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Ell ce jour sont les saints
Ce sont
les serviteurs
de
saiiit
:
les sept mille trente-trois personnes.
Basilides (Fäsiladas), martyr, et les servi-
teurs de ses parents. 11s subirent le martyre par ordre de Diocletien (Diyo-
qletyänos), l'impie, dans la ville d'Antioche ('Ansokiyä).
Que
leur priere et la benediction de leur
2.
1.
Incipit.
—
2.
MoRT d'Abba Hör, l'anachorete.
Piete d'Abba Hör.
accuse d'avoir tue un enfant, part
d' Alexandrie et vit
1.
—
En
2.
—
Ce
il
—
3.
Abba Hör va
etait
a Alexandrie.
—
prouve son innocence en ressuscitant
cache dans un monastere.
ce jour aussi Saint
sang soicnt avec nous. Amen.
mourut issu
Haute-Egypte (LA'läy-Gebs). H
le saint
de gens fut
—
•
ü.
4.
le
Faussement
mort.
—
5. 11
Sa mort.
Pere Abba Hör, meine. de la
un moine
ville
d'elite.
de beaucoup de saints par sa piete et son ascese.
de II
Behgtnvrä, de s'eleva
la
au-dessus
LE 2 TAHSCHASCH.
[21]
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Dans
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— 11.
II
A >,«j
continua ä etre devot le
jalousa.
si
me
II
lui
vaincs,
tu es fort et vaillaut, viens ä
Lorsque saint Abba Hör eut entcndu
se leva et alla ä la ville d'Alexandrie.
s
/ö.
desert toi-meme tu
le
n'y a pas de gens aupres de toi. Mais
la ville il
et lui dit
non endom-
>,j?.o>.
au desert.
partit
II
—
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pendant de nombreuses annecs. Satan (Saytän), rennemi, apparut ouvertement
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—
—
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primitivement, mais la lettre
—
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106
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:
563
ceci,
puisait de l'eau pour les prison-
niers et pour les pauvres. 4.
—
A
ce moment-lä, des chevaux passereut et coururent dans la ville.
L'un d'entre eux donna uu coup de pied ä un enfant. Cet eufant mourut aussitöt.
vieux
Satan eutra en des gens.
moine n'a tue
cet enfant. »
Ils *
dirent
Saint
:
«
Personne d'autre que ce
Abba Hör
vint.
II
etrciguit
cet
*
88
enfant, pria en son coeur, supplia Notre-Seigneur le Christ et
fit
sur lui
le
signe
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LE LIVRR DU SYNAXAIRE.
564
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vivant.
Abba Hör
le
donna ä son pere. 5. II
—
II
s'enfuit hors de la ville.
son monastere.
alla ä
II
deraeura
l'asoese et en etant devot dans 6.
—
laient.
II
se
rejouit
la saintete.
gneur
II
leur
le Christ. Ils
rendit son
Que
le
chercha, mais on ne
de nombreuses
lä
raccomplissement de
Lorsque sa mort approcha,
extremement.
ordonna d'etre fermes dans de
On
la
il
II
vit
la
le
trouva pas.
en pratiquant
la saintete.
beaucoup de saints qui Tappe-
reunit
ses
fils
spirituels.
II
leur
voie monastique et dans raccomplissement
exposa que lui-meme
allait
furent tristes extremement. Puis
äme dans
aiiiiees,
emigrer vers Notre-Seiil
fut
malade un peu.
main du Seigneur.
sa priere et sa benediction soient avec nous ä jamais.
Amen.
II
565
LE 2 TAHSCHASCH.
[23]
II.
— —
1
2.
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8. .ßü-J?]
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—
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3.
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II.
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A
6. :i,eA]
h.Af
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—
9.
n.
Revision ou Vulgate.
SalAm a Abba Hör, l'anachoreTe.
3.
Salut ä Hör, eprouve dans la forge de la peine,
Au
poiiit
de s'elever fort au-dessus de beaucoup.
Lorsqu'ils se furent leves contre lui, sur le conseil de Satan (Saytän),
Par
En
la
puissance de sa priere,
4.
1. Incipit.
ressuseita l'enfant mort,
—
2.
Les Trois enfants dans la fovrnaise.
Ananias, Azarias et Misael sont eleves au palais de Nabuchodonosor et 3. Comme ils refusent d'adorer la statue d'or
occupent d'importantes fonctions.
que Nabuchodonosor
—
il
Sorte que les insenses reconnurent qu'il ne l'avait pas tue.
4. Ils
—
s'etait fait elever, le roi
echappent miraculeusement au feu
ordonne de
les jeter
et sont traites
dans une fournaise.
avec honneur par Nabu-
chodonosor.
1.
2.
— En ce jour Seigneur un predige pour — Ce sont Ananias ('Anänyä), Azarias le
fit
les Trois enfants.
('Azär^-ä) et Misael (Misä'el),
fils
de Joachim ('lyo'äqem), roi de Juda (Yehoudä), que Nabuchodonosor (Näboukadanador) avait emmenes en eaptivite avec leur pere, avait fait elever dans
son palais et avait preposes sur les provinces de
la
Babylonie (Bäbilon).
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
566
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3.
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:
fl>>,An]
vn-ri,p.5'Xf:]
vn»)
\"\\\)x-n,\x.C.
=
"VA?"
"VA?" (le
:
aus.si
— 12. «Dh-nÄ-i-»] 0, A fflvn;?v>. —
aux gens de
ib.
i
A";A«"
A"iAöO
propre se trouve
*<5r.
:
"7ö1iA.
10.
i;.
"VTilnA]
ib.
=
0,
.e^.ejp«»-]
=
ib. «B-fit
ib.
>'i;:i.
V.
fl>h.rt>-öf.
nXA"-Pö>>-
om.
/5.
y-f-ft]
en surcliarge; un second
et
3. Tnao
©«'..p.
ib.
— Puis lorsque Nabuchodonosor eut
ses prefets
A
mn-dh]
ib.
>iTrH.
6.
/Ä. fflA-
11. n-i.ST]
2.
ete corrigee en
a
^-
5. aiÄrtR]
ib. flih.^m-"iP]
!
—
fflMiii'.
— A A f.^^.T. — — O A A mxrtf. — HöD .-x.A imM- A>ii>] A MV. — — Ji-^XHA] A O/H. — W.1V. — — — o A A «^AiT] A O/H. — 7,»/ILMIWi,C —
— — —
hn-v.
>.0'i-.
.P-jn-rhir«»-
»f'"/ est
fi>iA
A
:
>.-FV]
>i'"/>i»iA
fl>>.Antn>-.
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/6. «DMIli]
>,ni'P.e..p.}Po'»-]
A
ib. >,.?•/]
iD-ö>.ö»<
—
oni. H.
primitivement, mais la lettre
— 2-3.
A.
Olli.
!
P
A
Hfl»C'>]
o»'>"j/"-'J-
1:]
une statue
>i"*v;
d'or,
i
A
nom prOpiC
en surcharge
aft]
«V/.
:
abt;
:
A
Wä
=
»•.«t.
ordonna ä
il
royaume de Tadorer. Lorsqu'on eut accuse
ces saints de refuser d'adorer la
statue,
il
ordonna de
les jeter
dans une
fournaise de feu, qu'on allumerait au septuple. 4.
—
11s
prierent longuenient au milieu de la fournaise, en etcndant leurs
mains. Alors un ange du Seigneur descendit. frais. II les
fit
sortir
n'avait brüle les
du milieu de
cheveux de leur
adora et supplia hunibleraent
le
la
II
rendit le feu
comme un
vent
fournaise. Rien ne les avait touches, ni
tete.
Lorsque Nabuchodonosor
Seigneur.
Eux
aussi,
il
les
vit cela,
il
honora extre-
niement.
Quo
le
Seigneur
ait pitie,
par leur prierc, de notre roi 'lyäsou pour les
siecles des siecles. *
P.
Salut ä vous, Sidräq, Mis;\q et
Clierchant beaucoup avec peu.
*
'AbdnAgo, negociants,
LE 1 TAHSCHASCH.
1^25]
567
5
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'hnw.hüth.c
1.
vti/h-c: AJP.
A-n
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I
—
r>v.
—
A"iAo>>
—
Ahfl>-Vi->.f^"n
MVi»*]
7. ;
;
2. hffl-'^p]
Ah-n
Mi-i*"!
A
>,fl>-"iv.
n
!
s/c)] .0 >."jn>,-n/h.r.
A
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premier element du
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propre compose est
A
Ahin-li^^-n.
—
ib.
—
inKl'V;
ib. ii
O/H.;
A-lOi]
A
A-flh.
l'ardeur de la fournaise, Jans
Tandis qua vous
il
a
la
—
A
'6. Ofl
llÄ/h/f.. •
<»»•;•<.]
— A
:
••::
b^.
>,-/ii. •
vm
...
KV
sur la Photo-
et est
—
4.
o.
tw^ic^a»-
=
AfiMirr«»-
illisible
ib.
egalement A>ifl»-*i-fc?-n]
a>iA.
9. >,a]
—
ib.
poix et dans Fasphalte,
consume ceux qni
etaient au dehors,
vous a proteges äl'interieur.
Memoire de 'Absetfen, de 'Anbas et de Nathanael,
En
:
—
—
in>,'rA"/nt.
nXA"-Fö"-
"/Ar
^
h>.vn.
n>,v>i]
mhvnn] o
.ßiTWilf
:
ib.
a'J-A'w
••
un second nom propre simple se trouve en surcharge niet ce f^aldin a la tin du 1^'" TähschAsch.
Le Seigneur puissant
5.
—
••
A-^ir]
th-v^jp s/f.
Dans
n.
{",i\o»
:
",A'/"
:
"it\r' (le
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graphie du ms. illisible).
"lAiT
:
A-VAöO
:
o/«
AMifiY'i"'/]
ib.
A"iA«i»
o".e.-^V
A
0,
*nn>.fi(<.ft.T]
A
^1:]
nÄA"-?-«»-
ce jour aussi est la mort de 'Absetfen,
le
tiiaumaturge.
martyr, de 'Anbas, qui ötait
originaire d'Arabie ('Arab), et de Nathanael (Ndtnä'el), moine, auteur de pro-
diges.
Que
le
Seigneur
ait pitie,
par leur priere, de notre roi "lyäson pour les
siecles des siecles.
6.
Salam
a
'Awkateyos.
Salut ä 'Awkateyos qui a acheve sa course
Et a garde sa
foi.
Les liommes qui
le
supplicierent, lorsqu'ils lui curent coupe los tcsticules,
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
5ö8
^Ar
:•:
1. >iVll
-j-riAh. fi>iA
:
.i'.-flA
!
—
Kf-'V2
:
timni
A
nn>i]
4.
en surcharge
A :
:
rt>i"?il.V(l
M\h.
—
:
5. av-Sj:]
i-m.
-.
7.
>,o»^-F]
la lettre
P
oni.
—
2.
-I-ö»^-/.]
P om.;
c est de seconde main.
nom propre
—
ib.
se trouve aussi
CS joiir aussi est saiut
coupa
les testicules.
Seigneur des slecles.
celui qui etait iniilile.
»
Memoire de 'Awkyanos.
En
le
f\)
Je rends graces au Seigaeur,
«
:
lui
Que
oni.
rt'i:4»c;
>,.frt-ft.
L'eiitendirent dire aiiisi
les siecles
{A
en surcharge sur un gratlage; un sccond
Gar de mes membres a ete coupe
On
[26]
'Awkyanos, qui ecrivitsa course
II
et
garda sa
foi.
rendit gräces au Seigneur.
ait pitie,
par sa priere, de son eher Se'Ia-Sjon pour
LE 3 TAHSCHASCH.
[27]
I.
5
—
569
Recension primitive.
:•:
r'J«w«'!J-
3. A>,"?1l>,^>]
A
—
A>,°JH.>.^> SJC.
4. nh.f<.'4A.i»°]
A
P, 0,
llh.f^.'JA,?".
—
«Ä.
öoföA,'/]
5rflA.V.
LE I.
3
Recension primitive. — 1. Presentation de la Sainte Vierge [recit) A (88 r" a — 89 r" a) T (,10(3 v» b — LOS r° a) P (9'i v° a — 95 r" a) (2 v» b — 3 v° a) A (84 v" a — 85 r° a). — II. Revision ou Vulgate. — 2. Saldni ä la Presentation P (95 r" a); (3 v° a); A (85 r" a). — 3. Fete de I'archange Phanuel [memoire et :
;
sahim]
:
P
;
(95 r" a
— 95
r"
I.
1.
1.
TAHSCHASCH.
Incipit.
—
2.
b);
O
;
(3 v° a);
A
— Recension
PrESEXT.VTION de
l.k
(85 r» a
S.M.NTE
Vouee au Seigneur, Marie est presentee, eile demeure pendant douze annees.
—
4.
ä
Tage de
3.
la
trois ans,
au temple
Les pretres tiennent conseil
Leprince des pretres Zacharie
devant l'assemblee des pretres, qu'elle est
—
ViERGE.
—
pourluichoisirunfiance.
r° b).
primitive.
de Jerusalem, oü
sa volonte.
— 85
;
niaiide Marie, quideclare,
servante du Seigneur, prete ä accomplir
Zacharie entre au temple pour prier au sujet de Marie; un ange lui
5.
apparait et lui enjoint de reunir tous les veufs de la maison de David, de prendre leurs bätons, d'y inscrire leurs noms, de les diiposer dans qu'il
continuera lui-meme de prier,
gneur designera son bäton. Jerusalem.
— —
6.
l'elu,
et
temple pendant
digne de recevoir Marie, par un signe
Zacharie convoque les veufs de 7.
le
de les rendre ä leurs possesseurs;
Une colombe blanche
la
le
tenips
le
Sei-
qu'il manifestera sur
maison de David; Joseph sc rend ä
sc pose sur le bäton de Joseph; Zacharie
confie Marie ä la garde de Joseph.
Au nom du 1.
—
En
Pere, du Fils et du Saint-Esprit, un seul Dieu.
ce jour eut
Heu
la
Presentation de Notre-Dame la Sainte Vierge
Marie (Märyäm), generatrice de Dieu, dans sälem), alors qu'elle etail ägee de trois ans.
le
temple, ä Jerusalem ('lyarou-
LE LIVRE DU SYNAXAlRE.
57Ö
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1.
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—
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a.
A
—
9-10. ante
h.
—
2. En effet, elle-meme avail ete vouee au Scigneur. Sa merc Anne (Hanna), comme eile se trouvait sans enfant et se trouvait eloignee
des femmcs * A,
meraent
etaient dans la
qui
ainsi
triste,
que
le
maison du Seigneur,
vieillard
illustre*
etait
devenue extre-
Joachim ('lyo'aqem), son
r° b.
mari.
Le Seii»neur entendit leurs o-^missements. La mere de
Viergc, Anne,
fit
le
donnerait eile
le
consacrerait au Seigneur.
Dame, la
la pure,
conduisit,
voeu suivant au Seigneur
eile l'eleva
afin
qu'clle
Seigneur
Ic
de
la
le
los
femmes.
eile dit
que
la
Sainte
le fruit qu'il lui
Lorsqu'elle eut enfante Notre-
ans dans sa maison. Ensuite les
vierges,
au temple
eile
du Sei-
temple pendant douze ans, alors qu'elle rece-
main des anges, jusqu'ä l'epoque oü
Christ dans le monde.
parmi toutes
trois
demeurät, avec
gneur. Marie demeura dans vait sa nourriture
pendant
:
11
vint Notre-
s'incarna d'elle. C'est eile qu'il clioisit
10
:
LE 3 TAHSCHASCII.
[29]
h4-
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C^ft
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4.
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5.
A —
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A — —
0,
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—
3.
—
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A
A
P
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—
—
ib.
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— A ow. —
A
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ib.
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ho»
arrive
aux
la laisser
dans
femmes. Alors
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—
—
.
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6.
;
A
—
A add.
:
—
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ii.
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9.
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ib.
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ib.
10.
ffl'int'Pnnii.:
^vn«?.
eile
douze ans dans
temple, les
le
eux, afiu de la donner en garde ä quelqu'un
qui la protegerait, car eile avait ete vouee au Seigneur.
convenable de
A
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P, O,
4'£«^ir
an.i.i..
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571
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le
des
protecteurs
furent
II
ne leur semblait pas
lui arrivät
nommes
pas ce qui
sur
eile,
en
attendant qu'elle soit fiancee k celui qui serait digne de la voir. 4. «
On «
—
Zacharie (Zakäryäs),
Amenez-Ia,
afin
le
prince
des pretres,
dit
:
»
l'appela. Elle arriva et se tint
debout devant
Sache, ö Marie, que toi-meme tu as grandi
comme une femme. un jeune homme
toi
repondit
que nous soyons certains de ce qui est dans son cceur.
et
les pretres.
et
Zacharie
lui dit
:
que tu es devenue accomplie
Veiix-tu te marier? Veux-tu que nous clierchions pour
bon, beni, craignant
le
Seigneur, et que nous tedonnions
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
572 *
A,
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A
ib. ^<5•^]
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il>.
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nfl>-fit.
>,V<>X.
ib. flJh.>,«n.]
A
/^. n«"^]
4.
P,
fl>-nt]
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om.
/6. «»i>öa]
[variantes tirees des treize premieres lignes,
106 v" :
ii,ßnwW''V]
//).
A
du
JtiH.Ä-nA.i:
•
(fe/?r.
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1-ii"/'l'fl.
«D^-n.A».
«n»-]
-^n
©lAhn.»"
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1.
2. floc7
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öJÄAf
'
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— A ow. —
5.
n.
«6. rt,t]
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A
sie h-V^fl«»-;
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— if-^HH] A ni.4-^; A ^t-Mv a. — w — AH>iC^n] A — mW-A-] A ow.; A HWV^ .RfUAtP] A — n,t> ow. _ nyv] A ow. — 8-9. A «doö wfit] A — 9-10. w — «DH.etir'^] P, 0, T P ow. — 0, A — >,A T incip. — nu>^] T nw?^ A ow. — 10. n.ß>7/^* — add. >,"ni>i^>. — m ow. — 11. ante "7C^?" P, P, 0, T A-nA. — h-v^fl».
:
ihr-i. sie;
aJ.eaA-.
ivV.
i^-.
>,-v^
»lUT-Tl-
n>i
hIMCM
* ^' 88 v° a.
eil
!
ä mariaffe o
lui,'
fl>-nt.
9.
ib.
s^c.
ib.
flifih]
A, T
A"*] P, 0,
=
ib.
«BA-nrt]
ib.
AUC^Pfl
(dhHiv-i-.
ib.
fflXAf.
>."/ll.>.-n/ft.c]
Ort]
n>.;
n-nt;
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fl>W-A»oi>-.
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flixA.]
ib.
8.
:
:
ii),
«"•^.tin]
/6.
,-i->iir<..
!
(DhiitChV.
ou bien veux-tu demeurer dans
le
temple i
*
et servir le
^
Seigneur pendant
jours
les
toiis
ta vie? Nous devons prononcer
de
sur toi la malediction qui est ecrite dans la Loi, afin que toi-meme tu n'ap-
proches pas de arrive
la
porte du temple pendant les jours oü
aux femmes.
Marie repondit
»
et leur
dit
:
«.
il
t'arrivera ce qui
Voici que je suis la
servante du Seigneur devant vous. Je n'ai plus de pere, ni de mere. Vous
remplacez pour moi
mon
pere et
ma mere
est Saint et beni. Selon que vous connaissez
accomplisscz-le sur moi. 5.
—
Les pretres Entre dans
Zacharie
:
revelera
fais-le
«
sur
avec
le
Seigneur, dont
vous-memes
l'ordre
le
nom
du Seigneur,
»
toute
et le
l'assemblee
temple, prie
Marie.
»
Zacliarie
le
des
Seigneur
se
revetit
Juifs et ce
dirent
que
le
au pretre
Seigneur
te
des habits sacerdotaux.
—
LE 3 TAHSCHASCH.
[31]
*
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573
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Aa>->,1:]
7.
n.A»]
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—
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!
le
lui
orn.
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A
:
ib.
temple
:
et
les
—
5.
at
—
—
/6.
A
o>»*,e.n]
s
107
fol.
A-^Cf
!).
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ji^a-
a>.ß-nA-; ffl<{,n
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n,t.
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ib.
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(D,ftri-A°.
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lo.
t>.!r
s/c.
A?--n°i.
ffl-Vft.ir
ffliinmt.
A
^hr'C-\'\
A
fflXrt.]
lig^nes,
A
.
h-ttH-
atM-lv
«i^.
A mAHlio't;
P,
Aroh.]
h<^;)
A
ib.
fflhfl^o^>•
oin.;
jeYi/'"-'i]
—
s/r.
ai>,
.-
•
— A hiptD-y-i;
A, T ow.
des quatorze premieres
hT^'i'n.
;
••
post
A,
88 v° b.
^u?-
.•
— A ow. — 3-4.
ai>r">i.
ib. moflao.']
ib. a»Hft
SiT'Mi
A
—
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—
A
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•
P, O,
h*:.-!-!:^-»]
fliV"/>.]
AA.SSnflflöi>-.
A
:
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^.n.A-
>,n.^^] P, 0,
2.
(D;(^
Hh«»
»
hhi-h.^
••
— — 2-3.
defic. ivariantes tirees
ffl^eoA-]
apparut et
liommes veufs, dont
T
A
fl>.n.-|:
h<:;>'i:
— /6.
P,
—
ir.^-<:
:
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0,
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•
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AA.ÄAfH-tr
hir'>ii>] «i.
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.ftfl,A-«i>-.
fflYiooii.
11.
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— a.
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1
A
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om. om.
>7C";
om. r'.^i
T
/Ä. >i°jii.^'(i
ftASSn^c] P, 0,
6.
T
P ©fli^H-t. A mX/h/C. —
4. AA.ASnna»-]
non endommagees par
A
fl»,n•|•;>ll^ö»•]
ffl>i-ll>.öi»']
w-a-
'^n
•
ib. htn-tiTöo-]
w«^!«!:]
/i.
m'ilCa^
»lU"}
:
mffl^H-*]
3.
n^C
h-n^t-C.
>
A
0,
.
sie.
h-fl<5iPtfo-
HhC^ft
:
—
ib. y,
m-flt]
fl»,«.sv s/r.
ante >,?"ai- P.
|l1"t^-
n>.ft.
=
;
P, 0.
A
•n>,(1.-F).
Seigneur au sujet de Marie. L'ange du «
Zacharie, sors et rassemble tou.s les
femmes sont mortes, de
vieillards et jeunes gens.
la maison de David (Däwit), Prends leurs bätons; ecris leurs noms sur leurs
bätons, en designant chacun
nom; rassemble tous
par son
les
bätons et
introduis-les dans le temple. Prie le Seigneur. Ensuite sors et donne ä chacun
son bäton. Celui sur
pour
toi
6.
un signe,
— Le
le
bäton de qui
celui-lä sera
le
Seigneur, nolre Dieu, manifestera
digne de recevoir
«
Que
tout
Marie
et
de
la
proteger.
»
pretre Zacharie sortit et exposa ä l'assemblee des Juifs ce que
l'ange du Seigneur lui avait dit. Aussitöt d'Israel des
*
il
envoya dans tont
le territoire
herauts, pour parcourir les villes et les bourgs et dire ceci
hemme
de
la
maison de David, dont
la
femme
:
est morte, soit jeune
•
A,
88 v« b.
flJÄAf
nh ff»
co-ni-
:
Hhceft
»
Kjr'iij'ö»-
nia
:
J?.+flJ-öi»-
:
ÄA"-?-
!
'w4'^ft
•
tt.'h
Ohm.
hfi
!
-Tin
hfh
:
hoi'iihfi^-
••
fl»^n
••
DU SYNAXAIRE.
LI VRE
LE
+(:n
!
hin.h-ttdy.c
-•
•
n.'|-
pa.'p
•
ao^f^ti
:
AÄ-n-Vt:
'
[321
äAP-
ath-w
=
W-A"ö»-3!,
•
AW-A-«»-
-.
rt
:
«i.Ä
:
AAö
:
ht\H:hi
nit?
•
(Oiltt
:•:
»lÖfl
•
aUDUPao-
•
Ä/.fl.
j
©h'^y-
•
:
10
f.
WA"fl»-
:
A
1. H-Vt]
add. P,
—
at.
A
— A
Ji-llir-c]
A,P,
7. DAffl.]
.e+tB-öo-
!
lio» ^lo»..
—
A
post
HTrI-
A —
A
—
alla de
—
les le
—
ib.
üdd.
A
Ah-ft^t:]
A
<M:n]
:
>,A1-Ch.f.
HUT*] P,
A
— 10.
niJV-Y
:
om.
ante Yf fr«»»-
P
—
Ah-n^r.^
—
>,j»°OA
A
siV ;
P, 0,
>i'i:>>
A
A
—
ib.
—
om.
M-
— 00^
:
öD.>^ft
>
ÄA"t
P
;
s
XA°
— 8-9.
A.
fh-Mi; n.
ante
6.
if-ntiX.
=
f^.^
:
A
P,
A add.
A- est
mnAnS.']
on/.
M•~>^
jtA»-P]
ib. mh-yii]
(dans
P
nuf]
=
AA
Af^in
—10-11.
f.>,p]
— ib
en surcharge).
Le pretre Zacharie nombre des bätons aussi.
une
Jerusalem.
»
Lorsque Joseph (Yosef),
maison de David, eut entendii II
ceci,
prit
il
le
char-
son bäton
d'hommes
trouva beaucoup
lä.
prit tous leurs fut
de 1.985.
hommes
bätons II
fut
de
approche
et
eut pris son bäton,
colombe blanche. Elle vola
de son bäton. Lorsque tous les pretres virent ceci, 11s glorifierent le
sur
qui se tenaient debout hors du temple il
donna ä chacun d'entre eux son bäton.
sorte
noms
et ecrivit leurs
pria dans le temple le Sei-
Lorsque Zacharie eut acheve sa priere,
charpentier, se
etonnes.
;
8.
A
W-fr-oo.
aap]
:
ib.
om.
A
0,
m.eÄ.AP JiA-i.
—
rt>,A-]
n^c] P,
ib.
ib.
•|.^fl,^«n>•
:
v-iva»-.
A
ante >/»>, 0,
ib.
n-ll>i
i
—
sie.
Xf-tva"-^..
M-
•
,e«ffl»-
!
P, 0,
—
om.
Nazareth (Näzröt) ä Jerusalem.
bätons et
bäton
««^.efi
9. «»(»n
gneur. Pareillement tous les prierent
m:\
ji^a»]
—
h'P^..
-n
•
iiM-yt.
rassembles 7.
a^(^. ai.
soit vieillard, aille ä
eux. Le
=
tiöil
A
:
Ah'^ll.K-nrh.C
:
h-nn-^-^
-VA*«»'
JVd'fK'o'f}.
:
H'Vt
ib.
4.
A
n-n>i]
ib. ,e+fl>-ao-
post
P
pentier, qui etait de la et
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— —
nup.
VA*«""]
W-rt«-«B-i
A
|^vy\
=
fflA-flA}"
•
^.'Miao•.
ft-n>.
:
ib.
>i9"n.-|-
:
mh-1-c.h? sie; !
—
—
ib.
y^a>•^|•hts«•
— 11. WA'öoA add.
homme,
6-7.
h^h
—
A om.
.
TfoJiJV-iffflg]
//'.
iS:^'^.
:
ih. n>,irn.t
rt-nH-ji-v
=
vi\(B- sie.
:
—
.
om.
n.—
AAP.
^'Jh4-
!
to^.W•^\•p
tf\f,h'>9"Hf0«-.
ib. hfi-l-chP]
c>if^-.
A
xAP :
ante
;7).
k>\r"i\rao-l
— A
:
sie.
add. 0.
.R+iD-öo-
:
A
1-.1n.h0n-
h-(l-7-c1-
A
H'J'l-
n-yi: «/V
5. ^n.irao-2
P, 0,
iD-fit
.e.n
ow.; P
2. flx'.^Kio"-]
om. nuf;
mKthV:
•
JiUV-'l-
5
et ils
Seigneur beaucoup. Zacharie
il
se
tira
du temple
Lorsque Joseph, apparut sur
au
tint
le
sommet
furent extremement dit ä
Joseph
:
«
I.E
[33]
TAHSCHASCH.
3
575
* A, 89
1-nC^i.A
H.i*P
•
l-'j-nAV/
*
n-hrt'IPI:
:
ÄA-;i-
•
"/Oj?.
n-ni'i'i'
1.
>.f-ft.^:
sie).
—
H-;!.
— 2-3.
^f,^.
c
•
,
I
propre
—
—
A
—
(A
I
ib.
A">A
fiXA
<
«ö.
post
i
I
n.H
•
ib.
i
/i.
fl>°l+n.
'
^«^^ <
:••
>,°Jll.Ml,h,c]
>
arfrf. n.
«o-fit
*,e:fi=l-
:
ib.
>,1H>,-(1A.C
^-S-A
A
•
^-'V'flA'i'V
.erTr-IATV.
A-^A«» '
s
fVA-
5.
"^Ay" 9"l\fi
A
»«»•
*T
1
»l-dd*^.
—
:
^-V-flAW
:
n-tt<.
'
en surcharge; primitivement
im»>i^;
ib. >,'7ii.>i-n/h.r.]
n>.-vt
flf^rf.
»f-Tr est
il
ib. n.H]
•
ATiA
y avait
«»"^h.
•
»f'Tr
:
l-viA
—
8.
"i-ht^'i
'
?Olf
i
r'HI\
A'^Acro
.
:
1
>>,ffrn).
post
^Tr-t
V-kii
Elle
du Seigneur.
demeura chez
tmAÄ nom =
de
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A-i.'v.
I
Joseph rcQut
»
'
<^A?"
Joseph, prends la Vierge du Seigneur et garde-la dans ta maison, dit l'ange
>,"JII.Ml
1
4.
I
A
-n
'
:
n>ft.ü-]
-^AS^;
«"Tje]
mA.>
•
*
Notre-Dame
la
comme
a
Sainte Vierge Marie.
L'ange Gabriel (Gabr'el) annonga ä Marie que l'incar-
lui.
nation du Fils du Seigneur se ferait d'elle.
Que Amen.
sa grande intercession, sa priere et sa benediction soient avec nous.
II.
2.
—
—
Revision ou Vulgate.
Sal.vm a LA Presentation.
Salut ä ta Presentation dans le sanctuaire raosaique.
Tu
as ete vouee, sans que pour toi on donnät le rachat.
Marie, tu es Techelle de la terre du ledon.
Que
raa priere
P.\TR. GR.
—
i- a.
•••:
P, 0, A ff^Cfr" ä'VIA {A l\'^Cf A o/«. — A.O°JA — ante — post P, A add. oin. — AT.'nr^^» .O^A "Vc^i^] P A>i'nt>,^> •^CfT' * P, A oin. — 3-4. ooAMfl 7-nch.A] P, 0, A oo^ym — ntrt-j}»*] P, 0, A tmjpt. — — P ^-V-flATV fUA- iTAA >,y"iV A Kf
H<»"-V<{.n
7. ii-nA'i^]
9. nt"^
eon-
o/«. 7-nc>i.A).
^*<;
I
K'jnA
•
et/A-
Ji^iV
••
Revision ou Vulgate.
3.
f-ft.^]
—
0»?"ftA
om.
-Vr"».]
:
.^v/A.
7-noi.A
flo^-^Tr
Ah.
2. ffl^+n]
hyWl. fr
•
h'lH.K-nrh.C
s
ö)n^h;^
:
—
II.
AfflA^
:
T.
monte vers XV
—
F.
5.
toi,
dans
la
bonne odcur d'un parfum, 40
a 89
1° a.
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
576
mm-t öM- hbd •
"/Ar
h*^!
•
4-^Ai.A
A
1. -in]
gratte);
—
J>>.
AR
:
ii. n"iA-]
«"»Ä'^'V
>
A. jß]
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—
ib.
A
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-l-lltff.. :
••il\r'
•
—
—
•
aof\h\i^'
A,^rt-
=
:•:••
A'JA»»
!
aussi
rnJidfi
»löfl]
A
rt^R. «
'
—
en surcharge.
A
•f.^.h.A.
l-V-nATU«
'
i
—
f/A-
ib. ;>-rtfiA]
flii-t
:
3-4.
iTAA
:
6. ii»-.e.l]
:
o/«. ib.
^:*<.
—
Trje.^.
.
A
P
—
^-'V-IIAVU-
— iry-^A.^f] A n"71A.>f —
ib.
öa^-.
!
7.
9. iflWi]
verbe a ele
(le
post n*n von-
:
WAä
en surcharge; primilivement
o/n. >,?".
'
il
:
^ICn-Pn
y avait
A
A
<:-(l^.
«(W.
f\V-k<.
0,
—
•
:
ttn A"iA
i-\iA
>
A
•{••{.A.
ib.
«otiA
.eA*/h..
mon äme
la tristesse.
'
Fete de l'arch.\nge Phanuel.
3.
ce jour
A.+
•••::
\tcn-fh est
A
10. h.A*/ii-] 0,
Afin d'ecarter pour
Eu
=
'
«{."/•h.A]
h-^i;
fl)A.P.
-v/^j^i.
>
öA^
•
/6.
>i5r>i"jH,>,-n/h.c]
-Vi^Mi]
«"»tiAf.
•
'>t-/*'J
•
n-ÄR. «
•
(M:?^
/6. A5"i:fn']
2. mttw-t
nom propre
5.
4.V-Ä.A
'
9"ftA
a»-Ä.'V
(oi\?."\'i
•
H'TlA.-l-e
•
fflC*«»-
:
-
A'VAöo
'
"it\9" (le
h.ffrn).
VTfhT
•
—
>ifiö».
.-i-nAT.
e«A-
«
-J/^'ÄJ:
A.A4'rh.
•
A«»AKh hn-C
••
lff:h.'\'
ffl:5.JS,A
äA-1-
9"öi'1
?lA
•
n'JA-
•
'
'l-'J-nA'^ll-
[34]
est
la
füte
de Tange glorieux Phanuel (Fänou'el),
archange. Qiie roi
soll
intercessioii et la puissaiice de son secours soient avec notre
lyäsou pour
les siecles
des siöcles. Amen.
Salut ä ta fonction, ä la porte du Seigneur, Afin
que
tu
sois la
muntee de
la
priere
du demon de
et l'expulseur
la caloinuie.
Phanuel, prends-nioi avec les modulations de Lorsqu'ils
Ceux
recevront
le
gain
mon
de leurs talents,
qui n'ont pas prete leur or avec usure.
cantique,
comme
röniuneratioii,
;
[35]
LE 4 TAHSCIIASCIl.
.
—
I.
—
2.
mat-M'
A-H"}'!--
unü
•
—
6.
fljfli-flt
—
ib.
>iVI/!ä]
Ü-]
A
n>i;P„'eu-
Ain-*]
5.
P, 0,
A
—
„e^
SA-M-V/"
— —
>if/!J>.er.
Sic;
©i^n
mAni-v*; 0, Olli.
P
n>i.e„i>-;
Recension primitive.
flJÄh
•
=
A
A>!]
P
*S.ft
P
1. 5ft;^'^7/"]
t.
:
hh/j
•
A
!
:
3. >,-V.eT.^ft]
o/n.
ante
— /^.
a.
P,
ib. flifl>-nt]
A
P
ir/<;
A nv^Wö»-. —
A
add.
Ü?^
•
ffliiV-
••
—
j6.
ow.
—
ib. .efi-nvi]
—
rtt.
ib. a»ii>]
—
/6.
//<.
P, 0,
\^^^,']
fl»l>V-]
!
A
rt'^ö^] I\
P
P
/i.
•-
A —
!
h
{\'^ö
.e.rt-nii.
j>u7-4;
oni. a>.
A woa». —
A^i
•tt\l-:'>'i
=
\e:C.f{\ sie.
hö»] P,
Olli.
fl>-ft+
:
:
—
hu?"*;.
7. n>iÄ'e
«h-
:
<:.e:>i-
i
LE 1.
hTA- ho» ^.ft-nh Ph fl^ftf- wi/. A^ :
•
—
sie.
ib.
577
TAHSCHASCH.
4
Recension primitive. — 1. Marlyre de l'apotre saint Andre [recit] A (89 r° a — A (85 r» b 89 v° b) T (108 r° a — 108 v° a) P (95 r" b — 96 r" c) (3 v° a — 4 v° c) — 85 v°b) — II. Revision ou Vulgate. — 2. Id. [reeit complementaire et saldin) P (96 r" c); O (4 v" c); A (85 v" b). — 3. Memoire- d'Abba 'Od, de vierges, de :
;
;
;
;
:
Jacques, de Zacharie, de Simeon, de Thcodora et de Täwlinä
:
P
(96
r° c);
O
(4 v« c)
A (85 v° b).
—
I.
M.\RTYRE DE l'.VPÖTRE SAINT AnDRE.
1.
1.
Incipit.
pär
—
2.
Andre
la predication
ä Patras
11
7.
—
Andre
6.
et
son disciple Philemon ä Lydda.
eloquente de Philemon.
—
Des impies qui veulent
5.
4.
—
3.
Conversion des idolätres
Andre evangelise diverses contrees;
le
unpiege pour
brüler sont consumes par
Les pretres des idoles arretent Andre,
le tlagellent et
le
le feu
du
Icmprisonnent.
—
est crucifie et lapide.
Au nom
du Pere, du
—
ce jour
1.
—
converlit les envoyes des infideles qui viennent lui tendre
mettre ä mort. ciel.
Recension primitive.
En
Fils et est
le
du Saint-Esprit, un seul Dieu.
saint
apötre Andre ('Endryäs), martyr, frere
de Simon-Pierre (Sera'on-Petros). 2.
villc
entra
—
La part de ce saint
de Lydda
dans
la
(Leddft) ville
et
dans
sortit le
avec
l'ordre
de
precher dans la
pays des Kurdes ('Akräd).
de Lydda, beaucoup de gens de eette
par rintermediaire de
Pierre,
ville
Lorsqu'il
croyalent
son frere. Son disciple Philemon (Filmouil)
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
578
[36]
10
1.
ib.
—
ib.
0-9" n.
flili5r
.e.öC?]
—
Vtcnt.eV]
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A om. —
>iA
:
A
piete
et
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om.
p,
>i=iA
:
T
>i«n»
A —
«Vicj/j.
lui.
monter ä l'ambon
et
de
—
—
-.
lire
— 5.
A
A,
A
1
T
A
P,
A
—
om
o/«.
—
««'<•.
3.
— —
AT
«oh-vn
:
ny"
/i^.
nt
ib.
ib. Ji>]
:
P,
P, A m A hv. — — hid.^ P, 0, A — P, 0, A //'.
ffl-ri'f.c]
ib. fDh„e.ia-2
,
ib.
>,•»
>ijf:]
ooTrifi
m.
o/m.
—
4>t\e.
:
>i.?:C^fi
rtif.j-t.
fl»]
—
.e.vrin.
!
10.
>i.e:.
in-fit
h^-W'«»-]
=
A
>,
om.
o//(.
voix
uiie
!
suave.
L'apötre Andre
belies.
P
,e.(\9"ö?'.
>innr.
whAP
TO-jF"
A om.
4. ai/'.-j-^]
tTr/"?!-
A — 9-10.
P, 0,
A
>iTr,tr.^fi]
flj>nn;
:
ib. >,i]
>i4.U"oi>-]
Ce Philenion avait etaiont
—
fl>h..e'l.T'©-.
nh-i-\-f-ao-
/i. fl>h..R>n-
—
*A]
i
2.
w^vn-n]
2-3.
a/c).
^>-n-n]
o/».
9. >,ni>]
A
—
fMr'ii9'ao-']
6.
7.
A
TO-
«o-ic?
(0 ot?"
P, 0, :
—
fflwnn]
>,.er..pn *vc.
—
/&.
a>>.9"Al>/:.
A
—
A.
-^.ev.
A
*a
A^fl»-]
iö. fl»>t.;e>n-
diction
sa
•
—
-Hlrl:.
«»AriVit. >
^iCflt^Tr.
•
mh.fÄ.-'i sie;
—
>."JC.
trouvait avec
Sa
=
=
>,Tf.tC.i'ft]
fk-Fo»-
\e>] P, 0,
(7;.
ib. [
se
A
:
Ah^'/AYitu"«»»-]
P, 0,
"»<:]
om.
om.;
ffloc?
nT0*5r
TO-?"] P,
:
«6. fl)>i.^>t->(ii.]
«P.
—
/*.
A r'fiM-. — 4-5.
—
A
ib.
8. -Jil«:
to.
A
OW.;
ib. >,5rAlf-J:]
«»AöAI-] A .eöci. — A 0/«. TO-?". —
P om. M-
ib.
—
il-ri'f.C.
—
A
n*A
ib.
A
^.Af»"?]
:
o";v.
if^] A,
:
»hl:] P, 0,
v>.
lO-J:
!
A
fljinv.ft]
avec une suave harmonie.
etalt
II
.sage.
ordonna de
lui
moiita et lut avec une
II
voix suave.
— Lorsque
;{.
et
de Philenion,
cntendirent d'aryent,
mais
ils
7)iains,
Phileraon parier
ceuvre
parlcnl pas;
Ils
prirent leurs
se leverent,
de les ecouter, desirant savoir
afin
ih
de
la
maiii
out des
n'entendent pas;
mais
ils
venue de I'apötre Andre
los pretres des idoles apprirent la ils
dire
et
des
yeux,
s'ils :
ils
et allerent ä l'eglise,
maudiraient leurs dieux. Lorsqu'ils Les dieu.v
hommes.
mais
armes
Ils
ont
des peuples sont
une
ne voient pas;
mais
iin
nez,
ne palpent pas;
ils
ont des pieds, mais
ne parlent pas avee leur
<jor(je, et
il
ils
ils
mais
ont
ne sentent pas;
ont
ils
bouehe,
n'y a pas de
ils
soitffle
d'or
et
ils
ne
des oreillcs., ils
ont des
ne marchent pas.
dans leur
boue/ie.
IE 4 TAHSCHASCH.
[371
?i7<Jü-
•
rill"
«nfl«"
— A
T un
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h-J-^C^ft
•
—
tf^ü-.
ib. flav2
>7<.:
:
T
0,
1. n"7iP<»»-]
^>i
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•
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2.
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—
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579
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— 2-3.
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A — —
flt^c^.
^cfi-t^A
—
hAnn.ir
Sit ^'pc.f
"
ffl^Ttfo-pö"»- S2C. •nH-:i'>
1
ve-CPfi
>
ante
ib.
T
hAlfllPao.]
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A^Ai-n
öD^ö»-]
P,
h.frt-fi.
©>,?">
ü.
ib.
tt)f:i).
;
T
— P
>ilirt.A;
7.
— n.
—
A
/6.
H-t] P, 0,
/(!'.
Que*
toiis
ft.iKr.ft.
A,
P
A
—
—
«ij»^:
ib.
— 9-10.
A
post
A
A
s
iir>ir.
fl>-ftl-.
ac/c?. /h'PC.p.
enseigna
les
—
•
la doctriiie
Puis
11
partit
de Scythie ('Aksis)
(Bartalomewos) les
ib. r'nn']
107
ante
A
(»•>4.,{fi;
— A o/«. A
P om.
>,'7H.h-ii^r.]
J*.
a)-ftt
nrf^^.
Ils
et
entrerent dans Teglise, se prosternerent aux le Christ.
L'apölre
de l'Eglise et les baptisa du bapteme chretieu. les idoles crurent
de chez eux.
II
alla
avec eux.
au pays des Kurdes, au pays
au pays de Sonfäris. Ensuite
au pays
eux deviennent ^* ^f'^^
de son langage,
suavite
la
de Gäzrinos.
11
leur
Seigneur. Lorsque saint Andre entra dans cette Ps., cxiii, 4-8.
—
— 10. —
il
alla
advint
Cynocephales, jusqu'ä ce qu'ils se convertissent ä
1.
0->
ont faits et tous ceux qui out coiißance en
cause de sa belle voix et de
Beaucoup de gens qui adoraient 4.
fol.
8. >,Virt.n]
^6.
m^ir.ei«:
iTAA.
hie t/e^c.
du
le feu,
mh-v
/6.
mhjrv.
— 7-8. P atA^. — A A mcncr. —
in] P, 0,
)i-V.ß:C^n
—
!
«Ji'pc^]
//>.
T mp^tsic; T
«nj»!-;
ti{./"Wi,
>,Tr.?:C.eft
:
—
o/«.
A, T
A, P, 0,
(dü7
vn.
«du?«:]
/i^.
rt4'.';.fi
A
W.H-tyy^
:
non endommagees par
ib. a>>,iF".e.-i4ii]
».
fUt
=
4.
A>.">.e-Cfn.
pieds de l'apötre saint Andre et crurent en Notre-Seigneur leur
ffl
.ß7,t.
coeurs se rejouirent.
leiirs
—
T
ihvcy;
>
?°nA.lf
:
om.
o?«^;
i
Mifi^n.
om.
wiiv^]
A
ceux qui
comme eux'.
.p,
.»rt-;
•
atteinte ä la belle graphie
A amh. —
rnnh.]
ib.
1-?"uct
ö.
-nH-ji-V
1
mp^i-t-'}
in
A
h\i{\y.
xrccn;
A om. —
P om.
%-VÄ-C/n] AverCfft s
ib.
—
A,
-in: o?
/iH/A^ft;
P iccn; 9. (n«c]
fl»
T
ib. ^.^j.öd-/.]
fl>/nö«n>
a voulii corriger t
A>.Tr.^c.s'fi
fvarianles tirees des treize premieres lignes, \" b).
<
—
••
mais n'a pas ose par un grattage ou par une surcharge porter
^•pce]
P
\\CM-f-h
«Dfnö«" 4. t
en niargc indique que
du ms.).
—
om.
mTöffo-J:]
:
avec Barthelemy
des la
incidents avec
connaissance du
ville (Patras) et qu'il leur
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
580
1% * A,
89 v°
a.
-iK-y
•
„ *
^*n.A-
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•
[3S]
•
i.'no-ro^'
'/"tii^ira«-
<
^n-:'»
-.
10
nm-VlA
1.
A (\
^^O-V. :
^-.S-fi
))<«.
ib.
I
—
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—
—
^y"uc-P]
/Z>.
—
ante
rt.
P
J»»«!»-]
ib.
n- SJC.
—
^r'vc.-i'.
>i?">-
A
—
9. -v;»!»]
A
— A om. —
T
»/»>.
:
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-VO-.
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/7*.
— —
ib.
—
«3. -VV"/?!
T
rDVtB-öj";
—
07». >
ib.
ante
(variantes tirees des treize premieres lignes,
— A add.at. — ib.
r° a). ;i-V
tD-t-p-nh."]
m-l-.o-nhaB-;
8. «»<«>»>,.]
— '>icfi*n]0 ow. — P A A^-zujiH/fi-c /Ä.
;KO-t)
P
A toimKh. — P
fl)<>.p,.nft]
Aiiicn-Ffi;
:
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h.prt-n
ffl-flflön :
P
=
P
»/'>>-
—
iliTVic]
A
>i.^C.fft
A —
—
7X.
Vi-.
T
—
ib.
;
A
P, 0,
sie.
>,.V:C.^t\
— A
mh-üe-bn.
post ^^"n^v.ß
A
A
T
A •ncv>.
—
o/??.
ih.
m,t^
^-^ÄC^m.
/6. -tK-v]
/i. /.>«>•
f^lK-] T tn«:
-nr'ha^
n>ift^ sie;
hie
•
'»'
t/e/?c.
le feu,
du
fol.
108
—
ib.
ante
-nH-
^tt.o-.
— ii.
10.
Wo«
.e^^-AP
:
a>i"/ii.>.>
««?i^. >iO-i-.
gens etaient extremement mechants
les
saient pas et n'ecoutaient pas. Certains d'entre
miracles et
—
=
iicn-Ffi]
«V'.
ti«»
>
des prodiges qu
ils
;
virent de saint Andre. Mais ceux qui ne
contre saint Andre un dessein mauvais.
voyerent aupres de
ruse, afin qu'il vint vers
pour
lui
par
le tuer. iMais
n'obeis-
ils
eux crurent ä cause des
crurent pas machinerent
lui,
'\(>
/ö.
(D^-(|A>'<"»'.
precha Tevangile saint,
contre
>)
—
A dittologie. —
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non endommagees par
>i-v.e,f..»'n
ttr'\t^..
sie Wiat-öf-;
fiM^-]
ib. jrnrt.iröo-]
A
T
s/c;
ib. >,rt]
=
3. fl-^n]
fflfVti'f.
wtvr'h.] P, 0,
ih.
rtfl'c^.
'/>.
ib. >i-'/.^<:.en]
mr.n-Fn.
ijt]
>,n-.pTr
njva>-öf.
=
7.
ml-ivfim-.
©".-w-öf-]
'V^>'7>i
—
mh.l-ao.e.m-']
ib.
A
!>]
A
fflr.>,R]
ß. Wr.e.C.en']
(0
=
n»A/h-l-]
=
—
T ow.
i^-.
—
fl»S..R^Mlll-.
fVli*-
—
incip.
A
;
j
'»-5. |n.l^
inyo»-] P, 0,
—
>..Mrv-
•
T
AöA]
k.
(D\ii-nx\Fo^ti sie.
add. m. 8.
ih. a>-hl\(\
A mi.-im-ro^. —
A ow. — T
A h,.e.^WlH-
2. fl>>...p.^>biiH-]
««c
>i.t;:C^fi
miMo,
sie;
n»/fi-]
ffl'^r.xiwoo-ft]
i.'ira^.
fl>->if-<»»-;
A
(A>,£-c^n s/c)]
mi.'iiB'
.eir;<>,
—
om.
A, P,
>,-VÄC^n]
Ji-VÄ-C^n
A, T
5.
i
^-.S-fi]
:
—
eux
:
alors
ils
Ils
en-
se leveraienl
lorsque leurs envoyes furent parvcnus aupres
de saint Andre, qu'ils eurent entendu son enseignement bon et qu'ils eureut vu son visage lumineux, ils crurent en Notre-Seigneur le Christ et ils ne revinrcnt pas vers ceux qui les avaient envoyes. ö. *
A,
«
se
*
—
D'autres de ces mechants tinrent conseil entre eux et dirent et brülons-le
reunirent avcc eux.
vinrent vers saint Andre, afin de
saint
demanda
Ils
daus
ä Notre-Seigneur le Christ
le feu. »
que
le feu
:
Beaucoup de mechants
Nous-memes prenons-le
le tuer.
dcscendit du
Mais
ciel,
le
afin
LE 4 TAHSCHASCH.
[39]
toftO,'/
:::
/»-nh«i'.JP
1.
—
c>iR]
post 5.
6.
P,
A
add.
CiTi.
—
*/^it
7.
«Ä.
ib.
,p.4'^A?».
— ib.
htm;
0,
A
{>n
>
rt<W. fB\>i\
les bn'iler.
:
A
o«.
6.
—
-
Aussitöt
ces pays.
ib.
9.
A A
—
A
A
•
i
P,
Ji'V.e-c^fi] =
je>i-t;
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jA.
>f-A
Ani-n.
Öi-i!
flJjlV
:•:
:
s
—
— A
a
ib.
n^-vt
s/c)
:
—
— A
— A
A+.e.
om.
•
A
P
tf-A-
A*^fi
A
//^.
j6. ^,>/*'>,}p]
fl).ftfl»-°;c}^.
—
P, ib.
»f-A".
—
ib.
A ow.
m.
—
post M^t^c^n
om. ^«PC^
••
P
Tl. >
—
S.
,P>^ft".
A
.f.-^f^'^r, >iflH
>
h<"»]
A
ante
;en4'Ap]
ib-
—
JiT-.e:
m'hhKy:,
,P.*^A-]
— 10.
n.R>,-fc.
s
—
«(^f/. a>.
nox.-'-ü'.
—
A
•n?h-(\.
<6.
/^. fl)>i?.e-}P] TiT-H
O, A. n;
\e:C.fH sie.
af^T' f:'M.'\\\
5.
MVC.f\
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•/.((..
ffl.p.flnc?*]
A
P, 0,
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A
A
tf-ft»
A A
n>."/ii.>.-n/h.c]
ib. a>tO\'r"i-'\
«n^-uMpt.
.P.>i-t.
o/«.
.P./.*."?-]
— 9-10.
/6.
ow.
—
>i.e:r..pfi
"K1,P :
ffl+o»
:
'
>>?"ft'^,p.]
fl)>,rtft]
>..f^c^n sie.
(A
1
ib.
ib. /nj'.i-^rt] (>,
P,
W-A-
S!,'ir"U9'
ffl.
— —
y.'ht;
!
•nH-:i'>
ib.
rnn>]
—
•
—
^•at'bf-a^
t
Mte-ö.
)f-A-
»f-A°]
'
h^H
:
^-fl^AJ"
:
.
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*/*'<{.t:
le feu
descendit du
II
ils
se reunirent tous et
ciel et les brüla.
renommee de
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fiyr''h
P om.
idoles,
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Andre
restaient
fut
apprise
virent tous ces miracles et ne
recherchaient saint Andre, afin de
ils
Geux qui
l'apötre saint
y eut beaucoup de gens qui crurent au Seigneur.
Quant aux pretres des
srrande
H^vt
>i-v.e-C.S'fi !
P
Mao
ih.
A
athvr
add.
rh*Pi:,e
'
UlC
-
:
r>n.
crurent pas. Mais
d'une
«i.
A
ow.,*
ante
ib.
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nA3'.;^
:
mhof'^ra»-
©vib-i- sie.
^,4..>a}p
:
A
ö>J>V-.
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:
eurent peur extremement. La
dans tous
—
A
>iA»-v/.]
(),
A^-s-OTr.
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mf.(\^6i9''\
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P,
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P, 0.
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—
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5-6. Yion
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ib. A^-i^n]
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I
—
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P,
P,
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!
A
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th?"/!-!-
ib.
ib.
Ifir.fi-Fn.
:
A4»s./i
:
ÖJ-ft-f'
:
s?c; V est en surcharge.
at/,R}f.
hAii-fl
:
n>i"Jli.>i>
hA] P.
P,
P
/{..^
ffl-nH-;iTr
A
O,
Ä«w>
•
— om. — P Aivc.fu-. — 2-3.
^vc.f2
ib.
— 3.
2.
Itt
:
(Dha)''i?-faO'
:
fl>>/*'>i}p
•
(DhP?:?*
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?ifth
fl»(>nv
ib. (D4^.]
—
A
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•
O-ft-l'
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:
—
"jn.?
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fl»fl)^.J?.?»
•
M^-
:
fDOTj^h-
w-A-ö»-
•
?.ai'qC9*
am.
ID/.^
^/^d.-l'
.-
at-h-U
III
:
581
flaüfellation,
jeterent en prison, afin de
le le
firent
circuler
Ils le
nu dans toute
crucifier le leiidemain.
Ensuite
le tuer.
vinrent prendre l'apötre saint Andre.
ils
flagellerent
la ville
C'etait leur
et le
coutume,
lorsqu'ils voulaient tuer quelqu'un, de le prendre, de le crucifier sur le bois et de le lapider de pierres, jusqu'ä ce qu'il
mourüt.
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
582
ÄA-1:
1.
—
A
/M
fflK.1-'>1l-V
1
Aft^»
—
vn.
/Ä. A*»«»]
'hRCft\
A
-nH-j^ih
V**. «n»
ä
nom
1
A rtA
A
7.
—
A
ATCf P, 0, :
*.S-n
A
>i'^Tr;
propre
le feu
vArt^ri
A>iA
••
— Gette
P,
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A :
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ib. a»>,ntr.>if
—
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P om.
*.e:A^
>,"%Tr ^-n-T-
i
>,noi>]
ib.
A
+c(i;
a>;
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nuit-lä, l'apötre ciel
et
Christ Uli apparut et lui dit
monde
:
«
:
»"aa
>
^h-T-
t**.
i
II
lui
i
—
.
h.^«P
* P mm
+cn
3-4.
4. cDoion]
ib.
ä
>?/">
«
A^*<.
il
>
I
V^ft-]
'
8. -flH-ri^]
y a
h..fft-
i
tfl»AÄ
»j^Tt
a>iA
••
:
»%
i
'
>
«d^^aa
«"».t'^T'
a-^a«»
i
'
donna
(le
»vas'";
h.fft-A).
Notre-Seigneur
le
<
A'^A
le
Christ que
auparavant. Notre-Seigneur
Ne t'epouvante pas
est proche. »
— —
>inYi.
+cn.
fl'^A.
comme
bridät
P,
>
Andre demanda
le.s
A
O/H.
ft»1:
m^wbf-
«nhfitCJif
fl>K.*/lhTnr]
'
A-fl»-ft.
^n-"»
=
A»*] P,
rtrfrf.
/i.
6. txbii.']
ib. /i.
j^aa
<
o/«.
A «»tA^-Wi. — 4-5. mt/h/^F^ — JiTrÄC^ft AVCf] A P, 0, A »nA] A »OA. — — A^^A] P, 0, A
d«^!)*
;
>
A —
ViCfi-Ffl
A
K.*.01»
z'ö.
— >
4».e,A^
n
"^A?"
nSöH-y.—
post
ib.
ncn-pn]
A^^A] P, 0,
7>Tr.e'C^n.
>
"^AiT
«6.
!
—
>.°jh.>.>
fo-h^^iCi-lb.
•
1
a(^(/.
9.
— —
Kf-i est de seconde main; en surcliarge
descendit du
depart de ce
A
^
5. fl>t<{./"^^]
©t^hAf^-.
•
i
:::
ai^t/. nfi-fl/h^.
;
A K^f-i-XS
ante aoH^r"i"i
s/t-;
I
V'Pft-
P
n»<»»]
fi-fl/Ji*
7.
Hon-JAn
"VA?"
:
sie
—
,R«n>
ib.
P,
-^AiT]
'
om. mtthr'r'f,
A
—
n«»
/6.
hl.!
.
ib. ^-VÄ-C^fi]
^D^,*ÄV^4;
1
'hr'^n-t:
1
— —
A-*
acf(/.
jn'ftA.V
:
f.^.!l:.
tD-t-ahbfao- sie.
P
ei/A-
:
om. m.
2. ^<:j^]
post mcn-Ffi
3.
A
fl»n;B>i-l:]
m\
flJn<:h1:
s
[40]
le
t'attriste pas, car
ton
saldm et se cacha*ä
lui.
et
ne
A, 89 V" b.
L'äme de le prit,
on
l'apötre saint le crucifia
mourüt. Des fideles
Andre
se rejouit et exulta. Lorsqu'il fut matin, on
sur le bois et on vinrent prendre
le
lapida de pierres, jusqu'ä
le
dans un tombeau. De nombreux miracles
corps et
du saint
le
de grands prodiges
fcsterent.
Que
et
sa priere et sa benediction soient avec nous.
Amen.
ce qu'il
deposerent s
y mani-
LE 4 TAHSCHASCH.
[41]
~
11.
—
8.
oiA^. h.
A-nhrt.
:
(D'P't-
:
?»4»^-A"
«nh
•
/^?i
!
at'i'lC
1.
6.
Üf^i-
:
UIC
•
-•
—
-MinPJ:
öinÄ-A
a><:)in]
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fl»A.e^P
:
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Revision ou Vulgate.
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:
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:
ÖJhfMh
:
A.i-
9.
— —
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583
wm
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—
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P
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7. +onj?,jp]
'
•
:
—
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f^njp.?".
—
8. -^n]
•
:
» P, 95 v" a.
o»2.
om.
>i.^l-^Ai sie.
h.;&^-ViOAi]
Revision ou Vulgate.
Regit complementaire et SalAm.
2.
Le pretre Jean se rend aupres de saint Andre, pour lui demander de venir ressusciter 9. Andre lui delegue son disciple Phileson fils, qui a ete tue accidentellement. 11. Des mon. 10. Philemon est arrete et supplicie par ordre du juge Roqos.
8.
—
—
—
oiseaux s'assemblent aupres de Philemon et
demander secours
eux, pour aller
—
ä Andre; la
colombe
Tun d'entre
choisir
est elue
ccmme
messagere.
— 13. Satan rend foUe la femme du juge, laquelle, ordonne ä Philemon de sa demence, tue tous ses enfants. — 14. Andre arrive;
12.
dans
demandent de
lui
Conversion du juge Roqos.
il
ressusciter le
fils
du pretre Jean lui-meme guerit ;
— 15.
les enfants.
Andre, apres avoir congedie
femme du juge, dont
la
la
il
ressuscite
colombe, baptise les gens qui, ä la
vue de ses miracles, viennent de se convertir. 8.
—
Ensuite Satan (Saytän)
en train de jouer. la
ville;
joiiant
l'autre
de
fils qii'il
la
etait
viiit
d'entre eux le
fils
ville
:
lui dit
a tue. «
»
:
«
dans une
d'un
homme
des
l'autre; ce
Livre-moi ton
Ayant entendu
ville. II
fils,
cela,
afin
notables de la
9.
gens. «
*
II
ä eux,
que
— 11
II
En
je le tue ä la place de
Jean devint
triste.
Promettez-moi d'attendre, jusqu'ä ce que
ils lui
ville.
dernier mourut. Son p6re
pere Andre, afin qu'il vienne et ressuscite pour moi
Quant
trouva deux enfants
de Jean (Yohannes), pretre de
(5tait le fils
Tun avec rautre, Tun frappa
accusa Jean et
mon
Lun
11
dit
j'aille
le fils
aux gens
vers
mon
qui est mort.
»
promirent.
arriva vers
saint Andre.
II
le
trouva en train de baptiser des
lui exposa tont ce qui avait eu lieu.
ne m'est pas possible
Andre repondit
d'aller avec toi ä cette heure, ä
et lui dit
:
cause de ces gens
95
vä.
LE LIVRE DU SYNAXAIRR.
584
'U
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10.
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9-10.
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— 14.
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sie.
—
2.
O
ib. «i>,:nijp]
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— 10.
Mao
0/«. m.
—
Aört.u"
—
»
Philemon
lui
le
ü
«
II
<»
>,;ni}P
—
Philemon, afm
toi
homnie
la ville, voici
de
10.
afin
ville,
que
ressusciter
moi aussi
le
ainsi
que
le crucifierent.
flagelles-tu
?
mort.
S'il
me
tue,
il
aioni.
ante AH'Pt mhy./,
fl)>i.t<:vin]
oj^Srh-c]
P
a>>,Wi-r,.
juge Roqos etaitentrain d'un vieillard,
gens dirent ä Philemon
te tue pas.
mon
mon
»
Philemon
maitre, mais
maitre
dit
:
j'irai,
me
viendra
:
res-
»
arriva dans la ville et rencontra le juge Roqos. le crucifier.
Philemon repondit au juge Roqos
Quant ä moi,
je suis
jeunc
n'a jamais üte trouvee sur moi.
et
11.
Le juge
dit
:
«
Peut-
a tue celui qui est mort. » Les gardes allerent l'arreter et
pour regarder ce qu'on gardes
1.5.
f-jtfr''}
qu'il ressuscite poiir toi
le
Le.s
que relui qui est mort.
— Quant ä Philemon, homme
—
(O
••
s"en allerent d'aupres d'Andre.
juge ue
le
Le juge ordonna aux gardes militaires de etre cet
—
m. ii^.
4.
fl>^n]
'/'
OXl-fA?'.
:
o/«.
.e"/vn>.
—
>iV"><.
ne m'est pas pos.sible de transgresser Tordre de
suscitcr,
les
P
:
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—
(D/I.4.
m,!.*.]
«Z».
mn+A}"]
qui avait eu lieu.
avait expose tout ce
N'entre pas dans la
tion
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«
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•
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:
et cet
Lorsque Philemon approcha de de rechei'cher
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—
15. .ß-VOAJ;]
qu'on baptise, mai.s prends avec celui qui est mort.
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[42]
leur dit
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«
Oü mon
a-t-il
capable de m'etre dement, d'aller vers
:
«
Pourquoi
me
pas peche. La condamna-
maitre Andre se trouve-t-il,
contre son disciple?
N'y
et lui dit
et je n'ai
«
II
tourna son visage vers
pas parmi vous un misericordieux,
mon
maitri'
Andre
et
de
lui
exposcr
5
LE 4 TAHSCtIASCH.
[VH]
5
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—
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ib.
7.
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—
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— 10.
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—
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6-7.
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9. a».en,ft°]
P
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add.
11.
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crucifie et
etre
•
•
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**
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«A-
•
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etre flagelle.^ » Lorsqiie les
par suite de
ceci, ils pleurerent
gardes entendirent
Jx'rö^'iU
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fl-tv.
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2.
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•
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585
suavite de la parole
la
de Phileraon.
— Aussitöt vinrent des oiseaux.
IL
dans les jours du deluge,
sommes venus. Prcnds Andre.
»
Un
et ils lui
que
fois
:
tu
Tu ne
te
rencontreras
«
Moi-meme,
j'irai
la
t'avait
colombe
nommee
la
toi.
»
Philemon
lui
dit
lui
dit
«
je suis
vers ton
toi,
tu es
de revenir vers moi. Toutes les
Tun de
tes
congeneres, tu
häte.
vers Andre.
:
Quant ä
«
:
j'irai
pas
O
douce parmi tous
demeureras avec
Le corbeau s'approclia de lui et lui Philemon lui dit « Dans les anclens
»
«
n'as
:
pas rapporte
envoye. Quant ä moi, je ne t'enverrai pas. et
et euvoie-le vers
Moi-meme,
«
:
liAteras
jours, lorsque tu as ete envoye, tu
qui
ä Noe (Noh), nous-memes nous
Voici que
oiseaux que voici. Moi-meme,
que cos
tu ne revicndras pas eu
lui et
dit
mourir.
ä
comme
parlerent
«
s'approclia de lui et lui dit
maitre, afin de l'amener vers sujet
:
que tu voudras d'entre nous
celui
petit oiseau
plus leger de corps
Ils lui
direut
voyageuse
choisie, toi
les oiseaux, toi
qui
as
la
nouvelle ä Noe,
»
Philemon appela
que
le
apporte
Seigneur a la
nouvelle
95
^0',^.
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
586
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fl>>,-v.e:C.pnft
—
les jours
du
13.
juste
Noe
dans l'arche, dans
Lydda vers
a benie, va ä la ville de
maitre Andre et dis-lui de venir voir son disciple Philemon, car on Ta
crucifie
pour etre
colombe revint * P'
—
mM^m-iX-
ib. ,h<5]
W^flH/w^.
flI>,Tr(M^).]
deluge, toi que notre pere
pas
—
8. iDft/irtiTri]
10-11. Htt-ri]
du Seigneur ä Noe, alors
mon
nf:^.
>
—
:
voici
12.
—
flagelle. »
et repondit ä
S'en etant allee,
Philemon, en
lui
qu'Andre est arrive; lui-meme a entendu
Lorsque
le
juge Roqos
eut'
exposa cela ä Andrö. La
eile
disant
entendu
:
Sois fort et ne crains
«
tes paroles. »
ceci,
*
il
se leva en bäte et
delivra Philemon, de ses propres mains, de la flagellation.
II
crut en Notre-
Seigneur. 1.3.
— Quant ä
Satan (Saytän),
femme du juge. EUetua Ils
deputa k
la
11
entra dans
coeur de la
le
au juge et ä Philemon. Philemon appela la colombe maison du juge. Elle profera beaucoup de paroles. Lorsque
gens entendirent
tous
\k
14.
la
colombe parier,
ils
furent etonnes.
11s
se
reunirent
oü se trouvait Philemon.
— Mais
voici
qu'Andre arriva.
ressusciter celui qui etait mort.
maison du juge. Saint Andre
11
ordonna ä son disciple Philemon de
Philemon pria Notre-Seigneur
ressuscita l'adolescent de la mort. la
fut jaloux.
racontörent cela
et la les
il
ses enfants. Ses serviteurs se reunirent et l'arreterent.
En
outre,
Andre
pria, guerit la
et
le
Christ et
Philemon allerent ä
femme du juge
et ressuscita
LE 4 TAHSCHASCH.
[45]
—
15.
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Cl-tt
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— —
4.
— 10. —
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14.
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6.
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—
—
—
4-5.
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1-2.
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11. >,->t]
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—
—
12. a»i]
2. «n»->
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fl>>».;Eh-'>]
A
ii.
—
A om. —
—
8. in-
13.
h
tt>,^o-.
n>.;e.*i]
Quant ä
ses enfants qui etaient morts.
Teiifant qui revecut,
exposa tout
il
ce qui avait eu lieu et ce qu'il avait vu au ciel. 15.
— Voici
que
d'Andre. Audre est
lui
de huit ans.
»
parole
de
mon
afTianchie
de
la
la
acces aupres de avait
ordonne.
colombe
la
dit
«
:
Andre
lui
dit
disciple
toi. »
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tous et furent baptises au
:
«
Tu
» Elle
lui dit
Va
ä
:
«
la tele
Mon Äge
d'avoir entendu
es bienheureuse
Philemon.
servitude des
Lorsque
en train de voler en face de
etait
Quel est ton äge?
Tu seras homme n'ait campagne, comme Andre campagne.
la
gens du monde. Qu'aucun eile, eile partit ä la
gens qui 6taient reunis virent
nom du
Pere,
*
du
Fils
et
ceci, ils crurent
du Saint-Esprit.
p, 96
Salut k
toi, disciple
Toi-meme,
de Jesus, l'Artisan.
tu as preche son Evangile et tu as enseigne ä
Nicomedie (Niqo-
medyä). Je te louerai par des chants et je te celebrerai par des jubilations
des alleluias. Revcille-moi de
Comme
par
ta
ma
paresse. Andre, apötre,
main Lydda (Ledyä) a
ete reveillee d'eatre les morts.
avec
r
a.
LE f.lYRE DU SYNAXAIRE.
588
—
I.
1.
oin.
0,
»"AA
A —
1
^ö]
ib.
{A
at^hKi-
Vi'.eo"'
surcharge)
3.
—
oin.
J>>]
fl»;
n>,A
Recension primitive.
A —
fb:
orn. m).
»f-'V
:
A'l.Aöi'
!
[46]
1ö. ib.
ib.
A
2. fl»;»-K.Ä^]
fl>£S'";A]
nom propre
(un second
"^
:
—
m^nif ,(,','']
•IIA.V
•
sie
i
P
aK\i.\\^ao-
-.
est en
h.r{t-t\
A-l"//" sie.
5. A;»-^"//"]
Mkmoire d'Abb.v 'Od, de vierges, de Jacques, de
Z.vciiaiue,
DE SlMEON, DE ThEODORA ET DE TaWFINA.
En
ce jour
aussi
est
memoire d'Abba
la
de vierges, de Jacques
'0(1,
(Yä'qob), de Zacharie (Zakäryäs), de Simeon(Sem'on), de Theodora (Tä'oudrä) et de
Täwfinä.
Que
leur priere et leur benedictioii soieiit avcc notre roi 'lyäsou pour les
siecles des siecles.
Amen.
LE I.
—
Recension primitive. 90 r" a, T ^108 v° a — 108
v° b)
;
— P P
85 v°
6
O
(96 v° a);
saldm) 5.
—
c).
(96 v° a);
P
:
A
;
Moit du prophete Nahum
P
(96 r° c
Martyre de saint Isidore [memoire) r° a).
(96 v°
a
—
(86 r" c
97
— 80
II.
A
a);
r"
(5
—
r" a);
O
(recit et
v° c).
—
0.
—
saldm)
:
:
:
1. Incipit.
—
la justice
mentä
2.
Nahum
Au nom du
P
A
V
b)
;
(97 r" a
(89 v°
A
.'>.
T
Saldm
v"
^86 v° c
(87 r° a
a); .
—
— 87 v"
—
(108
97 v"
a)
(5
;
V b);
k Nalium
— 86
(85 v» c
—
b
;
(90 r° a);
—
Filenlos, de
(97
:
[recit et r° c).
v°
b
— —
Hanänyä, de Baracliie,
(6 III.
r°
b);
A
Propre.
(SO v°
—
8.
c).
—
Vie du
c).
Recension primitive.
lutte contre les Israelitcs idolätres,
de Ninive.
A
MORT DU PROPHETE NaHUM.
de Dieu et annonce
la ville
5
P
Memoire de
Memoire et saldm de saint Eleuthere saint Pere Abba Gabra-Näzräwi [recit) A
—
— :
:
— 5 r^a) A (85 v° b
Martyre de sainte Eugenie
4.
a
r"
(5
7.
I.
A
:
Revision ou Vulgate.
(85 v° c).
[recit)
(4 v" c
;
2.
de Jean et de Pbiüppe, pere dEugenie
i.
— 90 v° a)
(5
Martyre de saint Victor r° b);
TAHSCHASCH.
5
1.
—
4.
la predication
proclame
de l'Evangile.
—
la misericorde et
3. 11
Mort de Nahum.
Pere, du Fils et du Salut-Esprit, un seul Dieu.
predit un chäti-
1-2. hA<;Ä
4>.s-n
I
:
vir?"
I
:
>ii..p.
«»i'V
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ii.ftfiö».ß.
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fl»A>.
ib.
—
f.
A
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A
:
>.A.
ib.
4.
ö. AAiJ'.i-l-]
«V--
.»vl-l-ilA?'.
A-ö>»-.
—
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P,
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:
Ani^.
Ani^-V]
«6.
Vi'wt]
A
que cette IcUrc a ete corrigee en
fV-Sö
—
(D-Vt.
8. fl)po4"n
ffl.
AO-A]
>
a»oD/''ttUA] P, 0, OAo»-
A
fl)n>vn.+
G. >,°jn.>,-n/h,C
A _
iiidiquent
.p.
fV-S-n]
ib.
— 5-6.
om.
_
^.).
—
Ma^-bü.
ib.
A
s^äv)-"/
=
faut lire mt>nf, car de petits traits au-dessus et au-dessous
il
du
vn
>.?">
if>.
primitivement;
>i5r'/?.e]
=
h(id.
;
^6. «mrv-J:
/6.
f^.
>i5r>?.e:
=
2.
=
de chaque petiole 1"»]
»•>
:
:
ffl.
—
589
LE 5 TAFJSCHASCH.
[47]
A
n-fnit]
n-ftYit.
1.
phete. 2.
—
—
En
ce jour
de
II etait
seizieme depuis
mourut
la tribu
le
et
les
enfants d'Israel au
Nahuni (Näliom),
juste
prophete Moise (Mousc). Ce
le
dans
et
de Simeon (Sem'oii).
phetisa dans les jours de "Amo.s, ('lyo'as),
saiiit
fils
II
dans
pro-
la prophetie le
juste et ce prophete pro-
de YonAdäb, qui est appele aussi Joas
jours d'Osias ('Ozyän), son
sujet
fut
le
de leur infidelite
et
de
fils.
leur
II
reprimanda
culte
des
les
idoles.
Seigneur Tres-Haut est misericorvenger dieux, dement et plein de misericorde, par contre lui-meme doit se eux pour garder lui, et contre luUent qui de ses ennemis et de ceux saint l'Evangile de predication la de sujet au proplietisa le chätimeut. II
Dans sa prophetie
il
revela que,
si
le
.
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
590
[48]
A nu-T/a. — ©nonn] A A om. — ^tv*
>,A]
1.
—
iDftnti/».
—
AH,
P,
ib. ;Bft-flih]
mfif^
ib.
A o/n.
n.
^nn-.
—
—
2.
no-T^^-] P, 0,
P, 0,
3. ü7«j]
»*.
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•
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A¥*<.
•^Cfr'
>
'
de hiens 3.
que
—
les
comme r°
et
<"».?:'>•>
t\"ii\ao
apütres qui
propilötisa
II
eaux il
et le
avait
a
la
ville
«P**
A°VAao
-^A^;
le
»».ffrA
H
•VA?"
i
nom
i
^^A
Yi-^-i
i
;
>
A
propre ofmi,
n
le
!
::•
*J?rft^
1
h'^'V; ^-Il-Tr
>
les
II
nomraa
:
annonciateurs
la ville
de Ninive (Nanawe), declarant
En
efTet,
le
Seigneur
Le feu s'alluma
'
du mal.
produisit
en
eile
en
11
arriva eile
un
et brüla la moitie
pechö. Quant ä ceux qui demeurörent fermes dans leur
Seigneur
Nahum,
"11X9"
'
•^cfT' est ecrit sur
i
il
ne leur arriva rien du tout de mal. et eut plu au Seigneur
— Lorsque ce prophete eut acheve sa prophetie le
>."iT']
>
A1rA«n»
'
au sujet de
terre.
«6.
=
.
est en surcharge.
precheraient.
le
prophetise.
par sa vie ascetique,
1.
>
i
7,^ll.>,•n/f..r:
feu devraieut la detruire et lui faire
repentir envers le Seigneur,
Que
Trfi
c'etaient ceux qui s'etaient detournes de la voie de la justice
:
et avaient fait
4.
1
7-n4
:
predicateurs de lapaix
grand tremblement de de
«»^"flA
•
un grattage; un autre nom propre
et au sujet des
«B-ftt
7.
»>-"VT'.
;
9.
n<jri+
'.•0
»V-'^
o»/,
7-n<.]
ti. fl»,.?°T,tiL]
/i. nft-v*"]
«.
«'*•
».e:+.
-Vt/hU*«"»
8.
iDhfl>.",p^]
zV*.
ib.
ot\a>- sie.
ib.
fl»-nt
A,
s'c.
'^-
«vaje.
t
6.
ib.
5.
«*.
z6.
(onni,,
^i"i:>.}P.
ib.
ib. m/;>ifi?°
fl^.^r,
ib.
4.
i,
15.
il
mourut en paix.
ait pitie
de nous par sa pri^re.
Amen.
«
LE 5 TAHSCHASCH.
[49]
—
II-
{\^r
Alf
5
1-2.
T
:
Ah
•
hT^ti
fli(ii|-fc
P
h«^-*]
:
A-l;
A'i.W!<.
!
—
ib.
twAÄ
:
i
de/ic. (variantes tiröes
108 v°
b).
—
KVi. •dÖ-Ö
—
3. rtAiT]
.ft^^'Vv]
ft"7ö|-
:•:
«A»n
7.
n,-i-,"ht
>
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•-
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.e.r'Dc:
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— —
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:
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:
2.
h-^-V.
—
.f.r'.ho
=
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:
T
0/?/.
il>.
mni/:]
nxA»*
>
>,"»i.>,-flA.c
A'^AJT]
ib.
—
saiiit Isidore.
MUMi-Ji-c
a-zA««
:
A nn.e;A*A4>1-
:
:
n«A-^-7i
s/c.
saldm suivant
ici le
HCA-Fft
KV(i-^
hftt-SAfl»>.
::;
:
—
.•
jp.9°oc ib.
iTflA :
>,A
:
A-(i>,n.
=
.
:
—
Mf"
t+^-A-
5. i
Ch.J>] Ati
rt-n>.
:
nx
:
h^iV]
A
<>,
M)A-
:
T
iol
h-Am-^Cft
:
:;:
a-^a
Hl
r.
:
:
.•.fh. Cf. /«// «, p. 602.
MaRTYRE de SAINT IsiDORE.
est saint Isidore ('lyäsderos), martyr. ait pitie
II.
—
predicateur
'
de nous par sa priere ä jamais. Amen.
Revision ou Vulgate.
3.
toi,
>...eft-
=
Hn.e:A*A*]
4.
.sie.
^-v^tö
En ce jüur aussi Que lu Seigneur
ä
—
K{\.e:ei\.
des douze premieres lignes, non endommagees parle feu, du
2.
Salut
commemoration de
la
T
AlAo»
.ßyrf.V'i:.
^"/Hr,
:
•
h.fn.e.ei\2
>^^n.i^n,h.c
Revision ou Vulgate.
«/'ä^-Ii
h'ii
*A^
!
—
mnii-t sie.
!r
rtnvi.
:
591
Sal.\m a Naiium.
de
la
veniie de Celui qui sur le Sinai (Sinä)
Est descendu au milieu d'un tremjjlemf'ut de terre.
Co Dieu, toi-meme Supplie-le,
reposent sur
De
faire
la
Nahum,
lu l'as vu par et
l'oeil
de
la pensee.
demande-lui, de la poussiere de
tomber en rosee sur ma soufTrance
PATR. OR.
—
ses pieds qui
nue,
T, XV.
—
F. 5,
la sante, 41
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
592
[50]
1',
96 V» b.
fl.
1.
Hon]
—
ib.
P
o/ii.
(oi\atf
— A
A
ane^ryrn.
7.
ante
ib.
ante h*/i-/^f
^•tt,l\r
— 5.
A
fl>H-t
A —
a>.
add.
Incipit.
—
n,
—
•
/i.
a.
—
— —
nr.Tift]
ib. •ttöö't-^
mm.']
3. /7>.
o/n.
—
ib.
A om.
amtn]
2.
6.
W^C/fi.
ii.
—
A
<{.;ir.'(']
A
afhViiIh']
at et
ib. öi»?",e-^rn]
— —
acut. om.
«n.
n<{-öf.
Origine, naissance et education d'Eugenie.
2.
—
A o/«. am. —
no?«::
n'>n->%]
A
A
A
MaKTTRE de SAINTE EUGENIE.
son pere I'hilippe, Eugenie
de
om.
)in-v.
8. >
4.
1.
:
om.
mri-^n]
add.
A
A
n9""i]
ib.
Ahn-v]
I
visite
les
—
Avcc
3.
la
permission
monasteres du descrt d'Alexandrie, est
deux eunuques qui l'accompagnent, par un eveque appele fait moine soiis le aom tl' Eugene. 4. Son 5. Eugene est elu abbe du monastere. 6. Dieu lui pere la clierche cn vain. 7. Faussement aecuse par une femme qui voulait accorde le don de guerison. se venger de lui, Eugene comparait devant son propre pere, le juge Philippe.
baptisec, ainsi que les
Theodore,
et,
—
sans reveler son sexe, se
—
—
—
—
se fait reconnaitre; conversion de Philippe.
Eugenie
8.
d'Alexandrie,
patriarche
martyr.
—
10.
exerce sa Charge
—
9.
Philippe est institue
pendant de longues annees
Eugenie devient abbesse du monastere qu'elle a ionde.
—
11.
et
meurt
Martyre
d'Eugenie.
1.
—
En
ce jour aussi est le martyre de la bienheureuse Eugenie ('Aw-
gänyä).
—
2.
Gette saiute etait de la ville de
etait Philippe (Filpos).
appele etait
OGv'b.
y
adorateur *
des
(Rome). Le
nom
de son pere
Roma,
qui adorait les idoles. Le pere aussi d'Eugenie
idoles. Gette sainte
Sa mere
Rome
avait alors le roi impie de la ville de
Commode (Mamdyänos),
(Eskendryä). foi
II
naquit dans
la ville
etait chretienne. Elle lui enseigna,
des chretiens. Lorsqu'elle eut grandi, on
la fian^a ä
d'Alexandrie
en cacliette,
la
Tun des grands
magistrats. 3.
—
Lorsque son pere
auparavant de
lui
eut expose ceci, eile lui dit
partir au desert d'Alexandrie, d'ouvrir
rejouir de la vue des couvents.
»
:
«
Permets-moi
mes yeux
et de
me
Lorsque son pere eut entendu ces paroles,
LE 5 TAHSCHASCH.
[51]
Kit-
•
n-J;^'>
fljflx.^
iMfli-l-
'
^ll
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yf-A"
•
iiil-f-
!
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JiÄ* ffl^Sn
^f-tl
'
AO
••
•
593
•
:
a»'fvnir'4">
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'l;?'Ä-c^n «
Hftfl»"
9"ftA
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wem-,
=
10
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cn-fc^-V] Ä.ft
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4. fl>nÄ.«h]
—
—
z'Ä.
ib.
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A
n>i?"OA,v]
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il
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:
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>i.<:Yin]
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>ifl>-;>'v»'-n]
adjoigiiit
O
/^.
A
>i.^*
—
-.
hO-'l']
m^m.']
>ifl»-;iv.e.
—
.etD-öh.
(Tewodros). Etant arrivee fut
/i.
et lui
Hfltfo-]
— — — — A
—
fl>je>i-t.
=
A —
°/-n<'..
P
fl»"ti'"yft
4-5.
permit de
lui
«7».
i/c.
iaim^-pi\^-']
P
h.
— ai
hr»-.-}'/
h..
8.
«onv-'i-.
m?-!-]
«u'^-.
A'>.<^n]
s^f-
h.i'WI-.
faire ce qu'elle voudrait. Elle
uu eveque juste
eile
—
A A om. — m — P, A o/«. — 11. A — 12. T.'viu-nA.c]
oi>»i->]
//>.
«o»!'/]
9.
n-t.
Hflö»
h.t«ro.e,,nii]
7.
ib.
A P
hflH/JVvn] 0,
ih.
at:io>"t.
'
io"tr'9'2
P
om.
0,
«t-t]
couveuts des moines et arriva
les
lä,
•n>ift.*
a)>n<:i-.
j'i.
ib.
:hbV\'l sie.
fut appelee du noni d'Eugene ('Awgänyos).
se Qrent
Ils
On
ii
une
et saint, appelc
exposa tout ce qui
avec ses eunuques.
baptisee
O/«.
A
n"7]
htt-'l
hpTr-VI-]
//'.
deux eunuques
A
/6. ?-(i<:]
A —
ä la tete de laquelle se trouvait
Elle
/i.
— —
oAfl»- sie.
«"hol"/.'/]
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h.<:tin-.
iV;.
au desert, parcourut
cceur.
/6.
-n^ft,^:
:
A
^B4•.'^ft]
:
mnrt'>f.F.
i',u>"t
— A
ortw;
oa«»^-]
—
«nnxvhV.
ib.
n>i?"oft.
ib. fiD-6'h]
3.
.eh-fc
A ont. — —
o«?.
— —
A
5. öJ-lftyv^]
-n^ft.^
itt.o-']
—
"FÄO^.
:
rntt/,.»!',
—
/Ä.
A
h.Ä.n
P,
onyi'rt^- sie.
^.
iicni:i'V>.
!
A
«FAn]
etait
moines
ne sut pas que
eglise,
Theodore dans son lä.
c'etait
Elle
une
femine. 4.
— Lorsqu'elle ne
fut
pas retournee vers
tout lieu. Lorsqu'il ne l'eut pas
continua ä l'adorer, 5.
— Apres
c'est-ä-dire
le soir et le
qu'il
fut
trouvee,
il
lui, fit
son pere
la
chercha dans
une idole ä son image
et
matin.
demeure un an en fonction, l'abbe du monastere, elurent saint Eugene et
du sanctuaire, mourut. Les moines
rinstituerent abbe ä sa place. 6.
—
Le Seigneur
lui
accorda
le
don de guerison,
afin qu'il expulsät
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
594
—
7.
fli?iir,e,"V<:'H
roe.?
:
:
rt.e,«]^
[52]
^^mj'
i
?,lfhe
:
An
at-tif
.-
-n
* p, 'J6
v° c.
jp^w-ftvi'-
h9"i.V
fljeo»-ftn « fflr^n
••
tlhfiA'
7x1:
/"/.>.
flj^n
n
•
?iA
1.
>irt.^
— —
!
>i/fifc]
'^n
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••
A
0,
A A
-
n-n>.
h-zncle
:
^Hti
hat-pivti
••
mfin
:•'
—
flh/h-t.
ib.
ib.
>,fl,ßTrl-]
iin-fc]
P
V^vvc]
4.
P
(D^fflni:
oni.
>,n»«.]
>,nr.,hn.]
A
—
•'»^•V7C.
>iftr:<1.ru
ib.
7.
W^-ltA-cro..
(>a
'
.v9"K"h9'ti^'\
ib.
7.
— Ensuite
femme, au point monasticat
t'a
ffl/{.l|
-.
tourmentee.
=
:
5
j?.
d-CM-
m^n
••
tir
— •.
—
A
(lA.rt.*
om. !
fl»il|.
.
«oh-TrTr.
ü
femme le
— —
fl»>ifl>-;i-v
A »lAK-. —
hr'iwao-'Ji
aveugles. Vint une
-fl
s/c.
A — 10-11. m
10. rt>iiB-;)V]
t'-u
3-4.
0, Ah'hr'V.
.ft>i-fc]
add.
—
manfch.
P WVfft
hJi-vi-p]
ib. \}£\'h]
y,(\
A
>in.^.
6-7.
Satan (Saytän) mit un desir mauvais dans
ib. jßh-
o/n.
qui avait
*
cceur
d'une
Eugene d'abandonner son couvent et son Lorsque saint Eugene eut entendu les paroles
qu'elle dit ä saint
il
»
n.
—
nA.ft,^]
A —
A
>,a>-;rvt'-fi]
— !
>iir'iy.
n'/"/.-.
de l'epouser.
et
de cette femme,
ib.
.•(A.
wtoii-njPöo-.
//'.
les demons et qu'il ouvrit les yeux des imdemon. Saint Eugene la guerit. ^'
^/.iT-
^n ••
aianKh^2
3. ?,n-P]
'ht\c.,hX.
l\an'/)i/i^-
h-(lW<"h}P
,ßl»-'>V}»'tn>-.
*
7.
9. >,5'"ip]
^/hfi<:>.:
/ö.
:
hrj^e
:
ib.
—
nn.
ib.
(oy(D(\-tt.
/6.
rh/.
=
—
hö.e.-^^.
HO sie;
— A -m] 0, A — sie; A P — A »»h-VTr. — m^flrt"] A 8-9. ^-^rw.] A A «o.e-^r'c. — A ante A fofb'hfaD-. — ^. — A mM^Kf'bV. — 11. atmvflan.^ A — nn.*] A — 11-12. top -yro^} A 5. (D^a»-nn]
ib.
ÄV
*•<{
^.n.A
•
.•'•'v
htif^
mhii'^le
:
••
hM'^'i.i-
•
öJ-lltA»
hh\}'i.^:Cjf
:
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Vltu-.
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:
htxCUK
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:•::
».Kiv^.
add.
rtj»""/
{\^"\"i
•
«»h"'»
!
Ä/.1Y1-
••
T-u
h/h-r:
'^n
•
a>,eifi/*'->]
ante
ib.
7xi\ff"
y^h"i1-^
•
lui dit
Va-t'en loin de moi, ö
«
:
Lorsqu'il Teut confondue, cette
ma
femme
sceur, car alla vers
le
Satan juge
moi-meme, lorsque je suis allee ä tel sanctuaire, un jeune moine est venu vers moi dans la nuit et a voulu me deshonorer. Lorsque J'ai crie vers mes serviteurs et mes servantes, d'Alexandrie
et
lui
s'en est
alle loin
genie, eut
entendu
il
avoir
cnchaines.
dit
:
Voici que
«
de moi. ceci,
il
Lorsqu'on
»
Lorsque
ordonna de les
lui
le
qui etait
juge,
faire
le
pere d'Eu-
venir les meines, apres les
eut amenes,
il
les
douna ä un autre
juge, afin qu'il les suppliciät dans son palais. Certains d'entre cux
mou-
rurent.
I
LE 5 TAHSCIIASCH.
[53]
—
8.
Airoho-J-J
fn>'i\\'
•
wao
>,oi>-i
1
»"71.']
—
5.
s
j,^.
Ot]
—
:
n>i9"'\>iti.:
.-
_
jPöo.]
iihTV
=
A
A
P
ib.
8.
P,
w>
aujuge,
A
/ö.
A
rt..|'
=
pere
i
fl>.e(i.A"
h"7Tr
:
••
j
:
:
9"
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mA
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roAhA
fflW-A-
••
—
rt-n
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nr?" A.+
>.rt.C'«>i>-
ib.
>töo-,n-
fl>ft''V.J'
>
8-9. WCi^-tfil
S^A'll-.
—
11.
—
«"»h»"»
m.&n.'i
N
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o//«.
«
:
O mon
vit
l'opprobre
volonte,
lui
lui dit
:
declarant «
iiiflige
aux moiaes,
eile dit
Seigaeur, jure-moi que vraiment, sijet'expose
En
ma
volonte.
lui
et
qu'elle
verite, tu es
fit
etait
ma
»
Lorsqu'il lui eut jure,
voir sou mystere.
sa
fille
fiUe
Elle lui
Eugenie.
Ayant
Eugenie. Je crois en ton
ordonna aussitöt qu'on dechainät les meines et que ceux qui * et tous etaient morts dans les supplices on les enterrät. Son pere, sa mere Fils et du Saintles o-ens de sa maison furent baptises au nom du Pere, du
Dieu.
))
Esprit, 9.
97 1-;..
hCft
mtxi-
:
rtöo>r"t->]
ft>.°JII,>.r.
wA^f
—
conduisit dans un lieu secret
juge
hiB-:r',y
o/«.
le
le
=
:
eile
entendu,
;1"/C"öo-
n>i9"'>Tiii.]
mystere, tu ne feras pas obstacle ä
sa
il>-
•
wa-Vv
mon
exposa
A
=
•
3.
h'ti:
A
^h'f:
:
fflrt-j:]
Lorsque sainte Eugenie soll
•/.e.«7T-f-
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(ohi
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ib. >.>,°JH.>if]
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An
^n-'/
Ä"^<ß
•
"J
Ol
:
595
II
un
seul Dieu. Ils devinrent chretiens.
_ Lorsque
les
tuerent patriarche sur
gens d'Alexandrie virent le
annees, en prechant la
la foi
siege de Marc (Märqos). foi
du Christ.
Un
II
de Philippe,
ils
Tiusti-
siegea de nombreuses
autre juge
impie envoya ses
* P,
97
r° ü.
LE LIVRE DU SYNAXAERE.
596
A
Vn<.
:
ho-
S»"ftA.y
I
W-iJl
:
P
iTit] 0, «BPJiViA-;
—
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A
i\ha>-pyif
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93^.
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— —
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6. h.Ä.fi
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5. >,
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A«?*.!-
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3.
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P A »thyu.. — 4-5. — ante O add. — *A A*'P'>] — A ow. — — 7-8. nilHlLho-] A
o»"/>'O.P..e-F.
w.
ncfi-Pfi;
un grattage
est ecrit sur jit»ortA->]
Kvd-n
ft'^öt]
:
•"
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n"7t s/r;
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—
2.
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—
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A A
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— +tA}»']
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1.
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!
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'/.T''"»-
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•
n
:
[54]
:
:
:
— 8-9.
n>iTr+
>i1il>iV tfl>A.P.
»f-Tr
:
!
öo.e"^"/
A"iAo»
un autre nom propre
:
i\an
=
h.fft.n
:
:
n^CYit
:
'
.
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A'-jAön
"^A
"if\9" '
ji-vn^i-
Yicfi-pn.
.
le
i
HOin
h.f ft-ft est
en
iit«oftA.
soldats, afin de tuer Philippe en cachette. Taiidis qu'il priait, en se tenant
debout dans Feglise, on
—
10.
Eugenie,
il
tua
le
Lorsque
le
la re?ut
aupres de
qu'elle avait bäti.
lä. II
devint martyr.
patriarche de
Rome
eut appris l'histoire de sainte
lui et l'institua
abbesse sur
le
propre couvent
Les religiouses de ce couvent ötaient environ
trois mille
vierges et trois cents moniales. Les deux eunuques qui etaient demeures
avec
eile,
11.
il
—
les institua
Un
supplices, au
nom
point
qu'elle rendit
de Notre-Seigneur
Que
eveques sur deux
villes.
autre juge arreta sainte Eugenie et la
le
son
Arne
et
supplicia en
devint
martyre
divers
pour
le
Christ.
sa benediction soit avec notre pere Za-Manfas-Qedous pour les siecles
des siecles. Salut ä Eugenie, qui se
fit
semblable ä un eunuque
[55]
VI"
ö»^.»iv
!
—
—
^^.
—
ib.
"Vi;
!
»""i-^-c
!
Aä]
P
—
Ml-.
A
5.
-p'i
7.
A mAoo J»«»'.— A o;m. — ?7>.
le Christ,
Je proclame
:
ffliifln
^
t'P.
A —
:
nui:
:
.«n>iA']
•
A A;
dans
la
—
1.
2.
6.
—
En
—
—
4. II est
—
.ftl/"W :
A
Aflfl».
:
t
:
A ow.
A^ö»-]
ffl^ooAlnA}'» sü'.
rt'^
«dcw>
ib. nir»/] :
A
P
—
difi
9.
fl>
de son pere Philippe, ciel
il
quo du royaume de
la terre,
reprenait les eveques.
—
3.
Victor remplace son pere
emprisonne ä cause de sa apparait.
lui
—
7.
foi.
—
subit divers
5. II
Martyre de saint Victor.
—
et sa sepulture.
ce jour aussi fut
martyr saint
*
Victoi' (Fiqtor),
de
la ville
de
territoire d'Asyout.
Le uom du pere de
cc
saint
Marthe (Märtäj. Quant ä eux,
Seigneur
A
Hhat-.-j-^f
ffln<^i^
;7>.
P
;
2.
n"7,ß] 0,
MARTVnE DE SAINT ViCTOR.
Notre-Seigneur
Son ensevelissement
Schäw, du
etait
—
::
>iön.
—
ib. w^anATi}'']
Origine et education de saint Victor.
Charge de prefet.
supplices. 8.
2.
>i:ifl>
:
öM-
:
ih.
••
en sorte qu'elle aspergea les freres moiiies.
pointque, devenu patriarche,
Incipit.
—
ao^''P6t
o/«. A.
—
W:.af.
A.
.ftlA"»
=
fflnii-t
A
A
o/».
rÄ-'P-i-
.P.n>iA».
ensuite la justice
5.
1.
—
o»z.
Qui s'occupa plus du royaume du
Au
1l>
.
m^-o-a-
•
'h-J,at\
A
-!;JP.e-C"fiV
om.
A
A
hfim
öa ii] O,
rnA1IVJ.-rt]
«6.
Aou-vj/"t]
s
597
^tih/i-
••
—
öi'-/)i/i->.
ii.
^-flA
i
hnn
•
.P.?/"»
:
t\'\T^
8. !>>•]
:
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«d-A-ä:
Pour
:
Tfin-;
Jffl>-]
A>>ö»->.
^.^"V?/"/-.
hllm]
:
fl>>n4-
••
«o>ri()(-]
;7*.
<»
le sah'ini suivant
rtrf(^.
nA-flfr
—
om.
^ßX/"»
:
fliAÄ-
!
3. J,oi»Tr"J/"l]
4. )•>
i'Ä.
—
A
^-^H^h]
1.
ffl^Ä-*.
rt-
:
TAHSCHASCH.
S
I.E
sans
peur.
Ils
ils
n'avaient
etait
Marmar;
le
nom de
sa
mere
etaient des justes. Ils adoraient le
pas
d'enfant.
Ils
continuaient
ä
*
P,
LE LIVRE DU SYNAXAIUE.
598
e'ih-f'
—
3.
/»'
n-Ch l-
•
•
fl)(^n
« ffl^n
—
A1IVJ:
/^.
—
5. :»]
T.
C.
^.t\"i]
ii\?.
A A owföA. — —
~-
loft^]
ib.
A
A
Wf-yj-.
A —
de main.
A
jp
A
9.
7.
prior
n-n>i
ib.
im-
•
•
y-
A A um. vv/"] A om. —
:
3. ö-vrt-F]
^hv".e:^^.
.
>,V»Vö]
ÖÖV;
-^fff
•
A
'
>.1rÄ-V.
8. >i..eö»Ali]
liat-']
:
/i.
9 de Genbot. Puis
ib.
fl>.
10. >,";H.>i-(l
'
ib.
!{r'K^i^.
ib.
>,HH-.
aumönes aux
eile l'eleva
h..
<»•
iiim-:
.t"/"»>i}p]
'^rlf]
le
fl»"i"
«^- fl»!"*'/]
f;!/'"/''}^«"^.
:
agrea leur priere. Cette annee-lä, Martha, Tenfanta
ib.
•
^T-/**
thO-^V.
a>\9"-v
Sif.
ib.
n.
donner de nombreuses
ä
et
«»)•»
önh"V>]
—
n"/>.
ABV-F]
ib.
o/«.;
— A Amcn-Pfi. — A add. — — A
—
/*.
ib. ft-n>,
— 12.
P
«o
AViCfi-t.ev]
A^^iLh-fl^rbt:.
K^ttC.9'.
>,fH)-]
4.
"•
Ahcni:
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•
A
0,
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"-/C.
:
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:
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— A ow. —
niTr*
vh11(\^
=
— 0, A o/«. A .e^^Aj". — 7-8. — ante mi A est de secon— ante },nt'P£.e o/«. p;V"y''"»*] 0, A — o/«.; A «miwcrv >.JirV. — >,h-rv] — wnc"] A — n-v»A] 0, A rivx.A. — li. A — UA»] O, A 0/«. Mlll] 0, A hnf. —
«"'/»'fi.
add. m.
:
«7».
=
K»»
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•
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2Ö. ODJK.T»]
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•
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'^n.'J-
•
[56]
paiivres. Puis le
dans
Seigneur
Mar Mctor.
la benie, conQiit ce
la discipline et
dans
Elle
la crainte
du Seigneur. 3.
— Lorsquc Victor
Le
roi.
—
4.
En
vint
les
ä
äge de vingt ans, son pere
cliretiens
de
ville
la
inecliants
accuserent
qui
arriva
n'adoraient
Victor,
saint
Seigneur purcment. Aussiiöt trc lui
devant
Lui-meme
Ini.
cut reluse,
il
au
juge
pas
rechercher
Sclu\\v
le
il
le
conduisit vers le
de son pere, car ce dernier avait
peu de jonrs apres,
ces jours-lä ou
(Diyoqletyänos)
Diooletien tuer
fut
roi Tiustitua prefet k la place
en
la
d'Ensnä", dieux.
los
disant
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lui
sacrifier
ordonna de Fenchaincr dans
enjoignant
aux
la prison.
le
de
juge
gens
adorait
le
comparai-
fit
dieux.
Tandis
le
des
Alors
que lui-meme
On
vieilli.
de l'empereur
Lui-meme,
chretiens.
les
ordonna de l'amener.
contraignit
lettre
Lorsqu'il
qu'il priait
LE 5 TAHSCIIASCH.
[57]
599
*
07
^H
10
\lCl^'
ihtmC
•
ante
1. fl»hft<:-)
!
—
—
afW^
s/f.
—
^Vfi.
i'b.
A
(IV
>
""'^>.1il^
A
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ib.
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A
ib.
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«n.^P.
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ffl.c.rt.^J"]
ili«T,rn]
—
.e^oD/fiii.
:
—
mMiM.
fl>fl)ft,(^}»
A
;
— 1-2.
.
—
3.
et
7.
ft.
—
rti''"';]
4-5.
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— —
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i^ltV.
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4. fflafTi-tii]
—
L-
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s/V.
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X-fl
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"ill.e.li.
— O ihauc] A na»] A o/«. — 10. — «»>,>»] 0, A o/«. w. — mi-lw-] A
A >i*ü. — ib.
oDAh^i
üKDnÄJP]
—
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«B.ß.e.ß'C.
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'T.iih.A
(O'"!.!«^ f^
/6. >,rt<.]
ib. (Dhiill]
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(C>fl>
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(dittologie
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fDjx'iU
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mwRV: C.
add.
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Ah
:
fl»ffl»-lf.
rt»4Sin>-
—
A
ii'^lfi']
aifl>->,i:ft]
il>.
'
ffl^rtÄ?*
fl><;.e
a>-l\i-
Tu-
^.-flA
••
p, r-
'i.
h.e.v.wao-.
Ket'i^]
"nc.if
9.
(nffl.ep.]
tir.'V
•
:
rtWiöo «>
11.
iTi.
<{.>/h.
lä,
saint Michel (Mikä'el) desceiuUt vers lui et le
Fange du Seigneur
monter
fit
^
*
au
ciel.
Lorsque
gardiens de
les
.").
—
Lui-meme I'envoya
du Seigneur. Lorsqu'il persuader,
il
en disant
sacrifie
aux dieux.
ligota les
mains
«
:
S'il
et les
Le juge ordonna de mener. Tandis lui et Ic
fut
ils
pas,
retrouvereiit.
le
Ils
ils
le
qu'il
le
le
dirigea
Voici que je tc
Diocletien.
Fempereiir
vers
de
lui, afiu
le
Ge dernier
se
detourner du culte
fatigue de cette tcntativc et lorsqu'il ne put pas
I'envoya et
yänos),
trouvereiit
le
juge.
le
inontra tendre et se montra doux envers
le
ne
prison
Sept jours apres,
furent troubles extremement.
conduisirent vers
la
refuse,
pieds et faire
n'hesite lui
Eustache ('AwtAko-
Victor.
pas
;.
le
S'il
tuer.
lä,
t'ecoute, »
qu'il
Puis on
mit un frein de fer dans
entrer dans la cale d'un
se trouvait
delivra de ses liens.
on
vers le juge
t'envoie
la
lui
bouche.
navire et de Teni-
uu ange du Seigneur desccndit vers
P,
LE LlVRE DU SYNAXAIRE.
600
ho-JT
Vi
9"AA
'•
fljAn.'/
1.
ib.
—
OOT. ?3.
ji.
ib.
A
—
.ein6>i.
—
6.
soll
—
ffli^ii.
A A — —
ow.
\-r'b"i'] fl>irt°.
y"vsÄ
/ö. ^u•r^\'l\
••
=
8.
nt
=
A
-iiAii]
Famena au
Puis on
empereur
infidele.
violent supplice. Puis
Ylin>
il
4.
:
;BPfl>'IP
mciV. — A A ir-vs^
>.y"ft.i-
jvige.
=
-riAk.
:
kklan.
Quaut au
prodiges et 7.
il
^> 97 v°
—
12.
ih. «»<:.?.]
A
un
cliar
••
TTru»-]
0,
A
—
'ö- n
— :
«»«101.
—
H«»
—
-y
mhmi.f']
ib.
HVt]
7.
.&"?.<".
=
A
CihfiTr.
10.
m-nt]
h^efflöK.:
h..efl>-ö>t.] a»<^.e..
et le
le
juge
supplicia d'un
prison. Tandis que
la
i»"!)
m^iwc".
mit ä maudire
se
=
hh
Hn.'h
cnifrOV s/V; 0,
A
W-
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-nAi.
i\a^
de lumiere
Victor se
donna
et lui
depuis ce jour-lä, de nombreux miracles et
fit,
guerit tous les malades.
— Lorsque
De nouveau,
saint,
A A
juge s'indigaa
le
Tenchaina daus
il
''6-
'
—
Le saint
Aussitöt
P
v.-n-t\i\
—
2.
miw<'.?'\.
fl).P.-|.(n]
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A
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trouvait lä, Notre-Sauveur lui apparut sur le
3. (D>,!ril
m.efi.'hn?'.
rirti]
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A
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im.i-
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rDhir-H
:
[58]
il
le
juge eut appris
s'efForga de le
ccci,
il
se fäclia.
persuadcr et de
l'outragea et maudit scs dieux impurs.
*
Aussitöt
le
le
II
ordonna de Tamener. Mais
le
saint
juge ordonna de
l'atta-
seduire.
;i.
cli(>r
il
la
queue d'un eheval
Ensuite on
le
et
de
le
jeta dans le foyer d'une
trainer pendant
un jour de course.
maison de bains. Ainsi
il
acheva
son combat il'une belle maniore. 8.
— Quant
ä son corps,
on no
le tira
pas de cettc maison de bains.
10
•
n.'^
hcft'i:j?v
^VhVJ:
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1.
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2.
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—
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011 descendit avec une eclielle, on ronscvelit duns do beaux vetemeiits on rembauma avec des parfums. On bätit sur lui une eglise. Que la benedictiou du combattant Victor soit avec son clier Za-Manfas-
mais et
A
:
se trouve sur
>xi.a>:
m-ri/h-^i]
iT».
le
;
saldm
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contienl deux saidin ä saint Victor; le prämier
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LE 5 TAHSCIIASCH.
[59]
Qedous pour
les siecles
des siecles.
Salut ä la memoire de ton
Et plus suave encore que
nom le
plus odoriferant que les parfums
miel et
le sei,
Victor, toi qui es une brebis dont l'aspect est pur. Qu'il devienne
mon
racliat,
Le sang de ton martyre
puisqu'on
qui a ete
t'a
repandu
immole
comme
ä Scluiw,
l'cau.
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
602
ÄA-fo»h''l'i
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:
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un grattage.
de H.vnänya, de Ba.r.^chie, de Jean et
F'ilentos,
DE Philippe, pere d'Eugenie,
En
ce jour aussi est la
memoire de
Filentos, de
HanAnyä, de Barachie
(Barekyos), de Jean (Yohanaes) et de Philippe (Filpos), pere d'Eugenie ('Aw-
gänyä), martyre et combat tante.
Que
leur priere et leur benediction soient avec notre roi
siecles des siecles.
Memoire et
7.
En
lyäsou pour les
Amen.
ce jour aussi est la
s.vl.vm
de
memoire de
sa.int
Eleutiiere.
saint Eleuthere ('Eläwteros),
marfyr
de Dien, qui a acheve sou martyre.
Que
le
Seigneur
ait pitie,
par sa priere, de son eher 'Aqba-'Iyasous pour
les siecles des siecles.
Salut k toi, hienheureux Eleuthere,
Martyr du Seigneur, Toi qui as ete
Que
je
me
le
trouve
compagnon de gens lä
oü tu
te trouves
Fais de moi, par ta priere,
qui ont ete tues pour Jesus-Christ.
sous
le
grand
un homme predestine.
autel.
;
LE 5 TAHSCHASCH.
[61]
—
III.
4
—
.
tonn-t
hitt.h'ttth.c
(Dnd.iiv
nöA-i<•
•
•
rt'jni-
rtin;i-K
4.
'pi-
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8.
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adJ
—
A.
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7. ffl^lin]
vii
=
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An©
m-ii.^^
:
•
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>n,jp'i-
'
M
—
A
<'.rifl'C.
:
—
Propre.
— —
—
—
—
sujet de Forthodoxie
— Em ce jour aussi
1.
—
2.
aimant
de l'Eglise.
loi
dans
la doctrine et
scruta
les
mosaique
loi
Ils
livres le
passage
jour du sabbat,
faire
la crainte
proplietes
des
qui
dit
saint Pere
:
Eux-memes tut
ue
Loi
Le
Qu'wi seul
et
iota,
des proplwtes.
texte,
un
trait
ä
graves) et incomprehensible.
—
il
la
est
2. Ex.,
et
Seigneur
II
le
:
ordonne diaere.
trouva dans
sabbat
et
la
il
comprit
mon
et
11
Loi
a preferr,
trouva
Honorcz mes sabbals II
*
sagesse,
k le
ai-cc
Evangile
nn seul petiole ne passent pas de
qui
celui
propre a A, du recii de
souvent incorrect et tres obscur;
fut
la
meure de mort'. En outre,
qu'il
seid
Quant
il
a viole
commentaire d'Abba Sinoda (Sinodäs) sur le texte oü Abba Sinoda parle des deux sabbats. :
le
grandi dans
et eut
apötres.
des
et
dilifjence,
qui dit
craignaient
du Seigneur,
Cdui qni
une ceuvre,
Abba Gabra-Näzräwi,
etaient aussi des fideles excellents
Seigneur. Lorsque ce saint
le
sa mort.
du Seigneur.
etaient nobles.
Ses parents
et observaient la
;
memoire du
est la
vierge, pur, ascfete et zele pour la
1.
^^hn
i-n^
••
ViE DU SAI>T PeRE AbB\ GaBRX-NÄZrAwI.
recommandations au
la
M
»
OTX\h
:
=
4"Jft
=
2. Origine et education de Gabra-Näzräwi; son elevation au diaconal. Son monasticat, son sacerdoce, son evangelisation du Tigre et son ascetisme. 6. Ses dernieres 5. Son etat de saintete. Quelques-uns de ses miracles.
1. Incipit.
dans
A^n
aoK,h^.^ A.
ü.
III.
4.
=
A «Dffh^V.
11. fl»^h^1-]
3.
_e*v
.e.n.A"
•
i/c,
fl>«i>'i:+^t
'iiiJi<-
aj?.ö»-1-
••
^n
•
Propre'.
vi>
vfi^oD
•
i-n/.
:
»lön
•
öfi'i-
603
negliyc et oniet un
seul jour de
Vie du saint Pere Abba Gabka-Nazräwi est
meme
xxxi,
parfois manifestement fautif (alteralions
l'i.
g,
,.„
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
604
J?./hC
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'flrh.C
il
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•
A-J:
•
nn,e.v-/:if *ö»-
:
[62]
oo^,-hV't
:
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:
n^i-^A
=
'h'^n.h
fl>j?.n.A"
!
•
x^if.^inrii.c
hijl,
••
it 10
nue
•
^+n
'luD'
:
tD^'C/:)"]'
ß.
«
inri.Vfli.]
12. «»/•"r."/;Jt]
prccepte
-'i-xmie
A A
a»/"r."(,>-V.
A'Hi;)">e
•
•
hAh
— 9-10. — A
-/"/öll^]
il>.
fl'lt]
En
outre,
il
mirn/.
«"/^-n
•
tlölIVV.
•
n'JAi-
>
— 10.
-
naotf,
nm.H.ü-
A"/'!"
A
iF"it]
h-j
ty"i1- s
—
n"iif-.
joiir de pnk-epte, il
comprit ce quc
abandonne son pere, sa
pa.s
A
em
=
Ach
:
une seule parole relative an
et
naura
qui
©jin/.
(D-l».ya>- SIC.
roijaume des cieux'.
le
•
9"'>W'AV
s
m'ere et encore
deviendra petit dans
Notre-Sauveur
dit
:
Celui
soi-meme ne pourra pas
nie servir et devenir inon disciple'-.
—
3.
Lorsqu'il alla vers notre Pere Gregoire (Gorgoryos),
de notre Pere Honorius ('Anorewos), de Dabra-SegädjA, de
lui.
veilles,
fut
Puis
dans
persevera
il
le
jeüne
ordonne pretre.
Jacques (Yä'qob).
II
Ils
dans un
dans
et
la
desira aller
Abba Jacques
et lui
«
Ne
fils
spirituel
moine aupres
fit
grand labeur, dans de nomljreuses Ensiiite
priere.
il
alla
au desert. Puis
il
au pays du Tigre (Tegräy) avec Abba
expliquerent aux nioines les Ecritures du Seigneur, de
dit
:
«
Le Seigneur nous aidera.
»
Ils
sa pensee ä travaillerent
Abba Gabra-Näzräwi
ensemble. Mais Abba Jacques agit avec ruse.
\
se
Nouveau Testament. Abba Gabra-Näzräwi revela
l'Ancien et du
,.o
il
travaille plus avec moi. » Ils se separerent
Tun de
l'autrc
*
lui dit
:
sur la volonte
Nous nous rendons libres Tun de l'autre. » Abba lä. Beaucoup de moines se r6unirent aupres de lui. Il fit des canons lä. II observa mes commandements, la gloire de mes deux sabbats, la gloire des fetes d'obligation et les regles monasdu Seigneur, en disant
Gabra-Näzräwi
fit
:
«
un monastere
tiqaes depuis le matin jusqu'au soir. ietnps,
saus cesser.
II
pretres de rccevoir des soudoiements. 1.
Matth.,
V,
18-19.
—
II
observa
defendit de prendre
2.
Luc, xiv, 26.
II
le
les heures,
bien d'autrui.
chacune en leur II
defendit aux
defendit de maudire, au
nom du
LE 5 TAHSCIIASCII.
[63]
^H. 10
Art»»
!
fflÄ.T^
!
hoo'J'l:
•
ao^-^i,
,ft'1X/^^h-
!
•
rt-nh
!
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•
?»'>i''i
.e.rt'IÄ-
7;a.*V'I-
••
605
:
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'i»h.cr
^-Iffll-
:
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O/Ar
Afl»*Y.-n
j?.rtT-A
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:
87
A"is"
ACT-jT'
•
A
2. ftÄn°>]
m'/"
.
AJ^fr-t.
—
que
Seigneur, qui
fljnÄA""!"
8.
ce
soit.
n'eut pas de mesure pour
(Däwit)
ma
dans je
:
Je benirai
pas
avec ceux
qui
priere,
parolcs-.
Inuent.
et
il
David
sera karte
:
>.''«
a.a.i-
=
A -MiUA
13. J/ju]
=
©rihH-
c.
dit
David
Toiijours so ylorification sera
Je meditcrai
encore
dit
r
ä,
Lui-meme
spirituels.
enfaiits
=
s/c.
souvenant de ce que
se
outre, (David) dit
tes
—
ses
instruisit
II
la
,eAua>- s/c.
•
Seigneur en toul tcmps.
le
En
bouche'.
n'oublierai
A
fifwaK]
fflii-nfri
:
les 11
:
commandeineiits
ne
de la glorißcation eelui
et
trouvera pas
se
ipii
repaiid
le
sang. Durant le joiir, Ahba Gabra-Näzräwi ne mangeait pas, sauf trois jours par semaine. Gonstantin (Quastantinos) aussi ne mangeait que du pain.
s'appliquait ä mediter
Abba Gabra-Näzräwi
se rappelait ä lui-meme la Passion de
point que l'escabeau de ses pieds etait mouille.
II
etait
Saint et se souvenait de ce que dit Notre-Seigneur lamentenc maintenant, car eux-memes se rejouirunt\
Seigneur,
qu'il adorait le
vainquit pas. etendait
II
dit le
etait
II
sa
bienheureux Zar'a-Syon.
Pierre a dit
A
le
*
la
du Seigneur.
fatigue
:
embrase de l'Esprit-
Bienheureux ceux qui etait
II
1. l's.,
en allant ä cheval. Le desir du monde ne
se
II
et
par
ä Clement (Qalementos)
XXXIII, 2.
—
2. Ps.,
se
pieux au point
II
se souvenait de
le
ce qu'avait
tourmentait lui-meme par la :
sueur, «
Reprime
le
froid,
souvenant de ce que
se
la
puissance du Maudit
jeüne, par la priere et par de nombreuses veilles pendant la nuit.
l'exemple d'Abba Isaie,
II
des etrangers, se souvenant des sept diacres.
l'ami
main droite pour donner.
par la nudite, par
par
meme
loi
la
son Maitre. Ses larmes coulaient au
il
».
ne prenait pour lui-möme aucun avantage sur
cxviii, lü.
—
3.
Matth.,
v, 5.
«7
I- c
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
606
'|:
'i'.Art'h
:
—
4.
h««.A:i"»'
hc
••::
fflinj.rt '
•nH-;^
in-^i-
:
ini?'
fl>^n.A-
:
10'
^.«fe*
Vö'?;
:
••
hh'h'l?'
••
:
:
::
'nu-'P.
hnii-v
mi\tn>ii,t\
•
H;'"nh.
UP
:
nÄ-n-ii N.V
4.
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.c.>,ii.]
sie.
•:•
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<»n«o-v<{.n.
^r^/*'1• «fV.
9.
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H^.hfl>-
:
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=
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:
»»V^Jt
flJ>il)'1-Tl'P
•
"/«feOl-il.
3. fl»n»»-'/An]
.i'.>,t-
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•
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n.-»-
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•
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2. (ixii.ii]
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(D>hi.
hi\th.i:
?»fiv
•
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•
?.**
•
[64]
—
—
ib.
13.
i
yhr'c.'l
orta».]
A
14.
ses enfants spirituels, soit dans la nourriture, soit daiis la boisson, soit dans
l'assaisonnement des mets.
observa, dans la pratique, chaciin des canons
11
jusqu'älafin de sa vie et jusqu'ä son depart de ce monde.
—
4.
A
et
i^-ence
notre Pere Gabra-Näzräwi furent donnes la science, Tintelli-
charismes
des
nombreux
accomplissement
malades,
de
ses
lofsquo
enfants
peches secrets. cela
eilt
En
lleu.
II
tourna
apräs
son
avoir
se passait
II
outre,
mentionnons
trouva une fois
visage
ofTert
le
benite, la vit s'ouvrir.
la
son
vers
ä
Dieu.
lui,
avec ses enfants spirituels. Deuxieme eglise.
II
et
Le
Pere
asperge
Seigneur.
»
Ils
Gabra-Näzräwi,
porte avec
il
de l'eau il
passa
restaurait une
II
appela ses propres
meines qui sc trou-
le
D'aatres aussi vinrent par necessite.
cette colonne et n'hesitez pas.
prodiges.
avalt environ dix-sept
trouva une colonne tombee vers
y
ses
Abba la
miracle. Etant jeune,
vaient
lä.
de
sur la volonte du Seigaeur,
Une heure
il
leurs
dans leur cceur, avant que
quelques-uns
disciples.
apres,
Meme
rappelait
leur
11
grand'porte du monastere verrouillee.
saint sacrifice
Quant
choses
connaissait tout.
il
consolaient,
le
percevait ce qui
II
Premier miracle.
spirituels
guerison de
explication
et
Par TEsprit-Saint
cachees jusqu'ä mainteuant.
demons,
de
expulsion
:
prodiges
de
Pour
la
ne purent nullement
sud.
II
leur dit
:
«
Allez, soulevez
conserver soulevez-Ia sur
la tioulever ä
la volonte
du
cause de leur raechancete.
,
:
[651
5 TAIJSCIIASCH.
[J<;
007
»7 V" a
AP
\öM
••
^MLA-flo-
2. i:öoi'->]
<"hcr]
ffl^f.x.T
•
hAjVAjp
•
A
A SK. —
Ensuite
ils
la
:
—
i!"/öi..V.
y. >,'/•;]
ÄA-f-
•
4.
A
OA]
>,vii.
fl)c*e
:
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A — — 11. iincv] A sie.
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hin.h'tt.h.c
:
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7. "/Afi]
Min«:-/ s/c.
12.
•••
flJhi»"'«
-^Aft
A "/UA
s?V.
x-n,i.->]
1,-ri-
couperent. Elle avait une epaisseur de trois coudees
et,
—
A
.-
-i-
mn
7.
>.•>•/•
ä partir
de son sommet, uue longueurde trois mesurcs. S'acharnerent ä soulever cette
colonnc beaucoup de
ffeiis,
des
*
moines d'un autre couvent
du
:
sanctiiaire
*
87
de notre Pere Jean (Yohannes) et des gens du moude. dirent qu'ils l'abandonnaient.
Abba Gabra-Näzräwi
soulever.
Ils
colonne.
Ayant acheve sa priere avec des larmes,
«
Soulevez-la. »
Ils
dirent oui et
lui
Seigneur. Troisieme miracle. ä
II
ils
purent pas
Ils iie
il
pria sur la
leur dit
dresserent sur
la
la
ensuite
volonte
c'est
aujourdbui
ä son pays.
II
II
le
dit
au pretre, ä
jour oü
annonga
le
il
l'autel
est mort.
5.
«
:
»
:
le sut
Souviens-toi d'Isaac (Yesliaq)
Six
mois apres,
jour de la mort d'Isaac.
Nous avons mentionne quclques-uns de les plus
:
du
envoya ses disciples dans un pays eloigne
Hadyä. Son disciple Isaac mourut. Notre Pere Abba Gabra-NäzrAwi
par l'Esprit-Saint.
la
II
il
retourna
se trouva etre ainsi.
ses miracles, mais nous avons omis
nombreux.
—
Notre Pere Gabra-Näzräwi exhortait, chaque jour,
PATR. OR.
—
T.
XV.
—
F.
5.
les lideles. II 42
a,
V
a.
LE LIVRE
608
,^.«1"}
^'\'E
A
:
=
'
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••
«»Ävhy-
!
^n
jp.flö»-d
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AhÄ-
vs'-fth « at'tteöfi
•
"J-n^
h'jH
s
»»fi'v.-f-
cDAh-ndAlY.
:
jpaöa
:
:
[66]
n^T^u-
iM-Yh
:
nfl»-ri'i-
j
ft-nwil"
••::
r.^^'e
•
rTiiA.v
:
AK-fi
sans paresse,
Non seulement
TEcriture dit
eucharistique,
s'Il
le :
Pere qui
1.
« o^h-iirt
•
'
aoj
justes. Etant et
des
femmes
et les enfants,
l'eglise
pour
le
bienheu-
le
sacrifice
et
comme
si
que
me
je
une source' d'eau Celestes
trouve ä l'autel.
riioniine
choisit.
Lcv., XIX, 18.
mais
bienheureux,
voie
—
»
me
etait sur sa
vient immanquable-
Quant
ä lui qui etait ä la
n'agissait que pour eux. G'est donc admirable. C'est
cxactoneiil-.
leur le
mourir
declarons bienheureux ce saint
Bienheureux
(I(i)is
Pere, entrait dans
La pensee des choses
«
il
declarons
coininandetnents ])urs
:
jour, tandis
pourquoi nous qui
K'>n'j
les rejouissait
II
les
comme toi-meme'. Lorsque
ton prochain
notre
allait
disait
de ses freres,
tete
s
elevait sa pensee des choses terrestres et faisait couler ses
il
comme
Lui-meme
ment chaque
dit
Ahne
:
Gabra-Näzräwi,
tele.
hn-v
ft-nwiih
'
/?.ft
au sujet du culte k rendre au Seigneur. En
et les reprenait
les attirait
larmes,
n>^.?'
•
=
'
•
n'iinporte quel infidele, mais les
magistrats, les grauds, les riches, les liommes, les
s- yo'b.
Tni/.'e
garda son troupeau des loups, des hyöncs
il
serpents, ravisseurs d'ämes.
reux
'
-i-inf-Ai-
oiA.Th^'i'Th
r/^vö
et l'heure du dernier jour. royaume des cieux, recompense pour
du
redifice
effet,
•
!
?i9">
©.eö^'m
mort amere
leur rappelait la
il
'
•
•
A vM-nö-t.
10. «rntnÄj»]
pasteur
öA^
'
f r/ifl>-<-
!
••
©'j+n
w.»lV
=
öJA'jn^.'Vy.
«hcn-j
:
hihh
•
?i'}nA
•
n.Äh
hT.4'C
!
Hh-jnA
ny.s"-pö»-
par
h^es"
s"A*e
{,'%-v
DU SYNAXAIRE.
et
qui
qui
Ps.,
le
En
outre,
il
dans
les
CXI,
homme. Ce entendons
Seii/neur
roiit
Gloire au
2.
craint
nous
dit
:
voies
et
du
—
3.
Ps., cxvni, 1.
pas nous
prophete
qui
qui veut accomplir ses
Bienheureux
Fils qui l'aima. Gloire
1.
u'est
le
ceiix qui sont
Seigneur^.
Gloire
au
ä l'Esprit-Saint qui
LE 5 TAHSCHASCri.
[67]
—
6.
KMI-i
10
a){»a
mhMPr
•
T'l-höo-
n^M^
'.
fljhu.s.
;
q;AA '^
:
•
?.fth
/»'.ju-
A'JAr
•
a)A,.:N
:
=
.
-^n
•
hrn'ii'
••
•
"/Ar
]ih9"^?:oo
•
/»"Art.'/
:
-.
hfiipn
-Md.
:
y^."?'."»-
m({h'}'\'
::
uA'Bi)-
:
609
«ja?"
^.(LA-
9"ftA
•
=
h 87 V" c.
5. aKi9"Ptn>'']
—
9. A'VTtliö"']
en
se plut
A amryan.. — A
6. y^i\|pn.r^?']
A
sa
etablit
lui et
seule divinite et dans une
—
Lorsque
sager,
il
Saint
m'est
demeure eu
fut arrive
pour
temoin que
leur
ne
je
comprendra pas
:
ne vous ebranlent pas.
sable.
Ne vous unissez pas
le
gauclie.
que
Que vos
»
Au
vous
vous.
Le
d'essence
Pere
est
Seigneur;
le
ni
Que
etait,
noa
Fils
ni
aussi
L'Esprit-
que
les
Ne vous en
enseigne.
les
avant *
torrents
le
On
ne
et
les
sur
creee, est
monde, avec
generateur.
est leur royaute;
faite,
«
le
ä ceux qui sont heretiques et ne
Seigneur, dont Texistence
differente,
:
sujet de la foi en la ai
une
rainete; une est leur clemence; une est leur misericorde. n'est
une
monde pas-
ce
edifices ne se trouvent pas foi,
Pere, le Fils et l'Esprit-Saint Paraclet, mais
une
je
apres vous.
pas, dans votre
nature des personnes divines;
pour
reunies
ce
cet enseignement
äme de
enseigne rien d'autre
ai
j'ai
Affermissez
«
vents
reverent
fl»,(i.ßH* Sic.
Gloire au Seigiibur dans
leur declara, en disant
vous
que
Ecritures,
dit
lui.
depart de son
II
affranchissez jamais, ni ä droite, ni ä il
A
Amen.
lui le
reunit ses enfauts spirituels.
quatre-vingt-une
Trinite
8. a>-h.ßii:j-]
seule domination, sans Separation, maintenant,
ä Jamals et pourles siecles des siecles. 6.
—
>,n-l-;i-n>,f sie.
A9Vfcliöi>-.
dans
la
Une
le
est la
* ;
est
leur souve-
Aucuue personne sainte
Trinite.
Seigneur; l'Esprit-Saint aussi
A, V
C.
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
010
•l'J^i'T.
9"ii
:
ÄA-* 1.
:
>iOT •
'r/^'m.C
:
»'}'»•
••
rtA9"
j?.n.
!
:
•
'
•
?i'i-.e."
!
9"tl^
'
'i-5. n;B^"lrtft"ai>-]
-fl/fLcr
est Seigneur.
sie.
ib.
Que pour
la
fi.e-k-ii]
l'autre,
mais
Rien n'est egal et
sur
la
et
les
rien ne ressenible, car
A^**.
-
KP
•
ib.
on a
dit
'>
htioo
v-wz-'ß
•
••
•
0DAdA
:
hö/.««.
A
n
A
:-.
ll,ß>'"/ftrt".
—
Jin-th.
votre zele soit uiianimr".
aucune n'est plus
;
•
lu
'JAr
A'JA«»
0. ll.ß1«TLrtA"]
>,rH>]
foi
:
'»»"•cnj "
sont, chacune,
semblable ä
Comme
in^:
:
que lautre
personnes
trois
il
ftKA
•
KyO-
=
?i9"Ä"'V<:
profession de cette
rieii n'est
terre ici-bas.
hn->
:
!
A H^R^^VrtA-o»-. —
A
Aucuiie persoiine u'est plus grande
que
HJ?.'J"7.rtA«
•
A?.«fe*
ni>A/"
••
f/A-
A VnhlL. — — A
MI*.]
9. flWi.rt"]
ÄAO
:
tDÄAn.?'
n^kA-
ÄA.-i-'V'^/*'
madh-U
Ar>A.l)-
[68]
la sainte Trinite,
autrcfois, c'est
est au-dessus de tout synibole.
petite
consubstantielles.
au
ciel la-liaut
un mystere auquid
Que
le
fondenient
principal de votre piete soit dans la foi au Pere, au Fils et ä l'Esprit-Saint. Si
quelqu'un
chose,
ajoute ä la Trinitc,
est
il
excommunie.
»
ses enfants spirituels, notre Pere scliäsch, le jour
Que
ö
mes
freres,
Puis ayaut dit
ou
ceci
en diminue et
Gabra-Näzräwi mourut en paix
du dimanche, apres
le sacrifice
quelque
l'ayant enseigne ä le
5 Täh-
eucharistique.
sa priere et sa benediction soient avec son eher Se'la-Syon pour
les siecles
des siecles.
LR 6
[69]
—
I.
hllLh-niluC 3. tllVl/.
— —
:
A"iArtn
V :A
P
h'IV]
,h.C.
n
n°lft-
:
XA»/:
primitif a
fDm,ni:
!
ete
f/A-
:
gratte;
fl'A-
!
:
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:
'i:*[<.
nom propre
Ic
vir"»
:
A'i:
=
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VV.P.
'im.
:
=
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1fl»A.P.
=
h.VAfl
'
l'"/
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A°(A«o
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:
Aft"VÖ^
lUtl*.
:
A
-l-rt.fl]
öu.p.'VV
:
—
ow. «iW:*.
"lA)»"
:
le
;
4.
main,
:
'1''!.
V7II.Vfl
l|önV(<.f|
:
A'^Aö»
.
seconde
de
h.ffrft,
.
A
'l'Sfi;
:
"h'iintvil.
ynA
:
:•:
Art"7ö>
=
A
;
^VlTr
:
n*".!!/.-
;
Ä"ä'J
:
l-IHK.
>.->'nAvn
;
fl>n<:iri*
!
h-TiV
:
nÄA-'|:
n"7Ö>] P,
:
hVnA"ft
äA"»:
",«'/"
i
Recension primitive.
f.y"/h/.>
A^Sn
:
P
ib. V/rnA"fl]
n.
••
611
TAI.ISt:ilASCIl.
"lAlT'
!
:
-l'.'}.
>i°l
noni pioprc est
mis en
surcharge.
LE
I.
6
TAHSCHASCH.
Recension primitive. — 1. Memoire de saint Anatole, pretre A (90 t" a); P (97 (6 r° b); A (87 v° c — 88 r» a). — 2. Mort d'Abba Abraham, le V a) T (108 v° b) Syrien {recit) A (90 r" a — 92 r° a) T (108 v" b — 111 r» b) P (97 v° b — 99 r° a); :
;
;
;
:
() (6 r°
— 7 v°b); A (88
b
(92 r» a);
T
— Salam — — 88 — 7 v° b) A (88 4.
j^ (87 v" c
r" a).
v° a
;
—
r° b).
(7 v"
r« b);
(111
ou Vulgate. (7
— 89
3.
Dedirace de
l'eglise
de sainte Kipsime
de son corps et des corps de ses compagnes, martyres {memoire)
et translalion
A
a
t"
A
;
(89 r» b
Saldm
—
0.
—
89
r" c).
—
II.
:
Revision
—
97 v» b); P (97 V a (7 V' a); P (99 r° a); Abba Abraham, le Syrien Saldm ä Simon, le cordonnier A (89 r" b).
ä Anatole, pretre 5.
r" a).
;
b)
:
(.)
ä
:
—
:
de sainte Ripsime et translation de son corps et des corps de ses compagnons, martyrs [memoire, fragment Aerecit et saldm) P (99 r" a 8. Memoire de Batelsis, Soufito, 89 v° c). (80 r" b (.)9 r- b); (7 v" b) 7.
(Cf. 3)
Dedicace de
IV'glise
:
,
_
;
Märyon, Mikä'el, Yolsäwis 9.
Saldm
k 'Elyäb
:
A
:
P
(99
r»
—
(7
V
le
Scigneur
A
(89 r» c).
—
mümoire de
la tctc
PUIiTIlK.
un seul Dieu.
du saint martyr Anatole ('Anlolos),
pretre.
Que
c);
Recension primitive.
Pere, du Fils et du Saint-Esprit,
ce jour est la
O
b);
MliMOIIlE DE S.\INT An.^TOLE,
1.
En
Talmyos
et
(89 r" c).
I.
Au nom du
—
—
A
ait pitie
de nous par sa priere.
Amen.
:
IM I.IVRE DU SYNAXAIRK.
612
'l-
AV^jP'j
•
1-2. A.+ (^m^. «D-
Ä-^*:] •^\^\•^h•
A
A-X*.=h
—
Incipit.
2.
Origine
communicalion,
du
roi
T
ü
P,
n-i.<.^-
'\öi\ :
:
^.nvi-v.e-c^
3.
>
v^^Tr.
—
n-^«?^
=
:
—
sie.
s^Ä'i=^
!
A
Ahn
A oin. —
5. i.a]
^<.0
ib.
A.^-
Mi'i-l P,
P, 0,
•n\t"J,h-'\
/«c//j.
—
/ö. A-i.<.^
mn>i>.9"C:
A
n-i.<.l-
it«ro-]
<7).
A
i^Ao^;
:
aa.,**
A YiM-CM. — — T
:
fl>Ah>.
mh'hr'C.
:
le Syrien.
de Saint Abraham.
—
3. Institue
mauvaises de son clerge.
—
—
patriarche d'Alexan-
—
5.
Sous peine d'ex-
4.
Revolte du sccretairc
—
9.
Destitution d'uii
Obstination du secretalre dans sa rebellion.
6.
Miracle opere sur
8.
du secretaire; son extreme misere
du
un entretien avec
roi
Severe ihn El-Moqaffa \ Abba Abraham confond
—
12.
Sur
les instances
pour prouver que
du general,
le roi
le
fei
ferme,
—
13.
et lui
—
7.
Son
mort
et sa
cruelle.
—
qui s'ötait converti du judaisme
patriarche.
— 11. Accompagne de
son ami,
le
general musul-
demande au patriarche d'accomplir,
une
Abraham
'zz,
le Juif et
du soulevement d'une montagne.
les chretiens ont
—
de la porte de la maison du secre-
le seuil
general du roi d'Kgypte El-Moi
ä l'islamisme, sollicite
gile,
ft.+
xme
xats]
milWiirir:
les coiitumes
:
ib.
d'Egypte, qui refuse, malgre les nombreuses admonestations du patriarche, de
Un Juif, ami
man.
—
interdit ä ses prelres les concubines.
il
excommunication.
10.
—
httat-.
et vertus
renvoyer sa concubine.
taire.
Hi»7<:
hr''TA4-a^ sie
MoRT d'Abba Abraham,
Abraham reforme
drie,
A
:•=
fflA?i?i';"cr
mhMChf-'] A, P,
ib.
P,
2.
1.
»,M^
:
7. AV^s^-/]
(i»nh>.irfr:
!
P,
rifiiivjefc^]
!
—
om.
—
A'>.4->
>,y"-v.A
ib.
Aft.*>
A
^-f.^.^.
H.vy-
•
»iin4
1
—
AAI^;
:
P, 0,
6.
A
?°C]
AAiif
••
^nw'/.e:cf. rt,.-»'»
!
(Dt-tir-i
•
[70]
le
miracle, annonce dans l'Evan-
La Sainte Vierge apparait
indique un pieux iidele, Simon,
le
ä
Abba
cordonnier, qui doit operer
le
—
15. AccomplisseSimon expose au patriarche ce qu'il faut faire. ment du miracle. 16. Comble d'honneurs et refusant l'argent qui lui est offert par le roi, Abba Abraliam entreprend la reconstruction de nombreuses eglises. 17. Sa
miracle.
14.
—
—
mort.
1.
le
—
En
mourut
ce jour aussi
le
Pore saint Abba Abraham ('Abrcliäm),
Syrien, patriarche de la ville d'Alexandrie ('Eskeiichyä).
des patriarches 2.
ciant;
le
— Ce Pere ses
nombreuses
11
est
du nombre
soixante-deuxieme. etait issu
richesses fois, alors
des chretiens du pays d'Orient. G'etait un nego-
etaient
nombreuses. traliquait.
qu'il
de vertus apparurent de
lui,
La renommöe de sa bonte
et
ainsi
II
vint en Egyptc (Mesr) de demeura finalement. Bcaucoup
II
y
que sa misericorde envers
de sa science se repandit.
les
pauvres.
LE 6 TAIISCHASCH.
[71]
—
3.
^.oD
at'l'tifthm.
A.+
:
•7öi»-<{.
?lA
:•:
:
—
fflA'i.-J'-y
—
charge.
—
4.
T
/>;
ib.
W-A"
«MHflo-
:
Sic.
t
miin
!
+
Ht 0-
Art.* iö.
par
:
=
_
:
>.A
Po""
:
ffl>.ir»jiH:
i^J^oih;
le feu,
3.
om.
"V'P.R '
T
du
A
icv
defic. fol.
109
!
!
A
—
ib.
•
a»ifl>-?|lö"-
A (7-.
!
na»-
P,
:
sie;
A
om.
—
ft-ftOt
ÄCü-
=
*
=
ib.
—
aj^j^-j
-.
m*
=
A*A
—
A'^ä
^
viuir.
m-f-r'O'h
:•:
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fl»ty"'V.
A>\A
lllt
"/IH'
=
=
=
:
ä.?-«?
M<\^;
:
£
T
A.+
-.
>iA =
••
=
A
=
>i*i-
>i9""f.öi>-|:
:
JD>,
A
—
o/«. h..
sie;
Mint
P
>i4:ni-. >
Tö-ijo
i\-ro-']
^M=^'^
-hr'1»-P
«cr.o-
'
at-l-^nt»,
s
s/c.
rtV.fTr
A"?ä
:
— 8-9.
Pö"-
—
en sur-
ö*n>; Ofl+ni-
«»nn
:;•
Aom.
P,
flJhWVHo»'
rt,+
ö+o^
A
A,
njffcT"/]
nha>-Wao-
=
«iT.Vt
on.f
h.r»/"^-;
— /3.
A
tf-A»
T
,ftV">i-]
=
7. ö-iini-]
ib. n-^ftiro»-]
=
>.?""/ir-l-
:
A
M1^.
:
est
-V
ä^
=
A^O^]
s
rt,+
A>.syTr]
/6.
en surcharge;
P
A
>int';
=
T
J^J^'^|•]
:
a.+
••
— A>
mA'i.*Tr
rt,4-
—
>
<),
—
fl?"0-
:
ft.
'7
ÄC
9.
(0 ^i^H*
>,?"°?H-t:
variantes tirees des quatorzc premieres lignes, non
sie)
A.fVfÄ.
—
endommagees
r° a).
\es
patriarche de la
aux malheureux.
sort de sa juridiction.
notables et les savants se mirent d'accord
II
II
d'Alexandrie.
ville il
Lorsqu'il
fut
institue
donna toutes ses richesses aux pau-
supprima toute coutume mauvaise dans
le
defendit, sous peine d'excommunication, ä tous
res-
eveques de ne jamais recevoir de soudoiement ä Toccasion de rordination II excommunia ceux qui prenaient des concubines. II se fAciia contre ceux qui avaient chez eux des concubines. Lorsque ceux qui avaient des concubines apprirent Texcommunication dont les avait frnppes le patriarche, ils eurent extrcmemcnt peur de /j.
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Tres-Haut.
lls
viiirent vers
le
Seigiieiir
maisons.
Ils
II
leiir faute.
lui,
sauf un seul
hemme,
qui
d'Egypte. Ge malheureux ne craignit pas
ne craignit pas non plus rcxcommunication de ce
Ge Perc l'admonesta de nombreuses
craignit pas que
le
—
prosternerent ä ses pieds et se repentirent.
remit tonte
du
.ffVh.
ib.
Personnc u'osa se revolter contre graiid
A —
(nh.ln^•l^
:
—
de leurs
Airv-/.-.
II "/1:]
7.1I..P1-.
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8.
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ib.
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mh.-tao^m
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•
6.
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nn.1-;
.P.A>iA'.
et
11
et
fut patient
il
saiut
d'etrc coupes, lui
et
envers
nombreuses
ne se couvertit pas de sa malice.
Seigneur Tres-IIaut
vi(nllard
fois;
se prosterna devant lui de
Mais ce dernicr ne se corrigea pas
qui
—
mh.l-o"y.m.
coiicubines
pendant de nombreux jours
bieii
()/«.
\'/"1\Tn:&
:
«6.
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fli7i»'}i.
nil-;!]
mh.l-jivÄ
et leur
Seigneur Tres-IIaut
Pere.
A-J:
ib. ,P,n>iA°]
leurs
agrea leur repeiitir
ctait
!
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5.
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ib. '\oA.U']
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patriarche
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demauder de
ä
terrc,
se convertir
ä
lui
fois. 11
ne
s'obstina, scs
pieds
de sa malice
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II
n'ecouta pas rordre du patriarche
nc se convertit pas de sa malice.
G.
—
Ensuite
ce Pere n'abandonna nrdlemcnt son enseignement ponr
*
son admonestation, mais
Uli, ni
alla ä la
maison de
ä sa maison,
cet lionime.
lui-meme
fit
il
s'humiliu
comme
le
Christ, son createur.
Lorsque cet impie apprit
la
celui-ci
lui
7.
II
venue de ce Pere
Ce Pere demenra porte de la maison de cet
homme
mechant.
la
II
fernior la porte de sa maison.
pendant deux heures, en se tenant debout ä ne
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porte,
luais
ne
lui
ouvril pas
et
adressa pas une seulo parole.
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Lorsque ce Pere
lui-meme de sa seule
fut cerlain
initiative,
que cet liomme mallieureux se separait
qu'il se
perdait de
sa propre volonte, en
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un membre
tous
les
membres ne
Fexcommunia.
hemme
II
secoua
se la
impur.
miracle, ä ce momenf-lä, devant les
seuil de la porte
pierre, qui
fait
songea, dans un bon
porte de la maison de cet
Le Seigneur manifesta un
qu'elle entendit
s
.
-T-^*
'
de cette maison se fendit
devint deux morceaux, bien que ce füt une pierre dure. vcille
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mit son sang snr sa
gens qui se trouvaient
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n>.'>-fc>iü']
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retrancher du corps, II
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ib.
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— 8-9. MJ a>A(m Afl^Vt] A o/«. — A A n!r^>l. — ante >,.A)rAoo P «fW. m.
poussiere de ses souliers sur
—
A
hno]
ib.
n'/"Jri
•••::
ne commit pas de faute ä son sujet; mais
corrompent pas.
8.
^.n]
-r-l-J:
:
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miiv.
ib. H!rA->i]
s'excluant du troupeau
corrompu,
>
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\A\nK DU SYNAXAIRR.
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etait
dure
et
le
et
prodige et mer-
sourde, se
rexcommunication de ce Pere, mais
qui etait rempli de peches, ne s'attendrit pas.
O
fendit,
lors-
coeur de cet homrae,
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>,r.h
h.eo-.'J'e:
?"flA.l^.
:
—
A
P,
>i.Rü-Si;]
:
8-9.
A
miiv
fittof},,.
charge
sa
richesses
un
seul liard.
On
deshonneur.
avec
Le Seigneur
lui
coupa
ne
mourut d'une mauvaise mort. Ce la
bifle;
^e-o-^iv..
mji^
:
—
,i,Ä.a>-ö
—
,>
ji'^ifö»-
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/i. irnA.0-]
homme un *
A /i. !
pas
i
irnA-u-
A
orrand miracle
resta
:
imip.
les pauvres.
lui
mPh
?"nA.i>']
T
du
9"t\C.
On de
:
le
ses
tourmenta dans son corps par une
mains dans
les
Beaucoup de pecheurs craignirent
le
II
:
ü
t'/n'\^;
Seisfaeur manifesta sur cet
de
comme
doit etre considere
devinl extremement pauvrc, plus pauvre que tous
maladie violente.
ä<{
Ti^^riTVi-V.
:
nom propre
iitiV
f:"iC.\]:
Ensuite
A'V?-/»'
I
=
>>?"
ib. moD-j-*.]
4.
6. ^iT^i-V]
/6.
:
ib. M-.f.^']
m-h,-f-ci..
5.
fllji>
^y""/.«»-!:]
dittologie de 9"t\c: de petits traits au-dessus et au-dessous
— A
sie.
•
<(..t<{-.e]
>i9">i)ip.
thi-;
P
-»"hd.
:
>i?°>.
ä
*.s.n.
^^.
P
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«nhön-v.p.nö»-.
>i.e„0>.
destitua
II
•
P, 0,
nu.-/-] :
ib.
/Ä. ail>>]
tvn'\>:
.A",r.n]
—
:'\ÖA
fl>hö".p.n
>,n-je
•i'vn'^'i]
:
:
9.
9. il
rt.+
:
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lön
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«5.
second r'nc indiquent que ce A.'^
—
to-ti-l'
3. fl>ji>]
afi^f?.
•r'ttty
•
>.'7ii.h-nA.f:
>i"?H,>.-riA,r.
>,\ii»".
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ib. >.,e'ei>] :
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post
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fl».!rni.
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617
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6
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[75]
fut
les
jours du roi llakäm.
un exemple pour tout homme.
mauvaise mort qui
lui
etait
arrivee
et se repentirent.
10.
avait
—
un
Dans gcncral
Musulmans
et
les
qui
etait
jours avait
de
ce
ete
juif,
Pere, etait
Me'ez, entre
roi
dans
d'Egypte (Mesr), la
religion des
devenu comme eux. Ce general avait un ami
juif.
11
90 v° b.
618
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DU SYNAXAIRE.
I.IVRK
I>K
desira une faveur du roi
et
roi
et lui
s'entretenait
dit
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:
Le
roi
envoya des messagers
Abba Severe Walda-Maqfä' disputörent avec cc eut vu ceci,
il
juif,
fit
Ils
confondus.
lui etait
(Säwiros), eveque de la ville de 'EsmounAyn.
le
vainquirent et
le
confondireut. Lorsque i't
le
ceux qui etaieut avec
allerent a leurs maisons en paix. Ils
»
Avec
veuir cc Pere.
se rejouit et honora le patriarche
de grands lionneurs. juif etaient
et
lui.
Je desire de toi
fasses venir le patriarche, afiu que je dispute avec lui.
—
avec
de Tamitie du
ä cause
Le general
et
11s
roi lui le
chercliaieut la chute du patriarche et du peuple
des chretiens. \1.
mon
—
Uli jour,
niaitie,
que
les
le
general entra chcz
chretiens n'ont pas hi
le
roi et lui dit
foi.
Eu
cfTet,
:
«
Je t'assure, ö
dans Icur Evangile
:
A-fl»-
/»"
^.IL
'
1-0.
l-Jfjoo.
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n.fiC
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/6. Ä-lir.]
ib.
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:
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W/iAYi.
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y.^-iMv^-
HV1-
A,l-
•
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magees par
le feu,
A
C>i<*«n»-
Jesus dit
:
dites a cette
tera'.
»
!
t
II
:
:
.R\i/^->: liic
du
ofe/ij'c.
110
fol.
A
S/
*
vou.f
montayne
patriarche
le
:
arez «
Ja
:
veux
«
—
9.
•»ij'°r.j-
>ii/">
:
P, 0,
(otiAll]
qros roinme
fol
entendu II
:
vous dites d cette montagne lui dit
:
«
ceci,
lui dit
a.i-
=
:
ir»i-
A
>.y"iii
.
n>i.e..i>
1
=
S'hr'i.va"-
;
^Xirc-i-
mhvo-.
—
(irain
dr
ib. c>irt
=
•
"na»
ii>i.?.ii.
•
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nonendom=
It-tfoo.^
iin
P,
:
il
«
«
», eile se
transpor-
envoj'a des messagers et fitvenir
Qua
dis-tu au sujet de cette parole
5/ vüus avez la fol gros :
seneve et si voiis
comme un grain
Ti-ans])orte-toi », eile se transportera
Oui, veritablement, ainsi dit l'Evangile saint.
»
(pic
m'amenes Tun
tu
des chreticns.
II
d'entre vous,
En
—
2. Ibid.
que cc
miracle
de ? »
roi foi.
soit
outre, tu es le chef de tout le peuple
convient que ce miracle
Malth., XVII, 19.
afii-
-
Le
Voici que vous etes des milliers et des myriades dans votre
manifeste par sou intermcdiaire.
1.
yi«»
:
Tiansporte-toi et toinbe daits la iner
roi eut
Abba Abraham.
Le patriarche lui dit
UV/"
>i>i
n^io»-
=
Atf-A»
Lorsque
et si
-.
(variantes tirees des quinze premieres lignes,
r° a^.
qui est dans rEvangile et qui dit seneve
-ntiao-
>,>i'\v:
>,>i'\
«'f.
P
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LK LIVRE DU SYNAXAIRE.
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^-^i-rct .ßvi/^v *>.5rc*] P, A ^nr'"»irvt ^>i?"CJ-; — — ^M^-"] A om. — n>iÄ.^] A dittologie de — — r.*Al] P A om.; p.*A^; A /"] 0, A om. E4A^; — — 4-5. ~ — o;«. n; A P, P, A — 5-6. ante A>bA.n ^M'f P, (Dht\t.Ti\hao-2 A}bA.n •FA'»^] A o/«. — surcharge. 4-Ml-\ A est A.+ *A01] A Ah,A.A AA1¥. — — flwAl] — fflA^lWr^ — A P «•A«n'VJ>0^ — n.t P, P, 0, A om. nt ncn-t^T — 6-7. n-ntxAß' — n"7>. h?"'»)] A ow. — A at wcti-bfi — "/aaiwnwi; n»n."h] P üt "/Aft.t A.*] P noo-VA.*: — 10. — P om. — P, mx] n» — — aa.^P i^AioV a)¥i»>-A; A — — /* — Hn»/hii] P, 0, A iin»/h post r-^h- P, 0, A add. A s/c wt «ü P ow. — -ihya nn»/h5^] — iO. im» P W-A» HflÄvh A sie h^i^"n\^U^? A om. b post ante w P add. om. — A A*A,v. — l-^Yiu'^
1.
«rofi+A.
ii-t
!
:
aiy,vo-
4.
A.
>ifHi
ßrfii.
/i5i.
I
ib.
:
1
ib.
ttKn.'h.
!
S.
ffl-iK-w;
'i'-it^^h
l->iir<5
et
Lorsque
jours.
13.
—
Le
»
>.>,";iif
s'u-;
roi Jui
au
dit
:
sortit
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roi
Qu'il te
de devant
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A.
le
Sainte
la
et trois
Seigncur. Lorsque
la
ac?<^.
>i>
nuits, en
soit
fait
roi.
le
lui. Ils
Viergo Marie
troisieme nuit
AöA-Yi;
il
>i"/
;
If-A»
>
Vi»-.
fut
epouvante
Sois patient eiivers moi pendant
«
:
w.ßn.'^
aöa.ii.
:
!
«;'.
>
=
:
a-a.
-(K-v
atv.it'-.'b]
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iifi»,)ii]
dit
II
!
aa.-!-
patriarche out entendu cette parole,
le
Le patriarche
Notre-Dame
sts^ol-]
:
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.-jj,ir*^]
pretres et les meines qui elaicnt pres de
de
•()<.»
ib.
ib.
craignit extremement.
trois
I
=
:
sie.
h.
ib. >,n
»
/Z».
!
:
(D-n<.v.
•
>,-v-fc
:
:
:
diaire.
:
A>i"/ni>.-»
:
:
jä.
V-.
/Ä. >.>,"/-n>,^f
ai
A.rt.t
ib.
>.?"iü".
in,«-]
ffl'\'!.t
9.
jö.
>,9"4",e;:tfn
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ib.
n>."?-ii>i^->]
A>i"/-H>i^>.
<{..^
viA^/h.
ib. a>.eftA"]
if-ft-Ai.
s
fl>A>iUT^-.
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ä
:
3. ATri-
:
vir.n-i:.pv
!
n
>
ft.t
:
ib. ^-n.]
A>i.Ä.n
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6.
n.
ft.^-
fl>t.-J-fl?.o»..
fflA
:
2.
i:
th"/ sie.
ib.
!
•
:
=
n>i.e„»i.
I
«5. ;&tK>ri]
flj.p.n..
1-
ft.i-
=
i6.
11
comme
demeurerent dans Mä'elqä
de
tu dis.
»
reuuit les eveques, les l'eglise
du Caire (Mesr),
jeünant, en priant et en suppliant fut
passee, de tres grand
*
matiu
Notre-Dame la Sainte Vierge Marie, gäneratrice de Dieu, apparut au patriarche avec un visage lumineux et joyeux et II
lui
dit
:
«
O mu Dame,
lui dit
toi-meme
sais
:
«
Qu'est-ce qui t'est arrive? »
ce
qui
m'est arrive.
»
Elle
LE 6 TAHSCIIASCII.
[79]
—
14.
post
il>.
—
>!..
A
twh'Pn-]
1.
—
flj-i-'}/»'h
2. fl>,i.c]
ib. -jn
(dittologie)
A
P, 0,
P
»"/"/J-^"]
I
•iwin'i'.li.
tni";fl»-n
i. -t
>i"7>i>]
P
—
A
A A ow. 0,
—
ow. o/«.
lui dit
:
— —
nt
/6.
A
flj.
A
fl»-nt
a»n«n>-
/*.
•
0,
A A *n.A-] A
9.
mon
-n^rt.]
>,:1H.
— A
/i.
eglise.
manifestera pour
et lui
— dit
:
'
de
mon
la
A
h-^-döM.
fv/**
A
än.emftj^.
post r'r'i-^
En Fils
A
Uf.eat-c.
n?»
!
t'V/"^]
^-V-n'^Vi]
— 1-2.
ib. nfiatliKl
— 4-5.
An]
>inö«>
•
A
ß(/rf.
—
ib.
—
fl>-ni-
qu'il
>
=
/Zi.
Aa»->.1:.
a)je"ti.
7.
(3.
j'ai
agree
leve-toi
/6.
II
n'a qu'un
miracle. Le
nom
les
et
trouveras un
fl>
>
Tu
ay\-\:
i
ib. »i-Vt
oo/hc".
moi-meme
effet,
>,ft
om.
n^)^)|^•']
ib.
A»-|:
oeil.
de cet
i
1
-nrirt.]
larmes que tu as
va vers
homme
place de
la
en train de por-
Prends-le, car lui-
homme
lui-meme a arrache sou
bien-aime Jesus-Christ.
Sainte Vierge Marie
ä sou sujet. Cet
donne-raoi, ö
1.
Afl>-?i'i:
oeil
est
Simon
ä cause du
»
Le patriarche se leva, alla en häte trouver cet homme, le prit « Aie pitie du peuple des chretiens. »11 lui exposa comment
Notre-Dame parlö
/*.
v.
ii.
P, 0,
om.
ib.
Maintenant
toi ce
cordonnier.
le
commandement 14.
—
—
j6i».A°.
crains pas, car
dans
(Sem'on),
—
•
^.^f"^ — — ^>iy"Ct] A h — — H.ftnA] A — A HT-t. — h.ffrn] A om. — — tmocoo-'] A — 8-9. hMc.h?=i- A°*] P, — 10. aKHf2 A —
A
ib. W.fO'']
une cruche d'eau sur ses epaules.
meme
T't"^'?.
!
fl»<:hfl
P om.
m-nt.
.ftÄ-c]
i
ß'ar'H-.
l\(B-'Mi
onA/Ji]
8. fl)>,:iii]
—
— — A
3. >i-VH
hfiXf.
5. f.^r'^-1
5-6.
Ne
«
Lille.
Fer, dans la direction de l'orient. ter
A
P, 0,
•
s'.rtvv
»icn-t.fvp] 0,
s
-in]
:
add. Wlv.
P,
tfflh'Rn-
ib.
?°/»'.P"H-; 0,
!
4. h^'tt']
— —
>ifttc>ii'-F.
versees
ffl^h-C.
comme
—
om.
^>iy"C1-.
:
/6. >,n
A
post
ib.
fflrh^:
•
ÄÄ«^ii-
de petits traits places au-dessus et au-dessous de ce mot indiquent
;
on.-Mn-n-tü'. •
—
rt^rf. Ä
a»-nt
doit 6tre considere
A
A.4*
:
G21
Matlh.,
mon
V, 29.
homme
lui etait
apparue
se prosterna
et
devani
comment lui
et
eile lui avait
lui dit
:
«
Par-
Pere, car je suis un pecheur et un coupable. Je ne puis
LK IJVRK DU SYNAXAIRE.
G22
M *
A,
äa
::=
-i:.e'}
ao
mMfi.
.''fh
•
hA-ne
:
'^n
F-nc
fl^h-l-"
hfii-n+'-O"
1.
>i>
;i'r>i
j
P
iiil.A>.]
:
A
>,1->]
n>
A
h.Plllu>.V-
s/V. /*"]
— A
4.
—
—
ow.
%'\t
;ht
.-!
A
rt^f:1:]
—
A
.sie;
:•:
7. >.-vt
:
©«"hirn
.|.n
mnA-
H
!
— uMi
:
ffl»C/h-;
^-riA-.
—
:
ron?""/!-: 9"l\fi,'n
:
A nÄ»Trv] A o/«. —
/i. !
P,
.ihnin-]
:
mnA-
A :
ib. h.c^'\.e
•
mxC/li-:
P
* '.II
A, V" a.
par
chretiens.
—
«"hnr-ii.
;
P
A
A
dit,
:=:
~-
—
ti.
mais
la prieie
de Notre-Dame Marie
Je te
demaude, ö mon Pere,
qiie
et
ib.
la
que
*
ante
/Ä.
que
fais
Que
se
ce que
je te dirai.
trouvent avec
toi
Pars ä
la
et
ton
derrierc
le roi, ses
— Ö>V
fl»n"VA
•
—
m
2.
en surchargo.
P
ib. mKC.-i-
P,
—
m>iA
ri»nft-]
add.
>,'/
ikd-^j:.
volonte du Seigneur soit
ta priere aide le
mon
tes pretres et ton peuple.
peuple des
ceuvre ne soit mani-
montagne que
t'a
Que
du moude.
iudiqueo
le
roi.
soient avec vous
Que
se
troupes et tout son peuple d'uu cöte, toi-meme
propre peuple d'uu autre cöte. Moi-memo, toi,
•
o/».
A
au milieu du peuple,
et persoiine
:
>?.
"i.
iOYI'h
aussi les evangiles, les croix, les encensoirs, l'encens et les cierges.
tiennent debout
—
<) m
A
ll'/nilA
iuhM-nfO-'}
festec ä personue, car je u'ai pas le pouvoir de porter la gloirc
Mais
-V^.^).
ib. .e.•1^^l]
li.C.e'^.f.P'V
Iifl>->,1.]
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mrt?"",^-.
est,
-v
<S-9.
:
*.^-
"H\C.i
•
-.
A M-(o-r'. — A o/«. —
at,e.a..
:
»v
.•
:
a«»v-y.]
^-/l-n. ;
VAA-Tl
8. j,"/>
v..
:
m.lnrrniv.
fl>"7örti-V.+'i-
W/'i:]
/i!'.
M
fl(^<^/.
maon-i-^i :
:
/3. H>,n.Alri]
— 0. Xl] A en surcharge. —
mxo-
»i.^'^.i'.f^v
—
(I»rty"ö]
:
fl)öi»fi+A1-
en surcharge;
nöö sie.
A
pas accomplir ce quo tu m'as faite
0,
A A
>i"/nrM>
rDnxA".J-
A
il'.
WH
A>i"/ii>i-'*->
"/nr.p
:
h^
••
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A h.^\^r'^
l\ao>%\
>iÄ.r..
P,
lo-ilAV
:
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!
^-vtrt;
WftdlV
:
yflA-Ji
fo'iiA^-
•
A
ib. fl),"hii-mi]
«» "7 >\m >.•)->
:
i'^^nCf
:
PatW.
«>,
^C.e.hao-^
•.
/6. ?i..p.^-ni»'^-
P, 0,
ib. >,;tf.]
ib.
les lettres ^>i sont
m^nt-n'l'-O
;
:
A
«nW^.
•
—
il>.
:
•
fli,C'f5
2. ttnivf
n.
"•ic.^t"
=
•::
mJiOrt..
•
— A>i"ni>i». — A
•
—
tt'hii.
:
hh
:
a?.
•
iioj-hl:
•
A
•
o'^liiinh
•
fflrt'/'^
=
A add.
.e.'V°/A
!
>ifiöo.
h.>ln/*'V
:iT>i
h'/
nxA-.i-
inc
>iuV'/:h fli(>«)'>
j
ib. a>f,tV^W
A
P, 0,
w'/öniV/i"/-
fl>l»'^<(:^s.
/6. a»h..p>i
P
:
r^i\(^M
1i'Z.A.
fflö>»n+'\ih
:
3. iia»]
— ante A y"nA. —
o/».
:
A
A
<1'.e.n^-
!
A'wv.y.
:
Hhn.Ah
••
h.c.eA^.(^'>
•
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;
ante
ib.
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n7W.
!
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sie; P.
•
(>,
()
ir,e.fl.A»i]
/T-.
«BynA,!!«"-'/.
(i.
f\>iao-'l-'L
aihilii
•
—
>."ni>i»;
:
>iJ'"A1l
!
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oni. A.
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H'iA]
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A
:
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n}\A»;i-
fl"»S.1'
:
-n^rt.
•
A
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!
AAiin]
ib.
s/c l-nCP
:
—
hoo'i-'L.
'>.e:ftV
:
"^Cff"
!
—
01)1.
Wi
li.Kn.AV.;
riini^rv:
!
>i"?ii>.-»
.e.-V°/A
•
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P.
fflhnrt.]
:
©nA-
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h'7ii.?in,h.r:
!
liTf-n.rtl^;
fflXA»-!-
P
c.jf9"']
-wi
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hiw.h-tt.h.c
•
inne
•
flJ'mA.h
-•
©"V^/nJ/l-l"
:
dJ'y.
:
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•
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••
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•
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•
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:
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••
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•
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•
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•
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•
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3ny.A
flJ'rftA.ho»»'/.
tr
hfthAh
••
:
fl»A.,e.hA
•
je
nie
tiendrai debout
ne nie reconuaitra. Suppliez
le
LR 6 TAHSCHASCH.
[81]
aiMt
^.tllfi-
— mm
15. 5
A.+
tir^'i
•
•
Anh
fl»-
s
^auxTP'}
:
—
(in
:
II]
>im.e,-
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A
flj'v.s.
— —
5'"nA.l^.
P
srnA.!!
:
mJiir'ni
>.•>•(•
:
A
ib. >,TrH]
:
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>,niH«n>-
:
hMHoo-
i
.e,m.s.
äAP-
s
—
l-^^"!!
A
:
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:
:
91
!
3.
m.en
•
—
b.
ffl/hni
:
Ji'Vt
A,
v
>,ii|i
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?"ftA.ti
r'iM^u-.
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J,"i^-n.
:
*
^H.
'
m'Sr'-}!
m.e'
tiCtiR-
>
•
>in
:
anm'/^^t; ve:^
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ffl^y'Ti
:|:
©hvit
:
—
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!
9°tiC
•
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•
ÄÄ«^'Ti'
i\Ä*^ih
•
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>
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f^^-n]
0/«.
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•
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A
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:
^f.y»öo.
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••
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'
Ah.Ä.ft
:
A.*
•
?»•}»
:
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-.
a}ii'(i''af
h-n
•
?*fflS]
?"fiA.Yi
i
— 2-3.
o/«.
Jx'itt
:
Iicd-Pfl.
flj*OT
•
ri\U
:
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•
9"ftA.y-
•
fflM»"TI
•
fflÄCV-
(D>iirii
;
m.s.
ä
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•
H7I-
:
hOT'H
•
(Di{ao'/y',9"t,-i
•
rt^^ih
:
Ä-^V
:
:
add.
P,
i'"nA.ii<
!
A
:
fiAh
••
AÄ«^1'
:
fl>'?i'l:
rt\fi>v'tn»'
>irt°;.^-
:
?"ftA.yi
-/.s-
(D-til-
•
post ön^<^v
1. ö«>'
'W
(Dii^i
•>
fflW'A-
ÖJinf.'
:•:
iHArliTJ-n
:
•
•
(D4'ni-
9"ftA.hö-
:
aiA»»^»!!^!wAhUVl' /»' (omöh 'it/^ •::
10
Ktilff:
•
623
Mao
2.
ante n^->i?"Ct
— A T s/c A A.+ — — A A A — — — oKiÄvh.] P, A A ow. mi\: T mn-'T/ OOT. — ante irnA.(h A 5-6. T A ow. — n^<e-V] P, 0, A — — — T T ow. — A A — hn] T — fflöDve^V"/ o/«. — ante AAll- A, T om. — aof T P, A — T o/«. — »Vi:] A ow. — -^t-^] A om. — mW-A-ö»-] — at-M— P P, P, A h,Ä.n *A0^. — 10. post fl>n?"?v P, add. — — fliön'/.ey"^] A o/«. T rt>T/.e?"T'V
A
"^t?.
h]
InoDTi.
— —
«Hfit.
Aft^-
sie.
:
ib.
post
5.
fliAnu'i'V]
P add.
iiTrt
mA»iUil-
«i. fljtf-A»öO']
«>.
«6.
A,4»
fl>l'°nA.U'
s/f.
(6.
flj*OT
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©irflA.Yl
ii.
aothO
W:'' f^ffl.Ä;
•
P
iit]
'
T
:
»"ihiy
=
s
^^cnfl\
•
VU/fi
>
premieres lignes, non endommagecs par
Seigneur, criez et dites noiis,
quarautc
:
A'yne
fois.
i'Ä.
s/(
:
:
a>->i-|:]
y"ftA,u-]
-•
/6. S'^flA.
sn'fiA.«-.
8.
Aä^l^-]
ft..*>
i^A*»^
•
>
;
ä
•
'i.
9§/.h.:
\'iu.h
•
«iAiH.:
du
fol.
110 v°
c'est-ä-dire
Seigneur, aie pitie de
:
Puis ordonne au peiiple de se
taire.
jeme prosterneraiavecvous.
ProsterneFais ainsi
le
signe de la croix viviücatrice enface de la montagne.
Lorsque
le
patriarche eut entendu ceci,
Toutes ses troupes se trouvaient avec
du Vieux-Caire (Mesr) tagne. Le
et
du Caire (QAhrä).
il
prit
patriarche
debout avec
lui
d'un cöte. Le
debout
l'autre
*
Simon
de
etait
PATR. OB.
—
avec T.
XV.
cöte.
eux.
—
F. 5.
roi,
Puis Ils
ainsi
lui, II
Abraham
Abba
Pere
>,
b).
les
gravit
que tous bas de
le
les
et
»
eveques, les
pretres, les meines, le peuple et les fideles. Ils parvinrent vers le roi. parlit.
A
XH,; hic defic. (variantes tirces des quinze
le feu,
eleison.,
o»,ho
'
en faisant
—
15.
une
P
prosternent. Moi aussi,
toi et qu'ils se
trois fois,
et
o//i.
ib.
.f/t.
>»^ll.^
>,°/H.>.
ib.
8.
ib. ft.+
fl):
ib. \icf'\fii>'^
fl>n»/h.
(D'^V^P.ir'r'V
:
n>iA>i.
i\
1
aiA,l,iHl]
ib.
wi-v.t!.
:
hll sie.
:
ib.
A.
/ö. flJrt4«j]
e.r';-,
:
t)A>i
-VT-/"
:
*IA>.]
•
sie.
ib.
hi\.
<)/«.
«»•>,
/i!'.
rt..*v
J^Jt'i^-;
:
fliAtn»^|i01-]
7. ffl.^u^]
fflH^A".
i"V«<:.
;
-PAO^]
:
fflWiJ.'ei:
s
it.
ffllf-A-.
WH«:] P nhv«/.
ib.
Ah,A.n
ib.
1
ön'/.ß5'"VV;
!
0-]
••
—
.e.9"'i-i
G. mit-n-
Tri-/«"]
°JI1.>.
»f.
ib. «)A
flj.
flo?tf.
«p-Vfe s/V.
"^rlifi;]
4.
fideles
Le
les la
roi
gens
mon-
se tinrent
ses troupes et tous les gens se tinrent le
crierent,
patriarche
en
disant
et :
les Kijrie
fideles eleison,
prierent.
pendant 43
.jf^Vi,
LR I^IVRE DU SYNAXAIRR.
624
—
IG.
Ä-4.^
P
ft.+
ÄO^
P
fliArtl^n-
ÄiHOV
>
—
>.*.e-V-tü-.
!
fl..ß
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A
i^A-,
P
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.
>.ö.6->-tt>-
A
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.
A.+
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3-4. tDCtt
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«*. '4*A
o/». £iir..
M'
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A
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>
—
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ft..*>
P
>.
iH
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.eflC]
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t^A-«»-] P,
ib.
©«»v.ey-TV]
n
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1-2.
m.e.i.6,t\
-
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4.
— A
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3.
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•
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1.
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fl»tf-A-
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«»-M-] A «.ftwc.^A o/h. — n «H.v.ß5'"V> A P, — 4-5. m-i\<. 1_ P in - tv ffli^A-ö-] P O.e. _ C>.f] P, 0, A Ttit^t. — i.R4.R] A o/«. — ©Ar. P, 0, A t>.?*Y 0'»^] A o/«. - 5-G. — «o^-nÄM. vt-/-] «pcvt "Kir; A ü.if.v ^cvt] - hn] Aft.+ Mi^l T «««>. (äaav vn v^r". — -v?/"; A iDh-nw^ — ^y'-iw H.ei*.?:] P WA» Hi+.p. .e^«»>.ß] «V. om.; T wa- iim*ä. — ** •»h.'t+.O hm*.^-; T WA- nÄ+.e; A >.irio. sr'io-; :
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;
/6.
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-^n
5.
royiöoii.
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:
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Ä+.e.
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s
'
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_
67C.
-hr-io-
=
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8-9. wKi.*.?.
fl.h.!rviv.
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AA11-;
:
P
=
fflr^n
A ©(»n
'
=
:
Mttc^
MUM-:
naient, le Pere
11s
ft.+
=
Aft.+
=
Mt^
—
»>M^:
patriarclie levait ses
crierent
_
inenl et lui
Mais
il
'
=
P
fl'h.i'-Vl:
<»h.r-ytx.
.e.n.A-
'».«•ll-ft-
=
=
A.+ ft.+
Chaque le
cid
=
=
—
=
«»A.
.R-l/'V":
—
.Mnir hine «i^n
9. «»<*n
»,*,t=i-;
ÄA-tV]
.
.
T
©.ro-a-
=
fois
qu
ils
mh.>.
se proster-
et faisait le sigiie
montagne. La montagne se transportait
la
montagne
16.
'^
yeux vers
et
montait en
le patriarclie se prosteriiait ainsi
de
la
l'air
que Icsfideles,
le roi desceiidait ä sa place. Ils firent ainsi trois fois. Lorsque
et tous les Musuliiians virent ce miracle, Ils
=
>.?"iu-
=
Z^-.
=
.
«•^.»"Vi]
-i^^^f roprir/»-
-VI-/"•
=
=
^.i^iij.
=
7.
-^rif.
s/c;.
se prosternerent trois fois.
devant tous les gens. Lorsque la
A
.
/ö.
sie.
(6.
^Ä.
.
=
.f'-^rr
.e.-^rr\
«ot^A-.
;
vnA.
long temps.
croix sur
w-a-
=
:
fl.h.A;».£
,e>.«»>.e.
8.
>.n
T
'/'•
.
n-'-ity
..
G.
fl>ici>
s:f.vi-
=
.
fl»,-n»w.
/6.
fflöo-vii^.
:
l-^ir/!.-!-]
0-
>
=
ri«»ni]
'
Z^-.
niifc]
.efl»C£-
/*.
;
beaucoup Le
et furent saisis d'une
roi ßt venir le patriarclie
dcmanda de
lui
manifester
furent extremenient etonnes.
ils
grande peur. 11
IMionora extrenie-
qu'il
voudrait obtenir.
Abba Abraham.
le desir
ue voulut rien lui demander. Lorsque
de ce
le roi
eut force
le patriarclie, le
LR 6 TAHSCHASCH.
[83]
)ni:M'jU'i'
•
•V
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nd.'pf.
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7.
7-8.
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add. n.t
vicn-t.e>;
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A
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>
ib.
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surcharge;
— 9-10.
a.+
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P,
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quatorze premieres
A°-|:
i
>,°jii.Mi.h.c
—
P om.
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ji^.
3-4. a»7>f
m^x-vö -- h..R
4-5.
8.
—
—
r" a).
ib. atao-^'T-l:
et
au Vieux-Caire.
voulait et
iir.n-WTr.
—9. m*
(ante
9»nA.ih).
»n.!»'
>.-n
—
wcn-tyn-
i-n»]
-n^h.^ :
P
nnih.^.
-iiH-ri
II
Iui
s'inclina devant Iui et Iui dit
afTermisse
Lorsqu'il Iui
»
royaute.
ta
eut dit ceci,
cheval, avec ses troupes.
ordonna de recons-
donna, en abondance, de Targent du
Iui
il
sa saintete et son mepris
vu
sur son
— —
=
ib. fl>
Je veux reconstruire les eglises et surtout Teglise de
Le patriarche
prolonge tes jours
2.
>.">n>.-ii/h.f:]
:
aoc^^yn
Mercurius (Marqoiyos)
palais royal.
a>nr
;
»ia>i.
iTAA.U']
ViCft
A an.^4-
om.;
sj'c;
— ai>c*Cffi] A «"C+C-Pn sie; a» — 2-3. >,-n^t mcfi-t^Tt] A vn^+i<»«n] hä+ä] A, T om. —
3.
111
post "iA?"
A
P,
h.^,
—
=
T vnyt
MCh-f.f'fi-']
'
Vif.-t^V-
=
defic. (variantes tirees des
fol.
^v--^
=
—
vtcnwT^.
truire ies eglises qu'il
avait
—
—
=
Tii^Ä**.
>
V'Pf.
y>c.{\-tyi
patriarche iui dit
.pv-i
Hf.>.P
n.1-
ffl>(i<:.
äa*»^
=
«o'Pöft.rj =
ii;
A
iihv sie;
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YiATi?»]
o/».
flion-v^"i-
P
Yicft-tn]
>
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AAo>. — A v/ith-nj^c
>
y"£r.;
5. oB-^ir'-lti']
>ii^iU-
ffljp.n.A»
!
T
du
le feu,
hi\ft
ib.
fUt
licft-t^V-.
:
ncn-t^T^-.
.
«ro-V"//^'^-]
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non endommagees par
m.ftrtA»
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—
riÄ.-»*.
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A, T Hrnc.
ny°nc] P,
—
T mmva.
mfflun;
lignes,
A
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A, T
s/c iu:n-t^s>; 0,
A,
T
—
A
>„1,->»]
ib.
fit Ou-.fi-ty?-]
!
licn-t^¥'ö»-;
i
s/t ;
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A, T ow.
fflA,e.'f..P.n
il
:
«
Pour moi,
Que je
le
l'aima extremement,
parce
des biens de ce mondc. Puis II
Seigneur
ne veux
se tint avec iui pendant
la
il
pas qu'il
monta
recons-
de Saint Mercurius. Lorsque des gens raechants tenqu'il terent de I'empecher de la reconstruire, il se tint avec Iui, jusqu'ä ce tout dans d'eglises bcaucoup Ce Pere reconstruisit l'eüt reconstruite. truction de l'eglise
le
pays d'Egypte.
J^^,^
LE I.IVRE DU SYNAXAIRE.
626
äa-*
VI-
-IIH-;!
:
1.
1-.
A
ib.
A —
ötff^.
5.
A/hfl>-
»"fiA
•
j
—
mourut en trois
ans
qu'il
avait
Ce
ib.
A
'
—
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—
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•
Lorsqu'il
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ij-.'j.n
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—
a'^a«»
:
A
propre
ft>,A
mois.
excommunie
:
dit,
dans
vie
la
Tout
Que
de ce Pere,
et la benediction
P
post
*f-'V
A
A
—
4.
ante
v-n<:
fli+tft°
P,
A add.
m'p'
P
n/.n-l:
n^n*
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*£-fl^
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H^fl»•^H.
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•
surcharge
;
A/hffl.] :
=
y'flA
l-OA-
^-n-v !
>
V-k
un second
et eut plu
le
au Seigneur,
il
Marc (Mürqos), Tevangeliste,
de ce Pere, que
ä cause des conculjines lui
Saint s'en alla vers le Seigneur. la priere
•
mWU
acheve son hon combat
On
P, 0,
7.?".e:'V<;
un graltage.
paix, apres avoir siege surle siege de et six
i'Ä.
oHf-A»«"»-]
h'^fi;
s
ante
2.
3-4. h>iib-7H]
'i9"H.
—
—
m; % est en surcharge;
oin.
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"lAir
se trouve sur
eiit
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:
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ib. ,li5>"ii]
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—
A add.
svV ;
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3.
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P, 0,
ot'K'^-y
mS/^flocr]
ih.
om.
(or'{M\
A'^Aöo
|••^)l\
soient avec nous.
3.
ib.
A-j:]
A/hm-
|-fl>A.e
Kf-i
propre
17.
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—
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>,"JiL>i-(l»lhC
•
K-d
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—
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:
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Ati'ji:
:
P, 0, AlA-lf.
A
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t,afi.^2
ib.
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:
t;>.e:A»-P]
—
m.
cDn<:h'i:
•
[84]
fit
secretaire
le
un poison
peuple se lamenta sur le patriarclie
et le tua.
lui.
Abba Abraham,
Amen.
DeDICACK DK l'kGLISE de SAINTE RiPSIME et TRANSLATION DE SON CORPS ET DES CORPS
En
ce jour aussi est la
DE SES COMPAGNES MARTYRES.
memoire de
la
Dedicacc de Feglisc de
la sainle
LE 6 TAHSCHASCH.
[85]
627
M —
II.
Ah
t\\r
'
äa.
A.+
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—
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A A A-n. o/?^.
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7.
ib. 7,-vii]
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+A.ft
Ä,f rt-ft
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••
4. >,-/(nAfn]
^f.
K7mAP-ft
:
Revision ou Vulgate.
!
m-H^i. '^
An-
•
A W(nrt»n. — — A n'^^'c. — 10.
6. A.1-]
ib.
n.
hn-s. «
••
v/"r.i)fi] o,
A ow. — ante — A A o/». m. — w^n] ib.
h.pfrfi
s. h..e.7-fl>.]
>.irr.h^n.
11.
ii»A.+]
A
add.
>,"jn,
h.^7-n>..
o/n.
;
-
A o/«.
Afh]
vierge Ripsirae ('Arsimä) et
la translatiou
vierges qui ont ete martyres avec
Que
de son corps et des corps des saintes
eile.
leur priere et leur benediction soient avec nous.
II.
4.
—
Amen.
Revision ou Vulgate.
Sal.^m
.a.
An.vtole, pretre.
Salut ä toi, Anatole ('Antolyos), pretre,
Martyr de TEvangile nouveau. Prie pour
moi Jesus-Christ,
Afin qu'il
me
purific
dans
ma
vie et
me
sanctifie de l'irupur,
Car l'esprit qui est parti du corps n'y revient plus.
5.
Salut ä toi
S.\L.vM
A Abb.\^
Abraham, le Syrien.
Abraham, negociant
Et patriarche aussi.
Lorsque Tinsense eut ferme sa porte devant
toi
par
la
durete de son coeur,
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
628
Mir PI
a'\9"
^n
1
—
.
}•>
1
A'^Ao»
fl».
A
flinH-fc
le
1
—
A —
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'
add. V>.
A
A
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ib.
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la
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8.
ib.
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7.
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—
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1
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—
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4.
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>,C>i^.
A
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h,ffrfi
Yi
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AfUt] P, 0,
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••
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:
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—
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'
est en surcharge;
le n final
AflJA.^ri.
Ä-n*:.
1
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>i"/H.>.'ti/h.c
a>h.,e;t°?a»'}p]
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commemoration de
un grattage;
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Hi-h?"*: «
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2.
i\t\r'y^
AfliA.S]
—
Olli.
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•
A "int. — tu*!*.
"hlW]
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:
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•
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>..ffrn
t]
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^H^]
1. *iftn
•
'^c.er
nhiL
•
I
[86]
ante
5.
A A"
arfrf.
0,
A
-J-IIVk;
HCfi-t^-V.
parole d'excommunication de ta langiio ardente,
senil de la porte de la
6.
maison de riiomme impie
Sal.\m
se fendit.
Simon, le cordonnier.
a.
Salut ä Simon, qui fut connu par la bouche de Marie. C'est ä cause
son
du coramandement' du
Fils de
Marie
qu'il rendit
aveugle
cell.
On
ne leconnut pas
;
on nc
lui
accorda pas d'honneurs.
Lorsqu'il priait, en se tenant debout derriere le patriarche, 11
7.
abaissait la
(Gf.
3)
montagne
et
il
soulevait la montagne.
Dehicace de l'eglise de sainte Ripsime et Translation de son CORPS ET DES CORPS DE SES COMPAGNONS MAUTYRS.
1.
Dedlcace et translation.
—
2.
Reponse de
sainlc
Ripsime au
roi
Derfädes; son
martyre.
1.
1.
—
En
ce jour aussi est la
Matlh., V, 29.
memoire de
la
Dedicace de Tcglise de
la
LE 6 TAHSCIIASCH.
[87]
^PV
•
y.Art'1'
—
2.
ÄA-;i-
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629
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P om. P ow. V.
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1.
2. /";»v]
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A A vncn. OOT. — — nvr^ A
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7.
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—
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5. >ini>]
ib.
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—
:
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«(ft/. h.
ib.
ft>iA
t-h'^.
,
/4. ;
öi>-V"//"t
propre
A —
»fl)7,4».s-'»-v
4.
un grattage.
/6. t-oh.]
fl»ih.irc.
>
jrnA,y
-.
P /h.ftmt yn A hAPV-. — .-hßai^ — unte fon. — 0, A w^öc^'P] A Tinn A 7-m-n. — — 5-6. anm+CP Ht .R!r><.. — ^os] O
ly'^^h-.
'
A*.M^]
/Z».
r'tifkwy
:
ii,en«i>jR.
fliflj
:
y°nA
!
>.A
—
^'p"/
•
hA-nv- sie;
ib.
fi.
ai^pu-ao-.
/ä. 7-fl;i(i]
.ftn.e,p.
:
A
P mvAnt
ft"?*>
'
/i. iin"7,e]
n.
:
propre 'VUA
Yl-n.
tato-^^ «
r'.iWa"-
irftrt.v]
hA-nxo-l
ib.
••
— A — 0, A — mje.r'^cvl A o/n. ow. A ow. — — tmyn^=f A aa»yiA"lYio-S
.S]
•
;ji.cfl»i-.
:
ib. fi(\.e:v2
ib.
•
—
9°nA.Y
:
ffliitn.
Aii-t]
cn.;
hön
••
nfl-n
^nnn]
A
^-a
ffllKn-Th..
sainte vierge Ripsime ('Arsimä), martyre, la translatioii des corps des saintes *
vierges
de son corps
et la translation
martyrs qui ont ete mis ä mort avec
—
2.
est si
sout
ciel
Le
Elle rcQut la
Que
Dcrtädes
dit ä cette
Tu demeureras mettre ä uu
la
lä et
couronne du martyre
des corps des vingt-sept saints
Ripsime
avec nous.
plus grandes et sont meilleures.
Fatrium, de
pour
roi
grande!
et
eile.
de
lui
»
«
:
»
ordoniia
II
couper
et herita
N'as-tu pas ton caur?
Elle lui dit
le
cou.
Salut ä
la
de
On
La
vie
Les choses du la
lui
conduirc ä
coupa
le
cou.
du royaume des cieux.
sa priere et sa beuediction soieut avec son eher
les siecles
«
:
Za-Manfas-Qedous
des siecles. translation de ton corps,
dans
la
louange d'une nombreusc
assemblee,
Au Heu oü
tu es couchee, Ripsime, jusqu'ä ce qu'ait lieu la resurrcction.
Je salue aussi, avec des paroles de louange et avec des clameurs,
„* ^'
;
LR LIVRE DU SYNAXAIRE.
630
a^il-f^a»-
—
jf^lfi.
2.
'hjjA-
:
rftA.>
!
A
«oii.^'Vili,]
—
A
AriTAft.*»)
—
ib.
add.
A?"]
n<;tl-F
le
4.
A
h'T.'V;
nom
ä
propre
tüA-
^"ftA
/iiVfaofi>iA
=
»löfl
:
Kfh-n
!
nA.> sie ib.
:
»>V
A-^A«»"
'
!
—
P
les
>
tfl»AÄ
'
fVA-
!
3.
oi-n.
A A
A
i
il^'nA
:
A :
«iWlCfö»-
fH*l<.
A^^rfl
=
•hur'; le
A
G.
nom
:
add.
JuA^H
—
A>.A
nom
« >i°?II.VflA.C
ft-^öTh
—
.
:
Äf-V
propre
ih'^x
>
—
!
:
A"/Aod
-flöA
ib.
hd.'^v^
*^ 'hi.'^f'.
:
flXA"-»:
propre >,.fMI est en surcharge; un second
—
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"'
A'!iAö"' :
A :
••il\r'
h.fft-n
:
"i
:
A'VA«" :
:
'
(A
nf>K^.
•
/"'»ft.
saint 'Klyäb
.GiT/hC"
*A^-
3-4. ffl"7.vih,A]
«"At
=
•
post AnTAft.fi
iö.
5. n<:ifi-Fo»-
commemoration de
la
:
—
vcn-t.pT'K
:
salti/u ä
le
öA^] A. anvi-t
fflOT-^C* :
met
ib.
i
«"VC^'V.
©«"tAf-A.
»f-V est en surcharge; un second
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(IM-t
AnTArt.*».
«»£->•>
••
:
axd-vi.-
•
—
f-icnö.
muön
m'^CfV] 0,
fl)rtiA9"»'-n]
se
mnii-r:
•
A^Wi*.
:
nom propre
'.ii-]
ha«.
—
+"/UA" sie.
Les vingt-sept marljTS avant
8.
uv>
=
—
AilTArt-fi]
ib.
'i:'l!(r
!
//'.
hsü-n se trouve sur un grattage.
!
t"/i)A"]
Et
ib. lifflUAh,]
tiA>i
ifi.
aJ(|
:
trouve sur un grattage.
ÖA^
•
fl)frc
!
—
l'>.
ccy^
toh-nc.ir' fl)ft-,{.^-;
—
>
örff^.
"
'ihr
•
commemoration.
A flifAO«en] A o/w. —
fl>ft.<{,*]
om. w.
•^A?"
A
ante timco»-
ib.
—
fflli.er'^CVi.
Saint 'Elyab avant la presente >i*n.
A'JA»»
s
[88]
toi
quatre-vingt-düuze apres
toi.
Memoire de Batelsis, Sovfito, Marvon, Mikä'el, Yolsawis et Talmyos.
En
ce jour aussi est la
Yolsawis
Que
et
memoire de
Bateisis, Soufito,
Märyon,
Talmyos.
leur benediction soit avec nous pour les siecles des siecles.
9.
Salam
a
'Elyäb.
Salut ä 'Elyäb. Alors qu'il etait paien,
Le Seigneur
fut
dement envers
lui,
un jour
Mikft'el,
LE 7 TAFISCHASCU.
[89]
htm
—
I.
2.
nn.KÄ.Ä-A s/V.
nHh.^x.e'A]
s
zA;!"!"//*'
631
•"
Recension primitive.
—
«^. rt
A
— 3. post
Aö»AViö.
(7c?<^.
-i-nv
.encM.
Voyant sa couronne plus terne que la couronne des martyrs, Lorsqu'il eut demande ä Tauge pourquoi eile ne resplendissait pas
comme
cclles
L'ange
de ces dcrniers,
lui dit
combats jusqu'au matin.
Si tu
«
:
LE I.
—
Recension primitive. (92
a
r°
— 92
—
b).
r"
et
saldm de
—
(8 r° c
et
8 v" a);
saldm]
— — 90 5.
et
:
P
A
(99
saint Pere Matthieu, le pauvre {recit)
—
la
(90 r° b).
v°
—
c
bienheureuse Diyonleres
—
100 v"
4.
:
P
—8
r° c)
(99 v° b
A
;
— 99
(90 r" v" c)
Mort d'Abba Matthieu de Dabra-'Aswän a)
;
(8 v" a
Predication de Notre-Seigneur {memoire
— et
9
r» c)
saldm)
A
:
Mort d'Abba Daniel de
2.
(7 v» c
;
:
;
A
:
(89 r° c (9 r"
c)
;
— A
90
c).
;
O
{recit r" b).
(90 r"
b
r" c).
I.
1.
1.
Mort du
Revision ou Vulgate. saläm) P (99 r» b — 99 v° b)
—
Memoire
TAHSCHASCH.
II.
Dabra-Sihat {recit 3.
1.
7
»
Incipit.
—
2.
Mort du
—
Recension primitive.
saint Pere Ma.tthieu, le p-Iiuvre.
Saint Matthieu possedc
—
le
pouvoir de cliasser
les
demons
et de
Chätiment public indige par Dieu, sur la priere du saint, k 4. Mort de saint Matthieu. une femme debauchee qiii avait une maladie secrete. guerir les malades.
Au nom du
3.
—
Pere, du Fils et du Saiat-Esprit, uu seul Dieu.
LR LlVllE DU SYNAXAIRE.
632
»»>
—
3.
(loottiM ?iA
•
rt-nh
A
1.
in<-
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fflA-l-'
hrKh' ^n/..
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nue
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A. A
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A,
d'Abba Matthieu.
suivons, pour
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d'Abba Matthieu, laquelle
la vie
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s
^s-ft
'
:•:
'^n-?.
s
;Vm,?»;)-
•
=
AW-A-
diffcre
•
hi ••
com-
ne contient ricn d'autre qu'une courte legende relative
P
laquelle differe tout ä fait du texte de P, 0.
Matthieu avant
-fiXA/h
Art
•
Matthieu. A. donne une recension propre de la vie d'Abba Daniel,
ä la vie d'Abba
Celle
.•
fl),efl)Äho»-
'ttW'M'
•
-J'
:
•
nro-hi--
•
h4'V
donne une recension propre de
pletement du texte de P, 0,
'V<-'{
mi-hy/'t-
••
9"ä-C
>
•
flJÄHH
•
hi\\.h-aih,c
:
fl»hi*-/"T-
•
ipVP
^•s.ft
-•
^OT-^^n
(otth'i-i'ii
ri.Ä-nrh.C
:
:
ö^^'
tD{\h,h±
(Dh'haDd.
OT
l-.'J.e.'A-
•
J?.T-.''ÄA
:
[90]
le recit
la
vie
de
au
la vie
mettent
et
legende de
d'Abba Daniel. Nous editons
d'Abba Daniel, l'ordre de P, 0.
—
d'Abba Daniel avant
la vie
contraire, place la courte
A
la vie
A
^nAF«""]
13.
d'Abba
separement; puis nous o"- est
en
surcharge.
1.
— En ce jour mourut
2. II
*
A,
r
Pere saint Matthieu (Mätewos), la ville
un bei ascetisme. 11 avait des vertus nombreuses. 11 chassait demons des hommes. Le Seigneur lui donna la gräce de la gucrison
...
des malades. "Tont etre qui etait malade aunres de
b.
le paiivre.
de Syene ('EswAn).
pratiquait
les 92
le
— Ce Saint etait superieur du monastere de
.
ä lui,
.
Saint Matthieu
priait
lui
et
qu'on amenait .
.
.
sur lui et
Seigneur
le
.
guerissait par sa
le
priere. 3. II
—
Un
jour, on lui
amena une femmc
connut par l'Esprit-Saint son oeuvre.
devant les gens qui se trouvaient
mariee
ä
deux
cetto maladie.
freres.
C'est
Le saint pria
le
lä.
11
lui
Elle
pourquoi Seigneur.
qui avait une maladie secrete.
ordonna de reveler son peche confessa qu'elle-memc
le
La
Seigneur
terre ouvrit sa
devora. Elle fut un exemple pour quiconque entendit parier 4. il
— Par
suite de la
grandeur de
la justice
s'etait
allligee
l'avait
bouche
de
et la
d'elle.
de ce saint et de ses vertus,
donnait ä manger aux betes sauvages, de sa main. Lorsqu'il eul acheve
10
LE 7 TAHSCHASCH.
[911
ÄA-1:
•
fl»ndh*
eWA-
•
!
9"ftA.> «
—
H.
^"Ä7
==:
ß33
mh'^'i
<•
Revision ou Vulgate.
5
A
liMV.i-']
1.
Ri\i]
P ow.
sa course
royaume
Que
Ah
—
2.
bonne
et cut plu
Incipit.
—
au Seigneur,
—
—
HA-VA?"]
ib.
n'^"iA9" SR-.
—
6. n
mounit en paix
il
et
du
herita
7. 11
a Alexandrie.
—
de vierges.
4.
la reine Patricia
par Abba Daniel.
Euloge donne Ihospitalitö
Abba
Daniel.
—
6.
et dechire
—
10.
en public
la lettre
a
Abba
—
3.
Rencontre
Daniel.
—
5.
Menace de mort, Abba Daniel
rencontre une ascele sur une montagne.
Chalcedoine
Amcu. Amen.
MoRT d'Abba Daniel de Dabra-Sihät.
parition de la Sainte Vierge a
—
A
Revision ou Vulgate.
Ensevelissement de
2.
du fou Markä
11.
(DMisic.
sa priere et sa benediction soient avec nous.
2.
fuit.
A
eternel.
II.
1.
tDMitS.']
n.
de Leon.
—
8. II
— 9.
Guörison d'une moniale aveugle
et
11
s'insurge conlre la est regu
Ap-
s'enfoi
de
dans un couvent
conversion d'un brigand.
—
Mort d'Abba Daniel.
Au nom du
Pere, du Fils et du Saint-Esprit,
un
seul Dieu.
Le 7 TahschAsch. 1.
_ En ce jour mourut Abba Daniel
d'Abba Macaire (Maqäres).
(Dcän'el)
de Dabra-Sihat, du couvent
634
99
[92]
r° C"
"j
:
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wh-ny-
::
P
••
H>iTrnA
:
>.n-.e'.
ni]
--
2.
p,
—
5.
:
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•
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:
h'/Tf-n.
— —
mmflÄm.:)'r]
main
l'eurent fait
debauche
••
fnh.i\
>i
••
—
/.6.
4. >,fl1rV.e.C.f]
8. Ji-tlÄ]
<'.tin
h-fl.?,-.
•()>.«.
:
—
>wc;j.e..
••
13.
oj^n
•
— — 11. — ll.
ib.
sie.
ow.
o/«. a.
—
elle-meme ne
fut
—
—
ib.
m-
nm^t-csic.
—
>,?".
la reine 'Patricia (Pälriqä),
effet,
h..
•
ib. fllflX./».]
n»/h.
H,p.fl>*r.]
>.irv?ir.>,-nrfuf:]
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wAn-nh]
nÄ./h]
c?ie
Olli.
fl»..1->il'"<'.^-]
hl\.e:C..e
•
qu'on
connue comme
mari.
jour qu'il
et le
^n
••
n'iv"'ii
ß. >in-.
fflMih.
fflh-n?.]
—
il
allait
avec son disciple ä Alexandrie ('Eskendryä),
rencontra un
homme
Aux gens de la ville mena au patriarche, ä
fous le suivaient. la
fl»?»:'-«
fflimht"
^
Pere Daniel qui ensevelit
soir etant arrive,
xn-p. -
•
n.'i:
iT;»'.
du nom de 'Anestyos. En
Un
•
>,-VflTf-n]
/Ä.
>,n-.e] <> >in-f.
— 12.
femme que de son 3.
—
ll>,-/nrt
fflmft/.]
/•
A>.s^-v.
— C'est ce
appelait
—
—
ib. «^iin
w^>]
c.
'i'j^.A
:
5^;»]
mriÄvh.
fflfij^.^);
vn.
:
-
::=
AOT^J*.
AÄT/?*]
ib. >,n-Ä]
11-12.
A^n
inc{\
:
Ah'iH.h'nrh.f:
•n;ih?»
1.
r
« flJArt-n^
hn-J^'j
:
3-4. nön
'J9
LIVRE DU SYNAXAIRR.
r.E
jurer,
il
leur exposa
et qu'il s'etait
fait
fou,
semblait fou.
il
qui
Abba Daniel
fou.
lui prit
exposa ses vertus. Lorsqu'ils
avait fui loin de la
qu'il
lui-meme
il
le
appelö Markä. Beaucoup de
Ayant entendu
guerre de cela,
ils
la
glori-
fierent le Seigneur. 4.
— Un jour,
etant arrive dans une ville,
Euloge ('Awlogis), qui
taillait
lespauvres. Celui-cifit entrer
des pierres,
les-
il
trouva un vieillard, appele
vendait pour du pain et recevait
Abba Daniel dans sa maison et le regut avecjoie. il demanda au Seigneur de donncr
Lorsque Abba Daniel eut vu sa bienfaisance, de l'argent ä Euloge, avec lequel
il
recevrait les pauvres. Notre-Seigneur lui
LE 7 TAHSCHASCH.
[03]
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10
AKfl>-A-Z.n
— m
0.
—
7.
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K.P.mAT
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A.
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'">i.e.;''"/l']
affirmant
lui,
Abba Daniel
»
l'aspect d'un
sous
songe,
toi-meme garant de
lui
dit
11
abandonna sa
faijoii
de
enfaiit, et
qu'il
Oui, je
«
:
Euloge trouva un grand pot rempli juge.
o/».
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iL. ^h-M(\f'i•
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•
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>i^vhnf-
il>.
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—
:
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99 V" a.
— 13.
n-flCV/-.
O ffl
aif^c."rj- sie.
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faire?
-
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5.
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—
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••
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:
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<:hn
a„i,„-.,v.
Vli*'
:
flin^Wi-;:
1. v-s.t'>]
2.
mmVi'?*
••
635
d'or.
lui
dit
Te portes-tu
«
:
sa fagon
changera pas
ne
me
porte garant de
alla vers le roi.
11
lui.
de
Alors
»
fut institue
II
faire.
_
Lorsque Abba Daniel apprit cela, il alla ä la ville du roi, afin de parvenir reprimander Euloge. Les soldats du roi le frapperent et le firent 5.
jusqu'ä lui
la
*
mort.
Tandis
qu'il
etait
apparut en songe, ordonna de
entre dans les affaires d'autrui? les pieds
6.
de Teufant
_ Lorsque
et
»
le
altriste ä ce
pendre
uu
sujet,
le
meme
enfant 99 V" a.
dit
:
«
Pourquoi es-tu
Puls vint Notre-Damc Marie. Elle baisa
sauva Abba Daniel
regiia
et lui
et
Euloge aussi.
autre roi, celui-ci voulul Ic tuer.
11
s'enfuit
une autre region, en ayant peur. Etant arrive ä son propre pays,
il
dans
retourna
ä ses ojuvres d'autrefois. 7.
_
Un
jour
rencontra une
qu'il
allait
en cliemin
sous
femme sur une montagne. Sa
la
lumicre de
la
luue,
il
chevelure couvrait tout son
:
LR I.IVRR DU SYNAXAIRR.
636
—
8. rliTI-n •
±
»
p.
V
h»»
'
—
^
,
10.
—
ib.
—
12. I-VIH] y-öo..
—
ib.
—
ib.
A^t]
—
Elle
—
T+
— —
—
om.
—
—
P
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fl»nA.A.'l-
ävia
ib.
äWi<{.V
l*
—
•nil-;^^-
j
s/c.
ante
—
to-i-'W
•
••
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'/
^n
oD^;hd.
hävö
=
—
4-5.
—
A.
—
x/jiv> .w.
»^^"höJiVtV sie; w-ntv»-.
ib. -»«pv-v]
—
-
h'J
•
mn^i-ll
ma»
10.
n.
n<;.p]
HN-VöJiHo»-. 14.
-^öA-i/'V]
—
AöA.
Tr'Pf-öo-.
depuis Irente-huit ans, en pratiquant rascetismo.
Elle lui exposa tout son mjstere et mourut.
— Un jour, on
8.
Abba Daniel
seit la foi
dats
—
9.
que
bondit.
de Chalcedoine (Kelqedon).
L'une d'elles
s'etait
Abba Daniel
folle. »
la nuit, eile ecrivit !)'.•
V
de Leon
avoir fAchees.
»
lui
une
Ayant
exposa que lettre,
c'etait
en disant '
«
ä la porte.
devaat
le
Anatheme les sol-
:
«
une sainte
Ayant su
ä sa rencontre avec
Abba Daniel
porte.
la
La superieure du monastere
dit ceci,
:
Avant entendu ces paroles,
»
foUe et couchait ä
faite
Ja lut
et dit
chasserent de son couvent.
Un jour, il arriva chez des vicrges. 11 frappa Abba Daniel, elles lui ouvrirent et allerent
interrogea ä son sujet.
P,
le
la lettre
c'etait
joie.
•
dechira
11
frapperent beaucoup et
le
On
apporta la lettre de Leon (Leyon).
-
peuple.
lui
et
dit
:
«
C'est une
une ascete. Pendant
Pardonnez-moi, saintes, de vous
eile disparut.
Ayant appris
cela, les vierges
1>.
furent fort tristes et se repentirent. 10. et
—
dont
II
la
•
'I f.'^'TV']
8. fl»-Vrt«-n]
add.
>,n
x/hA^]
13. iw-n/;*]
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•
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•
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•
A
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:
— —
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ib.
ib. .Bdcil*-]
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h-n.V;.
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•
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hC;!*?]
7.
?i-n.e.-1-]
AP-")
CDVfl'h «
=
AfloÄvhÄ
4.
at^--if",\^.
•
(o-tiu-ii
:
ib. a»nA>rt,^]
*.S.'»V.
demeurait
'.».
•
AOTXvh^
flj'l'rth-n
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ib. (DyA'h]
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•
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:
iDaDfti-.3£-A.
—
/^4.e.
5.
ffl-J-ftXrt]
nt;>ÄA^]
•
•
CM
•
mh'XP'i
3ffls.
1. oifl>x]
v.e"V¥'*. sie.
H/.rte-i-
ffljjA-
Ä{»"Äh.
!
^,'ih.^
^.e/ft-V
•
* i-;VT^'l- «
b.
öA-f-
:
ÄO
öj+Vä
h9"i.u"i
^h.A
89
athfh-i-
[9/.]
y avait un couvent dans lequel demeuraient beaucoup de vierges porte etait solide. Salan snscita contre elles des brigands qui
voulaient piller leurs ricbesses. Le clief des brigands dit
:
«
Moi-meme,
10
«
LE 7 TAHSCHASCH.
[95]
A.+
:
\\ao
'
UM
nv/^'^fi
^.V'^[i
•
rtAjr
fflWiOn
Ah
•
+
5.
ante
P
Chr-i-
:
hl&O'
•
A.+
•
—
//i.
0.
Vfi/h
s/c.
äA»-I:
:
A"iA
ni>i<-
\>>
'
—
13. (Hi»A]
=
"VAIT
:
A'1'.S-fi
A
:
i
h-^-V.
•S'Vh.A
i
—
/T».
ow.
•
!
!
a».
—
=
.eci^p», " min^'.
aWiXxtxy.^^' ?»9"il/'7
•
•
•
ö»
hcn-f-
-vn
•
fl
i'+rMü-
:
dfl>-CV
:
ojäap
'jft'/:-!-
Mr'
ft.
P
l\ini! •
la
All
2.
flj.ea.A»v]
— 4-5. — ante — ib.
aol\f.-}.e:A
—
ll.^-n^
:
:
'\ÖA
:
A
(L^^-]
commemoration
—
>..
:
«DnUt
ib.
«iW!*. '
:
—
c>>v]
VArt*.
7-8. öiV-1:']
.fflCV
3. <»+
rt^^rf.
>,n
a>«»Vl>rt s/c. •
—
(D.p.n.A°fl»-.
«(/rf. a.
-no-ö
11-12.
II.C-IU
(Dhihl:
••
o/«. A.
A>.n]
ffln^H*
I
•
cDrhö»
fl>(»n]
ib.
— >nwi] — A-^A«» °/A9"]
-i^'i
m^n.'/
•
mfl'ITi
»luvl-
-•
— 3-4. m. — ante —
add.
•
ixiw.h-fi.h.i:
ji^'^ftA»«»-.
f,R.<\o-
fi'ih,^
•
y,'ih.6i •
•
flJ+A'J
no'i'i
•
^h(\
:
hn
•
est en surcharge.
10. Xft»* «o;?:'^-»
M
:
»"AKh
:
1. 7i->'^ftA"]
A'V]
hih'^rtA"
aty.a.ti'-i
>•?(?
•
M
•
637
—
tWA.e.
ÖATf
HÖH
s
:
:'
est incorporee au salüm.
ffl-fcöA.
me ferai semblaljle ä Abba Daniel et aussitüt elles comme il avait pense. Uleur dit « Je suis Abba Daniel.
je
:
ni'ouvriront. » »
II
Ayant enlendu,
fit
los
raoniales allerent ä sa rencontre avec joie, laverent ses pieds et decouvrirent
leur visage.
L'une
d'elles
etait aveugle.
Lorsqu'elle se fut lave
visage
le
avec l'eau du bain de pieds, ses yeux s'ouvrirent. Voyant cela, les moniales dirent au chef des brigands
des brigands,
:
a
Tu
es bienheureux,
en voyant ceci, se repentit et se
Abba
Daniel.
»
Le chet
inoine aupres d'Abba
fit
Daniel.
—
li.
Abba Daniel demeura dans un
moment de
sa mort approcha,
un peu malade.
Que
II
pria le Christ et
mourut en
notrc roi
siecles des siecles.
De
toi,
piince des bienheureux pretres
Dabra-Siliat,
Daniel.
Tu
le
lui
exposa.
II
le i'at
paix.
sa priere et sa benediction soient avec
Salut ä
ascetisme. Lorsqne
grand
un ange du Seigneur
as ete revetu de feuilles de palniier,
'lyäsou pour les
.
LE IJVRE DU SYNAXAIRE.
638
Kill
•
t'ti.d.'P
hörn.
99
MCfi.!-
••
A-*
hcrt-f-ft
••
-
•
rt'^i'.
•'
x•^'l•
•
[96]
^'i\ö'% •
h-in
VC.
— A »i..f>. — A OOT. —
s^r;
ib. ^K-rt-iT]
riSn-H.
1. >.-Vll]
i^
V/ii
3.
iin-<J->;
:
A
0,
2. ii>,..f.ei'"ö'c]
A
o
fiooti.]
comme
—
biffee.
ib.
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4.
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»
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ib. irn-^-v] hm-H'-if-ti
>,fl)-ft»j.ft]
indiqueiU que cctte lettre doit etre con-
—
ATT.. xahim d'Abba Daniel. A.t^f-T-'rcn.
l\V.4:<.
ITflA.*
P
A>r.rt.t] /Va
«^/liT^. sie;
memoration de sainte Diyonleres avant
—
'^
A
Artfiyti.:
de petits Iraits au-dessus et au-dessous du siduree
—
=li\.<9'.
iih..Rny*ö'P.
.
ImA.e.
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8.
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h-n.-"/
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A
h-T.'*.
En altendant la parure du clel eii fleurs, Que n'obtiennent pas sur la terre les rois illustres.
Lorsque Daniel
t'eut priee,
Pour Euloge qui
Tu
lui
as baise pour lui les pieds du Christ.
De meme que
tu as sauvö Tarne de Daniel autrefois,
Renouvelle, Marie,
3.
p, 99 v"'c.
eu invoquant tonnom,
causait de l'afniction,
mou
Memoire et
salut.
sal.\m
de
l.k
bienheureuse Diyonteres.
E" t^e jour aussi est la memoire *de Diyonterös, la bienheureuse. Que le Seigneur ait pitie, par sa priere, de notre roi 'lyäsou pour siecles des siecles.
les
I
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7 TAHSCHASCII. G39
5
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-
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,^.
A niet
la v.e
dAbba
Matthieu ea täte du
7
Tähschäsch.
Salut ä Diyonteros, qui, plutöt que de faire ce qui est defendu
et est
Prefera rendre son äme.
Sur
le conseil
etprit le
nom
du bienl.eureux Daniel,
de Daniel,
le
le chef des brigands se prophete de Suse (Sousä).
fit
moiue
Lorsque cet horame eut 11
punfia
le
prie, apres etre entre daus le sanctuaire navire de sa chair de Timpurete de la concupiscence.
4.
1. Inciprt.
MoRT d'Abba
Mattiiiei- de
Dabra-'AswAn.
-
-
2. Education, monasticat et charite d'Abba Matthieu. 3. Sa consideration des fins dernieres. 4. Construction du sanctuaire de saint Paco.ne a Dabra-B.q.lt 5. Lutte des demons contre le saint. 6. Effroi de Serapion a la vue de deux hyenes qu .1 Irouve couchees, au desert, dans la grotte dAbba Matthieu 7 Le samt exphque ä Serapion que ces hyenes ont ete elevees par lui. 8. Son
-
-
-
_ pouvoirde thaumaturge. Guerison d'un homme muetet demoniaqie. Celebration des mysteres pour les - IL Guerison d'une jeune demoniaque _ 19 Ch\ 9.
10.
la.cs.
fille
timent infl.ge par Dieu, sur la priere du saint, a une femme qui setait rendue coupable d avortement et avait fait devorer son enfant par les cluens. I3 Dans le desert Abba Matthieu tire d'un puits, oü ils sont tombes. les
-
— 14.
petits
i,a Vision
PATR. on.
—
T.
du
ciel
XV.
qui preceda
— F.
5
.sa
mort.
dune hyene
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LIVRE DU SYNAXAIRE.
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A
fl.
Abba Matthieu (Mätewos),
ascete de 'Asafoni, superieur du celebre monasterc de Dabra-'AswAn. 2. 11
se
— fit
Ge
Saint
la priere.
On
fut eleve,
des son enfance, dans
dans Tun des couvents.
iiioine
bätit
de ses mains, de
pour
lui
II
une demeure dans
boiines seines
et
donnait
le
le
du Seigueur,
la crainte
devint ascete par desert.
prix
II
qu'il
le
jeüne
et
par
confectionnait,
en
retirait
en
aumöne aux pauvres, comme ses disciples Abba Serapion (Saräbyon) et Abba Iledrä Tont expose, en racontant son oeuvre, sa vie, ses miracles et ses prodig'es. 3.
—
Eux-memes
ont raconte, en disant
demeure dans
une voix dans l'interieur de
demeure,
la
«
:
assis en deliors de la porte de sa
le
comme
Un
jour que
nous etions
desert, nous avons entendu si
quelqu'un s'entretenait
avec un antre. Lors([ue nous fünics entres, nous n'avons trouve personno, sauf notre Pere seul. Nous
lui
avons
dit
:
«
O
notre Pere, voici que nous
LE 7 TAHSCIIASCH.
[99]
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ante
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se tenir
«.e:*'V
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revetus
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"J-nc;
6.
7.
"hlv.
atW. a; de petits
s'il
y
traits
comme
au-dessus
billee.
—
fl.
et
fflAdA a>
S. rii"*»
au-dessous de
ml«'/
—
•"IU9't\\
avait quelqu'un qui conversait avec
et
toi.
reminence de sa vertu
»
II
«
:
nous
O mes .
.
le
des vetements qui
le
sont sur lui et qu'on
pauvre, le fera
tröne du Seigneur vivant, au milieu des degres des
de l'assemblee des justes, qui ont garde
comme
s
©<"/
ib.
n.
mort qui m'atteindra. Malheur ä Matthieu,
debout devant et
;1A
^^lUlS^]
4.
me suis souvenu de mes peches et * j'ai converse avec ,. ä mon äme les supplices qui ne passeront pas et aussi
depouillera
anges Celestes sont
la
Oc
'^>iYiA
>,A
//;.
,
le
=
",c.^9' sie.
"^^IflA
wilVionni
>ir.]
comme
je
rappele
tourment de
lorsqu'on
>iA
ffl'^+yjp;
SiC',-
orandeur de son humilitc
J ai
r:>ifiP]
^.H.ViC«'»'.
quant ä moi,
moi-meme.
u»?.?.*]
3.
—
'P>^.
:
Lorsque nous sommes entres, nous n'avons trouve que
dit daiis la
ja-
=
—
—
h.f:iA
<
m?*«;
A ho"
"iC^y sie;
5. fl>^+
:
(Dniitioo-)!
avons entendu deliors, toi.
«^hh
•
f'}4'n-
••
n-mi;!
zZ<.
»S'.e.t.
ib. >,A
sie «p>Vi;
cetle lettre iudiquent quelle doit etre considerec
le
h^H.A'flrh.c
•
fl)'^in<:
— 4-5. A myA-at-T'. — 5-6. — A mdon'^CT «»"iO — A wAW-A-i»»' «V-^n^. — ante P, add. — o/». P A — A o/h. — 7-8. ^iHiCoi»-] P /imc«^ s/c;
1
ib. AÄ-fc-l!]
s/f.
A
«»'ja/.
•
•
J\Ä'^'J K
•
K.iti-flV]
"V-^n*:;
I
sie.
/'
",y.ao .sie.
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P
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A
A
3-4.
A >iAnn
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—
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ib.
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1
•1in
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ib.
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•
9"nA,ln]
1.
rniH-'i
(D^'pat'9"9^
HAAA.y"
!
oDfiin
•
G41
d'un
vetement.
»
la
C'est avec de telles
purete et s'en paroles qu'il
exhortait ses enfants spirituels, en leur rappelant le supplice des peclieurs et la
recompense des
4. et ses
—
justes.
Notre saint Pere Abba Matthieu
ofiices
dans
le
monastere oü
il
faisait ses priores, ses
bätit
un sanctuaire sous
devotions le
vocable
•
100
W 1°
ii.
LE LIVRE Du SYNAXAIRE.
C42
—
6.
C
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1.
—
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ii.
11.
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I»
a>ni^;h;
«i. f.>iP]
•vn.R^.
de notre Pere
Abba Pacome (Päkuemis). Son
petit
monastere devint
le
celebre
moiiastere de Dabra-Baqalt.
— Les
5.
voyait tout
face
lieu,
demons ä
face.
et les
esprits
Eux-memes
impurs Teffrayalent jour couraient
la
moment-lä
— Un jour,
unc cruche d'eau le
les
desert, et de
ä la
grotte,
il
et
et signait
demons s'evanouissaient
fumee qui se trouve devant 0.
lui
et
et nuit. le
11
suivaient
les eii
sous des aspects varies et divers. Mais notre Pere n'avait pas
peur d'eux. Lorsqu'il elendait ses mains croix, ä ce
devant
ordonna
la face
son front du sigiie de et se dispersaient,
la
commc
du vent.
ä Serapion, son disciple, de prendrc au couvent
un peu de
pain, d'aller a sa grotte, qui se trouvait dans
l'attendre la, jusqu'^i
ce
lorsque son dibciplo ouvrit
(ju'il
la
vienne
le
londemain. Arrive
porte pour entrer,
il
vit
deux
J
LR 7 TAHSCFIASCH.
[101]
f,43
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flJfth.
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*
:
:
7^5?"
fl)6>,.
:
que des hyenes,
7.
— Voici que notre Pere Abba Matthieu
ferma
=
la
en recitant des psaumes. Lorsqu'il
fl»-"'<.
::
vit
?«!/"
:
s
!
7-S5'".
le toit.
enmarchant dans
vint,
:
couchees ä l'interieur
porte et monta sur
demeure. Avant peur,
il
i
fort terribles,
la
son disciple,
il
le
desert
sourit et lui dit
:
Serapion, pourquoi n'es-tu pas entre dans la demeure, jusqu'ä ce que je
«
vienne vers toi? la
Serapion
ne suis pas entre.
Crois-moi, 6
avec
»
lui dit
demeure deux grandes
d'elles, je «
ib. «dö?,.
ib.
>,!rh-V«»'»
betes plus grandes
de
-^-nfl^-
:
:
o. ii^o-vvijp
>i>-nf:.
n"i-ti.
•btt.e.
7.
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8.
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TfltyM'ao-
:
elles. C'est
d'apporter, c'est
mon
pour
mon
«
Pere,
»
Le
vieillard
doux
car voici pour moi
fils,
moi qui
:
les ai elevees.
elles.
j'ai
trouve ä l'interieur
betes, qui etaient couchees.
»
pure
douze ans que
Le pain
Alors,
Ayant eu peur
et ä l'äme
et l'eau
lorsqu'il
que
je
je t'ai
ouvrit la porte,
lui
dit
:
demeure ordonne les
deux
betes vinrent vers lui et lecherent les talons du saint. Elles etaient pour lui
des corapagnons, avec une cruche. Elles burent. Puis
grande
soumission.
elles partirent
au desert
II
leur versa l'eau de la
et s'en allerent.
* p,
644
LIVRK DU SYNAXAIRE.
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—
n
ib.
>iirniii-
A.p.'nif]
=
lieu.
du Seigneur qui se trouvait avec 9.
— Voici
muet, *
100
I'.
un de
qui avait
ses miracles.
Un
un demon. Lorsque
Aussitöt cet
au
homme
nom du
— Lorsque
Aiinfl)-.p-v]
:
.efl>n.S.]
nw.«»]
.S.
post
.e"^>]
An-]
/i^.
A A
Airnw.f>
:
A mmA-S-. — mn-nc.y' A mn-nc. '6.
m^EA-n/'hjp.
11
les guerissait
par la puissance
on amena vers
jour, le
demon
eut vu *
le
lui
un homme
saint,
cria ä
il
pria sur l'huile et
.
,
.
fit
Ic
.
Pere, du Fils et du Saint-Espnt, un seul Dieu.
fut delivre
baisa les pieds du saint et s'en 10.
A.
— S-9. —
!
A
lui.
r" c.
la croix
A.ftm'V.
>,nYi]
5. ?;>i9"V]
apportait vers lui toutes sortes
haute voix et renversa l'homme ä terre. Le saint signe de
rtfi?ff.
ih.
des miracles, jusqu'a ce
faire
On
•«>.«..
om. =
fflj?.
••
— — 5-6. —
ib. aj;ert.-n/»i}»]
m.RÄ.fl^A-.
de malades, atteints de diverses maladies.
A
0,
my-i-nc.r'}
Trn-t^.
continua de
que sa renomraee eüt rempli tout
lUlM»-.
*>^fi
n>,ft.
12.
:
fl>,e^
Get Abba Matthieu
i
—
i-^T'C.
*.S.fi]
:
jn.«-
^«fecn-
ib, .tfli.jp'V]
8.
:
«»«"'•>An
=
:
>,>,;)<:]
!
:
U}P_
>.9"niti-
fl»n"Kn>]
ib.
^ft,y,,
h-ll
s
-ri^irt.]
7.
.S-(l>.ft..
A-fl>.rt.]
ib. nfio"
*.S-ft.
'V'.
:
:
6.
"^hR
•
tihn\i.h-nth.c «
=
nllll.^l^;
— fflh^t öAt] A mnh^-fc öA^. — A o/«. — ante — tiArh] iiAW. — A A — mmA.e0, A add. — a>-M:] A om. — A m«?"",. — -m.. — 11. An-Tü-.— — ^4c-n A-ö»-] P .eben-; m^^n A-t. — — 13. A >ni:t] P, (\o\^ — — A A VS^"». — A
rt-ö»'
:
fl>j?.rt.'n;iijp
maViMC;
HHIIHM»-]
3.
^«fec-n
s
de ce demon. Son intelligcnce revint.
alla,
II
en se rejouissant.
des laics venaient vers
lui,
il
oll'rait
pour eux
le
sacrifice
eucharistique et les renvoyait en paix. Lorsqu'ils emportaient dans leurs
maisons un
petit objet
qu'il
avait bcni
et
ceux-ci etaient gueris aussitöt et glorifiaient
le le
deposaient sur les malades,
Seigneur.
1
— »lAh
1
AÖA
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Ml'
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c 10
c
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•
« ffl^tiA:
7 TAIJSCIIASCn.
I.E
[103]
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\^h'ia^
•
fDauj-nyi?»
-
•
«
AhAn
'
* P, 100 \° a.
iwvFt
1-2. i»"r.p,t]
«CV] //'.
A
fl»+-n'^]
flifion
A
A
Ticn-Ffi.
:
-n^rt.!-
'V.nn^]
—
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:
ib.
A7C.
—
m+'V'^.
— —
5.
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>,n
:
0. >,'Vt
ib.
flftö"
tBflj-nnjp s/c.
11.
9.
:
—
>,rt^i1l]
//'
^-ij-a
:
;
-V
Iicn-Ffi] <)
dfun»ib.
H.e1-.
'
;
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7.
flJtrf.fi'P.
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3.
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— ^u'tt] in-v^-. — 2-3. A mh^cn. — hn — P o/«. — 0, A A om. — A — AncAFfl A AWA*. ~ da^] ow. — ;iT>it] 1>.i^C] A mt«» milÄvh^. —
ib. non,.P.]
— — WH P wMvhA'e] A — 10. aoVV.] »"VI. — nr'i-y. om. — 11. am-^,? aap] A mn"?./'
A
e>i:i-]
—
:
—
>iAVi
;
nr'.jv.
••
—
12. >,4v]
>,AVi-ll.
A
-
ib.
«nmiHrny]
ib.
o/«.
—
ib.
est en surcharge.
Deuxieme miraclc. Uu joiir, on amena vers lui une jeune fiUe, un dömon. De noml)reuses fois, eile avait dechire scs vete-
fort jolie, qui avait
Personne d'entre
ments.
gens n'approchait
los
dans une grande tristesse
dans
et
rhuile de la lampe et oignit la jeune 12.
— Troisieme
resse qui etait
miracle.
Un
fille
jour, on
au
quo
le
confesse ton peche et j'ai
Lorsque l'ai
etaient
Christ. Elle fut guerie. lui
une femme peclie-
etait fort
jour de Tenfantenient arriva,
d'enfanter; eile fut tourmentee jour et nuit.
ä moi,
nom du
amena vers
tombee dans un grand peche, lequel
qu'elle fut cnceinte et
Ses parents
d'elle.
gemissements. Abba Matthieu pria sur
les
ne mens pas devant
le
Le
saint lui
Seigneur.
»
il
dit
mauvais. Lorslui Tut dillicile :
ma
«
Elle lui dit
:
«
fille,
Quant
continue de coucher avec deux freres, sans que personne le süt. enceinte, j'ai avorte, au moyen d'une drogue, de l'enfant et je
j'ai ete
donne aux chiens.
»
Ayant entendu
ceci, le saint pria* le
töt la terre ouvrit sa bouclie et la devora. Elle fut
Seigneur. Aussi-
•P, 100 V" a.
un exemple pour
les autrcs.
LE LIVUK DU SYNAXAIHE.
046
—
14. ^.^M//»-
fl)?,{r"M
jjöD
.
äa.?"
rt.
tohCM-f-
nhti^'i.V
•
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[104J
=
:
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:
•
-^n.v
hCICU.
10
:
— 2-3. hAOriih] P hAO A K.f:iA^:. — mnhWi-t ÖA^] 0, A lohiM— — n^nviV] r P A nftv». — P om. — htn-Kh. hwAh] m-nt V*"^^; A ^'V!»^. — — c>if] A — noo ii.«*».*}»] A — 0, A — — 10. «n* ( W/n-vn. — P A 0/«. — — — U. A P, 0, A ,*A. — -V^t. — — EMilA.'^t] — — A "^Ay"] h-n^c. waä h.yfi'ntjpfi a'va«» nÄft»* A ji^nh-nA-c h.frlA*]
1.
A7c;
u-
/ö.
2.
hAnn.v.
5.
ü.
i
,e5»"/hcf
.ey"!)«;»
••
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:
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surcharge; un second
ses
tira
iDirt.
:
>i.frt-fi
:
"lA?"
s
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;
7V.-i->]
-^aj»"
rt-VA«»
:
>,«i->
iiom propre
"h-lW.
=
=
;
fi>iA
est en
f{f"i
:
se trouve siirun grattage.
Un
jour qu'il
marchait dans
vetements avec ses dents. Elle
devant
lui,
—
A"/A«o
:
>
-V";!'!-]
>,°/H.>i'flA.f.
i
ii-n>i-(i.
in.»!.
sont les miracles de ce saint. Cependant, je ne manque-
tombes dans un
3
»f"/
>
propre
etaient
14.
ib.
=
de raconter celui-ci.
rai pas
hyene
fiJirt
noiii
— Nombreux
13.
•
:
•vn.>]
hr.lr»- sif.
hC-^fli.]
>.tiA.'\=h.
A'i:'i;<.
2^. ti-fl*in]
.ftx<»-ö}p.
:
8.
/Ä. :
4.
tiöo
//;.
>i>ft,ü-.
>,T-ft.7]
••
>,-vrnvv-n]
..>'A]
viöD s/c.
/6. Yio»]
;6.
«»-fil-
:
7.
ib.
1>.+-|-.
'\h4'1-]
=
c>if-F.
>,n
öl\t.
!
n>.n'rv.u-:
ib.
ffl.e:*]
/Ä.
>
3.
puits. Lorsqu'il les
le
moment
du mois de Tähschäsch
:
c'etait
une
dösert,
eile se
petits
qui
prosterna
alla.
de sa mort approcha,
comme
le
montra ses
lui eut tires,
lecha les talons de ses pieds et s'en
Puis lorsque
lui
si les
il
eut une vision,
le
Peres saints Abba Antoine
Abba Macaire (Maqäres), Abba Pacöme (Päkuemis), Abba TheoAbba Moise (Mouse), lenoir, et saint Abba SinodäTappelaient « Bonne seit ta venue vers nous, aux noces de TEpoux. Ils lui disaient
('Entonyos),
dore (Töwodros),
:
])Our
habiter avec nous dans la Jerusalem
firent parvcnir
trönes.
Que
le
»
Puis
il
mourut.
Seigneur
siecles des siäcles.
11
('lyarousälem) Celeste.
grand palais qui avait des jardins
entendit une voix qui disait
II
Malthieu.
ä la porte d'un
:
«
Ouvrez
»
11s
et
le
des
les portes, afin qu'entre
reguttrois couronnes.
ait pitie,
par sa priere, de notre roi 'lyiisou pour les
LE 7 TAHSCHASCH.
[105]
9"tlh
•
h-tt
hr-nif:^
:
'i^.-!:
1. AHft-.+
All
—
•mi:i] 0>.)r-nH"^.
—
flijTftA
•
I
:
:
WAS.
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A
«
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«•.»•<.«•:
/Ä. -i.*.*]
:
647
A'W..«?.
:
Ark-<:-<&ih
'>.<.^-h.
—
s
—
::
3. «ante 7.?"»p^iDt
n«»]
<»n;
A om. —
A 5.
«rf«/.
— A h,^nA«.
m.
^nA«]
4. >,?"
/ö. mct ensuite la commemoration de sainte Diyonteres, la commemoration de Predicalion de Notre-Seigneur et la commemoration d'Abba Daniel.
Je dis salut ä Matthicu, le paiivre, qui vecut en
Avec
le
Loin de
A
Pere la
et
avec
communion
le Fils,
concupiscence du monde et de soa desir.
cause de
la
grandeur de sa vertu, aux betes sauvages qui vivaient
familierenient avec lui II
la
donnait ä maiiger, en prenant
la
nourriture avec sa main.
:
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
648
—
I.
ow.
3. flHt]
—
n.
Recension primitive.
ante ^cr*'^ P,
ib.
LE I.
[106J
8
A add.
>,n.
TAHSCHASCH
Recension primitive. — 1. Mortd'Abba Hierocies, patriarche d'Alexandrie [rccit) A (92 r° b — 92 y" a); T (111 v" a — 112 r-a); P (100 v" b — 100 v° c); O (9 r» c — 9 v"
A
a)
A
;
(92 v" a
—
(90 r° c
—
99
r» a)
90
—
v° a).
T
;
— 90
Martyre des saintes Barbe
2.
(112 r" a
—
112
V a)
;
P
V
(100
et Julienne {recilj
— 101
c
r° b)
:
—
(9 v° a
;
— Mort d'Abba Samuel, superieur du monastere — 100 v» b); T (112 a — 114 v" b); P (101 b — — Martyre d'Abba Paesi et 102 v" c — 11 bj A (90 v" c — 92 P (102 v° a de sa soeur Thecle (recit): A (100 v° b - 93 v°b'); T (114 V b — 117r° — IL Revision ou — 103 v" a — 93 v» b — 12 v° b); A (92 (11 Saldm a Abba Hierocies, patriarche d'Alexandrie P (100 v" Vulgate. — — Saldm aux saintes Barbe et Julienne P (101 b); v° a); A (90 v" — v° A (90 V — Saldm ä la bienheureuse 'Enbämrenä P (101 c — 102 Saldm ä Samuel, superieur du monastere de Qalamon P (102 — Fragment propre du rech du Martyre d'Abba Paesi et O (11 A (92 b — a); A (92 c — 12 (11 de sa soeur Thecle P (102 v° a — 103 — 10. Saldm ä Abba Paesi et k sa soeur Thtele P (103 v" (12 v° b); 92 v» — Saldm aux compagnons d'Abba Paesi et de sa sceur Thecle A (93 Mort de saint Jean Damascene P (103 v° O (12 v" A (93 c — 93 v" — A (93 v° a — 93 V P (103 v» c — 104 (12 V b — 13 (recit et saldm) — 13. Memoire et saldm de Yerseqlä, de 'Elqolonitos et d'Eugene, pere de Marina — b — 13 A (93 c — 94 ("Anbämren) P (104 O (13 — Propre. — 15. Mort d'Abba TaklaSaldm au R6dempteur A (94 V
9
A
c);
(90 v° a
de Qalamon {redt) v° a)
A
:
v° c).
r"
(9
;
3.
(99 r» a
v-
r»
4.
r" a).
;
b);
c);
a).
r°
r"
5.
(9
c).
c);
7.
r" c);
:
:
b)
;
r" c)
c);
r°
:
superieur du monastere de
I.
d'Alexandrie.
Au nom du
1.
— En Sur
le
—
Dimä
[recit)
—
5.
—
4.
r° a).
v°
c);
14.
:
A (94
a
r°
—
94
r" b).
Recension primitive.
Educalion d'Abba Hierocies.
2.
patriarche Demetrius.
1.
r"
c).
;
III.
.
Mort d'Abba Hikrocles,
1.
—
r» b)
;
r"
r° a)
:
12.
a).
r°
;
:
Incipit.
r"
c);
11.
r° c).
'Alfä,
v° a);
r°
r"
:
c)
b).
r»
9.
r" a).
c).
1.
r"
:
:
;
r°
:
8.
r" b)
c);
:
6.
a).
(9
Apres
la
p.^^triarche
—
3. 11 est
d'Alex\>drie.
ordonne diacre
mort de Demelrius,
il
est
et pretre
nomme
par
Ic
patriarche
Sa mort.
Pere, du Fils et du Saint-Esprit, un seul Dieu.
ce jour
mourut
numerotage des
folios
le
saint Pere Hierocies (Yäroklä),
du manuscrit A
cf.
patriarche
infra, p. 111, note ib. de la ligne 4.
:
LR 8 TAHSCHASCH.
[107]
Hl/1/.
^rth'J.^C.e
••
ucf
AflJA^fl»-
T
iiicip. ffl)i>-]
ib.
4.
mpn
(7).
hdi'en •
!
Vin-C.
fl»l>V.
—
m-fi.
—
—
?6.
A>ina»-
'6. »l'»i,e-.f>]
fflA.tS" s/f/
P
A
«da^s
mff-A»
:
649
AhttOh
:
o'^n
Tnn P, 0, A, T
>iy">] P,
:
h9"hfiiJ^0»'
:
^iir-rA*«"" s/c.
— *^fi] A — 2-3. mAÄ}»] A — ante A
add. m.
3.
Tnn
•
A
>.?"-V-A4'.o»-]
1.
(DOt-h-U
:
•
^li'"V"
T
0,
;
arfrf.
/Ä.
«da*
a^s^M'-tVoo- » iDti*n
ib.
A
ante
2.
A
H-^o-.
P, 0,
A
* A,
92 v» a.
P,
>.(n>-->-j:
s
=
:•:
hcft
•
ati-vi:
>.'\
«dAä*
>!?">;
!
Tfflr
:
ftin
-
h^.•n'Zf^']
>.y".^-^
:
ÄÄ^Th
m>xT' K-^C'l
ti.^«-;
i
—
W-A-.
—
Art„*>.
—
s
*tn>ucp
'
ft..*V]
:
Yia,.^^-v.
A.*>
:
A
—
hin
rnff-A"«»»-
ao
T mviön 'hr'.e:'^d.-V >.?"/•. — ib. ante «oocj^ T add. (D. — 5. mhÄ-TröJP] P, ü, A rt>h»V'^; T mh^"^?. — ib.
amfln
::.
hr"f\
"sr".«.-^/.
:
:
:
i
>
>
(3.
ä
:
;
:
!
'
<
=
:
ncfi-f:^-»,
la
—
9.
villij
patriarchos 2.
—
^0
!
Je f'eu.
Avant de
d'Alexandric le
Les parents de
croire,
ils *
apprendre par cceur
fol.
111 v°
fi-n
!
b).
—
,^"%TCfi
;
('Eskendiyäl.
ib.
«dAt
:
A
JiO
Ä«T.Tcrfi.
est
II
—-Puis
le
ils
!
rfct
A fl»Ap
MCti-ty^^
du nombre des
ce saint Pere etaient des
i
Peres
AfUt«
les
avaient enseigne ä leur ils lui
infideles.
Mais
apres
crurent et furent baptises du bapteme chretien. fils la
sagesse des paiens. Mais
enseisfnerent la sao^esse des chretiens.
les livres
de l'Eglise
:
Ils lui firent
l'Evangile et les Epitres.
patriarche Demetrius (Demetryos) l'ordonna diacre. Ensuite
l'ordonna pretre dans une eglise de la
ville
d'Alexandrie.
garda son troupeau dans une bonne vigilance. loi
s
treizieme.
lorsqu'ils crurent,
3.
du
,^«^Tf.f fi] P,
qu'ils l'eurent onfante,
il
.
=
:
non endommagees par
de
i
:
II
Abba
Hierocles
accomplit sa täche et la
de l'Eglise. 4.
—
Lorsque Abba Demetrius mourut, on elut ce Pere
et
on Tinstitua
* .\,
LR IJVRE DU SYNAXMRR.
650
0.
—
fl»>n/.
A
Te.fv] P, o,
—
1»Cfl-pn. Tr]
T
4.
incip.
add. yi-nhof ß-7. V.?."??"^
DA"
—
^.erfH-
1
^-*<.
^-n-Tr
<
:
A
;
n
1
tfflAÄ
?°nA
surcharge; un second
—
ß,H-i"to.
«i. -^tn]
A
'
nom
—
ika-
i
»"Ä-'^'V >
fi>iA
:
(lA.'V
coup de paiens,
et affermit ses les
fit
parmi
les
i
"^AiT
le noiii
;
se trouve sur
A
:
les
^nfl>•^<^>•
—
n
pFopre
>
un grattage.
—
i
;
A
t
(l/.lTl:
»f-"/ cst
—
—
10. >,"JH. '>£fi^-
>
h"!."/
n>iA
-.
P,
n»h•(l^^^»-.
!
?!«»:>-.
;
A.Prt-n
rt'^'\fl>-^V.
ante
«^A?"
•
5. oi>VjR7"
my.>n.y>c:a»-\
-.
P,
>l^•n^
>,"%>
l\"iHtn'
—
.•
:
cn
ib. ,eTr"7>i]
"?>.riA.
garda dans
le
la
troupeau du Christ daiis foi
droite.
II
iinc
convertit beaule
Christ et les
Saint Hierocles enseignait, reprenait, con-
dirigeait, jusqu'ä
ce qu'il les eüt fait
entrer
la foi droite.
5.
ans.
-^aj»» k
T
ib.
8. •Sao-\1
/"Art.
^nn.'Wi
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—
maoct*'0O'.
« a-^a«»» i
P
;
/Ä. t\'^'WJ"i\
fl)?,^/.
:
chargea saint Denvs (Diyonäsyos) d'etablir
II
fideles.
vertissait les infideles et
dans
II
T
—
A
.tf'T^V^fl.
entrer dans la foi de Notre-Seigneur
baptisa du Lapteme chretien. la discipline
m.e.-
fideles
».eifi^to»-
A ow.; —
mAt
:
«6.
patriarche de la ville crAlexandric.
bonne vigilance
••
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«j/w-h
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>,"?ii.>iv;
C^*^.
o/».
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O om.
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1
OT-jn^
!
Yxi-^m-r'i.
flJoortlJ»']
—
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^.n
'
[108]
—
II
II
siegea sur
le
siege de
Marc (Märqos), Tevangeliste, pendant
mourut en paix.
Que
le
Seigneur
ait pitic
de nous par sa priere.
Amen,
treize
LE 8 TAF.ISCHASCH.
[109]
1
~
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n«»
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1. t>V]
T
add.
—
A^T
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•
— 3-4.
Barbe
ante
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—
sie.
H-fc
—
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«
ib.
£-fn*cft. 16.
önOKtw; 0,
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A
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ib.
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defic.
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6. «B-
- ib. fit
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T
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b.
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A,
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2-3. n>.A]
«Cer-i-Ä]
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P, 0,
.^vfi*r.vft]
m^in<.. :
ncn<J-
—
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:
ib.
add. m.
i-KAH.-
A WIH. — "l-^^ü: —
sie; P,
wen
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'*•
non endommagees par
.s.ffi*c"ft;
ib. hiiii]
6-7. ante
«»'»h-t xic;
P, U,
—
mycvoh
—
on/j^io).
A
oin. >,?».
h:
P
n"7ö;J-^;
T
A
a»-ft-i.;»-.
—" om.
8]
—
°/n<..
M\UTYRE DES SAINTES BaRBE ET JuLIENNE.
— 2. Dans la tour que son pere, le prince Dioscore,
Incipit.
sainte
"VlÄ.e;
/6. ffl^r.ixn.]
^.
1.
om.
.s,fn*cf-n] P,
ii.
(O-At
i)
aoon-t] P, 0,
/6.
A
3. \^^r'aih.^.'\
;
A*fliA'i:
•
:•:
rt'^d.-i-i-
est en surcharge.
ante •^a.e P,
ib.
(variantes tirees des quatorze premieres lignes,
112
add.
—
rt"7ft;»-*.
V-
©li-fcft
mp-A^T
•
^iy-Mcv-ti
A add. A
:
P,
i.^A-l!.']
:
-.
mfA^f]
post rof-A^S"
—
WA*]
ib.
ib.
—
ncn
'
mi-a^.
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ßc/t/. ft-Vö-V
ih.
Jt.e,*!-.
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4"j.oi-
:
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•
ncn^.
—
om.
—
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nf.n^]
s/c.
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ante *.S.O^ P,
iV'.
(6.
ai>,-vn!r<{.V
A
/Ä. ii>^] Olli.;
Jidn
•
A»«'hftr,es"A
f>1]
•
add.
6^1'
••
•
A Vr. —
h-VfH-.
j?:*^-:
P
öJflH'fc
651
—
son pere a se convertir.
—
avait construite
l'image de la croix au-dessusd'une piscine.
fait niettre
4.
Son pere veut
la tuer; eile disparait
—
pour
3. Elle
eile,
exhorte
dans un roclier qui
Livree aux magistrats par son pere, eile est suppliciee sainte 6. Les saintes Barbe et Julienne ont la tete tranchee. Julienne se Joint ä eile. 8. Deposition des corps des 7. La piscine de sainte Barbe devient miraculeuse. s'ouvre devant
eile.
5.
;
—
—
—
Barbe
saintes
1.
—
En
et Julienne
dans
l'eglise
aussi sont
ce jour
des saints Cyr et Jean, au Caire.
les
saiittes
Barbe (Barbara)
et
Julienne
(Yolyänä), martyres. 2.
—
Gelte sainte Barbe etait la Alle d'un grand prince, extremenient maison royale d'un pays de TOrient. 11 s'appelait Dioscore (Dyos-
riebe, de la
qoryos). core
ne
fit
la vit
11
vivait
dans
les jours
construire pour
jamais. Puis
il
*
de Maximien (Maksemyänos), l'impie. Dios-
sa fiUe Barbe une tour fortifiee, alin que personne
ordonna de
faire
dans
la
tour une salle de bains et d'y
ouvrir deux fenetres. Lorsque sainte Barbe vit les deux fenetres, eile ordonna
Vb.
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
052
—
3.
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'H'^d.f:
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:
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••
— «rion] P r'^ "/A*1f; "/AO.ß A "/AM-. — A — «T^fc] A — P, 0, A s/c; A — in-n*.] — A oni. — A A idv. ~ c>if] A — mthÄfli.] A, P, mi-h^of sie (A + est en surcliarge) A 0, A — ».H»"] P, A >?C. — 5-6. ante A ow. — ml-nM. — «DAVti A add. P, 0, A o/«. — MllltV ir/t] P, •v^nc. — c; A >i:4Ht> ^i^iv] P, 0, A i-n^A. — 5-6. a?"-vi-] A Ay»!- sie — — ru^rUA»] O H-Vt] P mao-n. — A AA-A *A-n n* A .R^-Ä,»?" "V; f.^i.f.f"; P n/"A-A nr'A-A ^^n ;B*
viAöt]
P
ib.
ib.
;
2.
y"A9-ll.
7(1;
"V-^^l.'
3.
>i,frt.ft]
5. jB7,-t]
A.
2^.
6.
ib.
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ib.
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7.
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8.
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>
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1
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/*• fl'>7C}^]
ib. fl>/ft>,A]
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i
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4.
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sie.
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ib.
•"l'^VHiH-.
I-9"1>
=
Ahy"'»^!
:
t
0.
«nni.-.
tl
Ahl'"'»
s
ib.
:
«D.
aux constructeurs d'ouvrir une autre
feiietre.
Puls
eile
fit
au-dessus de
la
piscine d'eau l'image de la croix vivificatrice de Notre-Seigneur Jesus-Christ.
—
Lorsque son pöre antra dans
la tour,
il
vit ce
constructeurs, qui avaient transgresse ses ordres.
II
les
3.
Ils
«
Ta
l'interrogea et lui
dit
raconterent et
lui
ceci.
»
Lorsqu'il
eile lui dit
:
«
Sache, ö
ceuvre est accomplie. la
lui
Trinite sainte
et
dirent
mon
:
mon 4.
:
«
fait les
Barbe elle-meme a ordonne Puurquoi as-tu
fait
ceci?
»,
pere, que c'cst par la Trinite sainte que toute
Moi-meme,
j'ai
cette croix ä
Jesus-Christ, par qui est survenu 6
fille
qu'avaient
interrogea ä ce sujet.
fait faire
ces trois fenetres au
noni de
l'image de la croix de Notre-Seigneur le
salut
du monde
entier. Convertis-toi,
pere, de ton erreur et adore le Dieu qui t'a cree. »
—
Lorsque son pere eut entendu ces paroles,
il
so
fächa extreme-
LE 8 TAHSCHASCH.
[111]
—
S.
i-tm^m^
tDh9°^'^6li
'
(D^tlh
:
653
htt'V
(DoomV
'
ÜOD^'i'i^
flJ
•
'
»9 ^
^chs (ohMchy "i-
A*Ä-ft
!
—
6. JiA?i;i'
10
A-fc
cDOT.j-4.
—
cD»iv
(D-h-u
:
Kuh
•
üA(o^
•
hcft-f ft
ha-v
:
oi'ir'^
chfi'i
:
hm
ncn^.
:
h^iuv
!
(Dhr?:'^^.'a
•
7.
1-
9"'V9'n
•
h«»
•
iD-tii'
:
^^?:fl^t'
•
MA'!:
:
vf-vi
nca<;.
^^^4-
••
flj^nh.
-
\öm
•
p-a^v
©ehrt
«»•ft'i'
!
-
ib. fl.ßc]
'\oA.u-.
/i. (I^•nfe;^]
A
de
4.
)t-ii,.
'
-^(IV
suite se trouve
au
>
«6.
>
nvv
fol.
99
r" a,
•
-ft
;
Icquel
••
h-tf-A;
h-tf-;».]
Aaoyi.'VTr^] :
;
S7(
",
v°
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apres une brusque Solution de continuite de
(>
lol.
ib.
aiOAa»->
:
.ft>>-t
tf->i]
I
rt
se lermine ainsi
fol., la
s
3.
:
n,f
2.
rt.eÄ.
fi
•
-i--
-nAi
— — m-irtT+V P o/m. 'ibM'] P, A A A ow. — A est de seconde main. — m>n>i] A m^fi/h^. — WjlVVP P, A «Dh-VVP h^>k Oflf 0, A AöDh-VTr. — 3-4. «Dh-^VP — fflüAo»^] A est en surcharge. — La derniere ligne du 92 1.
«
A'n.?'l-
n.+
••
commence
ainsi
:
>irt.->
>.'Vt
=
f-A^V;
tt"l
>
A, r" a.
•••
c^hh
ajKä-j'J
:
ttoD-ii/^i-
i-n^C'^
!
!
cM
•
t\rö
ht\^.^
:
•
•
bs
— nuf P Uf; — 4-5. A om. m. — *CV] P — vvii] ow. — post h^Vi A*j?:n^] A «/«. V-; ^^V; A l-i^v. — — at^nxi] A om. w. — Vt] P, A ow. — post iidj. P, A — MIH] P o/«. — A AOirt. — »lAW-] A ow. o»VH"i] KVO-n. — — MIA.A] A — P, A hC.\Ht WAh.W'i nrt.ev; llAh.Wo»— — P, A o/«. — mtim-'^r^'] P (DMiH",f. — — 10. P o/«, — 0/«. — ml\aoc.^ff{\2 A AMhV A — lUt om. A m± P m^ A m-t du manuscrit sont manifeslement en desordre.
fol.
0,
A
Uf
:
—
-fl^ft.^-.
A
i-A^v]
ib.
f-VV.
/i.
«(^rf.
ib.
©Villi.
a»
9.
/A.
:
7-n<:i-]
y entra .").
de
lui.
tii<:*
Ensuite
II
tira
y avait devant
II
8.
/ö.
ffl«n»C>.l'VA.
:
son epee
eile
ib.
7-ll<J*.
;
un
ib.
tthfiV.
>
'
>,
fl»A
rocher
et le
—
ib.
H7-(l<:>;
>
nient et s'indigna contre eile. fuit loin
>if.>.M-
anni.e,.
zTi.
ib.
>i"JH.>.V
iT».
:
->
ib.
ib. fl>c>.A]
7.
K>,<*Tr]
sie.
>.ViA.
5.
6.
ib.
•n>irt,^
•(l>ift.l-]
>
ib.
a.
ib.
"lilV.
ib.
flUij-^-]
et
ffll>>]
courut apres
roclier.
n.t.
-llAi]
I
Ce rocher
eile. Elle
s'en-
se fendit. Elle
la recouvrit.
eile
Sou pere
revint vers son pere.
juges, qui lui infligerent un grand supplice.
11
la prit et la livra au.\
y avait
la
*
une femme appe-
» !t9
lee Julienne. eile pleurait tifia
Elle voyait sainte Barbe, qui se trouvait dans les supplices;
sur
eile.
Notre-Seigneur
6.
—
Ensuite son pere ordonna qu'on
pät la tete de Julienne, sa compagne. la
et
apparut ä sainte Barbe,
le Ciirist
la for-
et la consola.
couronne du martyre dans
consuma son pere 7.
—
ainsi
le
On
lui
coupat
royaume des
cieux,
que Marcien (Marqyänos),
La piscine creusöe
dans
la
la tete
et
qu'ou cou-
leur coupa la tete. Elles regurent
salle
Le le
feu descendit
du
ciel
juge.
de bains,
sur laquelle
etait
a, r" a.
LE LIVRE
654
^-l-i^o-n
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1. w-S-fWO-]
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A add. —
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croix,
—
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iV.».
ftr?*;»"!-
i
fi'hiui.']
'
— A
V/^h.]
A add.
«»n^ll-FT'
»f-'V est
3.
>,-vn^-
>inii
P xa»*»
a»n<:>i-f'V
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ncn^ A*.tfH-
*<{
UfiS.'K']
—
add.
A"74;»-^ I
add. "V-^fC. AW-A-
rt"7*^;
>
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^'Vftl'
XA°*Tr ;
i
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om.
P
O add.
;
A*.e-n^
/Ä. fl»n
A^^oT-
'^^
A
post A*^0^-
i>7r.
•
—
P
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•
•.
ib.
>.y"iih]
(diltologie)
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—
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post «»fi+A
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ib.
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iB-fit/J-.
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A>>ii-
se trouve sur
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7A^-^.
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1
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4.
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A
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^^:i0-n]
2.
oty.x.'e.
vic
H^n.v: 0,
—
m.
[112J
•••
h9"i.O'
•
SYNAXAFRE.
I>U
i
>
Äf
propre
un grattage.
devint source de guörison pour tout malade qui s'y
baignait. 8.
—
hors de
dans
Puis on prit les corps des saintes et on les plaga dans une eglise la
ville
l'eglise
la ville
appelee GalAlyä. Le corps de sainte Barbe est maintenant
des saints
Abba Cyr
(Qiri) et
Jeau (Yohaniies), martyrs, dans
du Caire (Mesr).
Que
leur priere et leur benediction soient avec nous.
Amen.
^"^^
LE 8 TAIISCHASCH.
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• 'J'J
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A]
A
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- /„ '^ "
Samuel, SUPERIKIU DU MO.NASTERE DE QaLAMON.
-
Incipit
-
/..
d.üolog.o;
Afl.A.e».]
.
3.
1.
_
a.^.^.
A, b.
i"
2 La mission d'Abba Samuel est revelec ä son pere Silas Jans une vision Londu.t par un ange, Ahba Samuel sc rend au monastere de Sccte. 4 II est
-
3.
-
Agathon. G. II decluro avec v.olence la lettre de Leon, qu'on vcnait d'apporter au monastere de Seete. 7. II est frappe et chasse du monastere. 8 II se röfug.e au monastere de Qalamon, mais il en est expulse par le Moqaouqas d'Alexandrie. 9. II est pr.s, puls relache par les Derberes. 10. II rentre au monastere de l^alamon. 11. Les Berberes reviennent ä Qalamon. 12. II est durement frappe par eux. i;{. II est reprimande par un chameau. 14. II est
-
-
_
_ -
_ -
- lo. Ayant un
emmenc
captif.
p.ed atlache ä celui d'une servanto, il est chasse au desert pour garder les chameaux. IG. II guerit les malades. 17. II retourne au monastere de Qalamon. 18. Les moines de Qalamon, ses fils spirituels, devienncnt
-
-
-
l.roux.
-
ba mort.
20.
tres
19.
1.^
—
En
-
-
peelieurs et la
nom-
compose beaucoup de sermons et predit la venue des Musulmans 21. Un des moines de Qalamon ressuscite; il expose le supplice des recompense des justes.
II
cc jour aussi
mourut
le saiut
Pere
Abba Samuel
(Sämou'el),
superieur du monastere de Qalamon. 2. la
—
Ce
prov.nce de
Saint etait
des gens de la ville de Tkrllo (Dakloubü) de Medjel (Masil), du nord de l'Egypte (Gebs). Ses parents
etaient saints et purs. Ils n'avaient pas d'aulre fds que lui. Son pere etait pretre et s'appelait Silas (Siläs). II eut une vision, la nuit. C'etait comme
un
bomme
au visage lumiucux. Cet liomme
PATn. GR.
lui disait
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« II
faut (luc
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II
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— Ge Samuel
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des son enfance, comnie Samuel,
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aller
au
Scete ('Asqetes).
desert de
11
II
Un angc du Seigneur se fit semblable pour « Üü vas-tu? » Saint Abba Samuel lui dit :
monastcre de Scete. aussi, je vais lä.
»
»
Ils
coeur, ä tout partit
de
prophete.
11
jour,
chez son pere, pour pas
ue connaissait lui ä
un moine,
dit
a
:
le
moment. Uu
Pour moi,
L'ange qui ressemblait ä un moine
le
chemin.
apparut
lui
je
veux
lui dit
et lui
aller :
«
au
Moi
allerent ensemble dans le cbemin, jusqu'ä ce qy'ils
parvinssent au monastere de Scete.
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LE 8 TAHSCHASCH.
[115]
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L'ange du
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disparut d'aupres de
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etait
Abba Aga-
:
fortiliera ta vieillesse. »
et
« Regois Samuel avec joie et du monasticat. Celui-ci deviendra
et lui avait dit
sainte
grotte
avait expose ä saint
Lorsque l'ange eut
Toi-meme enseigne-lui Abba Agathon,
dit ceci ä
^
lui.
— Aussitöt Abba
Samuel parvint vers Abba Agathon. Abba Agathon * « Bonne soit ta vonue vers moi, lui disant
srrande Jjoie, en dans une o recut v
ö serviteur
une
dans
Seigneur
robe
il
toutes les lois monastiques.
un vieux moinc, appelc Abba
rcmit ä
Ic
demcurait
qui
revcts-le
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L'ange du Seigneur ('Agäton),
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— fflöoAhU ow. M. —
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du Seigneur, Samuel. En
k moi, ä l'epoque de raa vieillesse.
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c'est le Seigneur qui
Au moment
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l'introduisit avec lui
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LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
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ll.P.h.
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pria sur lo cilico de poils, la ceinturc, le capuce et la robe
Ten
revetit,
« Ouc Ic Dieu de mes Peres saints Abba Macaire (Maqäres) soit avec toi, ö mou
en disant
('Entones) et
Samuel. Ou'il
pour
soit
toi
un auxiliateur daus tous
tes tourments.
»
Abba Samuel Thumilite et le silence. Abba « Pardonne-moi, u mou Pere, fais amitie avec se prosternait devaut Abba Agatlion. 11 lui disait mou Pere saint et beni, afin que le Seigneur me rende volonte. » Saint Abba Samuel fut instruit par son
Abba Agatbou enseigna Samuel disait ä lout moment Saint
:
ä
:
nioi et dirige-moi. «
v
II
Souviens-toi de moi, 6
capable d'accomplir sa
:
Pere Saint Abba Agatbou de tonte voie monastiquo. L'Esprit-Saint eu toute Oeuvre.
peudant Saint
trois
Abba Samuel dcmeura aupres du
ans,
Abba Agatbou
en
lui
vieiHard
obeissant en tout ce qu'il
niourut.
lui
l'aidait
Abba Agatbon ordonnait. Puis
LK 8 TAI.ISCHASCII.
[117]
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7Jt.
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jeüiiuit
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apres,
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un apporla
Auatheme
— Lorsque
est le
bras et de
entendu
Abba Samuel
au milieu de tous
ordouna de frapper les
ni.
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la
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lettre
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la Kit.
lettre,
la
l'oi
On
Lorsque i'urent
la
A, II
dechira et
droite de nos Peres saints. » il
se
avcc des marteaux de sur le visage.
ils
ri<]sprit-Saint.
gens, saisit cette lettre impure,
ministre du roi vit ccci,
le souflleter
la
jiralii[uait
Leon (Leyon),
de
anime du zele de
quiconque changera
le saiiit
de
II
Abba Macaire
de saint
rimpic, de Chalcedoine (Kalqedon), au dcsert de Scete et on
«
—
rtrff/.
n.e.-'/il-'»^-]
ib.
de Scete.
7.
A
P om.
m->r|-
llrt?,(l';;>.
jn.P.ft'>A}".
ordomie
:
—
6.
'l-.in.
;
ib.
(
fut
dit
"Ml.n]
//'.
ib. >?<:]
ib.
.V
II
se leva
h..
2. ©•(•»'.e
post afh-/".V:M
ib.
—
A tidd. —
om.
<»
flȀHH
du prcmier a» indique
—
im.A'l:/'/.
>«'..)fl>-.ev.
•
n«»ni/i.
ante y.nm-T"
//'.
—
•
MI|löO-j.
Saint
extremement
rn
— mtV/»'?.] A / est est en siircharge. — A P. Urnivinm: A mrtnioi. — w7.11 A — S. Ilhd'O] — P, 0, A A »»ty""»). ~ mhiiu] A o«/. — 10. A .tn-OV sie; — 017 — ll. A, O 7Ä.] P, (UMirt?" P, ü, A A o/«. — ante (A aif,v? ) •
une grande ascese.
les
:
m-M'
w.ftri^'A}"
ii
A
;
IIP"}
(dI-iw.c.«".
ll>,ft'l;
II.C.ioAT.
Hh]
ao',\\/\^
-
(HhWl
•
1-2. t/JA-rt-]
trait oblitiuc
d'oü la lecon
u»,
ib. flJ.cn'l'A}»]
//'.
tiTO-
:
rtn?i
/i. (Dftdiiii]
(i>|-V"ö"i
:
—
=
iihn'fcTfi] I*, (»,
.!.
on-VÄfi
:
II.K'I.'AT]
-i-im/sY^ :) ./.-.T",
A'H/*'
•
fifi-n»b
ib. n"7ötirt] <) o/».
f:tf-rt.
\i-ti-
4. iniA'If^.V] I*, (> iiVi.A-j!;'.v
xic.
n-l'-VV/-
n,e.'/"n-0-> AvV.
•II*.]
—
(ixvh.
m-itttw
en surcharge.
:
primitivement; im petit
—
flJl^fl
««ViihA
n.p.'}n-«i'l-
P, 0,
P
(t-Hh.,
i
a»,i'iyn.
hT'Kh.l
ib.
V-n-ll}^
•
lettre a ete corrigec
2-3. «•/(•cfi]
~
AhYl-
fiaD.h./\]
:
(i-nh.
•
•.
(Dh'in-n?*
: •
A*«;.ft
:
JiO
i
A
mli^h
•
ChV
:
hfl'ßTft
:
^fiA-i
(p.ii-nT}''
:
//'.
^Hü
'
— mm
1. (ni'>
—
lfi(m
•
H/ifl'/JV
••
7. 10
-hW
••
659
lui
faclia
fer,
iit
de
extremement. le
II
suspendre par
tout cela. Lorsqu'on
le
V
ll.
:
660
i-aoM
•
tttlx?
ho»
H*lV
:
Z*"«".«»
hon
tohr-w
••••
hm
•
hoo
'
/?.ftfrÄ-jp
:
hr^^-n*:
!
Vfl^
•
^«"JO-
•
•
ÄÄ<^'V
:
CT-öTh
•
AÖA
:
^o»h.A
•
.fc^ÄUtTöOfl»rt9"^
!
Uld
:
ho
A+S-ft
'
Mn
«WPÖA
:
Vß''nT^
•
flJA.4»
•
hin.h'flfh.C
(hf,m
•
fl>-ft1'
rrohu-JV
:
«w»Ahh
•
AW-A-öO-
•
htl'tl'if:C.?
:
fy
o»*+ll
H.TI»-
:
ö»
•
©Vf-A-
-
:
-fl
10
aina)-h'i:
^ftÄ-fP
s
tooAV] P,
A
iD^ir.e-v/..
—
ib. fl>-nt]
n.
—
5.
—
:
A
A
A
est en
f.
—
>
A —
A
P, 0,
5-6. ante
—
©vn«:.
ft-il>i
—
.e.(\.e:9'.
P
m.H.v]
/i^.
—
A
—
A.
^
•
h/h-t
A
:
fflfrh.erC
ow.;
A
/6. «"«pflA]
add.
A
'
ib. >,?°.e.-n<'.]
ib. iD.eA.e.c]
fiAt-c.
«»at'T'.
ho»
:
P, 0,
>,?°'^*,RTrtU']
i
•
hCft-f-ft
•
ib. .efi,^-.^}P]
.e/».c]
'tm.l
—
surcharge.
hA±
ue
'^n
A?!"/»,?!*
ib.
A h»v. — — P, 0, A ib.
hdiv.n
'
!
<j»A'r"v]
/J. a>i*n
n.
CDrtJiA-
•'
will.
— —
ncnc
••
1-a«^^^- sie.
ib.
vn.
Olli,
oȀh-
>,HHö«>-;
A, P,
4. Miti]
nAf] P,
P
ib. hHii]
A
•
'ttih.Gtn*'
5
ta»&ihh-\
P, 0,
.e"%wc"ö»-]
oD'PdA
'Tin
—
ivV) v,p>.
h.ft-t
o/«.
«"töa.
A
6. ^ex-VO-]
— .f
— «0*4. A — /^eo»] P, 0, A ow. — A y-P+ni; A o>>*4-n. — «»«»»h] A ow. — — P. 4>/"Ät ony */'"
—
/Ä. «nft?"'^
>
ll.Vih]
P
fl>7.J»"1l
II]
ä
1
t>tt
ft?"'^
:
aitni'"'^
iLTi»-;
'^n.p]
>
"in.f
•
ib. fl)>j^<j]
I
ib.
itTO-.
8.
7.
ib.
ib. fl»-fit]
>
«>.
9.
<»o.>i»>vt.
ib.
vn.
fl>n.?£.
a)rt,e^.]
/ä.
O^-ri«^.
ib.
fl^^T-.
/*.
>ij»>öi»-;
fli>/^>.p
-vn
/6. ©>/">!}«•
vn.
:
1
Yio»
s
oi'if^'h?'
.ßfi.erÄ'}";
A. est en surcharge au-dessus de la lettre
soiiffletait,
un de ses yeux
•
s
«
^<:"7
j
,
•n^h-C«"»']
.eft^-J^.
a»-.
fut arrache.
Puis
ordonna de
le miiiistre
le
chasscr
du monastere de Scete. 8.
— Un ange du Seigneur apparut ä
saiut
s'en aller et d'habiter dans le monastere de et habita
les
It».
demeure
Lorsqu'il eut
gens d'etre fermes dans
prefet
patriarche
et
pays d'Egypte Samuel. tere.
II
de
(Gebs),
le flagella
Abba Samuel
\k
ville
apprit
Qalamon.
sa
alla
et
ordonna de
et lui
s'en alla aussitöt
le
Maqoqaz, qui avait
d'Alexandrie ('Eskendryä)
renommee.
d'une grande flagellation. s'en
II
peu de jours, en enseignant ä tous
la foi droite,
la
Abba Samuel
II
vint
II
le
habita dans une
ete institue
et
de tout
trouver saint
le
Abba
chassa de son monaseglise,
au desert de
Qalamon. 9.
—
-,
!
:;:
—
:
1.
/i.
(Dfta
•.•.•
:
9.
h'T'^ö^'i^ü'
(Ohfl-iCh?-
-flh
+AT">
•
[118]
:•:
—
8.
R^
hihi:
:
hil'^Th
(A
MVRE DU SYNAXAIRE.
I.R
En
ces
jours
les
Berberes
prirent pour l'emmener ä leur pays.
II
(Barbär) paiens
vinrent
deraanda ä Notre-Seigneur
\k.
le
IIs
le
Christ
LE 8 TAHSCHASCH.
[119]
-|:
IOTA
:
—
10.
1.
y.l'lKOn
:
ö)-}«D^.ni
>i'/">i.e.i»-öo-]
*s.ft
5
A
P, 0,
•(."t-^fsic).— ib. h..ß1lA
na^'l.
•
ÄH
•
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:
:
:
—
>,'/"Siifin>-.
fl>->./:
:
ÖI?i{»"Ä"l
•
V.
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:
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A
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ÖS-lf.«??»
!
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.R»AV}P] P, 0,
:
A
.ft-1-|)m\j] l', (),
*
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:
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661
!
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(A
O/«.
:
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••
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:
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1-0«n-r>
!
^
l-nJi-VP
A
(0,
:
fl)>Ä°/}P]
2. ffl>iir.e'K]
t;l-lii
P, 0,
a.:4.(^-?}P).
a..-..e.7;
:)
-hA'/"-/
!
ib. fD,e.Hp.e./\
/7).
//).
9. af/nd.2
nt
:
VC'CI/'O"'
Ä-n-rti-v II
:
;
T
feu,
du
hie
de le
JiTrll
Avc) nve/ct/'ö»-
hH.f.V-tWoo-
!
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P,
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:
/ä.
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^fl.P.VtU'rti-
Tr
V/ü
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:
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(P add.
hfi.ft'iMru'öi»' fl)?in-rtl-/
:
ffl>,y"ni.
ffl'VPP :
:
iTA-'d"/
/T-.
(i>,.]
M."'ia>-y-^,.
A
>,.e.'l.'(/'o»-]
s/c.
8.
Wi^-A:) :
fl>»n-(nv
sic nORntWoo-
:
:
:
:
.S7C «>•
sie nr.^'cwoo-;
:
y^Avh-/
des treize premieres lignes, non
y"A"^^ a>Ka-ii\"i
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y^A-'li'V
s
-VPf
:
W>'>A
:
(A T >,->
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'«»'•flA.ir
endommagees par
de
leurs
mains.
chameau ne put pas ils le
Lorsqu'ils
reurent
sc inouvoir
du tout.
Ic
monier sur un
fait *
Apres
— Puis
la
les
laisserent et s\ n allercnt ä leur pays.
et
11
demeura
devotion et Fascese dans les voies du monasticat.
Berberes pai'ens vinrcnt une seconde
entendit une voix qui disait
voient pas.
Feurent
qu'ils
— Saint Abba Samuel revint ä ?on monastere de Oalamon.
dans Feglise te
:
W-M-
:
H.P.-nA.
113 v°b).
en pratiquant 11.
11
!>"A'-li1-
(variaiites tirees
frappe licaucoup, 10.
:
.e.-flA]
:
>i.,ßc>%pri]
:
:
ib. m-hr'.e.-^iv'i
nh.
:
ITA-Irl-
t^tytf.
delivrer
chameau,
:
>,•>» :
/V».
ib. flJhn.ftfftiroO'
ib. ^-n
ib.
ib.
—
O/«.
6.
o/?z.
r'ii/i.V'.
0J7-n.'..
>.-vii]
ib.
iv/ifl>-c.
y"nA.iröi>-]
iV'.
ib.
ib.
ib.
sie.
/h-c;
-nH-
:
:
4. ^.-^n]
7.
ib.
:
ib. y-'/Vf-ftV]
>
/6. h.^'i:
a»r»n
:
3.
a.
•»7r..
:
5.
j?.tt<..
:
ib.
A
Ofl.f
:)
:
:
«
fois. II
eut peur d'eux.
N'aie pas peur, 6 Samuel, mais va, demeure
ne parle pas avec eux. Moi-meme, je ferai en sorte qu'ils ne
» 11
demeura
ainsi.
Ensuite
les
Berberes paiens entrerent dans
Feglise. Leurs epees degainces etaient dans leurs raains;
ils
avaient des armes
A, liin
I"
a.
:
662
Ah
cfl
r
loo
LIVRE DU SYNAXAIRE.
[.E
•
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Aff»«R>
öi/in
:;:
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f/z^'eyiö»-
?i'7ir.^f?rh.(:
A'w'jjv
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••
'/"in^i^ao-
:
^ivi,?»
.•
[120]
^nyi-i^j
..
:::
h'^hM-
:
flj^.n.A?»
flia).e.-4.
•
:
•
h««»-
m«.
|j.
(BVPf
1.
P, 0,
A
A
Wi'l'A]
—
n.*rt»fl»-.
«D'VPf-ai»
1-2. post
—
Wi*A.
I
i..V:^.ii^
—
/6.
P add.
ante
.ftli,A/h.
n,!.*;
0,
A
A
add.
— —
JiTrH.
a<W. m-b.
/7'.
2.
ne\f\'rarf'\
fl>)i>
'1'.<;.n]
s
— 3. mh/l-nuA»] sie; A — —ib. — Vi-^i;^"/] P, 0, A A A o/H. — M] A — — VVfllö»'] P, hAH«»'. — 4-5. hr'AV'] A — post nno» P, 0, A «(W. — A o — — h<:TC.f>] P, 0, A hi-^m-fy. ow. — — ante — A, A «(W. m. — ante ^y-flc rt(W. P, 0, A A>ft. — P, 0, A KCK'iTn. — post «»hncj» P, 0, A f?»Vö. — 1 — *r"At] P, 0, A «o^u'^t. — diltologie. — n+] P — 8. rt«i"e^] 0, A ow. — ante ä->A}p add. m\ T 'hn'h — post n?X. P, 0, A «cW. A — T — ym-^] P, 0, A, T n.O- — — A P, O, A, T A — 10. T n^.f'V szc; P, P, 0, A, T h-r^A. — A,
P,
A
m^^s-fin:
A»öi>-.
to^fi-H.
.ftv»f.]
).ni/\fl>._j'-V.
il).
if>.
.('.i»r:.
Ifa»..
ib. hCJi-OTr]
a>{<(\
:
ib.
V-.
>
"i9",e-
terribles.
ai,p.ii-nT}P.
II
ne
sanctuaire. Mais
qui
•
/«(//j.
'^flrt
lui
n'avez
ib.
.«^n
Oifr]
=
poussaient,
fut
pas
pas de »
piete
*
''•
r° b.
qu'ils '
le
*
comme
n>i"/VAi/*ö»']
peche dans
»
?
lui
«
le
dirent
Ils le
:
T
9.
//'.
li-h.e.-^-v]
.p.ii-nT}»]
fihfi.ß'P-tWöo-.
c.xtremoment
cris
sancLuairo.
insolencc
dans
Qu'est-ce que vous faitos, 6
Le Seigneur vous
retribuera
le
inti-
sclon vos
Toi, demeures-lu ici?
«
saisirent, l'attaclierent ä
Quant
k
une colonne
d'une grande flagellation, au point qu'il fut pres
de mourir. Lorsqu'il fut pres de mourir, sur sa face etdevint
;7'.
dans leur langue, des
:
at-
ib.
5»".^ sie.
>,A-.
possible de regarder leur
Les paiens
le flagellerent
:
/ä.
—
r.>iA.
leur parla et leur dit
nous, nous ne te voyons pas.
de Teglise et
P
les regardait faire le
il
CBUvres, ö impurs.
1(10
'»öA
r'!!:C.\
:
>,"j"7'\^]
n/h.s..pTr.
—
«d-/
.
/ö.
iifui-.
ib- ^o»-'*/.-]
Le sainl
—
12.
«d-V,!!».]
y""jn<5
fl^t/.
ib.
Eux-memes
avec eux.
ib.
ib.
!
'^AiB-.p'v;
T
r"ii\
(i.
H.
n.-!-]
.P.
/i^.
ib.
/7'.
.eii-dTjp;
ib.
^o'/TjAcY-.
deles
fl).p,fl,A}P]
h.-V,p»i]
<j>on
•").
xrir.
ib. •hr'f.
fl<.]
4.
>.A.
>iy"'\n.
hTr-Z-V-
ib.
3-'i.
n.1-]
ib.
,ß^:.s.Tjö^.
;
a>h.1-X)V
flJh.j-YiA°in>-
hA-n\l
'i:.e-,e.iiö»'
ib.
n^n.
nn,t]
/'/>.
ils
delierent ses liens.
mort. Alors les infideles
l'eussent fait parvenir ä 1
un endroit oü
le
se trouvaient des
frapperent sur la tete avec leurs souliers. Puis
ils le
11
tomba
trainerent jusqu'ä ce
firent
chameaux.
Ils
monter sur uu
LR 8 TAHSCIlASCri.
[121]
m
hK^'i'iP*
—
43. ÖD.
*A
ffljiv
—
A
T-nmlin
4.
:
T
T
du
le feu, Acro-e^-]
A
nf^/LYi).
P, 0,
114
—
—
r° a).
om.
A;
/(^.
fl>n.e.}p
:
vo-ih.
-Vn
:
r^n
=
T
—
Tl6i
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•
—
sie.
—
:
0, :
^irnr.
chameau. Mais
il
—
A
ft.t]
^^e\h.Wao^^]
.f.^viiil]
:
—
A
u-Tf] P, 0,
>,n«n>
//?.
—
add.
P
A
in--/-
A.-I-
A
—
tViiH-.
12.
:
—
:
A, T om.
—
;
rtnh
CD^.n.
—
:
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:•:
unrnt
2.
T
Ofl»-h.A]
//*.
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n?»-}-/-
fliÄ,Hv7i:
•
-^
«
(\ao-Kes. sie.
=
ante mm-1\ P,
ib.
lO.eo'-n] P, 0,
:
—
P om.
—
>?<:.
—
ib.
ib.
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—
h-m.h.
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—
'»•t.
.-
A
add.
n>i-Vt
=
a).en.A».
—
-~
KA.iPa»-
mh.nv"'^
P. 0, .
8.
9. «.(D(D-}P
9-10. laxo-ip^ :
ii.
— A
!
H.ß
o>->,i:] :
fl)-nt]
%oi(d}p
—
/'ö.
ll|-'^.ea>->l
^(IAYi] P, 0,
.ei-JiC"]
A
P, 0,
A
fli.Rfl,]
ft.t]
A
m
/6.
alt^^ln
irnA.1»-;
"jo»-^]
^rinv
n.*A
=
>.'^"4'.^«^ir«i>-.
mtp-tth.
ib.
.-
>,->t
:
mji-/-.
.
onnT
.•
n.-cA rt-ii>,] P, ii.-/'rt niix vsie. premieres lignes, non endommagees par
,ft1.e."J.
:
A
?,ffi>}iv.
•.
ao^^^ •
P, 0,
ib. tioD]
wsy.. I
-nJi?
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n.
5.
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:
3. mr>>]
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Oö»-h.A
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«i>1.'t.
f\ao-h.A
7.
:
-JOTA
*A] P,
6.
P, 0,
A^n
^n
//;.
P A, T :
— post P, A om. — P, 0, A — — 10. mi£.-naA A o/«. — 11. n.An.
!
:
defic. (variantes lirees des treize
fol.
P,
—
•^ll.f
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(Dh,imu(i"
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hy-Ahh
•
x
*/(
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4'.'i.n]
(6. fl>l-T7C]
(A
ö>-?,'|:
?i";ii.^'fl,h.c
:
1. >,»°,V}"]
HF]
4"i.ft
:
flJ-f-OTftni
!
IOTA
^.n
•
su
,•
10-11. nuf]
A
mJ.'Vil.h.rt
"hr'io-
ir>t
:
:
^>iif
ne fut pas possiblo au chaiiieau de se moiivoir de sa place,
bien qu'ils l'eussent frappe de grands coups. 13.
— Saiat Abba Samuel
versait des larmes
frances. Le cliameau se touriia vers le saint,
horames
et lui dit
toi-meme, dit
:
«
paroles,
tu
:
«
On
t'a
frappe justement
14.
—
avaient
»
me
:
«
remettre
Eu
eilet,
En
ma
verite, j'ai peche,
transgression.
mais
fait
captif
Abba Jean (Yohannes), superieur d'un couvent du
— Le maitre d'Abba Samuel
lä. 11s
le for^ait
Ic
»
Alors les Berberes l'emmenerent captif dans leur pavs. Avant
de Scete. Tons deux se rencontrerent 15.
parla dans la langue des
tu nierites la mort.
Lorsque saint Abba Samuel eatendit ces
versa des larmes ameres et dit
Seigneur est assez puissant pour
ils
:
as transgresse la parole du Seigueur, ton Dieu, lorsqu'il t'a
Tais-toi et ne parle pas. il
ameres au sujetde ses souf-
lui
lui
desert
se consolaient entre eux. ä rendre
un
culte au soleil, mais
LR I.IVRE DU S\NAXAIRE.
664
ao
louv
a
4..^.^
:
"'^Cn
,ftrB,e.-4'
.-
Aot-KH-
—
IC).
iP'ftA.'/
:
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ffllrtir^
AÖA-O-
:
H-^IJ.
:
(\'>a\.M'
:
fl>-ftf-
:
my.t-h.Uil
•
Oi'M'
:
*M
^'S-ft
'
[122]
flO^'Kfii
'
fl>»lV
'flrlbC
'
ilVf-A-
ti'-U
ffl'IV.ÖJrt
'
WA'
:
»^.n.
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Ü^^V.
•
10
1.
hthh
°Kn>->]
ment de
en
o»
seconde main. •h-T^ti
(0
P
—
A
fl»mi->*
A
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primitivement
de A en
fl>.e»,ini. =
— —
ib.
Vi.
ri.RA;
P
wJf-A"
>
Ji>
:
n.e
'
—
—
1
A»;.-
A
=
le
0,
;
sie;
—
ir.p.mf
=
ib.
fli)i>
.efl>»>..
ont. n.
le
en tout ce qu'il
Dans toutes oes epreuves
Samuel s'accrurent. et füt pres
demeura
II
las
II
;
//'.
—
—
— mW A — 8.
fl»J»>
;
>ifHl
:
s/c;
•
A =
attacha
:
ib. lofi s
Yf-A-]
A mt-s-fi P !> A o/n. — ib. ji.e .•
;
A om. —
.^mP]
:
—
m+cn.
:
Jiftf
!
—
mmi-v*
ib.
•
ib.
\l.e.jS.V
».^nn"
ib. a»,(i>,<„ffln]
lui
de
y.c.hf-
<ü>,"}ii.>,.n
If-A-
»f-A-
A
Ofl»-?i.A.
'>.<}.n]
5. A-i--]
ri«n>1l
flir.*
:
la
(cliange-
A,
le
:
A
'
mxAf]
^«n»»)»-]
.pöo»>,..
—
©.e^iCmn.
pied au pied
chassa au desert, afin de garder
saint tomberait avec eile dans le
lui avait dit,
comme
le
diable le lui
l'energie et le courage de saint
aiusi, jusqu'ä
de mourir. Saint*
—
vf-A-.
.e^-con^i.
at^mo.
H,e|-;
^1
fl»A->
P, 0,
A
P, 0, (idd.
en outrc,
•^;
1-2. n.ßfliTr]
>."?'"/'\;]
=
nhoBiic" sie. =
fflj'Cn]
P,
A
—
mi\H-.
••
sie >,^H.^.;
:
m)->i:
:
G.
conseil de Satan.
et qu'il lui obeirait
malade
hth-t
ib. .kD'MI-
^yric;
fflÄ-Trö.
P,
:
iiö»
y.^-totiw
>,n
A
fflOöo-JbA
chameaux. Son maitre pensait que
avait conseille.
fut
A
/i. nn,e.=v'}
nvio»
ib.
—
du tout sou ordre. Alors son maitre
ii'ecouta pas
peche
A,
—
A
A
A
0,
hM-t::
-.
toi.'i9'at>'.
an;PC.l\
A
se trouvait ä la place de
premiere legen devait donc etre
w-a-;
(DÄ-V^]
.fr'Kh.:
d'une servante, sur
*
=
.e^
ib.
XAf est de seconde main.
9. fl>,e<^•n^]
A :
ib. >,fili]
A
les
ii-v*
:
la
>i°/H.>..]
(7(W. >,n
m
la lettre
a>t\^
niihöo^ic]
4.
— A ni;4.eA. — P, m-rm.. —
ib. fliv>]
il
P
P, 0,
ib. a>A,l\?
^^n P
mnwt
tf-A»;
A
«n.);
2. w{\.e,f.af'\
post
3.
oni.;
4'^..n;
A]
et
"^
(0 h'J'^A).
'
W>A.f).
^h-ini]
A
semble etre de seconde main;
lettre ao
ce que son
Abba Samuel
Abba
maitre tombät
pria sur lui et celui-ci
gueri de sa maladie. 16.
conquc
— Sa ctait
renommee
malade.
gueri de sa maladie.
II
se repandit
priait sur le
dans
le pays.
On amenait
vers lui qui-
malade, l'oignait d'huile et celui-ci
etait
LE 8 TAHSCHASCH.
[1231
—
17. ILA-
-
(Dftn
—
1<S.
Ch?
•
A.'h
•
ft/.^
hllLh-
i'fm.h'l?
!
(D-i'P-tth'
•
H'Jh
••
nnticin'
•Tin.ü-
hl\\^.
•
A<>A.h
•
iSA?^
•
toAl^
••
fl»hv+cr
•
mmi'»-
fl^A••S.
!
665
«f.Ä"4-?.
•
A-|.-
<{..e.'4?.
•
ö»V»V-
'
fliji'.
:
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10
0/«.
1. rt-*]
3.
W-ft"]
—
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A,
h>
—
»f-A-.
>i
:
—
om.
—
in-ncn- sie.
-mx
il>.
P
A
innen]
2.
—
P
fl»]
ib.
P
©hV]
/i5.
—
>,^c.
-hTiic]
A
/6. «d^'ji+c']
—
0/«.
/ö.
mM.-l'e sie;
o/n.
m;
— —
ow.
^.'rfi]
— A o/«. h>; A TiO.e: ante M\ P hr'-Mh, A (lA.CP. — 4-5. h>";i mV-ff — — (D),ni
acfrf.
ai
!
n.«-;
-riH-;!
:
«ö.
flJÄ>ffl]
ib.
flimiv
fV-
!
iOxM,,
Chf-F
(-F
A wmn-
est de
A
s/c h-^.«^;
seconde
_ Lorsque
» II
!
lui
>.nYi
iiiainl. :
>,"V.r..
A W"7fl>-rv. —
terna devant toi.
ml^
!
P
>.>>'\
=
— —
dit
lui
9.
:
«».'/"m-T./.-
P
«
moi-meme
je
>"/
=
—
y
P
h.«»»?,.
il
fut
mhMC.M,
fl>7iy".KVI:
:
«»on^iT».;
;
om. post
Ä'ft-l!.
=
A
—
>>fi>i
«"»j^j,.,
—
=
(D-hM-
«>>,'/".&>,/•
öA^-;
A
-h-j"-!
A /^-
<{..t^<{.Ä
ä
etonne extremement.
Pardonne-moi
demanda le
P, 0,
wnw^h.
Kh'\i.\
8.
7.11.]
=
P
=
.p.MICP]
=
-/i'f
— A
>
7,i*.er]
10.
:
w.
o/H.
vit ccci,
lui
et
=
>.ftn
vn :
AO-*i>.
ib. '»>,>i>]
ii. h.l»».i'.ni-]
l'aima extremement,
expose-Ie-moi
fV-
^•^f]
'''•
son maitre
et
:
:
ib.
—
>,7-llc
:
aMr'2 A,
ib.
7. af[v.%'\
fl>mn-
ib.
hv
4.
-riH':!
:
6.
.C^t-V-».
:
ffl>,9".e>,t
TR.ev] P, 0,
17.
:
fl»f>
:
>,nö sä-.
Tr-Pf
f^'dd.
fl>
ar/(/. 7,!r->n.ü-
:
fflhfit-j.Vfn-y'.
5.
>.y"j;i>-.
:
-rUI-i
-nil-;'.]
:
>."/n>,]
''''•
>.>.
=
P, 0,
fl>h'i:
—
o/m.
ferai
le
peche que
et lui dit
pour
toi.
:
« »
j'ai
II
Tout ce que Saint
sc pros-
fait
contre
tu veux,
Abba Samuel
Moi-meme, je veux retourner ä mon monastöre. » Aussitüt il prepara pour lui beaucoup de presents et d'argent. 11 prit conge de lui en paix. II envoya avec lui des servileurs, jusqu'ä ce que Abba Samuel lui
dit
:
«
parvint ä son raonastere. 18.
— Sesfils spirituels se reunirent aupres de
nombreux; lui
ils
apparut et
partir de ce
lui dit
:
moment-lä
Abba Samuel.
lui. Ils
etaient
extremement
Notre-Dame la Säinte Vierge Marie Cet endroit sera ma demeure eternellement. » A
etaient devenus des milliers. «
les
paiens ne rcvinrent plus au monastere de saint
666
—
11».
luo
v
my,/.fi
nnii
:
'
LIVRE DU SYNAXAIRE.
I>E
4»?^
.•
üW-W- • mjvn
(of^:C.Wl'
l'^'t^i'
"
[124]
b.
HA'JAr i
1
:•::
—
.
H-/*
1.
fli-/-nuA
AtTrn'^l-]
fl>.
—
A
A
VAn*
:
— P, 0, A CVt.
—
n>iiri:M»-
P A^n; O
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:
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ib.
7i?°> «^>.
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I
—
J.lt
—
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7-8.
«D-A-.«}.]
P. 0.
royaume
et
A
-.
A add.
m.
—
P,
A
Vfl.«-
>vft-.
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«(/.
ib.
ante M-mFao-
les
et
fils
//'.
A
"^AiT;
"hV^V'r]:
P,
<{.<57]
7. nJi^V/-
—
m>.i»"ii.
—
/i^.
A'l'.<',.n
;
A
n»w.. ^vft-
P,
:
A
«(^c^. >iy".
de sermons.
le
.
cni-V"//»'|-
jio]
:
'i:
.ii-^ao
8.
post
ib.
A
•/.P.'^t"^-]
:
pOSt
«n.»h.
-
<»,
pro-
II
d'Agar ('Agar),
qui persecuteraient
ü/«.
om.
est de secondc
"h
ai>K'h\
:
A
— ce sont
0.
—
O/«.
— 11.
A
P
;
ö/.V-J:
—
<»,
composa beaiicoup d'oxhortations
sur les infideles
•
"iAV".
HA";A'/"]
vn.»-;
12. ante ö»>?cr
X».
A A
P, 0,
<«]
:
tofi
hiv/.*«.
=
mnWrl'] P, 0,
ib.
niV>,i|i|/:ih.
V-^'
ow.
>«.«]
P .
P
sie;
an-^»}f^-\-
phetisa sur la venue des Musulraans, leur
TiiTni
:
—
ii/anVÄ-nsPo»-
fl)>,i>".e.-^<:nr]
:
ante lin«»
A
o-a- s-
•
l-l'IIM-
il!'.
>,ft.
b/.VUl
ä
it-ilil-tu-
a>m^.(^
—
T.fr]
7.1t
hi>">
-•
—
ll-V*.
:
ib.
5. :
m,i',"/n'f.
:
hiUH-
=
.f«»>.e.-n}^o'>-]
i
A
>«i:ft-
oun-h-A.
ib.
Saint
3.
.fA sie.
v,R"?r^.
i
—
— 10. A ow. —
.>.s-n
19.
l-Mnto-2
Vn-t^.
a'id.
—
",rt'/";
!
ft-^y^.
4'.S.fi]
-jn,i>
•
:
.li-^ir'
A rt(W. //!'.
>ijn»1IVJ:
(A. aifi-nn<.
•>fH:t]
P,
:
MI
—
AtVnAI-.
y avait
il
A
h-n;
i
s/f,-
o/n. a>.
inain; priniitivement 7,tt
TITr/;
Atvn'\V
«Dd^iTrt]
zZ».
P,
'>>}.fl]
.
2.
h^
n?»'j'i:Äri'
•
peuple des
— sur clire-
tiens dans tous les pays.
—
20. tuels; •
A,
lOü V"
ses
Lorsque
leur
il
le
moment de
sa mort approcha,
ordonna d'etre fermes dans
commandements
et
de lutter pour
la
la craiute *
foi
11
reunit ses
fils
spiri-
du Seigneur, d'accomplir
droite jusqu'au dernier soupir.
1).
Ensuite
tomba malade d'une
il
royaume
petite maladie.
11
mourut cn paix
et herita
du
eternel.
—
21. 11 est dit ä son sujet que Tun de ses fds spirituels mourut. Lorsque saint Abba Samuel vint vers lui, son äme rentra en lui. 11 se Icva et
raconta ä saint
Abba Samuel
et ä tous les freres qu'il avait
vu
le
supplice des
10
LE 8 TAMSCIIASCH.
[125]
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— atmi:
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ib.
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9"Ä'Pt.
«o.P.mn
••
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:
=
flJiA
:
Kf^
:
4. fflllH/:
A
hö^^.
P
la priere
que
Uli
le
graiid
Abba Samuel,
Martyuf: d'Arba Paksi et de
4.
—2.
1. Incipit.
de co saiut Perc,
Origine de
l'acsi et
proposcnl ses pai-cats.
dont jouit Victor,
de sa
—
4.
de Germanus.
sneiii-
s.v
Thecle. —
>,n<
A a>
endommagees par le m^c .p.ih-n. — ib. m ,
A
»"P.«.
m.P.
—
•::
—
feront la
Ceux qui
soit avec nous.
Ahba Paesi
.3.
ciel
/A.
.tt
«».p-ini-v.
Amen.
refuse le mariage
par un ange,
il
voit la gloire
memoire des marlyrs et des saints scront proleges. 6. Lcur recompense sera (iternelle. 7. Abba Paesi est ramene par Fange dans la prison oü il avait etö jete. 8. Martyre d'Abba Paesi et de Thecle. 9. Leurs Corps sont ensevelis par le pretre Abba 'Ori de Satanoul'. 10. Nombre de leurs compagnons martyrs. lils
5.
—
—
—
—
1.
— En
(Teklft), 2.
Abba
Paesi ('Ksi) et sa sceur Tliccle
marlyrs.
— Ce Saint Paesi
a l'ouest
—
ce jour aussi sont saint
du
elait
territoire de
nombreuscs, des champs
aux pauvros
et
et
des gens de
la ville
'Esmounäyn.
11
des moutons.
II
aux malheureux.
II
de 'Abou.sir, laquello sc Irouve
avait des
richesses extremement
donnait les toisons de ses moutons
leur donnait des
•
-nx.
snaii Tiikcle.
Transporte au
:
ÖA
:
pcclieurs et le repos des justes. Puis ce frere s'en retourna, se coucha et moiirut.
Que
.
hO
:
AniVfc
•
hn-x.c]
G.
S. -v-pp]
^-s-n
=
•l'.'J.fl
hO]
5.
-•
>,-r s/r.
om. m. A,
«07^.01.1)]
—
—
:
— T.r'.ewA. —
.e.ini; <)
=
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:
IM'nt.
h-^-V.
:
ft'-yöV.
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»-/"ö/t-n;
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T
un grattage; T xa»*
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:
—
llöll .s/r.
:
—
om.; I
fOA-
s;6'
:
;
:•:
{»"ä'PI-
Airvj:
=
IlOm prOpre
le
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),«"A-/
:
se trouve sur
>,.frt-n
-.
rtAl-
ii>,5»"ö^.-n]
ife.
:;.ey.
sie l\ao-h,/S
i
'l'.e.fl
:
•
A hj,ah;
ij'.en^-
:
^"^7
:
rt'^<>;>^' ::
•
flijp.D-nö»'
(variantes tirees des clouzo premieres ligncs, non
A m.p.ihn. —
toy.n-in'i
:
'l-'J-A
>,.n..
>,nflo-',-.ß.
<^('/
Fol.
.eo-pö»-] .V.V..Z-
1'
•
Itf:
:
A
>,.n.]
>.ft«o-/.KV;
h-n
:
»,Ai»"
:
h-i*
•
n«:rn:
"lA'/"
:
A"iA
:
P
m.)rl:
:
9"ftA.>
VV-] P, 0,
ib.
A"irt
:
»f'V
:
<',A?"
:
fl)'J;hA
:
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xft-;.-
OD.^->'/
fl>,A
:
.3.
f ÜA«
•
fflArftii.v'}
!
A",Ao"
.•
!
h.A.
••
i-anfm sie.
—
(V
?,..(•
:
Aö«"Ä.A
=
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'
A>^.e'}
hoid..
:
^tO
:
*S.rt
:
ib. •;-fli..p,m]
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V-l:<.
:
«l'-S-n
mviöd
?"nA
!
•
MT'i.ih
mhö/.^2
:
!
hn
•
Ä7V.
•
1. fl>*<:'i:-F«»-]
— M
667
aumönes nombreuses.
II
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
668
—
3.
tDWl'
f.flKA?'
:
Ahn
:
h.rt.
!
fflA^ö»"
:
[126]
fl>J?.n.AJP
•
^fflAÄ')
:
7
'
a.
1.
ffl^V^]
—
ib.
fflflan-
—
ib.
l\M
A
P, 0,
fpfi-nn] P,
—
sie.
A
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om.
un
[f :];
*
vn-i-pnrm.
A1IV1:
•
t^TVCP
i
sie) rDi-Vt
:
Jt"^»
Nn-U"
ib.
>i'VII
:
ö»"PÖA.7
n-ll>.
:
.P.m.'i.
fttin-ll
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116
fol.
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y,aoah i
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!
=
Seigneur
3. «
O
— Elie
et
A,
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nom
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i
ffit^-nAJ» flö»::
feu,
du
le
'
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ä
i
16
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«7«;
ä
=
I
fol.
>
"
nom
=
n>i-vi-
•
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:
sie
A>i"7
>inYi'V.erc.f
115 v°
=
Ij)
;
«^-V.?.
AK.P^-IA,?"
• (hie
T
0. m>in.A°]
etaient
Seigneur. Le
«D()Afl>>
••
sie a)l\Cla>-
O'h.e.
—
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(T incip.
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"VCIO-tV
r° a).
fl»>.
•
T deße.;
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-in
le feu,
>ij'"-flCV'/
fol. 1
>
(liic
A>.1ll,>i1IA.C " mC>i.e
>
s/c
i
Ylö"
i
:
(d-\-\9°'^9'
wOif
H,p.
:
flO-TTV
!
Anrv
=
ffl>i?"ai
!!
'J»;>-if
mi''?
n»/»i^
1
:
sie ^.fUt
:
s/c h,!!»^
i
extremement. Ses richesses
:
defic; ffl.p.n.A».
abondantes de leur
i
nw
et
pere
de leur mere etait Marie (Mftryäm).
Marie demanderent
ä
toi,
Abba
Paesi, leur
avant que nous mourions.
nuUement agreer cette chose '. 4. Pour moi, je fus etonnc de
—
1.
a)(>n.t
0>i<»
s
hhtt-
>
fils,
et lui dirent
:
notre fds, nous-memes, nous desirons te niarier pendant notre vie et
nous rejouir de
*
et le
.-:
«ofiT
:
nombreuses. Sa soeur Thecle craignait etait Elie ('Elyäs)
i
n^'Vt
öfl.p
douze premieres lignes, non endommagees par le
craignait le
>
(D-f.\t'\(\
endommagees par
^..^-OTr
,
.svV
j
.P,1-¥VC
•'
115
fol.
mlKöf^-
sie
fl""» t*.
•
>,filiV.e-C.f
du
feu, I
I
m^Atfu-v
hj'^A«
>
sie afh-t:
1
07<:
1-n
'\öth?
•
nv^'-h
a)
h-'i-S.
•
>i9"'>Äan /^'-
[.p.]«fl>-c?'
:
r'
«""PÖA
•
ib. «rn
(primitivement mh.
>
y^t'C9'
i
->.ST
i
vn le
115
fol.
A.f^'Aff'TH
«n»y
•
'1>Tr"i^
:
ri>-
i
xap
:
ainsi
sie mh.i-fic.y
=
:
:
>i.rt.
.SfflA.e:
n>iTr1-
M-tvaO'
-.
:
rt-fl>i
mn-^Tr »
:
:
fl''^'i.+
>
UAfflSi
:
SvV ffln+AJ"
ii>.ntc>i.p
(T inc/p.
:
WIH
>
>,n
.
Aumc.
'
-^cer"
:
a) {^loatliih.
r°
A
o
—
,ft
;
A
Kd.']
>
A om. —
>,?»'>,^o»]
ib.
commciicc
r" a
cndommagees par
a>a»9:tv\r
^^^"nl>^^i
93
fl>>,ir.^-><J
i
»»'PÖA
'
—
h..e<£.4».er
i\m
ib.
P, 0,
o/n.
tiTa"-.
flifiao
—
i>>-.
P
>bA^fi]
i
P,
se termine ainsi
Jjöo-Tr-J:
i
'^aoH-
deße.; quinze premieres lignes, non
(T ineip.
C*
iho»c
•
fi's-t
:
Xfioi»
i
i)
a>nai''>xl:
B sie m,hi
Art1;';^^•
:
(ms. Ä
A
rt>'>Ä^}''
:
A
P,
i
4. »i
mv^-^"/,!!.
le fol.
n>i">tMh
sie -/a»-^ ä
a
«VöD^-
:
:
Ä
1
P,
—
tihn-ifav
>
rt^'f"«""]
'
«D.Kfi>,A}>»
s/r.
100 v° b de
fol.
•
A
.eA^»,^]
i
mtiao-
ih.
mfl"?
2.
«d^eap
ainsi la lacune de
ath.^H-tii^x
'
115 v° b) fl>h.<:nn>
«o-nt
5. h.ri5r
—
at.
—
.('.n>iAi»]
:
manuscril;
le
quinze premieres lignes, non fol.
a>jiv-
—
^«nx^-.
T comble
"l-ttC
1
t
i
3.
add.
KfUfö»-.
i
ib. fl>.e,n.A}"]
manque dans
fol,
attia»
La derniere ligne du
ib.
KC!h. Le ms.
!
"hTtte
A
4-5. -Vöo-V]
A — — —
s/r.
AJurt..
P
ante i^'il-
ib.
0,
A «^ce A
«^cyir] K.ft.;
!
—
ffll"*.
AKfl-lfö"']
1
*
Lacune dans
le
manuscrit A.
»
Mais lui-memc ne voulut
nia vision. Je erlorifiai le Seigneur et
LE 8 TAIjSCHASCH.
[127]
hhiwM
Aö-Ahh ilm>n
/TD-n/"'/-
:
Ah^lLh.
s
ll'}-!:
fflnh^'f-Ti
«««.'•nr:-!-
©r^^
:
«">iV'/-
li^iv-j"
A«»v-
•
?,a-
••
«/Ar
:
aWP
:
mu
•
(DMA-
:
hlWM
:
öm-
:
m-rA,
.•
m-h-i'
•
ftCT-f-
:
Ho-vf,
.-
i*'«r^,
tOU.
:
OTft+A"
A"*
:
©^^-1-
.•
hi\ih-tt>h.i:
:
flihn-c
:
:
)nCtl-ftl
:
'jt^iro»-
••
HÄft -^^A}p«»-
:
ÄCA
:
h.fti-tl
:
669 fl)f.n.A
Öl-JAJP
:
tlttM'
:
^a
••
•
H
:
^hA.
hA-
-•
Art-nh
-•
:•:
:
j?.i
10
^irn,ft+
WA-
•
-nhrt«
HW.VÄ
•
n./-
•
iiCMlji
•
.-
n/iro»-
Art«7(i"»-
:
*.Srt
=
Ao-V-] P — A P, 0, A oni. — post Kc.;h \\ 0, A add. ans- — 1-2. a>y.n.tfao: — A avV; A — posi 0, A ««^öV. — ii«»»] A m«»». — P a«-,i rwii. — ncr-F] P, u-c); A wo. — «»ri+A-] p, a «mn+A t»*; ««rn-A— 3-4. A mtAfl» — A o/«. — — A u.ftyt P — ».^-jiUf] oni. — s",- P A — h«o] P, 0, A oni. — ?->•>] P, A — om. — A *6w. — — post A ow. — P m-n A ad:L — — ante mh(o-rhX'] P, A om. — P rt(W. lUiAMAffl-toa»-. — — 10. tiincfo-] A -l-nne. ante A, add. — A^'.MV P, 0, A h<\'"m^- M.-IV. - 11. P hmW sie; mö..>.;
0/,/.;
1.
il»»>-.
nrf.4./ii(:
/7j.
ffl>.Vrt
>.i4'.e.-
:
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iiu.v.1'.]
ib.
:
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!
^'y,.W\
A
AiV'?*->
je dis ä l'ange
L'angc
ante
ib.
me
dit
(Hermänos),
le
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«
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«
A
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s/r
:
>.ij'^,.n;
ncntr/;
P A*.s-ov
mon Tout
:
«c/^/.
öiV^l-
ii.
>„np.4.]
ib.
n.t
n'"/ö;i->;
ii>,rt.
.
h^Vä]
iiicn-t.e
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0,
A
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.
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iw.>x
m-
:
o/«.
ii>,rt.;
iicn-t^-*.
—
//'.
•lO.rt..
a«"?
n-'Vöt.
maitre, ä qui est ce palais boau et magnifique?
domie
ceci a ete
gen^ral, qui a repudie
le
ä Victor (Fiqfor),
royaume de
ce
fils
monde
»
de Germanus
et toute sa
pompe,
a porte sa croix et a suivi son Maitre. G'est pourquoi Notre-Seigneur Jesus-
Christ la
— gloire
place du •^-
—
a lui
royaume de Mais
et
me
et dit
quelles :
«
ce
moi, je
fasses connaitre quels fruits
—
sont
O Abba
lui a
donne
ce
grand royaume
monde passager. lui
dis
sont cos
:
«
ces couronnes
'qui
ne
finira
pas ä
»
O mon
trönes,
.
öoo.-]
A.
>
atW. m.
P,
W-rt-
7.
nih/^l-
9.
-p'f..
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ib.
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lOrt-Vö/i-^]
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>.<{.'>.eÄ
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ib.
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!
8. \tn-i.Y\
ib.
ib. ll^n;•>;A}<•«p•] ()
sic;A UnyA-. -
jr->-»..
II.
ni-v;.]
vr^-l-^
.5.
ib. ^.i^.fv]
ib.
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>
.
4. j,.fA-fi]
/A.
a>Trfi.A-.
flinii-:4.>.
(!.•/•
ib. a»-,nr'-\-
>,1IL>...
!
ib.
SU-.
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•/•«.Ufi
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—
o/«.,-
3.
M^^nn.h.']
!
>,n.A-]
.
/Ä.
2. tfli-un]
/Ä.
fl.(A}"
().
«d-m.-]
/Z..
()
m.ttrl,rt-/.]
maitre,
je
quels sont C3s
magnifiques.
»
veux que tu me arbres aux boaux
L'ange
me
repondit
Paesi, tout ceci ce sont les lieux de repos et de joie
que Ic Seigneur a prepares pour les gcns qui fönt la memoire des saints et des martyrs sur la tcrrc. Ecoute maintenant, afin que je t'assure que tout
;
ha>' fl»-
T '.Ki
7VH
:
hm-
•
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•
Hj?:V'l--
OBJ{,hd.
:
hat-
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•
"l'H'l-
•
AlVf-
DU SYNAXAIRE.
LI VRE
LE
670
h'r9>no-
'
H.enA/'ö«"
:
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•
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[128]
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5.
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:
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—
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A
1-2. -iimif .]
>,y"n"7d>] P,
.-
sie; P, O,
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—
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liomme qui aura construit aiira
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P, 0,
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>.ir«.(i-+v] P,
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j,..e.l-,iiT»A
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7. hWi-s.
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>.)
— A
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>
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P,
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P, 0,
,p.i>-n]
wvi'j]:.
P,
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A
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—ih.
A
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.•
10
in>ii.
invii;
A,
'>.e.v/D
•
:•:
Ad.'/
•
ii^';v-i.]
=
o'P.rt'l.e.-
••
iino eglise
enseveli leur corps, ou qui
son labeur,
le
au noni des martyrs
aura
saiiits,
oii
qui
donne unc olTrande provenant de
jour de leur memoire, ou qui aura allume uue lampe, ou qui
aura donue ä manger aux pauvres, ou qui aura achete des livres pour leur ' ^
''^'
eglise, le
ou qui aura
ecrit le
combat de
*
leur martyre, ou qui aura fait
du bien
jour de leur memoire, selon la mesure de son pouvoir, ne füt-ce qu'unc
coupc d'eau froide,
ne perdra pas sa rcoompense,
gneur dans l'Evangilc
saint'.
Lorsque mourra cet
memoire de Tun des martyrs ou de Fun des se prosternera devant le Seigneur
donne-moi
cette
donnera aussitöt. 1. Mallli., X, 42.
äme, car
justes, le
— gloire ä
eile faisait
comme dit Notre-Seihomme qui aura fait la
martyr ou
—
et dira
ma memoire
siir la
lui
:
le «
juste viendra,
Mon
Seigneur,
terre. « Oii la lui
^^^^^
r^E
8 TAIISCHASCH. 671
P
10
93 v» a.
r-T-fVl
//;.
«.f.
-
//'.
r/,1111.
A
9"T<"i.i.v
-.
.
'«.R>i-tJ 1^,0,
r^
.S7C.
//..
fl,^..><.",,7,l
ffl-V:».^"*;*.
""' ' ''' «•^'••'"^emeat pecheresse, il pau f du Seigneur tout-puissant, par la boucl.e
Lr 'f
la a
7^T dans
le
'^\
On
era
a
eile.
'^ '"^"'""^ toat-puissant
'
'
supphce,
ercede pour
nn »
seul
vus et
comme
cette Arne
II
de beaux habits,
quon
instant.
le
Oli.
—
T.
O/W.—
la
XV
—
F
1
:
i
Laissez cette
«
au
.Je
martyr qui
a
part du Seignour Dieu
On
ordonnera qu on la plonge dans on la fasse si.ge.- sur Tun des
cju
*
-,
.
une parole de de Michel (MikA'el)
Seignour a ordonne.
rejouira avec tous les saints et eile vivra l'ATli.
dit
couronne d'une couronne qui ne se
la
1
sortfra
Ensuite donnez-la
La gräcelui sera donnee de
du.ra dans sa demeure. a revete
A,
„K..R..vn / A % ... p.e.i.es H.nes, :":?^.::i:^,:^-:r^;,t^:
..>...,V'YnV]
(vaHa.es ..es .es
m
,7
la
donnera au
la piscine,
ties
fletrira
pas
nu'on
que lu Elle
Z se '
'
eterneliement.
''''
5
46
a, ^'° ''•
;
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
672
txao-
1
—
n»n;h.
:
Ji-Vl:
0,
A
ib.
post
0772.
P
a{fc?.
9-10.
//'.
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Sans
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Egypte
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A
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9.
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P, 0,
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s
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yxr'V-zi.irao-']
ib.
«Bn'i'VPii-] •
:
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— —
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T aomi
äob'^a
*««».
grande
les
le
lesion. la
que
Seigueur donne ä ceux qul
le
juge ordonna d'amener salnt Abba Paesl de
lul etalt
fit
grftce
salnt.
par les roues, par
fortifia,
saufs,
*
//'.
sujet de la
nom
l'amena. Avec
plice
Jfl
i-n» (T
•
ib.
—
at-
—
mhilii
P
•i.vi'»]
^i-V*.
:
//'.
8.
«?<:]
A 0, A
Tange me porta sur ses alles lumlneuses et me fit parvenir clel. Je fus etoune moi-meme II me salua et remonta au
extremement au
8i
ib.
•I.ll'^
S/V.
ib.
P, :
a(W.
mh'i-ah-/..
P,
prlson.
luttent pour son
On
—
—
g.wao-.
:
>.-^j:
•
— A add. inthM: — .fÄV?«»TO'f. —
:
ante
«»vn>.5t;
0,
;
^>/"^
^fl»] P,
:
^ö\e.
>
YflB'^A^.
— Puls
7.
'\*'\
:
srn/tt»-
A —
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rtrf(^.
vn
!
T
.eldöB]
i'Ä.
A
«»/njPöo-
j&iD'fi.e'}''«"»'
P
TO-^»]
,
//'.
«»»h-'/V]
:
mr^hti.»-
n
>.r.>.n-fciröi>-
•
'ix"in.M\ih.c.^
•
o
n
Mlll
:
ib.
>.'VH
!
(o\\A\4:
ib. g'it^hao-
Jftfl»-fI/iOi>-
>.'>*
>
"'•
add.
A, T
daus
—
tf">5i.
P
5.
—
ir/J-.
=
mh-n^-ihi.2 P,
i/'.
ib. >,v]
iou\t'\
öDho-^-v.
ante
.ftd-rtV.
>
o.
HWiK."V
— —
A ib.
A om. — —
"^af
ferro»'.
'UT'K'ti.
-iicvrij^] P, 0,
»"fi/uo-;
=
A add. A -ncvT-e. — oni. — P, A mfr'K'hr. — ?"nA.o-; A
P, 0,
101x9"-»
/i''.
2. I1.+] 0, •V
:::
4».S.ft
post
1.
>i+.
[130]
sa soeur Thecle. le
Lorsqu'il
ville
de
les supplicla
supplices
ces fut
fatigue
'Endenfiw,
Lorsqu'ils
afin
eurent
de
les
et les
qu'il
fit
les
Le Seigneur
surgir
supplicier,
navigue
la prison.
d'un grand sup-
feu ardent et par les clous de fer.
supporter
(Lä'läy-Gebs).
II
emnienät
pendant
il
sains les
et
livra
en
Haute-
huit
jours,
LE 8 TAHSCHASCH.
[131J
— (Dhn\i
9.
5
n^AOfi
hitt.h'ttth.c
:
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Le juge nrdonna de couper
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la tele de saiut
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glaive.
qu'ils
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11s
la
acheve leur priere, ou leur
couronne du martyre dans
royaume des cieux. 9.
_
Le Seigneur ordonna ä un
pretre, appele
Satanouf, de prendre les corps des saints.
dans des vetements precieux liou
pur
et les
leur fut bätie.
cacha jusqu'ä
On y deposa
et
II
Abba
avec de l'encens pur.
la fin
*
des jours de
leurs corps.
II
'Ori,
de laville de
prit leurs corps et les ensevelit II
les
deposa dans un
la persecution.
se produisit par
Une
eglise
eux de grauds
miracles et prodiges. 10.
— Le nombre
de ceux qui furent martyrs avec eux est de quatre cent
soixante-dix-sept personnes.
JA.
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
674
—
II.
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Irouve sur un graltage; un secoiid
Ä-f'V se
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9. «»/»AC-I-]
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est en surcliarge.
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le
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P
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Revision ou Vulgate.
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•
[132]
nom
'^- '/.R°7V.+]
P om. — /i. n
!
;
de seconde main.
)».^«Dai»;i-
s/c;
Que Amen.
leur priere, leur benediclion et leur iiüercessioii soient avec nous.
les
II.
5.
SaLÄM
A
—
Revision ou Vulgate.
AbBA HlKltOCLES,
PATHIARCIIE d'AlEXANDRIE.
Je dis salut au bienheureux Hierocles, Patriarche, qui succeda ä Demetrius. Qu'il regoive la remuiieration des pasteurs et la
au
recompense des docteurs
niilieu des saints.
Apres avoir garde ses brebis des loups, 11
emigra au royaume des cieux
ß.
et alla
SalAm aux saintes Barde et .Iilienne.
Salut ä Barbe qui a rendu publique sa
En
au bonheur.
faisant voir le
symbole de
L'epee ne TelFraya pas;
la scie
la
foi,
Trinite ä la fenetre de sa maison.
de
fer
ne
la
fit
pas
soull'rir.
LE 8 TAHSCIIASCH.
[133]
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en surcharge.
—
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2.
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HAh..
—
3.
Le sa/din
est propre ä P.
.luliuiiiie,
Qu'on suspendit par 7.
les
sa
compagne,
deux
seias.
SaL.VM \ LA BIENHEUREUSE 'EnBAMRKNÄ.
Salut h Celle qui a reudu forte sa volonte,
Au
point d'elever dans
le
desert celui qui n'etait pas son enfant.
L'ayant prise pour un liomme et Tayant repudiee iniatelligemment, la bienheureuse 'Enbämrenä s'etonnerent une femme, lorsqu'elles virent son cadavre.
Les compagnes de Qu'elle 8.
fiit
Abba Samuel, superieur du münastere de Qalamon.
S.vLAM A
Salut ätoi, Samuel, qui as etabli la regle et la
Du monastere
Au
point de l'avoir eleve au rang d'une baute assemblee.
Lorsqu'il se
Tu 9. 1.
loi
de Qalamon, plein de gräce,
as prie
fit
un vide parmi
Fange du
ses
cicl, alors
membres,
quo tu
etais
encore en
vic.
Fragment propre du Martvre d'Amba Paesi et de sa sfEUR Theci.e.
—
—
3. II rcste aiiprcs de 2. II se reiid ä Alexandrie. refuse de se marier. visite avec l'aul les chretiens qui se ^i. II son ami Paul, qui etait alors malade. 0. II est sauve par Tange 5. U endure de cruels supplices. trouvent en prison.
Abba Paesi
—
—
—
Souryäl.
—
spirituelle
Souryäl.
7.
II
amene Thecle
— 11.
II
— a Alexandrie. ^
roprimande
voit
le
juge.
8.
10.
un palais merveillcux.
II
est emprisonne.
Abba Paesi
—
est ravi
au
9.
Une barque
ciel
par l'ange
'
.
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
676
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7.
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ib. m'h'r'.e:')^
biffe.
—
et
12. on.,p.]
au-dessous de
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ib.
->n
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o/n.
Paesi dit ä ses parents
:
«
Priez pour moi, ö
mon
quevous m'ordonnerez, moi-meme
avec joie, mais je » Ils le
perc et
je l'accep-
n'accomplirai pas cettc oeuvre.
Ne me
laisserent et ne lui parlerent plus Jamals d e
mariage, car eux-memes raimaient extremement. Puls etait
s
>
^
i
r>V-
«"^«"l*.
>invi'V,^c.f]
parlez plus de cette affaire.
qu'il
n«»-?!'!.-
?iir'>'PP-o«»-
H.e^h.nH-i
ff-A-
3. fl)>..i-^'n<.i
5. -^^",00^2
benis. Eneffet, tout ce
de vous
'^(iA
— A Vf — ««"PöA Vt^ — Tt^ txT'a^ "^^T "oföA. — «»'PöA.Y] — n han^] A ««"PöA. — 0, A S'^ao^. — Yicnt^fv] A o/w. -vpr] 'VPfö»-. — 10. no?
mot
13.
— Abba
ma mhre terai
*>,H»n
A
11. ante >inn
om,
•
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äge de quatre-vingts ans. Pen de jours apres, sa mere mourut,
alors qu'elle etait ägee de soixante ans.
—
2.
Cette
Diocletien (Diyoqletyänos), l'impie, ordonna que
annee-lä,
tous les chretiens adorent les idoles. Saint lü2 V" b.
drie ('Eskendryä), afin de
—
3.
Celui-ci
de
lui,
4.
*
Abba
Paesi alla ä la
ville
d'Alexan-
vendre tous ses biens.
II avait un ami dans la ville d'Alexandrie, appele Paul (Päwlos). lomba malade d'une grave maladie. Abba Paesi demeura aupres
jusqu'ä ce qu'il füt gueri de sa maladie.
— Survint une grande persecution sur
jours-lä. Saint
Abba
le
peuple des chretiens dans ces
Paesi et Paul, son ami, achetaieut avec leur argent des
LE 8 TAHSCHASCH.
[135]
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(6. :i'\,f.]
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2.
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aliments bons et suaves et les apportaient aux saints qui se trouvaient dans
Pareillement
la ville d'Alexandrie.
ils
visitaient
en de grands tourraents, pour
prisons,
les
le
ceux qui se trouvaient dans
nom
de Notre-Seigneur
Christ. Ils les consolaient et les servaient, se comportant
Les saints prophetiserent sur eux et leur dirent la
couronne du martyre. 5.
fds de
—
ces jours-lä, on araena et on
Thecle
vous faudra recevoir
fit
parvenir saint Victor (Fiqtor),
ils
la ville d'Alexandrie.
l'envierent.
le Christ. Le juge ordonna de le supplicier de donna de nombreux coups avec des lanieres; on
Notre-Seigneur
grands supplices.
coupa
ce
11
Lorsque Abba Pa(5si et En cfTet, lui-meme avait repumonde passagcr. Abba Paesi s'approcha du jugc
virent,
royaume de
et confessa
lui
le
«
le
des esclaves.
»
Gernianus (Hermänos), ä
sa sa3ur die le
En
:
comme
les
On
lui
membres avec un couteau
;
on
lui
mit des torches de feu sur
le
Corps; on l'attacha avec des chaines de fer; on alluma, en outre, un feu dans une fournaise, jusqu'ä ce que les flammes s'elevassent *extremeraent, et on jeta
Abba Paesi dans
ce feu.
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LE LIVRR DU SYNAXAIRE.
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3.
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o».
>,n
:
h.^1^^..
pria, en disant
:
«
O mon Seigneur Jesus-Christ,
c'esttoi qui
as sauve les trois enfants de la fournaise de feu, le prophete Daniel (DAn'el) de la
gueule dos lions, et ton martyr Victor des ilammes du bain. Pareillement,
ö Seigneur, aide-moi, sauve-moi et envoie-moi ton ange, afin qu'il ces supplices, car ä toi gloire pour les siecles des siecles.
de telles paroles, voici que Tange
debout ä 6
homme
avec
toi.
la droite
une
feu. II prit par la
7.
Sois
—
11
lui dit
rosee fraiche. L'ange fendit les
main
saint
Abba
Paesi et
le fit
ciel. «
:
le
11
se tint
Salut ä
toi,
Seigneur est feu
le
la fournaise
sortir sain et sauf
de
sans lesion.
Aussitöt saint
»
sauve de
Aussitöt
murs de
Abba
Paesi alla trouver
le
juge.
11
confondu, 6 juge, toi-meme alnsi que ton roi impie
impures.
me
Lorsqu'il eut dit
Souryäl descendit du
Paesi, vierge.
Abba Paesi, vierge. N'aie pas peur, car Lui-meme te sauvera de tous tes tourments. »
la fournaise,
«
Abba
juste,
devint corame
de
de saint
»
Lorsque
les
gens vircnt saint Abba Paesi sain
cria et dit et
et
tes sauf,
:
idoles
sans
«
LE 8 TAHSCHASCH.
[137]
A
Mn
•
—
8. (ti-
M' 10
—
h
•
^f:he
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le
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la tele
royaume des
le glaive.
Ils
regurent
la
:
»
couronne du martyre
cieux.
juge ordonna aux licteurs de conduire Abba Paesi en prison.
Abba
Paesi,
comme
avait ordonne le juge.
— Un ange du Seigneur apparut ä sa so3ur Thecle.
11
lui
ordonna
d'aller
ä la ville d'Alexandrie visiter son frere. Elle se leva et s'en alla de la ville
de 'Endenäw. Elle arriva au fleuve. Elle chercha une barque, mais eile u'en
trouva pas.
Une barque
spirituelle
barque se trouvaient Notre-Dame
lui
la
ratrice de Dieu, et Elisabeth ('Elsäbet),
sujet de son frere
On
lui a
j'avais
coupe
un
fils.
Abba
la tete
On
l'a
apparut. Elle y monta. Dans cette
Sainte Vierge .Marie (Märyäm), genesa parente. Elles la consolaient au
Paesi. Elisabeth lui disait
iniquement. crucifie et
»
on
:
«
Moi, j'avais un
L'autre aussi lui disait l'a
:
lue avec acharnement
« »
Moi
fils.
aussi,
Thecle ne
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680
LIVRR DU SYNAXAIRE.
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avec
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lui.
la
parvenir aupres de
Lorsqu'elle le
d'une grande joie. 10.
p, 103
r
b
—
apparut ä gneur,
le fit
eile se
vit,
dans
la
Abba
prison. Elle se rencontra
rejouit elle-meme. Lui aussi
fut le inilieu de la nuit,
Paesi.
11
le
se rejouit
monter dans
*
Tange du Seigneur Souryäl
porla sur ses alles lumineuses, sur l'ordre du Seile
ciel et lui
salem ('lyarousälem) Celeste. Tous le saluereat et lui
lui
une
c'etait
convinrent de devenir martyrs ensemble.
Ils
Lorsque ce
Abba
que
apparue. Elle s'informa au sujet de son fröre
lui etait fit
— — —
o/«. n.
vision. Aussitot eile arriva ä la ville d'Alexandrie. Alors eile sut
une vision qui
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en outre,
la
demeiire des justes et des mar-
nom du Seigneur. II vit la Jerusalem Celeste, langue des hommes ne peut pas raconter la majeste,
tyrs qui avaient peine pour le la
grande
la
gloire
ville,
et
le
dont bei
la
aspect.
Ses places
sont ornees
d'or,
d'argent et de
«
LE 8 TAHSCHASCH.
[139]
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081
L'ange du Seigneur
ment grand, dans lequel
une lumiere qui depasse
la
lumiere du soleil
fois.
le
conduisit et lui
un
voir
fit
palais extreme-
etaient trois cents colonnes de marbre.
Dans
ce palais
les gardes etaient ornes et ceints de ceiuturcs d'or et de pierres precieuses.
Dans ce palais demeuraient cent soldats. Ils etaient ornes et ceints de ceinLa hauteur de chaque colonne etait de cinq cents coudees. II n'y
tures d'or.
a rien de semblable dans le
palais?
En
elTet.
monde. Je
personne d'entre
construire un palais semblable. Paesi, tous les rois de la terre,
pourraient pas payer
supportent ce palais. glorifiai le
Seigneur.
le »
prix
'
Quant
»
s'ils
les
dis ä l'ange
hommes me dit
:
de
L'ange
«
ce :
«
A
qui est ce grand
monde ne
O mon
pourrait
frere
Abba
etaient reunis avec tous leurs sujets, ne
d'uue seulc de ces trois cents colonnes qui ä moi,
en voyant ceci, je fus etonnö et je
p,
c.
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
682
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A —
>i<;rt..
SaLAM A AbBA PaKSI et A SA SCEUH TlIECLE.
Je dis salut ä ton cerveau,
Qui
soulFrit
par
la perforalion
du couteau
et par les
flammes ardentes,
Paesi,toi qui fus couronne d'uue parure de lumiere corame d'un diademe.
Salut ä ta soeur Thecle,
Dont 11.
membres
les
SaI.ÄM AUX
furent oints de Thuile parfumee de Marie (Mary am).
COMTAGNONS d'AbBA
Pae:SI
et de SA SO;UR TllECLE.
compagnons de Thecle et de Paesi, hommes. l'image de mes parents, alors que je suis etranger etpelerin.
Salut ä vous
Femmes Vous
et
etes
Afin que vous m'arrachiez au serpent qui Je mets
mou
coeur sous votre puissauce.
me
tend des embüches,
LE 8 TAfiSCHASCH.
[141]
<<.Art4.
:
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1.
—
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—
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A — —
— —
Incipit.
droite.
Saba. pretre.
1.
2.
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Saint Jean defend
:
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ib-
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2. >,n«D]
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MORT DE
La Sainte Vierge
8. II
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2.
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A(n>}i.v>]
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— 10. A
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A
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Ä'i./f„
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12.
1.
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iiii.l-
aoAlxWH'i
ib.
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A
iicfi
o/w.
SAINT Je.VN DAM.\.SCt;NE.
cultc des saintes images.
remet sa main.
compose des lamentalions sur
la
—
5. II
—
3.
On
luicoupe
la
main
entre au monaslere de Mar-
mort d'un meine.
—
7. II est
ordonne
poursuit sa lutte pour les saintes images.
Ell ce jour au^^si
mourut Jean Daraascene (Yohaunes za-Damäsqo).
Saint etait
de Mansour, Tun des nobles et des grands person-
nages de Damas.
II
fils
fut cleve
dans
la
sagesse et dans
la crainte
du Seignciir.
son maitre Quelherou11 fut instruit de renseignenient des pliilosophes par Lorsqu'il eut termine (Qorili). Cyrille de disciplc philosophe, QuezmA, moine, son enseiguement, Quezmti demanda ä Mansour qu'Abba Jean se fit moine. Abba Jean alla au couvcnt du saint martyr Mar-Saba (Märi-Säbä). Lorsqu'il
y
fut alle,
son pere mourut.
11
devint
le
secretaire du juge de la ville.
11
ne
lui
cacha pas ses secrets. En ces jours-lä se leva Constantin (Quaslanliuos), lils de* Leon (Leyon), Theretique, qui faisait la guerre aux images divines. II bouleversait les eglises.
Ce
saint
Abba Jean,
alors qu'il n'avait pas les degres
i'
^^* a.
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
G84
«^ft*
+
h'JH
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»"Jh
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—
II.
—
—
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—
3. Uli,
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13. AJi-ni^
lettre ä tous les fideles,
iine
ii»«"]
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«!<;.
— —
0/«.
O
en les
adorer les Images saintes, en leur
le
roi
heretique apprit cela, fit
ecrire ä la
grin^a des dents contre
il
maniere de l'ecriture de Jean et
toi
Ayant
la
main
droite
du
m'a envoye ce
Ayant entendu
saint, avec laquelle
pris sa main, saint
Jean
alla vers
pria avec de grosses larmes, en disant j'ai
lutte
pour
II
l'adoration
de
:
disait
billet,
fois vierge. Elle lui
au prefet
afiii
que
je
:
te
cette parole, le prefet
il
ecrivait.
Timage de Notre-Dame «
O ma Dame,
ton Image,
que
ceci? Maintenant gueris-moi par ta priere et par tes miracles.
il
•
nxA-
-.
(iM'-'Ort]
"htio»
A om. — 12.
les exhorta ä
»
n'est cc
m'est arrive Lorsqu'il eut
Notre-Dame la Sainto Vierge Marie (Märyäm), remit la main comme auparavant. S'etant reveille,
dornii un peu, lui apparut
deux
i.(o-{i'i,
ib. At'J.fi]
10-ft.h
.riia]
—
•>.e.fi>.
/fi<>f.
au prefet de Damas, en accusant Jean.
coupa
pas lorsque
•
A.
:
.*A-
!
temoignage des Ecritures divines.
Lorsque
l'ecrit
—
i.'im
'
« ©rt"?./'
©^.^h-Jt.
A A io'hr'oc'n A
fasse la guerre et que je pille ta ville. »
4.
A
<),
r-WiTrn]
=
f-^vn]
ib. >,>tr
vcnir uii scriije, le
II
•
'"Idh
VldM
ib.
ib. aj«n>;(r]
>.''ni>i1>
:
/h+p]
3.
Jean qui se trouve aupres de
y crut.
nn*
•
rtrtAAl-
•>.'r.tV]
>
—
de rordination ccclcsiastique, fortifiant
••
HJM"
?'ihlh
lohlvcM
'mtyh
•
1-2. ht^b^'i>.J^'^>ii;^.
>i»ii>i
:
hi\oo
•
::
A add. >l.e„l^
AP'Wi'Jft
A/*'dAri.
^nti'.e-.p.}".
mvih
S.
A>i"/ii>i» 9°.
o
6. >iXO>i]
post hr'i
7.
.',.n.
—
— A
•
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•
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•
>i?"AH'e^1] O,
//'.
h«"»
Jr);i-n
s
AX^tlh^V 1.
^ft-l'P.^P-
•
[142]
remercia Notre-Dame Marie.
LE 8 TAHSCIIASCH.
[143]
10
+
o71iH3'.
:
AH^rti»"/'
:
—
7.
fD(^n
pvh'jft
'^'Vflj
::
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685
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vf-A-ö»'
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AliA.U-
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•
•
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— vn] P, — hc/"'/"] — »»/»"iV. — ^ )tC9"r' n. — 0, A >i9"> — —
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1.
A. oin. Cöo-jo
—
— A oin. —
ffl^/.-V.
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a>ui\iit.
9.
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G.
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:
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Olli.
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:
—
oin.
4. ti+.s.ao-]
sie.
s/,.^-
in
'V'.
m-l\l-
«i)"«»'
5.
qu'il fils,
ä
—
alla
II
couveiit.
*
enseignät
lui
ue
au couvcnt de Mar-Saba et se
Le superieur du couvent
le
ffln.e.e.
Ao»>tioi-.
arf(/. h..
/•ii«'.
moiue aupres du superieur
remit ä uu vieillard spirituel,
le
regle monastique. Le vieillard lui
dit
afiii
O mon
«
:
de ton enseignement etrauger d'autrefois, mais apprends
fais rien
garder
la
fit
Aii.ßrty"'^.
aiijc-Aj'"?]
Ao>.>ho/Ji-
//'.
f-/h-/ft
m.ftn.A"]
//'.
ih. a>AjP./.]
iiöi>>jio^-]
a>.
ih.
ta{\''l,pao-.
>i
8.
md.-J'A.
A.
o/;«.
•/•?""/.
fflli'-ö'^;
ih. ai.te ,ß(i.A"
h'^ilf.j''.
ih. öjA"?.}']
du
i6. iT/i'-il
o/?2.
ih.
/7>.
>
'/'•
11. fty"",]
r'%t.
>,
7.
Aöo>.-i]
:
.sv'c.
silence.
Par
y>
la
grandeur de sou
Jeau vainquit
liumilite
l'orgueil de Salan (SaytAn). ü.
— Un
Celui-ci
jour,
demanda
mourut
d'entre les moines.
uii vieillard
a Jean de lui
plaintives au sujet de son frere. Jean lui dit
maitre, le vieillard. Lorsqu'il
l'eut
»
Le
supplie
frere lui dit
:
«
frere.
des paroles
et
Je crains Tordre de
mon
Je ne revelerai cela äpersoune.
«
beaucoup, Jean
:
un
avait
II
composer des lamentations
»
composa des lamentations qui
lui
etaient fort attristantes pour qui les entendrait. 7,
—
Lorsque son maitre apprit
cela,
il
se lacha contre
de sa demeure. Jean se refugia aupres de tous eurent force latrines des
le
vieillard ä le reprendre, celui-ci leur dit
moines, j'aurai pitie de
lui.
»
lui
et le
les vicillards. :
«
Ayant entendu
S'il
chassa
Lorsqu'ils nettoie les
cela,
Jean
11t
»
p
104 r" b.
'
nh»»
hm
•
h/.P'R
•
M'iWih
mch?'
iKro
—
<s.
lO'l
LIVRE DU SYNAXAIRE.
f.R
686
j?.i.e.->
:
fflvn/.
•
my.f^xM
:
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^Mi'
•
1-4-4 w:«)-
•
Ä/.;j'e
R'CA^'-t-
y.'i'p^^
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•
[144]
R'CWhü'
:
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^sA-'i-
=
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1-2.
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nom
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propre
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—
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Af-zh-vn
—
«Dhiih.
—
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:
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I.
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10. AfvirVA]
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A
—
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0,
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— 11.
lui
vu
et riiitroduisit daiis
•
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=
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se trouve
''''
>ii'".p.<{n]
A
v/c
de Jean, ce vieillard
laisser
le
n^W. nv
KCA'i^-
tnö^] P, o ow.
•
—
•>•'(••
sa maison. Alors
Sainte Vierge Marie ordonna au vieillard de
—
fiTi-^t.
nom propre
i^^.:J•P^
>,nt/.:i*] o,
avait ordoniie. A3'ant
le vieillard
au-devant de
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A.
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7.
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«>.i'..^r.fi]
Notre-Dame
la
composer des ser-
mons. Ses sermons existent encore aujourd'hui. Le patriarche de Jerusalem (lyarousälem) ordonna Jean pretre malgre sa volonte. 8.
—
II
continua ä lutter pour les Images saintes et
la foi droite,
en
reprenant les reis et les magistrats, jusqu'ä cc qu'il parvint ä une verte vieillesse. Lorsqu'il le lo'i
y
fut
parvenu,
il
se dctacha *
du monde
et eniigra
vers
Christ qu'il aimait.
1" c.
Que
sa benediction sainte soit avec son eher
Za-Manfas-Qedous pour
les
siecles des siecles.
Je dis salut, cn exposant sa saintete,
A
Jean Damascene.
Lors<}ue
sermons.
son
mailrc,
lo
vieillard,
Tont
empeclie
de
composer
des
,
.
LE 8 TAHSCHASCH.
[145]
687
5
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10
—
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»f-V est en
•
—
tt'\r') \-tt6\ :
:
afi;i
s
(0
que Jean
terminät son travail,
Jusqu'ä ce qu'il mourüt, apres avoir 13.
vieilli
en une vorte vieillesse.
Memoire de Yerseqla, de 'Elqolonitos et d'Eugenk, pere de Mauina.
En
ce jouraussi
mourureut Yerseqla, 'Elqolonitos
et
Eugene ("Awginyos),
pere de Marina ('Enbämrenä).
Que
leur benediction sainte soit avec notre roi 'lyäsou pour les siecles
des siecles. 14.
Saläm au Redempteur.
Je dis salut au Dien redempteur,
Qui a remue
les levres
des prophetes, afin qu'ils e.vpriment
le
mystere
de son Incarnation.
David (Däwit), en commengant ä precher ä ce
A
dit ici
Et a 1.
dit
:
lc\
Envoie :
Suscite ta puissancc-
Ps., cxLiii,7.
—
2. Ps.,
—
—
F. ö.
PATR. GR.
T.
sujet,
ta maiii'
XV.
Lxxix, 3. 47
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
688
—
Propre.
^.«^
a.+
III.
4
An
•>
fDWin
j-ViA
•
?.m:y:
•
HÄ.5'-1">A'I»'-
1. «DllH-l:
:
•
ÄA4-
•
HP-n^:
ini--
•
^sn
nrTh^.flJ-f:
:
öA-'i-]
:
=
AJiA
•
MnA
•
III.
1.
Incipit.
—
Abba Takla-
—
G.
'Alfa
—
—
Ell
ce
la-hv
s
AT
••
a
•
ii
«».e.-lv/nr^UV-
'/xti'
•
=
f^at-h
nÄA"l"
=•:
Propre. SUl'EKTKUH DU MONASTEHE DE DlMÄ.
'Ali'ä.
—
aussi
mourut
.'5.
le
fit
moiue, alors
Son
liorreur des louanges vie.
du monde.
—
5.
Sa
—
iiiort.
Pere saint, pur, clocleur, pleiu de
que sa sueur coulat
comme
mallieureux tout ce
qu'il possedait,
de l'eau.
Dimii.
qu'il etait jeune.
l'ascese par le jeüue et par la priere.
renommee
•
son tonibeau.
joiir
sc
r^:c.
A-
Abba Takla- 'Alft\, superieur du monastere de
— Ce Saint
•••:
accomplit de nombrcux prodiges pendant sa
Miracles operes
1.
2.
d'Abba Takla-
2. I^iete
4.
vertu.s,
,('.Ä.fl>-0-
MORT d'AbBA TaKLA-'AlI A,
15.
hA4.
•
cominemoration est propre
celte
i
'/"Sil-
••
[146]
II
II
faisait
pratiqua beaucoup
11
des geuuflexions, jusqu"i\ ce
donna en aumöne aux pauvres
et
aux
jusqu'ä son vetenient et sa couverture. Sa
sc repandit dans tout le territoire de
Godjam
(Guajfim) et dans
toutes las provinces d'Ethiopie ('Ityopyä). ;}.
daus lui
— les
U
est dit ceci ä son sujet.
defeudit
— Le
il
Takla- 'Alfa niontor
fait
11
ä quiconque, sauf
craignait les vaines louanges.
Seigneur
fit
voir par son intermcdiaire de
d'innombrables prodiges, pendant sa et se
vit saint
sous peine d'interdit de raoonter ce
apres sa mort, car 4.
Un moine
hauteurs et descendre ä terrc. Takla- 'Alfa remarqua ce moine.
recommandaient
ä sa priere.
vie, ä
nombreux miracles
ceux qui invoquaient
soii
et
nom
^^"^^^
LE 9 TAHSCHASCII.
J^'fliili.
:
htlh
Pi»"
:•:
h«D
—
I-
nft«« s]
V.
A
— —
hn
:
689
fflfflAÄ'
0A;i"i''//*' «
!
Recension primitive.
(OOD-i^M
.•
:
^..^.ft
:
ÄA9"Ah
:•:
o/«.
fut Uli peu malade et il mourut en paix. Apres sa mort, des miracles et des prodiges son tombcau jusqu'ä aujourd'liui.
5.
6.
Que
II
sa piiere et sa beuödiction soient avec son eher Se'ela-Syon pour les
siecles des siecles.
Amen.
LE I.
se sont manifestes ä
9
TAHSCHASCH.
Recension primitive - 1. Mort d'Abba i'amim, Ic confesseur {recii) A (93 v"b-95 r" b); P (104 r° c-105 v° a) O (13 V c-14 v° a); A (94 V b-93 r° b) T (117 r° b 119 r» a). - II. Revision ou Vulgate. - 2. Saldm k Abba Pamim, le confes:
;
;
P (105 v° a) (14 V a) A (95 r° b). - 3. Memoire de Ja mort de Badalomya, Romyä et de Zacharic, le inoine P (105 v" a); O (14 v° a); A i"
seur
de
:
;
;
:
I-
1.
1. Incipit.
4.
II
—
il
b).
Recension primitive.
Müht d'Abba Pamim,
i.e
confesseub.
—
Abba Pamim
2.
—
se fait meine. 3. II refuso de rentrer dans le monde. endure de cruels suppliccs. 5. A l'avenement de Tempereuiest delivrc de prison. —6. 11 demeure dans un monastere situe
confessc sa
Constantin,
—
(95
-
foi et
des murs d'Aschmounain.
—
liors
7.
Le diacre Jean
—
est faussement accuse d'entretenir des
relations coupables avec l'imperatrice. 8. Condamne ä mort, il ecbappe miraculeusement ä ses bourreaux. 9. Grave maladie de rimperatrice. 10. Elle va trouver Abba Pamim. 11. Elle est guerie par lui. 12. Le diacre Jean est nomme patriarche de Conslanlinople. 13. Abba Pamim cliasse les Ariens de son
—
—
—
voisinage.
— 14. Sa mort
Au nom du
-
—
et ses fumirailles.
Pere, du Fils et du Saint-Esprit, uu scul Dieu.
.
M\"\l
1.
—
/6.
—
4.
n>n
odd.
—
— O, A
n./:]
>
:
— A
«wn-J.*.
1.
—
A4'.s-ft
—
Olli.
WAT
— En
—
=
P
—
:
—
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/7>.
llöo
>iV"ill
!
ce jour
:
5.
's:**:
:
— A
— A
Olli.
ib.
post mithAlP P, 0, Tr-r^AT
:
>.5ritl
:
A
M — — P
A'l'S-n
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Yi«i»
A,
A add. A
"JöO'/!.]
ib.
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nin
—
P
add.
/ä.
— A
A*^n
ante
/(!'.
mihvv
/ä. n>i"/1"] 8.
fl>-n-fc;i-]
— 10. A 0)>/">i] A fflV'h. — — 11. >i..eVno m.
to ,h)li
WiiiV]
ib. A11>i
s
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"/VAT
IttMi»
•
'll.lti
'
.C.^-nVA
"/ö"-.!-.
mourut
saint
Patnim (Ba'amiii),
!e
conlesseur, qui
fut
du
de
martyr saus effusion de sang.
—
2.
Ge
Saint
etait
de
Meneta-Daqiqa-fladib,
'Esmounäyn, du pays d'Egypte (Gebs), pres de l'intendautd'un horame sa justice. lui
extreniemeut. Saint
le Service
riclie. II etait
La femme de ce de ce riebe,
la ville
territoire
de Tars;\.
II
aime de tous ä cause de sa purete
etait et
de
riebe aimait saint Pamira et avait confiance en
Pamim sougea alla ä
monde.
ä la fin de ce
un monastere qui
etait
dans
II
abandonna
la laure et s
y
fit
moine. 3.
paiti, le
— il
Lorsque ce riebe apprit que saint fut
trouver et
nous,
il
cxtremement ils lui
triste.
II
prit
sa
s
^fiow-y.p.
v**:;
j
flh'T.'V.
:
*.S-fi
••
A
Od
••
aopdo-.
— hO. — —
n>."?.v.
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P
i^a-
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^«Cfl-cf .
i\^.',.ti.
il
A
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>,no'>-S'.e'/]
'l'-S-A
:
oin.
—
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ib.
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add.
fl»,!./.]
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oin.
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—
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ib. <«,ä<{.j5]
om. 9.
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ante
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3.
en surcharge; P, 0,
A AiB-M: A O ». —
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IIIO]
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A.s-(i>irt.
V-bC
P
tth'i'V
•
ante nn-t
nh"?."». •v.
MVRR DU SYNAXAIRE.
LE
690
Pamim
l'avait quitte et etait
femme avec
demanderent de revenir chez eux.
lui.
Ils lui
ue nous est pas possible de nous separer Jamals de
toi;
allercnt
Ils
dirent
:
«
Pour
nous ne
te
; ;
LE 9 TAHSCHASCH.
[149]
691
* "J't
5
'}«w»;^-^
•
•flH-:^
—
^t\
irv*
s
fS'f
:
A
fl>-nt
ante
ii.
P,
a>M-
11.
ll-VJ:
oOT.)
—
—
— :
«T».
»/•'^.
fl>->,-|:
!
»
II
Separation d'avec
—
suffit
('Andenftw).
:
on
le
—
P
—
n>.vi-
A
fflhr.nir-.
nt/t/. h.vrt-n.
leiir
clit
me
suis
—
/6.
/7).
A
0,
>i.e„
«n-^l;
!
— h-n^-ct] P, 0, A — 5Jc.
/ö. «dJis-
tf->i^l-) :
A
fl>IJi?">]
/'";>»".
:
:
sk; P, A A «nh.hriA»
l"»
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(0
A
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VV-
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sie.
Pour moi,
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lf->i
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P,
onA^A^-tih
//'.
fl^t-li-
:
«Dt;»
"^nv
>."?ll.>i>;
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4.
K-v.^Tfn-]
7.
,p.>i.vrfl»-.
10. öortyA.ei:!»-]
hf-A"
A
"in.f]
s«f.
A
A>i"/Il.>>>]
:
— 13. H>iT'nA] A
no m'est pas possiblc,
il
voue moi-meme *au Seigneur.
extremement
tristes ä
»
Ils
de le
cause de leur
lui.
pas.
le jeiine,
II
servit le Seigneur, pen-
par la priere
voulut devenir martyr
II
Jesus-Clirist.
II
et
et
par les veilles.
verser son sang pour
alla
nomde Notre-Seigneur le Christ, ün
le flagella;
bres; on le mit
on brüla son corps dans
ä
la
d'Antinoc
ville
Christ l'exalta,
lui
II
fut
II
le supplicia
le feu;
dans des roues; on mit des barres de
brüla son corps avec olles. le
:
h.pfrn.
ih.
confessa
de grands
on coupa ses inem-
fer
dans
le
feu et
on
ferme dans tous ces supplices. Notre-Sei-
donna courage
a.
<«.+
:
A
—
a>:i£°J}o.
ih. wh.vhlirt»]
©.ehv"«^
hA
:
1-2. >,-n«öri] P,
add.
trouva beaucoup de chretiens qu'on suppliciait.
II
lui-meme aussi
gneur
A
ib.
Notre-Seigneur
de
nora
—
a«n.ets]
/i^.
YiCfi-Ffi
o/w.
—
•/-.•»äa.
o/«. n.
Ce Saint pratiqua une grande ascese.
Cela nc Ini
supplices
•
P
li^-ii
— — P, 0, A A n^Ol-. — PU /";>«] A (ü 0, A ffliniVt — ai.pnf^"/y P, A
(),
dant de nombreuses annees, par
le
A
—
Wi.
>,?"kt»-
.p.Xi.lrV?'»»-]
nflö»-
add.
s'en allercnt, an etant
laisserent et
'Vs-fi
W/-*^] 1',
:
ante
A
8.
add.
post
6. .en-v]
Mbn
P,
retourner chez vous, car je
4.
— —
o//i.
JiW.Tfl»-.
mr.fipfi
tl^>i
=
— 12.
pas.
;Ä.
=
«nnt;»!)]
5.
an surcharge; P, 0,
laisscrons
A
niv*]
>,^V] P,
:
Jf-fr
:
:
—
(«"/(L.i'..
A
0,
>,n»».
ih.
>iTr.^Tii>-;
oo•vll"^tf•^^]
>,-n^
A
—
=
«»^.f ^jia-
fljni-,'»u
•
— post P, A tÄAmo»-. — A wiv.Ä nrvi: «A.
•i-.-j£rt"]
••
mfiÄrt-^
>
P, 0,
i»"i'.e
A
P,
sie;
n^'llL^V. ih.
'1'''i-n
s'c.
fl»>i.ni»A»
P, 0,
om.
3. 'i:Arti-Fo»-]
mO(l.f;
!
T«D-
A
(oh.y^KiX)']
1.
An-.
nj^'r
.-
A,
V
et le rendit sain et sauf,
sans l^sion.
^ r° a.
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VRE DU SYNAXAIRE.
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5.
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Art-^d;)'^]
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ib.
Christ apparut
öi-nt] 5.
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A, T P wliV
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s.
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th >,n. =
Äiu-^-V]
,
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P,
o//^.
ainsi, le culte
ä saint
mhM-
— m^ A o/H. —
1-A?"p]
IWi-fpao-
AVl
3.
i7<.
'r(\i\.\rao-.
:
II
des idoles dis-
ordonna de
chretiens qui etaient emprisonnes
le
T
\
.R^w- (><<>•]
regna.
:
tS'-V-V.eTr.
!
r/"K\r
—
A
0. >,A
A, T
ib. n-iifo-r.^]
etait supplicie
in-M:] P,
//).
n>,"7.v >
—
s/V 0O-*.l,Tr.
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.e.i„m-Ca«:
Vi
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T'>."h
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:
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—
ib.
Ti-rv-A*««»-
:
fi'"lö:>-^
:
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(Quaslanlinos),
Christ. Nolre-Seigneur
r
U-
Tandis que lui-meme
Constantin
sortir de prison tous les
<j\
A, T ib.
A, T
.RÄ.
add.
—
>.a.
An<'7A;»-1-3
ib. Tiirffl-nb-F»»-]
fl)*S.AA] 0, «rf^/.
}^AA
^"/ii.^*
.i'i»"»>.}P
My^fATyrn
.
A.S.r'1'AT.l'Vfl
s
O
2. ^fl>-ft>,}Pöi>.]
•p^.l,?'ao-
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—9.
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ib.
:
—
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A, T
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—
sie A"7ö.•^^ s/c;
,
=
P
ante
4.
«"•P'lv'h^]
m.e»n.P.'>}Ptn.-.
•h-r-re^^aoflop;
:
>
—
ncn-Ffi.
>
—
Vif.A-Pn.
•
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s/c Yir.flfc^V
h.pft-n
:
A
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n>.>t;
!
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A>."jii.>.v
_
0„l_
ih.
1
>i-?lt>.>
:
A ow. —
P, 0,
l.fl)->,i:]
Pamim.
poiir le II
lui
faire
nom du ordonna
d'aller trouver tous les saints qui etaient dans les prisons et de les assurer * que lui-meme Notre-Scigneur le Christ les compterait au nombre des
martyrs, eux qui seraient appeles
eux.
d'amener soixante-douze d'entre confesseur. G.
de
Ils allerent
_ Quant
la ville
ä saint
vers
confesscurs. Le roi Constantin ordonna avait parmi
eux Abba Nob,
le
lui.
Pamim,
il
habita dans un monastere qui etait hors
de 'Esmounftyn. Le Seigneur
sait tous les
U y
lui
donua unc grande gräce
malades. Sa renoramee se rcpandit dans tous les pays.
:
il
gueris-
:
LE 9 TAF^SGHASCII.
[151]
^«7/*''V
.nhrt.'1'h
:
h m-M*J h'M/
!
Ä-LV/i
•
••
fl>(POTh>.
ot7^/"'|:
:
.e.+flj-?"
••
nh'j-no
:
4'Ä-"7.'/
:
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:
•
UAmV
•
^Kf
««x-,/,««.
p-/h'>n
•
-j-i/"!'
:
ffle^nn
A-yi/^'l'
:
693
m/.hO
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/w^v/k^.
:
vf-A-
=
Afl>-h'f"
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:
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K'T./.
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v-.h'iti i-
:
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öJhArniri'' 1.
T
add.
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:
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P, 0.
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A
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:
—
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— Sur
7.
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1I(B->,|.-.
1I-7I-
—
—
—
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>i'^y.
ib.
fl>-ni-
!
T
m^n]
>,öi>.'//:]
la reine,
grave.
Seigneur.
lui
P,
A
lisait,
4-.e.''%i>.
U.
=
0//2.;
—
ib. aHin
0,
T
roi
'/Ji-fi]
TiA-.
:
que
le
de
lui. II
—
A
diacre Jean couche avec
ma
8.
—
Lorsque
le roi
aussitöt et entra dans le
la
b).
—
ib.
A
<)/«.
—
A
— A
12.
A
un de
Un «
il
fut
chambre royalc oü
»C^I..
T
P
ii. .S-.P'FTr]
hfim-yj^
=
mül-
mhl\.n9"r
o/«.;
aoKAi
ib.
»c^]
8.
oiodv
A
=
«npn
i
>
hn
hnm
••
'rflA.
(Rome), surviiil
:
—
—
na»-
•
P,
V-4iVf)]
f.>>p] <> fl»r.>.f.;
livre
a>-i%'\H:
oni.
Sö.p.'»-]
n
d'elle
chaque jour.
enlendit cela,
=
— 2-3.
^»'U O add.
\f-lv
la
maladie
uiie
craignant
diacre
de
Vision
le
Jean
des intendants du roi
Sache, ö
maitresse, la reine, ta femme.
lecturo du livre de la Vision de Jean,
<{..^
(l>.->t
•
Jft.'/).
:
ib. fi.f4-i
1l
iÄ. >,y°OA]
et lui dit
MVy
in.e»D^i<^V. .sie.
y/«.
itiMnr'r
Rome
de
y avait aupres chaque jour, le
alla trouver le roi
—
10.
:
ante
2.
i\)
mllDA"
anle
il>.
moh]
(Yohannes), Tevangeliste, c'est-ä-dire I'Apocalypse. fut jaloux
—
m-,r"h!P
o/». (D-ni-
(<)
o.lir.
—
A
;
117 v"
fol.
7-S.
—
",n.f.
K'rO
=
(variaiUes tirees des qualorze
-hiiaB.
—
A
edP.fl»-
A, T om.
rn^anH'/. S(V,-
//'.
femme du II
du
>?<'..
A hltmr'V. — A nAc. —
fnm.ltV.
A
P
(
",n..e
:
rfc//r.
P,
7i
add.
Tio^'i-U
"/H.p.]
().i-/-ll-n.
T
;
le feu,
:>.
/i!'.
(0 DA"
!
3. ^•/•nil] !
-KC-^V]
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ü. m^oDVl"/.]
P,
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•
A, T mmuct
0,
II)
—
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A
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extremement II
(T
10-11 myii'vr'iP'\
7.Ä«»--
A>a»c.
:
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post
«noruv: hfimy"?"
«Hfii-
9"9'
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•/•?•/'">
:
Vi (T
*'''>°
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•
fl>A>7/»'>-ft.
;
non endommagees par
7.
—
hhiwr?*
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IIIIA"
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A —
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anr"h?'
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(Jim-M: 1
liffnes.
O/U.
—
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A, T mAVl/">n
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A, T =
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ib.
n.liC
•
P,
-V"//""!]
—
(D.
RS.^'F'V
:
a*-t\-V
A, v° a.
mon 11
maitre,
pretexte la
»
extremement
triste.
II
se trou\ait la reine.
11
se leva
trouva
diacre se tenant debout devant la reine et lisant le livre de la Vision de
Jean. Aussitöt
dans
la
il
ordonna de prendre
mer. Deux liommcs
le
diacre avec son livre et de
le prirent, le
l'engluutireut dans la mer. Lorscju'ils
mirent dans une
*
petite
l'eurcnt englouli, ces
l'engloutir
barque
j 9'i
et
deux hommes
a, V"
;i.
LE LIVHE DU SYNAXAIRE.
694
6-tthfL
9"i\i-
iDj?.n.A
'nit\9°c.
Ah»»
!
rhch.
•
[152]
-^n
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^-^-fn
•
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-firh.
10
1.
•«>.«.]
A, T
jv/i;
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—
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>
»»ftH h-vii*:.
fl>-/"/r'>n
öffirti.
—
'
i
fflUH-ri-V;
—
hönYi^. 8.
post
9.
fl/h..'.]
P, 0,
P,
Mao']
/^'.
A
A
—
HTfl<;^.
«D-fertA;
I
—
•
=
-lin-rW.
P, 0, s/'c.
«^^iTc]
:
A —
Ml/t
rtfiffi?.
ils
ib.
o//i.
"/-ii»]
ncfi-tjev^"-
furent
ne raconterent pas au 9.
— Lorsque
mement et eile
pour
=
—
r.>,p^-;
«»miri
—
a»n
—
h..
-.
atao
>,A-.
4.
—
(D(*n
>
t/e^c. (variantes
du
le feu,
A
T
a»^:g,
A, T
0,
om.
fflh.;
ä«V
••
•^aoY\
ib.
r° a).
—
(Oow.
•/)
118
fol.
:
ib.
-jn.-/;
A
Ir»"^.
;&Ä.fl»-ni'
.p./.©-n'('.
;
!
/6.
-n^rt..
/i.
/ä. <>n.v]
///.
=
fl»h,t1flWA°
f.'^öT'c.;
fl»>.y"Tr.sri.ri..
0,
oa72.;
A o/h. — nwrlV
ib.
fl>h-n.et
o/?i.
fl>-ftt]
=
vicfur.f'i'^]
'^- -flH-;!^]
üvre, remmenait et le deposait dans virent cela,
P
r^n
m^-üm a>-ittiJt-'\ P, nc"/ wvn^^ (0 ow.
5.
comme un hommc lumineux
virent
0/«.
«ro-V"»/"^*» Sit)
6. '»•c]
5-ii>,rt.
-n-^«;
w-)(l
(A
ib.
7.
P
add.
ante «oftm
'b.
>,öo--v1:]
2.
premieres lignes, non endommagees par
:
T.y"^^'»!.
—
3. iDh.>7r.}p]
A P, 0, A maDjtK.. — — 0, A «naO-V .KAm-fr] P 0, A o/«. —
(0
—
•ncVT'B.
•linVT'E]
'*•
5-6. ö)jp
n.O'V
—
!
A, T
H.RTfl<.;
in-n*.]
ib.
«n.
=
/i. h-VYK.]
tirees des quatorze ib.
— —
owz.
P, 0,
-V"//»-^]
!
—
ow.
/i. ii->t] f.>.fl-
A
0,
add. «j^ä
qui
de
l'arrachait
une
extrcmement etonnes.
ile.
Lorsquc
la
les
Ils allerent ä
mer avec son deux hommes
leurs maisons
et
roi ce qu'lls avalent vii.
la reine
eut vu ce qu'on avait
fait
au diacre,
eile fut extrc-
Son ventre enfla extremement. Elle fut atteinte d'une maladie dcmeura aflligce de cette maladie pendant quinzc ans. On fit venir triste.
eile
maladie.
de nombreux mcdccins.
II
Un liomme
conseilla et lui dit
Ics saints qui sont
savant
ne leur fut pas possible de :
«
la
Avec
au pays d'Egypte. Elle
eile
visita
gucrir de sa
Si tu vas trouver
au pays d'Egypte (Gebs), tu seras delivräe de
Elle se leva aussitot.
cglises.
lui
ta maladie. »
une escorte norabreuse. Elle parvint de nombreux monasteres et de nombreuses
il
y
avait
Elle ne fut pas gu6rie de sa maladie.
LE 9 TAHSCIIASCH.
[153]
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P, o,
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b".
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/6.
n>i"7.-V]
a»-}.*
a^frf.
o/«.
Lorsqu'elle arriva ä la ville d'Antinoe, les magistrats qui la virent
motif de sa venue.
le
Abba Pamim. Elle s'embarqua sur de saint Abba Pamim. On exposa ä Abba
conseillerent d'aller trouver saint
un bateau
Pamim
2.
,haoc.
:
^„e*^
r
h"?.-» sie.
s'etonnerent extremement de sa venue. Elle leur exposa Ils lui
«D-ft-i-
mcV-'P;
—
s/c 9°>V>l.•^;
;
/Z».
ac?(/. a)W»;£
—
A
(oh
n>i"?.V]
m(i'^n.,e
•
fl>-?,-i:
cJi.ft'P]
:
•
— — m-fit A A
ow.
fo'inc.9'.
/(!>.
.('.'>>
ib.
flJ>,A
-
seconde main.
P, 0,
iin;(W>ti.
o
^>-nc]
n;>ic
:
/ä.
flj'jÄ<»-i-
•
nhii'
•
fl)>,»ojif:}p,
a^W. nh-^/v
ante
/Ä.
—
—
h-
n«»]
ib.
Tr"//»'^-.
9. fl)+-fl>,]
n.
—
Ä'nv;
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Hnxrhh.
•
A est de A myni^ao-
A
ib. h(|]
om.
n>.At
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(iwt
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i^»>.;J-]
•
nh'^.'i
•
>,-i>!jiaf.
4. fl»A/;V]
vati]
^nr'¥\
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'Vt
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iö. fl»,?"jicT]
fl>.p.n,A?»]
I
ib.
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Jl/hanc.
•>"?/"+;
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—
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ä/c; P,
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9"M-/ft
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:
695
et
au raonastere
et eile alla
on
lui dit
etre benie" par toi.
:
«
» II
Voici que la reine est venue te trouver. Elle veut leur dit
:
«
Qu'ai-je
moi-meme de commun avec
les
*
94
rois
de 11.
la terre
?
»
Sur
— Lorsque
sur de l'huile
Pamim
lui dit
que
roi a englouti
le
:
«
pressante demande des freres,
la reine le vit, eile se
Ten
et
la
oicrnit.
Elle
la
mer.
11
sortit vers eile.
prosterna ä ses pieds. Le saint pria
fut guerie aussitot
Sache que cette maladie dans
il
est
t'est
de sa maladie. Saint
survenue ä cause du diacre
vivant jusqu'ä
maintenant
et
il
A,
V
b.
LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
690
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[154]
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O/H. ^hlVl) mWbtt i
fir'i^'h
dcmeure daus
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l'ile
au sujet de
la
d'argent et de presents.
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de
Vision
la
reine entendit cela, eile
Elle glorifia Ic Seigneur. Elle se rejouit d'une
II
A
-I'.e.o^]
Chv.
Lorsque
de ce diacre. lüle
i.
10. post if/t a>.
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:
n-flWi-F.
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— 9. P, 0, A add. at-M— Aötiy] A ow. —
de Jean Abouqalamsis est avec fut
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!
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maoKh.
-.
HTrt
<"li.pfl>-
:
0/«.
ib. a>anKA\i.'\
nat-ni-.
ib.
ib- fflh.l'"V(->.]
add. oAt*. H(Dr.<>]
11. OrUV]
>.fi-+rti'"rt.n.
A
Köo
>
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mcn-tjp-v.
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5»"ftA.lh]
.?.-{.£
—
o/«.
tD^nRMiJP
ri\i\,Ü'
:
ofTrit
ä saint
grande
Pamim beaucoup
ne prit ricn sauf des objets sacres pour l'eglise
patene, un calice et une croix d'or. Puls eile retourna ä la viUe de
une
:
Rome, en
glorifiant le Seiü,-neur. 12.
— Lorsqu'elle
lui etait arrive et ce
se rencontra avec le roi, eile lui
que saint
Pamim
lui
avait etö englouti et etait vivant jusqu'ä maintenant. ' "JÖ
A, 1"
cela,
il
ful
extremement etonne.
i
11s
trouverent
le
*
11
exposa tout ce qui
avait expose au sujet
Lorsque
du diacre qui le roi
entendit
envoya aussitöt des serviteurs a
Tile.
diacre vivant. Le livre de la Vision de Jean etait avec
lui.
LE 9 TAFISCllASCH.
[155]
«JA
IP'rtA
:
na
1.
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697
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~ A om. — ante — P add. — x>,y»> — p^ 0^ ^ ^^p P, O, A m-ifim-f-ffi-T incip. — hCJ-Ow^-/] A, T P hCfOrB-.evn. — P/hoq?; 0. A — post (T om.] A (T o/«. ^n^-. — P, A T ^(lÖAmWiAJ: S« — A, T nu-yi. — P, waoffh.. — P, A O/«. — ^uÄ.n *Äft P, 0, A HlHC (O UOU). — 10. *^ft] T om. — ante ^w," P — — P, 0, A *^n P, 0, A (P (HA A-^ö (0 (i-nöf: A rt"7öV) nnh.A mntn.^(0 o/«. jrnA Anin-
^fi]
0//1.
?"nrt]
7.
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:
lui et lui dit
Le diacre repondit conjointcment.
Home.
II
II
mt'-/
:
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roi.
lui
dit
Eusuite
ce
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.ftllCHC]
.-
•
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/Z-.
;
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le roi le vit,
la faute
Que
diacre
le
que
il
se rejouit.
j'ai
II
se prosterna
commiso envcrs
toi. »
Seigoeur iious remette nos fautes
fut institue
patriarche de
la ville
de
traduisit la Vision de Jean 'Abouqalain.sis.
—
13.
treve.
»
et
!
tlo»
Pardonne-moi
«
:
:
(P yncnc.
i
l'amenerent aupres du
devant
.pfi.li-C
^-.f.A]
:
rt^f^/.
!
:
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iin-"/ö;i"C.
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«d^i/.
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9. -nil-.i^] (»,
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Ils
,
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>.A-
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8.
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/6.
tfft-öi-.
-nH-.-l-V
novft,,.;».]
,
:
Quant ä
saint
y avait pres de
Pamim, il pratiquait Tascese, nuit lui un eveque saint qui celebrait
et jour,
sans
la
d'un
fete
martyr,
avec de nombreiix fideles, dans le monastere d'un martyr. Des Ariens lierctiques avaient pris pour eux un faux eveque. Ils celebraient la
mrme
fete et egaraient
trouver saint
Pamim.
II
beaucoup de gens du peuple. Cet eveque saint vint lui exposa sa tristesse au sujet de ces hcretiques.
LR I.IVRE DU SYNAXAIRE.
098
[15G]
A, 1)5
1"
I).
10
2.
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A
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A, T ow.
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6-7.
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du
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P, 0,
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P, 0,
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P, 0,
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—
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'in;
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i
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n>.Ä'et^.
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A, T
n>..e.i;ifö'''
A —
P, 0,
A'^'^'C^Tr]
post >/"h. P, 0,
/Tl.
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=
8.
t/f.A
nn«n»]
A
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6. «D'>.<^firt]
ib.
ib.
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ib.
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—
A n^i —
o/«.
ib.
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A
3. li-^o]
—
7^^ll.^•n^r..
a«?6^.
nn+A->] P, 0,
'
—
fl>?°nA.ü-.
ib.
A
ante r^nea^ P, 0,
1.
t
P,
A^.'JII.MIrh.
A
—
o/;(.
HfV.
projet de ces heretiqucs.
dans sa main une brauche de palmier. Tous les meines qui etaient avec lui prirent pareiilement, chacun d'entre eux, une brauche de Puis
* *•, r? b.
"J5
il
prit
palmier dans leur main. '
11s
allerent contre
*
et ces Ariens et les ces paiens ^ 11s ne revinrent plus lä _
chasserent.
Le
Seigneur dissipa
leur
conseil.
jusqu'ä maintenant. Kl.
de
la
—
Quant
ä saint
maladie dont
les consola et leur
furent rerait
il
funerailles.
voici II
que lui-meme
äme dans
tristes la
vieillit et
reuuit les freres, leur
exposa que son jour d'aller vers
extr^mement son
Pamim,
devait mourir.
le
tomba malade
donna des ordres,
Seigneur approchait.
ä cause de leur Separation d'avec
main du Seianeur. Los
Us psalmodierent sur
lui
comme
il
lui.
freres lui firent
convenait.
Ils
Puis
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de heiles
Son corps devint
ÄA-'M
ain^h-l:
=
A-Hl*
:
rtAr
Ah
••
Ah^A
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A
ufiovK-h^ P, 0,
l.
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A
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P,
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M-
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A",A«»
dini--
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ncfi-tr/-]
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s-ffr
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eUA-
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•
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:
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Kfü, T
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Revision ou Vulgate.
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'
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II.
O
699
LE 9 TAHSCHASCH.
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•l-.iinY-
=
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n.
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T incip. - 1. n7.ß A, T .ftYifl>-V. — ib. j^ft.* _ h-t-v] P n«cni:
Yir.fi-t^-v;
»
«6. ;Brifl>-r]
P, 0, 3-4.
li.e.
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vn-v
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•.:*ci:
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s'f) ^-ziiJ-i
'
av*<.
('P*^*
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de ^:*r.* se Irouvc •^Cff" est cn surcharge; au-dessous
:
o-n^Yil:
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mnAiT] 0,
f..A.
.
-rAA-V
A o/».
=
h-T.-^-
-
7.
+>;«?..
.ffl.l
-
le
/*• fl'A«o-,n-n]
n».
pour quiconque vcnait vers
lui
ou venait
ti
son eglise l'implorer
foi.
Que
benediction de saint
la priere et la
siecles des siecles.
II.
2.
Salut ä
toi,
Sur un
lit
Tu
Pamim
soient avec nous pour Ics
Amen.
—
Revision ou Vulgate.
Sal.\m ä Pamim, le cohfesseür.
Pamim, couche de fer ardent.
as ete le protecteur des orpheliiis et des veuves. de la toi, dans la raaison de l'epreuve et
Salut aux gens qui furent avec pcine,
Emprisonnes pour
le Christ.
LE LIVRR DU SYNAXAIRE.
700 öinH'l:
post
1. zZi.
i'"ftA
:
mn/.)\foBfi>.A
:
•
A
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fflC?"^]
VlIA-
^AV
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V.-UeaofVA-
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mcry
An^A-r^
Ö^.'\^^^'0^•
•
— — 0, A A (OhC.r'f. — 3-4. äA"-?»"- — /i.
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s
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»f-V est en surcharge; un second
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-
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:
h"l.'i
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—
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A
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le
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nnA'\9".
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!
-•
A
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rt"/A
sie;
fflCy"^' :
»O
[158]
}
!
J
nOIH piOprC
trouve sur
uii
grattagc {K est cn surcharge).
Memoire de la mort de Badalomyä, de RomyA et de Zvcharie,
3.
LE MOINE.
En lo
ce jour est la mort de
Badalomyä, de Rom^'ä
Za-Manfas-Oedous
leur priereet leur benediction soient avec leur eher
Que pour
les siecles
des siecles.
LE I.
de Zacliarie (Zakäryäs),
et
moine.
10
TAHSCHASCH.
Recension primitive. — 1. Translation du corps de Severe, patriarche d'Alexandrie (recit) A (95 r" b — 95 v" b); P (105 v"> a — 105 V c); ü (14 v" a — 14 v° c); A (95 r" b — 95 v° a); T (119 r" a — 119 v° a). — 2. Mort d'Abba Theophane, :
patriarche d'Alexandrie [recit] 15
r" a)
A (95
;
Myre
evecpie de
—
15 V" c)
gate. (105
—
v° a
;
— 95 V b)
(recit)
Saidin ä
4.
(14 V"
d'Alexandrie
:
P
la
(15 r° a
—
[recit et a).
—
(16 r° a
—
16 v° a);
(107 v° a
de
la
—
8.
;
T
— 96
A
v" a).
(95
—
P
(106
— 121
r° a);
3.
b).
v° c)
r°
r"
;
r° a).
5.
:
I'
Sah'im ä
A ;
mort de MölAyos
—
:
A
(95 v" :
P
b
—
(100 w"
96 c
r" c).
—
Mort de sainte Soureset
107 v° b)
r" a);
(119 v° b
— 106 (14 v° c — — Mort de saint Nicolas, a O (15 a — 106 — IL Revision ou Vul-
(105 v° c
Abba Theophane, patriarche r° a); 6. Fragment propre de la (15 r" a); A (95 v" b). 106 v° b) O evöque de Myre [recit et saidin] P (106 r° a
sa/.din]
— 96 v°
c)
P
;
— 119 v"
—
(106
saint Nicolas, c);
(95 v" b)
(119 v" a
Translation du corps de Severe, patriarche d'Alexandrie
c);
Mort de
16 V"
T
(95 v" b
A (95 V b — 96 r"
v" c);
Lazare
A
:
A
:
;
(96 v" a (16 v° a
— 97 — 16 v°
et de Täwl'yä
107
P
7.
r° a);
[recit et
r° a).
:
—
b);
— A
O
;
16
:
P
(107
r°
r" a);
a
A
—
97
(97 r° b).
r" b).
A
(96
et
r°
c
— 107 v" a);
Mort d'Abba Tewäsch
(97 r" a
(107 v° b)
—
(15 v° c
saldm)
9.
;
Martyre des saints Thalasse
—
P Memoire
[recit]
10.
:
LE 10 TAHSCHASCH.
f^S^]
—
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le corps de Severe echoue. 3. Deposition monasterc de Zegäg. 4. Nombreux miracles.
-
Pere, du Fils et du Saint-Esprit, un soul Dieu.
ou apporta le corps de saint Abba Severe (Säwiros), patriarche de la ville d'Alexandrie, au monastere de Zegäg, qui est hors de la ville d'Alexandrie ('Eskeudryä). 1.
ce jour
—
Ce Saint niourut dans la ville de Sehä chez un hemme richo, 2. chretien, ami de Dieu, appele Dorothee (Dortäwos). Ensuite Dcrothec envoy'a le corps avec des gens fideles et croyants, sur un bateau, au monastere de Zegäo-,
qui est hors de la ville d'Alexandrie. petit
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mais
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II
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LE LIVRE DU SYNAXAIRE.
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assez d'eau pour porter leur bateau. Ils se donnerent beaucoup de peine pour trainer
eux-memes
bateau, mais
—
Mais
bateau.
Ils
cherchereut
moycn de
le
ne leur fut pas possible de reussir.
il
nes et leur sagesse 3.
le
fit
le
Ils
furent
faire
Seigneur, ami des hommes, qui avait cache les Israelites
un chemin dans
la
mer Rouge
et les avait fait
passer, cacha le corps de saint Severe aux Meleciens heretiques.
pendant sa vie
et pareillenient ils
car sa parole tranchait dans leurs coeurs rcndit
manifeste un miracle.
1. l's., cvi,
27.
le
de faul'.
ä leurs ennemis, leur avait ouvert
l'avalent hai
avancer
tristes et conster-
II fit
commo un
avancer
le
En
eilet,
ils
le haissaient apres sa mort,
glaive. Alors le
Seigneur
bateau un pcu dans l'eau,
LE dO TAF1SC11ASCM.
[161]
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d'Alexandrie.
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un morceau de maladie. la
En
moyen de guerison pour quiconque avait une eux-memes l'apportaient i la ville d'Alexandrie,
soie. Elle devint
effet, les
raoines
metfaient sur les malades et
ils ctaient gueris. Le Seigneur rendit saint Severe beaucoup plus grand apres sa mort que pendant sa vie.
Que
sa priere et sa beiK'dietion soient avec nous.
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Amen. ,„
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2.
la
ville
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AlEXANDUIE.
Assassinat d'Abba Theophanc.
ce joiir aussi laourut le .Ic
PATIU.XHCHE
saiiit P.'tc
Abba Theophane
(Tä'ofAnyos),
du
nonibre des
.rAlexaiidrle ('Eskondryä).
II
est
patrianlies le soixantieiiie. 2.
_ Apres
qu'il eut siege sur le siege
peudaiil quatre ans et six mois,
il
de Marc (Märqos), l'evangeliste,
mourut assassine.
saints. Qiie le Seigiieur ait pitie de nuus par la priere de ses 3.
1.
Incipit.
1.
_
—
Le
11.
_
.in
nie
SAINT Nicolas,
Origine de saint Nicolas.
eveque nE Mvhe.
— 3. Son rolc au concile de iNicee. —
4.
Sa mort.
(Niqoläwos), Ell ce joiir aussi niourut le i'ere saint et juste Nicolas
eveque. Ce •2.
2.
MoHT
Amen.
nom
signitie litteralement
Ce Pere juste
et saint etait
de son pere elait
Yoiu\. 11s elaicnt
riclies
vainqueur du peuplc. des gens de la
pipiphane (Epifänyos)
dans
la ville
de Myre.
;
Ils
le
ville
de Myre (Mira).
nom
de sa mere etait
craigiiaient le Seigneur
:
LE 10 TAHSCIIASCII.
[163]
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—
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Ae.'!-
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120
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(le fol. i
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fl»A.P:]
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m'h"in.M\^C..
—
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incip.
»"/i«
le fol.
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r' a
T
:
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WlLh-d/h-c] P, 0. ib. .p.ii'V]
tl>>>
SU oo'CöA
X^AJ^A]
5.
:
•.
llCfl-fA » <">/'•>.
:
tifl»
:
(T incip.
mi-aßa»
'^((.f
:
at'Vöfi.ll'a'"]
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fol.
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11!) v° b)
fol.
W>,1>".P.-1<'. :
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7.
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1.
ib.
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j,at>.
—
S.
A mj,
A o/k.
etaientdans une grandc tristessc a
ce sujet. Cuntinuellement ilspriaieiit ot siippllaieiit le Seignour de leur donner alin
iils,
Ils
furcnt ainsi
d'avoir im 3.
afm
Iils
lui
et qu'il herität
sans enfant, jusqu'ä ce qu'ils
l'üt
passee pour eux.
Ils
qu'il deviut
Seigneur eüt
l'ait
et
que Teprique
descsperaient de deinauder im
im graiid rameau de larlue de
ce (jue le
de leurs richesses.
vieillisseiit
— 'Diocletien mit saint Nicolas eiiprison. Mais
jiisqii'ii
et
de
qu'ils se rejouissent
\\\\
la foi.
disparaitre
le II
Seigiieur
demeiira
le cii
eiil'ant.
reserva, prisoii,
üioclelien (Diyoqlelväiios)
eüt prepose Coiistantin (Quast aiilinos), l'empereur juste. Conslauliii
sortir
lit
tous les coufcssenrs des prisous. Ce saiut sortit de prisoii, etaut du
^
*'"'''
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:
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•
Ä-n
^
des neuf premieres lignes, non endomniagees par
nom propre
le
A
(A -fi/h.*.] T
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au-dessus et l'autre au-dessous du
coiisideree
1.
'/•.•'•nh.
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-h^-I'
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I
T-n/i.;
I
A
[164]
>»»»
!
«»vo
•
en surcliargc; P, O,
est
P, 0,
>^^ll.^•flWl.c
ii.
'^Ay";
le
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*^ft.
(),
ante
ili.
>
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niv*] P,
G.
iiAA?".
Kfd-
•
—
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A /">
—
nÄA-l--
(0 r:>öl-)
>
defic. (variantes tirees
121
fol.
A
r'Dt^U'ao-,
fl»im-7ii.
c.f(i
c.=nii-
A "nnc
7-a>b]
>FÄO^] (K
1
».e
•\\th.<.
'
?»fth
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•
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ra7-n>i.) «»-ftt •
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t.e.-ivi-
3-4. "v^n*: >i.Ä.ft
—
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••
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\:f.f(Dx
^l•n^^
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'/^.'^Tl-
•
fl>-ft'i-
-PitO'l-
••
?i'7ll.Änrh.C
4.
LIVRE DU SYNAXAIRE.
I^K
706
a°/A»»
>
mais deux petits
indiquent que cette lettre doit etre
yAA
>
V4:<-
1
»r"» se troiive sur un grattage; un second
»VV A'VAo» nom propre -/'«A
n>.A
i
1
»,^9" ;
>
>\.frt-fi
est en surcharge.
nomhre des
confesseiirs.
II
retuurna ä son pays et coiitinua ä enseigner
peuple, afin qu'il füt ferme dans la
foi
droite, jiisqu'a ce
que se reunit
semblee du concile des trois cent dix-huit eveques dans (Niqyä).
maudit 4. il
Ce Pere
l'ut
II
rcprit
la ville
de Nicee
Arius ('Aryos), rexcunimunia,
le
et le cliassa.
— Lorsque ce saiut eut termine son combat
emigra vers
le
Seigiieur, apres
quarante ans. Tous
Quele Seigneur Ainsi
l'uu d'eux.
le
l'as-
soit-il.
les jours ait pitie
et eut
garde son troupeau,
avoir siege sur le siege episcopal plus de
de sa vie sont de quatrc-vingts ans.
de nous par sapriere. Amen. Amen. Ainsi
soit-il.
LE 10 TAHSCHASCH.
[165J
— Revision ou
II.
hftOT
10
öD
:
6. A,*>,.-{.->Vfl]
P
fl>^'V*/h>.
sü-,-
:
»f-A-
A+K.-f.V>
in^>'1-»h'/..
—
II.
4.
S\LÄM
A
L.V
!
nOh.'1-
A
W-A"]
l'a
—
7.
0/«.
:•:
V-A*]
—
ih.
A
->--A*.
>„liA«l!]
Tl(\NSL\T10N Dl
CORPS DK eii
SlisKEtE,
Est devenue elle-meme
S-VLAM A
la
tombee pendant
!•'
AlKXANDBIE
la foi.
ta vie
guerison des malades jusqu'ä aujourd'hui.
AbRA ThEOPHANE,
l'ATHIARCHE
II'
Al.EXAN DRIE.
Je dis salut et encore salut ä Theopliane, patriarches
Et qui est voisin de Severe,
Pere, et de Nicolas.
le
mes bieiis et me reveille par sa consume tous mes jours dans la paresse.
Qu'il m'arrache ä
A
»liA*.
ce jour,
Que ron compte au nombre des
Car j'ai
fl»>.*'\j»'ft] (».
apporte, afin qu'il se trouve au monastere de Zugäg,
tes dents qui etait
5.
8.
1'\TIII\UCIIE
Severe, destructeur de l'heretique parle glaive de
Une de
A
—
Revision ou Vulgate.
Salut ä l'arrivee de ton corps
Car on
A
Vulgate.
>»AA*
A.+h'nT'ffl.
10.
—
!
707
saiiitete,
LR LIVRE DU SYNAXAIRE.
708
ruAiJ*
*
iXhiV
tihA
rn:Ve.i-
^X-'i-y^
'
[166]
«»A.f/
mhry.M:
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I.
A.viv
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••
•
'•
A
ligne de
la tierniere
se termine ainsi
m{>n
:
Whaof.
••
•
li«"»
"ho^
>
puis
,
il
un fol. a quatre colonnes fönt defaut y a une brusque Solution de continuite: environ ib. nh.A] 2. «);Ve>] P om. m. ih. öi.>iv-] O tnyi-. dii etre arrachc ou perdu. :
_
^.j,,^. ib.
A A
iivi-3
TU] O
;/;.
— A
U h"r^\
— —
nivi:.
ib.
//'.
Fn\GMKNT
— diacre. — — dote
— 3-4. m. —
de
riKM'iii.:
3. II s'ahstient
7.
(
ri,-hi:-|:]
n'i,1.l:l:.
—
«tW. w.
Moht
i.\
—
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le
mercredi
quatre jeunes
filles,
a(in
malades.
sujet de sa prochaine elevation ä repiscopat.
—
— Lorscjue les parents
.
12.
11
—
//'•
—
10.
— 9. II
il
Clement envers eux.
saint, heni et parfait. la
r
-l. 1).
II
— le
4. 11
ordonne
est
den des miracles. ii
la
debauche.
a une seconde vision.
— 11.
11
Tordre de Diocletien.
de saiut Nicolas surent qu'ils etaient steriles, que
leur
le
extremement
donna saint Nicolas (Niqoläwos).
mauifesta en
lui le
vieilli,
Seigneur Tres-IIaut
comniencement de
II
le
rendit
la pratique
de
saintete.
i>^
iDfi
II
manifeste des signes de
a une premiere vision au
est jete en prison sur
ccsserent de demander un enfant. Depuis ce jour-lä
tut
.ft^i/'-V.
;
evkoue de Myre.
leurs joiirs de fecondite etaieut passes et qu'ils avaient ils
4. mii-
>,i>".
possede
11
o/».
l"'VV.e.]
«».r\i/"-|o/;/.
G. II
A
-l'-s-rt]
de les empecher de se livrer
et guerit les
eveque de Myre.
—
>..f/-.
A OW. — — VTVP. — — A
AO-A]
i'l>.
et le vendredi.
cbasse les demons
nomme
=
de saint Nicolas,
8. 11
est
«/.nv
ib. a^y^^r"l^^
7. 11
se fait
:
Des son arrivee au monde,
2.
de teter,
—
/-V/AV.
8-9. >,y"/'>'^]
ordonne pretre.
II
O
h.V'/]
et est
—
1
/.*'\j'>n7
meine
.5.
A
t"70ft] 0,
3.
•l-.'j.ft.
.ftftf:
Naissance de saint Nicolas. saintete.
A
5. m->.-/:] <) o»/.
-rn.
o/».
—
—
—
h'-V.C.
ib. '>.sn] <>,
— A — ante
Til;
A
Wh-l:]
G.
1.
flrt.>]
m(l<.\i.
().
<.ii]
8.
ib.
— Lui-mcnie, lorsqu'il
gcns pendant deux de
que
la justice.
la
seule
A
iieures.
fut ne, se leva et
II
l'epoque ou
manielle droite.
montrait par lä il
se tint .son
tetait les inamelles II
debout*au milieu des
erection pour la pratique
de sa müre,
il
ne
tetait
manifestait par la que lui-meme, tous les
jours de sa vie, ne boirait qu'ä la source des oeuvres droites.
LE 10 TAHSCHASCH.
[167]
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:
•
•|"Brth
mrun-ft]
2.
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12-13.
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jour du vendredi et la
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709
s/f.
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enfaiire.
En
eilet, lui-
mercredi, ne tetait les niamelles de sa mere
lieure
du jour.
Lorsqu'il fut tont jeune, ses pareuts
le
remirent ä uu maitre.
extremement, on meme temps 11 continua ä etre instruit par TEsprit-Saint il apprit tout l'enseignejours, de En peu maitre. son par qu il etait instruit
ment
et toute la Ini
de l'Eglise sainte.
II
i'ut
urdoniK' diacre.
11
progressa
dans les exercices spirituels. Puis
5.
un monastere dans lequel le fils du i'rere superieur. Ce saint pratiqua dans ce monastere une grande
se
il
de son pere etait
raoine dans
fit
qu'il pratiquait ascesc. Les simples liumains ne peuvent pas faire ainsi. Parce ans. saintete, il fut ordonne pretre, alors qu'il etait äge de dix-neuf
une grande 6.
—
Le Seigneur
lui
donna une grande gräce
miracles et de prodiges et la
:
raccomplissement de
guerison des malades. Qui est-cc qui pourrait
jour, en tout raconter ses miracles et ses prodiges, qui s'accrureut cliaque lieu '
sa vie nendant ^
de ceux qu'il a
faits
mort?
et apres sa .
pendant sa
vie.
II
nous faut
*
montionner quelques-uns
* p, 106
J"
i-.
LR
710
r/n'pjVA
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A.
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A —
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II
pas pour lui-meme
la
A
^-AA* ante
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ville
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—
—
Trj?.*.
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A
—
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5.
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1
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A W^-n. — A
ib.
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«6.
••
Cth
:
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mh«*-/-
••
mM-
••
P
Kiliti]
il>.
ASh-PA-s.!)". l-.S-n]
toutes ses richesses disparurent.
•
•
fl»>v..Fn/-1'ft-liyV
m-M;
10.
13.
AViA>i.
A
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•
ffl^n
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add.
<S.
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ib. •>AU4']
/^. AHATj'i-]
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fl»?»ft'l-*Prtn
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WjR.
>.(„*•>]
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post
ib.
Aqm-A-.e.-]
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om.
—
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mAU/J»]
3.
hao'i'Ll
1
•
fflC^»
••
oin.;
—
o/«.
Oin. 7,9".
— A A A o/H. — — A w/7
P
>;?f]
A
'il«^
!
f-S.SV.
•
3-4. fllA.^ni-'Pftm'
>,'/"rt-n>.]
A moAP
ib.
*"•;
il.p.rt.n.tt
fl'C4'
••
fl>-?i'l-
•
-I-AD^'
•
rliA.«,-
:
o>-ft-l;'|:
•
A.A
••
athjtil'
•
h-rai«»-!-
=
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=
A?i'} '^
•
rt.ft«!'*
•
ä<pa-«j.ii-
=
Hji'.rt.rtj?.
:
rt-n^O'J
Aofl'-A-.P.-
-.
^ir'J'P«"-
•
-tthfi.
4'S-fl
••
fl'rt.ie
•
A"-!:
•
'1».
-
OJ^^liAP-
••
(Oif'i-ni^'i
fl'hft'/'Prtn
'
f-^-V^i
s
A"'|:
!
•
V/*''h
(ß'>M.
•
[168]
hjMü
htih
:
'}R.-f•>
••
••
rt.«^P-
:
ay-h-U
••
A-t
ffl?/.
«i.
flj.f.chn
«n.f •
flJi<:
.'
«»"/Art
WK^-V
•
V>iV
'
mAiJ*
'
wnat'jf'i
=
Jt-I"
'i^ih
•
••
fl-fi
•
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'
•
DU SYNAXAIRE.
LlVKt<:
— —
mhM-'PAn]
fl»>,
Aadd.
«b-^-J:.
-njirt.
O,
Apres de nombreux jours,
devint pauvre, au point qu'il ue trouvait
II
nourriture journaliere avec laquelle se nourrir.
II
avait
quatre blies. Elles avaient grandi et l'epoque de leur mariage etait passee.
Mais
ne les
il
(Saylän)
lui
titution
uu
maria
suggera y mettre
et
ä
bomme
aiiciiii
une pensee ses
quatre
ä
impure blies,
cause de leur pauvrete. Satan
une maisou de prosforniquassent pour
faire
:
abn
qu'elles
salaire et qu'il trouvut sa nourriture et la nourriture de
ses blies par la
debaucbe. Le Seigneur revela ä saint Nicolas ce ä quoi cet songe. Saint Nicolas se leva
la
moine
morceau
il
et les serra
les jeta
sommeil, ainöe. fois.
dans il
la
dans un
niaison de cet
trouva cet or.
II
bomme
maria
sa
d'etoffe.
Avant que
bomme. Lorsque
cet
avait
niatin brillät,
le
bomme fut
grande
joie.
II
jeta
cent
deniers
deuxieme
blle.
Une troisieme
lui
homme
prit cent deniers d'or de soii patri-
11
s'en rejouit d'une
Pareülement, Nicolas Cet
nuit.
d'or
eveill^
de son
maria sa
une fois
fille
deuxieme le
saint
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le
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fois.
maison, puur voir qui
trouva saint Nicolas. Aussitöt
remercia beaucoup
royaume des le
quatrieme
lesquels
ils
beaucoup de malades.
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cet
tu
homme
etait celui
sut que c'etait se
prosterna
Ta recompense m'as sauve du manque
et lui
cieux, car
11
dit
:
«
peche que j'avais songe ä commettre.
Avant
qu'il
un grand
füt
siege
»
II
et la troisieine.
habitaient pour II
benit quelques
d(-
egarer
beaucoup de gens
gens. Ce saint morceaux de pain et en les
rassasia beaucoup de gens. Ils prirent ce qui restait de ce pain et trouverent beaucoup plus qu'il n'y en avait auparavant.
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donuait des vetements sacerdotaux
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et
que Notre-Seigiieur
Ic
Christ lui donnait un evangile. *
P,
lüfJ v- b.
—
Lorsque mourut Teveaue de la ville de ^ appariit au patriarche de la ville de Rome(Rome). II.
Myre, un ange
Nicolas. eveille,
11
il
lui
etait arrivee d(; la ville 1:^.
connaitre son
nom
de
la part
et
sou aspect. Lorsque
qu'il avait vu.
du Seigneur.
II
hu exposa au
prit saint
ils
du Seigneur samt
le
,
.
sujet de
patriarche fut
crurent que cette vision
Nicolas et Tinstitua eveque
de Myre.
—
Pfu de jours apres, regna Diocletien (Diyoqletyäuos), Tinipie. II aux idoles. II ordonna ä tous les gens de rendre le culte aux Aussitöt il arrcta beaueoup de fideles. II apprit la renommee de ce
ri'iulait le
idolcs.
fit
exposa aux eveques ce
11
*
.
.
.
culte
10
LE 10 TAHSCnASCH.
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tüln-y" "ip
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l'arreta
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