur ne craignez rien, dis
je
si
qu'ils
K^^'^hèK.
fl*" s
Ifji-liP
1^?'»
i
^'^h^^ fl>"
a'masslegiieni.
a
"19^
V'/^
i
ftA
s
Haïio
t
s
r/irt
guétaïé, inala-
fia nâtcho sel haçat
aïmçalwot.
K^î^rtA?*
sont beaux c est
îh
s
qu'ils le sont ré-
'1*
a
ellement.
A. Je veux encore
un mulet de
sel-
le.
ft*7T*
f ïlC^ A"
î
^^
îî
M. Voilà un mulet Kil^ noir
et
blanc,
un
autre
choisis-
ïxi^
s
î
(14*
s
r/.;a.
?i
'PC-^V
î
ÉEtflC
^9^^(11°
/;fl^/(j
uicorrl-
efallegal-
lahou.
s
ÎItA"
s
Da^mo and
î
a
Eimaho
wârdanna
tchahar haqlo, ïmratou.
sez.
A.
Ce blanc me
A
conviendra.
M.
Ét)»fl4-
Haïlé, sellez le
:\ftA.
If^^ss ÉLL
:
blanc et
04*^'
serrez
bien
^^i'J'T
sangle.
A. Promenez-le un peu.
'ï
AvA"
î
s
î
VV'I-
^T'fî^'A
s
Till'll
immat-
chagnal.
îî
mulet
la
fchaharou
jR»*^'/'*!
s
i
jL'»An*'S*
a
HaïUhoï,
tchaha-
rowi.baqlotchâneu;/«
qcnàtowi aibc-
(j^/k/.
Esiï içâhont.
— 171 — Voyez
quelle
jolie bète
!
Vou-
lez-vous
que
oarcon
monte.
M.
la
Êndjci
kabt no,
iqqamnm
le
Icç'oti
A. Je vais l'essayer
moi-même.
C*PAl^
r.
endah 011.
lahou
.
oï.
?
Endïéta.
Allongez un
peu
tchhat tfal-
Faraçagna no
A. Sans doute.
A.
esii lîdjou
Èinorâcid emokkcroil-
M. Etes-vous bon cavalier
ciidièt vialafia
Erkâboun
Donnez-moi
ary;tno.
Zâhotinenna aîan-
étriers.
les
mone
l.i
seta^ne.
bride et une cra-
vache.
M.
Mettez-le
au
Ia!:galh'bûuL
trot.
A.
11
fait
des
Itchaffcral.
sauts. a failli
Il
me
jeter
A.TA^ ÏHC » î
LÛcIagne nabbar.
par terre.
M.
Arrêtez-le
et
descendez.
A. Votre mulet est
laqotimouuna houradou. la II ta haqlo
kcfoii
— 172 — unméchant
Merci
Au
rosse.
îfl^«
h^^à'î'
s
s
h^oo'li^^T a
!
plaisir
de vous
amalagna nao.
Ahuatchegncm.
^l^i'iTu Badahna ïâganâgnan.
fl.P/^Vî
revoir.
Un M. Hola
Jardinier
où êtes-vous
Me
J.
de
M.
voilà à côté
la haie ?
Est ce
cela
vaillez
tra-
Ah. Monsieur,
J. je
ne
que
me
vaille
reposais
depuis
instant,
j'ai
toute
journée.
i
^."t^ii
i
Ki^X)
ifl*-
i
tlà'V'i
r'-trÙ/'iD'
?
un tra-
la
V
i
QTC T
i
JK. :
IT Atâkeltagna hoï,
i
©W*
i
"hW *?
comme
que vous
h:>*lf}M''''i
^
?
jardinier.
9^^lO'
/%!>•'>
«i^'ll-
;
01
i
?»
i
"
î
s ll'/V* i
ifl>*
£;;;m/70
baâ'tcr
Icg
£"m//^/7 j/c
o't
serâhcn
cmmetsarnio.
::
'PAÏl'"
fti^/i<=î
^iè/ «?/;.
qomnHUahou.
'i;l'f«
s
H^^î^'i
oï-
:
^
Menno guctaè,moya-
m
honllon
seçarâ
JFâlkou,ahoun no ta arrnfhou.
— 173 — M. fait
aujourd'hui?
coupé
J'ai
j.
Mcn
Qu'avcz-vous
branches des
m
adar-
raghao lâré.
les
la âarraqaon euïcbêt
sèches
salhinallahou, ate-
arbres,
arrangé
dcrtio
la
rouncm
j'ai
haie
h^nf:'f^li'
i
h
et je viens d'arro-
Jahou,
ahdjetchal-
ahahaomicm
aiahhallahou.
carré des
ser le
Heurs.
M.
Aurons-nous
Zandero iahahcr
des melons cette
année J.
qcl
tggagnelciial oi.
?
Nous en aurons
Beiou adirgo ïâfaral.
beaucoup.
M. Quel dommage qu'ils
ne convien-
nent pas aux
d'tèt
le
me-
lon et boivent vin
fin
qu'ils
le
pendant tiennent
ammamao haïhon cn-
gouroum nah-
har.
!
Les médecins
mangent
la
so l-efou
es-
tomacs délicats
J.
Hôdoun
Hah-niôlchou iahahcr
C
î
*A
J
SIA'J*
qcl
haltao,
fiaoncm Jadj
malalaïle-
tao II bachitagiiôt-
chouii
houUouiicm
— 174 — leurs malades à la diète.
Il
ne faut pas tou-
'î'^^ î
A-
::
VXX^^P'^'i
'MI
médecins.
^*7
^ est
mais
à dire
facile diflî-
choux
forts
cette
s
txj^F'ti
s
î»'J,^ll,ll
V'iC
/^v masiiiAt
laoi-
âag
ai-
âollatn.
^A
s
s
?i'3'
A'^j^'^'V
î
s
A^^VlCî
*
'^^''^^•U'i
9"*^
beaux
et
les
?
Tous sont
J.
t^tl^^'
s
Halàmôlchoun
::
g-
Comment vont
Hflï
î
^^^If"^
cile à faire.
ihilahhelâUoii.
J&hAhA
'r
jours écouter les
M. Cela
ll'Ar'>
s
î
i
î
Txi?^
ITV' "
Wi?^Gi Ç^'flï*
Endaxxih
::
alla iia-
lamaiinâggar
o-^r
inwiatchal
cndj't,
hmâdrag aïmat-
Gomanokhoirii
mai
^^t\.^^i
ici
cnda
hônoii.
ZanderomaJafianàtchao.
année.
M.
Aurons-nous
des
fruits
année J.
Je
cette
que
vous en sere^
sa-
''lAÇA
s
î
^flî
la \àf fcréïoÛaUenal
fl'Ji'» s
c/'
^|fl'•'J
A
î
s
^.
Aon
'flH"
?
et
s
lt\}^^^9*
^'^AAÏ'A
tisfait.
M. Tant mieux, des léeumes
Ç<*»
î
\andcro.
H'>,«^-(? »
?
crois
PH^
^.*7Vfl>*"
s
u'o
he\oii
das
ciid'iJ-
maslagnal
::
AA^A»
D^^
«o, Salâtassa.
— 175 — Venez par
J.
Voyez
ici.
ces choux,
louiiua îou
gonia-
adagoïrèom
ces haricots, tout
noiun
cela pousse
hoiillou cndict o ^uc-
ad-
roum
mirablement.
M. Ce
plant de pois
Ih aiar
s'annonce bien.
est-ce
vient là C'est
J.
dagmo dag
wiasJal.
<7BrtAA Q.ui
ndcroâl.
:••
qui
lich'is
sut ta
mân nât.
?
ma femme
qui
vient
voir
toutes
Mcchiiè
me les
nalch,
clat taklwiil
A
4^-}
;
s
n*^
après-midi.
clat
han ba-
houala mciûetâ
tc-
taïqagnallatch.
m^*f
A-r- "
M. Bonjour Mada- ïil^^^i *PA7î
î
ÈndUt li'àlch
cmméi'n'.
me. B.
Bonjour Mon-
sieur,
voir
je
viens
votre beau
jardin.
^.UÇ
i
ï.+f»
1
i
^ftTA^: ii
f Cft?'
f^ii^y
;^îflA''^
i
i
h
h"l
Dahiah'tclDgncguctac,
larson malafia
aiâkclt
lamâyat
maÏÏekhallahou.
— lyé — M. Le mérite en Pi revient
mon
à
jardinier
qui est
homme
un
de
Aimez-vous
les fleurs
me B.
Mada-
rt^'/*
s
Y* ï"^
'flH*
î
«
^Q^^
'flAli'Vs
A
goût.
M.
^;i"înA'f'Yî
s
^"iv
atâhcltagna
lagiic
dcnq
sar'ratagna
«at?,
helhat
/>^:((7W
ïaouqal.
iî
3^00
^î'^C'Q Aï
i
fl^JZ. î
îi*^'t
a
Ahahaïmimerchaloï cmmétié.
?
Comment donc! 7\i^^' a ^tOH
ï
Endicta, ahahabeiou
^.^d
î
adcr^ué co'iddaUa-
fleurs
les
téressent
m'in-
'fllh
beau-
ïiOf^iiO'
î
a
hou.
coup.
Me
permettez-vous
fx"}^
i
T^AA
î
de faire un bou-
AA*l»l^i i?-Ç4*
quet
'S'A'V
?
Toutes mes
M.
fleurs
sont
votre
disposi-
à
Kit
:
î
if-
qadonlligne.
"
hfl»JP,.?.''f! î
KflO
And'tcqUl Iclqain
A^'^'î."
hioUdadcU
EcJïi,
(î/;^^/;^
Uqamï.
tions.
Je vous remer-
B.
Quelles sont
les
fleurs
vous plus
aimez ?
?%*7H.C
î
ftTA'-^
cie bien.
M.
'flth
que le
ïllhA*?"
>a>-
î
i
Jl'.A*>i
f^'i ;;
5^:(oz^
co-:;;^cr
iitcll'igne.
iî
^'}^'V(D^ flfl
î JP»
i
î
h
^C
KahouUonm mcto'idjï
dcrno.
ilq
ia-
ahhaha imn
— 177 — B. J'aime ea parti-
culier
les
roses
Kahoulloum
m
î
OA
i
7ï;i'
î
^Al^
:••
hou.
une
Je vois là
cheitâ leg-
gué rada coiddalla-
odoriférantes.
M.
ta hâla
ïaballa-
IhaolUch and malafiâ
belle
rose blan-
naich segpe
che
qui
haahabâ
bien
au milieu
ferait
ch.
que
LclqammclUch
cueille ?
je la
B.
Vous me
plaisir,
ferez
Ègièr
merci.
Un
Monsieur,
vous
ai
amené
je
du pays,
est
très
be-
"hîtiT
i
K
médecin.
1»^^ i ^1
l^A•a
f nAmtO'
oesi
kàhoullou
iaballaiaon
hakim
atntetchèhiallahou ,
il
renom-
Ènnaho guétaè baagar
le
plus grand médecin
isiilligne,
\ou das ïlagnal.
^A'f A
D.
hoiiâ
cdjég tàmmcrallat-
de votre bouquet.
Désirez-vous
rada,
oesi
TÏA?';^Al^ 12
::
edjeg
faouâch no
-178h%*n
mé.
A.
Faites-le
vite
•f-tir
éJVfi
:
:î
j!>*l(\
s
i
ïlallou.
Tolo ighâ.
entrer.
D.
Le voilà qui
ïxW^
«
la
t
Ennahot Pohhâ.
vient.
A.
M"" je suis
7\l!\K
f^fn\)
î
:-
'h'i^^é.(D'il^i
ÈnM
maitah, endct
faouçagne
cfalie-
chez moi,
voir j'ai
vous
de
reux
heu-
grand besoin
de vos bons conseils.
M.
Je suis ravi que
m'ayez
vous choisi.
A.
C'est
" "hii^"
ïx'n.
'^^ITÏI''^ 'flA*''*rA
y.1
très
i
ifl>-
i
î
tlii
^Aî
»
Èchi,
enièm
scia
marraikagne da; hehgnal.
Dag
::
no.
bien.
M. Nullement
!
on
ne voit pas tous les jours
lade
un ma-
comme vous.
fl^*75'h "i
i
h'i'i' î
ianwiiahcl hacheta-
i dot*
i
gna
fl*fï'^'î'
^f
Badaggiicmmt anian
fî.^WA
Hflï-lhCî t^'-f^Ti
Donnez-moi votre ItxMl pouls.
î
i
-V'
hjf'll^i Al
"
so i^aûilcrmat-
chem alaycm.
Esl'î
ne.
cdjehcn açayag-
— '79 — Qui
est votre
decin
mé-
?
.^'(?
î
iT*
;
"Ti
ï
t^tlc
o^^'yiJVi
Dcro
hakïin
iiiân
madhânït
ladarg-
C« A. Jean.
M.
P-r/i'Jrt
homme
Cet
pas
n'est
parmi
noté
grands
les
?\rt*
VA** «
s
h;l"A4*î
s
tUT**?'
s
lohauncs no.
tl\
/'^
s
Ji.C'.^niCî^ "
Essou katallaq hakimotel)
gârâ atqol-
tarcm.
médecins.
De quoi
dit-il
que y"'J
vous êtes malade?
A.
Il
du
que
dit
c'est
et d'au-
foie
disent que
ttes
c'est le
cœur.
Yx^'l'ï'
î
fl
!
M«/
hachetâ
aiîza/
'fi;'*
s
^lA'flll
s
allabcb no ïaâlao.
hrt**^
î
f T-flîh
:
Essoimima îagouhbat
^lA'flUi
hachetâ allahch be-
(ïH^
î
'flO^A " AjA"'|Îs *7'J
fl.^P*"^
î
f A-n
î
ifO-
î
h
;
/oa/,
léhtchou gticn
biaïougne
m
Icb
no
alou.
A-« M. Ce
sont
tous
que
du poumon vous
êtes
Du poumon
h^O^^
f rt'Jfl fl>*
s
Hoiilloiim
aïaou-
qoum. î
n*fi;J"
^A'flU
ï
s
Ï
h
I^ sanba
hachetâ no
ia allahch cndji.
"i'^ «
malade.
A.
i
9" «
des ignorants. C'est
V'ii'9^
?
PA'Jn
î
h(0*
î
(D
la sanba no oï ?
— i8o — M. Oui, que tez-vous
sen-
KO^'i "J
?
A. Je sens de temps
Ht^ W,
de
W'>
M.
Justement
poumon
A.
parfois
un
semble
que
les
J'ai
!
quelquefois
des maux de cœur.
7mmnmch.
h'i^i
%
And and giiïié
^ù^tX
î
s
9^"^
hrt'^A
î
(Vû^i 9^A
s
î
î
*'7Pl*
'fl^A
^ùff^C
:
inethat
ïaras
cçamalla-
;;o7/.
fùlr
s
Wi^ Wi^^
Ihaocnna
ia
sanba
hacheiâ melekket.
andém
^?/^
maïat
îçaouerbîgnal.
"
^fî(0*9°i
^TP»:
hA'JO
Jî'W
A« h^^
M. Le poumon
!
s
K'Ji^î'"
s
AIU'^
A A.
P
yeux.
M. Le poumon
A.
j'ai
voile devant
J
Enda mïn derno ïam-
î
jK»*ïîfl'*V fl
!
me
Il
le
ï\Tf?^9^
J^Cifl*"
s
en temps du mal tête.
'•
f rt'JH
s
Vfl>*V "
a
Ji'JJ?7
s
^Tn9^
Je sens quel-
ïx'i^ T!,H.
tudes par tous les
jKpA^A Tr
s
And andém
lebiénn
iammagnal
«
quefois des lassi-
membres.
dagmo laçan-
^^ înnassal.
^ao'i^
«
Ihao.n
a
l^/V*
la ^a«&a noenna. s
:
7AP»
s
»
^«^ and kcm
gu'tié
d^k-
ilagnal galayèn
houUou.
— i8i — M. Le poumon
Vrt'îfl
!
A- Et souvent des
\f^'i^ IJU
coliques.
A M. Vous avez ce
à
petit
ap-
que
vous mangez
M. Vous aimez boire
vin
Il
un
à
un peu de
M^
vous
petit
après
'ftlf*
jK-^Crtl'î"
i
Hodïéncm heipu
gt.i-
lé iqortagnal.
''•
?tUAï ^AHA/Aî
£fô/ iashallahaî oï ?
"
©,&
hO^'i
1»^
s
^ID^'i
flljf :
i
(Di^fiV
le
hO*''i
Aon
'ï'
(D^ "
i
gnctaé.
la oïn tadj
teoïddal-
Jah oï.
prend
dormir
A. Oui
repas
Ç
M^
vous
le
s
poum- ^flO^
s
î
flï
::
;z(;c/;
haho'th ten-
inqoulf 'ÙTjihal
oï ?
^;^f"•
ïfaîlegahaî
oi ?
Aon
:••
Prt'Jfl
i
'li^^ «
guétaé.
Ihao, ia sanha noen-
nâ.
dis-je.
Que vous ordonne ^^^fl^9°9^l)
s
9"'}'
î
votre
Kamabl
^
01/2.
î
^o?î guétaé.
K'Î'I'^A
'^'f'V'lhî
Kfl>-'>
poumon,
ÎVAA
ï
î
JK-H'/A
î
'/A
?
C'est le
mon,
h^^'flA 'ih'îif
?
1:^'?» «
i
sommeil
Et vous aimez bien
M.
la sanha no. s
>
A. Oui
M.
s
«
?
Oui Monsieur.
A.
îfl>-
i
médecin
rhlfl,?"
î
lammiastâmmtnïch
hakim men men H-
— l82 — pour nourriture?
A. De
la
soupe.
M. Ignorant!
De
A.
la volail-
9^'i
'fiCA
ï
'fl'\
î
hti
"flA
î
Yxti.
s
M
àlah ?
Chorha helâ âlagnc.
^1^(0*^9^ a
Aïaouqetn.
F-G^"' «
Dôrom.
le,
M. Ignorant A.
Du
h^a>'^9^
!
PTJ^'i^
veau,
Aïaoïqïm.
::
/*"
s
la
J^d!;flm ^^^i.
;J::
h^O^'^T*
M. Ignorant! A. Des œufs
frais,
T'feftî'"
"•
Aïaouqetn.
ïi'J^'t
:
feqqouçcm cnqoulal.
A". M.
h^O^'^^
Ignorant!
A.
Et le soir des
fruits
et surtout
de boire
mon
vin
<^;^y"
^
^**l*P
il^nVll}
mélangé avec de
'J
l'eau.
y
Aïaouqcm.
f HÇ
;
"
«
Pu-
î
4»AU
î
s
fl^jK.
s
(l\j^^ :
î
s
ï\tD
h4*A
i
m"!
î
Mâ/aw
ia;4/'
digmo o^'?/
/«£?;'
si
feré,
tammah
kaoiha gâ-
ra aqalâqqclah tat-
M
bclognal.
-n
A"'f A «
M. Votre médecin 01X^*0 ne
sait rien.
'flAfi'!*
4Ȕr Il
faut boire votre
vin pur.
:
T4« jf
î
i
9°'i9"î s
h^^*
Hakîmchmcncm
hcl-
haï aïaouqcm.
::
flïJK>'J s
m^
•"
ni
f^row oïn tadj taïJâ.
-183Et
Malkâni
manger
faut
il
ta heré segâ
assamam
debongrosbœuf,
helâ,
du porc, du
segâ, aïhcm, eroui-
mage, du
fro-
riz.
And
Je veux vous en-
ma
main,
temps
clelicllchâl'
lahomma and and
et je
viendrai vous voir
de
madhân'it qam-
memiê
voyer un remède de
ia
'
en
giiiié
cïainattahou
ciaïqhallahou.
temps. Un
::
A. Je vous remercie
Beiou cgimhchèr
beaucoup.
M. Adieu,
o
suis
je
n^^V
i
ih'i
•'
iL
de vous
obligé, quitter
si
me
doit
faire
pour
un homme mourut
hier.
qui
te-
lantenna iamôtaon
trouve à
qui se
hoini. Fa'-
tegné lamahède ka-
sao rcça
une grande consultation
Badahna
hakïmotch gârâ
tôt par
ce qu'il faut que je
is-
tïllione.
juayat bi-
astchahkolamc no.
^
i
n.^ft-7-lnA
— i84 — A. Pour un hom-
me
mourut
qui
hier
'ihA'J'^S'
^
!
M. Oui
pour
!
avi-
voir
ce
ser
et
qu'il
aurait fallu
pour
lui faire
le
Pourrez-vous
me donner
pour un
thalers
de
billet
francs
B.
des
'Ih*}
Off ;J"V
s
^\S"it\,'^
^(D*'}
î
chitanna ïohoncïlat
s
f Vfl
Jfl
(^^'^
î
ba-
nahhnraon mad-
hânïtc lamasiaiual
A'^ft;^fl)
«0.
un changeur.
^x.^^lr\\ 'flC
"îh s
flV'A.'î
^
ï
(D^^
la ?naio franc otraqat
.CAO*"
i^r ïlaouetoullïgne.
«
cent
?
donnerons loniiers l'or
sao rèça F
HO^'i » f^'l'ïl Aon, iamôtahaten
Nous vous en flïCv
de
â*
.
Chez
A.
s
"•
3:''^ î
goaérir.
{{(D*
fl***} s
TelanUnna lamôtaon
^*P*'f'
ï
vo-
contre
parce que
les billets
de ban-
({^^îCM
s
ît'JAfl'*TAll
ïflC "
ITf
C
î
s
fl^^^T
i
Oïrhhïnorehenlaoue"
î
UlUh nabbar, oims
gncn
qat
mi.U» ^^^
^o-^r
f '^W'flA
ïao
bai^ih
lamniïqabha-
iaUam.
-i85que
n'ont
cours
ici.
pas
Combien de
A.
piastres
pour un
A
à
douane
la
piastres
et
lé
poste
la
pour un
Tandis qu'au
raar-
la piastre n'a
ft;!'
Comment
pour avoir tite
faire
la
monnaie
Vous aurez
B.
demi
et
le
Tï K'J.^
mfl,^
/;o5/«
a^ra scddcsi
mahalleq and
hcr
«o.
*TJ
s
WiA4*
î
A'^^
ï
ïiî'^fl,
s
'^ Bagahaïa gucn mâ-
jK»
s
/.'«/%
lamaqahlal
îmhi ilallou.
::
'Wd
Itx'i'^^oOi^ll'
Engiiedéos
ber
la-
?
VH^A
:^«rfl/.
'le
quart
reste c'est la
Gras
remplace petite
"nCî
!
'•'•
BajouniroiMnna ba-
menâcr immanai-
le
la
sent
fll'^'JJ^Cï ^2.^^
thalers et pour
qui
charafâ
mahalleq no ?
pe-
du
cartouche
flO
s
ïï'^rhA
s
A/V-
A.
7«fôr
••*•
(['\F9^^-Yl^
flA
pas cours.
ft
^^th^Vi
Tr't' i
ifl**
thaler.
ché
îi^4-î
s
^0^
thalers?
B.
f 'flC
«
PAI^
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mon-
h'flC <«'fl
KAJ^'V
s
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"•
(14»C
'^^<<.fl^
fh^^
f
î
fl^^
d,'i^'
i
f ^-If'A
T^^
s
J
s
s
*7<1-
Kaber alâdeunaroiih ^«(/or
w
tarrafao
bamahalUq
fauta
iafoujilgrâteitïças
Ja^/Zo?/.
^A'H
A* «
naie.
A.
A
quel
taux
fK'JJ?;'
î
Tf îi
•
ff
la and jinê charafâ
— i8é — me changez-vous livre
la
ling
Ster-
^4-
C
ft'JT
î
î
"fl
sent hcr no.
«
ïfl>*
i
?
B. Aujourd'hui lo thalers
pour une
PH<<»
C
CldA** T'A
î
ôlCîlî ÏA**»
î
la lârc charafâ asser
and
her
jiné no.
livre.
A. Changez-moi
15
B. Voici les thalers et
142
demi
avez pris
B.
change de cha-
n'est
pas
ïï^4'
s
î
:
s
ftA
«
î
?i7C
î
fl'*.^'
pays.
ce
arha /aa/ii
flAlT) «
a«i rafâ
fl/o^
j'iné
and
sela châ-
inâsqarrateh
no ?
^i^/^A9"i
4*A'(1
dans
s
*'lll^^
5fl>"
f fi,*il
frais
t^r
/;oa/fl/
i\i^i Ba and and
s
que
parce
"i
Ihaonna mato
Guétaé.
bY\f{^
'flth
î
ïman%eroulli-
/me'
"
nous avons des
trop
Ennaho asra ammcst
s
Îf5i'fl
î
^A^
s
^V
livre.
Ce
C
un flôôTCi
demi-thaler pour
que
Ji*îîfl>"V
^P»
Monsieur.
le
XèlCîl
s
/i^^^lf^*^
livres.
A. Vous
Ih^lF
«
s
5^;(oz^ :(î/j
aïdollam ïa\-
agar qallab oedd
sï'lahona.
-187-
Un
A. Je
por-
suis
teur d'une lettre
BANaUIER.
n/i^ïi
!
'ItiOi-tni
Ç'I'^d,
i
(/*PA
î
Ba
semié
talaoueio
haouâla
iatasâfa
change en-
de
dossée à
mon or-
ordre. B. J'ai reçu avis de
du
la part
J'accepte rais
le
Ahiio ta scUtah sao-
tireur.
sefobignal.
u'iéo
et paie-
bamolla qan
Gui:^éo
jour de
ekaffclhallahou.
l'échéance.
A. Je est
pour un dé-
lai
de cinq jours
mais
comme
dois
partir
main de
Qanou ïamhnolâ
sais qu'elle
je
me
lâré fl>-
::
'tic
i
l'ii
no,
ammcst
ta/-
qan
nagar giicn na-
ga tnangad man-
je
nascâiic
naoenna
vous prie
o'illadûun
asqarre-
l'escomp-
tao
de-
ahûiin ïndtça-
toiigne
ter.
îiAîr"}jP;hA
elammeno-
tâllahou.
— i88 — B. Cela vous coùters.
2
pour cent.
h<'"'f'fl>-
CÏ 0'
A.
C'est
un peu
cher mais
que
je
faut
il
me
rési-
En
quelle
payé
hlr
Be\oii no cndj't echï
^^
lahou. :
A"?
îi'rt. i
s
Al*
f *7,^
s
s
K
hmâlat mgiicd
ni-
labigne.
Jîj^iTî T
î
'^M'fl
AflTU"
î
lamcn ahiat gauTjib /^^/^Z;.
?
A. En thalers
et
en
demi-thalers
la
monnaie du pays, quelques quarts
et
qarreichè cçaiahal-
îfl**
s
"fllf"
as-
ÎiAT'/A
'•
mon- Ç^^Tr
naie désirez vous être
ï
hoiilat
A'fl'7 "
gne. B.
^htl^ Kamaîo
î
fllC
'flC
't' s
Vî
f '^4*flA'
s
s
^ftnV
s
4»'fl
îiA,^
jB«
agar iammiqqa-
ta/t^///
her,
alâd,
row/; ishiigne.
" 'V
aussi.
B. Voici 10 thalers
en quarts.
A.
parait qu'il
Il
des
a
que
les
/i*îïfl**V
y
quarts indigè-
Ù?*"^
s
f J'flCî Ihaonna
"•
^•'fl
f'^jK.'l'fl
i
ia a.^scr her
roub.
t^'t'i 4-'fl
J
hAs
rt.A"
s
A'^lH «
^lfl>•'>
s
HlLU
S(wich
mmaïqqaha-
/t^// roiih alla
s'tloii
sammahou.
nés ne prennent pas.
B.
Oui, ceux qui
ont
été
ici et
dontlabou-
frappés
*\C
î
A'"'?'
î
K
^^o;/
^:h'l'0^
ia
s
HAî h^P
haiié agar
keft
atiamaon
ia-
bâiâ
afanihassaroub
— 189 — che du lion
est
T
hV
î
ï
ix'}
sao aïqqabbalaom.
ouverte.
A. Cette pièce bien
on
légère
est ;
^V
'flC
i
ifl>-
:
i
*AAî
hAft
; je.
Ih ber qallâl no keî-
Us imaslal.
la dirait faus-
se.
B.
Nous
allons la
peser, vous
vo-
yez qu'elle est de
*J&
s
A'W'H'ïA
V ÎT'Ï.HÏ* ;hlD^A « i
î
^
Qoi
lemaiicmielleh,
kamïiânou ittaouaqal.
poids.
A.
encore un
J'ai
chèque chez
à
Dagmo ka
toucher
bïét
auriez-vous
gence de
allagne,
biétoun indi tassa-
l'obli-
me
iammeqabbalao
hawâla
M"" Pierre,
ato Péïros
don-
yougne eîammcno-
ner son adresse.
tâîlahou.
;^Al^ « B.
Il
demeure
tuellement dans prison
la
cause
de
Eoïhni ta assroal eda-
ac-
A
ï
M(0''}
i il
011
saïkaft h'iqar no.
pour det-
tes,
A.
Ah
Dieu
!
!
Mon
Oia goud!
— 190 — Hâtez-vous de
B.
faire
protester
votre
traite
au
^UV
:
^^(V A î
Haoïîahen niah
s
(O^i ^ù'iîX*^
o'tâa
faransawi qonsonl
î
hïdcnna keçaçao.
VL^KT^s
YiÙfKO* «
de
consulat
VPiiV}
France.
A. Dans quel em-
J&U
s
5lC
me
C
î
JK.A^'
barras cela va jeter
t*?
s
-^/^
A"
?wo-(7r
tchcggiicr
ilagiial.
!
Je ne connais rien
PH.U
?%1C
î
/**
î
aux
affaires
de
CJt
î
ce
pays,
je
Î^Ti
fl-f A";
pressé
suis
de
V^^o
KAfl^T
^
lanih
agar
serai
alaoqcmenna
tolo
wak'iiJ «0.
*
VA*" "
partir. J'ai
absolument
besoin de cet ar-
'flC
0*7^
:
,PA
s
A
^A*7A'i
'•
5n' hagitcd
'msfalle-
guclUgnal.
gent. J'en
perds la
tê-
'i'*Kl
^iA'7
s
Tchïggucr âlagnc.
••
te.
B. J'espère que vous
ne serez pas em-
t/jRH
"rlC
il s
K/^flAU
i
"
HaïXoh tchcggucr
ai-
haleh.
barassé.
Venez diner
ce soir
avec moi
après
nous
et
causerons
de votre
affaire.
H&
i
*^ ^'
i
tiïxà*
Zârc mata
la
crât
Ts X'J'.^T'^^
endctmaiàlignenna
A'îV
'mmîhônaon hoidiou
fl'"'J
î
s
fî.lTï li-A*
s
?i
eniicmôkkarâJlcn.
— 191 — Vous
A.
bon
êtes trop
vous en
je
h'^M.h'd
i
'flll*
tluCi ^ftTA'^if"
Beion egiis.behèr
is-
îillîgne.
beau-
remercie
coup.
Mais ce Pierre que devenir
va-t-il
?
^Vtl
T"i ai*
B.
répondra de
Il
sa
de-
faillite
vant
tribu-
les
i
s
^Tt^ft
:
A.U"J
5f
î
mm lihon
uù,
::
\lfl/ir-lD*'i id^i^^
Keçâraomihadâgnennat
immarammaraî.
^''^CP^ù^
'1h ï
A
Ibcs Péïros
"
naux.
A.
Si
c'est
une
banqueroute frauduleuse B.
Il
la
?
}\i^
'Ih s
sera puni de
}\(DD^
i
bat cnda hones.
Eohnigahhetoedmiéo»
'î'fl'^ î
"h^'^tD^'i I>A*
forcés.
Ifi
s
Léhennatiaiagagnâh-
'•
tl
peine des tra-
vaux
Aj'flV'lhî t''J*lTrt
houllou tttassaral.
s
^^hù-
s
A:s A.
Quelle chute
rtT*È'1'
pour un
homme
'fl;''?"
qui avait
fait for-
fl(D*
tune en
si
peu de
temps. B.
^<1«
Les fortunes
promptes sont
^A
les
•f'ii*'
4»'J
s
î
AlPi
s
ît'J^T
s
s
;I'A4*
s
s
^1Y
*
îfJ
Ji'fl^
s
ïfl>*
ï
s
W
s
Baieqït qan
habtâm
lahôna so endïèt ta «/ïa /i//fl^
fw
keçâra
?
«
A"*"
s
fl
To/c;
haht ta agagna
so haiolo ioiddeqaî.
— 192 — moins
-f-A"
solides.
i^(D^'^
s
A== A. Et bien mal ac-
ne
quit
profite
Un Ah
!
aïtaqcmem.
créancier
son
et
débiteur.
Era,
qarah
halelli-
gne
guétcié,
ravi
de
das
helognal
voir, et
que
•flA"?As
n^
cndiét
ba-
mamtâJeh, cnnaTJa
veux du mal
kefou saotch fatnao
mes gens de ne
ha asgahhouh end-
je
à
Kj^rtlT?"
que
suis
vous
la laçarraqa ganiab
iTrll
Monsieur,
approchez, je
'fl î
s
9" "
jamais.
D.
'
f 'l*rt^4*
pas
vous
fait
entrer
avoir
tèt
da2 nabhar.
tout
d'abord.
C.
Monsieur
vous
suis
Ègiiahehèr istelligne
je
très-
TA-??
s
^;^P.«
guélaê.
obligé.
D. Allons vite une chaise pour
M^
"hé,
î
•f^A"
flï'înC s
î
fl
hî^/IvA
Era batoh amhullat.
oiiihar
— 193 — C.
bien
suis
Je
commc
D. Point du tout,
soyez
assis.
me
C. Cela ne
je
vous
que
f Aï'"
s
fait
iallam
HA *7.^
''
"h'i^
î
?A9"
s
cqo-
malhhou.
h^V"i9^i ii^i Aihoncm
'îîT*
rien.
Gued
K4»
î
'•'
*'liKlh
cela,
veux
*7.^
h^ti^
:
hal
cndji.
î'"
î
qoitich
G?/^/ rnlJani
mcnem
aïlagncm.
r-' D. Allons, asseyez-
*|î^
Itxl^ s
rt'\îï
:
£";« ço/z/d? /'«/a.
vous. C.
Il
et
n'est besoin
^"VJ"
i
qu'un
"19^
i
n'ai
je
mot
vous
à
dire.
vous C.
Non
jà
M*", je
viens
s
?i^i 'f'cjirw^
Mcncniaïasfallcgiu'm
î
fô^/t-c/;
jwo-ar
î 'fl
&c/c/w allagne
P^
mammallakhieh
ia-
^
£,.^ iaqaminat helhc.
"^jl"
Aïdollam guctac m-
.
i
f ^^ll'îl'lf'i
'llC
a?/^
ïï
h^F'à9^ P«s
pour...
VIC
?»A*'^
ï
AU
dis-je.
K'J.^
îh'J'fiî
^'
D. Mettez-vous
h^tld.^
hlf^M,
i
ï
mafJahonhhat
na-
o-^r ciidaiih no.
>fl>- s;
D. Non,
je
écoute
vous assis.
ne vous
point
n'êtes
si
pas
^i.ftlOî?"
ïî ?î''?
•[•*pffOf*
^Ifi
î
hArt''?r 13
}^'}
s
9"^?" ïî
î
Aïhoncm, qamiiiat
aiiiimife-
cndahon
vicmm ahamani.
— 194 — Je fais ce que
C.
vous voulez.
C.
?A)^
flt'î'U'î'î
V
toujours
bien
Ixi^^iV
*
s
Echï cnda âlh
ihoiin.
ji^th'i sî
D. Vous vous portez
}\Ù.
s
i
V
a
(DfL
Ténahen dahna nch oï.
?
pour
Oui,
vous rendre vice,
ser-
ve-
je suis
?M^
flA'}'^
îs
lïù^i 'flp»
V*
î
Dahna,
O'*^
ra
^UVî
Era
s
sela anta sc-
hic Jiiaitahou.
a
nu...
D. \'ous avez une admirable
santé et
une mine
frai-
voudrais
Je
Comment
porte
'^AÏIU
A7"'^/2»
iOC
bien...
D.
ïUVsî ^'XiO^^i
a>-;*A
che.
C.
ltxd,i 'flll* î
M"^
épouse
se
votre
<^T'fr
s
inalheh ïaataoucqal.
Lagoudda'i
iiiattetché
nabhar.
js
flAlU'hU
î
.^Uï
î
i'if* s ffljZ» ïï
,^llV
Ït"
î
un D. C'est une brave
femme.
bonne.
ihaocnna
::
BâJahicteh «a/c/>
s
λ*V
ll,K'flr/i>Cs j?»''"
merci.
Oui
hcnna,
dahna
oi'.
?
C. Fort bien! Dieu
C.
s
^tl^
s
he^ou dahna nï-
elle
est
ï/iiinasgan.
s
A.^
î
Malkâin
sïèt
nât.
"
K-'>î
VT
/jt'r
)iaich ïgTJahc-
::
<^Ahi^* '/'Ih
Dahna
«
«^A^'/'i
Aon walkàm
nât.
— 195 — ^^^0'(\'1''i
Je venais...
l'^t^'
la
:
A'JIC
î
inaitahoubbatcn
Pûuddaï Icnganuo.
JP::
D.
Et votre petite va-t-elle
lîUe
bien C.
(D^
?
monde.
4»'J^
Il"
lui
s
i
ï-r " hiï
î
mon
neur que vous
î
lidjehes-
£?a/;;w na/cZ; o/.
(fa/;Ka imtch.
Êi;(/^or
••
'flH*
C.C'est trop d'hon-
^UT
s
Je l'aime de tout
cœur.
Ït"
î
Tannachoïn
'•
?ij^'*7
T" est jolie!
A^-U
i
^UV
î\ î
Le mieux du
D. Quelle
'VY^*?')/
h©'^;'"A
s
*•
Qondjo nalch, /;t'^;,ow
enic
coiddâtalla-
/;o«.
K^lUK'flrh.C
h'fîCA'V
s
^
••
EgTJahehèr
ïaliherel-
Ugne.
faites.
D.
Et votre petit
chien
mord-il
toujour
les
qui
vont
'ï'ii'&h
IH
s
fl>*ïî^
K'J^ ùd^'i
gens
CT
chez
îl^A
s
s
Tcnncdwus zuouchâenda
!
fï^T*
tchhoti
î
.CV
y«on hmâkaçal.
oitro
"
vous. c. Plus que jamais.
Kfl'"'J
î
^à'MTi'f'î
^.«/hAA D.
Ne vous
nez pas
m'informe
étonsi
je
des
nouvelles de tou-
::
?iU^'Vif''i <*» s
D'A*
.ftV
s
Oi
'fl/Il
ïii^if^lC
9"i)s }ù*
s
«^:{^/o
ïiinâka-
fa/. '
s
^o;/.
f VJ'
la hutàtchhounn rJ houllou
hela'icq
eudaïgarnich
tannanla
oi-
o'irc
mïé das
— 196 — te
famille
la
ilacrnal.
car cela m'intérresse.
Ègimbehcr iaçanhet-
C. Merci! Je viens
demander
vous
comment de
me
vous
que
devez
Abonnes
ia-
maûahouhhat ian-
faire
traite
la
l'igm.
iicn har.
lao
?
scinad
m
al-
endiét
ïhoun bu' lamaiaïaq no.
^ A
vos ordres
mon
ami, atten-
D.
:
A'^mp4'
î
Echï
flallahoii, teqit
dez encore quel-
qu'on
Est-ce
ne
peut
voir
un temps
mité
D.
Oh
o-//.?-t'
hav^
ques jours. C.
o'indemïé' cka-
P'f'V-
î
qan
sftagne.
••••
Ain
:
h^.
la qanou
Ick
nïtao'i-
qcm oL
pas ali-
?
Monsieur
mais
vous ou-
bliez
que
sommes Abaha.
à
Mcnno
!
ha
AddbJha^-a mavo-
nous Adis-
guclayc
râtchcn r as l ah ni
'M;A
;
CDJE,
::
oï.
— 197 — C. Et qu'est-ce que ceià veut dire
?
D. Cela veut dire
qu'on
n'exécute
jamais les rts
à
afïai-
temps
fixe
jEill î
ÏIC
s
''7A
'>
s
î^"*}
s
*'lt\.
->
:
K'IC
:
HA
:
^^^iï^
VlV
s
ft^«
ï
mâlat no.
::
ifl>«
ftlI.U
mm
Ih nagar mâlat
'^•f*
s
'|*
:
?JC/li jPflJ-^'A::
haVek
«o'^r
5^;;:^//;
hamatan sera
27«/a
matchc iadargo
'mo-
ga/.
dans ce pays.
Comment
C.
donc
traitent les
se
K'J'^^U
ïxi^^^'i 3\''7A
affaires.
D. Entre oui, de-
AT"
rons
fl*" s
ainsi
et
C.
ss
Itv^^
'/''flA"
ï
damen
ïjfaTsmnal.
Ècht, naga, cnnaya-
ï
s
}\^%é^^^^
fâî
/a^^Jo
Ci]i-
7Z0
m'iffaTsamuo.
fl*" :i
C'est très
nant
^
s
Enguïdèh gonddaïcu-
ss
ÏT
?»fl. ss
main, nous ver-
de suite.
T'-'î^î
î
pour
gêle
j&!)
tiTr*!^*
s
^tro^^
a
ï
.•
//?
ncgucd
/^^
ahii-
matchcm.
commerce. D.
Que
vous?
il
voulez-
KT",^
faut sui-
'l* î
fildi
î
''l^^l
V
mâdrag
*
cnnarg
du pays.
îtVC*7
a-t-il
pas
J&DVJ
agar
K'î'^'î'
fl** îs
N'y
Enda
i
vre les habitudes
C.
t\ù^
moyen de chan-
A^^Afl^TV
oer ces habitudes
Trl^
î
no, ciidict ?
îs
A**?,^
î
serât
iR*7
î
s
î
Ihcmicn lemâd
A
/aît/^/
tl
crucd
cnna
dag
lain.i-
la nc-
serât
la
— 198 — et traiter
les
lièrement
On
?»^,^'A9"
régu-
faires plus
D.
C"/^i fi*nif\^s
af-
espère que
quand
les
bu-
reaux des ministères
seront mis
ftC^'l'î h'ï-^Jfls
A
présent
me
faut
^iA
J
"^'tJVVG'l'
i
'/'ft4«
'^K''*i<(»y 'Ih i
il
dire
ï
ma
'7 ss
iamïiùdrolch
«Z/a ta
mashâfiah'ùt
se-
ra sïjjamafchhat.
fî. Ahoun ber ianimiçai-
s
s *I*'J
payez-vous
P
Serai cndigahà ta^fi
rt.jE^
rtni*'V
ft^«I*
traite
oï.
îî
^ill''Jï 'flC
me
P
0»
s
ft/i* s
jour
quel
s
'^Cft'V
en ordres. C.
aiichâUm
Jî» sî
?
cela changera bientôt
(D
s
magbât
s
fl
J&'J'î4«
tougne qan ha serât
mngarougnc.
?
D. Peut-être
le 15
du mois courant?
flJC
s
fl'/fl s
ïë
^'Js Jtrt'HAll* "
OtV
hagahhâ
asra
animent qan eçataJlahoii
C. Alors drai,
j'y
revien-
au revoir.
^'Ih'i
s
ïi'^A^A
D'îî ,^.UV
s
/?**?
Ihoun /;o«,
cmallaçalla-
dahva loïhu.
A» VD, Au
plaisir.
Yx"*!,!/
:
*PA;î
(l.P.UV
s
Amièii, hadahna
oil.
Chez ux
et
bijoutier
un
horloger.
A.
\'oudriez-vous
me montrer quelques bagues
Avec
B.
pla7sir
KÎT.
*
en
\f
s
voici qui est très
beau
d'un
et
"
Esti qalabat
açaya-
gne.
"i'^'P»
iTlVu^V
A. Combien vencelle-
p
:
^''V
4*AflT'îï
<*• s
^
Èchï guétaé, ennaho serao
ïa
ranna
taiiakka-
m
amâra
qalahat, igiou.
îî
PH.U'J Tfi
s
?iV
s
t\/n(D*
*7H*
travail.
dez-vous
K'IP'î
s
?
Monsieur,
solide
*ï*ArtT
"hfl'll s
s
*9?i9^
,^UA
ï
!iffl>*îî
lanihcv luâga
men
M/;?/ vo.
ci.
B.
Trente
quatre
fflg'flC
a
Salâça arat hcr.
thalers.
A. Je veux qu'on y grave
mon nom.
rt^ï
graveur
mon
le fera.
J1S>U
flT'V^
^^v/nJ
K'^-^H^Ïl
'f* i
"V
B. C'est facile
ï
î
s
9"
s
A
ss
?i
h^ll'l'IC
fJt'ÏT
J
ha
neqqeçât
cnd'ffsafehat
cfal-
legallahou.
Ib aïadchaggiicrcm
m
neqqeçât sarratagiia
— 200 — N'avez-vous besoin
chose
pas
"lie
î
i
h^d,
Léla iiagar
ooum
d'autre
o
aifallc-
oï.
?
A. Je suis sur point de
heipii
de
'{àt
A*rA
choses.
Tant
cssa-
naddâllahounna
besoin
de beaucoup
vous
Mesl latnâghât
le
me ma-
rier et j'ai
B.
A.^
nagarlamag-
iasfaUegUgnal.
iî
Dag
mieux
trouverez
ïavim'ihon-
110,
ivon iiagar houllou
chez moi tout ce
manham
chokkani
vous faut
sâhaiicm
Ulam
houllou
Imhcrrcm
qu'il
comme
cuillers,
fourchettes, pla-
ia
teaux etc. en or
haoïrqcm hïhon ha-
ou en
A.
aro:ent.
Pensons
bord à
la
r
dirt
i
:
n
n'ic
taçarra
but îgagnallou.
Ènda àqcmic
d'a-
bour-
hïhon
cga\al-
lahou.
se.
B.
Voici
des ba-
gues montées en
?iVU'
i
nA
'l»An'1h
:
a
Ennaho
halafarï qa-
lahat.
pierres fines.
A. Elles sont bien
o^t^é.?
:
V'f^t»-
î
Mdafia
nâtcho cndji
201
mais
belles,
je
qu'elles
crois
?iT'*^.î rt
s
<^ftA'''î'A
s;
JK<
sajfi hnasloiigual.
sont trop larges. B.
sont
Celles-ci
plus étroites.
îiWrî
fllfl-n: *I»A
rt*!* îs
A. Faites-moi voir des boucles d'o-
}\Ml
Z'a/-
A"'t
:
Ênnaho hhhâh qaîa-
tifl
s
Esti lotc açayagne.
^"^ "
reilles ?
B. \'oici qui sont pareilles
à
ces
bracelets
et
au
^'nfl'"V
s
fK''"
flCVs ?.^'^
K
s
Ihaonna ^?z?/a
ta
amhar
m dm aïnat.
"
.ftï'lh
collier.
A. Mettez-moi tout celà
de côté,
viendrai
je
un au-
tre jour avec
ma
^V^Tf A*
ï\^
:
Ihenncn
eqa hoiillou
ti'illfiO^'i
labctchaon asqam-
^n'^Î^TA^V
nieicllïgncnna hat-
ï
h^^*»*!'?*»
<^T^"
iiancée.
0'
s
s
Pà*
chognac gara mcit-
K'^C
tetchècmartallahou.
î
^Al^ ïî B.
J'ai
belles
encore de
^*7'P
montres en
Ç
s
or pour dames et
U"i
pour hommes.
rt^'ï*
A. Montrez-moi plus
belle
femmes,
la
pour
htl'll
Affl^J^'
D^^wo
fî. ^(DCV s
k
î
AA.'7* i
i
ï
î flîi s
AÙ/l'
"l^tiO^'i
^f '^
s s
s
WJ s
f
K
mo»'^ :;^a7/^
omdcnna
/^
iammihon saât
hanté
alla.
Esti la sut
tamniï-
chàlaon açaïagne.
— 202 — une avec ïùlf
B. Voici
des pierres cieuses
^tP^
une
'T'Pi'^ï
A^CT
et
très
beau
coute-t-elle
B.
V'r !
combien
mais
Cinq
s
a '^^
chaine en or.
A. Ces
nAîflft*C
î
pré-
?
"h^**! "t'a
^"i'^
î
TJ
V
*PJ5*P
s
î^"'î
ëîlLiK'flC
î
s
^'fi
a
dcngaï, maïajaohn oïrq natch.
Edjcg qondjo naich, aî^g?/.
luâgaom mcn
m/;e/
;/o
Ammset
deux cents tha1ers
balakcbour
*•
"J s
mille
J
Eunaho
mato
?
houlat
chi
bcr.
?
A. C'est trop cher
pour moi,
n'a-
vez-vous
une soit
autre
qui
nil.'tA
î
AïAÎ'"
U*V
9^
')f4*
*PP
s
s
s
fl
PA
fFao-û^ haitoaï,
leq
Ulam
bahona wâga
lallam
oï.
"
flïjij
î
?
une outre "MXf
Wi^^lli
s
qui ne coûte que
f 0,
deux mille cent
f.'UC
thalers.
fl»*--'-
A.Celle-cime convient,
avec
s
ïî
meilleur
marché B. Voilà
pas
'PP
choses.
^'H^
mettez-la
-il-
autres
y"
les
!
s
s
*P/^ s
i
s êft".
'fl.'/' s
V
'Ih^^'A
h^i'ïfl*"
à^
y^TA^
s
?»ri4*
ïî
Eunaho andoin iasm
wi^a /o
/7o//k/
c/;z ///a-
fôr ^g/c/;^ no.
Itchimmâ
iemmat-
châUatch, j/ao?»
?^a
mïicllignc.
hafitag-
asqam-
— 203 — ?^Vn
lammïhon
J'ai
encore des
livres
de prière
hâla
dorés
pour
ta sâlot
i>.
Art.'!*
î
i
les
dames, des livres
pour
les églises.
Q.uels
h'iéia
et
en
quelles reliures
VCD-
J'ai
reliés
en
ivoire
testament,
vangile
i
flTflf
'}îTCftî'|-AC
la
kristïàn ïani-
âaroiim
mah-
m
cndièt
710.
Mahdaraou ha^chon têrs taçarrcto
alla,
oïrq
mashâf
dagmo bakoda
iaçarreto
le
en
dagmom
iafaqahhâ
de Da-
reliés
aî-
VfW »
l'É-
et
psautier
vid
ï
*^V^^^
L'ancien
doré.
mahdar,
malhaf
7nihoiiao alla.
alla
A B.
*^\)^^
ji
?
des livres
o'irq
lainci! aïnat no,
livres
avez-vous?
^ï^/
las^ne,
An.'hî Y}cni:
A.
I.^
oirqmna
hcr la iaqabhâ hcl-
cDi:4'Vî -ne
wi hdamnna
oïn-
peau noire dorée
gucl ta Daiuiitm
et argentée.
maynourât
Aï
alla.
f^'C^i^î
A;: A.
Je
qu'il
verrai
me
ce
faudra
ÊcJn
mnnc
giiix^
iammïasfallegagncn
—
204 en ce moment-là.
Tr
l>/V"
s
J
AÎ^;^A(^ t/B. Très bien
i
A. Adieu.
J.ioulhii
a
a
ooè\\\'F
!
ïx'"*
cmmalakka-
tâllahou. )ili«
Malkâm,
ïhoun.
il
flftUÇ
ïx^Si
s
Chez
Badahna
ïî
cdar.
un
marchand de photographies.
A.
M-- Je
avoir
de
voudrais des
vues des
la ville et
que
Quest ce
M-^^
des
désire
?
photogra-
phies ou des gra-
vures
A.
I^JE-
:
'l'^^ ^4-'>
A
Ph
ft(iA
s
f hg-
h^ï'k
ho'/,
iakatama
cnna ladâr dàroun
ï
se el efallêg
i
©^
i
fth
jKr<(.APA'
s
Giiéla
s
nabhar.
Vfl
s
VWA-là'Ç^ ft î
-
f ^C
î
?t
environs.
B.
^;^
s
la,
phûtograph
edj se cl ifallef^allou
cmmétU
phies
?
'•
?
Des photogra- f C-f^'V^Çî *«>•« la fotograf no
mat.
ois ta
petit
for-
fl'Th'J'fî
'>
î
î
M»
?i<<.A.''A
iiech sefât
lahou.
hatcn-
efalkgal-
— 205 — B, Voici la maison
impériale, lï'giise de et le
George
S'
marché
d'ad-
drai
ne
!
Je pren-
une douzaide
chaque
N'avez-vous pas
le
l'Em-
portait de
pereur et de l'impératrice
*7fl.
î
P'C7,rt
V
J^^jl
'Ifl^
\\^^ .^CH'Î
Nous en
avons
désirez-vous
't'i'}
rt/?/a/o;*
/j^ï/a
dar\an
^w^
oïsdjallahou.
Ailî'"
î
I« djànhoïnenna
î*
htéguén se
"
fB,f«
Mwz
h'J^r^' " hj&fn 4«9"
cl
m
ïilla-
oï ?
s
'PA'f-T
?tl.îJ
K'IC
s
ques types natio-
«i.A'l'y"
naux
K*^'!:
?
laitière,
bergLr,
mendiant.
un
Endïcta,
aïtafam,
niâltoiial.
"
O^i ftKA
une
«//i
PK
s
fllïA:
s
pasMadame quel-
un
se cl
"
PJ^'Jî/'jK-'JV
A
beaucoup.
\'oici
D^o-,
s
©ftjÇA
s
Gorgn'is
7za.
î
K'J.^'
m
Ahaha gahaïa
hi\
î
ncgoiis
tâboteima iaAddis
ftMs
s
« îlf )^jK.Vlî s
o^iicbhi,
.•l'Hl*
s
.P-^.fl
s
î
f 7.
s
m
Ihaouna
^Trl'
«
?
Certainement!
Ne
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vue.
B.
n^'*!*
H
dis-Ababa.
A. Bon
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JùlF
/«^:^//; ao'fl'' ^r/o se cl
KjK»
aifallegoum oï cm-
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Ennaho
ia o'ilat chaf-
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sut, ïarragnan-
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gne
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se cl.
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20é prendrai
A. J'en
est le prix
ces cadres
de
PIUU'J
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Deux
B.
pièce
}\'i'%
vingt
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ne.
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sont
en
bois
d'ébène sculpté.
Madame
en rap-
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s
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Nous avons
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laTX^hcn haj'oii ivâga ^2?//^- îzo.
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également.
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ia
copine
noenna scrao ncqqcçât no.
Ib la?natâssahia ibonal,
cmmétté edjcg
w'iddouial.
Dagiiio
Jahitatnao
;;zf/./^ï/m i-^
i;/
a//rt;/.
KAT- «
jolie.
A.
Il
me
aussi
fondrait
quelques
*l"*^'t
s
îl'll'A";
''B^^Oi'i ^^iPJ^aî
GucmaUnna
haqlo
Ichenao ia naggâdc
— 207 — vues de caravanes
ha enna
de chameaux
cl ciida
et
de mulets. >.
Nous en avons hf ^J&J'Iï
un
-^VA
grand
î
'/''A
goiioii se
alla cffal-
le^
nahhar.
Kam
aïnatou
"
molto-
nal.
choix.
-^
Chez
C.
clef
et
il
un serrurier.
Makfatchacn haqoulf ouest baagoul serât
impossible de
de
"-
m'est '
retirer
fc
ma
taussé
J'ai
O OC
la
aghetché ahhalâchei-
la ser-
chèo nahhar, ahou-
ncm
rure.
la
maou'tât
hnhï alacrne.
Voyons
S.
c'est.
est
ce que
Esii laï,inaiginaom-
La porte
fermée à dou-
ble tour, difficile
vrir.
il
sera
mâ
hahoidat
110
mtaqwollafa,
likkaffat
de l'ou-
khâf
iastchag-
gncr ïmaslagiml.
C
î
A
M
.G'^ftA'f
— 208 — La
clef
tordue,
est
toute
il
n'y a
Makfafchnos
Crac
l'avoir.
voilà
qu'elle
iammikaf-
ie\oal,
moyen de
pas
fat
tcitani-
ahnaslagmm,
hhaolïch taçahhara.
!
se
casse,
C. Et
le
morceau
jqui est resté
Sehharïossà
dans
oih'si
reste
Ahouncs
eqoulf
qarra
oï.
la serrure ?
S.
Il
ne
me
qoitlfou Iml-
qu'à dévisser la
ianaqqalanna addïs
serrure et à vous
niiilifaicha
faire
une autre
çarrâllat haqiir hcl-
hat iallam.
clef.
fAr C. Et en attendant por-
je resterai la
te
"
KinfijD-hi l\ i
4îAÇ
M,
Enguedéos add'is qoulf
htl
cskîbhadj deras hé-
ï
ouverte? Je se-
rai certes
S.
halta-
volé
Mais
non
metterai
un
!
toii lîcft
saraqoii aïqarcm.
!
je
hoiio ma.<-
hjR^-A'r "
nA
Aïdollam, hâJaniantaÛaïa qoulf aga-
cade-
AÇï Ai>-«
MflA:J-
hâlhiallahoH.
— 209 — Peut-être
Add)s maqollafia
ferez-
hig-
vous mieux
d'a-
ga'^Xpllat
une
ser-
masla^iml, arogué-
cheter
neuve, car
rure je
0)11
ïchâl
ï-
alJaqa.
vois que l'an-
ne vaut
cienne rien.
C. la
Pourquoi
ce-
^9^^^^C
î
M
Vfl»-
La
nicndcr no.
//'
i(ï
?
S. C'est
une serru-
d'Allemagne
re
qu'on peut
lement
German
sera
qoulf no, bamenâ-
faci-
nicn ikkaffaial.
ouvrir
n'importe
avec quoi.
C.
Les
d'Allemagne sont
donc
bonnes
ne pas !
mcncm
et
Aussi se
vendent-elles très bas prix.
oï ?
Aon, scrao giicm no,
sans aucune solidité.
laqoulf
flj
S. Elles sont assez
mal fabriquées
German
da? aïdollam
hje.^Aî^
?
ia
agar sera
Menno,
serrures
Um,
"hr
:••
AArt,i>
à ;'
î
j&ff'HA «
14
aïbarakke-
sela\ïhou
ha-
rckkach khchaîal.
210 C. Et les serrures
France
de
d'Anffleteree
La serrure
la farançâw'is cnna
et
agar
cngii^cs
ta
qoulf cndamen der
?
fran-
Sela qoulf ia faran-
çaise est estimée
çâivi sera kahoidlou
pour sa
solidité,
ichchâlal, kàeiiglii
à cet avan-
enkoîn iballetal sela
S.
elle
men ewoiistou
tage sur la serruanglaise
rerie
que
toutes
^A
i
ftAr-}
i
lac
pièces d'une ser-
rure sont forgées,
A-
î
njf
î
râ.
mécanique.
serruriers
la
les
de
f *Aç
i
A^i'
ils
ment
principale-
nas
à
secrets,
ainat
mm
içaral-
::
Des serrures de
sûreté, des cade-
katama
loîi ?
A^A-
?
Pans
sarraiagnotch
men
Paris s'occupent-
S.
îuâkïna no iataçar-
i-rtC
elles
De quoi
C.
no,
découpées
sont à la
taçarto
iaengli'^ou giien ha-
tandis qu'en angleterre
houllou
serât
haedj
les
iaal-
Qoulf,
Ci»"
!
'^'feA^.
ni
mcsiircm
tnaqollafia, iabera-
icm
sâten,
lèlam
211 des
coffres-forts
etc.
I>-/V-
C. Je vois que serrurerie est art
^T*} "
la
un
des plus cten-
:
P*|îAÇî
:
AjAî'"
ï
hoiillou içarallou.
/?*l*'^
/*'<{•
s
;i'A4*s •flAî^T*;
la qoiilf sera tallaq
noïnna.
Z?^/Z;i/
'lO^^ "
dus. i.-^.
Certainement,
;^A^
« ;^A4' «
r^//^^/
/
tallaq
!
212
—
VERBES.
Le type du verbe abyssin
est,
comme
dans toutes
les
langues sémitiques, la troisième personne du masculin singulier du parfait de l'Indicatif.
Mais
comme
en français
le
type d'un verbe est
le pré-
sent de l'Infinitif, nous emploierons cette forme dans l'énu-
mération des verbes suivants
Abaisser
:
— 227 Durer
Ebahir
Sanahhata
— 230 — Enorgueillir
Enquérir quêter
(s';
(s') (s')
Enregistrer
En-
^^
Qprra
î
m?^
s
Taïaqa
— 237 —
H Habiller
— 2j8 —
Identifier
Introduire
— 241 —
Labourer
— 245 — Négocier
— 251 — AçâiUima
Publier
Puer Tanahhâ.
Gamma
Putréfier
Fatchà
Pulvériser
d^^^l
Punir
'¥"\
Purger
hd'l'ift
Purifier
^^m Vm^
i
Qaf'tâ
i
'••
K
htl^
Jsqaiiana. As-qamniata
Nattara
i
Q Quereller (se)
Quérir
Taiâllâ
nnan
Baifibhaia
s
Questionner
Taïaqa
R Rabaisser
— 255 Recommencer
26o Tirer
—
Tuer
IftA
Tyranniser
^'^tllr'
Gaddala
ï
s
^|^P
*t-
u Ulcérer
"•
Maluira açàïa.
-265-
STYLE.
Les Abyssins style,
sont
mais par contre,
excessivement succints ils
dans leur
emploient des formules très pom-
peuses de salutations qui forment très souvent plus de moitié de la Ils
la
lettre.
mais
ils
emploient
de signature pour
les
personnes
ne signent point leurs
un cachet qui
tient lieu
distinguées ou qui occupent
un
écrits,
certain
rang social. L'em-
pereur, l'impératrice et l'évêque apposent leurs sceaux à la partie supérieure de la lettre tandis
que
les autres la cachet-
tent au bas.
Toute
lettre
ou autres documents abyssins
toujours par la date. \'oici
quelques exemples
:
Modèle d'un décret
impérial.
se
terminent
— 266 —
Traduction textuelle.
Il
II
a vaincu,
élu
Lion de
le
du Seigneur,
vais
bien.
d'au delà de
douane dans
Dorénavant la
mer,
ton
tribu
de
Ménélik
Judas.
Roi des rois d'Ethiopie au
match X. Comment vas-tu je
la
fief
?
toute
après à
Moi, par
avoir
raison
la
Dadjaz-
grâce de Dieu,
marchandise provenant acquitté ses droits de
de
10 o/o,
ne
plus subir aucune autre taxe sur les autres portes
devra (lie
ton
pays).
Ecrit dans la ville d'Addis-Ababa le 19"°^ jour
de Sanié, de
l'an
de grâce 1901.
du mois
— 267 — Lettre
d'ux
gouverneur
de
province
a
l'Empereur.
Suit
le
texte très succintement
;
et,
après la date
:
puis le cachet.
Traduction textuelle.
Qu'elle
(cette
iiihm'e^ parvienne
au Redoutable, au Fils
de Salomon
à l'Elu Fils
du Seigneur,
de David par
la
chair et au Fils de Pierre et de Paul par ia grâce, Ménélik II
Roi des rois d'Ethiopie.
— 268 — Sire.
Je prie le
gue
vie
et
Sauveur du monde de vous accorder lon-
bonne
vos souliers.
....... me
santé, et,
prosternant a terre
je
baise
L'humble esclave de Votre Majesté
X
Lettre
^«^J^^lA.h Suivent
de
.
l'Empereur
.
les salutations
Jean.
.
.
d'usage et le sujet de
la lettre.
Traduction textuelle.
Au nom
de Notre
qu'il soit glorifié,
Sion, Roi des rois
Seigneur
Amen. Que
et
Sauveur Jésus-Christ
cette missive
d'Ethiopie, parvienne
à.
de Jean Roi de .
.
.
— 269 — Lettre
de
l'èvêque
copte.
A.:) Suivent
les salutations et le texte
;
et,
avant
la
date
:
Traduction textuelle.
Que
cette
missive
de
Paix et d'Amour, envoyée par
Mathieu Archevêque de l'Empire d'Ethiopie, parvienne à
mon
Fils
Que en
toi et
chés.
X.
la
bénédiction de Notre
que
Amen.
le
Maître Jésus-Christ habite
Seigneur par sa grâce
te délivre
de tes pé-
Lettre a un prixce.
l> «
A(^A
i
^;^P.
i
If .i'«
î
Suit le texte.
Traduction textuelle. Qu'elle
(cette in'ism'e)
trissime bien
konnen,
parvienne
aimé du Seigneur,
primus des Princes
et
au
mon
sérénissime illusivlaître, le
Ras Ma-
des Grands de l'Empire
Ethiopien, Dominateur de la principauté de Harrar et dé-
pendances. Altesse. Je prie le
longue vie, fois
vos
et
me
souliers.
Sauveur du monde de vous accorder
......
prosternant hublement à terre
je baise
lo
Lettre
Suit
d'un
texte sur
le
prince.
un ton
autoiitaire.
Traduction textuelle.
Que par
la
l'envoyée force
de
Dieu
Primus des Princes parvienne
Moi, par
(Ja missive envoyée)
et
et
par
de
grâce
la
de
Sa Majesté,
des Grands de l'Empire Ethiopien,
au général d'Avant-Garde X, la
Ras Makonnen
grâce du Seigneur,
je
Comment
vais bien.
vas-tu
?
Lettre
bonne
de
année
un
a
personnage.
S'
î
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rtAiT'.'hp.
(h-ïA.;)::
-f-;^^
;
•"
Traduction textuelle.
Qu'elle
(cette missive')
parvienne au
préféré pour son savoir et sa sagesse, le
très
honorable, au
Monsieur X. Je
Sauveur du monde de vous accorder généreusement
ne santé
et je baise votre
prie bo:i-
main.
Je lends grâce à Dieu Tout-Puissant qui vous a yardé
d'une année à l'autre
Amen.
de vous garder encore présente ses.
mes
Et, en priant le
pour
plusieurs
salutations très-distinguées
Dieu
années et très
d'Israël je
vous
louangeu-
— 273 — Exprime
ceci votre serviteur
Ecrit dans la ville
de l'an d'Incarnation
X.
de Harrar le
i*^""
année de
1900,
Mascaram
jour de S'
Jean
Evangé-
liste.
Lettre
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s
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1
— 274 —
^
::
Traduction textuelle.
Que à
mon
l'envoyée (/a
frère,
mon ami
?nissîve)
de Walda-Mariam parvienne
Mon
Takla-Wald.
frère,
depuis que
nous nous sommes séparés jusqu'aujourd'hui comment va ta santé,
n"es-tu pas
bien
Quant
?
moi, par
à
Notre Seigneur, l'intercession de Notre-Dame de la Trinité, que Dieu du Ciel soit loué suis bien sauf
tu viendras de toi
pour
Diré-Daoua
un revolver
un
et
de
désir
le
je
fusil,
te
prie
et
Mon
voir.
te
la
grâce de
remercié,
le
je
quand
frère,
de m'apporter avec
choisis-moi tout ce
aura de meilleure qualité. Pour
bonté
et la
qu'il
y
prix je te rembourserai
ici.
Je te supplie,
quand tu voudras
mon te
frère,
n'oublie pas
ma commission
mettre en route.
Je prie Dieu d'Israël de nous garder en vie pour nous revoir.
A
Amen.
Dasseta,
à
Habta-Walda, à Gabra-Kristos,
demanderas pour moi comment lement
à
Terou-nech
ta
ils
vont.
femme que
j'ai
Tu été
tu
leur
diras
éga-
très-peiné
— 27) — d'apprendre
la
mort de
sa
mère
que
et
je
lui
fais
mes
condoléances.
Exprime
ceci ton frère en l'Esprit Saint
Takla-Guiorguis Ecrit dans la ville d'Entotto
le
15""'
jour
du mois de
Tahsas, en l'an de grâce 1900.
a un
Lettre
inférieur.
Traduction textuelle.
Que
l'envoyée (la missive) du Général de l'Aile Gauche
Balla/a parvienne au Garde-Fort Walda-Sellacié. es-tu
?
Moi
je
suis bien
Ato Gabra-5^adic mulet, deux chevaux cher de passer.
Dieu merci.
se et
Comment
rendant à Enkober amenant un
cinq bœufs,
il
ne faut pas l'empê-
— 27e — Ecrit au Monastère de
Zégamel
le
21™* jour du mois de
Ter, en l'an de grâce 1900.
Modèle d'un contrat. HH/nij
.
^th-iti
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— 277 —
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— 278 —
A
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'^H^
î
.^<J..^'P
î
h'l«?
!
AJ&
v:
Traduction textuelle.
Dans
la
période de l'Evangéiiste S' Jean,
du mois de fcqcmt, avons appe^sé
nos
Sahla-Mariam cord,
vant
et
en l'an
cachets
de grâce
au
bas
de
1902, cet
consentir
teneur du
à la
Nous qui
écrit
Ato
:
d'ac-
contrat
sui-
:
Ato Gabra-Mikaël
I.
devenant
d'Ato Sahla-Mariam, s'installera dans
du
Sidamo,
agira
suivant
les
la
Art.
II.
représentant
maison commer-
instructions
Sahla-Mariam, vendra, achètera, échangera les opérations
qu'il
15"* jour
Ato Gabra-Mikaël, nous ayant mis
déclarons
Article
ciale
le
et
d'Ato
fera toute
commerciales nécessaires.
Sur
effectuera,
des bénéfices nets
toutes
les
opérations
Ato Gabra-Mikaël aura au lieu
et
les
commerciales 10 pour cent
place d'appointements. Mais
— 279 — en ce qui concerne mestiques
le loyer
et les frais
de
la
maison,
le salaire
des do-
des courriers, c'est Ato Sahla-Mariam
seul qui les paiera.
Art. des
sur
aura
qu'il
Ato Gabra-Mikaëi
III.
situation
hoc
ad
livres
A
faits.
la
les fin
jour
inscrira
ventes
achats,
de chaque
et
mois,
il
par
jour
échanges établiera
des entrées et sorties qu'il enverra à Ato Sahla-
Mariam.
Le présent contrat
Art. IV.
est valable
pour
3
années
entières à partir de la date de sa rédaction. Si avant l'expiration
de ce délai, Ato Sahla-Mariam
Ato Gabra-Mikaël venaient à abroger sans motif,
celui
payer à l'autre
la
qui
le
présent contrat
abrogation aura à
cherchera cette
somme
et
comme dommage-
de 1000 thalers
intérêt.
Cependant
si
le
cas d'une force majeure
présentait, l'affaire sera portée devant lards.
Pour
cela
Ato Sahla-Mariam
imprévue se
un conseil de
vieil-
Ato Gabra-Mikaël
et
choisiront chacun deux arbitres, le juge de la contrée choisira
un
vieillard
sur-arbitre et l'affaire sera portée devant
ce conseil de vieillards qui prononceront
un jugement
sans
appel.
Art. y. de
même
Ce contrat a
teneur
et
été
cachetée
écrit
par
en double expédition les
deux
parties,
une
— 28o — copie restera entre les mains d'Ato Sahla-Mariara et la se-
conde entre
celles de
Gabra-Mariam, pour valoir ce que de
droit.
Ecrit dans la ville de Dire Daoua, le 15""" jour
du mois
de Miazia, en l'an de grâce 1899.
Gloire au Seigneur
au siècle des cles
siè-
Amen.
— 28l —
TABLE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. Page
ALPHABET.
7
CONVERSATIONS.
129
Banquier (un).
187
Bijoutier (chez un).
199
Blanchisseuse (une).
146
Carrossier (un).
165
Changeur (chez un).
184
Coiffeur (un).
144
Cordonnier (un).
149
Coucher
137
(le).
Créancier (et son débiteur).
192
Horloger (chez un).
199
Jardinier (un).
172
Lever
134
(le).
Marchand de chevaux (chez un).
ié8
— 282 — Pa^e
Marchand de photographies (chez un).
204
Marchand en tout genre (un).
154
Médecin (un).
177
Serrurier (chez un).
207
Tailleur (un).
1
Temps
131
(le).
Toilette
5
2
d'homme.
139
femme.
141
Toilette de
129
Visite.
INTRODUCTION.
PRÉFACE.
PHRASES USUELLES. Admiration Affection
Colère
Doute
(1').
(la).
(le).
Joie (la).
(1').
118 125
12e
127 125
12e
-285Page 20
Pour accorder.
1
Pour
affirmer
123
Pour
aviser.
122
Pour consulter.
122
Pour
122
délibérer.
Pour demander.
120
Pour
faire et
121
Pour
nier.
124
Pour
offrir.
1
recevoir des remerciments.
19
Pour questionner.
118
Pour
121
refuser.
Pour répondre.
118
Probabilité (la).
125
Reproches
127
(les).
125
Surprise (la).
SALUTATIONS
114
(formules de).
STYLE.
265
Modèle d'un
Modèle d'un décret impérial. Lettre à
un
27e
contrat.
prince.
•
265
270
— 284 — Page Lettre à Lettre
un
inférieur.
275
d'un gouverneur de
province à
l'empereur.
267
Lettre de l'Empereur Jean.
268
Lettre de l'évêque copte.
269
Lettre d'un prince. Lettre de
bonne année
Lettre d'égal à égal.
VERBES
(énumération).
VERBES
(conjugaison).
Verbe Avoir.
271 à
un personnage,
272 273
212
97- 107
97
Verbes
actifs.
Verbes
passifs.
102
Verbes unipersonnels.-
112
VOCABULAIRE. Accidents.
Agrément
98
11
49 (exercice d').
85
-285Pao^e
Agriculture.
Ame
(qualités, défauts, vertus, vices).
Animaux. Arbres. Arts et artistes.
Armes.
Atmosphère
(F).
Bateaux à vapeur. Bijoux.
Boissons indigènes.
Bureaux (matériel
de).
Campagne. Céréales.
Chasse.
Chemin de
fer.
Commerce. Corps humain (parties du). Corps humain (propriétés du). Couleurs.
Couleurs des mulets
et
chevaux.
Cuisine (ustensils de). Dignités ecclésiastiques.
Dimensions. Domestiques.
39
— 28é — Page
Eau
(1').
Écriture.
1
3
83
Étoffes.
56
Fêtes.
26
Feu
(le).
1
3
'90
Fleurs.
Formes.
19
Fruits.
90
Gouvernements.
74
Grrades civiles et militaires.
74
Habillement.
54
Habitation.
67
Homme.
34
Infirmités.
49
Insectes.
oé
Jeux.
85
Jours
(les).
25
Maladies.
49
Manger
58
(le).
Mesures.
79
Métiers.
73
Mets indigènes.
60
Meubles.
(>':,
Mois
24
(les).
— 287 — Page
Monde
(le).
1
Monnaie.
79
Musique.
84
Noms
propres.
9^
Noms
propres de baptême.
93
Noms
propres particuliers.
95
Nombres cardinaux.
27
Nombres ordinaux.
32
Nombres
31
fractionnaires, collectifs, multiples.
Oiseaux.
86
Opérations.
5 3
Parenté.
37
Parasites.
89
Pays.
éé
Pêche.
85
Peuples.
GG
Plantes.
92
Poids.
79
Professions.
73
Remèdes.
53
Repas
58
(les).
Reptiles.
86
Raisons
25
Sens
(les).
(les).
33
— 288 — Substances chimiques.
Substances minérales. Substances végétales.
Table (ustensils de).
Temps
(division du).
Transport (moyens de).
Vie (circonstances de Ville.
Voyage.
lil*^
la).
BJNnipyir:;
cm-r
m&y m
pj 92:
R3
Robarts Library DUE DATE: Jan. 9, 1996
Fines 50^^ per day For Touch Tone téléphone renewals call
971-2400 Hours:
Mon.
to Fri.
am to midnight am to 10 pm
8:30
Saturday 9