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r
'
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2010
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funding from
University of Toronto
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^
GRAMMAIRE COPTE
GRAMMAIRE COPTE avec
BIBLIOGRAPHIE
CHRESTOMATHIE
et
VOCABULAIRE
par
ALEXIS
WIALLON
S. J.
.Deuxième édition
PREFACE
L'étude de
la
langue copte en Europe date du 17" siècle. C'est
à cette époque que
le
célèbre jésuite allemand, Athanase Kircher,
par son Prodromus d'abord, puis par sa lingua aegypiiaca resiituta, révéla au et
de
monde
l'arabe,
ces religieux.
savant l'existence d'une langue, distincte du grec
employée par
crits fournirent bientôt
dans
les textes
Mais
l'oubli.
lumière
et,
les chrétiens
La découverte
mêmes
cette langue sortie
si
;
à fait inattendue.
la
pleine
la
Les études bibliques,
l'his-
géographie, l'archéologie ont cop-
la littérature
ne sont pas épuisées
n'a pas encore livré toutes ses richesses il
d'étudier
qu'elle devait paraître à
ecclésiastique et profane,
;
moyen
en manifestant des trésors jusque-là ignorés, acquérir
et ces ressources, semble-t-il,
mins
le
tard des ténèbres de
tour à tour bénéficié des ressources offertes par te
offi-
de nombreux manus-
aux patients chercheurs
c'est au 19" siècle
une importance tout toire
d'Egypte dans leurs
et la publication
en papyrus
et
;
l'Egypte
en parche-
ne se passe pas d'année sans que nous apprenions
la
dé-
couverte de quelque nouveau document.
Depuis Kircher,
les principales
grammaires publiées sont celles
de Tuki, de Peyron, de Schwartze, de Stem et de
deux premières temps
;
SteindorfF.
écrites en latin ont rendu des services
elles ont été
dépassées de beaucoup par
les autres,
Les
en leur
compo-
sées toutes trois en allemand. Celle de Schwartze en 18^0 marque déjà un progrès considérable; mais c'est Stern qui en 1H80 pcnè-
VI
de
tre et dévoile les secrets
la
langue copte. Le premier,
il
a le
mérite d'établir les vrais principes et de poser les règles fonda-
mentales de
la
grammaire avec une abondance de témoignages qui
en garantit l'exactitude
en assure
et
Stern étudie les
l'autorité.
deux dialectes sa'îdique et bohairique, Steindorff en 1894 s'attache surtout au sa'îdique. Sa grammaire, faite pour les écoles, suit une
méthode plus classique
pose les bases d'une partie nouvelle,
che
;
elle
phonétique copte, et cher-
la
autant que possible,
à rattacher,
des commençants
et plus à la portée
langue
la
mère, c.-à-d. le copte à l'égyptien proprement
à
/îlle
De
dit.
la
langue
cette
com-
paraison toute naturelle, jaillissent des lumières qui éclairent les
deux langues à
la fois
et permettent d'établir
visions plus logiques et plus
pour
le
copte des di-
conformes aux racines. La seconde
de
édition, parue en mars 1904, se distingue
la
première par une
disposition plus claire des matières et par quelques additions et
améliorations.
La présente grammaire française,
elle
a
est
;
première qui paraisse en langue
pour objet direct
donne de l'égyptien que ce qui du copte
la
dialecte bohairique et ne
le
est indispensable
pour l'intelligence
car elle s'adresse au débutant et ne suppose aucune
connaissance préalable de l'une
de
ni
l'autre langue.
avant tout à faciliter le travail de l'étudiant au
moyen de tableaux
synoptiques et d'une méthode claire et commode.
exemples sont
de l'Écriture Sainte
pris
teuquc (édition P. de Lagarde). J'en
de
MM.
La plupart des
en particulier du Pcnta-
et
tiré aussi
ai
Elle vise
des publications'
Francesco Rossi et Ignazio Guidi qui ont eu l'extrême
obligeance de
me
les
envoyer eux-mêmes
de leur en témoigner
mes remerciements
à
ici
toute
M. Maspcro
secours précieux de ses
ma
;
qu'il
gratitude.
me
à
M.
permis
J'adresse
qui a bien voulu
conseils et
soit
me
aussi
prêter le
Pierre Lacau qui a
vu eu
mon
bonté de revoir
la
lumières.
_,
/-.
.
ses
u
.
Beyrouth, 27 Octobre 1904.
Cette seconde édition est sensiblement re.
de
de m'aider
manuscrit et
la
même que
premiè-
la
Elle a bénéficié des corrections que des savants compétents
ont bien voulu m'indiquer. Pour éviter lectes, tout
ce qui concerne
dans un court abrégé de
la
confusion entre
la
le sa'îdique a été
les dia-
mis à part et réuni
morphologie. Le but de cet abrégé est
surtout d'offrir un point de comparaison entre les deux dialectes
peut aussi servir d'initiation à l'étude de
il
sans dire
la
langue du Sud.
Il
;
va
que cette étude devra se compléter dans l'excellente
grammaire copte de Steindorff (deuxième édition), tout entière consacrée au sa'idique.
Le moyen est
le plus pratique
de commencer par
la
paradigmes en traduisant thie, puis
parties.
ment, jà
de reprendre
Logiquement,
elle n'est
pour
utiliser la
présente grammaire
morphologie, de se familiariser avec les
premiers morceaux de
et d'approfondir la syntaxe
la
de
l'unité
La chrestomathie J'ai
gardé
la
le texte
dans toute
pratique-
a été
les règles,
mettre
grammaire.
la
augmentée d'un passage de l'Exode.
du manuscrit de Paris en donnant en note de Rome. Je dois
tes à l'obligeance
de M.
J.
la
Guidi qui
de collationner ma copie avec
Vaticanc. Qu'il veuille bien accepter gratitude.
;
Elle vient alors à point
langue.
variantes de celui
vail
des différentes
abordable d'une manière utile que lorsqu'on a dé-
pour synthétiser des notions éparses, généraliser et
chrestoma-
la
phonétique se place au début
une certaine connaissance de
de l'ordre
les
les
connaissance de ces varian-
s'est
imposé
le
pénible tra-
Bibliothèque
le
texte de
la
sincère expression de
la
ma
VIII
La bibliographie
avec soin et considérablement
a été revue
augmentée. La division par dialectes n'a été maintenue que pour l'Écriture Sainte. tante.
Au
D^ns
pour toutes
reste,
du dialecte se trouve dans
moyen des Qu'il
matières elle est moins impor-
les autres les
grandes publications, l'indication
le titre
même,
faite
au
mes remerciements, pour
les
me
permis
soit
E. Crum,
Lemm,
ici
d'adresser
H. Guérin,
Jos.
Seymour de
Ricci, E.
F. Nau,
Je dois
Chaine,
s.
elle a été
abréviations ordinaires.
précieux ouvrages qu'ils m'ont envoyés, à
W.
non
si
j.
une et à
Heyes,
reconnaissance
s.
Ernst Anderson,
H. Hyvernat, O. von
O. Winstedt. spéciale
toute
M. Edmond Ley,
MM.
j.
à
M. Marius
qui m'ont rendu
le
service de m'aider à corriger les épreuves.
Ore
place,
Hastings,
lo Avril 1907.
ALEXIS MALLON
>
-
o»
<
S.
J.
grand
1j
IX
TABLE DES MATIÈRES. Pages
GRAMMAIRE.
INTRODUCTION
:
la
langue copte.
Phonétique
I.
7-25
a.
Alphabet
b.
Valeur et prononciation des
8-1
lettres
^
1.
Consonnes
2.
Voyelles et diphtongues
Des
c.
7
10 11-16
syllabes
Des syllabes en elles-mêmes Des syllabes dans les mots Nature et quantité de la voyelle formative
I.
II.
III.
12 12 et des
14 14
voyelles auxiliaires 1.
2.
Voyelle formative Voyelles auxiliaires
Changements de
d.
!•">
16-20
lettres.
16-18 16 17
Consonnes î. Chute de consonnes finales 2. Changements de consonnes
1.
Sous l'influence d'une consonne qui précède. Sous l'influence d'une lettre qui suit.
1.
Des I.
II.
trois états et
Importance
Morphologie et syntaxe.
/.
Articles
Chap.
I.
el
De
l'article
Formes Article défini Article indéfini Syntaxe do l'article
I.
I.
11.
20 21 22-2
pronoms.
II. 1).
18 19 20-22
•
2.
a.
.
des trois formes
Définitions
Abréviations usuelles
f.
.
....
2. e.
18-20
Voyelles
II.
Kmploi de
l'article
Suppression de l'article
24-30
24-26 24 25 26-29 26 28
1
X Pages
Pronoms personnels Pronoms afiîxes IL Pronoms absolus III. Génitif et accusatif du pronom personnel.
Chap.
30-36
II.
30
I.
i
.
...
IV. Autres formes personnelles
Chap. I.
II.
III.
Adjectifs et
pronoms
36-42
possessifs
36 39
Adjectifs poesessifs Pronoms possessifs
Chap, IV. Adjectifs et pronoms démonstratifs. I. Pour les objets rapprochés II. Pour les objets éloignés
Pronom relatif. Chap. V. I. Pronoms
.
.
Pronoms
42-45
42 43
44
III.
II.
31 32 33
interrogatifs
•.
.
..:.....
indéfinis.
4^-47 47-5
Nom.
//.
Chap. VI. Formation, genre Formation
I.
et
et
nombre des noms.
genre
Noms Noms Noms
Chap. VII. Relations des noms entr'eux I.
Apposition
Chap. VIII. Des adjectifs en particulier Formation. IL Place (le l'adjectif. III. Accord de l'arljeetif. IV. La comparaison a. Comparatif. I.
b.
I.
Superlatif.
De
la
numération.
1.
Nombres cardinaux
2.
Noml»r(!S distributifs.
.').
.Nombres ordinaux
///.
69-74 69 71 72 73-74 73 74 74-82
Les nombres
74-80 75 7S 78 79 80-82
.
Nombres fractionnairos Notation du temps
4. II.
65-69
65 67
IL Annexion
Chaq. IX.
52-65
52-61 52 53 54 61-65 61 63
primitifs dérivés 3. compo.sé3 II. Pluriel des noms 1. Pluriels masculins 2. Pluriels féminins 1.
2.
.
Verbe.
Chap. X. Des verbes en eux-mêmes.
......
83
XI Pages Formes des verbes
I.
a. Infinitif.
Qualificatif.
b.
IL Classification des verbes a. Verbes simples 1*. Verbes de 2 radicales. 2. Verbes à seconde radicale géminée 3. Verbes de 3 radicales 4. Verbes à 3* radicale faible 5. Verbes de 4 et de 5 radicales 6. Verbes à 3^ radicale géminée et à 4* faible. .
•
.
.
.
Verbes causatifs
b.
1.
2.
Formés de C Formés de T.
96
....
97 99-101
•
Verbes composés
c.
ep
1.
de
2.
de "j^:
3.
d'autres verbes
99
...
lOO
100
Chap; XI: Conjugaison du verbe
101-1^4
102-105 105-144 105
Tableau synoptique de la conjugaison Syntaxe et explications Les auxiliaires 1.
2.
107
Indicatif.
I.
107-112
Présent
a.
Premier présent ilc
"?
Futur
c.
Imparfait Parfait
d.
J(c.
e.
1.
•
.
.
l^-^
Premier parfait Deuxième parfait
11'
116-117
'lemps composés
....
Avec Jie;
;
:
Infinitif. i*oriii(.'S.
Emploi do
:
:
116
116
117-121 121 1^2 123-129
Subjonctif. III. Optatif. IV. Impératif.
2.
.
•...:.
^. Avec e
1.
107 108 108 109
110-112 112 113-116
*
II.
Y.
.
Second présent Troisième présent Présent d'habitude
b.
83-87 83 86 87-100 87-96 88 90 90 93 94 95 96-99
'*-•*
l'infinitif.
Infinitif sujet Infinitif
com])lément
VI. Substantif verbal
•
125 '25 126 129-135
XII
Pages Formation
1.
2.
Syntaxe. a. Substantif verbal avec la forme de
VII. Passif du verbe VIII. Complément direct
A A A
1.
2.
l'infinitif simple.
l^O-ip
TLSSl
Substantif verbal a V6C
b.
135 136-144 136 137 138
•
du verbe
l'état absolu l'état construit
l'état pronominal Verbes employés dans le sens réfléchi a. Verbes transitifs b. Verbes intran.?itifs 5. Remarques sur quelques verbes
3.
141 141 142 142
4.
Chap. XII. Ancienne conjugaison. I.
144-155
.
145 146 148
Les quatre verbes adjectifs 1. Conjugaison
2. Relatifs et participes.
.
Verbes personnels 116X6.
II.
.
.
•
6^116
149
150-155
Verbes impersonnels
III.
I.
OVOJl, JULULOJt.
150
^ 0Y6T, Caj6
154
2 et
IV.
Particules.
Chap. XIII. Prépositions
155-163
Prépositions simples Prépositions composées Prépositions grecques.
I.
II.
III.
155 161 163
,
Chap. XIV. Adverbes 1.
2. 3.
De temps et de De manière De situation
Chap.
XV.
Des
V.
164-166
164 164 163-165
lieu
Conjonctions
167-172
propositions.
Cbap. XVI. Proposition verbale
172-177
Ordre des éléments
I.
172 173 174 176
Prolep.io
II.
1.
Sans particule
2.
Avec! particules
Accord
III.
129 130 130
Ch:ip. I.
II.
lie.s
éléments
177
XVII. Proposition nominale
Proposition nominale
178-184
178
.-simple.
Proposition nominale avec
116
T6
J16.
.
.
.
179
XIII
Pages in. Proposition nominale avec
6
184 184
IV. Proposition nominale négative
Chap. XVIII, Union des propositions
entr'elles.
Chap. XIX. Proposition interrogative
Par
.
.
185-187
187-190
187 187 189 190
ton de la voix 2. Au moyen d'adverbes 3. Double interrogation 4. Interrogation indirecte 1.
Chap.
le
XX.
Proposition relative
1.
Indicatif présent
2.
Futur
'
3. Parfait 4. Imparfait. 5.
191-196
Proposition relative négative
Chap. XXI. Proposition conditionnelle
192 193 194 195 195
196-200,
1.
Sans conjonction
197
2.
Avec ty^Jl
198
3.
Avec ecycun
198
4.
Avec ecyojn
B.
Avec JCSte
et çy<x.Jt
199
Chap. XXII. Proposition temporelle 1.
Sans conjonction
2.
Avec JCZieJl
199
200-203
200 20I
3. Avec des conjonctions grecques
202 204-223
Tableau des Verbes
224
Liste des abréviations.
Chiffres cursifs.
Abrégé de
la
grammaire
sa' îdique
Petit exercice
BIBLIOGRAPHIE.
CHRESTOMATHIE. Vocabulaire sa'îdique.
VOCABULAIRE BOHAIRIQUE. Liste des textes.
22^-236 237-243
XIV
Abréviations
Conventionnelles.
Ausgewâhlte Bemerkungen
AB.
iiber
den bohairischen
Dialect im Pentateuch koptisch. (Bibliographie VI),
The
AC.
Apostolical Constitutions or canons of the Apos-
tels in coptic. (Bibl. VII).
AM.
Actes des martyrs, Hyvernat. (Bibl. XI).
Br.
Bréviaire copte,
C.
Catenae in Evangelia, P. de hagarde. (Bibl. V).
D.
Vie
EM.
S.
Fr. R.
Francesco Rossi, Cinque Manoscritti. (Bibl. VI,
G.
The martyrdom and
et récits
Tuki
(Bibl. VII).
de l'abbé Daniel, Guidi.
Michael the Archangel, Budge.
miracles of S.
(Bibl. XI).
(Bibl. XI). 4).
George of Cappa-
docia, Budge. (Bibl. XI).
HM.
Histoire des monastères de
la
Basse-Egypte, Améli-
neau. (Bibl. XI). Isaac.
Histoire du Patriarche Isaac, Amélineau. (Bibl. XI).
IT.
The martyrdom
of
Isajic
of Tiphre, Budge.
(Bibl.
XI).
Kef.
Un Évêque de
Lam.
Lamentations de Jérémie, Tatiam.
MS.
Mémoires présentés par divers Savants
Keft au VII' siècle, Amélineau. (Bibl.
XI).
à
l'Académie
des Inscriptions et Belles-Lettres, T* série, VIII, 2" partie. re sur les
Blemmyes par
Rev'dloui.
Ord.
Ordinal, Tuki. (Bibl. VII).
Rit.
Rituel, Tuki. (Bibl. VII).
Mémoi-
XV Test.
Il
testo copto del
Testamento
di
Abramo,
(Bibl. XI).
Th. Théot.
Théotokies, Tuki. (Bibl. VII).
Z.
Zoega, Catalogue.
ZDPV.
Zeitschrift des
(Bibl. IV).
deutchen Palestina Verein.
Les auires abréviations sont suffisamment connues.
(-ss-<ï2(S'ÎXî>-.
etc.
Guidi.
GRAMMAIRE. INTRODUCTION LA LANGUE COPTE.
Origine.
I.
La langue copte
que
n'est autre
la
langue égyp-
tienne dans sa dernière période.
L'égyptien a été parlé, dans qui échappe à l'histoire.
la
du
vallée
Nil, depuis
une époque
Les plus anciens documents
subsistent encore peuvent dater de
Durant cette longue période,
la
qui
écrits
4000 ans avant Jésus-Christ.
langue a subi plusieurs transforma-
tions et considérablement évolué.
Le copte
est le dernier stade
de
cette évolution.
Commençant avec jusqu'à
fleurit
époque,
la
elle fut
le
Christianisme en Egypte,
conquête musulmane
(
7' siècle
Le copte
langue copte partir
et cessa
de cette complè-
le 17' siècle.
Elle est aujourd'hui encore employée dans
littérature
A
).
peu à peu supplantée par l'arabe
tement d'être parlée vers
la
a été écrit au moins dès le
en majeure partie biblique
3°
la liturgie.
siècle,
il
possède une
et ecclésiastique
;
les
textes
purement profanes sont relativement peu nombreux. II, sortes
Alphabet.
de caractères
L*égyption proprement :
les hiéroglyphes, écriture
dit
employait trois
monumentale
;
les
Introduction.
2
caractères hiératiques, écriture cursive des papyrus, déjà en usage
dans l'Ancien Empire cursive encore de
Le copte
'
Basse-Epoque
la
démotiques, écriture plus
les caractères
;
s'écrit au
*.
moyen de
sept caractères démotiques.
l'alphabet grec
Ce changement
augmenté de
d'alphabet eut pour
cause, d'un côté l'extrême complication où était tombée l'écriture
démotique, de l'autre
de
la
la
grande
facilité
que présentait l'alphabet
langue grecque, alors très répandue, au moins parmi les gens
instruits,
III.
dans
la
vallée
On
Dialectes.
lectes qui sont
du
Nil.
connaît actuellement du copte cinq dia-
:
Le Bohairique (de
1.
l'arabe «jjscJl la Basse-Egypte),
Memphitique.
autrefois à tort
Il
parlé dans le Delta
était
nommé ;
mais,
grâce à l'influence du patriarcat qui d'Alexandrie se transporta au Caire, au onzième siècle,
d'Egypte et seul Abréviation
1
)
Thébain
«
la
langue
;
^
(de l'arabe
ce fut
»,
Hiératique
la
x^\
langue de
la
la
de l'Eglise
plus tard
et
de
de Izpôç sacré et y^U^pw je grave, signifie carac»
dérive de ispaTtxoç sacerdotal
prêtres. Enfin l'écriture « démotique le
Haute-Egypte), appelé
Thébaïde
criture a été ainsi appelé parce qu'à l'origine
en visage dans
officielle
(dans les livres anciens M).
Hiéroglyphe
tère sacré. «
devint
s'est conservé jusqu'à nos jours dans la liturgie.
Le Sa'idique
2.
aussi
B
il
il
»,
il
était
; ce genre d'éemployé par les
de BY)[JiOTtx6ç populaire, était
peuple à l'époque gréco-romaine
elle servait surtout à rédiger les contrats et les lettres. C'est pourquoi les Grecs lui donnèrent lo nom d'écriture ép'istoioqraphtque.
2) Lo mot
« co|)te »
vient
de l'arabe
^>
;
;
celui-ci
n'est
lui-même
qu'une corruption du grec aîyjICTlo;, avec chute de la terminaison de la première syllabe. 3) Ce mot est généralement écrit Sahidique.
et
Introduction.
toute
la
Haute-Egypte. Abréviation S (anciennement T).
3.
L'Akhmimique
4.
Le Fayoumique, employé dans
(A),
idiome spécial au nome d'Akhmim.
Baschmourique. Abréviation 5.
Le Memphitique (M),
remplacé plus tard par
De
3
le
F
Fayoum, nommé d'abord
le
(anciennement B).
parlé dans
province de Memphis et
la
Bohairique.
ces cinq dialectes le Bohairique et
Dans
le
Sa'îdique sont les deux
deux plus riches en documents.
plus importants et les
cette grammaire nous étudierons spécialement le dialecte
bohairique
;
nous donnerons à
ques les plus importantes.
la fin
un tableau des formes
Nous indiquerons dans
différences des autres dialectes.
les principales
que pour apprendre
la
langue copte
est.
de se
la
sa'îdi-
chrestomathie
La méthode
prati-
familiariser d'abord
avec un dialecte et d'aborder ensuite l'étude des autres en les
comparant avec celui qu'on connaît déjà.
Un
IV. Mots étrangers. sont entrés dans
la
grand nombre de mots grecs
langue copte, et cela parce que
la
plupart des
ouvrages coptes ont été traduits du grec. L'adoption des mots était d'autant plus facile qu'on avait déjà adopté l'alphabet.
En
outre, les Coptes ne trouvaient pas toujours dans leur langue
nationale les termes propres pour exprimer les nouvelles idées ap-
portées par
le
Christianisme
choses saintes en
les
;
même
ou
ils
auraient cru profaner les
appelant de noms qui pour eux ne signifiaient
rien de sacré. Ainsi, bien qu'ils eussent le prit »,
ils
préférèrent admettre
le
mot JIJCJJ
signifiant « souffle, es-
mot grec nJieVlliî- pour désigner
le Saint-Esprit.
Si l'on
considère de plus que
du Christianisme,
fort
le
grec
était,
répandu en Egypte, que
aux premiers siècles la liturgie s'est
temps célébrée en grec, on s'expliquera facilement
les
long-
nombreux
4
Introduction.
emprunts
faits
à la langue dont se servit Saint
Marc pour annon-
cer l'Evangile aux Egyptiens.
Ces mots grecs copte.
Ils
sont dans la langue copte sans être de
la
langue
sont généralement au nominatif et restent invariables
peuvent recevoir les préfixes coptes », it J-^ï^
nj-^i:^ JOC « le saint
;
ils
:
JOC
Jieç[-^i:^JOC
« les saints »,
« ses saints ».
y a aussi en copte quelques rares mots
Il
bles
npeT4Î.
:
= praeda
« courrier d'Etat
«
proie
»,
SepeT^J-pjOC
V. Grammairiens anciens. Au
que
on ne com-
nationale.
C'est
mirent à composer des grammaires et des
les savants se
Ils
appelèrent
et le vocabulaire échelle (scala)
noms
ii' siècle,
Egypte l'ancienne langue
vocabulaires copte-arabes.
les
= veredarius
».
prenait presque plus en alors
latins qui sont invaria-
la
Jl.\ Voici
grammaire préface la liste
et les ouvrages sont parvenus jusqu'à
AMBA ATHANASIOS,
i«juu
des auteurs dont
nous
:
évêquede Qous ôj- ^L.\^_^^l:î| Ul
^y (il® siècle), auteur d'une grammaire copte-arabe pour les deux dialectes sa'îdique et bohairique
AMBA YOHANNA, ijL^^ (vers 1230), auteur
due
autrefois en
tient tous les
tique, mais
plutôt
1.
Egypte
mots des
comme
ils
;
;
elle a
pour
titre
J
^,j>e.'^
«i^
évêque de Sama:inoud ^i-1 L.^ji L\ :
i.
2.
d'une préface bohairique, très répan-
d'un vocabulaire copte-arabe qui con-
livres liturgiques,
non dans l'ordre alphabé-
se présentent dans ces livres
;
c'est
donc
une sorte de version qu'un lexique. Ces deux ouvrages
Cea mots ôtuiont déjà deiiuis longtemps employés par les Arabes
k peu près diins
le uiôine sous.
Introduction.
5
composés en bohairique par l'auteur ont été adaptés au
ABOUL-FARAG IBN AL-'ASSAL
jLj)
sa'îdique.
r^iH ^1 auteur
o-.i
d'une préface bohairique.
ABOU ISHAQ
IBN AL-'ASSAL
jLn
o-J
3^\ y\
précédent, auteur d'un important vocabulaire intitulé et l'or purifié
Ji^l w*JJlj
JUl
Jiill
.
Cette scala
le frère
l'échelle rimée
suit à la fois l'or-
dre alphabétique et l'ordre des rimes. Dans son introduction, teur il
fait
l'éloge
de
la
scala
trouve, et à bon droit, qu'elle est
ordre nouveau
;
l'au-
d'Amba Yohanna de Samannoud, mais incommode
peu
et
C'est pour remédier à cet inconvénient qu'il établit
un
du
d'ailleurs
la
praticable.
sienne dans
se limite aussi aux livres
il
litur-
giques.
Ces deux
écrivains sont
IBN KATIB
du milieu du
QAISAR^
face intitulée la contemplation
1
3® siècle.
('250), auteur d'une pré-
v-^'K^Cr.l
!_y-<»Jl
AL-WAGIH AL-QALIOUBI J_^l
<^jll (1250), auteur
d'une
préface qui a pour titre la suffisance <\jSf\
IBN AD-DOHAIRI copte-arabe. lui fit
Dans son
iSj^^\
(1250), auteur d'une préface
ù-}
introduction
il
dit
qu'Abou Ishâq Ibn
prendre connaissance de sa scala rimée et
les préfaces
qu'il
lui
al-'Assâl
montra
d'ibn KâtibQaisar et d'al-Qalioubi. Ibn ad-Dohaîrt n'eut
pas de peine à reconnaître que ces deux derniers auteurs avaient pris
pour base de leur
mannoud. C'est pour
travail la les
grammaire d'Amba Yohanna de Sa-
compléter et
les
perfectionner qu'il com-
posa lui-môme une nouvelle préface.
ABOU CHAKIR de l'Eglise de 1260).
On
a
la
de
IBM AR-RAHEB ^\J\
Cr.\
y\ diacre
Sainte Vierge d'al-Mu'allaqa au Vieux-Caire, (vers lui
une longue préface copte-arabe.
ABOUL-BARAKAT CHAMS AR-RI'ASAT
j^ CrM
f^
^Jyi^\ *-^*JI
(vers
i
joo), auteur d'un
^^ ^^j^\
y\
grand vocabulaire
Introduction.
6
copte-arabe intitulé
De
»-^>ull
AJ\
l'échelle
impromsée.
tous ces ouvrages, quatre ont été publiés par Kircher, Lin-
gua aegyptiaca
restituta; c'est la préface
na de Samannoud,
la
Qaisar, le vocabulaire d'Aboul-barakât
d'Abou Ishâq ibn
bohairique
d'Amba Yohan-
préface, également bohairique,
al-'Assâl.
Chams
Les autres sont
d'Ibn Kâtib
ar-Ri'âsat et celui
inédits.
1.
PHONETIQUE.
A.
ALPHABET.
L'alphabet copte comprend les vingt-quatre lettres de l'alpha-
bet grec, plus sept lettres égyptiennes.
Forme
Alphabet. Consonnes.
8
Les sept dernières
lettres sont
des caractères démotiques qui
dérivent eux-mêmes des hiéroglyphes
Les
lettres I?
Lorsque
^
et
de Kc,
tion
2^.
Ç
ne sont employées que dans
ne ^o^ce>v :
Quelquefois aussi
K^^
par ex.
mot copte,
font partie d'un
"^îf
:
= Kco>vce>^, ^ <^ ^
lettres
les
OeWLCO
ils
= T^eJULCO.
mots grecs
les
sont
*.
une contrac-
= nCiS.j.
-^1,1
Tg^
remplacent
11^^
Mais généralement ce sont
des lettres simples en bohairique.
Les
lettres
en arabe
^
— et
J
et
OT
semi-consonnes y
les
dernier cas, on les appelle aussi,
comme en
(c5),
w
(
Les consonnes coptes peuvent se diviser en
S H
1.
Labiales
2.
Dentales
3.
Gutturales
On peut
Dans ce
Consonnes.
L
1.
j).
arabe, lettres faibles.
VALEUR ET PRONONCIATION DES LETTRES.
B.
cette
comme
peuvent être de simples voyelles
— ou bien
e
citer
^
K
X
;
comme
pour renées.;
K^TvH,
;
C.
5.
Palatales
Liquides ?\
p
;
Al
Jt..
^ &• exception «Î.I5ÇU
orthographe est rare,
ont confondu plusieurs
4.
Cf.
T, "^
:
^1L^.
le
fois
mot I!^
et
s'écrit
K,
cf.
« pei'te »,
plutôt
Lèv. 5, 22. Mais
iKU3. Les Coptes
KeJie<î.,
Nomh.
15,
Lév. 11, 28, pour U«X-?\H. AB. 100.
14,.
Consonnes.
9
Les consonnes aspirables sont Fortes
S
prononcent parfois
OV
X
^
aspirées
;
Labiales.
1. le
n KT
:
^•
se prononce actuellement v
OV et
S remplace
pour cette raison que
c'est
dans plusieurs mots. Ainsi
OVOJt JljSejt
Coptes
les
;
s'écrit aussi
SOH
jtjSeJt.
On
ne met aucune différence de prononciation entre
T remplace
2. Dentales. lins
le
d
^
et
Cf.
des quelques mots
fort
la-
employés en copte.
Ex
:
npeTiî,
Le Coptes de
^
= praeda la
de
J
on
T
Haute-Egypte donnent au
se prononce toujours
est suivi
= veredarius.
SepeTiî.pJOC
;
ti
écrit parfois
{di
son
le
en Haute-Egypte)
"^ pour TJ. Ex
;
d.
et lorsque
"i^llH
T
= TJAIH
« prix ».
se prononce à
C
manière du grec moderne.
la
a toujours le son
doux
^
3. Gutturales. par ex.
[X^pOVSjJUL de ;
s.
se prononce sch dans quelques mots, vient peut-être
là
la
graphie
He^^P
du mot ixecyjp.
K
est toujours fort.
è a exactement
la
4. Palatales.
valeur du
arabe f-
Actuellement,
celle
du
o.
Coptes ne mettent aucune
les
différence de prononciation entre jy et
^,
;
O
;
ces deux lettres
aussi
sont-elles souvent écrites l'une pour l'autre. Il
teurs 2Î.
est probable lui
attribuent
= dj
;
que la
se prononçait autrefois
valeur
g
g
le traitent
dur.
Les liquides ont en copte
Quelques au-
dur.
cependant quelques Coptes
et le prononcent
tsch.
la
valeur habituelle.
comme
r-
arabe
10
Voyelles et diphtongues.
9
II
y a en copte sept voyelles trois
brèves
et
une qui peut
:
cyHpj
Aujourd'hui schphèr, tantôt
se
)),
/:
ptWJULJ «
H
:
J est bref à la fin
cynpe)
(S.
H
;
=
homme
»
J.
des mots
juljcj
;
a celle
comme
è
de
(S.
6) et long à
l'in-
JULJce).
(S.
schlil; CM a la
O
OT
03
se prononce tantôt
cy7\H7^
O
6
«î.
:
ou brève
être longue
Généralement térieur
:
longues
trois
DIPHTONGUES.
ET
VOYELLES
2.
valeur de ô
o
:
COit
ty<^Hp
dans :
^CWS
«
=
cho-
COJtJ
« frère »,
« voleur ».
Pour 10
les voyelles
Le copte
V
HJ
OJ
6 sont terminées par
OVJ
«3J
J et 2 par
GV.
4S.V
;
eXCWJ
sur moi,
ep^ej
temple,
TOOVJ
matin,
JULHjpj
faisceau,
(^7\^.V^
pieds,
KOJ
champ,
JUieVJ
pensée.
Dans
toutes ces diphtongues, le second élément J
semi-consonne y
Les groupes
{iS),
w
(
j
ShOTT
<(
purifié »,
CJOV
«JOV
e^OOT
<(
OTOV JOV plutôt
est
une
jour
»,
doivent être consi-
qu'une diphtongue
«30V
« gloire »,
:
TOV-
JIOTOV
« étoile ».
Les Coptes ont toujours prononcé leur langue suivant
V
).
HOT OOT
comme formant deux syllabes
« les leurs », 1 i
mots, voir 13-21.
fête,
ciJiS-J
dérés
les
a 8 diphtongues dont
ej
<X.J
:
dans
la
les
mats grecs introduits dans
prononciation dite romaïque ou moderne.
Cette prononciation a étendu son influence jusque sur l'orthographe
:
on
a écrit
comme on prononçait;
la
plupart des diphtongues
Voyelles des mots grecs. Syllabes.
11
ont disparu et ont été remplacées par des voyelles simples.
En conséquence de ce
^J
ej
H
:
KG
se prononce et s'écrit 6, par ex.
pour 2i.JK^J0C
actifs
principe
et tous les infinitifs passifs
pour :
K<Î.J,
2s.JKeOC
l/^^.plZ,eCBe pour
se prononce et s'écrit souvent J, par ex. tous les
infinitifs
i5.rJ<X.ÇJJt pour «X.UJ4Î.IÇejn.
:
et
OJ
se prononcent aussi
rentes de représenter
son
le
/
J.
Il
y a donc cinq manières diffé-
eJ OJ
:
H
J
V, d'où
il
est résulté
l'inconvénient que ces lettres ont été souvent remplacées les unes
par les autres dans l'écriture.
Au commencement l'esprit
doux ou
Ceci a
lieu surtout
écrite
:
^Jni.
des mots grecs,
pour
la
/,
de quelque manière qu'elle
soit
sîpYJvYi.
DES SYLLABES.
C.
labes,
voyelle
= tva, ^jpHJlH =
la
qu'elles aient
rude, prennent souvent l'aspirée douce ^.
l'esprit
Remarque. Dans
les voyelles,
phonétique en général et
on peut considérer
le
la
théorie des syl-
copte en lui-même ou bien dans ses rap-
ports avec l'égyptien. Cette
seconde méthode
serait sans
doute
fé-
conde et instructive, mais elle exigerait des développements qui sortent
du cadre de ce manuel. Elle supposerait en outre que
la
phonétique égyptienne est établie sur des principes certains et fixée par des règles précises.
que
est
férable
Or
il
n'en est rien. La science égyptologi-
encore bien hésitante à ce
de nous
limiter à l'étude
sujet.
Il
nous semble donc pré-
du copte en lui-môme. Nous trait
aux rapports
du copte. Ces considérations semblent
être admises
querons cependant quelques considérations ayant
de l'égyptien
et
indi-
Syllabes. Accent tonique.
12
par tous les Egyptologues et sont nécessaires pour l'intelligence la
de
morphologie copte.
Des syllabes en
I,
12
11
y a en copte deux espèces de syllabes
la syllabe
<(
boire
», 11<X.
CO A-ce A Il
syllabe ouverte et
est celle qui est terminée par
«
CU5-Jt J «
« lieu »,
celle qui est terminée par
re »
la
:
fermée.
La syllabe ouverte CCO
elles-mêmes.
consoler
sœur
une consonne
:
»
;
COII
la
une voyelle
:
syllabe fermée,
« fois »,
ep
« fai-
».
peut y avoir en copte des syllabes ouvertes qui en égyptien
étaient fermées,
ou inversement, des syllabes fermées qui en égyp-
tien étaient ouvertes. Elles seront considérées telles qu'elles sont
en copte.
Des syllabes dans
II.
les mots.
Accent tonique. Parmi
13 lui
donne
les voyelles
sa
même
d'un
forme particulière
l'appellerons voyelle formative
pOJJULJ veille »,
mot,
et
il
en est une principale qui
reçoit l'accent tonique,
nous
-.
«homme», cb>^ce?\ «consoler», (y<^kpj «mer-
Jiovf
«
Dieu
marquée de l'accent
est
».
la
Dans chacun de ces mots,
la
voyelle
voyelle formative.
L'accent tonique est toujours à
la
dernière ou à l'avant-derniè-
re syllabe.
Les autres voyelles du mot ne sont pas accentuées s'affaiblissent et
tendent à disparaître ou à passer à
les furtives, destinées à faciliter la prononciation.
voyelles auxiliaires.
aussi
;
l'état
Nous
elles
de voyel-
les
appelons
Accent tonique.
Prenons pour exemple
JlOV^
mot
le
113
Dieu
«
»
il
;
en
avait
égyptien trois radicales ntr distribuées en deux syllabes noû-iir
La première
reçoit l'accent tonique et contient
mative qui pour ce mot est ou,
seconde
la
est
autres consonnes et d'une voyelle auxiliaire
copte
i
donc
voyelle for-
la
composée des deux r final a
;
disparu en
(§ 2i).
L'accent tonique n'est pas nécessairement attaché à syllabe place.
*.
lorsque
;
Dans ce
mot augmente d'une
le
cas
la
syllabe,
la
même
14
peut changer de
il
voyelle formative change avec
lui et est
rem-
placée par une voyelle auxiliaire. 1.
Dans un mot de deux
l'accent passe à
change pas
epJULH 2.
deuxième syllabe
était déjà sur la
s'il
c6>v-ce>v Jie-JUL^K
la
syllabes qui devient trissyllabique,
consoler
((
avec
«
»,
toi »,
était sur la
seconde
Dans un monosyllabe
((
larmes
qui
première et ne
:
Ce>\-Ca5-7\OT
Jie-JULUU-Ten
epjULtUOTJ
pi.
s'il
«
« les consoler «.
avec vous
».
».
augmente d'une
syllabe,
l'accent
tonique ne change généralement pas de place. Seuls quelques pluriels font
exception à cette règle
CÔJt
«
^WS De même pendant
les
frère »
pi.
«chose» que
:
CJtHOT.
pi.
les syllabes
^ShOTJ. d'un
même
mot, plusieurs mots dé-
uns des autres peuvent se grouper sous un seul accent
tonique. Celui-ci porte toujours sur le dernier
1.
Ici encoi'e, il
noutlr n'est pas la
pour la
;
les
importe de noter que la prononciation égyptienne
du tout certaine. D'ailleurs
il
faudrait la restreindi'e
îV
J10TT6 fait supposer la prononciaHaute-Egypte. La même remarque s'applique aux
Basse-Egypte, car
tion nouter
mot du groupe
le
Sa'idique
autres mots égyptiens cités plus loin (§§ 21-28).
15
14
Voyelle format! ve.
donc leur voyelle formative qui
autres perdent
une voyelle
X1H&
auxiliaire «
maître
»,
mais
iieS-HJ
l
^Çf-COJJIT
(
^q-cenT-nj-pOîJULJ
il
remplacée par
« maître
de maison
»
;
a créé,
4Î,Ç[-CÔ>vCe>\
il
il
a créé
l'homme
;
a consolé,
^Ç[-Ce?SCe>\-neç[-c6jï
III.
est
:
il
a consolé son frère.
Nature et quantité de la voyelle formative ET des voyelles AUXILIAIRES. Voyelle formalwe.
/.
16
En
règle générale
la
voyelle formative est longue dans les syl-
labes ouvertes et brève dans les syllabes fermées
COî-TeJUL
<(
entendre
»,
$yH-pj
« fils »
;
:
p^Jt
«
nom
»,
cb?\-
ce\ Cette règle souffre beaucoup d'exceptions s'expliquer par disparition
la
;
peuvent
celles-ci
chute d'anciennes terminaisons égyptiennes ou
de certaines consonnes, ce qui
a fait
changer
la
la
nature
des syllabes (§§ 12, 21, 22).
A
considérer
les
mots en eux-mêmes, on reconnaît que
la
pho-
nétique copte admet aussi bien une voyelle longue qu'une voyelle
brève dans une syllabe fermée foule
Jteq
matelot,
tytyHJt
arbre,
^^.^
peau,
SOîA
délier,
25:011
force,
et aussi bien
ouverte
:
JULHOJ
une voyelle brève qu'une longue dans une syllabe
:
f^e
ciel,
($H
coing,
po
porte,
SCU
arbre.
Voyelles auxiliaires.
15
La règle trouve surtout son
application dans la suffixation
Dans ce
règle générale
Une
1.
en vertu de
cas,
en
05 et
iî-,
(Tj-CJ
OV
en O. l.q-(^ l^C-Ten
<J.
il
iLq-2S:ÔK-lie
laver,
JULOT-JIK fabriquer iX.q-JLl6jl-KÇ[
quand
il
il
nous a exaltés l'a
lavé
;
;
fabriqué.
l'a
Réciproquement une voyelle brève se change en longue dans une syllabe ouverte
elle entre
en «3,
O
toi,
En
:
Jte-JULÔ3-TeJl
e-p05-TeJUL
vers toi,
Voyelles
2.
1.
I8
en 03 ou en OV.
ne-JUL^K avec
e-pOK
i7
:
exalter,
2t63-KeJUL
2.
(57).
:
voyelle longue se change en brève quand elle entre
dans une syllabe fermée J
la
avec vous
;
vers vous.
auxiliaires.
règle générale, les voyelles auxiliaires, qu'elles
soient
^9
dans une syllabe ouverte ou fermée, sont, 6 à l'intérieur des mots, J (S. e) à la fin
:
<X.Ç[-Ce>\Ce>\-neç[-CÔJl pOîJULJ,
L'e
C^jULJ
auxiliaire se
«
femme
<(
»,
change en
cas qu'on verra plus loin (210)
l.q-m.^eïX-ennor 2.
En
lement pas
«
il
il
a consolé son frère
COîJtJ « sœur
i devant ^ et
commencent
elle est
par
dans quelques autres
vous a délivrés
».
G ne
s'écrit généra-
indiquée par un accent grave dans
JUL JI
les
mots qui
:
= eiJLKiS.^ h^OT = eJt^OT
JULKiS.^
».
:
tète des mots, la voyelle auxiliaire ;
».
«
douleur
»,
« Ctre fidèle ».
On
trouve souvent aussi ces mots écrits avec
Te
initial,
surtout
20
Chute de consonnes
16
forment
lorsqu'ils
la
seconde partie d'un mot composé
^TeJULK^^
Sa'îdique
u sans
la
indiquée
:
Consonnes. finales.
dans un mot égyptien a généralement disparu en copte.
Les mots terminés en la finale
O
ir
ou
ceux
er présentent la finale J (S. 6), et
:
JlOTqj
ég. noàfir,
çytunj
ég. hôpir,
CA^OVJ La
fidèle ».
est le plus souvent
Chute de consonnes
1.
en or
;
ilK^^, h^OT.
I.
r final
:
CHANGEMENTS DE LETTRES.
D.
1.
6
voyelle auxiliaire
par un trait horizontal
21
douleur »
eTeJt^OT (d'homme
njpOJJULJ
En
finales.
ég.
sohmr,
pronoms
ég. hqor, ég. hor.
suffixes, féminin)
JlOqpj
JIOTÇJJ «utile»
ég. htor,
lorsque le mot s'augmente d'une
lettre radicale r reparaît
ttsrminaison (pluriel,
^eo ^KO ^O
((Utilité»
:
(en ég. c'était le fémi-
nin);
Ciî.^OVJ
^eO ^KO ^O
«
«
cheval
« avoir
« face »,
De même 6 22
2.
t
te après
dans
maudire
final
»,
», pi.
faim
^Çf-C^OTtwp-q
^Otup
^P<^^
il
l'a
maudit
»
;
;
», qualitatif (199),
« sa face
(ég. er) « à »,
(c
epotf
^OKep
;
».
((
à
lui ».
dans un mot égyptien est généralement tombé en cop-
une voyelle
auxiliaire.
les polysyllabes,
pcU^J
((
Le mot copte
en 6 dans
les
laver » ég. rôhil
;
se termine en J
monosyllabes
^G
:
« ciel » ég. pcl.
(S.
6)
Changements de consonnes. Régulièrement a disparu singulier
du fém.
et
(//)
C«3JIJ
)
ég. nôfrit,
pOJUinj
ég. rônpit,
ég. hîmit,
ég. pëmt, pluriel de
nKT
X
^
^
^6
« ciel ».
Changements de consonnes.
consonnes
fortes
O'ï', les trois
S A
JUL Jt
se changent
p et en
les
leurs
semi-consonnés
J
23
aspirées corres-
"
=
+ pK eJll.<î.T « la mère » =r T article + Al^^V ^OT^.Sl « tu es saint » = K + GT^S. <^pH
du féminin
JlOÇfpj
^HOTJ
les
terminaison
la
:
C^JJULJ
Devant
pondantes
de
t
*
ég. sénit,
2.
1.
aussi le
pluriel [wit
17
« le soleil »
H
article
;
;
Cette règle souffre beaucoup d'exceptions surtout en ce qui
concerne
Dans
^
mêmes
les
OSlOn
nés p k
t,
cas 2t se change en
« être tendre »,
Les mêmes
2.
quand
^^
Qt
lettres II
tandis
K T,
elles sont placées
sans accent
devant une voyelle accentuée
24
:
;
« celui-ci, celle-ci »;
mais 11^ J,
T^J
« ce, cette »,
;
tyeopTep, tyTepeujp^
«troubler»;
ii^wp,
ju.nep-
».
Mais lorsque
1.
2tHJ!.
se changent encore en leurs aspirées correspondantes
^^J, e^J
« non
:
le qualitatif est
représentant les lettres égyptien-
;X)H-W>-J ég. këmit « l'Egypte »
•
que
Voir
!5
13
la
note.
voyelle n'est pas accentuée ou cesse de l'être,
25
Changements de
18
changement
elles restent sans
S^KJ
Voyez l'exemple de 26
Lorsque
3.
KT
ne changent
elles
pas,
même
TeJtg La
4. si
KI.JCJ
qualitatif
os,
aile,
TH&
doigt.
;
dans ce
iiejipe- iiejipjT^ 28
Devant S 11
5.
mais on dira 6.
n^
àJ ^ de
mot,
au lieu de
même 1161
r reparaît
(^p
« fai-
^) et au
« aimer »
de
aux autres formes
iiepe- iiepjT^).
"i^, Jt
se change régulièrement en
un grand homme.
Jl-pOJllJ
ajoute parfois
un
11*
:
ville,
^ final
sans chan-
:
((
revêtir »
dO (^O^
;
«
dépenser
».
Changements de voyelles.
Sous V influence d'une consonne qui précède.
Les consonnes 11
Jl
exigent après elles le changement de CM
OV JIOVK « les tiens » et non :
JltUK
comme
les
formes similaires
Dana un manuscrit de Turin, ce changement n'a pas toujours
1.
lieu
a
OVJlJty'j^
2ta5>\^
1.
(^5)
On
J, ain-
Le verbe Jpj
une grande
H.
en
(S.
krst (karsit).
même
Dans quelques mots on
ZtuX
29
de
OVJlJcyf- il-S^KJ
gement de sens
».
:
changée en
r s'est quelquefois
de (Opj).
lieu
mryt [meryi)
l'ég.
K^C
à l'état pronominal
OJ au
année
devant une voyelle accentuée
« sépulture » dérive
donne
re »
ég. ronpit «
angle,
égyptienne
lettre
poixnj
cyeopTep.
représentent les lettres égyptiennes q ( j), d,
KO^ 2'
:
« ville »,
ég. bakit
voyelles.
;
on y
11U30T,
lit
hllOJ, hll«30V, JinC au
une,
Cinque manoscrlUl
mais ce n'est
là
lieu de
qu'une exception.
îlllOJ, 11Cf.
coptl délia Jiiblioteca nationale di Torino.
Fr.
Rossi,
Changements de
^OJK, eOîK dre »
;
« le tien, la
tienne «
ces mots devraient selon
les autres
verbes bilitères
Exception
Devant
:
W se maintient
OT
OT
du mot,
pronom JtOT if
à eux,
JtOJTen
cyOVcyT
« trou »,
^^
Devant
OV
2.0TcyT
a «
Sous Vinfluence d'une
se change en
<X.
l'a
rempli
;
^Çf-^<î,^-Ç[
il
l'a
fendu
;
^X-Çf-SiU^Çf
il
l'a
dépouillé.
un O
Devant « ((
Mais on
O
« être pur »
^,,
l'a
».
lettre qui suit.
délié », «X.Ç[-KOT-Ç[ «
dans
la
même
rempli » et non -WLH^,
OCM-^eil
a
s'est
de
;
h=^
égyptienne
30
,
;
dans
immoler
».
».
H
en
;
«
répéter
».
qui a complètement disparu
i
:
OT<î.S (en ég. wo^b)
syllabes ouvertes
dans les syllabes fermées
l'ég. she'd «
change en O,
OVCM-geAl
(aïn)
les
construit
comme Sh^, KHT.
« appeler », '
l'a
comme SCU^, KOîT
généralement changé en
môme 6
il
syllabe, U3 se
remplir » et non -M-tM^,
/«') « laver »
QJQT de
regarder
:
il
(,
Devant l'ancienne consonne en copte,
eu lieu quelquefois après
règle générale des verbes bilitères, ces formes de-
iS.Ç[-S0>\-Çj
110^ lie^
:
:
il
la
(86)
à vous.
et jy représentant la lettre
<S,Ç[-JUL^^-Çf
vraient avoir
:
la fin
JtOîOV
:
mou-
etc.
à l'intérieur ou à
reste dans le
tO en
«
un U3 comme
JteJULCMTe Jl avec vous,
Selon
e
JIOVT
larmes,
2.
2.
« lier »,
epJULWOT J
O} et 2:
O
1
règle générale avoir
Tejl
et
Le même changement de
1.
iJLOTp
;
SW57\,KCUT,
cependant
;
la
voyelles.
il
:
J^
(en ég.
se maintient plutôt
:
si
Des trois
20
En
32
Bohairique, lorsque
epOK epOTOT
ge en (M
Il
((
:
vers toi
O doit »,
«être joyeux
Le
((
aujourd'hui
E.
O on ;
a
u vers
e^OOV «
eux
pOîOVT
», quai.
» et TOOVJ
Sa'îdique retient
OV,
se trouver devant
epOJOV
n'y a d'exception que pour
^OOT
états.
matin
jour
«
il
se chan-
».
(pour »,
poOVT S).
son dérivé Al-
».
donc B. -«30T
=
S.
-OOV.
DES TROIS ÉTATS ET DES TROIS FORMES. I.
De
33
DÉFINITIONS.
ce qui précède et surtout des paragraphes 14, 15, 17, 18,
ressort qu'un
ve dans
même mot
trois états différents.
Etat absolu, forme pleine.
1.
On
appelle état absolu l'état d'un
mot phonétiquement indépen-
dant de tout autre, c'est-à-dire séparé, dans
mots qui
le suivent;
et revêt sa
forme
dans ce cas
pleine
:
On
le
dernier;
il
ne se trouvent que des voyelles Par convention,
me
au
forme abrégée.
pour
sorte qu'il n'y ait
tonique placé sur
moyen d'un
les
trait
prononciation, des
CÔ>\Ce>\, SâuT^.
appelle état construit l'état d'un
complément, de
la
porte toujours l'accent tonique
il
p6t3JULJ,
2.. Etat construit,
34
il
peut avoir trois formes, selon qu'il se trou-
mot intimement uni les
à
soa
deux qu'un seul accent
prend alors une forme abrégée, où auxiliaires.
grammairiens modernes indiquent cette for d'union
-
:
peil-,
CeAce A-, Se A-.
^
Des trois états
et des trois formes.
2ï
Etat pronominal^ forme avec suffixes.
5.
Enfin un mot est à Vétat pronominal lorsqu'il est suivi des
pronoms
affixes";
Cette forme par
la
revêt alors sa forme avec suffixes.
il
accentuée;
est
voyelle formative
;
change de quantité
xes,
elle se distingue
celle-ci,
(17, 18)
Par convention, on indique
(14).
de deux
traits
relevés
:
en
effet,
dans
de la
la
Ce^càî^
forme avec #«,
&67\
forme pleine
la
forme avec
et recule souvent
Cette troisième forme, augmentée des
suffi-
d'une syllabe
moyen
au
suffixes
^.
suffixes personnels,
peut
encore être traitée
comme forme
c'est-à-dire qu'elle
ne porte pas toujours nécessairement l'accent
pleine et
comme forme
<(
son
» et
De même
abrégée de ^uaç[.
ne
»
;
Jiecf-
xiliaires
((
<^ÇMi^
(24)
u le
Tecf-
«
sien »
sa»
et
ses » et J10VÇ[ (29) « les siens
neç[- est
;
36
abrégée,
nique. Ceci a lieu dans les adjectifs et pronoms possessifs.
on a neçj-
35
to-
Ainsi
forme
la
OtWÇ[ (24) «la sien».
Tous
les
verbes au-
sont dans ce cas, avec cette différence qu'ils n'ont pas de
forme pleine: JIiî.pe- Jt^Ç[-; JUL<J,pe- JUL«î.peç[-
;
i5,Çfepeç[-
au lieu de iS,qepoçf, cf ^,qT^^}\oq.
Nous indiquerons ces formes avec du double signe ^ticule
:
Jt
accentuée JIHJ
l'auxiliaire
#* -
suffixes,
sera l'adjectif possessif (74), Jl
JI^K
etc. « à moi, à toi » (61)
du subjonctif JIT^- JlTeK-
du génitif JITHJ
JItIk
II.
etc.
;
^
la
par-
ilT ^ -sera
SVI
particule
etc. (61).
Importance des trois formes.
La morphologie copte repose en grande trois formes. Elles
;
moyen
abrégées, au
partie sur l'emploi
de ces
s'étendent à presque toutes les parties du dis-
37
22
Abréviations.
cours
dans
articles,
:
pronoms, noms, verbes, prépositions. Mais c'est
verbes qu'elles jouent le rôle le plus considérable.
les
étudiera toutes en leur place
suffira ici
il
;
de
On
les
quelques remar-
faire
ques générales. 38
Les
I.
trois
formes ne se retrouvent pas nécessairement dans
Beaucoup de noms
tous les mots coptes.
que
forme pleine
la
Un
abrégée
la
forme abrégée,
et la
forme avec
pOîJULJ peJUL-
:
«
eSteJl- ezCMï* 39
Les l'autre.
xes
:
avec
trois
Dieu
verbes n'ont
et plusieurs
», Jl<î,V « voir ».
suffixes,
homme «
sur
»,
»,
noms
plusieurs
comme
^JTeXl-
;
soit
«
préposi-
maître »
^JTOT^
forme forme
la
plupart des
la
JlkS JteS-
est parfois semblable à la
T«î.JI^O#*
forme abrégée
aussi être la
comme
soit la
;
« par
».
formes ne sont pas nécessairement différentes l'une de
La forme pleine
T^JI^O la
u
grand nombre de mots n'ont que deux formes,
pleine et
tions
JlOV^
:
même que
:
^ la
^j^- «
donner
forme avec
forme avec
».
suffi-
rarement
Elle coïncide
«vivifier».
La forme abrégée peut
suffixes
:
COVeJT- COVeJl<*
« prix ».
ABRÉVIATIONS
F.
40
11
est
un certain nombre d'abréviations usitées par
eux-mêmes dans tions imprimées.
les
On
JHC JHCOYC
en trouvera à
Jésus,
XC XP'^'*^^^ Christ, ^nOV^
JCX JCp«^HX
les
Coptes
manuscrits et par les modernes dans les édila fin
complet. Voici les plus importantes
^i"
USUELLES.
Dieu, Israël,
de
la
grammaire
le tableau
:
nn^ eeT
nneVJULiJ.
eeOV4J.S
n(^ n^îbjC
le
esprit, saint,
Seigneur,
J>\HJULjepOVC<S.>\HJUL Jérusalem.
Abréviations.
Le mot ^"i^ ne prend crit
njl^ même dans
pas le
les dérivés
<^0p0C. Le mot n(K)JC
23
trait horizontal
;
IlJieVJUL<î. s'é-
comme HXI^TJKOJl,
est quelquefois écrit
noc
;
lUliS-TO-
c'est
thographe défectueuse qui provient d'une confusion entre
dont
la
partie supérieure est reliée au
le tableau à la fin
n(^
sans le
de
la
C dans
grammaire). Le
trait horizontal.
une
O
et
or-
o
les manuscrits. (Voir
même mot
s'écrit aussi
2.
MORPHOLOGIE ET SYNTAXE. — —^^ -
PRONOMS.
ARTICLES ET
I.
CHAPITRE
I.
DE L'ARTICLE. Formes.
A.
II
41
y a en copte deux articles
:
Tarticle défini
et
l'article
indé-
fini.
I.
Article défini. en
L'article défini se divise
faible et
en
fort
Singulier.
fém.
Pluriel.
faible
fort
n
nj
^ T e
masc.
:
le
[
,
l
"^
HJ
JieJI
les.
la ]
<^ et Jl
42
p
O
s'emploient au lieu de
devant
et quelquefois
L'article faible
place devant les
J
11
T
devant
les lettres
S
7\
11
;
il
se
OV.
détermine d'une manière moins précise
noms génériques ou
abstraits et
devant
les
noms
d'ôtres uniques. L'article fort
nj
que un individu en
^ dét.rminc avec
particulier.
plus
de précision,
il
indi-
25
Article indéfini.
Article faible.
Article fort.
<^-JlOV^ Dieu,
nj-JtOVJ^
T-c^e
le ciel,
i^-^e ilSepj
le soleil,
nj-pH JtTe
f^-pH
[
En
le
dieu
;
le ciel
nouveau*
;
i^-JULeOJULHJ
le Soleil
général on emploie l'un ou l'autre article selon
de Justice*. le
degré de
détermination qu'on veut donner au nom.
Remarques.
généralement
n OTpo
ticle
2.
:
((
i.
l'article
Les mots qui commencent par
S.
HJ
OT,
nj-iCeSHC le roi »,
Pour
et
n-a3.n^
RJ-iT^HT
((
la
vie
« le
père
^-JOJUL
« la
mer
»,
IX-JOîT
n-JOJtl
»,
U3, l'ar-
« l'insensé », 11-
dit
:
« l'orge »
;
du pressoir
« le récipient
».
ne s'emploie que devant un nom mis en annexion,
SIS peut être usité partout
43
».
équivoque on
éviter toute
c^-JOîT
L'article JieJl
ceux qui commencent par
l'impie »,
((
prennent
4t
:
Jien-cynpj >JLnjC>v
« les fils d'Israël »
;
JieJI-JULOîJT JUL<^p«5JULJ « les voies de l'homme »\
II.
Sing.
OT
«
un, une
Ex. OT-pOîJULJ
OT-C^JJULJ Lorsque
1.
OT
Théot. 117.
Article indéfini.
est
((
((
un
homme
précédé de
»,
la
Pr. 5,21.
«
des
45
».
^iJl-pCMliJ
»,
une femme
2.
^^Sl
», plur.
u
^«J.Jl-^JOJULJ
préposition
6
((
dos hommes »; <(
des femmes».
vers
»,
on con-
Syntaxe de
26
6
tracte
une
OV
ev
en
:
eva|«J.qe
\
un désert
« vers
»,
eVCOn
«
en
fois ».
OV
est
une forme abrégée de
OT^J
«
un
».
Syntaxe de l'article.
B.
Emploi de
I.
1.
46
l'article.
Défini
l'article.
et indéfini.
Placé devant un adverbe ou une construction prépositive ticle défini
jectif
:
ou
indéfini lui « les
IlJ-CiSoT^
« l'extérieur, le ((
supérieurs
l'intérieur, le
nj-cy«J.-eJte^ « l'Etemel
(litt.
les au-dessus) »
dehors »
dedans
(litt.
ec»Jt
ojuieTOvpo
ojuieTovpo
heocf
soit seul, soit
1.
«
;
Joseph de Nazareth»^
homme ? »^ ov-npoc-ov-cHOV Te
h.iven<Sc
ov-cy<x.-ejie^
est
éphémère, mais celui de N.-S.
2.
Article défini seul.
accompagne généralement
avec l'interjection W5
Te. «Le est éter-
les
mots au vocatif,
:
Nous appelons construction prépositive l'ensemble d'une préposicomplément ( jj>vj jl» )
tion et de son 2.
;
\
L'article défini
47
»
n<î.jpa3JULJ « d'où est cet
JULniS.jKocjuLOc
royaume de ce monde nel »
ne
;
;
le jusqu'à l'éternité) »
JOîCe^ n J eSo>\ ^ejt n^,i;^^.pee
OT eSoX
l'ar-
donne le sens d'un substantif ou d'un ad-
JlJ-e^pHJ
nj-C^^OTJî
',
Jean
1,
46.
•
3. Kef. 355.
4.
AM.
17, 20.
Syntaxe de
piS-OJJ
T-Çyepj hcjçwn
<J.JULH
enecHT i^-n^peeitoc o vierge,
« descends,
03
âme
n(rt;
))\
T-ojepj JULS4Î.Sv>\«5n
»'.
hTii^T^H
JlO^eil
de Sion
« réjouis-toi, fille
de Babylone
fille
27
l'article.
«
mon
sauve
Seigneur,
))^
On
dit
régulièrement avec
^-JlOT'j"
l'article défini
«
Dieu
Les autres noms propres ne prennent généralement pas ticle.
On
défini
:
trouve cependant quelques noms de
S^J-ST^OJJt
e-SiLST>\a5Jl
et
na » \ 0-&^.C^,n
^
^-&^,C^.n
et
1.
des
Dans un sens
OV-JIOVS
:
de l'encens 2.
du § 46,
cas
les
et
Avec
de
les
la
»
comme
« le
« la
expressions adverbiales
^ejt OT-JUieTOZJ
1.
Zach. 2, 10.
2. Is.
5.
Deut. 3, 3.
6.
10.
\
49
:
partitif français
l'article
OV-^HKJ
^ejl OV-CtWOTTeJl
9. Pr. 1, 2.
Ca-
«
de
du, l'or,
*.
OT-COc|j^ Jteil 0T-cSa5 les
«
;
se traduit alors en
il
:
OT-p^JULiî.0 JteJUL
Dans
»
d'ar-
l'article
T-Kl.m.
s'emploie
abstraits et génériques
français par l'article défini
3.
Hassan
»,
0T->^JS^J10C neii OT-cy^X-X
myrrhe
noms
«
l'article indéfini
partitif
JieJtl
Babylone
48
Article indéfini seul.
3.
Outre
« "^
avec
lieu
».
47,
«
«
sagesse et
comme
avec droiture »
avec iniquité
1.
Ibld. \3. l'r. 1,
riche et le pauvre »
11.
3.
»
science
:
;
'".
Ps. 114, 5.
7. Cf.
la
;
»''.
AB. 54,55.
4.
Jean 2,
8.
Mt. 2, 11.
1.
•Syntaxe de l'article.
28
"
....
Suppression de
II.
.->
Un
substantif ne prend pas d'article
I.
Quand
50
premier
-
'
formé abrégée ou
ait la
IX J-JteS-HJ
'
'
0V-J^g-2tUJ)JT
«
Quand
2,
il
StXl^C-nOT^
Un nom
3.
.
53
'
4.
tles
eqKOJ^ Dans
maison
la
une plantation
»
que
:
;
d'oliviers »
une couronne d'or
«
mère de DieJ
« ((
sanguinaire »
;
»,
» ;
;
^^-OJOV
ep-JloSj
« glorifier »
pécher
«
;
».
*:
: ^^ni.T e-p<^COTJ
'
forme pleine
tout, soit
indéterminé précédé d'une préposition est quel-
quefois sans article ,v\,
qu'un seul
:
OV<J,JUL-CJtOi![ 52
lui
le
un verbe précédent pour former un nom
s'unit à
ou un verbe composé
la
de
« le maître
OT-^XI^O-*^ JtJlOTS 51
:
intimement à un autre substantif qui
est uni
il
précède, de manière à ne former avec le
l'article.
JlC^,
OJJK
« ((
il
vit
un songe
»
\
cherchant du pain »
".
énumérations de noms, spécialement quand les'p^T'
les
sont unies par
gJ, Je, €JTe, OT'Ae
oTOJt jtjSejt
eT^qx*^ ^^^
^
:
-
.-
-
*
hccMcf je cwjij je jcmt
je JUL^T je ç^jJULj je cynpj je jo^j je hj «quiconque aura quitté son frère ou sa sœur ou son père ou sa mère ou sa fem-
me ou 54
5.
ses enfants ou son
Devant
la
forme avec
autres formes ou non. suffixe qui s'accorde
1. .1er.
23, 28.
champ ou suffixes
sa maison »
^.
des substantifs, qu'ils aient les
La détermination se
fait alors
par le pronom
avec le mot mis en annexion. Tels sont
2.
l'a. OC),
25.
3.
Mt. 10, 29.
:
Syntaxe de
<J.VprtZ:^
regard,
KeSli^
sein,
p^T^
bouche,
prix,
(^O)
ZCWî^
tête.
« la
face,
bouche des impies
^HTC
JITZJZ:
« le
bout de
la
main
»
'-"
{litt.
de ces mots
tions formées l'arbre »
' ;
(/i//.
;
:
Remarques.
po
» et
l'article
:
i.
pi.
«
trois
de ces mots
:
u
porte
s'est
^J-TeJI-
«
»
;
»
au pied fils
»
\
'.
po pW5^ de
« les portes
^P^
et
25.CUs*=
conservée dans le
«
bou-
sa
maison
1.
semblent avoir eu
les prépositions
moyen de
»,
formées
Jt<î,-^peJt- « de-
».
Pr. 10, 32.
2. Lév.
Gen.
D.
.'30,
35.
56
w**.
—s<3F=jS5k55.;;irj,^;5.i-^
4.
55
dans ce dernier sens on emploie
neCHJ
par
préposi«
aux mains de ses
devant son enfant
noms TOT#*,
e-2teJl- « sur
«
ne faut pas confondre
Il
ptUOT
une forme abrégée qui
»,
:
JtJ-pcWOV JlTe
Les
2,
vant
son bout
les
£)«î.-p^TÇJ linJcycyHJl
e-TOTOT JtJieqtyHpj
lineçf ^>V0V
^«J.-2$:«5Çf
che
*
main).
la
Cette tournure est régulièrement employée dans
de
»
bouche des impies).
leur
de
^p^
p«50T hit JiLCeSHC
:
main,
^HT^ milieu, ventre, ^HT ^ bout (de main, du pied), ^OH^ (^KT) cœur,
pied,
COVejl.^
^9
la
(pO)
pÇ»^
Ex
TOT ^
extrémité,
S^T^
l'artiole.
3, (îea. IS.jS.
8,23.
Gen. 33, 14.
Cf.
AH. DO.
6, l'r. 5,
8.,-
5i
Pronoms
30
affixes.
CHAPITRE
II.
PRONOMS PERSONNELS. Pronoms
I.
Sing.
58
T
J
I.
m.
2)
les
directement, sans intermédiaire, ou au
sera indiquée pour chaque classe
importe de remarquer que
un pronom
singulier,
tût
« la main
loi
par chute de
«
mon
te,
T La
60
a été
abrégée
1.
;
noms
(54),
-i final
tombé
;
la suffixation
En
il
est
comme pronom
une forme
qui
»,
les
pronom
n'y a qu'un
-tou, ainsi
devenu
tot-t,
puis
thèmes en a
final,
pa-i
est
demeuré nu
»
*.
Dans
la sui-
par les Coptes.
un pronom d'un fréquent usage -OHJIOV qui c'est
elle se
moyen d'une voyelle
fait,
ma main
thème
;
première pers. du sing.
la
de même après
et le
aux ver-
personnes auxquelles
pleine, qui exige devant elle
est tou-
une
for-
*.
Maspero, Revue Critique, 16 Septembre 1905,
2. DuriB
^
de mots.
T de
à l'origine. «
tot-tou-i, lot-l-i, «
employé
2 pi. a
jours régime
me
i ;
», ri est
OT
^
dans certains mots qui prenaient le suffixe
du
>>,
3.
s'ajoutent à l'article (74), aux
se rapportent ces mots. C'est ce qu'on appelle
n'était pas
Ten
C.
:
bes (280), aux prépositions, pour indiquer
Il
2.
U
Neutre singulier
fait
l;
il
C
Ces pronoms
Jt
i.
Çf
f.
59
Plur.
rien ou S
f.
3
^
K
m.
2
affixes.
un texte du codex 68 de
la
p.
209.
Bibliothèque Vaticane {Bessa-
Pronoms
Comme
exemple, nous donnons
positions les plus usitées 6-
Sing.
2.
m. f.
m.
j.
f.
Pi.
epo ^
ici la
I.
J|
aux deux pré-
», JT- Jt
*»
« à
J
»
61
:
JIHJ
epoK epo epoq epoc epon
jie
epoîTejt
2.
suffixation
« vers, à
epoj
1.
31
personnels.
^
JlCBTeit
JIOJOV Sur Jt-se modèlent la
préposition JieJUL ^ « avec
II.
Sing.
m. f.
3,m. f.
rïone^
Série
pronom dans
II,
le copte
JieOK
toi
iteo
toi/".
heOCf
lui
Jieoc
elle
p
HTG-
S\.^ «
de
»
et
Pronoms absolus.
PI.
Vol. IV, Fasc. 70) la 2
suffixe
génitif
».
iJtOK moi
I.
2
du
particule
la
f.
62
nous
I.
4X,JtOJI
2.
JieÇMTeJI vous
3.
hecwOT
eux, elles.
sg. est représentée
par un
qui s'ajoute aux formes préfixes terminées en
6
classique: JiepC«5.25.J pour Jie-C4Î,2tJ «tes paroles»
JlTep-CÇOTeUL
j)our
JflTe-CCUTeJUL
forme se trouve aussi dans
«
«
que tu entendes
».
;
Cette
Coptic apocryphal Gospels » par F. Ro-
Sphinx IV, 32. La grammaire d'Abou Shaker (Bibl. Nat. « 2* pers. du fém. sing., signe ms. copt. 53 f. 56 verso) dit ceci « tu via », JlTeOJJt^ «S.peCUJl^ vécu « p » <î.p«3Jt£) « tu as », binson. Cf.
:
:
«
que tu vives
»,
etc. ».
Pronoms
32
remplit deux fonctions principales
Le pronom personnel absolu
63
1. Il
est sujet et attribut dans la proposition
s'emploie le
sens
(
comme
Jif^T
apposition à
ne
^^.i que
celui-là
j'ai
sais
que
^H
parlé
zie
4Î,jejULj
:
^jiok eeSHTçf
eTiî.J2:oc
moi-même
>>
Kep^oi" heoK ^^lt^h
pour lequel on m'a
III.
Sing.
GÉNITIF
établi
il^Çf
s'emploie
Jean
5.
«
/.oiv>)
nemù, mmù,
i.
JULJW.OJt
2.
JULJULCUTejl
5.
JULJULCUÔV
ÀlllOC sert d'état pronominal à la préposition Jl (Al) (316).
1, 30.
mmo
PI.
comme pronom
4. Ex. 12,
dans la
DU PRONOM PERSONNEL.
JULJULO
f.
^
^
:
m. JULJULOq
3
»
l'Evan-
nos maisons à nous » \
ACCUSATIF
ET
hpeçf^JtOJty
moi-même prédicateur
m. JULJULOK f.
Ce mot
((
JULJtlOJ
I.
2
1.
juic^Jiov't" « je
:
^,nOK eTl^'ï'^l.T
JteJT-HOT l^nOSl
Il
«c'est de
\
Apposition à l'adjectif possessif
66
2.
tu crains Dieu, toi » \
c^iLJ
65
;
un autre pronom pour «n renforcer
Apposition au complément
gile «
nominale (555)
:
il
).
Apposition au sujet
O*
personnels.
2.
:
Gen. 22, 12.
3.
2 Tim.
1,
11.
27.
dérive de la préposition complexe n-amou, qu'on trouve
Ramesside
'mmù
».
;
namoù avec
l'accent sur la finale est devenu
Maspero, Revue Critique, 16 Sept. 1905,
p.
209.
Formes
Dans
1.
sens du génitif
les
:
OViJ
JlJiiL JULJULOîTeJt « qui d'entre vous
Après
2.
2S:^(^
«
:
»,
C^
Après
^en
Le pronom
sommes
IV.
1.
2.
3.
un d'eux
»
;
^JT^H
:
« l'avant »,
« à ta droite »
JtJLliLOÇf «
« par sa
sert aussi
l-Sl)
;
devant
»,
^-^gOV
^J^«S.^OT lui »
llllJJt
de renforcement
i>
;
«
*.
même
»
de complément direct à
ilTextOTCMcyT
JULJULOÇJ
:
'\
propre volonté »
la
nous
«
venus l'adorer »^.
Sur l'emploi de
voici
)>
JULJULO
forme pleine des verbes
rai le
T-^H
necf OTOîai JULllJJt llJULOCf
4.
Il
« côté »,
particule
la
«
? ».
CiX.OTJJl^«. JULUOK
JtlliLOÇ[ « derrière lui 5.
JULJULOÎOT
adverbes de lieu formés de OVJJt«S.ll « droite
les
gauche
« l'arrière »
33
personnelles.
JUL-
JULJULO^
comme
préposition, voir 316.
Autres formes personnelles.
y a en copte un certain nombre de mots qui suivent en gêné-
nom ou
le
pronom personnel pour en modifier
le
sens.
67
Les
:
^«Î!^
aussi
XXJ^X^,V^,T^
seul
THp^*
tout
itOT^î.Tî*'
de soi-même.
5.
p«3
même.
6.
epHOV
ensemble.
4.
Parmi ces mots, quatre sont toujours à
deux autres sont
l'état
pronominal
;
les
invariables.
68
Formes personnelles.
34 m. gtt5(J
3
^OJC
f.
Ex
m.^iXeq ^OJÇf « qu'il se sauve lui-même » ^ULOT eSO^ ^JJtiX. hTeK$yTeJULTiX.KO ^CMK « sors
:
'.
JUL«î.peçf
de ne pas périr
toi aussi »
69
2°.
Sing.
JULJULiJ.ViX.T«^
m.
JULJtliS.TiX.TK
f.
)txiXl.v^.'t
de vous seuls
pas bon
»
que l'homme
Sing.
1.
2
soit seul »
Pour
m.
m.
THpçf
f.
THpC
la 2 pl.
on se
avec vous tous
»
7.
((
jpeJULhx«J^J
Luc
2:î,
THp^
sert
.35.
Gen. 47, 23.
de
«
la
5.
n'est
THpeJI
i.
2.
(THpTeXl)
3.
THpOV
THpOT
terre entière
THpov 2.
il
«tout».
.-
inusité
JteJtlCUTeJI
THpOT
^.
THpq
4. Gen. 2, 18.
cyounj JULJULiî.v^T^
PI.
(THpj)
nJKiX.^J
JULJULiî.T4S.Teit-eHJiov
''.
THpT THpK
f.
3
1.
JULiJLiî.Viî,TOT
3.
in eepe njptujuij
3.
Jl
JULJUL^.TiX.TeJl-eHJlOV
2.
^.
70
«
JULJ«.«Î.V<î,TeJÏ
i.
eSo>v ^jTeji-eHJïov
jtiî.jiec
».
i3Lix^.v^,TC
f.
:
seul
((
Pi.
jm. JllJUL^TiJ.Tq
Ex
afin
^.
ilJUL<X.ViS.T
I.
2
«
^«JOV
3.
«
»^
tous les Egyptiens »
Gen. 19, 15. 2 ïhess. 3, 16.
\
3»
Luc 12, 57.
6.
Gen. 47, 13.
Formes
JIOT^T^
4.
Ce
mot, composé de
été trouvé
TOV
que deux
d'eux-mêmes
«
fois
:
après les
p«3 «
«
toi-même
cette Il
JtOT«S.TC
p«5
pronoms
et les »,
^^ J
même mesure
«
même
pCM
:
7i
».
» est très
rare,
d'elle-même»
il
n'a
hoT^Î.-
' ;
comme même en
même
« celui-ci
73
».
«
moi-même
»,
français
»,
n^ J-OjJ
JlOOK
poî pOJ
»^.
s'emploie aussi adverbialement
fils
un
^JIOK pcw
nepT<î.ceo iin«S.ajHpj eil^V mon
«
«
s'emploie
est invariable et
noms
de soi-même
»^.
5.
Ce mot
«
de OV<S,J
Jï et
35
pei-soan elles.
:
JULOJIOn pOî JtOOq 11-
«
seulement ne ramène pas
là-bas »^.
6.
Ce mot
epHOT
73
«ensemble».
doit être précédé des adjectifs possessifs
du
pluriel
:
jten-epHOV, iieTeji-epHOV, jiov-epHov; jiJiovepHov «
à
eux-mêmes, entr'eux
Jteil JtextepHOT
u
» '
;
« entr'eux »
entre nous » \
1.
Act. 12, 10.
2. Lév.
4.
Gen. 24, 8. Z. 29.
5.
7.
JIOTepHOV
XteJUL
25,
5.
Jean 11, 56.
3.
Ex. 36,
6.
Luc 22, 23.
9.
' ;
Adjectifs possessifs.
36
CHAPITRE
ADJECTIFS ET Les
adjectifs et
Devant un nom
possessifs.
Devant un nom
sing.
féminin
pluriel
T<J.-ma
Jli- mes
m.
neK-
TGK-
JteK-
f.
ne- ton
3
ton
Te-
ta
tes
iie- tes
ta
m. Iieçf- son
Teq-
sa
Jieçf- ses
nec-son
Tec-
sa
Jiec- ses
f.
et
l'article
ni- mon
I.
PI.
de
affixes.
masculin
2
POSSESSIFS.
possessifs sont formés
Adjectifs
I.
Sing.
PRONOMS
pronoms
des pronoms personnels
III.
I.
nejt- notre
Tejl- notre
2.
neTeJI-
TeTeJt-
3.
nov-leur
votre
TOT-
JTCXl- nos
jieTejï- vos
votre
ilOV- leurs
leur
Syntaxe.
L'article
1.
indique
l'alTixc
maison
JO'f 2.
<(
»,
détermine l'objet poss^i^ et s'accorde avec lui; le
possesseur et s'accorde avec
JliS.-JO'f «
nos pères
Quand
mes pères
:
TeK-ll^-T
« ta
:
Ili-HJ mère
»,
«
ma
lien-
».
l'objet
possédé est indéterminé, au lieu des formes
précédentes, on emploie
JITC- JIT ^
»,
lui
l'article indéfini
OT-H J hx^çj
Iieç|-HJ signifie « sa maison
«
avec
une maison à
-a. ».
la
particule
lui 'j
1:^^ »
du
génitif
tandis
que
â7
Adjectifs possessifs.
l.nOK OV(fpOJULnj nTl,K
« je suis
une de
tes colombes»*.
même
Cette manière de s'exprimer s'emploie parfois avec
ticle défini et toujours
cevoir les affixes
3.
eeOTiS
«
son baptême
))l
des jours, sans que
le
noms de nombre mot
« jour »
78
soit
:
neç[cyOJULT ^JIJ
.
.
« le troisième jour ».
e TptM<5.C JULnejlë
.
cinquième jour
«
nous arrivâmes à Troas
»*.
De même e-neçf-p«5.C':(~ On doit toujours employer faire
))l
JIT4X.K « tes saints
pour indiquer l'ordre
le
"77
expressions qui ne peuvent pas re-
L'adjectif possessif s'emploie devant les
exprimé
l'ar-
:
nJOJJULC JlTiLÇj
ilH
les
avec
accorder avec
est invariable parce
le sujet
que
Ç[
« le
lendemain
».
l'adjectif possessif
du verbe
formé de
neçf-p^C^
;
se rapporte au
mot
«
II et le
79
lendemain »
e^OOT « jour » sous-
entendu. 4.
L'adjectif possessif ne s'emploie pas devant les
noms qui ne
^o
reçoivent pas l'article (54); le rapport de possession est indiqué
dans ces mots par les pronoms
^ ma
pOJ-J
^p<î,-K
arabe
:
p^T-(;[
bouche,
^j
comme en
suffixes,
TOT-C
ta face,
Uoj sa main.
Suffixation à ces noms.
I.
Sing.
Noms I.
terminés par une vovelle
2:051
PI.
2m.2S:a5K f.
1. ose;.
:
2î.(U
^ « tête
I.
ZOJn
2.
XCUTejl
^*
».
Z«3
114,
2.
Mt. 3,
7.
3.
Th. 129.
4.
Açt. ?0, 0,
38
Adjectif8 possessifs.
3
m. 2S:«3q f.
Noms
:«*
«
:
I.
bouche »
et
^OH
<(
pied »
;
«
î«*
terminés par une consonne
T p^T ^ p^T Sing. par
ZiOJOV
ZOJC
De même pCM 2.
3.
par
cœur
».
:
JI
:
peU
«
nom
».
Pronoms Lorsque
3.
le
mot terminé par une consonne
mative après
le radical,
et la 2
en 6.
sg.
f.
Lorsque par
4.
comme ^p«^, du
suite
a) Si le
OHItOT
à
mot la
n'a pas
I
pi.
:
la
T radical
peut avoir deux formes
la 2 pi.
39
possessifs.
i
a la voyelle for-
en
sg. est toujours
(p^T)
la
i
HJ
est
en TeJl,
P^T,
on ajoute
pi.
85
:
de forme abrégée, comme
p«S.TeJI-eHJtOV
« votre pied »
au lieu de
piS,T-TeJI. b) Si le
on ajoute
(57),
OHitOT En pi.
mot
«
a
une forme abrégée, comme TOTi«* dans gJ-TeJt
OHJIOV
de vous
général, pour tous les mots qui ont
s'obtient en ajoutant
peJt-OHJtOT ce
à cette dernière forme
:
e&o}\ ^JTeJl-
»*.
OHJtOV
« votre
nom
»
une forme abrégée,
à cette forme ;
la 2
:
^peiI-eHJtOT
u
votre
fa-
».
Pour
TeJÎ
et
25,CM^ et ses
composés on emploie
ezeJl-OHJÏOT
IL
« sur
Pronoms
1.
Le pronom
possessif a
I.
Sing. masc. ^iS.-
1.
Kef. 357.
vous
les
deux formes
:
625.03-
»'\
possessifs.
Formes.
deux formes
une forme abrégée fém. OiS,-
2. Pr. 1, 27.
Pi.
86
:
Jli-
:
Pronoms
40
2.
masc. sing.
possessifs.
une forme avec
suffixes
Pronoms
possessifs.
41
nJK^gJ ^^,-n(^SC ne « la terre est au e«3K Te ^TLOiX nen. njCUOT « à toi et la gloire
« à
comme
pron. possessif,
du nom du possesseur
tition
appartient
la
force
moi appartient toute
son
nom
terre «l
l'indique, évite la répé-
89
et équivaut au français «celui de, celle
de, ceux de » ou « le mien, le tien, etc. »
neqcwOT
la
S/ntaxe.
3.
Le
»*.
))'^.
$«5J ne nSK^.^S THpcj
1.
Seigneur
:
JieJtl c^i5.-neç[ja3T » sa gloire et celle de son Pè-
4
re ».
Jt^J^îvtUiUL Jtiî.-njJULiJieca30T Jie «ces fromages sont
ceux du berger
»'.
Le pronom abrégé
2.
des composés
tifs
c^i-n jpo
comme
terre
la
Jt^-T^H
dans
le
Ti-c|^JULHJ
m,-^^n stratifs
On
forme avec lessubstan-
la
=
porte
le portier ».
du
« les habitants
ciel
^O
;
véritable »
^tt eTe,
OH
le
(le
gardes le
et
ceux
»''.
passé
remplacées par
».
« la
bouche
»
n
T
.
mois du dieu Chons) «Pachons».
pron. poss. après les
CTC, JIH CTe
(97)
en
relatifs
lui
Pa. 23, 1. Ex. 19, 5.
4.
Guide de la Semaine sainte 38. Luc 9, 26. 5. Kef. 385.
6.
Th. 261.
7.
IT. 99.
2.
fortes
les
:
T^-f|po
;
ou n^-cyoJtC
emploie souvent
les
Jl<î,-<^^^OV «
sont parfois
dialecte sa'îdiquc ((
=
3.
1.
90
:
ceux de l'ordre
«
« l'avenir »
Les aspirées
}.
Sll.-
))".
XT^-'f T^^JC
comme
0^-,
n^.-nK^,^i
JI^--Tc^e JieJUL
de
de
« celui
f|»<5.-,
démon-
rattachant, au
9i
42
Adjectifs et
moyen de
^H eTe Père
l'objet
h JCWT «
<^CMÇ[
possédé
;
celui qui est à lui
en Père,
c.-à-d.
son
»'.
JtH
eTe
juLJULOJi
0a5Ç[ le »
nom de
il, le
pronoms démonstratifs.
JlOVÇf
liLJUL^eHTHC
ses disciples ))l
((
ovnpoc^HTHC eqT^jHOTT i)en en exe
ÀlS^KJ
aucun prophète n'est honoré dans sa propre
«
vil-
\
OH eTe
son
âme
CHAPITRE
IV.
eojçf jult5*v;x!**
ADJECTIFS ET I.
<<
»
^
PRONOMS DÉMONSTRATIFS.
Pour
les objets rapprochés.
1.
Adjectifs.
Sing. masc. n«X.J- « ce », fém. T<î.J- « cette », pi. JtiJ- «ces».
92
Pronoms.
2. Sing. masc. «
ceux-ci
^^J
fém.
« celui-ci »,
OiJ
».
ne n^LcyHpj « celui-ci est mon fils niJ-e^OOV « ce jour » Tiî,jpOJULnj
^^,S
<(
;
JI^ipcuilJ
1.
iliJ
« celle-ci », pi.
Miasol 108.
4. Lév. 27, 2.
«
ces
hommes
»
2. Missel h.
;
»
3.
;
cette année »
JI^J^JOJULJ
110. Mt. 3, 17.
'
«
;
ces femmes
Jean 4,44.
».
O^J
Le pronom '^^S pour renforcer
Jf^J s'emploie souvent après un nom
sens de l'adjectif poss. ou démonstratif
le
^^J « mon fils que n^je^OOT ^l.i « ce jour-ci n<J.cyHpj
c^iJ
Jl^J remplacent
et
eoSe
c^^J
JtieneJlC^
m.J
<(
à cause
Jt<S.J «
de cela
<(
94
:
», »,
disant ces choses »^
les objets éloignés.
1.
«^H
:
»-.
après ces choses
Pour
II.
voici
93
))^"
neutre des autres langues
le
eç[Z.CM JULJUL«30V
Sing. masc.
43
pronoms démonstratifs.
Adjectifs et
Pronoms.
fém.
« celui-là »,
OH
« celle-là »
;
pi.
JtH
95
« ceux-là, celles-là ».
2. L'adjectif
ne
conservé
s'est pas
;
quand on veut indiquer ex-
pressément des objets éloignés on se sert de deux expressions invariables
:
adverbes ticle
CTTH,
eTeJULJUL<S.T composées du relatif
TH, h.9X^.V
« là, là-bas » (20).
^en Quand
«
ce jour-là
ÏIJCHOT eTeULJULiV le substantif est
ce avant ou après l'adverbe
4.
et des
substantif prend
l'ar-
:
nje^OOT eTTH
1.
Le
CT
Luc 15, 24. Mt. 26, 20.
»*
«
;
en ce temps-là
accompagné d'un
))^
qualificatif,
:
2.
Th.
5.
Mt. 14.
l.^jiî.
1.
^.
Jean 8,
:K).
on
le pla-
96
Pronom
44
^T^«5 eT^opcy nJOVHS pur
»
relatif.
e reJULAl«î,V
h^.K^,B^.pTOC
eTeJULJUL<S.V
»*.
ce lourd fardeau-là
«
«ce
prêtre
im-
'^.
Le pronom peut
eTeJULJUL^V
GTeStXM.S.V
être renforcé par
aussi
-.
^H
« celui-là ».
Pronom relatif. Le pronom
97
res et à tous les
Ce pronom
nombres
:
6,
Sing. masc.
fém.
^H 6 OH 6
Ces pronoms forment avec
98
litatif)
régime)
nom
et
les
eTC^^OYJl
Le pronom
JIH
6X6
:
« celui qui «
;
<(
celle qui »
;
«
ceux qui
».
verbes (spécialement avec
le
qua-
propositions nominales
en remplissent toutes
«
ceux qui
« les
(sont)
=:
les fonctions (su-
n6T, neT6
Plur.
JI6T, JieTe
=
ceux qui,
ce qui »
Kof. 416.
personnes
2.
;
morts
»
;
les
:
;
choses qui
».
Ces pronoms s'emploient généralement pour les
les
choses qui sont dedans, les entrailles».
« celui qui, «
le saint »
morts
relatif s'unit aussi à l'article
Sing.
1.
JIH pour former
démonstratifs
« celui qui (est) saint
JIH 6OAltU0TT
ment pour
gen-
:
^H 6O0V^S JIH
0H,
^H 6X6 OH 6T6
et les constructions prépositives des
qui équivalent à un jet,
relatifs
GT OH GT JIH6T
^Î^H
JtHe
Pluriel
les
GT, eTe.
aux démonstratifs <^H,
s'unit
composés suivants appelés
les
99
formes qui conviennent à tous
relatif a trois
:
MS. 425.
les
choses, rare-
Pronoms
neO-OT^S
ce qui est
«
IieT-^CWOV
saint »
ce qui est mal
«
neT-^ Hn « ce neTeKJï^^JC
ou
=
qui est caché » «
le
« le saint
mal
»
>>*
;
;
;
ce que tu feras
))^.
être déterminés par
Ces mots composés peuvent encore cle
45
interrogatifs.
l'arti-
:
nJ-neT^OîOT Pour
eTe,
l'emploi
« le
mal
^<î.Jl-neT^aJOT
;
du pronom
des
maux
relatif et la différence entre
6,
»'.
éT,
voir la proposition relative (378).
CHAPITRE
1.
I.V)
quel
2.
JlJll
qui
3.
OV
quoi
?
quelle
quel
?
SubsL nsXX.
Jt
de deux manières
pourquoi
100
?
:
substantwemenl et adjecti-
d'un substantif auquel
ils
s'unis-
:
eTOJIJ
icy il-pHi"
MS. 421.
?
tous ces mots sont inva-
suffixes,
comme déterminatifs
moyen de
Adjec.
)•
?
combien
?
riables et s'emploient
sent au
OVHp ^^O^
4-
?
Excepté ^.^0<^ forme avec
vement, c.-à-d.
V.
PRONOMS INTERROGATIFS.
1.
1.
«
JULAJLOK <(
((
qui est semblable à toi
quelle manière
Geû. 19. 19.
3.
?
»^
? ».
Pr. 1,18.
4. Ex. 15, 11.
101
Pi'ononas interrogatifs.
46 *02
jV.ty désigne
les
ne n^JTJiJlH
^.U)
heOK
personnes et
c^<î.J «
quel est ce village
<^i-^.cy JneOO} « de quel
OT^ty IipH*^ ne n JK^.^J 103
qui
trouvera
la
?
nome
es-tu
les
personnes
Tcyepj hniJUl
JIJJUL
hpCMJULJ
« quel
mot auquel
il
eejtiJ.2S:eJULC «
«
de qui es-tu
homme
se rapporte
OV ne ^JUieeJULHJ JieKtyJHJ ^iS.Jt-OV
OV
Avec
toujours suivi du datif
en arabe J
epov
L.
femme
la
?
ne
«
il
se
1.
AM.
? »
que
la vérité
? >>^
? »'.
»* ? ? )>^
<(
Jt«* et signifie «
JUL<|«Î,J
((
qu'importe à
qu'est-ce que cela
personnes
quot sunt anni dierum
?
que
sert à
me
fait ?
? »,
choses
et les
»*°
:
vitae tuae
JULJUL^V
?
aquel âge
»"
<(
combien avez-vous
'*
95.
4. Pr. 31, 10. 7. D.
forte,
met avant ou
quelles sont tes nouvelles
OVOnTeTen OVnp hœjK de pains
»^
:
SlHi
Liltér.
?
fille ? »"
ovHp ne njpojuinj he^oov hTe ncKosn^ as-tu
terre
:
« qu'est-ce
OvHp désigne les
105
la
OT que cherches-tu ep « faire », OV forme le composé epov qui est
hci.
verbe
le
de
? »
JtiJULH JnJ « quel prodige
iî.KKCO'j^
«^
:
Ot ne s'emploie que pour les choses, après le
:
»^
»^
hoo 104
?
?
« quel est l'état
HjJUL ne remplace que
OVC^JJtlJ hstCOpj JlJll
choses
les
544.
10. Gon. 15, 22.
2. Kef.
406.
5.
Gen. 24, 23.
8.
Jean 2, 18.
11. Gen. 47, 8.
3.
Nomb.
6.
Jean 18, 38.
9.
Jean 4, 27.
13, 19.
12. Mt. 15, 84.
I
Pronoms
tlV^O Sing.
#^
(
Jl U
)
pourquoi
«
<S.^OJ
I.
PI.
"fc^JiXi 1,^0 TepjllJ a aussi le sens
j.
i^tOOV
«
femme, pourquoi pleures-tu
qu'importe
ncyHpj
?
»
k^i"
(
J
L. )
U
« qu'ya-t-il
INDÉFINIS.
quelqu'un.
7.
KG'XpO'^ni
aucun, rien.
8.
llHcy beaucoup.
un
9.
K0V2S:J peu.
2.
OVOJÏ
3.
^^J
un, une.
tel.
autre, aussi.
10.
Ot<J.J, fém.
»*
? )y^
PRONOMS
OVJ
?
:
Jil o-.l '
^GT, fém. X^'î" autre.
OV<î.J, fém.
KG
<î.^tOTejl
6.
1.
5.
«
nous, Fils de Dieu
II.
4. JIJJUL
de
iieULiî.Jt
toi et
2.
1O6
iX.^OC
f.
entre
^.^OJI
m. <î-^OÇ[
5
^^po^).
I.
*i.^0
f.
<X.^OK
47
? » (S.
iî.^OK
2 m.
Il
indéfinis.
OTJ
(S.
^OVO
pi. autres.
108
plus, davantage.
0V^., fém. OVej) s'emploie
substantivement et adjectivement. OV«X,J
eSO>^ ^ejt n JJtJLeTCJtiî.T
OV«J.J hjl<î-JK0T2S:J
De OViJ 1.
u
«
un de ces
dérive l'adjectif
OTtWT
un des douze »l
petits ))\
qui a
deux sens
Unique, seul» quand son substantif
ilOT'^ JtOTCUT 2.
<(
«
Le même,
ou ses dérivés
«
un la
seul
même
Dieu »
:
a l'article
le substantif a
1.
Jean 20, 13.
Luc 17,
2.
:
l'article défini
:
4.
OV OT-
».
quand
2. Mt. 8, 29.
3.
107
Luc 22, 47.
48
Pi'onoms indéfînia.
nje^OOV
JtOYOJT
« le
T«î.J-nO>vJC JtOTOJT
UVOJI
109
OVOJI
cette sorte, qui l'adorent
o^J les choses,
(S.
».
même
ville ))\
subst. et désigne les personnes:
JtCi
iî.qKCU'j^
JIH eeoVtUtyT JULUOÇJ
110
jour
quelqu'un de nous
«
Kei^^p c^JCWT
« cette
employé
est toujours
miOJI
même
».
OTOJI JULn^jpH'j^
JT<Î,J
car le Père cherche des personnes
«
7\i^V)
s'emploie pour les personnes et pour
généralement dans une proposition négative
^^J
Àinep^X!*^
il
ne parla à personne
Àinepi^ ^}\s epoj eSnT^ e ni^eSjTOV sur moi rien autre chose que l'habit monacal
d'un
trait
1.
pre
:
pour
(ô>lj),
le
pronom
<S.J10K JIJJUL « moi,
<î.SS^ «flJll « l'abbé un 2.
avec
consacrées masc. fém.
indéfini,^ est
pour indiquer
un
l'article attributif
ne
laisse
»".
«
ne mettez
»^.
généralement marqué
distinguer de JIJll interrogatif.
seul, substantivement,
«
»^.
iineç[C<î.2t J «neii ^7\i «
riJH
:
hptUJULJ e Oî^J JULn^COJJtl^
personne emporter mon corps
***
de
»"\
la
Il
place
s'emploie
d'un nom
:
pro-
tel ». tel »,
ou mieux
ni Ti
« l'abbé
N.
»^.
dans les deux expressions
:
ni-JlJll
Ti-JlJll
« celui
« celle
d'un d'un
tel, c.-à-d.
tel
un
ou d'une
tel, fils
d'un
tel ».
une
tel-
sens que lïJJUL « un
tel,
telle, c.-à-d.
le ».
Ces deux termes ont une
telle »,
mais
ils
parfois le
môme
sont plus délerminés
:
Kef. 333. 2. Joan 4, 23. 3. Kef. 418. 4. Kef. 419. Co mot représente l'ancien égyptien nima, « qui ? « Cf. Revue critltjue, I6 Sept. 1905, p. 209; Sphinx, IX, p. 32. 6. Rit. 79. 1.
5.
Pronoms
neKSOîK n^Jt JJUL
«
49
indéfinis.
ton serviteur, un
tel
"j^eKKÎ^HCJiJ. eeOV«J,S T^JIJJUL
»\
une
« la sainte église,
telle ».
Mais on traduira dans
premier sens
le
:
^eKK>\HCJ«î, T^JIJJUL JUinoT^JC Remarques,
i.
«
un
A
2.
men) est
tel, fils
deux
les
Re Adjectif,
((
sens, mais
Jt^eXcyjpj
« tel
autre, aussi » (S.
KG,
signifie « autre » et
il
:
îiG JJIi 2^61-
de racine différente (égyp. «
un
jeune
tel » qui est rare
:
homme »^
(Ce) est adjectif et adverbe.
précède toujours
nom. Celui-
le
peut être déterminé ou indéterminé; lorsqu'il est indéterminé,
ne prend pas d'article au singulier; au .i~-.Ke-^iî.a)J « l'autre moitié »*
JieJUL ;
sigles 2^2^
.
Ke-^.}\OV
«
pluriel,
ou de
il
Devant
I.
Jt
^-,
les
En
ce sens
noms
et
il
J-Ke-OVpcMOT
Il-Ke-Hpa32i.HC
1
Ord. 17..
4. Ex. 24, 6. 7.
Luc 23,
15.
-2;
1
précédé de
parfois les
pronoms
« les rois
aussi «^
Hérode
aussi »'.
«
« toi aussi
Ord. 21.
5. Kef. 8.
:
».
l'article
s'emploie dans deux cas
même
n-Ke-JTOOK ^CUK
1.
prend ^«î-JÏ
il
;
signifie « aussi » et doit être
ses dérivés.
il
***
avec un autre enfant »^
^iS,Jl-Ke-«î,7\cyOTJ « d'autres enfants Adverbe,
112
tel ».
même
mot composé ni-<^-Ai^Jl
n«î.<^JUL«î.il
ci
d'un
peu près de
le
»\
telle ville
L'expression grecque équivalente qui se trouve
dans V Ordinal est indiquée par
JtOC
de
« l'église
334..
Zoega 115.
•
5.
:
»^
HM.
205.
6. Bar. 6, 50.
:
n
ii4
Proûoms
50 115
Devant
2.
l'infinitif
indéfinis.
des verbes, sous
forme ep-ïl-KG-
la
:
TeJl-ep-n-Ke-CiX.2î:J «nous parlons aussi»*.
iq-ep-n-Ke-OVCUpn 116
«
il
e)CeT, fém. X^'l^
nj-^eT
«
K.e^a50VJlJ ploi
^st toujours
H^J-^GT
l'autre »,
'*
^^s ^"tres »
autre
pluriel
subst.
».
même em-
et a le
;
^l.S\.-Ke'^^0'^m
« d'au-
».
Chacun^
Pour traduire avec
«
chacun
»,
chaque.
indéterminée
masc. ^-OTiX.J
On
traduit «
détermine
chaque
«
si el-
»
»^ ;
».
en répétant deux
fois le
nom que ce mot
:
nJO^J HJO^J
<(
chaque année
»
:
«
chaque jour
.)*.
chaque troupeau »^
L'adjectif « chaque »
se
rend par
TeJl- dans l'expression
OTCOIl XlTeJipOJULU J
«
une
fois
chaque
»*.
1.
Hébr. 6, 9.
2.
AM. 254.
4.
Mt.
5.
Gen. 32, 16.
;
déterminée, sans article,
nj-OViS.J nj-OT^î-J « chacun
chacune
nie^OOT nie^OOV
année
OTJ
fois
:
^-OV^J,
e-OVJ 0-OTJ
fém.
OV^J
f.
on répète deux
l'article défini si l'expression est
le est
34
))^
employé
:
tres
«
« cet
de
« autres » lui sert
JlJ-xe;/!"^^'^^^
**'
envoyé
a aussi
Cf.
6, 34.
AH. 88.
.
3. 6.
Th. 149. Ex. 30,
10
;
Lév.
16,
Pronoms
UHty
et
K0T2tJ
OOTO verbe avec
est
((
-
u peu de jours »l
^JJiiS. JiTecf eji
le sens
parole, chose »
<.
exalter
de pronoms
:
«J.
^oto-ott<î.^ eSo>\
rapporte plus de fruits
substantifs pcUJULJ
fut pénible
»'.
:
ep-^OTO-^^SCS
les
être
un adverbe qui peut déterminer un substantif ou un
ep-
le purifiera afin qu'il
Dans
beaucoup de jours
«
Jte^OOT
qjii5.TOTSoq
fois
noms qui peuvent
:
he^OOT
^iLJl-K0T2S: J
51.
sont proprement des
employés adjectivement
OT-JULHCy
indéfinis.
grandement
homme
nJC«S.2S:J 2.6
»,
».
^tuS
cycunj
«
aussi
chose
eqn^uJT
w''.
1.
Nomb. 20,
4.
Geu. 21, 11.
15. Cf.
2.
D. 536.
AB. 44, 45.
il
»'.
indéfinis, s'emploient «
«
3.
Jean 15,
2.
quelque»,
« la
C«î,2t J
chose
ii9
'Noms primitifs.
S^
NOM.
ÏI.
120
Sous
le
terme de nom nous comprenons
ici les
substantifs,
les
nombres.
adjectifs et les
CHAPITRE
VI.
FORMATION, GENRE ET NOMBRE DES NOMS. Formation et genre.
I.
Les noms sont
121
Les noms tion
:
COJÏ
:
primitifs, dérivés
primitifs sont
formés de
ou composés. racine elle-même sans addi-
la
« frère ».
Les noms dérivés sont formés d'une racine «
sœur
et
de suffixes
:
CttJXI-J
».
Les noms composés sont formés d'une racine et de préfixes.
Nous appelons
préfixe tout
autre mot et unis à
lui
dans l'écriture
1.
Les noms
mot ou toute
Noms
ici
JtieT-COJÎ
i
J
« fraternité ».
primitifs.
primitifs ont été transcrits
règles exposées plus haut §
venir
:
particule mis en tête d'un
de l'égyptien d'après
et suivants.
Il
est
donc
inutile
les
de re-
sur leur formation.
Genre.
122
II
y a en copte deux genres
:
le
masculin et
le
féminin.
En égyp-
Noms noms féminins
tien les
étaient terminés
ayant disparu en copte (22), les
même aussi
que
finale
tombée
est
t
la
cette terminaison
;
noms féminins
offrent souvent la
dernière consonne est
:
masc. ptUJtlJ, COJÎJ Il
par
noms masculins dont
les
(21)
5â
primitifa.
donc impossible de
;
fém. C^JJULJ, CtOltJ.
les distinguer à leur
forme extérieure.
On
peut cependant faire les remarques suivantes
1.
Quelques noms sont des deux genres avec une différence
de sens
:
'f'-<S,^e «
'f'-SHT 'j^-ZOJ
<(
le
n J-«S.7vOY nj-e^e
A
n J-à<^e « n J-Sht
tête »,
la
« la côte »,
mur
Avec une
2.
((
n J-2Î.0J
»,
le
<(
garçon
»,
bœuf»,
« le
désignent
nj-i7\07\J
((
n J-KCJtTe
« la figue »,
n J4.
"i"-
le raisin »,
môme
cSe
;
palme
»
« la
barque
»,
les
;
».
:
'f"-<î.>\OT «
la fille »
'1^-e^e
vache
« la
noms de
;
».
fruits qui
sens
« la vigne »
^-KejlTe
« le figuier ».
nj-
;
noms gardent
nj-nnevjtii
.•
:
;
:
« la porte »
autres
au masc.
"f -«S.7\oXj
^-
ZieSc
Les noms neutres grecs sont déterminés par
en copte, corps
le
chef »
la
lui-même, et au fém. l'arbre producteur
le fruit
Dans
le
de sexe (noms épicènes)
diflférence
cette catégorie se rattachent les
3.
12 3
:
leur genre
:
((
le
charbon
l'article
».
masc.
llJ-CCUlli
<(
le
« l'esprit ».
2.
Noms
dérivés.
Les principales terminaisons qui s'ajoutent à
mer de nouveaux mots sont 6,
J, (M, Cf ,
C, T.
la
racine pour for-
'
Noms
54 *24
e masc,
I.
^
ou bien G après
T
disparu après
H fém.
la
tt)<5.çf
méchant
125
«
h
OTOScyj HIlJ
<(
^pH25:J
»,
de
douceur
le
»,
KOTp
sourd
2î:<î.ZU5
eT<^CW 4-
«
»,
<(
vêtement
fardeau
Çf
tyopnj
cyoïl'j-
»,
de
»,
de tOTIl
»,
« allégresse »,
»,
même
Cf
des verbes lorsqu'on veut
de personne
n-TOîJïcj
<(
:
devenir doux »
;
devenir lourd
».
:
noms féminins <(
vêtir »
avec les
:
;
cuire»
;
« porter ».
:
« atteler »
pOJOTT
de
les
;
« joyeux ».
formes avec suffixes des noms
prendre dans un sens absolu, sans
:
l'action
de se
lever »,
p<Î.Jl^Ç| « le bon plaisir »,
nj-neeji«i.ne(!j
;
».
;
de JlO^eS
«
indication
;
« blanc »,
2S:tU2S: « faire
ptUOTTq
emploie de
;
»,
«
forme des noms masculins joug
»
;
de ^OîSc
JliL^Seçj
On
prend
fém. K<X.Tpj.
marmite
<(
«
de ^p02S.
^ forme également des
^eScOî
127
compter
»
« limite »
féminin de quelques adjectifs
« trois », fém.
«
OTOSty
de ^7\02t
« premier », fém.
3-
dur
« être
de
»,
CUÏl «
ajûJULT
126
et
de JtcyOT
« pesanteur »,
forme aussi
cyopn
»,
se tromper
«
de eocy
« voisin »,
blancheur
((
nombre
«
^7^H2t J
J
dur
cyCUCf T
de
»,
de «jCUCf «dévaster
« désert »,
forme des substantifs féminins
J
2.
le radical
;
première consonne. La terminaison a parfois
oecye, fém. eecyn JiecyTe
forment des adjectifs
:
ty«i.qe, fém. çy«X.Ç[T «
dérivés.
« le
bien
de TtOOVJT
de p^JIG»,
de
« se lever »
« plaire à »
ee ji^s-ite
«#
«
;
bon
»
;
;
Noms
n J-<M^piÇ[ « face »
composés.
humain
« le respect
de oi
«
prendre » et
^p
«»
;
•f -lieTp^JI^Çf hpÇMllJ 5.
C forme des noms
.^CUOVTC
réunion
«
Ke7\nC
« vol »,
ep^HC
« aiguille »,
COpjUiec 6.
»,
complaisance humaine
« voler
de Otupil
«
de COjpeJUL ou
« serviteur »,
JT
« réunir »
J^'^
»
coudre
»
;
;
« errer ».
129
:
^UîX
« voler
de Aiej, JUieJIpe-
« ami »,
128
;
de cyeJULO) J « servir »
de
»•.
:
OOJOVf-
de
« oiseau JtU» »,
JtienpJT
« la
féminins
KCwAn
T vocalisé HT
^i?\HT Ces
de
« erreur »,
cyeJULCyHT
((
»
jli»
aimer
;
;
».
derniers mots sont des qualitatifs devenus substantifs.
3.
La première
partie
nom, un verbe ou une
La seconde à
»,
55
Noms
composés.
du composé,
le préfixe (121),
particule. C'est toujours
partie, qui a l'accent tonique, est
peut être un
i30
une forme abrégée.
un nom ou un verbe
l'infinitif.
î.
Il
est
un nom.
y a en copte un nombre assez restreint de noms qui ont une
forme abrégée Voici les
1.
Le préfixe
C.
et
peuvent être employés
comme
principaux avec quelques exemples
189,23.
préfixes. :
I3i
Noms
56
1.
JOp Jip-
2.
JO^J
3.
Jtl^-Jl- «
4.
JIHS JieS-
est
canal »,
«
Jiî.^-
Exemples
((
champ
Heu de ((
i.
:
»,
»,
reine
CeOJ C0T- C^-
(grand canal)
8.
champ
«
grand
i)e7\7\W
meure
Jtl^Jt^ÇUT
»,
^«5Tn
«
occident
JteSHJ
4.
« maître
profession tants
:
,'.
;
((
refuge
»,
OVpO
(cf.
vieille
roi,
femme). vigne
«
»,
JtliitcyCMIlJ « de-
:
JUL^JIÙJJ,J
Jliiit-
« orient »,
».
»,
JteSjO^J
et plus généralement
nom de
devant un
peilh^tuS
peJULÀlSeTC
ville
«ouvrier»,
«guerrier,
JULSiX.KJ « citadin », 6.
»,
qui ne s'est
Ji^^7\0^J
d'oliviers »,
maître de maison »,
du troupeau
peAl-
5.
»,
odeur
« forêt ».
JUL^-Jt- est toujours suivi d'un verbe
5.
» et
noms composés
vieillard,
«
fleuve, le Nil »..0 fém. «5
<>
ég. signifiait « les
«
^cX- « personne », ^CWS ^éS- « chose ».
JApO
J^gZCUJT
2.
5^'^^^iin
6.
»,
£)e7v?vO
;
pCWJULJ.peil-
maître
maintenu en copte que dans
homme
5;
7.
un ancien adjectif qui en
OTpcw
composés.
JteSi^J
âgé
«
«maître du champ
»,
JieSogJ
».
peilJt- forme des noms de ou de
lieu,
il
peUp^KOi^
peULh^HiU
peJUL^^c^OJJÏJKH
CeOJJlOTqj COTJlOTqr
«
«
indique «
les habi-
Alexandrin»,
Egyptien
»,
peJUL-
Phénicien»*.
«encens, bonne
odeur»,
CeOjSOîil cevSOJJl «mauvaise odeur». 7.
« jeune lard », H.
^e7\-
homme
»,
iieX7\ÇM
C. 94, 18,
employé
qu'en
^eT^ty^jpj « vieille
^éSJlOVq J
tion ».
J.
n'est
«
femme
composition
« jeune
fille
»
;
:
^eT^cyjpj
^e^^O
« vieil-
».
bonne action
»,
^eSScUJt
« mauvaise ac-
Noms
Le préfixe
2.
Dans ces composés,
un verbe.
est
seconde partie
un
est toujours
substantif;
sont de tout point semblables aux mots composés français coupe-
ils
papier, garde-robe, etc. le
la
&7
composés.
;
Le verbe prend
le substantif reste invariable
y a
après
la
première radica-
:
Jtl<î.J-nOT'f « qui aime Dieu Il
<î.
de lie J
»,
a aimer ».
une quinzaine de verbes qui forment des composés
ainsi
;
ces mots s'emploient adjectivement, c.-à-d. après un substantif auquel ils
moyen de
s'unissent au <î.Jt-tye
^HcyO
« chef
de mille
JUL^J-^^T pauvres
»,
Tels sont
de
AjSj
Jti^J-pcuilJ « qui aime
hommes
les
((
à tête
OT<J,JUL-C JIOCJ « sanguinaire
u faire paître »,
de
»,
htyOT
de OTCUil
»,
de f^JCJ
u être
«
^â.<^-n.Of
à moitié mort » de "^CWOJ « diviser
c(
«
« meurtrier »
», etc.
« faire cuire ».
a|
^tUTeS
de
».
Z:<î-q-^HT
« tuer ».
Dieu», de cyeiicyj «ser-
«serviteur de
ty<î.JULa)e-JtOT'^
2:iî.Sj-^HT
».
messager», de Ç[^J «porter».
^«î,TeS-ptWJULJ
vir »,
».
dur
manger
«
c^«î,C-COZejI
q^j-cyjJtJ
les
», etc.
dure
parfumeur
aime
« qui
», etc.
berger, pasteur », de llOJtJ
ll«î.Jt-2Ç:iDL0T>\ « chamelier
JIi5.tyT-JI^^S J
«délirer».
11<Î.J-^HKJ
« qui aime l'argent »,
<(
»,
».
« luxurieux »,
JUL^JI-ecUJOT
:
de cent, centenier » de JJIJ « conduire
« chef
7^^
Jt.
».
(XeSj)
«lâche», de
a être
faible ».
X^Z-OJiJ
«qui a
6^J-Se^e « salaire
».
le
nez coupé
»,
de StCUZ
«
couper
«mercenaire», de oi «recevoir»
et
».
Se^e
132
Noms
58
6^CJ-S^>^
composés.
«orgueilleux», de
«exalter»;
(Î^CJ^,HT
((fier, altier ».
Le préfixe
5.
133
une particule.
est
Voici les principales particules préfixes
iJt- (collection),
C^
iT-
cyOT- «
c(
sans »,
^^-
e- (profession),
peq134
((ouvrier»,
« action de
».
(agent),
iJl- s'unit surtout aux noms de nombres pour indiquer lection
((
sept », ^Jicy^ajç[ « semaine »
JtXeT « dix
^JtJUieT
»,
« dizaine »
il
(T^JOV) «cinquante
»,
P
(jy^) « cent», «X.Jip
centaine »
tyo
On liers
de
On
« mille »,
même
peut
milliers
((
col-
((
:
;
;
des milliers
redoubler ^Jt-
»
».
JlJ<î.Jl^Jltyo
iicyo
trouve aussi <î.Jt-T«50T « chaîne de montagnes
S
?^
Al
Th. 77.
les mil-
».
adjectifs privatifs
:
« sans
;
âme, lâche
s'emploie surtout avec :
p) forme des
Jt
<Î.TCJULH « sans voix, muet »
^T'^'f^^ « pouvoir»
((
»^.
d'un fréquent usage
^T
;
;
^Jlït « cinquantaine
^^-Jl-^JltyO
^JT- (^0- devant
1.
la
;
cy^-Çyçf
135
»,
(commencement),
2. J JI-
(état),
de
(jigne
^ill-,iO.-
(abondance),
7^<î.-
JULGT- Jtiee-
:
(profession),
»
;
l'infinitif
potentiel formé
de $y-
.Noms composés.
^TCy4Î.ll<î.^J « impuissant
59
»,
JUL110Ç[ «indicible».
,î.TCyCiS.2!::J
e- forme avec un verbe quelques noms de profession
KCMT
« construire »,
cyÇUT
négocier
<(
A<î.-
adjectifs
à
un
fait
GKOlîT
etytOT
»,
:
« négociant
}\i2î;^}\
^^ll^^T
« glouton
les substantifs
« touffu »,
JULHJ «
vrai »,
OV«î,J
un
COJJtT
«
»,
JUieeJULHJ
« vérité »
JULCeOY^J
« unité ».
nom
le
d'agent
« créer »,
Tinfînitif
139
« créateur »
pecjJULOîOTT
L'infinitif
peut avoir un complément
sauveur
KI.U et dans
«
être mort »,
suivi
de
-ft
« mort
;
».
n«î.pe
:
forme des noms de profession
corde
»,
CiJtKilI
« cordier »
« fabricant
Sur l'origine égyptienne IV, :>31.
i40
:
;
;
:
C<S.-JUL-JULeeJI0V2S: « menteur
»
;
malade»
cuir », C<S,.ftcy<î.p « corroyeur »
Ci-JUL-neT^OîOT
1.
«
».
un sens métaphorique
Sphinx
;
:
pecf CCUJtT
a
Ci
«
elle qualitatif des verbes
abstraits
;
JULtUOTT
((
«tout
138
peqOjOJiïJ
ty<S.p
137
qui sont
cytUJtJ « être malade »,
mon
et les
»\
JtiLeTiS,?\OV « enfance »
»,
peç[- s'emploie devant pour former
^^OT^J
:
<î.7\0T « enfant
«
i36
;
JtieT- AieO- forme des substantifs tous féminins
:
».
indique l'abondance devant
^<î.Çf«3J u poilu »,
»,
« architecte «
fie
de mal, méchant »
;
».
7\i-,
cf.
une note
.le
A'.
Pie/il
dans
Noms composés.
60 141
cyov-
de » forme des
« digne
à l'état pronominal
:
T^ JO « vénérer », OJOTT^ JO ^
.
JUieJ «aimer»,
eptyc^Hpj ble »
adjectifs qui sont toujours
« vénérable »
cyOTiieJtpJTj^ digne
tyOTepcy^Hpj
« admirer »,
;
d'être aimé »;
ilJULO **« admira-
;
OTpOîJULJ hcyOVTi^JOÇj «un homme vénérable».
^^11-,
« ouvrier »,
signifiait
sion
du
et par chute il
^
un ancien mot qui
initial <î.ll-, est
est resté dans quelques
noms de
profes-
:
cye « bois
KG A J chose
^^-W-^ye,
indique
^Haje
^^-ilKe7\ J
« serrure »,
g^-
142
»,
le plus
« charpentier »
« serrurier
;
».
commencement d'une
haut point, le
* :
po « bouche », ^<î.Jtpo « lèvre » TOOYJ « la matinée », ^a.-JIi-TOOVJ « le matin » pOT^J « la soirée », ^^-JtiL-pOT^J « le soir» ;
;
;
JUiep J « midi La. particule
de
^H
143
«
^^-Jî^-liep J
»,
^^-
«
midi
peut être considérée
commencement
».
comme
Oîcy «
Ces quand
ils
lire »,
n JStJJlJULOcyj
njXJncuoJ
indiquent
«
la
«t^îtJ JliJULOJt J
manîère dont est
JITOT ^
i" Z J JIO^J ep^T ^
G. 88. 2.
marche »
« l'action de lire
2.
a
la
patience »
« la tenue
Ib. 6.
ils
»' ;
)
-.
;
».
faite l'action
verbe, plutôt que cette action elle-même,
1.
la
{jj^
sont généralement du masculin.
substantifs
construit
».
ZiJJl- (S. 6jJt-) forme le substantif verbal
JtlOcyj « marcher»,
l'état
Cependant
exprimée par
sont du féminin ;*
:
le
Pluriel des noms.
"i^St JJÏC^XJ « la conversation »
* ;
'j^2S:JJiep^«5â «la manière d'agir Remarques,
un 11
parfois
Spe^J
sans changer de sens
llSpe^ J « char » llSp^J « plat de lentilles
et
Sp<î-J et
et
llSpov;/!^^
prennent
^44
:
eJtajOT
»,
;
^
».
fy prennent aussi Jt et
:
= S{^^,^i = eJia)iS.cy
«yOJT « couper
»
« sauterelle
Les mots qui commencent par
quelquefois changent de sens a|<5.a|J
S
;
SpOT;X!OC 2.
»'.
Les mots qui commencent par
i.
initial
61
J
« amertume
« hache
»
»
;
;
= JIX*^J = e«X*^J « chose » ;X;poi^ = eJi;XiP^'1^ enfants». X*^J
;
«
II.
Pluriel des noms.
y a en copte deux nombres
Il
Pour
la
:
plupart des noms, le pluriel est semblable au singulier,
ne se distingue que par l'article
n j-cynpj
« le
fils
»,
JiJ-cyHpj «
« les
les
hommes
»;
fils ».
Cependant un assez grand nombre de noms ont au
Dans
terminaison particulière. pluriel étaient la
w
pour
le
le plur.
fém. en
masc, wt (prononcé
1. 1.
Noms
La terminaison
OVJ
Ib. 7.
une
ouit)
(S.
pour
OV
du
le féminin. ;
de
la
se-
OVe).
Pluriels masculins. 146
masculins terminés par une voyelle.
OV
peut être précédée des voyelles
centuées. 1.
pluriel
l'ancien égyptien les terminaisons
première, dérive en copte le plur. masc. en
conde,
il
:
nj-pcullJ «l'homme», XïJ-pcwllJ
De
145
le singulier et le pluriel.
2. D.
539.
Cl)
He
ac-
Pluriel dea noms.
62
tUOV forme
I.
des noms masc. terminés en
le pluriel
O
:
po « porte », pi ptWOT OTpo « roi », pi OVpwOT J^po « fleuve », pi Ji5,p«50V eSO « muet », pi. eSOîOT; ;
;
;
OTeîXpO
((
montant de porte
OjeJULJULO « étranger
ClJTeKO
», pi.
Quelques n^ms en O ont
^e}\7\0
« vieillard »
HOV
2.
terminés en
6
cyne
«
un
pi.
plur.
« salaire
», pi.
», pi.
le pluriel
^UipHOT
Se;X!HOV
cyjtHov
filet », pi.
»,
pi
(124)
barque
;
des substantifs masculins
(S.
;
;
;
COJl
:
« frère », pi.
eZHOV.
», pi.
eT
eeT) forme
CJIHOV
;
^ pluriel
le
des noms dérivés en e
:
c«s.Se « sage
», pi.
CiLSeT
Se>v>\ec(avcugle»,p/.
iieepe
«
témoin
2.
147
:
p^î-U^OJ
cyXHOV.
Suivent cette règle les deux mots
3.
en OJ
:
cyste « sauterelle
25:0 J «
;
^e>\A0J.
HT) forme
(S.
iî-JUipe « boulanger
Se;Xi^
aussi
pi p^.S±^.^0'ï' et
»,
;
pi OjTeKOJOV.
« prison »,
pa,JUL^O «riche
pL OTestpCMOV
»,
çyeJULAJLCUOT
« voisin »,
pi.
Se>\>\eT; ty^qea désert »,p/.
», pi.
Noms
eecye
;
juieepev
eetyeT
;
cy<x.ç[ev.
;
masculins terminés par une consonne.
Les noms terminés par une consonne forment, en général, leur pluriel par
un changement intérieur de voyelles. C'est quelque cho-
se d'analogue au pluriel brisé arabe se réduisent à quatre principaux I
*J.Jl<J.cy
.
^V
(j31\
^1).
Les changements
:
dans les mots suivants
a serment », pi. <X.Jl<J.VÇy
;
:
CJIA.^ « Jien
»;
pi CJl<J.Vg
;
Pluriel des noms.
iJ,e^^
fardeau
(c
pi l.Ol.'V^
»,
<^m,^
;
JULK^^
« douleur, peine », pi JULK<Î.V^
eetoty
« Ethiopien», pi
(^>\02t
« pied
»,
pi
dans plusieurs autres
« chien
*^^«3p
cheval » {21), pi
cyXoK
« cruche
&HT
OVpJT
pi SiS.^
«ami, chéri
»,
« dixième
« premier
»,
marchand
JneçycycMT JULXIOTT ainsi
^SOJC
;
;
;
semence», pi zpOîSS:.
«
forment leur pluriel en
;
iHenpi.'t
dime
;
;
»,
^^"^^^
pi peiXl.'^
;
;
pi ^OT^,'f.
»,
pi l^^OKl
la
voyelle longue en brève et
<î,^a5<^ «géant», pi
;
ttJ^Hp ((Compagnon», pi a)c|»epj c(
et
;
iS.Sa3K « corbeau
etycUT
»,
pi
«aune», pi gÇf«5T
HT, JT
Quelques noms changent
4.
« habit
xpOÎK:
pi
partie,
^I.'Kh.T « oiseau», pi
^OVJT
p
« nation», pi. ty>\a3>\
;
;
« gardien », pi OTp^X.'i^
peJULHT
ajoutent J
cy^oX
;
Les noms terminés en
JtienpJT
;
;
geojp ^qOT
pi ty>\C«K
« palme »,
(^m.T^
CM dans les mots terminés par
;
^eOc(
3.
pi.
;
OY^Oîp ^SOC
», pi.
»,
bras »,
:
iX.^0 «trésor» (21), pi
OT^op
eo^Vty
a
(^^.}\^.'ï"£..
Changement de O en
2.
63
«
((
pi
»,
champ
»,
mamelle»
que tous
£^0^
JCWT
pi juiecytyo'f
(29),
les autres
;
;
<(
JULOVT
pi JuLJlO-t"
i<^Oc^J
père », pi JO-j^
((nerf»(29),p/.
;
;
HOi"
;
;
;
noms en CMT. Le mot
£)pO^
((
enfants »
n'a pas conservé son singulier.
2. Pluriels féminins.
La terminaison du
pluriel féminin
OTJ
(145) peut être précédée
148
Pluriel des noms.
64
des voyelles accentuées CM H.
ÇMOTJ forme
1.
et
en
H
le pluriel
des noms féminins terminés en CM
:
eT^OJ
« poids, charge », pi.
epJULH
«
larme
GT^fOOT J
pi epJULOîOTJ.
»,
»
Quelques noms masculins forment leur nière
pluriel
de
même ma-
la
:
^>\0T
« enfant »,
pi.
l.7\^0Ti
peçf 25:03 « chantre
», pi.
Cc^jp«30TJ
((Côté », p/.
HOTJ
2.
chemin forme
», pi.
((
^pe
« nourriture, mets »,
tête »,
;
;
JULJTtUOTJ.
le pluriel
pi ^c|HOTJ
^<|e
;
peqXOJOVJ
Cf^jp
JULOî JT «
et
;
des noms féminins en
<^e «
;
pi.
ciel », pi.
^pHOTJ
Remarque.
pi.
est
Il
epc^HOTJ ^CWS
un
mombre de
certain
Tels sont
On
;
:
« chose», pi.
;
pas dans les modèles qui précèdent.
:
;
d'une manière analogue celui des masculins
epc^ej «temple»,
6
^HOV J
les
pluriels
^ShoTJ.
qui n'entrent
apprendra par l'usage.
:
^JOJULJ
de C^JJULJ
plur.
«
femme
»
;
^JULi5.J0T plur. de JOJUL « mer».
Remarques pour V emploi du 149
La forme du
I.
de mots
;
on
les
JlJ-t^HOVJ
dit
apprendra par
le
« les cieux » (et
également
pour un certain nombre
dictionnaire
:
non pas 111-^6).
Les autres peuvent garder au
2.
en
pluriel est obligatoire
pluriel.
pluriel la
forme du sing.
JlJK^.>\^JULc^O et JIJKiS,>^iS.JULc|^a50V «les collines 11
y
a
;
ainsi-
:
».
cependant cette différence entre ces deux manières de
Apposition.
s'exprimer, que
forme du
la
6ï
avec
sing.
l'article
défini
plutôt plusieurs indiuidus pris séparément, tandis
que
pluriel désigne l'espèce, l'ensemble, la collectivité
me
prend plus volontiers Jl J-C«S.^ « les
^^Jt
la
indique
forme du
aussi cette for-
:
scribes » (pris individuellement),
^iJl-C^£)eT bes
l'article indéfini
;
pi.
« quelques scribes, un certain nombre de
scri-
».
Noms
grecs.
Les noms grecs introduits en copte ne changent pas au pluriel
:
151
nJCOJJULiî., JtJCOJJUL^Î.. Il
me
iT?
n'y a d'exception que pour
» qui ont parfois
En
S. les
un
pluriel
copte
H
noms grecs en
:
«
cour » et '^'ï'Xi^
«î.T>vHOV, '>îr'r;)(^HOT ou
ont parfois un plur. en
CHAPITRE
" ^"
OOTe
:
VII.
RELATIONS DES NOMS ENTR'EUX. I,
I.
Lorsqu'un nom
un nom propre,
il
Apposition.
commun ou
le suit
avec
propre est mis en apposition à
l'article et
JCUiLJlilHC njpeqi^CWJULC
«
sans particule
Jean-Baptistc
5
».
:
152
Apposition.
66
novpo
Hpciîa.HC
Hérode
a le roi
<^^ a le Seigneur Dieu ». sc^,^.K neqcynpj « son fils Isaac
»'.
11(^0 JC
Lorsqu'un nom
2.
mun ou
un pronom,
à
il
n jptUJULJ
XOÎT
2:6 25.6
Parfois 2î.e est supprimé
l'est
Il
»
a
:
de Keft
noms
«J.n^ nOjCUJ « l'abbé Bschai
nom commun, (h. 28)
il
))^
qui indiquent des titres honorifi-
ll^K^p JOC
iSSiJ. 2^«î,nJH^ « l'abbé Daniel
3.
« le mois
est uni à lui
;
après
^SOT « mois »
:
».
».
d'Epip»l
commun
est
mis en apposition à un autre
comme un
adjectif au
moyen de
JI
:
JieJIJO^ JI^nOCTO>\OC njCOJt
)±HXOm.^OC
Quelquefois
il
prend
« nos Pèfes, les Apôtres».
« le frère
moine
l'article sans Jt
»'.
:
JieKeSj^,JK JlJnpoc^HTHC «tes tes »
qu'on
un arbre appelé sabek »\
« la ville
Lorsqu'un nom
2t.e
:
iSS<S., ^11^,
nj^SOT enHn
nom com-
l'homme nommé Lot »^
toujours après les
comme
ques
«
C^SeK
i^noXlC KeçjT
précédé de
est ordinairement
nommé
pourrait traduire par «
OTCyaiH JI
»\
propre est mis en apposition à un
serviteurs, les prophè-
*.
4.
L'apposition d'un
fixe se fait au
moyen de
«S.J10K ^«J.
1. Mt. 2, 1. 4. ()en.22,l.*î.
7. Kef.
352.
nom la
à
un pronom personnel absolu ou
particule
£)i
:
nJ2«jS hpeqepjloSj
2. 5.
8.
Gen. 22, 6. Kef. 415. Bar. 2, 26.
af-
« moi, faible pécheur))^
G.
Gen. 19, 9. Kef. 415.
9.
Th. 290.
3.
67
Annexion.
^^
THpeJI
^JlOJt
ïieK}\^OC
« nous tous, ton peuple »'.
OVOJ JlOîTen ^l. JtJp^ll^OJ Lorsque
mot mis en apposition
le
Un nom
5.
de nombre
^VO^ J ep^TOV deux
m.is
malheur à vous, riches
a
un pronom,
est
en apposition prend
JULllCJl^V
deux ensemble
JtlIlCJt«Î.V
se tinrent debout, tous les
eTCOn
«ils s'en allèrent, tous les
Annexion.
son complément déterminatif. Pour
nom
pellerons le premier
uiUll
régi au
nom
faisait
régissant
noms composés
En
régissant
(
cJUil
rapport d'un
nom
à
156
second nom régi
et le
)
(
J
Jt
(k
devant
i.
:
qu'il n'a pas d'article
Th. 128. Gen. 22,
^
le
nom
if) et JtTe.
Luc
régi est indéterminé, c-à-d.
une couronne d'or
6, 24.
forme
h.
:
«
h
déterminée.
it^^'ï' « un collier d'argent
2. 6.
S 11 H
Emploi de
Quand
0T')r'^011 hjtOVS
OV'^'Ko'h
157
en copte au moyen des
fait
itTG l'annexion
1.
s'emploie
nom
i ).
l'annexion indéterminée,
Jï (il)
simple addition du
la
nous en est resté quelques exemples dans
il
:
i
en égyptien par
dehors de ce cas, l'annexion se
deux particules
1.
le
éviter toute équivoque, nous ap-
).
L'annexion se
4.
:
« ils
Nous entendons par annexion (*iUi)
les
Jl (Al)
))\
II.
<Ji
voir § 6}.
))^.
^Ttye JIOJOT
(
))"\
3.
»
;
».
AM.
150, 20.
158
Annexion.
68
Après
2.
de
locutions prépositives
les
JUL-n-eJULOO
»,
^ J-T-^H
«
devant
«
en présence de
«
Après
iTpHXCf ÀinK^X-^J
4.
nom
le
:
ll^pjiS» JtTe
J^KOjSoC
le
i^^O'i" JITe
i.
J.
Quand régi a
le
un
»*.
nom
terre
Sien
»*.
:
JiTe.
«
:
Marie, (mère) de Jacob )A
•f'UiX.T^jTvei «à Cana de Galilée»'.
régissant a l'article fort IIJ
n(^ JC
nom
la
«
la
crainte
ou
« le
indéfini
« l'arbre
0T;X^>\011 JITe ^^J-JI^JULOT
«
"f
JIJ
grincement des dents
de
Pr. 3, 4.
7.
Jean 2,
1.
10. Pr. 3, 18.
2. Pr. 1, 27. 5.
Pa. 33, 16.
8. Pr.
1, 7.
11. Pr. 1, 0.
))^
OV ^^Jl et que
:
vie »'".
une couronne de grâces »".
^^J-Jipoiinj JlTe n«3Jl£) « des années de vie»*l
1.
:
du Seigneur »^
régissant a l'article indéfini
article défini
OVcyojHJt JITe ntUJl^
4. Pr. 8, 24.
:
»"'.
Entre deux noms propres
n JCeepTep JlTe JtJJt^Z^J nom
»,
yeux du Seigneur »^
« les
JlTe s'emploie
^eJl TKl.m. JITe
le
en face de
avant les collines
Emploi de
2.
Lorsque
<(
de
régissant a l'article
nenStl,7\ JULIK^ JC
2.
manière
comme une tempête »^
«
« l'extrémité
hjtJK
v«S.JUL^O
Lorsque
la
formes avec suffixes des substantifs cités au § ^5
les
èiLZCUOV
«
en présence du Seigneur
il^pH^ h0VC4S.p^eH0V 3.
^«S.-T-^H
»,
« à
», etc.
Àtn^^JC
JULIieJULOO
ll-^-pH't'
3. Jér. 10, 13. 6.
Luc 24,
9.
Mt.
10.
8, 12.
12. Pr. 2, 19.
Formation des
Quand
4.
déterminatif
nom
le
régi est séparé
de
nKiX.^J
maison
la
THpq
Remarques,
i
.
nHJ ÀinjCpiHTv
JlTe X"-**-^
Jl
le
nom
« toute
la
terre d'Egypte»'.
régissant a l'article faible
la
préposition de l'annexion
JULneiieO JUin^îOJC hommes
II
T,
ou SVTG.
Lorsqu'il y a plusieurs compléments déterminatifs à
2.
on ne répète pas
la suite,
:
JteJtl JljpOîJULJ « devant le Seigneur
n^.
^<J.JliJ.^a5p JIJIOTS
gent
«les bre-
d'Israël »*.
Lorsque
on emploie à volonté
et les
du nom régissant par quelque
:
JÏJeCOJOV eTCWpeJUL JlTe bis égarées
69
adjectifs.
^J
^Ul
«des
trésors d'or et d'ar-
))\
CHAPITRE
VIII.
DES ADJECTIFS EN PARTICULIER. I.
Formation.
La langue copte possède relativement peu
ment
dits,
surtout d'adjectifs primitifs.
mation des adjectifs dérivés; et§§ 135,
On i
a
d'adjectifs
vu §§ 124, 125,
J7, 141, celle
composés.
1.
Mt. 10,
6.
4. Pr. 3, 14.
2.
Ex.
8, 20.
propre-
3. Pr. 3, 4,
la for-
des adjectifs
16O
Formation des
70
On
supplée au
1.
Au moyen de
manque
adjectifs.
d'adjectifs
de deux manières
l'annexion (158,
i)
:
:
n jp^î-Jl hoVX^ J a le nom salutaire »*. •j^CJULH hjIOT^ « la voix divine »"'.
Au moyen du
2,
pour
les substantifs
qualitatif
des verbes, précédé du
déterminés et
de
l'auxiliaire
présent) pour les substantifs indéterminés
{}'
n jnjteTJUlii. eeOT^S
«
L'Esprit-Saint »
indét.
OTnJterJUL^
eqoV^S
a
un esprit
dél.
Jl JJULOÎJT
indél.
^iJllJL^ JtJULOO) J eTCOTTCUJl
\
(
PI I
Pour ce faire
eTCOTTCWJl
qui concerne
détermination,
la
saint
il
Lorsque
terminée
le qualitatif est attribut,
y
a
))^
deux remarques
à
il
a toujours la forme indé-
:
tes voies droites 2.
CT
suivi
de >njSeJÏ
est considéré
comme déterminé
:
^tuS JljSexi eT-T^JHOTT
« tout
oTOJi JijSeji eT-cyoïi ^ejt
jij8iî.KJ Jiejui
eT-pHT dans les
encyoîj eSo>\
villes et
Th. 131.
4. IV. 2, 13.
Pr. 3,
1.-).
«il gardera
»''.
Tout mot
demande
7.
;
« des voies droites
eqe4i.pe^ e neKStxi.n(^7LS eT-covTcujt
1-
"^
:
1.
et
;
»^
voies droites »
« les
GT
les suffixes
:
dél.
t
^"
relatif
6 ^ avec
ce qui est précieux n\
^en rk^^j
« tous
^osS
ceux qui sont
tout ce qui pousse de terre»*.
2. G. 84.
3.
Th. 171.
5. Pr. 2, 20.
6.
Pr. 4, 27.
8.
Gen. 19, 2Ô.
Jt jSeji
Place de
Place de
II.
Les adjectifs le substantif
Le mot
;
l'adjectif.
primitifs et dérivés se placent soit avant, soit après
les adjectifs
composés se placent toujours
164
après.
qui est au premier rang, substantif ou adjectif, reçoit
que demande
l'article
71
l'adjectif.
sens
le
jours uni au premier au
;
celui qui est au
moyen de
Jt et
second rang est tou-
sans article
:
'f"SiJ,KJ Jip4Î.JULiX,0 «la ville opulente»;
i^Jt jcyi" JULS*Î.K J
OVpOîJUL J JtC<î.Se
c(
((
la
grande
ville
l'homme sage
^<X.JtC^SH hc^JJULJ
« les
»
;
(49, 2) «^
femmes sages
;
»-.
Les adjectifs suivants se placent toujours avant Jt JCyi^ «
J102S. «
grand
KOVX J et les
grand
deux
^OTJT
»,
^^6
»,
adjectifs grecs
« le
165
:
»,
»,
<J.rJOC et JULOJtOUeJtHC
njJHOJlOï^eJlHC Jicynpj il
dernier
JULHO) « nombreux
« petit »,
JieK^X^JOC JULJULiLOHTHC «tes
Quand
«
le substantif
« premier »
:
saints disciples »'.
fils
unique
».
y a deux adjectifs, un seul peut précéder
substan-
le
166
tif:
OTKOTZiJ hiî,X0T
hCiî.je « un beau petit enfant»"
ninJCTOC ilSoJK OVO^ prudent
hCiJ.Se «le serviteur
;
fidèle
et
))".
JljSeJl « tout » se place toujours, sans qui reste au singulier, sans article
1.
Pr. 14, 17.
2. Pr. 14, 1.
4.
AM. 1,15.
.").
JT,
après le substantif
:
Mt. 24, 45,
3.
Bi".
1:^2.
iô""
Accord de
72
^(MS
Jl jSeJl «
Mais pour
le
mot *X^, «
est plus fréquent
Le verbe
toute chose
que
»,
ont été
faites par
4j.Tcya3n j
iX^.S {Nomb. i8, ji)
20, i?).
:
eÔo?\
^JTOTq « toutes
epOK
(tout esprit te loue»)^ le singulier
Cependant on trouve quelquefois
s'élève sera humilié
Accord de
l'adjectif.
adjectifs qui ont
un féminin
et
en genre et en nombre avec leur substantif
OTC<X.Sh JtC^JJULJ
^iJlC^SeT invariables
«
ils
«
pluriel s'accordent
:
»
ils
restent ordinairement
:
hpeil^e
De même,
le
«
il
nous rendra riches »\
« elle est libre
mot qui
est au
vent invariable, parfois aussi
il
»l
second rang demeure
s'accorde
^^JIC^Sh JIC^ JJULJ
4.
Jean 1,3. Th. 99, 1.
7,
l'r.
14,
1.
2. 5.
« des
»".
femmes prudentes
Th. 128. Deut. 21, 14.
le plus
:
^<J.Jipa511J hC4Î.Se « des hommes prudxînts
1.
;
des hommes prudents ».
sont attributs,
Jt^^ JTeJI Jip^JULiO
ec-OJ
un
une femme prudente
JtpcuULJ
Cependant, quand
Çf
« quiconque
adjectifs primitifs sont invariables.
Les autres
169
choses
»'.
III.
Les
les
:
ovoji jijSejt eejt^(ri.cçf ceJi^eeSjoçj
188
».
lui »*.
JtlSeJl CeCJULOT
JlJÇf J
{Gen.
œil
mots qui se rapportent au nom déterminé
par JljSeJI se mettent au pluriel
^oîS JtjSen
Jt jSeJI « tout
S^T^
lieu », le pluriel
le singulier
et les autres
l'adjectif.
»''.
3. T.uc 14, 11. 6- Deut. 1, 15,
sou-
Comparatif,
IV.
Le comparatif ne
dit pas «
De
la comparaison.
A.
Comparatif.
d'infériorité
moins grand
Le comparatif de
»,
c<
devant un
mais « plus petit
epo
nom
on
i^o
adjectifs, verbes
I7i
moins » n'existe pas en copte
s*
les
ou bien par
:
;
e^OTe e-, e^OTe JITe (subj.), devant un verbe e^OTe epo^, e^OTepO*», avec les suffixes. e
Ex. eJt
ja3iJ.JtJlHC « plus grand que Jean
Jljcyi^ epoçf « plus grand que
est trop
grand pour m'être pardonné
ejeOTS«î.cy que
la
m.nec
«
il
est plus fort
la
donner à
toi
que de
h^pHJ ^J noj^qe
la
«
deviendrai plus blanc
que moi
donner
y>\
jiKepojJULj
à
un autre
h^OVO
l.Mtll.n. 1
1.
«
il
»'.
egoTe
h-
mieux vaut être esclaves des
le désert »".
« davantage » placé après le
.3,
mon péché
terme de comparaison n'est pas exprimé, on se
le
ecjCOTn
Mt.
je
jiTejiepSoîK hjijpe-M-hxmiJ
Egyptiens que de mourir dans
4.
t(
eTHJC ji^K e^OTe e thjc
jt«î,Jtec
vaut mieux te
Jl-^OTO
«
»'\
e^OTe O'f^iWn
qaop egOTepOJ
Quand
»\
»^.
neige
TeJtJULOV
lui
;
»*.
ne e X*^'ï ^"^ eSo>\
n«s.noSj oTjijoj'f^
;
».
pour
supériorité « plus»,
et adverbes se rend par G-,
e^OTe-,
73
« plus parfait
mot
qu'il
détermine
».
2.
Gen. 4. 13.
3. Pa.
5.
Gen. 29, 19.
G.
50. 9.
Ex. 14, 12.
:
sert
de
i'''2
Superlatif.
74
B.
173
I
.
Superlatif.
beaucoup
» ajouté à l'adjectif
On trouve aussi Jtlll«î.cy«5 eq^opoj JULJm<J.tya5 « très Le
joie »'.
:
superlatif r^/afi/ se rend par les particules
de
i)Gn,
l'adjectif et suivies
eSoX
du com-
:
<^H eTOJ JIKOVX J ^jejt tit
grande
très
lourd «l
OVTe « entre, de, parmi » précédées plément
une
«
très »
((
2.
« très,
:
OVnicyf" hp^tyj eil^cyÇW
174
moyen de eiX^,^W
superlatif absolu s'exprime au
Le
parmi vous
OHJtOV «
celui qui est le plus pe-
))^.
njK0V2S:J eSO>\
OTTe JIJ^nOCTO?\OC
« le plus petit
des Apôtres «\
CHAPITRE
IX.
DE LA NUMÉRATION. I.
175
Les nombres.
Les nombres sont représentés par seul trait jusqu'à mille et
1.
4.
Mt. 2, 10. 1
Cor. 15, 9.
2.
de deux
les
à partir
Fr. R. 01, 19.
lettres
de
surmontées d'un
mille.
3.
Luc
9, 48.
Nombres.
1.
75
Nombres cardiuaux.
1.
Les nombres simples.
Bohairique
176
Nombres
75
cai-dinaux.
Les nombres composés.
2.
Dizaines.
177
De dizaines
1 1
on forme
à 100
les
nombres en ajoutant
les unités
aux
:
JULiS.n-ÇfTa30V
11
jX
JULeT-OV*Î.J
34
7^7^
12
jS JUieT-cjt^v
45
ixe ^JUie-^oT
2}
Ku
89
ne
xcoT-tyojULT
^^«.Jte-i^JT,
etc.
Centaines et mille. 17 8
On
forme
les centaines et les mille
jye 100 et «JO 1000 au moyen de CJl<î,V se
200
cm^v
le
aussi
les unités
devant
SI.
met généralement après, sans
Pour 200 on peut
comme
en plaçant
Jl
:
h-cye, Scye, ajecitiî.T.
employer un mot spécial cyHJ qui
est
duel de tye.
300
tyoJULT hcye
qTcuoT htye
^ov
hcye
cooT hcye cy^cyçj Jicye cyjULHJi
htye
lÎTJT htye
gtyo, cyo cjiiS.v cyojULT htyo, Remarque.
etc.
Les mille peuvent aussi s'exprimer au moyen des
centaines précédées des dizaines et unies par Xt
:
Nombres cardinaux. SttOT hoje
20OO
(vingt cents)
100
lieT-OT<î,J htye « onze cents »
I200
JULeT-CJl<X.V Jicye u douze cents
1
Myriades
Pour exprimer là,
on
suit la
CJl^V
I
77
marche
et au-delà.
20 000
0Si-CJI<S.V
p ooo
cyOJtlT
40 000
qTCUOV
12. cyo hcyo.
il
myriades » «
3
myriades »
Syntaxe.
chose nombrée se
reste au singulier.
ticle, adjectif,
pronom) reste de
un nom masc.
et féminin
joint
même
avec un
au
nom de nombre
Le déterminatif
nom
ïlJ-TeiiT S les deux poissons TiJ-eJlTO>\H Ô^ « ces deux c(
au
qui précède, (ar-
au singulier, masculin avec féminin
:
»'.
préceptes »\
nj-JULeT-CJliS.V JULJLliS,OHTHC «
les 12 disciples ».
•j^-JULH-t" ilSiS-KJ « les 10 villes »\
IlJ-qTOVTviK^
« les quatre angles
nJ-qTOYOHOV
« les quatre vents
Me.
6, 41.
2.
Mt. 22, 40.
».
».
Le verbe auquel ces mots servent de
1.
it'9
cye Jta)0
3.
Jt,
au de-
heSiî. « 4 myriades »
000 000
moyen de
2
JtoSi
pi
la
;
:
((
100 000
Le nom de
»
ordinaire.
met toujours après
se
OS^ « myriade
loooo, on emploie
les
», etc.
sujet se
3.
Mt.
met au
4, 25.
pluriel
:
18O
Nombres
78
hze
^^pocf
<5,VJ
distributifs.
njJUieTCJt^T
douze vinrent vers
« les
lui »'.
Nombres
2.
distributifs.
Les nombres cardinaux redoublés forment
181
2.^ OT<S.J
OT^J
SS
CJI<î.T
CJt^V
Û^
cyOJULT UJOJULT «
PP
tye
Sil6
c(
(^
ils
un
«
à
un
deux
à
^t)e}\7\0T percée de puits
c<
par
au
cm.r
dinaux
1.
4.
et
pp
K^T^J.
JteJUL
de 50 »l
sans article, les
noms qu'on veut
:
homme
»
;
2^e Jt^COJ hcyCUi^ $y«ji" «la vallée
était
)/.
Jl
périodiques.
:
CJliV Jie^OOT
3.
ils
Kâ,Tl.
s'expriment par les nombres distributifs joints au substantif
moyen de
183
;
de loo
fois,
Nombres
Ils
;
».
sens distributif
hpCMWLJ ptUJtlJ
»
JULJULiî, JULiS.
on répète deux
employer dans un
182
;
deux
prirent place par groupes
De même
:
»"^
trois à trois »
cent à cent
THpOY
iî,TpCMTeS Jtit
c(
les distributifs
«
tous les
deux
Luc
;
ils
».
Nombres ordinaux.
se forment par l'addition du préfixe »
jours
-WLi^- aux nombres
se mettent avant ou après le substantif avec JI
9, 12.
Gen. 14, 10.
2.
1
Cor. 14, 31.
3.
Me.
G,
40.
:
car-
M "
Nombi^es fi'actionnaires.
n je^OOT
(
kjULiS,gajOJULT
nJJULi^cyOJULT
I
^pOJUinj
he^OOT
Remarques, substantif
« le troisième jour
i.
CJt^T
»\
idem-.
iJLJU.«î,^CJtOTi^
Oï'JULiJ.^CIlOV^ JUL^e «
79
((
la
deuxième année
deuxième
le
»'.
ciel»*.
est quelquefois séparé
^^^
de
parle
i84
:
^ejt coT^j juLnj<î,SoT hLjiX^.^cn^,T ^ejt eii^.^
poiin J CJTOT^ année
« le
premier jour du second mois,
^OVJT,
jours avant le substantif, et
avant ou après
gopn
Jtg,OTJT
« le
Jt<S,SOT «
le
Demi»
2Î.0C, 2tec-.
se traduit par
Ce
dernier
OTUL^^J OVîtOC il
1.
7.
10.
fruit»'.
fractionnaires.
^^tyj, de ^CMcy
mot prend toujours
2tOC
c<
diviser
ou par
indéfini
l'article
se place après lui
»,
Gen. 22, 3. Th. 132. Lév. 23, 5.
excepté avec
2tOC
CJl^T
hpOJlinj
2. 5. 8.
OT.
:
« une coudée et demie »^
autre nombre,
OTXOC
C. G6, 37.
met
»'.
se place entre ce
nombre
qui suit immédiatement le
:
cyOJULi^
4.
y a un
substantif,
substantif
premier mois
Nombres
le substantif est seul,
Quand
qui se
premier jour»l
JtOTTiS.^ JlJSen «tout premier
4.
Quand
^OTT"^,
fém.
:
nie^OOV nJ^OTJT
et le
deuxième
« Premier » se dit cyopil, fém. $ilOpilJ, qui se place tou-
2.
«
la
»".
c<
trois
Luc 9, 22. Nomb. 1,1. Nomb. 18, 13.
annJes
3. fi.
9.
et
demie
»'";
Gen. 47, 18. Gen. 1, 5. Ex. 25, 10.
i85
Notation du temps.
80
«
CJtiî.T 0'Ï'2$:0C JljyJH «
JUL^^J longueur
composés
:
pe
que dans quelques mots
2S.ec- ne s'emploie
2S.eC-KJ'f' « demi-drachme
Les fractions supérieures à « demi préfixe
demie de
et
)>\
La forme abrégée
186
deux coudées
».
» se
forment au moyen du
:
petyOJULT un
peqTOîOT
un
pea)<î.ajq un septième,
tiers,
peojJULHJI un huitième,
quart,
pe-j^OV un cinquième,
pe'»^JT un neuvième,
peCOOT
peilHT
Ex
:
un sixième,
^peojOJULT hoV^JJI
c(
le tiers
un dixième. d'un hin
On trouve aussi, mais rarement, comme Tepe, ex. njTepe-qTCWOY le quart
))',
<<
forme pleine OTOîJt
ÇjTtUOT
((
la
y>\
préfixe fractionnaire et
OTeJt- dont
n'est employée qu'en Sa'îdique
quatrième partie
:
la
njOTeJl-
)>^
Notation du temps.
II.
*
L'année Cl^pOilIlJ) qui commence
187
de
1
2
mois
(^SOT) chacun de
jours complémentaires (6 dans tit
mois
(njKOTXJ
1.
Ex. 25, 10.
4.
Ezéch.
5,
le
29 aôût^ est composée
30 jours. Elle est augmentée de
Tannée
bissextile) qui
forment
le
5
pe-
hiî.SOT).
2.
Nomb.
3. Lév. 23,
15, 6.
13.
12.
Le 30, dans l'année qxù suit l'année bissextile. le premier jour de leur année comme un jour (le fête et lui donnent le nom persan de Neirouz (Jj-^)« 5.
Les Egyptiens célèbrent
Dans
le
matiquos,
calendrier non réformé que gardent encore les Coptes schisle
premier jour de l'an tombe
le
13 Septembre.
Bj
Les mois.
Voici les noms des mois
:
81
Jours et heures.
82
ns^
*Lji\
mercredi,
nië
(.r^l
jeudi,
i^n^p^CKeVH
ij^\
vendredi,
njC<S.SS<Î.TOJT
vi^J)
samedi.
aussi être précédés
Ces noms peuvent
nj-e^oov
jtKYpj«î.KOJt
j»vi
n-e^oov Àin-s Dans
ordinaux
nje^OOV nje^OOV Le
bre
:
f^.
ûçiVi ^^
:
le
deuxième
le
troisième jour.
JULJlliS.^S
JULJUL^^iP
copte a trois termes pour dire
^zn
1,
e^OOV «jour»
table des Théotokies les jours sont encore désignés par
la
les adjectifs
191
du mot
ci"),
c(
heure »
jour,
:
forme non accentuée, toujours suivie d'un nom-
:
'f"npoceV2)()H JlTe ^.î&n^i^
'fnpoce'ï^^tt
sue ^îtn^
«
« la prière la
'i^npoceT;X^H JlTe ^S-Stnëi"
OTItOV {^),
2.
^eJt iî-Zn^i^
forme pleine
«
prière de sexte »^ la
»^
de tierce
prière de
none
;
;
))l
:
OVnoV hc^q
« hier à 7 heures »
(/î«<^r.
à
l'heure de 7 h.)\ j.
itiV
ron, vers »
c<
moment, temps
» qui correspond au français « envi-
:
k^Jl*î.T JULJUiepj
« vers midi ».
JUL^Jt<J.T
It^îtnëi-
JUL^J1<S,V
JtpOT^ J
« vers neuf heures »^
a vers
1.
Br. 95.
2. Br.
4.
Jean 4, 52.
5.
le soir
141.
Br. 214.
»^
195. Gen. 19,
3. Br. 6.
1.
83
Infinitif.
VERBE.
III.
CHAPITRE
X.
DES VERBES EN EUX-MÊMES. Formes des verbes.
I.
On
distingue dans le verbe copte
deux formes importantes
:
l'infinitif et le qualitatif.
A.
Infinitif.
1.
L'infinitif est la
Dans
Sens.
forme primitive,
les verbes transitifs,
il
il
indique toujours une action.
désigne une action qui peut être
exercée de deux manières. Elle peut passer à un autre objet (sens le sujet
même
OVtOJI
le
le
1.
«
réunir » et « se réunir
le
iJ.qOV(UJI 4J.
f
rester dans
».
premier cas ces verbes ont un complément direct
second cas, (
ou bien
signifie « ouvrir » et « s'ouvrir »,
OCWOT'j^
Dans
actif),
qui agit (sens neutre).
complément direct devient
iin jpo
n jpo OTCMJl
MS. 424.
«
la
«
il
ouvrit
la
sujet
porte «
porte s'ouvrit
»*.
;
:
;
dans
i92
84
Infinitif.
liL^eajOVi^ lin JJULCMOV j<X.Çf
les verbes intransitifs,
reste dans le sujet lui-même
d'acquérir
jytMIlJ a devenir »,
^7v02t
ou féminin L'infinitif
Genre.
y a
en copte de
lieu
»,
^CMpty
« étendre
L'infinitif /"^/nmtn est le radical
féminin J (ég.
Mais
il
comme un nom,
égyptien était traité il
»,
devenir doux »
faire la
même
il
était
mascu-
distinction.
masculin est le radical verbal sans aucune addition
Sa3>^ « délier
19*
;
te
l'action
,
;
OTS<î.ty a devenir blanc
L'infinitif en lin
qualitatifs
*X.J^J « croître »,
2.
193
racine
la
»*.
indique une action qui
dans les verbes
;
;
« l'eau se réunit
l'infinitif
exprimée par
qualité
la
réunit Teau »
il
hae nmcMOV
eOJOT'i^
Dans
«
//)
:
IIJC J «
augmenté de
enfanter
jpj
»,
la
consonne
finale (21, 22), plusieurs infinitifs
minés en
J,
terminaison du
« faire » (22).
importe de remarquer que, par suite de
par exemple:
:
».
la
chute d'une
masculins sont aussi ter-
tycoilJ «être (21),
pCM^J «laver»
(22).
On
distingue les
infinitifs
mative (196). D'ailleurs
ils
féminins surtout par leur voyelle foi-
sont tous compris dans le 4" groupe des
verbes simples (204, 218) et dans causatifs formés
du
préfixe
C
3.
198
Selon
1.
le
mode
Gen. 1,9.
(223,
le
premier groupe des verbes
i).
Formes.
d'adjonction de son complément direct,
l'infinitif
85
Infinitif.
des verbes
transitifs
peut avoir
formes expliquées aux §§
les trois
H-40: La forme
1.
«
il
pleine à l'état absolu
créa l'homme
«S,Ç}CtWJtT JuLnjp6t3JULJ
:
».
2.
La forme abrégée à
5.
La forme avec
l'état construit
suffixes à l'état
^CfCeJlT-njptUJULJ.
:
pronominal
:
iÇ[COJITÇ[ «
il
le créa ».
Les
infinitifs
long ou bref:
absolu,
vertes
O
masculins (193) ont pour voyelle formative, à
SOîX, ^CM-pcy
:
dans
COS-*^ Dans
A
c(
étendre
»,
Sop-Sep
le
^
ou 6
« chasser
196
ou-
;
verbe est polysyllabique
:
».
JULJCJ, jpj,
:
l'état
les syllabes
COJ-TeJUL « écouter »
en gé-
les infinitifs féminins (194), la voyelle formative est
néral J, quelquefois
^epj
c(
fermées quand
les syllabes
« préparer »,
dans les monosyllabes et
CÎJ
p^jyi
« se réjouir»,
briller ».
verbe ne portant pas l'accent tonique,
Vétat construit, le
voyelle formative est remplacée par la voyelle auxiliaire
6
la
(19)
197
.
SeX-, ^epcy-, ceTeii-, ceSTe-, SepSep-.
A
l'état
pronominal, les
infinitifs
pour voyelle formative, mais avec
absolu,
O
Les infinitifs en CM prennent
Les
masculins ont,
infinitifs
en
O
prennent tu à
:
comme
la quantité
opposée
So>\^, ^Opty^,
la
à l'état :
COOll^
syllabe suivante (14)
:
ceS-
Ta5T^, SepSojp^. Dans
les infinitifs féminins,
change régulièrement en et
estsuivideT
rer
(220)
:
i
;
si
s'il
le
verbe est polysyllabique,
J
se
est monosyllabique, J se maintient
JUL<J.C^, *î.J^, (27); tyj
tyJT^
a
mesu-
».
Les verbes qui ont une voyelle formative autre que
J
sont près-
^98
86
Qualitatif.
que tous
intransitifs (219, 220).
Diverses influences peuvent des exceptions (29-î
j)
;
faire subir à
Pour
indiquées dans
elles seront
des verbes et plus en détail dans
le
ces règles générales la classification
tableau général.
au verbe, voir 280 et suivants.
la suffixation
B. Qualitatif. 199
Le
^ua/tïa/i/" est
l'infinitif
comme
une forme spéciale du verbe, qui ressemble à
emploi et indétermination du temps, mais en diffè-
re considérablement par le sens. Tandis jours
une
l'effet
action, le qualitatif désigne
produit par elle,
boutit et se termine
200
Le les
verbes
StuX
transitifs,
tif
français,
des verbes
que
le
qualité
il
dans
les
verbes
Sh?\
60CJ
de ce qui
les
elle a-
« être délié » « être exalté
est délié »,
ShX
Dans
;
».
mais
signifie
il
faut
le qualita-
remarquer
proprement « état ou
sans importer l'idée d'une action subie
verbes intransitifs,
De même le
pour (TOCJ,
etc.
qualitatif
garde
OTOScy
« être blanc »;
le
sens neu-
:
OTS^ttJ
« devenir blanc », quai.
l.^^,i « se multiplier
201
où
:
transitifs par l'infinitif passif,
sens est assez différent.
Dans
la qualité
pour plus de commodité, nous traduisons
actuellement par ce qui est délié.
tre
de cette action,
résultat
transitifs et intransitifs.
a le sens passif
», quai.
indique tou-
précisément dérive son nom.
là
« délier », quai.
tfjCJ « exalter
En
;
qualitatif existe
le
l'infinitif
manière d'être,
l'état, la
de
que
Le
qualitatif se
de voyelle ou par se conjugue
», quai.
forme de
l'addition
comme
OCy « être abondant
l'infinitif
».
par un changement intérieur
d'une terminaison (207 et suivants).
l'infinitif à l'indicatif
présent et à l'imparfait.
Il
Verbes simples.
Dans quelques verbes
87
transitifs, le qualitatif a,
peu près,
à
le
202
verbes n'ont pas nécessairement un qualitatif; celui-ci
203
sens de Tinfinitif qui a disparu ou est peu employé. Tels sont
KHJt
JHC
c(
Tous
cesser
t(
»,
au lieu de KU5JI inusité
de JtUC
se hâter », à côté
les
manque dans quelques verbes
ZtU
« dire
JI^V
JtXOC^
»,
« voir
«haïr»,
:
;
plus rare.
transitifs et intransitifs,
TCWOTJI
cdever
»,
comme
dans
JULeVJ «penser»,
».
Les verbes qui n'ont que
l'infinitif absolu,
sans les autres formes
et sans le qualitatif, sont appelés verbes invariables
les autres, ver-
;
bes variables.
II.
Au
point
Classification des verbes.
de vue de Tétymologie
et
de
la
formation, les verbes
204
se divisent en simples, causatifs et composés.
Les verbes simples sont formés de « délier
»,
CUJI^
Les verbes lui
donne
racine elle-même
la
Scu A
« vivre ».
causatifs sont
le sens causatif
:
formés de
T-<3.Jt^0 «
la
racine et d'un préfixe qui
vivifier ».
Les verbes composés sont formés de deux racines « rendre grâce
:
:
cyen-^llOT
».
A. Verbes simples.
Division d'après
Sous les
le
rapport du
nombre
et
les radicales.
de
la
nature des lettres radicales,
verbes simples se divisent en 8 classes
:
205
Verbes de deux radicales.
88
206
1.
Verbes de
2.
Verbes à seconde radicale géminée
j.
Verbes de
4.
Verbes
5.
Verbes de 4 radicales
6.
Verbes de
2 radicales
J
radicales
:
:
S'JtîTv.
$(Mpjy.
à troisième radicale faible
5
radicales
^JULOJU..
:
JtlJCJ {msy).
:
:
SopSep.
:
CKOpKep.
7.
Verbes à troisième radicale géminée
8.
Verbes
à troisième radicale faible
COS^
:
JULOCf
:
Plusieurs verbes coptes ont perdu une ou qu'ils avaient
ég.
fta'
en égyptien, par ex.
« placer
».
Au
point de vue
de
deux des
radicales
ttjCMIÏJ, ég. hpr « être »,
de
de ces verbes se comportent comme cales, les autres suivent la règle
{spddj.
[msdy).
s'ils
la
XI^»
morphologie, quelques-uns
la
avaient toutes leurs radi-
nouvelle classe à laquelle
ils
appartiennent en copte.
Dans
la classification
suivante, nous
donnons
rales en indiquant les principales exceptions,
règles géné-
les
on trouvera
les autres
au tableau général des verbes.
1.
207
Verbes de deux radicales.
Qualitatif
Infinitif
absolu construit pronominal
Règle:
O
e
05
H
ScoX
Se>\-
So>^^
Sh>^
délier,
ojn
en-
on^
nn
compter.
De même
les
verbes qui commencent par JUL
place de CO pour voyelle formative à
l'infinitif
Jt et
ont
absolu (29)
:
AlOVJl
rester,
JIOVT
moudre,
XKOrp
lier,
JîOTZ
jeter.
OV
à la
89
Verbes de deux radicalea.
un
208
forme COÎKJ
209
Quelques verbes de deux radicales ont un double de
la
forme
et
un autre terminé en
CeK-
CÎMK
CCUKJ
CttJC
CCWCJ
ujoîK
tyttîKj
cyeK-
q«3T
qoî't'
<Ï6T-
ZlîMÎS:
2ta32î:J
XeZ-
(Jojit
(foînj
(îen-
J«3
JCMJ
Parmi
les
terminée en litatif
en
ScuX
H
en
O
—
COK^ coc
;
tels sont
:
CHK
^
cyoK^
J4S.-
verbes qui n'ont qu'un
J,
J
infinitif,
infinitif
de
la
avec «3 pour voyelle formative, quatre ont leur qua-
et appartiennent à la 3' classe
ou n'en ont point
;
les voici
:
(213,
3), les
autres l'ont
Verbes de trois radicales,
90 SOJCy
Sity-
ôiS.jy**
SHty
dépouiller,
otucy
eeo}-
e^cy^
ency
définir,
KtUO! 2.
K<S.cy-
Devant ^, O
KiS,çy^
e<î.^^
c^CM^
^e^-
<]^i^ ^
^«5^
ibi^ty
hi^i^^
3.
aussi
poJ^J, CCW^J
eo^
= O, 6 =
:
OH^ mêler, ^H^ mettre en pièces,
oe£)-
Devant ^, 03
briser.
se change toujours en ^, 6 rarement
eOJ^
Comparez
—
—
démanger.
(209). 4S.
le
plus souvent,
O
=
.,
H = 6.
91
Verbes de trois radicales.
w
Règle:
o
o
e
^(Mpcy ^epcy- ^opaj^
De même
OTïI
charger.
ceq-
COq^
coq
profaner,
TOîS
Te S-
TOS^
T0&
sceller.
Quatre verbes terminés en
TOîJULJ
«, mcwnj
Dans
trilitères
TOJUL^
—
_—
(21)
verbes terminés par
les
dont deux sont
Tell\
/
J,
6 il il,
en
eojKei*
* &,
Devant
O
se change on ^.-.de
par le verbe se termine
ptui>T
pe*T-
M- Uo)
TOAIJ
unir,
«JOn )i>
être,
eoKeu
eoK«^
eeKewL-
intransitifs
la voyelle auxiliaire
écrite
quand
:
é-
:
COjq
3.
(29)
former,
AlOJtK
JULOJIK^
étaient verbes bilitères en copte qui
Deux
gyptien
étendre,
AlJt Les verbes qui commencent par
JUieJIK-
JULOTJtK
2.
i.
:
OTn«*
eTR-
tMTn
^opcy
même 6
de
e
:
est
»r4
dégainer.
l'état construit
;
pi*T «^^en
pi*T^
ot«&e«. e,5.&eM.- eie«i' 03 se change en O dans
renverser, appeler.
:
aOKg
et
KOKg^ XeKfeKOKfe tyong ^ dans a!OK& percer, tyone
piquer,
priver.
après pour voyelle formauveo Les verbes mlra^sto-A ont quahlat.f. après la première au deuxième radicale à l'infinitif,
la
1,
RèHe
•
" ^>.0Z:
— -
— -
O
^.O^^
devenir doux.
ns
Verbes de
92
De même
les
trois radicales.
verbes suivants, dans lesquels
changement de voyelle ou de consonne
il
s'est produit
souffrir,
OTSl^.O)
OVOSof
cy^^î.^
Syo^8
trembler,
htyOT
m,^T
^KO
^OKep avoir faim, <^0^
2S:0p^
JULOK^
JtXKS.^{jo)
216
(21)
Les verbes
III.
qualitatif en O
Ocy
0T2?<î.J
OT025: être
^0^J
^OT
I)
(223,
en
<X.J,
à
blanchir, (
(
p) 23
)
durcir,
diminuer.
ont aussi leur
l'infinitif,
:
^cy<î.J
Les verbes tifs
intransitifs
un
:
se multiplier, sain,
engraisser.
transitifs
en
4J.J
suivent le modèle des verbes causa-
:
C^HOVT
C^HTi^
C^e-
C^iî.J
écrire.
Les deux verbes CtWOTJt ((connaître» et TCUOVJt cdever», qui
217 ont
OV
pour seconde radicale, varient d'une manière tout à
spéciale
:
CfMOTJt
COTeJI-
COTtUJI^
Tojovjï
Ten-
Tcuji^
A
côté de
TtUJl^^,
ils
la 3* plur.
la
forme ordinaire de
CUOOTJI^
TWOVn^,
i5,TTCUOTJlOT trouve aussi
OSE.
9.
« je les ((
ils
(COTejl)
—
l'infinitif
pronominal COVCMJli^, le suffixe
OV de
sans doute par attraction.
connais »\
se levèrent
COJOTJIOT
pleines à l'état absolu.
1.
COTHJt
en ont une autre qui s'emploie devant
^COîOVJIOV
On
fait
et
».
TCUOVJIOT comme
formes
Verbes à 3*
4.
Verbes à 3' radicale
Parmi ces verbes^
I.
après
Règle
J.
:
ils
;
e
J
1tXl,C^
>SjSj
_
_
^ zen-
ZJllJ
Devant
K
ty
^, o
délirer.
trouver, porter.
remplacé par
^
:
pi.K^
p^LKJ
incliner,
jcyj
ecy-
iLcy^
^OJJ
suspendre,
—
—
e^^J
s'enivrer.
:
jpj
ep-
"^^
"f-
^JOYJ II.
:
:
peK-
Exceptions
219
^oSj
pjKJ Oj£)J
l'infinitif et
enfanter,
— —
Zieils?
est
JULOCJ
6
se change en
en^
eJl-
JJtJ
2i8
O.J
^,
JUieC-
JI,
J
sont transitifs ou intransitifs
JULJCJ
Devant S 11
faible.
uns ont, pour voyelle formative,
les
première radicale
la
93
i*adicale faible.
^J-
^J*^
OJ
THJ^ ^JT^
TOJ
donner,
^tUOTJ
(32) jeter.
(27) faire,
Les autres ont différentes, voyelles formatives à
forment leur qualitatif en CMOV.
Ils
sont tous intransitifs
:
^epj ^epj
^epjOJOV
briller,
cyOîOTJ
OJOTCUOV
sécher,
^OTpcUOT
s'apaiser,
«S.CJ<î.J
iJ-CJUDOV
guérir,
a|iS.Ç[J
5y«5.qja30V
enfler,
cy^J
OjiJCUOV
briller.
III.
Quatre verbes, dont deux sont
ont leur qualitatif en
1.
Ces verbes,
HOT
t,
deux
intransitifs,
:
tels qu'ils existent
deux radicales; IIJCJ dérive de le
transitifs et
en copte, ne sont composés que de
l'ég. tnst,
terminaison du féminin, a disparu.
troisième radicale faible, y ou bien
ic,
Ils
prononcé
?ni»-i/,
dans lequel
avaient primitivement une
qui a disparu en copte.
220
Verbes de 4
94 tyj
ttjj-
tyjT^
ajHOV
mesurer,
(ÎJ
(fiT^
(ThoV
prendre,
CHOV OTHOV
s'éloigner.
CJ
OTeJ
De tif,
— —
— —
deux verbes
les
çf^J
:
JtieJipe-
JtiejipjT^
ÇfJ-
qjTiî*
Dans ces quatre
verbes, de
pronominal est l'ancien
l'état
5.
Rè^ie
se rassasier,
cyj (Si doivent être rapprochés, pour les formes de l'infini-
JUiej
221
et de 5 radicales.
.•
/
— même que
du féminin
Verbes de 4
porter.
dans
^JOTJ,
T
le
de
(194).
et de 5 radicales.
e e
o.e
(JULeJtpjT) aimer,
e
.
.
e
eu
.
oj
SepScup jeter. SopSep SepSep- SepStup;^ CKOpKep CKepKep- CXepKCUp^ CKepKOjp faire rouler. A l'exception de OVOCOeJl « élargir », tous les verbes de ces deux
un redoublement. Lorsque
classes sont formés par
primitif est bilitère,
il
se redouble en entier
ner » de ^WJJl « ordre, ordonner
».
11
ne
s'est
« devenir rouge » de
conservé dans
la
le
^OJIgeJI
thème
« ordon-
Lorsqu'il est trilitère, les
dernières lettres seules se redoublent
epocypecy
:
deux
:
opoty
c(
être rouge
».
langue copte qu'un fort petit nombre
des racines de ces verbes.
Quelques verbes de cette classe ont un
CKOpKep
« faire rouler
»,
infinitif intransitif
CKepKep
CKepKep etTeîvTe^sont avec ou sans Jl\
1.
Cf.
AB. 29, 30.
:
« rouler».
De même SepSep « bouillir», TC^TcV^ goutte », ^peAipeJtl « murmurer ». :
en 6
c(
tomber goutte à
aussi transitifs et se construisent
Tableaudes huit classes de verbes.
Verbes à 3' radicale géminée
6.
Des
et à 4® faible.
verbes à troisième radicale géminée,
en copte que
95
il
ne
s'est
conservé
:
CO&i"(spûfi)
CeSTe-
dans lequel
redoublement ne subsiste qu'aux deux dernières
le
CGStOîT
CGStOîT**
préparer,
formes.
De même,
les
verbes à quatrième radicale faible ont presque
entièrement disparu en copte
iSiOCf
{rnsd/)
JULOJtJ
;
lieCTe-
—
XOÎjT^J être étranger
on peut
citer
lieCTOî
r
<^
JULiS-itOV^ ;
— (29)—
haïr, faire paître,
COtfjIJ délibérer.
Tableau synoptique des huit classes de verbes.
En
tenant compte du qualitatif de
les huit classes se
la
majeure partie des verbes.
222
Verbes causatifs.
96
Paradigmes.
SojTv
Seî\-
SoT^^
Sh>^
^ojpai
^epcy-
^opcy*»
$opty
JULJCJ
lieC-
JUL^C*'
JULOCJ
SopSep SepSep- SepStop^ SepSojp CKopKep cKepKep cKepKosp cKepKtwp III
coS-j"
ceSTe-
ccStcut*' cgStoît
JULOCJ
AiecTe-
JtiecTOji^
1^ fi
La plupart des exceptions se trouvent dans
le
— groupe
II.
B. Verbes causatifs.
Les verbes causatifs se divisent en deux classes
223
1.
Les causatifs formés du préfixe C,
2.
Les causatifs formés du préfixe T.
1.
Cette formation est égyptien. I.
en
la
plus ancienne
;
féminin avec
HOTT
CigJIJ
fréquente en
i
radical bilitère et ont
un
ou 6 pour voyelle formative, leur qualitatif
:
(^ttJJÏ)
Ce^He-
C4Î.^,JTHT^
CG^JIKOTT
CeilJlJ (JULOVil) CeJULJie- CeJULJlHT*^
ceSj(OV<J.Ô)
CiZJ
elle était
copte elle n'a donné qu'un petit nombre de verbes.
Cinq de ces verbes dérivent d'un
infinitif
est
En
Causatifs formés de C.
fournir,
ceilJlHOVT
COTSe-COVSHT»^ ceSHOVT
(ZOJj parler, ceJULJ (ég. s-m/t) plaider.
éUblir,
circoncire,
Causatifs formés
du
T.
préfixe
Quatre autres sont formés d'un radical
B.
masculin
infinitif
97
-
ont un
trilitère et
:
COTTG Jt- COTTOîJI^ COTTOJJt diriger, C^0V«3p#* C^OTOîpT maudire, C^OVep(ég. s-hwr)
C«30TTejl (TCMOVJI)
C^^OVJ
—
CO^J (O^J)
$y«s.Jteçy- uj^LiioTty ^
ty^Jiui (0311^)
Dans ce dernier verbe, du C en
cy et
—
C^^tO**
du
ù
s'est produit
il
de CMJt^ en
réprimander,
cy^-neTO)
un double changement,
Le correspondant
UJ.
nourrir.
sa'idique
de
ce mot est C^xicy.
Verbes causatifs formés du préfixe T*.
2.
Rè^le
—O
:
— e-
— HOTT.
—Os*
Tiî.KO T<X.Ke- Ti5.K0
«*
T^-KHOTT
Cette formation est beaucoup plus récente que au copte un grand
elle a fourni
Le T faire
que
». Il
rend
actifs les
Wn^ « vivre
il
donne
le
T^TvO
»,
TCO
boire »,
c(
<'
TiJt^O
»,
transitifs
CUT^J « lever
CCM
^^^^
précédente
j
«
donner,
:
f^'re tenir, placer « ce
vivifier
sens causatif
:
« faire lever, charger »
« faire boire,
;
».
abreuver
;
».
forme des verbes actifs avec des substantifs et des adjectifs <î,K(U
c(
C4Î.Se
Tous
Cf.
les
c<
perte
»,
prudent
»,
TiKO a faire périr, perdre » TCiSo « instruire ».
verbes de cette classe sont formés de
Maapero, Revue
critique,
la
:
;
même manière.
16 Août 1904, 33-34.
7
;
verbes.
verbes neutres
« se tenir »,
Aux verbes
1.
nombre de
perdre.
la
n'est autre chose qu'une forme abrégée de
O^J
Il
224
225
Causatifs formés du préfixe
98
Ils
ont pour voyelle formative
Oà
T.
dernière syllabe qui est toujours
la
ouverte.
Les syllabes qui précèdent ont radical est bilitère
après
;
JULO^ « brûler
^eJtlCJ 226
La voyelle
la
voyelle auxiliaire après
première
la
lettre, s'il est trilitère
TeJUL^O
»,
auxiliaire devrait être
brûler »
« faire
T^eiiLCO
« s'asseoir »,
T,
;
asseoir».
« faire
6 mais dans beaucoup de ;
bes, diverses influences, spécialement la présence d'un ^ain
cien (31), ont causé
T^cyo Lorsque
((
multiplier
le radical
le auxiliaire disparaît
OT^S
muet
e
:
Devant une
jpj
t(
T
^U3 A
On
a
par
TcyJULO
«
labiale,
T
TOVSo
a purifier »
»,
TC JO
se change en c<.
».
la
;
se contracte parfois en
« voler
»,
O
».
(?)
« faire envoler
OeJULCO dans
T et Çy se rencontrent, T disparaît, et parfois aussi
ils
».
:
:
eepcyo (T^epcyO)
O AO
(225) et
(2})
« charger »
tyTO
i<
faire
2t^0
accroupir
UJCMOVJ « sécher
»,
(pour (les
le
même
sens.
se contractent parfois en
les
Tcyno,
chameaux)
TjyOVJO
;
».
deux
lettres se maintien-
:
»,
un
;
0JUL<X.JO « justifier
« être lourd »,
cyounj « être
voyel-
».
« rassasier
O
faire faire »
Lorsque
nent
:
semi-consonne OV,
la
T0V2S.0 «guérir
briser »,
OpO
T^eJULCO
2t, parfois
« adjurer
an-
:
faire »,
^opo)
commence
^
ver-
(s-)
verbes, elle n'est pas écrite et s'abrège en
JUL^ J « juste
Avec ^,
T<î.pKO
« être sain »,
Dans quelques simple
»,
être pur »,
c(
OV%l.S
227
remplacement de 6 par
le
si le
:
24) « engendrer », »,
« faire sécher
».
Verbes composés.
Remarques,
Quelques verbes
i.
99
transitifs suivent la règle
verbes de cette classe (224), bien qu'ils ne soient
moyen du
préfixe causatif
:
(^-
(^O^
(rilOTT
planter,
(^po
(^pe-
(Tepo^
(^pHOVT
allumer.
Dans un
petit
nombre de cas
pronominal est en
l'infinitif
U3.
'KlSKo
'hl.'h.e-
'Kl.'h^^
^i5.?\H0TT
enduire,
'X.lSKo
mJ^G-
'AiSi\m^
2S:«î.>;H0VT
héberger.
C.
Verbes composés.
Les verbes composés sont formés de deux racines I.
Un
verbe à
228
pas formés au
60
2.
des
l'état construit
;
2.
:
un nom, un verbe ou un ad-
verbe.
Les deux principaux verbes composants sont epI.
Ce
ep-
« faire, devenir
^-.
et
».
verbe s'unit à différents mots grecs et coptes pour former
des verbes neutres
:
ep-^e7\njC
« espérer
ep-Jl JCyi^
i(
grandir
ep-COc^OC
c(
ep-^0*f Oqui sert de
1(
ep-OTtW
»,
»,
devenir sage faire
((
»,
exalter
Le verbe ep- précède
répondre
« faire
ep-OTOîJJIJ
beaucoup »
complément à ep-
ep^OTO-(fjCJ
c(
ep-^JULOT
»,
don de
»,
« briller
est toujours suivi
».
d'un autre mot
:
grandement
».^
tous les verbes grecs employés en copte
sans modifier en rien leur sens:
ep-iUJ<S.^JJl «sanctifier»,
epnpoceT;X!^^^® «prier», ep-e^twpjÇJIl «exiler», epnjp^ÇJJt
« éprouver
L'impératif de
^iiOT,
ep-
*
».
est
^pj- même
4X.pj-4Î.i?JiX.çjn.
dans
les
composés
:
ipj-
229
100
Vei'bes composés.
2.
230
Ce
^
».
verbe s'unit à plusieurs mots coptes pour former des verbes
composés qui gouvernent tous •j^-cSO)
instruire »,
c(
•^-OJJULC Il
« donner
baptiser »,
c(
le datif
i^-«30V
"f-^i
JI
:
« glorifier »,
« mesurer
rarement aux noms grecs:
s'unit
avec
».
"X'-^^T^JUi «s'incliner».
L'impératif de tous ces verbes se forme en remplaçant 'J^- par
Exceptions
'^^O
:
« prier
impér.
»,
JUL^^gO
^OTOî
;
«cesser», impér. 1tX^,'f0VU3.
Autres verbes composants.
3.
231
Tous
les
verbes coptes à
plément, pour
ainsi dire,
l'état construit
forment avec leur com-
un seul mot composé. Mais
il
en est quel-
ques-uns, plus fréquents et plus remarquables, dans lesquels la
composition est plus intime. Tels sont
«yen- de
^JULOT
c<
«jwn
remercier
.(
c(
cyen-^jcj
:
c(
souffrir »,
cyen.
».
X JJULJ
xeJUL- de
ZeJUL-^HOV
recevoir »
:
c(
gagner
trouver »
»,
:
2teJUL-JlOJUL'j~ « se fortifier
2S.eJUL-2S.OJUL
« être puissant »,
»,
2teJUL-
"i^ni «goûter».
^ JOVJ « jeter » ^ J-TOT ^
^J- de « mépriser (Sj-
:
entreprendre
»,
^ J-n^O
».
de
s'instruire
».
0V^.^- de
OVO^
« ajouter »
OV^^-TOT ^
« faire
de nouveau
:
or^.^-C^,^nJ
OV.X.^eJUL- de OTCW^eJUL « répéter » « régénérer
»,
0V<S.^eJUL-Ka3T «
« ordonner »,
».
réédifier
».
:
OVi^eJUL-JULJCJ
Conjugaison du verbe.
CHAPITRE
101
XI.
CONJUGAISON DU VERBE. 1.
A
La conjugaison copte
n'a
qu'une seule voix,
la
voix active.
l'exception du premier présent et du premier futur qui ont une
formation particulière, tous les temps sont composés de
manière
2.
et
comprennent
trois parties
ou verbe
1.
une
2.
le sujet,
j.
le verbe.
particule
Le verbe
:
affixe,
ou au
qualitatif.
Le qualitatif ne s'emploie qu'aux V imparfait de 3.
A
ces
trois
premiers présents et à
l'indicatif.
mêmes temps
verbe peut être remplacé par une
le
construction prépositive ou un adverbe; l'auxiliaire tion
même
auxiliaire,
nom ou pronom
est à l'infinitif
la
de verbe dans
le
sens de « être
mier présent, bien que celui-ci
en est de
». Il
n'ait pas d'auxiliaire
alors fonc-
fait
môme ;
la
au pre-
proposition
est nominale.
Le
donne
tableau suivant
:
1.
la
forme de
2.
sa
forme abrégée devant
Pour compléter verbe; dans
le
l'auxiliaire uni
le
temps,
second,
le
il
nom
le
aux pronoms
nom
faut,
sujet
sujet.
dans et
affixes,
le
le
premier cas, ajouter verbe.
Ex
:
"J
le
-Wej
«j'aime», "f Jt<S.-JULej «j'aimerai»; IIJ^T^OV Jtiej «l'enfant
aime», nj<S.7^0T Jl^-liej
« l'enfant
aimera
», etc.
233
Tableau de
102
la conjugaison.
I.
233
Indicatif
/Sing.
I.
Tableau synoptique
Tableau de
la conjugaison.
DE LA CONJUGAISON. Indicatif
Présent d'habitude
103
Tableau de
104
la conjugaison.
Tableau synoptique Indicatif {suite).
1
Sing.
I.
Tableau de
DE
LA.
CONJUGAISON
la conjugaison.
{SuUe).
Autres modes Subjonctif
105
Auxiliaires.
106
Dans epe,
pe
«î,pe, JtiS.pe, JUiniî-pe, la syllabe ajoutée
se maintient qu'à
la 2
et devant
sg., à la 2 pi.
f.
un nom
;
ne
partout
ailleurs elle disparaît.
auxiliaires simples 6, Jie
Les
ne s'emploient sous cette forme
qu'avec des temps déjà constitués, pour en modifier
le
sens (247,
248, 364)-
-p6 ne
L'auxiliaire
A
tous les temps formés de Jie et de
après le verbe
Aux affixes
on
donnés au n°
ment en
X
(23)
Au
unit,
pour indiquer
l'affixe
personnes, les pronoms
K
de
m.
la 2
sg. se
change ordinaire-
••
tu es saint »
((
les
58.
OV,
Jï et
^OVl,^
Jt^pe on peut employer
copule ne.
la
auxiliaires
Devant
ne
s'emploie jamais seul.
:
^m,SiW\(
tu délieras )\
Te
premier présent et au premier futur, l'ancien auxiliaire
s'est
conservé qu'aux quatre personnes "^ (de
T
et J),
Te,
Tejl, TeTeit. Les autres personnes ne comprennent que deux éléments,
Pour bles
235
le sujet et le
de
le reste
la
verbe.
construction, ces deux temps sont sembla-
aux autres.
Quelques verbes se conjuguent impersonnellement avec
C du neutre pour Les formes
les plus
J,ccya5nj «
C-eAXnu)^ C-JULOTejl
Dans
«
fréquentes sont
arriva »
il
((
l'affixe
sujet.
il
;
C-C^HOVT
convient »
il
est facile »
».
c<
il
;
C-JULOK^
;
eceajCURJ
les livres liturgiques, à la fin
gnifie « ainsi soit-il
:
c(
est écrit » il
;
est difficile »
« qu'il arrive
des prières,
;
«.
ecetyojnj
si-
Indicatif.
Premier présent.
10*/
INDICATIF.
I.
A. Présent. Il
y
a quatre sortes
de présents qui diffèrent par
la
forme
et par
le sens.
Premier
est le présent d'actualité.
Le premier énonce un
^2:03
fait
JÏ^K TCWJIK
JULJULOC
'j^
femmes
ci
(232,
est la
précède toujours
le
2)
« je suis
3)
même
TeqJUieeJULHJ tyon
es bé-
avec vous »^
lorsque il
le sujet est
un nom. Celui-
peut en être séparé par un
« le
Père aime
le Fils >/.
(232,2) ty
(csa justice
demeure
e^pHJ
eZLOîJl
(232,
3)
«ta malédiction est
»".
Lorsque introduit par la
JIJ^JOAIJ «tu
)>".
neKC<î.^OVJ
dans
te
:
:
c^JCUT JUieJ JULncynpj
sur nous
« je
l'on parle
le dis, lève-toi »'.
heo ^en
verbe, mais
complément déterminatif
jusqu'à l'éternité
indique une action ou
))^
JieJULOîTejI (232,
La construction
Il
moment même où
qui a lieu au
TeCJUL«S.pa50VT nie entre les
présent.
le sujet n'a
pas d'article ou a l'article indéfini,
OTOJI dans
la
proposition affirmative et
proposition négative (303).
).
Luc
4.
Jean 3, 35.
7. 14.
2.
Luo
T..
Pb.
1, 42. 111. 3.
3. Jean (>.
(".en.
H,
il
est
par ilAlOJî
0.
27. 13.
236
Second et troisième présent.
108
Second présent «S.pe-,
237
I.
Le second présent
«*.
est le présent deJ.'i^errQgjaiùm^ c'est le
temps qui s'emploie quand
^KOOîJt
^
la
^2.<î,ll (232,
phrase est interrogative 3) «
^KJl^V e niS.JCTT7\0C
Adam, où
es-tu
:
? »*.
cette colonne
« vois-tu
«^
?
<î,pe JIHOT eS0>\ 003 Jl OTO^ ^.ftesil. eOOJJl « d'où vienstu et où vas-tu
? n^.
Le second présent s'emploie
2.
dan s un S3ns
interrogatives,
neilJïOV^
2^e
en dehors des phrases
aussi,
o^énéral, senienlieux, q ualitatif
^q^eJI T^e
(2p,
3)
« notre
:
Dieu
est au
))^.
ciel
3.
A
ce temps,
la
négation JI s'unit au verbe tout à
fait
comme
Jie à l'imparfait.
On
distinguera le 2^ présent négatif de l'imparfait négatif: 1°
par l'accent que devrait toujours porter It
accompagne toujours
qui
2" présent imparfait
:
:
l'imparfait
JI.î,q0Va3ti| iJi
Jl4S.qOYa3ty l,ii
«
2" par l'absence
;
Le troisième présent
ne
:
il
ne
ne veut pas ((
il
est le présent
»,
ne voulait pas
Troisième présent epe-,
238
de
de
e
».
^.
Vétat.
II
s'emploie pour
exprimer une circonstance qui se rattache au sujet ou au régime du verbe principal
JU
arabe. i.r\\
Il
on
;
il
correspond à peu près au participe français et au
forme donc toujours une proposition dépendante ^iS.
neqjULiî.eKTiic ^çjxejuioY
revint vers ses disciples et les trouva
1.
Gen. 3,
9.
4. Pb. 113, 11.
2.
Kef. .333.
5.
Mt. 26, 43.
dormant
3.
:
evenKOT«
))^.
Gen. 16,
S.
il
Présent d'habitude.
^.ÇfepOYOJ eçfî&Oî JulJULOC iS.VJ les
«
il
10&
répondit disant
e&o'h epe ^iî.Jt^0n^0il JITOTOV
armes à
main
la
^Hnne
jc peSeKKiî. Jiiî.cjiHOT e&o7\
^J TeCJl<S.^Sj
paule
))^
voici
<(
que Rébecca
Présent d'habitude ty^pe-,
il
Il
;
#».
la
fraude
a
il
avait
:
« les prêtres
coutume de se te-
ep^eJUlJ Xt^*5,JtXP0Ç[
impies
« les
))^.
Le correspondant
liaire JULn4S.pe--,
quelquefois
»^.
cy«S.pe JtJ«X.CeSHC
pratiquent
;
l'infinitif
JlOTepHOT hzie JIJOVHS
Oj^qo^J ^eJt OVJULiS.hc^^pe
^.pe
ty<î.
))^.
dans un lieu désert
2.
venait, sa jarre sur l'é-
verbe ne s'emploie qu'à
le
cyiX.VCO<$JlJ JteJtl
délibèrent entr'eux
sortirent
epe Tec^T'K-
indique un acte qui se répète, une coutume
a le sens du passé
nir
« ils
»*.
pj<X.
1.
».
négatif de ce temps est fourni par l'auxi-
JULIti ^ qui semble être composé de
Aine
et
de
:
jULn<s.va|Jtiî.^Aiov
peuvent se sauver de
Des dieux
la
eSoX ^ejt ninoTveiioc
ne
qui
ne
»".
guerre
JULn4X,VJliî,T
ils
«
OTî^e JUini5.1CCa3Teil
«
voient ni n'entendent »\
iina-pe
nec^HSc <^no
pe ne s'éteint pas de toute
1.
Tnpq
« sa
la nuit »*.
24, 45. Pr. 12, 5. 8. Pr. 31, 10.
MS. 422.
2. C'en.
3.
335. Deut. 4, 28.
5.
(J.
4. Kef. 7.
jutniextup^
Bar. (5, 48. Bar. G, 40.
lam-
239
110
Futur.
B. Futur. 240
Les
premiers futurs sont formés des trois premiers présents
trois
par l'addition de Jt^-, forme abrégée du verbe point de, Ils
itOTJ
« être sur le
aller ».
offrent respectivement les
mêmes nuances de
sens que les
présents correspondants.
Premier futur.
i^JI^-TiJ.K«50T JteiiL
njK^^J
((
re »
TeTesim^-K^'i' hccuj ovo^ «
je les perdrai
avec
la ter-
^.
vous
La
me 2
f.
chercherez et vous ne sing.
Tep<S,
est
me
TeTenJïiS.-25:eiJLT ^.n
trouverez pas
)>^
de formation spéciale
;
l'origine
de
cette forme n'est pas absolument certaine.
Le nom
sujet se
n^^JC
JliS.tyjJlJ
comporte
epOîTeJt
^i5.piJ.a3 JtiCttJTeiJL
écoutera pas
Lorsque la
comme
au premier présent
« le
:
Seigneur vous visitera «^
hCi OHJtOT
iî,JI
«
Pharaon ne vous
»''.
le sujet est
indéterminé,
il
est introduit par
proposition affirmative et par JU.JU.OJl dans
la
OTOJl dans
proposition néga-
tive (^03).
Deuxième futur
iTJti;XI^^
1.
Gen. 0,
4.
Ex. 11, 9.
1.3.
^^^
2.
^pe-
Jti-, ^, ^ SVl.-.
^6JU JlOVnoVJ-
Jean 8, 21.
3.
«
où se cacheront-ils
Ex. 13, 19.
m
Futur.
avec leurs dieux
«S.VJt^ep anges
JUL^pH^
JtJt Ja.I'I^e^OC «
mon
TiLçy&œSj
hcon ne
nj^«î.e
^i.i
JULOîOT e-OV?^
Ce
«
se réjouira en croissant
il
epe neKJcwT
fois
Futur énergique epe-, e ^
e-.
un bassin
futur exprime
c'est
la
est
epe
epe-
formé du est
pour
3*
certitude,
la
volonté, le
((
présent et de
eçfeTiS.>vo
la
«tu aimeras ton pro-
fils ))^
préposition
6
« vers ».
emploie
La
2
f.
epe- seul ou
:
esten
Bar. 6, 48.
2.
Mt. 22, 30.
5.
Test. 6.
8.
Gen. 2, 24.
Gen. 16, 11.
:
«
l'homme
»*.
4. Pa. 64, 11. 7.
jette
commandement
;x!'^-neqja3T neitx Teqii<x.v
père et sa mère
epe njovHS
1.
un
tu enfanteras
avec répétition de l'auxiliaire
laissera son
que ton père
»''.
epee. Devant un nom, on
epe njpœiij
hov-
»^.
la
comme toi-même
)>".
jta.-^jovj
dernière
((
epeilJCJ JtOTOjHpJ
sg.
les
epe- m,-, e ^ m.-
eKeiieJtpe neKcyc^np lineKpH'^f"
Il
comme
la justice »^.
gosier méditera
eqeOVJlOq eqUiJ-pOîT
chain
seront
Jt«î,epjULe^eT«î.it h^^JtJuieeJULHJ
Troisième futur
de
ils
w^.
«î.pe «
? »*.
njJUL<î.JiepcyçwoTci)j
:\. (5.
Vv. S, 7.
Mt. 10, 10.
24i
Imparfait.
112
h0V0TT<î,^
((
le prêtre offrira
Le correspondant
des
fruits sur l'autel
»\
négatif est fourni par l'auxiliaire JtJie-, SlSl^:
hlteK^OîTeS hjieK
« tu
ne tueras pas, tu ne vole-
ras pas )>^
JtJie
n(ÎOJC
^oeSeC
« le
C. Imparfait.
Ce
242
temps a
le
à leur tête
ne.
.
:
^^^ nj^^OT ne 3)
Dieu
«
ne hste «^^p^CM
était
avec
Pharaon
«
était
))^.
^,nOK m.SCWOVS] illioq
«î,n
ne
ne
« moi, je
le connais-
»''.
Quand
le sujet est
un nom, on répète
parfois l'auxiliaire
m.pe nj>^^oc THpq ji^cfXOTcyT «
))l
»''.
JIiî.Çf-è<î.2S:a30T (232,
sais pas
tuera pas
la
m.^.
Ji^s-pe-,
sens de l'imparfait français
Jï^pe c^JlOT'j^ ;X1" l'enfant
Seigneur ne
eSo>v
:
^iJ.2ttt5q
tout le peuple l'attendait »\
Imparfait du futur
Ce
243
Il
temps
Jt^pe- m.,
antérieur français
JI*X,
.
.
.
ne.
latin. Il
a aussi le sens
ne
« elle allait
niî.COn JI^.JUL0V l,n
ne
mourir (erat moritura) «
mon
frère
1.
Lév. 2, 9.
7.
Luc
21,20. 1,
21.
2. 5.
8.
Mt. 19, 18. Ex. 14, 10. Luc 8, 42.
3. Pr. 10, 3. 6.
9.
^)^
ne serait pas
rnort »".
4. Gen.
du futur
:
Jl^CJl«X,JtlOV
Jl<J.pe
**
signifie « être sur le point de, aller » à l'imparfait.
correspond au participe futur
e^J
JI«J.
Jean 1, .'îl. Jean 11, 32.
113
Parfait.
eue ^KT^iioj ne jï^jn<î,ovopnK ne ^en ov ovJtOÇf «
tu m'avais averti, je t'aurais renvoyé avec joie
si
»*.
D. Parfait, Premier parfait ^-,
Le premier c'est le
parfait indique
temps historique
une action complètement passée
« le
Seigneur a juré W\
i,qm.T epoq OTO^^.(:[epajc^Hpj s'étonna beaucoup
4Î,
le sujet est
le vit et
e^JULJO JtinjpWJULJ «et Dieu créa
un nom,
peut être répété avec
l'auxiliaire
:
»''.
Les formes de ce temps se confondent avec celles du les distinguera facilement
Pour <S.TeTen p.
\\
nOT^pwOT iLÇ[(^C J XineJULeO h.t^^ « leur voix s'est
élevée devant Dieu
on
«<
»''.
Lorsque l'affixe
ejui^cya?
))'^
OTO^ ^ c^nOTi^ l'homme
;
:
n^JC
i5.Ç[a5pK SlT^e
^ ^.
2 pi,
2"
présent;
au moyen du contexte.
on trouve souvent
^,peTen
(cf.
A
B.
47, 48).
La négation se
line ^7\i
fait
m.r
par l'auxiliaire
e necjCOn
iineqOTOîO) e-OTOpnOV voyer
(cf.
personne ne
eSoX «
il
**
vit
:
son frère »^
ne voulut pas
les ren-
rt''.
une A
«
line-, lin
B.
a quelquefois le sens d'un futur prohibitif p.
102)
Gen. 31, 27. Gen. 1, 27. 7. Ex. 10, 27.
comme
:
1.
2.
4.
5.
Ps. 109, 5. Gen. 19, 13.
3.
Kef. 335.
G. Ex. 10, 23.
JtJie
244
Deuxième
114
OVHpn
Jteil
OTCJKep^ JtineTeilCCMOT
rez ni vin ni boisson enivrante
Par opposition au premier
parfait
Dans
venu
))^
2.
2!Le
hc^OT
JI^OJS
u
pour quelle chose es-tu
Dans
tu es 3.
sais
les
je
suis
ve-
propositions subordonnées et surtout dans les pro:
2^e
peut^e
e^Il,
TOOTJ
Dans ce
cas,
composé de GT^î,
lorsque
«
le
moment
«
lorsque le matin fut arrivé
Àine
eTeJline-,
'j^(rpojULnj « la
Gou. 19,
ir..
eTGAin ^
colombe, n'ayant point trouvé
2. Teat. 11.
530. Gen. 8,
5. D. 8.
))\
zeJUt-w^JieJULTon h-
d'endroit pour reposer ses pieds, s'en revint
Lév. 10, 9.
»".
:
Jiec(îl>\^Y25: ^CT«3,ceO
4. Jean 3,2.
venu
au bord du puits, elle remplit sa jarre
tyoanj
OTO^ eTeiine
fut
:
»'.
^ciJL
'^^cyoî'f
l'auxiliaire négatif est
et
nous savons
traduire par « lorsque » avec le parfait
esten
elle fut arrivée
«
»^.
nj>n<î.V cyotînj
GT^cj quand
il
^^
eT^KJ eS0>\ ^JTejl
venu de Dieu
Souvent
eT^
7.
d'où
(Interrogation indirecte).
TejieULJ 2:6
1.
:
:
eTiLJJ eS0>\ ea5Jl «je
positions relatives
((
s'emploie
ici ? »'.
'j~eilJ
que
il
les propositions interrogatives
eT-a.KJ e m,iïkl,
nu
une action complètement pas-
aussi
1.
vous ne boi-
»'.
Le deuxième parfait indique sée.
«
parfait eT^,-, eT«î.^.
Deuxième
245
parfait.
»*.
3. 6.
9.
Jean 8, 14. Gen. 24, 16.
I
115
Parfait.
246
Juin^Te-, JUin^T^^.
Avec
les suffixes
sing.
iin^i^
I.
PL
m. Àin«î.TeK
2
Devant un nom auxiliaire a
:
deux sens
:
i.
JtUîJK JlTe
lUe
Jtcyo
vous ne vous rappelez pas
mes
«
Pas encore «
mon heure
»
avec
le passé.
n'est pas encore
TeTeiijpj jui^JULeTj
«
<5.jijul-
vous n avez pas encore compris et
les
cinq pains des
cinq mille hom-
»'".
2.
((
Avant que, avant de
JULniî.Te c^J>\JïinOC t'appelle
».
AlOVi^ epOK
coucher
«
ils
mangèrent avant de se
))\
Sur
Remarque. jonctif,
«avant que Philippe
»^.
^TOTOîlJL JULUiS-TOYJlKOT
et
Àin^TeTejt
»'.
juLniî.TeTeji ejuij ovî^e
nie
iin^Teji
Hn<î.Te-.
Àin^TeCJ Jtxe T^OTJIOT venue
I.
2.
jULn^,Te
f.
Cet
:
on
de
a,
le
modèle de a|<s,JtTe
AlU^Te,
et
forme JLin^JtTe-
cy^TC
pour
1.
Jean 2,
4. .3.
2.
Mt. 16,
0.
sub-
qui est moins usuel
moins régulier.
4. Gen. 19,
le
3. Joaii 1,
19.
Temps composés.
116
Temps composés.
E.
Avec
1°.
247
L'auxiliaire -fte s'unit à quelques autres auxiliaires et leur le
sens du parfait
catif
^
Avec
1,
du
du
avaient celui parfait.
11
du présent,
s'emploie
parfait
pour former
pe^T
JIJS^,KJ
le
et
l,
n60JC
versé les villes
Avec
2.
du plus-que-parfait
:
plus-que-parfait de l'indi-
sortir au
^ le
Seigneur avait ren-
))\
Ojiî-pe
:
moment de
Avec Àine,
}.
ne
cy^qj eSo7\ JUL^IÏ^-T JUmjK^TJUl^
Jie
iie glorifié
la
chaleur
JULn«î,pe,
Cet
uil avait
coutume
»".
îm^Te
JUin^TC JHC 6jt«0T ne
«
:
Jésus n'avait pas encore été
))'.
2°.
auxiliaire
forme
les
Avec
e.
composés suivants
e^-
premier
eaj«J.pe-
présent d'habitude,^
ejl<î,pe-
imparfait,
eJLine, eJULn«î.pe,
Dans ces
trois derniers
:
parfait,
euin^Te.
on néglige souvent d'écrire e,
juine, JULn^î^pe, jULn<î,Te.
1.
donne
:
«ne
de
s'ils
avaient celui
s'ils
248
Jie.
Gen. 19, 29.
2.
Kof. 335.
3.
Jean
7,
39.
et
il
reste
:
117
Subjonctif.
Ces
différents temps, avec leur sens respectif, ont
taxe que le
j'
G
présent formé de
tout seul (238).
forment des propositions dépendaates qui suivent
Ils
comme une
tion principale sans conjonction,
comme un
même syn-
la
proposi-
la
sorte d'apf)Osition
participe français. Elles peuvent aussi
iî,^jT0TJ10CC e^(![«î,110JlJ JlTeCZ:JX
la <(
précéder il
ou
:
ressuscita
la
après avoir pris sa main «V
nOîC
c^4X,J
ci sait-il écrire,
oTo^
n'ayant pas étudié
« et
Abraham
ne
les
^^TOT^H craignez pas
ovn xe ((
OTOjiTHj
supprimé
h^H
quelqu'un qui viendra
Comme ;
il
la
s'étant
^«j.ujiot'j^
la
la
1.
Me.
4.
Bav. G, 65.
31.
iinepep-
JlTe- JIT ^'dans
particule
laqucl-
249
:
TeqepSofiejJï epoj
me
))".
secourir
sens, le subjonctif n'est limité à
Dans
^.il jie
eTeç[Ji<î.j
peut indiquer
1.
devenu vieux, ses jours
SUBJONCTIF.
le
aucun temps en
présent, le passé et le futur.
usage très fréquent en copte. I.
e^,^^,s^l ^eir
))^
subjonctif est formé de
le it est parfois
culier
»\
sachant donc qu'ils ne sont pas des dieux,
II.
Le
était
celui-
))^.
Ci^peTejïeJULJ
^O'f
?
ne 0T^e>\>\0 ne
^,^p^.^.îx
Jieçje^OOT augmentés
CœOTJl hc^^J lJLneqc<5,50 «comment
Il
s'emploie
11
est
« j'ai
parti-
d'un
:
dépendance immédiate, sans conjonction, après
2.
Jean
5.
Fv.
forme régulière HcJ>H,
cf.
7, 15. II.
28
109, note.
3. S.
Pour
Gen. 24,
Jtf^K
les
1.
au
lion
de
250
118
Subjonctif.
verbes qui expriment
mandement
?
»
appelons
veux que
tu
((
je
ramène ton
fils
au pays d'où tu
la fille
^^
e 'i^^>vOV jiTeiicyejtc e
pour
demander ce
lui
qui lui plaît
de moi, mon
pour que
fils,
je te
cy^TOV OTO^ c|»^COV que
et fais-les cuire afin
Après
2.
iLJI^l^KH, peut
»,
les
XP^^
''
y
l'I
ll^OJI 0)'K0^
((
yés impersonneUemeat avec
cessaire
que
gw^ ((
il
faut j.
il
comme CCye,
nécessité
SlTLe
Jt
le fils
Dans
immole-les
^WX
»,
faut»,
«il
«
et les verbes
il
se
emplo-
:
JCK^J12^^A0JI
<(
il
est né-
scandales arrivent »\
JiTe ntijHpj jULc^pcujuLj
que
»,
neutre C
l'affixe
«
OTOitOjZiOJUL
ne se peut pas
JtTOTJ
<î,Jt^X?KH r<î,p les
3)
approche-
»*.
réjouisse
verbes impersonnels
«
»^.
JtT,î,OTnO(![ JULiAOJ
me
je
palpe
poîc
«'^
^eJtK epOJ n^OjKpj SlTl^^OÂk'AeiX epOK toi
com-
le
'.
jUL<s.penJULOTi^ ((
demande,
hT^Tiî.ceo jmneKcyHpj enjK^^j eTi.K)
eSo^ h^HTCj venu
la
:
;)Ç0Ta5cy
es
volonté, l'exhortation,
la
l'état
jiovjULHcy
(fj
de l'homme souffre beaucoup
h^jcj
»".
de dépendance éloignée pour exprimer
le
but,
l'intention, la crainte. Il
est alors
précédé d'une des conjonctions grecques suivantes
^JJti, ^OancWC nCMC, llHITOTe
<(
conjonctions coptes
« afin
que
»,
^CWCTB «de
de peur que
», JJULH.''J'"
Xe
ty<î.
<(
que
»,
<(
JULiniOTe JlTe nJ^ilTJ2vJK0C
1.
Gen. 24,
4. T(iBt. 7.
5.
2. Gori. 24, 57. 5.
Mt. 18,
7.
sorte
que
»,
:
-«-H-
uà moins que», ou des
jusqu'à ce que
».
THJK llUJKpiTHC «de
3.
Gen. 27, 21.
6.
Me.
8, 31.
119
Subjonctif.
peur que l'adversaire ne te
JlTeqepwJK
JULn<î.J(Mnj 2:6
«S,2S.0C
qu'elle se
livre au juge »'.
change en pain
jtJieTeji^o^
epoq ^im,
xiTeTejiojTejuLJULOT
n'y toucherez pas afin de ne pas mourir
Le ture
cy^
subjonctif et
cette pierre
à
((dis
))"\
((
((
vous
))^.
jusqu'à ce que
»
s'unissent dans l'écri-
:
Avec
les suffixes
:
Sg.
cy^HT^î, ou oj^Il^
i.
m.
2
f.
^^siTeK
f.
:
beaucoup plus fréquent les suffixes
:
Sg.
PI.
subjonctif
i.
ty^TGH
2.
cy<s,TeTejt
cy^Teq
^
oj^tot
çy^i-Tec
cy<3,Te-
:
OJ^'^ZOC
J1<î,C
((
reste
là
jusqu'à ce que je
»''.
TeqcfOTK eÔ0>\
((
la
ciel
extwK
25.
2.
Luc
5.
l)(iut.
1,
3. Goii. 3, 3.
."î.
2S,
-^4
»)^.-
sur ta tète jus-
»'.
4. Mt. 2, 13.
5,
e^pm
cendre descendra du
qu'à ce qu'elle te détruise
Mt.
le
oj^Te
oTKepjULj eqej e8o>\ ^eji Tc^e
1.
cy^JiTOV
devient
m. cy«^TeK
f.
te le dise
le Jt et
Oj^i^
i.
^m.
JULJUL^T
}.
cy^jiTec
f.
tyœnj
2.
:
2
Devant un nom
OjiJlTen
^l^SlTe-
Cette forme s'abrège en perdant
Avec
i.
cy<î,jtTeTen
cy^JiTe
m. ty«î-itTeç[
j
Devant un nom
PI.
251
Subjonctif.
120
a)«î.Te neJULSoJt sieix nsttwjtT Sl07\ ^<î.pOK
((
jusqu'à ce que
iineKcojt KOTcf
colère et
la
la
e-
fureur de ton frère
se détourne de toi »^
252
Le
4.
temps
;
subjonctif s'emploie souvent pouréviterlarépétitiondumême
dans ce cas,
tions sont
en
réalité
la
dépendance
coordonnées.
n'est qu'apparente, les proposi-
En
général elles se suivent sans
conjonction, quelquefois elles sont unies par duction, le subjonctif se met au
même
OTO^. Dans
temps que
le
la
tra-
verbe qui pré-
cède.
Cet emploi du subjonctif peut
avoir lieu à tous les temps et à
tous les modes.
A l'indicatif présent >Ac|pH^ jioTpçMjULj eq^jovj :
JlTecf ilKOT
qui jette sa semence.
.
.
.
.
.
ovo^ et s'en-
»'.
dort •
comme un homme
((
juineçf îspoz:
Au
présent d'habitude
« Satan vient et
Au
futur
enlève
la
:
parole
»"*.
:
'fs\^,(^7Li JITa,Tiî,^0 JlT^.^«3Cy itT^,tyCM>\
« je
pour-
suivrai, j'atteindrai, je diviserai, je pillerai »".
eTeeeV\H>\ JiTOTOTjtocj hzie Jiu eeoTOjai
HeOJLlHJ
« ils
se réjouiront et exulteront,
sit^.-
ceux qui veulent ma
justice »'.
Au
conditionnel
:
60)0511 «Î.KO)iJlJ
1.
(îen.
27,45.
4. Ex. 15, 9.
e TiS.c^T>\H
OTO^
Me. 4, 2G.
3.
2.
5. Ps. 34, 27.
Me.
JlTOTO|TeJUL'i^
4, 15.
121
Optatif.
m,K
cktotSmott eSoX
eKecyojnj
vas vers
ma
tribu et qu'ils
^i.
ne te donnent pas,
m.6.m.^ «
tu
si
tu
de
seras libéré
mon serment «^
A
l'impératif
:
SlTeKX,^^ «ne
JuLnep^CU}^ pas
A
l'optatif
hTOTee>\H?\
les nations exultent et se réjouissent
Après
l'infinitif
i.q^i,q JITe(!j<î.peg et le garder
avec 6,
^en epOCf
eope
«
il
le plaça
formé de
donne, accorde
-pe
:
JJtJ
et
de
le
paradis pour y travailler
:
l'impératif
JUi-
:
JUL^p ^
JUL«j.pe-,
l'exhortation
désir,
le
eSO>\ h^^,ncn.e^
JICJJUL
(.
que
la
:
JUL^pe
terre pro-
»".
c<
JUL^peJltyen^JULOT IITOT^
Gen. 24, il. Gen. 2, 15. Mt. (), 10.
a celui
OPTATIF.
neTe^lt*î.K JULiLpeqojOînj
7.
le
oto^ JiTeqniS,^^ epoq
souhait,
duise des herbes verdoyantes
1.
ovog
».
temps exprime
njK«î,^J
que
lui n".
III.
Ce
«
))*.
qui voit le Fils et croit en
est
^^XieejlOC
))^.
dans
Après une proposition relative
Il
Jl2:e
njn<î.p^2ijcoc eepeç[ep^tuS
c^H eejiiLT enojHpj
4.
ne m'abandonne
:
JULi5,pOTOVJIOÇf
«
pars pas,
»'.
que
ta volonté soit faite
h.^^
<«
remercions Dieu
2.
Kef. 352.
3. Ps. 66, 4.
5.
Jean
6.
8.
Missel.
6,
40.
>>'.
Gon.
1,
11.
>»*.
253
Impératif.
122
reste en copte
Il
pOJl
une seule forme
I.
Pour
:
lli-
JULOcyJ
hcOSJ
2.
«
aime
le
Seigneur
«^2:03
^Xe-
^OTCMll
((
^
devant
mange
«Î.2t0^, <X.Z:OC
Les trois verbes JJtJ
».
»"\
délivre-moi
vois »,
«
d'im-
suis-moi »^
Quelques verbes prennent un
^n^T j.
((
Tinfînitif sert
:
«
liejipe n<50JC
m,^JtXeT
IMPÉRATIF.
grand nombre des verbes
le plus
pératif sing. et plur.
tif
infinitif
« allons ».
IV.
254
d'optatif sans
<*
l'infinitif
:
»,
dis ».
Jpj CWAJ forment
ainsi leur
impéra-
:
«LJIJ-
^JIJT^
«porte»,
^pjOTJ
^pj-
^pjT^
«fais»,
iî,>\jovj
^,7\J-
^,7\iTi'
«ôte».
iJ,JUOTJ
4.
Autres impératifs
<J.JULOT, féni. <S-11H,
<5.YJC « donne »
:
5.
/"dm.
ne
XX^- forme
f/.
pi
<î.VJC
AlOJ Al^-iAHJi*' ULO,
:
venez
iS,JULa5JiIJ « viens,
TeKXJZ:
« accorde,
-^CUJJtJ
l'impératif
«
«
donne
donne
» sert
les
main »l
d'impératif à '^.
prends, prenez
de tous
ta
».
verbes composés de "^
(2jo) et de tous les verbes causatifs formés de T.
TOVSO
1.
«
purifier », impér.
.lean 1, 14.
?.
«.iî.TOTSO
Ms. 124.
3.
»,
;
Jean 20, 27.
123
Infinitif.
OeSjO On
((
abaisser
a aussi
lez-vous en
m,K
JULiOje
:
JUL^tye JlOJTen
« va-t'en »,
« al-
».
La négation de
6.
linep-
impér. JUL«î,eeSjO.
»,
devant
l'impératif s'obtient on plaçant
l'infinitif
simple et
AineJt- devant
:
l'infinitif
eau-
satif:
Àinepep^O'^ « ne craignez pas ». UneJlOpe ^ AJ eJU.J u ne le fais savoir à personne »V i^'f ^O epOK n<î,ja5T linep^CU^ « je t'en prie, mon père, ne pars pas
»'.
Lorsqu'il y a plusieurs impératifs à
7.
be seul
a la
forme de
subjonctif (252)
;
à
moins
dants les uns des autres,
comme
y
a
deux
causaiif ope- Sw7\ 1.
epj 2
PL
1.
epeji
m. 2.
Devant un nom
epo
1.
Mt.
(T
+
9, 30.
jpj
:
optK
:
l'infinitif
n(H)JC CCMTeil.
Seigneur, écoute
simple
f.
ma
ScM A
« délier » et
:
opec m epeq opoT. epeTexen
epe
/.
,5
3.
Ope-.
23, 227j est le causatif
2.
«
:
»'.
u faire délier »
epeTeji,
Opo
du
Formes.
sortes d'infinitif
Sg.
premier verl'auxiliaire
INFINITIF.
1.
Il
dans l'exemple
en<î.^^O
ma demande
V.
l'infinitif
prennent
ne soient complètement indépen-
qu'ils
^^^^
eT^npoceT^Xi*^
prière, prête l'oreille à
suite, le
la
l'impératif, les autres
Kef.
.'ir.2.
du verbe jpj «faire».
3. Ps.
142,
1.
255
Formes de
124
peut s'employer partout où s'emploie
L'infinitif causatif
simple
l'infinitif
:
ceepo JieS^KJ de Dieu iJ,
l'infinitif.
JUL<^'^ 0TJ10Ç[ «
la
cité
))\
n(^JC epe
n^HT
cœur de Pharaon
durcit le
JULf^<î,p^ÇM
JIOJOT
u le
Seigneur en-
« le
péché cause
)>'\
JlJ<î,ceSHC cy^.pe c^JIOSj la. perte
font se réjouir
ils
epOTT<^KO
des impies »^
ejeopecf^Oj^J
« je le ferai se multiplier
Pour son emploi avec G,
voir 265,
264
>A
avec 2tJJt, voir 266
;
et suivants.
La négation
256
SOîA
<(
à l'infinitif se fait au
ne pas délier
»,
moyen de cyTGll
WJTeiiepe-
Sc»}\ une pas
:
cyTCAl-
faire délier».
conjugaison qu'à deux
Cette forme négative ne s'emploie dans
la
temps, au conditionnel et au subjonctif.
Aux
autres temps,
la
néga-
tion est exprimée par des auxiliaires ou des adverbes. Mais hors de la
conjugaison, elle peut remplir les
afïirmatif
JULcj^JlOVt"
eojTGJUL^^T JlZiOJlC
Dieu de ne pas m'opprimer
Ô^J
sur moi pour ne donner aucun scandale II
est
un troisième
forme en plaçant WJcyStW?^ Il
est
l'infinitif
((
infinitif
»,
h^Tpocf
<(
j'ai veillé
»".
devant
l'infinitif
cyope- StW^
a
;
il
se
simple ou causatif
pouvoir faire délier
en réalité composé de deux verbes, mais dont
1. Ps.
2.
Ex. 0, 12.
3.
4.
5.
Gen. 21, 28.
G. Kef.
45, 4. Gen. 17, 20.
jure-moi
qu'on pourrait appeler polentiel
« pouvoir »
pouvoir délier
((
»^.
^,i^.pe^ epoj e tyTejU-X^
257
fonctions que
:
tupK ilHJ par
mêmes
le
:
».
premier W)-
Pr. 13, 6.
418.
Emploi de ne s'emploie que dans ce cas
commence
Lorsque
particulier.
le
par C, cette lettre disparaît parfois après
pour cyCA25.J
Cet
125
l'infinitif.
pouvoir dire
<(
»
qui est d'ailleurs
d'un usage fréquent
infinitif est
tous les verbes et à tous les temps
peut se sauver de
la
^
cy^StJ
:
peut se rencontrer dans
^en OTnoXeiioc
«
il
ne
guerre »\
CeJtiî.a)Ta30TJlOT kll<î,Viî.TOV d'eux-mêmes
il
le
forme ordinaire.
:
e^o'K
ÀJLniî.çja)itigjULeçf
;
la
second verbe
pourront se lever
« ils
»''.
oTptujuLj îjLSe>\>\e iiJiOTcyepeq Jt<j.T julSo>\ OTpcM-
eq^eJl 0T^J1^\^KH
JtJLJ
ront rendre la
nécessité
vue à l'aveugle,
la
ne pourront délivrer l'homme de
d'infinitif appartient le
verbe
».
cy s'unit aussi
pressions de cette sorte
fréquent, W^2S:eil-
:
(231). et
au substantif 25.011 dans les ex-
llllOJt
C^'25:011
JIHJ
« je
n'ai
pas le
».
2.
De même
Emploi de
qu'en français,
l'infinitif.
l'infinitif
de tous
peut s'employer, avec ou sans son régime,
complément direct
et indirect
1.
Dun.
G, 14.
2.
les
comme
verbes coptes
sujet
ou
258
comme
dans une proposition.
In/înilif sujet.
Les propositions coptes qui ont un
1.
si
«pouvoir», composé de ty-25:e.^- ((trouver»
25.011 « force
pouvoir
ils
ne pour-
u ils
))^.
A ce genre 25:011
JtJlOiCyjl^^JULeçj
Ib.
26.
infinitif
3.
comme
Ib.
36.
sujet réel sont
259
Emploi de
126
tout à
semblables aux propositions françaises de
fait
L'infinitif l'attribut
précédé de G (en français
les
bon pour moi d'adhérer à Dieu e-C^2S:J «
j'ai
«
il
»'.
à parler »'\
verbe ccye
le
verbes conjugués impersonnellement
dans ce cas on emploie Jt
l'infinitif,
quand
il
en
eope
faut » et
verbe,
ce qu'il ne faut pas faire
6
«
il
»'.
nous faut payer
le
njptuuLj tyojnj jtiJUL<î,T^Tq
bon que l'homme
Comme
soit tout seul
Infinitif
complément
uni, sans particule, à la
iî.VlieJlpe KJJUL pieds
le
il
tri-
»".
2.
I.
«
e-^^W^ knOTpo
ji<î.jiec <5.n n'est pas
;
immédiatement
a
:
Sl-^,i^ ^,n
CCye m,il but au roi
qui est sujet réel, suit
est séparé
neTCcye
«
il
»^
complément.
direct, l'infinitif se trouve quelquefois
forme abrégée des verbes
hilOTc^^T
«ils
:
ont aimé remuer leurs
»".
2.
soit
de, à) vient toujours après
Cette tournure s'emploie surtout avec
quand
261
genre.
ov^x^^eojt jihj ne g-toul-t e t^^
2te
OVOJITHJ 260
même
:
^,noK est
l'infinitif.
En dehors de ce
cas, assez rare d'ailleurs,
complément direct ou
général
JI
autre,
l'infinitif,
prend toujours une préposition, en
ou £.
1.
Pb. 72, 28.
2.
Gen. ]8, 31.
.1.
4.
Luc
.-,.
Ceri. 2, 18.
6. Jér. 14, 10.
2(1,
22.
qu'il
Mt. 12,
2.
a.
h ment
le
1.
mot dont
Comme
il
complément avec
Infinitif
ne s'emploie qu'avec
127
complément.
Infinitif
Tinfînitif
Jl.
simple lorsqu'il suit immédiate-
dépend.
complément
direct
:
TCTeXlCCUOTlt Jiepî^OKJJUL^^JJl «vous 2.
Comme
Jl<î.(!f
}.
JlHOT
Comme
nCHOT
JnC^î&J
Jt-<î.ty^J
«
il
ne
commença «
complément déterminatif
h-*^
a le
temps de donner
Après
digne de
»
les
«ils
verbes qui signifient
))^
:
»".
ne purent rester
))\
« être facile, être difficile, être
:
JULOTeJt
JÏ-SteJUL-q' « facile à trouver
))^
^OCJ h-Z:eJUL-OT « difficiles à trouver ))\ ^pjTen heiincy^ JlZiOC « rends-nous Dans
:
à parler ))l
en croissant
allait
il
UnOTtyZieAJLXO.U Jt-O^J 4.
savez éprouver»'.
complément circonstantiel de manière
^qep^HTC
262
tous ces cas, lorsque
l'infinitif est
dignes de dire)>^
séparé du
mot dont
il
dépend, on emploie 6.
b. Infinitif
complément avec G.
Avec e on peut employer L'infinitif causatif le sujet
de
1.
Luc
4.
Th. 154. OSE. 17.
7.
exprime
l'infinitif doit
12, 56.
simp/e ou
l'infinitif
le sujet
;
l'infinitif causatif.
on l'emploie donc lorsque
être exprimé, c.-à-d. lorsqu'il est différent
2.
Luc 20,
5.
Ex. 12, 39.
8.
Th. 156.
9.
3. Act. 12,
6.
OSE.
17.
24.
263
128
de
celui
du verbe
mais qu'on 11
principal
faut remarquer, dans
1.
même
pas différent,
lorsqu'il n'est
ce cas, que
comme
l'infinitif
l'infinitif
causatif n'a plus son
simple.
6
simple ou causatif s'emploie avec
L'infinitif
Jt,
ou
veut le faire ressortir.
sens propre et se traduit
264
complément.
Infinitif
Comme
complément direct même
là
:
où l'on pourrait employer
mais spécialement après les verbes qui signifient « vouloir, dési-
demander, ordonner,
rer,
TeTeJICOîOVJl
^qOTOîO)
e-J «
jurer, laisser ».
e-'j" « vous savez donner »\
voulut venir «l
il
JlC<î,
lUeiULHJ
^jepenjOYJULJJT e-OTCWJUl
« j'ai désiré
"f OTtUcy eepjJULOtyj du
sur les traces
KepeTJ Jl
juste
e-COî
))^.
«(
tu
demandes
4Î.Çj^0Jl^eJl e-tyTeJULZ:e le dire à
personne
veux marcher
« je
à boire
<^<î.J
manger n\
»'.
Jt^^J
«
il
ordonna de ne
»".
^qOîpK e-^ m.K iiniK^^J
«
il
a juré
de
donner
te
la
»'.
terre
hjieq;X!^ njpeç[T«î.KO e-J e^OVJt entrer le destructeur 2.
Comme
eqecjjij
circonstantiel pour
ne
laissera pas
marquer
la
fin, le
:
Ji2î:e
n(^jc e
Seigneur passera pour frapper
ty^s-pj
les
1.
Luc 11
13.
2.
Jean
Luc 2:^,15.
5.
Jean 4,
7.
Ex. 13,
8.
Ex. 12, 23.
1,
e jtjpejuiJi^x^HJULj
Egyptiens
4.
5.
il
»*.
complément
but, l'intention
«
))^.
44.
3.
OSE.
9.
6.
Luc
9.
Ex. 12, 23.
8.
9, 21.
« le
129
Substantif verbal.
e
«j.V^tt5JlT porte
njpo
K«J.ty
approchèrent pour briser
«ils
la
«*.
^qT^OTOJi Jixe n(^jc e qosl^ hT^JS«j.KJ e&oA « le
me
Seigneur nous
envoyés pour raser cette
a
JULJULOJl
cyZOJUL JtHJ 6 JtiL^JULeT 6
sauver à
la
montagne
c. Infinitif
L'infinitif,
Après
hc^
:
circonstantiel, peut
telles sont SiCl, et
on emploie
eVKOJ't'
l'infinitif
C^îtJ
JIC<Î.
JULeneJlCiJ,
juienejtci
simple
:
le
«
ils
demandent l'infinitif
Seigneur eut frappé
le fleuve
Au moyen de
causaiif
nzunepe-
7.
Scw>\,
Gen. 19, 9. Ex. 2, 15. Ex. 7, 25.
:
eut
e ^j.i.po
vieilli »'.
hx^^-J
d'Egypte »\
Formation.
l'infinitif
« l'action
Au moyen de
à parler ))^
simple lui-même
de délier
2t JJt et
de deux manières
de
».
Tinfinitif simple
ou
causaiif.
ou pronominal
nzJJtep^ SojK
2. 5.
266
:
:
construit L'infinitif causatif est toujours à l'état
1.
à
SUBSTANTIF VERBAL.
substantif verbal [jXa^) se forme
HJ-ÔOî^
4.
cherchait
«il
« lorsqu'il
1.
2.
lieJieJlCX..
epeq ep^e>^>^0 epe n(^jc a)<J-pj
VI.
1,
265
encore recevoir d'au-
nCl, TiJ.KO kjULOîTCHC
Après JULeJieJlC^ on emploie
Le
ne puis
»*.
perdre Moïse
que
« je
complément avec d'autres prépositions.
m,qKW^
« après
RTCMOV
»^.
complément
très prépositions
ville >>\
Gen. 19, 13. Mt. 12, 46.
9
3. 6.
Gen. 19, 19. Gen. 24, 36.
:
Substantif verbal.
130
Pour
voir 255.
la suffixation,
L'infinitif
simple donne avec
deux formes
une forme qui n'exprime pas
2.
une autre forme toujours accompagnée du
les suffixes
Sg.
3
m. nziJjiTecf f.
sujet
:
I.
nziJJiTejt
2.
n2:JJlTeTen
3.
nziJJiTOT
nzijjiTe
n2S:JJtTeC
Devant un nom
nZiJJlTe-
:
2.
De même
PI.
m. HîtJJITeK f.
.•
:
nzjjiTiS.
I.
2
le sujet
:
n2tJil-SW5A.
1.
Avec
267
2S:JJt
que
le
Syntaxe.
masdar arabe,
le
substantif verbal copte,
dans ses quatre formes différentes, peut avoir un complément direct
:
^Jt<î.^JULe-T
((
mon
OT-COVeJt ^"^
salut
{litt.
le
sauver moi)
« la connaissance
de Dieu
»*.
{litl.
le
connaître
Dieu) »\
nZLJJï-epeçf-^eZ^CMZ-T moi
a.
268
« l'oppression
qu'il
exerce sur
)>'^.
Substantif verbal avec la forme de l'infinitif simple
Sous cette forme
le
substantif verbal, seul ou avec son complé-
ment, peut remplir toutes
1.
Th.
8.
les
fonctions d'un substantif ordinaire,
2. Pr. 2, 5.
3. Ps.
41, 10.
131
Substantif verbal.
ou régime dans une proposition
c.-à-d. être sujet
ou ses dérivés
défini
de
pour
{litt.
moissonner eux)
le
«î,cjtiv
tWAl
<(
la
femme
vit
«
role »
que
le fruit était
de P«3K^, quai de <^«5T^,
chement
»''
pOK^
« brûler »
^OT^
quai.
A
(cf.
absolu
nj-C^2î.J
»,
tyOJlT
;
CUJï^
« la pa-
« querelle »
pOK^ « bois de
^OT^
:
de
chauffage »
ouvrage de sculptu-
«
Z:e>\2S:tt3>v
sécher » dont
« dessè-
le qualitatif devrait
p. jç).
la
préposition £)ejï pour former
OV
dans
une locution adver-
:
« avec droiture, directement »,
^eJl OT'ZlOJK eSo7\ t)en OT^tun Après
2.
le
«
« entièrement »,
en secret
».
verbe lui-môme pour en appuyer
complément absolu arabe TeTeJIJl«X.JtlOT
1.
;
;
:
« sculpter »
« faire
B,
^eJl OTCOJOTTeJl
4.
l'infinitif
comme de sim-
:
Après
1.
mort
o^-
substantif verbal s'emploie avec l'article indéfini
deux cas
biale
forme de
entrelacer »
de 25:0^25:6 7\
être 2te>\2S:«3?\
Le
bon à manger
en prenant celle du qualitatif ((
moisson
la
njçytyHjt e §-ov-
thèmes verbaux qui sont employés
cycWJlT, quai. cyOJlT
re »
ont blanchi pour
IlJ-tUJl^ «la vie »; C^25.J « parler
soit
;
ils
patience
)>^.
ples substantifs, soit en gardant la « vivre »,
l'article
»*.
hxe "fc^iïkj ^e m^neq
est certains
Il
contenir moi-même)
e n-OC£)-OT
iî,TOVS<S.cy
prend
:
mon
lui (////.
il
JITOT OT-eSO>\ ^JTOTq ne uma
n^.-^,it3iOnl vient
;
(
jii»« J_j«i«)
le sens,
comme le
:
^eJl OVJULOT jyy.
(ij,
«vous mourrez de
»^.
Pa. 61, 6. Nomb. 11, 32.
2. 5.
Jean 4, 35. Gen. 2, 17.
3.
Gen.
3, 6.
269
Substantif verbal.
132
Acf pjjtij ^eji OTpjJULj ecf eitty^cyi i^
amèrement
«is^
^ejl OTJlO^eJUL JlO^eJUL JlTeK'ȔrT;X!"
même
la
forme avec
b.
pleura
« sauve-toi
toi-
circonstantiel,
on
2S.JJT.
Substantif verbal avec
de
substantif verbal formé
2: JJt
de complément circonstantiel
tion
complément
le substantif verbal est
emploie surtout
Le
il
))^
Lorsque
270
jr«
»*.
;
il
2t.JJt.
ne peut remplir que est
la
fonc-
donc toujours précédé
d'une préposition.
Quant
Te-
à la différence entre les trois formes
1125:
JJt-SOî^v, nstJJt-
ScmTv, Il2t JJl0pe- Sa3?\, on peut faire les remarques suivan-
tes.
271
Cette forme
Lorsque
1.
verbal est le
est
« ils
mettre à mort
« elle a
1.
principal
oTAieTJULeepe
:
^^.
jhc
enstJii-
le substantif verbal n'a
nom
suivi
JuLn«î.jcoz:ejt
pas un sujet déterminé et
d'un complément déterminatif
jc I]V2s.^jul iS.'jep
Ài^pn^
e-nziJJicoveji OTneejiiS.Jieq
Mt. 26, 75. Mt. 26, 12.
2.
:
e n^cwstxi. e-nstjjt-KOCT
répandu ce parfum sur mon corps pour ma sépulture
^nnne JULOii
du verbe
cherchaient un témoignage contre Jésus pour le
représente plutôt un
^,c^Ion
4.
celui
»^.
Lorsque
2.
qu'il
jiCiS.
:
auquel est attribuée l'action du substantif
le sujet
même que
ji.î.TKCM't'
i)0OSe(|
employée
Gen. 19, 17.
JiOTiS.j
Jiejw.
3.
»''.
eSo>v
jul-
ovneT^tuov
Me. 14, 55.
138
Substantif verbal.
« voici
qu'Adam
est
devenu semblable à
naissance du bien et du mal
A
j.
autres,
lement employée sans complément
con-
cette forme est généra-
comme un
peut alors recevoir l'adjectif possessif et
elle
la
))\
deux
l'exclusion des
de nous pour
l'un
simple substantif
l'article
;
du féminin
(143):
estejt neqejULj jîeii neçf-zujt-epovoj «au sujet de son savoir et
de ses réponses
»'.
eeSe Te'KSnci.^J
«à cause de
ta parole
)A
•j^-St JJl-C^.2S.J « la conversation ))^
TeqZiJJtep^OjS
2.
En
;
manière d'agir »^
n2S:JJiTe- Scu^,
nz:jjiepe- S«3>\.
tenant compte du sens primitif, IIX JJlope- ne devrait s'em-
ployer que dans naire
« sa
le
mais, dans l'état actuel de
la
langue,
formes aucune différence notable de sens.
remarquer que
Il2î:
272
sens causatif, et n2t JJlTe- dans le sens ordin'y a entre ces deux
il
Il
importe seulement de
JJlope- est beaucoup plus employé que
nx JJt-
Te-. Par opposition à n2t JJt-ScîîA, ces deux formes s'emploient pour exprimer celui
le sujet
du substantif verbal quand
du verbe principal, ou qu'on veut
vont surtout avec <j.njnniS,
les
deux prépositions 6
o}\q e
epnjp«X.^JJl JUJULOq fût tenté par le diable
1.
4.
Gen. 3, 22. G, 88, 7.
le
ncyij,
il
est différent
et
^ejt
:
e nxjJiTe nj^j<s.So>\oc
« l'Esprit le conduisit au désert
»^
2.
Luc
5.
D. 539.
2, 47.
de
mettre en évidence. Elles
3. 6.
Jean 4, 42. Mt. 4, 1,
pour
qu'il
2
73
Substantif verbal.
134 Je vous
ai tirés
d'Egypte 6 Rît JJlTeTeJttyCMnj JIHJ
que vous soyez à moi 274
Avec
I12S.
temps que dant que »
pour
))^
JJtTe-, £)eJI indique une action qui se
celle
«
du verbe
en
fait
même
principal et se traduit par « lorsque, pen-
:
^en
ccwTeJUL c|i^ e Tiî,npocev;)^H
«ô Dieu, écoute ma demande
^eJI nstJJtTeKOîC^
lorsque je prie
« lorsque tu
nstjJiT^TcwS^
))^
moissonnes »^
Avec nZ:JJl0pe-, ^ejt indique généralement une action qui
275
immédiatement celle du verbe principal
a précédé
une
action simultanée
iS,ca)a5nj î^e JliS.Sp4Î,
;
plus rarement,
;
^en
nstJJtepeçfCtMTeii
e n^JC^ZiJ
^qOTWCyT
n^T^OT
Jt2te
lJLn(rf)JC ail arriva que,
lorsque le serviteur d'Abraham eut entendu ces paroles,
il
adora le
»''.
Seigneur
^eji nzijjtepe njcojt ccwTeJui ejt^j ^çfp^cyj JUL^çyOî « lorsque
beaucoup
le frère
eut entendu ces choses,
oppriment
se réjouit
))^.
nXJJtepoV^eSt^eît-eHJlOT
^eJt
il
e-
«
lorsqu'ils
vous
»*'.
Cette tournure est assez fréquente dans
mencement des phrases
les narrations, au
com-
:
oYo^ ^ejt nxjnepeJiTiL^o knjji^.^i^ epiî.Tç[... nOTpo X^^ eS0>\ « lorsque nous eûmes établi la foi, le
«s,
roi
nous
laissa partir
4.
Uv. 20, 26. Gen. 24, 52.
7.
Zooga 29.
1.
)>^.
2.
Ps. 63,
.5.
Kef. 353.
1.
3.
Lév. 23, 22.
6. Lév. 26, 26.
135
Passif.
Le verbe copte
DU
PASSIF
VII.
de forme particulière pour
n'a point
y supplée de différentes manières
Le moyen général
1.
à employer
la }' pers.
eveJULOTi^ Céphas
ront)
Le
du
epOK
VERBE. le passif.
On
:
d'exprimer
et ordinaire
pluriel actif
le passif
consiste
:
2te Ke(^^, « tu seras appelé
(ils
t'appelle-
»'.
sujet apparent
du verbe devient régime
et le sujet réel est
introduit par eSo^ ^JTejI OV-pcUJULJ e ^TOTOpnq eSoTv^JTen :
qui était envoyé de
Dieu
2.
eSo^ ^JTejI OT-OHOT
(TrCJULOV
le passif
dont
un
passif au
moyen du verbe
:
« être béni »
;
(TÎCWOV
(TlOTajJJlJ « être illuminé » L'infinitif
«
^.
Quelques verbes forment leur
préfixe oi- « prendre »
homme
))'\
OT-K^o) eTKjJUL epocf roseau agité par le vent »
c|i^ « un
des verbes
;
transitifs
« être glorifié »
;
(ÎJtOJULC n être baptisé
».
peut en un certain sens exprimer
le sujet réel n'est pas
mentionné
(192).
hze JTJpOîOT THpOT OVO^ JlJCJt<S,V^ THpOV iTScu?\ eSoA « toutes les portes s'ouvrirent et tous les 4Î.YOYÇÎ3JI
liens se délièrent ))\ 3.
mais
il
Le
qualitatif
de tous
les
verbes transitifs a le sens passif,
indique un état et non une action (200).
^"^62:^0525:
1.
Jean
4.
Act. 16, 26.
1,
43.
« je suis
2.
oppressé
Jean
1, 0.
»,
CC^HOVTwil
3.
Luc
7, 24.
est écrit ».
276
Complément
136
VIII.
direct.
COMPLÉMENT DIRECT DU VERBE.
La syntaxe du complément direct
est différente
verbe est à l'état absolu, à l'état construit
Complément
1.
277
Le complément de
(il devant
JI
direct
S
direct
•»!<•)
l'état absolu.
:
^JOJT liej ÀintyHpj
« le
Quand
un pronom, on emploie ii.iXO^:
le
complément
Les verbes grecs ils
est
278
Père aime
JULJULOJ «
si
le Fils
ne peuvent être
ï>'\
vous m'aimez )A
actifs se construisent toujours
de cette manière,
ni à l'état construit ni à l'état
^Jm. hTeqepnjp<5.ÇJJt ver
ne connaissent
« ils
voix de l'étranger »\
60)03 n TeTeitJULej
car
absolu est précédé
l'état
CecOîOVJl ^Jl JITCJULH iin JCyeilJtlO pas la
selon que le'
à l'état pronominal.
du verbe à
de tout verbe à
n ^
JUL
ou
JULllOîTen
«
pronominal
:
pour vous éprou-
f)*.
Remarques,
Le verbe
i.
25:03
25:0^ « dire » exige toujours
nom ou un pronom pour complément tient pas,
on
ÀillOC
avec
le
remplace par le
25:03
AIHJ
Lorsque
le
« disant »
;
iV25.0C
verbe X^OS ^<î, ^
si la
phrase n'en con-
« on a dit
».
« laisser » et l'impératif
AlO J
^ « accorde » ont pour régime toute une proposition, on em-
ploie la forme neutre
1.
;
pronom neutre C avec 2tO**, par
:
eT2t03 IIJULOC 2.
direct
un
Jean 10,
5.
4. Ex. 20, 20,
X<^C, JULHJC
?.
Jean
3, 35.
:
3.
Jean 14, 15.
.
Complément
137
direct.
hujopn JITOVCJ hxe JlJCyHpj
'X.l.C
enfants se rassasier
»'.
eepOTtyOjnj
JULHJC
« laisse d'abord les
accorde
«
JliS,Jl
qu'ils
soient
à
nous »^ L'attribut
5.
du
qualitatif
lui-même au
OJ }"
du verbe
cycwil J
être» est généralement précédé
«
(218), au 3" présent
présent
^Jt«S.cya3nj
«S,Jl
si
;
un verbe,
c'est
se
met
serai
pas
il
:
eJOJ h<î.pXH^OC
ne
« je
chef»^. ^JJtiS.
longtemps
JtTeKCytwnJ eKOJ JTJteSi5.gJ [litt.
njHWJT
chemin
(
je n'irai pas là-bas
Jt se
trouve devant
fondre avec l'adjectif possessif
Complément
Le complément
«^"f"
^Ç[Xe
7.
OV, on
l'article indéfini
le
qu'il faut se
le re-
garder de con-
:
«
direct
ils
du verhc à
ne pourront délivrer un
Me.
JdeJlpe njKOCJULOC
«
choses
».
Jt<î,J
7, 27. Éx. 20, 12. Bar. 6, 35.
«
l'état construit.
direct de tout verbe a l'état construit s'unit par
lui-môme et sans particule à son verbe
1.
vives
yP
2.
4.
tu
de peur d'être étendu sur
JlJlOTCyjlO^eil JlJlOVpOîJtlJ
«S,
que
))^.
« soyez prêts»'.
double parfois et l'on obtient JIJIOV-,
homme
« afin
tu sois possessseur d'âge)
»''.
Lorsque
4.
que
epeTejtceSTOJT
tyojnj
^J
afin
il
dit ces
2. 5.
8.
Missel RH. Ex. 19, 15. Jean 3, 16.
:
Dieu
a
aimé
le
monde
3.
Is. 3, 7.
6.
Kef. 3r)7.
))^
279
Complément
138
Dans
les manuscrits, le
direct. Suffixation.
complément direct de
comme s'il ne
est souvent écrit avec le verbe,
forme abrégée
formait avec
lui
qu'un
mot composé.
seul
Dans quelques
livres,
Complément
3.
Dans ce
280
la
il
est uni au verbe par
direct
du verbe à
un
trait
d'union.
pronominal.
l'état
complément étant toujours un pronom
cas, le
sa syntaxe consiste à appliquer les règles
de
suffixe,
la suffixation.
Nous donnons d'abord deux modèles généraux
qui conviennent
au plus grand nombre des verbes.
Nous indiquons ensuite Verbe terminé par Sing.
2.
les voyelles
O,
Verbe terminé par une cons.
tW.
T<J.JULO J
I.
PI.
les particularités et exceptions.
Sing.
2
m. T«î,JULO
K
f.
T<Î.JULO
3
m. TI.ÏXO
q
f.
TiJULO C
T^JULO
JI
I.
TiS^JULOîTeJl ou TiJ,JULî»
3.
^O'K
I.
2 3
PL
T^JULe-OHJIOV
OV
m.
T K
m. So7\
f.
SO>v
J
So>\qf.So>\c
I.
So?v Teit
2.
SeX-eHJtov
3.
So^ ov
Règles et remarques.
281
La
I.
1.
1
sing. est
:
2.
Lorsque
X*^'*'
Br. 215.
;
O
en
03,
^^ ^ ^^^
l'infinitif est
pas toujours un autre
].
J après
T
après une consonne.
Les quelques verbes qui sont terminés en
T X<^ ^
nent
en
' ;
^sî*
il
est toujours permis
2. Pb. 26. 19.
Ji^ pren-
^^^ ^ TH JT l
déjà terminé par un
T, mais
ou
T, on n'ajoute de
l'ajouter.
139
Suffixation.
(^TT ^ de ^ (SIt ^ « prendre » ^JT^ et ^JTT'de ^JOVJ ^JT#^ «jeter». Mais on trouve toujours KOTT, COTT, qjTT. (rfx
5.
*
De
;
la 2
sg. et à la 2 et
f.
JtO^eJUL
pi.
JtiS.^JUL ^ « délivrer », pi.
m. Jtiî.^JULeK
m. Jl«î,^lieçf
3
on
:
I.
2.
JliL^eiUL-eHJlOV
3.
Jtiî.^JULOT
JT<S,^M.eC
f.
2 sg.
f.
ne prend rien après
les voyelles
O
tW
;
prend
elle
282
une consonne.
^^ J^
1.
Les verbes en
2.
Après une consonne on trouve aussi
liopi^ ZiOp'j^
et °
JULOp J
^
^«X-CJ^
COT'i^ La
^
^
1
^
?-
« dissiper
OTtUJUL OTOJUL **
de <^JCJ <^^C ^ de COJ'f" COT<^ pi.
ajoutent J à
prend
la
de JULOVp JULOp ^
de 2t«5p Z:Op
OVOlli^ de
III.
a
Jt«î,^JULen
Jt<S.^JULJ
f.
La
5
précédés d'une consonne
JI
avant l'adjonction des suffixes, ex-
Jiiî.^iieT
I.
2
J après
6
la voyelle auxiliaire
Sing.
II.
S 11
Les verbes terminés par
prennent cepté à
et
it
^ au
sauver
môme
1. Lara. 3. 2. 4. Ez. 2, 1. 7. Nah. 3, 15.
verbe a
»
J
:
;
;
;
».
après une voyelle; après une consonne
les
deux formes
3.
Lam.
3, 24.
6.
8. Is. 1, 25.
9.
Mich. Mich.
la.
aussi eJt.
:
2. Ez. 3, 14. 5.
de
;
manger
on emploie plus généralement TeJt, mais souvent quefois le
lieu
« lier »
faire cuire »
((
«
(c
»
ce qui donne
sg,
i
3, 44. 6, 14. 4, 10.
Quel-
283
Suffixation.
140
COTneJt
^
CCMTn
de
OIlTeJl de WîH
O^Teit
et
« choisir »
« compter »
oXeJt " de
;
;
CU7\J
«
enlever »
;
?\02:TeJt et ?\02î.eJt^ de TsOJîXiJ « cesser Les verbes terminés par
T
prennent Tejl
».
:
^jT-Ten, coT-Tejt, KOT-Teji, ty^T-Teit,
iieii-
pjT-Teji.
On
trouve une
fois
^JTen\
Les verbes terminés par à
284
la
pi.
I
IV.
J
T à la
^ qui prennent
sg. le
i
gardent
iî-JTeJt.
:
La
0HJIOT
peut toujours se former en ajoutant
2 pi.
à
l'infinitif construit.
Cette formation est de règle pour consonne, et cela libre
pour
les autres
^CfTiLULOîTeXt 285
V.
La
afin
pi.
1
«
de distinguer
verbes il
verbes terminés par une
les
la
i
pi.
KeT-OHJlOT
:
en OT. Après ^,
est toujours
Les verbes terminés par
OV
«
la 2 pi.
;
elle
semble
convertissez-vous »
;
vous a informés».
On intercale parfois un T euphonique ZO TOT de Z.a5 2:0 ^ u dire». dent devant
de
J
î^
OV
entre
qui prennent
T
se contracte en
OV
le radical et
à la
i
sg.
le
:
gar-
:
AIHJTOY, THJTOV.
Remarques.
Aux deux
dernières personnes
du
change en 03 devant Tejî et OT.
1.
Eph. 1,4.
4.
Mt. 8, 31.
2. la. 64, 6.
.3.
Jer. 7, 10.
pluriel,
O
se
141
Suffixation dans le verbe réfléchi.
4.
Verbes employés dans
le
sens réfléchi.
Plusieurs verbes coptes se conjuguent avec deux pronoms de la
même
personne, dont l'un est sujet et l'autre régime, absolument
comme en leva
français « se lever, se reposer » etc.
<î.Çf-TCWJl-Çf «
:
il
se
».
Le second pronom peut que
le
Tous réfléchi
sens est attaché à
pronom
lui-même sans
:
OVJt-OV
Xo2t
(^
OT<J.^
« ils
la
même
sens
Mais en copte ce
secours d'un second
le
personne. Les plus employés
e s*
Si*
« (s'ajouter à) c(
(.(
Ti AO
»,
suivre
TOJUL ^ », Cf 025.
»,
25.611
Ajoutez deux verbes composés
^<î.-TOT ^
3
pi
« se décourager quai.
s*
:
iî-T-TOî-
:
ce
is*
»,
« revenir
»,
« ressembler à »,
s'attacher à »,
^ « s'élancer
^6JI ^
« s'éloigner »,
Les verbes îlTOJt
la
monter
Te JtOîMJt ^
»,
se montrer, apparaître
«
««^
T^C0O
se remettre à »,
^ « se mettre à table ii*
TCUOTJl^ à
».
« se relever, guérir », !s»
OTOJl^
pooS
se levèrent
« s'en retourner, revenir
OYi^JUL
C«î.^CU
le
nombre de verbes qui admettent comme
T«3J1#« « se lever » qui devient
KOT ^
employés dans
(192).
régime direct un pronom de sont
transitifs.
français « s'aimer, se louer ».
n'y a qu'un certain
Il
Verbes
l'infinitif
selon
indirect,
intransitif.
les verbes transitifs pourraient être
comme en
ou
être régime direct
verbe est transitif ou
a.
à »,
286
»,
« se mouvoir », « se trouver ».
OY^^-TOT*** «se
remettre
».
llOTen
c<
se reposer
»,
IHC
« se hâ-
287
Complément de quelques verbes.
142
ter
y(^w7\eStSi
y),
JULO ^ toi »
^qJULTOJt
:
OTJtOÇf « se
se hâter »,
((
JULJULOCf
c( il
<î.qX"^^^^ >mOÇf
;
JULJULOJt
((
réjouissons-nous
exigent 11-
réjouir »,
se reposa »
;
JHC
JULJULOK « hâte-
se hâta»; JULii.peJIOTJtOÇ[
((il
».
Verbes intransitifs.
b.
Les quelques verbes qui, avec une préposition, ont un sens
288
chi sont
Oje
OV
«
réflé-
:
Jt
ils
«^
« s'en aller»
s'en allèrent
:
^qcye
il
((
s'en alla », <î.VCye JIOJ-
».
La même construction peut signifient « partir »
m,q
avoir lieu avec les verbes grecs qui
l.qOVU3^ 6 e'pl.m.^^piSl
:
m.q
«il
voulut s'en aller »^
JliV epo ^ 4Î.
J
Çf
contenir
epo ^
sembler
((
((
»
se contenir »
Og J ep^,T ^
((
«
être
1.
((
JULneç[cyc[<S. J
.
se tenir debout »
il
me
sembla »l
epocf
il
ne put se
verbe, composé de
bon
:
iî.CO^ J ep^î-TC «
elle s'est
Remarques sur quelques
p^Jie-
régime,
epo J
((
».
5.
Ce
^.Jn^,T
»^.
tenue debout
289
:
», n'a
(^
((
plaire à
ep-et de
pas de forme absolue
nom ou pronom
Kef. 352.
p«î,Jt
2.
suffixe
verbes.
la
;
».
même il
racine que
est toujours
:
MS. 419.
3. D.
545.
<î.Jt4Î.J
suivi
d'un
Complément de quelques
<î.
nsci,^i
iî.cp<î.nHJ
Lorsque
me
le
p«î.Jte-c|^iS.pi«5 «
il
m'a plu
((
fait
nom au moyen de
suivre le «
ils
KHJI, OTCM
ont plu au Seigneur
« cesser
Ces deux verbes présentent deux Cesser de
»,
»*.
))^
h.n(^SC
«î.Vp^Jl<S.q
c(
discours plut à Pharaon
le
régime est un nom, on emploie généralement
avec suffixe et on
1.
143
vei'bes.
de
sens
avec un verbe au
3°
SI (JUL)
la for:
))^
».
290
:
présent
iî-Çf KHJt eçfC^XJ ^ iJ.qOTa5 eqCl^^S^
:
cessa de par-
«il
ler ».
iî.CTCOÇf ty^Tecf OVOî ecj COî
de boire
eût cessé
Le verbe ACM2t J
A02S: ^ s'emploie aussi dans ce sens
iV^02S:0V eTKOJT
Une
eSo^ «
il
achever de
signifie «
«
Déjà
présent ou à
<î.C0Va5
»
au
»
i
qu'il
:
:
»".
2S.eK-T0T ^
»*.
parfait,
l'infinitif
avec
avec un verbe au
6
même
temps, au
}"
:
«Î.CJ « elle est déjà
venue n\ v.
ils
ont déjà reçu leur récom-
))*°.
na-JCUT KHJI e Ct)^'i h.neK^l,n
ton
crit
ce
<J-ÇJ2:eKT0TÇ[ eSo}\ eç[C^<S.J
iX.VKHJl eY
de construire
« ils cessèrent
construction semblable du verbe composé
acheva d'écrire 2.
« elle lui versa jusqu'à
»*'.
nom
iS.voT(u
«
mon
père a déjà é-
»".
ev^^<x.n epoq
«
il
est déjà jugé »*"l
1.
2. L\ic 1, 3.
3.
Th. 142.
4.
Gen. 18, 3;^. 8. Deut. 31, 24.
6.
Fen. 24, 18.
Gen. 41, 37. Ex. 31, 18. 7. Gen. 11,8. 10. Mt. 6, 2.
5.
11.
AM.
2, 8.
Me. 14, 41. 12. Jean 3, 18. 9.
Ancienne conjugaison.
144
OV^^TOT ^, OT^^UL ^ 291
OV^^TOTs" même
à ce temps
avec e.
Il
peut être suivi du
;
partout ailleurs
se remettre à
parfait lorsqu'il
i"""
accompagné de
est
il
».
lai--
est
l'infinitif
peut se traduire par « de nouveau, encore, en outre »
<î,C0V4X.^T0TC veau
((
oiU
oJJjj
<S.CJULJCJ
:
« elle enfanta de nou-
^)\
JIJIOTOT^^TOTOV e jpj
K<Î.T^ n^X-J^wS «
ils
n'agi-
ront plus de cette manière »^
OT^^llî*^ veau
»
:
est suivi
du
5*
présent et signifie « faire de nou-
4Î,qOV^^Jtieç[ eqîÊOC
«
il
dit
CHAPITRE
de nouveau
».
XII.
ANCIENNE CONJUGAISON. 292
Dans l'ancienne langue égyptienne maient,
comme
le prétérit
pronom, après
la
en copte dans
les
1.
Gen. 4, 2.
arabe
racine verbale.
(
),
temps simples se
en plaçant
Ce mode de
verbes suivants
2.
^^lli
les
;
Deut. 13, 11.
le sujet,
for-
nom ou
conjugaison a persisté
%
145
Ancienne conjugaison.
Quatre verbes
I.
XI^^
« être grand
ItiJie
« être
bon
II.
neze
Jtece
»,
Deux
beau
»,
».
verbes personnels.
vouloir
«
».
Quatre verbes impersonnels.
OVeT
être »,
((
a être
e^Jie
III.
OVO Jt
Jl^fye « être nombreux
»,
dire »,
«
adjectifs.
JULJULOJÏ « n'être pas
»,
COje
être différent »,
«
«
il
faut ».
Les quatre mots n^<î-, JliLcye, JliJie, Jtece tiennent à
du verbe
et
de
l'adjectif;
un
sujet et reçoivent les
de
l'adjectif,
en ce
adjectifs, sans
nous
les
Ils
la
qu'ils
du verbe en ce que, comme pronoms
affixes
de toutes
expriment une qualité
lui,
les
la fois
ils
ont
personnes
comme de
;
simples
aucune idée précise de temps. C'est pour cela que
appelons verbes adjectifs.
forment des propositions indépendantes en tout semblables à
proposition nom.inale.
On me
»
(^)
peut considérer XliJte OTi^T^S-^-WLOC
comme une et
«
bon
est le psau-
proposition nominale ayant vft^Jie pour attribut
0Ti^<5.>.110C pour
Ces quatre mots adjectifs qui restent
sujet
(>>'
]x^).
sont composés de l'auxiliaire Jte et d'anciens
en copte sous
-O «grand » (iji,
i),
les
formes
<S.JliJ «être
^cy<î-J « être abondant ».
10
:
bon»,
C«J.J « être
beau»,
293
A
146
Verbes
I.
adjectifs.
Les quatre verbes adjectifs.
Conjugaison.
/.
JtiA. « être grand
29
Avec
les suff.:
Sg.
m.
(II<S.«X.K)
Jï^i-.
:
m.1. neT-ep-npo^HTeVJJt
est assez rare
grand » avec
la
;
copule lie
il
est
grand de prophéti-
on emploie de préférence iticy^
Te
ite.
Jl«î.Jte « être
295
Avec
les suff.
:
Sg.
i.
m.nen
2.
Ji<j.JteTeji
3.
jîiiiev
m,ne Ji«i.jiec
JliJie-.
:
Impersonnellement
PI.
m. Ji<s.jteq f.
Devant un nom
».
m. Ji^JieK f.
3
bon
it<î.jtHj
i.
2
1.
«
»*.
Ce mot i(
(JIi^.Jt)
(iliLaJTeil)
m,i.c
f.
ser
i.
2.
(Jiie)
f.
Devant un nom
PL
(Jl^HJ)'
i.
2
».
:
Jl«î.Jiec «
il
est
bon
».
Les mots mis entre pai-enthèses n'ont pas été trouvés dans les
textes. 2. 1 Cor. 14, 5.
147
Conj. ancienne. Verbes adjectifs.
m.ne
OV'<^«î.>viJLOC «
^,qn^.v hste que
la
^^ e
lumière était bonne
le
psaume
est
bon
njoTcwjjiJ 2te JiiJieq « Dieu
les sufF.
:
Sg.
ilitytUJ
i.
».
PI.
2 m. xt4î.tt)CMK f.
m.
3
f.
Devant un nom
i.
itiLtycUil
2.
Ji«s.cya3Ten
3.
Ji«x.tycMov
m.^wq Jt«5.Cl)(UC
Jlàttje-.
:
Jtece les sufT.
:
Sg.
« être
i.
JiectUJ
2 m.
iieccoK
f.
3
beau
))^.
».
PI.
i.
Jtecojn
2.
jiecojTejt
j.
jiecojov
297
Jiecttj
m. Jtecttjq f.
Devant un nom
296
m,u)^
Jtittje neKJt«X.J « abondante est ta miséricorde
Avec
vit
»"'.
jl^Uje « être nombreux
Avec
»*.
Jieccuc Jiece-.
:
Proposition négative.
Elle s'obtient au
moyen de AJl qu'on place
JliJieC ^Jl
n'est pas
m.ne bonne
1.
4.
c( il
bon
après le sujet.
».
neTeJl-tyOTtyoV ^.a
« votre glorification n'est pas
»*.
Ps. 146, 1. 1 Cor. 5, 6.
2.
Gen.
1, 4.
3. Ps. 85, 15.
298
148
ancienne. Verbes adjectifs.
CJonj.
Relatifs et participes.
2.
299
Ces verbes peuvent qualificatifs
suivantes 1.
;
ils
accompagner un mot comme simples
aussi
se placent alors après ce
Avec un antécédent déterminé
e&m.ne^ ce
•j^TO J eeJI^JieC «
:
colombe
« la belle
le
grand abîme
la
bonne part «l
Avec un antécédent indéterminé
ejt^ne^
eji«s.Jie-
OT^HT ^ejl
e Jt<X.neq
OVCHOT
la
même
ils
(
;
pense sera grande
« en
les autres qualificatifs ils
comme
attri-
formés de 6
et
sont placés après le sujet
neTejide;/!^ en^x-cycoq
« votre
:
récom-
n^.
em.nev
«que
vos voies
»".
Pa. 35, 7.
2.
Luc 10, 42.
3.
4. Ps. 144, 13.
5.
Luc
6. Jér.
1.
>>*.
peuvent aussi être employés
jUL^pe JieTeniicMJT cycMni soient bonnes
:
un bon temps
mais dans ce cas
hze
y)\
un bon cœur )Â
manière que
d'un qualitatif 162) qjt4Î.a)a)nj
«
».
ejiece- ejieccu^.
en^J-neq
Sous cette forme,
de
formes
eeneccu^.
eeneCCMC
^JlOVJt eeJt^<X.Ç[
buts,
les
:
'j^(rpOJULn J
2.
mot en prenant
6, 35,
Luc
8, 15.
33, 13.
149
Conj. ancienne. Verbes personnels.
Verbes personnels.
II.
ne^e
1°
Ce
verbe a
conjugue
se
Avec
sens du parfait,
le
ainsi
les suff.
Sg.
:
}
m.
neze JHC
:
n625:6
«Jésus
dit
I.
nez:iS,jt
2.
neattwTeji
3.
nezcuov
ne»iî.c
«
il
dit».
leur dit
».
le sujet
un mot, on emploie
nominal suit immédiatement la
forme pronominale et
;
le su-
:
nj>^^TOC
n62S:<S,Çf
PI.
neZiS-K
m. nest^çf
emploie 11625.6 quand
prend Jize
300
neîte-.
neZ<5,Çf JIOJOT
jet
sujet et
neze
f.
Devant un nom
est séparé par
précède toujours son
neZHJ
i.
f.
s'il
il
:
2
On
«il dit».
JICX50V « Pilate leur dit »\
JICMOT JlZe nj-^HreULOîJt «le président
leur
»l 11625.6 est
composé de 116 2°
Avec
les suff.
Sg.
et
6^116
« vouloir
6^JiKj
1.
2
du verbe 2tÇU « dire
m. 6^Jt<î,K f.
1.
Mt. 27, 22.
2.
».
PI.
I.
e^m.n
2.
e^,JlÇUT6Jl
3.
6^Jia50V
6^jie
^m. 6^Jl^.Çf f.
».
6^JliC
Mt. 27, 23.
301
Conj. ancienne. Verbes impersonnels.
150
Devant un nom
Ce 1
:
e^iie-.
verbe ne s'emploie que dans deux cas
Comme participe,
.
^Jjpj
Dans
2.
^H
«
«
ce que veut
^OîS JljSejI eTe^nCMOT il^pH'j" eTe^JI^q
neTe^Xt^K
il
prend
302
le
comme
)A
il
veut
que
ta
)>^
»'.
volonté »
«
(S.
OVJl)
il
«il est,
n'est pas,
Ces deux verbes ont par eux-mêmes terminé. Leurs autres temps sont ;
«ne
volonté soit faite ^
il
il
y a»,
n'y a pas
le sens
(j^
«
il
y
avait »
«
il
n'y avait pas ».
;
I
:
\
e-OVOJt e-JULJULOJt
Cor. 9, 17.
1.
1
4.
Mt. 17, 12.
« étant » <(
;
n'étant pas
2. Lév. 4,
3.
5.
6.
27. Gen. 27, 9.
) ».
d'un présent indé-
:
OVOJt
Jte ÀlJULOJl et le participe
:
Verbes impersonnels.
OTOJl
:
quel-
« si
:
le Fils
sens du substantif
(S. ÀlJtlJl, JULJI) «
l'imparfait
^,n
« tout ce qu'ils veulent
JUL«î.peçf cycon J «
III.
1»
«
GT
avec
les propositions relatives,
Précédé de IIGT,
e^m,c
epjtoSj
:
))\
)A
le vouloir
eTe^Jie ncynpj
JULJULOn
cela de plein gré
j'ai fait
ov-^v^a
ecyojn iiTe qu'un pèche sans
pour traduire l'expression « de plein gré »
e^JïHJ
JUL<^iJ
:
».
Mt. 11, 27. Mt. 6, 10.
151
Conj. ancienne. Vei'bes impersonnels.
A
l'imparfait
110 Jt on
ne
on peut aussi ajouter
néglige souvent d'écrire
6
:
après le sujet.
Dans 611-
llllOJl.
Syntaxe.
Ces verbes ont un double emploi 1.
Ils
303
:
servent, au premier présent (236) et au premier futur (240),
à introduire le sujet nominal
quand
OVOJl dans
après
l'article indéfini
prend aucun après llllOJI dans
il
est indéterminé. Celui-ci
la
la
prend
proposition affirmative et n'en
proposition négative
:
^Hnne OVO JI OVll^X. ^H ^*î-pOK « voici un lieu auprès de toi »*.
llllOJl
HRJ TOJ epOîOV
llllOJï ptMllJ
ma
face
m.^O
«
de nombre n\
aucun
homme
ne verra
»^.
A Vimparfait nOOCy tyilJll « mim
e
JliS.JI<î.V
« ils n'ont pas
iie
:
avait
y
il
OVOJt
OVllOJÏiCTHpjOJt ^ejl
un monastère dans
nome d'Akh-
le
»*.
ne îllion
^7\5
ne ^ejî i"KTStWTOC
«
n'y avait rien
il
dans l'arche )A 2.
Suivis d'une préposition
pas à
« être à, n'être
L'expression
que
l'on
la
plus
», et
du
datif (JtTe, 6,11),
par conséquent « avoir,
employée
est
ils
signifient
n'avoir pas
:
».
OTOJt JlTe, llllOJl JlTe,
peut faire suivre de l'adverbe
llll^V
« là » placé
après
le sujet.
Cette expression se présente dans
les
deux
états, absolu et cons-
truit.
1.
Ex.
4.
MS. 419.
.33,
21.
2. 5.
Ord. 577. Ord. 578.
3.
Ex. 33, 20.
304
Conj. ancienne. Vei'bes impersonnels.
152
Etat absolu.
a.
305
Avec
les suff.
:
Devant un nom Souvent,
Avec
deux
les
les suff.
OVOIt JtTHJ
JULJULOJt
JITHJ
OTOJI hTiS,K
JULJtlOJl
sm.K
OTOJl JlTe-
:
OVOJITHJ
:
Devant un nom
Avec ce même sens tout fréquent dans
la
«
il
a,
y
JULJULOJlTe-. JI et se
place après.
n'y a pas », leur emploi est sur-
il
proposition nominale (232,
?),
lorsque
le sujet
accompagné d'une construction prépositive ou d'une autre ex-
est
pression qui complète le sens de
OTOJl OVJULHOJ
JULJULOJT
oTOJt
2vO>\OC
TO^
beaucoup de
OTOJl loger tes
jiejUL
paille et
me
:
^GJt RHJ
maison de
Jt^HTq
JULn<î.ja3T «
mon Père
lui
«l «
foin
a
n'y a pas de ruse en
chez nous
TOnOC eepeKCyTO
chameaux chez nous
il
epOJl
«
il
y a de
la
)/.
JUL<|pçuilJ hepojJtyj a
le
fils
pouvoir
1.
y
place pour
OTOJl JlTe "j^C^JAU JlOTKOTStJ JltyHpj
4.
il
»^.
Jie
un
y a
^
»
a le
avait
il
coîOTSeji ^^poji eji<î.tytwov de
OTOJlTe ncynpj me
la
phrase
la
JULiULOJtH
beaucoup de places dans
a
JULJULOJlT*S.K etc.
etc.
Le sujet réel prend
:
:
JULULOJITHJ
OVOJtTe-
:
etc.
ÀlJULOIl JlTe-.
contractent en une seule
JI se
OVOJIT^K Syntaxe
etc.
de l'hom-
))^.
petit enfant )>^
Jean 14, 2.
2.
Jean
1,
Gen. 24, 25.
5.
Mt.
9, 6.
48.
3.
Gen. 24, 25.
6. Kef.
348.
<(la
fem
153
impersonnels. Conj. ancienne. Verbes
kW-^V OTOJlT^q hovT^^C hozil
«il
aune langue
juste »*. ce
Sg.
les suff.:
nous n'avons rien
« tu as
un habit
ovojiTe
k-AiojiTe
f,
m.
ovojiTeq
iiAioJiTeq
oTOjiTec
kw-OJiTec
f.
(OTOJiTejt)
kiiojiTeJt
,.
oTOJiTeTejt
kiioiiTeTeji
2.
OVOJITOT
kllOJlTOT
3.
3
Sfnlaxe
Le
:
OTOni"
u
:
J
UJi
»
^
sans prendre Jt sujet réel vient après
eptyJÇyJ JULJH^V
JULiULOnTOV ^>^J
JULJUL<J.V
«
le
j'ai
« ils
ce
U^\ JULWLOnTe-J èiî.H
Dans
le
même
^H eTe les
sens
OVOil
c<
c( il
:
pouvoir /.
n'ont rien
ne OTOJlTeC OVSwK J )ulW.^T OTOJlTeK OT^>\J JULll^Jll^ lieu
)^^
imojiTeK
2m.0T0nTeK
Devant un nom
.
oiuJil
i.
PI.
>.
Etat construit.
b.
Avec
2
.
hT^JI it^^J yx^^-f OTOJtT^K JIOV^SOC kll^Y
jULJULOIt
in-
)>^
« elle avait as-tu
une servante /.
quelque chose en ce
n'a pas de fin /.
avoir, n'avoir pas .,
AJL^.a)25:
klXOÇj
on emploie encore
u celui
qui a des oreil-
))'•'.
,.PV.12,19^
|-ïï-?3-7
t.Slo:\t
s:L.1:2..
:
|-.G;n;f6,,. >..Mt.K,,9.
307
Conj. ancienne. Verbes impei'sonnels.
154
ne «
Jie JULJULOJt cyXOiUL JUliULOÇf 2.
il
n'avait pas le pouvoir »*.
ovonepo^
JULiiojt
epo
OVOJtJtTOT^ ovonneiXef
JULJULOJI
JITOT
308
Z JZ: CJIOT^ epOK
traduit l'idée
de
« devoir, avoir
JITe indique
OTOJÏ dois-tu à
OVHp epOK
mon
maître
epo«^
JITe
m,(^SC j J ^ic
hT<î,Jl
OVeT
epcUOV ^Jc U
n-ojov
juieji
il
de
la
Ce
verbe gouverne
Ctye JIHJ
«il
Avec négation Avec venable
neT
il
me :
OVOil
«
combien
«
ceux qui nous
/.
devait 500 deniers )i^
précède toujours
y>.
le sujet
oTex
est la gloire des habitants
:
n-twov î^e du
ciel,
autre
terre »\
f 310
<^
doit, le débiteur
jiTe ji^-T-^e
itTe Jl«î,-n-K^^J « autre celle des habitants
j>.
« autre est, différent est
verbe est invariable,
OTGT
verbe
»''.
il
Ce
le
le débiteur.
^H eTe OVO JI JlT^Çf « celui qui Jie OVOJl ^ hCiLeepj epocj « 309
^,
? w^.
doivent, nos débiteurs
2°.
deux mains «^
epo
et
:
une dette».
le créancier et
exe OTOJl
JTH
« tu as
Employé avec JlTe
Remarque.
<*
juljuloji JteJti*^.
Les deux dernières expressions sont rares
OTOJl
s*
ccye
le datif
«
il
avec
faut Jl
».
:
faut».
Jt-Ctye
forme
le
<î.Jl
ou Ccye ^Jl
«
il
ne faut pas
neutre ïieT-Ccye « ce qu'il faut,
le
».
con-
».
1.
Jean 11, 37.
2.
5.
Ez. 18. 7.
6.
Mt. 10, 8. 7, 41.
Luc
3.
Luc
7. 1
4. Mt. 6, 12. 16, 5. Cor. 15, 40,
155
Pi'épositions.
IV.
PARTICULES.
CHAPITRE
XIII
PREPOSITIONS. Les prépositions sont simples (6) ou composées s'emploient avec les noms et avec
premier cas
me
;
dans
le
second cas
l,T(fne- «X.T
6po ^
h-
Jl
^
i^
elles portent
J
n^
« contre
OVTe- OVTCU ^
« entre
^l.- ^<X.po ^ « vers
»,
^J-^J«5T!^ «sur».
2 m. 3
;
».
iX.
^,(^nOV ^
(S.
iS.2tlt-
PI.
iî.T(^OTK
Le régime de cette il
sans
m. iX-T^rilOVq
Devant un nom
ticle
«
»,
:
iS.T(SltOVJ
I.
« jusqu'à »,
»,
<Î.T(rhoT ^ ou bien
les suffixes
<(
i)^- è^po ^ « sous », ^6 Jl- h^HT ^ « en »,
^TCThe-
Sg.
le
elles-mêmes l'accent tonique.
OJ^- a)iî,po
« avec »,
OTSe- OVSHi^
Avec
Dans
311
C^,- « dans »,
« sans »,
»,
J16JUL- it6JUL
4X,T($J16-
Elles
Prépositions simples,
« vers Jl »,
((à
(6-25:6X1). affixes.
elles sont à l'état construit et l'accent est sur leur régi-
1.
6-
les
pronoms
ou «X.(^6-. préposition ne prend généralement pas
peut être un substantif ou un verbe à
l'infinitif
:
l'ar-
312
Prépositions simples.
156
i(rne JtoSj hésiter
péché «^
« sans
epo ^
e-
313
ep^HTCJtiS.V
^
;
« sans
))^.
Cette préposition (6i)
ment physique ou moral
« vers, à ».
signifie
« à, vers,
i.
:
6 Iicy^qe
:
ce
j! » avec mouve-
»^ epocj «à
vers le désert
lui ».
J » avec le OVOÎJÏ^ e montrer «à,
2.
((
((de, hors de,
3.
glaive
sens du datif à
:
^OJI^eJI 6
«
commander
à »,
».
C;«
»
:
TCHqj
JtO^eJUL e
«échapper au
»*•
OT OJï OT^peoc epOJ « j'ai une dette »^ heoq eçfeep($OJC epo « lui-même sera ton maître »^ Tiî,7vO^ 4.
e
((
monter sur
11
•
».
Elle sert à former le comparatif (171).
5.
314
sur, Jft »
<(
est
un certain nombre de verbes
neutres en copte et gouvernent leur
Tels sont
Jl^T
:
COîTeil
français qui sont
:
« voir »,
«
comprendre
«
espérer
((
tâter »,
»,
lieTJ
« regarder »,
CJULOT
COJULC
«
l'es-
considérer
»
;
(MCJULH «écouter»; tyOîXeJUL «odorer»;
tfO^
«
toucher »
«penser»,
exiJ
;
Jl^^"^
«
« savoir »,
croire »,
K^^
ep^e AÏIJC
».
Les verbes qui expriment
2.
»,
XOTcyT
« entendre »,
ZOJULXejUL
dire
en
Les verbes qui expriment une opération des sens ou de
1.
prit
actifs
complément avec 6- epOt^.
« bénir »,
^CMOTcy
1. Jean 8, 7. 4. Ez. 6, 8.
^OJC ((
«
blâmer
louer »,
»,
Z. 4-.^
parole
:
JLIOT^
« appeler »,
^^O « prier», CiX.^OVJ «mau-
ZOJJIT
2. C. 95, 46. 5.
la
« se
3. 6.
fâcher contre
Mt. 4, 1. Gen. 3, 16.
».
Prépositions simples.
Plusieurs verbes qui expriment le
J.
voir »,
^JOVJ
tourer »,
cy^-pj
« jeter »,
i^pe^, pCMJC
h- (ilC'est «
il
du
préposition
la
dit à Philippe
nJKOCJtlOC Le verbe
«
^
^.q0^i
«
2.
hxe CHO
e^o\
t'éloigne pas }.
c(
le
ils lui
signifie: i.ccdans, «
en ce jour
dirent
».
OTOJ
de moi
»,
avec
le datif
JUL-
y).
pendant» pour
le lieu et
là
:
elle est
lieu».
deux jours»^ ans »\
généralement pré-
iinepovej c^So> iiiioj
«
ne
»''.
moyen de
pour l'instrument et
»,
^CjOJpK llc^H
eT(^C J
serment
le
:
il
a juré par
Elle sert de lien entre les verbes « être, devenir,
faire, pa-
« par l'épée »
;
«
Très-Haut »\ 4.
raître » et leur attribut
lliS.Jieca30V «
il
1.
Jean 6,
On trouvera une dans
:
OJ JlOVpO
devint berger
3.
©en
3i5
Jt.
lin^Jll<J. « en ce
CSI^.IC «il passa
Dans ce sens
».
C4Î.So>\
par, par le
JlTCHÇf J
((
htwe hpoiinj «Seth vécut 805
de, hors de, ^y
cédée de
JULc^J^jnnOC
ne2S:<î.Çf
(de l'ég. m).^ « dans
Jte^OOT
h.1tX^.V
iî,qa3JÎ^
datif (61):
11110 **
llII^je^OOT
:
[deVég.n).
=^
composés gouvernent
et ses
Cette préposition (65) temps
».
neXCUOV m,q
»\
:
malheur au monde )A
XI- (11-)
le
28) Jt
K JJUL « mouKOî^, T^KTO, « en-
mouvement
« frapper »,
garder
«
157
5.
2.
Mt. 18,
»**.
c^
être roi
».
iS.qa)a5nj
q Jl«5,iJ.JTeJt
hoT-
hpiî.lli5,0 «
il
7.
excellente étude sur JI et sa permutation avec
les Ausgeivaehlte
4.
Jean 4, 40.
5.
7.
Th. 164.
8.
Bemerkungen de M. Andersson,
Gen.
5, 6.
Gen. 4, 2.
6.
1.
Ps. 37, 22.
p.
12-22-
3 16
Prépositions simples.
158 nous^rendra riches est resté 5
>>*.
^CfO^J ^esi
$H
6 JliCfOJ
JU.110Ç[ «
il
dans ce qu'il était )A
Elle unit le complément direct, à la forme absolue des ver-
,
bes (277).
Jïeil- fieils^ «avec».
Pour S*'
la suffixation, voir 61.
Cette préposition avec vous «
2.
signifie
:
1.
1(
avec »
'f"
:
JieiltMTeJl
« je suis
»^.
à » après le verbe
C^,^S
-.
^.qc^,^S JieJULCUOV «
il
leur
parla m*.
Elle sert à unir les
5.
(j 33)
:
neKJCWT
JteJUL
noms
^JIOK
OVSe- OVSh
318 Sing.
et
2
m. f.
ovShk ovSh
3
m.
OVSHÇf
f.
if
« contre, vers ».
i.
OVShJÏ
2.
OTSe-eHJlOV
3.
OVShOV
Plur.
ovShc
Cette préposition est d'assez rare occurrence iieJlS<X.>\ •J^
OTSe-
OVShk
OVTe T^e
JteiUL
nKl.^5
OVTtW J JieiltOTeil
1.
4. 7.
Th. 99, 1. Jean 8, 12. Bar. 6, 54.
:
n(ÎOJCc(nos yeux sont vers
« donner contre, résister à
OVTe- OVTOî 819
conjonction
« ton père et moi »^
OVShj
I.
comme
pronoms,
<^
c(
toi,
Seigneur))^
».
entre
».
« entre le ciel et la terre »'.
« entre moi et vous
2.
Th. 94.
3.
5.
Luc
6. Ps.
8.
Gen. 9, 15.
2, 48.
»*.
Ps. 11, 9.
122, 2.
159
Prépositions simples.
ovTtuj moi- et toute
JieJti
âme
oTTe "^v^k
ty^po
jyi-
terre
^ « jusqu'à
4J.TpH2:C h'j^OJKOTJULe JIH
OJiJ.
exon^
jijSeji
« entre
vivante »\
r>.
« jusqu'à l'extrémité
de
la
320
»^.
eJie^
cy^X.
Sur
«
jusqu'à l'éternité
».
employé comme conjonction avec
cy«X.
subjonctif,
le
voir
251.
£)i- ^«î.po ^ Signifie
:
i.
« sous »
Dans ce sens lorsque
«
«
t)^ JlOTeT^CUOT J
pour »
:
« de,
ScWK
il
précède
«
«
:
:
chargés de leurs fardeaux » après le
»'.
verbe « témoigner»
epjUieope ^l.
«
;
témoigner pour
^i
comme, en
ils
complément de
:
"i^TvOI^OC
«s'occuper de qualité
vendirent Joseph
Gen. 9, 16. Mt. 11, 28. 7. Gen. 17, 12. 10. Ps. 104, 17.
le
œil pour œil
«
prix
:
r>\
n JcyttJll ^^,
acheté à prix d'argent »^
au sujet de »
qj ^pwOTcy 5.
«
^^, OTSiî.>\
OVSiX,>^
« celui qui est
4.
321
»^.
Dans ce sens ^<S.T
boisseau «^
le
s'emploie avec les verbes qui signifient «porter»
il
au sujet de, pour ou contre
ou contre «
».
^^ OTXieJTT « sous
:
contre » après « murmurer »
}.
sous
porteur est supposé être sous le fardeau
le
eTORT 2.
((
de»
:
^i « rendre compte de»*.
))'.
«X.T'j^
comme
itJOîCH*^ €So>v ^<S.
esclave
1.
2. Ps. 18, 4.
4.
5.
Ord. 28.
6.
8.
Mt. 12, 36.
9.
3.
»*".
Mt. 5, 15. Mt. 5, 38. Mt. 6, 25.
*
Prépositions simples.
160
it^HT ^
£)e Jt-
322
Avec
les suff.
:
Jt^HT
i.
sg.
m.
2
m. f.
Signifie
JtlOC
((
2.
dans
:
i.
«
dans
le
monde
((
à,
en
»
^11^*^ JI^HTCf
I
^
« au
moyen de
mes
((
pour
».
^ejl
^^S.n je
»
me
le lieu
:
^6X1 lïJKOC-
T^p^H « au commencement JULc^ JOÎT
au
((
complu en
suis
:
nom du Père
».
».
^.J-
lui »'\
^CWTeS ^ejt TCHCf J
parmi, au lieu de »
^GSl
:
vftjpçUJULJ
«
parmi les hom-
»*.
^^po«*. «vers»
Signifie « vers, au devant lui
temps et
pour l'instrument
^^.-
323
le
h^HTOV
}.
»^.
« tuer par l'épée 4.
((
^en-eHJtov ou h^HTeJl- OHJIOV
2.
h^HTC[ Jl^HTC
».
h£)HTeJI
i.
h^HTK
y)\
^en
:
PI.
h£)H'j^
f.
}
dans
«
»^
^.Ten^ ^l, JHC
iî.Çf
KOTCf
de
« ils le
»
:
<S.TJ
^<^po<J
« ils vinrent vers
conduisirent à Jésus
JtZ:e <î.Sp<î.*S,JUL
»°.
^l, Jieç[^>\«30TJ
«
Abraham
revint vers ses enfants »^.
On
a quelquefois
sion, semble-t-il
drai vers toi
1.
On
voit
:
employé ^<î. au
eièj
^^pOK*
lieu
de
^^ par simple confu^^pOK «je vien-
pour ejèj
».
que dans ce sens
^611
ne diffère pas de
Jl.
Dans un
grand nombre de cas, en efFet, ces deux prépositions peuvent pei*muter, cf. AR, p. 12-22 Sphinx, IX, p. 129. ;
Mt. 3, 17. 5. Mt. 5, 1. 8. Ex. 20, 24. 2.
Cf.
Ex. 1.-,, 9. Jean 1, 43. AB. p. 47. 3.
4.
6.
7.
Luc 14, 24. Gen. 22, 19.
161
Prépositions composées.
^J- ^JCUT^ «sur». Avec
les suffixes
Devant un nom Signifie
cycUIIJ
:
^J
^JCMT
2 m.
^J«3TK
f.
^JWJ'f
f.
^JtUTC
J&
»
^J
« dans,
3.
«sous, du temps de,
Claudius
avec du pain
loin
«
i(![-
montagne )A
la
j^
Je
»
:
^J
K>\iî,T2s.J0C «sous
^^ »
ty^YOTOJUiq ^J CUJK
:
«
le
ils
mangent
w"".
«de, en
5.
chemin «V
le
))^.
« avec,
4.
324
^J-eHJtOY
2.
na)<5,çje « dans le désert n\
2.
:
^JOiTen
i.
^J nJlltUJT a sur
:
ÏITCU'OT «il habita sur (i »
PL
^J-.
:
« sur,
i.
i.
Sg.
:
»
:
^J OTCOn
«
en une
^J <$OTeJ
fois)/.
«
de
».
Prépositions composées.
II.
Les prépositions composées sont formées d'une préposition simple et
d'un substantif indiquant une partie du corps humain
te »,
^P
eOTÇM ^
«*
(83) « face »,
TOT
poitrine », ou le lieu
c.
Prépositions composés « sur.
Je »
eZien
«
;
loc. prép.
1.
devant »
Me. 11, 8. Act. 11,28.
:
i.
(82) « :
;
2.
.>
;
main
ZltU** « tê-
p<S.T ^ (82) « pied
»,
C^, CKeJl
« côté
de ZCUs* « tête
e^pH J exen
sur en descendant
25.03^ «avant,
4.
#*
:
»
:
»,
».
6X6 Jt-
« sur en montant
p,
62^ «3
#*
e^pHJ
JC2S.en- « depuis »; ^^25.6X1- £)^-
^J2S:en- ^12:05^ « sur
Gen. 21, 21.
5.18.28,27.
11
», loc.
prép.
3.
Luc 15,
6.
Ps. 30, 12.
4.
e^o}\
325
Prépositions composées.
162
^J2S.eJI « de sur en descendant, de sur en montant
ment
((
de
de^p^
2.
Jt^pHJ
en s'éloignant »,
326
de
3-
JtTOT
«face»: e^peit-
TOT** «main» « à,
#*
e^p^
«vers, au devant de,
Loc. prép.
eSO^
JtTeit
(276,
p4Î,T
s*
« à pied »
« pied » ;
de
^-
dique
mer
G'p^T^ «
d'un olivier
de
suite, sur-
«
«près
« par, par le
de en venant, par
«
moyen
le
au pied de, sur pied »
au pied de, sous
»
H-
;
:
»"\
«poitrine»: ^iî-eOTOîs^ près
de», gJ-
sens.
côté
C<î.- «
la situation
».
Ce mot
dans un lieu
OTJJTill ÀIJULOK Il
» tout
^^TeSl- ^*J,TOT^
JUinJ^T^OV ^«5.p^TC JIOTScM hziOîJTaelle
O0V«5^
OOVCW ^ même
:
^^p^T ^
jeta l'enfant au pied
de
JlTeJI-
;
:
^JTen- ^JTOTî*'
à»;
»
i).
^CSopSep <).
»
C^TOT^
;
eSoT^ ^JTeJt
», loc. prép.
de P^Tj«'
4.
^
J
« à,
étaient baptisés par lui »\
« de, o* »
de, auprès de, au pied de,
de»
« ils
ty<X.TeJI- «jusqu'à»;
le-champ»;
moyen de
eTeXl-CTOT**
:
au pouvoir de, par, de,
m.V(fiWiXC JtTOTq
328
rare-
contre»; Jt<S.^peJl- m^^^ii^ « devant, auprès de».
par,
327
», et plus
^J2S.eJt asnr sans moui^ementn.
((
peut être uni à
:
est préposition par
à ta droite
l'article
:
lui-même
C^ IiejeSTadans
;
in-
il
l'orient»^.
Ci
»".
enCi
JULcj^JOJUL «
du côté de
la
»*.
Il
forme
:
a.
SlCl,- JICCU
tyj JICCMJ « suis-moi SlC^.- « chercher»,
1.
Mt.
3, 6.
4. Pa. 44, 9.
»", et
i^
qui signifie « derrière, après »
s'emploie après quelques verbes
COJTeJUL hc^.- « exaucer
2. 5.
Gen. 21, 15. Gen. 28, 14.
3. 6.
».
Mt. 2, 2. Jean 1, 44.
:
:
110-
KCU'y
"163
Prépositions grecques.
M.enenc^,- JULejiejtccw^
h.
«
après que
près » frères 7.
<S.Çf
:
tye
»
côté
<(
hnecjCnHOT
sens
^J^po
»
:
eCKejl-
u
il
suivit ses
« elle crie derrière nous »l
« à côté de, le long de, sur le
^JCKeJt
:
cj^JOJUL « sur le bord
« sur le bord du fleuve
de
mer
la
))^
))°.
Prépositions grecques.
III.
Les principales prépositions grecques employées en sont
copte
:
K^T^
« selon »
K^.T^,
:
eT^q 2S:0C « comme n^p^ « de, ^^., au
il
Par analogie avec
a dit
^pH^^
comme». K*5,TiL
.
if
^pH^^
».
delà de, au-dessus de
epo
généralement en sa^dique
».
on forme quelquefois en bohairique et
K^T^po^,
n^piî-po ^ K^,T^.poq .-
« selon lui »^.
^«3pjC a
sans »
;X^a3pjC <J,Jt
^OJC
pas d'article «
;
le
mot suivant
:
((
ce
en tant que,
n'est,
Ex. 34, 33. Gen. 49, 13. 7. Gen. 2, 18.
généralement sans article
excepté
comme
^«3C ^UiLOOC
comme homme
est
:
« sans nécessité ».
(et t^in xt) « si
(6?)
329
^ JOJUL « sur le bord de la mer »l ^ JCKe JI- ou
eCKejt
:
JCKeJl- même
JCKeJt
CiLJULejI^H
Jl«î.q
de CKeJI-
bord de
xxenenci, bti. ^
C<î.JULejt^e-, C<î.JULeJl^H^ « derrière, a-
Jl,
CWO) eSo?\ C^JULeJI^HJI
»-.
;
»'.
C^.JULeJl^H
c.
« après »
»
;
le
».
mot suivant ne prend
« en tant que bon
»,
^CMC p«3llJ
».
1.
2.
4.
5.
Gen. 37, 17. Mt, 4, 13.
3. 6.
Mt. 15, 23. Gen. 36, 37.
3
30
Adverbes.
164
CHAPITRE
XIV.
ADVERBES.
Il
y
a
en copte un certain nombre d'adverbes simples
OCMJI
p<î.C'^
<î.^i « oui
»,
par l'usage.
Nous ne donnons
Ces adverbes cée devant
le
où
vn-OllH*]" JUL-JUL^V «
ici
se forment au
nom de temps
iA-n^JAl^
« «
en ce
et
au milieu »
là »
que
demain
«
de
et
lieu
jO^^^ 2.
«
infinitif
888
»
;
:
i.
(JUL) pla-
« aujourd'hui »
((
demain
Au moyen de
sans article:
Jt-;X!^^^-'^
;
;
».
«
Jt
(11)
JUL-JtieTpeJULJt-
rapidement
»
;
Jt-
et d'un substantif ou d'un infinitif avec
:
Au moyen de
Avec
particule it
JU.-<^OOY
;
OY £)e Jl OVJULeTe«^XHOY OTOJJl^ eSoX « manifestement». 3.
la
».
Au moyen de ^ejt
l'article
lieu.
Adverbes de manière.
« en égyptien
en secret
de
h-p^cf"
;
d'un substantif ou d'un
^«311
apprendra
JUL-JUHJtJ « chaque jour »
;
:
:
Les adverbes de manière se forment et
On les
»,
que
les règles générales.
moyen de
lieu, ici »
2.
332
? »,
Adverbes de temps
1.
331
«
tels
les adjectifs
Jl
et.
d'un adjectif
composés de
iT
«
:
vainement
»
;
^ejl OV-
Jl-cyopil « d'abord
privatif
et
».
d'un verbe,
JI
165
Adverbes.
forme des expressions adverbiales qui se traduisent par
précédé de sans boire
:
Jt<Î.O0VÇMll « sans manger », Jt<X.TCtU
JT^Tcy7\H7\
»,
« sans prier
Le copte possède
plusieurs adverbes très employés qui sont for-
mes d'une préposition simple situation dans le lieu
n-a)«5J
^pHJ
et
^OTJt
»,
u
dessus
^pHJ
»,
»,
dessous »
;
« derrière
sortie (angj. out^
ail.
ans),
».
Les autres adverbes formés
« hors
»,
C^So A
h)OVn »
ntycu J
la
de
eSoA «paraître, manieSo A sont JUlSO A :
« dedans en entrant
»,
Jl^OVII, Ci5,^0TJI
mouvement.
ntyçuj entyCMJ :
au sens
« dehors ».
e^OTJï
:
sans
Cet adverbe accom-
de manifestation, d'achèvement,
ne se traduit généralement pas: OTCMJI^
dedans
».
».
et, quoiqu'il ajoute
fester
«
la
;
;
« dehors en sortant
pagne un certain nombre de verbes,
nuance de
ce
»
bas »
« le
<^-^^0T
JjO A forme eSo A
il
«dedans
n-eCHT
« le haut »,
^H a devant
d'un des mots suivants indiquant
:
dehors
((
« sans
»".
Adverbes de situation.
5.
So?\
Tinfinitif
« en haut » avec
« en haut » sans
C«î.-
mouvement.
IleCHT eneCHT :
mouvement, JULnojCWJ,
«
en bas» avec mouvement,
C^neCHT en bas » sans mouvement. ^pHJ e^pHJ «en haut, dessus,
JtineCHT,
<(
:
« dessus » sans
1.
C. 94, .^6.
mouvement.
2.
MS. 423.
ici
en montant
»,
Jl^pHJ
334
Adverbes.
166
I)pHJ
^DH J
dessous
«
^H
:
cemment
e^pHJ
:
«en
dessous,
ici
en descendant)),
«fï-
sans mouvement.
»
eT^H, eOH »,
bas,
C<X.T^H
«
devant, en avant, au delà
« avant, auparavant »,
^JT^H, ^J0H «devant». ^^^OV e^^,^or « en :
arrière»,
»,
Jt^K
^<î,T^H
<(
ré-
« devant »,
Cl.^^.^O'P, ^J^l^^^OT
« derrière ».
Remarques,
335
quand
tions prépositives,
^l,
« de en sortant,
«vers en entrant»
e^pHJ ezeJI
^e JI
« de,
2.
il
Les adverbes composés de 6 forment des locu-
i.
«
;
les
}.
en s'éloignant »
« sur
;
», etc.
e^OTJl
^i
Très fréquent
e,
les
:
e^OTJt
»,
^*5,
«vers en montant »
est l'emploi
;
de eSo}\
».
Ci on emploie Al, AlllO^ CiSo A Ci^OTJl il «au dedans de», C^ncyO)! il :
de», C,neCHT 11 «au-dessous de»,
Après
^^ eSo A
6 ou de
composés de
en dehors de
« au-dessus
sont suivis de
eiïcytUJ 6, encycUJ
de parmi
Après
ils
composés de
il
on emploie
etc.
^en, Jl£)HT
^
:
Ji^pwJ ^ejt, h^pHJ ^en a dans, parmi » iqcytunj Jl^pHJ h^HTeJl « habita parmi nous »' it^pHJ JI^HTOV il
« parmi 4.
^J le
eux
Après
les
composés de 6,
na)<î,qe « vers
désert
>/'.
;
»'.
le
désert »^
Jl,
on peut répéter
^J e^pHJ :
Jt^pHJ ^J ncy^qe
Jl^pHJ ^J nojiLqe même
«
dans
sens\
1. Jean 1, 14. 2. Ex. 29, 29. Pour l'emploi et la permutation de ce» deux expressions, cf. AU. p. 78, 79. 3 Gen. 13, 1. 4. Ex. 8, 16. 5. Gen. 21, 14.
167
Conjonctions.
CHAPITRE XV.
CONJONCTIONS. Voici les conjonctions qui donnent lieu à quelques remarques
de grammaire.
OVO^
OTO^
(S. <5,Va5),
« et ».
peut s'employer partout, mais de préférence
pour unir les propositions
Jieocf <X,q2î:0C rent
^J
iteJUL (S. JtlJl),
s'emploie
il
336
:
OTO^
^TcytWHJ
«
dit et les
il
choses
fu-
))*.
JieiiL signifie proprement
quand « noms.
Il
et » pourrait être relie
«avec))
unit les
noms qui n'ont pas
OVpcWJULJ hcjioq malice
«
rarement deux propositions
'^^,n^.CT^,CiC neiX. n J«5Jt^
^J
(316):
remplacé par
avec
(cf.
« la
«
c.-à-d. entre les
Deut.
6, 7
;
résurrection et
d'article
^J XP^'î
»,
donc
s'emploie
il
11, 19). la
vie »l
:
^" homme de sang
et
de
>/'.
njKiX.^J eT£)^i^ JtepOî^ le lait et le miel.
:L*j
U
^J eSjtU
jjJ ^\ ^J>Ji\
«
la
terre où coule
»*.
2te-
S'emploie
^tioK 25.iZJ
1.
4.
i.
:
2s.e
337 le
discours direct
'f^xaj ÀiiULOc jtoîTeji
« moi, je
Pb. 32, Ex. 13,
pour annoncer
vous dis
9.
2.
5.
5.
:
2î:e
:
iiejtpe jieTen-
Aimez vos ennemis»^.
Jean 11, 25. Mt. 5, 44.
:?.
Ps. 5, 7.
Gonjonctions.
168
iS-ÇrajenOT 2te ^peTeiIKtU't' JlC«î,njJUL «
da
Qui cherchez-vous
:
il
deman-
leur
? »*.
«Lq^peAl ejtJCJïHOT Xe
^JULOJIJ JULJULOCJ «
il
fit
signe
aux frères (en disant): Saisissez-le )V\
Pour introduire
2.
discours indirect, surtout après les verbes
le
qui signifient» dire, déclarer, savoir, penser, voir
sons alors par « que
On
)).
Nous
le tradui-
».
ne peut parfois distinguer
si
discours est direct ou indi-
le
rect.
^çf epoTOî hzie Jésus répondit
c(
:
jhc
Je vous
tlb ^jî&oc jiojTeji 2^e
ai dit
que
que vous ne craignez pas Dieu
sais
^qjl^V bien
c'était
r>^.
JULc^itOVi^ «
je
»*.
Jl2te c^JIOTi^ 25:6 JI<î.Jteç[ « Dieu
vit
que
c'était
»'.
Après
3.
les
verbes qui signifient
a
appeler
eTeimOT-j^ e ne
moi
^^T^H
JULneTeiiep^O^^
-j^eJULJ 25:6
^jiok ne
u
».
on l'appellera Jésus »^
^^ JULOT^ enJOTCUJJtJ Zie nie^OOV « Dieu
lumière le jour
neqp^Jl
iî.q'f-peil Il
4.
indique
appela
»''.
«:e
la cause, la
Cne
«
il
l'appela Seth
raison d'une chose
»^
:
qcjUL«s,p«30TT hzie n^Jc ste i.qno^estx 'o.neq>^^oc «
béni soit le Seigneur, car
CUOT
«
louons
le
il
a délivré son peuple »'.
Seigneur, car
il
a été
grandement
1.
2.
MS. 424.
3.
4.
r^.
Gen.
6.
Jean 18, 7. Kx. 0, 30. 7. Gen. 1, 5, 10. Ex. 15, 21.
1,
10.
8. (ien. 4, 3.
glorifié »^".
Jean 18,
Luc
8.
31. 0. Ex. 18, 10. 1,
169
Conjonctions.
Macaire d'Edkou
Chasse:{
Dans ce sens
V
est souvent suivi
de
OTHJ «
« en vérité».
car, à la vérité, c'est son
»'. II
indique
^.JIJ
2î:e
:
JULJULOÇ[
«
nous sommes venus
»^.
s'emploie
de ce genre
V intention
le but,
JlTejtOTCUOIT
2:8
pour l'adorer 6.
»'.
I?^p neçf ^^T ne
Xe OTHJ argent
il
OTCeepTep T^^OJl « car
25:6 ^.
emparée de nous
l'agitation s'est
comme
le «
de » français dans des expressions
nom de magicien
« le
:
2t6
»
IT
jp^JI
25.6
Jtl4Î,Ù0C
*.
(S. (Se).
Cette particule diffère de son homonyme par l'origine
(ég. gert),
338
par le sens et par l'emploi. Tandis que l'autre est proclitique, celle-
enclitique et signifie « mais,
ci est
après une autre conjonction 25:6
former
25:6.
se
25:6
les locutions suivantes
60S6
25.6 (S.
eTS6
6<^JH<î, 25:6 (S. Ils
^OTe
:
plus, aussi ».
2^6 « mais quand
25.6) «
puisque »
^KCCMT6JUL
les
SiCl.
T^CJULH
« parce
MS. 422.
2.
AM.
2.39.
5.
7.
MS. 422.
8.
25:6
^^.1111*5,1-
Ex. 21,21. C. 135, 13. Gen. 22, IS.
que
« car
»'.
nations de la terre
race toutes
1.
6eS6
JlTe nJÔOOl 6T6JULJULiLT
ta
4.
339
;
parce que».
de ce nome étaient cupides
Je bénirai en
6IIJ2^H
:
25:6) « car,
6So7\
J16 JtJi^p;)Ça5Jl
les magistrats
))^
combine avec quelques mots pour
donnèrent de l'argent pour se dilivrer
^pHJULiL
Elle s'emploie
»'".
mais puisque
((
Composés de
de
tu as obéi à
.'^.
Mt.
6. C.
e^M.^ ma
2, 2.
135, 31,
voix
2te »*.
Conjonctions.
170
xe^^C
340
composé de 2^6 avec
le
et
de ^C*^'*^»
pronom C du neutre
Il se dit
((
^^^^
bien que
^^
216
xe^X^ic hceepnpecSeTjn e^^pHj intercèdent pour nous
341
25:6
K^JÏ
même que»
SeT qu'on
me
ne
((
Vient après
le
mot
«
ne pas revenir en ce
((
Dieu
dit
il
dit
Ce
qu'il
le
encore
détermine
lieu ))^
encore à Moïse
Seigneur, lors
:
tyT6JULJ 6 n^JJUL^ OJl
n62S:6 «IJlOT'j"
OH
JULJULCWTCHC
((
mais
».
conjonction, est rare
:
6SoA
25:6
JI^OÇJ
JiJTeSjicwovj jit6 Ji6jityHpj JULnjcp<j.H>\ juLn6
^ AJ AlOY ne mourut
ilOOÇf
mais, des bêtes de
((
somme
des enfants d'Israël, aucune
»".
a aussi le
sens de « plutôt
jULn6Jiep6Ji6pjULKiî,^
m.) e25:«5n
^,'}\}\^.
JlJt6Jl'»|/*T^^H
3.
Luc 18, 4. MS. 422.
6.
Ex.
1.
même
»
Les bêtes de somme des Eg/ptiens moururent
^6n
qu'ils
))^.
comme
mot, employé
eziotîJi ((afin
Z:6 K<S.JI <Î.Ta}iî.Jt^Oe-
Vive
:
aussi,
<(
JlOOCf 343
»**
partirai point »^.
OJt
342
Jti^ep^O'j- ^Jf
:
Uf^JC
CJOJI^ Sl^e
h'^JI«î.^«5>\ ^JI tuerait, je
est
))"\
(xàv) «lors
n62:i5.
mot
^CW «laisser»,
pronominal de
ne craigne pas Dieu
je
Ce
:
^e^^l^C
en lui-même
^^Tecf^H
que, bien que».
(S, 2î:eK«î.C) ((que, afin
9, 6.
((
»,
comme
h^^HT 6eS6
iiL<j.pejtepjuLK<î,^
dans cette phrase ^^}\i
:
h^cwS 6e-
heocj 6eS6 n25:po^
ne nous attristons pas des malheurs qui peuvent
2.
AM. Chrestomathie
p.
4.
MS. 422.
Ex. 3, 15.
5.
74.
171
Conjonctions.
nous
mes
arriver,
mais affligeons-nous plutôt de l'indigence de nos â-
))\
je JC25:e
^KJt^V
neq J«5T En
H)
(S
« ou,
ou bien
je ^KCtWTeJUL
je Teç[JULiî.T
se répétant elle forme
a
«
».
tu as
si
vu ou entendu
dilemme
*^pj OT«î, J
:
^6 Jl
c(
prie et je mettrai le feu
je Cette particule, entre une
dont
elle
(S
jiTiJ,prierai,
eje, eeje). de
proposition conditionnelle et le
m,J-
»".
qu'il faut distinguer
dépend, avec
précédente, s'emploie
la
proposition principale
la
sens de « pourtant, cependant, dans ce
cas, alors ».
K^,n « lors
<î,çfçyTeJULjjtJ
même
cordieux
qu'il
est surtout usitée lorsque
eeSe-ov Ki^tuAic
jc2s:e JULiioji
est miséri-
la
proposition princi-
heoK
^,n
ne
n^c «pour-
? »".
^cmS jîthj JieJULcwTen je ot neTejtJIJ;)(^pjCTJiî-JIOC((si je
n'ai rien à
avec vous, qu'avez-vous à faire avec les enfants des chrétiens
S'il
rend la
me aux
eTeJULJULiV
1.
P. 220.
4.
MS. 424. MS, 433.
7.
jczie
tu n'es pas le Christ
si
^«îS JieUL Jljcynpj JlTe
JULJ
il
une demande, une interrogation, une exclamation.
quoi alors baptises-tu,
faire
oT^i^n^onq ne
»^.
pale exprime
je
XiniJUL-uoT je
n'amènerait point l'eau, cependant
Cette tournure
aveugles Je
« quel est
2. Kef.
0T-^.^
JipH^ ne
donc cet homme-là
411.
Kef. 412. 8. D. 574.
T).
344
son père ou sa mère »^
le
S je jtTeK^;X^pa3JUL jiTiî.cy>\H>\ je jtTeKty^H^^ •^^pUîJU. choisis un des deux, ou bien mets le feu et je ou bien
»'\
3. r>.
? »*.
Ex. 21, 15. Jean 1, 2r>.
?»'.
njpoî-
^45
Proposition verbale.
172
DES PROPOSITIONS.
V. 346
Les propositions se divisent en verbales et en nominales.
de quelconque
la
;
un verbe
est celle qui contient
La proposition verbale
à
un mo-
proposition nominale, celle qui ne contient pas
de verbe.
Au
point de vue
de
la
les propositions
dépendance,
sont indé-
pendantes ou subordonnées.
Nous
traiterons d'abord
de
la
proposition verbale et de la pro-
position nominale en général et spécialement
quand
elles sont indé-
pendantes.
Nous verrons ensuite qui ont
une syntaxe
espèces de prépositions
différentes
les
particulière.
CHAPITRE
XVI.
PROPOSITION VERBALE. I.
847
1.
lement
Ordre de
L'ordre des éléments de le suivant
ses éléments.
la
proposition verbale est généra-
:
1.
Auxiliaire
2.
Sujet,
3.
Verbe
4.
Complément
direct
5.
Complément
indirect
6.
Compléments
;
nom ou pronom
affixe
;
;
;
;
circonstantiels.
173
Proposition verbale. Prolepse.
^,q'f hov^jULOT juneçf >\^.oc
^HJULJ ^.
«
donna
il
^nOT^
la
jULneneo
hitjpejiijt-
faveur à son peuple devant les Egyptiens
Ol^aXiO
m^e JieJUL HK^^J
«
Dieu créa
»'.
^
le
ciel et la terre «"^ i.
n6bjc JHJ jtoTeoTpHC
OV THpcj le jour 2.
le
((
Seigneur
fit
un vent brûlant sur
venir
Lorsque
n6o JC
des préceptes
le
verbe est à
m.q
ceJULJt J
hommes }.
absolu et que le complément
l'état
S\^^.n^^,n
complément direct
« le
Seigneur
lui
:
donna
(ri
m,K
2^6
JlJtJ^eOîp
«
donne-moi
et prends les chevaux»'.
Lorsque
verbe est accompagné de l'adverbe
le
complément direct
se place après le
ci
terre, tout
)/.
iX^. Jtjp«5JULJ JtHJ les
la
))^.
indirect est un pronom, celui-ci passe avant le l.
Àinje^o-
e2s:en njK«x.^j
et lorsque le
verbe est à
plément indirect
l'état
;
dans
pronominal,
il
le
cas
eSo A,
celui-
précédent
se met après le
(2)
com-
:
OVOjpn JULn^^«î,OC eSO>\ JlJieqOVOn^Çf
«renvoie
m^K eSO^ II.
«
il
mon peuple ))^
ne se montrera pas à
toi
»^
Prolepse.
L'ordre qu'on vient d'indiquer est souvent changé. Lorsqu'on veut faire ressortir un élément, on
en
remplaçant,
le
nom
(
jùlt
^J)
)
si
1.
7.
Ex. 11, 3. Ex. 1.-), 25. Ex. 13, 7.
cette figure
met en
de
la
propDsition
lui.
la prolepse.
2. Cien. 1, 1. 5.
tête
ou un complément, par un pro-
qui s'accorde avec
Nous appelons
4.
c'est le sujet
le
Gen. 14,21.
C'est
3.
6.
une construction
Ex. 10, 13. Ex. 10, 3.
348
Prolepae.
174 très fréquente
en copte, surtout dans l'Ecriture sainte où
du texte grec.
teurs ont tenu à conserver Tordre des mots
La prolepse
a lieu
de deux manières.
Sans
1.
349
particule.
L'élément mis en évidence précède troduit par
aucune
particule, surtout
U^p
à la précédente par
Prolepse du sujet
heoq il
les traduc-
la
proposition sans être in-
quand
2^6 « mais
« car »,
proposition est unie
la
»,
:
i*i5,p «s,(![Ta5jiçf
eSo>\ ^ejt jijpecfM-OîoVT «car
est ressuscité d'entre les morts »'.
n«î,JCMT
•h.e «S.Ç[JULOajJ
e^OVJl
«mais mon père entra
O'V-^l^Ki JI^Çf;X!** eziejt c^JtOVJl sur l'abîme
est
6
cas,
(248), et
on emploie souvent
du pronom
relatif
les
GT
temps composés de
surtout quand le sujet
un pronom. Cf. Andersson, AB. 40, 41.
^H ^^Xeil
^l,\ eJtiLÇ[;X;*t JCStejt au
« les ténèbres étaient
»^.
Dans ce même l'auxiliaire
»'\
commencement avec Dieu
homme met
d'abord
le
oT^eo
JteJUL
OviJry^H
1.
4.
Mt. 14, Jean 1,
kn jupn eejii^jtecf hojopn
bon vin
Prolepse du complément direct
a précipité dans la
le
cheval
»^.
:
OT(^cj^eo
mer
«celui-ci était
»^.
pcMJULj itjSeji ety^v;x^a3 « tout
^^
iî,ç[SepSa3poT ec^jojti
«il
et le cavalier »'\
JieJULHJ JtJte n(ÎC
£)OeSeC
2.
2.
MS. 422.
3.
2.
5.
Jean
6.
2, 10.
« le Seigneur ne
Gen. 1, 2. Ex. 15, 21.
175
Prolepse.
tuera pas l'âme juste
m.^Hps
»*.
jt^noJULJJtiojt
n'oublie pas
mes préceptes
manque,
Andersson, AB.
cf.
iinep-ep noT«5Sa|« mon
Quelquefois
))'\
p. 8.
Prolepse des autres compléments
XIJJULOîJT JlTe
che pas dans
JteCUTejl mes,
Les noms de
lieu sont
eTe neKiî.^o
^HT
a
Prolepse du verbe
liaire et le
i^i^^O epcUTen
JuiJULoq
que
pronom
là est
ton
le sujet et les affixe sujet,
hî&e n(^JC
l.Tni.^'t epocf
«
:
le
verbe, avec l'auxi-
peut aussi occuper ;
la
celui-ci est alors les
première pla-
introduit par Jl-
compléments
:
« le Seigneur a juré /.
JlZie
JieqJUL^OTHC
« ses disciples cru-
iiiiiX.T siTLe ^,^p^,^,ïSL b.njJii4Î.jiepa)çuovcyj
construisit là l'autel
»*.
Le pronom personnel, renvoyé après 2te
hxe neK-
)>^.
K«3T
Abraham
:
cœur d^.
compléments,
verbe ou après
<5,çf
AlJtl^V ÏIJJUL^
350
2S.e- (S. Sioi-) après le
lui
eH^V,
:
un nom
rent en
«vous, Ô hom-
eqecycunj iXii.^,T
ce, lorsque le sujet est
iS.Ç|«3pK
ne mar-
»^.
remplacés par
où est ton trésor,
De même
«
w"*.
riî.p
là
des impies
tu JtjptUJULJ
vous prie
je
:
JtJ^CeSHC iineptye eptWOT
les voies
fils,
pronom de rappel
le
le
verbe, ne prend pas
Jt-
inJULOCyj Jieil<î.q ^JIOK neiX KeCJ[*S.V «nous mar-
châmes avec
lui,
1. Pr. 10, 3. 4..Pr. 8, 4. 7. Jean 2, 11.
moi
deux autres
et
»'.
2.
Pr. 3,
5.
Mt. 6, 21. Gen. 22, 9.
8.
1.
3.
Pr. 4, 14.
6.
Ps. 109, 5.
9.
MS. 422.
Prolepse.
17-6
Avec
2.
jc
351
^Hnne.
et
JC
1.
sujet et le
la
eJC)
(S.
régime
JC c^H pe à
les particules.
c(
eeOViLS
porte
voici
que »
en relief
sert surtout à mettre
le,.
:
^CJ Ka5>\^
en jpo
« voici que le saint frap-
y)^.
JC peSeKKiL Jiiî,cnHOT eSoX epe Tec^V2^pj^ ^j TCCJl^^Sj voici que Rébecca venait, sa jarre sur l'épaule )A c(
2.
Il
tensité au sens
^Hnne
^Hnne
:
voici
neKS^?\
«voici
(S.
que
la
»^.
voici
que cette
»*.
^HKTe)
mot mis en
relief
est parfois
employé seul;
il
peut ê-
ou du verbe lui-même avec ou sans
:
^Hnne c(
proche
^Hnne
prolepse
ajoute plus d'in-
jc T^JKOTSSiJ JULS^KJ C^ejlTcc
petite ville est
tre suivi d'un
^HUne qui
JC njcoj ç[;)ÇH ^eji
poutre est dans ton œil
3.
précédé de
est très souvent
i^noK ^Jiiî.epe
que j'endurcirai
le
n^HT
JULc^*î.p«j.«5
cœur de Pharaon
jicyoT
))^.
^Hnne <î.Ç[JULO«ï"J^ hzie ^'j~ « voici que Dieu a appelé /. ^Hnne ^, Jepcyç^np J JuineKgO «voici que je t'ai admiré»^ Lorsque JC précède ^HRIie,
4.
lieu
;
JC
JC JC
^Hlïne
^Hnne ^Hnne
«voici que je
1.
4. 7.
t'ai
MS. 423. Geu. 19, 20. Gen. 19, 21.
la
prolepse du
doit être suivi d'un verbe
"fjl^.a)e JIHJ
a voici
<j.jt^julok e jih
que
5.
je
m'en
THpov ct
8.
Gen. 24, 45. Ex. 14, 17. Ex. 8. 25.
n'a pas
:
informé de tout ce qu'il y a dans
2.
nom
irai »'.
^ejt RiS^^HT mon cœur
6.
Mt. 7, 4. Ex. 35, 30.
9.
OSE.
3.
10.
»^.
177
Prolepse.
De même nom une
que
((
en français, JC peut former avec un
voici »
proposition nominale dans laquelle
352
remplit le rôle de pré-
il
dicat.
^StUKJ JtTe IK^iC
JC
du Seigneur
y>\
JC neTeJlJIi5.V h£)«5TeS «voici l'heure de votre mort
))\
précède parfois
Il
que
je
voici la servante
complément de temps
:
he^OOV i^COllC eSo^
JC OTJULHCy jours
le
c(
considère
« voici
plusieurs
»^.
JC O'THp JtpOJtinj JCXejI eT«Î.KJtlOV « combien y d'années que tu es mort
L'accord se
que
fait
le cas
? ))^
Accord des éléments.
III.
à noter
en copte d'après
où
le sujet est
Parfois le verbe se
1.
met au
les règles
un
et
mêlée monta
2.
Lorsqu'il y a
lectif,
on peut avoir
;
n'y a
il
:
pluriel et l'épithète reste au sing.
:
entytwj « une foule
4Î,Ttye
»^.
deux verbes le
générales
collectif singulier
ovjt jtyi^ JULJULHty eç[JUL02:T nombreuse
a-t-il
et qu'ils sont séparés
premier au sing. et
second au
le
par le colplur.
:
eT^.qep^o^ î^e n^e nj>\ioc THpq ^lto^j epi.TOV après avoir été saisi de crainte, tout le peuple se tint dec(
bout
))''.
}.
Enfin l'épithète peut être au pluriel et
eçjejtiS.v Ji25:e nj>\<s.oc jih verra, le peuple au milieu
1.
G. 119, 25.
128. 7. Ex. 34, 10
duquel tu habites
2.
4. G.
5.
(cf.
AB,
le
verbe au singulier
heoK eTeKJi^HTOT
MS. 423. Ex. 12, 6.
p. 9).
12
))\
3.
OSE.
G.
Ex. 20, 18.
5.
«
:
il
353
Proposition nominale.
178
CHAPITRE
XVII.
PROPOSITION NOMINALE.
I.
354
Proposition nominale simple.
La proposition nominale simple
est celle qui
verbe, mais seulement un sujet et un prédicat. le prédicat,
un
truction prépositive ijj^fj
jV
ou un pronom
;
Elle énonce
une
substantif,
Lorsque
prépositive
le sujet est
moi en tout temps la
236, dernier exemple)
Quand
1.
et le prédicat
une construction
sujets
Jean 14, 10.
Jt iSeJI
«ma douleur
»^.
premier présent (2J2,
}
;
Il
en est de
même lorsque
le sujet est
du premier présent.
adjectif
eSO^
eSoX hCHOV
»'.
proposition est réellement nominale, car
la
;
le sujet est
un nom, un
surtout de
du présent.
:
construction du
ne contient pas de verbe.
un des pronoms
cat,
un adjectif ou une cons-
h^HT « mon père (est) en moi
C'est exactement
2.
un nom
)•
un nom
n^O-KiS.^ JUin^JtieO
elle
sujet est
:
n^JCMT
est devant
Le
assertion générale avec le sens
Elle s'emploie dans deux cas 1.
ne contient pas de
un pronom personnel absolu,
et le prédi-
ou une construction prépositive formée
^eJt.
2. Pa. 37, 15.
179
Proposition nominale.
prédicat doit toujours avoir un article
Le
que
position ne prennent
hoo Te JICtM Jl J I.S10K OV^HKJ
c(
l'article indéfini
tu es notre
heOK 0T}\^0C eqOV^S
l'adjectif et la pré-
:
)V^
« tu es patient
»^
«tu es un peuple saint )A
^.noK OT eSo>\ ^eji "j^noT^jc epii<s,JtT «je d'Erment
ville
Dans ces
ne Te (360)
Jie
(cf.
;
Ces
trois
en nombre
p.
le
pronom
de
la
copule
la 3" pers.
mots sont invariables
et
Jte.
ne diffèrent qu'en genre et
:
He
y,, fém.
Te
ne s'emploient que dans
grammatical.
j^, plur. Jte la
f>
On leur
parler, c'est
nH TH
U.
proposition nominale où
donne souvent
le
nom de
servent généralement à unir le prédicat au sujet
(S.
est
ne Te
toujours placés après le prédicat et remplissent
ment
delà
2^2 5).
Proposition nominale avec
sing. masc. Ils
de propositions, on exprime souvent
on doit l'exprimer lorsque
II.
suis
»^.
sortes
AB,
la
ils
sont
fonction de sujet
copule, parce qu'ils réel.
Mais, à propre-
un pronom démonstratif abrégé de <^H
OH
JIH
JtH) et signifiant « ceci, celui-ci, celle-ci, ceux-ci, cel
les-ci ».
Les propositions formées de types principaux
1.
4.
355
sœur n\
a je suis pauvre
JieOK OVpeçf W30V JI^HT
;
Gen. 24, 60. Deut. 14, 2.
ne TC
Jie se réduisent à deux
:
2.
P.'^.
60, 9.
5. Kef.
406.
3.
Ps. 85, 12.
356
Proposition nominale.
180
357
La proposition contient
I.
ne Te (i) (2)
Jie
n^JOîT ne «î,J10K
Dans
ne
(2)
Le
358
« c'est moi
cette sorte
(3)
(4)
nombre
le
père».
ne
les règles
l'ac-
« ce sont ses parents
un nom
)>l
un pronom absolu
(i),
ou une construction prépositive avec
(2),
un ad-
l'article indéfini (4)
ov^,T^^.BOc ne « est bon _,* ^U >A OT e^07\ £)en T<|e ne « c'est un habitant
du
ciel
»^
un archange de l'armée des cieux
Lorsqu'il y a sujet avec SI
deux
»^.
second peut se mettre après
adjectifs, le
:
nj^Hovj ne
oTi5.p;X)H^i?ue>\oc jiTe Tstojti itTe c'est
:
il
peut être séparé du sujet par un complément déterminatif
Il
((
de
:
« c'est notre chair )>l
prédicat peut être
jectif (3),
sujet grammatical
»'.
de proposition, on observe
Tenc^p^ Te neçf JO'f'
mon
« c'est
cord pour le genre et (i)
le prédicat et le
:
le
:
^iX.najejULULtt)ov
ne ovo^
hpeJUihzicujTvJ « ce sont des
hôtes et des étrangers /\
359
II.
le
nom
La proposition contient qui est sujet réel
phrase
la
« le
Seigneur est bon
qui, dans la pensée, est le sujet réel,
fonction d'apposition
(
Jjj
)
1.
Jean
8, 28.
2.
Gen. 37, 27.
4.
Jean
7, 12.
5.
EM. dana
tres exemples à la
môme
ne Te ne
et
:
0T^C<X.e0C ne n(5bjC
noOJC
copule
le prédicat, la
page.
_^-»
^U
rempHt dans
la
au sujet grammatical ne.
3.
Jean
la chrestomalhle 6.
;
9, 2.
voir aussi d'au-
Hébr. 11, 13.
181
Proposition nominale.
Cette sorte de proposition
offre
deux cas selon que
le sujet réel
est au dernier rang ou au premier.
Premier C'est
Le
cas.
sujet est au dernier rang, la copule au milieu.
plus fréquent
le cas le
s'emploie surtout quand le
il
;
prédicat est un
pronom absolu, personnel
interrogatif (6),
ou bien un nom qu'on veut mettre en
(8),
démonstratif relief
^.JIOK
(5)
^^.s
(5)
0<X,J
ne nJC<î,2S:J «telles sont les paroles»*. (6) OV ne ^<^J « qu'est-ce que cela ? )Â tyOJULT JtcyHpj ne m.S SVre nCMe « ceux-ci de Noé
fils
(7\
n
il
y
a
deux
adjectifs,
« grand est le Seigneur n\
second prend
le
particule
de
y a plus de deux adjectifs, la
le
copule
second et
muet, boiteux
les
suivants se ren-
:
ovSe^T^e ne xtKovp heSo
gle, sourd,
ï\.<SbsC « le Sei-
et miséricordieux >/.
voient de préférence après
^i.i
la
:
OTpeejOien^HT OTO^ hn
gneur est clément S'il
étaient les
»".
OVnJÇyf ne n(^JC
Quand liaison
oIa
il^J
(5)
(7j
ou
:
ne n(^JC « je suis le Seigneur ^J\ y> lH »S ne m^^npi « voici mon fils j;i y. il* «l Te "j^JULeTUieepe «tel est le témoignage j^
(8)
trois
(5)
h(f^.}\e «
>)\
1.
Ex. 20, 2.
2.
Mt.
4.
Bar. 1,1.
5.
Ex. 14,
7.
Ex. 18, 11.
8. P8.
3, 17. 5.
144, 8.
3.
Jean
6.
Gen. 9, 19.
9.
G, 23.
1,
19.
il
est aveu-
360
Proposition nominale.
182
Règles de V accord.
361
Les règles de l'accord ne sont bien appliquées que lorsque
I.
un pronom de
prédicat est
nom de
r* ou de
la
la
f
pers. (5) (6)
quand
;
c'est
le
un pro-
(8),
on emploie géné-
ne niepf^ej JlTe t^^
«car nous som-
la 2* pers. sing.
ou
plur.
ralement ne.
^JlOn
(8)
mes
le
\?«î,p
temple de Dieu
JteO ne "j^OJOVpH
(8)
censoir d'or pur
hnOTS
lumière du
monde
Lorsque
re et du
même
païens
«
vous êtes
la
nombre,
ne Te
même
Jie s'accorde avec eux
T^.JUL^.V
^^Jl ^e>\7\HJlOC
sont des noms du
Jte
ne
(9)
;
gen-
dans
(10).
ma mère
« Eustathia est
JI^JO'^
«
)/'.
mes parents sont
»'.
T<^e ne n<î.epOJtOC
(10)
362
Jtin jkocjuloc
le prédicat et le sujet
eTCT^OJ^ Te
(9)
« tu es l'en-
))^.
le cas contraire, on emploie toujours (6)
JtK^e<X.pOC
»^.
heoîTen ne «^otojjhj
(8)
2.
»*.
Deuxième
cas.
Le
« le ciel est
mon
trône
)>l
sujet est au premier rang, la copule au der-
nier.
Le
sujet se
tres éléments
met en évidence, en
le sujet
1.
de
gardent leur place respective
n60JC OT^l'^eoc ne Dans ce
tète
cas
ne Te
la
proposition, les au-
:
« le Seigneur est
bon
».
Jie s'accorde en genre et en nombre avec
:
2 Cor. 6, 16. 407.
4. Kef.
2.
Th. Gl.
5. Kef.
107.
3. 6.
Mt. 5, 14. Act. 7, 49.
183
Proposition nominale.
^C^,p^ OTiCeeJTHC Te « la chair est faible »'. njoîc^ juiejt oTJiJcy^ ne JtjepUiS.THC 2^e KOT25.J Jie «
les ouvriers sont
peu
»"\
nombreux
^.e
X,^^ Chanaan
moisson est abondante, mais
la
^«s.it-
^JCMT hx.^Sl^,^,n ne
Cham
«
est le
père de
))^.
Lorsque
le sujet est
copule par ce pronom
i.noK
JïJiUL
linjCCÎJTHp
un pronom absolu, on peut remplacer
:
^,noK ste jiTe niî-p^Jt
« qui suis-je, moi,
bouche du Sauveur
la
eSo>\^eji
j
pojçj
pour que mon nom sorte de
la
? w"*.
heoK OT eSo>v ^en n^K^c heOK «oui, tu es de mes os, toi »^.
ne Te
Jte peut rendre le sens
l'auxiliaire Jte.
La place ordinaire de ce-
La proposition nominale avec de rimparfait au moyen de lui-ci est
immédiatement avant
le prédicat
^eJT T^.px.^ ^^ nCiS-XJ ne Verbe
Jte
commencement
OVJtOTi" ne nJC^ZJ
« et
Jte
^iJtevueJtHC ne
Rarement
ne «Noé
le sujet
était juste
se place entre
ne
était
un homme
était
et le prédicat «
:
vraiment cet hom-
»*".
1.
Mt. 86, 41.
2.
Luc 10,
4.
AM. 96
5.
Jean
8.
Gen. 29, 14. Gen. 6, 9.
7.
Verbe
ceux-ci étaient nobles »^
«
OnTOîC ne n^î-ipaJUJ OTOJULHJ ne
10.
le
»'*.
Jt«J.J
me
était le
))\
JtOJe Jte OTpOîJULJ JIOJULHJ juste
au
»".
OVO^ Dieu
«
:
I, 1.
Luc 23, 47.
2.
3. 6.
Gen. 9, 18. Jean 1, 1.
9. Act. 17, 11,
363
Proposition nominale négative.
184
Proposition nominale avec 6.
III.
364
Lorsque
proposition nominale, simple (5)4) ou avec
la
Jte (356), se trouve dans
cédée de
noîc
6
l'auxiliaire
heoK
du
le cas
:
u
comment
des à boire, à moi qui suis Samaritaine
IIJAl^.^T 365
«
Lorsque d'écrire
Jl
((
la
sans l'habit nuptial
«je ne suis pas un
iS.n
Te
ne n;X^C
u
«
le
ce n'est pas
»*.
vérité
»'.
ce n'est pas moi qui suis l,Sl
Te
«
le
Christ «^
mon témoignage
n'est
â.Sl OT on peut employer n h OT eSo>\ ^jTen ^^ ^n ne « cet homme
ne vient pas de Dieu
7.
la
prédicat a Tarticle
n<î.jpa5JULj
1.
homme
»^.
Quand
4.
moyen de
:
Tiî,JULeTJULeepe OTJULHJ pas vrai
n^.
le prédicat, jamais après le sujet.
ne Te ne
JUieeJULHJ
^.n
JtT^eSCOî Àinj^On TOJ
proposition nominale s'obtient au
^JtOK OTpcUAlJ ^ft
^nOK
))'^
Proposition nominale négative.
La négation de
Négation avec
JULJUL<Î,V
homme
un
vit
il
^Jt qu'on place après
OT
^en
e
:
e OTptMJULJ
IV.
366
me deman-
proposition est négative, on néglige généralement
la
gJtOTÇ[ ^Jl
tu
trouva mis au tombeau depuis quatre jours
le
e devant
iS,(![Jt^T
toi, Juif,
e ^jtoK
? ))^
neqqTcuoT he^oov ne
e
il
gtot ecw
ovi01^^^,s KepeTJit
OTC^JULJ hc^JUL^pjTKC
4î.çf2S:eJULçf
ne Te
présent (238), elle est pré-
3'
Jean 4, 9. l's. 21, 7. Jeau 5, 31.
.
.
»*.
2.
Jean 11, 17.
3.
5.
MS. 423.
6.
8.
Joan 9, 16.
Mt. 22. 11. Jean 1, 20.
.
:
185
Coordination des propositions.
CHAPITRE
XVIII.
UNION DES PROPOSITIONS ENTR'ELLES. Les propositions coordonnées sont reliées entr'elles de différentes manières
:
Souvent
1.
elles se suivent sans
iS.ÇfTa3JtÇ[
Ceci
^Çf
JULOOIJ
((
il
conjonction
:
se leva et marcha n\
verbe est au subjonctif (252).
a lieu surtout lorsque le
^JtiLTttîOTJtOV SlTl^U^e
me
367
nus e^OTJt
hT«î,^eJULCJ
« je
lèverai, j'entrerai, je m'assiérai »".
La conjonction ordinaire des propositions
2.
OTO^ neste c^^ ^e UL^pecfcyuînj
ovo^
<x.çfcycunj Ji2te
e nJOTOJJJïJ 2te te, et la
lumière fut
OVO^
faite, et
Dieu
Jl^K j.
hxe
«î,Kcy«s.Jijpj
c^"^ «
Souvent
tantôt avec
1.
dit
que
:
ototcmjjij
la
^^
Que la lumière soit failumière était bonne
»^.
MS. 422. Ex. 18, 23.
si
:
h.m,sc^,7Lj
tu fais cela.
Dieu
ovo^ eqe^stoii
te rendra fort ))^
les propositions se suivent tantôt sans
OVO^
eT«î,Yj 2^e
4.
:
s'emploie aussi pour relier une proposition principale à
une proposition conditionnelle
eojtwn
Dieu vit
xiste
OTO^
oto^ à.qm.v hxe
ototcwjjij
Jtiî.Jteq « et
est
conjonction,
:
e^ovji à,Tm,T epcwov iize iiJ^e>v>\H-
2.
OSE.
5.
3.
Gen.
1,
3 et
4.
368
Coordination des propositions.
186
ovo^
jtoc <s,vcyeopTep <(
quand
^vcyojnj JULc^pHi"
furent entrés, les païens les virent,
ils
comme
frayeur et devinrent (immobiles)
OVpeq^JCOejieci de flèches
vint tireur
On
4.
369
se sert de
« et
il
CeCJ^ sonnent
»
^.Jl
furent saisis de
ils
des pierres
)>^.
0V2^e pour
relier
une
à
deux propositions
0^2^.6 Cecuc£) ^Jt
«
ils
ne sèment
xe
jijjul
ne
eT«s,çjep
n^j^wS
JULneKT<5,JUL0J 0V2^e
^.nOK iinJCWJTeJUl
pris qui avait fait cela, ni
toi-même tu ne m'as
ne
l'ai
même
entendu dire
eT<S,JlJ
e^HT
averti, ni
^JIJîiS,V
e OVepc^ei
étant allés vers le
«
le
sens
(j
Les propositions formées de 6 (248, 346), du
la
})
s'unit par elle-
w"'.
emploie différentes conjonctions selon
les-mêmes à
moi-même
généralement par « lorsque,
Pour l'union d'une proposition subordonnée
futur (240,
OTî^e jteoK
:
Nord nous aperçûmes un temple
3*
ne mois-
« je n'ai pas ap-
GT^
2* parfait
à la suivante et elle se traduit
après que » ou par un participe
du
ni
»''.
La proposition formée du
5.
g-^Q
négati-
négative.
^.
juinjeJULJ
je
))\
grandit, habita dans le désert et de-
ou une proposition positive
ves,
jijijcmjij
à la principale,
on
jô-h^)3*
présent (238) et
sont toujours dépendantes et s'unissent par el-
proposition principale.
Pour l'union des propositions au moyen du
1.
MS. 424.
2.
4.
Gen. 21, 20.
5.
Gen. 21, 20. MS. 422.
3.
subjonctif, voir 252.
Mt.
6,
26
1
187
Proposition interrogative.
CHAPITRE
XIX.
PROPOSITION INTERROGATIVE. L'interrogation peut être indiquée en copte uniquement par le
ton de
la
un pronom
voix, par
ou par un ad-
interrogatif (icxD-ioy)
verbe.
Le verbe
est
généralement à un temps secondaire
(2' et }* prés.
et fut., 2' parfait).
Par
1.
le
ton de la voix.
L'interrogation n'est indiquée par aucune particule
connaît seulement d'après le contexte
heOK ne nOTpo Juifs
JlTe
;
elle se re-
37
:
JIJJOV2s.4X.J
c(tu es le roi
des
? y>\
ne neTCcye
l,n eS0>vC
eKJt^^eJULCJ Pour
ne
«
h^Tty^H^ au
l'interrogation
2'
fallait-il
pas
délier
la
« tu resteras sans prier
présent, voir
2^7
;
au
? >r. ? ))^
2*
futur,
voir 240, 2.
2.
I.
eOJJl
(S.
avec mouvement;
1.
Luc
2.S, 3.
Interrogation au
TOîJt)
«
eSoA
2.
moyen
d'adverbes.
où ?» sans mouvement OCWJI
Lnc
«
d'où
13, 16.
;
eeCMJI
? ».
3.
MS. 423.
« où
?
»
372
Proposition interrogative.
188
2"
eCMJI s'emploie au sans Sl'KG
vient au second rang
« où sont
ceux qui t'accu-
? ».
^Jt
2.
la négation
(S.
eJl)
<X.JI
((
etwit
est-ce
^Jt en ce
que ^Xt
tandis
nale
le sujet
eT^vi"^^!! epo
heoK oveSo>\ 373
;
:
4X.Tea5Jl JtH saient
présent
«
d'où es-tu
que?
qu'elle
».
? ))^
Cette particule se distingue de
comnaence toujours
la
proposition
négatif est toujours au second rang.
interrogatif s'emploie
surtout dans
la
proposition nomi-
:
^n ^l.i
4J.Jt
ne niC^ZlI
ce que nous t'avions
dit
eT^JI2tOÇ[ Jt^K
« n'est-ce pas
»"^'
?
i.n ovoitcyzioiJL jiTe
oT^u«î.eon cywnj eSo>^ ^eji
Jt^Ç^pee « peut-il sortir quelque chose de bon de Nazareth ? ))^ «S,Jl Tep^cye Jie JteJUl n«S.jpa3JULJ « t'en iras-tu avec cet homme 374
JULH
3.
la
? ))^ ([XT^),
employé dans une proposition négative, suppose
réponse affirmative,
se négative
et,
dans une proposition affirmative,
du Seigneur ne
Àin^JC
Jl«î.piî,cyOV
leur suffira pas
JUIH i~'4!"*ï'X"
OTOT
?
»
JULH <î,JtOK
1.
4. 7.
nOVpJT
4J.JI
«est-ce que
^.n e "^l^^pe ?
main
« est-ce
JULn^,COJt
2.
Ex. 14, 12.
5.
Nomb.
11,
que l'âme
»''.
c(
suis-je le gardien
))^
Jean 19, 0. Gen. 24, 58. Gen. 4, 9.
la
'.
n'est pas supérieure à la nourriture
?
répon-
:
JULH T2S:J2t
frère
la
3.
23
6.
Jean 1, 47. Mt. 6, 25.
de mon
18Ô
Double interrogation.
ceJtip^cyoV
JtlH les
« est-ce
égorge, leur suffiront
Pour
par
les
moutons
et les bœufs,
Double interrogation.
double interrogation
la
ou
ty<î.Jt «
bien »
la
seconde partie est introduite
:
OT eSo>\ ^eji T^e ne ^i,n ot eSoX ^en ne
« vient-il
du
ou des hommes
ciel
eT(riTe>\Oc jiTe
pj
Oji^Jt
on
si
l'interrogation avec condition, voir 345.
5.
Dans
que
? ))\
JtTOTOT
jijjul
?
je khjicoc
JtJlJOieJULJULtMOV
er le tribut ou le cens
?
jijpwjuij
»'".
jitotot
jtJtjcyH-
par qui se font-ils pay-
«
Par leurs enfants ou par
les étrangers
? »^.
heoK ne ^a eej\HOT cy^n jtTenziovtyT eSoX ^i?,ZUJÇf
JlKeOViJ
attendre un autre
Lorsque l'être aussi
<5,n
<(
est
précédé de iJt,
le
second peut
:
non, V
n^JC
ne ^1
« est-il fort
CCye e
ou
» se traduit par
ujon
parmi vous, ou non
ou non
1.
Nomb.
4.
Mt. 11, 3. Mt. 22, 17.
11, 22.
?
faible
?
est-il petit
cy^n JH.110n
h^IlTen ^^,n ?
ou grand
?
»^
:
JUlAlon «le Seigneur
est-
»''.
i^^Oî^ knOTpo
tribut au roi,
7.
qui doit venir ou devons-nous en
qî&op je ^,n otzlojS ne je i,n otkovîxj ne je
Ou
<î.n
membre
premier
OVJt JÇyj^
^.Jl
il
le
« es-tu celui ? )>\
a)*S.n JuiJULOn « faut-il payer le
n\
2.
Mt. 21, 25.
5.
Nomb. 13,
3.
18.
6.
Mt. 17, 25. Ex. 17, 7.
375
Interrogation indirecte.
190
4.
376
Interrogation indirecte.
L'interrogation indirecte est indiquée par 25:6
ressemble à l'interrogation directe
JUierj
((
laisse-le,
voyons
si
enziJJiT^tfojtTOT ze
non
2S:e
OV
nCTiLlStOCj JIOîOT ai dit
ceji^iiocyj
^.sl
JULJULOJl « pour éprouver
s'ils
« in-
»'".
hc^ ma
observeront
n^Jioou
loi
w^.
On
37 7
le reste elle
:
terroge ceux qui ont entendu ce que je leur
cy^n
pour
Elie viendra le sauver »\
tyeil JIH eTi3,VCCWTeJUL
JULOC
;
emploie l'interrogation indirecte après
« savoir », lors
même que
celui-ci a déjà
il«î.VCCUOTXl JllJULOÇf ^Jl pas ce que c'était
?
2:e
OV ne
«
:
ne savaient
ils
»*.
JUineKCOTOtîJtT suis
ne
verbe CîMOTJl
le
un complément direct
Ze l.nOK
JIJJUL
« tu
ne
sais
»^
—S5=^»*J5r
1.
Mt. 27, 49.
2.
Jean 18, 21.
4.
Ex. 16, 15.
5.
Kef. 416.
3.
Ex. 16,
4.
pas qui je
191
Proposition relative.
CHAPITRE XX.
PROPOSITION RELATIVE.
La proposition relatif,
relative est celle qui
que ce pronom
soit sujet
commence
ou complément. Elle
quente en copte. Elle peut être exprimée des temps formés de
1.
Au moyen
2.
Au moyen du
epe
e
:
6 epe.
un antécédent
indéterminé, c.-à-d. qui
a l'article indéfini.
ou qui
s'emploient avec un antécédent déterminé par l'article
eT eTe ou ses
est
378
très fré-
GT GTG.
s'emploient avec
n'a point d'article
défini
relatif
pronom
par un
dérivés.
L'antécédent est un substantif ou un pronom démonstratif. L'emploi de ces mots peut être résumé dans vant
le
schéma
sui-
:
Ant. indéterminé.
Ant. déterminé.
Devant
l'infinitif et le qualitatif
Devant un nom,
etc.
e- s'emploie avec
la
copule le
ne Te
La proposition Verbale
:
^H
CT ^
ne Te
epe- e epe-
^
6-
Jie, quelquefois avec
OV-
verbe.
s'emploie aussi avec
mais jamais avec
eT-
eTe-
:
OJl JULJULOJI, jamais avec
epe-
:
OTOSl ÀlilOJl ou
avec
le
verbe,
lie.
relative peut être verbale
e-TeJicwoTn
ou nominale
jULJULoq
Tejic^îtJ
37 9
.
kiioq
Proposition relative.
192
«
ce que nous savons, nous
Nominale êtes aux
le
»*.
disons
neJIJCUT eT-^eJl JtJ^HOVJ
:
deux
en donner des exemples pour
Lorsque l'antécédent
f
donne
les suffixes
sing.
6 dans
la
on emploie epe- 6
prop. nominale
est déterminé,
on emploie
#*
:
GT GTG,
qui
3
Dans
la
:
ei"
I.
PI.
f.
eTGK exe
m.
eTecf
f.
eTec
2 m.
proposition nominale
Antécédent déterminé
:
6^Çyon njçy>\0>\ 6T6
^JUL^
Seigneur pour Dieu
:
I.
eTeji
2.
eTexen
3.
exov
GT- 6X6-.
it^JJULHJnJ 6T6K-jpj JULiXtUOV
ces prodiges que tu accomplis
))'\
JULJULOÇf « le lieu
n($OJC
où
je suis »'.
n6 neqilOT'j^
« le peuple qui a le
w"*.
<^H 6T-^eAlCJ ^J nepojlOC « trône
allons
:
Avec
«
même. Nous
principaux temps.
les
est indéterminé,
présent (238),
Lorsque l'antécédent
est la
Indicatif présent.
1.
c.-à-d. le
Père qui
».
La syntaxe de ces deux propositions
330
« notre
celui qui
est assis sur le
))\
1. Jean 3, 11. 4. Pr. 23, 12.
2. 5.
Jean 3, Ex. 11,
2. 5.
3.
Jean 14, 3.
1
193
Proposition relative.
Antécédent indéterminé
homme
qui descend
:
«
homme
un
qui a la
neq p^Jl ne JCMCH^
un
«
homme
qui s'appelle
))^.
Lorsque
ne
se trouve immédiatement devant
se contractent souvent en un seul
n(^JC nCT-t" JIOTCO^J^ sagesse
CT,
deux e
les
:
Seigneur qui donne
u c'est le
la
neTiS-q^e^ TeKcyenit
« qui
a
déchiré
ta tuni-
? ))^
KeOY<S.J
neTCJ^ OTO^
celui qui sème, autre celui qui
Le
futur se forme de
la
d'ajouter Sll.- ou e- devant
Antécédent déterminé
:
KeOTiî.J
neTOJC^
« autre est
moissonne «^
2.
Futur.
même
manière que
l'infinitif
le
présent,
il
suffit
:
njeOJtOC CTOYJf^epSCMK
m.q
« la nation qu'ils serviront ))\
^H CTe vous donnera
1.
Luc
ntfOJC Jt<î.THjq nOîTeit
« celui
que
le
»*.
10, 30.
4. Pr. 2, 6. 7.
38
)>*.
JIJJUL
que
un
»'.
OVpOJJULJ e Joseph
<(
»*.
OVpaJllJ epe TeqSSiJZi cyoVCUOV main desséchée
eneCHT
OTpcUJULJ eç[JlHOV
Gen. 15, 14.
2.
Me. 3,
5.
MS. 49.
8.
Ex. 12, 25.
1.
13
3.
Luc
6.
Jeau
1,
27.
4, 37.
Seigneur
382
Proposition relative.
194
eTeKè^jq
ne
n^jpH'j^
« c'est
ainsi
que tu
agi-
ras »
eTeqèOTCOll eS0?\
JIH mangera
OTOJl OTllHjy e VJI^2S.0C
:
^Tvj ^jziejt njKiî.^j eqji^j ^^pojî
personne sur
la
terre qui viendra à nous
parfait (244)
même
;
il
temps. La 2 p.
OTtupn
ya chercher
»
pi.
J
£)en UJCHOT
:
JICOJJ
c(
au temps où
lui avait
comme un jie
k
n'est
devant
le
6 devant
T le
eT^ novpo eeo-
le roi
mon mouton
eT^î. c^JIOT':^ Z:0C
Théodose m'envo-
parlé
qui était perdu /.
m,q «
il
vint à l'endroit
»'.
Antécédent indéterminé «
il
^.
e nJJUL^
dont Dieu
«
déterminée est eT<î.peTeiI.
n^eCCMOT eT^qT<Î.KO ^çf
GT
est indéterminé, on emploie
Antécédent déterminé
2s.a3CJOC
y en
»''.
l'antécédent est déterminé, on emploie
quand
il
Parfait.
3.
Quand
«
»^.
beaucoup qui diront jULJULOJt
383
j il
w"^.
Antécédent indéterminé a
jWLjULOJOV « les choses dont
:
ilc^pH-t"
vase qui a été brisé
JlOTCKeVOC e^.qT^,KO
»*.
OTOJl oTpojJULj jiJieSjogj e i,ç\(^ noTi^.^^.ï,oy avait un homme, maître d'un champ, qui avait planté une
"hi «
il
vigne
))^.
1.
Ex. 22, 30.
2. Deut. 28, 55.
4.
Gen. 19, 31.
5.
7.
Gen. 22,
8. Pb.
3.
Z. 28.
30, 13.
3.
Mt.
6.
Luc 15,
9.
Mt. 21, 33.
7, 22. 6.
195
Proposition relative.
Imparfait
4.
On
emploie
l'antécédent
;
Jt^pe,
Oj^pe.
présent d'habitude
devant Tauxiliaire (JT^pe, ty^pe) quelque
G
GTG
ne s'emploie que
lorsqu'il fait partie
d'un
soit
384
relatif
démonstratif (97, 99).
HiiX^. eJt4Î.pe IOî^J-JUIHC ^OîJULC Jean baptisait
JULJULOÇJ
« le lieu
où
))\
JtJJULHJXtJ eJl4Î.Ç[jpj JULJtlCUOV
« les prodiges qu'il
fai-
sait ))\
em,T ^ Jpen ^po liniHI « les
Jt jpCMJULJ
taient à la porte
de
la
maison
hommes
qui é-
)>^.
»
Proposition relative négative.
5.
a) Avec
On e
Jl Il
emploie
GTG
— ^Jt quand
il
arrive souvent
s'écrit pas
;
Jt
—
.
.
.
^Sl.
quand l'antécédent
est déterminé,
335
est indéterminé.
que 6 se confond avec
la
voyelle de Jt et ne
d'autres fois c'est Jt qui disparait.
Antécédent déterminé <î.Jt « le filet
qu'ils
nj^iS-ty
:
«
un
eTG
JtCecOJOTJt JULJULOq
ne connaissent pas «^
Antécédent indéterminé
ecjejt^OT
<X.Jt
Jl
homme
:
OTptWJULJ Jtqste ^>^J JtCAZJ
qui ne dit rien de sûr »
<X.Jt
'.
b) Avec les auxiliaires négatifs.
On
1.
emploie
Jean
1,
28.
4. Pb. 34, 5.
GTe
quand l'antécédent
2. 5.
Jean 2, 23. Pr. 2, 12.
est déterminé,
3.
Gen. 19, 11.
6 quand
ggg
Proposition conditionnelle.
196
il
est
indéterminé
l'écriture
eTe
;
comme précédemment, 6
souvent omis dans
:
eTe iine, exe
Jtin«î.pe,
ejuin^pe ou
^CMJIT epocf
^H eTe
« le lieu
JlitOTCyonçf «
JI^HTCf
fût
ce il
eTe
:
exe
JULn<î.pe
où n'approchent pas
Antécédent indéterminé
OJI JULOV
niiXl,
:
juLn«î.Te,
;
celui qu'ils
ne
îlJULOJl
peqcTJOTJ w\
les voleurs
ne recevront pas
))^
HJ U4.p ne JULUe OV-
n'y avait pas de maison dans laquelle quel-
»^.
mort
OVn<S.peeJIOC JUine ^>vJ COTtUJtC «une sonne ne connaît
hjte
ejuine ou Juine, ejULniX.Te ou
JULn<s.pe,
Antécédent déterminé
qu'un ne
est
»''.
fille
que per-
*
CHAPITRE XXI.
PROPOSITION CONDITIONNELLE.
La proposition conditionnelle précède généralement
387
tion principale
dont
elle
la
proposi-
dépend.
La condition peut être exprimée sans conjonction ou au des conjonctions
1.
4.
Luc 12, 33. Gen. 24, 16.
^^n,
2.
eojCWn, iCTLe.
Gen. 32, 12.
3.
Ex. 12, 30.
moyen
197
Proposition conditionnelle.
Sans conjonction.
1.
Le
}"
présent et
mêmes
la
condition
heoK T^llJOJt Le
f
futur peuvent parfois exprimer par eux-
eKJi^TtuS^
2^e
mais
((
le
388
:
toi, si tu
jULiX.cye
veux
e^ovjt eneK-
Jt
prier, entre
dans
ta
chambre
»'.
plus souvent cependant, dans ces sortes de propositions,
la
condition est exprimée par ecyujn (jçi).
Une
proposition conditionnelle très fréquente est celle qui est
formée de 6-
et
de
l'imparfait
avec OVOJt JULJULOn
Jt^pe
(248) ou de l'auxiliaire Jie
ne Te
(302), avec
Jie (363).
Elle énonce une condition qui n'est pas censée pouvoir se réaliser
;
c'est plutôt
Dans
la
un
souhait.
proposition principale qui vient au second rang, on
emploie généralement l'imparfait du futur (243)
:
eji^K,;X^H Juin^jJUL^ jt^pe n^LCon ji^laiot ^.n «
tu avais été
si
ici,
mon
frère ne serait pas
mort
»".
eii^pe njJieSHJ eiij ji^qn^pojjc ne de
la
maison
eue ene Dieu
« si
ene
savait,
il
veillerait
OYOJtcyzOJUL
^^
ne
cv
si
le
maître
)>^.
« s'il était possible y^\
neTejiJOJT ne Jt<3.peTenjT^jULenpjT ne
était votre père,
JUlULOn
vous m'aimeriez
niJ.Jn<î.2S:0C
nOîTen
m^.
<î.n « sinon, je
l'aurais pas dit »".
1.
Mt. 6,
4.
Mt. 24, 24.
6.
2.
Jean 11, 32.
3.
Mt. 24, 43.
5.
Jean
6.
Jean 14,
8, 42.
?,
ne vous
389
n
Proposition conditionnelle.
198
Avec
2.
390
^1.51 s'emploie avec
Si)«S.Jl.
l'auxiliaire
mer une condition à venir
;
il
précède
^KOj^JlStœOV ^7\J hpOîJULJ dis à quelqu'un, tu es
2"
du
la
présent
K^K
^pe
si
((
vous
me
priez, je
qjt<î.pa3K^ ^Jt JlJtJ^SOîC
Dans
la
verrai pas,
si
ne
tu
^pecyTeJUL
tu le
2^e jtJt<x.ca3TejUL e-
ne vous écouterai pas
((
^ejt
y>'.
Kenq
julh
quelqu'un attache du feu à sa
si
ne brûlera pas ses habits
I.SI
me
iLKCyTeJUL CJULOT
bénis
? w^.
« je
ne
te ren-
»*.
cyOînj JieJUL^Ç[
«^'^f^
epOJ
:
u si
Dieu
n'est pas avec
)>^.
5.
391
ejyCMn employé arriver, Il
Avec 60)05
seul exprime
une condition, un cas qui peut
une éventualité.
entre dans
la
proposition nominale
etyoîn eSo^v^eii iijecoîov offrande est un Il
tif
si
:
proposition négative cy^Jl est remplacé par ClJTeil
i" Jl^OTOpnK
lui
C«Î.SO>\ «
cy^it OT<î.j JULOTp jioT;x;pcwJUL
poitrine, est-ce qu'il
expri-
excommunié »\
^,^eTen^^.n't ^o epoj ^jiok
pcUTen
^pe pour
proposition principale
mouton
:
ne
neK2s.a5pojt
s'emploie surtout avec le
présent,
j'
le
3' futur, le
:
1.
4.
Kof. 411. Gen. 32, 26.
« si
ton
»''.
2.
Pr.
5.
Jean 3,
1,
2S. 2.
.1.
6.
Pr. 6, 27. Lov. 1, 10.
subjonc-
Proposition conditionnelle.
hze nu eT^eji nHj «
ecycun eTcScwK dans
maison ne
la
ecywn
suffisent pas
e£)OTJt
ceux qui sont
« si tu présentes
)V\
ecyoîn JlTe nj4X.pX«5Jl epjloSj cher
si
»'.
eKJÏ«î.JJTJ Jt0T2va3p0JI
une offrande
199
«
si
prince vient à pé-
le
))^.
Avec ecyoîn
4.
Le
plus souvent les
ty^Jt.
et
deux conjonctions sont employées ensem-
392
ble:
eu}«3n ^KCy^Jt jpj iXm.iCl,^i ecyojn ^.'ï'^^.n't^o
epoK ^wc
5.
JCZe, dans le
«
jcxe
.)^
te prie »'.
jcz.e.
déjà accomplie.
On
pourrait le traduire par
iS.peTejiKtw'f^ hccwj « si
(puisque) c'est moi
eSoX
JUL«s.poT-
que vous cherchez,
laissez aller
x^ ^^^
))^
Dans JC2S:e
ou un
on
tu fais cela
:
cye JIOÎOT ceux-ci
si
si
proposition verbale, exprime une condition réel-
comme
représentée
puisque »
la
«
«
la
proposition nominale,
OTTeSjIH ne je
homme
il
exprime une simple condition
OTpOîJUlJ
ne
« si c'est
:
une bête
»\
Répété, JCîte sépare
1.
Ex. 12,
4.
Kx. 12, 23.
7.
Ex. 19, 13.
4.
les
deux membres d'un dilemme:
2. Lév. 2, 4. 5.
Pr.
1,
11.
3.
Uv.
6.
Jean 18,
4, 22. S.
JCZe
393
200
Proposition temporelle.
KiKCUC ^JC^2tJ 2ie
25.6 tu
K^^«5C
« si j'ai
« mais
si
mal parlé
»,
donne
la preuve
bien parlé « pourquoi
j'ai
du mal
me
;
JC-
frappes-
) y>\
« Si
non » se traduit par JC25e lltAOIt, quelquefois par 6-
a^twn ilJULOJl, rarement par JULJULOJt
seul.
oXKo-'
CHAPITRE
XXII.
PROPOSITION TEMPORELLE. La proposition temporelle
394
est
une proposition dépendante qui
exprime une circonstance ou une action ayant lieu en même temps
que
celle
de
la
tions françaises
proposition principale. Elle correspond aux proposi-
commençant par
Elle peut précéder ou suivre
« lorsque, tandis la
que,
comme ».
proposition principale dont elle
dépend. Elle se construit sans ou avec conjonction.
Sans conjonction.
î.
395
Le
3*
présent et
sitions temporelles
ecjoj
JCWT
1.
le }' futur
:
jiovKovzj
jiiî.çf^JULOjtJ JiJijecutîov
« lorsqu'il était petit,
Jean 18,
'2.3.
forment par eux-mêmes des propo-
2.
il
gardait les
Kef. 334,
JtTe neq-
moutons de son père
))^
201
Proposition temporelle.
m.S
eçf 2:03 JULllOÎOT ^,iX.JtJtJLHa|
beaucoup crurent en
dis qu'il disait ces choses,
«S,CCyaonJ ils
étaient à la
eV^R
l.Vm.^'f epOCj
t)Gn TKOJ ^qTOJJtq
compagne,
« tan-
lui »'.
«
il
arriva,
comme
qu'il se leva »".
Pourquoi ries-iu pas venu célébrer notre meurtre eTJt^cy<J,T-
TeJI JULIieKJlOT'j^ dieu
epe <^pH «
comme
ment
lorsqu'on
immoler
nous
allait
à
ton
2ve
m.^<j3Tn ottcujult
le soleil allait se
i.q) ezeji
coucher, Abraham
fut
saisi
^Sp^ii d'étonne-
w^.
Le (245,
<(
? »'.
2' parfait
forme généralement une proposition temporelle
})'
La proposition conditionnelle formée de «J^Jt exprime souvent une condition de temps
:
Tenm,Tl.CeO ^^pOJTejl
«
nous irons là-bas
aurons adoré, nous reviendrons vers vous
et le 2" parfait
«
pour traduire
depuis la
»
s'emploie avec
le }'
j'étais
dans
le
))'^.
JCXeJt eTl.im.'V
1.
Jean
4.
Gen. 15, 12.
7.
MS. 399.
8, 30.
«
présent
locution conjonctive «depuis que
JCXeJl ej^ejt TO"f «depuis que
ma mère)
lorsque nous
Avec iCTLen.
2.
La préposition JC2te>n
et,
»''.
depuis que
2.
Gen. 4,
5.
Gen. 22,
8. 5.
j'ai
vu
»".
3.
MS. 424.
6. Ps. 21, 11.
sein
».
(de
396
Proposition temporelle.
202
JCZeJt
s'emploie aussi avec
» dans le passé
que
JC2S:eil
Jtin^Te pour
signifier « avant
:
Jtin^TOVepSOKJ
JULJULOÇJ « avant qu'il ne fût con-
çu »^
Dans
même
le
^iî.T^H
^^T^H
AlIT^Te
:
JULn<Î.Teç[(ric^JJUlJ « avant de se marier «^
3.
397
sens on emploie
Avec des conjonctions grecques.
Les principales conjonctions grecques de temps employées en copte sont
:
^OîC
I.
(ô
{&ç) «tandis
«
)
comme,
Ces conjonctions
que, tant que»,
tant
que
».
s'emploient surtout avec le
3'
présent
:
eK^H JieJUL<î.q « tant que tu es avec lui wl ev^n ^en njep<^ej « comme étaient dans le
^ttîC
^OCOJl temple
e^OCOH
^OCOJI,
ils
»''.
^ocojt epe njpeçjJULajovT o^j ep^Tcj ^jpeii ÀiniJUL^^V debout à 398
2.
la
^OTe
prie,
1.
Luc
4.
AM.
(ÔTS, ôxav) «
fît
le
^po
mort se tenait
entendre
»^.
quand, lorsque».
s'emploie surtout avec un temps second {f prés.,
?' fut.,
:
^OTC <^«î.j
hZ:e OTCJULH « comme
porte du tombeau, une voix se
^OTe, ^OTl.n
2' parfait)
nous
^X-CcyCMnj
eq-j-^o epoji iineiicçîJTeiJL epocj nous ne l'écoutons pas
ne
15.
»".
njzoDJUL jie«î.JULjo jiT^e jieJUL
2, 21.
« lorsqu'il
rk^^j ^otg
2.
Z. 61.
3.
Mt.
5.
HM. 227.
6.
Gen, 42, 21.
5, 25.
203
Proposition temporelle.
eT^Çfcycunj
<>
voici le livre
lorsqu'ils furent (créés)
Au
lieu
^OTe
de
de
la
création
du
ciel et
on trouve rarement eJlOJC
^OT^Jt
commença
il
est
(êv oXç)
trouve aussi
comme, lorsque
^OîCTe ché de
quand
la
du conditionnel
399
:
^OT^-Ji <î,pecy^n ^Jiovj^ "f n-
»,
^OCTG
^«3CTe, avec
le 2' parfait
eTiî.Çf^a3 JIT e
porte
? »^.
((*);
Bs),
dans
le
sens de
:
^nT?\H « comme
il
se fut appro-
»^.
iiniJULtUOT»
lorsqu'il eut
goûté
/.
l'infinitif et
verbal et de
proposition temporelle au
la
de -lie JiejlCi,
^ejl,
voir
moyen de
265; au moyen du substantif
voir 274, 275.
—»-6ï&a<—
1.
se
»^.
Pour l'expression de
4.
ils
)y.
suivi
^OCTe eT^qxeJUL "fus l'eau
«
<S,Jtt}^Jl^JOTJ hgii.JteeJ10C eSO?\ a lorsque je
chasserai les étrangers
On
terre,
-.
« qui pourra vivre, lorsque Dieu aura donné ces choses
^OT^,n
«
à dire
généralement
iijjUL eTJi<s.ty«5Jt£) Jl«S.J
la
»'.
enOJC eTiVeçUOV:!^ <J.qep^HTC hzOC furent réunis,
de
•
Gen. 2, 4. Ex. 23. 18.
2. 5.
Luc 21, 1. Luc 7, 12.
.3.
6.
Nomb. 24, 23. Jean 2, 9.
Tableau des verbes.
204
TABLEAU DES VERBES VARIABLES ET DE LEURS FORMES.
Qualitatif
Infinitif
absolu
construit
— —
4Î.CJ^J
SjCJ
pronominal
—
S«X.C^
<S.CJÇI50V
guérir
Ocy
multiplier
—
scier
SopSep
SepSep-
SepStop^ SepScwp
SoîT^
SeX-
SoTv^
Sh>\
délier
Scuty
Siî.ty-
SiS.ty^
Sncy
dépouiller
e^,JULJO^
e<S,JULJHOTT
eeSjo
eeSje-
eeSjO^
eeSJHOTT
Sety-
— —
jeter
0
—
faire
abaisser s'enivrer
verser goutte à goutte
OJUL^LJO
OJULije-
ojmecjo
ouiecje-
(OOKOeK)'
1.
—
eil<S,JO^
— —
eil^JHOVT
— oeKOOJK
justifier
accoucher imprimer
Lea formes entre parenthèses n'ont pas encore été trouvées dans
les textes.
206
208
Tableau des verbes.
210 CiX.So
Ciî.J
c^p^
CSOK
c«î.Se-
212
cu3Z:n
Tableau des verbes.
Tableau des verbes.
Testx^o
213
214
216
Tableau des verbes
218
220
222
224
ABRÉVIATIONS EMPLOYÉES DANS LES LIVRES COPTES. ^>v,
^X>\
vjù||ai^
ÇM\d,u
cajlamJJ^.
22&
ABRÉGÉ
DE LA GRAMMAIRE
SA'IDIQUE.
Article défini.
n ne
m.
Sing,
f
T Te
.
pi.
h
PI.
^eJt
jie
Article indéfini.
OV
Sing.
Remarques,
i
.
La forme
nes et les voyelles
TJUL^^V
«
Lorsque lement
dique 2.
l'e
:
mère
la
JI se
muet
»,
s'emploie devant les conson-
il
npcuiie
«
JtK<î,Ke
« les
l'homme
IlCMJt^
»,
ténèbres
«
la
vie »,
».
trouve devant une voyelle, on supprime généra-
auxiliaire et, par suite, le trait horizontal
Jt^SoOKe
La forme
:
nT
((
corbeaux
les
He Te
qui
l'in-
».
Jie se met devant les mots qui
commen-
cent par deux consonnes ou par une consonne et une semi-voyelle:
neK^OJUL frères »
,
}.
la
couronne
ïie^JejS
Lorsque
OVCyH
((
le
»,
TeCJULH
u la
voix
Devant UL
TeTcyit pour TCOTtyil et
JieCJtHT
u les
u l'agneau ».
mot commence par OV, on
« nuit »,
»,
n,
l'article Jl se
15
a la
contraction
ev
:
« la nuit ».
change régulièrement en Al
:
226 JtlIIHTe
« les
deux
ciens textes, le
»,
même
JULJtieTvOC
membres
« les
article s'assimile parfois
A^«î.OC
« les peuples »,
nouveaux
».
pptWJULe
« les
aux
hommes
Dans
».
lettres »,
les an-
A, p, S:
SSppe
« les
Article indé/îni.
Il
s'emploie
gejtcyeepe
comme en
« des
bohairique
I.
J
OTCljHpe
filles ».
Pronoms personnels
Sing.
:
T
affixes.
«
un
fils
»,
227
Pronoms personnels absolus.
Sing.
^JIOK
I.
2
m. f.
3
PI.
JITOK XITO
Sg.
1.
2
ilTOOV
j.
JITOC
Ces pronoms ont quelquefois ^ilÛ-,
JlTOJTJt
2.
m. JtTO(![ f.
^Jion
I.
m. JITK-,
f.
les
ilTe-;
formes abrégées suivantes PI.
I.
^n-,
2.
JlTeTJt-.
Autres formes personnelles,
^OîCM ^
Sing.
« aussi,
^CU, ^OtîîMT
I.
même
Plur.
2 m. ^CJOytJK f.
3
^x^,T^,^,T
I.
^CMOîn
2.
^OîTTHTTJt
3.
^ojov
^OÎCMC
JUL«î,V<î.^T ^
Sing.
i.
^jy UTe
m. ^yyojçf f.
».
f.
(JULiJ.TiS,iS.Te)
f.
JtiL«S.VAJ,C
c(
seul,
piur.
même
I.
».
ix^,T^.^,n
:
228
THp««^ «tout». Sing.
I.
m.
2
f.
m.
}
f.
THpT THpK THpq THpC
2
5
Plur.
m. OV^iî.K f.
m. f.
OT^^q OT^^C
Devant un nom
I.
2
3
Plur.
m.
THpTÏl
3.
THpOT
I.
OV<S.TJt
2.
OViî.«S.TTHTTÎl
}.
OViTOV
(0T^4Î.Te)
Adjectifs
Sing.
2.
« seul ».
f>
OVa.«J.T
I.
THpJt
(THpe)
OViî.«î,
Sing.
I.
Plur.
possessifs.
Devant un nom
sing.
masculin
féminin
n^- mon
T<î.-ma
neK-
ton
pluriel
il<î.-
mes
TGK-ta
JieK-
tes tes
f.
nOT-ton
TOT-
ta
JtOV-
m.
ner|- son
Teq-
sa
Jieq- ses
f.
nec-son
TeC-
sa
Jtec- ses
TeJt- notre
JieJl- nos
TeTJl-
JieT JT- vos
I.
ne Jl-
2.
neTJt-
j.
nev-
notre votre
leur
TGT-
votre
leur
Jiev- leurs
229
Exemples: T^-CajJie «ma sœur», neKCOJl « ton
JieneJOTe
«
nos pères
».
Pronoms
Forme abrégée Forme avec
:
possessifs.
Sing. m. n^.-,
suffixes
frère »,
f.
T«S.-,
PI.
m.-.
:
pluriel
JtOTÏ
JIOTK JtOV JIOTCJ
JÏOYC JÏOTJI
JtOTTJl
JtOTOV La syntaxe de ces mots
est la
même
qu'en bohairique.
Adjectifs et pronoms démonstratifs.
230 Exemples c(
cette
neJfpJWJULC
:
femme
Adjectif
m.
sing.
:
TH,
f.
bohairique, l'adjectif ne s'est pas conser-
cet horame-là
((
genres et tous
les
même
tournure
nptUlie
:
».
Pronom
Pour tous
».
JIH.
Pi.
vé et on prend, pour l'exprimer, la
eTJULiliV
Teïc^jlie
»,
les objets éloignés.
HH,
comme en
:
homme-ci
« cet
XieJ«î,î\OOTe « ces enfants
»,
Pour
Pronom
n^J
relatif.
nombres
les
6
:
GT
JIT GTe.
Nom.
La formation des noms dialectes.
On
Tecye,
TecyH
fém.
Jl^^Sçf
COOY^C
noms
a des
joug
<(
((
»,
est à
peu près
dérivés en 6, « voisin »,
de n«î.^S
réunion
»,
de
<(
en
JUL^.JlCtUJl^^ « lier,
enchaîner
atteler »
CÇWOT^
UL^K^
«
«
tantif abstrait, et
Le
pluriel se
<(
en C
les
deux
:
« limite »
;
;
réunir
».
trois sortes
de
préfixes,
un
de
iJL«î.-n
«lieu
de»
et
COîJî^
».
nuque
ilJlTepo
,
dans
:
«prison»,
JliJ.cyTJULiLK^ et
Çf
de TOcy
Les noms composés admettent aussi
nom, un verbe, une particule
même
la
« qui a la tête
dure
»,
de JlcyOT
«
être dur»,
».
royauté
epo
»,
de
HÏIT-
(B. JUieT-)
« roi ».
forme d'après
les
mêmes
règles.
signe du subs-
231
VERBE.
Classification.
So>\^
ïTpcy-
nopo)^
nopoj
noîpçy
ixec-
ii^cT^
(jULOce)
jULjce
ojopcyp
^1p^«5P^ CKJpKOîp^
^p^>
CKOpKp CKpKp-
m
11
coSTe
cSTe-
cStwt^
jULOCTe
JUiecTe-
H-GCTîm^
beaucoup d'exceptions y a
;
oa
les
çypcycup
CKJpKCUp cStcxît
-
apprendra surtout par
l'usage et par le dictionnaire.
Verbes
cSSe COOTTJl
causatifs formés
de
cSShtt
cSSeCOTTJl-
C.
COVTOJJl ^
COTTCWJl
'^• Causatifs formés de
T«Î-KHT
TiJ-Ke-
TCO
Tce-
TCO^
TCHV
Tableau de
232
la conjugaison.
Tableau synoptique Indicatif
Présent
Imparfait 2'
Sing.
I.
2 m.
les
suffixes.
3
jiej
eK epe eq
xieK
m.
\
Plur.
c
ec
jtec
TJt
en
itejt
2.
TeTJt
eTeTJï
jteTeTJt
3-
ce
ev
jieT
epe-
jiepe-
rien il
.
.
.
^it Jl
négation.
r
les
suffixes.
Devant un nom.
Jieçj
f.
(
Avec
jiepe
I.
Devant un nom.
Avec
ej
K
Te
f.
Avec
1-
.
parfait
.
.
iS-Jl
jt
.
.
.
^jt
Tableau de
DE LA CONJUGAISON. Indicatif
la conjugaison»
233
234
Remarques et exemples.
Présent.
Le
2*
présent correspond au
2* et
au
3'
présent bohairique
:
il
en remplit toutes les fonctions, soit dans les propositions interrogatives, soit dans l'état
eqSHK
eTttîJl « où
jULlt-(îbjUL
Jl^HT
ecfO
lorsqu'il a
de dépendance va-t-il ? »
e^oTjt enui^
ït7\i^^ve eej
CJI
((
:
'.
personne ne peut entrer dans
eTOViî.<î.S le lieu saint
des doutes »"\
Futur.
Le
Jt^ au temps correspondant de
futur se forme en ajoutant
l'indicatif.
Premier futur
meras
»,
"i^Jt^ScoT^ «
:
ceiI^p^OTe
Deuxième futur
:
A
i
ce temps,
même Le
la
la 2 pi. est
<î.Jl
t(
ils
epe m.S pi.
ne craindront pas
Jt^î-SOîK
1
excwn
TGT JIJI^
de
l'indicatif.
Il
Jean 2, 11.
Jean
7, 34.
ce
tu ai-
))^.
« où
est TJIJI<î, ou, avec contraction
ira-t-il ?»*.
TÎl^; de
ou TeTJt^.
a le
même
Tiî-J-2^e JieCJliJ,JULOT « elle
1.
KJt^iie
futur antérieur se forme également par l'addition
l'imparfait
4.
je délierai »,
allait
2.
AE. 114,
5.
Luc
3.
8, 42.
de Jt^
sens qu'en bohairique
mourir n\
3. Ibld. 20.
:
à
235
Parfait.
Les temps du
parfait se construisent
JUin^Te-,
Avec
les suffixes
Sing.
I.
Juin^i"
2 m.
Juin^Tk
f.
iin^Te
f.
hLm.TC
iin^TqSOîTs
«
mon
frère n'a pas encore
les suffixes
Sing.
m. f.
1.
Pr. 9, 8.
;
Kn^TG
n*J.COIt
».
T^p^.
PI-
T^.peq
ï-
'^'^P^
2.
T^peTJl
3.
^'^PO'"^
Tipec :
T^pe-. à l'état
de dépendance
OTC.J.Se TiJ.peqiULepjTK .
ii.n^.TeTÏi
:
temps exprime un futur
vous aimera »
2.
T^pe
Devant un nom
Znie
iAn^TJt
entendu
Ti5.pe-
T^PJ 2m.T^peK
3
Ce
final
1.
f.
I
PI.
n'a pas encore délié »
il
Temps Avec
».
ilTl^Te-
:
tt
« pas encore
bohairique.
:
Devant un nom
COîTM.
XXm.T^
comme en
«
reprenez
:
le
sage,
il
236
Impératif.
1.
Pour beaucoup de verbes,
ques-uns prennent «J.II«î.V <î.2S:tU,
2.
aussi 3.
^ZJ-,
devant
^VCMJt
vois »,
^2S:J«!',
l'infinitif ((
ouvre
^XJC
un impératif
particulier
»,
«dis».
Autres impératifs
;
(B.
jpj) ont
^pjpe, ^pj-.
:
fém. 6.SiSHl,
pi <î.JULHeJTÏl, 4Î.JULHJTJI
a viens,
».
^Te JC,
^.V-,
^VeJC ^
«
donne
».
JULJULHJTJl (B. JULOîJJtJ) « prenez 4.
ejpe
^JlJJie, ^JtJ-
:
Quel-
:
Les deux verbes eJJie (B. JJIJ) et
«LJULOT,
venez
^
l'infinitif sert d'impératif.
La
négation est JULIip-
:
».
JULIipStU^ a ne délie pas
».
Infinitif.
Il
suit les
mêmes
règles qu'en bohairique.
Infinitif causatif.
Avec Sing.
les suffixes
:
Tp^
I.
2
m.
j
m.
f.
f.
PI.
TpeK Tpe Tpe^ Tpec
Devant un nom
:
Tpe-.
-><-
I.
TpeJt
2.
TpeTJf, TpeTeTJi
}.
Tpev
237
Petit
Fragment de
exercice.
l'évangile des
douze Apôtres'.
*s.TeTejiJiiv (« m.itxepi,Te enjtie jijc e^ovjt e-
jieq«î,nocToXoc. eSo>\2:e
umeq^en
}\^^.t
epoov.
t-n
ovcon. ^ejuL necjtiov con.
^ejuL ncyen^jULOT
ju.n't'ov jtoejK jtjojT. ov-
JULneqejtwT.
oTcon.
^eii
3
neste
1.
S.
ett5JULa.c
jijc
Paria 1904;
ment omis dans quel.
^hot jijjul
Les Apocryphes coptes. Les évangiles des douze Apôtres et de
Barthélémy (Patrologia
lout.
ze n^stoejc ejc
p.
135).
l'édition
oi-ientalis,
—
Tous
tome
de ce texte
II,
fasc. 2),
par E. Révil-
accents ont été volontaire-
les ;
nous l'avons reproduit
tel
238
or^oîS JioT«3T ne ejioTOJty eTpeKnjoH epoq. ejtovtuu)
«3
juljulojî
n*î.2toejc eTpejTJt«s,T e^ejipecj-
JULOOTT evejtKOTK ^ejt jieT<s.c^oc e^.KTOTn^,coT.
5
evAia-eui JiTeK<î.Jt^cTiî.cjc eTJï^tytwne. TeiicooTji
X"P^
03
jULiiojt.
nejiz^oejc tlb ^,KTOTnec ncynpe jiTe-
^eji Jt^ejjt. ^AAiî.
oTeT Tecynnpe
JULnji«î.v
eTeJULJUL^T.
2te
^JH.
JiT«î.K^e
ejioTOîcy
JTTa-vSojX eSoX.
epoov eviioocye
e^ejiKeec ^en
ejt^T 2S:e
cy<î.TTa36e
gj TenejT^<|oc
JieJULJU.<x.q
ejtevepHT
jt^ty
n^e
Jtcecy^ze ^ejui nejjuii.
nexe
jc
jieojjui^c 2te e«3JULiS.c
iiiioj Aieji jieKCjtHT
eTSe ^tuS
n^tySHp
jijjw.
epoq. ^.Tw Ji^^ji^^en >\^^t epwTeji ecyze i5.KenjevjULej
nm,T
cyjjie
eKenieTJUiej ^,n.
ze
julcmujc
ejteT ^eji JTeT*î.^oc e^.v-
TOJOTjt. K^>\a3c juien ^KoiJjie jtc^ OTJUL^ejjt Jt^-
n^.cT^,clc. ^jotoj \^i.p este» juljuloc epcMTJi zie ^.noK
ne T<s.n^CT^cjc ^tcu
nosn^s.^.
239
«S.TeTejlJl^T
Tejl
assez souvent
;
la
^TeTejIJt<î.T
« voir ».
JïiJULep«î.Te
UiepjT
de
pi.
pjTi«* « aimer
JI^
;
G
est écrite,
donc « vous avez vu
mes
adj. poss. «
« ami » qui dérive
»
«
prép.
;
« vers, à
elle introduit le
)i,
JIJC
;
116
substantif «
JI prép.
Régulièrement
du
amour
».
de
»,
génitif «
-^OTJt, mot qui
loc. prép.
:
e^OTJt 6
car,
pour ses Apôtres ;
il
signifie « intérieur,
avec mouvement moral. Jieçj ((
«
mouvement
e^OTJl
employé qu'en composition. L'adv.
eSo A2S.e
niie,
;
«
Jésus
».
faudrait écrire ÏIJC.
il
adv. signifiant « dedans » avec
me une
JHCOVC
JC pour
e^OVJl e-neq-^noCTO AOC
prép. et
».
complément de
tous les verbes pui expriment une action des sens (J14) article,
amis
du verbe lie liepe- 116-
».
eniie e
n
signifie
».
iXep^,Te
;
pour
comme en
verbe qui
JT«î.V
est
TG-
parfait,
TeTeJt
forme
la
voyelle auxiliaire
signifie
du
auxiliaire
remarquez
;
Le troisième élément
bohairique.
i
décompose en
pron. affixe sujet, 2
TCTÏt
plur.
se
est
;
e^OVJt
composé de 6
dedans suivi
»
» et qui n'est
d'une prép.
for-
« dedans » en entrant, ou « pour »
adj. poss.
parce que
composée de
» conj.
eSo A
et
de
2:6(336).
lineq^en liïiecj-^en r
'}\^.^,T
^CWIl «cacher».
epOOT
« à
epoOV
parfait négatif,
i\^^T
«
^611
pron.
il
est l'état construit
indéf.
eux » prép. 6- epO;^ à
ne leur a rien caché
la
3
«rien,
»
;
du verbe
personne» (no).
pi.
^en Jie^SHve THpov jtTeqmiTiiovTe.
240
^ext vient
prép. signifiant « dans, parmi »
pronominal,
« les œuvres
œuvre
« chose,
THp-OV
« tous, toutes »
Dieu
plur.
forme personnelle, toujours à
((
sa divinité », Jt prép.,
de
indiquant le
particule
de
l'état
Tecf
abstrait,
subst.
adj.
JlOTTe
».
OV-COIlc(une
COn
^ShTG
article,
ici elle est à la 3 p. pi.
JULJtT
poss.,
ite
»,
».
Jt-Tecf-JULJlT-JlOTTe
<(
à l'état pronom, elle de-
Jî^HTj*.
Jte^SHVe ^twS
;
OVart.
fois»,
indéfini.
doit être dans le manuscrit,
il
Le
point qui vient après
est parfaitement
inutile.
En
général les manuscrits coptes ont une ponctuation fort capricieuse.
^eJUL
((
dans » pour ^6Jt,
ne-CJULOT
((
la
bénédiction
JUL-n-'i^OT Jt-OejK
pour
Jl
devant
ïl
:
((
lï article
»,
ne
^TOV
JUL prép.
»,
« cinq »
la
règle générale.
du
Jt-OeJK,
;
de l'apposition ou du déterminatif. Remarquez vant un nombre. C'est
II.
article.
des cinq pains :
AX devant
se change en
Jt
génitif, Jt
signe
du
sing. de-
La construction
est aussi
l'art,
à retenir.
Jl-JOîT «
père
«
d'orge
»,
distinguez
JOîT
«
orge
»
de eJOîT
».
n-ttjen-^llOT tantivement
;
« l'action
$ye 11 état
de grâces
», infinitif
employé subs-
construit de cycwn «prendre»,
«grâce». Le composé cyeil^AlOT «rendre grâces»
^iXOT est
très
fréquent.
il.-ïierj-eJW5T « de son père JUL-n-C<X.cyq
Jt-OejK « des
»,
il
prép. pour Jl devant n.
sept pains
».
241
«Thomas
ne2S:e eWttX^^C
n^-ZiOejC
JI-JC TLe
dit» (?oo).
à Jésus
«
Mon
:
Seigneur
»,
25-6 part,
qui introduit le discours direct.
eJC ^JULOT
mot en
vant à mettre un variable, se
it JJUL
état pronominal
^^V
du verbe
^AJLOT
comme un
est
;
«J^
JieUL^
que
2^
pronominal à
de
K pron.
pron.
« ta
6 e
3pl.se
aff.
1
pi.
de
la
et à l'état
bonté
de
TpeK
prép.,
la
pi.
i
;
infinitif causatif 2
m. sing.
la
1
chose
le
compl. direct,
;
dans le sens du subj. est très fréquent;
JULJULOJl « nous » état pron. à
indiquant
pron.
e-TpeK-llJeH
verbe grec perd son v
;
prép.
copule «est»; eJt-OTCUty «nous
le
tteCOeiv
est
».
en copte sa'idique
njen
affixe
^^^
JteAlll^.
aux.. Il sujet
eTpe- exp^
la
llït-
est
aussi Jtîlil-.^ et
présent,
tu certifies »,
l'emploi
;
de ^^-OT,
OV,
«faire»,
état
OVOîT «unique»; ne .>
parfait
Tout mot accompagné de illiX
Jl JJUL.
TeK-JULJtT-^\?<î.O0C
voulons
du
pluriel.
on trouve
;
ser-
conj.
« tout » adj. indéf. in-
une contraction
«avec». La forme ordinaire
JtiiL-
BJC
»,
le substantif.
ejpe
JlJULJUL^Jl «avec nous»
«
5
u tu les as faites )^ ^^ aux.
2 masc. sing., sujet;
rapportant à
que toute grâce
relief (3
met toujours après
^-K-^iV
traité
u voici
epoq
pi.
de
la
prép. *X-
« à lui », c'est-à-dire, «
final.
IIW-O^ de cette
».
e-^eJl-peq-JULOOTT
«
des morts
16
»,
6
prép. introduisant le
242
Jl^V
compl. de
quant «
l'agent
mourir
« voir »
llOOTT
;
mort
être
«
p6Ç[ particule
;
»
indi-
de JULOT
qualitatif
2' présent.
couchés »
« qui sont
e-<Î.K-TOVII^C-OV « que
tu
as
ressuscites »,
faudrait
il
verbe TOTJIOC, TOVJteC-, TOTJtOC ^
TOTJIOC ^ du susciter
art. ind. pi.
».
eV-eXIKOTK '
^6it
;
« res-
».
eV-JUL^eJil
«comme
signe»,
ev
contraction de e-OV, prép.
et article indéfini.
n-TeK-^,n^,CT^.CSC eT-Jt<î,-tl)a3rie
pron.
«
ta résurrection ».
aura
« qui
JULJULOJI
Xl^ signe du
relatif,
de
futur,
Al-
pour nous
lieu
illlO
^
sert aussi
»,
GT
pour
le
datif.
COOTJt «savoir»; 2:6 «que»: cynpe
OVGT
« veuve »
;
cynnpe
« merveille, miracle »
moment-là
»,
^6
« rencontrer »
^J Te-^JH «
ce tombeau
JIT pron.
;
epOOT
signifie
X"P*^
différent est »
JUL-n-Jt^J-V eTeiJLJlJL«J.V «
GT
;
de ce
relatif et iJLJUL«î.V
« car tu les a rencontrés »,
proprement
eV-llOOcye
«
«
tomber
marchant,
»,
avec 6-,
comme
ils
JIT«S-K-
epo
#*,
marchaient »
;
Keec « ossement», neJ-T^<^OC JlT^T-StO A eSo A « qui se sont disjoints »,
« sur le »,
est,
là ».
JITiî.K^e
2* parfait,
;
eTeJULJUL<J.V est composé de
adv. signifiant «
Ze
verbe impersonnel, « autre
«fils»;
relatif, «Î.T
chemin
T
»
;
parfait,
Scu^ e&O^
« délier, se délier »;
243
^^V-Ta3(^ e-JieT-epHV iiev
cy<S.T prés, d'habitude,
jours employé avec les
« de quelle manière » qu'ils parlent
tySHp
s'affermir »,
JieT
»,
«
JlTe
ecyZie «
contraction de
lever »,
ajJJte
JULJULOC
«
j'ai
du
»,
de sorte que
subj.,
JIH «
^HT
(73);
Jt-^cy
ne J-JUL«J.
«
Sl-^e
de sorte
Jt-Jl4Î.T
GT
«
est
»,
demander
»,
CJIHT
pi.
»,
»,
sabj.,
(ÎOJUl.-
T4Î.25:po « affermir, «
de
voir
TCMOTJt
ceux qui
auxiliaire.
»,
« lever, se
^.J-OYtO ï^^p
Il-a3Jl<X,^
une voyelle
'^Jî^/CK^C-
JlI?-n^T
e-flCT
ceux qui
»,
enjeviiej èmOupTv
»,
cœur
«
déjà dit» (290, 278),
^
ce mot est tou-
cyjJie « interroger
au sujet de
«
si »,
JtC^X.
ordinaire est U3Jt^,
epHT
pluriel
».
CTSe
JULOîUJC
(SeJUL « palper
se réunissent l'un à l'autre »,
Jlce-cy^Zie ^eJUL
;
compagnon
« ami,
ils
adj. poss.,
poss.
adj.
en ce lieu
de COJI «frère», «désirer»,
«
« la vie »,
e-2S:(U le
mot
BIBLIOGRAPHIE DE LA LITTÉRATURE COPTE.
NOTIONS GÉNÉRALES.
I.
Autefage S.
Contemporain
J.,
Les Coptes. Extrait de
Lyon, 1885,
».
8,
«
La Controverse
et le
43 pp. Remarques générales sur
la
langue copte p. 15-19. U. Benigni, Bibliotheca coptica (Bessarione,
V, 1900,
43-
p.
54,449-475). •
W.
—
E. Crum, Coptic Church. (Herzog-Hauck, XII, 801).
Aperçu général sur
l'Eglise copte, sa littérature, etc.
Ad. Hehhelynck, La langue copte et sa
littérature.
(Magasin
lit-
téraire, 1891).
H. Hyvernai, Album de paléographie copte pour servir à
l'in-
troduction paléographique des Actes des martyrs de l'Egypte. Pa-
Rome,
ris,
1888.
(i
pi.
en chromophototypie
;
56
pi.
en phototy-
pie).
A. Jacohy,
1902,
M.
p.
Studien zur koptischen Litteratur. (RT.
36-44; 194-197;
— XXV,
190?,
Kabis, Introduction à l'étude de
la
p.
XXIV,
37-49).
langue copte. (MIE.
I,
1862, p. 13-38). ••
G. von Lemm, Kleine koptische Studien. (Bulletin de
l'Ac.
245
imp. des Sciences de S'-Pétersbourg
1899
X-XX
;
dans
tome XIV, N° 5,
«
1904).
—
Sphinx »
:
dans V,
190J,
II, p.
pour
la
«
5,
Quatre
Sphinx
235
;
XX-XXV
;
3
le
et
X-XX
dans IV, 212-222
;
XXI-
de Ricci (R A.
par S.
par Anders-
— Articles intéressants
surtout
lexicographie.
travaux de l'érudition chrétienne sur les mo8,
16 pp.
de l'Egypte. Paris, 1808,
8,
XII
+
la
307 pp.
langue et
la
(Contient
Lamentations de Jérémie et Baruch).
:
E. Quibell,
J.
dans
tome XXI, N"^
5,
Analyse par K. Piehl dans
langue copte. Louvain, 185^,
la
tome X, N"
Compte rendu de XXVI-XLV
la
Des
le
le
Etienne Quatremère, Recherches critiques sur
littérature
aussi
III,
dans
part.
IX, 158-169.
»,
grammaire et
Félix Nève,
•
;
1900
i,
XXVI-XLV
tirages à
I-IX dans
151-1^4. — Autre analyse
311-J15).
numents de
tome XIII, N°
1901
I-IX dans
XXV
son dans
le
:
p. 87).
Wann
starb das Koptische aus
— A Qous et à Negada on
parlait
copte à
?
(AZ. 39, 1901,
la fin
du
19^ siè
cle. •
Paul Renaudin, La
littérature chrétienne
de l'Egypte. (L'Uni-
versité Catholique, 15 Janvier 1899).
M
Schwart:{e,
Das
alte
Aegypten oder Sprache, Geschichte,
Religion und Verfassung des alten Aegyptens
u.
s.
w.
Erster
Theil. Leipzig, 1843. •
Ludwig
Slern,
Kopten, koptische Sprache und Litteratur.
(Encyclopaedie der Wissenschaften und Kunste, von Ersch und
Cruber,
XXXIX,
2 sect.
de Vlieger,
The
Lausanne, 1900,
8,
p.
12-36, 1886).
origin and early history of the coptic
86 pp.
Church.
246
II.
GRAMMAIRE.
1.
Notes de philologie.
M. Maspero
Amélineau, Lettre à calisation
sur
la
prononciation et
du copte et de l'ancien égyptien. (RT. XII,
p.
la
vo-
23-48;
108-136). Baillel,
La particule copte StJJt,
— Origine égyptienne
j55).
(TjJt.
(RE,
II,
1882, p. 349-
de cette particule. Critique de Re-
villout, p. 356,
U. Benigni,
La lingua
— Abrégé de
287).
Benigni,
U.
la
Introduzione
Paradigmi copti.
copta. (Bessarione,
V,
(Bessarione,
copta.
190 1,
256-
p.
grammaire.
1898,
III,
p.
89-121).
grammatica
alla
— Paradigmes coptes en
bohairique et en sa'îdique.
Bonjour,
In
monumenta coptica seu Aegyptiaca
Vaticanae brevis exercitatio. Romae,
bibliothecae
1699.
Busch, Spécimen de copticae linguae propositionibus ac particulis. Berlin, 1859.
W.
E.
Crum, Westcar IX,
2,
im Koptischen. (AZ.
36,
1898,
p. 146).
W. (AZ,
Crum, Ein verlorenes Tempuspraefix im Koptischen.
36, 1898, p. 139).
W. and
E.
«
1899,
E. Crum, Notes on
Below p.
»
in coptic.
:
III.
I.
The name Pachomius.
Egyptian
247-252). — Remarques de
«
Orantes
».
— Dissertation ingénieuse mais peu Dincley Prince,
The modem
Above
»
(PSBA, XXI,
«
Calusius
Caluso), Litteraturae copticae rudimentum. Parme,
J.
«
philologie.
Didymus Taurinensis (Thomas Valperga
pp.
II.
»,
1783,
abbé de 8,
119
scientifique.
pronunciation of coptic in the
247 Vol. XXIII, 1902,
mass. (Jour, of the american Oriental Society, p.
289-506). •
Die tonlosen Formen
A. Erman,
che. (AZ. i88j,
in
der aegyptischen Spra-
37-40).
p.
A. Erman, Spuren eines alten Subjunctivs im Koptischen. (AZ. 1884,
p. 28-37).
A. Erman, Ein neuer Rest der alten Flexion im Koptischen. (AZ. 32, 1895,
128-132).
p.
H. Ewald, Abhandlung ûber den Bau der Thatwoerter im Koptischen. (Abhandl.
IX,
157), 1861, 4, 65 pp.
p.
Ueber
Fleischer,
la Bibl.
II,
Handschrift der
— Notes sur
p. 83-84).
le
kais.
ms. copt. 50
Nat. de Paris.
De
E. Galtier,
(BIFA.
eine koptisch-arab.
(AZ. 1868,
Bibl. zu Paris.
de
der Gesellsch. der Wissensch. zu Goettingen
1902,
p.
l'influence
du copte sur
l'arabe
d'Egypte.
212-216).
Gladios Lahïb, Collection de mots coptes [qui ont passé dans
Le
l'arabe vulgaire d'Egypte], i^ série, 155 mots.
54 pp, •
— En
Caire, 1900, 12,
arabe.
P. Lacau, Métathèses apparentes en Égyptien. (RT.
1903,
p.
XXV,
139-161).
O. von Lemm, Miscellanea coptica dans « Aegyptiaca, Festschrift fur
Georg Ebers
».
Leipzig, 1897, 8,
p.
37-41.
— Notes de
philologie.
A. Mallon, Notes de philologie copte. (RT. A. Mallon,
(Mélanges de
Une École de la
XXVII,
1905).
Savants Égyptiens au Moyen-Age.
Faculté Orientale
p.
109- 131, à suivre). Beyrouth
1906.
G. Maspero, Sur 1877,
p.
111-113).
les
auxiliaires
lie
Te
Jie du copte. (AZ.
248 (Mélanges
G. Maspero, Ueber die koptische Pluralbildung. d'arch. égypt. et assyr. 4, 141- 149).
A
G. Maspero,
travers la vocalisation égyptienne.
1895,
p.
189-196; XVI,
1897,
p.
149-18)
XX,
;
225; XXIII, 1901, 142-159;
XXV,
;
du neutre,
I,
1898, p. 146-161
1902,
p.
p.
218-
77-90;
15-29; 161-176).
(AZ. 33,
1895,
p.
40-4J
;
1896, p.
p. 89-93).
le
».
pronom C
69.
Sur TCeJULJCJ {Ex.
Sur
p.
XV,
53-64; XIX,
XXII, 1900,
XXIV,
48-60; 172-194; p.
;
(RT.
— Notes de grammaire. — Sur Notes diverses dans « Sphinx
Sphinx, V,
K. Piehl,
— —
1903,
p.
Etudes coptes.
K. Piehl, 129-131
p.
77-90; XVIII, 1896,
préformante
la
1,
16)
A«î.-,
IV, 52.
son origine égyptienne
r
pour mr,
IV, 231.
—
Sur
epJ
((
pain » [Lév. 22, 7) et son équivalent hiérogly-
phique cLry4, VI, 146. A. Rahlfs,
—
152).
M. la 3.
e^^^CC^
im Koptischen. (AZ.
Remarque que 0<î.A^CC<î.
38,
1901,
est quelquefois pour
p.
T-
de Rochenionieix, La prononciation moderne du copte dans
Haute-Egypte. (Mém. de
la
Soc. de linguistique de Paris, VII,
1891).
H. RoseUinius, Elementa linguae aegyptiacae vulgo copticae quae auditoribus suis in patrio Athenaeo Pisano tradebat.
[Boulros Salih), Abécédaire copte ÂJ»-il\
Rome,
1886, 8, 41 pp.
Romae, 1837.
i^all ^Ul ôAJ>
'(iil;« wjI:^
.
— En arabe.
K. Selhe, Das aegyptische Verbum im Altaegyptischen, Neuaegyptischen und Koptischen.
I.
Laut- und Stammeslehre.
menichrc und Syntax der Verbalform. 1902.
III.
II.
For-
Indices. Leipzig, 1899-
249
W.
Spiegelberg, Notes diverses
maire et
W.
le vocabulaire,
Spiegelberg,
IV, 142
Varia.
dans « Sphinx
V, 200
;
(RT. XIX,
sur
»
la
gram-
VI, 86.
;
1897;
XXVI,
1904, p.
100).
— 1901,
Koptische Miscellen. p.
201-206;
XXVI,
(RT.
1904,
p.
XXI,
1899,
21
p.
;
XXIII,
34-41)-
G. Sle'mdorff, Prolegomena zu einer koptischen Nominal-classe.
Goettingen, 1884. L. Stem,
Versuch ûber eine gleichmaessige Worttrennung im
Koptischen. (AZ. 1886,
p.
57-73).
Max. Ad. Uhlemann, Linguae copticae grammatica
in
usum
scholarum academicarum scripta cum chrestomathia et glossarip. Leipzig, 1853. V.
Die Bildung des koptischen Nomens. Goettingen,
Valentin,
1866, 4, 57 pp.
Wahbf tyrs), 8,
A
58 pp.
2.
M?^
Le
hey, Syllabaire copte-arabe.
Caire, 1610 (des Mar-
l'usage des Égyptiens.
Grammaires antérieures à 1880.
Bschai, [Grammaire copte, en arabe].
Rome,
1878, 8, 195
pp. #
Athanase Kircher,
Romae, 1636,
— 4.
S. J.,
Lingua aegyptiaca
(Contient
Prodromus coptas seu aegyptiacus.
8.
la
restituta,
opus tripartitum. Romae, 1643-
grammaire d'Amba Yohanna de Samannoud,
grammaire d'Ibn Kâtib Qaisar, 'Assâl et celui d'Aboul-barakât
le
vocabulaire
Schams
d'Abou Ishâq Ibn
Macdonald, Sketch of Edinburgh, 1856,
8.
a coptic
Autogr.
al-
ar-ri'âsat).
G. Lahih, Grammaire copte-arabe. Le Caire, 1H94,
tion.
la
grammar adapted
H,
229 pp.
for selfinstitu-
250 * A.
Peyron, Grammatica linguae copticae. Turin, 1841,
8.
Fr. Rossi, Grammatica copto-geroglifica, con un'appendice. Torino, 1878.
Grammatica aegyptiaca utriusque
C/ir. Sc/io//:{,
breviavit,
illustravit, edidit
dialecti,
G. G. Woide. Oxonii, 1778,
quam
+
4, XII
148 pp.
Cette grammaire n'est plus de grande ralement un
utilité.
seul volume avec le dictionnaire du
Elle forme géné-
même
dont
la
pa-
gination est entre crochets. «
M. G.
Schwart^e, Koptische Grammatik, herausgegeben nach
des Verfassers Tode von
D""
H.
Steinthal. Berlin, 1850.
A compendious grammar
H. Tattam,
as contained in the coptic
and sahidic dialects with observations
on the bashmuric. London, 1830, Th. Young contenant un
— I
2*^
of the egyptian language
essai
XIV +
1^2 pp. Appendice de
de dictionnaire égyptien.
édition revised and improved.
London, 1863, XXVIII
+
27 pp. Cette édition ne contient pas l'appendice de Young.
Raphaël Tuki, Rudimenta linguae copticae. Romae, 1778.
Grammaires
3.
*,
G.
Steindorff,
postérieures à
Koptische Grammatik, mit Chrestomathie,
Woerterverzeichniss und Litteratur. Berlin, pp.
de gram.
talium XIV). >• L.
et
1880.
1894,
104 pp. chrestom. et vocabulaire. (Porta
— Deuxième édition en p.
242
ling. orien-
1904.
DICTIONNAIRE.
K. Abel, Koptische Untersuchungen. Berlin, 72, iij.
+
422-441.
III.
p.
XX +
Stem, Koptische Grammatik. Leipzig, 1880,8, XVIII
470 pp. Textes,
XV,
8,
1878. Cf.
AZ.
251
U. Benigni,
VI, 1901,
Lexici ecclesiastici spécimen. (Bessarione, anno'
P-41
p.
259-27J
;
n4-M2
;
;
anno VII, 1902,
37-50;
p.
213-221).
Bschai, Peut-on trouver des mots nouveaux dans te
?
(RE. IV, 1886,
W.
C. p.
— Critique par
(RT. VII, 1886). p.
Revillout,
la
Une
langue cop-
rectification.
172-177)-
Goodivin, Gleanings in coptic lexicography. (AZ. 1869,
129-131; 141-147; 1870,
p.
132-137; 1871,
p.
22-25:45-48;
120-124). Albert Harkavy,
M hey 1874,
p.
Bemerkung
Kahis, Auctarium lexici coptici
121-129; 156-160. 1875,
144; 178-180. 1876, p. 11-25
—
Novum
;
P-
55-65
Amoedei Peyron. (AZ. 82-88; 105-112
;
;
135-139- ï888,
53-55
p.
G. Labib, [Dictionnaire copte-arabe]
•
in
summo
compendium redegit
adjecit
pour
;
.j^\
p.
J^^b ^M^ wj»^\
Le Caire.
studio collectum et elaboratum,
Christ. Scholtz
C. G. Woide. Oxford, 1775,
;
4,
notulas
XI
88-
120-128).
Lacro\e, Lexicon aegyptiaco-latinùm ex veteribus
iinguae monumentis
134-
;
42-48; 58-64; 80-88; 114-118).
(Trois volumes ont paru, 1895, 1898, 1905). V.
p. 48).
auctarium lexici sahidico-coptici. (AZ. 1886,
102. 1887, p. 57-73
M.
(AZ. 1869,
iiber SjJt4Î,2S.
-f-
quasdam
illius
quod
et indices
199 pp. avec 62 pp.
les tables.
R. Lepsius, schrift.
(AZ.
Deux l'autre
Auszûge aus
ci nef
koptisch-arabischen
18^)5, p. 47-5 3)-
fragments de scala dont l'un est une
une
Hand-
liste
géographique des
villes
liste
d'Egypte.
des animaux et Ils
avaient été
copiés par Heuglin en Abyssinie sur un ms. copte-arabe.
Heuglin, Auszug aus einer koptisch-arabischen Handschrift in
Abun-bêd
bei
Gondar. (AZ. 1868,
Autre fragment de
la
même
p. 54-57).
(?)
scala;
notes complémentaires
252 à l'article précédent. S. Lévi, Vocabulario geroglificocopto-ebraico. Turin, 1887. Victor Loret,
Scala magna de tés
de l'Egypte,
230).
Les
IV (Animaux
livres III et
Schams-ar-riâsah. (Annales
et végétaux)
de
48-64, avec index copte et arabe, p.
I, p.
215-
— D'après un ms. du patriarcat Jacobite du Caire.
G. Maspero, Le vocabulaire français d'un Copte du Xlir cle.
la
du Service des Antiqui-
(Romania XVII,
Max
Miller, Zur Etymologie des
(AZ. 1888,
siè-
482-^12).
p.
koptischen
^TCO
:
OVO^.
p. 94-95)-
Walter Otto, Aegyptische Flûssigkeitsmasse. (AZ. XLI, 1904,
— Note sur
p. 91).
proviendrait de
la
la ville
mesure de vin appelée C<î.J2^J0JI.
de
Sais,
de
là
Elle
son nom.
G. Parthey, Vocabularium coptico-latinum et latino-copticum e Peyroni et Tattami lexicis concinnavit. Berlin, 1844,
8.
A. Pcyron, Lexicon linguae copticae. Turin, 1835-
•«
iterata,
accedunt auctaria Kabis, Bsciai et
Goodmn
— Editio
ex ephemeridi
Berolinensi aegyptiacd excerpta. Berlin, 1896.
K. Piehl, Note sur 385).
neTSe. (PSBA. XXII,
1900,
Kurl Sethe,
Zum Ursprung
und Genossen. (AZ,
Romae, 1808,4.
des Pronomen personale
29, 1891, p.
41, 1904,
— L
p.
JITOK
121-123).
K. Sethe, Koptische Etymologien. (AZ, 38, 1901,
124).
384-
— Son origine égyptienne.
Ignatius Rossi, Etymologiae aegyptiacae.
•
p.
p.
145-148;
142-145)-
Zu CO
Hp
« zu Schiff fahren
».
[Ibid.
39, 1901, p. 87).
Stem, Hieroglyphisch-Koptisches. (AZ, 1877,
— Etude sur
la
à propos de l'ouvrage
racine
iXG
:
P-
72-88,
1
31
JULHJ en copte et en égyptien,
de C. Abel « Koptische Untersuchungen
».
H. Taltam, Lexicon aegyptiaco-latinum ex veteribus linguae
.
253 aegyptiacae monumentis, Woidii et aliorum. Oxford, i8?5, 8.
A. Weil relève
Aegyptiaca
«De
mot W311C (àwms) «
le
morte Josephi
stuck
»,
vanité » dans hasarde, i6.
(AZ, 41,
1904,
p.
148).
CATALOGUES.
IV.
«» Aeg/ptische
Urkuaden aus den koenigl. Museen zu Berlin.
Herausgegeben von der General-verwaltung.
— Le recueil des « Koptische Urkunden
den, 1895 et suiv.
prendra tous
De
— Koptische Urkuncom-
documents coptes du musée égyptien de Berlin.
les
ces documents les uns étaient déjà connus, les autres sont pu-
bliés
pour
fasc.
— Textes de toute sorte
la
première
Amélineau,
paru
fois. Il a
et
p.
:
vol.
de tous
Le manuscrit copte
Zouche (PSfîA.X, 1888,
n"
i
I
en 7
le
catalogue de
W.
*• tish
la
Muséum.
4, :
XXIII
-f
de
la
important par A.
p.
sa'îd. p.
504; mss. boh.
W.
II,
T
bibliothèque de Lord
1
d'Amba Hélias
623 pp.,
Mss. sa'îdiques
Supplément, mss.
p.
Vol.
;
135-146).
bibliothèque
mss. en Moyen-égyptien
1906,
.
— Don-
31-160). à
Qous
.
E. Crum, Catalogue of the coptic manuscripts in the Bri-
Contenu
tien p.
fasc
les dialectes
U. Bouriant, Notes de voyage. (RT. XI, p.
ne
»
15 pi.
1-231
p.
;
London, 1905
ms. achm
237-304; mss. bohairiques 391-502
p. 513-
;
.
p.
.
p.
236;
315-384.
ms. en achm. et moyen-égyp-
Additions, tables.
— Compte rendu
Rahlfs dans « Gôttingische gelehrte Anzeigen »
579-589.
E. Crum, Coplic Mss. brought from the
Fayyjm by W.
M.
Flinders Pelrie together with a papyrus in the Bodleian libra-
ry.
London, 1893, VIII
+
92 pp.
lith.
et
4
pi.
Karabacek, Katalog der Theodor Graf 'schen Funde in Aegyp-
254
Wien, 1885,
ten.
56 pp.
8,
— Description de quelques documents
coptes, pas de textes. • J. Krall,
Koptische Texte.
I.
Band Rechtsurkunden. (Corpus :
Papyrorum Raineri Archiducis Austriae,
Mitteilungen aus der Sammlung der Papyrus Erzher-
* J. Krall,
zog Rainer. Wien, 1887 et I,
p.
Vienne, 1895.
vol. II).
—6
suiv.
vol. 8.
ques. Suite dans
II,
p.
264-268.
Papy-
Papyrus fayoumi-
rus sa'îdiques, description, texte et traduction.
II-III, p.
—
Aus einer koptischen Klosterbibliothek.
62-73.
43-74.
Ueber den Achmimer Fund.
Koptische Beitraege zur aegyptischen Kirchenge-
IV, 63-75.
— 126-136. Reste koptischer Schulbucher-Litteratur.
schichte.
V. Koptische Briefe.
Die koptischen Handschriften der Goettinger
P. de Lagarde, Bibl. (Abhandl.
der k. Gesell. der Wiss.
XXIV.
—
Orientalia
I).
Goettingen, 1879. des manuscrits coptes de TUni-
Leipoldt, (Catalogue succinct
versité
de
Leipzig) dans le « Katalog d. Islam... Hss. » de K. Vol-
1ers, Leipzig, J.
Bibl.
1906.
A. Mingarelli,
Aegyptiorum codicum reliquiae Venetiis
Naniana asservatae,
fasc.
I, II.
Bononiae, 1785,
4.
in
— Textes
bibliques et ecclésiastiques. w
Pleyte
Boeser, Catalogue
et
Antiquités coptes. Leyde, 1900,
4.
du musée d'Antiquités
à Leyde.
— Textes de toute nature
et
de
tout dialecte.
Seymour de
Ricci,
Les études coptes en Russie
de M. von Lemm. (RA. 1903, détaillée des publications
II,
p.
302-318).
et
les
travaux
— C'est une
de M. pon Lemm, avec
liste
l'indication des
manuscrits et de leur provenance, une appréciation et un résumé succinct
;
à la
fin,
quelques renseignements sur
les
collections
de
2^5 mss. coptes à S -Pétersbourg.
A
H. Taltam,
catalogue of the coptic and sahidic manuscripts
purchased or copied
in
(ZDMG.
Egypt.
VII, 1853, p. 94-97).
Tromler, Bibliothecae copto-jacobitae spécimen. Leipzig, 1767.
— Sur ce P.
Quatremère « Recherches »
livre cf.
p.
10 j.
Hand-
Wusienfeld; Verzeichniss der koptisch-arabischen
schriften der Universitaets Bibliothek zu Goettingen. (Nachrichten
der
der "Wissenschaften
k. Gesellschaft
*»
in
Goettingen, 1878).
G. Zoega, Catalogus codicum coptorum mss. qui
38
;
sa.
172-230
;
fay.
1
Museo
— Textes boh. — Voir une description de ce 39-168.
Borgiano Velitris asservantur. Romae, 1810, 1
in
i-
fol.
ca-
talogue par Wilmart dans le Bulletin Critique, 1906, p. 605.
V.
TEXTES BIBLIQUES. I.
Sa'îdiques.
Ancien Testament.
Amélineau, Version thébaine du livre de Job. p.
{PSBA. IX,
1887,
109-112).
(RT,
Amélineau, Fragments thébains inédits de l'Ane. Test. VII, 1886, p. p.
197-217; VIII,
p.
10.63
;
IX, 1888,
p.
101-136; X,
67-96, 169-181). A. E. Brooke, Sahidic fragments of the Old Testament.
(Jour-
nal of Theol. Studies, vol. VIII, 1906, p. 67-74). Bibl. Nat. 129
Gen. IX 21-23, 25-26; XI
XXII
18, 19-25
;
Deut.
17,
XXXII
i8;XXVIir
;
:
Lév.
14-19, 21-22.
Bschai, Liber Proverbiorum coptice. 368).
20-23, 24-25
'
(RE,
II,
1882,
p.
356-
256
W. Budge, nztUCMlie JtJte'v^^XjtlOC. The
earliest
known
coptic Psalter. London, 1898.
Ch. Ceugney, Quelques fragments coptes thébains inédits de la
Bibliothèque Nationale. (R-T,
II,
1881, p. 94-105).
A. Ciasca O. S. A., Sacrorum Bibliorum fragmenta copto-sahidica
+
^62 pp.
Crum, The decalogue and Deuteronomy
in
coptic.
Romae, 188 5- 1889,
W,
E.
XXV,
(PSBA.
XXXI +
LXXVII
Musei Borgiani,
I.
225 pp.
;
II.
4-
1903,
99-101).
p.
Erman, Bruchstùcke der oberaegyptischen Uebersetzung
A.
des Alten Testamentes. (Nachrichten der k.
Wissenschaften zu Goettingen, 1880,
ris,
la Bibl.
1854.
— Deux
XIII,
les
imp. de Paris avec des variantes et des notes. Pa-
XIV;
comprenant Gen.
fascicules
E. -Gilmore and
J.
(Gen.
12).
La version copte du Pentateuque publiée d'après
A. Fallet, mss. de
n.
der
Gesellschaft
P.
le
CV).
Ps.
1-27.
Page Renouf, Coptic
—
fragments.
(PSBA. XVII, 1895,
p.
251-
P: Lacau, Textes de l'Ancien Testament en copte sahidique.
(RT, XXIII, Isaïe,
X,
1901).
6-21
;
—
(Tobie, XII,
6.
XXVI,
XI, 5-XVI, 10;
—
Judith,
2-10.
—
IV, 8-15.
—
Jérémie, XVII,
19-25).
P. de Lagarde, Aegyptiaca, Pauli de Lagarde studio et sumpti-
bus édita.
De
— Goettingae
dormitione Mariae,
ticus, id.
— Psalm.
id.).
Spiegelberg dans
«
J. te.i
Leipoldl
—
id.
id.
Remarques sur
Sphinx
uad B.
sahid.
id.
10 1,
nes ecclesiastici,
i88j. (De morte Josephi, boh. et arab. — — Sap. Salomonis, — Ecclesias— Canones Apostolorum, — Cano-
»
Violet,
V,
p.
la
« Sap.
Salomonis » par
99-102.
Ein saïdisches Bruchstûck des vier-
Esrabuches. [kZ, 41, 1904,
p. 137-140).
\
257 O. von Lemm, Bruchstucke der sahidischen Bibelûbersetzung nach Handschriften der kaiserlichen oeffentlichen Bibliothek zu St-Petersburg. Leipzig,
Nouveau Testament
—
et
—
1885, in-4.
Fragments sa'îdiques du
de Josué.
Sieben sahidische Bibelfragmente. (AZ, XXIII,
19-22).
O. von Lemm, Sahidische Bibelfragmente
I, II.
(Bull,
Imp. des Sciences de St-Pétersbourg, XXIII, 1889,
J7j-^8i
En
= Mélanges asiatiques,
p.
X, 1889,
p.
de l'Ac.
257-268 et
P-
5-16 et 79-97).
appendice, inscriptions coptes de deux étoffes de l'Ermita-
Tune
ge,
1885,
— Fragments sa'îdiques du Nouveau Testament.
d'elles
en caractères cryptographiques.
G. Maspero, Études égyptiennes. G. Maspero, Fragments de Testament.
(MMAF.
Fridericus Mïïnter,
caput memphitice
la
I,
p.
266-300. Paris, 1883.
version thébaine de
l'Ancien
VI, 1892).
Spécimen versionum Danielis nonum ejus
et sahidice exhibens.
— Romae,
1768, 8.
B. Peyron, Psalterii copto-thebani spécimen. Turin, 1875, A. Rahlfs,
Die Berliner Handschrift des sahidischen
4-
Psalters.-
(Abhandl. der K. Gesellschaft der Wissensch. zu Goettingen). Berlin,
1901. S. de Ricci,
6-XIX,
II).
The Zouche
From
Sahidic Exodus Fragment. (Ex. XVI,'
(PSBA. XXVIII,
the original ms.
p.
54-67,
1906). L. 99).
Stem, Zwei Koptische Bibelfragmente. (AZ. 1884,
Boh
et S. (Ps.
34 et
E. O. Winstedl, Sahidic brary.
(PSBA.
XXVII,
1905,
XXV, p.
p.
97-
Exod. XV).
1903,
biblical p.
Fragments in the Bodleian
317-325
;
XXVI,
1904,
p.
Lir
215-221; -'
57-64)-
.
17
258
Nouveau
Testament.
Amélineau, Dix-neuf chapitres du Nouv. Test, d'après
les mss.
thébains de Lord Crawford. (RT. 1884 p. 105).
—
Fragments thébains inédits du Nouv. Test. (AZ.
41-56; I0J-II4- 1887,
47-57; I25-IM- 1888,
p.
p.
1886,
p.
95-105).
Amélineau, Fragments coptes du Nouveau Testament en dialecte thébain.
(RT. V, 1884,
106-139).
p.
Notice des manuscrits coptes de
Amélineau,
—
Décrit
Balestri,
O.
S. A.
ca Musei Borgian
+
LXVIII
2,
1895,
p.
363-427).
129 1-30 et donne
texte grec.
Novum Testamentum. Romae,
— IV. Tabulae.
Un
le
Sacrorum Bibliorum fragmenta copto-sahidi-
III.
;
512 pp.
U. Benigni, blici.
H,
les mss.
Bibliothèque
du Nouveau Testament.
nationale renfermant des textes bilingues
(Notices et extraits,
la
1904.
papiro copto-greco
(Bessarione, IV, 1899,
inedito con frammenti bi-
514-521,
p.
1904. 4.
i
pi.)
— Luc IV,
22-30,
mutilés.
U. Bouriant, Fragments de manuscrits thébains du
Boulaq,
I
(RT. IV, 1883,
Textes du N. T.
de
S.
;
extraits
i-4)-
P-
de
la
— vie
de Schenoudi et du martyre
276-280).
p.
Act. VII, 51-59; VIII, 1-3. Joh.
copte 102 de
Texte
—
152-156).
p.
Chaîne, Fragments inédits du Nouveau Testament Sa'idi-
que. (Bessarione; IX, 1905,
Jean.
IV,
Georges.
M.
J.
^ (RT.
Musée de
Clédat,
(ROC.
la Bibl.
XVII,
17-26.
D'après
le
ms.
nationale.
Fragment d'une version copte de l'Apocalypse de IV, 1899,
p.
263-276).
et traduction.
•
—
Apoc.
III,
4
—
S.
VI, 1-5.
259
du Nouveau Testament. (RB.
L. Delaporte, Fragments thébains
1905» P- 377-?i4; 557-56?).
—
Première Épître de
—
grecs, traduction.
index des mots
S, Jean, texte et notes,
Epître à Philémon, texte, index des mots
grecs, traduction.
L. Delaporte^ Fragments sahidiques
du Nouveau Testament.
Apocalypse. Paris, 1906. Lithographie. J.
E. Gilmore, Fragments of the Sahidic Version of the Pauline
Epistles, etc.
XX,
(PSBA.
1898,
p.
48-51).
H. Goussen, Studia theologica. Fasc.
I
:
Apocalypsis S. Johan-
Apostoli, versio sahidica. Lipsiae, 1895, 8, VII
nis
+
Li-
67 pp.
thogr.
H. Hyvernat,
Un
fragment inédit de
la
Version sahidique du
N. T. (RB. 1900).
G. Maspero, Fragments thébains
Fragment de
VIII, IX.
rituel,
S. Cyrille d'Alexandrie.
:
S.
XXV
Matthieu
(RT. VII,
p.
46-48;
p.
S.
Paul et de
VI, 1885,
p.
S. Pierre
S.
Luc
142-144).
G. Maspero, Fragments des Actes des Apôtres
de
;
motions des évoques qui soutiennent
et
des Épîtres
aux Romains, en dialecte thébain. (RT.
35-37)-
C. G. Woide, Appendix ad editionem Novi Testament! graeci, in
qua continentur fragmenta Novi Testament! thebaica
ca,
cum
1799.
dissertatione
fol.
vel sahidi-
de versione bibliorum aegyptiaca.
Oxford
(Édition achevée par H. Ford).
2,
Ancien
et
ACHMIMIQUES.
Nouveau Testament.
U. Boudant, Fragments des Petits Prophètes en dialecte
Panopolis. (RT.
XIX,
1897,
P-
'-'2).
—
Mêmes
textes
de
que Mas-
«60 pero {RT. VIII, p. 181-192) copiés sur l'original,
et
d'autres en
plus.
U. Bouriant,
259; 1887,
Les papyrus d'Akhmim.
(MMAF.
I,
1885,
p.
p. 595)-
Beaucoup de textes achmimiques sont
aussi contenus dans les
Catalogues.
Dialectes
j.
Ancien
de
et
Moyenne -Egypte.
la
Nouveau Testament.
U. Bouriant, Fragments bachmouriques.
Caire 1888.
—
(MIE.
Réédités par Chassinat, dans
Fr. d'Arch. Or. au Caire
».
Vol.
II.
II, p.
le a Bull,
O.
von.
l'Inst.
et veteris
Tes-
1.
Lemm, Mittelaegyptische Bibelfragmente. (Études
chéologiques, linguistiques et historiques dédiées à
Leemans) Leide,
miques de
de
l'Êv.
Brili,
de
S.
1885, in-4, p.
le
ar-
Dr. C. fayou-
Marc.
(RT. XI,
4.
p.
116).
S.
— Matth.
Matthieu en dia-
V. 46-VI.
1-19.
B0HAIRIQUES.
Ancien
J. Bardelli,
M.
95-102. — Fragments
G. Maspero, Fragment de l'Évangile selon lecte baschmourique.
Le
fasc. 2, p. 171.
Engelbreth, Fragmenta baschmurico coptica novi
taments Copenhague 181
567).
Testament.
Daniel copto-memphitice. Pise, 1849.
U. Bouriant, Les Proverbes de Salomon, version copte (RT.
m,
1882, p. 129-148). u. Bouriant, Fragments memphitiques de divers livres inédits
261
de l'Écriture
et
des Instructions pastorales des Pères de l'Église
copte. (RT. VII, 1886,
p.
82-94).
H. Brugsch, Der Bau des Tempels Salomos nach der
kopti-
schen Bibelversion. Leipzig, 1877.
Rome,
A. Bsciai, Proverbia Salomonis boheirice et arabice.
—
1886.
Les mêmes proverbes avaient été publiés par Boudant
dans Rec. de Trav. bite
1882, d'après deuxmss. du patriarcat Jaco-
III,
du Caire.
Baruch prophetae. Romae, 1870.
Bsciai, Liber
—
Le même dans AZ. 1872,
1874, p. 45-50, par Ideler,
M.
p.
Jai
p.
18-21
;
Psalterium coptice. Berlin 1837.
G. Lahih, [Le Psautier en copte
j^j
1J4-136; 1875,
Kabis.
wujLlllj
Le Caire,
et
en arabe].
^k_-\j11
^o
1897, 8.
P. de hasarde, Psalterii versio memphitica. Goetlingen, 1875.
— Le copte
est
imprimé en caractères
d'après le ms. or.
fol.
P. de Lagarde,
447 de
A
latins.
Proverbes
la fin.
Berlin.
Der Pentateuch
koptisch. Leipzig, 1867.
P. de Lagarde, Bruchstucke der koptischen Uebersetzung des alten Testaments,
XXIV.
(Abhandl. der K. Gesellsch. der Wissensch.
— Orientalia
i,
6^-104). Goettingen, 1879.
B. Quatremère, Daniel et te
de
traits
la
de
Bibl, impér. n° 2 et la Bibl.
Fr. Rossi, di
les
de
douze
S.
Germain
impér. VIII, 18 10,
Cinque
petits prophètes
p.
:
mss. cop-
(Notices et ex-
n" 21.
220-290).
manoscritti copti délia
Biblioteca nazionale
Torino. (Memorie délia R. Acad. délie Scienze di Torino, ser.
II,
tom. XLIII, 1893, 4, 174 pp). Torino, 1894.
—
2.
Fragment d'un sermon sur
Fragment du mar-
tyre de S.
Théodore;
4.
la
pénitence
;
}.
i.
Fragment du martyre de
Traité gnostique en sa'îdique.
Psautier boh.
S.
Victor
;
5.
262 H. Taiiam, Prophetae majores memphitica rémie
cum
linguae aegyptiacae
in dialecto
—T
versione latina. Oxford, 1852.
vol. Isaïe. Jé-
2' vol. Ézéchiel, Daniel.
;
—
Duodecim prophetarum minorum
libri in
lingua aegyptiaca
vulgo coptica seu memphitica ex ms. parisiensi descripti et
cum ms.
Johannis Léo comparati. Oxford, i8j6.
H. Taltam, The ancient coptic version of the book of Job the Just, translat'ed into english
R. Tuki, Psautier, :>jb les
and edited. London, 1846.
j^j ^l:$^Rome,
psaumes avec quelques cantiques
1744.
et prières
—
de l'Ane. Test.
Traduction arabe. Les psaumes ont été réimprimés par biblique
la
—
Société
de Londres en 1826.
M. G.
Schivart:{e,
Psalterium in dialectum linguae copticae
memphiticam transiatum ad fidem trium codicum, que
Comprend
criticis et
etc. edidit notis-
grammaticis instruxit. Leipzig. 184J.
Nouveau Testament.
G. Horner,
The
coptic version of the
New
Testament
in
northern dialect, otherwise called memphitic and bohairic, with
the in-
troduction, critical apparatus and littéral english translation. Oxford 1898.
I
Matth. and Marc.
Huntington 17 valeur.
—
III,
in the
II
Luke and John. Edited from ms.
Bodieian Library.
—
Édition de première
IV, Actes, Épîtres, Apocalypse.
P. de Lagarde, Acta Apostolorum coptice. Halae, 1852.
—
Epistulae Novi Testamenti coptice. Halae, 1852.
P. de Lagarde, Catenae in Evangelia aegyptiaca quae supersunt. Goettingen, 1886, 4, VII
+
244 pp. (Curzon Catena).
[H. Taitam, Les quatres Évangiles en copte et en arabe]. Londres, 1847, 4-
— Édition de luxe.
263
—
Les Actes,
[H. Tattam
Londres, 1829,
M. G.
les Épîtres et l'Apocalypse.
and 8.
la
Société biblique.
Quatuor Evangelia
cae memphitica perscripta ad codd. berolin. adservatorum
nec non
emendavit, adnotationibus tionibus expositis atque
4.
Quatuor evangelia memphitice etarabice.
Lee],
— Édition de
Schwart:^e,
Londres, 1852,
Copticorum
rass.
libri a
criticis
in dialecto linguae copti-
in
R.
Bibl.
"Wilkinsio emissi fidem edidit,
et grammaticis,
variantibus lec-
cum graeco comparato
textu coptico
in-
struxit. Leipzig, 1846-47.
VI.
ÉTUDES SUR LA BIBLE.
Ernst Andersson,
Ausgewahlte Bemerkungen
rischen Dialect im Pentateuch koptisch. lung). Upsala, 1904. in-8, VIII logie.
Voir
le
+
144
p.
iiber
den bohai-
(Akademische Abhand-
—
Remarques de
compte rendu de A. Mallon dans
«
Sphinx
»,
philo-
IX,
p.
I20-ip. Heinrich Asmus,
Ueber Fragmente im Mittelagyptischen Dia-
lekt (Leipziger Inauguraldissertation). 8.
70 pp. Goettingen, 1904.
C. R. Gregory, Liste des manuscrits coptes du N. T. (Textkritik J.
des Neuen Testamentes, Guidi,
II,
Leipzig, 1902, 8, p. 5^8-553).
canone biblico délia chiesa copta. (RB.
1901,
p.
C. Headlam), Egyptian or coptic Versions. (Scrivener,
In-
Il
161-175). — Liste des Livres canoniques chez (A.
troduction to the criticism of the
New
les
Coptes.
Testament, 4 éd. Vol.
II,
chap. IV).
H. Hyvernat, Etude sur 1896,
p.
427-43
j,
les
Versions Coptes de
540-570; 1897, p. 48-75)-
la
Bible.
(RB.
— Travail de premiè-
re importance dans lequel l'auteur traite les cinq questions suivan-
264 tes:
I.
Nombre dôs
de ces versions
2.
ce qui nous est'parvenu
ce qui en a été publié
3.
;
versions coptes;
différentes versions
;
;
4.
date probable des
leur nature et leur importance.
5.
La même étude se trouve un peu résumée dans naire
de
la
Bible
»
de Vigoureux, sous
le
mot
«
le «
Diction-
Coptes
»
(Ver-
New
Testa-
sions).
Kenyon, Handbook ment. London,
fo the textual Criticism of the
1901, 8, 312 pp.
— The
coptic versions,
p.
150-
165.
F. Mïinter, Commentatio de indole versionis sahidicae Novi Testamenti. Accedunt fragmenta epistolarum Pauli ad in
membranis TV.
sahidicis
Pelers,
musei Borgiani. Copenhague, 1784.
8,
+
4.
Die sahidisch-koptische Uebersetzung des Bûches
Ecclesiasticus auf ihren
XII
Timotheum
wahren Wert
fur die Textkritik untersucht.
70 pp. Fribourg en Brisgau.
F. Robinson, Egyptian versions of the Bible. (Dictionary of the Bible edited by A. Schulte,
J.
I, p.
668-673, 1904).
Die koptische Uebersetzung der
pheten, Munster
—
Hastings, vol.
i.
W.
vier grossen Pro-
1895.
Die koptische Uebersetzung der kleinen Propheten,
(Theologische Quartalschrift 1894, 1895).
—
Critique textu-
elle.
L. Stem, Critische
Anmerkungen zu der boheirischen Ueber-
setzung der Proverbia Salomonis. (AZ. 1882,
p.
191-202).
Johannes Tartoli, Sulla versione copta del Giob in dialetto
saï-
dico, col Saggio di un' edizione di essa.
(Mémoires du quatrième congrès international des Orientalistes,
I,
p.
79-90).
.
265
VII.
Editions
I.
Mgr
Cyrille
11,
LITURGIE.
officielles
Le
Catholiques.
des
missel copte-arabe.
Le Caire,
Livre de cantiques et de prières imprimé à
de
Mgr
Agabios Bschai,
Mgr
Cyrille
Rome
par les soins
12.
[Rituel abrégé]
^-jilU j\jJ^\
^\:^
i.Ji
.
Le
— En copte et en arabe.
Caire, 1900.
Mgr
II,
1898.
Cyrille
II,
Le Bascha ou
office
de
Semaine Sainte en
la
copte et en arabe. Le Caire, 1902, 373 pp. R. Tuki, Missale, coptice et arabice. Romae, 17^6,
—
Diurnum alexandrinumcopto-arabicum. Romae,
8.
1750. (Bré-
viaire).
—
Euchologium coptice
Pontificale et
1761, 1762.
— Deux
vol.
r
vol. livre
Romae,
arabice.
et
des ordinations
2" vol. livre
;
des consécrations.
—
Rituale coptice et arabice.
Romae, 1765.
—
Un
abrégé a
été publié au Caire en 1900.
K. Tuki, Theotokia (officium
Romae,
S. Virginis),
coptice et arabice.
1764,
Sur ce
sujet, voir A.
Mallon
:
Sainte Vierge dans le rite copte.
2.
Éditions
Les Théotokies ou
(ROC.
officielles
1904,
des
—
Le Caire, 1904,
G. Labib, [Le
la
li^b
^A^\
Ja-ill
2 vol. en copte et 2 vol. en arabe, 4.
Gladios Labib, [Missel en copte et en arabe] u-'^ji^
de
Jacobites.
G. Labib, [Catameros en copte et en arabe]
Le Caire, 1900-02.
p.
office
i7-,î4)-
8,
rituel
^-s-V^^I
778 pp.
des funérailles]. Le Caire, 1905.
^\:^
266
— Le copte
108 pp.
liturgie.
litûrgicus ecclesiae universae,
Romae, 1754.
IV. Missale Alexandrinum.
IV, pars.
lib.
Codex
Assemanus,
Jos. Aloysius
la
sur
Varia
3-
8.
imprimé en caractères grecs.
est
— Vol.
F. E. Brighlman, Liturgies Eastern and Western.
Eastern
liturgies.
Marc
de
et
+
251
Oxford,
1
— Traduction
896.
I
des liturgies de S.
iij-193.
S. Cyrille, p.
John Marquess of Bute, The coptic morning service for the Lord's day translated into english. London, 1882.
Ermoni, Rituel copte du baptême et du mariage.
V.
1900, p. 445 5
VI, 1901,
;
— Texte
26.
A. Evetts,
p.
VII, 1902, p.
B. Eveils, Le monacale.
rites
IX, 1904,
p.
of the coptic Church. London, 1888, 16,
(ROC
rite
copte de
1906,
la
et
du mariage.
prise d'habit et
de
la
profession
60-74, IJO-148).
p.
(PSBA, XXIV, 1902,
de lectionnaires
p.
1
86-191).
la «
Summa Mariana
G. Horner, ding to the
— Décrit
trois
The
»
passages
des Théolokies
de Schùtz. Paderborn, 190J.
consécration of a church altar and tank accor-
ritual of
the coptic
— Manuscrit donné en
Church (PSBA, XXI, 1899,
de
une
partie
—
l'église et
de
The
la
de
l'autel.^
traduction.
Il
p.
86-
1868 à l'évêque de Salisbury par
patriarche copte orthodoxe et contenant le rituel pour tion
fragments
et en indique le contenu.
Goussen, Traduction de quelques
107).
;
E. Gilmore, Manuscript portions of three coptic Lectionna-
J.
dans
303
et traduction, le tout assez défectueux.
The
— Traduction du Rituel du baptême
61 pp.
ries.
45n
(ROC. V,
Horner en donne
la
la
le
consécra-
description et
publie ensuite tout le manuscrit
:
service of the consécration of the church and altar ac-
cord! ng to the coptic
rite,
cdited with translation from a coptic
267 and arable ms. of A. D. IJ07. London, 1902.
— Fragmente der altkoptischen
H. Hyvernat, Canon
(Roemische Quartalschrift schichte
4, p. 330).
I,
Rome,
Liturgie.
Alterthum und Kirchenge-
christl.
fiir
1888.
H. Junker und W. Schubert, Ein griechisch-koptisches Kirchengebet. (AZ. 40, 190J,
F. Legge, 1897,
A
coptic Spell of the second Century.
183-187).
p.
Malan, 1872- 187 5. suivants
le
la
traduction anglaise des documents
:
de
aperçu historique sur
;
Catameros, sans
les
calendrier de l'Église copte, 91
;
Coptes
textes, 82 pp.
les
et ;
l'Église copte,
l'eucologe, 43 pp.
1
;
1 ^
pp.
;
liturgie
Grégoire, 90 pp.
S.
Dom caire).
H.
B.
P. Renaudin, La
(ROC.
IV, 1899,
The
Tallam,
Apostles
dans
XIX
documents of the coptic church. London
— Contient
Liturgie de S. Marc, 63 pp. pp.
(PSBA.
— C'est une formule d'exorcisme.
Original 8.
1-5 1).
p.
in coptic
Touralejff^
les «
p.
Messe copte
(traduction de
Mgr Ma-
12-43).
apostolical
or canons of the
constitutions
with an english translation. London, 1848,
[Le livre de Pâques de l'Église copte].
En
8.
russe
Commentationes philologicae en l'honneur de M. Pom-
jalowski. S.-Pétersbourg, 1897.
VIII.
APOCRYPHES.
Baumslark, Les Apocryphes coptes. (RB. 1906,
Étudie
la
p.
245-265).
publication de Revillout « Les Év. des 12 Apôtres
Fragments d'une apocalypse de Sophonie.
U. Bourianl,
».
(MMA
F. 1885).
W.
E.
Crum,
(PSBA, XXII,
Notes on the Strassburg
1900,
p.
72-76).
Gospel
Fragments.
— Notes philologiques.
ses Ed. Dulaurier, Fragments des révélations apocryphes de
thélémy et de
l'histoire
vés à
texte est à
copte-thébains inédits conser-
les textes
Bibliothèque du Roi.
la
Le
Paris, 1855.
Nat. (Copt. 78,
la Bibl.
La traduction française
Guidi, Frammenti
(Acad. dei Lincei
III.
copti.
ÎV).
f.
5-8).
est reproduite par Tischendorf, «
Apo-
XXIV-XXVII.
calypses apocryphae. Lips., 1866, p. J.
Bar-
des communautés religieuses fondées par
Pakhome. Traduit sur
S.
S.
Nota I-VIL Roma, 1887- 1888,
N. T., traduit par F. Robinson dans « Coptic apocryphal Gospels
par pon p.
Lemm
.076-089
;
dans
»,
moyen de nouveaux documents
168-176, repris et complété au
p.
4.
— La note VI contient un apocryphe du
Kleine koptische studien » XLII, 1905,
les «
texte copte édité par Lacaa dans « Apocryphes cojv
tes ». «/.
Guidi,
Di alcune pergamene
saidische délia collezione bor-
giana. (Rendiconti délia R. Ac. dei Lincei).
additionnelle aux « Frammenti copti
».
Roma,
1893.
—
Note
Quelques textes des actes
apocryphes des Apôtres et des Actes des Martyrs. J.
Guidi, Gli
atti
apocryphi degli apostoli nei
ed ethiopici. (Giornale délia Soc.
testi copti, arabi
asiat. Italiana, II,
1888), 66 pp.
—
Traduction.
Ad. Harnack und Cari Schmidl, Ein koptisches Fragment einer
Moses-Adam-Apokalypse. zu Berlin, 1891,
Une
feuille
Orient, in
fol.
p.
(Sitz. d. kônigl.
Akad.
preuss.
d.
Wiss.
1045-1049).
de parchemin de N. 1608,
fol.
j).
la
Bibl.
royale de Berlin (Ms.
Traduction et explications, texte
copte inédit. E. Hennecke, Neutestamentliche
Apocryphen
in
deutscher Ue-
bcrsetzung und mit Einleitungen. Tûbingen und Leipzig, 1904, 8,
28
+
558 pp. —Traduction.
26©
Handbuch zu den Neutestamentlichen Apocry-
E. Hennecke,
Parmi
les
+
XVI
phen, Tùbingen, 1904, 8,
604
pp.
apocryphes du Nouveau Testament,
étudie aussi
il
Apocryphes coptes.
les
Adolf Jacohy, Ein neues Evangelienfragment. Strasbourg,
—
Cari Schmidt dans « Gôttingische gelehrte Anzei-
critiqué par
gen » 1900,
481.
p.
Réponse de W. Spiegelberg dans «Deutsche
Litteraturzeitung » 1900,
N° 45
171. Nouvelles corrections
14^
900.
1
et 1901
N°
i
;
dans
1
Sphinx
»
IV,
de Jacoby dans «Sphinx», VI, 132-
Revillout reproduit le texte et le considère
ment de TEv. des
«
comme un
frag-
Apôtres. (Les Évangiles des douze Apôtres,
2
p. 159-161).
P. Lacau, Fragments d'apocryphes coptes. 4.
IV
+
(MMAF.
115 pp. avec 6 planches.
P. Ladeu^, Apocryphes évangéliques coptes. liel,
IX, 1904).
Évangile de Barthélémy.
(RHE.
Pseudo-Gama-
1906, VII, p. 245-268).
O. von Lemm, Koptische apocryphe Apostelacten. de l'Ac. Imp. des Sciences de 509-581 et
XXXV,
1892,
p.
S.
I,
II.
Pétersbourg, XXXIII,
(Bull.
1890, p.
2j3-p6, avec deux planches en pho-
totypie).
O. von Lemm, Zwei koptische Fragmente aus den Festbriefen des
heil.
Athanasius. (Rec. de trav. rédigés en mémoire du jubilé
scientifique de
Fragments de festales »
W.
de
M. Daniel Chwolson).
la
première et de
la
Berlin, 1899, p. 189-197.
—
vingt-cinquième des « Épitres
S. Athanase.
Ludike,
Die koptische Salome-Legende und das Leben des
Einsiedlers Abraham.
(ZWT.
1906, nouv. sér.
XIV,
p. 61-65).
E. Revillout, La sage-femme Salomé, d'après un apocryphe copte
comparé aux fresques de Baouit
Tétrarque Philippe, d'après
le
et la
même
princesse Salomé,
fille
document. (JA. X'
s.
du V,
270
— Texte
1905, p. 409-461). E. Révillout, (JA.
X^
Un
sa'îdique.
nouvel apocryphe copte. Le
— Petit texte
série, VI, 1905, p. 113-120).
E. Révillout, Apocryphes coptes du
de Jacques.
livre
sa'îdique.
Nouveau Testament. (Étu-
des Égyptologiques VII). i^fasc. Textes, Paris 1876, 4. XII
+
128
pp. lithogr.
E. Révillout, Les Évangiles des douze Apôtres et de S. Barthélémy. Texte copte édité et traduit. {Apocryphes coptes, « Patrologia orientalis » (T. villout a
douze Apôtres » dans 336.
Il
p.
tres est
fasc.
2)
a aussi publié des
246-250.
donnée par
lui
p.
et
dans
la
— Ré-
de l'Évangile des 167-187 et
321-
p.
notes sur ces deux Évangiles dans le
CR.
162-175 et dans Ac. des Inscr.
II, p.
Une
de Graffin
et critique
Revue Biblique 1904,
la
Journal Asiatique 1903, 1903,
II,
donné une étude historique
I,
Nau.
traduction complète de l'Év. des XII Apô:
Bessarione VIII,
p.
14-22, 157-177, 309.
F. Robinson, Coptic apocryphal Gospels. Translations together
with the texts of some of them, also notes and indices. Cambridge, 1896. (Texts and Studies, IV,
dans «Sphinx» IV, 32. «
— Compte
— Étude
critique
Goettingische gelehrte Anzeigen, 1899, Fr. Rossi,
ia
2).
I
papiri copti del
Ac. délie Se. di Torino.
1888- 1892.
4.
museo
ser.
II,
rendu par K. Pichl.
de Pietschmann dans
p. 46.
egizio di Torino,
tom.
(Mem.
dél-
XXXV-XLII). Torino
Tirage à part en deux volumes.
Cari Schmidt, Uebersicht ûber die vornicaenische Litteratur (einschliesslich der
Apokryphen)
in
koptischer Sprache. {Harnack,
Geschichte der altchristlichen Litteratur, Corrections par von
XXXIX,
2,
3.
p.
Lemm
I,
p.
918-924, 1893).
dans « Kleine koptische Studien
».
068.
Cari Schmidt, Die alten Petrusakten im Zusammenhang der
apokryphen Apostellitteratur nebst
einem neuentdeckten Frag-
271 ment. (Texte und Untersuch. N. F. IX,
+
Leipzig, 1905, 8, VII
i.)
176 pp.
Cari Schmidt, Acta Pauli aus der Heidelberger koptischen Papyrushandschrift N.
LV +
augmentée, 1905.
que
et la traduction
Atlas
de 80
p.
pour
le
ZDMG,
On
Le
lira
avec
1905,
Ce
dialecte tient à
58 (1904),
XXIV,
Analecta Bollandiana,
édition criti-
texte copte et le vocabulaire.
papyrus en entier.
le
2^
pour l'introduction, l'étude
petits fragments.
L^/poW/,
J.
p.
de l'achmimique.
sa'îdique et :
80
240
reproduisant
pi.
compose de 2000
vantes
;
—
Leipzig, Hinrichs, 1904. 8.
i.
fruit les
papyrus se la
fois
du
recensions sui-
920-924; P. Peeters,
p.
276-281. Cf. aussi Ad.
p.
Harnack, Untersuchungen uber den apokryphen Briefwechsel der Korinther mit
dem
Apostel Paulus.
Akad.
kônigl. preuss.
Wiss. 1905,
d.
den Paulusakten
zellen zu
Wissenschaft, T. V,
(Sitzungsberichte d.
8, 53 pp.
(Zeitschrift
Cad
}-}')).
p.
die Neutestamentliche
fur
1904, p. 228-247).
Clemen, Mis-
Corssea, Acta Pauli
P.
herausgegeben von C. Schmidt, dans (Gottingische gelehrte Anzeigen, 1904, p. 702-724).
W. (RT.
Spiegelberg, Eine sahidische Version der Dormitio Marlae.
XXV,
Georg
1903,
p. 4-5)-
Steindorff,
Die Apokalypse des
Elias
:
eine unbekannte
Apokalypse und Bruchstûcke der Sophonias. Apokalypse. Koptis-
che Texte, Uebersetzung und Glossar. Leipzig, Hinrichs, 1899, in-8.
F.
II,
VI
+
ja).
190
p.
avec deux planches. (Texte und Untersuch. N.
— Steindorff
établit
que
les
deux mss. en question con-
tiennent des fragments de trois apocalypses
achmimique, sa'idique.
l'apoc. d'Élie
Bon
en achmimique,
:
une apoc. anonyme en
l'apoc.
de Sophonie en
— Compte ren— Remarques importantes 222.
glossaire pour le texte achmimique.
du par K: Piehl « Sphinx de uon Lemm dans
les «
»,
IV,
p.
Kleine kopt. Studien
»,
X
et
XXVI.
272 L. Stem,
Anhang
iiber
Die koptische Apokalypse des Sophonias, mit einem den untersahidischen Dialect. (AZ,
1886,
p.
1,15-
155)-
GNOSTIQUES.
iX.
Pistis Sophia,
= Br. Mus. Or. = Bodl. Cod. Bruce).
(Codex Askew
de Jeou (Codex Brucianus
5
114) et Livres
Amélineau, Pistis Sophia, ouvrage gnostique de Valentin, tra-
du copte en
duit
français avec
une introduction.
Paris, 1895, 8.
Nombreuses corrections par Ernst Audersson dans 2^7-253
IX,
;
52-6?
p.
;
2^^25J
;
«
—
Sphinx » VIII,
X, 44-63.
Amélineau, Le papyrus gnostique de Bruce. (Acad. des Inscr.
CR.
1882, p. 220-228). Histoire
du ms.
et description
de son con-
tenu.
Amélineau, Notice sur le papyrus gnostique Bruce, texte et traduction. Paris, nat.
XXIX,
1891. (Notices et extraits des mss.
r* partie,
p.
du texte
sagesse et
de
le
manuscrit copte-thébain intitulé
(TIIJCTH CO^J^)
la
la Bibl.
6^-305).
Ed. Dulaurier, Notice sur la fidèle
de
et sur la publication projetée
traduction française de ce manuscrit.
(J
A. 1847,
i,p. 5M-548).
O. von Lemm, Bemerkungen zu einigen Stellen des Codex Brucianus. (Kleine koptische Studien, Fr.
M'ûnler,
Odae
gnosticae
XXV,
Salomoni
1901,
p.
501-jij).
tributae.
Havniae,
1812.
C. Schmidt, Gnostische Schriften
Codex Brucianus herausgegeben, zig, 1B92.
(TU.
n. F. VIII,
1,2).
in
koptischer Sprache aus
dem
ubersetzt und bearbeitet, Leip-
278 C. Schmidt, Die koptisch-gnostischen Schriften. Erster Band.
—
Sophia.
(Pistis
altgnostisches
— Die
Werk.) (Die
zwei Bûcher des Jeu. griech.
Schwart:{e, Pistis Sophia, tura
Schriftsteller d. ersteti
christl.
drei Jahrh.) Leipzig. Hinrichs, 1905,
8%
XXV +
On
H. Petermann. Berlin, 18$
J.
peut consulter encore
Coptic
«
et
latine vertit.
i.
:
WoidCy dans son « Appendix
Crum,
410 pp.
opus gnosticum Valentino adjudica-
e codice ms. coptico Londinensi descripsit
Edidit
— Unbekanntes
19
», p.
;
notice intéressante.
manuscripts... » p. 2-5.
Lipsius, art. « Pistis Sophia »
dans
le «
Dictionary of Christian
biography», IV. London, 1877-1887.
Harnack, Litter.
I,
p.
Ueber das gnostische Buch
171-172;
II,
p. <,}^).
On
Pistis-Sophia. (Altchr.
trouvera
là
toutes les réfé-
rences.
Autres gnostiques.
Trois autres textes gnostiques ont été signalés par Schmidt « Sitzungsberichte... »
712
1896, p. 859, et « Altchr. Litter. »
II,
p.
:
I.
Évangile selon Marie.
2.
Sagesse de Jésus-Christ,
j.
Actes de Pierre.
Ce
dernier texte a été publié par Schmidt dans les « Texte und
Untersuch. N. F. IX,
i. »
190^
M/stères des
Sur (JA.
le
lettres
grecques.
manuscrit (Bodl. d'Oxford, Hunl.
1847(0,
P-
ÎM).
18
J93)
cf.
Dulaurier
274 Amélineau, Les traités gnostiques d'Oxford. (Revue de l'Hist.
des
relig.
1890,
XXI,
262-294).
p.
Hebhelynck, Les mystères des Lettres grecques, d'après un ms. copte-arabe de I
la bibl.
Louvain, 1902.
vol. 8.
E. Gallier, Sur II,
bodl. d'Oxford,
1902,
p.
— Aussi dans
texte, traduction et notes,
«
Muséon
1900, 1901
Mystères des Lettres grecques
les a
(BIFA.
».
139-162). — Critique Hebbelynck.
TEXTES PATRISTIQUES.
X.
Amélineau,
Mémoire
sur un ms. copte contenant une série
pièces sur le concile d'Éphèse (Acad. des Inscr.
— Donne en abrégé
212-219).
».
le
C
R.
1890,
de p.
contenu du manuscrit.
U. Beaigni, Patrologiae et Hagiographiae copticae Spicilegium.
—
I.
Didache
Didache
coptica.
Roma, 189B,
sa'îdique éditée dans « Aegyptiaca »
paraison avec le grec et
la
— Traduction de
8, 23 pp.
de de Lagarde, com-
recension arabe.
Texte copte
U. Bourlant, Actes du Concile d'Éphèse. et publié.
dans
(MMFA.
Sphinx».
«
I,
VIII 1892).
122-15
U. Boudant, Les
me. (RT. V, 1884,
W. Budge, On
— Critiqué
et corrigé
p.
W.
traduit
parK
Piehl
5*
Canons Apostoliques de
p. 199-216.
— VI,
S.
Clément de Ro-
1885, p. 97-115).
—
S.
a fragment of a coptic version of Saint
rem's discourse on the Transfiguration of our Lord. 1887,
la.
317-329). — Texte
Eph-
(PSBA. IX,
et traduction. B.
E, Crum, Texts attributed to Peter of Alexandria. (Jour-
nal of Theol. Studies, 4, 1903, p. 387-397).
W.
E. Crum,
The
(PSBA. XXVI, 1904, te.
coptic version of the « p.
57-62).
Canons of
— Traduction
S. Basil ».
sans le texte cop-
275
W. p.
A coptic
E. Crum,
270-276).
« Letter of orders
— Texte copte boh.
(PSBA. XX, 1898,
».
Ce document
et texte arabe.
est
daté de 1079 des Martyrs.
Le Pasteur d'Hermas. Fragments de
L. Delaporie,
(ROC.
copte-sahidique.
(ROC.
L. Delaporie,
diques. f.
(ROC.
1905, p. 424-433).
1906,
101-102).
p.
Le Pasteur d'Hermas. Nouveaux fragments
—
1906, p. 301-3 11).
129,130; 132*,
version
Note sur de nouveaux fragments du Pasteur
L. Delaporie,
d'Hermas.
la
f.
Nat. cod. copt.
Bibl.
sahi-
130^,
33,34,45. Texte et traduction.
H. Guérin, Sermons inédits de Senouti. (Introduction, texte, traduction).
148-164 «
;
Thèse soutenue
XI, 1904,
1.
Guidi,
W.
1905,
di
un
Texte copte.
1).
p.
0223-0237.
oraelia di
Efrem. (Bes-
S.
— B.
Koptische Akten zum Ephesinischen
Kraat:^,
lahre 431.
XLV,
»
La traduzione copta
sarione, VII, 1903, p. 1-2
Uebersetzung und Untersuchungen.
VII-f-220 pp. Leipzig, 1904.
p.
— Cf. remarques de pon Lemm dans
p. 15-34).
Kleine koptische Studien
du Louvre. (RE.X, 1902,
à l'Ecole
Konzii
(TU N.
vom
F. XI, 2)
— Texte copte dans Bouriant (MMF
A.
VIII). J.
Saïdische Ausziige aus
Leipoldt,
lischen Konstitutionen. (TU. zig, 1904.
— Étude
Neue
et traduction
dem
8.
Bûche der Aposto-
Folge, XI,
du
8* livre
i
b)
61 pp.
8.
Leip-
des « Constitutions
Apostoliques » édité par de hagarde dans « Aegyptiaca
», p.
266-
291. — Nouvelles additions. J.
Leipoldl,
Der
Hirt des
Hermas
in
saïdischer Uebersetzung.
(Siizungberichte der K. Preuss. Akad. der Wissenschaften,
XII,
1903, p. 261-268). Étude critique. J.
Leipoldl
el
W. Crum,
Sinuthii archimandritae vita et opéra
omnia. (Corpus Script. Christ. Orient., Scriptores coptici, Ser.
II;
876
t.
II, fasc.
I
82 pp. Voir
:
Paris, Poussielgue, 1906,8,
Sinuthii vita bohairica).
le
Reme
compte rendu de Maspero,
10
critique,
Dec.
1906, p. 442.
O. von Lemm, Eine dem Dionysios Areopagita zugeschriebene Schrift in koptischer Sprache. (Bulletin
de
S'
de l'Ac. imp. des sciences
Pétersbourg, V" série, tome XIII,
bourg 1900, 40 pp.
in-4°.
— Tirage
267-306).
p.
à part.
— Récit
S'
Péters-
intéressant
l'Aréopagite raconte l'arrivée de S. Paul à Athè-
dans lequel Denys
nes et sa première entrevue avec l'Apôtre.
K. Piehl dans a Sphinx
—
Compte rendu
par
» IV, 44.
O. von Lemm, Das Triadon, ein sahidisches Gedicht mit Arabischer Uebersetzung.
I.
Text mit
drei Tafeln, 8,
S.-Pétersbourg 1903.
— C'est un poème
posé peut-être au 14*
s.
quatre vers dont les tercet, d'où le
;
XVII
251 pp.
religieux et moral
l'auteur est inconnu.
com-
Les strophes ont
trois premiers riment ensemble et forment un
nom de Triadon iJil Le .
rime on. Le texte arabe et
le
4* vers a partout la
Zoéga
même
vocabulaire copte-arabe rendront les
plus grands services pour l'intelligence des mots coptes. avait été publié par
+
« Catalogus »,
CCCXII,
p.
Le copte
642-659.
Lenormani, Note relative aux fragments du concile oecuméni-
que d'Éphèse conservés dans Inscr.
XIX.
II,
p.
la
version copte.
(Mém. de
l'Ac. des
301-J25. 1853).
'
'
R. Pietschmann, Theodorus Tabennesiota und die sahidische
Uebersetzung des Osterfestbriefs des Athanasius vom Jahre 367. (Nachrichten der K. Gesellsch. der Wissensch. zu Goettingen, 1899,
I, p.
87-104).
R. Pietschmann, Apophtegmata Patrum
boheirisch. (Nachrich-
ten der K. Gesellschaft der Wissensch. zu Goettingen, 1899,
— Deux
Sphinx
feuilles >>
III,
63.
*)•
de parchemin. Cf. analyse par K. Piehl dans
277
E. RevUlout,
Le concile de Nicée d'après
288; 1875,
I.
1-77; 209-276; 501-564;
p.
216 pp.
tion à part, Paris, 1881, 8, 72 -f
—
coptes et
les textes
les diverses collections canoniques. (Jour. Asiat. 1873, 2, p.
210-
2. p.
— Édi-
473-560).
S.
E. RevUlout, Récits de Dioscore exilé à Gangres, sur le Concile
de Chalcédoine. (RE.
III,
i88î,
W.
p.
187-189;
II,
188 1,
p.
21-25
;
17-25).
p.
Riedel and
xandria.
1880,
I,
The
W. Crum, The canons
of Athanasius of Ale-
versions edited and
arable and coptic
translated
with introductions, notes and appendices (Text and Translation Society). 8.
XXXV +
C. Schmidt, dans
les
Der
154
London^ 1904.
Osterfestbrief des Athanasius
« Nachrichten
ten zu Gôttingen,
p.
der
vom
lahre 367
K. Gesellschaft der Wissenschaf-
Philologisch-historische Klasse
)i,
1898, p. 167-
205.
Emilio Te\a, Frammenti inediti di un sermone di Scenuti in dialetto sahidico. (Acad. dei Lincei
697).
Roma,
Le
V,
vol.
I,
1892,
p.
682-
1892.
texte est repris et corrigé par
Kopt. Studien »
XLV,
E. O. Winsledt, p.
ser.
1905, p.
O. von Lemm dans
«
Kleine
0216-0219.
Some Munich
coptic fragments.
(PSBA. 1906,
137-142).
E. O. Winsledt, ters. (Journal
The
original tcxt of
of theological Studios 1906,
E. O. Winsledt,
A
coptic
onc of St Antony's p.
—
II.
(PSBA. 1906,
p.
540-545).
fragment altributed to James the
brother of the Lord. (Jour, of theol. Studios, 248).
let-
229-237).
VIII,
1907,
p.
240-
278
Vies
XI.
ACTES DES MARTYRS.
des
Saints
et
Monuments pour
Amélineau,
chrétienne aux IV' et
V
s.
du désert.
Pères
des
servir à l'histoire
(MMAF.
IV,
de l'Egypte
—
1888.
i)
[Vie copte
de Schnoudi. Panégyrique de Macaire de Tkôou. Sermon de Cyrille. Lettres
d'Acace
de Pierre Monge. Fragments sur
et
Apas Bgoul, Schnoudi, règles monastiques, vie arabe «
Kleine koptische Studien Amélineau,
p.
Un
»,
XL.
— B.
au IV^
Monuments pour s.
Histoire de S.
musée Guimet XVII).
—
cod. vat. 66,
et
XXXVII +
—
80
pp.
(Bull,
Paul, Antoine, Macaire,
+ 429
Étude
1888,
p.
critique, texte
de correspondance
la
Basse-Egypte
Maxime, Domèce, Jean
africaine,
II).
pp.
le
:
Vies des SS. Nain, etc.
du Musée Guimet
—
XXV)
— B.
Amélineau, Les actes coptes du martyre de
BA. X,
124-158.
— B.
et traduction française (Ann.
1894. 4. LXIII
1889,
— B.
Histoire des monastères de
Texte copte
fol.
II,
de ses communautés (Ann. du
Paris, 1889. 4.
1890
la
dans les
de l'Egypte chrétienne
servir à l'histoire
Pakhôme
(MIE.
siècle.
Histoire du Patriarche copte Isaac.
et traduction. Paris,
Lemm
et S.
évêque de Keft au VU' ;
les
Contient aussi
etc.].
Corrections par von
261-424). Texte copte et traduction
— B. —
8.
—
de Schnoudi.
S.
391-417).
— Texte
S.
copte (ms.
Polycarpe (PS
vat. 66) et
traduc-
tion.
Amélineau, Martyre d'apa Claudios d'Antioche (fragment thébain).
Études arch.
ling. et hist.
dédiées à
M.
le
Dr. C. Leemans.
279 Leide 1885,
4), p.
89-95.
— Cf.
Un document
Amélineau,
copte du XIIP siècle. Martyre de
Jean de Phanidjôit. (JA. 1887
—
Z. 146.
11 5-190).
(2), p.
Introduction, texte et traduction.
à la décadence de
la littérature,
Le
texte copte appartient
au point de vue
est important
il
historique et géographique.
Amélineau, Les actes des Martyrs de l'Église copte. Étude
cri-
tique. Paris, 1890. 8.
Robert Atkinson, riant's «
On
South-Coptic Texts
Éloge du Martyr Victor,
of the Royal Irish Academy, blin,
fils
a Criticism
:
vol. JII, i,
III ser.
on Bou-
de Romanos » (Proceedings p.
Du-
225-284).
1893.8.
Balestri,
Il
Martirio di S. Luca evangelista. Testo copto e tra-
duzione. (Bessarione, IX,
1905
p.
—
128-141).
Cod. Vat.
68.
f.
16-21.
P. G. Balestri,
martirio di
Il
copto e traduzione. (Bess. 1905,
Apa Sarapione 2^ sér.
IX,
p.
di Panefôsi.
Testo
179-192). — A
sui-
vre.
G.
Balestri,
Il
martirio di S.
Teodoro
compagni Leonzio l'Arabo e Panigiris sér.,
t.
X,
p.
1
51-168.
A
il
Persiano. (Bess. 1906,
VIII.
1893).
—
Wallis Budge,
2"
suivre).
U. Bouriant, L'éloge de l'Apa Victor,
FA.
l'Orientale e de suoi
fils
de Romanos.
(MM
S.
The martyrdom
of Isaac of Tiphre.
(TSBA. IX)
Londres 1886.
—
Fragments of
a coptic
version of an
the Thesbite attributed to S. John Chrysost.
—
The martyrdom and
London, 1888. (Texte copte dans
WZ.
III,
1889,
p.
miracles
ol"
S.
encomium on Eliyah
(TSBA. IX)
et traduction anglaise).
274-280.
1888.
George of Cappadocia.
CR.
par Krall
880
—
Michael the Archangel
S.
:
three encomiums by Theodosîus
Archbishop of Alexandria, Severus Patriarch of Antioch, and Eustathius
Bishop of Thrake. London, 1894.
W. Budge, Notes on
the martyrdom of the coptic martyr Isaac
of Tiphre. (PSBA. VII, 1885,
p. 95-97).
P. Casanova, Notes sur un texte copte du XIIP siècle. (BIFA. I,
— Corrections
1901, p. 1-26).
Ant Georgi O. luthi
S. A.,
d'Amélineau.
à l'édition
Fragmentum copticum ex
erutum ex membranis saeculi V, coptice
Co-
actis S.
et latine.
Romae,
1781.
—
De
Actorum
miraculis S. Coluthi et reliquiis
S.
Panesniv
martyrum thebaica fragmenta duo. Praeit dissertatio Stephani Card. Borgiae de cultu S. Coluthi martyris.
Accedunt fragmenta
omnia ex museo Borgiano Veliterno deprompta mae, 179J,
in-4,
CCCXX + 416
ment, ajoute un second sur
S.
—
et
varia
;
Ro-
illustrata.
le
premier frag-
Coluthus et un sur
S. Panesniv.
pp.
Les deux mss. sont décrits par Zoega
Il
réédite
CXLI
(p. 2^7) et
CXLII
(p.
238). /.
Guidi, Testi orientali inediti sopra
feso, publicati et tradotti.
délie se. /.
ment©
mon
Guidi,
st.
Il
et
filol.
(Mem. XII).
di Isacco e
il
délia R.
Roma
testo copto del
Testamento
Sette Dormiente d'E-
Acad. dei Lincei
di
di
Abramo
;
il
Testa-
Giacobbe (Testo copto). v. vol.
IX,
p.
1
57-181).
— Ces textes ont été traduits en allemand, avec des
marques philologiques par Ernsl Andersson dans 220-2J7; VII, 77-95 /.
clas.
:
1884.
Testamento
Rendiconti délia Ac. dei Lincei. Ser.
ma, 1900.
i
;
le
«
Sphinx
— Rore-
» VI,
129-143. — B.
Guidi, Vie et récits de l'abbé Daniel de Scété, texte copte
publié et traduit (en italien).
(ROC. V,
1900).
H. Hyvernat, Vie de Sainte Marine. Texte copte
et traduction.
281
(ROC.
VII, p. 126-15
j).
H. Hyvernat, Les actes des martyrs de l'Egypte coptes de
Bibl. vatic. et
la
duction française,
i'
vol.
des mss.
tirés
du musée Borgia. Texte copte
en 4
—
fasc.
Paris
et tra-
+
VIII
1886-7, 4,
3PPPP. Ladeu\e, Les diverses recensions de
dépendance mutuelle. (Muséon 1898,
et leur
— et la
la
Étude sur
le
vie
p.
cénobitisme pakhômien pendant
première moitié du
Monge
mi, 1902,
d'Acace »
et
(Atti del 2°
S.
V
de
Congresso internazionale
390 pp.
« Lettres
de Pier-
de Jean de Phanidjoït
u vie
la
IV* siècle
le
X+
siècle. Paris, 1898, 8,
et
Pakhôme
145, 269, 378).
P. de Larminat, Révision du texte copte des re
de
».
Ro-
di archeologia cristiana).
337-352.
p.
O. von Lemm, Sahidische Bruchstûcke der Légende von Cyprian
von Antiochien. (Mém. de l'Ac. imp. des Sciences de S.-Pé-
tersbourg, Vlir série, IV, 1899, n. 6; XII
Compte rendu ments
tirés
de
«Sphinx»
par K.
Piehl dans
la Bibl.
Nat. (ms. copte 129*^).
E. Reinllout, Le martyre de S. Ignace. 37).
Boh. et
+
90
in-4°).
III,
1883,
p.
(Oxyrinque). (RE.
III,
1883,
p.
27-34).
—
Pemdje
S.
E. Reuillout, Vie de S. Pésunthius, évêque de Coptos. p.
Fr. Rossi,
contenente
34-
S.
E. Revilloui, La vie du bienheureux Aphou, évêque de
IX, 1900,
—
Frag-
233-235.
III,
(R E.
p.
(RE.
177-179). — B.
Un
la vita
nuovo codice copto del Museo egizio di S. Epifanio
ed
i
martiri
di
S.
di
Torino
Pantaleone, di
Ascla, di Apollonio, di Filemone, di Ariano e di Dios, con versetti dei vari capitoli del libre di Giobbe.
(R.
délia classe di scienze mor., sto. e filolog. 1
36 pp.
I
pi. S.
Acad. dei Lincei. I,
part
i).
Roma,
Mem. 1893.
282 C. Schmidt, Fragmente einer Schrift des Maertyrer-bischofs Petrus von Alexandrien. (TU.N.F. V,
4).
Leipzig 1901, 50 pp.
G. Slelndorff, Gesios und Isidoros (AZ. 21, 188?,
— Ce sont à
Émèse en
Syrie, des ossements
cles accomplis par les
de
137-159).
la
découverte
S. Jean-Baptiste,
et les mira-
fragments d'un ouvrage racontant
trois
p.
Gesios et
Saintes Reliques en Egypte.
doros sont deux jeunes gens qui grâce à un miracle firent
la
Isi-
décou-
verte.
XII.
HISTOIRE.
Amélineau, Fragments coptes pour servir à l'histoire de
quête de rÉgypte par
les
Arabes. (Journ. Asiat.
— — Mémoire sur deux documents
411).
1888,
la
con-
2. p.
361-
S.
coptes écrits sous
324-369). —
nation arabe. (BIE. 1885, p.
la
domi-
S.
Amélineau, Samuel de Qalamoun. (Revue de l'histoire des Religions)
47 pp.
8.
Amélineau,
— Étude sans texte copte.
De
des fragments de
historia lausiaca (thèse). Parisiis 1887.
la
près Vat. cod. copt.
Contient
version copte de « l'histoire lausiaque
»,
d'a-
LXIV.
Amélineau, Voyage d'un moine égyptien dans le désert. (RT. VI, 1885,
p.
166-124).
Amélineau, Histoire des deux
B
A.
X, i888,
p.
181-206).
la
môme
292,
n.
d'un passage du syna-
texte copte et traduction de deux
légende, le premier dans 4
tion Crawford-Balcarres, le
Leyde
de l'empereur Zenon. (P S
— Traduction
xaire copte-arabe (21 touba),
fragments de
filles
deuxième sur un
ff.
feuillet
de
la
collec-
du Musée de
(republié depuis par Pleyte et Boeser, Mss. Copies, p, 29056).
283 Cf. sur le
même
sujet
:
O. von Lemm, Die Geschichte von der Kaiser Zeno und
Prinzessin Bentresch und die Geschichte von
seinen zwei Tôchtern. (Bull, de l'Ac. Imp. des Sciences de St.-Pétersbourg,
XXXII, 1888
p.
473-476.
— Mélanges
Asiatiques, IX,
599-^03).
p.
Amélineau, Étude historique sur S. Pachome et primitif dans la
1886,
les
monuments
cénobitisme
coptes. (BIE.
306-399).
p.
W.
Haute-Egypte, d'après
le
E. Crum, Coptic texts relating to Dioscorus of Alexandria.
XXV,
(PSBA.
1903,
267-277).
p.
aux textes syriaques de
même
— Ces fragments sont comparés
nature,
par
Nau
(JA.
1903,
II, p.
181-185).
W.
E.
XXIV,
Crum, Eusebius and coptic Church
—
Étudie et traduit
ms. Copt.
p.
(PSBA.
d'une version copte de r« HisBibl. Nat.
la
de
». II.
A
coptic Palimpsest.
Fragment of a
I.
Prayer of the Virgin
Patriarcal History.
in
(PSBA. XIX, 1897,
210-222).
A. Erman, Heidnisches bei den Kopten. (AZ. 33, 1895, 5
Paris,
129^''.
E. Crum,
« Bartos
les restes
d'Eusèbe, conservés à
toire Ecclésiastique »
W.
historiés.
1902, p. 68-84).
P-
47"
0. J. Leipoldt,
Schenute von Atripe und die Entstehung des na-
tional aegyptischen Christentums. Leifzig, 1903.
X-f
(TU. N.F. X,
i),
213 pp.
Comptes rendus
XXIV,
1905,
p.
:
P. Peelers dans
144-147;
—
« Atialecta
Crum: A
study
in
bollandiana
the history of
egyptian monasticism dans « Journal of Theol. Studies, 129-133.
—
P. Ladeu:{e dans
15 Janvier 1906, p. 76.
Une
«
Revue
»
vol.
V,
p.
d'histoire ecclésiastique »,
correction par von
Lemm
dans
« Klei-
284
lie
koptische Studien
»,
XLV,
1905, p. 0219.
Lg/toW/, Berichte Schenute s ùber Einfaelle der Nubier in
J".
Aegypten. (AZ. 40, 190J, Corrections par von
XLV,
1905,
p.
Lemm
—
126-140),
dans « Kleine koptische Studien
p.
Alexandriens. (Mém. de l'Ac. imp. des
Tome XXXVI,
—
•
11). 1888.
n.
geschichte Alexandriens
encomium de
1905,
Dom. (Extrait
1896,
2),
». (Bull,
p.
Athanase.
S.
A. Mallon,
60
zur Patriarchengeschichte
se.
de S.-Pétersbourg. Vir
S..
Nachtrag zu den « koptischen Fragmenten zur Patriarchen-
tersbourg, IV,
(ROC;
de l'Ac. imp. des
de S.-Pé-
se.
237-243. — Ce sont des fragments d'un S.
Documents de source copte
sur
Sainte Vierge.
la
182-197; 251-258).
p.
P. Renaudin, Les Coptes Jacobites et l'Église Romaine.
de
la «
Science catholique
» 1895).
Arras, Paris, 1895,8,
pp.
E. Revillout,
Mémoire
scription copte trouvée à
sur les
Blemmyes,
à propos
partie, 1869, p. 371-445). Paris 1874.
Lepsius. «
Denkmaeler
B. Touraieff, liturgie
de
la
[De
mon. copt.
l'histoire
Haute-Egypte].
giques grecs, dans pages).
»,
les «
d'une
in-
Dendur. (Mémoires présentés par divers
Savants à l'Acad. des Inscriptions et Belles-Lettres, i^
>>,
0219-022^.
O; von Lemm, Koptische Fragmente
série,
Textes et traduction.'
38.
pendant
En
russe.
i' série,
— L'inscription
est
VII,
dans
Textes intéressants. la
—
Annales Byzantes
période grecque de
Deux t.
VII,
fragments n.
3,
la
litur-
1900, (6
I
28§
GEOGRAPHIE.
XIII.
Akerblad,
Mémoire
sur les
noms coptes de quelques
d'Egypte. (JA. IP série, XIII, i8m,
villages
,
p-
.
villes et
n7-?77» 5B5-435).
Amélineau, La géographie de l'Egypte à l'époque copte. Paris,
— Liste des évêchés.
1893.
'..?;.'.
P. Casanova, Les noms coptes du Caire et localités voisines.
(BIFA.
W. 1899,
1901,
I,
E.
p.
p.
27-112), avec
une
Crum, La Nubie dans
carte.
textes coptes.
les
223-227).
Les grandes
G. Daressy,
(RA. 1894,
II, p.
196-215),
A. Eveils and
J. Butler,
d'Egypte à l'époque copte.
villes
The churches and
monasteries of Egypt
and some neighboaring countries attributed to menian, edited and translated. Oxford, 1895,
— Texte arabe avec beaucoup de notes sur C.
(RT. XXI,
W.
(AZ. 1869,
les
Abu 8,
Sâleh the Ar-,
XXV
-|-
382
pp.,
noms coptes.
Goodiving, Topographical notes from coptic Papyri. p.
75-76).
— Noms de diverses
localités
d'Egypte
d'a-
près les papyrus du Br. Mus.
û. G. Hogarth, Three lénic studies.
XXIV),
G. von Lemm, cje
1904.
Iberica
(Mém. de
par Andersson dans « Sphinx
Etienne
Quatremère,
sur l'Egypte
et
«.
X,
p.
sur quelques contrées
1.
50.
6).
Impér. des sciences 1906,
— Étude sur ces deux
39 pp. 4.
—
J5-?8.
Mémoires géographiques voisines.
et historiques, I,
II.
Paris,
.1
de Rochemonieix, Buschin 1
l'Acad.
St.-Pétersbourg. Vlir série, vol. VII,
CR.
181
north Delta nomes. (Journal of Helle-
et Phanizoit. (JA. 1887, (2), p. 145-
localités.
2Ô6
J. ris,
de Rougé, La Géographie ancienne de
1891.
— Listes des évêchés coptes,
p.
1
Basse-Égpyte. Pa-
la
51-161.
ÉPIGRAPHIE ET ARCHÉOLOGIE.
XIV.
P. G. Balestri, Di un frammento palimpseste copto-sahidico del
Museo
Borgiano. (Bessarione, Vil, 190J,
p. 61-70).
U. Benîgni, Litaniae defunctorum copticae.
let-Août 1899,
P-
106-121) S.
Bergmann, Une inscription copte. (RT.
VII, 1886, p. 195).
Waldimir de Bock, Matériaux pour servir
rÉgypte chrétienne. Édition posthume chefF]. (S.-Pétersbourg 1901), II
en phototypie.
(Bessarione, Juil-
— Texte
l'archéologie de
à
[par Smirnoff et Golénis-
+ 94 pp.
et atlas
de 23 planches
Ou-
Belles illustrations.
français et russe.
vrage archéologique de grande importance. Nombreuses inscrip-
non traduites, de
tions coptes, S.
l'oasis
de Thèbes, du couvent de
Siméon à Assouan, du couvent blanc
et d'ailleurs.
U. Bouriani, Sur trois tables horaires coptes. (MIE. $96).
Note par Venire-hey.
p.
596-605.
bles horaires sont « des tableaux
jetée par le style d'un
Le Caire
donnant
gnomon aux
la
1900.
III, p.
longueur d'ombre pro-
».
\" table, sur un temple de Taphis en Nubie, copiée par
quée par Lelronne, 2' table,
dans
«
le
I,
p.
Nubie,
œuvres choisies couvent de
Bouriani, « Catalogue des sér.
la
Mon.
S.
ta-
différentes heures de la journée
moyenne de chaque mois de l'année
yageur Gau. « Antiquités de
575-
— Ces
le
vo-
pi. 11. », discutée et expli-
», 2* sér.
I,
p. yj.
Siméon à Assouan, publiée par
et Inscr.
de
l'Ég.
antique
»,
i"
137.
}' table, livret
en parchemin découvert à Siout par de Mor-
287
gan,
Musée du
Caire.
en parchemin acquis par Bouriant, Miss. arch.
4^ table, livret fr.
du Caire. U. Bouriant,
1886,
114-1 J2).
p.
monuments
Petits
— Deux doxologies
une
et
U. Bouriant, Petite inscription historique
(RT. VII, 1886,
—
(RT. V), 1884.
(MMAF.
1884,
Inscriptions coptes
du temple d'Abydos.
1884-85).
p.
n. 4, d.
169).
Roma,
Jean Clédal, Le monastère et XII, fasc.
i).
Le
Cet ouvrage
la
est
chrétienne d'Egypte ;
de ;
il
la
de Archeol.
II
christ.
Com-
19CK).
nécropole de Baouît. (MIFA.
Caire, 1904, 4, VIII
inscriptions coptes
I,
— Inscriptions Coptes.
n-5o)-
ment, authent.
(MMFA.
du tombeau de Déga.
G. Botti, Contratti copti. (convent.
J.
inscription.
en dialecte thébain.
monuments coptes du musée de Bou-
U. Bouriant, L'église copte I,
VllI,
p. 218).
U. Bouriant, Notice des laq.
(RT.
textes.
petits
et
+ 71
pp. avec 38
pi.
plus haute importance pour l'archéologie
contient de nombreuses et intéressantes
prières, épitaphes, textes bibliques, etc.
Clédat, Recherches sur le
kôm de
des Inscr. et Belles-Lettres, 1902,
Baouît.
p. 525-546).
(CR. de l'Acad.
—
Quelques
in-
(BIFA.
II,
scriptions. J.
1902,
Clédat, p.
Notes archéologiques
41-70). — Contient
et philologiques.
les inscriptions
coptes de
la
chapelle
d'Abou-Hennès. Plusieurs avaient déjà été publiées par Sayce dansles
PSBA.
56
pi.
W.
1886,
p.
175 et 1887,
i95-
E. Crum, Coptic monuments. Cairo, 1901,4, 160 pp. avec
(Catalogue général du
W.
p.
Musée du
Caire).
E. Crunt, Inscriptions from Shenute's monastcry. (Journal
of theological Studies, 1904, V,
p.
552-569).
—
Inscriptions cop-
tes Ces
tes avec traduction anglaise.
inscriptions ont été copiées
en
1904.
W.
Crum, Der
E.
40, 1902,
p.
W". E.
Apollo und das Kloster von Bawît. (AZ.
hl.
6062). Coptic Ostraca from the collections of the
Crurriy
Egypt Exploration Fund, the Cairo Muséum and others. London 1902, 4,
XXII
+ 99 +
125, 2
pi.
Compte rendu important de W.
Albert Deiber, Notes sur p.
Caire.
(OLZ. 1903,
p.
Nouveaux documents.
59-69).
190 j,
Spiegeïberg.
20J-211).
Le premier
deux documents coptes. (BIFA.
Ces deux documents sont chez M. est
une
de plusieurs moines avec
Dattari au
inscription funéraire contenant les
la
date de leur mort
le
;
III,
noms
second est une
lettre sur papyrus.
G. Ebers, Sinnbildiches. Die koptische Kunst, ein neues Gebiet der altchristlichen Sculptur und ihre Symbole. Leipzig, 1892, 4,
IV
+ 61
pp. avec 14 gravures.
A. Gayet, Les III,
3
;
monuments coptes du musée de Boulaq.
un supplément dans
III, 4).
(MMFAi
Paris, 1889.
A. Gayet, L'art copte. Paris, 1902.
8. VIII
+
334 pp.
—
Illus-
trations.
H. R. Hall, Coptic and Greek Texts of the Christian period from ostraka, stelae, 159 pp., 100
etc. in
the British
Muséum. London,
1905. 4,
pi.
Jean Hess, Eine koptische Grabschrift. (AZ.
XXVI,
p.
105
).
A. Kamel, [Une épitaphe copte de Deir el-Bersché]. (Annales
du Serv. des Antiquités de
l'Egypte,
II.
p.
222).
—
Texte
copte. J.
Krall, Koptische Ostraca.
(WZ, XVI,
1902, p. 255-269).
289
En
rendant compte des « Coptic Ostraca » de Crum, Krall pu-
du musée de Vienne.
blie plusieurs ostraca
Inscriptions chrétiennes
du Musée du Caire.
— Quinze inscriptions coptes,
sur des stèles acquises
G. Lefebvre,
(BIFA. depuis
III).
la
Monuments
publication des « Coptic
Musée du
servées au
»
de Crum,
et con-
Caire. Huit inscriptions coptes de Tehneh,
conservées au musée d'Alexandrie. Celles-ci ont été trouvées à
Tehneh en 1903
par
MM.
P. Jouguel et G. Lefehvre.
O. vonLemm, [Une épitaphe copte] dans p.
67, publiée d'abord
comme grecque
ZDPV.
VIII, 1885,
Mordimaan dans ZDPV.
par
VII, 119.
R. Lepsius, Denkmaeler aus Aegypten und Aethiopien. Berlin, 1849-59.
— 56 inscriptions coptes
dans VI Abtheilung, Band 12,
Blatt 102-103.
A. Mallon,
Musée des
Nouvelle inscription copte de Philae. (Ann. du
Antiquités égyptiennes au Caire, 1905,
p.
107-1
G. MasperOf Notes sur différents points de grammaire toire.
(Mélanges d'arch. égypt. et
106-112; 1876,
p.
158-152; 1874,
p.
p.
assyr.
1).
et d'his-
74-80; 1873,
p.
212-222; 1875,
P-
291-299
p.
III,
;
121-132).
G. Maspero, Fragments coptes (RT.
G. Maspero, Sur une tés
1872,
1
de l'Egypte, IV,
l'épitaphe
Musée du
stèle copte.
p, 161-165).
VII). Paris, 1886.
(Ann. du Serv. des Antiqui-
— Texte
copte et traduction de
de l'Abba Thomas, évèque du Caire au
—
9° siècle.
Caire.
G. Maspero, [Inscription copte sur une cruche trouvée à Deir et-Ai:{âm près d'Assiout], (Annales
gypte,
I,
p.
117-120)
— La cruche J.
du Serv. des Antiquités de
— Cf. Loret dans
est aujourd'hui au
«
Sphinx
Musée du
de Morgan^ Catalogue des
VI,
p.
103-105.
Caire.
Monuments 19
»,
l'E-
et
Inscriptions
de
— 290 rÉgypte antique,
i* série,
tome
1894.
I,
— Plusieurs
inscriptions
coptes.
Munas, publie
les stèles coptes
du Vatican dans VArte 1905,
p. 446.
R. Pielschmann, Les inscriptions coptes de Faras. (RT. 1899,
XXI,
I? 3-136).
p.
Reinhardt, Eine koptische Grabschrift. (AZ. 1888, p. 105).
E. Revillout, Les affres de 1880,
139-143).
p.
— Passage de
la
la
mort chez
— Deux épitaphes.
II,
(
I,
1881, p. 64-72).
biographie de Pisenti, évêque de Keft. Boh.
E. Revillout, Les prières pour tienne.
S.
Égyptiens. (RE.
les
(RE- IV, 1885,
les
morts dans l'épigraphie égyp-
— Diverses épitaphes.
p. 1-54).
E. Revillout, Mélanges d'épigraphie et de linguistique égyptienne. (Mélanges' d'Arch. égypt. et assyr. 1873, p. 166-196; 1874, p.
222-239; 1875,
III, p.
1-56).
— Inscriptions
et notes
de gram-
maire.
Seymour de (Annales du ches.
Musée Guimet,
grecques et coptes (d'Antinoë).
XXX,
— Dix-sept inscriptions coptes
Seymour de 102).
Ricci, Inscriptions
—
S.
Il
31-143), avec trois plan-
très mutilées.
de Ricci reprend
p. 87). et celle
(RA
1902,
et corrige la traduction
de
l'Inst.
fr.
d'une inscription grecque,
II,
p.
96-
d'une inscrip-
d'Arch. or. au ibid.
indique deux autres inscriptions coptes introduites par erreur
dans le n.
I,
1
Ricci, Inscriptions déguisées.
tion copte publiée par Clédat (Bull,
Caire,
3, p.
c<
Corpus Inscriptionum Graecarum
»,
4706
et IV, p. 573,
9B63. Fr. Rossi,
(Atti
délia
R.
Di
copti del
Museo
egizio di Torino.
Acad. délie Scienze di Torino, XXXI). Torino,
1895. II pp. avec
—
alcuni cocci
I
pi.
— Ostraca coptes.
Di un Coccio copto
del
Museo
egizio di
Torino.
{Ibid.
291
XXXI,
H p.
1896, 8 pp.).
XX,
Sa/ce^ Gleanings from the land of Egypt. (RT.
174-176).
— Trois
inscriptions
1898,
de Faras en Nubie^ Cf.
le sui-
vant.
H. Sayce, Coptic and early Christian Inscriptions Egypt. (PSBA. VIII, 1886,
in
Upper
175-191). Inscriptions de Déir
p.
Abou
Hennés.
H. Sa/ce, The coptic inscriptions of Beni-Hassan and Deir-elMedîneh. (PSBA. IV, 1882,
p.
1
17-123).
H. SchaefeTy Ein Trichter mit koptischer Weihinschrift (mit 2
Abbildungen). (AZ. 39, 1901,
C.
(AZ.
Darstellang.
p.
152).
Ueber eine angebliche
Schmidt,
33,
1895,
p.
Madonna-
alticoptische
58-62).
Ebers dans « Altkoptisch oder heidnisch
— ».
Réponse de
(AZ. 33,
G.
1896,
p.
«35).
W.
Spiegelberg, Koptische Kreuzlegenden, ein neues Bruch-
stuck der koptischen Volkslitteratur. (RT. XXII,
1901, p. 206-
211).
G. Steindorff, Ein koptischer Grabstein. (AZ.
38, 1900, p. 57-
61).
L. Stern,
Die Indictionen-rechnung der Kopten. (AZ. 1884,
p.
160164). L.
Stem, Sahidische Scherben-aufschriften (AZ. 1885,
p.
68-
p.
96-
75)-
—
Koptische Inschriften an alten Denkmaelern.
Ibid.
102.
—
Fragment êines koptischen Tractatus ûber Alchimie.
L.
Stern,
Memphitisch-koptische
Fragmenta.
(AZ.
Ibid.
XIV,
1876). J.
Stri^goîvski,
Der
koptische
Reiterheilige
und der
hl.
292 Georg. (mit
Tafel und 4
i
(AZ. 40, 1905,
Abbildungen).
49-
p.
60). J.
Koptische Kunst. Catalogue général des Ant.
SirTj-gOîvski,
égyp. du
Musée du
XXIV +
Vienne 1904.4
Caire).
J62 pp. avec
gravures et planches.
E. Teia, Inscrizioni cristiane d'Egitto
due
.-
in
copto e una in
graeco. Pise, 1878. E. Tissot,
Étude sur
le
Alexandrie, 1867,8. 29 pp. l'ère copte, 26 pp.
Calendrier copte et ses éphémérides.
Avec TAlmanach pour l'année 158J de
— Cet Almanach
donne
aussi les devises tra-
de
collection V. S. Golé-
ditionnelles des calendriers coptes. Touraiejff, [Les ostraca coptes
jB.
nischeff] dans « Bull,
1899,
p.
I,
gar; pour cette lettre
—
Une
1896. (Cf.
B.
de l'Ac. Imp. des Sciences», X,
435-449, gravures, (en russe).
Acies des Apôtres,
la
9-1 cf.
1
—
Page 436 ostrakon avec
et autre avec la lettre
Crum,
«
épitaphe copte de l'an 786 au
Touraieff^
du Christ
Coptic Ostraca»,
Crum, « Coptic monuments
Mai,
n. 5,
à
n. 22.
Musée de Guizeh,
», n.
Ab-
ihid.
8706.
[Matériaux pour l'archéologie
en
chrétienne
Egypte]. Moscou, 1902. (En russe).
Wdcken, Griechische Ostraca Trois Ostraca coptes extraits du
W. p.
62.
Wres\inski,
— Deux
t.
CI
I,
p.
56
(n.
5109; 20, 25,
26).
G.
Zwei koptische Bauurkunden. (AZ. 40, 1903,
inscriptions.
XV.
PAPYROLOGIE.
I Bauer, a publié un papyrus remarquable qui peut être du siècle.
(Académie de Vienne, Denkschr.
phil. hist. Kl.
5'
II).
I
293
A. Ciasca, VIII
+
27 pp.
—
+
n
bis,
W.
E.
1904,
en
la
— Remarque de
Two
p.
174-178).
E.
(AZ. 34, 1897,
— Mentionnés par
gal
C
—
(P) 4
;
Koptische Fluchfor-
:
102).
p.
(PSBA. XXVI, «
Notice
p.
—
Gayei dans
1901- 1902
»,
25.
relati•
Com-
»
(n" 72).
de Perc/ E. Newberry,
—
Appendice à « The
p. 59-61.
— Papyrus
lé-
de Jèmé. Deissmann,
N°
J
1,
Jean III-XXl et fragment d'un encomium.
Crum, Coptic papyrus
Amherst Papyri
Bondi
coptic papyri from Antinoé.
ve aux objets recueillis à Antionoé, sur S.
54, 1896, p. 85-89).
Bodléienne d'Oxford, ms. copt.
jiidischer Quelle.
Crum,
W.
de Boulaq (=: Revillout,
12, 12 bis).
E.
mentaire
4,
avec des remarques.
italien
Crum, Eine Verfluchung, (AZ.
texte et traduction.
W.
et traduction
fac-similés des pap.
5
Papyrus magique de
meln aus
museo Borgiano. Roma, 1881.
textes coptes, 27 pp.
Texte copte
pap. originaux, II,
papiri copti del
I
2 contient 772.
Die Septuaginta Papyri. Heidelberg 1905. (Le
des fragments gréco-sa'îdiques de l'Exode).
Dévéria, Catalogue des manuscrits égyptiens (du musée
du Louvre).
Paris 1881.
— Manuscrits coptes
et ostraca.
— Cour-
te description.
A.
Erman und
Frii\ Krebs,
Aus den Papyrus der Koeniglichen
Museen. (HandbiJcher der Koenigl. Museen zu
— P.
Berlin), 8, 1899.
239-283 traduction de divers papyrus et ostraca publiés en
différents endroits.
A. Erman,
Ein Icoplischer Zauberer. (AZ.
33,
1895,
P-
4^-
46).
A. Erman, Die acgyptischen riser taire.
Zauberpapyrus, (AZ. 1H83,
Beschwoerungen des grossen Pap. 89-103).
— Texte
et
commen-
294
I Hund. (ÂZ.
A. Erman, Zauberspruch fur einen
ip.i
J5).
Texte
1896, p.
10 îj A.
or.
et traduction.
W.
C. 4,
— Papyrus magique du Musée de Berlin ms.
33,
London 1865,
Goodiuin, Account of three coptic papyri.
10 pp. — Trois papyrus de Jèmé.
F.
Ll. Griffith,
The
date of the old coptic texts and their rela-
tion to Christian Coptic. (AZ. 39, 1901, p. 78-82).
— Date
appro-
ximative des plus anciens papyrus.
F.
Ll. Griffilh,
tion (avec
—
J
The
The
old coptic horoscope of the Stobart collec-
p.).
old coptic magical texts of Paris. (AZ. 58, 1901, p.
71-93)-
—
Addenda
1901,
p. 86.
J.
Krall,
25-36
;
to the
commentary on Old Coptic
texts.
Zwei koptische Verkaufsurkunden. (WZ.
II,
(AZ. 39,
1888, p.
273-280). — Deux magnifiques papyrus coptes apportés d'E-
gypte en 1866 par Reinisch et provenant du monastère de Jèmé.
Ce
sont deux contracts
de vente dont Krall donne
le texte et
la
traduction. J.
1885,
Krall, p.
Neue
koptische und griechische Papyrus. (RT. VI,
63-79).
Lid:{harski,
Zu einigen koptischen
(AZ. 38, 1900,
p.
un fragment de papyrus gréco-copte. (RT. XVI,
p.
Papyri.
62).
Lorel, Sur lOj).
G. Maspcro, [Un papyrus copte trouvé dans
de
la
le
souterrain Est
pyramide d'Ounas à Saqqara]. (Annales du Service des
Antiquités de l'Egypte,
III, p.
185).
—
C'est une lettre fort mu-
tilée.
Papyrus Erzherzog
Rainer,
Fiihrer
durch die
Ausstellung.
,;^
295 Vienne 1894. E. p.
— Textes coptes
Pislelli, Papiri evangelici.
p.
25-48.
(Studi Religiosi,
1906, fasc.
II.
129-140). Petit fragment de l'Évangile de S. Luc. (VU, 22-24)
sur papyrus.
E.
Rei>illout,
Boulaq
et
Papyrus coptes, actes
et
Lithographie. 7
pi.
— Contient
du Musée de
contrats
du Louvre. (Etudes Egyptologiques V).
Paris,
musée des Antiquités Egyptiennes au
(aujourd'hui
1876,4.
du musée de Boulaq
16 papyrus
Caire), et 10
papyrus du musée égyptien du Louvre. Le n° 14 de Boulaq est
dans Stem
«
Koptische Grammatik
435.
», p.
E. Remllout, Lettre à M. Chabas sur égyptiens.
(J.
A. 1877,
II, p.
261-284).
Contrats de mariage
les
—
Publie un papyrus dé-
motique, un papyrus copte (Br. Mus. 105) contenant un règlement
de compte entre une
fille
et sa
mère remariée après
la
mort de son
premier époux, et un fragment d'un autre papyrus copte du Louvre.
E. Reuillout,
—
36-39).
Une
affaire
de mœurs au
Papyrus du Louvre contenant
(AZ. 1879,
y" siècle. la
lettre
p.
de Cyriaque à
l'évêque Pesynthios de Coptos.
Les régimes matrimoniaux dans
E. Rei^illout, tien.
(RE.
I,
1880,
p.
98-114). — Papyrus
le
droit égyp-
coptes du British
Mu-
séum. E.
Reifillout,
Papyrus coptes. (RE. V, 1887,
E. Reifillout, Textes coptes extraits de
la
p.
93-94).
correspondance de
S.
Pesunthius, évêque de Coptos et de plusieurs documents analo-
gues (juridiques ou économiques). (RE. IX, 1900, 1902,
p.
34-48).
—
Muséum. Papyrus
p.
133-177
Documents du Musée du Louvre
et
du
;
X, Br.
et ostraca.
S. de Ricci et E.
O. Winstedt, Papyrus coptes du Musée d'A-
296 lexandrie. (Sphinx,
X, 1906,
p.
1-4).
Fr. Rossi, Tre Documenti copti. Torino 1888. 8, (Extrait des Atti délia R. Ac. Torino, XXIII).
Ce
20 pp.
i
pi.
sont trois con-
tracts sur papyrus.
C. Schmidt, Eine bisher unbekannte altchristliche Schrift in (Sitzungsberichte der Ak.
kopt. Sprache.
1895,
705-711
p.
;
cf.
der "Wiss. zu Berlin,
— Description
1896, p. 839).
de quelques
manuscrits provenant d'Akhmim.
G. Steindorff, Neue koptische Urkunden aus Theben. (AZ.
XXIX,
—
1891,
p.
1-25).
— Trois papyrus.
Eine koptische Bannbulle und andere Briefe. (AZ. 1892,
P- ?7-4?)-
L. Slern, Sahidische Inschriften (AZ. 1878,
p. 9-29).
— Ostra-
ca et papyrus du musée de Berlin. L. Stem, Koptische Briefe. (AZ.
ques sur
1878, p. 55-56).
— Remar-
« Sahidische Inschriften ».
L. Stem,
Zwei koptische Urkunden aus Theben im aegyptis-
chen Muséum zu Berlin (AZ. 1884,
140-160).
p.
—
Deux
papy-
rus.
L. Slern, Erklaerung einiger memphitisch-koptischer Papyrus-
urkunden, mit einem Nachwort ûber 1885, L.
p.
fayumischen Papyri. (AZ.
di
145-15B).
Stem,
Fayoumische Papyri im aegyptischen
Muséum
zu
Berlin. (AZ. 1885, p. 22-44).
L. Stem,
Papyrus im
Das Testament der Susanna nach einem koptischen
Brit.
Muséum. (AZ.
1888,
p.
129-ip).
Tour aie If, Description des Antiquités égyptiennes du Musée |
de l'Université de Kazan (en
russe)],
S.
Pétersbourg 190J.
—
Mentionne un long papyrus copte contenant des actes légaux du monastère de
S.
Phoibamon à Jèmé.
297
PROFANES.
XVI.
Romans, chansons populaires,
recettes,
fragments d'un
traité
de médecine.
W. ment.
E. Crum,
—
II.
A
p.
166-172). S.
tie
de
I.
A
coptic recipe for the préparation of parch-
use of the term « Catholic church». (PSBA. 1905,
Dulaurier, Fragment d'un traité de médecine copte faisant parla
collection des manuscrits
Zoega. (JA. 1843 tes philologiques
(1), p.
43 j-452).
du ms. cod. C,
p.
du cardinal Borgia publiée par
— C'est
la
626 du catalogue de Zoega.
A. Erman, Bruchstûcke koptischer
Volkslitteratur.
der K. Akad. der Wissensch. zu Berlin, 1897, tiques et philologiques
Studien »
de von
traduction avec no-
Lemm
dans les
p. i).
(Abhandl.
— Notes
cri-
Kleine koptische
ce
XX.
A. Erman, Bruchstûcke des koptischen Physiologus. (AZ. jj (1895), p. 51-57)-
— Trois
feuilles
provenant du
Fayoum
et
con-
servées au musée de Berlin.
G. Moeller, Eine neue koptische Liederhandschrift (mit
i
Ab-
bildung).
—
Zu den Bruchstucken des Koptischen Kambysesromans.
Mit einer Bemerkung von H. Schaefer. (AZ.
^9,
1901,
p.
104-
116).
G. Moeller, Zu den « Bruchstucken koptischer Volkslitteratur»
von Ad. Erman. (AZ. V.
39.
1901,
p.
150).
Puntoni, Gnomologii acrostici fragmentum graece una
metaphrasi copto-sahidica, e papyro dem. pp.
— 25
Sartii.
courtes sentences en grec et en copte.
cum
Pisis, 1883, 8, 11 S.
298 H. Schaefer, Bruchstuck eines koptischen Romans uber die Eroberung Aegyptens durch Kambyses (Sitzungsberichte Preuss. Akad. d. Wissensch. zu Berlin,
—
7^^). «
XXXVIII,
1899.
Repris et étudié avec soin par O. von
Kleine koptische Studien
Lemm
d. p.
K.
727-
dans les
XVIII.
».
Le roman d'Alexandre
Grand.
le
U. Bouriant, Fragments d'un roman d'Alexandre, en dialecte thébain. (JA. 1887, IX, p. 1-38).
nant de l'achat d'Akhmim,
de
Bibl. Nat.
la
vant
de
fait
— Trois
feuilles
de papier prove-
par Maspero (1885) pour le compte
Paris. Bouriant
publie dans l'ordre sui-
les
:
r
132^
fragment.
2'
»
}'
))
f.
5.
132^
f.
j.
132^
f.
4.
Maspero ajoute quelques notes 132'
f.
En
3; 132'
f.
4; 132'
f.
et
la
Bibl. Nat.).
propose l'ordre suivant
:
<,.
Janvier 1887 Bouriant
nouveaux
de
(cote
à
fait
Akhmim
feuillets fort mutilés qu'il publie
l'acquisition
de
trois
:
roman d'Alexandre en dialecte
U. Bouriant, Fragments d'un
thébain (2* mémoire). (JA. 1887, X. p. 340-349).
En 1889 Maspero donne une
nouvelle traduction des 6 frag-
ments, avec introduction et remarques dans res de l'Egypte ancienne» littératures
de toutes
En
Crum
1892.
dre parmi
W.
les mss.
2' éd.
les nations,
Paris,
«
Les contes populai-
1889,
p.
321-338. (Les
T. IV).
trouve un nouveau feuillet du roman d'Alexan-
du British
Muséum
(Or. 3367) et le publie
:
E. Crum, Another fragment of the Story of Alexander (PS
299
BA. XIV, 1891-92,
p.
47^-482).
Il
donne
une nouvelle
aussi
tra-
duction améliorée des six fragments de Paris.
Entre temps, en 1888, L. Stern avait annoncé (AZ. 26,
que
la
56)
bibliothèque royale de Berlin possédait deux feuilles appar-
tenant sans doute au les, la
p.
même
manuscrit.
traduction est donnée pour
la
Du
texte
première
de ces deux
fois
par
feuil-
:
Richard Pietschmanny Zu den Ueberbleibseln des Koptischen
Alexanderbuches dans 190J,
p.
« Beitràge zur
Bucherkunde und Philologie»,
501-312.
En même temps
apparaît
:
O. von Lemm, Der Alexanderroman bei den Kopten. Text, Uebersetzung, Anmerkungen, XVIII
+
161
in-4.
pp.
S. Péters-
bourg, 1903. Reproduction en phototypie des deux feuilles de Berlin.
— C'est
le
texte et
traduction des 9 fragments connus, avec
la
d'intéressantes remarques philologiques et, en appendice,
tique de
la
traduction de Pietschmann. D'après von
copte serait du
1
1* siècle.
Lemm
une
cri-
le texte
Le manuscrit dont on ne connait que 18
pages en avait au moins 200.
XVII.
C.
W. Goodwin, Coptic and
1868, p. 64-69). les
ONOMASTIQUE.
— Liste des noms
papyrus du Br. Mus. et
le
graeco-egyptian names.
propres de personnes d'après
catalogue de Zoega.
H. R. Hall, Greek Mummy-Labels
BA. XXVIl,
(AZ.
in the British
1905. pp. 13-20; 48-56; 83-91
;
Muséum. (PS
115-123).
Intéressant pour l'onomastique des personnes
:
dérivation
du
1894, p.
36-
démotique au copte, correspondants grecs. Krebs, ^2).
Griechiesche Mumienetikette. (AZ.
32,
300 E. Revilloul, Planchettes bilingues. (RE. VI, loo-ioi
;
1888,
p.
43-45
;
VII, 1892, p. 29-39).
C. Schmidl, Ein
Mumienetikett, nebst Bemer-
altchristliches
kungen uber das Begrabnisswesen der Kopten. (AZ.
32, 1894, p.
52.63).
G. Steindorff, Zwei altkoptische Mumienetiketten. (AZ. 28, 1890,
p.
49-54).
XVIII.
PÉRIODIQUES.
Annales du Service des Antiquités de l'Egypte. Le Caire, 1899.
Archaeological report. qui paraît chaque
année depuis 1892, M.
Crum donne
une appréciation
un résumé
bibliographique, avec
de toutes
— C. Christian Egypt. (Dans ce rapport et
le bulletin
substantiel,
brochures et articles concernant
les publications, livres,
l'Egypte chrétienne, parus durant l'année écoulée).
AZ.
Zeitschrift fur âgyptische
Sprache und Alteriumskunde.
Leipzig, 1863.
Bessarione,
Publicazione periodica di studi orientali.
Rome,
1896.
BIFA.
Bulletin de l'Institut français d'Archéologie orientale au
Caire. 1902.
BIE. Bulletin de Héliopolis
^J.^
l'Institut
Cas.
.
Égyptien.
Le
Caire.
Revue arabe publiée
par
M. Gladios Labib
au Caire. 1901.
JA. Journal Asiatique. Paris.
Mélanges de
la
Faculté Orientale. Beyrouth 1906.
MIE. Mémoires de plus).
l'Institut
Égyptien.
Le
Caire.
(Ne
paraît
301
MMFA. tale
Mémoires de
au Caire.
titut français
OLZ.
la
Mission française d'Archéologie orien-
— Continué depuis
1900 par
les
Mémoires de
l'Ins-
d'Archéologie orientale au Caire.
Orientalistische Litteratur-Zeitung. Berlin, 1897.
PSBA. Proceedings
of the Society of biblical Archaeology.
London, 1878.
RE. Revue égyptologi que.
Paris, 1880.
d'histoire ecclésiastique. Louvain.
Revue
ROC. Revue
de TOrient Chrétien.
RT. Recueil de
Paris, 1895.
travaux relatifs à la philologie et à l'archéolo-
gie égyptienne et assyrienne. Paris, 1870.
Sphinx.
Revue
critique embrassant le
domaine entier de
l'E-
gyptologie. Upsala, 1896.
TSBA.
Transactions of the Society of Biblical Archaeology.
London, 1872.
WZ. Wiener Vienne.
Zeitschrift
fiir
die
Kunde des Morgenlandes.
CHRESTOMATHIE, —65='«"*J2»=<ï^-
TEXTES BOHAIRIQUES.
I.
Histoire de Joseph'.
XXXIX-XLV).
{Genèse
XXXIX.
çyonçf siTLe
neTec^pn. nicjoTp jiTe
2>çjjUL^^jpoc
—
XXXIX.
I.
D'après
le
thèque Nationale de Paris (14^
ment tous
les
signes
cules, points, accents. sigle
manuscrit Copte 1 de siècle).
graphiques du
Le mot oOlC
(p.
(9" siècle).
tion Vat.
2.
majus-
toujours représenté
par le
i)
de
seront indiquées au
+
Vat. iX.p;XHJULiJ,l^jpOC.
:
dans notre
indique une addition
omission.
Biblio-
exacte-
lettres
Elles
Le signe
la
a conservé
220) a été transcrit en entier.
note les variantes du manuscrit (copt.
cane
On
manuscrit
qui est reproduit au second rang
abréviations
neq^p-
hpeJULJiXH^J- èSo>^ ^ejt
oTpcujuLj
-.
c^<î,p^-cw.
la
tableau des
Nous donnons en Bibliothèque Vati-
moyen de et
le signe
l'abrévia-
—
une
Histoire de Joseph.
2
JUL^Tl
è^pHJ
hjtJJCJtl<S.H>\JTHC JIK eT^s.Tejtçj
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Ovo^
2.
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jt^pe n^ojc
jie OTOjt* OTpcMJULj
^en rjhj
ne eq^ixâ.^. ^,q^^n^
^^Teji neq(5ojc nipejULh^H^J- h H^çfèjuij si^e neq(^oic. TLe n^Tojc ;x;h Seji ety^çfiJTOT.
^ejt
Jteçfxjst.
4.
JtejUL^c[.
Oto^
2\.e^
^«jS
jij-
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n(^jc coTTen^
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Oto^
i.q7LeJtxoT^M.OT
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CHc| xt^^peji neçf(^jc.
,^ç[p^jti5,çj 2^e
JtJOJCHc^.
oto^ ^^X^'î
DX^ctyoîni
5.
joj-
<5.qTHJT0T ë^-
èîtejt nec[Hj. ^cmS* jtiSen èTejtT<s.ç[.
pHj eTXJZ:^
ë-
Âxenenc^,
2^.6
opeqx,^^ èziejt neqnj. iteii neTeitT^çf THpç[. oto^ ^ ntTojc cjuLOT è nHj JULnjpeiihxH^J eeSe JCMCH^'".
Oto^
6.
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Oto^
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Jt<s.ç[ca50TJi
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è jt^qoTCMJti julhocj.
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ne
jie jtiî,jieçf
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ovo^
necfCJULOT.
DV^ctyoîni"
7.
JUie-
nenci, m,ici.'£.i X tc^jjulj iineq^ojc en jiecS^>\*^
3.
OTO^
—
8.
Vat.
+
e;)ÇHJULJ.
—
4.
—
Vat.
+
^ÇJtyOînj.
OVO^
Vat.
—
6.
^«3S.
—
Vat.
ne. 9.
— —
Vat.
—
OTOH. 7.
5.
Vat.
Vat. COVTttJJt.
<S,(:[THJTOV
^CXt
+ ovo^ i. ncjuLov h.n(foic jycwn j ^en ner^^'pm.p^^nTi. THpov ^en neqnj Jteii ^en TKOJ. OTO^ iJ.qTiS.ceo h^tuS njSejt nT^,q ejienzjz:.
Vat.
10.
Jiejizjx jiJOJCHc^.
necojq.
_
15.
—
Vat.
II.
oto^
Vat.
njtujK.
^î-ccycuni.
— —
12.
14.
Vat. Vat.
ne ^.C'
3
Histoire de Joseph,
tzen 8.
oTo^ nex^c m.q.
JwcHc^.
heoq ze
jmneqoTtwo).
jikot
z:e
jtejuiHj.
jitc^jjulj JULneç[-
ne2S:«î.q 2^e
^n ^esi necjHj eoSeT'\ OYO^ neTeXlT^Çf <î,Ç[THJÇf è^pHJ è Jt^2S:J2S:. Ovo^ jULJULon ^}\i eç[6ocj èpoj ^en neç[HJ'^ 9. ovî^e ÀiJULon^' ^Aj eq^nn èpoj. GSh>\ èpo ÀiJULiS.6ojc.
25:6
jcste n^tfojc. ccuoTJt Jt^>\j
Viî.^ 2te Jieo Teç[c^jjuLj. noîc** i'jiiî.ep n^jcj^xj gt-
^ojOY.'oTO^'^ jiT^epjtoSj juinciieo nj^°
jiejUL<î.c.
1
1.
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Dk ovè^oov 2^e
^q j hxe jiJieq^SHOvj-. oto^ ne
ojcwn j JuLn^ipHi^
jçucH^ è^oTJt è njHJ. è jpj JULJULOJI g>\J-'
lo.DVcojOj-
hè^ooT ^^t^h he^oov
ecc^,^s sien, jcmchc^.
iineqc'jaTeiiL'* hccuc è
JULcIi^.
è£)OTJt ^eJl nJHJ.
12.
OVO^ i^CJUL0>\2S:C
èjieçf^Soîc. ^cSiî.tyç[ juljulcmot ec2S:tu juljuloc. jteJULHJ.
OTo^
OTo^
$cwT.
«î,qca52:n
^qj-'
èSo>\.
14.
jULneq;X!*^ juljulojî.
OTO^. Teii.
— 26.
— —
24.
Vat.
20. 22.
— ib.
Vat. Vat.
+
Vat.
16.
Vat.
2^e.
21.
ncuc. Vat.
epjteq^SiioTj.
—
25.
^e2t
h^eSpeoc è^oTJt
—
n^JHJ.
ovo^
—
OTO^ ^Ctycwnj. ovo^ nex«s.c.
Vat.
eT^en njHj
^qejt otX^vov
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Vat.
oto^ ^çj^cwt
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iS-CJULOT^^ è jih
«î.Jii5.v
xe
DVctycMni^^ eT^cji^.v
13
imeq^StMC ^en
iiojov. 2te
15.
^çfccwzin hiteq^Sojc ^ejt Jiecstjst i.q-
iX.qj
èSoX
ze jikot
—
—
OTO^
19.
Vat.
Vat.
—
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25. Vat.
Vat.
17.
OTO^
h^ovjt. ^.qi.
—
4
Histoire de Joseph.
^^poji ècoîSj
WLJULOJt.
ze jiKOT
3±oc"\
hciiH.
OTo^
^j«5ty
èSo^.
^4î.poj eçf2:a5 Ài-
èSo>\ ^eit OTJiJcyf" 2^e î&e ^jcTjcj
17.
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ec2îa3 JULJULOC. ste ^<5.j
ovo^
ne2tiî.ç[ jihj.
eTiî.Kejiq
jiTOT
^*
èSo>\.
jikot
iS-çf^oîT.
k^j-t^
Jtejui^çf
è^oTjt
2s:e
hjieq^Soîc
cy^Te necf (5ojc
6*^poj
<î.ç[j
peoc.
JiJteç[^S«3C
^çfca32S:ii
ovo^ ^,q^en^,q
Jieç[^Sa3c'3 jftTOTC.
è neqHj^"'.
19.
è^OTJi
JieJULHJ-* <s.ja5cy
^q<^a3T.
^^X.^
j
¥)esi nssijjiepeqccMTeJUL
15.
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jtTOT
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16.
Oto^
j
è^ovji
ji^jCiS.2S:J
neKi^ov h^eS-
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^<î.pojt ècoîSj juljuloji^^ JieJUiHj.
GT^qccw-
18.
OTO^ ^qtye
Jt^q
èSoX
IJVcujçwnj 2^e eT^çjccMTeii hste neç[(rojc. è
JlTe TecjC^JJULJ JIH eJl*5.CC^2:J^* JULJULCUOT Jie-
C<Î,25:J
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iiiJLOc. 'KG Riî.jpH'l^ neTiS-cj^jq iiHJ
^qziOîJiT
^ejt
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neq6ojc o>\q ^q^jTç[ è njcyTeKO'^
20.
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Oto^
GnjJtiiJ,
<s.
èn^Lpe
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eTcojt^ jiTe noTpo ;x;h iiiiocj ^eji njcyTeKo^^
21.
Oto^
Ji«x.pe
—
n(Sojc
-^k
jtejUL
jcwch^ ne. jt^q-
— 28. Vat. + OTO^. — Vat. Jij^Scuc. — Vat. Vat. — eneqRj. — OTO^^ 4Î.CCiZJ. — p. Vat. IIJULOJ. — Vat. + OTO^. — Vat. eTiî.CCiî.2tJ. _ Vat. ntlJTeKO. — Vat. ntyTeKO, 27.
Vat.
29.
eçfîtaj JULJULOC. 30.
31.
33.
34.
36.
35.
Histoire de Joseph.
5
JULGO JLinjJULJiOTT^' jiTe njtyTeKO.
22.
Oto^ ^
njîi-
jioTT jiTe njcyTeKO. i~JuLnjjUL«î.hca5n^ è tzjîk: hjoîoTOJi jijSeji eT^tuoTj è^oTJt. jih
CR^.
jtejUL
^en
njJUL^hcwji^.
23.
Oto^
jULAiojoT jULJUL^v. >n^ç[èjULj
^«jS jtjSeit
gt^k
eTOvp^
èpcMov ^,n ne hxe
njjti-
jioTT jiTe njtyTeKO eeSHTq. ^oîS u^-p jtjSeii ^eji TZiJZ:
itJcwcHc^. 2:6 Jt^î-pe n^Tojc ;x^H
^tuS niSen èof^q^jTOT cy^^pe n(rbjc JULOJJT^"
^en
Ji^x-V
JteJULiS.çf
ne.
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XL.
I.
DVccyoînj
2^e
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h^e njpeqovîMT^ jiTe novpo h;/!^*^^- ^^^ nj«î.JULpe^ è nov
^^x-piS-tu
nj<5.JULpe'.
3.
Oto^
nj<î.pxJ^*^^jpoc j(ucH<^ èpoq.
^.q;x^'^
^en
^^^ nicyTexo ^i,Ten
njJULJioTT t^.^«30V. neJUL
h^enq
jtucH^. .^.qTHJTOT^' CTOTcf. n^î-q^
37.
—
Vat.
39.
Vat.
XL.
—
OVO^
OTO^
lliî,q2î:ea|n<î.J.
njejULfioTT. I.
—
Vat. iî-iUlSpe.
<î.qTHJTOT.
nejui
niJUL^î-hcoîn^ njn^î. eTi^Te'K
Oto^ ^
4.
njpeç[0Ta3T^
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èjiJcjoTps.
40.
—
—
38.
Vat. 2.
Vat.
eptuoT.
OTO^ ^^^.
neqacwjT.
Vat.
— e. —
3.
Vat.
— Histoire de Joseph.
6
ovo^
it^çfo^j ovShov*.
Ko jT^^Jte^oov.
m.T^R
Ovo^
5.
2^e
«x.Txiiî.v
ne ^eji njojTe-
iincji^v^ ècTp*?,-
covj ^eji OTeziojp^ jiotwt i^^op^cjc jiTe TOTp^-
njpeqovwT^
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JlZ^e JOîCHc^
è^OTJt g^pOîOV JtTOOVJ. ^qjt^T èpojov
evtyeepewp^ cj»ip<j.à5
Tejt noTtTojc
eç[2$:tt3
oKejUL juLc^oov.
m.q^ssii hxiJCjoTp jiTe
eSo^
8.
itooîov 2^e nessitoov m,q.
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Oto^ X
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OTo^ nex^q xe h^pHj^* ^en T^p^coTj. ne otSuî h^>\o>\j •j^So)
jt^Xo?\j
^K Juin^JULeo xt«î,pe''
jiicc^opj èSo>\ ne.
4.
—
Vat.
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depuis
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—
Vat.
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^^,slCJt3i^.^
8.
6.
Vat.
Ji^pKj,
Vat.
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— II.
èSo>\ eTcj^e^
avait
également été
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5.
Vat.
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<^ov^j ^qji<x.v exeq-
Teqp<J.COTJ.
Ji
^en
Oto^ e^j
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SH.^"^. Ce passage
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h^pHj*'^
10.
traduction arabe du ms. de Paris.
m^T eoTpi^coTj iing
nov-
jitooT. ste julh à.pe
2s.e
^n èSoX ^jTeji
Sa5>\ cyon
^j-
xe eeSe ov neText^o.
àijuloc.
^jiJta.Y èpoc.
jï*5,So>vc^
9.
Oto^
7.
jiH è Jt^TJteJUL^cf ^ejt njcyTeKO,
p^coTj
noTpo
nj
jiejui
9.
—
7.
Vat.
eTOJTep-
Vat. eejiiLSo>\c.
Vat.
ne.
—
12.
Vat.
—
7
Histoire de Joseph.
jize
è^pHJ
«x.j6ç[0V 12.
hk>\o>vj.
jtJCJUL«x.g
^en
ènja.<^OT
Ovo^'^ neî&e
Ovo^
II.
jtucHc^ jt^ç[.
një iiX*^^- ^ Jte^ooT
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nil^oT
jïiLpe
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JULc|iî.p^àu.
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2te cj^^j
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èxi kg ^ hè^ooT.
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è^pHJ*^ èxeji
Oto^ (!fjii^;X^iS.K'» TeKAieTpeqoTcuT^. Ovo^ èKe^^ Ài-
njl<^OT JtTe
c|<5,p^«5
p*s.Ù3
ji^ep^JUieTj'" hTeK^p;X^H.
è^pHJ
tg-
èjleqîKiJZ. ki,ti.
Kip;)ÇH JiTe cyopn JutnjpH'j^ èjt^KOj jtpeç[0Ta3T^. 14.
3V?\>\<^ kpjn^JUieTj e^o7\
cy<î,jt
njneejiii.neç[-°
jiovjiiS.j.
OTO^
p^«3. eKèejiT
eSoA ^eii niJojTeKO.
^,}\7\^. <î.T^jT^^
n14.
jize
OVO^
— OTOg.
17.
eSo>\-=^ nK«î.^j
n<î.jJUL^-*
oji
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^J^Tj. Vat.
—
^e
JiTe Jij^eS-
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iiL^iî,p<î.cM }<,.
16.
ùen
hjtoSi.
Oto^
otccmov-
^eji T^stjx.
Vat. JieJlZiJZL.
qJliS-ep^iJLeTJ
<^<s,-
2te ^en
15.
è£)pHj è ni5,j>\^.KKoc-^
Vat. Jt^.pe
Vat.
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eKèepc|JULeTj eeSHT". ii«L^peji
OTO^ ^ejt
èTiS.çf Jt<5,T"
ecyojn Xpe-
oto^ èKeipj
2S:eju.K.
oviTîoTj «î.To>\T jkTjotj
peoc.
^jtotk.
1125^6
—
^iî-p^OJ.
i6.
—
— Vat. 18.
— '9 Vat. e^pnj. — 20. Vat. OTnee— 21. Vat. JÏ^HTK. — 22. Vat. COSHTT. — — 25. Vat. 2}. Vat. — eS0>\. — 24. Vat. — ^V^JTT. — 26. Vat. çyTeKO. — 27. Vat. Vat.
eqe;X!^^
m.i\er\.
JULniS.JiJLiî..
a.fJJl«J.T.
28.
Vat. a,iULSpe.
Histoire de Joseph.
8
Teji.
nex^q
jtj«5ch^.
COYJ.
«Î.JJl«X.T
JC25:eK
ze Ijïok
eTC^ntyoîj
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Jte
h^pHJ^^'^
17.
è ovp<î,-
£)ejt njK^.-
2s.e
h^HTfj
OTOJt
noTpo
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<î,jjï<î.v
JIÛ JtK^JlOTJt Ji;/!^^^?^"
Jl«î,J(!f^J
THc-^ ^jziejt T«5.X^e.
^oj
ne. èSoVv ^ejt
c^^p^àî. otojulot
h^oîS
h^iipe'*. Jti^pe^' ni^^,}\^,^ otcujul juljulcuot ne. èSo>\
^en
èpoTOî
njKiî,novjt
Jt2te JOîCHcj^
eT^H
nezi^q
^Jîten T^)î,<^e
njc jiK^JtoTJi û hè^oov ne.
OTcye. eTeovcwjUL^^
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OTO^ jiieTj^^
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19.
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ni"^.p;X^H jiTe njpeqoTtWT^. neui
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T^e ^en nj-
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nj^i>^i5,i^ xitc DX^ctytwnj
20.
SVcf-
18.
hne çjIT^ojotj.
<î.qep^-
i^^p^H 21. Oto^
<î,qT^^o ÀinjpeqoTOîT^^^ èsten Teç[^.p;x!"- ^^i^^*
juinjl^OT èT2:JZ ^<^. K^,T^,
29.
Vat.
Vat.
oTo^
—
j6.
qOTtUT^.
nj<x.iULpe'^
22.
^pR'f eT^qScuX hxe
KOnTpjTHC. n^.pe.
nTeKniS.^^Sj.
o^.
juL<^<5,pià5.
—
Vat.
—
—
32.
34.
Vat.
+ OTO^.
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Vat.
— Vat.
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OTO^ 37.
+ OTO^.
epe.
—
Vat.
—
2^ iine-
—
Jl^pHj.
Vat.
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39.
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^cfi-
2s.e
—
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Vat.
,2.çfTiS.^e
+
}i.
Vat.
ot-
njpe-
Vat. iS,JULSpe.
Histoire de Joseph.
9
^qepncuSoj.
XLI.
D\.ctya5nj 2^e fxenenci. poiinj
I.
2.
hè^oov.
jc^eK m.qo^i
^^p.î,à3 <î.cfjt^T èoTp
ne ^jxeji c^jlpo.
s^
^iinne' ii^lpH^
èp«î,Tçf
ne èSo>^
n^TnHOT èncycui ne hste ^ nè^e èm,neV' ^en novcjuioT. oto^ eTcoTn ^en noT^çj otj. niî.TjuLonj' ne ^en njk;)(^j. xeç 2ve^ Jiè^e jt^vnHOT èntyojj. uienenCiî, n^j eSoX ^eji c^j^po. ev2:<î.ja30T ^en noTCJUiOT. oto^ eTojoAi £)en JtOTiî,qo-
^en
f|»jlpo.
3.
Tj. n<î.TiJLonj'
Oto^
"j^^
^,
evajOJUL £)en
£)^Ten njè^cuov.
jCKen'' <^jXpo.
4.
hè^e eTx^jœoT^ £)en noTCJuiOT. oto^ novc^p^. ^vojaik h-^ç hè^e*.
eon«î.-
neT £)en noTCJUioT. oto^ eTcoTn^ ^ejt noTXç[ovj. DVqTtunq
OTO^
4î,çf
2^e Jtze c|^pi5,à5.
5.
Oto^
iî,qjriKOT èTJ'''.
n^T èKep^coTj JuL»A^gS^. ^Hnne" q^T-
een^î-neT. — — Vat. 'hC. + ^ Vat. OVO^^ n<î.YiJLoni ne. — Vat. ^jCKen. — Vat. oto^, CTtyOJUL ^en nOTC^p^, — h — Vat. + JITC tyopn. — Vat. CTCOTn. — Vat. — OTO^ ^,qjriKOT èTJ. — OTO^. Vat. + XLi. Vat.
—
I.
Vat. 4-
OTOp^.
—
ovo^. 4.
— —
2.
Vat.
5.
6.
7.
reste.
10.
9.
II.
8.
Histoire de Joseph.
10
jtHov ènçycMj
n^esixc
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tuT.
ext^Jiev.
6.
hxe t, evzionT. ovo^
^eJULC eTojOJUL. jtienejiccMOT.
7.
Oto^ Xnj^ h^euic
oopTep
DVccycwnj
è Jijc^p^no) JiTe
^RiXi.
eTTiLJULO JULc^^p^àî
oto^
oYo^
^,q^^,i\
,^noK
JUL^J^p;X!JJUL.î.\?Jpoc*^
o^
i,sim.T
èoTp<î,coTj'*
i.noK JtejUL^q coTj.
^ot^j
poc'°.
oYo^
DX.qSoXoT''
<î,nc^25:J n^î-jt.
ii.**
c^h
njpeç[ov-
ste 'j'îpj h.t^«î,q2ta3JiT è
njojTeKO.
oTezicMp^
^en nni n.
Ov-
xiotoît.
k^t^ Teqp^jieJUL«î.n ne hxe ot-
JULiiiS-T
ji^eSpeoc jiTe
^e>\ajjpj h<î,>\OT
THpoT.
iiejui njiî,JULpe'\
^ejt
hot^
Jte iiJULOJt
<ï><î.p^àj
^en
ovp^-
<^otj,j. ^çj ji^t
H<î.qx" ^^
12.
10.
^çf
Ovo^ 1
eqxcw juluoc.
juieTj JUin^jtoSj iic|>oot.
Jieç[i7\a30vj.
9.
jie
cycuni. iS-ccy-
sieix nsci.^ev
èpoc ne.
Ciî,2:j jiejUL c^iî-p^àî
oto^"
OTo^ ^qoTOjpn
c^^p^à? 2te Teçfp^coTi'^ na'OT.
cwT^
ji-
eTcyoJii. eTOJ*'
tootj
2^e eTi,
Teqi|fT;)^H.
Jtîte
kg^
jc
iinj^ h^ejnc ctcoth. oto^
2ve hste ^ip<s,à5.
eTXOJiT. ^qTcwiiçf 8.
Oto^
eTOJ hzujui^e^. ji^tjihot èna)«5j
hî&jJULf^e^. ^TtMJULK
coTj Te.
ov}\i,^estx hov-
OTo^
hneJip.î,coTj ^ccyotînj
nj^p;x!J^*^^J" ^4î.totç[.
13.
ÀinipH^ eT^qSo-
— Vat. ovo^^Hnne. — — Vat ^-piS-COTI. — Vat. ^p'Xi{9xi,\^ipoc. — Vat. ^JUiSpe. — Vat. + evcon. — Vat. + ovo^. 12.
Vat
+
Vat.
+
OTO^^
OTop^.
13.
15.
17.
19.
14.
i6.
18.
11
Histoire de Joseph.
exejt T<î,ip;x!"'
ovo^
£)en njtyTeKO.
TO>\H OTO^
i^ki,^^'\
^vcyeST-- Teqc-
ne25:e"
15.
IlVç[OTçwpii
14.
«î.T^eK2î^a5ç[.
i^'^j ^iî. c|»^.p^à3.
xe
hjoîCHc^.
^^ ^^^
<|»^p<î,ùt5 2s.e-*
oto^
OTpiî,coTj ^jxï^v epoc.
ç[cyon
<î.n
eeSHTK eTZlOî JULJULOC. 2te KCCWTeJ^A è^«î,Jip^COTJ. OTO^ kSwA JULULCMOT. 16. DVqèpoTtu 2^e Jt2te j«3CHc| nex^q julhxe
<^H
<^«î.piî,«3.
2te
c^^p^ùw.
17.
U\.qc<î,25:j 2^e
Oto^
h2te
h^pHJ"^
c^ipiî.«5. jieJii
^eK
£)ejt
ne £^en
OTO^
—
Vat.
OTO^
Vat.
f|H 2^e
e<^Çy*J.
— 2^e. —
25.
^pHJ.
—
27.
—
Vat.
e JliTJlHOT.
Vat.
29.
19.
^nnne^*
eSoX
evzi^jcuoT ^exi novc-
eTOJOJUL ^6X1 JIOT^ÇJOTJ. JULRIJl^T èOTOJt
OVO^ ^T^eK^ZOJÇf. 24.
njk.;x^j.
ji<j.TjiHOT ènojcwi c^juLeji^HOT'-
^ejt c^j^po eT^oîOT.
Vat.
i8.
oto^ evcoTn
Ke^ Jiè^e
20.
JULc^jlpo.
Jt2$:e
jiov^-qoTj. ji^TJULOJiJ^<*
JULOT.
joîchc^
jULc|»pH^ ji^.TjiHOT-' èncyoîj ^€Jt c|jiî,pO.
^ hè^e. eji^JieT ^eji itotcjulot.
jc
jul-
TJ-jp^COTj". JC2teK
jiejiCf^oTOT
ecKeji'*
èp^î-T
<î,jca5TeiJL
2s.e
c|^^ jtJiovepoTàî julrjotz:^!
iî^cTiie-^
6^25^05 JULJULOC. 2:6 Jiiî,j6^j
^noK
eTJt«s.So>\c.
+ OTO^.
Vat.
—
32.
—
21.
OVO^...
—
+ OVO^. 23.
Vat. iS.T(fjte.
T<î,p^.COTJ.
Vat.
Vat.
_ +
30.
ne.
— Vat.
28.
Vat.
—
22.
+ OVO^.
26.
Vat.
—
Vat. Jl-
^JCKejt.
+ OTO^.
—
31.
Histoire de Joseph.
12
20.
Oto^ ^
^vcuJULK
coTn.
"t^ Jiè^e eT2:iî,jcuov.
ovo^
eTojojUL.
Ji^ç hè^e JiTe ojopn. eejt^jieT oto^ gte^ovji
ji«30V
^,T(J)e^''
èT0VJte2$:j'\
Oto^
21.
jii^pe jtOT^o'^ 25:iî,JCMOV ne^^ JULcj^pH^ jityopn oji. i,i-
TtuJtT 'he
oTo^
<î,jejiKOT".
22.
D\.jJiiî.T oji
^ejt ot-
pj-coTj jULc^pH^^^ jc KeÇ h^eiJLC evjiHOT ènujwj
^ejt
ov^^^euL hoTOîT eTxojiT^^ OTog
Keç ^e h^ejULC
eji«î.jiev.
23
eTOjouL. eTOj^'^ hzjJULc^e^ ji«î.tjihov
Oto^ X
nj^
ji^jejuic
eTOjOJUL. eTOj*- hstiiic^e^.
^tcmjulk juinjç
h^euLC
oTo^
<î,jze T<5,piî,covj
ènojoîj ^iJ.ooTcuoT*' ne.
e0ji^,jieT.
jijcc^p^nty jtTe
TiLULO
eTîXiOJiT.
x^^J" ovo^
èpoc.
JuLJULOJ
24.
25.
jie
kuLOJt
Oto^ nexe
^h
eojï^jtev ^ hpojuinj
33. Vat.
+ ovo^.
Jte.
—
34.
26.
à cette
leçon.
«^'j"
hè^e
i^ Ç
eeji<î.-
+ ÀinovoTOJjt^ eSo^
Ze ^Vcye JIOJOV e£)OVJl eTOVneXJ. Le de Paris correspond
eTJi«î.-
exe
oto^ nj^ h^eiic
Vat.
h-
jojchcj^ h.^1.-
p^àî. îte epiLCOTj iic^^p^-àî*^ ovj Te. jïh Ji^4Î.jT0T. ^
oth
—
35.
texte arabe
Vat.
dums.
ÏIOV^O.
—
— ne. — Vat. n<î,AjnojT ^jjikot. ovo^ ^.\n^'V. — Vat. OVO^ JULc^pH-j^ Jl^. — Vat. eT<^iiT. — — entyojj ne Vat. + ovo^. Vat. 41. ia.(>0Va30T. — 42. Vat. + OTO^. — 43. Vat. — Slie .X;HA^^ — 44. Vat. 36.
Vat.
37.
38.
39.
40.
Jic^«î.piî.a3.
Histoire de Joseph.
Jtev ^
hpoiinj
Ovo^^
^Ç
epiî.coTj k^<5.p^a5 otj Te.
jte.
hè^e
13
27.
eTX^jcwoT oto^ eT^cwoT.
eTcyojUL
eejtHOT ènojtuj c^jmen^HOT ^ jipojmnj jie. oto^ njÇ h^eiic eTcyojui exoi hxjiic|e^ Ç hpoiinj ne. GTècyoînj hzie ^ Jtpojmnj h^KO.
zoq îi^^p^ôj. xe <^^p*5,çM
èptuoT^^
exe c^^
jiH
^Hnne''
29.
ii«î.*5.jT0T
^,qT^,ixe
jc Ç hpojULn; jt^exioT-
^en rk^^j
cenHOT. em.^u30T
ç[j
njc^2:J eTi.i-
28.
Tnpcf ji^hJ^J.
iiejiejtci jtij 2^e eTèj sitls Kec;" hpojuinj h^-
jo.
SojJt.
Oto^
^eji
x^^J-
eTèepnajSty [kni^jcj^*] eTJï^ojcunj^^ ^P^'*^
nJ^Ko
JULOTjiK
iinjK^^j.
31.
Ot-
o^ jinoTcovext nj^ejiovqj ^jzien njK<î,^j eSo?\ ^ejt nj^KO eTji^cyœnj^' Jiiejiejtc^ ji^j. Gç[ètya5nj ï'iS.p
PiJ,a3
eqziop
èjUL^cyoî.
So>^ ^jTejt c^^. "f"JioT xe^^ co^Tjij
OTo^ ji<î,k
hxe
2S:e
op*s,coTj jtx^i,-
^^
m,i,sq n^uô'Kexx.
hovptujuij hc^Se.
Tiî,^oq" exeji
JUL4Î.peçjjpj
ècî»JUL<î.
2:e ç[Jtj.epiJLeeJHHj Jt2te njCiî.2S:J è-
iî.cepS':^'-.
T^HT.
p.
c^^p^cw.
nK^^j h^wiii.
oto^ u-
3^.
hK^,-
Oto^
UL^peqx^'^ hg«s.nTon^p-
— depuis — Vat. + OTO^. — Vat. — Ke. — 48. En renvoi JULUICJ, Àinjcj. _ 49. Vat. eejiiS,ci)a5nj. _ Vat. + ovo^. — — — Vat. eeiii5.ti)çwnj. Vat. — Vat. OTJÏ. — Vat. OVO^ "^^^Oq ep«X.Tq. — 45.
Vat.
le
verset 26.
46.
47.
le
Vat.
lit
aussi
50.
51.
52.
54.
Vat.
+ OVO^.
<J.c-.
53.
55.
14
Histoire de Joseph.
h^Ç
jtJOTT^^'^ jtTe nK^,^5 n^Hitxj. ^enoTcfj.
poT
^^
JtTe
Jl^JteV.
hpoiinj h^ejioTçf j eejiHOT m,i ee-
JiejUL
xe
DV
^^6
niKi^^i^^ qtwi^
c^<s.p^«3 jtJteçf ^>va50Vj
JULOK
c^iî.piî,«3
THpOT.
èjti5,J
OTO^
THpoT. ^e
JULJULOJt
julh
jULoq.
41
Vat.
JlJie
Vat.
ii^t,
IIe2$:e <^^piî,à5
—
juinejULeo.
—
pcWllJ JtC^Se.
59.
— 6j.
Vat. 61.
2s.e
hj«5CH<^. 2te
CXeJt
JULC^OOT.
.nJOVTiJ.V^.,
\\K^,^i.
^^ Jt^HTCf. ^ <^^ t^OTO^
JtK<S.-
HiS-HJ.
Gjècyoînj ej(Socj èpoK 11-
JULJULiî.T^T(![.
Jt<S,;X!^'^ JULJULOK
<,(k
ne-
Tenn^ziejui
JtooK eKècycuiu ^jsteji
40.
nj^-
Tiipq eqècoîTeuL Jtc^pojK'^^ n>^HJt
n«î,JULHcy
n^epojtoc
^jeit
Oto^
38.
2^e JtJCMCHc^. ste enj2s.H
T^HT aneKpni^.
Jui-
p^Jte cj^^p^àu JuLneqjuieo
2^e
njCiî.îKij'''
èSoX
neueo^' jijieç[^Aa50Tj THpoT.
ne2s:e
36.
eTm.^wnr\ ^en
ei^Ç'* jtpojuinj h^Scujt
OVpOJJULJ JULn^jpHi^ èoTOIt OTnJtiî. JtTe 39.
TZiJZ:
JtJ^pHOTj ev^pe^ èptwov
ji2S:e
nK«î.^j h;x!**^^37.
^^
Jice^pe^ èjij^jpHOTj ^eji jijS^kj.
evècycwiij
njK<î,^j.
Ko.
iii^poTeoTeT JiJ^pHOVj th-
JUL^pOTeOTCT" njCOTO. è^OTJl
JULc^^pi^ay.
Oto^
Oto^
^.
jtpoiAnj h-
—
57.
Vat.
"^l^-
HK^^J THpçf Jt^W^lJ.
Vat.
een^cytwnj. JtJCiî.2<::J,
Vat. JICCUK.
^Hnne
—
— —
64.
—
+ OVO^. 60.
2s.e.
Vat
Vat.
—
58.
oto^
62.
^XP
Vat.
15
Histoire de Joseph.
Oto^ 1
42.
^i5,p^àj e}\ neqa)6l)Tp èSo>\ ^jtotç[.
OTO^ ^^J^ jiov^eSccw
<5,qTHJCf è T2tJ2Sl hjOJCHf^.
Oto^
43.
zieji''*
içfT^>\o*f et&en
nK^gj TKpq
hjcucH^.
2:6
<^
H.X
"•
n^o
ji.;X^HJULj.
47.
^iî.p^«3
2s.e
^(TitaTK"^^ hjte ^>vj
f|»i5.p^a5.
^'^
45
'^OJiecUJUL^iî.Jl-
Tcyepj JUineTec^pH
Jt<î,cejiJïee
i^S<Î.KJ eTC^JJULJ
46.
Jia.Ç[.
JCMCHf^ 2^e
hpoiini ne. eTi^qb^s èpj,Tç[ jumejuieo
noTpo
JUL^i^p^èu ^<s.
>\
juljul^^S-
exeji rk^^^j Tkpçf h^fi^J.
^^i^ ^^^
JtCUJt
n^q"^ ^ejt
SoX
Ilexe
44
JULOT^ èc^p^Jt'' JIJOJCH^. Ze
o'ï'Oè
n^OlIT
jt;x!^^J-
^,noK ne
jjtj JiTeqzijss:.
^SepetfluoTTC
Jl-
OTO^ ^qj
ji^HJ^Aj.
jUL^^piî.'oy.
Oto^
^qcjni'^
<j.t>
hste jouch^ è-
^en
nK«L^j
THpq
h^enoT-
jize "f Ç jipojmnj
THpq hx^Aii. Ovo^ i^qjpj hze njK^^j Jt^ii.nx^^^'ï' ^6n i^Ç'^ hpojiinj h^enoTqj. ovo^ «î,qe«50T^ ë^oTn hni^pHOTÎ THpoT jiTe'^ "j^ç; Jipojuinj. eTl nj^enoTqj ajojnj jt^htot ^en çjj.
^en
Vat.
65.
+ OTO^. 70.
nKiL^j
Vat.
+ OTO^.
—
68.
+ OTo^.
Vat.
—
—
-
74
Vat.
—
71.
Vat.
+ OTO^.
-
Vat.
69.
i"pen
ensuite
:
—
e^HTÇ[.
Vat.
ezen.
•»ironeOJULc^iLnHK corrigé
XH-
66.
aX,-
75.
Vat.
^TtTftOTK.
c^p«î.n.
—
67.
—
7^
Vat. Jll"^.
72.
—
Vat.
Vat. Jïi^Çj-
Histoire de Joseph.
16
^pHJ
£)ejt jijS<î.KJ.
JtJ^pHovj
jtî"e JtJJULecyçyoîT
JiTe
eTKOîi^ èpOC ^ÇJX^'Ï* Jt£)HTC. 49. Oto^" 1 jtucR^ eoTeT coto. JuLc^pn^ xinjtytu jiTe
^S^KJ.
JIH
èjt<î.tya5q
cj^joJUL.
JULDLOjiTeç[
(TjkiiJ'* JULJULOçj. jie
ïoîCHf^ 2^e
50.
a|^TOTcyTeJUL2teJUL2toJUL h-
èjUL<î.a|a5
^ tynpjs
ç hpoiinj h^KO.
JIH
knj
cyoîniit^cf
^pen
ji*î.ccH
^cj^i^
pov.
2î:e
jiejUL
c^p^î-Jt
Juin^TOTj
ne.
siTLe
jicmji" 'J^S«s.kj.
juineçftyopn
^ 51.
juljuljcj 2:e jula-
opjepnoîScy hn^JuLK^^ ji^ht th-
ji^ii4j.ja5T.
52.
iî-cj^penq 2te ec^peii. 2:e
^r" jULn^eeSio.
i
<î>p<î.ji «^-t^
DVTCjni
5^.
o^ ^vep^HTC hxe joîCHc^ 2:oc.
^^
^e juniJUi^^S
epj^j<î,j ^eji
2^e hsite "j^^
ji^ejioTîf j. eTiJ-Tajcuni ^eji nKiX,^j
eT^
juljul*?,^
êT^cjUL^coT m,q k^e ^cen-
jieeTcyepj JUineTec^pH. n^ojiT OV. joîCHc^
n^^î-p
oTo^ ^ uj^Ko
hpojuinj
h^H^J-
hpoiinj h^Ko.
hk^-
54-
Ov-
k^î-t^ «^pn-j^
cyojnj ^ejt
njK^gj
THpq jiTe X"^J- ^6 ÀiAiojt CMJK ojon ne. oto^ ^q^KO jtxe njKii.;^j THpq jiTe x^^iJ. 55. 3\^ njjULHcy 2^e ojoj èncyojj <^^piî.à3 2ve
76.
— Vat. z.e.
78.
Vat. Vat.
^^
c^^p.j.à5
eeSe
hjijpeJUihxHJ^J THpov.
nKiJ.^j JiTe
—
79.
n^eeSjo.
zie ii^x-cye
nw-
— Vat. — OVO^. — — 80. ^SiS-KJ. Vat. — 81. Vat. + oto^, —
«Î.ÇfX^ JIJlJ^pHOTJ. e^TjIinj.
oîjk. neste**
77.
17
Histoire de Joseph.
Jt<î,pe
56.
THpçf
nj^KO
x^^p«3
-^K
4Î.TJ
57.
hjijpejuijt;/!**^'
OtO^ JUX^P*^ THpOT GT^eXlT
e^pHj èxHiJLJ
JULnK<x.^j
hî&e jcuchc^ hjtj^^ojp
ne**. IÎV.çfOTa5it 2^e
pov hcoTO. OTO^ jt^qi^ èSo>v pOT.
n^o
^jzieji
th-
^^~
ky^KiXl^^
ècytwn JiTejt jojch^.
^rj^ko
^JZeJl nK<S,^J THpç[.
TiS^p 25:eJULJlOJUL"f
XLII.
GT^qJt<5.V 2^6 h2te jkKOîS.
I.
ce-j^coTO èSo>\
25:6
ze eeSe ov
^eit ;x!**^J- nezie jIkcmS JtJieqtyHpj.
TeTejiojo^^ h^HT.
coToèSoX^en jiTejicujt^).
^Hnne
2.
X"^^
JUL^cyejiœTeji
OTO^ JiTejtcyTeJULJULOY.
hzie jiejtcxiHOT jijcuch»^ So>\ ^eit ;x!HULJ.
iineqTioicoq
noTe
—
Vat.
85.
XLII. 2tJ
JiejUL
Vat.
—
+ ovo^.
Beitj<x.JULjJt
jieqcjiHOT.
—
83.
I]\.tj
îfc.e
è;x!^"
è^pHj^
ncoji hjoîCH^
<j.ç[2:oc
DVtj
5.
Vat.
2^6
2s.e.
e-
—
u
julh-
2^e hste xteji-
84. Vat.
— ne.
— eT^ejtT. Vat. eil«5,T.
I.
h^pHOVJ
+ ^J
4.
3.
è^pHj
neq i hcoji ècyen covo
jiTe ovtyoîjij TiX.^oq*.
82.
«LjctuTejUL 2te ce'f'
JtiX.Jt.
nJJULCUJT.
—
j.
— Vat.
2.
Vat. cytun ^«X.JtKOV-
+ e^flJ^J
—
4
Vat.
Histoire de Joseph.
18
è^pHj è;x!"^J- ècyçwn neii jih gtiihn j^Ko u^p y^n ne ^ejt nK^,^l^ k^i.m.i.n.
ojHpj JUinjcT^ ov^ 6.
jî<s.pe
oto^
loîCHf^ 2^e Ji«î.qoj h^p^x^cMJi^ ènJK<î,^j.
itij-q^ èSo>^ iinjJULHcy
nK«î,^j*. Gt<j.vj
novgo
jteJicnHov hjcucH^. «î.v^jtov èzeit
2^e Jt2te
^JK^^J^
èstejt
THpcj itTe
iJ-TOTcucyT
JULiiioçf.
c|^«î.j
GT<î,çf Jt«î.v
7.
hzie j«5CHc^ è JieqcjiHOV ^qcoTàjjtov. Ji^Lqjpj'" JULoq htyeJULJULO ëSo?\ gi^ptuoT.
Ovo^
^«j.jic^2:j eTJti5.cyT.
Tejti eSo>\ etujt.
hocuov
^q c^îk: j
JteJULCMOv
nestiJ-q" xtojov 2te
2^e
nesttuov
Jiq.
9.
Oto^
JIH eT<î.qjt«î,T
^en
èSo^ ^en
2Sie
^e
Jui-
eTkpe-
HK^^j h^*^^*^^^- ècyen ^^.Jt^pHovj*^ m.n. joîCHc^ coveji'^ jteç[cjiHOV. Jietuov
2s.e
8. lîV.
juinovcovco-
^ç[ep<^JULeTj jtzie jcwchc^ hjijp<5.covi**
èptooT heoq. oico^ nest^q
Jttxjov ste
heojTeji ^^jiziHp. eTXpeTejij èi^jtj^TejiOHjtov jiJiJT^TCj jiTe "f X^P*^-
ze
jieKX^^oJOTj.
Vat.
ip;)ÇOJT. 10.
V;it.
—
8.
+ OVO^.
Vat.
—
cyton Jl^iS.Jl^pHOTJ.
jieçjcjiHOT. 15.
Vat.
+
—
U*î.p.
14.
—
i^siosi
—
eeJIHOV.
THpejt
IÎ\.jioji*^
II.
pj hoTposJULJ jTovoîT.
5.
2s.e
nestouoT
neji(Sojc. GTiî,jij ètyen ^iS.jt^pHovj jiiji
jULJULOJi
^iS.
heçuov
Jo.
6.
^<s.Ji^jpHJiJKoc'^ ^.non
nJK^^J. Vat.
—
13.
Vat. 16,
+ THpq.
Vat.
II.
^.Jiojt JiejtcyH-
—
— Vat.
9.
Vat.
OVO^.
^
—
_
7.
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Histoire de Joseph.
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18.
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— — 2^ Vat. — Vat. — O^. — Vat. + Vat. — — Vat. OTO^ 6p6TeJl6tUJI^. jtecjcjiHov. 22.
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20.
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27.
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26.
— 24.
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28.
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19.
21. Vat.
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Vat.
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Histoire de Joseph.
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Oto^
20.
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iin j17\ov hziojic. oto^ iineTencoîTejUL
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Vat.
Vat.
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37.
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juLJULcuTejt coîzin Juin^jJUL^.
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Vat.
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Histoire de Joseph,
21
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^ttoîjult^^ hîxie jiot^ht. ,^,Ta)e-
m,n.
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è i^ojjK Jiwov ^j c^julcwjt.
cyoînj iiniî.jpH'i".
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èT«î.ceo jtx\l^^.T iinjoT^j. njov^î^j èpcuçf
necfcoK".
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25.
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41.
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+
Histoire de Joseph.
22
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^n. cTJULetwn qojon jULjjt.
jtTe JioT^«î.T^^
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hecuov
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Ilezie jXkoî^ noTJuuT ji<î,Tty
Hpj. joîCHc^ qojon
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pjS. eojcwn ^.jcyTejnejiq
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IlVcçycuni 2^e èT^vziîMcy jijiovcok
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JUL^j-cye
àjijovj ÀineTejïKOYZiJ^* jicon
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^cMTeS juin^tyH-
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Vat.
^jpHjmKOC.
50.
t^JlJ
51.
52.
53.
54.
56.
55.
4-
58.
57.
1
23
Histoire de Joseph.
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DVccytunj eTiLTovtwjUL îinjcovoèT^vejiq ;X;hjulj.
neze j^kçwS novjoîT
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jieTejiJi<j.v è n<s.^o
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4.
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Vat.
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Vat.
Vat.
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2.
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+ OVO^.
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61. Vat.
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Vat.
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Histoire de Joseph.
24
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Sj èpoK". JiJijè^ooT
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9.
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10.
12.
13.
14,
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16.
18.
15.
17.
25
Histoire de Joseph.
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eT^'rT^cooç[ èpcwTen
TejicoK. SLk^,T^.cooq
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15.
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oto^
nezi^çj julc^h eT;x^H ^jstejt
— Vat. ovcejnovqj. — Vat. ovTepeSjneoc. _ Vat. + oto^. — 2^ Vat. OTO^ eqeTiî,coo. _ Vat. ^en noTXJ2S: i,vVat. OTO^ iX.TTa50TnOV. — (^JTÇf. — Vat. + 19.
Vat.
iî^nKOTTen.
20.
21.
22.
24.
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26.
Histoire de Joseph.
26
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OTOJJUL hoTcwjK^* jteiiHJ JULJUiepj.
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D\.tj 2^e
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n^«s.T JuinjoT^j njoT^,j iiJULOJt ^ejt neç[C0K. neii-
^^T ^en ovoij ^jiT^ceoq i^Jiov ^eit JtenziJZ:. 22. Ovo^ ï. JiejtKe^^T^^' jiejUL<j,jt. ècyen ^^Ji^pnoTi ii<s.ji.
TejtèjuLj^* ^Ji
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Vat.
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27
Histoire de Joseph.
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tî\.TeJtJtl«30T^*. «Î.TJip<S,TOT. tJ.Çf^^pe'' JtJIOTèeV. 25.
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iî.Tova5ajT^^ juljuloçj.
si'Ke neT6Jija5Tr. 28.
<î.Tjjtj
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jcmchc^^'
IS^q) 2^e
26.
^p6T6Jt6p0V. OTO^
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27.
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2^6 èncyCMJ hjl6qSa.>\ h2S:6 J«5CH<^. iî.qjl<5,T è S6J!jljULJJt
oto^
neqcoji hcyejiJUL^v.
Vat. 2^0KJJULH.
36.
OTO^
iî.q6nJULa30V.
— OTO^. —
41.
Vat.
JIOTOJJK J16JULa50V 44.
Vat. 62^611.
—
JUL^pOîOTT h.^^. omis par
le
— —
ne2tiX.çf 2S:e <^i.s
37.
Vat. CJJUietUJt.
+ OYO^.
Vat.
39.
epe JOîCH^.
JULnjll«S,.
45.
—
ms. du Vatican.
Vat. 47.
— +
—
43.
ne neT6Ji-
— —
42. Vat.
OTO^^.
40.
— le
46.
Vat.
Vat.
6 OVCMJtl
+ OTO^.
Vat.
En marge dans
j8.
Vat.
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ms. de Paris,
Histoire de Joseph.
28
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2^e
ne. exejt necjcojt.
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j
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30.
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31.
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peiih^H^J ovccucj i^^p
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2tJ K<S,T-Î.
49.
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Vat.
Vat.
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jumeçfjtieo.
2s.e
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^4.
50.
Vat.
dans le ms. de Paris.
+ OTO^.
—
52.
Vat
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Vat.
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—
51. Vat.
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—
Jtj-
e^OTe niTOj THpov
a été effacé
—
iS-qj^neq^O.
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ovSe neqcon.
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48.
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JU.J.
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ne
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55.
—
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Vat.
Vat.
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Histoire de Joseph.
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<s,vca5 2s.e
oto^
XLIV.
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Oto^ JtejUL
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necj hj.
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h^i.T ^jtc e ncoK
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JULnjK0T2î:j.
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j.
«s.vov«5pn* JiJijpwJULj eSo>\.
Jtejui^
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2^e
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4.
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2.
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TcujiK 6o2:J ciJULeji^e hnjpcMJULj\ eKèT<î,^a50V» eKè2toc** jioîov. 2te
eeSe ov ^pexeit^
^*j. ^iX.itneeji<î.iieT^
56.
Vat.
XLIV.
—
3.
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— —
Vat.
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jieJUL
eeSe ot iî,peTenKtu^n
JÏJTOJ JtTCWOT
Vat.
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jî^<î,JineT^a50V.
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^.q^on^en.
_ _
Vat.
4. 6.
—
2.
+ OTO^.
Vat.
7.
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9.
Vat.
xi'j^^-
Vat.
—
e^pHJ.
5.
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—
8.
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Vat.
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+ OTO^.
Histoire de Joseph.
30
^pexenîtOKOV e^o7\ nu
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6.
GT^Çf2SeJUL0V 2^e ^qStOC JI«50T K^X-T^ Jl^JC^2S:J.
7.
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2i.e
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Ji^jc^zij jtJiectycunj hjteKiX.>\a30Vj h-
jtejm.«x.Ji K4X.T4S.
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JULn<x.JC^2S:J**.
Icxe
8.
Jtiejt
ns^i^T eT^Ji-
zejciq ^ejt JiencoK. ^.nT^,ceoq ^«î-poK èSoîv ^ejt
RK^^j nHJ
hx«^^^«^Jt- ncMC TejtJi«x.KCM>vn*^ èSo>v ^ejt
jULneiKTojc hov^iî.T je otjiotS.
OTj. èçjëjULOT
heoq
2s.e
Terizcu
2^e
«J.JIOJI
ne25:^ç[ zie'^ JUL<x.peccya3nj ÀinjpH'j^'*
ijLJULOc.
— Vat.
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i,
Vat.
II.
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Vat.
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—
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n.
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DVvjhc
h-
ovo^ ÀineqcoK-' ^jzejt
eeSe ov ^TeTejiKeT^n T^^Viî.?vH h^^.T.
—
14.
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pn'f
lo.
njpcMJUij eTovjtixejui ^^t«î,>\h
epeTeJièujojnj" epeTejiTOvSHOTT.
10.
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TOTçf. Jteoq eçfètyajni jihj'^
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— 2
1.
12.
Vat.
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17.
Vat.
Vat.
19
—
—
—
Vat.
Vat.
ea)iLq(fja|HJUi.
K^TiX. n«X.JC^2S:J. Vat.
+
JtHj.
—
15.
ij.
Vat.
c^HeTOTJi^zeiii^^TiX.-
i"JIOV.
—
20.
—
18.
Vat.
Vat. JULm,5-
epeTejièoie
OTO^ iTJHC JITOTOT
<^OTiJ c^opiiep klieqcOK,
—
omet
le
«X.
reste jusqu'au V.
c^OViX.J
12.
31
Histoire de Joseph.
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ovo^
H^çf^OT^eT
â.
^oTiLj c^oT^j. OTOJjt iineqcoK.
e^.cjep^HTc
2^e ne.
ovo^
ty<s,Teq^o^, enjKOTî&j.
^ejt ncoK Sojc.
JiSejtJiLJULjJT.
(^oTiî,j
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T^Ao
c^OT^j
T^.ceo^3 e "j^SiLKj.
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14.
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T6TeJtca30VJi'° ^Jt.
OV
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neT6JiniS.ciZ:J^^
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22. 24.
— Vat.
25.
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17.
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JULniî.jc^2!;ij.
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Vat.
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cyiJ-çj(rFa|KJUL.
— —
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iVXeil i^^T*X.>\H. — 23. Vat. + OVOg. — ^e Ji2S:e lO'V'K^c jieJUL JteqcjinoT e^ovji.
Yat
Vat.
5.
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6Tiî.V2tejUL ^c^vis.>\ii JiTOTcf.
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eJUL6T(rjh2S:OJtC Jtn6Kà>\a30VJ.
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^ejt ot^Tjoihjul
6T6 ^JIOK
ZeJUL i^<^T<Î.^H JtTOTÇ[.
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jov2^«x.c
n6T6JtJt<Î.OT^^iUL6Ç[^* jULnejKTojc. je
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n^j^twS ov n6 eT^pexe-
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(TicyHJUL" JTZ:6 njpcUJULJ
^a.C
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njK«î.^j >JLneç[jULeo.
2.6 xicwoT jixe JCMCH^. Jt«J.jçf.
h':|^<^v<x.>\H"
JUineqcoK e necf joî.
nejUL jteqcjiHOT" ^i, josch*^.
iS,T^jTOTOV'^
jC25:en njjtjo)^.
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Oto^
13.
12.
29.
31.
Vat.
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26.
28.
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Vat.
Vat.
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èTenjiiî.c<î.2t j.
Vat. TeJlJtiî,epSa5K.
—
27.
èTejtJt^0ViS.g-
—
30.
Vat.
—
Histoire de Joseph.
32
hovX^ov. hoojTejt
2^e HiS-cye jttuTejt èncycwj^^ ^^,
neTenJOîT ^eit ovovît^j.
i^i^^o èpoK n^cTojc Jii^pe
jizie joT2s.<î.c ne2i<î.ç[ 2:e
neK^>vOT.
2î:e
è neK^>^ov. n^
ne2S:iî.jt3^
J«5T
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heoK ne
2:6^*
HeoK
JULOC. 2S:e i,n.
IÎVç[^ejiçf ^^e èpoq^^
i8.
ovo^
juinepzitujiT
JULejtejtc^ <^<î.p^«5.
oTojiTeTeji jcwt
juLnejKTojc ste otoji
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OVl>\OV
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22.
23.
Gcyoîn
HeoK
2^e
î^e hTeçf;)^*?.
neqjoîT
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Tiî,Jia|e
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2^e.
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2te JUL^tye
^pHovj m,n.
^<î.
26.
x*^ neqjcwT
hcojçj ç[jt«i.JULov z:e
24.
Xpe
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hjteTenov-
jieAicwTejt.
<î.gTejieHJiov è ni.'f è m.^o.
^ç[iieji-
Xjijtç[
ne^^,K JtJieKl^oîOTj.
neTejtK0T2tj hcoji
juljul^-
2te
(Tbjc. zie ÀJLULOji cy2S:oiJL JiTe nj^,>\OT hcoîcf.
2s.e
Ilest^K 2^e" JtJieKk>^«30YJ.
^^poj ovog ejèo^j otShç[.
20.
^CJt Tecf iieT-
è<Î.Ç[2:^0Ç[
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je coji.
j(Jljul«s.v.
vàTç[ èTC02Sin jiTe TecfJUL^v neq jcmt pjTç[.
19.
2^e^^ ^.Kojeji jteKlTvcwovj eKstos 11-
SX^ccycuni 2^e è-
neK^T^ov eTe nejiJcuT ne. JULneji6l)jc.
Ilexe nen-
25.
ncuTen on tyen ^^.nKOVstj h.
3\.non
2s.e
neZiî.n JtinenjcwT zie
— encyoîi. — — Vat. Vat. ^^î-poq — 2te. — Vat. — 2^e. — Vat. + OTO^. — — 2^e. — Vat. Vat. + OTO^. ?2.
Vat.
^3.
.
36.
35.
38.
34.
37.
33
Histoire de Joseph.
iijULon cyxojUL
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neK^>\ov
coîOTii
25ie
î^e nejtJttîT Jt^ji** ste
cynpjs,
X
CX.^^ njoT<î,j >jLJULc«ov
Tejt". iiov.
^n ne1^x^,n
iinenKOVZJ Jtcon
pojjULj. 25:6
m.n è^pHJ^^ i.}\7\i. jcste è^pHj jtejUL«î.Jt; TejtJi«j.tt}e \^^,'p i,n è jii5,T è n^o Àini-
è uje
hcoji xt^j
nejtKOTZiJ''*'
m.n.
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^.n.
heojTejt TeTeii-
TiX-jc^jnj*^ jul^cot jïhj. cye
Jtiî.q
ze ^ neHpjojt oToiiq
èSoX
28.
^<x.poj. ne2t«5-
Jtinjjt^v*^ èpoçf cy^i^-
)txm,s^eT
Gcyoîn otji XpeTejtoj^jicuTvj
29.
ïle-
27.
èSo?\ ^i. m.^0. JtTe" OTcytwjij Tiî.goç[ ^j njiioîJT,
e TeTejmiî,JULOti)j ^JOîxq. TeTejtJt«î.e>\ TiS-iieT^eX-
^o
è ï.ïxesi'^. ^eji oTiiKiS.^ ji^ht.
ij.jjt«î.tt|e"
jiHj è£)OTJt
^«J,
'T'Jiov 7^e
30.
neK^TvOT exe nejijtwT ne.
poit. JULnji>^ov^* jieiiiLJt
^n
oto^
qm.itxov.
XtMovj. cem.e}\ ejULeT^e>\>\o }uLneKk>\ov
39.
40.
Vat.
JULneJiK0T2tj
Vat. ^.'}\'h^. jc2î:e
JieJUL<s.n
e^pHj.
TiJC^JJULJ.
—
+
4$.
eCiS.cyj.
—
— 4^.
47.
Vat.
exe
nes±i.n
nejt-
—
iJt.
^/I^'^o'^^pn ÀineiiKOTXJ hcoji 41.
Vat.
Vat.
—
JtiS.iT.
+ OTO^.
Vat. ^.s(li^.n^e jihj
_
Jicojt
jieKi-
ovo^
—
—
42.
44. Vat.
^^, neK^LT^ov.
ecetyojnj.
—
Vat.
eT^.
+ OTOg.
— 48.
46.
Vat.
Vat.
+
Histoire de Josepli.
34
ne ènecHT è
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IleKSaîK
j2.
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nT^.T^.^oq
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TejULii«x.v
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^«î. niS.ja5T.
hjtje^oov THpov.
h^j-ioît
i^jt<î.6^j ^iS.poK
jiejUL
ècyosn ^jtyTeiieJtçf ^a.poK.
2S:e
ejoj hpe-
èp«s.Tçf jULneKJUieo. ejècytonj
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ze
«î.çfepna|TfMpj juinjlTvov jiTejine-
i^iS.p
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^exi ovàik^x.^ ji^ht.
^.nx.en'i'
34.
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53.
JULnjl>vOT ejoj
2s.e JtiL<î.peqfi)e
Jt^çf
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IltMC i^^p ^ji^cye^" jihj èncycMj
JULnjX?\ov
^\i
jiejuiHj ^xi. ^ssii. hT<x.ttj-
è jtjneT^oîov. eTn^.T^.^e^^ m,swT.
XLV.
Oto^ jtiS-çfçyzejULîXiojUL OT h^HT èpe njJULHcy kw^ I.
^jTov ô^j
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2.
OVO^
iVCtMTCJUL 2^e
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51.
Vat.
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Vat. eejtiS.2î.ejti.
ite kjULOjt
JIjpeJULJlXK^J 3.
ne jcuch^.
—
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eç[n<î.ovoji^çf è jteq-
JUL^4Î.piî,à5.
^iTCJtneçf JOJT.
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^"ÏX*^ TeqCJULH e^pHJ
THpOT
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49.
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^^poj THpov. ovog
èp^.Tç[ itejUL jcucH^.
CJIHOV.
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50.
i5.ÇfpjllJ.
eTj ç[OJi^ hzie
Vat. 't'JiiS.aicye.
—
35
Histoire de Joseph.
n«î.jtt3T.
Oto^ m.pe Jieqc jihov tyzejULZioiJL
èporà' m.q. ne ^vcyeopTep u^p ne.
^e ^enennov
cHc^ 7^e jtJteqcjiHov.
oTo^
jtoT^ ^<5.poç[.
Tencon
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6.
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5.
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JULJ.
3.
Vat.
Vat. 7.
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Vat.
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6.
Vat.
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9.
4.
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eij l'iî.p Te. — Jt^KTOV ^.n.
—
2.
Vat.
JtCejliî,a5C^
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ii.peTenTïUT.
JULc^iS.pj.tl5.
njK«x.^j
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«LTeTenTHJT.
nKi^^J.
Vat.
è a|«î.ne«j OTnjcy^t" h-
Ài<^pH^
i.p^wn exen^
8.
Vat.
7.
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XLV.
oTon xeë costn
^^ ne. Ovo^
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9.
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èjuLJi<s,j i.}\7\i,
JUL^^p«s,ja
THpq.
2te
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T^noT
8.
jcwchc^ ne-
poiinisi^ h^KO
Uiî.p T<s,oTOj ^i5,2S:çMTen
^J2tejt njK
ovopnT' itij,!
i,n.
^v^e-
T«s.ovoj £)^.2:a5Ten eTtu-
Te. eTiî.Tty«5nj ^Jî&en njK^^j^ èTj
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nenepe nj^çuS hcyoT JiTeneHjtov. iin^x.!.
Ileste
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Vat. iS.q«s.JT
^Jî&en.
—
5.
^^.ïxn^,s h10.
Vat.
—
Le concile d'Éphèse.
36
^«s.
HiLJtMT
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hae neKtyHpj
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GKècyoîni*^ ^ejt rk^-
^j hueceii
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Tlp^SiX. ovo^ eKècycMnj eK^enT
èpoj. xieoK
JieJUL
JiexajHpj. jieii jijojHpj jiTe jieK-
a^Hpj. jieKèccîJov. nestx xiexè^îMov. neitx iteTexiT^K
THpOT^l
Le concile d'Éphèse, d'après une
lettre
de Saint Cyrille.
{Zoega, Catalog.
!]iy.cty«5nj
2ve
^en njcHOV gt^ novpo
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2^e «î.JOTCMpn
ovo^ n^jpHi^
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oto^ m.pe ^^,nKe-
jienjcKonoc jtTe ^nïXi neiSLâ.n ne.
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eepjji juLnj4X.ceSHc jtecTopjoc
JieJUL
28)
nejiJOîT <x-n^ SjxTcup nj«î,pxHJtiiî.Ji2vpjTHC h-
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i,n^ ojejiov^ Jieii ^.n^, SjKTOjp
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12.
Vat.
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Vat.
Le concile d'Ephèse,
TvHOTT e ovzoj jtoTOîT ne
jtjenjCKonoc
pHOV OTO^
iLV<î.>vHj
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jiejui
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37
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^cmot e otzoj
nctoîtn hneitx Jtove-
^ejt nxjjtepeiiepzjjijop^
I?OC» JtTe ^JOliL
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ze ccwTn m,K
eepe jijenjcKonoc THpoT ecMov^^
hceTiLJULOJi e nT^î-xpo jtTe
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^ejt nstjnepejtep nejicocTjt j jteuL nj«î.pxHenjc-
Konoc
JtTe pcMJULH n<î.jpHi^ iî.jtcçMTn jtiJi hi^noTvjc
ecj^ecoc *5,joTa5pn jiJijenjcKonoc
OTO^ ^jepe i.m. SjKTtup
eJUL^v >\jc
ji'i"JULeTOTpo
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niî.epojioc
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ovjtjcyj^ JULn<î.ppHCjiX. ^4S,Teji
noTpo
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eeo2s.ocjoc
e^OTepojt THpOT. 'JVjtok
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cy^.Te
Jieii ^,n^.
tyejtoT^
<j.jï^ejULCj
^en
'f-
JijenjCKonoc eT<î.qovopnoT jtccuov
JiTeji^(M>\ ei^no}\jc e^ecoc. eneqpiX.c^
1.
Cod.
JtTe SeJtJtHCJ.
3.
Cod.
ne^vioc.
2.
275.
2s.e
j «s.
La Sainte Famille.
38
novpo or^.^c^,^ni eepejicye m,n e^noT^jc e^ecoc
OTO^ iJtepK^eepjjt juinj^ceSHc jiecTopjoc nj^epeTJKOC eT^^^ejUL iinijui^
Oto^
eTejULiJL«x.T.
ii2S:jjtopejiTi5,go JULnjjt^^'j-
£)eji
eSo^ ^jTeji nejKTc jhc
epiS,Tç[
n^c ^ novpo X,^^
eSo>\
ov^jpnnH eqp^cyj neixi^n ^jiok JteAi ^n<î, SjKTCwp JteJUL ^n^ tyejiov^ njipXHJULiî.Jt2^pjTHC jteJUL nKecHnj hnjejiJCKonoc THpoT eejULoojj jie^eji
Oto^
n«î,jpHi^
^^X*^ jijenjcKonoc
jiTe
t^^-
si^RiXi eSo>\ eopoT«î.>vHj enjstoj hcejuiocyj
f»^.
^i,7L^n e^pHJ e
^.n^. cyejiovj^ Jiejui ^RiS.
jtTeji«x.7\Hj
2te
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X"^^
2s.e
SjKTwp
e OT2toj
jtTe
^c» xteAi «^Heev
iS-jt^eJuicj
e^^^oT
X"**^ ^^^ ^^^'
epHov.
La
Sainte Familie en Egypte '.
U<s.a50V JULnejiJiovi^ nj>\oi?oc jiTe c^joît
^H
eTiS,q(fjCiJ,pp
OTO^
UJ^jiTeçjcoî'^
1.
can
;
^çjeppcMJULj
iiJULOJi lésion ^«s.
ns^piCTSi-noc
Copié jadis par Mgr. Agabios Bschai sur un manuscrit du Vatic'ost
uno doxologie sur
l'air
Adam.
39
La Sainte Famille.
GTiX.ç[0Ta3Jt^* eSo?\
hze
nj<î,i?ï^e>voc
e jçjjcHî^ nja.iicye eSoTv ^eji ^p4X,covj
Ovo^
ne2S:iS.çf
m,q ze
I]V.qTa5Jiçf Jize
e^pHj
UVçf j «î.va|wnj
DX
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ovoji^çf e jcmch^
e T<î,ceoq e
m,^i.peB
nenS'c
e nztwKeii^
neq2S:JJtTiî,coo
<5.
j
encyoîj ji^julovjulj iijuloîot
Gccyon ^,cT^,}\<^o^
Oto^ ejULiî.v
h^n«s.peejtoc
HpojîsLHC julov
JULJtiLa.v aj*s,Te
Ji«î.q
iS.ç[(fj
ovjhc
^Ycye noîov e kock^jul
X"^^
e
ovo^ ^q^oit^ejï
iS.qjjij
joîch^
nj4Î.i?ue>\oc jiTe
hen
tcmjik ^eji
cyiX,
niî,je^ooT ^eji
koTon
jtjSejt
eTeJtXîxi,r
eTepxp^c^e
e'repiS,no?\<s.Sjjt
JULnejtpeqcoî'f
usajli.
julhoc
iincjuLov h-j^n^s-peeitoc
oto^
-j^n.x.Ji^î.ujiî.
HejUL nciioY h'f eKKT^Hcj^ eT<j,TKOTC e necpiX.ji
epe
necp<j.jt juiovn eSo>\
U«x.peji^«3c e
1.
245.
2.
Le
bassin
nxc
( '«UsiU )
cy^î.
jïj\?ejte^
THpoT
nejtJioT^ iî.XHea3C
D'après
lo
discours attribué au patriarche
Théophile, co mot désigne la source que l'Enfant Jésus
fit
jaillir
à
Bubaste à son arrivée en Egypte. Le document présent suppose que Notre-Seigneur fit le miracle à son retour. Une autre doxologie tirée
du même manuscrit s'expinine ainsi
:
« Ils
vinrent
die
».
3.
237.
4.
252.
au mala-
(au retour)
bassin qu'avait fait lo Seigneur et à la source qui guérit toute
.
Les deux marchands.
40
Les deux marchands ^
He ovon
ovpcujuijB Jïc<5,Jti^pjTHc evoj hcyc^Hp
^en p
jtovepHOY ^eji oviieTcyajT evcyj^
jteii
h^OTKOZlJ.
HVvTOJOTJiov iS.v^çMK JinoVTeSjtojOTj
<x.v(rj
h-
jiotjiotS jieJULOîOV ^TT<s.^a50V evovcwty e ^tuT^ e e
Ti5.juLiS.cK0c
tycîjn jiTOvnpi\^JUL«î.TJiî. i,
nj eptooT evjULOcyj ^j ^juloîjt
pHOT ^j pe
njJULOîJT
cyttî-
jï«s.vc^2î:j Jieii JiOT.e-
eeSe justoii
jiejti
jtJty<^Hpj exe-
nj4Î.ujoc i^ecwpujoc jpj jululcuot.
Oto^ a.ctya5nj
eTCiX.2$:J Jiejui
e OTTJJULH oj^Ten julvXjojis je e^piS.v
Ji2î:e
«s.çf,X"^ hov;)(;iS.KJ
Jî^HTç[
jtovepHov ï'
^Hnnn
k^t^
^qcyojnj
^pH'j^
jt2s^e
hze JiJOHpjon THpov
<s.vjiTtyn'«î.T^ej
OTO^
iî.
ovexojp^ evècjjtj
JiTe nK«x.^j ^^JiJULiX.c hc<î.
tov-
jtjoHpjon eTiî.vj e^oTxt e^p^v
enecHT Ji2te
jtjpojJULj ^vep^iî.cyjULOV
jijeHpjoîJT o^j ep^x-TOT
ji<î.Tovcucy
eovoîii
jiJijpoîJULj
Tho Martyrdom and miracles W. liudge, p. 58.
CiX,ncytt5j Juljulçmot e-
0T2^e JULnoTcye jicwov
of Saint George of Cappadocia,
çditod by 2.
ev^OKep
»^
Ot^î- jïjetM ni/v e
1
e^ovjt
gtc^hott xe
Àiiiovj ev^ejtigejUL ev^cwT^eii evKtwi^
^pe
«î,v^a3JTT
4S.VJ
JULOYjg eSo>v^eji Jijj«î,^a|cyHJt
ev^eiigejw. ev^oj^ejui ((
poT^j
Pb. 108, 20, 21.
3.
Pour
JlOVtyn.
41
Les deux marchands.
o^j ep«î.TOV epçwov eTooîpaj e^pnj HjpcUJULJ 2^6 jw-oc
ze
JiTe c^i^
DX.ca)a5nj
nj^\?iX.eoc
2s.e
eT^,Ti^
cj^H
poîOT Jtn^joHpjon Teji-
e
'i^2s.(MpeiX.
r^ht
rov^ht
0ViS,S
ovo^
eT«î.vjULOcyj
iS.
siestx
2^^jijh>v nj-
JtJt^jKex^'O'ï'^J *^v-
^t^
î^oîot e£)OTji e
epcuoT
iX.Teiij
e^ ni^rjoc
t^ecwp-
cejuijij
eTiî.CTiî.^a50V ste
rjoc Te ^T^oîov wlc^^
iin^ipHi^
cj^jio^eJUL hpcMJUij JijSejt
enecHT oto^
HjpoîiULJ 2^e eTiî.
JUi^i^
ep^jpHJiH
iî.qTHJC e
hstcMOT
pœoT
eecTtury
<^H eTiS.qepe jijjulotj
2S:cuSc
JUL-
h^ovKozij e^oTJi e neqTonoc jtTen-
c^^
npo^HTHC
6^2:03
njiî.ujoc ueojpi^joc
jtejti
jio^eJUL juLiiojï eSo>\ ^ejt
«.î.^ jULn^jtye
JtOTepHOT
Jt<Î.TCiî.2S:J JieiUL
ettjojn
estcuov.
xieit.
H^^uuj^Tvpoc ee-
^jt^h jiovkotzj
«î^vxjiij
hnjTeSjioîOTj eTJUioxij iine ^>vj JuineT^ajoT cyçwnj JULJULOÎOV.
ji<s,vc<î,zj
JtejUL
JtoTepHov
Seji eTiî.Tcytunj juljulcuot
jieii jijpojJULJ
oto^
h^tuS
Jtj-
ovoji jtjSeit eTiJ-Tctu-
TeJUL <î,Tepa|^Hpj jijijïloj^ Jiejui jijcyc^Hpj JiTe
nj<x.-
ujoc i^eojpujoc. HjpoujULj 2^e jiTe nj-j^nj m,iPC^,7Li £)«s,totov
eTzoî
jULJULoc z:e
iS,
ne
Jijeiipjojt eTeM.stxi.T TiX.KO h-
Les deux marchands.
42
^<x.jiJULHaj jtpajiiJ JtejUL
T^j;X^a5piî. i,7\7\i.
eT«s.qji^^ejUL
^^jiKeiiHcy jtTeSjiwovj xtTe
ht^jo
juinj^i^joc i^ecuprioc
oHJtov e TiS.jopuH.
Uejtenc^ m,i ^Tco^Tiu JuLJULOc
xe
ne
c^H eTiS.jt2toq
ujoc re«3pi?JOC
^en
Jieii
jtovepHOV evxcw
Tenn^^J^ e nTonoc
Àinj^s.-
oTtyen^JULOT eTOîOV' J^^'l"
hTejitytunj hxpHCTJiS.Jioc £)eji oviieeiiHi
iineitepeitT^ceon
ec^<x-^ov ^ocojt
^.Jti
<s.>\>\iS,
m^sstx^.
oj^s.
jUL^pejt^oî^ cy^ 2.^JUL^.CK0C jiTejityojn JtTejinp*?,!?jtx^.Ti^.
^im,
jiTenstjiAj jiotkotî&j
hTejii^ £)en
ovcwovTeit,
ii^jULHj
xe
er'f JULJULWOT eSo>\ jih eTOViioTi^ epcuov
^2i.^JUL«s-c
e^pHJ
ii.Ta)onoT ^ejt
e J>\HJUL
iVTHJTOT
Un^TOV^O^ Jtxe jijpojjULj
njp hT^OTKOZij
^<5.
C JlXoVKOÎtJ.
p«5 eTOVS«Î.KJ JlTCiJUL^pjiX.
jieJUL
eTiX.vj
JtoTepHOV
iS,VC«X.2S:J
ev25:a5 juljuloc 2te
n-
eepeitepnejULntyiî. JULn<^jJtJcyi^ ji^julot. I]Vca)a5nj 2^e eT<j-Tj e tovS<î,kj i,VT^,ixe ovoji jijSeji jiejUL jtovcvjiuejiHc e jijziojul Jiejui eTii.
^^
«Î.JTOT HeJULOJOT OVO^,
JuLnjj) n>\OTK02Ç:JeTiJ.Ta3îy
noc
1.
juLnj«5,ujoc ^^eojprjoc
45.
Jt jojc^Hpj
^VTOJOVJtOY
4Î,V(rj
ItAlCUOVeTHJTOVJULÏlTO-
ovo^
iS-V^ja?ja}
^eit
^-
43
Éloge de l'évêque de Keft.
Siî.KJ
THpC
eTZ:tt3 îlJULOC 25:6 c^H
eeOVtMO)
JieJULCMOT £56X1 TC^JUL<J.pj4Î, 6T«S.TJ 2^6 6
JULi5,pe(![J
6
RTOnOC 60-
jiojc^Hpj JI611 ^<î.JtT«s,>\6l) eToty jijih 6Ttya5Jij.
OTJULHCy
J12^6JUL0JI
THpOV
^V^TjOÎJULC 6
lunjtiî.
6eoT^S
i^(![^JTOT eSO^V i^TTCWOTJtOV
<^p<S,Jt JULc^JOJT JI6JUL
^Ytyoînj h;x!pHCTj4Î,jioc
^^^ nj6^00V
JULi^V;X!*t
ntyHpj
6T6JtJLJULiT
JUinj^l^JOC î?e«3prjOC ^eJt
Jt2t6
J16JUL
pjiu
RTonoc
^ejt
OT^jpHJtH JtT6 ^"t
iî,-
JULHJt,
Extraits de Péloge d'un évêque de Keft*. (vu' siècle)
I
si'Ke iî,SSiS.
6eov*î.S
JULOîTCHC
iî-SSiX.
>\jc jioTOîT
nj6njCKonoc hT6 K6qT 6 ^H
njc6JiTJ0c nieniCKonoc hT6 T<s,jno-
KeqT ^esi n6^ooT
Jmnecjepc^JULeTj eT-
T^jHOTT eTe covn? Jtinj^SoT 6nHn ne eqepcvji^ojJtJJi
JiejUL<5,q siTLe
ja5iX,JtJtHC
neqjULi^eHTHc eT-
ÇMOV Jmneji^ jhc n^c.
1.
Mémoires de
l'Institut
Égyptien,
II.
p.
333.
2.
45.
Éloge de l'évêque de Keft.
44
T^vnoeecjc
,
hp«î.tyj
exe ne^ooT ne kneitjcMT eeov^S
jteii oviioq
eTep^opjji
qiieg
jul^oot
JULniS.ja)<î.j
njcen^" nienicKonoc
JULn;x!^ i^SS«s.
e-
Tejt^oT çf«.e^ hoTcujjtj i)en oviieT^ovo ^eji ncçMîtn
eTe
hnje^ooT
xtTe -j^pouinj
THpc k^ta ^pn-f
ex^H
^.n^^.nï3,o^i
njCiî.2tJ n^,T^.i3Lon etycun
hOTKOTXJ. ^,vsc
2s.e
T
'i"jioic
jc2!^ejt
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OVJl
e 6TCTv7\oc
ji<î.çfiioa|j
iSSiî,
oTJt
2:6 eçfOJ «s.
eqctuK
nejui kc^î-^ot
h;)^pa3JtJL
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njceji'i^
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^ajçf
ei~n»^v epoçf
JULiS.peqjiiî.v jt2$:e
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epoq
^^
hze
ne-
iS,SSiS,
jijijS<s,X
jitc
Jui^pH'j^
hae
n^s^cy^iip.
gtuçj
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JtiJUion
h^P^^
^i^ e neqTCwS^
i5.qjt«î.v
juljuloçj
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JieJUL^,çf
^.oTwn
^JJt^ n^jCTT7\oc
.î.qc(UTejUL ovjt &i,'h JiTe
<^i~
^,^-
jmneçjpH^. nezie
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juljuloc 2te
^jt^h
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iî.q«5a| 2^e
JT<X,q<S.110JlJ
^"f ovcmh hiteq S^î.^
jt.;)(^pa5JUL
ne
JtKOVXJ
njceni^ iin j^>\ov eejuiocyj
e n4X.jCTT>^oc z.î,q
e-
TeqjmeTKOTXJ.
hjijeccwov JiTe neç[jçwT
m^r
epojTen hjijcy^Hpj
hxe c^i~ eSo>\^jTOTç[ JuinejtJtwT eeov«î.S
njceiii^
<J.T25:OC
jiTejtxcw*
iî.çjoTa3jt jijij-
ovo^
iJ.cfepty^Hpj
ciiicyoî iS.vxoc oji
1,
252.
eeSKTq ze ^en "f^î-pX"
Jtien eTiS.q-
45
Eloge de l'évêque de Keft.
^ctyçuni eepecf^Tj
epiioji«s.;)(^oc ste
pjojt
h^noceHTHC.
Jie (i}i,q)
eSo>\
JUL<^Jt<s,T JULnjK«s.v-
juinKepoc epe njAiojov jihov
1tx^.
epe jtJTOîOT poK^ ^jTejt
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JULnii^^LT^TH-
e^pnj ji^htcj ty^qo^j ep<5,Tq
juion ptujtij
jiTeqjULOvp hoTjtJcyi^ htujtj
jtiî,T
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h-
cy«î.-
TeqTiî.OTO JULnjl^<î,>^THpjOJI THpçf il4Î.nOCeHTHC jULn«î.Teç[;X!<5.ç[
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^«5C2^e jiTe
p^Tq pcMK^
^j-
Tejt njpoîK^ jiTe niTtooT jiTe otoji jtjSeit stoc tlg
eTi,q^U3iXi ^,1^xe'hi
ezen
otji
^<s.Jt2$:eSc h;x)pcwjUL.
i ovcoji
hoTe^oov OTO^
*5,çfçi)jni
julijloii*5,;)(^oc
hccuq
^jkot epoq
^en neqSnS
i&ejuiq iS.qiULoajj hCiS. TeqcTp<s.T4S. iJ.qjt<x.T
pj >in«LjpH'i~ ^aucî^e jieqS«î.7v
eTi
JULO^ hcjtoq
^JTen n^pocy ^«3C ste
jmneq-
epoq eqj-
Jtinjoîjij jiTe
eYjii5,c|^cwpK Jicej e-
njcoji 2^e ^oîjit e^ovjt
epoq
ty^ nty<s.v h-
^jovj jtoTCoejieq eSo>\ «j-qcoîTeii epoq eqxoî
jul-
0T^«î.n i^jt^ep'^ii'iÎMjt hTi5,Kiî.i^ ^eji ovjul«5jt m.Ti,(fni
xe
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eTiS,q2tOTtyT jULoq
2s.e
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njcojt
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2te JiiS.^i"
jtij.q
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1.
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iî,q;)(^a5>\eJUL ii-
iî,q^eJULCj
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2te iX.jepcy^Hpj hT<x.j-
Éloge de l'évêque de Keft.
46
hK^VCCUJI JlT^JJUL^JH
i5,J10K l?<î.p
TOJ 6
JC nJOOJOVJ
^nnne «s.Tpa3K^ JUL<|»pHi^ ze ejULOoiJ ez:en ^^nxeSc jt^P^^n eviio^ è*^P^ n^con nicen^ epe ot juLJtievj ^eji neK^HT cy«x.TeKep t^jn^,(f^.7\^.'ï'7L
xijcy^ jtinoTvHTJ^
e<î.j
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jiTeqo^j ep^Tç[ ^jziejt n^jcya? jtTecjep^Tnoiie-
RiLjpHi^.
ep^œS ^exi Teç[JULeTK0T2S:j eqm.e«3Jt ^ejt ncKOV jtTecf JULeT£)e?v>\0 JULejten-
cyTeii njptwjULj
tyep^cuS c^,
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Jtc;)Çtt5 juljuloc[ ^.jt
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u^p eTepcj^juie-
II {Ibid. p.
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Açftycwjij
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qtywîjij.
JICMOT 2:6 C1)>\H>\ e2t«3 J JtT*î.a)e JIH j
'f iiofiH jtTe iSSiî. «î.Sp^a.juL jiTiX.2S:ejULncyjJiJ
cjiiioT jiTe
njjULii.
eTejULJUL4î.v
cyiJ.
jîjij-
ipecy^Jt ^i^ ovcucy
47
Eloge de l'évêque de Keft.
^sm,
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JiTOvajTeAiejULJ epoçf
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^Ji jtKecjuiOT i.'k'ki.
h2^oKjJULoc. n^^Jit ojt
n^T^oc nj^nocToT^oc
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JieJUL
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Jl^iX.JIOTOJt.
$H eeov^S 2^e epoveS2^ojULiî.c he^oov eqtt|«3Jij Jt«j,ç[^ocj ne ^en njcyçwjij ji^pe Jt jcjihot jmevj epoq ze (jX**^ *^^ ^^^ njSnS ^.vc^.^J otji hste eTiS,
JIJCJIHOV jiste
JieJUL
iS.SSiî,
JlOVepHOV
njceji^
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Éloge de l'ôvêque de Keft.
48
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49
Éloge de l'évêque de Keft.
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Éloge de l'évêqae de Keft.
50
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ovo^ iineqoveji^
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III {Ibid. p.
IÎV.ccya5Uj 2^6 i)eji
415)
n2.jjiepe ^-j" OTCMcy e ovoe&ecf
1
5
Eloge de l'évêque de Keft.
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1.
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jul-
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L'emploi du futur iiprès ^JJt<X. est exceptionnel.
Éloge de l'évêque de Keft.
52
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he^jceoc ninpecSvTepoc
ceoc o^j ep^TK
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53
Éloge de Tévêque de Keft.
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Éloge de l'évêque de Keft.
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jULnjjiij,v
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^pH
ji^x-^cuTn
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iinjiJ.SoT
Mémoires de Dioscore.
55
Extraits des mémoires de Dioscore'.
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nooty cyujjti
oviiLOJi
iineJULOo eSo?\ jïottjjulj e cy^Tiiov^ epoq ste ^e-
pHSj e
^i. <^H eeoTiî,S
Ai^ji2ipjTHC
coc
JtejUL
I>eiî
^H
^H
i5,n«i.
cyejioT^ ne nj«î,p;xiH
eT^q^a5>\ e ^cTjt02s.oc jiTe e<^H-
eeoViî.S Kvpj>\?\oc.
nstjjtepeqep^eTvXo otji hste
Juinpo^HTHC CTenjuL^v ovo^ ^qeojoj jiJcjiHOT eneçfiiiL e
Gtj
otji
iiii.T
jiejUL njiî.i^Joc
jtiS.j
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^,n^, cyejtovi^
ejtKOT
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ejJULjcyj ^J2s:eji
njenjcKonoc jiTe tkcu-
^eji i"^iJ.JH hovjioT
ovog hTeqcTj
JUic^Se-
knje^oovTHpçf.
^jjt«s,T epoj JULniî.jexa3p^ ^eji oT^opiLJUL.î.
njcttJTHp ^eiicj ^jzeji n,x,AiiJiejtKOT eqîtjjuij niojjjij
1.
he^oov ^en
^iî.jiJULHa)
KYpj>\^oc
mm.^^ epe s,m. JUL«s,K^pj ov
hoViS.j ezieji
e jijcjîHOV nez<s,q jtojoT
epoj jijcjtHOV eT^jep
^cvji02^oc
eeoT«x.S
neçfp4Î.jt Shc«s,.
epe c^h eeov^S
i'-jTOîjtq ^^JULOicj^
$h
neîtHj
m.^ m.6osc ovo^
1'''
série, Vlll, 1'" partie, p.
d'une inscription copte, par Eug. Révlllout.
jui-
niJ.iioT^ jtiH
Mémoirus présentés par divers Savants à l'Académie des
tions et Belles-Lettres.
epe
419.
—
A
Insci'ip-
propos
Mémoires de Dioscore.
56
OTOJI tyXOll i^ hcyopn
JULJULOK ^Jl
^^JIOV 6 ^^ZOliL JtHJ JUL^pH-
oji.
Ilexe njccuTHp jihj ze osi Anesienci,
^en
nj eKcyon ;X;«3
r^p
epoj
xt
jcy^ h^^j eK^x!*^
e^pHj
jUL<^pK^ h^pjoc.
JULJUL<î,pTTpoc
ej«x.jULOiij juinjCiX.
cm,T
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^pjoc
juLnjJt^.v e-
^q<î,«.ojiJ iinj-
iî.Tca5K JULncji
^v<^cw^ xit^-
iinpoctunon. ^Jtov ze OTcwpn
ji<s.jc<x.2S:j
ii-
e n^JtuT neix mnneritxâ.
SHCiî. epiJ,Tcj JULJULiLK^pjoc
oTo^
(fcupn e-
necTopjoc ^q^iiojij
jiTe T^,(x)&Kn jc
JUI.M.OJ
^jojt
neT^qc^e^j TeKcyoHJi ne-
CM ojejioT't^
cyeiiJi ^.Tf^ojpx
n<j.ca3JUL,î,
aiot^ otShj
jijjul
hc^ ovo^
^k^
me T<î.cyeHjt ejjjij juljulcuov
eeoT.î.S
n(^jc
n4Î.p;x!^6rïJ^"
T^î-cyeHJi
e'Ken itovepHov î&e JiTe «jTejui
ovo^
^jiov xe
JiTeKj ^^î^TOTeji ovojt Ke-
UnjcHOT eT^Jovojt^T
6o>\
^^^ P^ hpoii-
jt^cyojnj juin^jtTeKj a)«î,poji cejT<î.2te-
h^HTC
Konoc ovo^
cyejiov^ eKm.epi,^s
T<î.jnjcyi^ Jt>^YTOvpi?j^
juLn^-jccuAiiS.
cTJt02v0c oVii.
n^j
ou
jul-
RjenicKonoc jiTe tkoîov
THpoT
ji^cf
jULiS,peqz:OTOvepoq
c^H eTeiULJUL4j,T iAeji rjjt^^tiojij jioviieTJUi^pTVpoc
Ôi
niiii^^/f >\onioji
ojiLtiçye JîvtuT^oii
oTopnq ^eji
ovjojc
ae
<s.
jij-
tcuotjioy exouq ^eji necj eocy.
ToTC nicojTiip «s.çfT<î,ovo jijiijCiLXJ e f^H eeoT«î.S
Mémoires de Dioacore.
57
^ni cyeJioT^ njnpoc|HTHC oto^ n j^s.p^X^HJUL^jiîs.pj-
II.
He
Destruction d'un temple païen.
OTOJï OTTJJULH 2^6 c^neiieiiT JULnjjULwwov ev-
cyeiiojj hovjî^cuXojï
zicMOT
e neç[piS.Jt
ne Koeoc
e^pHj ez:en OTcyoTcyT ^en othj
eçfT<î.>\HOTT cyiS,iiga3?\
h^HTq
e£)ovjt £)ejt
njpo JtTe rjhj
m,q enecKT oto^ hceovtuojT
IÎ\.TJ OTJt h2!^e
OT
Ji2:e
zj
JtiJ,>\a50Tj
aji^^TstoîSc h-
juljuloçj
jijnpecSTTepoc jiTe
Aia-V «j.TT^iuLe n^LjcMT e ^cwS jijSen
«x.v-
.
nsix^, eTejui-
eTOVjpj
juljuloj-
Jïj^e>\AHJtoc. JuLf^pH"^ eTOT^Ijynj jijijkoyJtTe jij;x!PK^'^J*^^oc evjpj juLinajov
hevcj^x. JULnovnovi^ Koeoc.
A-Ojnojt
i?,T25:cwp25:
eTjpj h'fi.noiXii,
epcuoT hoTe^oo'ïî'^ivxejULOv
evT^^o
hjiJi5,?\ajoTj
;X^pHCTJ^.JiocevjjïJ JuLJUituoT encycwj
jioT^
jiTe
jij-
hevcj^ iinoT-
^jîtejt "j^cyHOVj.
A.ojnojt <s.TTiL^o h^^^,nKeuLH^ jî^htot <î.vthj-
Tov
e ^npeTiJ,
iioc 2te
ovo^ ^T^epeeTa-çjji
<î,jity<^JtJUL0V^
e jijkotxj h«î.XtuoTj iiTe
;X;piiCTj<î,Jtoc jiep^iS.>v' juljulojot
1.
Pour
^enep^^,7\.
jtiiituoT ^ejt
2.
Pour
h^'
jij-
jioîot h^*î.ji-
Teni".
Mémoires de Dioscore.
58
juiepoc JtojJK
JtejUL
^^.nen^i,i JtOTwii
nov e^oTJî
e ^i.nuii.
nov^pojoT
CiS,So?^.
JuinoTCJïoq e i^cyHOTj jULi£)T
ev^nn gtwcTe
oto^
a)iS.Tejt^OT-
hcecojTeJUL e
jiTeJtJJiJ eSo>\ jtJtov-
jiTencoKOT jiJteTpoji e
oto^
JiejiKve<î,piS,
hTejt2t«5 e JtejtJiov't^ h£)HTOV. njcçwjuiiî. 2^e ty^çf
poK^
jiTen«5,jçf JiKepjULJ
ovon
^^jt;x!P"*^«^ eojULc
JULHO)
^ejT n JKepjULj hTenc^T
ii^J JijSexi
eTejtJiiX.ejULj
ji^HTq ovo^
0^*5.11(^1
OTOg
h«î.>\a5-
OTJ oj jiJteTpoc epcMov ovo^ ^eji ^otjiot
oto^
eTejioTiS.a|ç[ ;X^pHJUL«î,
çyiS.
n^ipH^"
<î.
JijpojJULj
jiTOvno^eiA eeSe
Jie Jij^p;xi;"^^
^^^ nieocy
GT«î.qca3TejUL e «LSSiS. juL«î,Ki5,pj
jiTeJttuT^j
25:e
hov-
jui^HeT "^I"-
JULiLj;x^pHJULiJ.
eTeiiii^-T.
m,s h^e
njiî,ujoc
henjCKonoc
jiTOTOV JtJijnpecSTTepoc ^qTajjTçf
«s.f|Aiocyj jiejULcuoT. jiiLjTJtioujj 2^e jiejuLiî.q <x.jtOK Jieii
Kecji^v jtJija)^
jipojJULj
ninpecSvTepoc
t,e
cm,Y
iX.TJULOcyj ^<s.25:a3Ji.
Gt<s.jij
e^HT
^eji nieoty
m^r i~ov
i.nm,v e ovep^ej ec^cMov ne r^jcut
jululj>\?\joji
2^e iqjuioajj
e^oTji e nCiL iiniepc^ej nezoîov m,q nT^e ninpec-
STTepoc cjiiv ze
J
cy^s-pe
gt^vt^^cmov ^^Jt
A
jtTejrzoj
^ejt JiejiKVOiLpiî. epe jiejtJJL
>nj;)çpH«.^ (Ttupn eSo>\
^e
h^j-jcut JtiiS.peji^e JiTe ji c^lSoT^
j
j
Mémoires de Dioscore.
Heoç[
epoq
2^e
ne2:<s.ç[ 2î:ecfoji^
e^oTjt e
4S,qjUL0tyj 2^e
^ejt "f oTJioT
Koooc
<s.
njî^eJULOJjt
njj2s.a?7^on ajo)
nc«s.
59
htae ikTojc TLe Ki.n
xin jpo jtTe njep^e
ctt^^^hott
eSoA
25:e
e
njpo
jiejti
iia-cye xiojTeji JiTe-
o'TcoepTep T^.^on ^en nzijJiepejicujTejUL e neq^pcuoT etyojn
^ç[çy<j.Jtep KeoTiioTJULn<5,jjuL^TejiJt<î.tt)e
jiij.n
jiTencyTeuLj e
xe
JT«Î.T
e
Oto^
epe otoji ^i.n^on7\on jitotov
^^^
^*5.JiKe^e8jjt
exen
^Tcye jiojoT entyojj e^joînj epojt
oto^
jtejti
nj2S:efiec^tup jiTe
neziouov
OT
iS,
jtejui
xiJKe^jojuij
njepc^ej
m,q ze jteoK ne
njpejULTKcwoY jiK^Konp^uiiiî. eT^K j e
eK0Ti5,ty
nejinov^ khji e
t<î,«.oji e
DV.qepoTOî
hxe neeov^S
^cuS jiTHj
neKJUioc^
nez«î.q itcuoT
jiejULOJTeji je
jul^-
n*5,jjUL«s.
e^ovji epoji genK eSo?\ ^^poji ot ne neK^osS
jULJULOJi
'
^ejt nxjJiepoTcoîTeJUL e m.i hzie jijovhS
^ii,jt7\ou;X!f*
K<î.pj
ov2ve e cyTejtiKOTi
epoîTejt.
eSo>\
^.Tl
n<î.jJUL^ iji
ze
Jie-
jcz:e
ot neTen^cwS neii
jijcyHpj iiTe iiJ.xpHCTja.Jioc epeTeiicyaiT àijulojot
hiijJ2^t»Xon.
1.
tive.
Pour
KOT-TeJI
;
la particulo
Ze
est ici
entièrement explé-
^
Mémoireg de Dioscore.
60
He«30V
2ie
^TepoTcu nestoîov
Te neae ^h eeoT^S
Jicuov
2s.e
OTJUieejULHJ
ze jcxe
juljuloji
<s.ji
X^'*"
jiT^j e^oTji xiT<5.JULOvajT >JLnjep<^ej xieœov 2^e neîttuoT
jïiS,q
TLe ^.JULOY
njnpecSTTepoc
cn<î.T i,v-
2s.e
ep^o'j" juinoTtye jioîov e^oTji heoîOT.
hxe
3y.TTa30Tjtov pcwjï
i^t^ iinipo
2^«3t jipoiiiJ
eTOTcMO) e ^cuTeS
juljuloji
oto^
<î,jioxi
^twji
jioj JIÇJTCÎ30V jiecuoY 2^e nezicMov jt^ji'Ste
m.^i
jiiS.-
neTe-
KHJt juL^oov jc neTeiiJULiS, h^oîTeS.
beji "j^ovitoT iVTOîovjT esteji
n<î,j«3T <x.v«î,JULOjtj
hcyopn epojt ii^pH-^f" jiov^jhS
jULJULoq
JULejiejîCMjc ^jiojt
tyHOTj jiTe noTjioTi^ koooc
ne
cTstOî juljuloc
c^oov ^ejt
e^pHJ
oto^
ze ^pjty^j
JiJKiî.Ka3np<î.i^JUL4î.
ezieji
"j^-
J
ji^.pe jij^jojulj
JULneitJiov^
JUL-
M
jtxpJCTJiî,Jioc neste
eTeji£)HTOT ze neTecoje ne
njjijcyj-
Jtiî,T4î-2s:JtJ
^cun ÀincyojULT iLVTcwo'ï'Jtov Jize
itJ^e>\>vHJioc i,VTi,7\on ovoTCJiS,
p<s.a)f
^,
e-
jiTejiTi5,JULe
neji«s,p;X!HepeYc jtujopn JULniLjiTejt^OTSov JiTejiepK«î.>\jji JuLJULoq e
Ilcenj pa-ji
^H
i^oTCJi jiTe nennovj" Koeoc.
2^e <5,vepcTJUL^a3jijjt neJUL<x.çj
ne iinoTnjcy^ ^OAinpoc
eTi5,çjcye
e
<^â.i
m.q
ne ^- I
2s.e
hze
eT<j,voTopnq .LjepoTcw ne2
jiejULj,cj
^eiJL JC
ae
eKJiiî,^eiULCj jiJ,Ta)>\HX ^jji<^ jtTejtJio-
^Knne
^cc|>o^
nenAiov j.qepova) jixe
ze JULnepep^o^
epoji
hxe "-foTnoT
n^j-josT
jiTe
eqzoj kiULOC jihj
na,a|Hpj njjvovTJOJi
ovo^ n^c
61
Mémoires de Dioscore.
ji4X.epSoHejjt epon.
Gtj
e njpo. heojoT
eSo>v eqîtcM
^H
^H eeoT<î.S ^.n^,
Shcs,
i5,çjKa5Î^^
XinoTepoTtu m,q heoq
2^e iS.qa3cy
Jic«j,zj' jc
2s.e
2s.e
àjljuloc 2te
n^Toïc
eT^qjjiJ JuineTpoc eSoA
<^'-f
njn«î.jiTOKpiî.Ttwp
^en
ecf iinp
njtyTeKO
hjieç[XJ2S: JieJUL ne^(f^,'}\^.T7L e <î,qepe -^l^nvT^H
m.q
jt<s,Ta)o«|T
evptujc e njpo
epe juejuiJtOT
oto^ ^
^i5,z.a5î[ cy<x.Teçfejiçf
xteii JijJUiiLTOj
nj«j.ri?e>\oc jiTe n(rbjc ccok
e^pnj
estejt
^nT>\H
eoitHOT eSo>\ e i^no>\jc ovo^ ,eKeepe
njpo JiTe niep^ej
itiS. iS,
jtxe c^H eeoT<s.S
iJ.n<j.
eTm^ep jmeTqTtwoT Gî"iS,vj
2s.e
jtiT'^r'ï'X**
neze
^en
c
jieu
Shc^î,
n<î.jepc|ej
^
hpcujuij.
e^ovjt i,vm,T eptwov
^^^
jt2te JiJge>v>\H-
HiS.!
cjiiLV je
n^î-jotîT
j
Shc^
JULn<î.ja3T ste ^,pi
oto^ ov^.s
jtTeKi^ ^pwftx hT<x.a)?\HX Je h-
m,q xe
epiJ.Teji hTejicy?\H>\ iij;X^pa5JUL
jijijwjij
i^oTJioT ^vSoXTeji eSo>\
<^h oeop<î.S ^.m.
Ileîte
1.
otoj'ji
JUiSBJtjnj
^TcyeopTep ovo^ ^vcycunj jUL^pH^^
jioc
enKOT
juljuloji
^jovcon
«s.>\>viî,
JULiS,pejio^j
Jteii jtejiepiioT
ci|*x.Te
enecHT eSo>^^exi T^e jiTeqpcuK^
Pour enc^,^i.
jul-
Mémoires de Dioscore.
62
njep^ej oto^ gt^vo^j OTCJtlH
ajOJIlJ
^^pCMOV
2^e
eCZlOî
ep<î,TOV iVtyTvnT^
JUlJtiLOC
il«30V 2:6
^
TOTZie
OHJiov eSo>\^ejt c^po liTe njepc^ej. jULn^JiTejiKcu^ JuineJi^o e<^^^ov
Gtj
jc ovjtjjyi^ jicoSt jixP"^*^ i.qK^sô'f
p^ej THpq ovo^ i
CHT OYO^
«s.
jijzioj jiTe
^nnne
knKOîi^ iinje-
niepc^ej ^ei ene-
njxP«3-M. OTCMJUL Jicojq
cy
e^pHJ
niî.ja3T 2^6 <î.ç[c«î.^0Tj enjepc^ej eqxc» julhoc
JtJie^Xj JiojtyHjt tycunj ji^htçj eqoj hjiOT($e 2tpo25:
OHpjoji
h^HTq ^
^OTJi e ovpçwiij
jiiS.ç[
^Hnn6
2:6
P6JULTKCU0V
<Î.YJ.
e.
^S^kj ^cftwo) jtJ^e>\>^HJtoc THpoT
Shc^ neix
jc
^oî^
e^ovii e
eqssitu juljuloc 2:e JUL^.pe
^çwT nojov
jijij-
ovo^ ^ejt ^ov-
OTîiejULOJJt n<î.K<s,e<s.pTOc iî.qcye
xe
h^HjSj oTT^e
ejie^. e(;[etya5nj jihj
JieuL ju^TItc^j JiTe nK«î.^j
jioT eTeiiJUL^v
eSo>\
a)
e
i3Li.Ki.ps
nj-
n«x.ja3T 2^6 ^çf6p«^n<^jiTiJ.jt e ^ojuiHpoc njjijoj^
jiTWOT ^j
m.i^T
njJULcwjT heocj
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n6 n j^p;)ÇH6peTc ovo^
^eji njnii6TJULa. 2t6
eT4î.Yova5pn hccwq
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heoq ne
n<î.jtoT
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njjijty'j^
m.^ ze eeSe ov
iiiieKJ JiTeKepçy^j ^6Ji nexi^tuTeS evjiiî.cyiTTejt
jULneKiiov^- Koeoc.
Nooq
2.6 n62t«î.q
n^q 26 heoK
^.lK JlCIlOJt2iH JULn6JIJ10V^
25:8
pcM K6pty<î.j
4X.JI
e
JlOOK OT^e>\Xo ^6Jl
63
Mémoires de Dioscore.
•j^oTjioT' JUL1JL0Ç[
iS.
n^LjoîT (TtwpejuL e jijcjihov ste ^iiojij
hTeTencoji^(![ rjothS
e4S.pTOC
Koeoc
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eSo>\
^.çfoîcy
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2^e
juljuloc îte
ecf25:«5
ni^p;/!^^'^?*^'^"^^''''^
}uLnj\>\a3Jt Ji
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Ainj^Hp ncon
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jiiS,pxH-
epevc m.K. Hezie
n<î,ja5T
m,q
zie
^ji^poK^K eKoii^
neKKejtoT'f^ Koeoc. eT^vjuiocyj
2s.e <s.vj
jieAi
eSoî\ e ni-
eSoA iLViiocyj ^^zicwoT. TOTe ^.r^ov^.^c^.^m jicmot e (^po hov;)^pa3JUL jice^joTj h^oiiHpoc rjothS e^ovn epoq TJJULJ
^
ovo^
<s.TpcMK^ iiJULOçj
^JULHOj jtTe jijopeoî^o^oc
j
jtejti jiJKej2va5>\OJt
eT^qîte-
iiov ^eji neçf Hj, IlKecenj hjtj^eX>\HJioc oTUiHcy iî^htov ^tujcwnj ji;)^pjcTj^noc jij
jULHovovcucy
Tov
ovo^ iJ.T(S^jtujULC
<î.X>\«s. «î,T
e itJJULUuov
jiejUL
julc^h
nj>^^KKOc
^.î.jiKe;/!^^*'''"
eTe hTosoT
<s.vaie
r^,Tor nen. JiOTj2^a5Xon e ovjul^
jicuot
eT«5.v^a5T
iî.
jben JiovHj.
^t-^
1.
Cod.
i^OT,
juljul^-
hfy<î.qe.
eTejULJUL^v <5.ji2teJULOT eTjpj hcyojULT hoje j2s.a3>\on. JiH 2ie
<î.t^j-
coot
jï-
Jtj;xiP"*^'^J*^^o^ cyosnj
Le voleur
64
converti.
Le voleur convertie
3\.ccya3nj 2^e iieneitc^ ji^j
^SS^
2s.^jtjH>v
^ nctujT
iinejiJtUT
cojp eSo^v ^ejt jul^j JtjSexi
pe ^^,nSlXR^ epenjorjULJXi ne e
oj^cyjtj e
ovo^ m.neqciiiov
_
I
eeov<s.S iX^'KiCTi, jtJULOJtH JtTe jih eeov<î.S.
He OTon oviiojtH ^en >tljeoa) hoTtOT eic^a h^HTC ^.j-UJULHO) jULn«î.peejioc. jtiîipe 0YK0T2tJ hovcjiî.
cyon jicmov ne
ev(^^ eSo?v
ji£)htc jijij^hkj
jtejUL njttjejULiioîOV.
IIjî^j^SoTvoc 2^e juLne(![a)qij epoq ni<^'^
h^î.ï'ij.eojî
exe nin^j ne eTOTjpj
OTOii JijSeji ^çf oje
^ejT jikTjh
JiJ
zojp^ e «^JULonH
OT^qxoî epoc ne
1.
e m,s-
jULiUioq
JiejuL«x.çf
jiejUL«î,(!f
hnjptM-
^en
nie-
hneqpcMJULj ^Tp<j,tyj e-
ji<s.cy
hpH^ ovo^
n<s.T2S:JiiJ
ne xeovH j m.pe njcoST hxe 'j'iionn
hK«î.>v«3c
ne jtJCjjicuoTj
Récita de l'abbé Daniel
chrétien, V. p. 545.
\
^en
eTeJULJULiS.v JiTe(:[tyo>\c.
2^e JULnJC«î,2tJ
«j.n
TiJ-xpHovT
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hcojtj eTJULoojj
z:e ^vn^x-^TiTC
Junjpii^
n^v
m,q e^oTn en^HT hoT^<^e hco-
eTejuLJUL«î,T
THpov eTOj
JULJ
eçf
(
î^e eT<x.vjiiS.T e
VI' siècle) dans la
Revue de l'Orient
j
65
Le voleur converti.
TOTJULeT«Î.T25:OJUL
^,VephiK^,^ Jt^HT.
2^e ^Ç[C«î.2S:J JteJULOJOT
njiS,c^e
JJULH^ ilTC-
6^2:03 JULJULOC 2te
Tenjpj K^T^ ^pni^ e
hcojij
'j^jtij.xoc jicMTeit JULiion cy-
TLOfx iiJULcwTeji e 05^1 n^}\i
eSoA ji^htc. hecwoT
ne25:^Ç[ JttWOV 2:6 TCUOTJtOV IlTeTejlîtJllJ JtHJ h^iî.it^S«5c
otS^X^^jh
JuLJULOJi*î,.;X^oc
^^^
jt;x!'^^6
jtJH^ jiTe ojjHT ecyrwn jiTe njji^T epnpoKonTJJi
•j^Jt^THJTOT ^J«3T Sm.(fi hovS\^ ^JpeJt it<s.v
epoj
^po
jt^JULOJtH jihj
ceji<î,<x,OT(Mjt
'i^Ji^s.TiJ.JULCMTejt
k^twXeii
ovo^
'^j^-
T«S.ÎSJ2S:
eojojn jitov-
eeSHTq oto^
^jiok ^tu
jiTeTeii(fjTC ^exi otài-
TOJI.
GT«î.TctMTeJUL 2^e e
"t^e eT^qxoc TCMfiq
hze
eJULiS,tya3
oto^ gt^ njji^v
jttwoT
njiLc^e hcojtj
JiovSiJ ^ejt
a,vpia|j
jt<î.j
Teqxjx
'T'JULJioTT
Jie «î.z:oc
njnpecSHTepoc
^jpen njpo
2te
cyonT
2s.e
^.çj-
^lcj-
i,qs ^jpejt <^po jti"JULOjtH.
2^e neXiS-q ji^c z:e jUL<s.cye
p<s.Tq
cycunj
^,q^ hiu^^Sojc ^jtwTq
jieoK c^^ oojji Ri^JosT je eKep esl^pl^.
«s.SS^ 2iijiJH>\
ovo^
ji«j.c
hov jteoq
h'f^^.iULJULiî,
zie
jiTe ujjht ç[o^j e-
epoty^i. ^
i,c^^ jixn^,sc^^s h^"-
Le voleur converti.
66
«s-jULUiS,
ze
jiTe cyjHT
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jiJCjiHov
<î,SSiî.
2i.«j.njH?^
ninpecSvTepoc
qo^j ep^Tq ^jpeji njpo ovo^ m,s eepjî^oTOT
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2S:e
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jte.
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^Jpeji njpo ^ctojjic
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^V(^2tJ eSo>\ ^jpeji njpo
e nen6^.7\^,v^iL JmnjpcMJULj
i,q-
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e^O'Vji ^eit ov-
TJJULH. ^l^^.stXJtx^. 2i.e jtejui
X*s.Ki5,jiH ivjttjj
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eSo^. oto^
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CiS,ncycwj h'^'J^-onn ^çfTiî,^-
ÀiJULOc zie çfOJt^ Jt2te ntfojc ste
"f JïiS.ceji niS.jJULi eSo>^ ^Ji ty^ tycwpn.
eSo>v ^ejt njJULCMOY
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nec^o n^ipH-f-
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THpov
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zejt TecjtieTKOTZiJ eT^cccuTeii ^oîc e njp<5.çyj JtTe iiJCJiHov neTLi^c jiojov ste juloj jihj ^(M eSo?\ ^eji niiAOîcic jiTe i\s^e}\}\o. «î.vejic eî&eji ^>\«LK
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JITeCZJZ: JULJULtMOV i5.C^JTC
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ovnp ne n jcwcy
67
Le voleur converti.
eSoX
Jicojtj
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OH
2^e
ecsttu JULJULOC 2te cmot
Ten
THpoT
neïfi njp^cyj JtTe jiJcjtHOT
eT^cji«î.Y >jlSo>v eccMcy eSo>\
jtj^tk n^JOîT eeoViî.S
rtTe iteK6l^*î,vz:
njJULtuov
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2te ^j-
julc^otojjjij
iî-K-j^
jtHj jtKecon. IljstaîZ: hcojij 2^e
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gjjijJUL Jieoçf 2^e jULneç[ejtKOT
K^^j
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eq2La5 juljuloc 2te
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ope n jchhot THpov
TiS,^oq juienejtc^
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juLiiiL^^
hKe;x3}\0JUL
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^^.
Teçfno>^HTj<î. Jt^ui*e>\JKOJt sien, c^^ 'fixeTi.p^ie-
peTC CTe
c^^ '^I^JULeTJULiî.pTTpoc
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jULiiLoç[
eTJiî.
2s.e
i^-
jiejui nipn'^f"
eTOTejt eeSe ^pjoc ^^j eoXoSj
eTi,
^exi neqoTtucy JtlJULODOV
goShtc
eT^ç[epjULiî,pTTpoc
njpH^
c^^j ^ç[jul-
K^T^c^pHi^ eTeTenctuoTJt eeSe
eT<î,ç[^oji^eji jiejUL
ne oto^
^h eeoT^S neTpoc
juljuljji juiJULoq
THpOT GTC^HOTT
thjç[ e^iiov
^i. nx*^ TeTejicœoicjt
^GJI neqJUL^pTTpO>\0-
Paraphrase du Pater'.
IlejiJtuT
eT ^ejt
jij<^hotj
eqovcujï^ iinj^wS eSo>\
:
njzoc
2te ^Jiojt
2s.e
T^e nejTJOJT
Tupeit^ ovjcîjt
hoTOîT eTeiiT^Jt ne^ c^noT^^ k^t«^ rj^julot jitc •f^jULeTOjHpj jtJtovj- eTi5,ccy«3nj
jt<s,ii
^jTen
eTe
nicuiic
jiTe njov^^ejULJULJCj.
JULij.peqTOTSo TiS,Ji
hxe neKp^Ji
.
ne ^e go-
^en ovSjoc s\^,T^.(^ns^ cya-pe (Cfcuot ji^pHj h^HTen ^jTeji nen-
i5,Jia),s.nJULoa)j
^p<s.n iJL<^noY"f
îtjjiJULOtyj eeitiS,Jieçf.
1. Catense in Evangelia segyptiacse quse auperauut. Gottingse, 1886. Edité par Paul de Lagarde. (p. 12-14).
Paraphrase du Pater.
78
TeKJUieTovpo
jULiLpecj Jt2te
:
exe ^ij ne xe
juiiS.-
j
e^pnj ezioîn
^en T^e
nes± ^Jîtejt
pe ^îiOîpe^ JtTe ninneTXk^, eeoYiS.S THpeji.
neTe^ji^K njK<î.^j
:
juL^peçfcyoînj.
JUL^pH^ eTe neKOTOîcy cyon ^ejt
^JJt-î.
jij^ca5JULi5.Toc
eT^eji T^e eepeccyttînj
m,n ^wn
iin
neiitMJK JtTe p^.c'f
ne
ixmq m.n
m,n jcsten
TLB JULOJ
n^î. ijul^s.
jul<^oot
:
exe
^^,i
ÀiniX.pHS jtT^no^^v-
cjc iinjecwit eejiHov.
OTO^ X*^ ^^ eTepon m,n eSo>^ Ài^pn':!^ ^cun eTejt;X!^ eSo>\ jiîih exe OTOJtT^n epcwov: exe c^^lj ne xe c^h een^^x!^ eSo^
Tupq
JUL«î.>\
JCT^
b.ne(!fcojt
eojcMn <^h eTejULii^v
^en neç[^HT ne
eTiS,ç[epno-
?
6j epocf neTeiJLJUL^v neTejULcyiS. ^ext ovjtieejULHJ esta) jiT<s,j>\e^jc juina.jpH'l^
jULnepejiTen eSo>\ ^ejt
c^jiot'J".
e^ovn e njp<x.cjULoc' ^,}\'^^. m.^ULen
njneT^oîOT
eojTejuiTHJTeji
OTSe
:
epe niXoï'oc 0Vi?L^c^^nj
juljuljji àijuloji
e^oTit e
nji5,i^cMn
ee-
6e nCiS-xj h'i"JULeTeTceSHc,jtJL<s.peno^jepiî,Tejt uenjieoc^
OTO^ eojTejnepniî-peTJcee
eopenJULjcyj
1.
ticlo
(^J^,
e^pitj e
Le mot njp<Î.C110C.
ni
<|»julov
(irsipaor[x6ç)
iiiiTHpçf
eeSe
^,'}\}\^.
nc<s.2tj
h't-
ne prend pas toujours l'ai-
parce qu'il commence déjà par nj.
|
79
Paraphrase du Pater.
jmeTevceSHc. ^"hi
2^e Oit ccye
"-f-npoceTy^H
exe
h^HTq
eq^JtuoTT
jï^ojCMnj <^«s.j
7^e jtjSejt iin<x.eoc
exe
eeSe
ovnjpiS.cjLioc ne.
m,n eepeiixoc hcftov
ze iinepejtTen e^ovji
jtjSeji
^eji
e njpiî.cjuLoc
ne etyTejuiepeji^ej ^eji ^>\j
^^,J
njpoîjuij
JULn«î.eoc
ji-
2s.j<î.SoXjkoji.
m.^itxen e&o}\^^, nineT^cMov
^.'^7\^.
ne
2S:e
Tovstoji ecyTeiiepoT^rpo
:
exe ^^j
epon ^jTen Tno-
JtHpjiî. JULnj2y.JiJ.S0>\0C.
njiS.\yjoc ^,^^^. eTiî,i?pjoc
eqSoîX JUinjtyTvHX eT-
£)en njeicj.uï*e?\jojt K^,^^. ix^.Toeon ste nejiJOîT
eT ^en
jijc^hovj
otosi oviiKcy juen
:
Se T^jev;/!" eeoT^S o^,5 oto^
hze
^^î.jTJijcy't^
ncKonoc
epon*
<x.Jtojt
ezoTOT ^hî^h
<^iî.j
2^e ^ojjt
ee-
^,r^,iq
enoTe^
hc^j.
sien. tcSoî jijih eTeiiAïa-T TejtJt«î.2t(M gtxîji
e TeTen«s,i*
^en
0TCTJt2s.0JULj^
^jTen ni^AioT
eT ^ejt eovj eoTj hni^e^jc eT^en T^,se'i'^H eeov4Î,S
e<î,j
eTOj
jt^vk<î,jioc e ejt nipoîiii
neç|K<î.TiS.c^vcjc jiTe K<î.>\a5c
exe
IlejtjaîT
B^,J
Te
jUL<^noTi^
cyopn ^,n^^.n'f ^ohji epoc h-
:
eT ^en
eTe ovoji jiTOîov
jijcI^hovj
«
:
n«î-jc<s.z:J
^^,
nu ne
hLfX^,v hovn<î,ppHCj
Ài^pH^" hoTtyHpj eq^en Kenq JuineqjajT.
jUL4Î.peqTOTSo Jixe neKp<s.n
1.
ezen
De plus grands que nous
».
:
eTe
^^.s
ne eepeqTOT-
j
Paraphrase du Pater.
80
h^pHj
So k^e neçfp^Jt ajoT
jt£)HTejt ^ejt nîXijjiepov^-
jixe itieeitoc ^jTejt
Jti5,q
jieT eT2S:a3
iiuoc
'Ke jc
jijeSi^JK JiTe
ovjuieeAiHj. JUL^pecj jiste JUL^jtoTi"
e^pHJ
T^e ne
^s^en nK^.^j
^eji
jiJ2î:0JtJL
^cujï
eepeqojoînj
jtov îte
ne
c|>jtoT':^
TeKimeTOTpo ojmeTOvpo :
jtJioepojï
.
neTe^m,q
THpcf
2^e JULc^JtoTi^
eT ^ejt T^e
<^^j
m~n ^i^en hk^^j.
exenTcuS^
nencMJK svre
"f K^HpojtojULJ^ jiTe c^hot^^ ejtTOîS^ "f-
^en n^jeneg
jtTe nec^T^oz: ojwnj
iiTe jijiioSj
ne
h^HText ^h
eSo>\
i^'^vx" ovSe
ovxjJiep^eTvxe e^oTji ejiejiepKov
h^e
TiLJULo JULJULon ec^<î.j ^<5,j^ «:e
:
n^w
eSo^
ne njssiJJieppeJUL^e eSo^^^s. Jtjn^eoc
jieii i^2tjjtep25:a3pj jiTe
jtJtii
cyTeJUiepf^iievj
eTe
tj^jioSj jieiUL
jULc^pH-j^
eennoT
njCi5.2î:J
JULc^pH^ ^0311 eTeji;x!a5
m^w eSo>\ î^e
«xeq-
*xenenc^,
eSo^ jinejiepHOV
oTonTiS^ji eptuoT
ji^k^kj^ oTSe
ne
:
nj2tjjt-
jih eTiî.vi^25:«5JiT
JULuepenTen e^oTn eujp^cjuioc. exe c^^j ne
eajTeJULopenTiUTen hnx^,T^.^en e i.(^s\e
^^,s
nec^tycyoîov.
ovo^ X*^ ^^ eTepoji m.n
jiiLji.
eTtyon
jt>\oï^JKOJi <^^j
eepecf^ m,n >AnecXpHS jul^oov eTe
jieJUL
^eji
neTe^Jt^K }txi,peq^wni Jui^pH^ ^eit
novziiî.J iinjccMjtT
pij.c^
eeji^.-
ne njnjtevjUL^ eeov^S ejiTCMS^ eepeq
e2t«3Ji.
JtejUL
neii^SHOTj
g<î.iinjp^cijLOC
fVoTOJcy >JLfl>jiovi^. ^.?\^^. Ji^^uieji eSo^^^^î. nj-
neT^cuoT eTe
c^^j-j
ne
2te iS.ca)iJ.iipiJt4j.çj
iinejtxiov^
Panégyrique de Saint Michel.
e eiiTejt e^oTJi en eoiTejUL^ej
eoîK Te
po eTC
né^
m
h^HTq
':^2S:0JUL
CTe
81
jp«î-cjuLoc^ jtTecf i^jtiX.Ji
0T2^e <^<î,j
eajTejUL25io>^çj
ne ncynpj.
ninjteTJUL^î. eeoT«î.S ne. cy^
hi^îtoii
eSo>\.
zie
neiti 'fjULeTOV-
ejie^ JiTe
me-
iX.JULHJI.
Exorde du panégyrique de l'archange Saint Michel par Théodose, patriarche d'Alexandrie*.
tîV.jiOK ^^2$: JJULJ
eTOj hcoAce>^
jtT^pxw lin jc^z j eSo>\ ^en
c^h
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^h
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GTCtUOTJl h-HK^^i THpç[
OVO^ Çf£)OT^eT hjtjtf^^OJT
^H eTOTOîJt JUL<^po JULnjc<x.2tj hovoji ^en OTcnoT2s.H. njjui ne <^<s.j. heoq
jtjSen
ctkoî^
ne n>\oi^oc
jul-
^"T ^^^ eTe i,noK "i^^tMty jULneqcwjuLi ^en t^î&jz: OTO^ ^z«5ty Xineqcnoçf eTTiS,jHOTT e njnoTH-
pjon OTO^
i^-f^ JULJULoq
ne n^^rbjc ovo^
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niS.jioT'j^
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epoq. heocj
njcoîTHp
nTHp(![ c^H eTcwçy eSo>\^eji pojçf hiî,XHejJton
exqj c^poîOYcy
1.
^i
't'iieTpcMJULj
Saint Michel the Archangel... edited
1894,
THpc
<^h
Jti-
^h
eTiieg
by Wallis Budge. London
p. 2.
6
Jt-
2
Panégyrique de Saint Michel.
82
m.5
e^oTjt e t^ jkcwji k^i^.
neitx JtieTcy^jioJUL<s.^T
ne
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^^,s.
^^.5
ne nj^pxH*^î'^6>\oc eeoT^S
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^>\>\^ i^i^^o éptuTeji
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XVULHJI
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sm.'^'i'x,^ >ijul^-
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TOTe ^AiOT
ovoji jijSeji n^s-stoc 2te
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1.
2te
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Tiî.jXvjULJlH
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Panégyrique de Saint Michel,
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^,noK
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jULneKjeStyoîT eepovepcyosT jî^htc JULnj2t«|»o neJUL -j^JULeTjeScijtuT sveÂH
^im, jiTeK^j
i~KTSc»TOc ovn
OTO^ ^KnO^eJUL JlTCK'^irYX^ ^^^ i^KTSOîTOC neJUL neTenT^K OTn ^en ov^jpHnH ecycwn Kejuij hnnSj «x.n.
^.noK
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ovo^ ninnSi encywj
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ne njup^î-^H exe ÀinicovoTeTenCiS.2tj nejuiHj
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Tenepiî.n<j.\?K<î.^jn
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exe juinjepojKOjnoiijn
K^î-XcMc. nJiJ.Sjn 2^e
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jul«î.>^jct4î,
eepjc^zj e
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84
Pp-négyrique de Saint Michel.
jieii
^iî.
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T^e
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ne
ne
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^en njoiij i,'K7\i~ ovnm, eçfOT<î.S ne hoTeSoX ^en jtJ2s.j<x.KCMji iixe nK«x.^j ^.n ne i,}\7\^, ne eSo>\
^ji
ov^p;)ç«5n jïTe nKi5.^j ^.n ne ^.?^>^iî,0ViS.pxH
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TStojw. iiTe
xij^hotj ne. koT^.p2/Z^-
CTp^î.TVi'OVc jiTe nK4î,^j ^Ji itzie
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^en
ne
^1.5 CTecj Ji4X.Kopçfç[
njjt«^v eTeç[OTc«cy
^,'K7\^.
;X;HCTp^TVtyovc JïTe txojul hn j<^hovj JiejUL
neqovpo
nji|fy-^H
cy<î.
iL>\X«î.
ejie^. iî.qc^2î:J
hoTpeqceJULj
nTHpçf.
^,}\}\^.
jioT4Î.TjiiJ ^.n itieTJt«î,HT ^^~^\(fs
^H
iiiLOTOîn
OTp4X.çyj
ne
nx^KO
h-
^^,Ten
tyon
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THpOV.
i.n
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qoj ji^jpHitH nejui ovon niSen. i.7\}\^.
h.^'-f^
^n
hoTJUL<s,CTepa3JULJ
OTJtiejtpjT JITe T^JKOîJl M.^^'t
nTi,n ^,n ne
^*î.
nencojJUL^ jichov jtjSen
<^i" nenpeqe^-JULJo.
poîOTcy ^a.
iinn eSo>^
ovpeqepnpecSeTjjt ^^l nno^eju.
^^^
hneji'i^H;/!"
<j.ji
cf
ov^p-
ovpeqtyen^HT ne epe
h^HTq ze
cy<j.ç[2:jJULj
oto^
<^it
e-
eTepeTJji
<^h eTKa3>\^ ce-
jiiX-q.
ij^jTOT
Koc. ejepeTjji
ovji
^im.
epoq jul^oov
hT*î.
iS.T(riie
JneTiS-p-
hoTAiHcy ovo^ejKa5>\^
85
Panégyrique de Saint Michel.
^JJI^. yiCeiX.OT(MJt JIHJ 1.}\}\1. qJt<î.2:0C*
ne eTCKcyjJtj
JteOK
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Jtcojq jitotç[ )jl<$oot JULejtejic<î.
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epojopn JtTeKXîM.
CM
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opeK-
Jixtu hoveTei^KaîJULjojt
ezen i^poiinj JmSepj jieju. Ti.p^ii nmrxji^j jiTe n(^ THpov ovo^ n^jpHi" ovji <î.kzçw jiKe>\ouoc estejt <|h
jij^jojULj
eTe iine otoji Tcwnq ^ejt
egOTepoq ncTnuejiHC
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njHjj ^eji ^ojS jtjSejt JULc^pH^^ e ^kovoîjul je JtireKccM je hTeKcy7\H>\ y^i,0Ti.(j^ rjojj ^eji
JUL^pHi"
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juljuloc
ji25:e
^en nj^HOT
iJ.Kaj<î,ji2:a5K
jijSeji
neiic^^ h^noc-
To>\oc niT>\Oc xe ^«5.cktcjc jtTe
ne
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^«s.-
poc.
m.K oto^ jiTiî.2S:oc m,K «3 n<î,AienpjT xe «î,kc<î.z:j hK«î.>vtMC oto^ ^,Korwn^ nOTqjpcMOToj eSo>\ i.'K'hi. ^ni.epTo'hfXi.n oto^ h4Î,jioK 2^e
i"n«5.epova5
Tiî-xoc ii^pH-j^ ;X^a3ji
JLintyc^Hp
hjïjn<^Tpjj,p,XHc
iin<^
iî.Spiî.<5,JUL
^k eT^qepjojT
m,p-
jioTaHty
heejioc eT^.qz:oc jul^^ xe jcze otoji cystou jic<^xj
ovo^
«^j.j
oT^^oTOCiS-xj
jiTHJ eepjTejiocuiiT e iigc^np n<^^
^^'K'Ki^ «ljiok
jieAi \\^,6c juLniS.JKecou
1.
((
Mais, dira (le contradicteur)
».
Ki,n
Saint Macaire d'Antioche.
86
eieepToXii^ji ^jt. 2te
oTHj
^H
cy<5.
ejie^. ^eit
eT^q^oji^exi
p«s.Sa5
pcy
ne ovjiot^ itoTtoT ovo^
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^jULeTtyiX.jiiî.^eHq eejuiHJi e-
^<5.j
'J'ocwt
iinex^HT
Ji^ji 2te jtTejiepeTJjt
eeSe ot TeTejtepeTJJi
jULiiojt 2te
(fi
ë hcon ^tu>\oc ovo^ qm,Ti.coos
Jteoçf
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cy^s.
^en TCTeiiiiH^ èen
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^jm. jiTejtjuljuloj
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n^jjt joj^ hojij eT^tu-
eSoX ^ejï rikocjuloc Tupcj JULJUL«î.TiTç[ «s.Jt i.'K'Ki.
jieJUL
^en
ovo^ hetuTexi
jij^hotj.
TeTeriCoty eSo>v
ezcuj jiJKovxj Jteii Jtjjtjcyi^ jij^ojovt ULJ epeTeji2:a5 juljuloc
pcMK eSo>\
^iS.
e n«s.jjtjcy^
h^HTcf
JiiX.q
^<s.Ten
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m,ins^^
hcy^s.! <^iS-j
Teii'f'^o
hcyjjij
jij^jo-
epoK knep;x!*^"
oTog
ht^jo
jiejui
iiejui
jiTeKT^JUiojt
jul^h eTOvepci}iî.j
eTepnpecSevjJt
^iS.poji
THpeJi
^^.
Martyre de Saint Macaire d'Antioche*. I
nj«î.rjoc 2^e
^m.
itx^.K^.pwc
m.q^H ^en
nicy-
TCKO ne eqTOîS^ ^^'t Àinjè^oov neii njèxojp^
1 .
Les actes des Martyrs do l'Egypte, par
1880.
ffenri
Hyvernai. Paris
87
Saint Macaire d'Antioche.
ovo^
eT«s.qeJULj
2S:e
nj^HueJULOîJi
^qTOîS^ ^en neq^HT eqxtw juineporej c«lSo>\
m,c^Teix
juljuloc
epoç[
xe m.<^
n;)(^c
o^j ep^î^TK JieiiHj
juljuloj i.7\}\i.
neKScwK.
«s.jtoK ^iS,
jij^HueJULOîxt 2^e
^qepKe^evjH eepoTjjij
juinj^^ujoc i,m, JUL«s.KiS.pjoc
ovo^
iS^Tenq
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Saint Macaire d'Antioche.
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Saint Macaire d'Antioche.
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Saint Macaire d'Antioche.
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Saint Macaire d'Antioche.
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Saint Macaire d'Antioche.
100
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101
Saint Macaire d'Antioche.
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Saint Macaire d'Antioche.
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Saint Macaire d'Antioche.
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eeji«î.iieq eTiX.Kiî.jçf hi^eKK>\HCjiî,
^ejt n^/^c
niî.jea5Jt
hoveTKTHpjon eepoTKOTq
^OJK n^LJtienpjT hcojt
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2S:e jul-
2teoTHJ ^^j ne niu^î,
eTiî, n(îbjc eiî,cyq jikj o)^ nîttoK
iX?\iî.
e
m.i eTexp^s^
^ojq ct^. njicaj-
epe T^ipimn Àin;x!^ iiToji
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Saint Macaire d'Antioche.
112
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hcytopn içf jpj
k^j-t^î.
^qjjij eSo>v hovjULiî.nniS, hitoTS ^,q't
jtjjiovS jtJiJKÎ^HpjKOC
Ji-
eepovKCMT ÀinjTonoc ^en
'f JULH JijSexi.
oTO^
iî.çjj
eSo>\ eepeq2S:«3K' eÔo7\ iin^tuS iinov-
po eq'j^ajov iinejK^jc ovo^ JHC n;x^c jieuL
(^^.i
jiejULiî.çf
cod.
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eeoT^S hpeqT«j.Jt^o oto^ jiojulootcjoc
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1.
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jiejUL ninjiiS.
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iJ.JULHi!.
Jiejui
cy^s.
ene^
113
II.
TEXTES DES DIFFÉRENTS DIALECTES.
Priucipales différences des dialectes eutr^eux.
Les cinq dialectes coptes connus se divisent en
trois
Le groupe de
groupes
:
la
Basse Egypte, représenté par
le seul dialecte
la
Moyenne-Egypte qui contient
le
la
Haute-Egypte qui comprend l'Achmimique et
hohairique.
Le groupe de et le
Memphitique
Fayoumique.
Le groupe de
le
Sa'îdique.
Les différences philologiques qui régnent entre ces dialectes sont plus ou moins grandes selon ploi sont plus
que leurs
lieux d'origine et d'em-
ou moins éloignés. Le Bohairique à Alexandrie et
Sa'îdique en Thébaïde, constituent les deux points extrêmes trois autres dialectes, les intermédiaires. tical et
;
le
les
Le groupement gramma-
phonétique correspond à peu près à
la distribution
géogra-
phique. Il
faut
Moyenne
cependant remarquer que et
de
la
quatre dialectes de
la
Haute-Egypte sont plus rapprochés entr'eux que
du Bohairique. Celui-ci forme une de des
les
division bien distincte et possè-
caractéristiques bien tranchées.
8
2
Les dialectes.
114
Le
Sa'îdique et le Bohairique sont de beaucoup les plus riches plus importants
et les
les
;
trois autres, surtout
le
n'ont jusqu'ici fourni qu'une quantité relativement ble
de documents.
dressée à
la fin
Comme
de
On la
en jugera par
grammaire.
langue parlée, c'est
plus longtemps.
peu considéra-
des ouvrages coptes
liste
la
Memphitique,
Quelques
villages
rent jusqu'au 17* siècle, tandis
Sa'îdique qui s'est maintenu le
le
de
que
la
le
Haute-Egypte
Bohairique
conservè-
le
avait,
dès
le
12'
entièrement disparu devant l'arabe.
siècle,
Voici les principales différences qui existent entre les cinq dialectes.
Ces
différences portent sur les consonnes
et sur les voyel-
les.
I,
Différences dans les consonnes.
Le Bohairique possède
1.
les trois aspirées <^
Les autres dialectes n'ont que
Le Bohairique
2.
(^)
.
^ = h,h;^
a
=
a le
deux signes pour
^
la
M.
fois 2t,
En
Bohairique,
É. et
^
et le
bohairique, à cy et à 2t quand 3.
ténues
nK
les
T.
gutturales
il
le q et le
Dans
l'emploi
2S.
h h Qt h
Sa'îdique n'en ont qu'un
barré
est
^
le
-^ qui correspond au
en
:
^
^
combiné avec T.
égyptiens deviennent quelque-
mais (^ en Sa'îdique; tandis qu'au contraire
devient o en B. et
.
h.
Les deux dialectes de
L'Achmimique
les
XI ^•
le
t
égyptien
S.
de ces deux
lettres
2:
(^,
les autres se rappro-
115
Les dialectes.
chent plus du Sa'îdique que 4u Bohairique.
Le C bohairique
4.
dialectes, C<S.ZJ
S.
:
auxiliaire finale J
est
en
ou à
:
OVJ
cy^J
»,
:
la
:
^l-
2.
de
:
^ Une voyelle Hieepe
« fille »,
»,
IIHJ
»,
:
.-
= ^^,J,
chose »
:
^
;
« miséri-
^ej ^6 :
AXe «aimer»
-.
« juste », ce
Jti
:
JtOVJ
maudire
en B. ont un 6 en
;
JIOT
S. et
dans
0V2teJ.
ZOJCUpe
môme 6 cSoX .-
:
».
simple en B. est souvent double en S. .-
radical
à l'intérieur
JliJ
TiJ.Jf,
JIKiS. «
:
0V2t.î.J
zcwpj
et
:
Aie
tyepj
:
« être fort ». la
distinguent par le fréquent ûmploi de
O
m.'i,
CA^OTJ C^^OV
Enfin les deux dialectes de
lectes auraient
;
J
et
epFie «temple», XkQi
Plusieurs mots qui ont un
les autres dialectes
4.
n^^.i
« fête »,
â.}\e « monter
« être sur le point
»
J B.
plus,
voyelle finale en Sa'îdique, Jl^J
«tomber», ep<^ej
^XhJ
De
bohairiques terminés en iJ, ej, Hl,
et les verbes
ont perdu
corde
= JCMT « père
CIOîT
Les noms
suit le Sa'îdique.
Bohairique et re-
le
61 au commencement des mots
S. écrit
la fin
Fayoumique suivent
et le
l'Achmimique
J,
en B. est représentée par 6 en
pOJJULe.
Le Memphitique tiennent
parler ».
Différences dans les voyelles.
La voyelle
pOîJULJ
ty<î.2S:J «
.-
II.
1.
est souvent remplacé par jy dans les autres
M.
<î.,
là
É. et l'Achmimique se
où
les
B. S. eSiS.>v
deux autres
M.
F.
dia-
<X.S«X.>\
A.
116
Zacharie V.
Mais c'est avant tout par l'étude comparée des textes qu'on acquerra
la
connaissance des dialectes coptes.
^*^
Zacharie V.
BOHAIRIQUE. {Tattam).
1.
Oto^
^.sT^.coo ^jq«î.j
ovo^ ^Hnne 2.
ovo^
jc
otoc^
ne2t<x.çf
hji*x.S«î.X
encycMj s.im.v
ecj ^^>viJ.
xtHj 2te
1
ov iieoK neTeKn^v
è-
SA1DIQUE. {Ciasca
1.
IÎV.Vtt5 iX.jqj* Jiî.T^
2.
ne2î:iî.q
Ji^ï 2te
e^p^x-ï
i,'isii,v.
II,
p. 555).
iX.vcu
ejc ov-
exjt^T jitok eov nez^J-j
ste
ACHMIMIQUE. (R. T. E. A. 1897
I.
DV.OV AJÇf J* ïeT^ «S.-^pHJ
3.
ne2:«j.q
JieJI
JLJfJlO
ste ij.KJto xit<j.k
p.
II).
^.OT ejc OV<J.C-^
4X.o^
n^j-îtei ate
àjjto
I
117
Zacharie V.
poq ovo^ nestHJ xe eqjpj hk 3.
ne2s:4î.q
^jxejï
n^o
jijSeji
eTèep
e ^JULov
jihj
ejniî.v «î.va3 3.
exAi
e^pHJ
3.
<x.2tJUL
l\K^,^
ze
THpq eSo}^ i\.â.'i
CTOjpK JlJtOVX
ij.v«5
2te
e^pnj
eveep novii-
n^Tojc
njn<î.JiTO-
hcyiH
ïjLJUL<î.^e
i^jïiX.JtTq
eq^H}\
e niiov
(^^.^p^,'i
eSoî\
eçjJiiX.p
otoji
«s-voî
KSiX, OJt JULJULOOV gJUL
nexe nxoejc
îtovouT
JULJULiL^e
nn^x-jt-
ji^jej
«x,ov
JlOVOîC-^.
n<x.2Leq Jieï
ze neï ne nc^^ov ctiihot
n^o JuinKi^ THpq
ty«x.-^pHÏ
iX.oT
jijjti eTjt*x.2tJ-
e njULOT.
ijLJtliX.^e
neï
peqzjOTe*
eVJÏ<J.2:J
OV4S.J1 jijiUL eTp«x.niî.-^''
4.
ty^
ne nc<x.^0T eTJiHV eSoîv
n<î.ï
iS.Si}v 2te
4Î.VJÏiX.2:JK8<î.'' ÏJLJtlii.T' -^Jl
-^jt
^.x-j
e ^julov.
eçf^H>v eqitiî,p zovoot
ne2î:iî.çf Jtiî.j
i.Ti.c-^
JULHT
peq6jjT2s:OJic
JULHT ïiJULiî.^e hovcMcyc.
RiX-J a}4S.^piX.j 4.
ovhj
2te
pe(^«5pK jtJtoTst jijSeji
KSiL^ JULJULoq ^JUL JtJJUL
ae <^^j ne nsci,^ovs eexiHOV
eièejiq eSo>\ nez:e
evo^c
hovoceexi.
h.1^x^.^s
novjuLnojjty eSo>v £)ejt
ovo^
ovo^
i
THpq
JULnK^.^j
ncyjty eSo>v £)ejt <|ij 4.
i,noK evoc£) eq^i>^iS,j
hcyjH jieu
h.itx^.^i
OTO^
"^^jiat
a.
^-jiiJiTq
neï
peqzjove^
OJ^L-^-pHl
hnoT2t
i.^iSh
iî.
jijjul
nJULOT iî.OT
iX.TjiiS.z:JKSiS,
ïiJLiiV^
njuiov. *x.SiL>v
niX,2î:e
n2tiî,ejc nniX,jiTO-
Zacharie V.
118
Kpi5.Tcwp
ovo^
Gcfècye
m,q e^ovxt
e nnj Àinjpeq^ri-
ovj nexi e^oYji e rhj e «$h eTcwpK
OTO^
eqèjULOjiKq
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OTO^
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119
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Tiî.JiojULJi^ <j.ov
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4X.pcuc. 9.
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hni^S^T^
a,-^-pin' ^,in^)
^.ov eic ovc^ijuie
Zacharie V.
120
9.
OTO^
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C^JJULJ CJlOT'j" Jt^YJlHOT eSO>\
oto^ ne
i)en jïOTTeji^
ovTe
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10.
OTO^
<j.pe
Juinj^ii'i^eT^oc
m.i m,e}\
Toov*^ jiev jt^ejiTJtg
10.
11.
iSiS.>\
Kiî,^ iS.ov
11.
xi^eiiTJt^ iin-
JiTne. eTçy<î,2:e
e^pi,'i
îi^ht
<j.
-^pHÏ
ovTe TAiHTe
n«î.2î:eï
iiT-^e*^
JULJULiX.T
ïin-^-j
«î.ov
jt^ejiTng
ovTe TJUiHTe
ïin-
JiTne.
ïin4Î.uue^>\oc eTtyeae n-^pnï ji^ht
nei m,^i nj^j n4X.2tecj jiejf
eTJULJULo
(manque).
eovji oTnjtiS, -^n jiottji^
^enTJi^
henoiîr «î.vTa3Jie
^.
«s.t«5 ji-
ottg tjulhtg
KOJT m,q...
ne2tiS,q Jt^ï 2te e
hTiJ,v*^ jie ovji
2te
eiiH-j^ h-
ji^j jt^zij ncyj eTcwit.
cjiTe evjiHOT
10.
k-
exc^aj h^pHj
itee*^
"juljuloov
neXiS.! JULn<j.ui?e>\oc
ze epe
OVOJt iim.
^ji xievTJi^
jienot^ iX.TTa50TJt e^pi.ï Juincyj
OTTe TJULHTe
ottg
je
njcyj eecMxt.
CHTe evjtHV eSo>v epe ovnii^
KiS.^ iî-VOî
116
ovoji ^iî.jtTeji^ epojov
ejULHi^ iinKiS-^j nestx
ovo^ nexHj
h^HT ze
ovo^ ^Hnne
ènojojj
i,
ze
^j nqCiX.STe.
to.
i,
koît
Jieçf
jiovhj
-^ji hk^s.^
Zaoharie V.
OTo^
1.
1
121
e kojt jia.q jiothj £)ejt hki,-
ne2:iî,ç[ 2te
^j iiS^SvXcuji Jten e ceSTcwTq oto^ e X*^^
^^^
-<s3-
NOTES. dans
1.
ÇfJ-
2.
J^T^,
de Cf^J Çjej
les trois dialectes,
JeT;!^ regard.
n'est pas exprimé à cause
du
Le pronom
A. porter.
S.
suffixe
T
de
4.
= e-OY [vers] quoi l, = G vers. 2S:J0Te = (TrOVJ prendre, voler. peç[2S:J0Ve
5.
XJ-kS^
6.
eT-p-i Jli-^
7.
JULJUL<Î,V gMX,
8.
0V«5^
9.
JlÇf-02tJie-Ç[^
1,0
j.
a32t>n S,
pers.
gwî
/"aj'i
serment, ^Jt<î-^
= iJl^cy serment.
= ÏAJULOOT S = JULJULOJOV = OVO^ B. habiter,
B.
être.
«J.2t.Xt
Çf-i2S.Jie-Ç[
il
la
consumera
[la
maison), de
A. consumer, détruire.
11.
«î,C-JtOZ:-C, 4Î.C-TeK-C
Le mot A. TÇ,K^ de "i^KG
TCWK
JIJJUL /om<
m. à m. prendre avec violence.
violenter, torturer,
Jteq-Ke-tye, itq-Ke--^e
cine S.
i
}
10.
jeter.
la
T radical.
qui signifie à
la fois
i/
e^ s^s boiseries.
de JIOVX,
la jeta,
cité
XlOVZe
plus bas semble être
allumer (B.
OCMK)
la ra-
et fixer, en-
foncer (B. eOJKC). I
2.
ilTOOT,
I
^
h-ee,
traction de
JlTiî,T
heOîOT
Jl-T--^-e à /a manière.
= ^6 pH^ qui a
T^^ en O. -^6
de préférence
=
le
mot
eux, elles.
Jtoe
= Jl-T-^e avec con-
B. manière, mais le B. le
même
sens.
emploie
Isaïe
122
1-6.
I,
Isaïe
1-6.
li
BOHAIRIQUE. {Tatlam). 1.
'T'^op^J.cjc eT^,çjJtiî,v
pj h<î,iia5C
epoc
hc^h^c
OH eT^çf ii^T epoc ^i, -^j^jov^^e^
j^HJUL ^eji ejULGTOTpo^ Jtocj^c eçeKj4Î.c jih
^;)ÇiS.c jteii
2.
siT^e
ccMTeJUL
T^e ovo^
jiejUL
ncyn-
jieJUL
joî^e^JUL
eT^TepoTpo ^en
^i.
jteJUL
'j'jov-
(ricuLH nK<5.^j 2te n<îojc ne-
SA'IDIQUE. {Ciasca 1.
JtitMC
0op<î,cïc*
jiT<î. HC^.j4î,c
JtT^ç[Jt^T epoc^
^il TJULJlTCpO^ J10CJ4Î,C
eçeKJiC 2.
JI4S.Ï
ccMTJUL
eTSe JULJI
jiTiLVpppo
Tne
II,
219).
jt^T epoc nojHpe
Jt^<j.-
^0V2^i,si, ixn eiT^Hii
ja3«î.e^JUL JULJl
^X^^ ^^
ê25:Ji 'j^oTî^^s.JiX..
ZJCJULH HKiî.^ zic
^ n2toejc uj^ze
:
FAYOUMIQUE. [Zoega I.
JULOîc
Bop^cïc
TH
hTS. HCiLj^c jicT
hT«î,qjiev e>v^c
eXiS,c^
145).
ncyH>M
xtg<s.-
ctSc ^oT^e^. xxn T^ieii
e^eKJiJ.c jiej JiTive>\epp<î. estJt i^ovî^ei^. 2.
COîTCiA TITH. XJCiAK RKC^J ZlC ^
R^ cyeZJ
:
Isaïe
OT
I,
1-6.
123
t^e iî.vep«î.oeTjJi jululoj. 3.
i,
OTe^e
covejt c^h eT^.q^oi{q
ovo^ ovecw
<î.qcoveji ^OTOii^ç[ jiTe neç[(^jc njc>\ 2^e
coTOîJiT 4.
oTo^
ovoj
niS.^iî,oc JULneç[K<s.^
JULJty>^oX
epoj.
hpeqepjïoSj nj^iî.oc eoiie^
h<5.JUL^pTJ^ n2tp02S: iiinOJlHpOJt JIJCyHpj
^xiojHpe «î,J2:noov
Jmneçj-
<5,J2s:iî.cTOT
iiTOOv
2^.6
Jt«S.JlOJtlOC
iv5.eeTej
ÏIJULOJ.
^
ovëge
«î.
ïineqxoejc niH>\
noTOîJULq
4.
covjt neçf2toejc
^s^toî
iveoî cotji
2^e Jw.necfcoTa3jtT
OTOJ hoT^eejtoc hpeqpnoSe
ov>\«5.oc
eSo>\ e JioSe necnepii^s. JuinojtHpoc jitynpe JULOC iTeTJtKiî.
gencynAj
j.
<î.
}\iS,oc 4.
«5,j25:niî.T
ov^^H
noViJ.JUL(;[
nzioejc JtcwTJi
<î.J2î:ecT0T.
nec^.
covcMJi
iineq^. njcp>\
JULneq^^jt
<î.va3
jiTa.v
<x.vcw
zie
^tcm
eqjme^ JtJiiî.jio-
Te rjii^
2s.fi
jt-
iX.v^ee't'
^^tjcu covojji
î^e JULneç|coTa3iiT
^,vw
n^.-
iS.n«î.K jijjul.
oT^, ejiOTeojioc
h>\eç[e>\nJ.Sj. ot>\j,oc
eç[-
juie^ eS<î,X JiJiiLSj nciiepjULiS. JtiuojiHpoji. Jiecyiipj Jtjie<5.jiotJL()c
^TeTGJTKe
\i<^ JicoîTeji. i.rw «s.TeTJi-
Isaïe
124
I,
1-6.
5.
oTOJt Jiep^oT eTeTejiit<î,(^Tq epeTeiiTov-
5.
^,Tw ne nKec^cy
ovcw^ exjT hjjul
jieTJi4Î,JioJULj4Î. «î.ne
ëziCMTjt eTCTJi-
jijjul
evTK<s.c
^ht
ev^VRH.
•j^hov^fîWJtT 5.
e^m.'nTq
JuinneTOTeeS iinjcpX
ecy^H ne nKecyety eTeTenovoj^ ezin neTen<j.-
jiojULJiX.
^nn
njSj ev-j^nKec
^ht
njSj evT^vnH.
—*3fl&a-ï—
NOTES.
1.
OOp^î-CJC
2.
epo-C,
= T-^Op^CjC.
e7\<î.-C,
que se distingue de tous place de p. le S. 3.
De même
Comme on
le voit, le
les autres dialectes par l'emploi
que
l'A. et le
M.
il
prend
^
là
Fayoumi-
de
où
le
A
à la
B. et
ont généralement O.
e
Le groupe
JULCT-OTpo^ T-JUinT-epo^ T-lieT-pp*?.^ B. JULeT,-JULT est représenté en S. par
B. roi se dit en S.
bp^
(z^^rs) elle.
epp^î.
epo
le
règne.
IIKT. OTpO
ou ppo toujours prononcé •
éro,
en F.
Isaïe
Isaïe
XXXIII, 1-11.
125
XXXIII, 1-11.
BOHAIRIQUE. {Taltam). 1.
Tejf
Ovoj ^e
iiJULOJt
OTO^ §H ^.n
JtJtH
JULJULtMov
hT<s.Xena5poc sibw-
^7\s m.e'p ohjiot JtT^Xenajpoc
eTJti5.epiX.eeTjjt JuLJUiajTeji
evkT^.^e
§pHi^
eTjpj
jïh eTep^j-oeTixt
oT^Soc
jiov^o>\j ^j
ovo^ evèTHJTOV
ii-
ni5.jpHi^ eve
pojov. 2.
n(^jc m,i m.n epe ^ohji i^^p
îi2tpo2t
itTe JÏH
eTOj
nTiî.KO nejtov2t<5.j 2^e
X"
èpoK
Ji«5,Tca3Teii JUL<î,peç[a)a3nj e iî.ç[£)en
otchov h^oz^ea.
MEMPHITIQUE. {Bouriant, Fragments
baschmouriques, 1.
2k.e
iiiiji X^«x.v
xteepTHVTejt JiT<x.>\ena3poc i.vw neT^s-eeTi
ivoj T^s
Or^Jf JTJieTT^T^encMpj' ïiiiiTeji
cejieniS-p«î.2i.j2s.0T
iiii^T
<î.va3
9).
ii-
jit^h hslOT^^.^.-
gj ovcyTHJi Tej Te t^h^ eTovne(fuôTn\ 2.
n(îc jieej Jinn
hT^j-jine^^
u«j.p ep^s-K jui^j-pe
necnepiiij. iïneTiî.j hiX.Tjie^'t ojcwnj eTT^K^î.' epe
nejtoTîtej 2^e ^ii ueoViJ.ja)' jiTeo>\j^'jc.
126
laaïe
eeSe tcjulh
5.
XXXIII, 1-11.
jtTe
TeK^cf"
hîte
4î.tt«5JUlt
^*s.jie0jioc.
^Jtov
4.
^<î.jity2:H0V
^cjuLo^
2s.e
evèecwov^ hneTencycuT^
n^jpni^ eveccuSj JtmcuTeji.
jiste cjîwji jt^«j.n jiejui JuieejULHj.
evèTHJTOT ^ejt
6.
XH
^en ^^Jii^twp
jtejuL
"f coc^Jiî.
3.
4.
jteJUL
eTSe TecjULH eTSe
eSiS.>\
^,ch.M.^.1f
hTeK^^,'-f-
6.
^
^vcm
iiJi JïiL nji<î.(rjiT^H^
h^en ^j
^^
n(^
jie^<î.oc
xi^j-j
jte
nojcyc
^
Jieeeitoc stcwtope e-
hoTeej
ecfcoîoViî.^^ e-
t^h^ eTOTJie^ojSç ^xt
m,
JteTZ^cj ^
ii-
cjcmji
2^jKeocjjiH.
cejieTejTOT
jieiL^ajojp
i,
^,q-
"femcTKStx.n
jteTeittyçuX JieceoT^^'' e^ovji
$i" oveeS eTOTH^"
JULov^
siT^e
"j^iieTeTceSHC
^ovji Jt^ejia)2tH0T Tej Te
5.
^e
otjiojuloc nejiov2î:iî.j
Tex^i^
"^I^JtOT 2!.e
nKovj
JtTe ov-
^jui njiojtioc
epe tco^j^
julji
epe nejiovxei
TJULeTpeuLxi^HT^"
TJULeTpeiiJioTTe'' jihov JtiS,^peji n(^ Jtej ^CMCWp îlT2^JKeOCVJtH.
^jî juijt
Jte iie^s.-
eTeTeji
jiH
Tejt^H
8.
ji2S:e
m.ep^o^
^^stcwov evèep^oi^ ^i.Te-
c^p eveoTopnoT
^<î.jïç[eJULJt^a5S
evecy«3ç[
ï?iî,p
127
XXXIII, 1-11.
Isaïe
m.i ^ckhji
jijjulojjt JtTe
Ji2te
T^oi^ hjtjeenoc oto^ ^^^j^ohkh eTeo>\c
jiejULcwov
evpjjuij.
oto^ jijieTenonoT
ctcjulojit e
^i^sipw-
JULJ.
nj>\jS^vnoc ^qep^o>\oc
ecoTOjji^ eSo>v
hste
njctMpcwji ececycwnj
i^joT2s.eiL
h2S:e
njKepjuiH-
Jiejui
î^oc.
iiJiovgjpHJiH"
eS<s.>\
^JTen TeTTHJt cejieTenji^v
JlJtOV^jpHJtH. 8.
Jte^JiLTji*
ï^*j.p
jieeejtoc otoî ^ltcw jiej. «J.VÎW
9.
iî.
T<j.ptt3n
jijtej jteep2t<î.JH''
ceite(![j
^.
T^iS-i^
ït-
ïiTî^jAeHKH gtkh ixn
hjieTejt<s.noT e ptwiJLj.
HKe^j ep^HjSj ep^e>\>\oc
iS,
n>\jSi5,jtoc
TUi>\j?\e«î,
juijt
xjtyjne
iS.
,x.c-
nKiS.pAiH>^oc
.
128
Isaïe
XXXIII, 1-11.
nexe
10.
i^Jtov ^jtiX.TÇMjiT
10.
't'Jtov ^niî.Ta50Vji
i^Jiov "fm.-
n(îc.
neze
^jiov
n(Sc.
"fiie-
--ï-Cji;êSr=»5afca=*^>=3—
NOTES. 1.
T^îvenCMpj
TaXaiTccopsiv,
pris
dans
le
sens actif, rendre
malheureux.
et
= T^.KO
2,
T^K<S.
}.
T-^H
4.
(KUTn
5.
OT^JUJ
6.
noîcyc eSiJ.>v
7.
ite-ceOTiS.^
faire périr, perte.
manière.
la
vaincre, être vaincu.
= oToejcy
S. /^mps.
é/rg stupéfait.
= du futur. ceOV^î.^ = eOJOVf- B réunir, être
ssroni r^ums. Jte
plus bas CCMOV^X.^
= CCUOV^
S
4X.JI
réuni. 8.
m.(S' grand
= nO(f S = JI02:
B. mais
le
B. emploie de
préférence JlJ«ji~. 9.
OTH^
quai,
de
OTCM^
habiter.
10.
T-JUieT-peil-h-^HT
la
la religion, la piété.
ïi.
T-JUieT-peJUL-JlOTTe
12.
TOjS^^
13.
îtJl-OT-^jp H Jt H
ticule
du compl.
= TCMS^ prier, direct.
/a paix,
prudence ou
demander. avec redoublement de
Le même redoublement
dans ^JtJl-OT-a|Jcyj avec amertume. 14.
^JiJ-VJ
1 5
Jie-ep-2tiJ. J
pi.
de
H
la science.
^JH
voie.
deviendront désertes.
a lieu
ïï
par-
plus bas
129
Lettres.
Lettres.
Lettre de Paphnuce*.
>ï<
n<î.njtoTTeoc neTC^<s,Jf JbLc^e>»oeeoc 2te i^pcy-
HHpe JULAioK eTSe Jienpocc^opiS, iiTa.VT^^v gtootk ^jTeji
iieKpjJULiî.
gtSktov. ov
niî.Kpejjie juljulok
Jtenpoc^op^ JiT^KJ) TiKejULjiT^>^7\o
ilTOK
mi,
'm^T^OJtx
^^,
siJtxixi^K
COOT^ e^OTJl
oTHp
jie>^jTi«*jc.
pij.Kiî.>\ej
iiojtojt
«î.TpooTaj epooT.
n^HJ! njioTTe neTJt*î,Kpjjte jienpocc^ep^
nnoTTe
JieTJULoovT m,'i eTepe
ze eTSe
^.7\7\^.
Tecg<î,H
jiTiî.JULHTe
^tc» JtecKHve
julji
eTSe
eSeio TJUiHTe
oji hitpojJULe
iJ.KSaJK «Î.KK^<Î.V eJJI«S.Ta30YJl
n>\HJi ejc nxtovTe
JiJio^T'JipaîJULe
Jtrej
epHC
jiijljul<î.k. n^j.-
jii^pj
jiecKiive
Verso.
Hh
Tiî.iS.c^
ii^eXoeeoc
iioTooc ne7\^^'X.^ ov7li.ï
1.
do,
^n
<î.n«î.
stcwpe ^jtjul
A
et
ni5,ii-
t^^jul hTeTpj«î.c eTov-
Manuscrits coptes du Musée des Antiquités des Pays-Bas
pur Plcyte
2.
iiji
iX
Loy-
Bocser. Leyde, 1897. (p. 4S2).
donner à Vhllolhée
et
à
Apa
Jôre^ dr lu part de l*apknuce, etc.
9
s
130
Lettres.
Lettre d'Azarias^
ne^c.
jc
c^^j
COn
nequepiT
eqcyjjie e
^opej
ÏJL
^JïOK ^Çi5.pj^c nepecfpjtoSe eq-
>î<.
ne^c
<^eS<Î.JL)LCUJÏ
ïieioîT h. JUL«î.jjiovTe eT-
^Ji ovjme çfp«i.Jiue.
ov2S:^j ^JUL nstoejc niS.JULepjT çfp^Jii^e
^JTJi
THpOT eT^^^THK
JteCJtHT
JULJI
«i.ç«J.pjiJ.c
^f^ine on e n^-
Jrt
coji. t<s.<î.c
Àin^jcuT
neqcynpe.
Lettre de Sévère.
(AZ. XXXIII. >ï<.
çyopn
epoK
juiejt i^cyjjte
TJiJtoov RKOvï jie^pjULovc iijï
ncKeoc jiHpn
jieTtMjuL
e^oTH
ze
ejc
p. 41).
<s.pj-njt2,
m,n
ency2, Ji^n<x. cye**
^HHTe
^.q^ojji
n>vKji ^jijcoT jiuej^
epnc
KiX.jtMc >vojiiojt JbLnpi5.JULe>\ej.
covHpoc
1.
Di alcuni Cocci Copti del Museo egizio di Torino. Note de Fran-
cesco llossL 2.
Sud.
cyejteTCMJUL
1805,
et
A
Z.
1878.
p.
12.
1^ subjonctif remplace l'impératif (252),
porte-les
et
viens
au
131
Inscriptions.
Inscriptions. de
Éclipse
^n cov
4«
thc
npn pK^Ke
ît
\
^n Tepojmne
^,rw
JULiiT<j.ç[Te ïi
c^i5.jULeJtat5e
^.
soleil
exepe nexpoc
ïi
e stHJtie îi^htc.
zin
Épitaphe^.
^
03 2S:e 0T-iX.a| juLJULjjie
ne nejnoj
pst. «3 cTjnSojK encyuLJULO
eçjoT
Hov
cm
hcon THpov.
niX.piî.
(Trn
nXe^ ecn^cyT enes eneKpo\ CM njULOT np«î.n eTCiî.cye ^n tt^ npo hovon mn. ncTcycMCMT eSo>^. neTncMpz:
eneTcynpe
iî.vçM
nevejOTe. oTon jUL«x.jpjjULe
e^enejoTe
^en cynpe
nm eTO dl
1.
Même Al
3.
Revue Egyptologiquo,
référence que
«
Lettre d'Azariaa
ici la filiation I,
:
Pierre
1880,
Hall, Coptic and greek toxts... pi. 3, 4.
n-J) 5.
O
Navigation {dans laquelle
au rivage
h
esten nenTiX.TJtiov^
2.
indique
e
il
p.
fila
».
de Paloa.
139, et IV, 1885,
est) difficile
!
nenT-^V-JtlOV
p.
2. Cf.
N° 400.
ceux qui sont morts.
d'arriver
(Cn-ej
=
Inscriptions.
132
TOOTOV. JUL^pOTej 6 cezioî 2:11
neJiULiJ. JI
jioTToejT ecjovooTe e
TllJITeSJHJl ÏITiS,JULJlTÇyHpe
jiT«î.jej
JI^WP^
eSo>\^JTOOTC jit^jul«^^v 4X.jStt5K
e KOîC Tno>vjc
K^*j.T ^JUL nejT<î.^oc. ji<x.jULep<s.Te
ilT^
Te nJtoTTe
(JJULTOJI) ÏJLJULOJ
Stèles du
iS,pj
Musée
n^JULeeve
kcw
ji<î.j
JUinOOV JULHnOC
d'Alexandrie.
N° njttJT
eSo>^.
(Salle
N°
6).
280.
nojHpe
nenjiiî,
gtov
<j.^S. 4î.n*î. jepHJULJ«s.c «s.niS.
ejioî;/!
nejtcoji K7\ovc^.ne
nevcynpe
^.^K^.cwitx^,
egp^J J1C0T2L0VT H jiennn
^n ovejpH
5ic pour nJtli. Traduction Le Père, le Fils, le Saint-Esprit. Apa Jérémle, Apa Enoch, notre frère Klousatié, leur enfant, est mort le 28 d'Epïp,dansla 1.
2.
paix, amen.
:
133
Inscriptions.
N' 295.
*
jc
x^ *
4<
ejc eeoc
ov SoHeoj
«S.ÇfeJULTOJl
jtioq
coVH^
eOOTT
iî.pj
N"
,j<
1.
OVSOHewit OV
2.
n J«S,KOV nom
197.
en HpHJiH
est
pour O^
le
protecteur.
propre qui se retrouve dans d'autres inscrip-
tions. j.
COV-H
le
8.
Le
trait distinctif
des chiffres n'est pas tou-
jours tracé dans les inscriptions. 4.
Ti5.K^nfl
= T-iS-l^iS-UIl,
la charité.
134
Inscriptiona,
JUL<S.Ç[
^
JICOV
^K ^ epe ^ epovitej jiH
eq^ ^OT-Hp
Hn
0V2î:ej
Cette épitaphe est en dialecte memphitique, caractérisé par présence de
A
la
f
là
ligne
affectionne
A
^
un
qu'il est
le
le sa'îdique aurait
iî-Cf JULnTiî,Jt
mot
^
n^ (n-(H)JC)
censé ne
kiahk.
la
S.
.iCf JULTOJt
indique évidemment le
faire
qu'on ajoute un second Voici
=
O. ;
devant T^ 11
Jt intermédiaire.
la 6' ligne
Dans
ou
la
traduction
Que Dieu
lui
:
nom de Dieu,
l'article est
qu'un avec
lui
;
^^ =
tellement uni au
nom
c'est pour cette raison
article.
En
paix,
Apa Abraham
fasse miséricorde
;
la paix,
Seigneur.
'-îî..«5r*ifc"*>==5S—
s'est
amen
reposé ; salut
le
6 de
dans
le
135
Vocabulaire sa^dique.
VOCABULAIRE SA'IDIQUE pour
®
® <S.JULe^ej SCÎ3K
les lettres et les inscriptions.
indique les mots grecs et étrangers.
KOVJ
tarder.
=
2^i^,K^n
dia-
= J venir. = JC voici. eJOîT = JCWT père, Te = jo-j^. eJC
® e>iS.X (JCTOC)
® KpejJte pi.
ejo-
le plus
pe-
pour
jugement,
® KpjJie
au
sujet
juger.
= XPo port.
KtUC Kous
n.
de
ville.
7\icy<J.Jie chef, supérieur.
e^HT
art.
eSeJO
JUL<î.J-pjJULe qui aime à pleu-
à.
vers le Nord.
grec fém. sing.
® O<J.pjUL0TC
rer. la.
= eeSjO
être
humi-
JJÏ2S.JK (TJOJJt) indiction.
= ^l. ^
KtU
laisser.
JULeVJ
pensée,
= llHi^ milieu.
JULHTe
ilT-
entre.
= JieUL avec, JULJJie = IJLJJIJ genre, sorte. JtlJl
Jean.
de
=
vérité.
souvenir.
JULHTe
® J«3^i5.JlJtHC K^,l. ^
ne = IIHJ jtieeve
lupin.
lié.
®
® KpjJUL^
^po
de.
eTOOTs**
® H.
s'éclipser.
juger.
;X;pHJtJL^ richesse.
humble.
CTSHT^
eTSe-,
= X*^*^^ ténèbres.
pKl^Ke
ej
le très
un peu,
KOî eS0>\ pardonner.
K^Ke
cre.
tit,
K0T2tJ
quelques.
aller, partir.
® 'KSl.K
=
et.
136
Vocabulaire sa^îdique.
= lieT, JULHT dix.
JULJIT
pOOVcy
JULJtTiJ.Ç[Te 14.
liepjT ami
=
JtieitpJT
;
= itJ,J charité.
ni. Jiej
= JijSejï tout. = nOT'f Dieu.
JlOVTe IlT,
eT
îtT (^
qui, lequel.
= ejl
^TpOOTty négligent. CKeOC vase, bouteille.
®
CKHVe
C«5,aje
arriver.
nsix.
®
aimé,
pi liep<5,Te.
**
mener, conduire,
{c'est
extraordinaire.
^ nj, = n^J
art.
m.
art.
que.
fém. sing.
TeTipTHC gén. de TGT^pTH quatrième. ® THC gén. de H art. grec fém. TJlJtOOV
= n-^oov le jour.
® Tpj<î-C
TOeJT
n. pr.
niî.p«J.KiJ.>;ej appeler, con-
envoyer.
H Ae^
®
naviguer. offrande, mes-
se.
«l-ajpz:
séparer,
TOîJT
lamenta-
<^
= TOT
=
U|HJUL
a^
main.
porter.
= RiOnJ. ajiS.j fête.
petit, court.
cyjULJULO étranger.
séparation.
p = ep- deeipe
=
^opej
^iî,c^J ojiî.
=
Trinité.
tion.
TOOT
® npoc^opii,
nOîpZ
afin
T<5.npO bouche.
soler.
®
= JlTe = "^
sing.
ce, pour Varticle
n«X.>\OV Palou,
®
V adresse).
®
sg. le.
le.
noov
lettre)
Ti^OC tombeau.
Te Te
= OJ étant.
nej
réunir.
= C^^J écrire.
T^^ de '^ donner. T^^C donner (cette ®
être dur, pénible.
OVHOV être éloigné. OTOOTe = OVOT qui excède, ne
être amer.
**
itO^r' grand.
O
vases, objets.
= cy<î.tyj
COOT^ C^l,S
de ejite.
ni.V)T
soin.
faire,
deve-
cyjJte
= cyjJtJ saluer.
137
Vocabulaire sa'îdique.
tyeneTCMJl nom
cynnpe
^HT#>
propre.
merveille
pcynHpe
s'étonner.
cyOJtUT eSLO}\
couper, sacri-
fier.
cy*S.2î:e
= Cl.Z.5 parler, parole.
qp^Jlï^e Frangé,
n. pr.
= ÇfTOJOV quatre. = ^«X. sous.
qTO ^«S.
^.S-H
= t^e'K'Ko
iXnT^7\'ko
in-
^HT = ^HT nord. ^HHTe = ^Hnne voici. ^TH#» = ^&K^ cœur. ^iL^TH^ sous. XHlie Djèmé, n. de et
monastère
de montagne.
= ^,^l\. heure. 2î:OeJC = (u)JC seigneur. (TjJt = signe du substan2S.JJI
vieillard.
tif verbal.
vieillesse.
^JUL =: ^Jt devant
milieu,
2tn
fin.
gT^Î^O
= £)HT«^
térieur.
(ÎOJUL
les labiales.
= £)en dans. ^CUil = ^(UnT approcher.
^Jt
= 2tOJUL force
impuissant.
oV
;
^.T(^S^X
Vocabulaix'e bohairique.
138
VOCABULAIRE BOHAIRIQUE. indique les mots grecs et étrangers.
®
^ voyelle brève,
® ^,&p^.^.M. Abraham.
9.
® «x.Uiî,eoc,
provient de J, 17. se
change en CW,
vant
g, 19
G
^
Ô &,
30.
voyelle
de
dans verbe 1.
n^
et
O
Vêlement
verbal
i
du
244.
l'impératif, 254,2.
^ mille, 176. ^&&^ Abbé,
titre
honorifique ecclésias-
{patriarches, évèques) et
cargaison,
iJ-OVJJl.
^fiOT nj
I.'KI.ÏSLI.C
mois.
très saint.
s Ver//
aMS-
nj
s
lutte.
diamant.
air.
^0 pour iT privatif ^oeTJil mépriser,
^epHSj
aux supérieurs de monastères.
si
® ^\^jœT<î,TOC
® <î.eXHCJC
donné aux supérieurs
^Sjii nj
saint.
®
une, 176.
tiques
® <X.rjOC
ÏIJ ange.
du 2" pré-
T parfait,
aumône.
que.
® «S.Hp nj
auxil.
^
OJl angéli-
p.
auxiliaire
^préfixe de 2. un,
^Ure>\IK OC^
charité,
® ^UtUJl nj combat,
sent, 237.
1,-1,^
®
® ^l?ue>vOC
d'un nom,
(^pe)
<î,I*<î.nH
devant
noms composés d'un
les
^
® ;
voyelle formaiive pour
bon,
bonté.
de-
devant 'aïn, ji.
«I
bien.
le
18.
voyelle auxiliaire pour
<X.
<î.u<s.eoji
JULeT«î.riS.eOC
i
JÇ.
éprouver.
^ combat,
Athribe,
ville
Basse-Egypte, c hef-lieu
nome.
lutte.
de la
du 10'
Village dans la Haute-
Egypte.
^i-
r sing.
fait, 2
iJ
«^
2' présent
;
r par-
H.
infinitif pronominal
faire, 27.
de
jpj
139
Vocabulaire bohairique.
^J^J
croître, prospérer.
^JK nj
dédicace,
<S.ll<î.>vH2î:
consécra-
e-embrasser, ep^,-
JtX^.7\n7L e- idem.
® ^,M.^.pTJ^, "f
tion.
® «X.JJieCJC "f I.K.- 2" pers.
r parfait,
louange.
faute,
pé-
ché.
m. sing. 2^ présent,
^lli^J porter.
2^3.
prendre, l'em-
saisir,
—
nj
pouvoir, puis-
® ^K«3,e<X.pT0C impur.
sance, possession. 4Î.Till^-
® «S.KPO45.THC nj
^J
® ^KTJJt
auditeur.
impuissant.
® <s.iie>\ec
IIJ rayon,
à\Kzk^ç
^"K nj
caillou, grêlon.
^HC
^?\<X.K
nj
epi5.1ie>^HC
anneau.
® ^.}\e^^.n7^poc Alexandre. ® iî,>^HOJJlOC
vrai, véritable.
® iî-^HecOC en
vérité.
l.7\HS monter.
—
6
OTZOJ
per,
de
enlever, ôter,
® ilie?\J
®
<î.
dernier jour du mois.
A A^
mais.
—
HJ
J^^-<S.^O?^J
rai-
vigne,
^110 J
nj i^
nir,
^lli.
plaise
au
ciel
pi.
iX.q4j.iiojiJ
s'est
contenu.
idem.
enfance.
7^03 11
nj
fromage.
Mère,
Roc.
— JlTOTî** se
ter,
lieT-
'f'
!
prendre, rete-
saisir,
posséder.
vage,
I.'KOV
<X.11<S., 4Î.IIII4X.
enfer.
IIOJ.
^,l\wovi
enfant, serviteur, jeune.
<X.
voir
patien-
JiTOTq
il
— IIJ patience.
illOJtJ, 110 JtJ
ni, 2. iX.>vov
par hasard.
contenir, persévérer,
4S.>vO>^J "j^ vigne. sin.
à[xs>.st
® ^llHJl Amen.
^110 JtJ ^T^KG
négli-
gent.
illll^
^,'hS0VJ, *X.^J-, ^,'hiTi^ im-
4Î.iie-
être
ilieJl'i^ Amenti,
monter sur une barque.
w7\S
paresseux,
et
négligent,
arriver au
—
aborder.
illOJïJ pour 110 JIJ
ri-
e^OVJI
faire paî-
tre. titre
Supérieures de monastères.
des
® illOC Ames. iJ.110T,
n.
/. .S.llfl,
propre. pi. «S.lia5J-
^
Vocabulaire bohairique.
140
JIJ impér. viens, venez, 254,4.
ilipe
IIJ boulanger, panetier.
aussi
^.n-
s'écrit
^^liLcye.
r
pers. plur. 2* prés.
V
;
"j^ iniquité.
<Î.J10JL10C impie, pécheur.
iJton
nous, 62.
® iî,JtOCJOC impie,
scélérat.
® ^JtTJ?\erjn
contredire,
parfait f 2îj.
résister à.
iJt- préfixe qui indique tion,
moi, 62.
® ^JlOJULJi ®
<X.JULa5 J Jl J voir 4Î.JULOV.
^JULUje nj charpentier,
^ItOK
la collec-
® l,SVT iWy^GOC d'Antioche. ®
1J4.
iS,JlTJCU;)(^Ja, Antioche.
^Jl adv. de négation, 23
® <î.^JOC digne.
iJt adv. d'interrogation, 57 j.
ii-OV^Jt
®
4Î,0VJJt voir iî.SjJt.
iS.ll
<J.0Ta5Jl
ger, contraindre.
® iJÏ^I^KeOJl ce cessaire.
^
couleur.
nécessité.
Apa,
impératif,
infinitif et
ouvrir, 254. Rac.
qui est né-
4î.n<î.
® ^JIiS.l?KH
nJ
titre
OTCUn.
donné à
tout ec-
clésiastique.
e
® iS.JieeeJUL^ nJ anathème.
®
^Il<î.JtT<î,Jt
iJt^JLlHJ
®
«5,n<s.p;X!**^ "t" prémices.
®
ïlJ
pierre
^n^C
<X.JI«î.TO?vH Orient.
®
<î.Jl^V
impér.
fais attention,
®
perle,
précieuse.
4J.JtiS,^opiî.
de
il^î-V voir,
prends garde.
i~
se
retirer,
Apater,
^Jl^cy ni serment. 4Î.JIJOVJ, <J.nJ-, iLIlJT** pér. de ISVl porter, 254,^.
^
vivres.
n. propre.
® ^IlO?\<S,SJn prendre,
à.
rece-
voir, se saisir de. "f"
bonheur.
® iS,no>v>.a5n Apollon.
® iJ.no>\OUJCee
s'en aller.
4J,JtJt(UJIiS.
^n^THp
® iS-noX<s.TCJC
® i.SVl.'^^'^iSV
®
ancien, vieux.
® ^I102^«î,çecee renoncer
oblation, rap-
port, cause.
rencontrer.
®
réfuter.
^nOCeHTHC,
h,
par
cœur.
im-
® «?,nOCT<S.THC
®
apostat.
<î.IlOc^J.CJC "i^ sentence.
Vocabulaire bohairique.
aux. du 2^ présent,
l,^
«J.pe,
archevêque.
jULeT-<s.pxHenjcKonoc
237.
l^pe- 2"
r parfait,
®
244. présent,
V
® <î.peTH ^pe-cy^JI-
nj
«j^ vertu.
®
peTC ®
^pjOTJ.
KOC
dîner.
dîner, festo-
"J
chef, gouver-
3' fém. sing. 2" prés.,
^
oisif.
JUieT-^S-p
^'""
change.
.^px»-
® «î:p;)ÇHenjcKonoc
;
JULeT«J.Ce-
'j^ impiété.
® ^.ceeJlHC
commencement.
ipxHï'oc, UOTC nj chef.
ShC
iS,ceJlJiee nom propre.
paresse, oisivité.
ip^H "^
V
parfait, 233.
® iJ-CeSHC impie
® «^px***^^'^^^*^^ "^ ®
^PX^^
<X.C-
® ipjtieJlJOC Arménius.
®
®
neur.
faire.
yer.
® 4Î,pK0C
archi-
tecte.
^pjOTJ,<S.pj-, «J.pjT^ impé-
ep^pjCTOJl
cui-
en chef.
® '^PX^'^^'^'^^^ "^
Arius.
jpj
archiprêtrise.
archimandrite.
JULJUL^TOJ. cohorte.
® ^pjCTOJl nj
^
ÏÏJ archiprê-
® ^.pxJAiiJiî^pjTHc nj
® 4Î.pjeiUL0C nj nombre.
ratif de
OTC
® <S.pjOC
ar-
UeT^pX^e-
pontife.
tre,
peut-être.
—
^
généralissime.
® «J-PX^^P^*^^
conditionnel.
garder, veiller sur.
4Î.pj- voir
^px^epOCTIIH chiprêtrise.
<J.pHS njgage.
^pHOV
archiépiscopat.
® ^PX**^'^?*^'*^"^^^»
parfait 233.
e
"^
sing. 2" présent 233,
f.
iî,peTen- 2' pu 2'
^pe^
141
faibles sans for-
ces.
^CJ«S.J se remettre d'une maladie,
d'une fatigue, devenir dis-
pos.
— ni
légèreté, entrain.
quai. «J-CJCUOT être léger,
lu
pide.
ra-
142
®
Vocabulaire bohairique.
iCKVCJC
àoxYiaiç "j^ exer-
® <î.cn^Çecee
salutation,
^
ter
4S.0- préfixe privatif, sans,
r
^.TeTes^- 2' pi
parfait,
«Î.T(fjtOV«?
^.T(Slie-,
sans,
pHJl
^VJC
imp^r. allons
iVpK2î:
r parfait. !
de
nj
?
augmen-
multitude.
^cye
devin, charlatan.
^cyj
voir jcyj.
Quai
ni mouche.
^Çf,
nj
iî.Ç[OVJ^
p/.
chair,
extrémité,
5 5
;
^V-
l'extrémi-
tête.
i^OT
nj
— nj chef; OVvoleur.
nJ
?
pourquoi
^^«î-,
^^H
nj
vie
zeil-i^J iî-^,0^
106.
aigle.
serpent. oui, certes. ;
ep-^^J
vivre
partie
postérieure,
<S.^«5pm>iî.^0.
^2î:JlJ tache, pour ^(TJIJ
TiX-îtJtJ sans tache.
JULeT^;)(;a5
pi
trésor,
derrière.
joncs, roseaux.
;
;
vivre longtemps.
«X.gop ni
i^OT ^
A.chaz.
Achillas.
magicien
?
i^Ojp.
coupe, verre.
® iJ.c^pjKH Afrique.
^X,^^
i^Ojpj nj <S.^J
la terre.
i^
r parfait. ^^OJUL^ ^^«îJUL ni
'f- salle, cour. if
^,^e JlCOJt J un chef
^^J
se multiplier,
l.i)0 ^ quoi
donne!
pH2tÇf )tXllK^,^i
®
de quelle manière
Jt-
iÇ[- 5* pers. ma5C. sing. 2" pers.,
stérile, /"gorm^.
3' ps. 2^ pr^s.,
® ^.V}\}{
té
h^OJ
;
viande.
512.
<X.TO
iS-^e
102
? tel,
—
;
âme.
JtyJ.
Oty être abondant, nombreux.
^ÇJ
^V-
quel
<î,fy^J
langue, dialecte.
«î.Ca31JL<S.T0C incorporel.
^T-,
^^
z/oiV
pH"^
baiser.
®
'î.'^'ï'^XlOJt sans
^cy^
embrasser.
® ^CHiS-CJULOC nj
«î.cnj
magie.
®
cice, culte, ascèse.
^
^2tn "^
heure, 191.
;
i-
148
Vocabulaire bohaii-ique.
A2t«5,
«J.2te-,
de
impér.
iS.25:OC^
"kev aveugle JULeTSe>^î\e
25.U5 dire.
;
6.(^nOT^
l.(Sne-,
même
^.7L0^^
sans,
/e
'f'
Sg A?\e
que <X.T(fjte.
^(TjlJ nj
tache,
aveuglement, cécité
souillure
^T-^OJflJ pur, sans
;
^
SejIJ
Sep Sep
B
ep-
devenir aveugle.
palmier.
Sejtjnj nj
tache.
;
fer.
bouillir, bouillonner,
—
déborder.
nj
bouillonne-
ment.
ô
Sepe^J i~
labiale, 5-
Sepe
® S<J,STÎ\a5Jt Babylone.
S^eULIIJ nj bouc, chevreau
— ^ chèvre
;
;
riot.
JUL*J.nS<î.eJUL-
Sepj
® Siî.eJULOC ni degré.
nJ
nouveler
palme, bâton de palme;
Ô*J.KJ
S4Î.X
"f
nj
œil.
man-
-f-
nj
salaire
;
pCJtlSemercenai-
^ barque.
Sh ilJ tombeaux. ShS nJ grotte. ®
SHU^
SHilJ
® SiC^JtOC
SHCi
IIJ
tourment,
® S«i.CJ>\JTHC
tribunal,
es-
^
hirondelle.
Vissa,
disciple
de Sche-
nouda.
souffrance.
® S<î.CJ>\JKOJt
ni
trade.
airain.
® SiCiJlJÇJJt tourmenter.
® SjKTOJp
royal.
Basilide,
n.
propre.
SeSj
JULCTSepj
;
re.
pallium,
teau.
S«J.pOT nj
;
renouveler, se re-
Xe, (TllSe^e
ville.
® &l.7\}\Sn ni
S,X,pj
char, cha-
nouveauté.
Sexe
récompense.
"^l^
nouveau, récent, jeune
epSepj
IlJ chevrier.
S«î.J
char.
faire jaillir, faire couler.
Victor.
® SlOC ni
vie.
Sjp
SpKOVJ
le.
'f, pi
corbeil-
Vocabulaire bohairique.
144
® SOH0JJI
Sojcy, Seçy-, S^oj-, &^,^if
porter secours.
® SOHetMJl
dépouiller, découvrir, mettre
dé-
protecteur,
à nu.
fenseur.
SopSep, Sep Sep-, SepSospc
eSO^
—
renverser.
jeter,
StM^eUL nj
air,
ton, psalmo-
die.
SepSojp
idem. quai.
être jeté, renversé.
SOTttJHJUL
{
^j\
)
village près
du Caire. So'j^
abomination
SCU
j.
JU.SO'j^
;
abominable. So^^,
So?^
consonne grecque
1?
So^
® l?^p
car.
6-
® ueeJIJtiX.
"t"
géhenne,
en-
profaner, souiller. fer.
^
arbre
SCM hiS.>^0?\J
;
cep de vigne, Stt3 h2S:C«JT
® I^eite^
'j^ génération.
® \?eJineOC
noble,
noble-
olivier.
ment.
ScUK,
pi.
eSj<î.JK nj,
esclave;
teur,
servi-
epSOJK
être
esclave.
Scm\
explication
;
—
— nj
ce.
®
up^^H
Récriture.
achever,
rompre
jeûne. Quai.
eSoX
\?Jl«3JULH «i^ pensée, senten-
eSo7>v
déjouer,
le
noble.
délier,
détruire,
ShT^
® I^JIHCJOC ®
Se>v-, So>\=^
expliquer, interpréter; fin,
® l^ecMpi^JOC Georges.
Sh A,
être délié, dé5^.
consonne grecque
}.
truit-
SOJn
Si5.>\S«3JI
®
2^«î.JtJH>^ Daniel.
COOjStWJl mau-
®
^e
mauvais
mauvais œil;
;
vaise odeur.
SOJTC re
;
combattre, faire
— lU guerre.
mais.
® 2^eJUL0Jl démon. la
guer-
® 2k.HKiJlOC decanûs. ® îvKllOJCJOJl nJ
prison.
!
.
145
Vocabulaire bohairique.
on
® 2^JiS.S0>^JK OC,
En
diabo-
® 2s.J<Î.S0>^0C nj
^
®
2Lj^eHKH
®
2!Lj4S.Ka3II
®
2i.J«X.Ka5JtOC
nj
nJ
préfixe des
e-,
juste.
épreuve,
= ^iXa
formant
village.
devant
IIJ repas.
Dioclé-
® î^OKJJULOC
éprouvé.
nJ
[dux)
2i.piJ,Ka5n
nj
supplice. 2)L«3pe<î.
1
i" don,
présent.
® Î^OjpOJI nJ don.
le
compl. indirect, 314.
relatif,
auxiliaire, 234.
^
(epe)
auxiliaire
epe-
voyelle brève,
e
voyelle auxiliaire, 19.
9.
du 3" pré-
futur énergique,
241.
e^-
^
auxiliaire composé, 248.
®
e<s.ji
®
eS2y.0JULiS.C 'f" semaine.
si.
eSH?^ e
si
eSji^JK
voir
ce
n'est, excepté.
SCUK.
eSjKJt malheureux.
eSo?^
miel.
adv. hors, dehors, 334.
eSo>v ^ejï e
97.
sent, 2j8.
eSjOS nj
G
comparatif, 171.
e
Gi**, e-,
dragon.
TiiJLwpCa
le
e
général.
IIJ course.
® îiTllwpjiJ.
®
e pronom
îk-JCUI^JULOC IIJ persécution.
® î^pOJULOC
vers, à,
devant ^infinitif, 2^9, 263.
tien.
®
préposition,
son. origine, 2
fort, puissant.
® 2^J0«^iJlHC Diophane.
® 2^0V^
epOi^
suffixation, 61.
® 2^JOK>^HTJ«X.JtOC
®
profession,
justice.
hoM\i,'f\
® î^JJt^TOC ® î^JnJlOn
noms de
136.
exactitude. Î^JJULJ
dérivés,
124.
e
diacre.
® 2^JKeOCVJlH "f
noms
formant des
testament.
serviteur.
® î^JKeoC Btxawç
2).JKJJULH
€
diable.
commen-
deux consonnes, 20.
cent par
lique.
®
des mots qui
tête
de, JJ5.
eSoX ^JTCJÏ yen de. Pour
10
par, par le
le passif,
mo-
276.
8
Vocabulaire bohairique.
146
eScyj i"
de OîScy ou-
oubli,
blier.
le
eev pi
p
pour J
ex
JUL Jl
pour, au su-
car, 339.
® eejlOC nJ
eepe-,
eiieo
est saint, saint
eeOT^S
les
saints
;
;
pour que,
afin
/.
eeotyj,
ee-
pi.
r
voir
cine-
iieo.
eJULJ savoir, connaître, penser.
— ni science, connaissance
;
eJULKiî,^ voir JtXKl.^.
pers.
eJULJULOJl participe de JULHOJt.
eJULJI^J
«i-TU) éthiopien.
ej-
;
eDLJUL<X.V pour >JL11<J.V.
que, 263.
eetuo),
Occident
4S,TeJULJ ignorant.
le saint.
eep^
eJtieJlT
dent.
nation.
eO-0T<X,S qui
neeOTiî,S
là-bas.
JUieJtT du côté de l'Occi-
de, à cause de.
JIH
eJtl^T
eUL^cytU beaucoup.
eeSe-, eeSKT^** jet
S ^
OV, 2^
eeSe ze
poir OîTvK.
eJUL pour 11, 20.
Ezéchias.
devant
e>\K-
Elisée.
e>.2:a3S nj héron.
éloge, panégyrique.
® 6Çe;)ÇJ«î-C
le plus petit,
moindre.
® e>\JCeoc
de e«5.
® eUKOîJULJOJt nj encomium,
ee
® e>\iS-;x!JC'^oc
sing.
3' présent,
ici, là.
eJULJtOT
gardien,
pour
11-
JIOVT.
® ei dans
ejeST
les
mots grecs,
Orient
;
1
1.
CiX.nejeST
ejpHUH
GK-
248.
eiiHiLTe,
248.
eiine,
en Orient.
®
eiin^pe,
^
paix.
2' pers. m. sing. 3' présent,
eilCiJ.^ pour llC^J.^.
e Jt-, ejt
® eKK>^HCJi -f église. ® CKCTiJ-CJC extase.
^
e}\- voir ai7\s.
248.
eiinojii. four iincyiX..
(^
ejt-, pour
eJl2JJ.
r
voir isii. Jt-, 20.
pers.
plur.
3' présent^
147
Vocabulaire bohairique.
em.^,
en«X.pe- conditionnel,
eJÏ^OVp, JT^OTp
— nj frayeur,
248.
em.l,-,em,
#*,
® e^<S.njn«î.
299.
bon, beau, 299.
em.pe-voir em.^.
subitement,
si.
;
® e^eT«X,ÇJJl
exiler.
^^J éparque.
299.
® en<S.p;X!0^
ene^
cy<î.
eneCHT
siècle, éternité
;
jusqu'à l'éternité, nj-
®
enOJC
adp. en bas, ^34.
Epip, mo/s. puisque.
® enJOTJULJJt
JIKOT.
comme,
èv olç
eilHH
® eHJÎ^H
ty<î.ejte^ l'éternel.
enKOT pour
interroger.
® e^OjpjÇJn
e Jtece-, ejiecoj ^ beau,
eJte^
lors-
®
®
que.
désirer.
enjK^^JCee invoquer. enjCKOnOC nj évêque.
ejiTe-, e jiT ^ pour JiTe.
® enjCTJJULH "f
® eJlTO^^H
®
commande-
'f'
enJCTO^H
eiïOlCWJ
ment.
enTOT^ pour JITOT*^. enX^i, «X^J quelque chose,
144,2
ovenx.^^
;
à
^6X1 OVe^«î.-
® e^OTCJiS. i" puissance.
grand, nombreux, 299.
ni
;
crainte.
nJJIii. idem.
eJIiS.cye-,eJl^aja5^ abondant,
e-jie
'improviste
l
craindre
ep-
adi^.
dans
les
lettre.
en haut, 334.
inf. construit
de Jpj
faire
;
verbes composés, 229.
ep eS0>^
CiSoA
idem.
"f
science.
fuir,
échapper
s'enfuir,
;
ep
passer ou-
tre.
besoin, 144,2;
ep-eit^pj*^
=
hcy<s.çyj
amer; amertume,
eJl^OT dèle
;
fiel,
être
144,2.
être fidèle; — nj
CTeJl^OT
dèle; quat. de
<>
préposition,
epe-, e ^
avoir besoin. ejtçy<s.a|j
ep^T
qui est
m.^'f
fi-
fi-
auxiliaire
P7. du 3' pré-
sent, 2jB.
epe-
2'
f.
sing. 3' présent; 2
j j
;
4' futur y 233.
epeTen2}}.
2'
pi.
3" présent,
Vocabulaire bohairique.
148
epHOV e-pHC
® eTJ encore
ensemble, 75.
vers le Sud.
epJULH
re,
^
epJULOîOTJ
p/.
larme.
® epJULHJieVJJl
interpréter.
® epJULHJieTTHC
epo ep^ej nj
interprète.
®
voir
eTTH
nJ
blessu-
146,
epXJJlJOp ec-
5'
f.
eCKeJI
voir
sing. le
3"^
;
28.
ev-
'f"
JUL^î-HecaJOV pas-
relatif,
3^ pi. 3' présent, 2^3.
bonne
'T
n J Evangile.
Evagrius.
® 6T6I^Ka3JULJOJt
®
97.
auxiliaire du 2^
eTi-, eTl. ^
IIJ
enco-
pronom
relatif,
là,
2'^
®
95.
eTeiine-, eTejtin^ négatif du
If
6VKTHpjOJt nj
®
aux mains de,
6TCeSHC
<*
(CT-ltTe) qui
qui est de.
est
e^^^OV
piété.
derrière, en arrière,
e^6C0C Ephèse. e^T^HOT vàn, faux.
®
^
eT^H ^ prière.
à.
eTe JIT^
oratoire.
pieux.
JUL6T-eTCe&HC
aux.
parfait, 245.
CTOT
occasion favo-
® 6T>\0\?J0C Eulogius.
97.
eTeJULJUL<S.V qui est
eVKep Ji "f rable.
®
parfait, 245.
k,
pluriel,
mium, panégyrique.
eT pronom
eTeJl-,
du
3.
® 6T«X,rpjOC
teur.
CTe
far-
en avant
® eT«î.I?i^e}vJOn
long de.
—
charge,
nouvelle.
présent, 233.
;
95.
® eVl.X^T^e'Ksi^
StJitJOp.
eCCMOT nJ mouton brebis
1
là,
poids,
ev pour 60T, 46. 6V terminaison
re, plaie.
ep-^HT-C commencer,
6X6 JI-.
qui est
e-T-^H
pouvoir, puissance.
cause.
eTOT ^
epttj jcy J pouvoir, être puissant.
nj
plus.
"j^
alTsTv demander.
deau.
—
akCa
enco-
® eTJJI
temple.
ep^OT ep^CWT
GT J-OXI
en outre, de
eTJ^
6T<^ÇW "^
^ voir e-.
;
149
Vocabulaire bohairique.
JULeT-e^>^HOV
^
vanité.
e<|JUL^ zie, 539. ettî
®
"^ ânesse
HJ
etfôJl
ety-
— nj âne.
;
siècle, aevum.
jojj.
i'ojr
C,
consonne grecque,
®
^eVC nj
3.
Jupiter.
ea)<s.pe, 248.
eçyOîH
ou avec
s^u/
si,
H
^^n,
391-2.
eq-
5' m. sing. 5' présent, 233.
e-£)HT
vers le Nord.
e^OVJI
334.
H
formant
adv. dessous, en bas,
e
vers, en, en
descendant.
—
bœuf.
e^Jie-, e^iis^
e^ooT ni
bes,
'1"
1
minin, 148,2.
HOTT
plus
Hnj
e^p
^
devant,
® Hp<î,J
Hpn
2.
e^pHJ adv. dessus, e^pHj exejt sur. egOJOV
plur.
ezejt-,
ez«5^
e^- r
"f"
nombre
;
(TjHni
compter.
que, 171.
eZttjp^ nj
terminaison du qualitatif
des verbes causatifs, 223, 224.
e^OTe-, e^OTepo:^
325,
Elie.
HOV terminaison du plur. 46, 2. HOV J terminaison du pluriel fé-
jour.
e^pejt-,
qualitatif des ver-
maison.
® H>\J<5.C
vache.
vouloir, 301.
le
207.
HJ nj
335.
e^pHJ
e^e nj
voyelle longue, 9.
adv. dedans, 334; 6-
^ovjie, e£)pHJ
H
propre.
vin.
®
HpOJ^HC Hérode. HC^JiC Isaïe.
e
pour
®
334.
nj
n.
Irai",
dee^e. sur, 325,
i.
nuit.
sing.
relal.
présent,
T^,
3
;
aspirée
23.
380.
e
art.
fém. sing. 41.
de T,
150
Vocabulaire bohairique.
O^-, 005
O^J
® eeOîpjJI
pron. dém. fém. sing. 92.
® B^.'h^.CC^,
"j^
mer.
créer, faire, former,
établir
création, créature
IIJ
peqe^ULJO
créateur
O^JULJHOVT ®e<î.pjJl
;
;
;
—
quai
être créé,
ôappsïv
fait.
se confier,
avoir confiance.
e^^J
voir
e^^euL
OS^
179; <S.JIoS
® ee<S,Tpon nj
humilier, abaisser quai.
—
;
IIJ hu-
eeSjHOTT
être humilié.
eeXH7\
OHOV nj vent. ® OHpjOn nj s'enivrer
se réjouir
—
:
nj
y aurait longtemps.
;
O05JtK e
rendu sem-
blable
tu t'es
tu as imité
à.
® eep<î.neYJJl ®
OecSTTHC Ihète
voir
Opo, ope-,
;
O050T'f^. province.
op
s*
infinitif cau-
satif, 255.
servir.
® opOJtOC nj
trône.
thesbite,
® OVJULOC nJ
colère.
®OVCIiJ.
sacrifice;
du prophète
naire de Theshie.
Elle,
quai.
être semblable.
OOcy ni nome,
® eeOf^opoc Théophore.
^KTC Jl-
005 Jt ^ comparer
OOTHT
propre.
il
oojiTeji, TejtotMJï-, Teji-
® eeOKpi5.Ta5p Théocrator. n.
?
OJieJ
iie JC
;
® OeOis^OJCJOC Théodose.
OeoneAlRTOC
O^^J
quai.
;
justifier.
i!>,
TeJlO05JlT
joie, réjouissance.
®
bête sauvage.
être ivre.
OJieJ durée
eeSio^
eeSje-,
;
60.
OJl^V, hoJI^V quand
théâtre.
® oeS<î,JC Thébaïde.
miliation
pron. pers. 2" pi. vous,
OJUL<5.J0,
idem, 134.
eeSjo,
le qui, 97.
OHJtOY
OJ^J
eoî^eii.
myriade,
OH pron. dém. fém. sing. 9$. OH e, OH eT, OH eTe cel-
OHT voir 0«3T.
ej^j.
voir
regarder, considé-
rer.
Bi^itxso^
e-x-JULJO, o<x.jULje-,
—
® eeOîJt^ Théonas.
^ pron. poss. 86.
épi-
origi-
OVCJ^
"j^
sacrifier.
ep-
Vocabulaire bohairique.
003 ^
voir &1.-.
désigner, établir
ettJKeJUL dégainer,
p«5
i^
termination,
tirer Vépée.
0CUJUL fermer, se fermer
OHJUL
;
0HO)
quai.
être fermé. OCMJUL
Jt-
ensevelir
;
eojuic ^
0O1A.C
quai.
^iX ^
?
quand
?
372
;
^<5,-0a3Jt d'où es-tu
h0OK
?
;
quai.
oindre.
lïJ chaussure.
se réunir;
;
d'instrument
de
cloche
qui
tenait
0030^^^
;
JULnja}eJt0a3OTi^ donner le signal
d'un exercice au mo-
yen du sémantère
;
quai.
0-
OVHT être rassemblé.
J voyelle et semi-consonne, 4.
e^pHJ
eSteXl
jeter
0OT^
0O3T, 0eT-, mélanger;
—
•
ITJ
mêler,
mélange;
Vsing.
J pron. suffixe
et
forme des substantifs /éminins, 125.
J venir. J
eSo>\
sortir.
S S,- voir J03.
'f
pus.
J<S.p- canal, 131.
Ji^pO
pi.
le Nil,
JiS.p030T
^
J<S.T^ regard, ^4.
^HT assurer à,
030TJ1J4Î.T^ heureux
convaincre;
n<S.^HT 0O)T
"^Slî^T^
0HT être
content
;
quai.
0ecy-,
0«î,O)^
J«L^- champ,
fixer,
® J2iOC
!
Ji_^
.
examiner. I
® Jl'Jliî.TJOC
mélangé.
fleuve,
i?i,i.
0a3T iin^
je suis satisfait,
2^ fém.
sing. 58. J
J<Î.Sj
des regards étincelants sur.
0030),
0<J.-
appeler, choisir
0O3^C, 0«5.^C ^
tt)eJI0a3OV':|^ nJsémantère,
0O3pa)
;
I
réunir, rassembler
lieu
dessein
"f"-
'j^-
eSoX
0O3OVi^,0OTeT-,0OT«3T**
sorte
;
fixé;
0
0a3Jt d'où?
0a3OVJ
dé-
quai.
0<î.^eiJL être choisi.
enseveli.
00311 où
le
nJ
faire le plan.
003^611,
être
—
être établi,
n-0O3OJ
eeiic-,
;
volonté
0O3Cy former
se taire.
e«3JULC,
151
Ji.
Ignace.
eXboç particulier, pro
Vocabulaire bohairique.
152
JOi"
pre.
®
nj
J2>.a5>vOJl
jpj, ep-,
idole.
cy^JULCye-JÎ^CMAoJt idolâtre.
—
jULeT-ty^.iia|e- j 2S.C0 }\o ji
JC
"j^ idolâtrie.
JCKejl
je ou
bien, 344 "j^
jeS-cyoST
;
commerce
cyCMT
;
^, quai. OJ, faire.
passer le jour.
voici, voici que, 351,352.
sur le bord de.
® JCpiS.H}\
;
faire
HGT-jeS-
jcze
si,
393.
JC2teK comme
si.
® jep0VC<5.>\HJUL Jérusalem.
®
JHC
JTe
soit.
JCM,
J4S.-
J«5,
J^- nJ âne.
—
202.
nj
hâte.
® jT^ewC tXswç ® JJULH^
à
JtUC,
quai de
se hâter,
faveur soit à
sembler
nJ
!
moins que, 330.
JJIJ, quai OJtJ, JULJULO^
—
res-
manière, ressemblance.
GSl^ conduire, ame-
eSo^
présenter, faire sor-
enojOîJ
lever, offrir, faire
® JCM^e^JUL Joatham.
® JOîS
Job.
e50>V
JOÎJ, JCMJ
ter
laver.
;
JttîC
nJ
hâte
;
^ejl OV-
® J«5Ce^, JOJCH^ Joseph.
JOîT
sortir.
— e^OVJl induire, introduire. Jiî,p- canal, 131.
® J0T2^e<X.
pi.
JO^ ^
J«5T devenir
père;
ep-
père.
jcyj, ecy-, ^aj
JOJUL <^ mer.
JOp,
J<î.JlTa30V onagre.
JU5C rapidement, en hâte.
tir.
—
laver.
JOJC JULJULO#*, IlTOTiJ» se hâ-
ner, porter.
—
JT«î. ensuite.
® JOJiLJIJlHC Jean.
à.
JJIJ, eJl-,
Ismaélite.
Israël.
JC25.en depuis, 396.
commerce.
"i^
<S.J
Jie^OOT
JCJULiS.H>\JTHC
alors, J45.
marchandise
ep-jeS-cytîîT négocier, le
JWT.
voir
'j~
Judée.
® JOT>\JOC
Julius.
JOgJ,
champ, 131.
Jii.^-
pendre, crucifier
;
quai.
^«^J
être suspendu.
jqT n J clou i"JÇfT J^ nj démon, diable. ;
clouer.
153
Vocabulaire bohairique.
®
R
KiTHropjJI
K<J.T-^HT
intelligent, habile.
® KiX.TJUL«X.nj
K
pron. afflxe 2' m. sing.
<,8.
K^.^S ni
® K<S.eHKJJl
K^'f
catéchiser, in-
struire.
K«S.KJ<Î.
"f
malice, mal.
nj
® Ka.KOnp^I^JUL<X,
K^KCe^T
mal-
sein, 54.
KepJULJ ®
bon.
® KÀJt xàv quoique, bien
que.
Kepoc
® Ke^«î.>veOJt
K^pji xàpoa noisettes. K^C nj os, ossement.
KHJt
® K^TiX.
®
^
mé-
autres, 116.
ou Coptos,
cesser, 290;
cesse
selon, 330.
capital.
KHJt
mépriser.
® K«î.TiX.^VCJC ni la
naturel,
epOK
KHnOC nJ
jardin.
® K>\HpjKOC nj
clerc.
hérita-
"i"
ge-
KJll
mouvoir,
se
mouvoir
;
mouvement.
nature.
® Kl.Te^iS\
en
!
® K>vHpOJl011J<î.
pris.
ville
H.-É.
règle.
®
® KiT^X-^pOJIHCJC
xaipo? llJ temps.
Keç[T Keft
corbeille.
® K^JIOJil nj canon,
^ cendre.
Ke^iJôOVni
K.î.Jt-OVJl bien que.
ter.
ordre.
® Kep«î.TJlOC nj foudre.
bien, pour K«5,>\0C
® K
ha-
® KeT^eTJJI ordonner.
KeJIî^
lépreux.
® Kiî,JlOTJt nj
nj
TcéXsxuç ?
® Ke7\evClC 'f
K«S.7\JJl appeler.
® K^.>\a5C
selon
ÏIJ intelligence.
autre, aussi, 113, 114.
che.
faiteur, maléfice.
®
terre.
® Ke>\eSlJl
pulture.
®
Ke
chaleur.
comprendre.
—
K4Î.JCJ 'f' châsse, cercueil, sé-
chaleur.
® K^TCtOJl nj
® K^OepjJï excommunier.
accuser.
presser, exhor-
® K>vHpOC ni clergé ge-
;
hérita-
.
Vocabulaire bohairique.
154
®
KOeoc
Kothos,
propre
n.
tant.
KW'hn
d'idole.
^ châtiment.
® KoTv^CJC
® KOJUieilT^pHCJOC
KCW>\^
^OTJt
com-
mentariensis.
® KOnpjii. i^
en
localité
;
KaJ-f "i" coule,
petit,
vêtement
quelque,
peu,
ii8;
lieTKOVZJ
fance;
JI-OT-KOVZ J un peu
h-Ke-KOV2î:J
'f en-
encore
;
un
peu. force, puissan-
Kpe^rp^ vase, marmite. KpJTHC nj juge. 'j-
® KVpj>^>\OC
KVpj^ nj
KtuS, quai
Constantinople.
KOT ^
K«3T, KGT-, re, édifier;
—
tion, règle
quai.
:
IIJ
;
construi-
construc-
KHT
être
construit.
KOT ^ tourner, chercher; KOT^ réfl. reveKOTq nir, se tourner
K«5i^, KeT-,
est
revenu
;
il
«X.Çf
KCyX 6 environ-
chercher; Kaî-j^
chercher,
réclamer
;
JIC^ KtU'J^
ÀinKtU'j" environner.
barque.
?^
Cyrille.
héraut.
KHS, ë
embaumer,
K(MCT«S.llTJJlOnO?VJC
ner,
ce.
ble, fois
®
;
® KpiS,TOC ni
®
i>
tin.
de moine.
®
KOC
® KtMCT^JlTJJlOC Constan-
passer par.
® KVSOJTOC
être
ensevelir.
KOT tour, pourtour; ^J-OVKOT faire un tour ^JKOT
®
;
abo-
aboli, cesser.
® KOCJULOC nJ monde.
KOVStJ
<*
destituer
détruire,
lir,
H.-É.
® KOT>\î^«S.
une porte
frapper à
K«5C, Kec-,
voir
KOîT^^ 6-
;
KCUpçf, Xepçf-, KOpçf
fumier.
KOCK^JUL Coscam,
KOT ^
frapper
-j^ vol.
pour faire ouvrir.
® KOJULHC nj comte.
e
KoTvRC
voler,
doubler; dou-
JlKOtjS
5
fois
au-
TkI-- préfixe
dance, 137.
indiquant
l'abon-
155
Vocabulaire bohairique.
nj
7\4Î,SOJ
>\0VK02S:J
'f' ours, ourse.
même
"t"
®
>v«S,Ç4X.pOC Lazare.
® >^TJULHJI nj
®
>\iX.KiS.JlH
® T^VJULJIH 'f
'f
® ^«X.KKOC nj
A^K^
nj
nj
>\<S.OC
ÎV^C nj
^
mer.
lac,
® >\TTOTprJ«î. 'f
service.
>va3JZJ "f cause.
poix.
peuple.
langue.
=
>\^VJ
lac, trou, fosse.
angle, pointe.
'h^.fUi7L^,YVT
®
bassin.
sens.
port.
X*î,-OTJ une seule,
11 pour
il
devant
les
labiales,
137-
'hi.^estSi
m
28. tige.
® î^eSJTOV nj
vêtement de
}\e?\e^HJULJ
tache
noire,
contusion.
® T^e^JC
^
parole, langage.
^wa/.
AoSj,
devenir
in-
TvOSty être incandescent
AO-
;
être rougi au
feu. in-
® 7\0U0C nj
le
Verbe, parole,
compl. direct, 277. l'impératif-dfsT'erbes
causaiifs et des verbes composés
lliJ.,
254,5.
pi.
II4Î.J,
lli
T«J.
voir
n J,
^
® Xk^.Vi^.
mais,
au
reste,
K^-
^ magie la
;
epil«S.-
magie.
® ll<J.rOC nj magicien.
ll^J-
disciple.
"i" venin, poison.
préfixe verbal, qui aime,
132.
d'ailleurs.
>\OVKOTTJJl
;
par endroit, partout.
exercer
ll^eOVJ
'^"ce.
lieu
110 J.
® ll«î.eHTHC nJ
compte.
® 7\OJnOJl
le
UJ^
telligent, spirituel.
® >vor;x!"
l'annexion, 157, 158.
11 pour
11^-
® Xoi^JKOC, Xoi'JKOJl
155-
ÂX pour
de^,
sensé, déraisonner.
h^pw^-'^
11 pour r apposition, 154;
11^- forme
® >M^JkJlOCJIJ Liban.
Soj
quelques mots qui
commencent par S, 144.
moine.
AJSr^
11 préposé à
denier d'or.
11<Î.J pi. de 11<S-
dans l'exprès-
Vocabulaire bohairique.
156
sion
ÙGSl AliJ iljSeJÏ en
®
tout lieu.
JUL^JH "f
qualité,
manière
it-
;
T^J-JUL«î.JH de cette manière, tel,
de
jUL<s.cye voir cye.
il^^
heureux.
propre Macaire.
®
"i:
® JULi5.pTVpjiJ,
rer
nj
ii-GT-JUieepe témoi-
iiej, Jtiiejipe-, JtiejipjT*» aimer.
® JULe>\JTJOC Mélèce.
martyr.
^
®
JUieit à
la vérité.
JUie Jte JIC^ après, avec Vinfîni-
martyre. petit.
JUL4Î.CTe-pa3JtJLJ uoir
tif
JULOCf,
265
;
JULeJienCOîC après
cela.
ne Jtp JT ^
pOîiULJ.
® JUL<S,TeeOC, OJl Matthieu. JUL4S.TOJ
;
témoigner, ju-
gnage, serment.
"t^ martyre.
JULeT-JUL<î.pTTpOC
nj
témoin.
ep-Jtieepe
martyrologe.
JULiC
bou-
hors, dehors, 334.
JUieepe
optatif, 253.
® Jtl^i-pTVpOC nj
(se remplir !a
s*
JUieO- powr lieT, 138.
ip.
® JULiî.pTTpoXoUJOJl
les
JULSoJt colère, courroux.
bourse.
JUL^pî^
JULiX.pe-,
forme
nj coudée.
llSo^
surtout.
JULiJlJiî. 'f' folie.
® iXl.lim,
qui
che) piquer, dévorer.
JUL<î.X7vOJI davantage, plus.
JU.iX.Jï-eca50Y berger,
^^,nB-
miséricordieux.
particule
JUL<î,^-ptU
® lia.KpoSj Macrobe.
®
;
nombres ordinaux, 183.
bienheureux,
JUL«î,^J
® JH^}\JCTi
Jt J entrailles
JUL^^T
= JULiî.KipjOC.
® JUL^K^pjOC
JUL<S.vp JTOJt J«J. Mauritanie.
JULiX.^T
telle sorte.
® JUL^K^pj
n.
JULiLT «j^ mère.
nj
soldat.
JULeT-JUL«S.TOJ i~ milice,
armée; ^eK-JUL<S.TOJ lever des soldats.
aimer, voir
JULejip JT, pi
Jliepj midi
;
lie J.
iXenp^.'f
JuLJUiepj à midi.
® JUiepoC nj morceau,
® JULeCOnOTiX.JULJiL sopotamie.
ami.
^
part.
Mé-
157
Vocabulaire bohairique.
iiecTOî ^
jtiecTe-,
voir
lieT- forme
les substantifs
ab-
foule,
e milieu.
IIJ présence.
JULHeJLlOO en présence.
repentir, prosternement.
'j^-JULeT«X.n Ji se prosterner.
JULeT-qTOJOT
dix.
multitude,
118.
JULOO
^
nj
JULH^^
138.
straits,
JULHT, JULGTJULHcy
JULOCf^.
iieo eS0>^
JULR ^
en pré-
sence de.
quatorze.
JtieVJ penser.
JULJ>\JOn
—
JULJCJ, JULeC-, JUL<S.C^ enfan-
^
souvenir, pensée.
ep-<|-JULe V J se souvenir.
—
nj
son
souvenir,
ter.
commémorai-
n
zjJt-ep-^-JUieTj
;
nj
JU.ea}Cl|«3T
est-ce
que
?
non,
ne
premier-né,
—
nJ
régénération.
® JULJX*^H^ Michel. JULJtyj, JULecy-, JUL^oi^ com-
'j^ urine.
JULH J ^ uoir JULO J.
JULHJ
IIJ enfantement, naissance.
cyopn ilJULJCJ
OT.X.^eJUL-JULlIîJ régénérer.
champ.
pas.
JULH
—
aîné.
souvenir.
® JULH
mille.
e
battre.
vérité.
JULJULHJ vrai, véritable, droit.
OT- JULHJ JULe e-JUL
H
J "j^ vérité, justice.
se vérifier.
^eJt OV-JULee-tlHJ
en vé-
— nj* souffrance, douleur. — h^HT se chagriner.
-==^
—
IIJ chagrin.
^-JULK^^
torturer.
JULJUL«X.V là, là-bas, J04.
rité.
JULHJJir
souffrir.
s'attrister,
idem.
ep-JULee- JULHJ
JULOKg
JULKiX.^, quai.
nj
signe, prodige.
ilJULJJl
JULHJl voir JULOTJl.
® JULHnOTe de peur ® JULKnOîC
idem.
JULJULiLViLT
que.
ment,
*•
seul, 69.
particule
6'),
de
renforce-
}.
JULJULO ^ gérùtif
et
accusatif
du
158
Vocabulaire bohairique.
^<î.a}-JULOV être demi-rnorf.
pron. fers, absolu, 65.
IIOTJ nj
préposition, 316.
illlOn
JULJULOil, JULJULOJIT
«^
il
n'y a
eilJt^J
JULJIOVT nj
geôlier,
portier
;
— 'f portière. 11*5.-,
JULHJ«* accorde,
JULOKJ nj vase, récipient.
® JULOIÏ<J.CTHpjOJI nj mo-
JtlOJtiX.;)^OC
nJ
^
quai. JtlOJtK. 1.
fabriquer, faire.
2.
consumer, détruire.
ieJULOTJIK
non
Jl2tJ2Sl
fait
iXensiHT^
faire paî-
disparaître.
JULOTp, JUiep-, JU.Op^ attacher
tère.
attaché
;
quai.
llHp être lié,
JULOTp nj
;
lier,
bourse.
JULOVT nj tendon, cou, mus-
tre, paître.
®
idem.
JULOTJIK cesser,
moine.
® JULOJIH ^"demeure, monas-
JULOIÏJ
res-
quai. JU.HJI
de main d'homme.
nastère.
JULOJIJ,
;
eSO^
llOVilK, iieiïK-, JULOJÏK
donne, 254,4.
®
—
;
demeurer
ter,
ici, là.
"
JULOJ,
IIOVJIJLJ "f source.
JULOVJt rester
pas, 302-508. JULJt«X.J,
lion.
JUL0T>\2i, JULO^Z: ^ attacher.
non.
e^OTJI
aborder, voir
cle.
^.Jtxons.
JULOVcyT
JULOJIOJI seulement.
UOT^ appeler.
OV-JULOJIon non seulement.
JULOCyi marcher; ZiJJt-JULOCyj
® JULOpc^H
^ forme.
juLoc*^, JuiecTe-, haïr, détester
;
cyovuoci", TtO ^ digne de
—
nj
iiecTCM^ IIJ haine
;
cyovjULec-
iTJULOT, iJ.eJtlOT immortel. <|^iJ.cy-JULOV
demi-mort
conduite.
JULO^, plir,
quai
110^
haine.
JULOV, quai JULtOOTT, mourir.
;
cp-
parcourir, visiter.
JtliS.^-,
iX^,^^ rem-
se remplir, être plein;
Aie^
être rempli.
brûler, être ardent.
JULOX^ nj JULn^X-pe-,
ceinture.
h.m.^aux.
négatif
du présent d'habitude, 239.
159
Vocabulaire bohairique.
iin^s-Te-, JULniS.T ^, 246.
mort
tine-, llllî^ aux. négatif du
r parfait, JuLneiieo
;
peqJULCMOTT
mort.
® llOîVCHC Moïse.
il^iLT nj tombeau.
244. voir juieo.
H
i3LResiBpe- négation de Vimpé254,6.
ratif,
JUinep
négation de l'impératif,
JI s'assimilant
à 11, 28.
il
pour l'apposition, 154.
lintyiS., eJULnty<S. mériter, ê-
Jt
pour l'annexion, 157, 158.
digne de; ep-eJULncy^S,
JI
devant
254,6.
tre
formant
idem.
n vengeance epn^
JULncyiO)
;
lincyjçy prendre vengeance
il-, it«î^
il^
-
il<î.-
de.
nj
llCiJ,^, eJULCiî.^
crocodi-
IITOJI
se reposer, se coucher;
— JULiULO^
se reposer,
nj
JULTOJt
quillité
pron. poss. pi., 86-91.
mille.
voir
la
/de
miséricordieux,
liee-Jl^HT "f
manière de,
AICWJT ni chemin,
mi-
nj
eau.
IIOJOTT
de
AlOV
pron.
et adj.
dém.
pi.
V sing.
imparfait, 2jj.
pitié.
— ^^ avoir de. — miséricorde. pitié
IIJ
ATil<î.J, iS.eil<J.I sans
voie.
JW.U30V, JULOT-
ces,
it^J avoir
pHTJ".
quai,
>
92-95. il«î.J-
à
;
Nazareth.
séricorde.
non.
comme,
m.S iliJ
JULf^pOV aujourd'hui. JUL-<^-pH'j^
futur, 240.
il^^-, ili** grand, 294.
il<J.HT
® JULTCTHpjOJÏ nJ mystère.
il^H
le
tran-
avec tranquillité.
© JULTXjOJI
1 ,
Sll,<^ aux. de l'imparfait, 242.
mou-
^eJl OVJULTOJI
;
j 3
;
j j 2.
pi, 74-80.
adj. poss.
® it<î.^<î.pee
repos
262
260,
adverbes,
préposition, 6i,îi5.
ilA- formant
le.
rir.
l'infinitif, les
pitié,
cruel. ;
être
lieT-ieiléJ-J
^
cruauté.
160
Vocabulaire bohairique.
Xt<X.Jte-/ être bon, beau, 295.
Jîi ^ aux. de l'impar-
environ
;
temps, 191,
m.V
— de
e
— ^11 moment,
jouir
voir,
du sens
Jt*î.cy«5^
être abon-
nx^p^
devant,
foi,
e
^
ite à
fém., 61.
Jie- tes,
f.
JtHJ
dent.
les
neiXif
234
—
avec, et,
J17,
336.
r pi,
—n
venir,
J
élévation de
Jteo
toi,
74.
^
;
JtHOV
jeûne.
fém., 62, 6j.
JtOOK
toi,
Jteoc
elle, 62.
heoq
lui,
JietOOV
aller
monter, croître.
® JtHCTJiS.
—
44.
Jiejl- adj. poss.
;
e^pHJ
temps composés, 247.
p/.,
— 611-
à moi, 61.
JtHOT
Jte S- voir JIHS.
Jiejt- ar^
nager, naviguer;
JtHJtJ ItJ rayon de miel.
adj. poss.y 74.
Jie aux. de V imparfait,
Jieil-,
maître de maison;
cœur.
Jte copule du pL, 356.
dans
HJ
méditer
croire en.
croyance.
JîiZgJ toi,
96.
jycUJ par métaphore s'élever,
croire.
e^OTH
nj
susciter; exciter.
JtH ceux-là; 95,
JIHSj
m.^'T
huile.
JtHS, JteS-, maître, 131; HCS-
P5,2.
e,
Jie^CJ
jiH e; JiH eT, JtH eTe, 97
voir hcyoT.
Jl^^pejt-,
— —
idem.
JieZiJ "^ sein, entrailles.
dant, 296.
m.^T
® Jievpoc nj
Jte^ nj
vue.
Xl4J.çye-,
corde
nerf,
Jieçf- adj. poss. 3' m. sing. 74.
3.
voir.
ÀjlSoT^ la
® Jievpojl nj
pi, 74.
d'instrument.
242.
fait,
Jt^V
qui, 99.
adj. poss. 2'
JieTeJI-
ee-JiiS.ne-/ bon. Jl<S.pe-,
JteT, JieTe ceux
masc,
62.
62.
adv: mais; J4J; eux, 62.
Xiece-, JiectWs* être beau, 297.
jieojTejt
® JieCTOjpjOC
JIJ art. pi. les, 41 et suiv.
Nestorius.
vous.
161
Vocabulaire bohairique.
JtjSeJI
ilJJH qui
un
JIJJUL
?
tel,
m,
grand
que
ilJ, les
JtJU)^
"i^
112.
— 6 plus grand
;
grands
IIGT-
;
grandeur, primau-
nocyn^
effrayer, s'effrayer;
— eSoA,
C^SO^ rejeter
souffler.
JlJÇfJ
—
e
souffler
itOVqj
JIKOT, ejIKOT
se coucher,
s'endormir, être couché
eJIKOT
qui
jtiiS-JiejtKOT Jt Jie-, JIJl
;
iT-
ne dort pas
nj
;
JtieT-^e-JIOVJ^
;
epjioSj
peç[-ep-Jl0Sj pé-
utilité.
ep-JtOCJp J
être utile.
^ force
;
"f-nOÏX^ ;
2teil-
avoir confiance,
se
pi, 74.
pron. poss. pi, 86-91.
JIOTS nj
jio^eJUL, Jt«x.^eJUL-, ji
or,
m.-
déhvrer
échapper J1C*J.-,
fortifier.
adj. poss. 3'
ce qui con-
vient.
JlOTeJUL être doux.
JIOVJ,
JtOCJpj i"
spirituel.
consoler, encourager
nOVif
irré-
JULiJ-JlOT^ ami de Dieu,
neTepnOqpj
JlOJUL'f
^
pieux.
® Jioep oc, OJt
JtOV-
mensonge.
ligion, impiété.
cheur.
JIOJUL':^
faux, menteur.
iî.e-JtOT'j^ athée, impie.
lit.
^ aux. négatif du 4^
jioSj nj péché ;
bon, excellent.
JlOT'j" Dieu.
futur, 241.
pécher
iiocyn
quai,
jULe0-Jiov2s:, JULeT-Jto*r2S:
^
sur.
;
être effrayé.
JIOTX
té.
esprit.
necyn-,
jtOTcyn,
103.
XI jcyi^ ;
® JtOVC nJ
tout, 167.
— <^
;
hccu^
;
se sauver,
salut.
derrière, 328,
avec V infinitif, 265. hCiX.ç[ hier.
JlTe-, JIT^ prép. de l'annexion,
pièce d'or. être sur le point
de.
JIOVJIJ "^ racine, souche.
eTCJITe-
qui est à
;
eTeitT^î-il qui est à nous. JlTe-, JIT
11
i^
aux. du subjonctif.
Vocabulaire bohairique.
162
JlTeJI-,
TOT ^
JtTOT ^ de GTe Jt;
® OJKOVJUieJtH /j^ monde.
qui est aux mains de,
OKeJUL
au pouvoir de.
voir CMKeJUL.
Jl^<3-J quelque chose, 144.
07\^
voir ttîT^J.
JlOîOT à eux, 61.
0>^K
voir Oîî^K.
Jl«5Ten
0>\0K02S:J
à vous, 61.
univers,
nj
^ denier
d'or.
jiti)^,cyj voir ejtcyiî.a)J.
OJULJ
ilcyOT quai it^cyT,
® 0JUL07\0UJ^ "^ confession.
être dur,
® 0110?\0l?JJt
rude, cruel.
h^HT^
boue, limon.
p2,
dans,
voir
®
confesser.
OJULOOTCJOC
consubstan-
tiel.
hèpHJ ^en JI^OVp nj
OJULC
dans.
du
on
sujet après le ver-
be,3<,o.
^
consonne double pour KC,
voir CMJULC.
® OJULOJC cependant.
frayeur.
h^pHJ en haut, 3^h^pHJ ^eJl dans, en. 1125.6 signe,
*»
aussi, encore, 342.
OJt^
voir
OW^
voir 03 n.
«JJt^.
®
opuH
®
OpeOÎLO^OC
'f
colère, attaque.
® op^<î.JtOC
orthodoxe.
orphelin.
j.
Opçf ^
o
voir a3pç[.
® OCJ<J.C
Ozias.
OC^ nJ
faux, de
030^
mois-
sonner.
O
voyelle finale ^ 2 1
O
se
changeant en «3, 18,32.
OV OT
semi-consonne, 4.
pour «3 après il
O, fém. «3, grand, 131,1.
OV-
OJ quai
OVpron.
de jpj, être.
® OJKOnOJULJiX, "^ économie. ® OJKOJlOJULJJt
administrer.
® OJKOJIOJULOC ni économe.
art. ind. sing.,
suff. 3'
Jt, 29.
45,49.
pi, 58.
OV pron. interrogatif, 104. OV /^rmin. du plur. masc, 146. OV4Î. nj blasphème 2:6-0 Vi ;
Vocabulaire bohairique.
blasphémer.
OV^S
être saint
ee-OV^S
;
OVJIOV i^ heure, 191,2; ^611 i^OTJtOT en ce moment. OTJIOÇf JULJULO ^ se
saint.
OV<S.J,
fém. OVJ, un, une, io8;
^OV^J ^OV^J
chacun
;
—
OV^^eJUL-JULJCJ régénérer.
OT^^JUL^
OVtU^eJUl.
voir
OVOg-Ci^JIJ mander
;
ordonner, com-
—n
0V4S.^-T0T ^ répéter,
ordre.
J
de
nouveau,
contre, vers,
j^-OVSe
® 0V2i.e
combattre.
"^
s'éloigner;
—
OVJ
quelqu'un,
ind.
monde.
tout le
verhe imp.
il
est,
C^So>;
toujours précédé de
vraiment, 337,4.
combien, 105
—
HJ
pas que.
® OTJt donc.
avoir,
^
crèche. élargir, dilater.
largeur^ libéralité.
être supérieur, l'empor'-^"
ter.
OVO^ OVO^
conj. et, 336.
habiter.
lliî.h0T0^ nj demeure.
OVl.^-, 0Y«L^ ^
OTO^,
une, fém. de OT«J.J.
e-OTJ e-OVj
a,
ZieJtl-Jtl<X.h0T0^ résider.
.
chacune.
® OVKOTJl non que, ce
y
il
302.
OVOT
25.6 certes,
s'a-
OVOJt ilJSeJI quiconque,
OVOCeeJI
OVeT différent, J09. OVhS ^ prêtre de OTiLS.
OTHp
aller,
306.
ni.
adv.
OTO J
prori.
OVOJt^
once.
idem.
OVHJ
<^
OTO JlTe- OTO JIT
en face.
® OVUI^JiS.
pas, marche.
vancer, porter ses pas.
OTOJt
OTOJt
OVSe, OVSHî^
!
109.
291.
OVej
malheur
i" juin
OTiS.^-TeJt-
faire
réjouir.
lïJ joie.
OVOJ
OVOJ nj
JULeTOViS.J unité.
à,
163
n'est
ajou-
ter.
OVeg être ajouté. OVe^ hc^. suivre. quai.
0V02t
poir 0V2tiJ.J.
164
Vocabulaire bohairique.
OTpo^
OTpcUOT^ n
pi.
ep-OTpo
montré,
roi.
régner.
JUieT-OTpO
idem
^ royaume.
"j^
OTT^^
nj, pL OTTiJ.V^,
substance, bien.
vertement
entre, parmi,
J19.
iÇf OTCU
iL(!fCiî.2î:J
il
:
a déjà
parié.
ep-OVOî
;
répondre.
OTtUJJïJ nj lumière «JJJtJ
manifestation
c^-OTOJt^Çf
;
;
la
envoyer.
JlCi envoyer chercher. unique, le
ovoîTeS,
OOS ^
même,
oveTeS-,
108.
ov-
transporter.
OVOJTg verser peç[0Ta3Tg lieTpeqOVéchanson tWT^ office d'échanson.
ep-OY-
;
;
OVOJOJ
manger
vouloir.
—
briller.
ÎTOll
OTejUL-,
OTCMJUL,
^
IIJ volonté.
OVîWtyT
pas
cepSeilJ une épine
;
h<5.0OTCMJUL
;
sans manger
;
^.^OTeJtX OT-
il
enfoncé
s'est
OTCUJUL
JtCiX.
dé-
^^11
#»
h^^H.^,
^OHs#
se
^HT nj
OVeJUL-
repentir;
—
briser, détruire.
OV^Op pi OV^Ojp n J chien.
ouvrir.
quai.
OV025:, être en
santé. IIJ salut.
quai, de
^ty^J,
être
nom-
breux.
OCf
oTOîji^, oTeji^-,
;
— Oty
ovcujicy nj loup.
OVOJl^,
bonne
Jl-
repentir.
répéter, répondre.
ovcMxn, oTexn-, oTostn^
OVSt^J,
vorer.
OVOJJUL
paraître
adorer, baiser.
«X.0-OVÇUJUL qui ne
;
mange
OTOJJl
— eSoT^
;
OTC» nj réponse
quai
— OTCWT
avoir déjà, cesser, 290
^
;
manifestation.
OVCWpn
produit.
OVTe-, OTTOJ^
OVCW
—
;
apparu
^eJl OVOTtUJt^ eSO>\ ou-
® OVCJiX.
fruit,
a
il
oron^^
manifester
*J.ÇfOVOJI^(:[
il
;
s'est
O^J
— —
voir «îCf J. rester, se tenir.
ep^T ^
se tenir debout.
S\.^ attendre.
165
Vocabulaire bohairique.
O^J nj
voir la liberté, pour
troupeau.
niX.ppH-
cj^^ecee.
n
® niX.peenOC -f
n^ppHCJ^
®
n
faible masc. sing. 41 et
artic.
Ilî^ adj. poss.
masc. sing. 74-81. païen.
® RiS-eOC nj
passion.
® m,Cy^l, nj pâque. ®
nj
patri-
JULCT-n^Tpj^pXKC
"t
patriarcat.
92,93.
7v JJT-OJt
niX.-T-cye>\eT nj
palais.
® n^TvJit de nouveau
;
® n^JI^UJ^
n.
é-
fiancé,
poux.
n<J.-
de nouveau, encore.
n^JULtW Pamo,
® n^T7\0C-Paul.
ni'^nOT'i^ Paphnuce.
propre.
ne-
toute sainte.
® niJ.JtTOKpi5.Ta5p tout-puis-
ne
ne
sant.
® niî.JlTa3C complètement.
n^p^
n^Tpj^pX^C arche.
dém. masc. sing. ce,
® m.7\l.TiOn ni
®
confiance,
JULniX.ppHCJ^ ouvertement.
® n^U^JtOC
adj.
"^
liberté.
suiv.
H^J
vierge.
adj. poss. 2^
fém. sing. 7
4.
copule masc. sing. 3^6.
accompagnant
l'imparfait,
242.
au-delà de, au-dessus
neen^neq
nj
poir
le bien,
de, 330.
® niX.pi5.Sii.THC nj
prévari-
niX.piî.JtOJULJiî.
i~
® n^piî.Jl011 OC,
on
impie,
neTefl>pH
mer.
ce qui, 99
TenT<X.Çj ce
impiété.
qui est à
;
nc-
lui.
Putiphar.
ncTe^ne-, ncTe^^n:*'
inique.
JULeT-niX,ptX,jioJULoc
^
que veut.
®
iniquité.
® ni5.peTJCee
ne}\^COC nj
ncT, neTe
cateur.
®
®
s'excuser.
® niX.pHCjiX.coe jutao*»
a-
nCTpoc
.
.
,
volonté, joi.
Pierre.
neT^ojov nj
le
nexe-, nez.
dire, joo.
#=
ce
mai, 99.
Vocabulaire bohairique.
166
nj
art.
masc.
sirig.
41
et suiv.
®
® nJJtOTTJOJt Pinoution. ® njp4Î.CJUL0C nj
njcejl^
nJCTOC
®
njcyee^ nom
(le mât),
H^HUH n^Hil
"f
place
publi-
plaie, blessure.
= n'hux^K.
nj-nji<î.
esprit.
eeoViLS
tes-
prit-Saint.
®
rem-
noT^HTJ^
vie,
manière
npOCKTJTHCJC "f
npoc^op^ oblation
® npoCCUnOJl
nJ
npOf^HTHC nj
® npOc^HTJ^.
npo<^HTJK phétique
ville.
régner.
"^f"
® npa5TOCTp^TH7\<Î.THC
® nOîC comment.
npenj
ÏIJ général
RT^Hi"
ncy^'f sopis,
dise.
(ep-) U convient.
prophète. prophétie.
.
® nOTItpJOJI ni
® npiUJULiLTJiS.'i^ marchan-
personne
OC^ OJl pro-
®
calice.
décret,
offrande,
"t
® nOIlHpj^. i" malice. ® nOJlHp OC^ OJl méchant.
®
adora-
édit.
®
vivre, conduite.
noT^JTevecee
prière.
® np0CT<î,UJULiî. nj
®
de l'Esprit-Saint.
"^
^
prier.
tion.
spirituel.
nxieTAl^-TO^OpOC
® no>vJC 'f ®
^ providence.
® npoceic;x^ecee
®
® HJteVJULiLTJKOJt
avancer.
® npoCKTJlJJt adorer.
m
® njtevjuL^, njï^
de
npOKOnTJJI
® nponOJiS.
néanmoins, excepté.
® n7\v\^H
prêtre.
't' prison.
® npoceT;)(^H
®
pli
® npeTiî. ®
'f" erreur. "i"
m
IipecSTTepOC sacerdoce.
de village.
®
®
®
idem.
que.
®
tercesseur.
fidèle.
® n}\lJHl.
in-
juieT-npecSTTepoc "f
Pishtheh
® n7\^.nil
peçf-ep-npecSeTJJI
tentation.
Pissenti, n. propre.
nJCeJlTJOC
npecSeVJ Jt intercéder.
pte.
en chef. porte.
Pschati, ville
nomgrecPro-
de la Basse-Egy-
167
Vocabulaire bohairique.
peJtl- homme. Préfixe,
1 3
1,5
peJULJI^HT homme de cœur, courageux
p
2^ f. sing. affixe de la
page
;
peJUL^e
30, note.
p^
faire,
e p-peJUL^e devenir
se rendre
peu-
peJULp<î.KOi- alexandrin
peci- préfixe
^^.Ï3L^,0 riche
"f
richesse.
^, peu- nom
p^Jie-, p^Jt ^
plaire à,
289
eep<î.Jiiç[ JULn(rbjc au Seigneur
p^Jl^Çj Àlf^i^
;
;
qui
pn ^ soleil pHC ^ sud,
s'il
^ songe le
lendemain.
aux pieds de, pour.
p<î.jyj se réjouir.
^
—
pleurs, larmes.
porc, cochon. sans
Varticle
— ni
se remplir
bouche, piquer, dévorer
partie, 186.
se taire joie
déf.
bouche
.
p<X.<^<S.H>v Raphaël
pe-
pleurer.
JULi^-ptUii^
JULeTp<î.Ta| "^ bonté, man-
®
pjAlJ
HJ
quelle
?
po, pOÎ!^
bon
suétude
nom
.
de
p i"
pjp nj
pied, 54, 327.
Sud
cellule
J
JipiLC^ demain
piLT^
le
Haute-Egypte.
JipK':!"
h«X,cy
plaît à
lendemain, demain.
i)^Jp^.'Tll^
armant
JUL-<^-pH'f comme.
^Ccy^Jl-
manière
e-neq-piX-Cf
,
epHC vers le pH'^ <^ manière
Dieu
p^T^
de
pron.
et
d'agent, 139.
JULeTpiLJUL<J.O
p«X.COV J
const.
"j^peil- appeler.
PiX.KO't" Alexandrie.
p^C^
état
piî.Jl.
présent
plaît
libre
2t JJteppeJUL^e délivrance.
de la racine Jpj.
piJ.Sa5 = piX-OVOî
piX.il,
libre.
.
'"f'-pttJi**
po,
p/.
promettre.
pcUOY.
m porte.
la
Vocabulaire bohairique.
168
•^ ÀJin jpo fermer
la
pOT^ J
de.
porte.
ptWT
pOJUinJ i^ année.
planté
le soir, la nuit
pU5 soi-même, 72 voir
garder
veiller,
brû-
nj
pOK^
®
p«3JULiî.JtOC
JUiqCMJ qui
p^^T être
renversé,
jeté à terre
brûlure, chaleur
quai:
être
p«32S.Il renverser, jeter.
ler, faire brûler
—
pHT
renverser
quai.
pOK^^
p(MK^, peK^-,
quai.
pHT
ecf
;
ptîî^T
po.
pOî ^ bouche,
;
une chevelure abondante.
a
pcWJC
planter
p025.n être étendu,
quai.
abandonné.
être brûlé.
Romanus
® pOîJUieOC romain ® pcUJULH Rome pOîJULJ
c|^
C
homme
ep-ptMJUt J se
faire
homme
Al^J-pU3JULJ qui aime
hommes,
veillance
"f
bien-
Ci nj Ciî,
.
epoVOT,
quai, de
ê-
medi
ciSe,
soin,
dérivés,
soin, sollici-
f.
c^Sh,
sabbat, sa-
CiSev
pi.
adv. dehors 334.
CiJe
JUL
a soin
®
hors de.
beau
JULeT-C4S,je
^^ qui
28.
.
Ciî.S0^
tude.
1
p8.
140.
CiSo7\
avoir souci de
qj-pOîOTty nj
q«Î.J-pa30TU}
;
noms
préposition,
® C\>^JOCSabeHius.
soin.
.
5^,2^5,
prudent, sage.
tre dispos, allègre.
ÇjJ-^-ptUOTcy prendre
8
préfixe indiquant la profes-
sion,
JUieT-pWJULJ "f humanité.
^
des
côté
® C«X.SS^,TOn nj
hommes
pcuoVO)
affixe neutre,
C formant
JUL4X,CTe-ptt3JULJ qui hait les
pOîOTT
pron.
5
278.
les
bienveillant
JULeT-JUL«î.J-pa3JULJ
C
pron. affixe 3" fém. sing.
^
beauté.
C«Î.>\CUJULH Salomé
.
169
Vocabulaire bohairique.
® C^,HX^.'pi^, Samarie. ®
C«S.JUL«î-p
JTHC
Ciî,jULejt^e
et
C<î,2S:J parler,
se
C^pKJK
;
pa-
.
^
CÔCW nj
^TCSOî
OC^ OJl charnel
— nj
^0T0-Ciî.2S:J parole or-
gueilleuse
C<J,IlClja3J adi>. au-dessus, 534.
;
prétexte, cho-
role, discours,
samaritain
c^nejT^H
derrière, 328.
®
dire
science, doctrine;
ignorant
"i^cSaj
;
enseigner, instruire.
oi-Cl,pf
ce
s'incarner.
pron. affixe 3" pi. 233.
CeSTOîT^
CeSTe-, ®
C^TiJ.Jl4Î.C Satan
C^.TOT ^
.
sur le champ, à l'ins-
fermir
CiS.^eV,
pi.
écrivain,
cejfj^
cenj
scribe, maître
C^-^HT
plaider
CeilJTJ
en avant, 534.
C^ÇJ, JtCiî.q hier. Ciî.^,
ceill
au Nord, du côté du
C^-^OVJlà
l'intérieur,
dedans,
ordre ner
;
OVi^C<î.^JlJ ordon-
;
—n
J
^
cepSeitJ
lédiction
(
brûler
)
allumer du feu, ;
— ^l-
faire chauffer
faire
allumer sous,
temps
ni
COOJ
;
cyen-
éclair.
JtCHOV
;
tout temps
;
JIJ-
.
tyejicHqj
glaive.
COepTep ment
désert
•
aiguillon, épine.
CHnj = cenj. CHqj ni glaive
—
.
Ci^pe Aj,^
Ci^'f
ma-
épine
CeTeSpHSS: nj
coup de
précepte
C«X.^OVJ maudire; — HJ
®
;
s'af-
ÏIJ le reste, les autres
SeJl en
nj broche
;
fondement
'i" base,
CHOV nJ C^^JIJ commander, ordonner
affermir
établir, .
cepSeJtJ
N-ord
C^^
peq-CeJULJ
;
accusateur.
tant, 326.
C^T^H
voir
coS't.
trembler.
tremblement,
grince-
.
IIJ
odeur.
ceoj-Jiovqj, cbt-jiotÇJJ
nj
encens.
170
CJ
Vocabulaire bohairique.
être rassasié;
—
dance, saturation
®
ep-CllOT
ITJ abon-
CJJULCWXt Simon.
se faire
CJULOV
bénir.
—
bénédiction.
nj
CJJf J, cejt-^ franchir, passer,
CJl4Î.Tdeux, 184.
—
CJtHOT
eSo?\
quitter,
s'éloigner
pi.
tel.
COJI,
de
frères,
sœurs.
de.
CJJICWOTJ
voir
CJlOTi" deux,
COJtJ.
fém.
CJOTp IIJ eunuque. CJn Sip, localité en B.-E.
cnoq nj COSt nj
©CJOîJlSion.
coSi", ceSTe-, ceSTWTi^
CJCUOTT
Assiout.
— eSo^
;
jeter, se-
jeter,
dissé-
—
préparation, biens.
COOJUL^
COK nj
P9.
côté,
® CKen<3,ÇJJl
couvrir,
proté-
voir
quai.
CKeTOC nj vase, meuble. ® CKonoc nj but. CKOpKep, CKepxep- rou-
CCMTeJUL. trait, flèche.
sac.
CO^Ce^
ger.
®
orner; consoler.
ceTvCOî^
être orné,
consolé.
— —
nj ornement, eSo7\
consolation.
être orné.
COJULC regarder, considérer.
ler.
® CKpjSOJJI nj messager. CJULiî,p(MOVT
quai, de
CJULOV,
CJtli^ nj
^
grappe.
CAIOT
mode,
re, dessein.
figure,
pi
cjiHOV,
jij,
pi cjjicuovj,
voleur. six.
COJfJ^ ni
con ni
être durable.
IIJ
JtJ,
frère.
COOY
voix.
<ÎJ-CJULH écouter.
CfXOSlT
con nj cojij nj
être béni.
CJULH
nj
COejieçf nj
miner
CKeJI
muraille.
préparer, fortifier.
Cli", ceT-, C^,T^
mer
sang.
maniè-
résine,
gomme.
fois.
JI-Ke-COn une nouveau
;
autre fois, de
^ JO-V-COn en une
f
171
Vocabulaire bohairique.
fois,
COT-
® CTO>^H
ensemble. préfixe indiquant
le
quan-
premier du mois,
le
® CTp4Î.T^
® CTp^TH>\«Î.THC
eovejl-
et.
COVO nj
const. de
CttîOTJT.
froment.
COTTeJl-, COVTtUn
voir CtU-
COVtUJt ^
®
® CTJtiî,r«3I^H
'f"
devenir insensé
à réalise pour une cérémonie
JULeTC02S:
;
® CTJtueJIHC nj
parent.
® CTJt2^0JLlJ<î. "f
concision.
® CTJtK«î.ee2ipOC nJ
délibérer, choisir.
délibération,
conseil,
permission.
® CneKCwT^^TOîp ni bour-
rate.
^
libation, sacri-
CVpj^
"t
être d'accord.
Syrie.
Cf^jp nJ
côté.
Cc^OTOV
JIJ lèvres, rives.
—
vaincre, l'emporter
® C^p^^UJC "f
CT^KTH
sceller.
JULJULO ^ se signer.
sceau.
Cc^p^Jlcy nj magicien.
sur.
huile parfumée
CT^VpoC ni
® CTiî-VptUJlJJl
C^<î,J
labourer.
® C^CîiOJl presque.
de myrrhe.
®
® CTJl<^OJtJJI
diligence.
cnoTÎLH "^
cpoJCJT e
^ synode.
® C^p^UJ^JJt
fice.
séna-
teur.
®
reau.
® CÏI0J12S.H
® CVJlK>\HTJKOC nj
® CTJ102S.0C
Cn>\Hn nj
asses-
seur.
sottise, folie.
®
assemblée.
religieuse.
;
®
colonne. être d'accord.
sagesse.
CO^J IIJ châtiment. C02: n J insensé epcoZ: être,
®
CTV^OC nj
® CVJUL^OitJJl
pron. de CtUOVXl.
et.
® CO^Jiî. "^
nj
gé-
® CTn^.^5C "^ synaxe, réunion
OTTejt.
—
nj
néral.
189.
CO(^J
'j^ voie, sentier.
® CTp^TeVlliî, nj armée.
tième du mois, i88.
COV^J
'j^ habit.
croix. crucifier.
c^eT^on exoc presque
dit.
on eût
Vocabulaire bohairique.
172
ctwovTejt, covTexi-, covTOJJlc' étendre, offrir; s'é-
ne.
CO), ce-, CO;î^
boire;
—
RJ
tendre.
—
festin.
^T-C(M
qui ne boit pas.
CttîSj
^eJt OVCÇMOVTen
moquer
de.
quai.
coup
CCMJT ni renommée. CCMK, CeK-, COK** dre, entraîner
verner
;
;
tirer,
ten-
conduire, gou-
—
aller
eSoTv idem
se répandre.
;
séduire, ins'égarer.
;
® CCUpOîH Soron.
écouter.
arra-
4Î.TCa5TeJUL rebelle.
cher.
eSoX
déchirer, arracher,
CtUTCp
couper. ;
^l.-CW-
déposer son corps, mou-
2: JJl,X)iî,C«3JULi mort.
COîJlJ
créer.
création, créature.
COJl^
CtUTHp nj
sauveur.
® Ca5THpj;Xl^^
Sotérique,
propre.
COTIlj
COJl^^
— lier,
être enchaîné
;
élu, choisi, excel-
lent.
COJOVJl, COTejl-, COTOJJl connaître, savoir.
verser.
Ca5(;[ souiller, souillure.
COJZin, Cestn-, C02î:n!^
JUL<î,JlCa3Jl^ prison. ;>
quai.
choisir.
nj
COJTÇf répandre,
enchaîner.
quai
se tor-
COÎTR, CCTH-, COTn#*,
—
CCUJl^, Cejl^-,
®
n.
^ sœur.
C«5J1T
nj
se retourner,
dre.
® CU3M.^, nj corps
;
être droit.
COîTeJUL, COeJUL ^ entendre,
CÇM>^n, Ce^n-, CO>\n ^
rir
avec
distribuer, répandre.
duire en erreur
devant, pré-
céder.
lli
COTTCMit
CÇUpeil tromper,
aller, passer.
^i2S.eJl
—
;
droiture.
rire.
JULJllO ^ se
—
étendre
tendre,
s'étendre.
h<î.TCa5 sans boire.
—
eSoT^
ser,
mettre,
COXn
rester
être restant.
;
lais-
quai.
173
Vocabulaire bohaii'ique.
—
nj
—
reste, postérité.
CCMi^, CeT-, COTi^ sauver,
sauveur,
peçf-CÇM'f'
ré-
310;
misérable,
T^>\e-, T^î\0 ^
Tiî,>\0,
faut,
est nécessaire,
il
neTCWje
ce qui con-
réfl. il
est
monter
C^^J, C^e-,
C^HT^
écri-
iî-Cf
;
T^7\H0TT
nj
quai.
C^JJULJ
c£)HOVT 'j"
guérir.
lettre, écriture.
être écrit.
être pla-
cé, monté sur.
Ti.7\(^, Ti,7\(^e-,
re.
T^>\OÇ[,
monté
quai
vient.
—
le-
ver, porter, placer sur.
dempteur. il
perte, perdition.
malheureux
racheter.
caje
nj
® T^,>\encwpoc
—
T^X(^^
TIJ guérison.
® TiLJUL^CKOC Damas
® TiJULJOJl nj chambre.
femme.
T^JULO^
T^lie-,
T^JULO,
informer de, instruire de, in-
diquer à
T dentale,
6
—
se
change en O,
T article fém. sing. 41 T pron. affixe i" pers.
vivificateur.
® T^^JCTJ" ordre, degré.
.
du sing.
T^OVO, T^OVe-, T^OTO ^ produire, proférer, réciter, a-
58.
T^SeJlJÏHCJ
en
Tabenne,
ici
jouter, joindre,
—
H.-E. ;
eSO>\
respecter;
présent;
quai.
—
IIJ
don,
TiJHOVT
être honoré, être précieux
.
TiJ.KO, T<5.Ke-, TiS.KO ^ perdre, détruire
envoyer
e^pHJ
® Tiî.p<5.X** "^
T*Î,J d'ici
T<S.JO, Ti5.je-, T<î.JOi^ honorer,
vivifier.
peçjT^Jl^O
23,24.
TiJ.J
Tl,S\^0
T^pKO TiS-ceo,
renverser. trouble
adjurer.
Ticee-, t^s-coo^
rappeler,
ramener,
revenir
remettre, rapporter. réjh revenir
2tJJlTéX.ceO
ïl
retour.
;
174
Vocabulaire bohairique.
TiTCJ
THpq n
"f" vestige.
Ti5,^0C nj tombeau
® TJJULH empêcher,
T^^O, prendre,
T^^O*»
saisir, atteindre, pla-
cer.
ep^T^ stituer, placer,
-j"
entier
tout à
établir,
villa-
ge.
habitant d'Ed-
kou.
con-
ériger, confir-
fait.
honneur, prix
TKCMOV Edkou peilTKOîOV
TOJ
mer.
de "f, être donné,
quai,
être mis
^
TiS.^T nj plomb.
TOJ
TiZpO, T4Î.2S:pe-, T^ZipO*»
® T0'h9X^.n
—
nj
fermeté, vérité
quai TiS-Z-pHOTT être
Jij,
af-
TOJULT pour TOîiiLT
TeSncM-
poisson
Tejl-
TOîOYJt
voir
Te Jteotîji ^ TeJl^ n J
voir
matin;
TOnOC ni tuaire
eojiTen
TOT^
croi-
benthine
JITOT^
Te^nw. "t art. thS nj doigt. *»
voir
aux mains
de.
^ JTOT
;**
s'arrêter, cesser.
commencer,
entre-
prendre, se lancer, se jeter
•
®
THlif
résine téré-
sanc-
main.
;X)^TOT<>
re.
lieu, topos,
.
JtTejl-,
aile
® TepeSjJtejC
le
matin
®
TeJt^OVT, Ten^eT-,
itTOOTJ
® TOn<S.p;)ÇHC gouverneur
OVJ^ bête de somme.
TeST n J
avoir l'au-
® TOT^JULHpojt audacieux
TOOVJ pi.
oser,
.
fermi, consolidé
TeSjiH nj
partie, part.
dace de
affermir, consolider, fortifier.
THp
monde
TJJULH nj pour i^JULH
retenir.
T^L^e-,
le
enTHpçf du tout,
i".
tout, 70.
^TOT#'
aider.
® TOTe alors. totS i, TOvSe-, tovSo ^ purifier, sanctifier
;
être sanc-
175
Vocabulaire bohairique.
tifîé.
se leva.
—
nj
quai.
— è^ porter; supporter;
pureté.
TOTShOVT
être pu-
soutenir
TOTJIOC, TOVnOC-, TOVJtOC f
il
iS.ÇjTOTJlOCÇf
réfl.
;
TOîOVJtOT
impér.
T^eAlKO
est ressuscité
torturer,
ter, causatif
TOV^O, TOT^e-, TOV^O ^
T^eJULCO
ajouter.
;
tourmen-
de JtlK<î.^
faire asseoir, instal-
de ^eJULCJ.
ler, caus.
TOVZlO, TOTZe-; TOVStO
217
levez-
vous.
exciter, res-
susciter,
susciter
= TOîOTJI,
TOÎOTJIOT
innocenté
rifié, sanctifié,
(^
guérir, sauver.
peçfTOT2S.O sauveur, taire
salu-
^ aspirée de n, 2^, 24. ^ article masc. sing. 41. ^^ pronom possessif m. siag.Qô.
.
®
Tpj^C
®
Tpo^H
TC^So
'f
trinité
"j^
.
nourriture
.
TCO, TCe-, TCO ^
peçfTCO
arroser.
qui arrose, jardi-
T^o, T^e-, T^o^ eSoT^ accompagner (un
c^4Î.a!-JUL0V à moitié mort,
^e,
mois copte.
pi.
philtre.
^HOTJ,
<^e^
TUîS^
<^H pron: dém: m.
TtMJULT
^H
être stupéfait
®
TttîOV nj montagne.
TCMOTn,
TeJl-, TOJJl
réjl se lever;
(^
lever,
.S.Ç|TajJlÇJ
il
voir
e,
^H
"^
sing. 95.
CT, f^H eTC,
^eOJlHpJi
<^J
"i" ciel.
^O^.
® T«5S J4S.C Tobie prier, prière
mé-
dicament.
^<î-^pj nj 5'
92
^a.T "f pied ^l.^i "i" moitié
partant); re-
.
TCUSj Tobi;
sing.
^iJ-p^Oî Pharaon
nier.
conduire
pronom dém. m.
<$<X.J
instruire
i" envie.
baiser-
"^f^J e, epcu*= baiser.
97.
Vocabulaire bohairique.
176
^jpj,
f^Opj,
quai.
eS0>\
§030)
fleurir
^JCJ
nj
^OSOC nj jyiL^OOV
® ^opjJI
§i^
aujourd'hui
river à
être revêtu
mûrir;
;
parvenir, ar-
<$0^ 6
verser, quai.
coupe
—
®
^OJl
X^-P«5
être versé,
courager, voir
^opK^
ar-
X^e^C
racher, être arraché
eSoA
seul et avec lapis,
c^opçy^,
^epo)-,
^ojpo),
ce
X.^^ ^^
quai.
Cabasa,
4Î.ÇJc^a5T
m.q
habitant de
;
—n
J rafraî-
Xepe,
pi
XepeTe,
sa-
lut!
séparer.
^HT,
m
chissement.
®
quai.
/oca///^
Cabasa.
être répandu,
étendu.
i!^.
tronc.
X^OS rafraîchir <^opcy
po.
relâcher, se dé-
TOT
peilXSe^C
pour dor-
mir.
x'oir
Basse-Egypte.
étendre un
qu'il faut
noir.
accorder.
se taire,
X«î--T"OT ^ se
eSo7\ idem
frein.
X^^«.
X^pJ^GCee **
JULiî.h-
de ténèbres.
X^^"^^*^^ "J
^On^ répandre,
^tupK, <^epK-,
lieu
X*î.Aie, fém.
renversé, retourné.
^CUpZ:
X^^Ki ®
^0311, ^ejt-,
K, 25, 24.
;X^^KJ nj ténèbres;
parve-
nir à.
T
aspirée ie
X^-^X^^^oirX^-
fosse.
^^^,
® ^V<î.>\H
^«5T,
X ^
^
= §-JlOT^ Dieu.
jusqu'à ce jour
porter,
'î"'^^-
déchirer; quai.
être déchiré.
•
de.
® ^OCCiî.
§e^-
§0325: J diviser, éclater en deux.
crainte.
^OOV, Jtl^OOT
*^^8>
^ni)
cuisson, bête qu'on
immole pour Talimentation
©
diviser.
«^05^,
faire cuire.
—
fui.
s'enfuir. il
s'est en-
X^T, 116.
fém.
X^i",
autre,
177
Vocabulaire bohairique.
X"
XPf
de
qii^l-
être placé,
X«5^eJUL
Aeil
se trouver.
XHllJ
Egypte
;peAlhXK-
JtlJ Egyptien.
®
X^P^ "f
X,^^^ ^^ ;)(3>^*î.ÇfT
^7\0 nj
lichen, venin,
poi-
X^P*^
"t" contrée.
®
X^P^^
sans, Jjo.
"^ pour ne,
®
nj
chanter.
® i^iS.>vTHpjOJt nJ
® T^T^OC
farine.
employer,
XP^^^^'
'»|r4Î.7\JJt
5.
® T^iS-^vllOC nj psaume.
couronne.
se
®
T^V^H X**
servir de.
®
®
i" toque, bonnet.
® ;X^0JI2^pjTHC
®
^
^PXP^*''
® XP^^"^^^ ^ nj rivage.
sans âme, immobile.
UJ
chrétien.
C3 voyelle longue, 9.
— — formant des
ge en O,
Christ.
XPO
47.
XP«5J^ nj feu. 't^p^StX mettre
vés, 126.
X^^
le feu.
placer,
W fém.
de
17.
O
eSoTs renvoyer,
par-
remettre, mettre en
U5JK
—
se
chan-
interjection,
noms
déri-
grand, iji.
(«Scy oublier;
ep-n-tuSty
laisser.
donner,
«X-T-^j^V-
;
avoir besoin.
® XpiCTil.n0C
X«5' X^-'
psautier.
élection.
i^ âme
XP**^*^ ^^ richesse. XP^*^ "l" utilité, besoin.
—
hx,^'
;
vite.
collier.
Xm.V nj gerbe. ®
rapidement,
veuve.
son.
;)(^X0JUL
se hâter
—
HJ
oubli;
oublier.
ÏIJ pain.
(MKeJUL,
«jua/.
OKeJtl, être
tris-
te.
liberté.
— — pardon. — e^pHJ déposer. — JlCi abandonner. ITJ
CuX comme U5AJ. CU^J, eA-, porter.
12
0Î^<«* ôter, enlever,
178
Vocabulaii'e bohairique.
—
eSO^
emporter, en-
traîner, enlever.
^P^'
CWT^K, quai. 0?\K, contracter.
OllCï? plonger,
bapti-
ser.
—
lïJ
baptême.
recevoir le baptême.
^CWJULC
baptiser.
WJtJ nj
^JCîJnJ
jeter
des pierres.
—
nj
«5cy,
ett)-,
— —
OOJ^
eSo^
lire,
vouer,
crier.
enojCMJ
crier.
quai OjyZ:,
Ojcyi^ eS0>^ «JÇfJ, ecf-,
OJJl^, quai. OJI^,
OJOT nj
moissonner, moisson.
enduire,
couvrir de.
Héliopolis. pierre,
tarder.
CUC^
tUtyx,
peçfi^OîJULC Baptiste.
On,
^Pî ^ e^OVJï
^P'î"'
promettre.
MCMllC
«Jit
JtJlOVSS: parjure.
enfermer, restreindre.
OSCK
OJJULK avaler. aJJULC,
peqwpK
tirer hors.
oq^
presser.
vivre.
W
vie.
gloire.
(TÎCWOV être •^ttJOV
jy pouvoir, 257.
glorifié.
glorifier,
honorer.
ttJOV JIJ<J.T^ g
heureux
!
voir J<S.T
CMOV Jt^HT CUn, en-,
compter, répu-
cy<S.pe- priserai d'habitu-
de, 239. ty«î.-,
«^.
patienter.
on^
tt|,X.«^,
cy^po^
cy^j-j
nj
epcy^LJ célébrer,
ter.
nj
a)4Î.J
® OjpjreJlHC Origène.
cy<î.Jt par/,
i^wpK
JULAIOJ
JULJULJJl JULJULOJ je le jure par
CWpK JIJIOVZ serment.
ty^n
fêter.
nez. tfu
conditionnel,
JULJULOJI
faire
un faux
si
;
ou non.
jyiJ.Jl4Î--^eHÇf miséricordieux.
JULeTa|<5,Jt^^eHq
moi-même.
vers,
fête.
(UIIT charger.
ttîpK jurer;
jusqu'à,
320.
^ mi-
séricorde.
cy^ JieJULi^T miséricordieux.
179
Vocabulaire bohairique.
çye
bois.
tyeSjcu,
miséricorde. cy^X-ilTe-,
nj
^^.nT^
jusqu'à ce
changer, être différent.
cyeeJtOTqj
que, pour que, 251.
OjeîveT'i^ JlOVtyjî»
nourrir
Oj^pj
nourrir,
élever; se
— IIJ entretien.
;
jus-
cyeituosov
pi.
JULeTÇyeJULJULO "f
é-
exil.
te à.
—
qu'à.
ty^LT nj distance.
nj
utilité
;
epa|iX.V mé-
tyeJI-JUL«J.V
cf.
h^S.-
cyejtc
e- obtenir.
ty<X.Ç[e désert; Jlcy<J.qe désert,
flamme, feu, inflam-
nJ
bâton, canne.
épine.
avoir pitié.
peqcyejl^HT
;
cycye pouvoir
cye
Jt
cye
e^OYJt
s*
s'en aller. entrer.
—
IIJ action
cyepj i^
tye par par/, is serment.
Sye cent.
Un.
miséricor-
cyen-^JULOT rendre
-j^ gosier.
aller
nj
cyejtcepSejiJ
dieux.
mation.
ttlScWT
même
Schenouda.
Ujeil-^HT
abandonné.
cyStoSj
la
^JCyeJlftOTqj annoncer.
cyeJlOT^
jyj.
ty^^ nj
de
né
mère.
nj amertume,
ttJiX.ajJlJ
culte, service, of-
cyeJt-JlOVqj bonne nouvelle.
TIJ blessure, coup.
U}<S.a|J
nj
fice.
riter, être utile.
tye
noce.
tyeJLicyj servir, rendre un cul-
cy^Teit- jusqu'à ce que,
cy^cy
ni
tranger.
ce que,
251.
a)l.r
H.-E.
localité en.
fiancée.
jti<x.hcye>\eT çyeJULJULO
frapper, avec G-.
tt)<X.Te-, tt|<X.T^ jusqu'à
tyeSjHOVT,
^z^a/.
aller.
tyepcyj
grâces.
de grôces.
fille.
se
moquer de, moque-
rie.
cyHJUL être
petit, ténu, gracile.
cyHOV, quai de
SyJ*X.J,
être
180
Vocabulaire bohairique.
iieT^TCyjnj
long.
cyHOTJ i^ autel. OjHn quai de cyojn, rendu
cyHpj nj
i^tyjnj confondre. être reçu,
^AlOT.
voir
;
fils,
^
2:1 J"^
exiger, réclamer, faire le
négoce.
cy7\H7\
enfant.
JULeTOjHpj
nJ
^T^.o'h
cyeHXl
cyJULJJUL
manteau.
ajeOJUL nj vestibule.
cyeopTep se troubler quai,
cyo
troubler, trembler, ;
—
IIJ
tyeepeojp
trouble
;
être trou-
SyJT ^ mesurer.
—
nj
cyj^J
mesure.
croître, s'allonger.
cyjS^,
tyeST-,
cyoST^
changer.
tyjH
"j^
cyjHT
a)en^
interro-
nj
nouvelle.
cyOll
être maigre.
premier
^.Ç[eptyopn
CCUTn
il
a déjà choisi; JI-
cyopn
d'abord, en premier
auparavant
cyopcyep,
le
;
JI-
JC2S.eJt
début; Jicyopn
avant que.
ojepcyoîp*'
dé-
truire, renverser, chasser
d'un
saluer.
a)OV-, préfixe signifiant digne de, 141.
ZJJljyjJtJ interrogation.
cyoVO
avoir honte.
nJ
epajopn
;
précéder;
tyOTJT
—
trois.
cyopn
ÇJiJtyjJlJ messager.
cyjnj
crain-
siège.
JlCi chercher. e apprendre,
hésiter,
dre.
Ain^Te-
ger.
— — —
h^HT
^O'K^
cyopn dès
Scété.
çyjJtJ, cyeJI-,
nation.
mille.
lieu,
longueur.
prier.
Akhmim.
OjOJULT
blé, tremblant.
îyj, Sy J-,
prier, prière.
hiS.TCi!^H?\sans
filiation.
cye^JUL fermer. "j^
'f'impudence.
honte, confusion.
iTOIJIlJ impudent.
être vain, vide.
vider, verser, évacuer.
UJOVOJOV
JU.JULO ^ se glorifier,
se vanter; iCf cyOVCyOV JUL-
Aïoq
il
s'est glorifié
;
— nj
"Vocabulaire bohairique.
gloire, jactance.
tyoVcyT nj cyOttJT
prendre, acheter.
fenêtre, niche.
clé.
cypCMJC ni
tywjpn
cyTeKOJOT nj
pi.
négation de Vinftniiif,
du cond.
du
et
bête,
cyTHOTT
camper, quai.
être
couché.
cyTtMpj
commerce.
merce.
immoler,
—
cy^T ^
couper,
sacrifier.
eSo^
retrancher, ex-
communier.
n
cyCMT manquer
garant.
ep-n-tyTOjpj
garantir.
cyi^Hp nj compagnon. ttj^Hpj '^
merveille, miracle.
epty^Hpj
s'étonner, ad-
mirer.
^^^ mépriser
de. ;
mépris.
-j^çyojcy humilier.
cyOJtyT empêcher. cyoîcyçf quai, cyocycf mépriser. ,
,
tycucj dévaster, être dévasté.
hcy^Hpj cy^JT nj
merveilleux.
reproche.
nj
cycyojOT
çyo>\^
nj
forêt.
désir.
(TjcycyOîOV désirer.
héros. pilier.
dépouilles, pillage.
cyOJJlJ être malade.
ZJJiajOînj lU maladie. cyOJOVCyj ni
cytyHJt nj^rbre. Jiî-^cycyHji
sable.
nj
cy(u>\, tyeîv-,
—
marchand.
;
faire le
cycUT, cyeT-,
suhj. 256.
accroupir une
faire
nj
epcyCMT
JtieTOjaJT 'f négoce, com-
cyTeil
tt}tt3
le matin.
ÇycUT négocier
veiller.
prison.
cy«3J2t
cyon, devenir,
gua/.
JUL<S,htya5nj demeure.
clé.
veille.
OJ hcypOîJC
«ITO
cyttJnj,
advenir, être, habiter.
hiî,TCyOÇyT sans
ojTeKO
181
sacrifice.
JUL<S.hepcyCUOTttJJ autel.
tycwn, tyeu-, tyon ^ recevoir,
—
nj
cyze nj nJ
désir ardent. pi.
tyZHOV
sau-
terelle.
cy2teJUL2S.O.a pouvoir, 257.
— Çyzoïl
jyoup
nj
puissance.
force, pouvoir, 257.
naviguer, voguçr,
182
Vocabulaire bohairique.
tyt^Vp nj
i)^,BOTW ^
anneau.
^^Je,
q
^^JH,
/:
^^p^T
«*
^^p«5*? qpron. ÇJ
3" m. sg. 58.
aff.
Ç[^J, qs-, ÇfJT** ver
•
jy^^ J
—
1
27.
porter,
le-
epo
^^TOT^
if
se conte-
réfl.
JULneqcyq^j epo^f
il
è^T^H, ^*LT^ gH £)
JuLn<î,Te avant que.
^^XCW^
^e7^- personne,
^eX>^0
nir.
^e>v?^OJ
p/.
ep^e}^ 7^0
tomber.
vieux,
qOîJ nj chevelure. qcwi^, ÇjeT-,
vieillir.
JULeT^e>\>vO
quatre.
;
131.
vieillard, ancien.
vers.
—
devant,
^ manière.
^e
— ^^ supporter, soute-
effacer
devant,
ne
put se contenir.
qTWOV
sous,
526.
à,
^iS.2S:ejl-,
qopç|ep
aux pieds de, pour.
pouvoir porter,
nir.
qeslT
près de,
dernier.
devant.
^iJ.TeJl-,
formant des noms dérivés,
près de.
^
vieilles-
se.
qOT^ eSo^
^eT^XoJ "^
essuyer,
vieille
femme,
détruire
^eTvtyjpj ni
entièrement, exterminer.
jeune homme,
131,7-
^euc ^eJt
—
t)^-, ^<î.po^ sous, pi.
^^ particule d'apposition, ^^e dernier. ep^^e manquer,
être privé
k la fin.
épi.
dans, en,
fli'^c le
à,
322.
substantif verbal, 269.
£)eJtT
voir
^HJSj
^
^CUJIT. ombre; JI^HJSj
ombreux.
^HT
de.
en^<x,e
155.
nj
nord.
C^^HT
au nord.
Vocabulaire bohairique.
^HT^
eS0>\ ^i-
milieu, intérieur.
^OCJ,
quai.
^i A^J
nj
souffrance, fatigue,
i^-^JCJ frotter
^^JULJt^J
infatigable.
Çyen-^JCJ
^^Jl
faire souffrir ;
vieillir, s'user.
cri,
èeJlT
^OJTeS
—
le matin.
clameur.
armer, seller,
6eK-JUL<î,T0J
s'approcher.
;
"f^^n
;
peqt-^^n
^^p^
apa quoi
® ^^.pM.^, ^<S.T
?
quai
nj
^ShOVJ
part, d'in-
apjjia itJ char.
argeflf,
pièce
voir
d'ar-
^CMS.
^SOC, pi ^SOJC, nj ^SCUJI nJ
disette,
habit.
pour
^e-
ÔCMJI.
tuer.
immolation, sacri-
^eSj ni ®
fice.
charme.
geSpeoC
hébreux.
^eSCOJ "f vêtement, ^tuSc couvrir.
^ej ^^- préfixe, 142. ^i-, ^l.po^ prép.
juge.
gent.
£)«î,-
être près.
IIJ
nj jugement
terrogation.
p<î.T ^ lever des soldats pour.
^OJJIT
^<J.il^TOOVJ
®
fils.
pi des, 45.
le soir.
juger
t)WK, ^eK-, ^OK^, quai
^HK, ceindre,
ari/c/e indéf.
^<î.Jï«LpOT^J
violence.
JÏJ enfants,
^pOJOT nj
JtlJliJ.
ici, i>oir
^,iî.Jl^JULepj midi, 142.
g<S.n
ture, aliment, vivres.
^pecyj "f
;
oi-
souffrir.
^OT^eT rechercher, scruter. ^pe ^ pi. ^pHOVJ nourri-
tondre
^^.}\^.^,
pi.
seau.
iT^JCJ
^po^
séduire,
voler, s'envoler.
^l.}\RT,
douleur.
^J^
de.
ep^iS.X
tromper.
souffrir, se
fatiguer-
—
—
^iX
Xt^HTii^ dans, parmi. £)JCJ,
183
tomber;
—
® ^e>v>\HJtOC vers,
pj.
nj
de
la rac.
chute.
eXXY)voç hellè-
ne, hellénisant, païen
;
AlBT-
184
Vocabulaire bohairique.
^e?^>\HnOC '^ ® ^eT^OC
eXo;
® ^HUeAlCMJl
paganisme.
marais, forêt,
%S[i,{6v higou-
mène, président, chef, supérieur.
vallée.
® ^eT^njC
èXtcCç "-f
ep^eT^nJC
espoir
rac.
^>\025:
ep^eXze être doux
;
m douceur
^eJtlJ- ep^eJULJ
diriger,
pauvre.
nj
pau-
profit, utilité.
^^HOV servir,
ad-
^Hn
s'asseoir, rester, habi-
misère,
vreté.
^HOV
ministrer.
^eilCJ
déjà.
JUieT^HKJ
;
Z: JJl-
^M
® ^H2^.H
^HKJ
espérer.
^e^2S:e doux,
ep^eT^xe
;
être utile.
^«5n.
voir
^Hnne, ^Hnnn
voici que,
ter.
^eJUL^eil ^eJULÎS.
nj
^HT,
rugir.
^en
eSO>^
<S.T-^HT
s'éloigner;
de.
devenir
in-
sensé.
abondance,
<^CJ-^HT
fer-
atpe
'j^
héré-
^epeTJKOC
cdpt'uiy.ôç
hé-
s'apaiser, se calmer, ces-
ser.
"^
^00 ^J
rétique.
face,
poir
composés,
voir
nj
deuil
être en deuil.
;
ep^Hgj
g HT.
cheval,
pi gOOîp.
conjonction, jj6.
^J- ^JOJT**
sur, 324.
^je
^JHOT,
nj,
pi.
gouver-
nail.
^JHS ni ^hSj nj
or-
gueil.
^OH^
sie.
^epj
orgueilleux.
lieT-(^CJ-^HT "f
^epecJC
^H
insensé.
ep-<S.T-^HT
tilité.
®
cœur.
faire attention, réfléchir.
^l.- s'approcher
e-,
^eJlOVqj nj ®
n
vinaigre.
^eJt«* se mouvoir dans un sens;
^eJIs*
^eH^s»
® ^JKCMiï ® ^JJÏiJ.
agneau. eîx(6v «j^ image.
tva afin que.
185
Vocabulaire bohairique.
^JJlJll s'endormir; sommeil.
^JOJ nj
interroger, discuter
:
^ JCUT ^
—
^J25:en-, ^12:03^ sur, 325.
^KO, quai. g,OKep,
discussion.
^JOJULJ
—
de C^JJtJLJ, fem-
pi.
^J-,
^JT^
jijSeji
e
ser
;
frapper
;
— eSo7\
chas-
mépriser, détester
^jpen-
devant,
® ^jpKJlH
à,
^
gJT^ wirgJOTJ. ^JTejl-, ^STOT^ de,
^IT0T<^
^J-T-^H StX
paix
;
^ AJ
douceur. "
grâce.
accorder.
ces soient rendues à Dieu
^O nj face^ ^OKep quai,
de
^KO
grâ!
avoir
faim. par, par le
^o7\J i^ teigne. ® ^o^oc sXoç
— ep^o>^oc
p6.
TOT^^.
verbe, voir
en avant
^JT^H
;
devenir désert.
® ^OJULHpOC
Homè-
ô[XY)pOi;
re.
^J^.î,^OT en
arrière
;
— Àl
® ^0110?\0UJJl
ôixoXoyetv
confesser, avouer.
derrière.
au
loin,
de
^JCUJCy proclamer,
^^OJl
loin.
crier,
an-
nj
prêtre.
^^OJlgeJI,
® ^on?\OJl
cateur.
quai de ^CJ, être
soumis, être débiteur.
^^eJIp^fUJl
s"
or-
donner, recommander.
noncer; peq^^JOJjai prédi-
^JOJOTT
;
n^JULOT Àl^'f «JHn
devant.
^J^OTeJ
nj
ep^JULOT
fique.
moyen
—
près de.
ep^jpHJtH être paisible. ® ^JpHJtJKOC eipY]vix6ç paci-
quel-
;
tout.
^JULOT nj
eîpYJvY)
rien
doux, être doux.
;
ÏIJ mépris.
;
^>\02t, quai ^oT^Zi, devenir
— e n^^n condamner.
^J-n-^0
—
personne,
qu'un, quelque chose
Jeter, lan-
cer.
—
avoir faim
IIJ faim, famine.
^7m
mes.
^JOVJ,
^ J-.
voir
Ô7u>ov
ni
^op^^Ui
^pajjia
ni
® gop<5,CIC
6pa(7i;
"f
®
arme. vision. vision.
Vocabulaire bohairique.
186
® ^opiiec ôppç nj ®
^opoc
nj
ôpoç
port.
sujet.
limite, défi-
® ^VnOJHejtJJlÔTCOjXBveiv tienter, supporter.
nition.
^opty
pa-
® ^OCOJI
® ^TnOJtlJïHJULiî.
epocy.
voir
offov
nj
dès
tant que,
Ô7c6[XVY)tJ.a
souvenir.
lors que.
® ^OT^Jt ÔTav quand,
®
que.
^OTe gOTO n ®
ÔT£ quand, lorsque. le plus,
dignité,
1
;
h^OVO
excès, surplus.
^
affliction.
crainte.
ep^oi^ ^<S.T^H craindre. peser
poids,
quai
= x?^^ apte
à,
gwa/.
ïJTcap
nj
® ^TllOeeCJC
67u69e(7i;
^
vague.
gH>^,
aller.
s'en aller.
eSoTv
ravir, en-
enlever, voler.
6'Xw; en tout.
^CWJULJ fouler aux pieds, marsur.
être mal,
mauvais, être
pire.
^OJOVJ
JIJ biens, richesses.
tra-
lever.
^(WOV
foie.
® ^TU«S.p;)(^OJlT^ ÔTcàpxovra
ouvrier,
^ÇU?\eJUL, goT^JUL*»
cher
à.
® gTn«î,p
^03 >\,
® ^ÇmT^OC
Ixavo-
flot,
torturer.
—
être lourd, terrible.
® ^TK<î,JlOC propre
;
nj
gCUKJ
ep^OîTs
Jtgp'j^ horrible.
toute chose.
travailler.
vailleur.
^OîJJULJ
nj
^ptuix
^OîS JlJSen
peJULJI^OîS
serpent.
—
devenir égal.
aussi, 68.
ep^CUS
plus, davantage.
affliger.
^opcy
^05
;^
égal.
chose, 131.
davantage.
g02:^e2t, quai ^€25:^032:,
^pocy
^VCOC t(TOç ep^VCOC
gCUS pi gSHOVJ nj œuvre,
JUieT^OTO ^OÇf nj
majorité
la
19.
enj^OYO
^O'^
'f hypostase.
lors-
jeté.
gua/. de
^JOVJ,
être
Vocabulaire bohairique.
^CMOTT mâle, homme. ^CWn, ^On^, quai. ^HH,
25.<S.Çf
ca-
cher.
gtupn
mouiller, humecter. 6iç
comme
}jo.
si,
25:6
® ^0502^6, ^OJCTe
&
de
JULeT2S:«î,-
nj
-j-
KàJT,
charbon.
alors
même que,
341.
25:eJUL-n-tyjJïJ visiter voir 25JJULJ et cyjJtJ.
sorte que.
— ep^CUT naviguer.
^OîTn e^OTJl
25.eil.-25:OJUL
enfermer, ca-
cher.
devenir
pouvoir,
puissant, être puissant
;
—6
prévaloir
gOîTIÏ
25:eJtec^tMp
se coucher (astre).
JULiJt^OîTn «jwa/.
il
occident.
^Hcy. tourmenter.
^Htt) ^^.
^ttJ^
;
256 conjonction, 537, ?î8. 2S:eSc
louer.
^CM$y,
nj ennemi
2Si^2t J
256- dire, voir 2503.
® g«3C
^tWT
froid, glace.
25:1 inimitié.
^a5nc,^enc- couvrir.
^«3C
nj
187
25:6-;X!^^
afin
nj
ver;
.
que, 340
espion.
25:J11J, ZeJUL-,
faut.
toit, terrasse.
à la vérité
25:Hp
souffrir de.
ni
25:e-OVHJ
25611^
— JULncyjJIJ
trou-
visiter.
2tJJUL^eg-ît25:JJUL^e^, brûlé
^1.1, quai.
^^,ie
Ziî, JOîOT, être
laid
^^,'kOi>
^i.'he-,
confier,
commettre,
déposer
quelque chose che^ quelqu'un
2tiS,>\H0YT être
:
logé,
nJ
chameau
Jlliî.Jt2tiJUL0V>\ chamelier.
XiHH
2tJJiep6-
le
substantif verbal,
être délicat, tendre.
;
substantif
verbal^
266, 272
25.JJlJOp traverser (un fleuve, la
mer, etc.);
idem
habiter.
^^,UL0T7\
25JJ1- forme
.
143, 266, 270.
laid.
'x.^,}\o,
quai
;
par le vent chaud
6p25JJTJOp
.
25JJtT6-, 25:JJTT^, verbal, 266, 272
25Jn(rtup
\\i talent.
substantif
188
Vocabulaire bohairique.
main.
2S:J2S: "i^
25.CM
2tOJ "f mur, muraille.
2tO>\ JtJ
force, puissance, mi;
ULGTiLTZiOJUL "f impuissance
"^StOM
;
donner de
ZOJtC
palper, toucher
colère
—
lenter;
pression
(5ljI2S:OJIC vio-
;
nj
violence, op-
peq($1h2:0Jic
;
oppresseur, injuste,
ilXOJlC
2:0C
s'irriter
dire,
278
;
J
parole
ZOC, zec- nJ demi. 2tOT if dire,
étal
pronominal de 2:05
devant
JUL^Jt2S:a3J>\J lieu d'exil
le
25:
2teK-,
HK,
— —
pronom OV,
considérer, regarder.
nj
semence, race.
2^0, X^e-, 2^0
s*»
engen-
IIJ accomplissement.
eSo A
—
;
achever
finir,
;
mourir.
nj achèvement,
fin,
£56 Jl OT2$:a3K complètement.
2:tU^^
eS0>^
250311
2tCU ^ tête
j^ZOî^ e^OVJl e
ni
2503itT
renier.
revêtir
nj manteau.
livre.
s'irriter
IIJ colère.
i^2S:05nT
irriter.
ZOjp, 2:0p^ eS0>v
disper-
ser, se disperser
ZJJïep2505pj
gain
foncer dans
quai.
2:03pj, quai 25:Op, être
drer, acquérir.
nj
2S:0K**
accomplir, achever.
accomplir
—
XOVcyT
—
2S:tUj7vJ recevoir l'hospitalité
2î:JJ125:«3>v^
28').
Zpox
25.a5Se incliner, baisser.
2S:W>\, 2S:0>\^
être plein (épi)
—n
faible
mort.
injustice.
2tOJIT pour ZiCMJIT 210J1T
iXGTQS-
278.
JipeçjepxtoSj
2:a5K,
XOJLlxeAl
dire,
pécheur
la
force
'KO^
faible.
—
<î.T25.0Ai impuissant
;
25: e-,
25a5S
flots.
2t011 'f racle
2505,
barque, bateau.
25.0 J ÏIJ
chanter.
fort
^ puissan-
ce, force s'en-
JULeT2503pj force
^
puissance,
Vocabulaire bohairique.
ZOjpz
tendre des embûches
—
;
espionner
ZOÎT
vingt-
2ta52S:
(f
zecy- répandre.
2:050),
ni
StOîZeS
nj
189
hauteur,
quai.
^CJ
JT ^
voir (Sj
nj
chef.
AOA ^02
ep^^Xe
;
boi-
card
(^"ho
pour
($l7\02
pied,
(^-
pi.
holocauste. nation, race.
nj
couche, bran-
lit,
.
ns
rein,
(TjULOTJt J Achmoun,
2S:«S.>vO confier.
"t
jycytuoT.
voir
nj
(f}\(JôT
ter.
qui est élevé, ie
OiCi
B.-E.
CJ-^HT
;
<^,
orgueilleux; JUieT-
—
;
(îlcj-^ HT orgueil.
<^nO
éteindre
^.T(^nO
;
inextinguible.
(5j-,
voir
<$JT#* prendre, rece;
(TlH JIJ frontière voler, ravir
peq
lever
;
être exalté
planter,
semer
;
semence, plantation.
eSo}^
dépenser, distribuer;
nj dépense.
(^JC nj
Seigneur,
oC
avec ou sans
en
trait
;
^ Seigneurie.
(SOCJ voir (fsCi
(^T nJ
s'écrit
.
farine, son. ;
—
IIJ toucher, tact
—H
;
J vol
;
*»
;
(5o^ eSo>\ pour ($02 J
voleur.
(TïCJ, ($ec-, ($^C
J
(K)^ e toucher, atteindre
Iteil toucher.
(TrOVJ
#*
lieT(^JC
— conduire, mener —
;
IIJ
abrégé
<îepO allumer. oi,
(Se-, (K)
—
(îeJlJte paresseux, négligent
—n
;
lenteur, paresse
6^-
(Î^C J-S^X orgueilleux
en
localité
<5ji«î.V tarder, être lent
<^CJ-
—
;
augure, présage.
^tycyojov
être faible, frêle
;
.
(yiOJHll augurer, présager
AJA nj
<^7^e
profondeur
être exalté, élevé.
exalter, c-
s'exalter
;
S0>^
(îo
eSo>^
courir, s'enfuir;
courir dehors
emporter
;
-
;
—
6-
- Jieil
JICJ. poursuivre.
190
Vocabulaire bohairique.
tfjpo
vaincre,
triompher, être
courageux, s'emploie avec 6«LCf (fpo
—
epOCf
IIJ victoire
;
vaincu
l'a
il
;
souillé.
(ToXs»» teindre;
(TOJZ:,
(^2:
;
quai.
être teint
OpO,
impér.
(TJpO JULJULOK sois fort
!
cou-
rage!
nj
(Tjpoq
^
^ colombe.
(TpOJULnj
—
(f«5>vK, (^>vK-, (ÎO>^K^, seul et
avec
eSO^,
Varc, lier; tensité
eSoA
;
tendre, bander
— IIJ tension,
quai
6^^K^
<MWpeAl
essayer de;
épreuve
;
^-e^pHJ
^JIOT
;
eSo>\,
être
apparaître
révélé,
;
;
quai.
;
•^^OVCU
i^nj
tf^^eJUL
être
souiller,
^TOJJl
impur,
lUI^.
maintenant.
délier, séparer.
^
goûter.
souillure, impureté;
pros-
'i"OV cinq.
décou-
être impur, être souil-
pardon.
— e rencontrer
'i'TOT ^
— nj
quai.
ré-
;
réussir,
;
voir
.
polluer ;
;
aller
village.
(Toî^eAl, <S^£5JUL^
lé
Al^'J^
^JULH nJ
IIJ apparition, vision
vert
'J
protéger,
pardonner
'fm^.T^
seul et avec
<^pn
contredire, ré-
saisir.
véler, manifester
—
j ^CO pérer
exciter à
<^pn,
vendre.
faire signe, indiquer,
(KMIÏJ prendre,
don.
sister à.
(ÎOJIT être éprouvé.
quai.
ni i^
eSoX
"1^
i^ e^OVJï
tentation,
r prés..,
pers. sing.
ZJJl":!^
in-
(fo7\fl^
($1» JIT, ($e JIT-, ($0 JIT ^ ten-
nj
41
la,
i^-, THJiî* donner, 2jo.
•f",
être.tendu.
ter, s'efforcer de,
fém. sing.
r^
233-
OtOJti IIJ jardin, enclos.
—
art. déf.
scandale.
goût
voir
;
aeJUL-'j^nj
T0^
«*
combattre, lutter
;
nJ
combat, lutte
•f ^O
prier,
ler
— nj
;
demander prière.
;
conso-
LISTE DES TEXTES. ^o-
I.
Textes bohairiques.
Pages. 1.
Histoire de Joseph (Genèse
2.
Le Concile d'Éphèse
XXXIX-XLV).
d'après
une
lettre
i
de Saint
Cyrille.
La Sainte Famille en Egypte.
38
4.
Les deux marchands.
40
de l'éloge d'un Évêque de Keft.
5.
Extrait
6.
Extrait des
7.
Le voleur
8.
Panégyrique de Saint Pierre d'Alexandrie.
68
9.
Paraphrase du Pater.
77
Panégyrique de Saint Michel Archange.
81
Martyre de Saint Macaire d'Antioche.
86
10. 1
j6
j.
1.
43
mémoires de Dioscore.
5 5
64
converti.
IL
Textes des différents dialectes.
1.
Principales différences des Dialectes entr'eux.
1
2.
Zacharic V,
116
i-i
i.
1
j
(Bohairique, sa'îdique, achmimiquc). }.
Isaïe
I,
1-6.
(Bohairique, sa'îdique, fayoumique).
122
192
4-
Isaïe
XXXIII,
i-ii.
125
(Bohairique, memphitique). 5.
6.
Lettres en sa'îdique.
129
Lettre de Paphnuce.
1
29
Lettre d'Azarias.
1
50
Lettre de Sévère.
1 30
Inscriptions.
Eclipse de
i j i
soleil.
i } i
Epitaphe. Stèles
du musée d'Alexandrie.
ip
N°295.
I3J
N°
ijî
197.
Pages. 15, ligne I? 1.
16
:
e-pc«-TeJUL,
:
ajoutez
lire
KOpq ?
e-ptU-TejT.
(Chrest. p. 84,
Dans la Chrestomathie 5,
14
:
JIJCJOVpS,
16,
7
:
cycunjji<î,ç[, lire
:
evcoji,
:
JUL^HeT,
2
49, 58,
I
}
I
61, 67,
i
152
ADDITIONS ET CORRECTIONS.
206,
J
280.
N°
^
i
18
8
:
:
:
lire
lire
cytwnj
n^q.
eTcon.
lire
JUL^H.
XecfOJl^,
lire
2te ÇfOJI^.
oeopiS-S,
lire
eeoVi5,S.
JtienejiCiJ.,
:
njCJOVpS.
lire
M.£nes^c^..
1.
10).
193 Page. 69,
6
:
ej^JOJ,
9
:
nj^CeSHC,
:
i^^S.HToTvH,
lire
e^JOJ.
JlJ^CeSHC.
lire
74,
6
75,
5
82,
17
83,1.
21
:
87,
4
:
JlJ^HUeJULOJJI,
lire
nj^HuejULwn.
94,
6
:
nj^HUCJULOJJt,
lire
nj^HUeJULOJn.
97,
:
:
1 1
lire ':^<Î.JIiJ.TO>\H.
Tejin^n^^,
JIJCHOTTCOOTJt,
H^CtWJULiî..
:
CeOT<î.S,
enJ2^H,
lire
lire
n^CCWJUL^.
eoOTiS
100,
II
103,
I
:
104,
5
:
devant nJ2tOJ mettre 6.
106,
II
:
OJKOVJLienn,
lire
lire
Jl<S,JUJOC, 107,
1.
I
9,
20
108,
I j
109,
8
:
:
:
a)H*S.J, lire
epcyjcy, iî.p-, lire
JtJeHOT TOJOTJl.
nj<s.Sjn.
JlJiS,SjJt, lire
:
Tejin«x.ji^^^.
lire
;
1.
16
:
lire
enj2^H.
lire
lire
OJKOTJUieJlH
JtJiî.UJOC.
cyHpj.
lire
OJWKJ,
epcyjcyj.
^^^^^^Z^
^
K^_^f^
;
1.
_
12
:
r
NG ^CT.
FEB 27
1979.
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La^gy M255g
TORONTO
LIBRARY
Mallon, Alexis Grammaire copte
&