This content was uploaded by our users and we assume good faith they have the permission to share this book. If you own the copyright to this book and it is wrongfully on our website, we offer a simple DMCA procedure to remove your content from our site. Start by pressing the button below!
] ^^^(c / ?•)> N — «»(/ HltA^.P'V N, mii ^ Q — ID1K.C Q — •feA*^ Q — KAm N — Eft* M P, iwAA* >iA¥ Q — o»*lA.^ N, «n.iiA> P — N P — •nH*;! Q — HiwTjb :] a)Hu"?.e Q — oo'^Hih Q. — 8. «d(« n)iiA'rt OiDje-v fi-i — N P Q — iBMW(i o»-) N, (D},IIH<>»< P, hHHfl»- Q —
I
iNI,
'
>,rt<.
1
1
>
-iflj-.«^
:
I
:
:
:
fflHyi'V'l»^
'
>
1
1
1
1
jours;
1
1
et lorsque les jours des noces furent
tions qui
palais
du
restaient et roi,
pendant six jours.
(tentures) de pourpre et de
pendant
finis, le roi
rassemblees dans
etaient
lin
*
Et
lin,
(la
et
fflffl
>
>
et 1a splcndeur des rejouissances et ses richesses, *
'
i
i
1
>
•J'.S.fli»-
'
I
I
1
s
.
1
->
>
:
la
ceiit
fit
uu
etait)
aux na-
festin
dans
ville,
cour du palais
quatre-vingts
cour du
la
ornee avec des
cntouree (de tentures) de pourpre,
(soutenues par) des cordons de coton, (passes) par des anneaux d'or et d'ar-
gent sur des colonnes de pierre de parenso; gent; et
de
le
pave
2}inino, et
(etait)
et les lits (etaient) d'or et d'ar-
de pierre de couleur d'emeraude, et de pierre precieuse
de pierre de parinu; et ses tapis etaient tres beaux, chacun de
dix Couleurs; et dans leur contour etaient disposees des fleurs de rose. les noti
coupes aussi ;
(etaient) d'or et d'argent, et
et les qelqyan pesaient ä etait
n'etait pas selon la loi,
comme
meme
avait
l'avait
voulu
;
il
bon; il
et le roi faisait
Et
de pierre precieuse de entaraqi-
peu pres trente mille
abondant, son parfum
*
meme
talents.
'
Et
le
vin (etait)
en buvait. Mais ce festin
auparavant; mais ainsi que
ordonne ä ses economes
le roi lui-
qu'ils fissent sa
propre
1
•
iD-h-f•
i\{\
^'^'^/»',•^
•
n.'f"
hoo
AV^A•
.ei^^'Ä'?!*?
aHJPO A.'jc
::
•
:
/*'T
N
P,
-I^^S^h
=
Aul-n^:^
•
mhfim.-vi'.
!
*<-n'j
KHIItfo-
-^n
•
•
=
fi'^.P-f-
öJ-lhH
>•?/*•
"JT-/^
•
:
hA
:
:
-•
:
1
vi
••
in
13
^-Vn
'
16
A'^Ä"?'» « *Ö1J?.
iicr>ftr.tinrt.
s
•
fl»^.n.A"Ö»-
'JT./*'
:
— hc
N P
noA
••
flJ^CJ.je.'P
••
lü
-.
ö>AH-lh
yrlAh^n?*
•
'ro^nPl-
^iftm."*
"Ml.
:
•
'iÄ'PJ'.U-
•
!
JiA
'
nhoo
•
Q—
.
9"tlfi
:
Hho»
=
^M:
u"i'^.>
?iA
:
MnA.A
•
öai-
•
©An-AJf.
:
A'>7/*'
:
(o^tidfioh*?
:
*m^h-^t>^
•••
rBAI-/..
'IJt'PS'.U-
^ft*"»
:
fli"Ä/^-'j
•
4.c.t\
•
i-vr
-
fl»AnH'>
'
a»^'ji/»'
.
'i"'i'l-
••
• (oh\\/\h
A P, 0, A P,
w
auh--
••
•••
-
^n..e-i-
ll\ti'
••
aioa-
Aho«"
Ä'/''\h
•
v-^,V'i:ira«-
•
riA«^'/-
••
P rmK.
-/fmö]
4.
n'l!<.
'i:<{,.fi:iro»-]
:
'/(i.e.-?'-f«"-
••
'/'.f.chö"- - flj-ivru'
vd.yi-
••
:
•
423
:•
nn.A"'>
9'\W,I'
hC'V-
flJhV
•l-nA-
•
h.y.-n/\0'
3. Xl..«] (>.
••
irK-
•
Tintt
•
•
rii/,.nifv.
:
h/h-^.
•
hy^riß}\iyA'A'
ff-r'^Pd-l-
•
4'S.fi
1/^/.
••
h^mMhu-i:
•
rne.il.A"
:
•
ll?»'J'J-
ivv"»-
•
mvm.
hfmAx,?at' "/^•/.-l-
tthi-i'
:
•}/"/.'/•
h.oiutt'
^.A
?»rt/.
Iwjlö"-
•
h'r^vp. ••
.•
rljAVr/lrt.
rt)ö»-?i'i:
::
Arinz-n
•
A.P.*'I'
(in
1
AA«»üvn.y'}
••
:
SEPTEMBRE).
(6
A—
nW-ir«"»'(A Vi"). — 12. fhYiA»] A r"
> (sie).
f' (bis
arab. seniel).
All
nom du
Pt-re,
du
Fil.s et
du Saint-Espril, uu seul Dieu.
I.ECTURE nu
Eu 2^i
ce jour
prophetes;
mourut il
ful
NAHASK
grand prophete
le
septembre).
(6
Ce juste
Malaclilc.
Tun des douze petits prophetes.
du retour du peuple de
la captivite
de
la ville
II
fut le dernier
des
prophetisa ä Tepocjue
de BabijJonr ä Jerusalem.
II
enfants dlsrael au sujet de leurs transgressions envers le
reprimanda
los
Seigneur
envers sa
et
;50
d6testal)les qu'ils
En outre, il les reprimanda au sujet des offraient. EWx-memes nc donnaieut pas la dime loi.
sacrifices
de leurs
biens, ni les premices de leurs fruits, comnie leur avait ordonue le Seigneur.
Le Seigneur profera par
rhomme.
de nioi
par
jiorle
disiez
du :
le
II
leur dit
la :
dun de la dtnte
langue de ce prophete des admonitions aux
des premiees, et
riel; je ferai descendrc
Cela nous sußit ;
et
pour vovs
j'empecherai
manijer les fruits de votre terre'.
Il
le
les
moi-meme
tarel,
Mal.
111,
10-11.
la
et
j'ouvrirai pour voits la
beru'dietions, inile.
jusqu'd ce que la
prophetisa au sujet de
Baptiste devant notre Sauveur, et au sujet de la 1.
Vaumöne
Faites la misericorde ; donnez et
fils
eprouve:-
le
rcr de
mmiuc de
,lean-
Icif/nc cl
la
votis
veuue iVElie devant
(le
Clnist),
II
ii'fT.Ji"v.'/-
•
lflf[9"
Air?/.
1.
(ar.
—
MVRE DU
I,F.
'i2'.
•
•
mt!.t\i\2
• «»'iviiv
•
ö»A.
'/"4"P"7
P,
(>
r'tii:-!-;
A
P, O.
de nouveau, ä
des Juifs, et
la fin il
A
—
—
om. m.
7.
du monde.
A*.S-n
II
En
•
•
l'/'in^-h-f.ö'»-
ait pitie
2.
=
a^a'i'ä-
A
rthM.
—
ni.^fr]
A /nid. nu¥¥ >A P, 0, A «f.C^. (ar. 4j^-*~j).
S.
jirophetisa au sujet du brisement de l'orgueil
y
aurait sur terre des peuples purs et justes, et le
sacrifice, et
son ascetisme, le
de nou? par sa priere,
et
qu'il qu'il
les
agreerait.
eut acheve les
Seigneur, quil avait aime. et
que sa benediction
soit
Que avec
Amen.
ce jour aussi est la
de Faramd. Que
le
memoire de
Seigneur
diction soit avee nous!
ait pitie
saint Miha Moise, eveque de la ville
de nous par sa priere,
et
quo sa bene-
Amen.
[Salut ä toi, Moi.sr, candelabre
De
:
posi -vx^h-v P, 0,
A — min'. — 4.
ho] P. 0.
ömigra vers
il
—
mfl^fUnKao.^
Seigneur l'encens
jours de son prophetisme,
nous!
^^C).
(ar.
ib.
Lorsqu'il eut plu au Seigneur dans
Seigneur
fi-tt/.i'
I
r'C-il-
leur revela qu'il
qui oflViraient au
Ic
nh'H-
[628]
1"
fOC-t} A, 0, f".
3.
•
•
:•:
n-ri<:t]
= A). — ib.
Ah
"iM"
••
SYNAXAIRF,.
la ville
de Fdruniä!
Orne nion cou d'une gräce de
Comme dun Afin
collier et
ta
gräce
ei
d'un eclat de ton eclat,
d'une chaine,
quelenncmi de mon
salut, le Persccuteur, soit cpouvante.l
,
[rt»n»i'/;
Vi
v^-w >
10
•
TilMM
•
ri^ftfl)'!'
•
hSti-tx y.i.C.Ü'
h/wA^hl-
••
Ah'J.e.f:(Pft
••
mhtm
•
!•
i>-/
P mhjuc — >.flA]> A. —
la
dit ä
Mi
—
12.
h.frt-ft]
A
v;ii.>,
fit
n'avons pas
le
prix
:
"i-ntli'
n+A
:
rt'-n =
lui
—
le
porter les te
«
:
donne
flots
de
la
de
flots
ä Andre
:
«
la
fit
voir le plan
lu
es
de la terre.
A.
du vaisseau
j)
mer, car
:
:
hT
••
«'(l
:
h/^hv-oo.
•
!
—
AJir/n
:
/.
«6. .r:hi-.
iicn-Pfi.
I'. <»
—
—
ii.
>i
h.i»-.
Andre
spirituel.
mangcz du Andre
»
(ni) ils
le
fut
»
dit ä
Andre
:
J nrfre et ses disciples
Tun des anges d'apä Andre (el a ses
dit
pain, afin que vous puissiez sup-
ctonne.
II
lui dit
royaume des cieux!
manger de
ordonne de ne
a
Notre-Seigneur
Notre-Seigneur
la
»
:
«
Que
le
Seigneur
Les disciples
nourriture par suite de
d' Andre
la
peur
n'avaienl pas l'habilude de naviguer. Jesus dit
Dis ä tes disciples de descendre ä terre, car je vois qu'ils ont peur,
ou bien instruis-les par unc parolc doucc;,
que
P.
>..pft-n
flJ^.ll.A-
miracle, lorsque Notre-Seigneur lui apparut
ainsi.
fit
(et)
mer.
ne pouvaient pas parier,
des
\"\\\>i
Ahr.-'ih.ri] iia
wm.h
•
vn.o
•
Ä.^.q:(:il-
2. A,«^]
montez dans mon vaisseau.
pain de vie dans
le
hti»"
:
vaisseau. Notre-Seigneur ordonna ä
Levez-vous
••
w.'/»
•
/"/"?'/•
•
fiM-
du passage, car Notre-Seigneur nous
porter trois pains; (ränge) disciples)
li"7i>-
•
•
Fais-nous monter dans ton vaisseau, mais nous
«
Puisqu'il en est ainsi,
monterent dans
P
//'
pas porter d'or ni d'argent dans nos bourses. «
—
(sie).
>,"/ii.>i-/]
iir.fipn.
h«w>
•
m-tii-
i"hu\i
-IVu/A-
-
rtf:/.
••
•
•••
f^h'iy.'Cjfti
:
'W-r
^^
ihf"'i:
•
\\oo
•
UVV
!
ä"/)!.
•
«».Cil.A"
""'i^A'P.
••
rtD-iiU.
•
.cy.s-
=
•
— f^
.
\:
uii
P
(O'M'
:
hh-vchv-
h""
•
h*»«")!
"i-ttM-
A^f:^J^.h
425
.»•'«'i:
ht»'fi
öihc^j^KiJ-A
:••
ihj'"^:]
forme d'un pilote, et
Notrc-Seigaeur
/'"CM-
nA»-
•
:
//>.
P;
A
•
9r?:'h
"«ihClO»-
\^\-m..
:
iiA"öi-
jour aussi Aradre
[Ell ce
sous
:
'^/*7i.
ihr/.
(nhc^ih.ih
•
rt"'/«?-!-
:
SEPTEMBRE).
f\}x'iy:i:^t\
\\"»
'nK.-n<-
-1
.
-•
1
•
ik/»-j«;/"'/-
mhi'.M'
•
:
••
(6
hi^-c^ti
•
Ki^x.^tx
:
A^'Jfrt.yft
Tili]
1.
ih"H:
,iun>/.
:
in/.
•
h'-iii.^v
«»i'.ii.A"
AÄrh-S.
hön
•
^A'
mO/Ch
•••
•
AAi-
•
{\hTf\h
•
c:e
NAHASfi
30'^
[6291
le
disciple
du Seigneur; cn
afin qu'ils n'aiont
eflel, voici
({ue
le
pas peur, puis-
vaisseau s'eloigne
»
Le Seigneur Jesus s'en
alla et se mit ä
gouverner
le
vaisseau.
Quant
' i-
220 b.
LR LIVHE DU SYNAXAIRE.
426
(n^yi^ipav
(ro»»-
:
•vn
h-zii»
frh.
* *
A
155 a 78
a.
'»-/fr
•
hi'V
:
•nJi.t:
fl>->il:
:
•i-Ä^'Y ö>-h'|:
•
A'.
fl».f.ii.A"
'
tir)-.e
—
«Ä.
«m P, 0;
•
•
••
5.
A
••
-v'
P
ö»'IV.
•
•
hto
uKI''i"M:.
•
iiflÄ
oA-t*.
—
l'i-
T.-!-"-.
hi*''i-
•
h^/n
\vm
P
Av
h«»
•
P
ortz.
/.frh.
?»"?ll.K
!
in/.
hin.h-nth'i:
—
mh.cK.in]
-'i.
ii.
••
^d^.'>-i.-
••
12. a).ßft.H
—
•
nii-:''
•
P
mjt.w
©»ö»-»?',]
Ä.
encouragea sos disciples;
il
pria daas son coeur.
ä i?idrp,
il
Lorsqu'il
eut prie, (ses disciples) s'endormirent d'un pesant sommeil. Andre
se rejouit au sujet de dit
je u'ai
navigue quatorze
j'ai
pas vu (quelqu'un) de pareil ä
toi
contrc
toi.
»
pour gouverner.
mer
mer, (mais)
la
Notre-Seigneur
»
te connait et eile n'eleve pas ses
Andre s'ecria d'une forte voix
Seigneur Jesus-Christ, car je rifie.
sur
«
:
ple de Notre-Seigneur Jesus-Christ, la ilots
(fois)
et lui
Pour nous, tandis que nous naviguons sur la nous sommes tourmentes coutinuellement, mais parce que tu es le disci-
Jesus repondit et lui dit Hier,
Puis Andre revint vers Notre-Seigneur
Vraiment tu es un maitrc;
a-
:
cela.
me
et dit
suis entretenu avec
:
«
Je te benis, ö
un homme
qui te
mon glo-
»
Le Seigneur
Jesus repondit ä Andre et lui dit
du Seigneur, pourquoi
les Juifs ne croient
gneur, et disent qu'il est un
nombreux
homme,
miracles. » Andre lui dit
qu'il etait le
Seigneur, et
il
a
fait
ouvert les yeux des aveugles; les sourds;
il
:
«
a iait
a ressuscite les morLs;
il
«
Expose-moi,
pas que Jesus est
le
(ö)
disciple
Fils
du Sei-
car nous avons appris qu'il a
Oui,
de nombreux
il
:
mon (et)
fröre, {Jesus)
fait
d(!
nous a revele
d'innombrables miracles les boiteux;
il
a fait
a puriüe les leproux;
il
a
marcher
5
A?i
•
•
oin. a>.
ft;
/.
:
.
—
•h.wr-i-.
•
loKnrh
hi*-l-
•
n.ii
:
hh"«
••
fl»A^
:
v-^]
3.
10. h.v>,i^>]
fflAWi'/Ji'i"/]
>.
et
••
A^ö>-
=
—
"ivr.
'
:
(\m:
••
ri/.!:
•
h-i'f
:
vjy.vi-
«»nrii-i: ••
hn-
Tö»-
•
anitt",
•
•
äaf
••
^^«n/.'fti
•
••
A >iV>. — Vif] P A — — 14-15. A?°Ä-] P. A —
instruisit
'>'iv/">»'.n
••
"l-
ti ",
:
'irv.
{\i\Sii-t\ hSh9° anh hha« ix-iti"!
!
'Jhi''V.-h
=
kh-
=
Ah'KfrCjPft
•
a^-M'
••
iiAn- " «i^n
:
sw.Mtx
hsti-h
•
?i'KP.(:.ert
nil-;'»
-vpöo]
—
n*7ir:
•
hji'.U-.fr
«'('.n.A-
=
flj?n/.
:
1-2.
A
i»"'>'l"
:
vi.>jp
hst\t\
-•
hnw.ix
n?i'}'l'
••
to'tii'
:
r»j?.Ä.A.
'.
h"'n
••
t\hr]\\,Ki
«i^ö»-/»'h «IH,?»
f{hi:y,hjh
<»i'.n.rt"
:
hin
•
jrTivy,
:
[630]
:
il
a
entendre
change
Tteau
lu
Ärl.Mn
hllU
••
hinjh
0117'/.«'."
ILA-
eh'P'jy'i-
d.W'h
•
•
ao-
AA..'''V
:
1.
-i-nftl-
P
Vi«:».]
».e-'A
P
^^.Irii-d]
— 865J.
Y"!°«»>-]
!
.
A
o/«.
o/n.
il
ai''VA"7ft
—
II.
rt
rt»'ri
••
P
A
m.
rt»rV/.„A
•
l\'l'\h'iV*
hUV'l-
:
13. ttix-t^.l
en vin;
•
Ilrt"?^.
A
*
!
••
—
.
r»"?.«"
10.
••
^i««»
—
no;^^/"
n.!-
n«;»«»''
ri.^]
=
Ali.
«>/.?.
:
:
A
mn]
A m. ^ P
rt"?,?'!"
lOihfm
mii.e;
—
.S-9.
n();J!^"
(cf.
et
a
« cij^mi,
••
xnAii.
••
^
•
rt
••
M»"«^
orW^i.V'
:
:
M
—
—
I*
«..<;•'/]
•?.»?
toint^
fy-nlh
:
u-
•
rt-nh
?.«»J|'>ll.
•
hJ.«*.-
^xImm
«».f.iL
•
:
«r^n/.
•
-nH-l
•
flj^H-
s
(«.e-iLA"
•
v^A"
=
J'''ü>a
•
—
(1
A,ih;
Ah
••
Wao-
••
i/'i"7.5n/'/.
••
ihd-m-
l-V'l'A.
4.
—
Ji-wi-^i
=
'/TiA.V
'i\''\\\.h'(i(h.C
••
»•>.
m
••
\\*?'ij\'
•
^h"},?
Vnni-
••
y.d.?:r
•
427
'[«»ftA'/.
••
m-hl-
=
'Wi
8. «oy-firt.l']
,
••
ö»n.iii:
(ohihi:
iu\"i>uv\
:•
hj/-
••
"iftWi.
•
nH,h*?i:9±o-
•
n.'i••
hflh
•
"Ifii:
?i"/ii.hnrh.(:
•
•
Vi.<.n.A
ir'.e.-(:
••
hi:h9
:
K\^n'i
SEPTEMBRE).
(6
mn-?i
•
'rtH\.ü-
•
h.u\:
hiihy
s
«»n
•
•
1/7(1/.
••
>.mAP.t'
•
'rift{\'
nj?.n
•
•fih
inn/.
•
(n-M'
••
riT/ÄV-
•
h'iü:v.yt\
••
ath'i»
A
WA-'b
•
hy{\'ti
•
i:jprt
10
NAHASft
30«
[631]
« UHX
ib.
V-I-.
—
il>'"A «V>.
Dillmann, Lex. aeth.,
m
col.
lin'"/.i'^-.
a pris cinq pains et
deux poissons,
il
ordonne ä beaucoup de
gens de se coucher sur l'herbe, en sorle que l'herbe meme etait pour eux (comme) du pain, et qu'on a mis de cöte de nomljreuses corbeilles de ce qui restait; avec (tout) cela (les Juifs) n'ont pas cru. dit
dit
Est-ce en public qu'il a
«
:
«
:
II
cela,
fait
»
ou bien en
Le Seigneur Jesus
lui
Andre
lui
cacliette?
me sembles me tenter. » Le Seigneur Jesus lui dit Raconte-raoi, mon frere, car mon esprit se rejouit. » Andre Mais tu
que
fils,
le
Seigneur accomplisse pour
ecoute les miracles qu'a «
»
a fait certains (miracles) en public et certains (autres) en cachette.
l'aits
toi tonte oeuvre
:
«
Loin (de moi)!
lui dit
:
«
mon
bonne. Maintenant donc
Notre-Seigneur.
Tandis que nous marcliions avec
lui,
(nous) ses douze apötres, et qu'avec
y avait beaucoup d'horames parmi les princes des pretres et parmi peuple, nous parvinmes au temple. Notre-Seigneur vit deux etres, Tun ä droite du temple, l'autre a la gauche du temple. Notre-Seigneur dit nous
il
«
Voyez-vous que
«
les cieux,
un
(image qu')ont
etre, et lui dit
au
par
«
est
«
reprimande
ciel
c'est l'image des
:
«
A
Cherubins
faite les
liommes sur
toi je te dis,
le travail
et
le
la :
des Seraphins, qui sont dans la tcrre? »
II
se tourna vers
type de Timage (qui represente ce qui)
de Partisan, detache-toi, descends de ton endroit,
les princes des pretres et expo3C-(leur) si je suis le
Seigneur, ou
221
a
M:
/,2S
KU.'/
<»i;(i
:
ö^-i\
•
h{\=\"H{\
hnrJ».(:
Vi/.h<^/"/. „el-
Ji!»"«
üj,e.ii.A
•
.s.
« si
dit
P
Afi
je suis
'.
— —
«»l-'ßArn-
••
h'ttyi-
•
••
10. ftrt,*-/]
P
«li-V
•
—
h(.v/»ffD||-
A.,''"/
.
—
—
rtnn>i]
•
•
A
Ahsy".
ih. (»viuA-«»-] ().
12. «DiD-vi;]
—
hft«"
••
/i.Prt-ft
Mi-niivr
'>
'/V
••
h-zii.
•
•
riih,i',ii-.e.-
hrvT/A-
•
6.
P, o,
•
Vi
.e".
—
0— a-). — 10-11.
(P,
m
!
A^•n
•
hi:i\
>,.,e.-»i.mi-]
A
»»v
^
im.«'-
«»H/.rtfh
iii)
:
hTJ:'!-
•
'Vfl
••
iirt
:
'nii-'V
•
Ji.<{
•
iVrtPetO; Ao/«.
'.
—
->
15. .p.il.Ari]P,eil,.
comme un homme
et
insenses, ä qui votre propre aveuglement ne sufTit pas,
et
gneur a
h1\\.h
•
(puisque) voiis voulez aveugler les autres,
«
«»a.p.
A^'fif.'/'/'
•
«
est
A'PiJ.f.-
•
Aussitot, l'etre bondit, parla
»
t'.u'OC
h-pj-.'!-
.•
AJP
wytil'^
•
'.'«)•
•
JiiJ'.''l'
!
/.hn
Artnh 3.
(ift«-
••
(nU"'/.(n
t'.Ä.ö»-«>}"
•
H
hff.üü:
'•
Ah'lU.'/'r
A?»A
•
t^hnf.'i
••
nh'J/'ll
••
i'.icin'/'
Art.+.
11. A..'n]PrtA.
«»lll.
il/.li/-
•
|6321
UIWIC:
" fl»'|v'»Ji'.ni
»Ar/ih"
un homme.
•
n^,f.'i;
\\tm
•
•
•
" «».iMLA-V ••
A-tth
•
hr.Ti/.jPV'i-
mi/,e,r/i>ftA"
•
rthiisv.
>i-(Pi-v.
Juifs,
«
:
.
P H>
i/,e.iJ-n
^ncv"/'
•
j?.iJ.Ah
fl)ftriö.
P
in-h\i
hshr'i-
:
hwn
Hfl«-»-]
:
t'.-'iv«:
•
ri'
•
htitm
^««Cliö»-]
HM-
•
WH'
•
(nat'hu
<>A.JJ-
••
iK/"
fl»'|ilA<«.3n«»-
:
=
•
afh'V.
••
«»,(Mi«»-'}
:
VUK du SYNAXAIHK.
r»WlUl'
W.hü-
•
»Vi.
«in'/.A
::
•
Ah"?n.h'fKfi.(:
•
/-n;:hö»-
2.
•
{\,h.i"
-1-3FHJÄ}"
C'/r*
WP'/.n-
•
'I'-Jä-I-
1,1
un homme? C'est
lui
comment
diles-vous que
le
l'homme des Torigine
qui a fagouiie
Sei-
et lui
souffle; c'est lui qui s'est entretenu avec Ahruliam et
donne son propre
«
qui a ramene Jacob ä son pays; c'est lui qui donne la benediction ä ceux
«
qui l'invoquent, et prepare
«
En
II
et avez
«
truites et deviendront des eglises au
verite, je
Ayant « «
vous
change sa
dit cela et
supplice pour ceux qui ne
le
pour ce
(motif), voici
nom
que
les Juifs
l'etre
des choses semblabics, Tetre sc
vous a parle
nous dirent
«
Oü
«
qu Abraham
a-t-il
:
«
Ce
et
est mort.
»
et
vous a repris.
Ic Fils
En
eilet,
nous leur dimes »
lui-meme
Puisqu'ils ne croicnt pas que j'ai parle ä Abraham, va
«
Ainsi te dit celui qui a fayonne Ihoninie depuis
« (sonj
ami
:
la
«
»
Croyez;
depuis
l'etre et lui dit
(et)
dis
et
(qui) parle.
les jours,
Le Seigneur Jesus se tourna vers
«
:
Les princes des pretres
nombreux sont
«
du Seigneur.
tut.
sont des incantations; c'est
renconträ Abraham?
Seigneur
le
que vos synagogues seront de-
de l'Unique,
Nous repondimes aux princes des pretres
voici
obeissent pas.
puisque vous-memes vous avez renie
(le) dis,
loi,
lui
ä Abraham
:
:
creation et celui qui t'a fait
Leve-toi; sors Loi-meme ainsi qu' /saac et que
Jf/co/',
lesenfants;
15
in;«
/"?.
(«Ih
•l'J/"h'l•n
h'i'l'
("öh-
')/»K
(ii-Af-
f">.'l'-n/Aro»-
:
•
Kh')'"!'
•
n:
'/(/
A.
P,
iii]
—
)i(-.n-r-n.
vcnez
'in-Ä
A —
dans
/..eM»"'>
••
tl.
ll.Vlin] P,
//'
>,"ir'c:r']
(O >,«a
>,>,y"
=
rnnriri--
h>
=
•
»ca»).
—
B
les Iriiis Prri's
mcnt de
leur
la terra
Fils
la
cl
les
du
Puls
"
dans ton
racontes, ö (^.lii-isl
»
:
«
«expose (beauonip de du.
—
mh,
••
h.v<\-n I*.
A y-iv^-v
r.
dit (ä
:
dirent »
.l'ai
«
:'
ete
•
A
m
que
voiis (le)
appela, lui avait
^Vrs Icqucl
envoyevers
mo-
volrc lieu) jusqu'au eiitrerenl
ils
v
:
h««»
••
dWliralKiiii, et
lui
dans
i.\.
—
il
(y)
retourna
l'ails
'i.
dit
di'
et
aux Peres el
AUez dans
o
lui dit
iie
crurent pas.
Notre-Seigneur, que les
:
:
Helourue
«
son etat redevinl coinme
des pretres
pcux pas
piiis saisir
faits), F.
leur exposerent que (Jesus) etait
se tourna aussi vers l'etre
lu nc
.le
ils
Seigneur Jesus
qu'a
Cependant au sage peu i'ATii.
vous, retouriiez
les princes
cela,
frerc;
repcindit
le
II
(iiiiraeles),
mou
repoudit et leur
» II
rcprirent et
Aussitöt,
»
Ayaut vu
d'autri's
lui-
-.
1* rt.'l-.
rt..-»-"/]
posi
vmmvI
Lorsiprils eureut entendu cela,
»
les
Ils
Seii;neur.
lieu.
»ii;v
:
'i^i'r
?»ftli
il>.
•
trois Peres s'en allercnt avee l'etre vcrs les princes des
.luifs.
votre lieu rt diirmez.
coup
Ki.
AeCanaaii. au timilieau
hiaiit a
(
resuiTediou.
«
ravant.
—
.
Oh.
h''in':
••
du tomhcau, cnrame (Xotre-Seigueur)
cnvoye?
eti'"
du peuplr.
tombeau. Les
pnUres
hhA
•
—S
II.
>i>,y"
•
>.hVf
••
Anifl.-n
••
M»"
oi'h'iYiti»-
•
^/"J/^.rt-
cw l'
Aussitöt les douzc Peres sortireut du iumlie.iu et
d'entre nous as-tu
«
v«:}"
:
•
=
xVyant entendu cette parolo, Tetre se leva, alors que nous
s'eii all.i
«
i<
/.e.'^s''"i-
at'tii
••
«ui
i/<1»'il
A.+>
•
'Trll
"ncMtx
A.eA-A
<(»•/(»•).
P
i4-ir». »."/yc/t]
:
•
«
••
i/'M-
•
?i'/'H.vm-Vhh
••
in.i'.ii.rt".
se tenant debout, au deliors
(lit.
le
v-j/.
M-
:
r^flfl»-
rt'/'W-
••
«».«i«
••
'/»V-
n'priinaiidez les princes des pretres, afui qu'ils saclu'nt
et
Yimestous,
»
••
mAn
f\i\*P'/.-l-
:
?ilii.h>
•
hnw.Wi
•
A?i'/»
Mcftpfiio
tihttoi-
•
nih:!«
=
miff-A"
••
(O '>w^
11
i'i.
n in'avi'z coiinii. »
i'u
n;n/.
•
«»AÄ-n.e.rt
<»llA'i:>"rt'-]
1.
II.
h.Vf\'fi
•
•••
W
•
•
AA
:
amla
:
'VH
•
Wl
•
nh^/"
•
l-^i.S"!!-
i;"AA.y
••
W/i
••
«'.f.ltA'P
l'^"/^.
7.».
••
onJA'i.J'''"-
•
9".p.V.
"».•'••nc
••
«»l-n.A-ö«'-
thttiO'
mhai'/"h
•
Vi/.
?hlnti"
•
h1\\.h
IIA*'.}',
hnrc-^'
•
rt-A"
I-
•
(UM-
:
.CILA"«»-
ö»n
?irth
•
mio-
•
»"fi'tti:
•
'i29
.
•
ay-M'
:
nh'hh
:
hTtn-til-
:
'/v/of riv
•
'i"/.'"7
••
VA'.^\\
w,Wj\'
•
tnhiit-/"h'\-
»««.S"»!. "
•
ut'tx9"]i
'ilnA
»Kfl»-"/'i-
•
SKI'lIvMlil'.K
c,
«».e(i*n
••
•d'M
•
iVne^dö»-
•
f"h'M«"rt
•
aiff.l\,h^
•
Mn
•
rt»-fl'l;'IV
«
•
A^nc'/i»"
••
^H.^^
•ri
NAIlASh;
.'.0'
saisir.
»
tont expose cache
paroles sulliscnf
;
(ceiix
II
y
an[i,i-
beau-
a
que) je
t'ai
.Xolre-Seigiieur Jrsiis(;t
loul cxpose de
fol.
on
lui
mais ä rinscnse,
son esprit ne croira pas, jusqu'a ce quil
si
iiicure. » 2ii
hhi'Mxji-
«».cii-A-«"-
i/'öi»-
:
iiAi
r";i„i'h«»r:'.»-
••
y"vih^.v
C
^.11
ä
tfo'>n/.
••
n-
•
riMi*'7'VA.'i-
Wi'Pcy^'
2.
«iu-,
•
post
5. >,i'"ll
oH'.h.^
•
:
— 14.
nwA-
:
A
>,n
Ah-ziLÄ-nji-t: i/.e.il.A-h'"-
A onnOH.
(>(l]
I
A>."/ii.Mi
A
Ensuite, lorsque
le
ffiieur
0^ lu/d.
o.
iet
.\ii(lir
nil-iV'j
A
fflA.e.
'
I
t*
•
••
a
>
hn»»
•
A«»ni'/- is/V).
<>
ti»-
.e."l
••
fti»"Oj"ö«»-
/•<{./",/.
A—
4'.p."'y.
•
^/i>A>iy)->
:
Ar/nAhh-i•
th^fi
•
^'.n.!»"!:
-i'+m-fl»-
•
jf.Hi
•
UH'JuWU'o«-
!
•
hin
IS-l't. .(^'VAlKn»-]
P
vaisseau tut pres de parvenir au rivage, Notre-Sei-
aussi,
Ic
il
coucha
se
il
et
il
sc lourlia et s'ciidoiiiiil. Notre-Seigneur
vnvaiit,
deposerent en deliors de
dormait;
coiiihic sil
lit
c)rdonna aux- auges d'eniportor Aiidrr ils las
hat
•
•
«i^jf;-!-
•
hm
•
a>i";h,>.v.
cessa de parliT a Ainlrr;
s'rudoruul.
y.-n/\
•
^ä. aooa^^i-Ii-]
(«^ö*-n]
:
•
(nht\H:h\"i
Ah'-m.h'i
•
:
h'iff:i:yi\
:
—
c-hO.
.Rft.h+
1
?»'>«
=
"»rt"!/*
•
^saj
(niifi^h'i
••
•
n
{\üt'{\\-
?i''/ii.?.v
^."VL-Z-n}"
i.u}KMH>i:yi-
•
n4'Ä"y.iJ-
••
cä.vii-
••
•
rtn?i
«»A?i]n1-
«»av/a-«'»-
ii.yji""-
.(«»««"Ahh'l-
:
h//»
',"i;">
ri»V^A"«»-
•
|ß3'.l
Artrt.v
'i-n/.
/..?ii'-
fi7.ii.
atyöJf-n
mtfWUh
:
'MiVJ:
:
fTi-]'
:
••
SYNAXAIKK.
1)11
'"Um
htif^»
:
ft-n./r/;!»-
•
.e-ftWi*
•
/{h''l\t.M
:
•
«»t'.n.Aj'»
::
A^-nt.yi'"
•>*
I.IMIK
LK.
/,;!0
et
ses disciples;
la ville, lä
oü
ils
s'en
ils
allerent et
Puis, lorsque
voulai(Mit.
Amin'' se Tut reveille, eut ouvert ses yeux, eut regarde la porte de la ville et
eut reconnu disciples et
(ju'il il
se trouvait sur terre.
leur dit
:
Qu'a
fait
iXous ue l'avons pas reconnu, car
d'un
homme,
et
il
il
fut fort
epouvante
reveilla
il
;
euvers nous iXotre-Seigneur sur il
la
ses
mer?
transrorme sou aspect comrae (celuij
a
nous est apparu, alors qu
il
nous
tentait.
"
Ils lui
dirent
:
Pour nous, au moment oü nous dormions, nous avons vu Notre-Seigueur, eu traiu de sieger sur le tröne de sa gloire; tous les anges l'entouraieut Nous «
.
avons \u Abraham, haa<\ Jacob et tous les saints; David psalmodiail avec cithare et avec
le
psalterion.
Xous vous avous
la
vus, (vous) les douze apötres,
eu traiu de vous teuir dcbout dcvaut Notre-Seigueur; douze anges etaieut
devantlui; beaucoup d'autres auges etaieut derricre vous. Nous avons entendu le tt
Seigueur, en train de dire aux anges vousdiront.
»
Ayant entendu
(cela),
:
«
Ecoute/
les apötres
Andre se rejouit
l'ort,
en tout ce qu'ils
car
il
conveuait k
:
i>-
at-M'
ft«w
ru,f.n.A"
oh:
Il>
+•
M
:
WA-
rh'Pcy
[rtAi»"
rtlf^O^(1
!
VUA-
••
^?.«»/.
H'/VlCTntl^y-
2.
A
«^n,.!!
lotrit'
f i/A-
AÄJÄcyft
•
•
A.'|-
„
:
h.^ll-
—
i'"ftA.v
ttat-tll-
•
i/JJ^.e
P, 0,
•
i»"ftA.h
••
=
ihfnn:
•
fl»nii'+
•
rt'V.P.'^
pas eloiguf' de tes serviteurs
"ihr
•lA'V.A"
••
•
•
M.A-
•
w%'}
•
<»^i
tKh"i?:Cyi\
tthTflti
^V
•••
•
•
A.+
•
,h
rrtA.h
-ny.A"
•
•
'illl
••
•
"]
:•:
::=
••
W-A"
:
.f-ILA" :•:]
(7<^rf.
Wi'/nC
?."y.iJir
••
rtnWr'l-
:
hsc\'t\
•
•.•
»hii.tt-'
:•:
F y.^c.
12. «hönc]
iicn*n.
—
vi.
(Dmf+]
;
:
«
O mon
du
el
lui dit
pilote; j'ai
:
«
yeux au
ses
ciel et
il
pardoiine-inoi, niou Seigiieur, de t'avoir parle
De nouveau, Notre-Seigneur
rut ä Aiulrr
pleva
il
Seigiieur Jesus, je sais que tu n'es
vaisseau, alors que tu nous scinhlais
truisais. »
Inrinr
•
ce prodige. Alors,
s'ecria k haute voix, en disaiit
le
A"'|.'
Hhv
rtH^
{'"ftA.h « öiH'J/-
•
^J'"OA"
:
A
/6. [just ^fft-fl
•
'
^?i"/n.?.v
•
.
ses disciples d'avoir vu
sur
A''/A^/»
••
:
mhA-y^i'^fi
•
V'(/A-
•
',:\]
y.-tt/\
llfl>-rt'l'
h''i\\,ha,h.i\
••
nl'^n.-!' •
rtAl»"V
••
•
\\i'.M'i\
•
^.|'i:/:i;
••
m»
•
iv/nftAv
!
UhMllhy.'n'h
=
•
»in-c
••
"jn,^.
=
>i'>H
!
SKI'ThlMBRR^.
fr.
hSC\'t\
••
Ah n*li/. iHihUHl
«"»l'J
:
-f'VicVi-h
!
fl»-?i'|-
••
n*A
•
'h'nMh'i
•
aiiUy.VW :
:
»h'/nc
••
hM'ChV-
.-
a>oi:.h
fi'iy-
•
JiJ^.n
-i«»
•'id
XAIIASI':
.iO'
[635T
C'est moi qui
gouverne pour
un
Ji-siis-Christ t'ai
quo moi-meme
liomiiie,
— gloire
apparu dans
toi la nier, afiu
le
ä Lui!
j'ins-
— appa-
vaisseau sous
ia
que tu u'cusses pas peur
moi-meme, jeme trouverai avec toi dans tout Heu oü tu iras; que ma paix soit avec toi! » Ayant dit cela, il (re)monta au ciel, daus une grande gloire. Andre, lui, poursuivit soncliemin. Quelabeet
que tu
iic
fusses pas epouvante;
uediction de cet Apötre illustre soit avec nuus pour Ics siecles des sie^les!
Amen.] [Salut
;i
Andre, k qui
De setrouvcr avec
le
lui,
Seigneur a accordr en etant monte dans
le
vaisseau!
Lorsqu'il l'eul reconnu, el eul reniarque son aspect, «
Tonte raa
laute, qui est d'avoir parle avec toi avec orgueil,
Pardonne-la-moi
et remets-(la),
"
lui dif-il.l
432
V
»
A
S2r,
b
!
y.'tt'i
•
IIH/:
•
H
A '/
:
IM"
•
ihVr.y
M'"!
•
",M"
— A
:
.:
A
(•
ib.
post
-
h'"AV]
:
V-VVC.e'V]
A
P.
—
>^JlLj). ()»/. rn
la
Que
sa clcnieure et
avec
lui
'/(/(/.
K).
(P oni
Est terminec
=
VA'/.
:
A
(t,
j"..?.-.''-'!
ll>Jlrt.
:.",Ain'
!•
.
IK-ll
—
7.
ll/"
=
(A
>,.P.l^Ä•
=
>."/ll.
r'nt\
A
~
'O. <),
MI
:
O
l/'-
A-(:
!
.
I*.
A
<>.
hini.
A-ll/hV et sie
=
:
i'^'n
Oi't\
A-nri-
AhllLM
M-'i-urn
>>.f
••
•
•
>i'vii.>iii«h.(:
=
>ii'"X.j]
«B.tti-A.ini]
^hW.
^?,i;"(?l"
•
•
mhi
:
.e.,hr:
•
WÄrn«»-
v-iuvu»-
•
mlU.
—
>l..
-S.
A
•
:
4"jri
»»
•
9"i\{i>ih
«»r«V.
i\r'r'/.i-
n-
•
'V'i-fl
Ju/"
••
hf.Ti-fri "
•
«»-ft-J-
yticr-
^IC
-
nii-,li
=
a-va«» =
A
=
O/Il.
!
M".
/6. «»({.t«»]
inl'ra.
—
12.
m
A).
ur.
:
r'
=
<>,
<:.l'.).]
ticn-Ffi P.
lecture .sa
:
n^hV'P^-
post
v
=
•
Wi'U
«»<<.'/•«»
'/'rtA.!»-
^.^'rt-ft
:
n>{\"'Hi:>-^-
=
•
"
«p-
'^"ftA
••
»-i^iM
/Sl»''}^;^
••
ni^n^«»-
<m:;v
:
{l'"IÖ'l-
'
iiiHT.y
••
y.Ml
a?»-;ii.?i^
P
rt/w.;
:
:
h«"
•
rin'VV'/;y'>
•
<»
S»"'/«!-!!
Afvh'jfi
•
••
h-llUtl
'
rt'^/»Ah
•
fl'J'iA'/.'
•
ilft«-
=
rttf-A-ö»-
:
^-.S-fi
toi.-ir jar.
«/i'PCy
:
«".f.'i^uH'ii
••
hy.u-y:
A'^AW
Hi-
4"}n
:
l'v/r> 7l
•
riirtrih
••
lUM-fu"-
A^/i.
tlV
:
H>.H>]
ru/nj"//"!:
'rnn^o-
'".i'.Ji'r.AV
••
Äü»-A"rt " fl'^HI«
••
•
;•/.««"
1
«»'/Ml/.'!:
•
,f.-iA^Vj
:
finh^-
•
•yi
I-
<»A'I'
A+^fft
•
<:.?.•>.
"/im-
SVNAXAir.K.
1)1'
IIVKI".
M'.
du mois de Xidiasr. Gloiio au Soigunur Prrc! soii-ut sur
misericorde
dans son royaume avec
nous, et qu'il nous doune pari
les justes et ses
martyrs, lors de sa seconde
vcuue! Amen. Amen.
Auuomdu
Pere, du Füsel du Saint-Ksprit, unseul Dieu.
LKCTLiuK
Eu
ce jour est
k:
saiul
de Saint Jean rEvancjHisIc. qu'il servait
TApötro .Imn
Paul. {Jean)
lui
predicatinn;
il
beaucüup de
Uli
pvoiEMKN
Apötrc 11
(7
etait rempli
s'en
iiom
septembre Co
Eah/clnis, marlvr.
de
la
et (lui) obeissait,
ordouna de preclia le
l""'
aller'
de
Juifs et de Grecs, les
avec
il
.
.saiiil
cHail le disciplc
grüce de TEsprit-Sainl. Tandis dösira s'en aller avec rApötrc lui.
11
Notre-Seigneur lit
I
s'en alla avec lui ä la
Jesus-<:linst
;
il
convertit
entrer dans la connaissance de Notre-
h
!
•
rt)^'r^/»*ö»-
•
ini:t\-f{\ •l-
A
P. O.
post
P OW.
wMA'v:
-hV-nU"^.
O
P.
,1./.
—
A.
Seigneur
•
(?^M.
mriÄVh
•
—
II.
A.
ai]
vn.
Thfi
h^m.h'nihÄ:
A —
- 4.
—
'•
P.
—
et
il
•
(>.
14.
H?i"/ll.?i>
'^n
••
P.
\M:Mi\
:.
mh'rii
<).
A m^. — 12. — A
pendant de longs jours, de
dont
il
le
ürcnt
lui
des
ainie.
parvenu a uuc belle
Oue
soit avec
I
le
Seigneur
il
Eiitt/clius,
VEraN(/rli.
Lorsque
Ic
.Icftii,
le
avW/I.]
detruisil C.hrisl.
Sei-
uourriture
(spirituel),
emigra vers
allaft
devant
f|u'il l'ut
le
de nous par sa priere,
mais
Puis
il
lui et le
devenu ägc
et
Seigneur, qu'il avait et
que sa benedietion
qui s'etait revetu de la puretc des anges l'eut jete (au supplice) ä
d(! lui,
Icur pasteur.
ä
qui a ete appele le conipagnon
juge impie
—
feu; (le feu) ne le toucha pas
des biebis
enmbat
vieillessc,
ait pitie
lui la
n'approcherent pas du tout
comme
S/t^.
Uu ange du
des infidelcs.
le
r
les cliaines et les tla-
:
nous! Amen.
Salut ä
De
tiaresses,
ils
Lorsqu'il eut acheve son
ffirtifiail.
fut
jeta aux lions:
II
de Notre-Seigiienr
de Coitstnntinople; un ange du Seigneur
alla ä la ville
il
la part
••
n»-!!*]
3.
— 13.
in»>.
h
A>iVnft>.
prison et (apportait) avec
la
se nourrissait. Ensuite, ou le jeta daus
du tout; on ils
dans
lui
f ma-
••
t'-ft
w
:
—
chrisliai)isnic.
supporta (avee patiencc) ime graiide perseuution
gneur venait vers
A
•
add.
P.
at-fi
••
om.
^.Art
h.r(ht\.
(C:
{>n
du baptemc du
=
••
nMi/.h-i--
iii-ny"p]
.
ha»']
^^^.
•
A add. A
'f\P:^'
•
mVniy
•
i*'V,t'.'l'
HäA"-!.-
mhAMtS.*^ P, O,
bätit des cglises
hTif-z-nv
••
•
(:/"?iV
•
•ni:t\r(t
(!>.-/•/
433
.
«'^'w/iA-o"-
'"/i'nirof
•
ante
2.
Christ et les liaptisa
temples des idoles
•
••
jf.rrh/.v
— 5-6.
ooAli^.
ib. flu'»,^!^]
le
^'cUations,
((u
ffiAiH'
•
WM-i-w
•
•
SKI'TKMBRE
i7
lFM.7l-/;yV'|-
^o•^^
:
ftyW/ini] P. o.
1.
II
Uao
i/J.e.-A-'f-
:
"m.hn.h.c
les
•
9"tit^i)-
^,^tm
Ttr'^-i'
•
AKny-l-
(DWiVJlo»-
VHH-
7.
l'AGÜEMEN
1"
(i,;:
cause de
la
i'oi,
Ml
•
II"
im
m:
:
\\im
^.(:^,c,
:
/*•;'
•
?i'i-i''
ü.
A
A V-r. —
5.
ih.
VArti*] P, 0.
ih.
Ymo]
!
A — -I-Vh] A -IV-AfO* (A P.
»»•<..
—
7.
(i.
P.
—
P).
A
in: P. 0,
A
*<"••
3.
«M./.
•
mV •
.
>i'/"5il>).
•
\^\rao-
•
P,
jiV
(A
A
12.
—
y.y\/.<-
A
-^ILV] 1
i.
v^a-
iH^v-
:
— —4
nöd.
^^.fi).
P,
/ä.
Car Tange, son gardien,
le
gouverna, (enleprotegeant) detout.l
ce jour est saint HrsDi/.
desgens dela
i'amille,
villc dWntiocIic,
Ifor et sa
devenus martyrs
le
le
— —
«"»>.
feu (ne pulpas) le toucher,
martyr, fn'TC de saint Hnr. Cc Saint
de sa seieuee et de sa
que son frere Ahha et furent
P-
A.
toucher, et
de sa
n
Mois
-nvif).
A—
j
*«.ft.
(II'.
(A "W. (>.
-.
>,y°n-n>i]
le
partie)
post
•
A'i>;
••
l'.M-av-
Les lions ne purent pas
En
h
•
hü+a^
•
(inlVa .c.v/.)
«»<{/.
=
^nh'J.f.ce
(ofin
••
«rfrf.
ow?.
rt"?^/-
•
niÄri'ic
•
in-i-
irr: «
»;?/.
:
uuiwn
••
.p..p..p;'!-
—
Wl
••
••
«»»iv-
.•
ii'V-n Ti-'i-
ante
<>
A+sn
••
•
add. hO
P,
yji.i-']
<>.
?i'V-i)-
hrtVi'j.e.cy
wh'iWh
•
fb3«l
•
a>h-üK^9*
••
—
M)
/.•'."V
ib. .inte
•
Ä'/'^nr«"»-
=
rftA.i>-
:
*4.ft
•
rti.t',-i-n/.h
-.
(/"j/.
:
H'M:
••
ffl'/niMi}»'
—
/!.<:]
-w
ft,y./..
(oh,ir'h
(l>i'/l-
+ft.n.
de Sane, p. [l/öj.
-
•
fi"ifi'i-
nr^.i'.
'i'>/"h
••
mho»-
••
iidd.
rtJi
:
:
r':ni'o»-
:
A
1. Vi-llfi^-]
F, 0.
4"f.ft
•
tnh""-
•
mhrtiUS'i
•
Viv
•
ä«».ua«h::^
:
jt"}
^Al-
•
riM-/:
SYNAXAIHK.
LIVRI'. Dl'
I.K
des gens illustres. foi
orthodoxe,
mere DMnrä furent 29 du mois de
A
il l'ut
cause de
la
(faisait
noblesse
ordonne pretre. Lors-
alles a la ville i\\{1exandric
Sam'', ee saint sc leva et
sCn
alla
ä la ville d\\lri
donna tous ses bieus aux pauvres
que fut et
trois
pains et un bAton de
parvenu ä
la ville A' Ahwandric,
de sa mere; on
vus,
il
le
et
aux misercux,
palmier, il
et
sur lequel
il
ne prit avec
lui
que
s'appuyer. Lorsqu'il
s'enquit au sujet des corps de son frere
conduisit et on l'amena aupres d'enx. Lorsqu'il les eut
versa de grosses larmes ä cause de sa Separation d'avec eux. Puis
s'en alla vcrs le juge et
il
confessa Notre-Seii>neur
le
Christ devant
lui.
il
On
!
(i30
h.
rt-nh
A4»s.ft
r:
hf i
:
Äo
•
•
n.'^jift
:
}x'r%\ro»-
s.n] P.
1
r:rt¥'4.
(P
A^O
•
(>.
A
•
-nity'
— —
m-nt.
Kpimachosj.
'i.
M^]
A
/"niron-']
n.|-
:
A.
lirn-ft.l-V
raconta au juge qu'il etait
•
i'd.
inh
:
le frere
—
P, O,
ih.
propres, Synaxarimii A/crandr.,
t —
I+IA
•
2^. fliloo-'V]
— M- — A ma»-"). —
"«wi
ni-
=
las
le
et
merc
Di'ilurd.
les \r
cor|is
de
la ville
et les
les
eussent amenes ä
de
T
T"'/
A
.
II,
la
A ^r"v.
I'. <>,
(A
nc
«n-rt'.f,
")
7.
A.e.-to-.e
a"Vffi]
/&. imn-crt-X.]
Cf.
rti'A.P
il
remit
soii änie
h
•
P
P, 0.
H"?.
le
feu ne les toucha llar.
ville
pas du
or.j).
—
10.
^-fl,«*
main du
Sei-
le feu, ainsi
qne
dans
la
tont. ])c6
de son IW-rc Ahhn
de Baramoaii,
de DilKn/d.
la ville
et (le
la ville
hommes
llrsai/.
le
de sa
corps de
corps) de Wcr.soiiiionfd,
transportereni dans un vaisseau, jusqu'a
ci'
qu'ils
de Whsdhdsi. dans une grande pompe, et qu'ils a
la fin
des jours de
la
Une eglise leur fut bätie; on (y) deposa Icurs corps, et il apparut par eux de nombreux miracles ei prodiges et de grandes gu^risons de malades. Que le Seigneur ait pitie de nous par leur priere, et que leur benedicfioii soit avec nous! Amen. persecution.
Salut
il
Alihd
Hc.sdij.
•
A mui
pour tous ces noms
(llir.
son corps dans
dcposes dans nn lieau sanctuaire, jusqu
les eussenl
—
298 [Corp. Scr.
de sainte DäJmmon. de
de
•
rtiM
•
•
nhJis.
lirüläi
corps de saint Abha
saint Abha Biinnkos.
"/n.('.
vuA'
•-
«"*P(»a
'Iva"'i.i-
•
mA,?
••
de sa mere avec des corps) duulres martyrs, an
nombre de 88 ämes; mais fideles prircnt
nr^.c
dWhha Hör. (Le juge) ordonna qu'on piarät sur
juge ordonna qu'on
corps de son frere
wh'rou.
mi.in-t\
cBn/.h-f«'»-
M
•
m-fil;.)-.
son veutre une graiide colonni'; aussitöt, gncur. Knsuilü,
-.
••
•
\tx\\
.
nw-S^-
^iir-v]
l^^drf'et,
r'
fljfl>-(:rt->'i.
:
•
(i.
',:!.-.
(l>^h^Uh
irc
=
i*.r,-^,
.
A—
P
•"
-.
riÄA-pö»-
:
h'il
'
-
maoi\\/..:\-
•
^.jpv/i/.v
•
^^
••
ii/.o'»'>
fl»-ri'/-
••
SEPTKMBRK).
(7
A4"i.ft
••
»h'ruu.
••
lh'r/.-'\-
h-'/ii.Ä'nrh.c
niuTfi
/".-»ii-
•
«»Ä'wu:}»''"»-
[rtAr
A
»o'/y.r"n
•
"/n.j?.
!
I'A(;[IEMI>N
'
I
qui a cte tue par la pesanteur
«ü
M'.
'jni'/.
'»A^
lAf\'r
Ah«"-
ü/.-ttV'i lO'li'f'
:\e/^-
•
••
Mty,-^
1.
—
'•
n+A
:
•
A
II
•
h'JH
[sic).
(lAA'l-
:
'i.
litt'',-.
1*
hfi'ih
h^'A.Alrjo"-
A«»+,h.h
HSV'/]
••
nr;"!-
•
A'rnd
"»CA
••
Wi^nr.T
[AAi»"
().
KWh
••
*»Ä»f"7.rt
H^i'VJ
LIVUE DV SYNAXAllii:,
irw-S-]
—
«Ä.
•
A
•::]
••
uK'iy,
A"?,e.
•
:
mf,
IIX-S..
•
::=
'}"/^i
::
lo
••
Mil:
;inMn'/] P
:•:
ö»-a->'i
.l'M'im-
•
(0401
—
7.
Ce saläm
rt le
suivanl manquent daiis
.eni-.-viiv-.
i
D une
epaisse colonne qu on a niise
Alors qu'il
etait riebe et
Sauf trois pains
En
!
noblesse de sa famille
la
etail
grande,
soii
voyage.]
ce jour aussi est la memoirr, des saiuts' Pacomr et Sernpion. Oiie
Seigneur !
son cou
bäton de palmier
ne prit ricn d'autrc dans
II
iious
et iin
qne
siir
pitie
ait
de nous par leur priere,
que Icur benediction
et
le
avee
Amen.
iSaiul
II
vous, lavant
faiti
par
la
parole
le
don
et
le
present (de vom8-
du
salul,
memes), Spiapioi) et l^acöntr, iils
de
la
sagesse du
Alors que vous rt'udez son voyage
cli'i
I
trauquille au
Gouvernez nion vaisseau, en allegeant sa chargr, Si la
tempete souleve
les flots.]
Salut ä ton emprisonnement en ce jour, I
soit
|i(irl
r PACIF-MKN
M\
htm
HAV»»
:
•/.rV.P.7l
h^^.'?t\
'»iiv
•
hm-fltt
•
fil\
:
Vih'ih
•
'»Ay.
!
:
•
tnhf»'
•
h'i'i-
?«'V/"
S SKI>TKMIil{Lv.
"J«»'Ä»«
•
h,l'n'i:"i
«»'n-'J'/
••
114».?.^/"
••
A-(:
•
oh:
:
437
:=:
"/fl^.'!--
'
i:
imum>^-
in-'h-v-
•
V'*;'i*p.
o»«?»
••
v
(»v*i*v
A.y:4y.
m\hihi:
Wtlh 1. (>
A A
:»;]
—
A.A/1'
hfl""
.'!.7..
.'>'/..
10. ^•/"\h::H'\ HVl
:
y,
1*.
chv
:
»iU
•
-
I..
iV'ifiu-
•
''
— <>.
•
uur;y.
•
\\"»
{vr''nv,>./;-f-
•
iiy.i\,(\-
wy^iM: ••
-//'^.A
/i.t'.IW"''/»! " oit\i\
"/M"
A
Mv.Tfi] o.
V-'iV'i:] 1*.
0.
A — nt. —
11
«Ä
:
•
•i'Cdi.ft.
A
'i-crn.
I'
—
«i'ViMi]
'i^U
//'•
'/Ky'i
lUx'ii'
:
;
A.
i>.
—
A
12.
ii>
!
y:'i
:
\\
(bii«i>.s.]
<^.
(P
>,
imn
•
ffoy-y/.i
•
h'r'i'P'i"-
<»i'"/]
/V'.
A —
O.
I'.
—
:
(if'rM\s'i
- A).
—
o.
A
ii.c.n.rt-]
I'.
.
Pendant sept jours, Lorsqiic Ui cus icprimande Herode. (levaiit ses
.Iran.
[ö]
lorsque tu
('\
l'eiis
lopris
grauds,
Quand il eut ('pousc cclIi' qui ne lui ctaii pas destinee (par la loiK l-a femmr df sou IVerr l'liilijiiic puii^qu'elle cfait sa (helle )-soenr. |
Au
noni du Pimt. du Fils et du Saint-FiSpril
hKCTiitK
Kn
le fils il
1 i'MirKMKN
jour mourul le saiul Apoirc
re
epilre,
1)1
parmi ses epitres. L"orii;ine du ce
un soul Dieu.
8 septembre). a
saini
({iii
i'l;iit
I
.\))(iti('
pauvres
utile.
ecrivit
du pays de Crrfc.
apprit les enseignements des Grecs et (leur) philosophie.
()
l^'diil
II
une etait
de la soeur du juge de la ville; sa famille etait greaquc. Des son enfanre
menl savaut, doux de temperament
«
Tilc.
.
Titp »
el
les
niiseroux.
rombats ponr Lorsquil sc
l'ut
Uuc
le
nuil,
salut de
leveille
et il
II
hon dans ses a-uvres: vil,
comnie
si
etait il
quciqu'iiii
extremc-
aimait les lui
disait
:
ton ame, car ce unuule ne te sera pas
de son sommeil,
il
Int
epouvantc et
il
ne
-i-s.:
a
438 T-fi
•
y.
'•
hfff
(n/i.-t'y.
«»:Vi»'i»'
M"
•
iK/n
•
W}\tn>'l.
ht\'"'
at-hu
,h-1'
nXr/i
atfitt
au/n'i\}/..-i:it-
W.M /M\
•
3.
m'Hhhti
IViriUt^Vo»-
:
ci,^".'
(
)
ttm'/"0'
:
A
F.
—
fl>(>n
'«'/'/
'
"1'h)it\
-
(0
.!'.>.*
//'.
II'
:
P.
=
!
:l''\l:th
'
—
A
naitre
de
avec crrtitiide er
Seigneur
et
ses
de (r)envoyer a
Lorsque
••
P
ji^icTfi:
:
m(\'/"0'
'
in-fhTnh)
-
.
j,\.
<).
A =
desordre
:i-'\-hi}-
m•|•h)»•V.-l:l^
m-l-hr'i-i-.O-
'
ai
A>.°/H.).>
soiit
!
-.
>-oj^l
.^•'»•tu-
.
«>öi>"/iii
s
hh"}
AP-VV'/!
!
— 11. post P «rf^. corroinpus et eu de A >•
•
;
A
'
rt>>"*
A>.'7II.
13. ])OSt V;B"V
predication de lEvangile de Notre-
la
eiiteudue dans
eela,
fiit
cpiil avait
Ic
pays de
Si/ric,
('tonne
(dii
extrememenl
appris (eu
fait)
et
que
Christ), et
les
gens
le jiige
voiilut
con-
de nouvelles sur Notre-
U chercha im homme sage
miracles. la ville
A?»"?ii.>»>
A).
apprit
Cr'ctc
>U..'l
>,*<5Tn]
ib.
•
.•*''\'l;i»"
fai'.
•
y.^vv^v
•/|'.T,"-fö»-
:
eurent parle eutre eiix de la doctrine et des miracles
du pays
•
y.^.'i?^
=
.•
•
r-i-
•
mv^nn/.-lM'ao-
•
oy]
.
rt>,°/ll.>iV
1
A7.-7II.V/
(ii)7<:
A et
()
"7?itiA
hs<'fi
•
hff/.
h^w
•
Ihr/.-lio-
h»"
••
thiTi.
:
<>.
«'?»m«
APVV'/Jji"»
:
m9""ini--t:i>'a'>-
•"/>itlA
sut pas ce qu'il (allaitl faire. Seig-neiir Jrsiis-CluLsl fut
I
.)•'\•l:l^
'
-
ft
tcxtes de
ftV-'i'im-y'r
"•/«'hf'l.'l-
:
ib.
IjI'S
(n"V>,rirt]
/J-A-hirfl»-
'
A —
-
n-ii/iii-.
•
•
h«»
M:-f-
miUM'
••
mh'h»«/.
«
"/(l.f
vhn-tif-
an.hv
•
.•i'/\-/;iro'>-
•
••
m^.w'
y-if-^\
'•
••
iS:^-
•
tnh'rih'r
•
in/.
-sw
•
y.i.'i-
••
i\}\"h\.h
:
wh"i\\^.
a?i-/ii.?iV
tn-W.V-
"?r1if '/J-l-
••
«(^(Z. />•(:
plus haut.
cf.
«io>,AI-
A
l', <».
n-vt] P, 0,
>
A h*
aftWati
:
/»'A'/:«»-
•
11-12.
ll.>."/
•
h«"
••
fl>•^li:
'/\e.V.
•
Vll
(ol'M"/.'l:ii-
fflft?"'^
hYi^Tfi
lA-
•
M"\i.';ih
•
».vd-
•
M/.'vtx
inyA'A'i
•
ti-nM-
•
um.
•
h9">.u-
uy.'i.y.ti
•
mfiT"/
:
post >icn*n
2.
>,V
hy.hn
•
ht»*-'i
:
iftT"/
•
mnhr^.
••
h'h''m.Wi
•
hat'
••
"»r^ii
tiftr",
••
f642,
s^^.\.\.\ll{l•;.
'/»yi-'j-v
tv-i«
•
ii.s'i»-
rw.-y-
•
••
\\"i-\-
rnn.d
njirt.
y-iny-^
•
•
yh9"i:
•
:
»yn-in:
•
«•rti'""/
•
nn»*.'/'!:!/''"»-
/.•i:ih
(()
rii-
(»s.yh'n:
:
ij-
—
i.ivur. DI
i.K
et
savant,
afin
de Jrrusnicm poiir qu'il s'enquit (en prenant) des
nouvelles sur Nolre-Seigneiir et qu'il scrutät ses miracles, (rceherchant) s'ils etaient) etaieiit (le resultat) de fantasmagories oii de la niagie, ou bien (s'ils veritables.
qui
füt
11
clioisit Titc, afin
superieur ä
lui;
il
de l'envoyer, car lui-menie nc trouva (personne) l'envoya et lui oidonua de faire iine graude
investigation.
Lorsque Tite
parvenu ä
la terre
de Jnda,
qu'il eut
vu
les
miracles de
prodiges, et qu'il eut entenduses paroles vivificatrices, distingua entre les paroles de Notre-Seigneur et ses miracles et les paroles
Notre-Seigneur il
fut
des Grecs
reconnut
et
et ses
Icurs oeuvres,
(jue la religion
et
il
trouva entre eux une grande difference.
des Grecs n'ötait rien.
11
II
crut ä Notre-Seigneur le
!
itt43i
/.p.ffo.
'/•
ft
:
iD^^/.
i'A-
'Kl
A?ih
•
Y\ti"
I.
A-
,e;SP.
Christ il
:
et
lui
Ah
jwKh
•
— —
il
1'.
0.
n^A
>..frt-n
im.
=
16. hm.
VI
n-i:
:
(>.
A
7«u»tl] P,
A
ri«>"
:
II
72 disciples,
qu'il avait
il
-nn-v
-
vu
et
••
•
/.-f-
••
,f,'r,h/.v
=
•
hr'i"^^
UM-
JA}''
(»h'ry.'W.
=
?:iir
•
viv
•
4"}.
rh'pcy
••
riÄA-i-
••
•
aw-a
••
=
••
ririjAy"
•:
(Hi
n-
=
n
=
—
.
/^.
Mi/.-rn d' M-rn). -
/.
mA>in]
I',
li.
A — ä-p.
o,
P
j" <>.
(V'll
uiivoyn (un messager) vers
i\otre-Seigiieiir./«''.s-»s-/;/'r/.s7
les
,h'PCy
•
^^ir.^nwi.c
fi-dJii-.
=
^'J-ft
•
:
r»,t'.n.Ah
v>/Tfi] P,
le suivil.
exposa ce
=
-•
AÄ«»-A-n
••
?i'>nA
-
AHM-
•
hmi:
int\'\-
i/hv+rv
•
Hii-Jh
•
:
A
••
«»ftl-rtAr
ll-f-
:
Äfl>-A"fl
••
»icft-pn
ar. ;-.).
5>"fiA.u-
W.V'
•
«d
SEPTEMBRE'.
8
hllKM
'W.V-
h'-iu.h-nAa:
:
[rtAr
et
f{t?(oe}xi:ff:M'
rx1\\.M
:
rt-nhl- " inf>t\
•
Art
1
l'AC.UKMKN
:i
enteudu en
— gloire ä
choisit saiiit TV/r
(fait)
le
juge,
le frere
de miracles
et
de sa mere,
de prodiges de
Lui! Lorsque Notre-Seiguenr choisit
parmi
leiir
iiombre. Apres rAsceiision de
gräce de TEspril-Saint Paraclet descendit siir liri (comme) sur les Apötres, dans le cenacle de S\i)i\. 11 s'eii alla avec les Apotres a la predi-
Notre-Seigneur,
la
TApötre Vaul, Saint liU' le suivit Vaul l'ul et s'en alla avec lui daus de uombreuses villes. Apres ([uc TApolrc devenu martyr dans la ville de l{imt\ ce saiul retourna ä son pays de CcJ-Zc, (sa ville) et y hatit une eglise et ordonna des pretres et des diacres pour pour les villes environnantes. Apres qu'il eut consomme son combat apostolique, il emigra vers le Seigneur, qu'il avail aime. Oue le Seigneur ait pitie eation. Lorsque Xotre-Seigneur eut choisi
de nous tous par sa priere, et que sa benediction
soit
avec nous pour les
siecles des siecles
rSaliitäloi,
7'(7(',
paciiicaleur,
Serviteur de faul, toi qui fus sans latigue,
Lorsqu'(un ange) te reprit par
(sa)
parole et tc
eu songc
:
:
V,n
;..i'.n'i"-'jii
'
A
l.-.ti
LIVKK
l.K
'(i44|
"ihr -O
'>M.
Mi'U
•
SYNAXAIKK.
\)V
h.
^OT
n'/:yv-
:
1MA.I»-
?!'>'[• •
i»'t\\::i' •
ULI»-
•
A'l'Sfi
•
hn
nhiiA'
••
/"/>A-
]\-')
"
•
»»•i-AT*!»"'!-
A,.-)'V1]
(i.
>,Mh-
"
( ^,
W —
-|:>p/.A"fi]
//).
\\
(>,
A
'/.
(Car) ce
Au
—
le
troisieme
qui
lui
de Saint Voici
femme ses
Am.
iic
— —
l'i.
te sera
//'.
-I-7V-/
=
pas utile
m
;>
i'\r.i
kmicn
(9
!
sur unc
i'ait,
qui
•
h-nyi"
I'.
:v
A
i^y-
r ((»
P,
avait
(die
change, et
il
patriarclie;
cl
saint
sous)
A.
le
au IH 'reqemt. Saint
1/''"'
eile
—
om. mH-\r'c.^
la foi,
»]
un
,seul
Dien.
septembre).
la
prodigc
TlK-DpInk,
est
dedicace de son eglise
ipii
daus
apparuf
patriarclie.
beaucoup d'argent, dont
la colline
apparut sous
AA.
Tauge gluiieux Huplmrl. archange, qui
eile avait (aussi)avec eile
et
(>.
les jours
cu
eile.
Lorsqu'une
Rume fut parveiiue vers lui, (eile amena) avec avec eile une image de l'ange glorieux RaphaeJ,
de son mari. Elle nettoya triarche,
••
-n
•
= A).
(I'. <>
riebe de la villc de
iils;
tnrtxh.
IL-I:
•
=
incft-L-yv-t-
s. >,i|]
m<1'.
A—
h'ii^i'.
•
ile, au deliors de la ville iVMc.riindrif,
eut lieu
•
•
l/»iV
iihftl-C>iP^-]
iiH-:i>]
el ilu Saiii1-I*";spril,
la Mieiiioire ile
Thcophilr.
.\hl>ii
(le
A
•
•n»i':''>
••
riKv/i'l"
•
••
um.
'i;}'V,A"ft
<).
••
•
••
n»n>
•
WhMCh^'V
^M-V M\ (?"y. tnrtxM ^Ai^' inrt\M «'>A?i]n"|A.*
des archangcs des arniees Celestes;
l>Atie
liil
••
hMiiy.r.y
m-VhrvA'
selon le combat parfait de
äme
iiunidu Pere, du Fils
s(.iit
0.
I*.
monde passayer
ce jour
^n
vw.
••
•
ö»-?.'/'
:
rt^-et] P,
il'-
LKcrniK
Eu
••
^M-V
A.«l'
:
(et sie infra).
•kJP'i:
Combat^; poiirton
«
4";ft
11. (DirnA,v]
s-1)).'
<'i/uA
:
•
•I.J'V.A-ft
•
"»"fl-rt'IV.'l"
to.MT.
•"
A.+
•••
ru,'i'^
••
hrvu.
nit{\'v
•
rinn
:
»'.rt.'i-
•
4»^-^
»m-J:
•
••
"/.n
••
l:9V.i\'ti
hii»»
aun-h'l:\h
.e.?!'»:
a-i:
:
•
A«»A^h WOWM' ?«i'";''
/
—
iv/rjÄi-
•
i:AÄ'/'-"V.'j
:
eile
ar-
eile avait berite
qui etait en face de la maison du pa-
uu Iresor d
Tlirnphilr bäfil
or,
comme
beaueoup
uoiis (r)avons ecrit
d'eglis(!s;
parmi
elles (sc
•
r(;/,5i
?.i'"fl»-ftl.-frt"-
s':i:y
ii/i""-
••
m«!'.^.«^
An
••
rnh'JH •
-l-
(»fthM*
+
i^fl»-
••
InCMilS'i
A?i*'/ll.?iV
•
5l(.7l-ffl
8.
A
(ar.
i.J!
.
IL-/-
(
—
—
iiw-nt] P.
.1.'/HI-
ante
<»•
-
A
la
P.
\h:(\*I\.
P.
A
<».
A
A«»AWr]
•
~
P,
>,<"'iivii.
h»"
••
iujI"«»
II
A
(««»
fl»-h'i-
y-Wl:
UM']
/i.
rt>i:iA
•
>io»
=
•*
A
••
••
It
•/•
ii.»)..
.>i.fii»-]
:
<»
«"n"/-.
A.
•
\^n\^:i'\•
•
A).
—
«»»fK.] P.
I'..
<•«{ -^.A
:
v/«"-
•
(A
"i
h.Vi\t\.
:-.
'U\-/.
:
<.4 -^A
•
Wat-M'
yti-Hlh.
••
hiih
r/(/r/.
JfJII'C
:
rt.c."i'j
J>.Ä«^'|-
:
VKl-L'
:
ri»ou\i:\}
•
m*
ri
••
«loiv.
—
dans unc
ilu,
qui osl an ddiors
U((]tli(i('l.
Milxi
areliaiigo.
la ville d'.l/r'.rr(//(/;/V.
ih'
palriarclie,
Tliroplu'lc,
au eii
constructioii etla consacni en ce jour.
Tandis que
les
Teglise trembla, sc
monstre marin paiini
demenre
et clait
7. *•/•*]
«"AMfj
•|in»h rtUO
"'A.'l'
-S.n
•
n.
'
(»)/.
de raiii^e glorii'ux
acheva
fut
^ A). —
(A il.
.•)•>.
i\f"'M
Tnctiiiyi
:
,Vii\--l-
•
"/.n.»»•
wVü-
•
lF».7i/.Jt">
:
Art-n?,
•
/iiJÄ/i*
••
AA-l* k
ll./-
•
hMVi
Dl/.
«»<*.«'"»
=
m/.h-n'l'
"itt
A/;A
«»^i.-i
=
f»>VS'9";"i
ml'in^-
(»h.-l'Uat-h •
12. >,oi>V(lc.ti]
ti'ouvc) IHK' cglise, iKini
••
M'/:
lo-fif
•
WhVh
•
^/»A?»lfrr
•
nh«"
("Ml'i•
^{u'\-
a.-/'
•
hi/Aro"-
••
'^.r
•
oi'tll-
m-l-Oin-M-
:
?»''/ll.^'njl.f:
ffn'ilH'
'
'l-
A
iiirt.-C]
••
hi\\.h'ttih.i:
-•
,1.vwt] P.
.").
— /Ä.
rt»^.V}"
:•
y.M:
•
T'nyy.
•
•
Ji'.Ä.A\'-
•
rti-l'rt'P'l"'l-
httF'
•
•
<•'{ -^.a
•
ÄÄ*^'!"
-
•
lO'ii
rtii;A(/»'i-
A.'l'
:
All.'!-
n'i'?iHH
•J'HM
inni:
MI
SKI'TEMBUK).
9
WM'liyi
:
tw/y.TW'i
••
CM.'V
•
«»A?t»]'|-
:
A"
ir.
l.-fV.A-rt
•
y},Ti,A
:
ll.'f'
^f"'f^h.1\
•
y.'iö • fiifin
••
ilf/n
10
•
hih'l:
•
\]i:M'S'i
•
Jiv-
IVVC.UKMKN
:',
fideles l'endit
etaiciil cl
i'n
iiain
de
|iriei'
dans
s'ebranla; im la tronva
mcmstres dela mer, surlcquel
les
fcrme dans son lien. I.orsqne
le
voici
reiilise,
que
le
dos d'un
le sahle s'etait
accumnle
liätic
snr
pas des pieds des homnn's
pesant sur (ce monstre), Satan Tagita, a(in qu'il detruisit Teg-liso.
l.es
patriarclie s'ecrierent conjointi'mcul, prierent Notre-Seignciir Ir
lideles et
le
Christ
inlerecderent aupres de Fange glorieux Raphacl. arciiange. Le Sci-
et
guenr Tres-Ilaut envova (BnjilKii'l)
1
angc glorieux RapliaH (>tentpitie des
Iransperra de sa lance ce monslre marin, en
du Scigncur.liens-toi (trauquille) marin se
tini
dans sa place
nombreux miracles
et
et
et
Ini
uc bouge pas de
nc bougea pas.
II
:
«
Sur l'ordre
place.
»
Le monstre
disant
la
deriiomme.
lils
apparni dans cette eglise de
prodiges et de grandes gnerisons de malades. Celle
eglise demeiir.i ainsi. jusqn'ä ce
que regnasseut
Ics
(Kaufes.
(Alors),
cette
•
v
!2s m.
l,K
V,2
'/•VI/.
•h
n.•^
:
tfnJiA
n^:
A«
//o«;hvl-
l/'Oi»-
{•»O»-
1.
)/
•
«AV
i;A"
:
•
VILF
:
:
y-A/l-
A-I--
••
M''9C)\'
<"/h'/-'l'5fJ}'''"'-
cvi-
=
A.I'
rtV.h'nhJ''öi»-
••
f-
:
A
lOdll-t
:
:
add. lo-hU (O
O'
•
II.
=
«»•>,*
>."
•
=
h'/lM). III-
V-.
>..
«o-viu' ...
A+^9"^"
hshrc
hCM'«»"
:
:'»^.A'l-
••
Ah^^
•
-
io
•
^c^i^Ä
«
«»^/»>'>h/.'I'
II
••
H.'
tv?«;
H.
ä Honorius,
ol
Ic
9.
t.
il
_v
(t
l^i-
=
=
<'»>iH.fr'
ft.1-]
:
mer
la
s'a^ila
de Constantinople, raconta cette histoire
la ville :
port,
alin
Sache, ö
«
roi,
petit
que nous-meme nous nous
de venir vers
afin
toi.
uiie ile, le jour
couvent sur
uvait dos fiores moines.
Tandis que nous
du samedi,
mysteres saints,
de recovoir les
dimanche. Nous avous trouve un dans (lequel)
.
U^').
voyagions, nous avous vu une eglise dans au
>,5»"»>,.
II
de gcns qui demeuraiont sur cot cndroit.
le roi juste, et lui dit
arrive
.
monstre marin s'agita. De nouveau,
embarque dans un vaisseau,
sommes
>
»
")-(..
f.
=
=
,
tiaduitprobablement un
(l.'lniilo,
i'ul
(7>.
Abha Jean, patriarche de
etions
•
•ilil';i-V] <».
r
(les
et engloiitit beaiicoup
le
le
et
nous
jour du
cote de cette eglise,
Sur Tordre du Seigneur
—
— gloire
« S'il y a nous sommes parvenu vors eux et j'ai dit aux freres chez vous un livre antique du teraps dos Auciens, donnez-le-moi, afiu que je « Voici qu'ily a nie reconforte avec lui. » 11s nous repondiront et nousdirent
jiLiii!
:
:
beaucoup de
« leur «
:
V^-
!.
«B>.y"»>i>^
eolise
:
=
^/»mia-'i- «
:
«»Ji-nA-ö«-
••
.*".
ib. m>,-nA"«»'»']
a»-... >,C>.f«"»-]
.<
htf»
•
VibiCöi»-]
il.A->]()
«
«»'>*li>rt
(1?,'J-|-
—
^:'»fl»-
?»''»*PAA,irö'-
•
rtV.hnV
=
••
'Kl
••
— VvhVfi] P mllHt *A> " — h^t] A — h A IltV" O. — P, A mm. A (Le Synaxaire arabe oniot ce recil). A. —ib. iohafA'-M...in.e. 11. >,-lVini]P, A DnvJP. A— >(0= A). A .vV. P 'iw A). — 12. aulres inss. A-mP mhy"X>.}PV U. A (O, A= A). P »C
ante O/hC P,
— 10-11.
«
••
ItV :
TrlUl/-««»-
••
r»fW.liV
•
?wli.P:
a
'i--ft'r'>'r'>y
•
rt'HM'
•
riifl»-fii;-i:
=
nA-^
••
mn/.
••
riAA-J-
'/»^RA
•
\MC>\
«f'^,"?,!-
IIH/IiV ••
ti"ti^-
•
•
incri'/.y'j
=
'«»XvJi'»:
:
ÄÄ«^>
:
^y:fi-\'
•
t\{\,\v\'
=
ö'-AJ-
rill:'»'* '
n./-
=
A.'i-
••
1\öM-
••
rr'm.i-l
••
n'-HLVi«"-
(ii?,ll,A""'»-
::
tiAII
•
i'vh'>rt
•
•
A.f.?!/:
?,-ni>'lhl..(;
••
Mxuo
!
ot-M-
•
•
ii'/ny
^n
=
J'l v'»niö>-
Jh-rt
conlJiHH t
II.V
•
ViCA/.yj
:
li«»
••
:
uh
»>•/
:
DU SVNAXAIIIK.
l.l\l!l';
voie.
livres
dans
interpretation. »
traitaient)
Us
»
L'eglise, uiais
Je leur dis
:
«
les apporterent vers moi.
des vertus et des prodiges
nous-memes nous ne connaissons pas Apportez-lcs-moi
.le
los ai
oxaminös
cju'a faits
ici,
alin
que
je
les
et j'ai trouve (qu'ils
Notre-Seigneur
Jesus-Clirisl
i
-r
0-^71
H
j^.-nA
••
AWn
•
"iM"
•
t\l'
hn-r:
nhAj'» 11'Vrt.li
•
iiaa»-
1.
A-
A
:
I17.H.
•
h9"A'"iy.
-•
wrtTJ.
!
:
i\t">\\
—
5.
fl»r^(l.y
:
"/Art.'l"
••
(O (im. (Oflnxs.
<).
A-
— iu:n*n
et
Taiidis
iM'.Mtx
"/.i^'V«
••
nh^/»
MJH
•
\\""
rny.ltA"
••
yh9"<-
•
•
A ^ 7 ^).";lO./] 12-14). — l3-i'i. 'u/;/.
<>,
rt-/.-
=
di\?
••
A
de rnrigiiip des cieux
A
de
et
>.
•
-
>."/
=
«»a.*
fl>-?i
fl>y. •
rA.**
•
••
ft-n
«wAÄh
••
P
h.lil-V]
H.f.
fl»"/uA •
•
A)
(<>
••
:
tt'idjf.
•
A<.'{./bA
•
">
.'///.
P.
nii/h'»-]
x.^
•
«"/"Kh.
•
h-nt.h
filLl.l-.
P.
ojov-
.•
öK-'fh.A
••
,p.-n/.
•
h-njl'Ä.ü- "
:
.f.t:hn-
^^H.JiV
=
nuM
:
Ini'.Mti
•
«iJ-nC^A
••
ai-M-
»"A?»»!'!'
=
\uf
••
h^UKM
"7.Jl/i.A
«Mihy,
••
(ii«;"}>{(i.i/'«'-
W.i
y-'i-ni:
A.+V
••
A-.
sept
nos Peres
archanges,
elait assis sur le
iiivstere
laui-iiiriiii'
(jiic
qu'avaieiit eerit
(livre)
Mont des
de sa divinite,
je
••
«»A?,hl-
if/h>^-
12. £].
(O
P
i»
:4,
la teiie
les
sci'utais tiaiis C(^s livi'es,
Apötres
qui disait
:
jusqu'a
Tange glorieux
«
egal a ses compagnons,
la fiu
de
que
lui fasse
hommes
de leur tourment, de trouver gräce
«
cession.
les
lui
de rinstitution des
une
Jesus-Cliri.st
et hii dirent
fete
en
([uel
:
«
Notre-
la gloire
de
mois? Est-il
que nous j)rüchions k sou
conime aux archanges, ses com-
demandent, k Tepoque de leur adlictiou
«
et cleincnce
aupres de
toi
et
par son inter-
Aussitöt, Nolre-Seigncur le Christ ordonna, et lestrois archanges
vinrenl du truisienie ciel et se
demanderent
les archanges.' G'est alin
monde, qu'on
uii livre
ses disciples, et qu'il leur revelait le
Raphai'l. Vai quel jour l'as-tu iiistitiie, et
pagnons,
»
au sujet
lit>ii\(''
demaudons de nous exposer
«
et
|)ur.s
j'ai
Lorsque Notre-Seigneur
Oliviers avec
Seigiieiir et uotre-Dieu, iious te
sujet dans le
«
les Ap()tres lui
«
II
j^aI-
W.Mtl :
SRPTIiMIJUE).
monde. «
>.(
thiKtio-
et sie inIVa, P.
.MiA] P.
•
(l'JA
A*/i
Jevant sps disciples, ce
•
AJi-'/n.hV
•
jju.sl iicn-y-n,
>,*').
t'W.
A-|:
«»«'.-nK-
•
II'V'J-IIAVU- «
•'
mwhy.
•
(0
^.Prt-ft
•
h"/!!.?.*
^•'{./uA
•
rt-ii?»
^/»AAVl'I'
JiV
IM-
••
c*i\
:
PAGUEMKN
:
Michel, (lahvid el
prosternerent devant Noire-Seigneur
i'ange lUiphaül
:
«
Dis ton
nom aux
lid/jlKicI.
le
dans uuc grande gloire,
Christ. Notre-Seigneur dit k
Apötres, ahn qu'ils connaissent
la
grau-
Wi
II'.
"»•
A
O
;js
8(1
1.
fH*\'hW\'
•
j,'"!-
:
^j"/«?.!'.
ft^
:
Ä-J-/A
mt\»"-
•
•
tntt\-\"i\)f\
<»,i'.rt«»('.
•
"vcy/"
••
hT
••
•
::
Ah
riAit'.i:
•
S^N.WAIHK.
Ol'
IM!I'.
I
•
>l(*fl
ri»rtn>. " i\'hi\-
•
A>i-;ii.?.v
•
»»/\>,
••
hltx"r\\h'\''l
wrv/
•
A.'l"
«»-Ä'l--
••
11.'.'/
•
\u:Mt\
••
tV.S
*.«'.'
•
••
;i.
nrh.L"
AÄ-
A^A
•
iti''m.h'ttih.i:
xf
•
•n/.
h-n/.
'iiioritv.'iii
:
«w»rtl"/lJA
•
•
^11
h»"
mxh'T'i
o. «»V-IIOi-A"/.] r.
A
(IVVt P. O.
P,
P
ü
=A —
prämier
1IU.V«>.
A
»
Notre-Dame
«
gneur
•
n",y'i'
4.
— <. A -
Olli.
P.
!t.
^.frt-ft
:
1
L'archauge
'..
•
•
O
nhnJi-n
A
•
O
A
n»»-,
add. ve»
./«'»y.iii-
P.
'.«.->]
:
«
=
(t
iXhyi-
UhlWi.
•
n.f.
••
tmiw^-
—
>tÄ.*"/,
A
(A
A).
—
>?..
//'.
aiitc
S. «»AJiVi-J]
-ivw-
«.t^+Tr;
moi, je m'appelle
des arcliaiiges. L'archaiige Michel est s'appelle
il
Ir
rlihiirnt.
•'
\\r^'^h
:
Wfloo'.
•
«'A«i
•
«vt:''/«"'!'
wl.C.
l'oiir
•
K-n
••
?i{»"X*P/>
^iM
Raplnii'l leiir dit
le ti-oisieme
Cahricl,
s'appelle Dini et humntc, a cause
il
^a
<.4.;uA
^'im:
Hfl«"-.
I'
P. O.
rvrV/],
••;..
a*-lhl-
'
hcft-fn
•
hin
(do»/|i/.
'/Vft
de tous les anges;
la
=
auto
•'
M
•
A+*J.A>.i'-
:
:=
Ah-iii.^-nr/i.c
'ifi.-nti^
•
TM^u-
—
>..
-
second archange;
«
«
(>/».
.«rt.nA.e.]
clief
est
«
A
^*itl
;'"nrii-;i.ir«»-
•
VHII. "
•
^•'/ii.^v
••
(lÄ'j'i-
•
«"A'hh'i-
.cY/i-'i!
l'ange doux,
«
le
•
M^-):
ta gloire.
« Raphai'l, «
—
11-12.
deur de
<(
<>.
add.
{<)
huflti»-
••
.ert-ii'«"-
:
•
tnf\ff"i^M
:
hf«
••
•
'J
h-zii.hnrii.c
'^n
w^..i'rt'/*i\p.t''"»-
eii
le
outre,
du message ä
Saintc Vierge Marie au sujet de la iiaissance de Notre-Sei-
Christ, (qui naquit) d'ellc.
le
Pour moi,
je m'app(3lli'
!< cDiisuhileiir
liiijilidel.
cordieux euvers les pecheurs et je ne
les
des crurs. Je suis iiuseri-
accuse pas aupres du Seigneur ä cause
donnc aux liommes), de
ma
«
de leurs peclies. Mais ä cause du salut
n
douceur
«
ämes des pecheurs
«
et'
«
C'est moi Haphael, que le Seigneur a prepose sur vingt-trois armees d'anges.
«
Nous
«
teur. C'esI
«
choses ä ses saints dans
«
Notre-Seigueiir Jesus-Christ leur donnera ä boirc du calice, [dein
«
et
de
mon amour pour et je
qu'ils se repentent
les lils
prolonge de leurs
veritable,
quam!
RapJiael, ä qui le
ils
le
de l'liomme, j'envoie une uiission aux
demeure) de
jR'ciies
glorillonsle Seigneur Pere,
moi
(la
(cpie je
le Fils
et
qu'oii
dement
iiioii
Iriir
(a
renictte leurs lautes.
et le Saint-Esprit,
consola-
Seigneur a ordonne de donner de bonnes
bauquct de mille ans sur
sitomI assis
esprit sur eux, jusqu'ä
le
nioni Sion, lorsque tle
gloire
table) aveclui. alors qu'il sera assis sur soii
i
'•
("h
h'i
•
at-hu
M'-mV
•
M:
4-4-^.A
•1
yi9.ai'ivao-
Ä.vi>-
llKh-ttihAl «>^'/ Ol»-
?ifv-nA
••
tnh.!^./^hV-
:
>.öX.,*t] F,
1.
A
'iV/l. P. (i.
a]
P, 0,
A—
—
rt,1^.
—
corr.y).
A—
rtc^ö?.
/i"oo'.
A.
:
A —
W>i
—
i'Ä.
- +
fD.
— 3.
1'.
P,
tröne pur. C'est moi
rameaux de TArbre de
«
ma
"
liomme
V
lt
maiu;
cause de (|u'un
je les
fait le
«{.ri
••
htii)
—
-nV.A-
<.'f.^l.rt)
1-3.
•
P.
ö*n-V] P,
—
(),
().
7
11"/.'.
(».
— —
liaphrjel.
vie
flift7.e]
et je les feriiie,
(ai) les
A.
A
P, 0.
,h
A o;«.
•
••
— anle A um- — /i.
'.
-VAfi] P. O.
//'
13.
(V
rtii^A-]
'/'^rt-
P, O,
ordonne de prendre des
donne aux
et je
-
/,.?<.
Ah^ll.hV
:
P, 0,
—
.
fniJiCf
•
•iVA-bU'o".
h
?.rjip
••
> A.
e.
11.
••
hr^^in.!/*
«»rtV.P.
nfl>-ftl-]
A 0^
P, ö,
ä qui Ic Seigneur a
moi Raphael, qui
ouvre
5.
P. O,
>,.p.'eiröo-]
daus nia main,
i'.^IK-
2. ai>,w.(iao.]
^ö»-
-
«u-fii-
•
"/«»v.. « 'ii*-
•
:
«»A?ilr|-f-
öi^.e.-v,"«»-
(H-.
\i•^•.
•
I^-VV
:
nrtrp
•
,fwiö>-h.
<.4.h.A
.t'.i»"H]
:
Ä-nJirt.
:
Irw
•
nh^tÄirfl»•
:
7^/.
•
•
"/A'/*
•
••
•
••
A-t«"/-
•
r.p.f:
•
at-M-
ami'l'
(>.
°;rty"
la joie. C'est
-ncn
•
'••
().
«
jour
"•
hAA>.
•
Vr\h M «»• W^V hC^'^'a«-
^'y,A'i
•
hö?^:^\-
•
•
<>A'|-
:
Ä^ln
A A wy-/. — 10. A A +. — 12. M,'Pcr>] ~ 15. P, A add.
«
ü
•
rt-fl?«
••
(0 oni. nhWWt :
ib. .>.'',-0V]
ante
wn-/;
*
h"7i>-
löov-
!
A"/.ön;]
8.
•
M'^ih
Aft.?
mtihao
«
.•
•
;i-,l>f-
:
445
h<w
•
tty.hl:
•
iim-fM:
?i"?ii,^nr/i.t:
••
ib. >,ö}t.*t]
•
i\fi/.iM'
Ai/A-
/h.Roit
Ö-fcHJ
?»''?H.hnrh.(:
•
-in
•
hö»-
•
iiAi.t'.'iv.JTn
•
AJif.Ti/.yj
?^''/ll.^•nrh.(:
••
'^.»o-i-p
(iih'n'n-
•••
.
SEPTEMBRE).
(9
?»^ll,^•n,/l.^;
••
rt"7jl''I"
fli^^Ar^«»-
:
«f.y.'ip.
•
•
hWW/.
:
»/.^/B'/.
HO-/;
•
mhihpuo.
:
nh'/n
••
uhuu'/.
••
Mtm\n-i\-\'
••
tm^'iU.
^.xvih'i'-
'Y-''Vi
<.4./i,A
•
n?ie„f
:
fl)^«/ö}"ö»-
•
PACURMt'N
3'
^Ü49i
cliretiens en ce
tresors des cieux en garde sous
selonque ra'ordoniie
le
Seigneur. Si un
bien avec un autre iiomrne (qui est) daus rafiliotion sur terre ä
mon nom, ou
parmiles saints
ou Tencens
bien ecrit fait
le livre
de
mon
institution, ou bien (si) quel-
memoire de mon nom, oubien donne
jour de
ma memoire,
(a l'Eglise) le
«
sacrifice
«
Päguemen, daus lequel
«
rönne pour Tinstitution de (mon) ministere, moi-meme je porteraiet je trans-
«
porterai (ces lideles) sur des chars de luniiert>, jusqu'ä ce qu'ils entrenl dans
«
la
le
le
c'est-ä-dire le troisieme jour de
Seigneur m'a institue
Jrnisalfin Celeste, et je mettrai
et
dans lequel
dans leurs mains des rameaux d'un
"
dont l'odeur sera extremement suave, conimc
«
pareils
.«
de vous garder, jusqu'ä ce que vous vous teniez devant
du lout sur
la terre.
hommes dans
«
ä tous les
«
cederai aupres
M
ils
le
Uli.
—
r.
IX.
—
F. 4.
il
monde de
faire ;
ma memoire,
je les delivrerai »
Avant
parl'uni
ne s'en rencontre pas de
Demandez-moi, ö Apotres
du Seigneur pour eux ne verront pas du tout le supplice. i'Aiit.
m\i cou-
il
elus, ä tont le
et
moment
Seigneur; ])recbez
moi-meme j'inter-
de Icur tourmenl,
dit cela, liiijihaelse
et
prosterna 30
440
f»"\M]'l- • r»Jl'.i'.Ar»> j'fiA
9"tlM
}x"iuM\iUA:
vn
•
h"7.'i
:
hfiff"
••
?»A
-•
'KU.
•
\t-t\"
'n-nM'O'
••
tt'h'ii.h'i
i1^'"^t»'
hii\rP
JL'.nA
XÄ-'I«
lllht':
•
ff"MV/".h.
•
t'.„<»'ft ••
:
i^UUl
•
[650]
hfl»"
•
wäa-j:
•
•
m-M:
wtw.hu
.
-.
.(',•»•
vua-
•
•••
A<.«i.^.A
[rtA'/'
?.'>!/
h'f"
••
DU SYNAX AIHK.
I.IVlil',
T.r.
,e,7'(K.
•
•
wyvx
Arnn.'l-
•
^AO-n /»"A
:•:
"/l'A
:•:
•
.('Ä.-/'/-
'j--nA
•
l/'/-nUA
•"
:
10 -1:
" nrj'l:
.e.hro-V-
^^-rt
•
{i-U:i'V
:
.1i"V«»]
A
»i> •
hiw
.Ikio-ö» 1(3
lie,tel qu'il esl racoiite ici (v.
h'^w'i'.'j'J/:!'-
•
An/"
••
y.\j.Ti9'av
-.
rt>»0
••
,c,n,A"
!
•
,e.
r^n
Ai»"'>'l-
:
l-j-n^.
!
.
ah
i/'>/-
:
ometce salam). — 10. Le recit de Saint Adrien et de sainte Nathadanslems. A, est bien differentdeceluiquiprecede,au25Nahase
plus haut, p. 388 [592], selon les 3 mss. P, 0, A),
en outre,
et,
il
est
brusquement
inteiTompu, apres quel(|ues lignes, par deux autres recils (saints Tälos et Kollos et saint Jules).
Le
recit d'Adrien et de Nathalie
ou Natalie n'est repris qu'ä
la lin.
N'ayant pour
ce luorceau qu'un seul ms., j'en reproduis fidelement le texte, sauf pour les faules qu'on
peut atlrihuer au copiste.
devant Notre-Seigneur
h-
Christ.
glorieux Raphael, archaiige. le
temps, car
il
II
Xombreux
«
convient que noiis fassions sa memoire tout
intercede aupres du Seigneur pour nous.
sion, sa priere el sa henediction soient avec
[Salut a Raplinrl, qui est appele
Car
interces-
nous! Amen-.
consnlafeur
Ir
Que son
di's
rwiirs,
guerit les maladies et rend saiues les plaies!
II fit
enlcndre
Ceiix
(jin
Mais
ci'U.T
En Ce
il
sont les miracles de cet ange
(cette) parole ä Tohic,
ou disant
:
pralüjtieNt la justice ohticndroiil In clcntc/irc. (jui pt'clii'iii
conlrc
leiiv
dinr feroiit venir [sar cux) la perdiliaii
ce jüur aussi sont saint Adrieii, martyr, et 'Aiitolyu [Nathalie], sa
'.]
femme.
saint (faisait partie) des juges du roi. Lorsqu'il vit ceux qui devenaient
martyrs, alors qu'on les suppliciait, 1.
Tob., XU, 9-lÜ.
il
leur dit
:
«
Pourquoi faites-vous cela
[6511
PAGUEMfiN
:i«
SRPTEMBHK).
(9
f,M
A
^ȟ'jvi-
:•
njrw.Tifft
II
mn'.iy.V'?:
-f-ft
!
öJK'j,e..«J.
flM.V*P
rt
••
^n^nA
:
//«'|<.
•
•
?i'V|.-
•
ii.?i'/
4.
h-fl
:
(«AüiA'J.rt
hrt-
hru)-
•
•
:
L'?i^
\}i:M't\
••
A"'|:
liTA-n] sie ms.
;
eternelle et
'r^-^Tli
••
mois de
ferai
une
teile
et tu feras (une chose)
Seigneur sur
venir vers
Kotlos,
lui.
Quant
m
(ils
prisonna.
afin
'Aksoii,
envoyec vers
lui,
de
d.'iv
—
du
le
lils,
»
»iTA-rt
•
—
roi.
Le
on
on
il
feu.
II
fit
le
l-jr rn
.-
-iiJi
•
:
ö-nh
lui
au Christ,
eii
signe de
coupa
la tete
avec
et les
le
croix
une
au sujet fit
par-
glaive, et
ün
de grands suppiiccs la
la
prisoii,
car
qu'elle le scduisit et tournät son coeui'
le
le reniit (st il
un
ä
Teni-
roi l'avait
conime anpa-
foi
droite.
Aus-
se convertit de son errcur et crut en Notre-Seigneur le Christ
gloire ä Lui! Alors, son frere Kollos l'envoya vers
il
cieux.
de grands supplice.s.
lui infiigea
Notre-
ecrivit
eile ce qui etait arrive
envoya (chercher)
il
teile cliose
Le juge
ravant. Saint Kollos reprit sa sa^ur 'Aksoii et lui enseigna la siliM, eile
:
•>.
Oui, tu feras une
royaume des
lui iniligea
supplicicr;
••
Aussitöt, Kotlos crut
»
roi (les)
le
rt"?
••
Lorsqu'il eut eiitendu cela,
k
:
raconta en
lui
h^w
:
«Ir"
••
aD'na'Yi
uioi aussi, si je crois
sa so^ur, viut vers lui dans afin
ms.
5. >i45V]
h9"i
;
w.ti
lolony.
AhAh
-Irn.ii-
?rV'/
•
C'est ä cause de l'esperance de la vie
dit
lui
ä saint Tälos,
saint Kotlos, son
uu autrejnge,
«
d.'i'P
»iV
h«"»
•
\\tn^"i1^'V
Al'"!*
flXromJP
:
Jl-/*'
'.
•
h»»
:
ariirre de (piiuzc coudees.
recut la couronnc du martyre dans
Pour
•
[itl].
:
W-Vii
une fournaise de
Christ. Oii alluma
de
•
flH
•
hy)A.A
:
Est-ce que
«
:
l'envoya au roi Sapor et
l'älos et
^öM
superieure ä celle-lä.
eile, et le l'eu se retira
lettre,
de
le
•
(Dhni
•
7«
»
r/"A«l'A
ue finira pas.
([ul
chose?
{VlhTTA-
hn«»
••
Sant-, p.
s'approclia de Tdtos et lui dit je
nhiiOxi
non..e.
» Ils lui elireiit
du royaume
•
ffl"//»'h
••
••
tittih'i'
:
cf.
envers vous-memes?
h-VS"
•
bTA-n
•
ai'l\l::f'
•
"i-i-nc
:
Y^r'i
inöiv/
itth^.?:F
•
hol
«imft
öJ.f.n.A"
:••
(0"rH\
••
flrtA'.V
:
0.1'
h«»ii
•
'i-i-ni:
Jt«^'!'
••
yiTA-ft
tO'ti'l-
•
'>7/*'
f\(^.C.
••
-Till
hi'ttc'i'
•
—
pretre, (qui) la baplisa
i-2S\
a.
4'.8
•
rt.
ihr'
•
«»"lil.A"
hAO
?irt«"
•
JP«>-
i/'/ri/.
:
iir'
•
:
flI-rt-Tl'
H
'/•
•
•
rt"'A'
ri»i;".p.v.
•
•ii'"rt"/
••
h«n
//»«PiiA
:
••
rl»<.
IVilVh
•
n/.Ä"
ft.P.'I-
:
,MÄ.
•
Ah
.•
rtui,l,/.
•
•
•
r»Ä»»
•
.U-lh
ii«»
.('.'}/"h.
(»"ir'h'
A-ö'»-
du hapteme du
cliristianisme, en cuchette.
roi, et
«
dit
liii
:
.](\sus-('Jii'i.\t.
ce
qiii
Eils
du
est en eux.
contre eile et plices,
iiioii
en
il
sortfe
fi'ere
En
Kotlos.
»
Lorsqiie
le roi eiit
Qnant
entendn
!
A+«^
«!?,«»•'}
•
toh'iiV,-
h'i
:
«Jh'jdcj"«"*-
s'il
t'arrivait ce qui
a pas d'autre
le eiel, la teiTe, la
l'ait
äme dans
•
•
ö»-
/".J
•
cela,
Ün la
il
qiie
et tont
se fächa cxtreniement
hii inlligea
niain de
du martyrc dans
m'öst
Dieu
mer
le
de grands sup-
Notre-Seignenr
le
royannie des cieux.
ä saint Kotlos, son frere, on Tattacha ä la qiiene de clievaux (qn'on)
snr les montagnes, en sorte qu'il
Ensuite, on
oiseaux du
coupa en niorccanx
le i'iel
le
rendil
(<ju'on) jeta
son anie ä son Greatenr.
sur la nionlague, aliu (|ue les
uiangeassent. Saint Kollos consonmia donc son beau com-
bat et regut la couionne du inartyre dans le rovaunie des cieux. Lorsque les soldals
du
roi s'e« furent alles, le
un diacre de prendre cachette, et
ils
les
prirent les corps des sainis;
comnii' le cristal;
ils les
fiii
des
jdiiis
de
la
11s ils
s'en allerent
pendant
la
lin
la nnit
et ä
en
lestrouverent, en Irain de briller
ensevelirenl dans de beaux linceuls et
serent dans nu lud endroit jusqu'ä la
Seigneur ordonna a de saints pretres
corps des saints.
des jours de
la
ils
les
•
lU/"'»
•
(i>/M-n9*ao-
••
i*'V,f.'/-
nv
il
la suppliciät.
qn'elle rendit sou
Christ, et qu'elle regut la coiironne
cliassa
toi,
i'H'el,
Seigiieiir vivaiit, qui a
ordonna qn'on
w'Vjp'}
:
::
••
rt"7^. -
retoiirna vers son pere, le
Elle
(Ccda) vaiidrait mieiix pour
aiTive ainsl (pi'ä
A«>«;.<^'}
:
.ii
af)\.>yiv
•
h-ZlI.^.nji.C
:
=
iiT'i
tlTö
•
•
ViTA-ft -
höH'd.
=
hhA.A
fi^^A'i
•
Jlt-7l'/;.e>
:
:
r'.'HVoo-
••
m'}i/;i"i'
IL/-
.e.'nA(ij"
h\V'/
:
iim\
:
,f.ji..j'>'i'
hUUa»-
'
/'/^i;'«»"
•
=
•
'Till
?t'Vii.^'n
:
i/iii-n/;»"-«'»-
he»
:
inAh"iV
:
mAjf.
=
rt>>/"h
hiir
•
A./-
:
yjr.Tii'ft
«ivf-A-
[652]
«»-/vAii.Cnv'l-
••
»hV
i*",T
••
roj'/i/j»'«"-
•
.
n"il\'}i
y.'M:
h/W
••
•
A(iA.y
'f/».C.A"'i'-
r»AA'/..e4'''>
:
Wi
•
«nA(>A/-
•
(ltt>l\
::
••
;,.\'rt-ft
d.yyi-y.
^.'Äfm
riA.A/1-
^.nt.Vi-
j/?,'>jiA
•
mnny
•
.>.«J./i'>
M-
•
'|:rt
:
•
WM-'l":
Mh»"
•
?irA3ri
rt"7,e'l"
:
'rT'H-
;
t'.V.t'.rth
•
iiTA-Tl
••
ir'-l'
1,
•
u'i'i'
«»4'^Ylrt i-i
•
(iiir.i-c
j»»
A
rti^'iv/".'»'
•
'l'fl.i\
DU SYNAXAIUK.
|,IV1{F.
1,1',
depo-
persecution. Apres
persecution on hniv batit une belle eglise et on v deposa
.
053 (/•flo.
at-hU:!' " fnjiv
:
AA/i
VJi
••
"]F:i''l-
A^S.ft
^||.
mhV-
::
h'W
at'M'
hM'Ov
••
A'rjPTrt hffn
ao
«Wlf-
Äfft
rh/.
••
^sft
•
'1.
h»B
ms.
Corps.
11
n?,'M-
:
"in
:
••
iH/.
nJi^/n
=
T^V-*},
M/H
•
ms.
10. .cl-'/ilB] sie
•
—
se pruduisil pur eux
öi-rt'/'
=
l'j. .('.-«'»V.]
ce jour anssi est saint Jules,
Wqfähcs. Notre-Seigiieur
le
Corps),
ils
martyrs. (Ce)
li'urs
lui
disaient
Seignenr les jonrs .Inste
le
:
«
II
Ce
de
etait
saliit
la
11
les eiisevelissait et fit
Seigneur
I.es
l(>s
le
(Ih
!
w
=
le (>hrist
lui
et
-n.
Que
Iciir
ville
de
envoyait
ne
et ils
le
forcerent
appliquait des remedes snr
benissaient,
le
prophetisaient et
lui
voulut rcndrc salnl
le
nom
de Notre»
Lorsque
le
ordonne Notre-Seigneur, vcrs
Jnli-s
niii
le
au uom-
avaient prophetise les saints martyrs. Xotre-
vcrs 'Arnuinijos,
nom de \otre-Scigneur
•
mi-
•
l'impie Diorlelieii furent ecoulcs et que Consfnntin
d'Iu/i/iilc,
\'-
=
venir raveugleineat daiis
Christ ordonna ä saint Jules de s'cn aller ä
au nord du pavs
—
•
gardait ä cause de ses servifeurs,
martyrs
martyrs
il
Christ, et que tu sois conq)te au nonibre des martyrs.
du regne de
le
ms.
et prudiges.
faudra que ton sang soit n'^pandu pour
bre des martvrs, counne
le
le
saint servait
regna, Notre-Seignoni'
Seignenr
-/nx-
»"in-n
Ki. .e.il-n]
ne direnl rien du tont ä saint Jidcs
de sa main.
plaies
A-S.f-*
•
A^'Sfl
•
:
Christ l'etablit, poiir (pTil songeät aiix corps des
le
pas d'adorer les idoles, car les
—
WA«»
•
Art"?!^;'"'!-
uynvix c.
fl?i
:
Amen.
chacun ä son pays. Le Seigneur
coiur des juges;
•
••
W.Mtx
hlW.Ki
•
-n.hx
-
•
ffo'yir'-l'
=
•
••
AM^'-AJi
rtl'|'l"'/°A+'-
.f-fi-n
ms.
inartyr.
saints martyrs et qu'il ecrivit leurs coinljals. (leiirs
:
grands miracles
tlo
priere et leiir benediction soient avec iious!
En
hCfl-fft
hCM'i\
•
.•
hi\'(\
'
Trn
:
=
V'-A'f""»-
••
r/DV,.-j-}i-
f-ftA'/iiro»-
•
«».CtlA?» :
ÄA-f-
••
i\'nö:i"\' • (»>'V
T»"/!!»
«»-ft/'
^''«i.hi
•
••
"/.ri
«><<.'l'ft
• «»^l/H
rt"?«*;'-'!-
••
<«"P<*A
•
«.p.^» ••
:
A?."/ll.?i>
:
=
.f."»»-/.
:
A-|:
:
i^A'^
•I?.ftrn'>m.S"ft
••
^yiA'i :
ftö»-
:
fl'i^ll
:•
^'AP"ft
••
fAt'-n
••
l'^ftj sie
li'urs
:
i'.W'C
:
V,r\\
«o^.jPinC}"
hTMCtih
•
"/riji'.l"
••
'/".p.:"»'//!"
•
Öll'.-IJim'-
:
••
•
au
m-wv
"lo«-/..
Whi'l'
"t'l'P
.enC^lP'
••
mni*'
••
A"'|:
:
••
^^^^^t\
•
•
4'.()
«»'/»^h/. -'I-
•
o/.v
("h.'r'i'l''/.
Art"7rt;i-'l-
:
hr/i"i.
:
y.^MV-
:
'.
rt"7(>;i-'|-
••
l'hT/.-'l'
-.
h''hi.h'n,h.r.
:
^M'tx
:
SKI'TliMBKK
i)
Art"Vrt;J"i" " flj.e.'j-nc
:
,(','|h()Ö>-
.-
h
?»"?ii,>,.nrh.(:
:
y.'\hh\^oo-
^H{\
:
?inr/n
•
h'rM'o»-
:
in-r- " «»^'/'K
!
r/i/i.'/VlC}»'
h
PAGUKMKN
:r
le
la vilh,'
juge, et de confesser devant
Christ. Saint Jules s'en alla, \\nii(inijns, le
de (kinnioudi.
comme
juge, confessa devant
lui
lui avait
lui le
nom
IK
4Ö0
rnA-nrtlö"-
f\fi'nö:H'
••
hf\W\-
T
fli/hllVl-
:••
-f:
:
'III :
A
fl'/'A
«)^'^i/'|-
1ö:H'
•
AAA.iröo-
fl»<<,xö»-
:
IIT«»
••
••
6. >,«">•)'>]
//rt
.-
A'/':i-
:
'
/n/."/-
•
h'WnA.e
•
tiTPao.
"/fl.?
>i'\'V1:5i.
coiifessa
et
qiii
leiir
•
(1.
(Ofmtna*
ms.
•
VfA"
-•
ÄhA.
••
AVf'A-ö»-
iifm
/".Jiro«»-
••
aih.y.l'tm?
=
fl»>/*'Ä
•
y.a«'
:
?il'"4'.P'w
J*!-«^
•
'>i-/*'
•
mM'
«».ftfi-IK-]
•
-.
•
•
mhry:
••
h^m
•
M'-y^JI'"»'
:
hmi
Notre-Seigneur
il
A'/';J-
••
(\r"r\-
•
wr/
•
'/':'•
^.,t'.^v.u
rtIK-
?iA/' "
•
wm
A'l'H.fli
-.
rH"|-lA?iVi
'r')'i1^
hn-i-f-i
«^^l*/.'n}"
roh"?«!-
—
:
•
•
n.'/-
h'Vy'A.iro«-
ayh9"y:')/.'\i
gea de grands snpplices; puis cmpechait ceux
::
•
in/..
h*/"
••
[ÖB'il
(»:f-f\'l",.''Vr
:
•
rtllC}"«»-
(Dh'VVh
:
ms. (^ pour
de Notre-Seigneur
:
••
:
:
MW.-
?iftli
Vn
m'iviin
fli(',n-fK.
•
rt"7.ei!-
:
-IvhwC
hanfi^y
•
wühfifa»-
Ä'^,ex.l^
•
oiViVl-
^y:t\'\'
=
••
(k/n'}"//»'!-
:
•
r»rt<{„Al'-/-
:
M-J:
••
.P.'V*:.!»-
:
ö»' :
)\\\tr"
V"*.li»
:
öy^tn-
(»:f-A'if
h'ifi'i-
n.(-
•
l-
^A^rt
:
SYNAXAllli:.
1)11
l,l\l!l-;
:
^,a>-i^,.
/"
.-
Art"VA;i-'l'
{\
•
'i
fo.ftrt
le
Christ. (Le juge) lui
intli-
remprisonna avec de nombreux martyrs. On
apportaient de
la
iiomriture de parvenir vers
eiix.
Nafhalic, la feinnip de saint Adrim, parlit, rasa les elieveiix de sa tete et se revetit d'haliits iriiomme; eile allail ä la prison, sei'vait les martyrs, en-
courageait son mari,
femmes la
consolait et l'exhorUiit ä la palience. Lorsque d'autres
eiirent appris ce qu'avait fait Sathalie, elles ilrent
suite, le roi
dans
le
ordonna
ä ses soldats d'apporter
une enclume de
fer
eile.
En-
de forgeron
prison et im martean, et de briser les jambes des saints, afiu qu'ils Saiiite Natlialir s'attrista, (craigaant) qiie
inoiiriisseiit.
nc revint derriere avant tous
lui.
Elle
dcmanda
aiix soldats
(les aulres); eile bii l(Miail les
eüt brisees.
II
royaume des
rendit son
cieux.
äme
et
il
de
les Corps des
son mari
faire
le feu,
mais lorsqu'on
tomber sur eux une grande pluie
peur
et
(lui)
regut la couronne du martyre dans le
Pareillement on brisa les jambes de tous
martvrs dans
n'eiit
approcher son mari
jambes, jusqn'ä ce qu'on les
martyrs, (qui) consommerent leur marlyre. Ensuite,
fit
comme
et eteignif
le roi
(les
ordonna (pTon
les ent jetes, le le feii.
autres)
On
jetät
Seigneur
porta les corps
1
'
C
AW-A
:
*
PAGÜEMEX
3-
[655]
:
Jl',"
,P.
Ky\'
•
Mi-i;-
Art.!»"
:
flJAS.
^w.'iV-
•
flj.c.'in.»}"
Hin?»
•
•
i;<»/^"/r/D.(-
:
y.M:
•
n/;!--
[flJ'irJ'l'rt
::
•
X'/'^''»
:
flinÄvii.
SRFTKIMBRF/.
«»Aft
:
/rilAy.
••
/".'i
mhnH"
AM'j"
:
Ä.?..*
'/'rtA
•
•
ff^AU
(9
MW
:
h^/"
:
vv
hm
•
h\W
.e-'/nx-j,
••
.-
lO^'HM".
=
tm^rVt
:
«»AP.
rt/r
CIIA4-
:
?i"/ll.^'nWi.(;
:
.ft^wcrio»-
•
•
.'»'.t'-VJ
^J'Jl»"
:
ny.oo- « r»v/"^
•
=
',51
••
'JA'/"
Ar/nAh
•
••
••
:
Art.'/'
:
\\an
:
:
T ^11
my.irVd
ä.5?..*
<w.AÄh
:
A'i"'V
:
iX^'l^xM
•
:
••
«>• •
?i'r(i.'/'
h-ziLh-nwu:
tn
••
I
7. «iTAn-;:]
Aei/i., p.
f]
P
nw'.
P,
üan.s
16.
— 14.
Quant ä
on
apres
()
.s.n.ir
des marfyi's ä (laquelle)
A 1»*. — 7.-8.
(),
la ville
A—
i»-.
— 15. ^^h.]
II
le
Christ
la
protegea coutre ce (juge);
la
ce jour aussi est
Tut
la
au centre de
iils,
etait
avec
Ic
I»
.S.;(".f. fl.
Dillmann, Chresi.
—
l)
1-.
son saug. Sem
(lu'il
de
llls
qii'il
serait
Que
Tut hatie,
le
II
u
dans
maisNotre-
Seigiieur
le
sacriiie
prit
ilu
ait pitic
pour
l'ds
II
lä et
Amen. du Sei-
|ir(''lrc
de»//;. Lors-
lui
et
de
montra que
qn'il
le
railielerait
Seigneur
l(>s
placer
Sauvcur
le
Adam de
de son pere eucacliettc;
kii
de
Seigneur ordonua ä Nor
notre pere Adam,
douze pierres
vin, qui dcsccndirent
du
Qäi/iidn. iils
au Calvaire.
vinrent (au Calvaire), alors qu'un äuge
pain et
l.>.
eile s'eii alla ä [Bisdyä), Tut
fut ne, le
prit Melchisedec ä la inaisou
sedec fut institue pretre.
—
.rc
luort de Mcirhisi'dec.
la
corps de
la terre, c'est-<\-dire
du mondc viendrait,
le
paix.
eii
nicmoire de
äge de quinzc ans, apres
d'envujer Sem, sou
avec
—
priere d'cux tous, et ([ue leur bcnediction soit avec nous!
gneur Tres-Haut. [Melchisedec qu'il
<>.
—
A.
apparut par eux de nom])reiix miracli's et prodiges.
coniptce avec les iuarl\ rs et moiinit
En
P, ü,
sainte Nathalie, uii des juges la cherclia, aliu del'epouser,
Seigneur
nous par
.
de liisdyd [Pisulie?]; iine belle eglise leur
deposa.
les
.
— AO-A]
comm. de Zar 'a-Yäqob'.
la
P-vn.
tiu>
ils
par-
conduisait. Melchi-
et oirrit sur elles le sacrifice
du
ciel,
alors
(pi'il
montrait
le
I
Sd
Ii
^52
L|-,
f\h,'r "] ( -j-nAV«»-
hw)
•wy\-
LIVRK DU SYNAX AlHi:
flin/.ii-i:
••
.f.vnt:
•
pj/a-
aua-^-
•
•
'/tia.'/
Whi
=
[65G]
.
•
]
10
h.
'i.
—
ml-ft'/"f]
P --
P
iK-c.
13. .s.vr.]
—
«.tton.
7.
Ä-T-IA]
A'^.R.
m^'stere de la Loi noiivelle.
Des anges
vetemeni
ceintiire
de peaii
ctait
et sa
—
lui
de
i).
in]
les rois,
donna
la
il
ofTrit
pour
lui le
pain
dime de tous ses hiens.
II
11.
apportaieiit (sa)
eiiir.
demeura
II
Corps de notre pere Adam. Lorsque Mindnnn revint de
vaincu
—
otv.
la
ii
ii
/,-;.';/]
A
linv
nourrilure; soii servir devant le
^uerre, apres avoir
vin, (Abraliam), de son cöle, lui
el le
appele pretre
fut
el
roi
de
Sdleni.]
Oiie S(Tn intercession et sa lienediction soieut avec nous! Aiihmi.
[Salut ä Mrlvhisrdcr, ly[ie et
Du Verbe,
Comme La oü
(nit
eoiupagnou
qui est venu, en se revetant du corps de la Vierge! ccril les
tul edifie
le
sages (dans) les anivres,
Heu de repos pour
Ce pretre demeurcra
corps (VAdani.
le
a jauiais.]
[Eu ce jour aussi mourul Senipiun de Ijindoun. Ce saiat livres
de l'Eglise
monde. Puis et
il
et
df leur iuti^rpri'tatiou
s'en alla au
garda ses deniers.
II
ni'
pays des
mangeaif
;
il
pai'ens,
cpic
repiidia
fut
instruit des
tous les biens de ce
se vendit pour vingt deniers
du pain
(et
ne huvail que) de l'eau.
nih.i:
11
m K
hff"
•
>7(?ö"-
•
Chfi
•
h«"
ouniwo»-
•
?iA
f-LTif
•
?i'jH
.('-i'-n
fon-]
r
fi»A-
(),
A anv —
11
priiiil h'
10.
.
tous ä
In
Art/i-Ät'-'}
HM" ^s-ft
•
(A Art/..
A
:
]
/ii/"'!-
•
i>'V"m,(:
M
hhu.
rtin-).
P m".
—
de
foi il
.Irsiis-Cliri.st
leur raconta
aniour pour eux qu'il s'etuit (le)
contiiiua ä servir
mourüt eu le
«MV.
paix.
Seigneur
11
(le
••
!
-JT-i*'
-/Pi:
>»A
.w.
y.rAW.'i
•
"I-
A"«"-
•
(»hrw
•
•
n
:
•
i"
a'Ja
•
•
:•:=
••::]
Ä.1f-Ä-.e
hn-i:
:
ö. a»;i\.yi'.yr2
'>
•
mih
"•aii"»-.»''/.
J?"'
—
ei
un egypiieu
etait
il
il
.eii^-n
"''
•
a-«»-».]
<».
les convertit
leur enseigiia loiite la
libri'
que
(it
c'etait
par
veiidu et leur avait donue l'argent de son prix, alin
il
II
s'eu alla a
uu autre pays,
se veuditpoiir
eux
— gloire
Clirist
e)
ä Lui
Seigncur) parle jeiiue
el
de uous pour
les siecles
(an pays) de ceux qui
illes servil, jusqu'ä cc qu'il !
par
De
la
il
s'eu alla ä lioinc
la priere,
apparul de sou corps des uiiracles
ait pitie
'^11
=
rn-|"l''}P
hiMh-niiuC
••••
gloire ä Lui!
qu'il
du
les eilt convertis ä la foi il
•
l^^ll''"••
=
— ^ n-Vt] 0, A nm. — 13. moil] O, A ow.
—
12.
—
donnät aux pauvres.
s'appellent les Manicheens;
et
hwAvv
AW-A"«"-
=
hfl-c «
w-A-
-
'i'*/.
0\(^
"i.(X\
:
•
AV'J.e'J "
=
a-i-"
'
•
hX«»'"«"''
:
Sfig-ncur de les convertir de leur erreur. Ensuite,
Alois,
qu'on
A-rt"-'/.
innfi^i-v
•
:
P»^-
••
45.5
(iHVh'H'
••
A'/nv^.^.
hbw
••
!
incfif-rt
•
fl'?!'/"'!!
h^/'»
••
^/n'Jil.e'/.'jPV
i'WnA-
•
rtA'i-
:
:
••
hT'/ll.
••
"/,riv
:
rr/,i'."V';''f"
••
!
/*';Ji»'
[mriH-/:
loi.
•
Ji-nA
:
hri
'i.
('.rt«"^'
hrr'.'U)-
:
[rtA'r
'
:
"/nJ^'/!
••
'>«(H'
:
SP.PTRMBRE).
(0
hTtltlx-M-a^-
:
d»-?»'!-
•
htx'"*'"»^^-
•
?ifih
y.'"}jiui»-
:
:
im:
•
in
PAGUEMKN
3«
[057J
et
jusqu'ä cc qu'il
des prodiges.
Oue
des siecles! Amen.]
Je dis salul a Snapinn. rilluslre,
Qui
s'est
veudu
poui' vingt deniers,
Alors quil donua ce (prix) pour Lorsqu'il lui mort
(et
le
hesoiu de tnut clrauger!
srpare) du nionde de
Par sou Corps saiul un iuyst(^rc
[En ce jour aussi mourut
le
ful
la
duuleur et
ilu
lourmcnt,
revele.]
roi A' Ellnnjnr,
Tillustre Za\-'a-yn(iob, l'orllio-
454
LF.
r.iw
•
vy."Ti'-'\-
[rtA'/'
hhfft»
:
ntttm
nn/:
rh'Jft
p
225
••••
:
•
«.
ü
doxe
•
hn
tof'ftA'
•••
—
//'.
M"y:"n'.
rtnh.
tn/m-i^M
•
'•
n<;rii:
:
P
foA-]
M""*
••
.
<».
— A
[658]
r'i:"/:H'
9"i(\i:
•
•
i»".\ei-
:•:
tm\\\
hihH-
•'
Äö»p.'
••
•
=
•
hl»"Ah
'/»ri'f-.'J.e.-A
mtt^.T'i
>i'7H.>i-rM..c;
n.e
F.
'•
^'S-rt
:
4"j.rt
:
njaoi-v.
infrai.
•
mOftAP-ft
— 8. Hf/hfiy»] — 12. hVhxm.']
SY.NAXAIKK.
\)V
A?i"/ii.^'nrh.t;
hö/.d.
:
•
jfdJt-n
(BflJA.P.-
••
öAii-
P.
et sie
ÖO--V
i'or?:?'
(nh,?"tt
:irti.>,-1-]
Wi'i'cji"/.'
weh
:
h'tt
:
2. Yf-A>]
ii.
Ah
••
I.IVIII':
=
n
*
n.i,:i"c
=
«>.e(>*n
•
.Rö+n««-
::
"•
> A.
vin-c:
'hr'im.. —
ib. ?"fir]
n
••
ro^-nC'/?" «
m
p^a- («(V).
— —
^-v-fiAViroo-
11. '>{.«]
^n
:
— 11-1:2.
A r'r'm.C
n^RT-v] !)
Tapostolique, apres qu'il eut etabli de bonnes lois de conduite dans
(et)
loutes les provinces de son royaume. les siecles
sa benediction soit avec nous pour
Que
des siecles! Amen.]
[Salut ä toi, Zar'd-Ydiidl), predicateur,
N'ötant rien du tout ä
la foi
de l'Evangile!
(De) ceux que tu as gouvernes toi-meme, (les ecartaiit) des flots du peche,
qui agite,
Car
ils
Aucuu
ont ete devots envers n'est
Au nom du
mauvais
et
le
Seigneur, Dominateur,
aucun n'est mechant.]
Pere, du Fils et du Saint-Esprit, un seul Dieu.
LECTURE Dv 4 PAGUEMKN (10 septembre).
Eu
ce jour
[Poemen]. Jrnii.
mourul
Ce saint
Job.
Joseph,
etait
le
du
litisilc.
Pere saint, devot, ascete [iiiysd'Egijjilc
II
(et)
solitaire
\hba Baijmoii
avait se'pt IVercs; voiei (leurs
Boi/mon. Juaiiics et Ahnihaiii
;
ils
sc
uoms)
lircnt
:
tous
659'
h'r''/M"
•
tfh'
"" -IC
^.e.V
•
rt'prn'ft'o-
fl>-ft-f-
«»py.rt •
•
<".f.(ix\Tfi
•
h'/'Ayi
(.Vuh
•
:
inh^^t\
^-n
uayx.h
•
-wuh
:
••
.
•
:
y.niu:
o. w-xw..
H
—
'/"A»!]
h'Un
A
m.
•
AJi'W
:
tmcfi
«»VUH,
•
ivhii-
y-^'t
«i.'l'.P.il.
:
M"'m'
tW.
:
"tch-
-•
h»"
fl'Allm'l-
•/('/'7'r'V
:
-•
rt'Am
•
fl»n7.H.'/
nii-i^f-
•
«»•jt'/h-i-
i'A'/,„mi\
•
»^
hfl»-
•
:
fl)/'
:
Ah/..'^'/je'}
:
fl).i',vnjii
A—
iiioines.
-riH-;'.;-
—
»••'»•.
le
h'ry.
:
lint
(]u"ellc les Vit,
en disaut »
>,',"
ih-i.
la
1',
—
h'ifi
A mld.
ü.
:
•
t\hfm
•
rt-;.-
P
10. ii(i«/i>]
el
().
//>.
(av.
//;.
«i:'!-/.]
m.
:
A —
A
/•.
:
A
( 9"v^
mnj.l(.V] P. O.
—
•
li
=
h'im
•
//'.
y-vsn.
fM»-"i.-7-]
A>i<"']
eux pour läge,
i:K\\-
:
a
Aflh
n-rui-v.
:
n»»!'
nhi
fl'V'lIM
fmti:
•
»»(*(!
•
-I'/m/li:
•
Wf»
h'i^V
•
fl'i'.ll.
nat-tii-
A om. M". — = A). — — sie inlra. 17. A P,
a>,e,c.fi'fV .'i
om.
l'i.
h
P.
A>iy".
luuis Milxi liai/iiion iHait le plus
science et pour la sagesse.
joug de Notre-Seigneur
maison, sc
d'ici.
A
•
bWiin-
:
^icft-r-n,
A
M
{W'%=v
•
Il.'S
s'accorderent tous,
du monde, habiterent dans des endroits eloignes deshommes, porte-
lerent l'auiour de
eile,
P. 0,
— 11. A add.
>iV
grand dCnlrc eux pour
rent
post
'i.
,».<5]
(Halt l'aiiie d'eiilre
./(^f//(
soi'tirent
fl)i'.n.A"
:••
«».e-ii.
l'M'O'
:
h9"?:'H:
>iy"Ä'\>i.]
P. O.
l.j.
h,-1ir''l(:
'
—
8.
r'
:
nvs"'/'
•
'/"Hf-ftv «
-•
.f."l'/"/?i
•»••'/.
—
P.
•
Af^-jh
•
A~
i\
anle
Vö.
Ju/n
vfuv]
7.
:
Uhttfl
•
»,p.n.
'
c.,h:4-=i-2
—
-vrinj-]'
rt)'i;j.e.A-'f'
\M\F'
•
hn
•
'ir}'i: •
?»'/"
:
irj-l."
flM/rt
»A'irA'r
:
=
.t'.-nA'
• a^yy,-
h'rfinh
•
i:,h'.'f'-'i'
VVt
•••
'P.ll-
(1.
:•
••
•
MM
•
'Vll."/
-IflJ-A.P.-
:
aiW
«
•
SKI'TEMBRE).
^10
ffoWri'
•
<{.iö»-
^ri'ß'Prt
:
Txr-A^K
\u.-
m.
itt'iii'
Ö»'?»'|:
!
r»,h/.'|-
:
v]t/D
•
/..ii"/-
on
(o'iyA'
•
'ThrhC « fnhon-'}|:rt
:
i-
I-AGIEMKN
V
:
la
famille.
envoya appeler,
dehors
et les
avant
de s'cn
«
Si tu
Christ, allcrent dans la voie etroite et reje-
le
Leur mere desira
afin qu'ils
parvinssent verseile et
Mais eux envoyerent (un messager) vers
aller.
veux nous voir dans
comprit. leur obeit et
Elle'
la
generation eternelle, va-t'en
s'en alla.
Co Pere
consolateur des vieillards et des jeunes gens du desert de survenait un doute au sujet de la l'ennemi, venait vers
lui
;
il
le
parviut ä leur
les voir; eile
foi,
ctait
le
Sretr. Celui
ou bien une tentation de
oonsolait, et aussitöt
il
port et
la
le
en qui
part de
etait gueri de sa maladie.
Ce Pere romposa de nombreuses inaximes et des exhortations utiles au sujet du culfe el de rascetisyne dans la voie du inonasticat. II a dit dans ses inaximes:
mais
«
eveille
de sa chute.
Si tu as
vu un frere qui
son äme, consolelc »
De nouveau,
il
a peehe, ne lui retranclie pas lesperance,
et allege
a dit
:
«
son fardeau, alin
Enseigno
(lu'il
se releve
ä ton cceur de faire ce
que
A 3iüb
456 /»".'?
K'n-
Min
'
iL-l-f
h"7f>-
:
otM"']l ÄOTViift
1
A
22.;
IS
a
.
rt
Ah
:
Vi-
M'.y.y
i»)\{ii\
.e.n.
Ah:*"/.'*
:
"hhim
mwM\'
3.
A
P,
().
P.
.-»'A
h^vi
•
Ah»»
:
1
.f.h.f.'
'.
•
•
(7-.
M^r
pas
le
fais le
frere
«
frere
»
Un
"•
^/"h/.I)-
irM-
=
4"J.ft
••
,t'.'>Ji/.v
:
=
a^n-
•
.
dans
ma
les ueuvres sont
:
«
Poiir mui,
maison.
lui
/*. /i]
ii.
.
si
maison
m-i-«?"/.).
je vois
un hon
Mais
je
ne veux
et je
lui dit
si
Si tu
«
:
hiea deux fois plus ä un
le
mauvaises, car celui qui est malade a davantaL-c
»
il
il
:
«
lui, et
il
lui dit
s'appelait Tiinatln-c :\\
pleurait, gemissait et priait, en
peche contretoi; pardonne-moi.
disant
me
Irere, je
et je le rejouis.
raconta ä ce frere, qui s'entretenait avec
j'ai
-/
4-
12.
:
Baijmon repondit et
»
y avait un moine dans un couvent;
Seigneur,
h.>
=
(in
frere lui dit
4.
>,
Ort"]
'
.p.li.e.-i'.
bien a un frere hon, fais pareillement
il
7.
>,
>,->i-]
.p.-.
dont les oeuvres sont mauvaises, je ne Faime pas
faire entrer
dont
en
:
Ä»
••
:'»"i«j-Ai.ir«»-
=
n.P.f»T'
1.;.
>,-n.
peche; continuellement
ciel,
:''rn.
2. <»),..&/.•>/•.]
aTh»".
II.
••
•>'nfl»-h.i/"öo.
in-h
'/c^r/.
:
5. All]
-h
<>
:
Alors,
le
he.v
=
• ?."?ii.h'n.h.(:
ib.
().
besoin de remede.
qu'il
117.11.
••
••••
P, 0,
fl>A>.o»]
8.
langue.
un
},!,>
=
:'i«]fl»-Ä.V « «»«i.Ä'w
rejouis de lui, je le lais entrer dans nia
Yois
?i'/'?i'>h
hix""
.l'-dA"
•
=
i»"-/n
.•
m-M'
:
h'HI
•
h'W»-
•
rti.f.ll.A"
•
fluojp.-'l'
••
?.'/'rt"7,l'.
:
ViUHM
11.1-
ffc-l-;
(>.
dit ta
—
h(l^.
iX)
'i«>-h.irö">.",.(1
•
mhö^j.
rt\M
•
'l^^lh
rflA.(»-
i"-M-
=
i/riu»'i>"
:
C
••
— P, ü. A — A «onön — H;h ante P, 0, A O P hilf. (A = A). — ~ P, O, A J"*.— — ao-9" \\ A ii>.w-. — P, 0, A o o/». vvt. — — 10. on ~ ^>,°nl>] P. 0, A P. A, o ante — — — A hS sie). — (P ow. a] — ni;>.P.A">] P. 0, A A" A sequituiA
n-^-f]
„.-iT']
•
rti.'/"'l;}''rt
n,e.'/"'>
•
^Alu:-
•
^'"^ hm-h-V-
••
?»''"
•
«»Aä«"
.\^
^""
••
»*"iT
•
h'il'
M
hn
UU'.h
•
fliftö"-
:
(^n
h''l\\.hi\,h.i:
:
v»;a-
1. mh(iro->,] I'
—
OHmfch
Uhittti =
••
whM- /...r
•
a«»-?iI:
•
i/tiV
[(i60J
f"Ky''/'.'1'f-
••
hh""
•
Mai-
•
ll.'lf
•
''"h^ii./-
/•«'.-nc
::
tn-tii
KSV-'l'i"
••
••
i*"i',i'.
Mxi\\.hi\,hA:
mht\('«i':
u
•
=
*»
•
Atn-hU
:
qi>|:
:
••
A,'|-
••
^.7P.¥Vh h
•
'/"7IK.
«»-ft-l-
••
h^S'
:
:
(l,('.'/"'>
"/ru:
•
IM"
:
•
mhlUn-y^
•
11,1,1»..';"
:
mhin-r'h
::
w';y.
ni:
MuiJ'^i1^
••
DU SYWXAllii:.
LIVIU'.
l.i:
Pour moi,
»
Vint vers
lui
:
Voici
«
tomba dans
disant
:
«
une vuix du
je ne t'ai pas rejete, sauf lorsque toi-menie
meprise ton frere au moment de son epreuve. » De plus, ce Pere Abba freres, « Si nous-memes nous pardonnons les peches de nos Baymon dit «
tu as
:
certes le Seigneur pardonnera nos peches.
jours dans Tascetisme et ladevotion;
au Seigneur et mourut en paix. Que priere, et
il
»
Ce
saint aceomplit tous
parvint ä une belle vieillesse;
le
Seigneur
que sa benediclion soit avec nous!
Amen.
ait
pitie
il
ses plut
de nous par sa
In
/.
(vy.
•
^•'}rt"J
m.S-ft
15
>,J:
n'j'i:
•••
flJ^HH
••
O omot .
—
njnVrto"ft (O JO.
Ml] P
15.
rtViii-
'/-«'.i'.»»
A-ü»-
hy"}iii-
ce saläm.
7.
'\flft
"w.
om.
'fcfi
—
rt'.T
cv.]
in/.
:
A
(»
s.
).
A
monA>.1i-F]
(f).
—
A"öi>-
••
A'irj'f:
:
(?"?.
.•
hfl
•
hv©-] P
'2.
ar. luev.).
— —
6g.ah.
,").
(A
:
r:h.'/
:
1*.
h-ll
f/ofii
:
A
hJil:]
•
«fcftm'J
'i'(nt}U:o»-
//'.
u/n. mhilil
•
aDK;h^.
:
A.OCPft
•
c?"?.).
post
ib.
m-A'/'
!
h•i^^
•
<).
.•
ro
cvi'/
A
:
rt*.
Art.
—
onA>il[i>. 13-14i.
—
it.
«i->,/:
—
-Wl
A-Pj^^n
•
— A
(P o>n. niv/:
A; P,
n'/»i'
.•
»DA?iln'|-
:
« fl>Är/i^.
>,>vnv-n] P.
(D-n;] sie
i;>.
du.
•
«wjivh^;.
rtJ'wA^Jl'f-
nAtV]
SEPTEMBRE..
(lü
^^>h
••
.e-l-fllht"«"»-
:
Jf'iflfn
•
ht\.
—
^^h
t?<w
Ah'Vii-
(sie
••
m^r'h
•
hlR^-
1.
PAGUEMEN
4-
[661].
().
A. O «(W.
•l-.'Jfi.
Je dis salut ilaus ina langue raortoUe .Vux sept l'reres qui
Lorsque
Tu
«
ni'
saiul
fiit
('.oiishuiliii
tolique de
nuus
.
Lorsque
la ville
du Pere
ffois).
:
monde du
cirl,
»]
de Home dans les jours de sou frere, eui eliasse
ville
d' .[Icrdiidru',
les aider.
11
les
il
saini,
eliassa
lavülcde
les recevoir.
Lilil-re,
II
(•crivit
lettre
la
de
Athanasr TApos-
eucorc saiut
pour sou frere
pour eux dans
llonic.
('.onstunrc, lils
le
lettre,
l'diil,
Pere Libhre
reeut, les iutroduisit aupres
pour eux de sa pari une
jiar ia. l^orsi[ue le loi
lettre
le
saiul Pere Lib'cre, palriarche du
la villi;
la
lui dirciil
ils
de ConstantiiKiplc. Tous deux viureut vers
demandereul de
ordonua de
li'
('.(insUntlin,
sou siege de
Constniicc, obtint (lui)
voyons uue
(te)
prepose sur
patriandie de et lui
voulut les voir,
leiir iiiere
jour aussi uiourul
Vai ce
habite une grotlo!
pourras pas nous voir dans
Si ici-(ljas)
Ce
<>nt
du
roi
Coii.staiitin, et
en les aidant
Cmisldnliii cut lu la lettre de sou frere Constance et la il
les re(;ut et les
remit
sui-
leurs sieges
comuie aupa-
.
v
m
.,
LK
458 *
80
SYN'AXAlllK.
I5K DL!
l.l\
[G62]
...
*
ii.
(V"7.
irj/.
tnh.lfi','hitt
•
«»'l'/A/.
an /.
n
1"."%
•
•
:
A-ö»-
••
^Irt
Cf-ft
:
P. 0,
(P_ /]
A
.(•.•V/.-.P.N.
^ti,;:,,i..]
A AIIV* P. o. A
=
h
a;ii
.
—
•l-J?'^..
—
—
3.
7. fl»rt..')>'r/] •
13.
Yl""
=
ft.
post
>,fni
lui.
P,
fiit
(A
.f.
A
«»vri^:
.e.x'j«-
••
"
hö^.i.
in* P
— P, A A
.f.
ac?^.
— 3-4.
lo/ij-;, .e."?.-»-).
rt(/(^
•
()
—
ho» (0
^#,n
=
•
:
©VO
^.>*<'.S"ö»-
•
MI
:
'»Jn,
ffl.ftlmn'i:
=
10. iDytii
:
(>,
^*
il
••
n»/'/
••
:
miiv
:
c:l-<^'l-
^.H
M.
—
••
o'f.
'
ArlrUJl
=
ilU
h9"y"W.
«T
=
«JrthAJ"
"/.«n-i:
y^'.«'/'."-!-
•
"//«"i: « «»i^
•
ü»-ft'f••
'VJl
:
t\
<{.W«
••
"///»'l--
•
-^n
.•
'"'HI^:
=
:
»"'HU
•
,e.'iv/nf'r
••
ö>-?i'|:
•
••
Ih
«»Hl
:
2-3.
.e.c
A — mnc:«»— 7-n. no» — A,ncffi] P, — 12. P, 0, A «»nin]
P. O,
fflj.
Vll.
S.!!]
A).
tue clans la ville de Raine, Cunstantin euvoya
ä Libere de l'aider, de chasser Athanasc TApostolique de la ville
dWlexandrie messes.
=
h«n
•nil-:'"/-
••
post
2.
:
'
ht\\\
,h<pr:.t"i.']
ravant. Lorsqiie Constanri'
demander
ti«"
aH"l"t^'l'
•
—
(0 Mi)
«Dvn^c.
•
ajy.f\!f:F'a^-
•
A
P. 0.
?ii»"ri.^.-i-
A«w>f:'v.'i:
:
(oywnio»'
^•n
:
yi'.W'i-
••
+«;.'">•]
1.
.^-h]
f!.''%\)C.ao'
(ohm\
•
W
•
:
»IDVI-
••
U:
••
irj-i-
••
lohru
-
W>/.
•
lu/»
?»'/'>.ii-
=
flrJi.i:
•
ö'A.*V'J-
hrhy^V
tiMCVti
•
(.vi,4'>
.-
io(\h(V'
••
<"A.'/«»yi<^.
••
h.e.n/.'l'
••
rthA-J""»-
:
-H-j-ii
:
hl\
=
(o\ai\\i.
••'
'\aDi!.txy
«»><:
(J,
A'irjl-
••
w
-.
A.iU;t'n
••
*'Jft"J « <«?il'"Ä"V/.'ll
•
A.*«»-'»'!-
«Jl>"ftA.l)-
:
(',"7,rn
:
riUt-
IUI-:'"}-
:
tutie,p.
••
HM:
•
'Vll
••
tu^iV'i-
:
rtM^O'
•
'l"IA
•
All
••
1^"%
:
•l.'.fim'Kn.'.'Tl
•
«»'/•JH'>'-
•
hi:v't\
iixiitt
hA
^Mtt
:
et
[Libl-re)
{Constaiitin)
de recevoir les partisans d'AHus.
n'agrea pas de le
lui
11
lui
lit
beaiicoup de pro-
cette deraande et ue s'accorda pas avec
chassa dans un pays lointain. Puis
qui avait tue sou frere Onisldiirr. Eiiriuite,
il
envoya
tl
alla ä la ville
tiier
celui
de Uomc; avec
lui
demauderent
ils lui y avait les superieurs des couvents et Ics archiprelres; dans la ville de cliarge sa de de ramener le Pere Llbhre de l'exil au siege de nome. 11 agrea leur deniaudc et il ordonna qu'il renlmt (en possession)
il
sa Charge. Lorsque ce Pere fut revenu de l'exil, charo-e; continuellement
dans
la foi
tations.
11
orthodoxe.
11
il
il
instruisait soii troupeau,
siegea sur aliii ([u'ils
composa pour eux de nombreuses
le
siege de sa
iussent fermes
honielies et exhor-
hitta contre les partisans d'Arius, les anatheniatisa et les
munia, jusqu'ä ce
qu'il
pendant septans. Que
mourüt, apres avoir siege sur le
Seigneur
benediction seit avec nousi
Amen.
ait pitie
le
excom-
siege de sa charge
de nous par sa priere, et que sa
In
^
PAGUEMKN
'^^
[663]
(11
SRPTEMBRRi.
459
*
hh^d.
r.
lf\f\9°
m
:
hr"/
V-9"
•
Hin-
1. rt'\ir (?//.] .f.
!
Vi).
ii.tt-1-"'AnA.
—
n«^n(>
Aji'.'P'/.ii-
,e.H.h(: :
•
•
\t-n
"ifo"]- :•:]
Hh'W'rtA
•
l\1i.
—
iV/.
ein
••
vfi
mrt'Ji-
UhUnümn
:
A
:
•
••.••
öo-n
•
-i-
:•:
flulU-
:
A-
ro]
'^ao^]
.").
P
til\^-.
Le saläm de 'Amclu-.Maryäm manquc dans 0.
S. dJfi'vl-]
P
>
ö».
—
13.
MI
— 'Mfi] P,
<».
A
"i
.
—
ffl*
'
— 7.
(U
rt.ü'P'/.O-
(i,
"VC^i""] 4»
!
ffl-V
:
ll/öDfiA]
A WV )
(sici
=
A k
(i>Ä-r/A.
[Salut, salut au Pere Liht're, patriarclie,
Patient
Alors
Apres 11
ilaiis
Tepreuve
qu'il delivra
son troupeau de
qu'il eut siege
mourut
et Texil,
dans
(sa)
la
gueule des loups
!
charge,
aujourd'liui, la scptieme annee.
[Salut ä la douceur de 'Amda-Mdrijdm, qui resseuiblait ä (celle) de la colombe,
Alors qu'il devint prudent Lorsqu'il se souvenait du
comme
le
jugement
serpent!
(et)
de l'heure terrible de
la retribution,
Le sang de sa plaie, qui degouttail de sun dos, Mouillait (soni coussin.J
Au nom du
Pere, du Fils et du Saiut-Esprit, un seul Dien.
LECTURE
En
ce jour
mourut
le
m
')
i'AGUKMEN
pur. vierge
(et)
11 septewibre
.
saint Pere Abha Jikujucs, eveque de la
P
iüii
b.
wo
1.1'.
Jf'i^ti
mm.
•
rn-'iyY.
oi'hV
••
lo]\i^,^ yv0-
m-WA'-
:••
"iW.
ftn 9"F.'l:
:
-V
rH-j;j.e.A-|.-
A'/Dfl'V.-l:
o»-
A
:):!1
:
•
«»Iw'j?.«»
AJJUV'I-
i.^f">
•
"/.«n-J:
a-a"-
?ii>"'f-ff»'r}"
ivVP
üi|'.n.A"ö»-
:
Ar>A
ö'-ft'l"
!
-l'H'iV
'
••
e.'E
:
'/'ftC • tn
Ifl.^i
!
4'.«'.-A'l-
••
i»'V^
••
« öjy«
'>tn.h
?ifiVi
••
C'IA'I-
•
'
a-
•
h
•
m^ai-Fao'
'}ft-/;l'
•/.P.''7'."'|-
i\tn>
•
IH'J^.'"/.
•
"•
-•
«)Ä«>-/'
n'Z.11.
h,'\''\'0\\^'
••
iO'>ff:l\':
^n-i-
•
•
htift-J:
:
aiM-^:}--'r
tm^iiyV-i-
:
n.'i-
i/'l/.
:
iw"
•
wlÄ'/'»'.
••
••
«"\/>a
S^'V^'m./.-'l-
tD'M'
f\fi/i
?i';""?.f.A-
•
=
RflJf
,WA.C
••
;
=
JiV-n^.
••
••
•
hTi^xCi-
•
mYx^rCA'
•
}t«»-
•
A?iA
:
•
*?rt
•
aöa
••
=
•'/.jp*v'i-
'HA-l'.xh
•
-.
(Djpinn
,e.X"JO-
.-
wfi-
VAx'm
•
••
hXf\
•
(lü»-ft/-
1.^-A"
\\af>
:
!
a.«!«
.•
mM\
.•
M
••
II.'."
lo^-l^'^oo'
••
fOhllllö»-
•
•
fl)(?(;;h*ö»-
:
wAH
••••
"///d-i:
Arii'im-
•
anmuC'a»-
••
10
•
JiiP'fci/'o'»'
!
IM""/
••
«)^.'M;hf
•
,t'.''y.uj?ö»-
\!.^.i\.h-
:
tm'nv.
r«'i-i*',e.o»
••
V'.Witx
•
••
öjjpriiiiioo-
:
ao
•j.d
il'Wl-?!
••
.(111-:''
:
[ßG'.]
/i.'iio'i-
^S/l
•
?ii»"n'}:i"/'
}\1\\M\d^i''
•
w'iv.
fl»-
ha
•
'/"ni-.^p.A
A'M'i'i-
Jl'M-
•
"it/o-h-]'
:
A4"»-n
:
>
rhi'.
DU SYNAXAlllK.
VIU',
1.1
:
4''i
b.
ita
A
1.
AnrviO P. o,
A
hie (et inlrai et
ville
l'.iiirr.
ni
—
.
0; P
li.
el
Cet ascete
>P. o, A. — u. — ^. - 10. -MU'-]
A
A—
f>.
di'-sirait (daiis)
«».
A
n.
du
ville, alla
au desert de
et habita
dans une grölte, (qui
—
12.
y"nrti,-!-t]
f.
sou äme, depuis sa jeunesse, revetir
monasticat, qui sont les liabits des anges.
les habits
saiiit
w-ni-] P.
>,n]
partit de sa
II
au couvenl de saiut Abba MacaiiT, partie) des grottes de saint Ahha Jean
Scete, c'est-ä-dire
faisait
pratiqua la devotion et Tascetisme pendant des annees nombreuses. fut etabli archidiacre de l'eglise de saint Ahha Jean. La renommee de ses
le Petit. 11 II
vertus, de sa science et de sa saintete se repandit. il
Tut elabli
Charge, il il
il
eveque de
la ville
Le Seigneur
du Caire. Lorsqu'il siegea sur
le
siege de sa
son ascctisme, et
jeCines, ses prieres, sa devotion,
augmeuta ses
le choisit, ot
ne se reläclia pas, dans sa cliarge, de son ascese d'aulrefois. Continuellement instruisait son peuple:
qui leur elait caclie
sement du
peclie,
il
les
peau
et leur
il
leur lisait les Ecritures et leur interpretait ce
rcprenait
qu'ils
demeuraient dans raccom})lis-
ccux qui
excommuniail
Mysteres Sainis, jusqu'ä ec son bon combat,
il
et
eussent
de
reception
des
les
eloignaii
fail
penitenee. Lorsqu'il eut aclieve
tomba malade dune courte maladie.
reconimanda d'etre l'ermes dans
la foi
II
la
appela son trou-
orthodoxe. U appela les
Prenez garde de ne pas etre neglitrents au moment du sacrifice des Mysteres üivins. » II h'ur certilia (|u uu grand cliAlimi'iil leur eonviemlrait, s'ils etaient negligents au monieiil du
pretres et leur
donna des ordres.
II
leur dit
:
«
M
h9":''(n.Mlnu"-
•
"Vi
Ah
•
roriH'/:
vn„fc
°rH\
•
'IhTCl'
•
401
tmt\'Vt\
'J.d
lÄ-
:
fl»?i'J
=
A
:
Y^bu. vn.jp'i- "
>n..e.
u'i-u
•
•
P, 0,
2. m>,?».e:'V
lo-i
:
:
11.
II.
Mysteres divins
des
sacrifice
dans
et
vos peches.
'i:An-1-n
fl/.'i:vvi]
la crainte
Puis,
»
il fit
(et)
s'ils
)
:
vn..e.
signe de
A
P, 0,
(ar.
••
hn-u-
/wie
ffl>,i>"ii.
^^1^^
jo-'j
/6. rli"?!»"]
•
—
la croix
il
leur dit
:
et
mourut en
aux eveques
;
on
»n«P(iA.i/'
4. >,7^(»-
—
les
dans de beaux vetements,
eveques.
que sa benediction
soit
Que
le
.-
>,Ä'f;u-]
— 10.
ii07<:]
(l'autel) «
dans
la
Je suis pur de
yeux ä
comme
il
lui
seul
convient
sur lui de grandes laraentations et ou l'enterra dans
fit
tombeau des Peres priere, et
l'ensevelit
=
sur son visage et sur sa poitrine;
etendit ses pieds, mit ses mains eu croix, se ferma les
Ou
AA,«^,ft.en
o^-U, -Vj).
il
paix.
n
•
A «a»'.>-.
ne servaient pas ä
du Seigneur. Ensuite,
le
hTÄ-
'jn..p.
JiÄ*
A '>äO>. — iDMi\: 0, A V. wh-iöl-tt {A — — A
iii'-/ii
purete
=
••
m-i\
•
höi\
:
Hh'rvfoee.*'!'
:
Ke'fii»-
0,
yöJf'-tt
:
öA^-
•
1. fl»rtri;i'fi>]
P
athTV
-.•
SKPTRMBREi.
(11
•••
[rtA'r
li
PAGURMfiN
5'^^
[665]
Seigneur
avec nous!
ait pitie
le
de nous par sa
Amen.
[Salut H toi Jacques, rillustre
Evequc de
Au et
du
la ville
du Cairc!
jour de ta mort, aujourd'Iiui, (de ton repos) du
Benis
le
cours de l'annee
Gar un Docteur accorde
Eu qui
monde de
la
souffrance
t<jurnient, et les fruits
de
la terre,
la benediction.]
ce jour aussi est mort
(fait
partie) des
P.\Tn. Uli.
—
T.
le grand propliele Ainns, perc du propliete Isah', douze petits prophetes. Ge juste prophele proplietisa dans
IX.
—
F. 4.
•
;j|
*
p
227
462
Mir'i'
}x{\/.h.fi^
•
viz-föi»-
(»{'•/ttV (>A-7-
m\Ki\-
••
fl>?it"
y.'l'M'
{]
•
i'T'/j^ö''-
!
t\xy",»o'i'
:
3.
WhVKf^
A — —
j^.jji l- '^.].
A
— «oAT.
miKi:.
^hirv
;//.
(<) (D,('..>,i,>o.
:
12. ^icfi-y-n] P,
iiö"
o
:
llftfi,
:
>,.fnfi
>
••
rait
-ntJA
\\fn>
a^-a-v.
•
:
»Wi.i'.
••
ivifvr
:
Wy.M:
•
••
hiXi,
•
ticM-
Ahnw.h'i
•
r»n/.h'i:
fi;a-
•
rt\M
••
•
15
=::
.
/ä.
(>,
(ar.
fl>]
•
tny.-l.h
•
All
:
-nJi.e.
.-
^^ii^-n
>
r»//iH'>
••
to-ft/-
:
•|-/A}"
yx ^-i-
••
jiäA"-!--
••
vn.i'.
••
A'/'Arli
•
.•
A,.('.ii-'eJi'i:
:
"?Mia
;
?,0n'>-|:
.
h'r^yjfm
•
?il'".«'.'V.)l
(ar.
A
(n-/-Wi>B-
•»
tv-u
'
•
Vi
plus.
7.
.
'Vx«.
:
II
;
tl")
t\tt,hh-.
et
h.p.M
fljjc>/i.>xx.]
j;
•
:
.
Tous
Joas, Aiuasius et Osias.
:
50 ans
du prophete
les jout'ä
•
?^l\'"'\-
nrfiö»-i:-i-
••
aö"»a.
:
mV-r',U\yax>-
••
/)..
A.ft.->
poinl (leurs) saci-ifices
dans
vf-A-
leurs rois et les rois deJiida;
d! Israel,
ihW'i
•
•
•
i-j
••
A — rV. — 2-3. W/V/"-!'«»-] P, 0, A M — — fl)h.nyo-] P, 0, A —
Ifs jiiui's des ru'.s iV Israel
phetisiiic fiiroiit de
yii\/.h.l\
•
»«'Pöh
vr-A-
?,"/ii.?,.nj..i:
.•
tnahil'
••
y.rAw.'i
.«'•a-
htfn
"'J«v
•
(k/o'pi^A.i)-
••
m-M'
fll'I
•
um]
ih.
4,
örtV] P, 0,
V>.
••[.•
rnj-vne
••
K.
—
A
•
A?,-Jil,?»V
••
Vr
••
von.
•
A
P, 0,
h^K^-iniv]
fli^nu'-r-«"»-
hi\\.hnih.c
::
Ahrx-
[{^^r 1.
ht\\\
h.'f'vh'i
:
:
m-M-
«».im//.«»-
•
inhT?x^
^yA\^\'
•
n^/A-/:!!'«»-
•
Oi-t\\:\:
••
(nmy
•
(nh.uv'O'
••
I/(1Ä M>"'»-
•
••
y.ii-y,
•
/1i'"/"7/:j>-
'l'l'IJAT
•
(nhhrr:
-
y.
'udv/.'/-
:
(!>.'>•/
••
h,\'hf\
••
-•
«"/"'!'(>/•
|-
nr synaxairk.
T.F i.ivnr:
*rt-]
i.').
les
jours do
S(in
pro-
reprenait coiitiiiuellement les enfants il
leiir
assura que
le
Seigiieur n'agree-
immoles, pas (plus que) ceux qu'oiilui avaitofferts Mo'ise,
au desert.
11
prophetisa toucliant la Passion
de Notre-Seigneur; louchant robscurcissenieut du soleil-en ce jour-lä; toucliant
ci'
qui arriverait ensuite aux enfants d'Israel. en fait de lamentations
et d'alllietiuiis
et leurs joies
auraient
i'aiin
savoir)
(ä
:
comment
en plcurs; (comment) soif
et
par suite du
leurs letes seraient changees en tristesse ils
manqueraient du secours du Seigneur,
manque d'enseignement
et
de science,
seraient disperses dans tous les pays parmi les nations et seraient ecorces
comme
Tout ce
l'ejjeautre.
demeurcnt dans
qu'il prophetisa sur
eux s'acconiplit,
cet (etat) jusqu'aujourd'Iiui. Oii dil (pfils le
qnil augmenta (ses) reprimandes aux pecheurs.
de iXotre-Seigneur
le
Christ, en
Tan 800. Que
11
le
[Salut ä
AiiKis.
predicaleur de
la
eux-memes
tuerent, lors-
prophetisa avant
Seigneur
par sa priere, et que sa benediction soit avec nous!
et
Amen.
parole d'Elohiin,
ail
pitie
la
venue
de nous -
!
n'/".p.v.
5
«»fK-c
fflL-'> ffn,e.}»'
Jiv-
^c/"^»v
•
A.« tnc'.n,
•
htxao
•
•
lo-ned
'
ti^e
••
•
?»'1öj
•
•
•
h""-
v/a*-
IK-h
••
^n
U^.'l'y.
*s./i
••
ncA'^
:
yy:iW
••
•
•
t'
:i-
.
ih.
.-
(
-
>i'V-l-
mil-ll
8. (D-n<.r.]
5.
«C.
rt(/c?.
ö<.4'
=
(DA.e.
«rfc^.
>,n
iiÄ4'.e]
Dans II
la terre
de 'Aqurim
et
Le micl degoiittcra des montagnes de tous
En
le
lait
ce jour aussi
sans iiielange
mourut
le
:
'.]
Pere saint
et
bienheureux Ahha Bdrsomä. Les Ils
craignaieut
aimaient les pelerins et allaient dans la voie du Seigneur. riclies
rent ce
fils
Seigneur
eu
or,
beul,
ils
lui
et
H.aA-l'.ii-.
cötes.
parents de ce saint etaient de la ville du Caire.
mement
O,
de Taquphe [Accaron et Thecue]
niontra les jours du Christ consolateur, en disant
Et des collines
i/h
fl»TrX.A
(Dao«,li'i:|]
.
•-
(fa»-,
0.
:
••
AW »A
— onOC] P — — ante P, 0, A 0, A — ©^A'I'CSPö»-] P, — tO-V. — post nc<»'^ P, 0, A A m). — P, 11. tDhJii] P. 10. 0, A > P, 0. A A = A. — 0, A A ©>/">,. — 12. /»•?] O.A— f. — 13. "V-^rt'H] P.O, A 1A.f.t. - 14. 1. ffiff^'A]
rt
••
l-s^"!«:-»"
aiij-i:
••
^'\n
•••
flj.e<{.4'f:}"
«»a.?.-
^sft
^-SA
rirD'JlA
•
•
nn^'^
•
^i'iii.h-nwi.t:
manoop
••
ii"}'!:
:
=
Kn
••
ahm.-
tnf\y:9*
öj^-'Hi
:••
.e.lL
•
'>'}.ri
?»";ii.Ä'nf/i.i:
•
fl'An
•
*tf«'.e.-:'.jrV
:
mc*{\
nrtAi»"
••
•
rtii:
•
••
n
•
hiviiO'
\\'>y.i-
•
m-'i
•
hfl
:
h'nn/.
••
taM//i-
i*'V.f.'i'
"^Tp
vf-A-
^(i/.
:
h»Wiä'>j"
ncr^"?
:
Jiivn
imyvy-
•
463
«»'i-i'"-'/.
Mi'/,'i'-
••
SKI'TEMBRE).
11'
••
•
öM-
:
^sri
:
h.'iv.T
••
öinH'/;
*
l'A^'l^l^'^l''^'
''"
[6671
en argent
et
en nombreux
Tappelerent
lidrsdind,
enseignerent tonte
la
11s
le
Seigneur,
etaient extre-
biens. Lorsqu'ils engendre-
l'eleverent dans
la
crainte
du
doctrine et les Ecritures de l'Eglise
Lorsque ses parents eurent acheve. leurs jours dans une bonne vieillesse et furenl morts en paix, le l'rere de la mere de ce saint s'empara de tous les biens qu'avaient laisses les parents (de Bdrsomä). Lorscpie saint Ahha sainte.
vit
en
cienr sur la
soll
Sauvi'ur 1.
Joel,
empare des biens de ses parents, il medita de ce monde passager et il dit « Voici que Notrc-
que (son oncle)
Bdrsomä
dil
III,
llii
s'etait
dans ri-lvangile saint IS.
:
:
Celni
ifiii
veut suaver son äme,
ijh'H la
332 a
:
•
rt-
AI'.-;.«'.'}.
Wt\'
••
tfio^'V
M'h
p
227 b
^lA
•
pii-
h-nji-c
•••
//-"/AI-
•
«»viv
•"
iiDin
:
ö^-'V
••
mm«
:
<»*/
•
"AW-
•
avj-.a-
••
iti-
-'in
hlw/?.
•
•
n"/'!-
II
A
P. O.
«)|in
7
:
»..All ft]
(iJ>n4
(7(/c/.
rcjt'llf!
rurlidt
riiiiiiiiiic
at-M:;)-
,1c
irjrti'
'
.
.i'.vü'f"
:
son
diiir
rrrili-,
dr son
je
•^•iint
=
-^i.n
:
ä
.p.n-rt
=
«»»r>
P, 0,
P.O.
posl
h
H
A A
nnÄoo-VA^.
iioi^n
:
H'mc
iimi
(!<
Iroiircru.
In
— O. A
11«^.^.
P.
pcrd smi
dis
Voiri
:
ij'ie
Pi'ir (U'cc scs aiii/is saiiils.
Qiie
si-rl
I'hoiiiiiir
vk-mlra
cl il
le
«
jxnir
Fih de
rrtn'lnuTU vhiiriui
»
hors de
la
ans,
ciiKi
ville
sous
et la
lil
comme
chaleur de
Ji>h
juslc
Ic
l'ete
c)
le
(Irmeura
II
froid
siir
de l'hiver,
un lui
avait les reins coints qui ne portait pas d'liabit sur son corps, mais ötait lui et Bärsoniä. saclie quo tu de cilice eii poil. II lül ä lui-iiieme «
A\m
morceaii
dois te
par
teiiir
la priere,
:
nu dcvant
le
Seii^ueiir.
»
II
praliqua la devotiou par
par radoralion, par les veilles, imit
et joiir,
le jeüiie,
sans interruplion,
Ensuite, au point quo son corps devint secet quo sa peau adhera ä ses os. que « Que je me leve et que je lu'en aille de cc lieu, afin il dit ä lui-iiuMue :
les lu!
hommes ne me connaissent me soient j.as (decernees)! »
saiul Mcrciirius 11
1.
du
pas et 11
([ue les
partit
louanges vaines de ce luonde
de ee lieu
c(
il
parvint ä Teglise de
(liiirc.
grolle qui (etail) dans ceLte eglise, en y avail uu graud serpenl daus une Mallli.. \vi. 2Ö-27.
10
•
iiö»]
«?«?.
:
•
uim.Ä).
a raiise
raus
01
ö^4.Yi]
li.
'.».
<»,
14.
mh^,-i:.
(),
(A
yv
iiionde nilier et
dnic? Ell
soll
pcndant
tas
h'
ddiislii i/hiiir
sorlit
.i'.Xi»-!»"
:
(iiini
s'il i/iu/nc
seldii scs ii'iivrcs 11
>.'/ll
V.chii tjni
riioiniiir. Ir
'
:
w'h.i'i:^
ü»>,AÄ'/']
///.
wi^niL
flrfi/.
•
hCft-L-y»
••
— A
(^).
.S.
+1I. /i.
n.'/-
'
AW
:
urtic
^/»c^cpa
=
aa.-/-
äv^jd-
•
>,"?>.
/i.
.
-
/*•
-^/.n
•
hrw'y\-
3. >,'"iV]
.
•
«xM/ju
•
— P. h-Ti >.TV, A A. ö<.+] A -•> Aiift] P,()«'>.. im«". -7. — - 10. ante nur' P, 0, A add. m^i. — 11. ante iiVVllA P, .e.MAö — püsi »cv^- P. <* A — P, A 12. P. 0. A 1. «>I17.P.^.]
01-/C
=
ä'?h: « m.e.n.A
•
y^h-i:
Hü>-ri'l-
••
•
^/.n
•
•
AAAAflh«"
A-nrt
fl'ÄAÄ+
••
H^s-rt
•
«»vn/.
•
Artn?«
=
h""iiyyu»-
••
AVfA-
•
(ohMi
•
Mf\
••
=
«Mirt/..?.-
••
.tMM"-/'
-•
HA.A'nrt
•
n"i'
/"/^i»-
•
WMun
•
lo-til-
••
p-nrt
•
H.e.^-
ttM'A'
mnxA-'i-
••
rw
••
«».t'.^.f.f-
•
h/.r-i-
•
[C>C>8]
"»Ay.
hs-w
Wi*j)-
••
"i-
?ifth
•
.f-n-A
••
^'iA'i
fl'+v.
••
^'./.hn
•
l'.'"»}'.?»
•
Jk/»
iiji'/'
•
Äf:"/"!-
ö»?i'/"'H
h.crt.
•
fh.iy.
.f.Ä^/D.«'.'
:
öuix-,/.
•
«nn/.
••
ihw.
Hh'jnA
"Aiy.s öK-r/:«»-
-u
Jiv
•
Oti"
•
«"A?i»l/;ii-
im:
••
\\uy\:M
••
htio"
•
rt\h
•
oi'WV
•
Avo-rt-
•
?i'nAlri'"»-
MM»-
•
awitih
'
•
h"'f.i
(IrttlWil-
(imnvi.
••
DU SYNAXAIRK.
MVHI'.
1,K
/,,;4
15
'
[6691
/i.P.hA
M V
h.^fhh
fw
-}ii..p.-
:
/w '1-
y:
AAA
:
a7.i/">
:
mix'lit
•
I
W/.-1-
»MLAh :
'H'}'|:
A —
(P - ^).
—
10-lJ.
'\OA.I)-]
~
—
2. «l'-sn]
A
'\flA
:
(),
A
P, 0.
A.
A n^Ä'Cü-. — 1.1.
-
n"/'|-
"rin
-/-lYA
••
?ih-e
:
Ah
»jn.?
«.(^<>.
[U.>-ü
••
—
post
3.
h
Ah
A—
•
•
:
'n-i
n?»?«
Air}!:
=
•
-ihm.
••
mViV
P, O.
A add.
—
'/»fi
m'lh,(',
Wi\?:rh
A.
h-Hih •
m^.:'.,(',A
•
4»
.P-Ä
:
man-y
A A m;! —
10. iiircr-F] o.
A. ~/6. mur^fiti] P, 0,
,-
<>,
•
••
hiriJi-
•
t>i9"/!-t
> P, 0,
s. «DYi-nc]
P.
:
M
••
;ivlr/-
hji'.A.
••
•
na«-/.-
••
?irt?uAh
h.c.rt.
riA^iv
•
h
•
^
•
Afl»-?»'I:
•
n
••
•
|Ä.''/'>
•
•
rtA^nv
tt'i'hri:-!'
•
fl»h,('.rt.
h:''ii
:
Jirt'«'
Che»
•
(»hj'.'n-'i
~|11- An]
tl>,n.At7]
•
M'/;
••
'/'(r-f-
o^h\'
(.
an",--/..
H
l'.l.f.A"
:
'i-5. fli>,?"'\Kv]
P,
AriA •
aaa.i>-
•
l^,^.
:
(ohTM
n-<-h
•
Vi-'}
^'S-A
:
-J:.
n-hfj}-']
P. O.
:
(oh.-i'nn: flJAO.'/
.e-^^m-] 0,
.
(f.
12.
h'ry-hu.
•
•
••
y-hi:
•
•
- oh'.mi.'/,
j^a^.
•
i»-t\\-
••
umunh'/
•
htn-M-
O-CjM--
•
fl^n^
••
/hpfl)-
:N('.A
•
'.65
nh'H-
•
?».«'.'/.•«>•
••
Utn-M'
i'.-nA
.-
mr^n
rt-n?»
tD\'Pf,h
lö
?,'}»
:
••
h"'n
•
';.n
••
fl'Vf-A"
•
"VV-f-f-
••
itx"}\\.h'n,hA:
•
h.f.A.
:
"/AI»"
mhy.fi.
:
rujiMLA"
•
II-
UM:
••
(niiff/,
••
^i'^n«^
•
rt'A.i'.
••
A"/A'/n
•
m-C
•
A«^A
:
Ihr/.-!-
•
SF.PTRMBRF).
(11
ai'fiu.f'
:
«»"/.''• fini-
•
h.c.rt.
..
mh-nc
•
(nQM'iiK
liHM-ffi
•
.'J-ii'j'',}'.
:
+A "
•
y-ilin-
Ju/n
ftnh
•
tti:f>''i
•
PAC^UEMKX
,-)•
\
nftti.
Sorte que !es gens ne pouvaient pas y alliimer de lampe, ä cause de la peur
de ce serpent. Lorsque
Ahba
ndrsoind
entra daiis
la
grotte,
mon Seigneur
«
nous as donne
le
Seigneur voiUut manifester
saintete de saint
la
montrer des miracles par son intermediaire, (Bdrsoinä)
et
so
tiiit
mon Dipu
et
debout
pria
et
Jpsiis-Clirist, Fils
Seigneur, en disant
le
du Seigneur vivant,
pouvoir de fouler aux pieds les serpents,
ie
tienuent)
Alors,
contre
fort
il
la
gloire
se signa
ef
le
et
l'lionneur
du sigue de
Tu chevnurhrras sur
le
hup
rt
la
[siir)
pour
les
dil
:
«
le
serpent et
Desormais deviens böni
(personiie).
;
Amen.
siecles!
tu il
foulems aux pieds saisit le serpent
qu'il n'y ait plus
hommes
mais deviens obeissant
Aussit()t, le serpent se jeta
(appar-
toi
»
croix glorieuse et psalmodia, en disant
sance et de pouvoir contre aucun d'entre les
mal contre
des
sie3cl('s
serpent'. J.,orsqu'il eut aclieve sa psalmodii',
niain iH lui
scorpions et
serpent qui est dans cette grotte, car a
le
toi qui
demande de me
toutes les puissances de l'ennemi, maintenant done je te
rendre
les
et
aux pieds du saint,
;
ne
fais
en
toi
le
:
Hon
avec sa de puis-
plus jaiuais
ecoufe cc quo je
comme
:
Ic dirai.
li>
»
les lions sc jclerenl
(aux pieds) du prophete Daniel, dans les jours (de ce dernier).
Ce 1.
saint pratiqua
Ps. xc, 13.
un grand ascelisme par
la laiiu et
par
la soif.
11
jeuuait
O
8-_>
)
t,m iD'9"
niie^'n''/A'i'
•
• «n»'/
•Mvn
.e.vnc
•
I)
M:
•
(DW
"7?
•
'
tt-tt,iu.
/..-]'
fln>>
(.^^.^.
t^cT
.
=
:
anM-.
(^p fl)c«o";
m->»,i,v
no» :ii>.->nA ao->-//-f. >,'
:
— 12.
.
7Äft°
mliV
!
!
^M 7>t
•
:
—
•
'
"7>.VlA ftoy^l-
:
ri.-vm.h
(0
— I
=
•
:
=
f>
V/n.h^l
:
:
nhXC'V^-
nni:
::=
"><:Vin
=
.e^t-^
•
f»
rt»jf,Ä,e.h.
•
"/n..?.
ai>a
=
.iiiiri
=
h
=
an'-
•
incMin
•
w
•
f-
«»-iv. :
••
mV^X-V-
^
aihni-n^--''/
=
:MI>
:
ö*.+
=
••
hin.h-n
••
>>!'*'>
=
=
=
'".p.W.l/"
=
)|Ah
Ail>i
:
A.frtn
(0 —
:!:
>.ll-.PV =
=
m-l-,1R(\ :
=
!<>
=
VbV
a»^
=
:
,e.5i
—
n-nw.>
P A,
fl
=
IK
:
:•:
"ii^-T
Wao
V^?»^
\<-,
:••
=
«>?.. -tfl
.ßllA
!
.P./{.\1->il:
=
mi-vi.-
=
-.
-.
»/..(^j.
!
;
=
>.
.er.M'.)
(<) H.?!!»/»")
:
f =
•>,"JH.>i-nrli.f:)
ÜA.ft
=
—
^-(Ia
mvi»"^
«Ctun.+t)
ffl^ivT.
=
(P
A
;
add.
mlxil-i:
»»Kih
=
^Äf.'!!-]
=
(()
:
/I../.-I-
:
(P "J-Il
:
^'i:>
:
(i>.viia)
o^A^lA)
=
,h;>.e
!
7.P.A
rOh.TVV^-
ncn-pn
(P
iL
i-)c.-h(\-
:
>,¥4><:
:
«oiiu't
:
arff/. ,-h.e
>,irn<'.Yi;M:
~
ante m*«n> P,
0.
.ß>»r.
VW..
=
»'Vf (O
=
flJlii»'-^
=
an-^U. •
=
a)
A.
»CV^]
/^.
«"iionv.
=
>.vii
:
Ofi)
morceau suivant
/".'<»
=
lum (0
>.'/"Äl<:
mh.srv/l;
A^"/ll.>.v
•
le
n-c-ibl-
-r ».v>
»\
7'r.v
mais tont
le
jooi
jKii
peuple
juiralrs sollt plus doiicrs
jio^-. jjiot
criait,
III Rois, v,4.
—i.
d nion jinlais
Ps.cviii, 103.
-.Ijlsj
)CL^;fco.o;
^io
).iai.
an moment ou qiie
tont le peuple depuis lors etait rcmpli d'uiic
1.
KJ^
^-^IS;^ ,_.Jk-,; Jooi
.«^iwiol/
orriirrpnrr',
U^s^
}L2>1
IIISTOinF,.
Ip
il
mirl nc
graude
joie.
[SO]
oCio )jc*^o
.)ooi
|jL3)-s ooot ,^--^x1d
oCi>w3o
.|.ioaa\
).*-sj
faisait l'iustriictioii I'esI,
:
a hi biiui-he'\ et
.)jL..^sjL^a£; ).-^;aa^
—
XXI.
Tandis que ces
—
Fatlilete
)-^/
7"-/
•)°°'
nmuaUm
on
faisaieat radmiratioii de
pav
Ciiiille,
— appreuant
cliacuu,
riionneur et la
avait acquis pres des lideles aussi bien
(äfilr,T-/i;)
^'-° «^^"^
Id
)-Q--i'°«!
Irs
hellrs
VexceUeiicc de sa rrindvtjunhlr condiulc.
cl
clioses
c'est-ä-diie
^^^?
rcproclws de Cijrillr.
Kti.r
lirpiiiisr
uctions de saiiit Nestor ius
.l.-.mon,
-^^-iJ-/?
-uii
iiuiuvais
renommöe que
que devaut l'enipe-
diuiiuuee, son cu-ur reur et (voyaut) que sa propre consideratiou en etait ses
dr-iaillil,
taiucs fois |.i
meres
(louleurs des
l.'s
I.
ä
luiii,
le
:
..
—
et ä
commen(;a ä s'agiter
Sfs VfTtöbi-fs
e.vpulse dAuliuclie
rt
daus sa röpcuisc-
AntUwIw,
j'elais a
CotiHtanlinople
I.ill.
il
et
cumme accuser il
s'il
soufTrait
le saint.
Ccr-
Tappelait
Im--
parce qu'il etait tombe dans ces opinions (heretiqu.'s) .ourageux siege de Conslnnliiu^idr. A eette occasiou, b'
t'crivit ainsi
(Nestorius) lui
„loi
s'il
monte sur
.ruluis
—
l'autre
Fappelait violent et orgueilleux, d'autres fois
comme
IN iiHi.iue,
elait
il
sc clioquerent l'uu
genoux
'
peul-ütre
;
...
—
2.
el je ne
y
:
m apercevuis
a-(-il
pas do ce
en
U-ümperio
(luelque
(lui
.lait dit contre
cetlo
chose
Celle röponse scmble avoir iU- ecrite apres (lur Neslurius
ciivuvo a l'oasis. Est-ce
Uli
IVagineiil
de
la
.<
Iragiidie
»'t
:i
fl
vU-
HAliUADMKSAnHA
52G
/-/• ^j-^** w-^^
-ooi
.--A
p/o
|lV-*Äi-3
lol.
:^^Vo;i^ l-iOt^o
»-^o/»
^VjNj^c
IN—Ä«
IMI N-üjajo -Aj^
v*^
jji
V". p'/o
l-j-;.*^
Pf
^\i.
PI
P/
|j.^i
.
.
N-aX-C^/
.N^uiJ-l;
N^o-il/ o/
Pvjöv-o
IN-Uj;
.^U>Q-cL^A |ISv.fcj-^/
'-, '^'^
o»^
IS^v
fco
)fs>j^V-^CLj
.
:
vj^"/ p.9/
^/
^
ooj
ts^l
^V-l
^
^^|
^ o/
^jlj/
-"^£0 ^.^x^^Qjiv; ^oi p/o
NxI^OA
p?
^::a\
"^^-^o
lLoJi*^s^o
IS.^^
;-fc^
^:io
.
IV-ooi
Nj/
>s.^
^LQ.j3_3;i.i^
,_*ikOv^t
r^laa/
:^^^o
,..a^.^iCLS.
n
Nj
^/i
,-^>^^A.ao»
^/o
poi
ooi»
.
-.
^
.^
|P:^oq\
N-.oo|
'.^
^^nstoö»
oCi.
-*\ \-.oO)
yooovj;
N.-ooi
:
|
a^o
Lire "ij"-?.
I.
ä Antioche
n'etais-je
qu'une cause de guerre et de
seditieux et un calomniateur
comme
ma
sedilion,
que
(^est lä
toi.
peut-etre
je suis ik;
',
que
suis-je
un
grandi et
j'ai
monde, y a-t-il un homme, depuis les petits jusqu'aux plus grands, qui puisse dirc une teile cliose contre moi? ^le suis-je adonne, ä Constantinople, aux delices et aux plaisirs corporels dont tu
([ue
ele
j'ai
fait
pretre
durant toute
et,
dans
vie
le
homme
dedaigneux, parce que
du necessaire. n.l.
i:,o
pagne
(«ypoi;)
yeux
sur
*
(äväYxr,!
ils
cellule d'Anlioche; lorsqu'il arriva jadis
que
j'en sortis, cc fut par neces-
enorgueilli dans les palais et les helles maisons de
suis-je
non comme
et
si
change lorsque
et ä
?
sedition
(expedients) que
j'ai
toi
les
quoi donc as-tu connu que
evequcV M'as-tu vu j'etais
ou un autre homme. que
aucune de ces clioses
que ce
je
me
mon ennemi
ete j'aie
vendu
les
dispute
la
soit.
acharne, 5'a ete
ornements sacres
yeux de beaucoup
de beaucoup de ceux
(jui
preoccupais des presents
Toi aussi,
la ta
et
et as
jamais laisse
n'ai
:
Ci/rille, tu
le
que
sais.
c'est
si
quelqu'un est
faire tout ce qui
depuis que
je
n'ai
pour cela que tu as
j'aie
donne des presents, pour
subjugue
toi qui,
l.<)ii /'.
O
place ilOrdinaiio .
l.
Vlll. p.
1(!2.
(ton) adversaire'/
me
faire
des amis
Ou
n'ai-je
pas ete l'ennemi
pouvaient faire quelque chose, parce que je ne les ecoutais
lo lieu
211
de cette maniere, as aveu-
pas! Dans les autres villes, les eveques l'emportent sur les princes eux-memes, mais,
Cl.
\:>
ma
premiere inimitie contre moi. As-tu appris que
par des procedes de ce genre que tu as employes, gh' les
lo
j'ai
de l'usage de ces
je savais en effet que marcher comme un esclave pour
regarde ni estime en aucune maniere ton riebe pouvoir:
ni
m'adonner ä
tellement eloigne
accaparer pour moi? lorsque je
elles, elles l'obligent ä
est ordonne, quoi
lui
de
s'egarcr vers
subjugue par
ele
j'ai
A
passe pour ennemi et pour mauvais parce que je ne faisais rien
eulogies, alin
fantaisie
rejouissait.
Lorsque au contraire
de ce genre. As-tu connu, et des
me
cela
ete entierement la
pas ce qui m'etait envoye au delä
qui etaient cn dehors de l'eglise? Mais
ma
v°.
site
je n'acceptais
camne l'cmportaienl pas ä mes
j\le
.".
comme
parles? J'ai honte de le dire, mais j'etais, au contraire, regarde par certains
un
j,
);oi
MoVq_o
^,\^ ^
->
"^
|j— i Po
^\0] ,^
^-/
|j3.**io
ItOiJb^iii^
V*ACi^\o
IS-J-.
»Jo-j
;,
;-^
,^
).xiJjf
y)»"^
;»-/;
P-^c»-^»
UdVo^^jo
l";-*^
.);-*ia^ psus^Vi^
l;oi
^*^/
^ v!
.jjLäoitoo»
.
C
U^.'»-'^
oi^o
P^-^»/ v-Lo»|-A
/
Looi
p"/o
->
U^ij'^!
,
;.*^
,j*i>.oi
oooj
i -.'«> f
;^i^»
^/
^io
f«
*
.
^:^j/
^
|Lj.i.
).**j.aao»
^t p-3on\t
pioii
>äj1.
[ir.»
[.jv^-'^o
/
.Njä-UI/ ^°'^
poi
ov^^
P.^i-.UI
|IS^^,^
...j.Xaj3a^»
IIJ:^^»
Co^.iCL£D
v'^'-='
-^
NjiA-r
.
p/
p
•
[38]
^ooiXd ^-^^ov^o
Nio.
p»
^;n-.^o
«^
.^io.NjL^ ^^ot^t oo)t
v^p«
^^wüa„io
oooi
^io IS^j-
IIISTOIIU-..
wt.aSöO)
1-aQ.V.a^i
tv-ooi
^oio»
-.^^ul-l;
•.
«X^
'
K-ooi»
»^«wk^i*;
v^ö)
IS— ooi
•.%^oov^
wO
^*j/
^^.iJi.»
^«;a^
/»
|-*iöt
.
^io
|-3qqco.5/
IS^ooi
J-»»a-o
|>;ji
^
IUco ^/;
L;l„ Ij.-,^
---3
.|
»ULajC^*
ICLio^i»»
T
.
p_3Q.Qi.p\
Jjl*jjo
^Axa/
vQJ/
,-V./ ^ioo
:
^)J.
^
IVoi.)
-
'AKI'.AIA.
de sa naissance a Germanieie ou a
lielu'din.
ine.-;
de Geniianicio.
25
.^\-.f
p
)i3/o
loo,
;io|L
JLJ/
.
s>,,j^.
'
;_^3o
.io
.
.
)ooi/j
N^;
,jlj|
HKPOXSK AUX
|N-.b»S,
lilaxjo
1
Po
|.3.jx^a\
^o
yOOjPOL,^
^o
|iOi
Po .l^a^i£tt£>(
^^
—
\XI.
39]
^^
^io
-^^ p|o
.
..i-n
1
1^ -
|LoN
|tä-5j-=
1
)N
-
^JL-
yOovVi
de (leur grand pouvoir, I
k l'empereur
i[uc j'ai ete
lui-meme
et cependaiit
evöque,
j'ai
iTa
opprimö
^ES-V^io p^oüV»
Po
Vaioi
.
.
v
i
|
viNjo
|ooi
m
^oN-io
-SLiL^L/
..-a^j-»*Jo
o/
..»
^
sOOl^3
wLo^
.IIN-üi»
-ls:i>^oo;
o(
:
|lpf
^oto^^).^
vjow
|Es^-^
l^"<^ ^"^ °^
|LQ_x3ji>.i-3
ov^ K-ooi
-xjp
^^^-^
1°*/;
vi^*i»-io»
»-01
iiumilite.
sont commandes, a cause
iic
tous les puissants. Est-ce cpe, depuis
dans
pour
Tu
famille
ta
la vieillesse,
dans
trouve aucune pitie. mais, ä cause de moi, on pris sur
lui
de venir
la
»
mais voila
:
expulse de
l'a
Tu que mon
diras peut-etre
:
«
pauvrele, dans la faiblesse,
me
pres de moi
la cellule
com-
cause de son
voir ä
de sa fermete, de sa philanthropie, et non pour prcndre part a des richesses, ni *
quclconque.
ni
pour acquerir,
iii
pour demander ä quelqu'un;
nc causa de motu' d'afiliction uu de Jalousie ä personnc; ni
maison,
il
ne parut plus
qu'il n'etait
avant
plus de lui servir de lieu de refuge, mais
mon il
episcopat
;
il
ni
ici,
nc
quand
il
etait ä la
me demanda jamais non
avait l'habitude d'une
moindre indigence.
Bien loin qu'un liomme soit devenu celebre parce que j'en prenais soin ou parce qu'on l'aidait k
cause de moi, certains, au contraire. ont Supporte douloureusement, ä cause de
moi, toutes les souffrances, et c'est par les niaux qu'ils ont Supportes,
bons
joiirs. qu'ils
\'()ilä nn
^
^'^
moi, ce n'est pas seulement aux princes, mais c'esl
tu en as acquis
ä cause de moi,
avec une arriere-pcnsee
15
Po .w.^
o^ Ut v!
pJi';-^
pL^tü ^i^^t
.
acquis des biens et des richesses?
mune, liomme qui avait
il
\i'lo
..ci_:i_3
P(
persuadais de ne pas faire commerce des choses divines
qiie je
avais pas besoin, mais
ii'(>n
frire est
In
^
[-o-i PI
ä cause de cela, je m'attirais l'inimitie de
11
i\ vi \ oC^o
coinmandent plus quils
k Constanlinople, lous les princes
et,
|
^io
K-oor;
wOiot^/
JoO)
. «».üj/
.co^^^^
^y^o01
\Kj^'^^a^ Po p-^a£ci^ o^LoNjl^o^ P
'
.^Oiotv-; Uv^j-i |Lai-ij.
.IS.^1^^ a\ik£o
.
^3rinmg>/
\^l ^ ^
)J;
527
I.
"'
r.:xxj
)V-^^
-.«Oif
jjo
— >— L/
;-.N-
|o»
K^ooj
•>
N^\
f^
'»f
DE CYRIELP:.
liKI'KOCIlES
cc que Tathlete
coiiter aulrr cliose arrivai(,'nl
vil
1.
devant
les prelres qui
que
(äOA-/iT-/ic)
('.i/rillc
piiaicnl
i'u
prli'i'
les
![,
dans sa reponse. Je vais vous ra-
une Innovation (|ue
le
:
Lorsquc! Ics prrtres
pcuplc se
laisait,
Nesloriiis
silcnce dcvanl i'autel, tandis que le pcuplc
Celle page nous appreiid (piü Nestoriiis
luie est analogue ä celle
a Jit
n dil rlrc
lautel pour
non par
et
mes parents'.
ont ete reconnus pour
esl
du Line, dlleruclidc.
lu-
a Anliuclic
ul
null
:i\ait
iin
IVei'e
iimh- lui. 1,'ul-
r.AIUJAOnKSABBA
528
.jÜL.-^UL^
{1
nf> ;
)»JLiw
j-^j
N^/o
JJL./
.)U^
> )K2li>ö)^_3
)-iK, > Nn
^«Kljt
ne s'associait pus ä
de sa priere;
iin
comme
dei'unts),
de
:
Les
l'eglise,
il
;
dans
tic
i^iand
le
danger
(äytov);
accuse
(Hait
il
pretre ä
en '<
il
lui
repas
(le
^j^XXLA. «s/o
parut bon de signa-
lui
lui
^s
/
'.
chargees
allaient
elles
donner un secours (des biens) de et
»
C.iui.'iliintinojjlr,
qui etaient
hommes;
defendre leur veille
leur
Amen
jjot
^a.i
:)Vont^ ^oöi ^Sl j
K^pCL^O .^.-«.^pOO
«
yo»
•»^''^^"^
aux
parfois
veilles
dans
pour le
les
repas
parut qu'il etait prudent et utile
mortuaire)
l'eglise,
uu
de faire
(repas
que ees vierges pechaient beaucoup
arrivait
il
u
voix du diacre priant avec
coutumes
quand
.jooi
""^""^-^
mit presquc
le
vierges
promiscuite avec les
la
la
Tappclerent iiinovateur
liistoiri'
dans
Service
et
ils
i't
Aiitri'
cela
renvcrsait las
s'il
Heu
tüut
^^^D;
en disaut
la priere
elairement cette priere par
ler la
w^ajuio ^oiojv^o
^CL^O .OOOI ^^<J^aj JIÖJL«
U'^l
[/.O]
jjO^ji^ Oll,-^^ ^^bw.^^ i.>»^
.\.^i
^ji._^_x.
v^öoi
inST(llUR.
'AiniAlA.
et
il
ordonna de leur
lo
pour leur enlever leurs pretextes
pour qu'elles n'allassent pas aux veilles; cela l'exposa presque ä etre
lapide par elles et par ceux qui se complaisent dans leur compagnie.
Autre
cliiisc
:
11
sans
voyait des nioines qui erraient
prudence par
places publiques, qui parlaient, ecoutaient et etaient injuries, 1.
(li'orijcs la
(l;iiis
le
posa
dis...
le
du
divin,
\'' f
^i(c|^•,
rellcchil
il
encorc
ulli'ibiie
l.uisi|iir
aux
le
;'i
Ni^sloiiiis uiic iiiihivaluiii
bienheureux Neslorius
iiiysteres
que celöbre
li]!
rliuisi
|>iiiji'
l'Egiise el. axanl
vu
disposa l'eglise d'apres les niysieies (iii'elle celebre... Neslorius disposa l'öglise ainsi saneluaire a la place du clel el \e i»o;^-ÄO (iioudslase lectoriuni, ambcui) a ii-lle du paia:
;
liaul
que
et le olKrui-.... les lecteurs
entiere, le luilieu
wie
:
tombaient au
II
Toul eu iHant aussi
eiili'e lui
du
ni'sliii'icii
materielle des eglises
siege de Byzaiice, dans soii
ce qu'ils sonl, il
d'Arljelc, aulriir
disposilioii
les
ßrjij.a
ßrjixa
ipu esl au milieu de
remplace
le
chtEur,
le
il
i'sl
pourtaul allache a
monlent jusqu'a ee la
Golgotlia.
»
l-»o;6^ioo...
nef reniplaec ,rerusaleiM, et II.
la ncf,
Quanl le
une porte
esl
lermee
a la ui'f (Ua^m). e'esl la lerre
siege de l'eveque qui esl au
I'oi^uou. Jnscriptions s^miliques. Paris, 1907, p. 97.
i,-,
—
\\l.
'ill
AUX RRPROCIIKS DK
RKPONSI-:
tCio. oooi ^o'oto .^-.^^J^^-io-ioo oooi
^;
J«oi jooii
o/
voo<.^
n q
»
r^N. ^f> rtX
ÖiSj
.ot^ •rnn
ffft
.
I
vOJL3lJ
>fn
I
^^ ^^
JL-*j
K_2V^/
^^
<.\oi
.l-JS;.!?);
K_^oo
:vOO|l^>.^i^^
K
t .»
->
soi'tir Iciir
il
coiaiuanda
eux-memcs pour
>6>I^
oi^
Jjljlo.^
Vo
^k->
lioiHie
tenui';
leur Hl
il
contre
lui, et
ils
Aiitic chiisc
douceur de
la
lui
—
:
donuer aussi
cause de cela
).A»
n>n
K__3;
caiisf!
auraicnt
yOJ.oi;
K.«.^!.
^^ooiJ
la
la (oi-ce
yol,-^;
^aJüLS^o;
)^V^^; j;^-^
autres,
de scandale daiis
troupe
villc
et
la
(|ue cola ii'ciit
ou bien
Ics autres, cliel'
et
procureurs
et ä Icurs
1111
allaifiit
'
de
011 Ic
qui veillcrail ä leur ctait uecessaire
uioines combattait
des
de troubles .
de leuipirc
—
a cause de
s'etait (Hevee coutre
lioupcs des S(ddals'..A
s(mi
cpoipie cncorc,
ils
voulureat
uu eudroit pour sauctuaire au niilicu de la ville et, ((uaiid il vit (piil danger (/.tvtuvo:), s'il dctouruail li's yeux et sc laisait, et que, s'il les
y avait
il
y aurait une
bares reunies pdur 1.
LiU.
:
'(
quo Nesloi'ius (.•itoyeiis; cite
reux iic
(|iii
la
s^'-dilion
guerre
i'laionl cliai'gys
et
coutre
(|ui
par l'aruiidu-.
\'I, •!:
/'.
lui
de
la
/,..
I.
part des troupes bar-
etaient partisans (des ariens),
des nöeessilcs dos iiiDiiasleres
put i'rhmrncr a Conslantinopli',
101
-Jlt.^
s'etaieut forlilies au pciiut de hälir saus craiute des egiiscs et de faire
cnipeciiait,
loi.
)?^^
-l-*'«^;;
jlSoo;
Lcs ariens qui avaieut ete cliasses de l'eglise
lcs
IM
)^v..^i-CDiL
y0^.2Li»Jo
]y.^
la uoui'ritiirc et ce qui
tout«;
et parce que
n°i.t
Inl.
>/o iv^K&o )_^oi^o y/ ^oi
rapp(!laiciit iiiuovateur et l'auleur
Sisiiiiiiis,
uu clerge daus dedi(M-
A
ils
jLx^
n\ ^ä; ^^^>ioo
|;ci.^Kj^ ^coo*^£
du dehors; pour
les allaires
|3«a^
O.A^;l/l ^.iC^/ JJUV/ .)lv-"/<^
aux chefs des monastcres
defendrait (de sortir) ou Itieu
a leur enlretieu.
In
'
oooi
jK-nJfl^/o
de blasplienie coiitrc cciix qui etaient vraimenl moines. Pour pkis licu,
jJ
^ yO
•)-
saus Jiscrötioii avco Ics
parlaienl avec Ics rcmiuos et etaient uuc
v>
fyi
Ö°>.C0;
>
^A-:>aJbvJio jof-oj^
taviM-nos, huvaieiit
)
jli.«^
^a^M ^;
>ooü^
).v.jiQ.,^
l-i-*/
jj^-Sy^oo
^^
.
-V-^! )jp>n
^)-^;
r,20
>aiwo .l^jjiova
)Jü
^^^
.vOO(1S.„^Jl.«^
\l^
f^o Jj^x^f.^
j).^
f.3o
^»-^;
•>
JL,Ti-^o-,a;
oilSN.ioö_fcO kS/ .
des
m
j-^V^;
y^l q-^O^Kj./ .jlaak^^;
JJ;;
:^oia^Ow )ooi
ol^
^V^
^;
o/
^^O
|;0|
OliaSL^SL::^
.^-JQ-o-o;
niilicu
vO^oKj
«i\oi^
^..I^w/
OOOI J^j'^v^t
.yOPtlo.
tJ
OOOI
ffn.
.
-.oi^;
<xs,
.JL^fL»;
j-jp^a^D ^-^
|_JO(
sbI
jJ;
>
CYltll.LK.
panr
I.WII. ml.
(piil lii;'!.
«.
—
:!.
dait odieux a
—
.i.
l.es
(malgre
Ibas ccrit aussi a Mari la
suldals
cik' il giillis
aux
nicilli'urs
üluieul ariiMis.
JV-*.». a
.^*I>
o/
i-i|-^
vaKj.
:).»>«iv>o jjL.?n
o/
\^ n m°>/
^/
V|'
^
.
\
ooo(
U/j
oiKxii,J» o^K
.
[A2]
>
^
..
«.«juä
v>o
)
t V >
.).xciso«lV/
yOOMl^/o
n ooot yoou^^/
:yOO|.-iLSLj
JLlI^Ksj
-.l-.öt!:^
^^
,_..
oy^ iv>\
»^ .^o».*JQJi>^^>AJO
Jlt-it^
)-X-Sot;
>,«.•.>
^;
>&.^aA
)jo«
oK^o; yojöi ^/
,\
o/
:)jLJiboJt^o
>ö^^io
f3o .^oöi
vOodoJL^cuoi
ool
:|11^
JL:3ClX
^a_.-,..io
P
joouJ;
lIlSTülBi;.
l^jLj^i Ki.j.ia^ o\.x£u «J>o»/ .yOOiA vmm<=>i/ ljuaioVo )jiX>}
)joi
«6( »s/ yooi_L,.io
I..I.
—
BARHADBKSABBA AKBAIA.
S'^O
^^^.^
ji-t-^^-s
jL..aDoiV^o
)Va^j vOOi-K-./
\-^yJ
Jl«.^«^ vOOtAau
^;
'-Uy-^l
).xDa^
)»,Jt^
^l^o
)-*.flooiV.3
>
co
o^C^^^
Kl
\-^^'^'^
K^^
^Q^ a\;
'i
<
vOoCS> :|:iCLi.^
I.-,
O
I.
(pl'.l
illllM lill.
cela) et l)ien
se jeta
que Tempereur
et les
grands
au milieu de cette mecliancete
le leur
ot
eussent permis,
empeclia
(la
le
courageux
realisatioii de)
leur
entreprise.
Autre chose dirent dans lui
ce
le
:
se tut
lui ä tii'er
le
Saint-Esprit
ou se
le tuer.
raleutil
?
Au
Quand
«
riuuovateur
(la
contraire,
vengeance de ce meurtre,
et,
une eglise ä
faculte) d'avoir
pour
il
Ton nomine Horboriens
ceux-ci et pour
faire rougir
il
leur enleva
(Uinstaiitinoplc, et Tillustre (Nestorius)
l'Eglise, etaient
ligionuaires, et
et
retuge et assurance
etaient pretres (irappr.six)
et diacres
pour se proteger,
(Ta^t?)
parmi leurs
dans Teglise et ils
le
ä
core-:
afin d'avoir
corrompaient
un
peuplc,
parco qu'ils n'etaient pas en verite les gardiens des Livres divins. Est-ce
— aussitöt que
que lol.
l.-,2
etait 1.
l'onde —
-
il
ee bruit arriva ä ses oreilles et qu'il voulut chercher
ne s'eleva pas une grande sedition
er. Soi-i-utc, VII, :)1;/'.
(i..
I.
I.WIl.
oul. SdS,
'
contre
lui,
de
la
"'
— Ceux
Manicheens, lorsqu'ils s'unirent
eveques ou avaient d'autres ordres ils
•">
püussa l'emptn'eur malgre
endura, en faveur des orthodoxes, leur iuimitie et leurs calomnies.
encorc que
s'enhar-
apprit cela, est-
»
donuer eonfiance aux eglises qui etaienl ainsi opprimees, aussi
',
pays de rilcllespont, au point de frapper notri' eveque, de
crever les yeux et de ([u'il
lilasphemeut contre
('eux qui
part
s
il
du
i".
/
«] ooi
)
lo
•>
,
—
NM.
I
m > v>
.
\ v>\
»^
).3o
^^
»-«
ly^o
;
^^J;
,_»*
Q-'^
clerge
yCLi-^l
-.j-ij-^o
OOI
.|1qjo«.3;o
öi^s
)l^^»
.)-^o_:>ä^4
.-
.
i
j.1^0
)oo«
j.« «
vn V-^-.^ v?^"^
iN.
..looi
'^°* V^)-'?
p»^;
^
d(>
Voulez-vous
il
v°-'°'?
yOPtmi
mo p;
|3oncQ°>/
jK-QJLcaaL^o
o
)...2£ui.^
^
j-SaLo-ca-s/
^'^^J
uel'it
^?°"^
yCl_lÖ|^ ^~«-^'
^.«IS^JJ
joöi;
de rempereur et des graiids, pour qu'il
boue
fffi«
S-
.^^ooi )jl.«-^ul^
yOOi.<Jb^-^
-.j^i
''*^-^;
),.^CL^ol
i"',
^cdo^^^ä
.j_v^'^^;
«u^.ajL^; ..yooujJixo
>
>-.i»il/o
k ce sujet. Et, daus ces conjonctures, ä rejoter la
p
^^»..A^OI
);o«;
)-oj"i
|oo(-i
(-/.A?,po;),
.y.icl
r,31
^^o
).aS«^
-.'j-L^ioVo
JJi
^^^cu^ll^^ »•'^ yOOUiO
.wi^fi./
oif..^
^oC^wS
oü.y^. qi.t
^1-^;
o-oXJ
»s/o .y00ila~3L^viCL.\ oooi
=»/
lin
»)»»^vt > 00; V-<^^
^;
s£0OfJ^.O
n
.);oi ^^^Ssi.
.l\ja.^o OOO)
^»"j
jo.ot
^^
vol'S
^a^ ^3o
-.^aoi
JJ/
HKI'ONSK AU\ RF-:i'ROCllRS DK CYlilLLK.
^oi^s
aucuiie recherclic
poussait cliacun, de toute maniere,
du Christ.
rF]glise
apprendre une autre trouvaille?
II
voyait
le
groupe des
ariens s'accroitre du groupe des barbares, car beaucoup etaient endoctrines
par eux,
et
il
nous n'imitions pas
disail
«
:
Ce
I'accomplir. lo
que ce serait de notre part negligence
vit
bilite si
Uli
qu'il
»
nous
fallait
Ou'imagina-t-il
clerge qui püt les instruire.
aida autanl qu'il
qucs
le l'allail.
?
faire,
—
II
Mais
et des metropolitains
tout ce
doce.
füt
—
II
nous avons
faisait. c'etail
il
Nous n'avons pas
laisse ä ceux-Iä le soin
la
II
de
et
il
les
revcndiqua aussi que l'ordination des eve-
de Icurs
pour
les natious.
constitua, de leur race et de leur langue,
villes et
il
de leurs provinces d('pendrait
jugea convenable
maitre des ordinatjons pour ceux dont
(ju'il
grave responsa-
envoya aussi des evßques aux nations
de I'eveque de Constantinople, car
eveque
et
de ceux-ci pour instruire
le zäle
il
et juste
etait le clief.
que cliaquc
En un
tranquillite de toule TEglise et
niot,
du sacer-
projet de raconter niaintonant toutes ses belies
actions; car c'est au-dessus de nous, de raconter toutes les belles actions
du
Saint.
Le plus important
est ceci
:
Un
esprit de niensonge avait souflle
HAKIJADr.l'SAünA
532
vOoiJ^ joou;
jooi
^^o
l-i.!»»
^^'^N.V) oiK^.^j j^^b^.^
•
Jooi
j_iö;
jjoi
•jsxx.i
.^oi
\f^
M^^^
lk.i._wKIS,
^^n
,. f)
jj;
yooti,
^
)»V-A;
o^j
.-^^/
)_ja..^)._3
w»
^
IIIS TOll!!:.
['.'.j
-oioK^/o .)la2L^io NjL.po;
)oo«
oi,_^I ^'^^^o .0001 ^,*.,^K^3 ^_.Jst^
yV^j
-
AI'.HAIA.
^V)^«~^ .jlai»»K.r^
^j
..
.'^
NO
.0001
j-ioi.
)_^po
^A^oii ^m_>^o~^s-au
o«V^)-L-flo .^K->>t-»
yoj/ ,.^ j-^)^^?
ioV-»oUiO
^/
)j).^aS^
)-JLw>.jl^
v.
.«o^i^^aS/, \i^. (In line
I.
sur
tont le pciiple
d'intermediaire
deux partis
eil
gneur, de
ve sujet,
ils
les «
eclioue.
au sujet de
uns nommaient
Mere de riiomme
la
».
Mere de Dieu
«
Comaie lui
etaient partages
Ils
naissauce de Notre-Sei-
Vierge
la
coururent pres de saint Ncslorins et
les droits
de
cat
porl
la
de
la verite
ils
et
»
etaient troubles a
soumirenl
d'apres les clartes de ton esprit.
verite se trouva jete dans
de ne
songer
qua
'
leur querelle
Suino.sdic
nait
dans notre esprit
;
:
«
(äywv), II
il
»
'•>
:
Quand Tavo-
les conduisit
n'est pas
riiinniiif, si
la inaladic
grossiere
nous disons seulement
au
saus danger
de ces (deux appellations) seulement
l'une
nous disons seulement Mtrc de
Si
cette lutte
trauquille des Livres (saints), en disant
(kivSuvc/;) '-'
recoiiciliation, avait
et ils se querellaient
Vierge;
quiconque avait voulu servir
imperiale, et
ville
uiie
Notre querelle n'est pas un petit sujet de reclierche, ö notre pere; niontre-
nous
''
la
Ji'
pour
autres la uomraaieut
les
8
la
lineae).
'
10
:
de Paul dr
Mrrc de
lUrii.
la
lepre du blasplieme d' Apollinaire et d'Eutyches" s'attaclie ä Tesprit de celui ([ui
proclame
cela.
tenons-nous dans 1.
Lill.
:
Puisque nous Inyons ehacun de ces deux (exces), entreverite des Ecritures et
la
« ils suiiiijireiil
a
l'in(.|iiisiliiiii
de sa paiule
n.
—
donnons 2.
ä la sainte
Auarlii uuisiiie.
Vierge
le
1:.
^_fc^
^
.|^>^.«..liV)
>jLx2^.ao .oK<wJ
)^auQ-^/o
1'
—
XXI.
[^,5,
KKPOXSE AUX REPROCIIRS DR CYRIRLR. >^0»oK_./;
)~«t.^O
-.J—OOi-a
^^
^iol
)io,_—.„3
|t-«^3o I-^^^Sl-* l-ia^S^io
It-^^J ooi vaL-ÄQ™. t-sj vO».io)_J;
de
s(ttirf;iir ext
Car
CJirist.
(/
.U'';7'
nujoürd'lmi paiir
iir
quereile eut ete resolue par joic et ä
chacun louait
ses perfections et
^
)JL.V—
)»V*!
(iYwvwT-/)'?) ils
prirent
veritable taberriacle de paix, et 10
dr Ji'siis-Chrisl
ils
im
ei
'
Qnaiul cctte
Ouand
lä
avec
le
cette dispute eut ete resolue
docteur
liabile
et diligent,
deux partis s'en allercnt de
Ics
^t-O
science du saint. Voilä quclles furent
la
le
«
descendirent de
ils
P
.;a^JS^
Ifllc
('toll
CJirist'.
^-.^
oml-,
yV^J
,.IjLi./
)juv—
)joi
)laJLioo}j»
.)o6|
uom
de
«
Mere du Christ
par lä
comme
»
le
sans le
proclamerent avec unauimite pcndaut
le
longtemj)s.
Lorsque Satan paix pour
pour
lui
de.
quo saint Nrstnrius uvait obtemi de cette manierc
vil
l'l'lglise,
(lire
par un 1.)
,
^io
^O-Sl^ oo-Sf^ä^-SL^o
.)ä^«
sa cnnduite.
vaiuqueur
vaiucu);
j-O-^-jOD
est Ic Sfi(/nrii,r
i/iiI
a l'aide de la logique de la verite, par
(ui
jjoi
docteiir diligent,
courageux cnmbattant
N^
j-L
).JLOto
grandeur de
la
mode de
le
i-dii.s
Ic
s
yQjL^ ,J^l/o
)•,.«>'>
(/riirrntidii
/r/
V-.^^
.v-iK*./
)-.;oö(._.^^
)oC!^ ^^; .^oiq.^^a1IS.1.)wC> fy^l y^ot
nom
jjLlbOO-.
533
par
en
mil
il
ville
la
li'
ciiarpeiitier
qu
maniere,
il
est
—
'2.
l.iR',
Lirre flUrriitlidc,
p.
1.52.
1.
MaUli.,
paS EutyclK's
1,
IS.
ijui
fait
il
lit
l'illustre
constitue
ici
le
Cos iioli'n
aux les
Tiiiverse et
do ses chefs d'armee,
(iXestorius) avait
fait
tout cela
la
demons il
un ariafliionisinc.
s'c?!
ä
l'aide
preche par
le
fils
de
de Beelzebub, uioyen de
s(!S
pas lionime alin que, de tonte
dispute
deu.x le.xtcs .sont cile.s
autcur
seulement
juifs qu'il etait
et qu'il n'est
trouble et
n. 11.
dont
dire
chassait
seulement Dieu
introduise
il
qu'il
(!t
landis (]ue maintenaut allilelcs
(In
qiie
certains
artilice ccrtes trompeur. (]e qui est (Hounant, c'est qu'avant la pas-
sion de Notro-Seigneur, Satan Jnsrpli
uKiuvement
la
parnii aus.-ii
les
lils
de l'Kglise,
ilans le piissugo corros[)()iul;uil
sans duutc inspirö.
—
Ni'storius no montionni'
HAUlJADBKSAliBA
53'.
• lol.
i:
.)ä.JS.-.3o
v
m
.
-x^x.,;
.^asi^
JLx».y,:2^wX>
Jjiot!^
parcc qu'il est toujours mciitcur (|ui'
Satan
l'iit
tlit
;i
la guiTii', ils
que
Ic
i't
fiil.
15:!
des moines
parmi
et,
1.
IJIt.
:
"
:
les
Eiiti/rhbs
eveques
a iliHruirc
seuleinent Itini.
«.
—
et
-J.
-'.
dispute, pour introduire
A
uianiere d'uui- trompelt(^
l'h^glise
:
la
r,
i
maisons de disputes au
les
de murmures au sujet de cette question. Les
lutte contre la verite
:
Nestoriiis
troublerent laville, en ayitant les places publiques,
les eglises
principaiix dans cette
^ioo
savoir
la verite, ä
pas Dien.
^io
et ä la
en lormant eu hüte des reuuions, cn re'iuplissant sujct de la foi,
j-io^i-
)-,:-;»
pas dans
Clirist ii'est
au trouble
de la diseordc ä rinleriiuir de
qui cxcite
)jl^o/
[1,6]
seiilcment par lui pour corriger ceux d'iin parti
les poiissail constaiiimont
la lutte
'
)1RK.
.vaJL:>o).^o ^£Da^i<xo |^cLa.£Q.a/
et ([iril 11c rcste
saiut Xeslariiis pciisa ä etablir
HC pciisa pas ctla, cc
IIIS'|(
^ioo .vai*^
^w.^01
).^t^
—
AUUAIA.
Dahnacc ; parmi
Cijrillc
N'i'sloriiis
lurent
les elercs
et Mciitiioii. disail, contre
:
:
parmi
l'ordre
Zthiobius
*
(Tay[/.y.)
et Philippe,
En
voilä assez maintenant.
les
apollinaiislcs, iiuo
le
CIiii>t
n'esl pa;^
m
.o^^^»«^i^.'^ )
.
^»"
r
Jto^
--'
\'^;
—
nc
iilnsl,
[urcnl
(Jiifllrs
par des (pierelle,
coiiperent les
ils
lidiqie
de volciifs
tisane
,
Mais
jiiive
etaieiil
er. .loan, xi,
'18.
i|iii
d im
—
du
ilipiUc,
il
de
de l'oftliodoxie a son
exterieur
soutlVances des
Ics
/'.
(J..
I.
LNXVII,
le
.(.1.
:
(pi'il
N/
et ä pro-
mi
!<
Iiiissc
ecrivait en tont
luTi'sie,
Ini,
quand
et,
iieii.
ponr soiifcnir
a cliacnn
ils
se
il
\:\
hriscn'iil
l'nt
clioisi
le
une
adressa anssitiit a saint
il
|es(|iie|les,
spi'cienx
liomme. Voici :;.
Scstorliis.
gehenno, parcc que
la
de ceux qni etaient coninu-
adhiTait
m^ot^
.
coinmenf'a ä montrer son inimitie
des ouvrages (TÖaoM
lieiis
...a
rovaunic (Celeste), par Icslils
poiissa daiis son esprit
des lettres pleines d'ocgiiell,
scandalisor ancnii 1.
i'ar
secouTs
le
joiig et
iSesiDriits
ij
avee
lils
li'
vm
-.oCS».«
i'.ijnllc i-anln' siiini
ilc
.looi
jl,^^; Jl"i
).iö»
ol^s.^v,_3
envoyait en grand nombri'
qiTil
eci-ifs
fit
inniiillc
ciiiirrd iijirrs liil'; et
Ic jicitjilr
liiiit
il
)K.r>",.to
.)ooi
de manierc qiu'lconqiu' ä conccvoir l'impiete
La pensce
riiiii|iiit(''.
^^O-s»
..^flDVaa
^-j >xdq^»<xd
oii_s
pas ä son csprit, etait plonge dans
convi'nail
sons prclexte de vcrite.
I"
h's i-iiiisfs
:)jot^;
"^^is.^s^o
>
bdlrs actions que
poiir arrivcf
ineros
duire
^-^.aj
jJoiw
roi'tlioduxic etail loiier.
qiu'llcs ci'la
^^oi;
))
^£Q->io^ix^ )jL^^ixI^
Ics
N'nila
•"'
«^)-io
•'^|/
XXII.
vi\"ii
«-oöt >
a
inanicre d'iine cour-
la
lorscpTelles
conseillaient
romniencement de
de
sa lettre-;
Vi; Maii>i. Conrilia. IV. SHC
;
LmIiIip. III. :U.5.
ne
IJAHIjADHKSAÜÜA
53()
^^^^ O ^^io
,J
W*^l
.000/
lioio
^/*
^-;'>n*^ ^-Aoj
v*-^-^
^^
^ytt;
^Iacd
.
loCüs
>-:>;
^-X*/
ISXs
il::x»
.'v-o/
p;.-/o
yiy^
is;^-*»
.
Sn
I
m\o
US/;
.
ILöul ,io
;-.tv-
Po .''-VMO
UP; yl;
PI
y..l
.|;oi
.
|N....n» VI
..^X..;
.'
^loi^lo
^l
lh.(
001 Loi.
Its i.N..;
^.»j-./
.Uoi
^3
'
Iti^ <J.'.J>.-
1
1
S
i
«
^/t
p/
.
y_ooiLo|-.j^
^
^-J
.
.-J.i,^
^-N-
^nn^i
1— ot
.
l-ioao
['»N^
.
.
^ootxio
P;
.
'N-.|
[48]
^/
^«i\l-;
PI
m^
.
y« !
^joii.
i/;
'^
.-.i,
|
vai,Nj ^ajoi
U^iio
>
»
Mo) ^J-io
|J
.-aoL
a^
^.i
.1
lljo
.01);
^~^
'
^^^^^io
^..-^to
..
|L;:.o
^\ ^;
|lnl
o.-\jL/
j.*oi
Ubviol
IjO)"
));
Ij-.;
.
nmm-> L/
^-t
^\>; INliJo
^j>i>Oi
oÄ^o
(jl.;
vi
oii.-;
'
«i-io |LajJcoOt;
|l-0^-W|0 (.u-^^^^jui
v°="
^V^/
w..\
m vi\
t^( poi
oii.
(jaL/ y-;
..^i,
N-.| >
HISTOIHK.
j.Nvvlt VIN ^-Luöi* ^V^^axio» ^^.^v^; ;a30 .;.lö^J \jSii U.A<xoo
-o;j .loovJi ^L>\j^o ^»is^i-ij ^io ju() vOJÖi
fdl.
^,'-^v
.N-.U-i.io/
—
AllUAIA.
l..^»iai>;
.
i:.;-
V".
«.A.^
1.
joi
im
[in fine
TTj;
—
•J7toV.T)i]/iv.
)Io .>..,?>
.
Tbv
—
2.
^^01
•^Ä-'/
—
xaipo9ii).axo-jvT£;.
6:(j7tötT)v y.ai oi6a<;y.«>ov.
—
)-~>i«.-:M;
—
3. YiSixet.
to OTt
7. Ttpo;
^i.
aXXötp'.ov.
—
|j.i>,iaTa TtpETiov.
comme
et c'est surlout
toi,
nous
iiuiis;
r()r(|ui
nt!
apparlenait pas
lui
cause du
s'cst atlin''
cl
je
aux pauvres
tort
mon Seigneur
Maitre et
que
ainsi
d'amertume'* en rendront raison,
uu renom
ma
devront repondre au juge
et
quil nous faut donner au peuple Fenseignemenl et
f^oin et
grande prudence, en remarquant encore que
Voila
Lorsquc
les clercs
roreilje a
lioi
leur
|iiiiMc
;
«
;
u
cl
la
est je
pleine
sens de
la foi
anathöme
iililiiiH'iil,
Ic
avec grand
cc/iii qiii .scdiidnhsc l'nn
».
viiireiit
im
devaiil
—
—
'1.
l.ill.
i.
(lETpov. ßl
peut-elre ce
de nial^dicünii
elfet,
ileniiri'
Lc
.1
:
ajuulr
:
;uiioiipr la
oii
inol
jiisle
mais
acciisation.s,
..
m
m'occu-
un frere dans
a
Icdrc de rKgyptien, qui est
en
Cijrillc.
ßpa/-JTTiToq EXT£tvoi]j.i
eXoito Ti; oi«6ioüv. C'est
ajoulc
de
ancnnc de Icurs
Li' gi'ci'
EvoüöT);
Pour moi,
comme
le
bouche
la
les
mon
*
de res !">
coinmencciuciil de
diseulcr
rcnl
'.
j
souhaite a
fremde colere'.
ii/ic
le
aux aveu-
servantes, a
je n'en
(pi''
Peres; mais ceux dont
les
Clirist.
petils miiriu;
tel
moyen de
ont ete
ils
et
vie- plus (que ne Font fait de la leur)
perai seulemenl de ce qui est plus beau et je tc rappellerai,
gi-or
ta Piete.
grande iniportance ä ce qui
n'attaelic i)as
concerne, de crainte de (paraitrei estimer
ctv
ir-,-/
a^i^o M-.
ii.
leur avons nui en rien, mais
in'
parce que Fun a
',
aucun de nos eniiemis. Cependant
1.
—
parce qirils pensent rejouir ton entendement qu'ils repandent
gles, UM autre a leve le glaive conlre sa mere, iin aiitre entin, au
i.iii
TOiauiTiV £(5y/r
j.
dans leur depit, parlent mal de moi devant
je l'apprends,
reprimandes avec nioderation
Inl.
—
S. 9pov»i|*a.
fönt de maniere continue, en profitanl de l'occasion et de la i-eunion des grand.s
de.s paroles de ce genre contrc
voll
^tax; ^^i^oi
oil.',.^/
lineae).
Certains, Jls le
chez
ÖedoEgEtai;.
oi)? (i.
^.itTS.^;
I
il
plciii
trouver Xcslurlus triltunal,
saint
le
irorgucil. et
ne
voulii-
preta
eliercha, par iinc persnasinn
incsure de
iiia
vir
u.
l.o i^roo porli'
:
x»;;
yap evoe'/etou xa; twv yaOXwv SiaSpivai oxaioxrita;, w;
qiü a suggere
gi'cc purlc
:
«
«
iiia
vio
au jage de tous
».
»
—
au traduclour. .">.
—
:i.
C(. Mallli., wiii.
I.e li.
N«
.
—
XXII.
[49]
.;«^ WM V--^^
.ffft
y>n
öt^o^o .o(J^
.''^.
Uü
CCi— ;;
|o%S\
1. |Mtxpo6u(ita;.
evav6po)7riioai.
—
l>.
—
«
^.
xati
^
|
.^1
.^oJJO
—
v.aipov.
»;
;•
-i.
—
OcoosSeCa;.
(-«J(;;
)
DE CYRILLE.
L'INIMitlE
.yooil^oa^b«^
>3lS>.»
n v>
^/ ^o,
Trjc ori;
CAUSES DE
i^^
,^(
-^vv»
',
.oi^;
J-Lo .'1^.59
Trpo; (iaxpoXoyiav.
^
4.
);oi^
y^ «
>i.ai.o
ä la cour
avec
(Ta^i?)
des calomnies.
A
etre examinees,
fut la
reponse de Nestorius
dune longue
guerison lü
trafne
un danger
la
le
\>o Oi^^Jj;
o<>i
ooi
-.lioloj
Le greo ajouto
oapxuörivai.
eveque.
leiir
II
(les) fit
si
que c'etaient
foi
ses affaires venaient ä et
il
luontra son
conimem^ement. Voici quelle
notre egard, je les abandonne ä la
reponse quo
ne convient pus
qu'il
(xivöuvo;), je
^"^ i
»n
i
:
palieiice el ä
son temps; quant ä ce
.">.
)
dejä par co moyen, d'apaiser
pensa quo
les adinirables lettres ä
Quant aux injures de
-
au rang des coupables,
inimitie dans la lettre qn'il lui ecrivit des -
j^^
-.[j;
d'hommfs dignes de
cette nouvelle, Cyrille elles le placeraient
afin,
liii,
leurcolere', car Nestorius avait appris
5
^"1/
vCl^..xj
Ttapaivcutv.
7. dtätX^pixriv
admirablo, ä les faire rentrer en gräces aupres de aussi entrcr
-opo^
V-^id?
oi
-twü;
xati 9U11V.
537
les
evenenients leur donneren
l
en
de taire, 'de crainte que le silence n'en-
repondrai en peu de mots, autant que je
le
pourrai, ä tes
longues paroles. Et,
15
un peu plus
loin,
il
dit
:
Quel est donc l'enseignement contenu dans tes ecritsV « Le saint et grand concile (5ÜV0801;) de (Nicee a dit) que celui qui est ne du Pere selon la nature. f.umiere de Lumiere. celui
par qui
le
Pere a tout
fait, (le
souffert toutes les choses propres
Comparer ce cuiidil en faveur des G., t. XLVII, p. 1 sq.
1.
intervenir P.
porte pas
«
:i
—
f.
est
aux hommes^
descendu
et a
et a
ressuscite.
revetu »
un corps et a
Voilä les paroles de
celui de S. Jean (Ilii-ysoslomc et de Tlieophile, liirsi(uc Ir pieiiiic-r a voulu
luoines chasses d'Egypte et refugiös ä Constantinoplc, Palladii
—
2.
I.V..
-
W; aux hommes ».
P. G.. l.LXXVII,
toutes les choses propres
PATU. ou.
meme)
1'.
a-
Mansi, IV, 892;
Lal)l>e, III, 322.
•
—
3.
Diatogus.
Le grec ne 36
I
*
l'ol.
..^.^\ .^ .t^lN^ISJ. ^oop..Viaj
to/
i-aJilt
''
Pij
PI
,^(
" IS-
.
.
3Üi^— ;o
);V*
)_i^ o)K_i:;toj
w.;o/o
]l;
^*^" )«"N
»^
,
)loivi.ot;
^iu^j:^
:|oo«
i-^i.U/
''
lliJL.ovi'
[50]
)jq^_>
vJllSjl^o
l-io-.
Po
.
Jajij
Uw(
' oi^
°^*t->?!s,
JlfcoKjiO
:)ooi
^io ou-^j-s
jKi)^-;
.o«i^^-<^Uj
.t^.^
Lj^^äJo
oöi^ ^^oAf
>a-«-o/»
.oiKiaaiJ!i>.
0010
)ooi
^^^?o
Jjl,/
-»L»/» oci
U^^,
.OU5
)-*<-s
lllSTOIRE.
-oioC^/ -o,ai|^i otn\ o;»;
M-^io I
154
)
—
ßARHADBF.SAHl^A 'ARBAIA.
538
.0
1.
ta
—
itapa8o
—
ffUvaiStov.
Piete
Trjv
6.
'.
nelle et ce
Tov
2.
—
TyvaiStov Aöyev.
xiö llaTpi
:t.
SoxsT.
el
—
'>.
tov ÖsTov
/''P°''-
—
^-
'^''l''
"^'l'
10
faxpi
>e),unEvov vadv.
Ecoule donc aussi de nolre pari, pour Notre-Seigneur, ladmoniliun
Paula
que
conseillö a son disciple^
:
Irater-
Appliqite-toi aiix Livres [saints) et
ä la tnidition; ce faisant, tu sauvcras ton dine et celle de tes auditeurs'^. Que signifient Applique-toiP Puisque, pendant longtemps, tu as ces mots que nous (venons d'ecrire] :
que tu as cru quils le disaient passible, Celui qui est constamment avec son Pere; mais, si tu le veux, examine attentivement leurs paroles et tu trouveras que le concile excellenl des Peres na pas dit que le Verbe Dieu etait passible " et qu'ils n'ont pas attribiie la naissance temporelle ä Celui qui a une essence eternelle
lu la tradition
fol.
154
''
de nos Peres
'"
et
la resurrection
avec son Pere, ni
ä Celui qui a ressuscite le temple qui etait diHruit.
*
Cy rille,
Teile est la verite de l'ami du Christ contre rEgyptien. Oiiant ä lui arriva ce
il
qui convenait ä sa sagesse
revetait le zele de
Celui qui
:
qui combattait pour la verite et qui adjurait tout
foi,
commencement de
s'oublie des le
sa volonte, ä cause
de
la piete
sa lettre
et
le
de quelle maniere
moutre que ce n'est pas de
son esprit, mais pour uu autre motif
de
comme un animal de Dieu", 1.
mait
pu
Le grec ajoute ».
—
3.
I
6tre influenc6 par
iv,
Verbe
»,
recönnais certainement
».
—
6.
La
vi, 20
7capax),ria£t,
superncioUement
saints (de Nicäe) «
Tri
lieu
aii
»,
du
les
nom
attribue ä Thumanite
13 et 16.
Tim.,
I
«pöüE/e T^ ivavviioei, (tu as lu) «
« tu
:
Tim.,
sauvage, et
meme
l'a
il
mis en pieces
a
il
:
du
fin rf\y
Tri
napaö/ixriv
8i8axri' toOto
Nestorius cntond donc
la »
:
«
Que
nature
les tiennes
te.xle est
a etö traduit par
Le grec porte
•>
lo
la
monde en son nom.
(l'accusation de ses clercs) qu'il a ete conduit ä blesser et ä troublc^r la et
5
«
yäp
homelies de (son) adversaire,
Thomme,
de
n.
—
2.
la
—
4.
pendant longtemps
divine.
a mis le
nom
Grec
:
«
Peschilto;
ä Timotliee qu'il aile
conimencemenl a
Nestorius combinait les versets 13 et 16
tcoImv...
la diviultö
il
de Notre-Seigneur. Dans un
conlorme a
tpuXa^ov.
foi,
Conlresens. Le grec ».
—5. Le
iE
grec porle
cunsubstantielle etait passible
».
:
:
Imnolrn, «
Par
de ces le
mot
is
:
>^>^n.
[511
Oi^V^^^ .,Q^„^^
^Jbo
.»,_i
oöio
—
CAUSES DE
Uc^
)jtJt-=>J
l-^oooiV;
sAJlAO Jotas»
j-s,-.^^^
)-ii
DE CYRILLK.
L'INIMITIE
jji^ fn\ n\ o
|L^ oi\-i\ ^N-.; l-poJ!
.|.^aaiotU/;
jJioÄ ^^^aa
/^
z-»^-"
j^OO^O
jl»— /
^O-.»/
l-iCLA
539
^ooi
l^-r-
.
m
.
jLSa-*
'>(, Ll
^oilx
|l
.po/ )N.^bJ'^/ «K.30
antre cndroit
riiomme,
et
Dien
a enleve le noni de
il
et
a laisse seulement le
il
dans
a accuse (Nestorius) d'etre tonibe
il
nom
de
rerreur grossiere
des Partisans de Paul de Samosate'. Cyrille reprit toutes les erreurs pernicieuses que 5
saint avait refutees auparavant et
le
grand patriarche des Romains. Gelui-ci
Nous avons reyu les nous demandons que
et
jours, Sache
que
lettres
ä
Celestiii,
maniere siiivante ä
Nestorius'-
do l'Egyptien, nous avons exainine et approuve sa en penses autant...
toi aussi tu
dit''
il
:
Notre ordre ä ton egard, voici que nous l'avons envoye ä Cyrille, atin et qu'il te fasse connaitre le
occupe ä notre place
1.
Nous nc savuns pas
jugement porte contre
:
— Personne,
euvoyös.
cupe de combaltrc
ä notre connaissance, ne niait, en 430, que
les
toi.
Christ est Dien; la Vierge est Mere de DIeu
« le
que saint L6on
terrain clioisi par Cassien qui r6futait Nestorius ä l'aide des extraits
le
s'en
qu'il
ce que conlenaienl les extiails faits par S. Cyrille, mais sa lettre ä S. Gölestin,
qui düit leur correspoudre, roule sur ceci aussi
loi
n'y adheres pas d'ici dix
si tu
tu es etranger ä toute l'eglise orthodoxe.
Et, apres d'autres choses,
iii
envoya
admit cela, comine un
fut seduit et
d'intelligence, etil eerivit de la
liomme de peu
les
il
monophjsites (Eutyches
le
».
C'est
lui
avait
Christ soit Dieu. Nestorius, pröoc-
6tait archiinaiuliite
pres de
lui,
ä Constanlinople),
mere de riiomme seul (naluro liuniaine), ni mere de Dieu soul (nature divine), mais mere de Dieu et mere de Tliomme ou, en un mot, mere du Christ, Loofs, A'esloriana, 16G« Pour faire connaitre claireS. Cyrille ccrit ä S. Gelestin 168, 171, 181-182, 185; llcract., p. 151-15S. rcconiinaiidait de
iic
dire ni
—
ment a Ta Saintel6 ce TÖ|iov);,
«
x£9a).oitüv
Ttepixoitai;
E)r.ovca;,
que fdisent) nos bienheureux
IpiiiiveuBrivai
8e
grands Peres,
än£
Iv 'AXeSavSpeCqL.
i>
Ces
»
condamnaient Nestorius. Cyrille a rouiain
»
ecrit ä
Jean que
et qu'il fallait y ob6ir sous peine «
seulc trace d'un concile romain est
les
de Celestin emanaienl
lettres
de se s6parer de
la
—
2. Cf.
483 c; Labbe, III, 36:!-374. Gelte lettre est dalec du
11
aoul
Nestorius, de
nombreux
communion de
un fragment de discours qui peut avoir
Celestin lors de la röceptioii solenuelle des .\lexandrins. et
et
napidxsüaoa, Mi eveSs^^TO toT;
avaient ete traduites en latin a Alexandrie. et Poseidonios, qui a porte cetle traduction Alexandrine » ä Rome, en a rapporte des lettres a Cyrille, ä Jean, ä Rut'us, ä Juvenal, ä Flavien qui
coupures
«
:
qu'il dit et pense, et ce
et justes motil's de
meconlentement.
—
3.
ete
«
d'un concile
tout l'occidenl
Mansi, IV, 1036 a; P. L., 'i3o.
Ibid.
—
».
La
prononc6 par saint
tiaint Gelestin
t.
L. 481 b
avait,
contre
BARHADBESABBA
540
wo ooD
0)10...^ IQ oiLo;-D^-t
.pO)»
\^o'^
.^SIC)
o/
'ARBAIA.
^
y^:.'/
^/
—
HISTOIRE.
pojj ojtOi-to
1vxj»o
\>^
[52]
^
:..
^OOi
^an_\
^j—
./
I lol
m
o<.
jL_io
,_io
•^^j^^Ji.Q^
»2)1
^a.:aü
O esprit
rebelle
de Tempereur!
Ton porte
le
)a^M
jj)^
»jlS
.).JU.aji
)!.)•«
io-^^;
jugement
6
loi,
^«>
f.b.
jooiJ
)löt,z>/;
(homme) sage,
coiitre le siege
que
doiit la volonte est
non seulement dans
sans avoir fait d'examen;
lo
)jl^:)Ol^
).Ajiai3;
Romain
le
ojK^io
^s :)J)CuJu»;
)^^-LÜ;
montre par
ö pouvoir barbare
!
n'y a pas de
11
OCH
]1
les
Evangiles, mais pas non plus dans l'Ancien (Testament); Nicodeme en te-
moigne'. Que dis-je de ceux-lä! mais les paiens
ou
Lorsque iiii.
IM
re-
la
parole de Nestorius qui a dit ainsi rire
le
!
Qui donc jamais
le saint *
apprit quo Vinipie,
lorstfit'il
Gomme 1.
y ei'it, tant que le mal etait petit, promulguer un jugement juste entre
l'empereur diüerait
Uf. Jean, vii, 50-53.
ablaenda crimi.nn. si le
is
i/ui
—
vu),
ou pres de
lo
3.
—
2.
en disant
le concile'^
Actes, xxv,
ll>
;
A'ora
est,
il
(Nestorius) persuada ä
un
concile des Peres, pour
le
coupable
:
«
Un
lexle n'est pas uonserve.
—
't.
et
Tinnoccnt.
concile ne nous con-
Ronianis consiieludo damnare. aliquem liumi-
accasatur praesenles haheat accnsatores, locumque
Le
yraml
seien la parole du sage'', et lorsque celui-lä (Celestin),
qu'il
nem, priiisqunin
(a
agil mal, tomhc dans un
pendant longtemps, ne fut pas revenu de son erreur,
porter et
:
des lettres de cclui-lä et de les dechirer de
v°
l'empereur
"
r,
jugement des accuses soit confie ä leurs accusateurs?
maux,
iiombri' dp
chez
Mais toutes ces choses d'une nouvelle sagesse ont ete
esprit d'orgueil et de süperbe de celui-la
qui a-t-il vu que
loi)
barbares. Festus en temoigne dans sa reponse aux
Püuvions-nous nous empecher de
O
(une teile
au
primandees ouvertement par
nos mainsi*
meme
n'y a pas
juifs
les
sujet de Paul^.
il
Gf. Prov., xviii, 3.
concile n'avait pas öle njclamö par Nesloi'ius avanl juillel
't3l,
defendendi accipiat ad
—5. On
peul se demander
non seulement pour
fixer les for-
i".
—
XXll.
[53]
jj.iN.^ )K^Vo^>.2 ool JJm .-jjoi
Iv^io
)la-^n .X.^^-s
^^..^k.^
1
1,«
.n^Nm
* ..1/
.vxq.aSl^I/
^j»
voaAJ ou^o;
Ötlo.~^0)0 Otlo 1 »0>.3
de
sera etranger ä l'hoimeur
d'oxemple, ä peu (de
a Cekstiii
frais),
JJL.;
Sans
et.
et lui
une
condamnatiou
la
(|u
il
^)-^Nf
loiii C.i/rillc s'il
du sacerdoce
», i\Wior/».v
porterait;
il
.^cooiot-JO-CD«
If-M .vOljjl
et,
)
i
..o
->
^aQ-.^Q.^V.£QJ
demeure dans son de plus,
n'accepta pas. '
.joöi
jj/
II
il
servira
pensa que
sans examen d'uu concile
craignait aussi que l'empereur
ne fussent accuses de violeace. Lorsque l'empereur entendit,
lettre {sacra)
541
'
vni^^a^uxu
jj
^^.^.^
ce serait plaisanterie et derision de laisser ceux-ci 5
C.YRILl.E.
:)o6< l^t-soJ oilojoi^; )t..a_.jJo :vnm'=^ts,.^
On excommnniera
vient pas maintenant. il
v^
.yQ-iö«
^lil)0 .JKSOM
sentiment et
^flo^.t^o
l^>p;
oo(
),
CAUSES DK I/IMMITIK DB
aux patriarches", pour reunir
les
ecrivit
il
eveques qui dependaient
d'eux et les faire venir aussitöt ä Ephese. Nestorius proposa de se reunir dans cette ville, d'abord ä cause de la fertilite et de l'etendue 10
et,
en troisieme
lieu,
lieu,
ensuite
par devotion pour Jean l'evangeliste.
Cyrille, bien qu'il
Rome,
eiit
tout
n'eut pas confiance,
TOccident pour auxiliaire avec l'eveque de
des" sa
premiere
examiner ces choses, car sa conscience 15
du
parce qu'elle etait situee ä egale distance pour ceux qui devaient se reunir
etait
dans ces
beaucoup
difficultes,
d'or, afin
le
convocation,
condamnait en
envoya des hommes ä
il
de s'attirer par
lä
la ville
grande afTection de
cotnnie
il
l'öcrit
ä-dire au papc; 1.
eil.,
ä ses clercs, cf.
182; P. L., «
l.
L, 501.
II
avail ilonc cliaiice d'en etre
Tandis
de l'em-
3° lettre
de Nestorius
le clief, si
saint Cyi'ille,
n'avait 6vil6 son jugenient, en conlianl la cause ä d'autres chefs
Cyr. opera, öd. Aubert,
S. Cyrille et ses partisaus.
—
2.
Lu
19
t.
V, pais
2,
page
Zii'.
novembre 430; Labbc,
III, 435.
qu'il
imperiale avec la part
mules dogiiiatiques mais propter inqtiisitionem aliarum reruni ecclesiasticnrum, ä S. Celestin, Loofs, loc.
pour
de venir
tout.
»,
c'est-
BARHADBESABBA
542
oJ^« .ou^ V-^/
>
I
»
^f
1.
f^ -'t^ cxiK^ l-^>-^^ |K.:a^
..\tl^ :^juKia-*Kio yjj yS.
)ju; '^^ItI 1^*^0-3
Le second \od
est
en dessous de
liii
par crainte de
la
»
11
lui disait^
qiii
disait
encore^
il
»
Tu
«
:
Du
•>
»x>oV.flDlj
m\
)K_>a\
tu as altere la
courut ä Epliese
detacher
n'ignores pas que
commenQa par
et
car
si
mechant entendit
le
il
lui
verite
et
pour des deniers. L'empereur ordonna que Jean que
.'^
ecrits, tu clierclies ä
Lorsque
Memnon d'Ephese, ä l'aide de beaucoup d'or, compagnon d'Iscariote capable de vendre la concile'' et
oolo .«^b^
Non seulement
«
:
dans tes
est
poursuivrons.
menace
.\Jicl
)-^:^oo
Iv-o-fio
Item plus bas.
la ligne.
il
mais encore, par l'astuce
mon royaume de moi. sommes fache, nous te
)lv^/
)..<^:)Ot
)l
[54]
adressa une autre lettre [sacra) pleinn de colere
de menaces, dans laquelle
l'oi,
^^
)-«^^
HISTOIRE.
jlonN vi\o jVtJL^o -.looM )^o
)-«>.so.ii;
pereurV Et l'empereur et
—
'ARBAIA.
nous cela,
parut devoir etre un
royaume du
le
d'AntiocIte füt
Tillustre couite (comes) Caiididianus veillät
ciel
juge du
le
au bon ordre.
10
au commentemenl de d^cembre 430, S. Cyrille a envoye ä Coustantinople la lettre de pour souscrirc aux formules du concile d'Alexandrie sous peine de deposition; c'est alors sans deute qu'il a öcril a Eudocie et ä Pulcherie en ni^nie tcmps qu'ä rompereur et qu'il a pu cherctier des appuis Interesses. Le 13 deeembre (six jours apres avoir 1,
uioius,
S. Celcstin qui donnail dix jours ä Ni^stoiius
regu les leltres de S. Cyrille), Nestorius aureis jaculdrisf Loofs, loc.
Labbe,
III, 434-435.
cit.,
lui disait
299; P. L.,
t.
dans une homelie publique
XLVIII,
Cette citalion n'est pas lextuelle.
—
850. 3.
—
Cf.
2.
:
Quid me latenter sagittis
Ct. Mansi, IV, 1109 c-d., 1112 b;
Mansi, IV, 1112 c-d; Labbe,
III, 435.
Cette phrase n'est pas texluelle. L'empereur ordonne aS. Cyrille de ne pas agir d'autorileet de disculer
en concile.
—
4.
Nestorius parail en dire autant, Heracl.,
p.
195, lorsqu'il dit
de
S. Cyrille
:
«
il
faisait
tout avec autoritö, apres avoir exclu de cette autoritö celui (Jean?) qui en avait el6 chargö par l'em-
pereur
».
Si les
deux ^veques qui avaient pris l'avance pour annoncer
6nonc6 cette prelention, on comprend mieux encore que Cyrille
condamner
Neslciriiis
avant
soii
arrivee.
ait
5
s'associer
l'arrivee
prochaine de Jean ont
eu bäte d'ouvrir
le
concile et de
•
.a^^^
•I-^^''*-^
^?
).a3K£Q.^ K>).^-V-o I-*^«»"^^-'/!
^^
o,.3
vJPQlS.jo
XXIII. et
—
des eceques
Dp
n\o
:looi
j^^i
vfo^^a^sjsu
l'öj.^ 1^« -vS
)-*"•«•<);
|Jo
)3Ö f>m3/;o |-«^Vq^;o |-»^;; ajuiai/
oiK-.l).io .)LX^.fiCLS.;
K_)jloI
-voot^
jjO"^ ;a-^j>
yjj'/
^/
.looi
oila^i
)-.-»ai3;
v^/«
ooi
s...2^vJl
y^
jj/
.jL^.^aj;
qui fut fait ä Ephl'se, avant rarrivee de Jean d'Antioche
re
qui l'acconipai/naient, par l'audace de Cyrille
'
^«
vl^
)ju^^jlo
/o
ta..J^^^ ^AJci.*.£Q.^ )K!^i;
^0-..^^
Si30(V..cQ.^o
r> (in . °>
JV—aa .I^äl^^o/ ^i^o^
v°oi-^KwJ^ ^'*-^ ^^i-^?
.0001
j-^Q.
•Uy-''l
""^
JV^a^i ^i^^5 II
^3
«.foo iT>°ijJ
de ses collegues.
et
* loi. r".
Mais Jean, parcc encore de 5
rpic
sa villo etait situee tres
longueur de riiiver
la
et
d'Ephese, ä cause
loin
des nombreuses pluies, tarda im peu'.
Lorsque Nestorius, Candidianus avec d'autres eveques arriverent ä Ephese'", trouverent
ils
ia ville
liostile ä
leur arrivee, ä cause
du tumulte cause par
l'Egyptien d'accord avec celui d'Ephese, au point qu'on ne les laissait entrer
dans aucune eglise, il
10
s'etait
dans
ni
martyrium de saint Jean l'evangeliste; car
le
forme des troapes d'hommes avec des bätons, (formees) de moiaes,
de paysans
d'eveques
et
anathematises qui
bände de volcurs^ L'arrivee de ciiaine, ainsi
etapes et 1.
il
qu'il
le
apres
Comme
la
Pontccdte.
—
3.
'i31).
Cf. Relation
565 d, 601 a, 604 d et 608 a.
—
i.
'
:
il
n'etait eloigne
les affaires
er. IleracL, 372; I.ubbe, Concilea, III, liol d, '»4Ga.
apres les föles de Päques (19 avril
—
2.
Nestorius ariiva
de Nestorius, Mansi, IV, 1233 III, 443-446.
qu'une
comme
pro-
que de
trois
du concile allaient regu-
S. Cyrille arriva vers la Penlecöte (7
Labbe,
autre
celui d'Antioche etait attendue
leur avait fait dire
sc hätait d'arriver.
rien
n'etaient
le
prämier ä Ephfese, peu
jiiin),
et
Juvönal cinq jours
d, et lliracl., 367-368;
Labb«,
III,
155
BAUlJAnHKSAlUlA
544
ARBAIA.
IIISTOIRE.
o-I^J
jlo^; jjujo Q-«V^/o .jla^js^äwjso )Ko/ io^ )la.-L.^;
a.SL.^>^o
yoot.1^
JSjl.,.^«
.JIqjlS^^o
po/ ..v^mviN ^^iKJ>^; )la^wCS^i ^iw
.yOO|^>^M)
^; ^^
y^l .om
^/
JL^o^^so •JJ.OaJla; vOf^jK^i yOOt 1.W\ .0001
^t^-)
vJLL^^JL^
.°i^l/
jJ
•JloJLiCL.oi;
^t
jK^j^
"^O^ o n°>/
{-...oDfas
)..<>.^..^va
l^^yJi 001 >2^Mi
o^ ^o
Ir-^^
jjl^A^w^ •I'Va; oiKjicd yO-JL^nJo
ajLisl/
Uk^V^O
)t->/
[56]
.0001
jJ/
^^^jt^jL^
^^
OlS.:«^ Ut^^
.yOO<.JL2Ll
övJLbo
);oi;
It-M?
10
fol.
V |Jr.,iAX
1.
—
Ms.
vaa;
2.
lierement et que de
nant que
—
:!.
(jf^i^luii^
Ms.
adversaires se preparaient, que
les
(son) sentiment
Iieretique
avec l'eveque d'lßphese,
allait etre
et,
inique contre
Jezra'el',
avant que Ton arrivät a l'etude de
mais ces brutes ne
crainte d'avoir ä etudier la
de
folie,
menaient tout des coups. loi.
155
le
ils
que
la
f'oi,
ils
se
oserent porter un jugement
ils
de venir'. Lorsque il
dit ä
s'attribuerent
ils
lui
obeirent pas,
mais
foi'',
le
ils
ils
pour etudier
et
la
s'ils
question
monde
comme
en un thetitre ils
signer, les uns ä Faide de l'or et les autres par
Lorsque Candidianus apprit le
cela,
il
*
en
rendit
sc
veritable concile,
et
cet
endroit
une troupe de soldats
v°.
III Hriis, XXI, histoire
de Nabotli.
—
2.
Le
22,iiiiii
k'-il.
—
3.
La
ele U'ailee, inalgre les elforts de Xestoriiis et des orieidaiix, et eile
jusqu'ä Ghalcedoine.
—
4.
noms dans Lupus,
quarantaine d'övcquos du patriarcal d'Antioche,
presque egales.
(jueslion di's o.sl
le
restee
deux natures
n'a pas
objet de controverses
une protestalion pour demander d'attenJean avait amene ä temps une rimcile avait i'hanoe d'etre partagö on deux factions
Soixante-hiiit övöques avaient sigtie
dre l'arrivöe de Jean, voir leurs
in
en etaient empeches par leur
se reunirent
s'assemblerent dans un coin (ywvia) d'une eglise, et
avec sept eveques\ envoyespar 1.
:>
saiut apprit ce qu'ils se
le
Candidianus de les disperser
n'attendaient pas l'arrivee de Jean pour se reunir
(Öe'aTpov)
et
sous pretexte qu'ils avaient convoque souvent Nes-
preparaient ä faire contre les regles,
foi,
proche
etait
siege apostolique de la ville imperiale,
le
torius et qu'il avait refuse
de
juge
le
mis en evidence, se jeta en travers,
jeterent du cöte de la colere et de Tinimitie,
jugement de
an jugement, celui-ci, appre-
coiicilej avait deja cite Cyrille
eh. vii, p. 27-29. Si
15
—
tj^ä^Äis/o
jKjui'ISoo
ä
—o
jJo
2l_jl,
'^jKjLioo
;
-
^•^
^^k^/
((TTp«Ti(OTai)
cause de
^^ ^> |p^^
mais
,
vO-ioi
il
put
.
yojsv^j
fi
jooi
vi\
^cDo;o(ja~ao
jLdi
^^>^ )jl^>3^
wö-sto
yOoiF^.«^
.oooi
».ao
yo\.'.£>
)p^£Dt
pMo^^^a
^'^'^
^^
)^Vi "^b.»
I
!*>./
)-a^^;
mNji/;
oKj ^^exo
>4.;o/o
U~>j;
^-y^ia\ö .)^io
jjiofcotv.^
l-si
^^!&J>.
545
.
ooO)
.yOOtK.l^^^
^<^tN^o
l.*3o f^..->
peine arriver aupres d'eux avec grands efForts, ä
ä
resistance des
la
-.l»
vOO|i.a^'^t.:d
.J_V>.ioj
.o^^uLL/)
.yocxia^
yootla^
OCH
CL-2L^il
DR CYRII.LE AU CONCILE.
ROLF,
^^
)Va.^» Iv-»-^
jJl^^ooj
o
—
Will.
[57]
gardes qui veillaient
sur les portes. Lorsqu'il
parvint aupres d'eux avec les eveques et qu'il voulut lire les lettres de l'em-
pereur qui etaient envoyees par 5
et ne
le
etaient avec lui;
pereur
et lui
il
les
du
sortir
fit
— que
Aussitöt qu'ils
lit
eiireiil
l'ait
I.
le secoiirs
i'orce
ils
jugement
du glaive
III,
que j'avais
fui,
:
de coneile, en proclamant que
ceux qui etaient tenus par eux
eux; quant ä ceux qui leur etaient hostiles
et
et qui
p. 164.
».
ne
beaucoup senCui-
de leurs familiers. Beaucoup de ceux qui furent pris,
—
2.
Lupus,
eh.
i.\.
p.
34
:
o vobis
Ils se
injiiriose ac violenter ex-
a. b.
Nestorius en dit autant, Iliracl.,
Tragödie
nom
'
Les orientau.x pretcndenl que leurs principau.K adversaires 6laient quaranta asiates et douze messaliens de Pamphylie; Labbe, III, 708 d.
592
cinquante 6vequcs ögyptien:',
«
et
le
etaient conduits de force en häte, au point que
Mansi, IV, 1261 c; Ucrocl..
aussi ä la
perir le
contre leur volonte, au point de s'en retourner en gemissant.
pulsus sum. Cf. Labbe,
3.
une ruunion sous
l'or s'attacherent ä
leur adheraient pas,
rent avec
cherclierent ä faire
et
a Ephese, apprenons-le de Nestoriiis lui-meme
j'avaisete appele souvent au
signerent de
ecrivit ä Teni-
il
soldats de l'empereur ne l'avaient pas garde \
les
Ci/rillc
au moyen de
Alors
signala la sauvagerie des Egyplieiis'-. .I'omets encore de dire
commirent un meurtre en evidence si
put sauver les eveques qui
s'il
niilieu d'eux'.
Saint,
(^e
ceux-ci exciterent du tumulte
coneile,
qu'ils
1"
15
le
laisserent pas les lire, c'est ä peine
—
11)9,
—
4.
Nous
n'avoiis pas retrouv(5 ce passage.
II
peut appartenir
BARHADBR^ABBA
546 c^^^o^
^^
^
|l»^;
'*\
|L^i
Ol
IlSooAo .)Laju-i» ^o;^lU^»
Ij^
^Qjiop
:
)^/
^j oooi
oj;
.
^'^' -
.
fc.l.
I
^
waj6o
fn'^ /
'
^*
ocri
^cix^c^
.
.
o;x£x>i
yot-^
m m^;sjo/i
^/ ^»
axijiL/
A|too .yOoA l_«Xäo
llo
fc
yOcn^
^otoN^/o
|ooi
..
|oc^
i'^VyiNo
'
\
"^
-
|
HISTOIRE. ^
ilCoo
p
)tu.4po
[Lo
.
y*
.
)ooi
«,^^
-.|JL.^ ^bv^/f
o'y^-jS)
)^{
.
^-
Loo)
—
'ARBAIA.
^
|»oi
..
l-ix.(
^i piLo^
.^oovJu^f^
.^^^Im*
.
v\ ito |^Cx^o/t Miä\ Qy>V»
^
^qjl^jji ^a^Is
.0001
P;
l»-./
^_.m?i'v>
,^v>->
^ov^ ^* ^övJ>
^oö|f
.wöot
|
^a^Sovi;
[58]
jootLf
Pt
|_.|^
»^
;^^
^y>..\IS.^o
^^C^
yCi^o'^
^lio
Ih^^d/
^a^oi
IN^l^*oio
156
1".
.'y^ol
I.
.").
^CDO^ia^
^;
—
uijiTEpov xpotToc
T')
6ri|xoaia.
—
Le grec
aTaoiwTa;.
'l.
Tuvc'opiov.
6.
^cDo.cQ.s)^
.'^^v.,fiD/
—
7.
—
M£[j.v(ov.
)-'Vv^
jiorlc
—
f7TpaT-.wTa:.
:
^^« V^^ ^^01
If^MOd
ei« Tr,v
'A.
ä-|Opav.
—
de Saint Jean?).
to otyiov dtTtouToXiov (l'ögli.se
».
k.
ovy/uoi;.
—
—
la äyca
'J.
pLapTÜpta.
reunirent
comme
en un theätrc
(Oeaipov)
monde
l'eglise et ils conduisaienl tout le
de
i'olie,
ä signer.
un endroit de
se rassemblerent en II
part de ceux qui ne voulaient pas signer, parce qu'ils
y avait uns grande clameur de la n'admettaient pas ce qu'on signait,
mais ils n'en avaient pas la faculte, ils etaient contraints ou de signer ou de voir l'eglise changee en une specieuse prison. Par toutes ces choses qui avaient lieu, la ville etait remplie de troubles.
Encore
daiis la lettre qu'il a ecrite ä l'empereur ä ce sujet,
a dit'
il
:
[Vos lettres] etaienl, en effet, conformes aux paroles de l'Evangile et des apotres et ä Tenseignement de nos saints Peres, [mais eux, sans aucun souci de tout cela.l ont fait ce
comme
qu'ils ont fait-,
votre Puissance peut l'apprendre de cliacun.
perturbateurs par les places publiques,
ouvertement vers nos maisons,
(ainsi) ä effrayer [nolre] concile. lol.
156
avaient ferme
que
si
'
devant nous
nous chercliions
ä
''
Le chcf de
la ville
ont seme leurs
de trouble,
ils
Ils
couraient
(leur) sedition
'
etait
Meinnon d'Ephese;
ils
aQn
nous serions poursuivis par eux, nous ne puis-
se sont ouvert' la
grande
eglise et ont pris soin de s'y
reunir, tandis qu'ils nous menagaient tous de mort.
a ete
V^oilä ce qui
son cöte a dit I.
i'ait
trouve
—
les
bandes egyptiennes. Gy rille de
:
Le grec porte
de l'Evangile...
Ephhc par
''
Mansi, IV, 1233 d; Lupus, eh.
entiere.
;\
3.
e?apxo?
le pluriel. Ibid.,
IV, 1236-1237; Labbe,
viii, p. 31;
qu'il fallait döcreter, tij!;
oTdtoeti);.
601 b, 604 e.
III, 568 e.
—
5.
10
de grandes menaces cöntre nous, cherchant
toutes les eglises. Celles des apotres et les niartijria,
fuir lorsque
sions pas nous y rel'ugier.
ont rempli
ils
et proferaient
Ils
Labbe,
III,
565 d,
—
avec l'aceord de tous, une
2.
La
foi
phi'ase n'a pas ete traduite
unique conforme aux paroles
—
i. Le grec porte le singulier; item Labbe, III, 596 a. On — 6. Gl'. Mansi, Le grec porte u il (Meninon) leur a ouvert :
>'.
'^
:
I^anm^f
U->.^/;
^;
—
XXIII.
[59]
.|oo)
oo)
^^«a
a*-ßoo
."^-.Jj^
(.j;^io/
^^»
ROLE DE CYRII.LE AU CONCILE.
^
oi^
ovsoC v-^ ^p.)SxQ^o» ^*^/» )-i^a-t
.
^^^^
^^^^oo
^.Ji-f
[Ji
^J-;^:»/
P»
l^Qnm9>f* ^^^^oo
[.ioooiV»
.
547
o;J-Na/j
»^
v*»^ ooo?
2..
V^/
.
.O^OiVB
«^OOI^
Ml siipra
1.
_
:;.
U^jilS»
-
:.
II
1
1
)OOi
—
liii.
^^1
M(ld.
\^v\ots^l
—
PlO
G'e^^t
2.
11.
\>l
low-
ooi
..^O^
'^'ri
—
s.
.
000|
^.»»li
II.
—
;*vi5>'^
5.
vOOl^
/
•
t-lOf
'
V^/f
^^O
1-^^
t^\
\^'^
•
om.
II
l^aa^a-
H.
o)S
— —
«.
O)^^
N-i^^
I^^m
add.
»aot
II.
—
.
I-ioooiVjo
^ca-*iQ-^^-^Q-l
^oioN^/
|ooi
;^k^
ins (= II). ^:al U_»o ndd. ^oCV).
Kiln. p,
Bfidjan. Pari?,
II
i).
M-^t
•
v^^
loai^r. lo.
\>l
_
II
H.
Parce que iious avions attendu que, durant
f«^
une citation du Livrc (illiracUilc, ed.
>^-M
-f.
^V^/
^oiCO>^io;
^-V^L/
•
la
durant plus de vingt
nous etions suffoques par
l'ete,
jour's
'
toul en etant fatigues,
chaleur, et que cerlains d'entre eux
la
etaient accables par la pauvrete, d'autres par la vieillesse, d'autrcs par les maladies et
meme
d'antres par tout cela, nous avons ete portes en les
choses pour lesquelles nous avions
nous preoccuper de ceux qui d' AnliDc/ic et
ni'avait
ii'etaient
Home, car ce sont
de
donne tout piiuvuir pour ce
i'tc
pas
eu.x qui (|ui
serait
dire par des evrques qu'il nous laissait a arrivait d'etre
en retard
A'estorius dit
persi'cute.
et l'eveque
l'ait
le
persecuteur et l'accusateur,
l'avait reuni. Si Cyrille avait le röle
et
moi
grcc porte le
:
«
lui
lui
[:il<.<,]
d'accusaleur,
seul tout
laccuse
j'etais ä la fois le
seizc jours
»,
I.ahbo,
ne devait pas
il
tribunal; tout ce qu'il
le
pretextes etaient tenus par eux
juges avaient ete reunis en un tribunal,
iirap^visia).
III,."iij8 e,
sen? de cctte cilation, Labbe,
el
et
concile et
accusateurs s'etaient tenus en leur place {^iw), et les accuses aussi en
tous auraient eu egalement confiance I,('
l'ait
s'il
l'oi)
:
disait. les aulres, tous ensenible, le disaient aussi. ses
I.
la
-.
])0ur vrais sans hesitalion. (^ependant si tous les
trouvö que
pas
fallait
d'Antioche nous avait
nous tous Tinvestigation ide
avoir celui de juge; tandis qu'il constituait a
les
iie
Celui qui devait enlendre nos paroles et nous juger etait
lenipereur qui
si
qu'il
encore arrives — je veux dire des eveques etaient en retard — car l'öveque de Roine
^
Ainsi Cyrille etait le
tenips ä recherclier et ä etudier
convoques, en disant
leur,
la
Mais, au contraire, celui-ci est tout
k viiitct el
III, 568-569, 660 e;
unjiuirs /'.
L.,
t.
i\
Ihiil..
L, 5Hi.
748
—
Nou?
c.
2.
Cjrille
n'avons; a 6crit
cette phra.se a oertains du cleige de Consl.autiuople, Labbe, III, 561 d, et a Celeslin, Ibid., 660-661,
mais ne
—
3.
l'a
plus i-epötee depuis, lar Jean, au couliaire,
Heracl., 195.
Paris, 1910, p.
—
xi.\-x.\.
Le Lirre d lUrnctidc avait
lui
demandait del'attendre,
ele Iradull
en svriaque vers 540,
[hid., cf.
'i'i3-4'j[6
602
c.
trad. frangalse,
N/.
—
BARHADBESABBA ARBAIA.
548
^»LE^» ^ot^
^^ei^öoo
'^
iN^
|i|
.«£OQ\*a-£)
JJ/
^o,_^o^
—
3.
oi'loo
HISTOIRE.
^^sci^iaA
,
.
^jwoojVjo
[60]
pji^^^t!
^a nnmg^
f
axioo
V°. 1.
II
;i(l(l.
ovi>-
l'accusateur,
-.
Icw W-^y ^-»U H.
rempcreur
et le
juge
;
il
iM^iao
faisait toul
.
l^-i
ai»
.tni^.'i
low umoliv.N
II.
avec pouvoir cn chassanl de ce pouvoir
celui (Jean d'Antioche?) qui avait regu pouvoir de
rempereur;
il
s'est eleve
lui-meme,
parmi les eloignes et les proches et il s'est etabli convoque par Cyrille qui avait reuni le concile, et par Qui clait eveque d'Antioche Cyrille qui etait le juge. Qui etait l'accusateur? C?//-///e. jamais aux jngements Qui croira sinon Cyrille P et de RonieP Cyrille.— Qui etait tout,
il
a choisi ceux qui
lui
lui-meme tribunal. El
plaisaient
j'ai
ete
—
portes par les accusateurs? C'est cependant ce qu'a fol.
156
noirceur
*
de
la
mechancete de son esprit en
seil
fail
connue.
Cyrille ä Ephese, afin que
la
:>
''^_^;
jlo
\-ul^
)jL.«
\
..
,
y^l
^.«^oC^o
kS/
jir.
KXIV.
.
ooot
ty>o
VI
in. (lüB
— De
siipia
qu'on avait
fait
liii.i.
ooi
\\:>IM[
Ms. add.
2.
oo^i«.-
:i.
)
^il
'o-iot-.
^
^;
-
)jÖjlo;
)1q,i...,V)oi.^o
«toi^S
y/ .-yooi^
jjlS.:^
—
)
^'^^^J
)jl.(-3
j«-'^^ .otloJL»;
LiotCS. )U/ yOOOCL^;
.o^^o/
oov* Ms.
—
4.
).3l^^o\
j^J^Oli»
^ooio Ms.
ä l'arrivee de Jean, contre Vaudace des
du concile, des ils
soii arrivee', vit la
mechancete de
du coramandement de rempereur, ainsi que
le
leiir ils
peu de cas
et
par une sentence reguliere,
comme
cliefs
des troupes (Cyrille et
av(!C
Memnon)
juge ecclesiastique, eux;
ils
chassörcnt
laisserent place ä la penitence
s'ils
se repentaient
-.
de
et les depouillerent
riionneur de leur sacerdocc. Quant ä ceux qui etaient avec eux, Ils
ils
leur
annoncerent aussi
par ecrit ä lempereur''.
Lorsque l'empereur
ordonna par 1.
iinpies
avaient foule les canons aux pieds et doiit
deposerent Cyrille et Memnon et ceux qui etaicnt
de l'Kglise les
ct'la
|K.Jl^;o
de sa charge de juge. Aussitöt, dans un jugement juste, dans
uu concile legal
10
n tmn <=>>o
ce qiii fut fait
Jean, Ic juge
s'etaient ecartes
ils
I,
^ottoo»
rebellion, la raaniere dout 5
)
I
oUf-ooS
Memnon.
Cyrille et
Or
.
)
:)jL^^;
IJo.^ Oi^i^O
<=^1/;
lS,JB^^o
I
m ^V)o
1»
lettre (sacra)
Jean semble 6tre arriv6
söance que
le 10 juillet.
700; 712-710.
l'apprit et qu'il
le
11
de ne pas tenir coniple de tout ce qui avait ete
mercredi
—2. Mansl,
connut Tiniquife commisc par eux,
2'i
IV, 1208.
oii Ic
—3.
vcndredi 26 juin. Les lögats du pape ne prirent
Mansi, IV, 1272, 1372, 1385-1389. Labbe,
III. 601,
697-
BARHADBESARRA
550
jio
i\
Kj..,.^
V)
^
o|^s.^l^o^
.jooi
fait
1
..o
peu^
jLaLfio
.)1^^-Ä^<\
|V^l;
avec rage par Cyrille
et,
'^
v(ti .
.^.^
yju/
f_>_3
^;
ojoi
V-äao
)K»
«
^\
jooi
^eu^^«
{.x^a^
^<;
IITSTOTRF,.
Kj>-3«
.|Jio-o
OWM^;
jooi
.
l^oobuo
^oi» o^^^; •
>
ÖÜS.3L3
—
'ARRAIA.
.)ju.3
oC^o;
.Ti>oo
.S..0Ö1
)^i)^ JJOÜLA^
.sJiOfJ
jooi
|joi
-Jj-^
fc^-.^js
10
)o>^
v^oiäa/;
Jv^'i
de mainteiiir ce qui avait ete
oi.:äQ^;
sous la direc-
fait
tion de Jean par le concile qui etait avec lui'. Ainsi la deposition de ceux
de CijrUk
annoncee
fut
que cela avait qu'il eut
et
proclamee par toute gisait
lieu, Cyrille
troiive le
des canons, par
le
moyen de moyen de
dans
les
la ville
imperiale. Tandis
douleurs des meres, jusqu'ä ce
fouler aux pieds, ä terre, tout l'ordre (tkCi;)
certains de ses amis,
ti
5
savoir par un certaiii
Jean, soii syncelle, qui etait medecin". Par la grande quantite d'or et les
presents divers qu'il donua liberalement aux grands,
s'empara de
l'esprit
de Tempereur et
il
Memnon.
gehenne,
uomme
etait
sage pour
de son visage
le
le
(II
usa d'un) autre
comte
mal
et
du premier
moyen
changea,
et
il
qu'il avait
donne contre
encore, ä savoir d'un
lils
de
jeune pour
etait l'opprobre
le
de toute
bien; le son de sa voix la
nature
;
il
comme
etait tout ä fait
la
vue
impropre
une grande somme d'argent', lors-
que l'empereur voulait envoyer ä Ephese un
homme
sage ßt un
1. Lupus, eh. XXIX, n° 117, p. 77. La lellre imperiale, envoyee par Pallade le 29 juillet, defendait aux 6v6ques de quitter Ephese ou d'aller ä la cour et leur ordonnait « de discuter d'abord tous ensemble la doclrine de la pi6te », Labbe, III, 7ü4-705;S. Cyrille a röpondu le 1" juillet. Ibid., 745.
—
2.
Mansi, IV, 1393 b-c; Labbe, Conciles,
num, Lupus, apres
la
eh. xxi, n" 109, p. 60.
mort de
röclaraees;
et.
Jeaii,
que
infra p. [67].
10
la
{comes) Jean, qui etait prepose au tresor^; celui-ci
a la reclierclie de la verite. Celui-ci, pour qu'il apprit
les
se le soumit, et l'empereur cherchait
alors ä doniier d'autres ordres differents Cyrille et
il
—
4.
III,
720 b; Lupus, eh. xxi, n° 109, p. 62.
Möine Imputation, lleracL,
S. Cyrille lui avait proiuis
deux
—
385, 478 ä 481.
3.
Comes
On
largitio-
aurait appris,
mille livres d'or et l'empereur les aurait
15
XXIV.
[631
^io
^;
.).•'
soutien de
po»
la
—
o(,_*4Qji
piete,
ARRIVEE DE JEAN D'AXTIOCHE.
^_io
o^
" «'^
^
|.JL^
*^
;
551
^
V^K.ia.io
pour donuer, par son entremise,
la
ful.
ir.7
lui.
15
.)j,.iOQ-^
paix au concile,
avanga, devant reinpereur, qu'il etait seul ä pouvoir les amener ä riinaiiiiuite
de
la
paix, parco
Egyptiens 5
({u'il
brülait d'en etre cliarge
et savait qu'ils etaient
vaincre ä l'aide de
l'or.
*
11
vaincus par
demanda
'
memes,
et
,
lait ainsi, 10
afin,
que
1.
donne, Celle
connaissait cn effet les
la verite s'il
qu'ils voulaieut
voulait les pacifier,
deposerait Nestoniis, Cyrille et
lorsqu'ils Tapprendraient, qu'ils s'occupassent le
chacun d'eux-
concile et l'empire se trouvassent en paix. L'audacieux par-
somme il
mais
|..
il
sous pretexte de paix, pour laisser croire que
chere que la etail
il
ä Tempereur,
d'envoyer une lettre (sacm) daiis laquelle Meninoii
:
paix
la
lui etait
plus
d'argent de l'Egyptien; des qu'il vit que tout pouvoir
prit soin de courir a Ephhse avec
ettre est cuiiservee,
Laljhe, III.
7-21.
—
-1.
une troupe de soldats".
Jhm.-i. 1\\
l:i'.i(;-1398;
Labbo,
III, 7Jl-7:;i.
lui
)
^.iJ^oi w.ota
N- -)
^
»
-
'
.
:iO,
looi
V«
I
« '^
.jJ^QuO
n\;
-.jooi
^^« .oiloJL^ojJ
XXV.
— De
cc
m ^t-^
paix;
il
le
)
i^VMi»
T»;
«uija
^;
ö|.
qui
fiit
)t-^^ .oiojo \^o^i
o(^
fnit
jjjb
^Kj
pour {procurer)
il
fut
In
•l-'^po ^^^.jlK^o
dans
la joie,
et qu'il tirerait profit, pniir iiiie
les
OOI
parco
iju'il
atteudait la
fireiit
l'or
reunisseut dcvant
eux, qui avaient conscience de leur refugierent, et
fiii
excellente, de toute la
j
eveques reunis. Ce Jean Tillustre semblait leur
que l'Eg^'ptien, effraye, augmentät
effet aussitöt qu'ils se
et
lui
iüi(|uite,
ä l'egard de eeux de CyriUe, le
pour
mullipliät;
il
ordonuait
qu'il les entendit,
coururent ä
mais
la sainte eglise et
a Jean de magaifiques promesses; c'est ä
peine qu'il put les faire comparaitre, tandis qu'ils portaient gile.
^^ ^i
^Oa^/«
^
paix.
(imposer) d'accepter un juste jugenient, surtout
s'y
)a<..i.^
pensait en effet que celui qui avait ete envoye recevrait de Dieu une
peine qu'avaient prise
eu
ouS.
jooi
|.^^t~«
d Ephese, apres l'arrivee de cehii que Veinpereur,
concile apprit cela,
bonne recompense
afin
|JL*M
^<^^
).^as;
\^<3\\
^cDojowo.^
fS ^«)
i>\oi
.
im
K-*^; K^jf^K^o .yOL^
(hins son erreiir, aimit eiivoye
Lorsque
^<3o*
le livre
lo
grand-
de TEvan-
Jean et l'Egyptien s'ecarterent d'un autre cöte et parlerent ensemble,
et eliacun
estimait qu'il s'occupait de la paix; mais
combien d'or
il
(Cyrille) lui donnerait,
avait bien fait de porter l'Evaugile;
ils
il
quaud
il
loua son artüice oi
eut convenu (lui
dit) qu'il
eunvinrent entre eux que des quOii
15
.
)-
—
XXV.
[65]
^ ^-^
n
)t
^^01 ^^
LE CONCILE APRES L'ARRIVER DU COMTE JEAN.
jL'^J^oo;
fr>
y)jL,^D;0
),-.>.bo i
.yOoi-tU
|jO«„3
.j^^..
^^^
n-ti ..I/o .^cuil^^o/
^0(0^)-../;
)po
jj/
553
>o\
0|1o)NJ1^ ''^.^OiOO
jJ
Ibl.
157
V".
ooi;
-'v^/ ^^wM^
sk^/
V'^;
l-^i
fd
^;
.yo^-^u
ooi
yooi^.o
t~*^;
}i
10
^ •
OOOI
>
.
\a' ^OIQ^O^
.^-«^ot^
)ooi
Ms.
^l
1.
a
yOOi.X^/ ^^0>. l^y^lo .|louULJi;
j
,_L^Kjl^
Krf) n
m\;
^/ ^;
oöi
yOt^jK^f
ooi .)t-°U
jJ
Nk../
m^^;
OOOI
.^-A^!i>
in lino lin.
nom
aurait lu la lettre {sacra) jiisqu'au
gierais ä course pres de l'evangile,
de Nestor üis,
pendant que
(Cy rille) tu te refu-
toi
les autres se
de toutes leurs Forces en criant pour qu'on ne put
lire
disputeraient
plus loin. D'apres ce
pacte, Jean ordouna de separer d'eux le bienheureux Nestorius tout en disant 5
«
Cela
me
fait
de
excellence, dans
la
un
peine pour lui et je ne puls le voir, ä cause de son
opprobre.
tel
ne nous est pas facile de
le
lire la lettre {sarra) et, 10
et qu'il eut ete lu,
ne lüt pas davantage les faire taire, ils
encore pis que cela, avec ruse, et
le pacte, Jean,
quaiid
ils
arriverent au noiu de l'excellent (Nestorius)
comme
il
l'autel,
et
montrerent leur
liabilete
tandis que d'autres criaient
:
il
et lui, faisant
un terme a
leur iniquitö
voix pour qu'on
s'en trouva d'entre
comme dans un
que d'autres se prosternaient devant
davantage,
la
voulait les efTrayer encore plus, comnie pour
porterent l'evangile, et Cyrille courut se refugicr
I"»
lui,
pres
de
theätre
lui
et
(ös'aTpcjv)
eux qui pres de
de
folie
en criant pour qu'on nc lüt pas
semblant de leur obeir ä rcgret;
ils
mircnt ainsi
'
l'cmpereur qu'il avail du entremfiler des soldats aux (jvßqucs pour les enipßcher de 1. Jean C'crit baUre pru/j/er rabicm, quae inier eos nescio unde provenit. Lupus, eh. xvi, p. 47; cf. Labbe, III, ;i
se
il
(pröpose) au tresor, ordonna de
egyptiens commencerent a elcver
les et,
» II fit
raconter en entier maintenant.
Le jour suivant, d'apres *
:
P.\TIl.
ou.
—
T.
IX.
—
I'.
5.
37
* loi.
107
»
)-s^ N^jo ^io )^-^«
Ij,:-/
ip^
.)_JlJ»^ y^l
twwjs^
j-i^V-
^-^oi ;»«^
»_a3
1.
ARBAIA.
BARI.IADBESABBA
554
)1q_3j
,jjo
^
Uö^
niSTOlRE.
jjii.^
^fltt-ia-^^öJ
'j-ij-^^o
U-i<^
-
jOAajj
v;-!
[06]
.looi
U^
)t
l-^-^
m
««
..;
W^-=^J?
oi^^I/o .KxiOA vOO<^^J-^° vflJO^N^JUOÄ
.J^jo^; odojs»
^^*Ss.^oo
^Ä-»/
©«»^.ÄjL^o .-oioja^"/
10
t>V|»oo Ms.
Jean, se glorifiant d'avoir eu les
honneurs du vainqueur, retourna ä
sa ruse habituelle,
tantinople et, avec
il
persuada ä Tempereur
Coiis-
qu'il etait
encore necessaire de faire venir en sa presence sept pretres connus de chaque parti'. Jp(i)i (d'xVntioche) monta dono avec six autres" des orthodoxes et sept des egyptiens. (L'empereur) ordonna que le bienlieureux Nestorius et l'Egyptien demeurassent avec les autres (ä Ephese). Lorsque les eveques furent arrives ä Chalcedoine,
le
sönat
(ctu-j-jcVato?)
eux, les egyptiens furent repris
sortit
comme
l'empereur s'assit et jugeät entre eux lorsqu'il entendit les orientaux,
il
pres
d'cux et les entendit
blasphemateurs
comme pour
les loua; mais,
pour
;
il
fallait
eiitre
encore que
apaiser leur quereile; les egyptiens,
il
secoua
souvent ses hahits de pourpre et se retira en arriere ä cause de la grandeur du blaspheme'. Quand il eut attribue la victoire k ceux de Jean\ il envoya Les Egyptiens n'ont rien l'ail non plus pour favoriser la reuiüon des Oiieiitaux. car ceux-ci voude toule nianiere, comme s'ils laient un examen du doguie et les aulies, dit Nestorius, le fuyaienl n'avaienl ele röunis que pour uns condamnation. Mau.^i. IV, l'iOl-li-2-2; Lupus, eh. xxiii, n» 111, 1. Voir les documcnls relatifs ä cette di?legatiuii daus lliinörius de Niiomedie; Paul d'Emese Damas; Jean de C'ötaient 72'i-7'i(i. 2. IIL p. «5 sqq.; Labbe, T\i); Apringius (en place de Cyrus et d'Aeace de BtTee); Macalre de Laodieöe (en place de Cyrns de de Ghalcis (en place d'Alexandre d'Apaniee); Theodoret de Cyi' (en place d'Alexandre de Mabboug). 723.
—
II y
—
Eisqiie 3. Lupus, eh. xxvii, p. 70 avait en plus Helladius de Ptolemais, Labbe, III. 725 a, 743 a. cxcuteret, esl pusximiis Imperator nosler, iit blauleam clilamijdem, quam iiidiicbatiir, :
adeo motus
—
4. II reim suliduccrel prue mogtiiliidinr btasphemiiie. Cf. Herticl., p. 392; Labbe. III, 736 c. reunir les demande de Les avaient Orientaux contradicloire. Conference semblc n'y avoir eu aucune superflue pour raetropolitains, avec denx suffragants seulement pour cliacun. « car la niultilude est n'eurent Jascruter lo dogme, et nc sail qu'exciter des tumultes ». Labbe, III, 700, mais les diphysites demandaienl Les Orientaux monophysites. qualifiaienl de qu'ils ceux avec mals occasion de discuter
seqiie
aussi,
mais en valn, que
les
5
queslions fussent posees par ccrit, Labbe,
III,
727 e.
lo
•
)
—
XXV.
[«7]
^\n/<
LE CONCILR APRES L'ARRIVEE DU COMTE JEAN.
I4f^ H»J;
^£Ci-.;a^<jaj
w-o» ^^nJlS>j
^; ^^
)>— ;
JV-Jta
555
15S
fol.
PI
"^
(;
y
Ul i'NJ'to
une grande
]i"'^
-"11
^i
-^
lettre {sarra)
plaisait ä l'empereur de les 5
des eveques, mais
il
comme
.
(ii^Cooi.
vj-^° ^!-"'!
etre
v^"^
'.°^l'.
cliez lui et
comptes avec eux,
etrangers ä tous les eveques, car
envoyer eu
— non
de beaucoup d'or
l'aide
p( .mj^io ^Vjjkioo
Memnon ne devaient pas
regarde^^
etre
«\
^IQ... .,i
au concilc pour que chacuii rctournät
ä son eglise, mais Cyrille et et ils devaient
.
exil.
Ouand
Cyrille apprit
cela,
il i\
seulemeiit pour les grands et pour certains
envoya pres de deux
niille livres
merne', sans parier des autres promesses
—
il
d'or ä
amena
Tempereur
lui-
Fempereur
aussitöt
ä l'erreur.
Lorsque 10
soufFlait,
vaillant Nestorius vit
le
que
que Tempereur
grands etaient vendus pour
les
pliait
ä tout vent
que
les presents, et
drins mouraient d'envie ä cause de l'opprobre de leur siege,
gouverneur
(uTrapj^^o;)
et lui
fit
savoir
les
maitre de l'univers ne 1.1
nent
le
L;i
livn-
mille livres
ecrivit'
il
romaiiio pcsait
reines,
d'aulres
les
sommes
IHM. Cnsinrnsis,
Livre dlli-rncliile, Htterulure. Paris,
le
bon ordre. Je
donc savoir ä
fais
:J27
grammes
;
la
livre
d'or valail
liciiu-,
deux millions. L'hisloire do ces deux mille
feraienl
p.
l.">
I,
fit
au
la foi.
payer est raconlec
dan.s le
Le
rappeler ä ceux qui detien-
le
ta
personne
dedaignerai volontiers tout l'honneur de lepiscopat, pourvu que la
maniere dont lempercur le detail
demande rien autre que de
pouvoir et qui peuvent mettre
illustre ijue je
1.
me
Alexan-
:
Je ne combats pas pour raon lionneur personnel, mais pour la verite de *
qui
eiivii-oii
livres
mille
fiam-s.
Deux
promises a .Jean et de
Livre dlleraclulc, 478-481.
On
foi
la
a coiiserve
d'argent et de dons en nature donnös ä reiitourage de l'empereur et des 1873 (Flnril. Casinense. p. 46-47) reproduil a la sulle de la traduction du
:i<;8-36'J,
reproduil encore et
commeulc par
octobre 1911, p. 247 sqq. Ces dcrnieres
1.081.542 francs, lOid., 256. Cf.
Lupus, eh.
Xi.l et ccill,
V.
sommes
n"' 129 et 292.
llatifful,
d'argent
HuUelin d'ancicnne
forniaicnt
iin
lol.il
de
» fol. i
1.5.S .
BAHHADBESABBA AKBAIA.
556
•
—
IIISTOIRE.
[68]
J.aSviN j^h^kl )-.»po; jLa^o^; ji'^^/o loKol/ jbv^ooüS. ^^oi
^/
.V_^)j >Ju/
>
jio ^
.,.V>
>
f.»
;-»/
1.
)l,^.Kl
.s^oi
oU>'^Jo
f.'O;;
.
^
m lo
)«/
^; yj .jla.bo \^^i \j^^ oKa^o .).3cuuw. u>Of.XJ; jioiaj ^;f »j^v:»:); :v^«^l/i ^; yOouU ^^o :)la^|.MX ol/; ).XJL3 vcu/
y^l v^/ )^f_^
.Od JL>.^^^
^;
10
»
Ms.
l'emporte et soit elablie. Je vous apprends par lettre, que je retourne en hate ä
premiere vie monacale, car
il
Lorsque cela eut ete
n'est rien qui
me
gouverneur"
ecrit au
eher
soit plus
ma
'.
que des
et
(''Jirap^j^o;),
lettres
seditieuses de TEgyptien eurent ete envoyees ä l'empereur; on tiichait « qu'il fit
certes sa volonte pourqu'on ne pensät pas qu'il est opprime par vous
Tempereur, parce qu'on l'ennuyait de toute raffaire
honneur
et
et
ordonna
avec des revenus suflisants.
pour un lemps! Car
ils
le
sommeil, niais cncore
donc
est
(i'pa)
morte pour
1.
!
quel aveuglement a saisi les grecs
la
non seulement la
la
souffrance et
naissancc et
vivifier la
mort.
S'il
(Cyrille) dit,
conime
qui sont venues
3.
et
que
la
vie est
y a etö pousse, que l'union et que des denx
ä
il
.387) dit qu'il
a ecrit plusieurs fois
Lellre a Scolasilijiie, Lupus, eh. xv, p. 45-40; Luofs. Xesloriana, Halle, 1905, p. 194
du prüfet du pretoire qui
la riSponse
lui
permet de retourner
de Neslorius, Mansi, V, 792-3;
Pour notre auteur, Ephese
Lool's, p. 19.5;
ä sou
p. 387-388.
monaslere
Lupus,
eli.
«
—
2.
comnie
xxiv-xxv, n°'
est le liiomplie de^ munoiiliysilcs siricis
jacobile et Eulyches ont 6te de son avis.
i"
race de David est vaine^ on peut dire que
Cotte lellre n'est pas conservöe, mais Neslorius [fleraclide, p. cf.
croissance
la
mort. La prise (du corps)
la
a me, teste Deo, episcopalis honor facillime respuelnr..., et HeracL,
lettre
—
superflue et
diverses sont les natures
en ce sens; ...
Oh
lumiere s'est eteinte pour mettre les tenöbres en fuite
la
«
envoye ä son monastere avec grand
ont dit que tout ce qui concerne l'incarnation doit
etre attribue ä Dieu le Verbe,
avec
IVit
&
se desinteressa
et qu'il craignait la peine,
qu'il
», et
ou
niitigös
On il
la
ddsir6
et
l'a
115-llfi,
—
:
a conservö »
p. G7-G8.
loute Teglisc
'^
XXV.
[69]
yOOi_J5
'^'^^^
vojot»
—
RETRAITE DK NESTORIUS.
^»
.)-.;oöu
resulte nii Seigneur, Christ et Fils
l^-H.
'
^*=^'=*^?
^°'^-
pourquoi Nestorias
»,
557
^äS^
o«ts::i^
a-t-il ete
chasse*?
Qu'a-t-il enseigne qui diflere de cela, puisqu'il confesse las iiatures et
proclarae l'union et qu'il ne verite, la parole de PaiiJ ^
Parce
quiU
Mais en
nie pas que le Christ soit Seigneur?
aux circoncis d'entre
sc comparent eux-meines ä riix-7neines,
Saint .y'cstomts loua üieu de tout cela;
il
les ils
juifs
qu'il
s'accomplit
ici
:
ne rontprei)nent pas'.
avait pour consolateurs en cela
tous les eveques de Constantinople, ses predecesseurs, qui avaient ete exiles par le siege d'Alexandrie. Car ce n'etait pas nouveau pour ce siege, ä cause
de l'envie des egyptiens, et ^*^'ces
1.
il
est
maintenant
facile
de l'apprendre d'apres
autres choses. Deuxiimc
lellrc
a ,\esloruis. Labbo,
III,
318
—
e,
Cc lexle dit « de » deux luilures. mai^ Les Orientaux disaienl. apres l'union, :
il
ne
dit
deux
pas
nalii-
i. doux nalures ». une nalure incarnee »; par voie de corollaires les monopli.vsites accusaienl niaienl, tandis que les leurs adversaires de dire deux Christs, deux Fils, deux personnes, ce qu'ils
qu'apres l'union res
i>,
il
i^ubsisle «
«
et S. Cyrille disait «
la nature didiphysites reprochaient ä leurs adversaires d'attribuer la naissance et los souffrances ä adniettaient. 3. II Cur., x. 12. Eutyches) (comme que d'autres niaienl et ce plupart la VI ne, ce que
—
.
:)^9t»L.m-2L^9
jj/
)jioots-30 oiK^äoa^o
.^oiäjuw.; lol.
l.-,8
)jO|
j..*.^90^ ^V-^l/
.JOO«
^*XX^
jt-a^ '°h^y^h.
"*^-^wÄ V*>^
^|iO
"^.suoa^ ^^9 o^;
l->^t-^ |joi
<-o«0|Lso^;
^-«^^/
OtJL3>-3;
;q^JS.^
oöi
•.)..,. »
>
tXDO^V^V^
Vt wkS
^^^^?
/
10
XXVI.
—
Qiie le
sihje d'AIcxaiidrie
bienheiireux Nestorius, mais encore contre
nu Ics
pas comhattu seulement
coiiire
le
eveques ses predecesseurs
Qiie le siege dWlexandrie n'ait pas ete seulement en lutte avec ce saint,
Peres ses predecesseurs, tu peux Tapprendre des choses
mais encore avec
les
qui sont sous tos
yeux
:
primaute öprouvee dans
Greyuire de Nazianze avait regu ä Constantinople la
les guerres et les persöcutions
'
.
C'etait
:.
un homme qui
presque au-dessus de ses contemporains par sa conduite, son eloquence l'assurance que (lui donnaient) ses souffrances * pour la cause du Christ.
etait ful.
1^*
et
Est-ce que celui-lä a ete une cause de trouble pour l'eglise de Coiistantiiiople?
Car un concile egyptien
eglises, les le
monasleres,
le
1.
mort qui
etait
LXVII,
.573-580.
Cf. Socrate, V, 7-8; P. G..
I.
lui,
et
a trouble
peuple et l'empereur lui-meme, au point
chassa de Constantinople-. Jusqu'alors en
portait devant lui la
contre
s'est elevö
sur
—
:i.
effet,
sa
II
les qu'il
Teveque de Constantinople
personne,
il
pas
ne pouvait
a cle övötiue do Conslaiilinoplc de
.'!7i»
a
:t.si.
lo
-
XXVI.
[71]
)lp.j
)ju.V3
^/^^
jjoi
ALEXANDRIE CONTRE COXSTANTINOPLE.
ynv^nni! .JU^^Jl^ v^'^f^
)jo« ;;-/?o ]J/
)
»
'
*''
<;:''^'"'?
?
x:;-^^/
'^^^
V—«?^
'^L^^so^^joa^;
)v^^
jtV^Ai:^ )jLa:i^ )ooi;
.ÖC^
559
10
1.
In
iii.u-g.
l->«>^.
:
—
2.
U»^5o|t.
demeurer dans sa primaule s'elevait contre lui et
veulent gouverner tout
qu'on le
gouverner son troupeau
et lui
violence.
l'aisait
monde en
apres
('.]{ (joi VC
\
il
ceux qui
est diilicile, ä
eveques de
furent
Constantinople
n'y en eut pas qui furent humilies jusqu'ä ce que Jean
eveque de Constantinople -
fut
paix lorsqu on
paix, de se trouver ä la tete de l'eglise
de Constantinople, aussi, parmi ceux qui 5
II
eii
habitee, mais, tel qu'il etait,
,
homme
il
qui fut
docteur pour toute
y eut contre un
secution et sedition que la cause n'en fut pas
tel
(liomme) une
la
terro
teile per-
seulement ä Constantinople,
mais encore par toute la terre, car un concile egyptien se reunit ä son Ce n'etait occasion qui deohira Tunanimite de l'Eglise et les divisa toutes pas alors Nestorius qui troublait l'eglise de Constantinople, mais c'elaient .'.
10
Gregoire et Jean, qui furent expulscs, durant leur
oncle
',
et qui furent retablis, apres leur
rien de
etiez prets k faire la
1
.
par
Tlieophile
mort, dans leur dignite. Apres
ton lui
excellemment, puisqu'il n'endura vous ce genre, mais ce n'est pas gräce ä vous (Egyptiens), car
(Jean), Atticus' regut l'eglise et 15
vie,
Maxime en
:tHl
;
meme
il
la re?ut
chose de nombreuses
Necliiire, 381-397.
-
2.
Du
26 fevr. 398 au 20
fois,
surtout lorsque Jean
juiii (?) 40'i.
—
II y
avait
On
ici
une lacune
voudrait
lire Les huit mots pr^cödents traduisent une addition P. G., t. LXVII, VI, et 15; 9 Socrate. Cf. ». 3. aulant quo Jean liuniiliös « il n'y en eut pas qui furent pas encore 6v6que d'Alexandrie lorsque Grögoire a ele '.. Theophile, 385-412, netait col. G92, 708. par Maxime. P. G., l. XXXV, ohass6. C'est Pierre qui 8 envoyß des 6v6ques egyptiens pour le reniplacer
dans
le
faite
texte.
en niacge.
:
—
—
220
281-284.
—
5.
II y
eut ArsaciüS, 20 juin 404 au
11
nov. 405, puls AUicus, 405 (406?) au 10 oct. 425.
ooi
^^^-^».io
JJ/
.'voKj/
-'^
'^f^li.;
-
i)a<^o .yoKj/
«
^n
i-^N-N.
Q^ ^0^
^^^Jio
ss/»
jJ/
.-JLnoi
\-i—»l
•>;
I—au^
^l
yoKj/
de
))k-^. jy.^).iS;
pröne parmi
les
"^9
->
eveques
^^ «
^/
et
K^
ooi;
.
-
<"
yci
.^^oi
parmi
les
..
rvOXJtl
jl
'^j'^^
.) •>
Ivti'^
..•>tv>;
.yoK\
.wtKji/
^^^
^OlÖjf.£ad
)i^
y-^lr^ It^o
.) .
•> f>
yO-M^C^oji
jJ
jK.^^^
)iQJLia-.o«;
jJ/
n *^>^/
|x:L3;po
iii
)ioi>n.oi
V-^L^<3
^;
"««A^/
)ooi
tm'^/ ^cum^o
martyrs, par toutes les eglises
pas au
fäcliicz
.\
>
/
IJ'-V^ö^?
'J'P^/
«^ot-ootsX ^ n
°°*
.^;Ka./ "^
-
[72]
.'voJ^/
)lo
^ yoto
_jj
|J)
•^•~^?
'^'•'
Iv-^'-'^
i
^^jKnbo
y^l^ö
)jO(
ne vous
terra. Voiis
la
)^V^
jLi/
^coof^
-.
.
yoN-.oo»
.yo» 'tNJ;
oV!n; V^Kjaoj ^/;
.Jj^^JI
otait
^«N«
ooi
jKi^Jil
.....».^i
in'..V) yojlo^ >
>
j_LAO|0
V^^-^
.yo£0b>..2uO
Jooi
)
IIISTOIRE.
Q^ ^; v?^^^
|.M>^^iL^ '"^«^s^o
)iö|»3/;o
^^^.^wLsi.
^^.^^ie
)oi\j
.)iöi^/o
jJ/
^m
|.3c>r> m'=>/
JJ/
—
IJARHADBESABBA 'ARBAIA.
560
nom du
Christ et
des Peres,
mais contre eelui qui avait atteint votre audace, vous avait reprimandes,
devenu plus redoutable
etait
cibles.
avait
et
Vous ue cherchez pas non
des Peres, mais, autant que vous
le
montre que vous
n'eticz pas
plus ä prendre la defense du
iuvin-
Christ et
pouvez, vous montrez votre force. Vous
avez regu l'eveque Jean, mais vous l'avez regu contre votre volonte l'avez reQu de
mauiere ä
faire connaitre k
pas pour
la
question de
ne perdiez pas votre pouvoir. Mais
qu'il eüt ete
contre Dieu et
s'il
vous
faire,
n'est-ce
la foi
chasse tout ä
fait
la
comme
avait transgresse ses
foi s'il
qu'il avait ete chasse,
avait
commis
commandements,
c'est
l'iniquitö
dans ces
conditions que vous l'avez regu.
A
1.
«
i">
succeda Sisinnus \ liomme bon par ailleurs et ami des etransc complaisait en de telles (bonnes oeuvres) au point de passer
Attiais
gers, et
il
Lii-e Sisiiinius ».
Du
'2'
fovr. 420
lo
qu'il (Jean) avait ete chassö de sa fonction?
car j'ajoute maintenant que c'est encore pour
mais bien
;
chacun que, bicn que vous ayez
regu l'ordre de faire une chose difTerente, vous ne refusiez pas de la
pourvu seulement que vous
5
(?)
ä janv.
(?)
427.
—
XXVI.
[731
^io j;Kjü
oila3Q-o.m.3/
K^iL^f
^^ .mm
. ffft
.
(^-^.^Jitsj
pour l'emporter sur
opprime sous liabile
pare
de
ainsi
il
pour
Mais
deposcr,
as
de
soniblant
fait
ni
In
sous
eux, alin
Tu
toi et qu'ils
..
0*=^;
Tu
.yooi.^ ^
^ä301
^w^OO^
au point d'etre
La mort qui l'emporta,
Et tandis que tout etait pre-
qui te
ne
^/
faisais
pas
passer pour l'aide
Tu
cntendre.
pas
n'avais
lorsqu'il t'aurait fallu
voulais en effet qu'ils fussent humi-
fussent accables sous les calomnies qui tombaient sur
n'eussent ni
(pi'ils
*
savais qu'il etait utilr
la Force ni le ([ui'
temps de s'occuper de
Sisiitnus tut
tes afl'aires.
accuse de toutes cos turpitudes
pour que tu fusses l'ami de ses accusateurs
et
que tu pusses elever
[ä
l'episcopat) celui dont tu aurais besoin, car {Sisiiinus) ne t'etait pas soumis,
nomme
parce qu'il n'avait pas ete li
eveque par
tous ceux qui causerent des lüttes et tantinople.
1.
Ceslftii
fcs
summe
lo
jiigenienl de Socrat('.//i.s<. eccl.. VII, eh. 26 01 28; l'.C.
Socrale
tieus. Cf. Socrale, loc. cit.
Uu
dant que Neslorius tonsolait t.
L,
Voilä donc
(apo.)
Par-dessus tout, c'est Nolre-Seigneur Jesus-Clirist qui a
ceux qui l'avaienl ordonnt;. P. L.,
soins''.
des troubles dans l'Eglisc dr Cons-
principal 6tiut IMiilippc, prötrc de Side, qui avail convoite, aussi bieii
'iSG-'jöS.
—
3.
!e
bläme
de ce
qu'il a
LXVII,
qxw Troclus,
la
8ü0, 801.
—
ete
2.
Le
succossion d'At-
os6 6crire conlre Sisinnius et eontro
cerlain Cu^lestius semblc aussi avoir cH6 l'une de ses victimes et pen-
t:cElestius (Loofs, p. 172), S. Cyrille döfendait Philippe,
Sisinnius avail iHe
inepuisable charite; Socrale,
(eh. 2G)
loc. eil.
elioisi pai- les
ir,i)
parce qu'il n'etait pas
encore de grandeur d'ame,
aider les eveques de Constantinople. lies
et,
et moiirut.
Cijrülr,
toi,
•.)
|J;
celui-lä aussi fut accus^,
langueur
lul.
)ia:>o ^.^^
1".
^oC^aO;
^.
chasse de son episcopat.
pour aider,
d'oreilles
»
- "^
y
tornba en
Ic
TEglise, tu
I
accusations et les calomnies,
les
en cela,
)
Ics autres'.
lui evita aiissi d'etre 5
.«Viii;
«No< |>-*iOL^ |j-sj vOoC^ jootJo y0.a3K,mj
»
Oft
po
561
-Xot ^/»-s ^»^io
^-io ^Vt^^o .K-^^ioo Uxsl^
v-cn
jJ»
Kj/ -.oi-t^ ^-^i^U ^o)!Sj ^-^oi
.jlio^
'7^^?
ALEXANDRIE CONTRE CONSTANTINOPLR.
Commonitoriiim,
laiques de Con>taiiliiiople.
:'i
ciiuso de sori
* u,\.
v
i.v.i
BARI.TADBESABBA 'AHBAIA.
562
^q\
K.^1/
Jl^iCLiw
jj
)KS^
).^uia^;
^^>_a_oa^ v>^
-
.
^^*^^
voouio
^
»—
K-,>-« .)lnii\v)
"^-Z
^ ^i
T-^
)ooi
ChS-SL^
ic^;
^t-^
);oi
'^^^^'^
^^!iJ>j
—
U.:3o|l.» Ms.
mais
le
meme
|^'t-°
'jL^^ojli
Je ne
:
11/
)^»)^ |j^** )^'/?
).JU,^
i^>^oax>;
5
jjois
oi.>^a^o oi^V^OA
^^
suis
pas reim pniir apporter
la
ses (predecesseurs) avait ete cause de Iroubles
de guerre pour les calomniateurs, de
de la
.|^V—
yPO y006o
'«.OulL-.
glaive'.
De meme que chacun de et
^/o
[74]
HVoo» Ms.
2.
la terre,
^'^ ).^.Oi.^
y.t'ni
•i->'>-^
cause de troubles par toute la terre
paix sur
IIISTOIRE.
Nju,JM; )_J0»a3 ""^01.00^ .-j-Vpo op«JO
.'jlioA; ou^wy/
1.
—
meme
Nestorhis aussi
eii
fut
raaniere que Notre-Seigneur, et ses disciples avec
cause
-,
suc-
leurs
s
cesseurs, avaient tout endure et l'endurent (encore). Les egyptiens firent tout cela contre le siege de la
menaicnt ont
la
ville imperiale.
guerre contre
le
pretre de
Tu
vois
comment
Constantinople,
les egyptiens
par suite ce qu'ils
contre Nestorhis n'etait pas nouvcau, surtout parce qu'il etait cause
fait
du retour des os de Jean
^
qui avait ete chassö sur l'accusation et la sedition
10
de Theophile, parent de Cyrillv'.
Lorsque
le
bienheureux Neslorius, sur l'ordre de l'empereur,
ä Antioche sa ville, toute la ville se precipita ä sa rencontre et
on
fut retournö le
fit
entrer
avec graud honneur\ Quant aux sept eveques du parti de Jean d'Antioehe'',
quand
ils
apprirent Tiniquite et la trahison accomplies, gräce ä la laiblesse
Mattli., X, 34.
1.
Jean dans
les
el ä l'arien
—
Ev6quc du
2.
lo aviil
'i2S
au 22 juin 431.
—
3. Atticiis avait retabli le
nom de
diptyques, mais S. Cyrille, qui coinpaiait alors S. Jean Chrysoslome ä Judas, ä Jtichonias
Eudoxe,
lui
a öcrit de l'elTacer, P. G.,
LXXVII,
352-3fiO; cf.
Facundus d'IIermiane,
P. L.,
LXVII, 607-610. Nestorius a fait c61cbrer au 26 septembre, des l'an 428. la föle de Jean Chnsostonie. II a pu songer ä raniener ses reliques, mais ceci n'a 6t6 fait, sous la pression de l'opinion publique, 4. S. Cyrille otait le Als de sa Sffiur el avait conlribue ä la deposique le 27 janvier 438, sous Proclus. 5. ^^aint Celestin cn tönioigiie dans sa lettre a Jean d'Anlioche, eerito le 15 mars 432 tion de Jean.
—
—
«
:
l'auleur de la peiversitö fait
.541 a.
—
6. Gf.
supra, p.
[66].
(d'Anlioche) une place forte oü
l'exjle est lionore
par lous
>>,
P. L..
t.
L.
15
XXVI.
[751
K^l
).i\.^OL^o
dement
contre
aflliges
Fempereur en
et ils
'
nerent l'ordre et
Of>«\U/
.jjxS^o;
oiLQ..>^i
^-^
vaillant
athlete
(äOX7)T-fl<;),
ils
le
et
le conseil
en
le
l-^^^i/;
)•,.»•>
en furent
gran-
eonjurant devant Dieu et devant ses
rempereur
virent que
ils
563
ecrivirent trois et quatie fois des representations ä
exposant tout
lui
anges elus". Quand '•>
ALEXANDRIE CONTRK CONSTANTINOPLE.
.JSw)-:»«oi
l'empereur,
ilo
—
avait endurci son ouTe,
ä tout le peuple de Constantinople,
pr6s d'eux k Chalcedoiiic, de conserver la vraie
foi et
de
qiii etait
fuir les
ils
don-
accouru
blasphemes
de rEg3rptien\ 1.
Lupus, eh. XXVI,
ct.
public quo, (l'Ephese oü
il
n° 114, p.
6i)
:
«
en ariivant ä Clialcödoine, nous avons appris par
avant nolre arrivie,
hiiit joiirs
lui plairait d'aller et
notre
il
avait plu
äme
au
trös pieux
a ete dans une grande
toutes les choses qui ont 6te faites sans jugement et de raaniere
Notons que
le titre
donnö par Lupus ä
envoyöe ä Ephese par Jean
d'.-Vnlioche et ses six
ci'.
Lupus,
xxxir.
eh.
—
III,
Lupus,
eh. x.'cxvi, xxxvii, n'"
eh. XL, n" 128. p. Iü2;
3.
titre
biuil
lettre
non
[las
si
cela est vrai,
fortifi^es ».
—
d'EpIiese, inais
exact a ete donn6 dans la
lii-
Blies sont consor-
secanila ...lerlia;
Voir les discours prononces a Chalcödoine par Thöodoret et .Jean dans
Labbe,
727-731.
une
car
en paraitronl
La möme piece se trouve Labbc, III, 731 c. — 2. xxxiv, xxxv, n" 120, 122, 123, ContesUitio prima...
bliotheca Casinensis, in-fol., 187S. v6cs,
compagnons. Le
affliction,
illicite,
cette pi^ce est im-xact: c'est
le
empeieur d'envoyer Neslorius
Labbe,
r2'i-125 et la lettre
III, 732-740.
de Theodorel au peuplo de Constanliuuple, Lupus,
^niva
f Ol.
159
^r^
T_i.iuoor^"n
^_!73
\0'y^\ i;^« )lV^'^ VL^V^O .Ot-Sudf^S^^
— De
XXVIl.
ce qui fut fait
moUesse d l'egard de
la cause de sa
Jean avait d'abord preche
't^^ \xQ\ -.loOl
joOl
eiisuite
.nfxnx^o
^aljr5^T\
y)J^
par {Vev^que) d'Antiochc,
^'\floix:\
ji'tJL
.
ft^»«.
et c/nelle
10
fiit
Ja verite.
la verite
et
tenu l'orthodoxie, mais, ä
la fin,
par crainte des menaces de l'empereur, k cause des flatteries de TEgyptien, et surtout
parce que toute
tout cela a
tume
coutume d'ecarter de
et l'envie,
(ffTpaTTiT^ÄTTi?)
'
is'.i
gneur^
et
il
la
commenga
il
pres de Tenvie Nestorius,
verite et de faire
— pour echapper aussi
ä
la
ä avoir la pensöe
devintjaloux de son
ami\ Lui
—
car
tomber dans lamer-
et
l'honneur de
des juifs envers Notre-Sei-
qui avait ete autrefois zele* pour
la
V 1.
Sans
doiite Dcnys,
col. 793, 796, 797.
—
2.
magister mililiae orienlis,
Cf. Jean, XI, 48.
—
3.
cf.
Synodkon.
Jean a pu croire
eh.
iiu'il
17fi,
6tait
179, 181: P. G.,
t.
LXXXIV,
impossible de rehabiliter
la
pu croire que le dogme 6tait intöresse ä ce sacrifice, puisque saint Cyrille devait permeltre de dire « deux nalures apres l'union », ce qui ölait alors en sonimc le fond du döbat. Voici ce que Cyrille a conc^dö aux Orientaux qui adheraient ä la döposilion et ä la condamnation de Nestorius personne de Nestorius, ä laquelle se rallachaienl Irop de haines
et
de legendes.
II
a
:
Tot; jjev
0^ eüaYY£>''xä«, xai
xoivoTtoioOvTa;, (b;
TYlv ÖEÖTTiTa «
^cp'
änoffToXixä! Jvö;
Ttepi
toü Kupiou
npooMHOu, la;
TOÜ XpisToC, Ti? 8^ Taitcivä; xatö
Quant aux paroles övangöliques
et
ftovii;,
Se oiaipoüvtat, t^^v
j
descente redoutable du general
pour ne pas perdre son siege
et ä ses instances,
son sacerdoce, foi.
la ville courait
l(j|ii£v
w;
iiti
toü?
ito'>.6yo\)i
äv6pwnötr)ta oOtoO itapo5i56vTa;
aposloliques relatives
(ou OEiqYdpov;) ävSpa?,
6üo 90ottdV xai xi;
au
,
Seigneur,
lioMMMes thtSulogiens qui fönt los unes coinmuues (aux deui natures)
comme
P.
[itv
C,
nous
l.
T(i{
beoTipenEic
xata
LXXVII,
173.
connaissons des
lopporlies ä
une per-
lo
\. V);
"^
\
oil^<.
^oi :)_ipo;
^%S^ ^m
—
XXVII.
[77]
I.
t-"^^ t-^^/
ova»
ts-Xi
looi
)».^3
.looi
^oi«
oM^/o
oöC^
T>\
maintenaut
la sceur
de Tempereur,
los
flatteries
el
nommee
il
demauda ä
Klle
:
Celle-ci
^iii
\
^^
K^iw>.b>^
et
voulut chasser de
il
en
voj-ait
efl'et
{Nestorius)
que son image
du Christ,
el
les
comnie Acace de M61ilene, munlrent que
deux natures uniliöes
(evwoic)
—
(Cyrilliens)
«
Nestorius
d'iin
vouee ä
s etait
iüt fixee
l'autel,
et
il
-,
il
nc
noircit son
ijui
la
deux natures joinles
la
au-dessus le
voulut
et
quand
image
soiil (Jigiies
n"' 17'i, 183, 184). et la
»
et
de Dien ä
La
de
joie
consternation des
conlroverse portait principaleemnt sur
en runi(|ue nature du Verbe
ou
agit sur
il
huinbles a son humanile (naiurc hiimaine).
Lupus, rh. lxxxvi, xcv, xovi.
(cf.
:
en un autre endroit,
füt peinte
ü deux natures, en ultribuanl oelles
tiulres
Ics
des Orienfaux
non confondues
et
encore d'autres vierges du Christ. Voici
ordonna que son image
parlagent
i{ui
iHonophy.sites, «
.)......5t.Vl
Pulcherie, qui servait ä captiver tout l'Occident
de TEgyptien'.
divinitö (naturo divine)
Theodoret
.)w-.*jLio;
ÖmO l\o
sou ennenii,
apprit que la vierge du Christ etait mariee ä sept
la
jtCi^
^j
.öi.^o\J!^ OlV^wJl -.JN
de Taute! et que son veteraeut servit de voile ä pas, mais
sohlte
)-.V.olLbd4
parce qu'il avait bläme sa corruption; car eile
cell,
cause de sa haine
il
.)^V^<^
des verites. Cyrille agit encore dautre raaniere
lui l'ami
mauvais
comme
la virginite et eile appelait ä eile
10
^^
.otlo^
^'x>aL^'0-o
ö(i)jLCO;
)joi
565
Jls.
pres de
dans
ÖiS.JlS>
^?
'^Z
)^t-*
OO|-.|.<w^^p0L^ )K>./>\I JOOU
.\l^ ^)0 01*0
^Jboo
verite, se conduisait
5
'ouio
^;
jjOi^
jj
l
•t-:^^^'^
|_3p^
otK ».„^oX^
oi^aS.. >»oloKjj
.<s^i
)«o(
JEAN D'ANTIOCHE APRES LE CONCILE.
»
—
soll
ccnifondues (Eutychiens), soit
en l'unitö de la personne
((juva^cia)
»
(les
Orientaux). Cette personne iiniquo, prunee par tous les nesloriens, (lait d'ailleurs assoz mal döfinie
el
l'hypostase encore plus mal. I.
Epiphane. archidiacre
nople
:
el
syncelle de Cyrille, ecrivail vers lellc epO(|uc a rev(^(|ue de Constanli-
Festinii igiliir el tu ipse, snnc/issimc.
Herum ponat animam suain pro Domino
sii/iplicare
—
Domiiuic (iniiHae Dei,
l'iilclieriae
Aiignslac.
nunc non satis curet pro ... ul sirihnt increpnlire Joiinni (/iki nee memoria illiiis impii sanctissimo restro fralre Cyrillo (Xcslorü) fial, Lupus, cli. i:(;iii, n" 2!)2, p. 'il'J. 2. Nestorius liest (las si ctair, lleriicl., I'j8 « Vous aviez encore avec vous contre moi une femrne belliqueuse, une reine, jeune lllle vierge, laquelle combatlait cimtre moi paree ijue je ne voulais pas accueillir sa demande, de comjiarer a l'i'pouse du Christ une personne corrompue par les liorames. Je Tai fait, parce que j'avais piliö de son Arne et pour iit
C.lirislo
piilo
ciiim
(/iiod
—
—
:
ne pas faire des victiraes de ceux qu'elle choisissait criminellemenl.
vantage (au mot Pulcherie)
:
«
»
Suidas, par contre, precise da-
Pulcherie haissait tant Nosloiius, parce que les amis de celui-ci röpan-
direnl le bruit que Nestorius laccusait d'impurete avec son frere Theodose. C'est pour cela qu'il ftail si
liai
irellc,
Nestorius. Cf.
car la
i!
la
blAmait a roccasion du
note precedente.
[/.«yiaTpo!; l'aiilin.
«
II
est
ecrtain
([u'i'lle
a agi contre
.
vaL-*«aiosuL^ Ksu-ioo
oi^yJiOf^
IIISTOIBK.
li^fs.
.),_3Li.tsjLio
jJ
y-,/
-^»
-
.-ot-JL-O.»;
..ojN_sötaio «oöi
|-;,JLiajSs;
.o.fcOi..^^JiO
V*^
w-V^
)iU^
N^Uo
oi^»«^ oito.; -oio';^o
looCH -l-'r^?
)1a l-i-^
'^^^io
..
jl^i^o
lloJ-Ii^jio
(o-aioV;
oi vion
Jts^s^
«-oi
^»K^
^.'=ySnm°>/
.)_oa*^/j
>ö^;/io l '^s..^^^
[78]
'^ä-* ^^^a^
jloi^ ^^s^oo ^lUjo ..).iO(^o^Kji/j vOoC^a
.oits— j
*s/j
^coo^iaaj
«*iA/ It-^ioo
)jlSj>o
.)K:So.
),_«
-
BARHADBRSABBA ARBAIA.
"
566
U^oo-N.
)K.;>a-.i
J.io^
ll)
^-' ^^
N^^
il fit
tout
.
N^ )laJL*,^us
^ooil-s^ai»;
^
vxa-;a^^JöJ
))^N:ib.l
.•^V^s^
vmmol/ yU.^lflo
empörter son vetement hors de
l'eglise
^^-Jlüj
;
^/
);ot
ojpoai.i 06^
'"^«JO.;
pour ce motif
.0001
celle-ci aidait,
par
la mechancete de CijriUo et opprimait Nestorins; ainsi eile circon-
moyen,
venait l'empereur constamment pour qua, de tonte maniere,
Jean eerivit
^^^^Ooo
)ooi
et
fit
savoir ä l'empereur qu'une
il
füt jete
femme ne peut pas
en
exil.
appartenir ä
qu'une eglise ne peut pas etre soumise ä deux eveques, et l" (ä cause) de l'inaussitöt l'empereur trouva Ic motif (qu'il cherchait) clination de tous les grands qui avaient ete eombles d'or, 2° ä cause de la
deux hommes,
et
r,
:
demande de
sa so3ur, 3° ä cause de la Jalousie de (l'eveque) d'Antioche, 4° ä
cause deTerreur de son esprit et des ses dons out ete
si
fleclies enrichies
de Tor de rEgyptien
—
considerahles, que l'Eglise dWJexamlrie jusqu'aujourd'hui
—
i"
5° ä cause de Dalmace chargee d une lourde dette ä cause de lui, Ge serviteur de l'erreur demeura durant plus de trente ans dans son monastere ä Tinterieur de Constantinopk, saus aller pres d'aucun des fideles;
est
il
avait
dans son monastrre pres de
s'occupaient de
mouvements
de nombreuses
fois ä
1.
Cf.
Mansi, IV,
seditieux, et
III,
560, 752.
On
hommes, dont
comme Dalmace
cause de cela par Nestorius, Laßbe,
1258;
trois cents
'
y
il
la
plupart
avait ete reprimandö
en avait con^u de
raconte que les
;
aiiiis
l'ini-
de Ncstorius feniiaienl
jusqu'au jour oü un mendianl loutes les voies et (lu'on 6tait »ans nouvelles des orthodoxes d'Ephese dochaina le mouvemenl monacal a qui moines et aux 6v6ques appoita, dans son biton, la leUie aux Conslantinople.
La premiere
jours par les Egypticns lettre porlee
(|ui
aux moines par
au iiubÜL. lleracL, :t73-375,
comte Iränee Iui-m6me avait v\6 devance de trois les oreilles de lous ». Labbe, III, 717 a, b. La pouvait conlcnir des instructions tpron jugcail bon de cacher
partie est inexacto. car Ic
avaient
deja
le iiieniliant
3;i7.
«
accapar^
is
—
XXVn.
[79]
Ki^jU/»
JEAN D'ANTIOCIIE APRES LE CONCILE.
jl^Xi. w.«
),-/»
^^*>^^^?
..lloJi^euoi) Ijül^
.)J»Kj); 10
J,
^N-"^
1.
oibs—
la
foi,
5
lo vit,
cause qui
la
iiispirOes
t'a
fut saisi
ä
porte
^oüS^ ^; ^^^oi^
faisait
de trcmblemont etil
«
zele ä l'occasioa de
lui dit
nous n'avons pas ete exauce?
et
toi,
C'est par
'
zele
pour
la foi, afin qu'elle
Alors
»
ne
soit
Ic
Lorsque
«
:
Quelle est donc notre
besoin,
paspart. Alors et
dit
il
le fils
dans un repons que
«
qui a ete crucifie pour nous
Dieu
etait
comme
mort^
»,
il
ils
», et cette
1.
Ceci a eu licu en i:U.
3.
«
Ils
proclament
et, a la
moTi», lleracUilp,
p. 383.
—
n'y prenait
—
2.
'i.
II
CT.
la ville
immortel
« le saint
prierc de Pulcherie sa soäur
envoya saint Nestorius en
avaii'nl pris l'audace
exil,
Lupus,
de fiappcr
eh. .\xvii, p. de.s
iiiains,
7i)
cl
ou
1),
et
en leur
dit
hisloire
du concile d'Ephese.
ö'ii;
b.
—
5.
nom"
Lirrc iriUracUäc, Od. IScdjan.
sans rien dire autre que
;
Dieu
l'autajouler encoie i(ue saini G61eslin, dan.* sos IcUres
de loute soci6t6, Ibid.,
',
d'apres les conseils df
le
du
l.'i
adressces a Jnan d'Antioche et ä l'empoiour, deiuandait, d'exiler Ne.storiu.s au d6serl. P. 541
»
fni. I".
s'il
erreur subsiste jus-
FEgyptien, au pays d'Oasis. Nestorius cn temoig'ne lorsqu'il
—
:
ce qui est etranger ä l'esprit des Ecritures.
L'empereur entendit donc tout cela se mit k l'oeuvre et
"
de perditioa parcourut les places publiques de
qu'aujourd'hui dans Tcnipire des romains et
il
repondit
jeüni'iu' lui
pas corrompue par Nestorius.
Et aussitöt l'empereur secoua ses habits de pourpre
15
du
p. .J7r>-:i70.
lorsque auparavant, dans
venir,
10(1
o^v^J«
y,-^.£s.^
par Le Livrc dllrraclUle, Od. Dedjan.
Cy rille
lul.
nous t'avons prie souvent de venir pres de nous pour que nous soyons beni par
10
^ULio y^^K.Jj )l)l
]/o
yoy^io .y-^y^r^io >&>^eLJi
Jj^^io
^3 ^-;
v-oi-.)—
porter dans une litiere pres de Tempereur'.
fit il
JKv^
^*JL>.i/
rf»-«
)K.»^;ts^ v^poj;
Lorsqu'il s'apergut que
lui.
Dalmare so
romperi'ur
ot^^
^-^»fi^j
ji
)^V^<3^!
Les plirases suivantes sont
mitie coutre
oi^ po/o .',—11/
567
C'esl peul-ölre un e.xlrait de la
«
:
p. 3'J2.
Veibe est mars 432 L.,
1.
Tragedie
I.,
»,
ic«
IV.
^
—
BARHADBESABBA ARBAIA.
568 ""^aDOi
vr>
^^
yO^^o
INjuNa» p;— f pLßoL
]i'tJ>'l
•.OOO)
.
n
-^
mv "^
^^^-»:ia>
^Lo^i.
.|alo/
fVV
|N,
A
l-iioaia/
t^
"*
P;
^»
[La3ta.Q.£ci£>t
.
y/
^
yxm^\
.l..»ciCD.o/;
^-|
|N_a£Lio
.|L»Oj»
yOOiLo»IS.i.io
•.
^/
IjO)
.^)/
.
)La3LQ_»
q.V>.
^ofA^*
]b^^t
wOj
^0]Lq^»
I^wU.V^
|LQ_.o/t
)lSXi.
o|
LoO)
[-.»amap
.
ti*.U^
^/
o/
. LVJ^vCD/
^«X^P
ILoäLoa»
^^IS^o;
[80]
)LoL
..fajVafajsp*
Loli.»
^ojöjt
.
^O)
de lempcreur ordoiinait,
lettre
quiUer l'episcopat.
Lorsque cette
comme
.
^ooA M-"^!
V*^ UV*
^oO]Lca^a*jiio»
a^x*
)L»-i>j;
toO|
l-^V^*
Ot
•
.:!>.*
Looi
^tsJ ^*\oi
^^
aaio
iJ
J^lji»
ILofut
point principal, ou de s'associer a eux ou de
lettre arriva et
qu'il (Nestorius)' fut parti plutiH
celui qui etait parti et ils s'abstinrent de participer
aux saints mysteres dans
que l'entree de ceux qui etaient entres en place d'eux leur
tableau.
^/
|toL-IS.3
que
habitants des villes et les clercs etaient dans l'agitation par affeclion pour
d'obtiir, les
afin
.
Qo9Lit ^-X-/»
.
La
ys^
^aVac*
yOO)N.Viob sOoi\ loOjL»
^QJcf|»
o-o-^jt
).^^^^^
pjstoo;
Looj
|i-ä£)»
yOOvO^^u.*
|l-|..äaii.
HISTOIRR.
Aussi
avaient une
ils
autre
machine de guerre
füt
l'eglise,
comme une ombre
tiree d'un
autre ecrit
au
5
de
rempereur qui pronon^ait l'exil (s;opia) contre ceux qui etaient sortis certains comptaient lä-dessus pour etablir un culte uniforme dans les villes et pour dompter la volonte de ceux qui etaient sortis, en les amenant ä regretter l'union. Voilä quelle fut la cause de ;
l'exil (i?opia)
de mettre
qui s'etendait peu ä peu jusqu'ä nous.
fin
ä ropposition de ceux qui se
comme un encouragement pour
eux,
s'il
Ensuite, apres d'autres clioses,
Ceux qui reclamaient notre
pas en
n'allait
il
On
le
combattaienl,
dit
regardasi
comme une maniere
exil.
:
exil, tandis qu'ils Ic
machinaient, nous preparaient un Heu
d'exil distingue par la düTiculte de la privation d'eau, par les cmbiiches cachees, par le
manque de
routes qui y sont inconnues, par la privation complete des choses les plus
necessaires
et,
crainte que
Ton no nous apportät
pire des
maux
1.
siüii.
emu de II pi'\il
—
2.
15
de plus, par un Service d'espions qu'ils nous ont places de lous cötes, de
— salut que Ion s'envoie par lettre — pour qu'on ne put pas nous donner ä manger et ä boire.
Voilä ce que sera
lo
(Nestorius) allait en exil, et
le saint
cette
s'agii'
et
ce qui est le
nous a raconte au sujel de sa persecution. Qui ne
audace
ou de Nestorius
L'exil de Nestorius?
le
et
el
de cette cruautö mauvaise
et brutale
?
do Constantinople ou d'un Ov^que orienlal chasse a son occa-
20
n
.
r^^"v\^r^
ttc\:\eaJCLj^:\
5
;.>^
^oi ^O)
r,, -.V
Q-^.L( O.N-.
|j»vj
|J>>
.oj^ii ILooA^^
^
Ip^jiD
^oO|l!0x.l!>JO
.
an
l'einpercur
hcnreu.v
— Partie sujet
r^ivj_^ .t^u^Taiia
l-°^'Oi
l-'j-^!
v°*>^
oifni
^A./ pLiljj.
|mS{, Nso^oi.
.0001
XXVIII.
^
^aJÄ; .-m^^ioic^
aa*-.l!oo^>
.vä'ji
|N-ß
Qi.j^
t^ocaJoSoaw
1^1 .ax^^miN^xsö
t>-^-\^^
.0001
o^j>o
'
,^>\»j
'
de de
I
n
. (,101
In lettre
vOOiL^io
r°-^^;
ü.ISjd/
.^ojci
du
mlomnie
la
.
l^laa;
-^^
\V-^^i
.|l.övj/!
.|
eoiirilr des
portee
a-A>o
eontre
^\^iaut
mif,
:
|
n
.
f^
P;>
.
,j^^/
.
ioi
|)läo
oi^l;
.^
l;-.Uo
P;
.
.Voi {
m .miN^m; -öu
Orientaux qui
Mar
n
.Ijä^qjb
fut ecrite
Nestorias
Je
d
Inev-
'
nous implorons ä vos pieds et nous demandons que vous nous ocoutiez avec patience, nous qui implorons votre Empire, parce que nous reclamons avec justice pour une personne qui a ete opprimee. Quelques-uns de ceux qui avaient recu les cliapitres heretiques de l'Eg'yptien et qui
10
ontpeche eontre
la divinite
clle-meme
droit d'accepler
la
deposition portee
par ceux qui
devraient etre punis,
parce qu'ils ont montre clairenient qu'ils sont heretiques par ce qui a ete
par eux contra les canons
i.>
— car ce sont —
les memes qui soutiennent les chapitres heretiques et qui troublent la foi des Peres ont verse leur amertume dans les Actes ^ eux-memes et dans la deposition qu'ils ont faite eontre le bon droit. Nous tenons pour certain qu'il ne paraitra pas juste ä votre
jugement
(t(x$i?)
f'ait
peu a peu
de l'Eglise; votre Puissance apprendra que leurs ecrits
sont reprouves debeaucoup. Quant ä celui eontre quiils ont commis l'iniquite Nestorius), Jamals on ne l'a vu s'elever en rien eontre votre commandement et il a preche souvent
dans l'orlhodoxie, bien plus il s'est öloigne souvent des seditions et il demande de se retirer. II est ä craindre de causer du dtjtriment a la foi, par une deposition qui n'est pas selon la regle fia;ic;\ portee par ceux qui pronaicnt ces chapitres
la
l'üi
de
TEfi-lise
heretiques.
De inissimo i'l sanctissimo episco/xi 1. Les dölegues des Orientaux eciivaient do Ghalcödoino \estorio sciat vestra pietas, (jiiodsluducrimiis quidem sermonem de illo iiiferre ; sed nunc nonpolnimiis. 2. Oitotivr,|iaTa. CO quod omncs vel ad ipsum nomen hoslUitcr nfficiuntur. Labbc, III, T'iS-'W. :
—
PATR.
Oll.
—
T.
IX.
—
V.
;>.
IHO
^oopü-/;
C'est pourquoi
5
lul.
^*^^oo ,J-A|-»
v^^^^-A l-i-'K»
•Ij-''-
^^.^i^
^ojoi r*^
.^a^H; tsoj^s
r?°
l'-aJ'J'»-»!
Pt^'
l;oi
yOOvJ.»
^Hjiai.7\
'i*^
*
m, m,
IJAUnADBKSAnBA ARRAIA.
570
'^
^
^^oi )^>o^ V-^^tJ •U'-y^^^h.
f.^^
>£>lo
odLo^g..^^ x^!<=^! v"""^» ^;^oio
.C^/
«oi
Voila ce qu'envoya d'abord .Iran avec tout
bienheureux
)^ä nm<> /
ch^ t-^jo
le
de tomber de son siege,
prociament lacrainte etrhypocrisiede
opprima tons
erreiir.
ne
11
tint il
(fut efl'raye)
ranatheme porte contre
et leva
les
\-=><^-^l
10
alla jusqu'ä
envoyer en
pas conipte de
Cyrille,
condamna
exil les
er. siipra, p. [76]
a
le
craignit ä la
Cijrilk',
lui
fin
adhera,
la resurrection
et
du jugement, oü, bon gre mal
pour sonner par tout
|78].
la verite et le
—
2.
On
Cyrille'',
mauvais
il
a servi de tronipette ä
l'orient.
—
Cela
sufiit
pour
esprit des heretiques insenses.
((uinze noms (Uiiis Lupus, eh. i;xi.:, n" iTJ. p. ;<77-3"8, Mabboug, Durothue de Marcianopolis, Melece de Mopsueste. de Deiiietriado en Tliessalie. Gitons encore Abbib de Dolichiuni truiivr
plus connus sonl Alexandre de
Eulherius de Thyane, nobis
e/ecerunt
eh. cxxxin, n" 221, p.
Maxiiiiinus
semivivum, 27'i.
..
bienhenreux Nestorius.
douze qui n'adbererentpas ä
viendra donuer raison de sa mechancete, car
montrer l'oppression de
iloiil les
par les menaces de
il
libre,
(I'eveqiie)
eveques orientaux pour qu'ils revinssent partager son
Cyrille qui s'en est servi
(jtiem
jJ^o^
coucilc orieiital au sujet du
dWiitidchc, car apres avoir d'abord ecrit cela contre Cyrille,
1.
.
vOOiisj\o
etceschoses indiquent manifestement une volonte
Ncstoriits,
tandisqiie Celles quiprecedent'
gre,
-.y/'^aio '"^^iX
HVao Ms.
I.
il
^^a^OI
w.JS.Jl
|.a^Voi; i±*.\i Iojla^ ''^s^o .j^V^;
.\.)S».
et
[82]
jKiw«^
).Ä-wJ^io
Nt.
•j'-'oJ^^
K*.iO^I>
<-^ra>n o
\^'-^U>
vOf—Ij sQJlSop;
.w^Aiwa^
HISTOIHR.
^JLmO^
6ÜS>^0
^CDOfOPO-CD
.jK^i^o^J^.^
Nrt
—
nee
vitae
ßnem
in
lectulo enni
suseipere permittentcs, ibid.,
lo
Äuojj
Qoa-ncD-icv-Äo
rslj_x_L
t.^q
.t<'\
rd_s_.r^-a
^^n.i^i.'n
lol.
•.).iJ^
y/o
jJ
|j>Jb yj
yo\l£i
jJ/
.06. ^iOJLflO
U*^]
Jfts.-OKÖJI
ii;i
Kj>0^i t-Ki«;
III
<^y-^l
^Uo
•.J.-a:!^
—
XXIX.
i-^^ «^^/
vip(ajL>vi(n'>v> K.^i^;
Ze/e montre par
le
concile d'Orktil
conin'
lorsquil envoya vers (eux) ceux de chez Ma.vimiiios
thematiser
en
Diodore
et
mauvais demon il
veux dire Mar Diodore
Les paroles au regardees par III
(ju'ils
jimir
Ics
ragr de
Cij rille,
obliger «
ana-
eerivirent ä Proclus et ä l'enqjereur
cette affaire.
contre saint Nestor ins, je
Theodore; de ce
'
l
*
foi.
r.
.Mais le
5
*
t^-^o .^;*Xot jlötJ»/;
veuille
ou non,
et
sujet de
lui
et
comme il
Cijrille
ne fut pas content de ce
qu'il avait
ose faire
ouvrit encore la bouche pour calomnier ces Pöres
Mar Theodore la
—
resurrection
—
qui etaient docteurs et eveques. ot
du jugement ä venir etaient
des fables enfantines, mais
repondra de tout cela. Cot
homme
paroles et de phrases parmi les eerits de ces Peres
-
et,
il
y viendra,
habile
par
le
fit
un
qu'il le
clioix
de
moyen d'hommes
—
1. Lii'P « Maxime «. Maximien, üveque de Constantinoiilc, etait niort le 12 avril 434. 2. II ne resto quedes fiagments de cet ouvrage de Gyrille; 011 a conservö en particulior en syriaque loutou particdes coupures qu'il a faites dans les Berits de Theodore et Diodore. cf. /'. C, l. LX.WI, col. 1453 sqq., et Sachau, Tlieodori Mops, fragmenla syriaca, Leipzig, 1869. Le concile de Constantinople de 550 a insärä une autre s6rie de coupures des 6crits de Thöodore, Mansi, IX, 203-229 el de l'ouvrage de
Cyrille contre Theodore, Ibid.. 231-240.
loi
BARHADBESABBA ARBAIA.
572
yOoi-X-SjQ-^
^»o-io ^ot_3
jooi
toojoj
—
HISTOIRE.
[841
.)-«.auw^/
y,^l
jj^OU^^tOu^
»,jiio
-flo
^J^öi^
.«£L.^>_^
^*io/
)ooi
..v^ici
^1; ^''^-^^ •«!'^/ ^)-»)^ Q^; ))— too vm^io-^^XQü
CX51
«J-.A..,^/; ^J-»a.> vOj^ |_3i
Ux^
^^oi
.)lö|^/
).A^^ JLaoy
'
^'^=^^9
\
.jooi
^oi^
^oi^KjLbo
ol^ t^o
^^
K^^^;
).
^V^o
K^^ok. fS ^t^oio o
..^ot
.^^oi ^^^; J^^W
'>*
.
/
.
p
.)ooi
yOOi^ u
)jl3^,^^o
.^okxsl»
a^too
V*^'^
trompcs de chez Maj-inunas
deux antrcs,
de
et
comme pour montrer
tVAntioche,
par
lä les
crainte
pensa en
il
:
cffet
Fenseignement de ees
que
Cyrille
d'ailleurs
et s'en glorifiait
eüt peche
le
memes
meditait constamment
devant les autros. Lorsque
(faibli)
ville
II
avait fait cela par
bienlieureux Nestoi'ius paraitrait avoir ete
qu'il enseignait les
lui-memc
la
toute l'eglise d'Orient se developpait d'apres
si
saints,
chasse injustement, parce
envoya ä
les
il
blasphc'mes dos llambeaux (de
anathematises'.
l'eglise) ot (faire voir) qu'ils devaieiit etre
choses. ecrits
les
de
Jeff» d'Antioche l'apprit,
ä l'egard de yesiorius. du moins
montra grand
il
Lorsque
le
Theodore
bien qu'il zele
comrae
Diodore 1.
comme
un blasphemateur,
le leur
propre
et
D'apres Irdnöe, S. Cyrille voulait revenir sur ce
ä dire clairement
ra\aienl
aidt^
une seulc nature
»
apres l'uniun.
conire Neslorius et ceux-ci
fcrventer ApoUiniirii errore langncnlem,
mnximc plurimn, ad orientcm lUrigunt
p. :58'J-3'JO.
—
2.
qu'il iivait
II
'.
el
quatre ans dopuis
CiL, ^nuniere
les
la fin
le
ecrivirent
concMe aux Oriontaux
Maximum quemdam, monachi
li/lcria
Ils
et
de
deux
les obliger
s'assura du concours de ceux de Constanlinople
imperialibus
cl
hnhitu circiimposilam,
praeccp/is prncfcctoriis (jui
cl
et virtute
orlhndoi iac egregioriim
Apollinarii deliramenta et praecipue novae hujus veneria
Maxime
et les sieiis
durent s'enfuir, salutem
de Proclus et de l'enipereur,
Lupus,
cl'.
436-437; car dans la lettre conservöe, chez Lupus, eh. cxcvii
Orientaux avec S. Cyrille vers loc.
regarderent l'anatheme
ils
pracparcnt rero anathcmnlizari
sunt, et les Orientaux prolesterent prös
qu'il s'est (icoulö
:
cum
praedicatorum luminaria fuere clnrissimn. liacreseos (monophysilao) detexerunt.
et
celui des premiers P^res.
(ii»
suam fuga cli.
cxcv
286), p. 394,
lucrati
(n° 284),
Jean dit
retour d'Egypte de l'eveque Paul, qui avait conclu l'acrord des
de 432ou
le
commencement de
433.
—
3.
.IcandWntiocho.
provinces donl les evi^ques ont souscrit ä ce concile.
rf.
I
pour
concile connut la pensee de rEgyptioii contra ces Peres, tous le
regarderent
:
Auparavant
ces Peres etreunit aussitötenleur faveur un concile- dequatre-vingtseveques
i|ui
».
Uoo;äi.Ms.
1.
II
•
^t-<^
U'f-^l
-.j^- sCQ-ja^vauj ^^o«^ sa^
jll
.v£Doio^;
^bl,^
^s/
ooi
oiK..^U K£Do;ouaxD
IjlS^ol^ ),-«
)»_«o
^; ^^
.^L^^^
)~*'r-^!
yooi^;
|J.ö|^/;o °i
^^oi^i
^-.^oi
)lö(^/
^-«Xoi^ «axaL^iOÄ
vxooiojjlj
Lupus.
n
I
—
XXIX.
[85J
^
^-oi-JL-io
DEFENSE DE DIODORE ET DE THEODORE.
vijj";
^^Si^;
1^-.
V-^ ^/
jJioLio
573
-U-^-^^^^^oji^^
\°>
nnm'=>l mjf
•Uao) ,_i-s,'.
)J;
yojöi! .3/
^
.
la^
]l^<
|..i.^|
IH^io^
"Vauooi.
"^>
^ooM^jxis(
|N^.:>i3jL>9
C^-i.
^
iJLg.Saji
|
.ni^tvio
too-i
|...«yiN
lU^Sv'.o |_,^Q^^
-/'llnAf,;
:
*
^'j/ |l.m\y>
|^J-.,>5^e
"^W
l-noi;
Nx.jja2>.o
^
-
n-
i
N-|^iJ t-ioi. ooO| ,-Jjj aiv
^oO)i.oVt)Jo
i
.oiN^Vio -ca^xj viaV>.
^-^
J.ioi
:
.Coe
«
^.
-r-lj-io
)l
^
hvi .|
oo)
^..o.l3^0o
LoO|
v»4
*fol. 101 v°.
IVoi./
|Jij(
,*ji
|a-o
|aa-( :|ooi
l...» vi; oit^i.
^^jiÄQi»
Pt-NJo;
^/
)j^.d
^^/
(UJ.
poi ;"(;> .
in
,;.o-/
,^.,».i;
^
o^i
llaoVSj Ms.
1.
.
—
y»^l-) ,-1^- l^|-3>o>
-2.
^l
.
11
^»-ov3 ^! .^l.o.>a>3 ;»J>
loiiK
ISi—i
.^M^;j
,J-,
^^.i^L/
^
o>;Nj(; l-^^Ä^ "^^»M
et l'autre ä Proclus
(-..Ur^
P
cn^.3
^veque de Conüanii-
convient de reproduire une partie de chacune d'elles, pour faire
connaitre la pensee du concil«'. Et d'abord celle de Proclus. ainsi
|^ii \r~
.
11.^=-^ Ms.
3. IL&^i,-,
Tempereur
lettres ä ce sujet, l'une ä
nople'
—
Ms.
Ibis)
.^Iv^
^j ^^^oo
Ils (lui)
ecrivaient
:
S'ils voulaient vivre
dans
purete ceux qui maintonant, a l'aide d'un pouvoir venant
la
je ne sais d'oü, se complaisent dans
la rebellion et
dans des ceuvres juveniles contre
Corps de l'Eglise, lorsqu'ils abandonnent leur pays pour
aller ä la ville
le
imperiale et
ceux qui y liabitent par leurs calomnies contre leurs eveques, * il n'aurait pas ^te necessaire maintenant que chacun abandonnät son troupeau pour venir Sans aucun motif ä la ville d'Antioc/ie qui aime le Christ. Mais parce que le calomniasouillent les oreilles de
10
teur a obtenu une teile puissance, ä ce qu'il parait, contre TEglise du Christ, au point
de troubler tout l'Orient ä l'aide de quelques homnies, nous nous
sommes
reunis.
Et, aprös autres choses:
Au 1.
II
sujet des extraits qui ont ete envoyes par la Piete, nous to faisons savoir que*
t.
lettres; ki i'epuiiso
LXXXIV,
col.
849
premieres lignes dans Lupus, eh. cxcvi, n" 285,
les
etjuvenilibus levitatibus contra et
deux
reste des fragnieiits de ces
chap. (:cxix;Mansi,V, 1009; P. G.,
commune corpus
;
de l'empereur est aussi conservöe, Lupus,
Facundus, VIII,
p. 391
:
illic
On
trouve
Ecclesiae nunc nescio unde poteslale sumpta ulnnlur,
suas quiilem Patrias relinquenles, renicntes rero ad Imperii urbem,
episcopos eurum, qui
3, «oc. cit., eol. 717-8.
Si qiiidem sohrie agere velüit, qui turhis
sunt, surdidantes auditus,
et
calumniä adreisum proprios
non nüque nunc necessarium fnerat.
«
Aprös cela
deux Ictires de .lean, (''VÄque d'Antioche, et de tout le concile d'Orient avec lui. en faveur des ßveques de picuse incSiiioiie, Theodore et Diodore, et, au milieu, une lettre du scul Jean (ä Proclus) qui portait... » Les deux lettres otnises dans le synodicon, inais qui avalent 6t6 conserväes par Iren6e, sont celles dont nous avons ici de longs extraits. Liberatus mcntionne ces trois lettres, (Iränöo) pla(;ait
qu'il dit 6tre
adressöes ä Thöodose, a S. Cyrille, ä Proclus, Mansi, IX, 673; P.
Item Facundus,
A"III,
'i,
loc.
Est-ce une quatrienie lettre? seul
—
»
et
2. Ici
non ä
Cyrille.
commence
La 1"
cit.,
Car
col.
la
et la 3«
718,
rapporto une
lettre
de Jean
et
seconde, d'aprfes IriMiöe. ötait adressße ont 6tö lou(5es ä Chalc6doine,
la troisiönie citation faite
par Facundus, VIII,
I;
cf.
L..
du «
t.
LXVIII, 991-992.
concile ä S. Cyrille. ä
Proclus par
.lean
Mansi, IX, 674 a et VII, 465
P. L.,
LXVII,
710.
a.
fdi.
V
ii;i
»
BARI.IADBRSAnßA ARBAIA. - IIISTOIRK.
574 ^ooV/o
^^*'i»
ULy\..o
v^O)»
^Ojaio^j
pöo
^^^^V^Of^*
|yi\\
;
ILo..^
>
o%^
^
diiDJOjlV/
^o
|m
^
^<:ijoISJi:>o
v£>/
fi^/o
v-
|JiJ:^^^ao
.-wkjo^o^ ^\3-oo^t
pLso^
|to*|L
oö]
..g\>i
;
>ooI!Oo
o^Vo
:
^Too;^^
>" -^
pu^j.j; v*^/ 7"!
^»..»j»
»Nj
.^ '
-
^»L;
ooi
^oi
iQ^o ^>
I'ojil.
1.
^
:
wm . fe^^f
ya^
•;•"
%"
^»^
••V~i^/
Lq^
Ijov^D
pj»
^Q..i:v^o/;
oöiio
.
|i.
t..,.,«yi\
n iNyi->
,3ii_
.
vp-)Cn
V-^J^ ^\.xdcA
tuVi oöi
:.
m m .
p/
:^;3/
jl.|
*o..\
|L
^
).^a^a^
)-^r° "-o^o
*
1
Da
-)
.^
'i
'^l'-
qjNjo
'•''r^
i
ottN^
:
^i a\
v!
\
V
ni<=^\ .
^
^
-)
t^>— !
|oi^
/-=;
wrooiojlL» ojLajJiN^oo»
^ö^/
v^^ ^^l
ov^oa iß^
Ir'^^^
-3|
l;oi
^
waIJoL/o
taeon-K\o
s-i^ja^V
,^i>j3;
i
^/ .^ aj;^o
p^^o^
^oibo
wO)äja^/o pilM*
)pL,^cD
.
^ou/
•^; i .rn'm
p/
.^ia-..cDVoi
[86]
.
o-
>
-i\
pjnaou!/;
!(}
Ms.
nous avons beaucoup souffert en noire ame, lorsqiie nousles avons rencontres', dece que ce n'est pas seulement au sujel de ceux qui sont en vie que nous avons ä soufFrir de telles calomnies de
la pari
de ceux qui veulent (troubler l'Eglise)^, mais au sujet du bien-
heureux Theodore qui a bien marche dans lemonde^, qui abrille, durant quarante-cinq ans,
na
dans Tenseignement, qui a combat tu contre toutes les Leresies, qui
jamais ete
5
poursuivi par aucun accusaleur (du parli) des orthodoxes en sa presence; voilä que,
longtemps apres son depart de ce monde, apres de nombreux combats, apres des myriades d'ecrits contre Terreui' et apres avoir brille devant les princes des pretres, les empereurs et
les peuplps,
traite ä leur
il
est sur le point d'etre
condamne de
Ta
pari des heretiques et d'utre
exemple^ Ces choses nous remplissent de confusion
seulement nous, mais encore les peuples qui aiinent
apres autres choses
Et,
la
le
et
de trouble,
et
non
:
Piete saura encore que nous avons trouve des enseignements et que nous avons
decouvert qu'ils avaient
hommes
sens)'>de ceux que certains
la force (le
onl pris avec
une volonte mauvaise, qu'ils ont decoupes du corpsdes ecrits de Theodore et qu'ils t'ont presentes. Aussi chez le grand martyr Ignace, le second, apres Pierre, qui a ornel'^glise
du siege dWntioche;
et
chez
bienheureux Eustalhc qui a
le
la
fortifie
ibi
orthodoxe
Nicee; et chez saint Athanase, qui a supporte des doctrine de l'Evangile; avec ceux-lä encore chez Basile le
lorsqu'il etait chef ' des Peres reunis ä
myriades de combats pour 1. Ici
comnience
la
1"
la
cilalioii laite
par Facundus,
Qui bene de barc volunt ecclesias. Fac. — par Facundus. — Cyrille a cumpos6 lui :i.
pEiv,
dans
P. G.,
la loi t.
de l'Eglise
LXXVI,
permet de combler
la
», Ttpö;
col. 1424.
—
pour
xou; ToXiitovia; 5.
presenle lacune
La :
P. L..
LXVII,
est. F.
—
juslifier
),E-yEiv,
3« eilation ...
II, i:
vita profectus
(Scril
iiiorts
|ir)
562.
4. Ici
ses poursuites
Sslv OuJp
de Facundus, VIII,
2.
Ab
liis
qui contiir-
.«
contre ceux qui sont
^v izlutti x£xoi|ni(i£i/etfv Ttpoo^e-
tüv
[sed et chrisliarws popiilus).
—
s'arr6lc la 1" citalion falle
J;
P. L..
fjiii
LXVII,
col. 710,
nous
haec cognoscentes nulln-
sed adversiim nos seditiones fuciiint, dormientes patres meditabanlur anathema, et adversus nee iisqiie ad aiuUtum passi suseipere quod 6. ^cripturas deeem millia adversus nos mala minantur, si quid ab uliquo fuerit late praesumptum. tcniix
10
Christ''.
siiif
liirba ecclesiasticas celebrafiones impleri permittiint,
—
antiquorum duetorum Eeclesioe requirentes, devcm exislens. F.
initlia tnlin et his similin
inreinmus. F.
— 7.
Primus
l.">
XXIX.
[87| :!c,v,(
t^;^
.PCO ^oovoo
^..^ ^^i.
^
^
oc;,
^
j-
DEFENSE DE DIODORE ET DE TUl^.ODORE.
...i^o;^; M--ua^ V-i P,
^ i^lM! ic^ ^
.^^
^00,10:«.
-
^V-l "V v<^
.^....v.o
*
Ld^o -.j-^l
H<«l! v^»-
V—j^
lo:^ m^^-a/ )j^"^ ll««^/
I.
—
«Äuol'O Ms.
'J.
iMtt"^-ooVS
l=>^=>
-««i^l -^l!
^'x
^"»'r
"^^
M^l ^^'
^!
^^
UH
:
^-^r^
-"^^
•v'^^-^^
f
«^!
^=^°
IV—
rr^o-
s'!
'^ ^J^ 1^^^
-^
^^-^1
'«-^r ^^-^'^
v^«-^^^«-
IV-ov^!
575 '
r-^<>i
-cca:l.^a«(
^-^^
«^^
:
-^«^l<^
U^
^°^
Lo\o
'*^^'
* ^'°\J''''
^°°^^ ,^^-^«
jK-.-j^io vÄojouoi» ^io; ^:ü| ,-*^o«
Ms.
et chez le bienheureux celebre et chez les deux Gregoire qui etaient ses compagnons l'Orient; encore chez tout de illustres Flai>ien et Diodore et /e«n, qui furent les astres '
;
Amphiloque, docteur suave» Ambroise qui a eclaire tout l'Occident; etle bienheureux chez des myriades eprouve; et chez le trois fois bienheureux Alticus, ton pere; et trouve (des passages) qui d'autres que nous ne menlionnons pas tous, nous avons forcement nous anaconcordent avec ces extraits si donc nous anathematisons ceux-ci, * mentionnes plus moI. Peres des ceux thematisons avec eux, de toute necessite [hi-i^A), hommes, qui ont des que enseignement si Ton voit
le
5
:
haut. Qui prötera attention a notre
ele si illustres IM
belies
et si celebres,
sont anathematises?
nous de blamer los de jugcr ceux qui sont morls
n'est pas ä
Ce
actions de ceux qui sont morts avant nous ni
vivants'. glorieusement, car cela n'appartient qu'au tribunal des morts et des
Et, apres autres
choses
:
plaisent ä nous IMete saura que par cette inquisition et par l'activite de ceux qui se confusion, les la dans calomnier, les peuples sont partout dans le trouble, les eglises
Ta
li
clercs dans Tangoisse et
nous dans
la douleur, lorsque
est conduit par la violence, lorsqu'un
hommes
nous voyons que tout ce concile
grand nombre de pretres resistent ä
qui ne savent pas ce qu'ils disent ni les matieres
qui ne sont
aucunement attaches au sentiment de
la correction
:
sur les(iuelles ils disputent, et
l'Eglise.
d'Onent eiivoye, au sujel des saints Peres, par le concile il en ecrivit cncorc futpar lä, lui aussi, amene ä cette opinioii
Voilä ce qui
l'ut
'•
20
ä Proclus, et
il
;
autant ä Tempereur en disant 1.
Qui
i-jiisdem sciUcntiae fiicniiil.
1'.
:
-
2.
Ik'atissimiis. V.
—
3. Ici
s'arrtMe la IroisifeiiR' dlaliou
.!.
col. 727. Facundus, YIII, 1, loc. HL, col. 711. Les deux dernifires phrases sont ciicore cilöes, Ibid.. defuiil, rnais aucun ni Thöodore ni anathömatisor ä avait songe n rtipondu qu'il Jamals 4. Proclus a
—
seuleiuenl certaiiies oircuis; Facundus, VIII,
2, Inc. cit., col. 7l:i.
ig-:
BARHADBESABBA
576 .yOOilS^aüo
^»^w
^^^-/o .^3Öv
I
i
mvi
L:io
]i |
[I
(ij
^
^o:
••» '' >» 1-13^» ^ooiij;
finroN
.
IN^k^äwioL
v\.^am
o|
in\ ö
.^^,
,
^^jo
Ipopi;
^pjt
qj»ö
^oov^
.
,_.
l-uaj,
v^ooiSKis;
ILf^ot
'
^
.
|lrt\
n
^[
:
^
Ijxi.
[88] l-ioJ'oV
\^°)
r-'-'l'.
^*o.
» .v^
h^J
oö)
^4o.
V-V!
pöu
IL^»
..-li
^»-^
»^-*!
|Jot|L
.
IllSTOIRE.
p><xm too— ^j;
MtXj
^^DojovJOuo^f ^«I^/ ^ * \ lal
y^l v-^ ^ovtv.;
^Jol-ioi.!
.
l»
^L ^)
Hai.^j-0 . cuoNji;
Ȁ^(-3
oxsojoiJaoD
1(!^!
* fol.
^
|NJi-o
/-( 1°^!
. ^.
1)0
—
'ARBAIA.
ll-i
P;
|Ni.L
•.
oL/ _^<^^«c^i\
^-Xcojo»
^»V' ij
.\oc«\ ^. -.{oä
^;
«^ojcfi
^>lji.
>Nj
^o
^U
^oot-t^/;
o|
oas^SL/ ov^ro/j
P^^^
"^j^
\M^
yOOpC-( |nii;
.
1U2 )a^>^u^^iDajVi
^( ^O)
.(-^poj;
_jai.o
)l.oVl./
pio^VoNj
,
.
m m» .
^ovio ^».jj>a^ jiNal)
N<)^jjl^
IVo^lt Ms.
1.
C'est apres des indices de ce genre qua certains moines qui vivaient dans Tainour des
mauvaises actions, qui ne pouvaient resler en repos au nombre de deux ou TEglise,
parce qu'ils
et,
et
ne connaissaient pas leur mesure,
commencerent ä aboyer sans pudeur conlre les pretres de re^urent un encouragement de lä-bas (Alexandrie) et une
trois',
certaine parente, ä ce qu'ils penserent, provenant de leur malice
perserent et vinrent difficulte
meme
ici
un concile a'cumenique,
ä
ment des docteurs, enseignanl, et
s'efforQaient
Ces
I'ül
v
'''-
extrails,
d'instruire,
d'autorite,
ceux qui
avaient
vieilli
en
10
:
que certains maudissent
comme
la
Ces clioses
(extraits)
si
ce qui leur plait et ce qu'ils pensent
(avaYxv))
renommee jusqu'ä nous, avec
apportes par
illustre
se dis-
eux, qui auraient eu besoin de Tenseigne-
et
ou mauvais devait etre necessairement
l'Eglise"-.
ils
tentaient encore de troubler les Eglises.
ils
Et, apres autros choses
juste
commune,
grand orgueil, demandant ce qui aurait cause gründe
avec
adopte par ce grand concile, ont 6te
ce qui concerne le bienheureux Theodore.
proviennent, pour ainsi dire, de tous les docteurs illustres de
Car lorsque nous disons Theodore, nous disons un
homme
*
qui a eu une
fin
dans son episcopat, qui a combattu durant cinquante ans, pour ainsi dire^,contre
toutes les heresies par les homelies qu'il Ht ä l'eglise, qui sont par tous les pays de
lettre,
suil
Maxime, sont
Lupus,
cli.
Labbe, Conciles,
pondre a s'ötait
par
;
comme
?).
celui-ci röcril
diacre?)
Maxime
est bien clair
conimenco
la
conserv6,
Maxime a
616
ä ses clercs de Conslantinople cta Lampon, Lupus, eh. ccvi,
pcrsonnelle de Jean a Proclus, Lupus,
r6clame de Nicöe et avait ins6r6
(le
foi (est-ce le trailö
C'est peul-6tre aprös avoir et6 chassö par les Orientaux que
Mansi, IX, 244, et leur envoie un commentaire du syinbolc de Nic(?e. peut-etre pour rö-
la lettre
que Maxime veuille II
298, p.
ramfene ä trois points tout ce qui concerne la
III, 974-8
trouver S. Cyrille, n" 295. p. 427
il
".i'Jl
peut-fetre
ccviii, n° 297, p. 429.
dans Lupus, chap. ccix, n°
sur l'incarnation oü
—
t. LXVIII, col. c. Ces « deux ou trois », dont Tun Maxime, Jean et Thalassius, auxquels S. Cyrille adresse une II leur apprend qu'il a ecrit au Iribun Aristolaüs (celte lettre 431) « et ä quelques aulres ». II leur adresse un court traite
Sic Liberalus, Mansi, lX,ü73, c-d et P. L.,
1.
est cerlainement
faire
le
Symbole.
—
cli.
cxcvri, n» 286. p. 392, dans laquelle Jeao
D'apres Facundus, VIII,
2, loc. eil.,
col. 713, c'est
un autre que Proclus adresse sa lettre aux Orientaux, et Proclus s'etonne analh6matiser Theodore lorsque lui-m6me ne l'avait pas nommö dans sa lettre. et
—
2. Ici que Maxime avait recu d'Alcxandrie des insiructions compltSmenlaires. 3. Qtiinqnaginta pene annis. Fac. II. 2. P. L., LXVII, 503.
seeondo citation de Facundus,
—
l^
-
-
XXIX.
[89] ooo,
loo,;
^oov-IS-;
DEFENSE DE DIODORE ET DE THEODORE.
^ M
,-Ci-(
oila^/i
^.io^ )—jQjio l^^/o .—j-j'U ,j)ioj ..
~>.
jjU
;^(! ^;.( .">
|lj^;
CLaiSMico
^oA
1.
;-^
P
U^Äi.3» Ms.
rOrienl.
(J.
II
Uoi
^4.^1:0
.^=^/
—
-2.
^o
^ .—^ü^f
V
^o^"^^!
yi- "n^ 1— r^o
.«^o^
\l
V-;
a^poio
^j
^,^J«Ji.
0,,-ooM
(j-^.
IS-IV^N-
^oCoajo -(-«Ol
'
^'
.v>^
VJo.tlo
.
^aalQJi^ia^
V'Vi'. \j^i oi.o
Ijo,
N*vK=
o'«
«^ooi!
.vOl;i>.(
.
|NJ>
<^Olr' °'
-.P';-/
^i^L^
.^00,^
|_jqj
^jX^t^ ^ovL». 113/
pOi
^.^^
M-°^r ov»-^
.-ILoa.-^
P;
.^
v^o,
^,Ju|.
»»i
^^
M^a^
ll-a^i^-io!
o^i^io^ ^(o P^ioi.
-»-'
I-'W.'»'
.
P<« r^ <^°
^.a^o
^\ vi
1
ü^^io
ILaixio
v! I^'^^i
.^io
LioJ
oO- i
ajo, .yOts^;s>ll
;io|rv:>o
v<"ö)^
^*si,
^
M»^
Hr»;
.
l^-^-»
!0-i>-s
•
00,
—"«
-^l
yxsisM
v
-U^^J/!
i-=o
^.
|ti^
P/
i
|
"»l'^^-'-'^
•
r,-ia^;
"^io pbp;
ILQ.3-4
-a-^ii«
PI
INjLiOA^jo llOJOvioi
k-io^ 1"^°'
''
l?o^.^ Ms.
paraitaussi qu'il fut trouve parfait' dans la ville imperiale de Constantinople,
— ni par las grands, ni par ccux qui etaient comme
d'etrc heretique; au contraire,
doctrine qu'il avait toujours.
10
<»^
-lio^;
.
^to
Sans etre accuse par personne
j
^"1
001
001
^1
-jo^.
^mj
•vr°' ''^'°
oovi
lao,.
R^-^ai IlSj^^iil yOOiVio;
.o-tß
p^
pÄ3!
|1^
.
.m.ila. 1^^^! »M^l
oö,
t^ci^VoL
ilio.
w_it>jLio
yjü(
ILaxa^K^;
-cPi
^N^L
r:-Ml
v^xJ
^i»-^ 00, |oö, po, |^^i^. l^-s»,^' o,t^_i
-.J^i
p/o .ti^otocCi.
p.
outoicu.
IN-övSs
)N-o.Vl.o
in
^^^'-i^
^00, .^po(
^
^-^N
;^l» pjo,
»Ls;;
^aij,
-^J/
V
.r» tv./.
loo,
ovi.
v'-'";|i
:tJ>iJo
00,
.o<^
od, ;"/
.o,ISi.^oo
p
^!
loiSK
U>'o'
577
brillait
il
parmi
cause de la gräce de la
les pretres ä
obtint des honneurs et une gloire sublime,
11
—
lui
non seulement
de la part des pretres, mais encore de ton suave pere, le vieillard, le trois fois bienheureux empereur Theodose, qui a re?u de Dieu le pouvoir imperial et te l'a transmis.
Lorsque ce grand empereur eut vu l'aspect remarquablo de cet homme^ il pensa qu'il son n' avait jamais rencontre aucun autre homme^ semblable ä celui-lä; il admira maucertains que celui par alors ravi il fut conversation et enseignement, il loua sa dissent maintenant, comme s'ils avaient la charge de choisir et de maudire parmi les docteurs qui sont morts. Mais ce n'est pas
le
momcnt de
raconter.
le
Du
raoins nous
dirons de lui' qu'il etait l'ami^ de Flavicn, le chef de l'eglise d'Äntioche et le contemporain« du bienheureux Jean ilont vous n'avez pas elTace le souvenirde votre cwur', pour
empire *
la gloire de votre 1.-,
il
;
est le disciple de saiiit
Diodore,
il
regut de lui les inter-
pretations des paroles divines et des pensees justes qui constituent la penelration qu'ou
a jamais refusee'. Si Ton concede que Ton trouve dans ses ecrits ou dans ceux d'autres (peres) certaine chose qui n'est pas evidente, cela ne nous oblige pas ä y preter
ne
lui
maintenant. Car nous honorons avec leur premier lionneur ceux qui ont obtenu excellente" dans le sacerdoce et dans le service de leur maitre, et (nous) ne (les
attention
une 20
fin
'"
jugeons) pas d'apres ce dont certains veulent avec orgucil les bk\mer et les accuser'^. II tant que ceux qui enseigneront dans l'Eglise seront des n'est pas possible en elTet
—
1.
Valdc esse
fuit audilor
ment...
»,
—2.
coiiiproliolus. V.
magnus
ille
imperalor. V.
Facundus purle
saepius altestatum
jam
memoriam redivirani cummence la quatriemc
jus
F.
pus, eh. CG (n- 289),
fecistis.
citation de
— 11.
p. 'i02.
Dndorem.
5.
Amantissimus Ici se
8.
—
'i.
Au Heu
:
<
uii
bun
discipittiis.
3.
do
o
la toc.
olTice ».
—
eecksia ejus ductrinue
Mais cc
pro sui rcverenlia,
termine
Facundus, VIII.
Sic F. Lilt.
F.
honoratiis est. Itemque de
— F. —
le signaler.
3.
u reslru imprrio.
vei-o el
est, el vestris littnris
omis quelque chose sans
10. lloc retractori.
:
Oiii in dcsiderio visionis riri factus, in
—
et
illo inferius.
V.
—
G.
n'est
pas
12.
"15
mo-
Le syriaque a donc 7. Cu-
Condiscipiitiis. F.
sccondc citalion de Facundus. eil., Cül.
le
spiritnti sapientia. et
et 716-717;
cf.
— —
'J.
727-728.
Ici
—
Celle phrase csl conservee dans Lu-
BARTIADBESABBA "ARBAIA.
578
)_j^ai»t j;-^ iaa\o
fol. '
ir,3
— d'ecliapper
.)juiV-o
jlö»^/
—
IIISTOIRE.
""^^ )L:L»j^^
[90]
a^l^f V^^
^-->^o(
de ceux qui aiment ä faire des reproches. Que d'heretiques ont recu les saints evanbeaucoup dire des docteurs de lEglise! lorsque giles eux-memes selon leur propre volonte, en cliangeanl les paroles divines, et ils ont
hommes
aux calomnies
*
retranche beaucoup de gens du corps de l'Eglise'.
Voilä ce que les Orientaux ont ccrit au sujet des saints Peres, exaltes et loues
maudit
Ci/rilk
concile, car
1.
il
comme apprit
cela,
il
des evenements
ils
les ont
demandait). Lorsquo
ne pouvait pas les anathematiser dans
le
un
eraignait de voir la chose tourner autrement.
Facuiiilus ajoule
siimiis gralia
la vörite
(le
:
Haec
in
brevi pielafem oestram nos omnes episcopi qui in Anliocliiom Dei
cum muttos et antiquos doctores ecciosiae iiominatim etiam Proclo scribentes episcopo feccrant, perhibentes eos similia docuisse
congregati docuimiis. Et post haec,
commemorarent,
sicul
Tlieodoro, ad ullimuni
diciiiif
alqiie illue jaclori roguntur,
:
Arbilrumur unlem elinm
nee (juiescere ab
h/ir
i/isi
piu imperio esse
iniitile,
dum homines
liiir
impoiiinia lioniimun inqiiieliuline. Stent ergo causiie
deposcimiis lenipeslotis, el /rcaujuillifaleiii Dei Ecciesiis disponi praeripile.
Inr. eil., col. 715-711).
r^
^-.\oi^o
—
)
lü
yji
V*^
.).iooo«i
-
.J._i/
'^'
jo« '^•>'
XXX. exil
öiXa:^ ^^^J^°
N/^\ )j/ v.=t-^j
Jjöio
—
(scosia).
Lorsque
jK-V-^xa-J
.otia
JJe
^^ ^
.%
fß (/»e
Pourquoi
et
.
>3/o
)-j/
oiNx^U
^
pour
iiijurior
)-"^^
\^\-=> o^^>-a^ *^-*^^
vJlS
.UpaJL^ Ulioo
y-uJLao jJ
)
|N.i>ji;
n
«
.^ai^io-^^JOJ
oi^io o.-^ic )joi
vaxaAj o n . :» -.«-po
^ ^oi
-.v^V^ oiioos p'
ji»Q..o
m>
rEfjyptien cherclia ä faire coiitre saint Nestorius
rommoit
il
fut cunduit dans
le
cii
dcscrt.
Cyrille entendit raconter qiie saint Nestorius etait parti d'Antioche
sur Fordre de l'cmpereur pour aller au desert d'Oasis'. 5
.^dumn ivli^n
calnojil TAiMLlnJ rdn^^Ts vdjLn ^^r^-T\
-f^-npr\
Tathlete
fidV/ir/i;).
Lorsque Fun d'eux
envoya de ses amis
il
le vit,
il
lui dit
:
k
Tu
es le
chieii Sestorius; pourquoi as-tu jappe par toutc la creation et as-tu mis tout
Tiomc eu
mouvement?
m'appeler chien, car maitre et i
Christ,
liair les
mon
il
»
n'v a pas d'animal ni de bete
Seigneur, je jappe contre
Cijrille
Cyritle ne quitta pas aussitöt sa
mechanccte;
avait ete vainqueur dans sa rebellion, ä
1.
donc:'
En Egypte,
11
«
;
y
l'heretique et contre les parti-
il
songeait en
efTet,
de
et'.
/'.
i).,
VIII,
meme qu
il
ajouter encore un meurtre patent.
nicua au desert (piatre cents nioines avec leur
a lulalilude de Tbebes,
le
et l'autre s'en alla la bouclie close.
(ä la foi) »
lit-il
:
etrangers plus que celui-ci. Moi aussi, parce que j'aime
sans de son opinion etrangere
Que
Tu as raison de de somme pour aimer sou
Le persecute repoudil ä cela
82-8.-).
supt^rii.'ur et
;
BARHADBESABBA
580
.^CQ—.>Q-^ ot,.
3-\ .I;
ff)
lol.
\
)
«,
.o),
^^ioo
.jtoaJLicu. *
I
j-^->/;
)^.-^
jtoö»,^
^o
-
'ARBAIA.
IllSTOIRE.
yOJ.OtO
©V-^/
[92]
.yOOiJLl^
)>ioo
J_«»aa^ vcxx^ oAo^t .,ooi^ V^/
po
,a:m.a^o
yooi-iCLiw
.llo^jl^ yOj/
OJL^;
|joi
5
^,-.o«o
J^cu^ä/ ..ypott.« t\
16:i
V".
^
)K..^^x>^J
jlojop y^l
iL
^0(m^ K^I—i^oio vooi.^
)l.fcft
;
t
1.
n\
les poussa,
comme
envo3'a
contre
lorsque
le
Oü
il
oiK \
Jezabel l'avait
lui.
Ils
bieuheureux
se
est le
venir. » 163
P
m
i
tvj-ioj
vn .N\-«.v>
-looi
ool
•.oooi
vOoC^
io
^^».^^n
^so .)1/ K^j^Sb^*^;
jjisoi
-.sCQ-jja-^
'>
>',
^Ul
JJUJ ^'^Owo
o_ooi;
yooi^ i^N°
l-»:»a^;/ Ms.
nuage,
lol.
tsXlo
^1/ ^.UL-äj
qi-j
du juste plus que du joüne
«
^^oi-a v^oi ^!
^«6i1
Q. Vieri
•>
.^oio^^' ye^^
fi^
il
^^
oila-fciooK.ioj
„i;
sfi «
^^%>.oK.^o .oooi ^^<JS.)LiL^ \m^;a.^u33J ^'^^
)ooi
.•odaxgC
:oooi
^io
.jLiu»
demanda
et
se
de
il
la priere
;
c'est ainsi qu'il les
dirigerent aussitot
vit leur
vers
» II
leur dit
connut leur dessein,
il
:
«
Entrez dans
mit en priores et
les
qui est juste
et,
l'incarnatiou
de Notre-Seigueur
railieu
de rofficc, et
il
leur
sur sa
* ;
fit
il
et les
desert du juste
le
troupe qui venait impetueusemeut
eux, avec de ferventes inclinations (geuuflexious)
au
enflamma
ce que cela pouvait etre et quel etait leur but.
mechant Nestorius?
Quand
pour Naboth', ä s'occiiper du meurtre
fait
la
comme un Ils
dirent
hutte et
il fit
et,
il
:
n
va
roffice avec
les conduisait vers ce
enteudre la doctrine sur
nature eternelle qui
n'est pas
io
accessible ä la soufTrance, selonlapredication apostolique. Tandis que ceux-ci ^taient dans l'admiration ä ce sujet et entendaient volontiers ces choses,
l'interrogeaient encore au sujet de Nestorius et venir.
Quand
enseignement
ils
se furent ainsi recrees
III Ruis, XXI.
leur confirma qu'il allait
trois fois ä la source de
et qu'il leur revela qu'il etait Nestorius, ils
ses pieds et le supplierent de I.
deux ou
il
ils
son
tomberent aussitot ä
demauder ä Notre-Seigneur
d'avoir piti^ d'eux
u>
XXX.
[93]
—
EXIL RT
'voou^o o-sIoI^jl/ ^^|^oJlo
jJio
)-2l^ o6i
.)->i./o
^^X^/
^'^is-i»
o(.:ia^
)-au^ 00(-30 .U/o
I
|ji;aiA
MORT DE NESTORIUS.
581
^;
ooi .|JL.f_o )jV|^
y.\^
«°>^1/
,\n\
^:^ |.-a2^^ )_.^J^^ju.^
^o .vJ^
^^&^^
"vN
K^)K^/
•>
l-^c
-J^op
oöts |K-.jlj/ )la_i,_a^io
)i-3t^
)
ou^ po/ ^so
.^ca^ia^.flQ.j
)oi«
u^tf
t^
^'^ISlCO^
)-^t-^
Ol^oJ^O -.^'w^;
lu
^j/
loJS. ^CL_0
confesserent qiie c'etait bien la vraie
ils
avoc
lui
aux saints mysteres, do
doctrine.
II
meme
foi et ils lui
OOI
^O
)-^V^iO0
.vASlJ
la II
renvoya.
Ils
superieur pour parier avec :
«
de
de
ä cliacun devant le tribunal
lui dil
demanderent ä participcr
qu'ils avaient regu
lui la veritn
etaient portes ä mettre Cyrille ä mort, mais le
Saint ne les laissa pas dans cette pcnsee, mais
il
^^1
accepta, benit TEucharistie, et tous communierent egalement.
les salua et les
il
leur rappela qu'il serait rcndu
du Christ. Lorsqu'ils s'en lui et,
comme
il
allerent,
s'attardait
il
garda leur
dans sa conversation,
Laisse-moi, afin quo je n'arrive pas trop tard pour prendre
radeau qui passe mes compagnons. Vi
^
^^«_LD^siO
In iiKUg. >Äaa.;^3.
1.
ä
6u^
..j-SL^jl
»
Et Nestorius
radeau se detache de ce cöte et vieut,
et,
sans
le
lui dit
:
«
Voici que
concours des hommes,
le le il
se place pour toi de ce cdtö. » Et, tont cn parlant avec lui des choses necessaires, et le
raccompagna jusqu'ä
reurs'
»
—
vint,
qu'il se plaisait 1.
du
arriva encore qu'un patrice {Patnqts)
comme
naviguait sur un navire,
en
la rive
fleuve
;
le
radeau se detacha, vint
mit de l'autre cöte; et tous etaient dans l'admiration ä cette occasion.
II
15
il
il
fut saisi
;i
palriarcliP, v.
«
de l'empire.
par une tempete et
en cet endroit pendant
de l'arabo 0^/=-.'"
signifie k pere des
courrier, pour les affaires
Cietlü liaduclion correspoiid plutnl
efTet
— ce qui
(|ue les autres
pMlri;ii'rlK' ».
—
Oii
li(
il
descendit
rcparaient
on margo l'nlrih'is
le ipii
empe-
Comme lä.
il
Tandis
navire,
il
>c fappi-ochc
:
-
BARI.IADBESABBA ARBAIA.
582
[^1
).>o;
oi^
V.-UL3
^.U,
joiSs
-J
oo«
^ouK-/
U^iL» ^*oi-J^t_ioo jlp.
o/
_y-V^; -Vio/o
joCi^jJ
..
[9/.]
^ou>— ; ^ioo .jiKi^j ot—ios
)~»-.^Ä o«-^|jio .Jj^-ÜL^ oiouiKJio
^
IIISTOIBE.
y/o ;jlaT\v>'>
p (-^
-^tvi o .
lo^
y^>o^>10
In
.0
f>tN.
\
»•,
wOiaio^ 1.
)jO(
.>ö._ia-*
-s
^=!^,.aJO
,.30
).>o^n-> OMiio
.'"%>i
o^ooi»
.v£Ci^ia-^_cQ-J .JJLS
-.^Z
'*>iaji
)ju,hO;
o
>
\ IK^
.
>J
oiioA j^o«,-^ .«--^J/
^s;
alla pres
de
la hutte
de l'cxcellent (Sestorius).
Ouand
il
l'eut,
vu
et qu'ils se
Quelles nouvelles y a-t-il dans l'empire? Les Eglises et leurs eveques sont-ils enpaix ou non? » Le patriae lui repondit l'empire et l'Eglise « Depuis quele perturbateur Neslorms a quitte l'Eglise, tout
l'urent salues, le saiut lui
sont en repos. Inl.
1
fi4
«
demanda
«
:
L'illustre repondit
:
«
Le Seigneur
pertc de celui-ci, l'Eglise a trouve la paix
»
;
puis
il
de ce que par
soit beni le iit
asseoir
*
la
5
pres de lui
Notre-Seigneur depuis sa et commenc^a ä l'instruire sur rincarnation de conception et sa naissance, jusqu'ä sa resurrection et son ascension; quel est celui qui celui qui a souffert, quel est celui qui a ressuscite par sa puissance a souffert;
comment
la
l'instruisit aussi sur la
entendit ces (paroles), solitaire et
il
il
cause du üouble des Eglises. Lorsque cet
dou sublime;
n'auront pas ete sans profit pour nous. celui qu'il avait vu. Ceux-ci dirent
que
c'est Nestorius.
lui; puis
d'admiration, louant Dien et disant
qui m'a dirige et conduit vers co
:
il
homme
«
»
Et
il
il
:
retourna pres de «
Beni soit üieu
cet orage et cette
tempete u
leur raconta les instructions de
Si cela ne te fait pas de peine,
apprends
»
Lorsqu'il entendit cela,
il
10
d'admiration pour renseignement de ce
fut renipli
demeura uu certain teuips pres de
(ses) serviteurs plein
la souffrance;
nature de la divinitä est au-dessus de
fut aussitöt saisi
de stupeur,
il
retourna ä course
.061
)
I.
VI .oi-^
m
n
cur,
)
tsj/
.
o(K^f_A.
)_io
oi^ h^l >..•>»>»
va-jl^JL/i
wk.*/
lui dit
Ce
saiiit,
:
«
^^ Ool^
.uh^
^-
'» .
ff)
JJj
m
s
.
n
.°>/o
ww^ji/
1^-.
%
^;
.y^^
/'
.
Na°>i<.o',,^»
)»<^jlJ
^/
^m-.ia^^jcuo
001
.^^ot
vXQ_.jo.^k.£QJ
y^
|N-X^o K_»..a^
jjLSOio
.vm
iV-'V^ N
jJLw^^ o(!^
o^s_^ ^>f_oio .jla-ai-^
^••-^
-.v^ sn\%
)oC^; .ou^
oöi
'•''>« «
001 >3/;
1
.oj^ ^.io/
n '^ )^»-W
.|.xii
jcta sa töte
fidel(^
Quo Dieu lui dit
pour Dorothee,
que dit
c'est «
:
Tu
—
lui
« S'il
:
^
.y^öi )VfA
)j/
y
.Oi^
^».Lo )j/; .oi\
jla^^a
^.si
•> --;
'^ -
t^)Lsu.v^o
dans
la
poussiere et se prosterna devant
lui
eu
eveque
est vrai
pardonne.
»
lettre
mo pardonne aussi, parce Nestorius, commc un proplietc, lui
n'as pas besoin de lettre, car tu ne le trouveras plus en vie. » 3Iais le
(cet)
priait de lui faire cette gräce;
ordre
m'a pardonne
:
«
et t'a
la lettre
lui
fit
donc une
sur son cöte et dis-lui
demande de me pardonner
sur un cheval de courrier,
comme
il
lettre et lui
Lorsque tu arriveras, tu trouveras quo toute
d'uue lieure chez les morts.
tout
te
que tu me pardonnes, ecris-moi une
jete en exil'. » Et
conduit au eimetiöre, place
fit
—
qui aime ceux qui se repeutent
de Mairianopoli.s, afin qu'il
moi qui Tai
patrice
donna
il
l^l^t
)
suppliaiit de lui pardonner, si c'etait possible. Alors le glorieux IScxforins
le
'ö
«
I
-.Ol»
y
n -M O
>
iK-B
001
I
marg. i-ooaa>;^.
auprcR du
le
joij
kOOJXH Kj/ ^/f
..owpwQ-flD oöt )t-3L^
In
7^
)ooi «SLJL3]^.:bo
oiJ>
1.
1"
o^
jo Nfni;
^^^~W
583
S
v^ o 'tt
^^w^..^ .whX ^pg 1
-Ui-^/
]J
)fOi
f-XCDo .o(A
5
V^^
^a.a.>CT
V^/o .s^ 10
lo^
l—ili
MORT DE NESTORIUS.
EXIL ET
cx^ p6/ '^-^
v£Qo)l.f01
0,1
.)L.ia-CQ_3jJ s
—
XXX.
|95]
il
»
etait
Ton ami
aussi. Dis-lui
Cet hoinme quitta ses afTaires
trouva tout
commc
(Npstorim) le lui avait dit
que Saint Nestorius aussi
:
mort
la ville le
que
Nestorius
je le
precede
et partit
en bäte
cela lui avait ete explique,
et, lorsqu'il
s'infornia,
il
trouva
-.
(ite exile ä Cesarce de Cappadoce. Lupus, eh. cxc, n» 279, p. ;i77. Tiiiiothec ^Elure que Dorothee avait accompagne Nestorius ä l'Oasis, « de sa propre volonte «, P. 0., VIII, 83. 2. EutyNous avons d6ja dit quo les recits de Timolliee meriteiit peu de credit, Ibid., p. 77, notc 2. chius, P. (i., CXI, lü33, dit que Nestorius est rnort « en un endroit nomme Saklan, ou 11 fait telleraent chaud que personne ne peut traverser durant V61& la vallee oü il a etö enseveli ». C'est sans deute ce Saklan (Saklaq?) qui est devenu Taskliqa ou Korn esch-Schaqaf dans l'hisloire (legendaire) de Schenoudi, cf. O. de Lemni, dans les Mimoirea de l'Ar. imp. de S.-PHersbourg, niai 1899, p. 408-412. 1.
a
Doiotliöc a
L'cril
—
RARHADBRSARBA
584
roi.
—
'ARBAIA.
TIISTOIRR.
[96]
i6'i
V
ou:a
jJn
jooi
-J.
^;
-n.
j'^'^^ ^XLA
fjaid
.^^^\ ya^'^o
V-iö/o
0.-1/
t—«
).x^-...VV»
*'f>
»
^-^^
jla.^;
1
Kj/
yoooijj
.°>/
po
)!/
)-s'j
^oia_^Vl^s>do
.-oiou^jJ vfr>.°>M
'^
.äjloKj; .01m
otoik^JJ
-.j-icu-V
.
^^ 1^^ yN N o
t^o .)lo^o
);oi
jJLStsJ;
Kj/ ^/ -001
.0001
.»..oio
.
.|i-oKj ^oiol
j-^unjo^/
yj;
oCS.
y
•
^IsK^ p
V^/o
^^
''7-^ VI"*-
V^®'
yOO(J^ oot-^l ..0110
JISwOlA^
s*6i
Axitre pro(li(/c
les habitants Icil.
v°.
lü'l
les autres'.
:
Un
roi
toute Tarmee
ils
li\v>
^;
.
JlQ-ioo JJU. yo-i/ oi-^^!? I-V^
n
*
vint,
nvim-»i/;
^^o
.yoot v
I-o^;;; oilaSj;
mN o i
I^i^^doiV^j»
barbare amcna son armcc et reduisit en captivite Nestorius, celui-ci fut
qui suivait (le roi) fiirent
*
l'ait
prisonnier avec
aride, les prisonniers et
accables de soif et
im homme qui connaissait
ils
frappaient aux
Nestorius le signala au
V a ici un saint qui peut prior son Dieu et nous sauver tous de la Lorsque le roi entendit cela, il le fit appeler saus delai et, lorsqu'il Uli demanda de prier son Dieu pour qu'il les regardät et les prit en
» il
pitie. L'athlete (äywvKjr/!?) lui dit
aussi pitie de tes prisonniers. » nie delivres de la soif.
»
Alors
Si tu
«
:
Le
veux obtenir ses misöricordes, prends
roi lui dit
le saint dit
se mit ä l'ecart, priant et disant
:
«
:
«
Alors un fleuve
Lorsque vertu
le
jaillit et
roi et ses
(Tuapä-floiüc)
de
Nestorius.
cd
de
« .Je te les
Que chacun
donne tous,
la perdition qui
abreuva
lä et
les
du juste
et la
iucideiit, el Evaf<^'iu^^
rtSdaction est legendaire.
l'a
les
si
tu
lui-meme
prie », et
la vie et
etreint.
»
captifs et les voleurs
troupcs eurent pris plaisir ä boire,
la priere
Neslorius a racoute
La prösente
sortit
:
Seigneur, ä qui appartiennent
mort, arrache ces Ames qui t'invoquent ä
1.
-»
%»Jj.jx>
.oioC^;
001
1(1
« II
:
mort.
la
)
.jjL^t^ V-^/ ^'t^OlO .jio^oi^.
marchaient dans ce pays
portes de la mort. Alors roi
I
du pays oü demeurait
Comnie
sJUL^wS;
j^JLaju^ )»^
\'.'« «iO
l-^w^tJ
6(V-d;
|J^
a.Vd 0010
OUlSuI
ils
admirerent
la
puissance de son Dien. L'illustre,
ivsiiin.', //(,s7.
crcl..
1,
7,
d'apre?
la
relalion de
10
;
.0061 ^^-ii.^
ocHj
N. r
>
jtoji
«
o« :)»a^j
^->
^;
. !<-,
001
),
-^'^
^'VM
)jl3ü
r>-^ 01^ i^Ao
«
»
i
585
N'^
^a-^U/» )tOS^
P
\a2)o .)-.rl~
)»-./;
o£^ 0001
j;^^'^*^ V-^^ 1^° JkbJi^o J^Q- ooC^
s-oia-sNi»
iK^
o»ia_io
ov^j
.oJl«. ^cQ-ia^^-flOJ
omlSJ
.)j,°ii>n\
^-iL^o
)_ioi
^Kjj
))^*.X^^1
j^.^^ -ows
,-io/;
-;J^/
)—jJ
,.ä3 vä)qjlj..^Oi^o
)t-~^ioj
«ot
oi1cl*.3V-»?
•.^coqjl.-ov^o )jLia-.o»:ioo
)jls»oVo s^oiox iL»^
^
oCb^
«xdojouq-co» wOtaikjo/o -o;^^^;
vait eusuite aller d'aller
On
Les
les captifs pleins de joie, et cliacuii retounia cliez liü. qiie l'exile fait prisonnier, s'il
Komains ordonnaieiit oü
il
voulait
;
lois
des
pouvait s'echapper, pou-
cependant Nestorius ne se laissa pas persuader
en im autre endroit. raconte encore qu'aii nioment oü
faisait la priere habituelle et roffice
il
avec joie; son visage s'assombrit tout ä eoup et il se mit ä pleurer; quaud il Pour out fini, il g-emissait. Alors ceux qui etaieiii avec lui lui demanderent :
quelle cause es-tu dans ralUiclion et pleures-tu?
Hi
» II
leur dit
:
A
«
<(
cette heure,
l'äme du malheureux Cyrille est partie, sans qu'il se soit repcnti de sa mechancete contre Dieu. » Les autres ecrivirent aussitöt le jour et l'heure et lorsqu'il
passa un couirier
et qu'ils
rinterrogerent,
meine que Nestorius avait indiquee
'.
Apres
aussitöt Nestorius ils lui
que 1.
le
* .
Ses amis et
envoyereat une bete de concile cecumeniquo
S. Cyrille est iiiorl le
plus. Peut-etre
bile est d'accord l'.\TR.
mort de Theodose
la
sur TEfflise, le victorieux et fidele Marcieii lui
«
:
ici
OR.
lui
'.1
juiii
V'i^i.
*
les
grands
somme
T.
tant de
lui ecrivirent
et tout le
29juillet 45U.
et
—
:i.
maux
IX.
—
F. j.
cf. /'.
le
Jeune
',
par
avaieut fondu
ordonua
^
de ramencr
d'accepter de reveuir
necessaire et
ils lui
apprirent
quo rempereur, que cela
Le texte sembie purter un noiii propre en '*. La Iradilion jaco(et) ordonna ».
succeda (avec) Valontinien iVulitiiinos)
avec la tradition neslorienne,
—
el
succeda
avait ordonne, ainsi
—2.
mort ä Theure
dit qu'il etait
il
de qui Tlllustre avait ete deposc
la faihlesse
1.-.
»
l'ol.
r.
emmena
5
.o^^oo^
^^o
I
.^»>^;«>
)a\.^oo l,-a3
)oo(l»
.|»o«
MORT DE NESTORIUS.
tmö VI
-vj«*^ i-^/o
)?«»-»?
vxa-^Ä>»)l;
m
ofcol/o
^j
)
>xao -.ji^^ "^i- JLä—
1-0^)
,\
EXIL ET
).-^iooo»V;
^io/ ...-010^)^0
«itjsj
111
—
XX\.
[97]
—
0., VIII, 76 et 83-85.
39
llw
ARBAIA.
BAUI.IADRRSABBA
586
V^/o
.jjLOot
jjUJL^o .oi^X
Viiw;
^jNjLio
)jo«
)
vim
«nXsAX
jL^o
iv>
>^oto
vm
.
[981
«ua3 0,^0
H iot-3 JV-^c^
.w^
llosiono ^;
jjujiä.
»^
}-s»a-*;
)t"
^io
^fla-io^aiJ
°*^-J^ wuoj )l.ai-.
.«Ib.
K-.ij )KJL-ai>^ Q-o)!/; .)-^ci-^/ ^_j_«a-o
.)-.»oj
oiä.;o/o
HISTOIRE.
'^jfcsjLio ^3 ..JLiCL^I^
U:s)-3j )JLc5 )JLj/;
;N.ai_s N-i-,,Jo "«Si^
^
'=^vi\;
.)t.
—
n
o«
^^-3
.-,
)_JL-3;
^
,;^?
.oX^
JJ /
U^il
10
I
t">
f.
^-otXa ^-;
eüt Heu'. «
La
^-oS)
Mais Nestor ins repondit en refusant de revenir
solitude, dans sa desolation,
plait, et
|v.jo-N i.^i. J.-ia-flQ.jJ-s
.^-.Jli
me
Tentretien avec las animaux
en rapports
et relations
avec les
litiere (A£)cti)ciov),
häte. Cyrillc et Jean
associes aux le
il
meurtre derriere
la
(fds)
porte
force, mais,
quand
:
me
ils
present'.
lui,
et avaicnt
le
»
l'eurent mis sur
son ami, cliarge de iatigue
morts avant
de Servia,
Lorsque
'.
dit ainsi
rejouit; le desert, avec ses fleurs,
alla vers le Christ
embüches des
il
J»i)-so
m'est agreable, raais je refuse d'entrer
Intioclie etaient
il'
et
hommes mauvais du temps
L'empereur ordonna de ranieuer de une
j-floo/»
et
en
parce qu'ils s'etaient
commis uudacieusement
patrice iut de retour et qu'il eut
raconte ä l'empereur les prodiges et les manifestations que faisait Nesloriiis, Fempereur fit revenir aussitöt tous les eveques qui avaient ete chasses en exil
avec Nestorius. Nestorius demeura trois ans ä Constantinople'' et quatre ans ä Aiitioche lorsqu'il revint d'Ephese'\ il fut en exil (e^opfa), au pays d'Oasis,
(s^opia)
durant dix-huit
ans''.
Toutes
les
annees de son episcopat sont (au nombre de)
vingt-einq ans. eiitendre que rempereur reunit un concile et pul avoir l'idee d'y convoquer Nestorius I. II laul pour lenler une r^concilialion de tous les evßques sur une formule qui eondamnerait toutes les erreurs 4. Avril 2. Cf. lieracl., 5'20-521. - 3. Cf. II Rois, III, 27. denuncees par les uns et par les autres. du Cyrille est 23 avril S. et de d'Antioehe de Jean l'accord car 434 ou 435, 5. Aoüt 431 u 428 a aoüt 431. est 433 et les eveques partisans de Nestorius onl (5t(5 exilös avant 435; cependant le decret de Theodose pour commencee annee une G. 435-453 (ou 452 en comptant de juillet-aoi"it 435, Labbe, III, 1210-1215. un an). II est plus probable, d'apres les röcits suivani lesquels il est mort en se mettant en roule pour
—
—
—
—
venira Ghalcödoine, serait
qu'il est
mort entre
la
convocation
donc conimode de compler de 434 a
451.
et la
reunion du concile.
soll
vers juin 451.
II
10
•'^^-^-
[991
jKjQJi£tia_s
ooi
^-J^;
^/o
—
''^^^•^
^^^
MORT DE NESTORIUS.
.p^,»» l-iJloo vja-.?a-^
ly.i CO ^Jso
yoo«.«
Hto..
o\
..
m
v> /
i
|Jo
),.i
.»o;
587
|^SÄi>Ai
..|ja,^|»5 )j.. y
nX
Teile est l'hisloire de saint Neslorius et des helles actions qu'il
uous ne
l'ayoiis rucontee
de l'oppression
qu'il subit
de Cyrille, pour briller les saints
qu'ea abrege, tont
de
la veritö et
dans
le
la part
le
(äytöv)
fit.
w«jJ»
061
Bien qua
se rendre
ia foi
compte
au Christ. Dieu, qui
fait
et (grftce k qui) leurs peusees n'oublient
pas Tesperance ä venir, nous gardera aussi par leurs prieres daus
Amen.
);oi
des rebelles et des impudents du parti
rattaclu-ment a
combat
monde peut
v-oi
les siecles.
«V^j ^^;
K.*^>
I.
oöi;
Puur
.j-.^^"^
t^/
^^T^!
^oto'^o;; )K.*iwAl
|e>^*P-
XXXI. etait le
)j/
—
—
)iöt-s/
^pö/
V;-^o«? vOO«loilS.J-io; )K.-J>^JiK^
K-.^io,-oo .j-oöi-aLio
vo'o«-.il3aA;
).ioauk^
l—V' Ms.
i.
Histoire du bienheureux clefiint
Mar Narses'
;
d'ok
il
etoit et quel
mode de son enseif/nemeut'.
Puisque nous en sommes arrives
par
ici,
le
secours de Dien, uous n'omet-
trons pas maintenant l'histoire de l'excellence de nos saints Peres perses, je
veux dire
les
bienheureux Mar Narses
et
Mar Abraham. Bien que nous ne
soyons pas capables de tresser les couronnes de leurs le
—
manteau süperbe de leurs perfections. nous de leurs bien (jue dans un style simple
—
compagnons, pour ne pas ini-
165
Racontons d'abord
rapportorons celles de
Mar Abraham, son
Narses, ensuite
amitie et en souvenir de leurs helles actions, de peindre
I.
Le syriaque /'.
6crit
Nar^ai. raremeiit NarstV
0.. VII, 114-115.
—
2.
'
nous m
Les hommes ont coutume,
lorsque meurent leurs amis et ceux qui les ont eleves, selon
rU-nnv.
parmi leurs
eclatanles perfections.
du detunt Mar disciple.
Ce chapitre
est
;
de tisser
cependant memoire
belies actions
ötre ingrats envers leurs
l'histoire des actions
v°
i'erons
actions et
itSsunie
le
vreu de leur
Timage de dans VHisloire
leurs
iieslo-
XXXI.
[lOlj
jK-o^ )..,^^3Kio
«pö
ySi
^po«
HISTOIRE
.IV »V^^ Ho.^; yOj/ yOiXOJO
°>.\
IflL
—
.•|i,viv\m
-1
»
589
)..^eL^i yoio«J
.yOOtj>.l^^>>0<
jlo(H-.^.m.-^
•.yOO«ta_«..iOM
.wtoio'^iao-jii
MAR NARSES.
DF,
«
.yOoilVo.;
-»;
JL^t2^3 ^o,.,^ Ji-so^ K^^f.^ H^^o;
^oC^ K^po ^^oio
.).y>.;L^.ji
)>^Vo
m^
)
.-JVSOA vi
^'/o
•)-'><^>-i;
^.A^f^ ^oC^
ami? avec de riches couleurs sous des aspects de resplendissante heaute gardent ces imagps qui ont une oertaine afTmite avec
ils
la
fo/
«^
forme
(cy^u-a)
;
et
de
leurs figures, afin, par la ressemblance de leur portrait, de diminuer la doii-
leur de leurs amis et de refrnidir Tardeur de leurs esprits par les pensees 5
qu'ils
eil
ont.
Nous de meme, au
ornons notre langue
muettes,
et
lieu
ile
portraits
morts
sanctifions uos levres,
et
afin
de figures
de peindre, ä
Taide de notre parole, l'image louable des actions de rillustre dans les esprits des amis de la vcrite. la 10
Comme
couronne de ses belles actions,
tive de
Tentendement
couronne)
lui
devienne
que
les
afin que, saisie par la
et liarmonisee Ic
fixe,
traits.
grandeur par son
II
est facilc ä
son esprit ses diverses particularites
et
la
maniere d'etre de l'image
un homme de de les
fixer
l'art
nous ne dessinons pas une forme et
(cette
et la
de retenir dans
d'abord avec de simples
puis de les garnir de couleurs qui puissent moiitrer les diverses appa-
rences de son aspect. Mais nous, nous ne peignons pas une
pas
esprit,
ce nous serait plus facile ä faire, parce
rayons visuels nous eclairent snr
convenance de ses
traits,
ä sa
puissance intellec-
port pacificateur desire par son affection. Si nous
avions a peindre une image
15
une figure de pure beaute, nous tresserons
une forme qui surpasse
les
fixe,
image
visible,
mais une simple image qu'on ne voit
sens du corps. Ce Stratege intellectuel est
BARHADBKSABBA ARBAIA. - MISTOIRE.
590
.Jt^J
Ot,„DQ-.
•.^Oi^
).«.^A^
fol.
166
)joi
l^fJ ^/o |;ou^ )jo«
^
vs/
)-s)-Jl
1.
jJ/
.öi^jaioj
.oil^ieoÄ;
:)i^?oi
^6«~»j/
)K^^-
.JL»0{
jJ.'
)--=>V
^
JouSi^;
)l
^*^
|^^X>.;
)t^ K^»
|joi
oi!^-^«j
oiK^oo :jbo
'""'»-^^io
^/
'"'5&jl\
.-ouio )oouiaA ^K.i.
jjiio
^jo/ oits^jt
|^oijK.ca^o öjN-»^aio ^*iaj.
^^;
j-io
)LSuS.-.aji
U-Ä.^^^; )t«_w^U |_i^jlK_io ous;
,-».Js
^V*30t
i.JuJ^=>
IIoaV.^; :V^/?
|lo
.)K.^wio^ öiIqx.oid ».-^ |JV— /
)jL3oi
yO0llo»K.*.iCL3 o;j.io\
.jflxJLS;
oilo^iJ^^t juoj ,^^o .jL^\o;
^agjL j»
^».•^3lJ
^t yOf^
\'dl
.y.iyKjM )^pO; )I*,i^iO
^^!%s^O
IjOi
jJ
CH..3a-«
K^i^.^_NO ;
|
oi=2>.Jia->*
)t-xiio
)ju,».Ä
"^^Ib.»
'«vms/ ).Jui^;
)-^iK-j*
^^o|.:io i.i
^X
Joch s-oioK_/
«.iCLAO
^
''^iSw^JiO
[102]
-
•>«
o(.A<JSJi^ )pö;
^^^Ji.
JJU5)_»»
f^
«öu> -t-a^ )jl.^
Ms. om. |tö^vo.^
touche par
la
connaissance de l'äme,
tions de Tesprit. aussi
rorps, de saisir
la
est atteint par les (seiiles) considera-
il
ne nous est pas
il
cause de
facile, ä
la
pesanteur du
porfection des vaillants. Mais la charite du saint s'eten-
dra ä tout, et enflamraera notre esprit pour que nous racontions,
si
peu que
ce soit, de ses belies actions.
Cet
homme
de Dieu
Des
'Ain Doulhd.
le
sant, ä s'abreuver •
fol.
166
etait
5
du pays de Ma
altä,
son
temps de sa jeunesse, sa pensee
aux saints Livres. Rien qu'au temps de
et
I'if/norance sont vaines, et
du desir du corps
et
de
la
:
L'enfant
chaleur de sa Constitution
'
,
croit
'
le
du sage, qui
le
cultivent pour
dit
:
commencement de
mür
-.
de
meme
sa croissance, fertilite est
sa croissance" future.
Ce
il
se
de bon
saint en
fit
autant, car ä l'epoque ou Tesprit de beaucoup est mis en mouveraent par les
passions de 1.
Piov., XIV,
la
jeunesse pour errer a
15.
—
2.
Litt.
:
(1
son changement
la suite ».
lo
ce Saint cependant montra
bäte de fournir de beaux bourgeons, parce que sa premiere
augure ä ceux qui
jeunesse, les
ä tonte parole a cause
aussitöt ce qu'il en adviendrait de lui lorsqu'il serait ä l'äge
qu'un plant se signale lorsque, des
la
nommait
en grandis-
le .poussa,
voies (Tä^K) de la raison soient troublees, selon la parole
La jeunesse
se
villag'e
des vanites dans lesquelles se
15
.
XXXI.
[103]
—
HISTOIRE DE MAR NARSES.
t-s)-^ yoot-^j ^_io mUla
l-^V^',:.^^
y tr^^t
bocu») i^f .,^Ot JJ-SO^
o»K.na
^^^
oot
t»s
pÖ/
joOl
-.l-iop
jj/
)la.2L.aLJ .|-^0i;
p
^«^/
|K.OwU;
Iv^ol^;
:^..,.i
^Ö(.j>
^^Ow •.j.söu ).aA\jo
)jLm
complait
la
,»
v>
•>
i
ot >
qi
|l<x^^^jL
^«
y^p
I
^^^
m
,
mouvements sauvages
d'iine
^
•)t-*V*-
«
m ^o
^^^«/^
•>;
)la.a..B,^>
^^
u.^>ooi/
);oi
^^
jeunesse pour marcher dans les sentiers de la vigne,
s'eloigna de tous les
•>
'^oi
^oi2^3
i^'
«
0(.^^>.30
:)ln'^>'
)K..^U :)oC^ lo^
>Sw.o .jt^x
)i^Q->
ou^o
l-«^^''^;
^^o.
.K^|jLA.bo/ |oO|
OrfOOl
vax.>a.\ ycu/
joi^jl
)J
)..mOm
fO-^cu^«
l^iU^ U--^i
3-1;
oi,.iL
o
ölt
o^ ^^ jK^^^S
)jLO
.jooi
|_a.Jl-o
«.^..JaLA.
^/o
jlÖlf o6(
.wwkJf
^;
591
aussitöt,
lui,
jeunesse fragile,
s'öcarta
il
des ornements elegants, des voluptes et de toute distraction terrestre.
marchait constamment dans s
Timnthrc.
pour
possession de
la
In loi
du Sptgneiir'
,
!ni pI,
durnnt tont
In
et
il
la
le
ment dans
le
dur joug du
jeiine.
la
champ
spirituel.
11
la
chair est
s'appliqua k rendre parfaite
Ps.
I,
2.
—
le
2.
J'ai
la
Cf. Ps.
cxvm,
la
(six.Mv)
commencement,
possedait dejä
In
purete,
il
aiim
ta
qui rend
subjugua
douceur
la
constam-
avait appris de ses
chair ne peuvent pas plaire ä Dieu, pnrce
Fennemie de Dieu tandis que il
la
pensee de
s'eloigna de toutes les voluptes et
volonte librede son
70, 77, 112,
il
qu'il travaillait
savait parfaitement et
Fesprit donne la vie et la paix, aussi
l.
II
gräce au mepris des voluptes, tandis
pensee de
:
jour. rlJp faif liibjel de mrs uirditatinns'
maitres que ceux qui sont dans
que
meditait conslcumnent
bienheureux David
semblable au veritable prototype, lorsque, des
et rhumilite,
//
:
bienheureux
le
encore plein de zele
etait
modestie venait c'ommi> une illustre image
cela, la
le
il
parole du psalmistc
selon
scmblait dire, avec
son Ame sous
lä
perfection,
la
comme
la perfection,
la doctriiie divine,
Apres 10
Avec
de
le cercle
II
äme
intellectuelle, et
il
comme
»
BARHADBESABBA
592
-
'ARBAIA.
IllSlOlRE.
[104]
Il
^U
^^oi
lo-Su^i
:)KjiojL^
.)^^V^V^
)i^
lio-ß^
^^ y^l
^
)]S>Aj
!.
Itv^M Ms.
_
.|j/
jj/
Cv.!*;»»
-1.
f^b.
|j/
K^/o
>
.
^«
|o> ^f>^
^^^s.^/
jooi
-^
i
:vOOi.3
).^>.A^^.^ J^jKjiwO
'^olS^lt JLmL.K^ N^)_jiot^o K_.)j|jt
jjüfiD;
-.l-'ioU;
t-^^-^
a-^jl^^:>o\
'^h^^i'ol
i-^t-"^;
vOOiJS
)?^
v:^;
X-'^^''-?
h^lo .)»\o>o K^Ijlqjl^
s^frs,.:äo/
jlo-^^sjL^ Io-Sl^
jL^SÜ
l^^-L^;
|^»^m
)j^/ JLLm
v>;
».ho
| ..
Uo^
^K_jL«^^; ^^^^o/
.-öuLA^t
Im*)^ oi^o
.)K.^L^^;
jJo
^Ol^uOdI;
ILfiOa^oJ;
^:)e
),.Jl:s
15
Ms.
notre äme, dans cette vie temporelle, est formee de deux puissances, ä savoir la •
foi.
166
'
pensee intellectuelle la
et la partie passionnelle,
science de la theorie
(Öecopi'a)
par cette premiere partie
court accomplir ce qu'elle peut naturelle-
ment recevoir dans son excellence; par
cette
seconde partie passionnelle,
(Fäme) engendre ces deux autres puissancep qui ont coutume de se moxivoir avec passion, parfois eile s'en sert selon Tordre fois
en dehors de
la verite,
(Tot^ti;)
d'apres son libre arbitre.
II
5
requis, et d'autres
s'appliquait ä diriger
ses pas d'apres le premier motif, car toiites les fois quc (Fäme) s'en sert de
maniere impure
et
mauvaise,
comme un animal
sauvage,
eile
dessous) de tout l'ordre (tä^k) de sa nature; mais quand eile a travailler avee leur aide
la
(en
force de
m
selon la justice et la prudence, d'apres son vrai
echappe ä toute Opposition du temperament
libre arbitre, eile
tombe
et
aux passions
charnelles, eile refroidit, par sa purete vigilante, tout foyer de brülante passion, eile vainc, par la puissance intellectuelle, toutes les
de Torgueil, de
la colere et
Maiiitemnü
/V/«/
;
ihiiis
ina
elifiir.
(hnic je suis,
d'une cyniquc audace,
par
je suis Je serviteitr
ni«ii rsprit. Je
ile la !oi
mauvaises troupes
comme
servilen r
ilc
l'a
la loi
du peehe, je ne fdis pas
note
le
divin
de Dien. mais. ee (jue je
veux.
15
JiQ^..^jL3o jl'y .)jL^^
\
—
je fais le
Corps
et
i-ii^
|,oi
U*^/o
..2L.K.J
It^^?
MAR NARSES.
JJ..:>a f>
')-'*-'-'/
l!®"
\^\
jloio
.-)i^öf_-.o
\
)t^t-Ji
co»
vd/
\SmO oC^O
jJ/
593
•.öUÄJo.flO»
^~.)JL^:^/
^7* ^^i )'^-*^
toJS .-^-«^oi; ^©»J^i^oj
oöi
|-j,_J3cLd;
.
''^J»
1'.
MISTOIRE DE
^,
^_^
J^
joöi;
s>(oo/
\a:^l Ms.
mais
^n
jKj.-^
|^sJlaLJu^
-'^ •^'«;
-
öwo«.^ ^^'°'
.ö
I.
—
XXXI.
[105]
.)VQ^>~flDo
\j,\.^o
.cH.iociXOj
).,^a^o
.K-.)_.aA.
JV-^o«;
U^^
;Q..,».>va
);oi
^^^oo
)_i>.a^k3
ol^
Ms.
mal que je hals
'.
II
autres celles de l'äme
:
montrc par
celui-lä, ä
lä
qu'uutres sont les choses du
cause de l'opposition de sa cons-
fitution, de l'indigence et de la cupidite de son 6tre, est constamment attire
vers les choses contraires; celle-ci, au contraire, par la subtilite et i
cite
de sa substance, est delivree de cette necessite
(ivdcyif/))
medite constamment, dans son intelligence subtile, pour faire
simpli-
du corps; les
eile
choses dans
lesquelles
se complait cette essence raaitresse des beatitudes, qui dispense
egalement
la justice et la
ce qui lui sert ä monier. 10
la
convenance, 11
et qui dirige leurs
est evident par lä
que toute
la
raouvements vers conduite et
la vie
commandements purifient la partie passionmouvements et les puissances secondaires de concupiscence eu les empechant de se laisser empörter
(passees) dans l'observance des nelle de l'Ame, c'est-ä-dire les la
colere et de la
jusqu'ä depasser les bornes qui nous ont ete posees pour user de
la
vie
du
monde. La conduite de
\s
la
theorie
qui a pour charge de purifier
pensee intcllectuelle a des 1.
mouvements
Rom.,
vii,
\.<.
(Osojpia)
la
*
divine est cette autre partie de l'ftme,
partie principale et elevee, je
et Tintelligence critique;
ä l'encontre de la nature,
il
veux dire
r'
la
arrive souvent aussi qu'il y
uon seulement mecaniques
* foi.
et
i67
'i^jltoo
)J0I «-.Ol
)
)jfcs-j|_ia3
^^
nwa,^
»j :);va;
^*iooi/
)^
-.w^oi;
11^.-«^^ )_)o)l;
Iq.\ <x^
|.ioo»
w
o^^v^
jLu,
j^Ätio jlo),
j.^^
|_i^l; )xsj_3 -.oixaj; jLJS;.^ I^öj
y^l
\s.^
,)L.;o)l;
to^jU/
"^^^x^x^:^ |ia.ÄjL-:.
).JOt
^;
laa^
^o
^^i.*:;^.!»
.jla^X^;
^-ioo
5
U»v_äo öujQ.-*Xj5
^o«^ 1^
1^^-^'
Ki>wj;
jotSs
^"^s^ioo
>»..-;
s*oia«0;l;
Ho-^!
:lKjs'^
)fcs«-.3
-Wio .)la-:^^j JK-J^:^
^—M^U
,:>o;
;
«y-fl
[106]
^/
ooi
U
0(^0 ^io
\
.
*
•.}
jtOioo
'\
IIISTOIRE.
)^J.-u_so .),; J.iaA5^io jLw^jus
^^.^ •JIq.X^m
);oi
.Oixaj;
|;vA
-
BARHADBESABBA ARBAIA.
'^94
)--Ju.oi
j^'b^-Ls
U>Q^i \^li
^o
-U^;
;n^
»-©a
.©»j:^
«oi^ji
l).sm»ll Ms.
irreflechis,
mais veritables
hommes) abandonne de fbrce
comme
songere,
(la
et reflechis; toutes les fois
que
la
connaissance (des
les principes constitutifs des natures et
avec impetuosite vers
conduite) aiissi marche dans
la
concupiscenoe
iiiie
qu'oa est conduit
dune
erreur
men-
voie tortiieuse, et eile est poussee
ä devier, avec ime impetuosite dangereuse, vers ce qui est contraire ä la
5
prudence.
Parce que ce saint savait que
la veritable
theorie
(Öetüpix)
de Tesprit Tar-
rache ä cette profondeur de l'erreur et au piege du mensonge et vers les hauteurs de la verite qui seule peut
mensonge, la
il
jeunesse et
il
ment de
commenfa de
la parole
et loiites ces
la
la piete
ä faire croitre les pures puissances de son
selon la vie de la theorie
du Seigneur
Clierrhez d'abonl
zele de son
Maltli., VI,
le
amour
alla
;J3.
—2.
",
selon
aussi ä l'ecole
la
.
monter
parce
Parce que
et le
(la
des enfants
lacilite)
de
10
äme par
qu'il avait
sa justice,
conimence-
parole du propheto. ce saint,
(t/o'Xvi)
et les facultes subtiles
Ps. ex. lo.
(Öetop^a),
roymrme de Dieu
choses vnns seront ajoiitres {par surcroU)'
recita tout David (le psautier) 1.
:
sagesse est la crainte de Dieu
lorsqu'il avait sept ans, le
le fait
de toute l'impurete du
s'eloigna en consequonce de toutes les voluptes corporelies de
le lait spirituel
compris
le purifier
et,
son
dans l'espace de nouf mois. Peu apres,
d'apres
äme, le
il
paga-
15
-
XXXI.
[107]
ö|K2^^.^^
);oi;
595
)_k.ä,^^o Q-X.^cuJkO .jK^JL^^-äD jlaj,.^>«.:saL3
vfc^aXOws.
sfiDV^
MAR NARSES
HISTOIRE DE
fnl.
|.»°>Nfi
,.
y>„^SL>. in
\
^>-do JKJL^
^:^ vQ^wMjI
jl
Uara»? Ms.
_
I.
u tn^-^ ouX-A
jooi
^«
Ms.
nisme se souleva contre
vA-^o
)...30|;
—
')
^^
^^ o^
.)v)o °>\, )jl^;
v^^*^
llft-ltoH
2.
^^
\^\-ä
))-;L-^m\
yA„A,.i>
(y>V
i
167
>^t^o -.i-ioäcuo
ol^ y^£OQ~iaj ^oa^t; >.«.a^..
s»u^iJ!^
y^2^ !:^ !
1«>V'.
3.
la verite
par l'operation de Satan, et les Mages, les
sages de laPersc, entendirent parier de cette ecole et vinrent pour faire renier
aux enfants,
la verite
ments
si c'etait
possible, ou pour les arracher ä leurs senti-
primitifs. I.e maitre d'alors, fortifie par la
Tecole et alla se cacher dans uiie montagne,
pas
et ces vrais (chretiens) ne craignirent ni
detournes par les supplices, mais
ils
gräce de TEsprit,
comme le
les saints
glaive,
du temps
resterent en cet endroit jusqu'ä la ün
de nombreux eufants de
Nars'es exhortait
negliger
gnons
:
comme
la piete,
tantöt
il
disait
precieuses', et tantöt
ne Fest ä
ma
dans
L'ainour de
la (jehennc,
ta
loi
:
Ne craignez pas renx qui
Ps. xviii,
11.
—
2.
Ps. cxviii,
siir les
palais qwtiient le
pierres le
corps,
iniel
mais
cette ecole
'.
pendant neuf ans,
surpassa son maitre. Qui n'adrairera pas cet athlete 1.
mon
et
erair/nez pJu.töt celui qui peut perdre l'äme et le rorps
selon la parole du Seigneur
Le Saint demeura dans
Mar
pour ses compa-
fait
lemporte sur Vor
Tes paroles sont plvs douces ä
Väme ;
(j^stfiwvi,
son äge ä s'instruire et ä ne pas
bienheureux Daniel Tavait
hourhe'\ et tantöt
ne peurenl pas tuer 15
:
:
le
d'Elie,
ne furent ni arretes
ils
de la noirceur des persecuteurs, Durant toute cette tempefe
in
emmena
103.
—
3.
Matth., x, 28.
et,
cn discipline,
(ccöXvityi?)
il
vaillant et ce
*
foi. le:
^j
»Kj» ^Jbo
{.^a^l^
b^^.51
^flf>
.
oiLai3-.«Jio
jo.^ oiS^
^^^^
<s-aa.,.iio
-Y»
^joo^
^/
|oou« 1.
.-Oi^.;o^s-ft./o
""^.^lo
^^>oo
.
oi£ß>*ia/o
otJS,
.).!^1^;
^°°^
V^''
n^N^X
.ou«l^/o
U>o'^.^
i
>
m
»o
..>
'>
>
iyA
^^o
^)o-.wä>U/
1
1
.|»',ji
Vloo
|1/
°>\n
. -<
'^oi.j
yoj/
.J.^...^«
.s^oiio|-^
1^/;
1<)
|v-QJ;
)
««f>»'>
o-söi.^; |^iLaJi3\
""^^
,o(,«.9o;
«.^l^o .j-X./;
.oilo^
t^fr^
|x>..A\.5
),...JU«o»
oiih^^
^
^L
|ooi
^^o
/ ;
£>,^l/;
>f>
^^Ow
Jläiiro|^
.s*oiio/;
11/
1-^0»-.^^
n o),^a >
,.m..5;
Ol;;
^Jio
>$<.äaji
Ba::^«; M;.
Jpsits.
Plus tard, lorsqu'il
avaient quitte ce monde. maiiupJ. qui
nomme
il
fut
les voluptes; les
monde ne
il
avait ete
venu en cet endroit,
nomme
In
freres.
II
dans
demanda,
la
y
il
oi'i
avait fonde
avait enriohi le
une ecole
et,
ä
rectitude de ses mo?urs et de son zele pour la
peiiodeute de toute cette region
dWmid. (Narses)
lorsquc Emmanuel l'eut trouve et connu,
qu'il brillait
crit.
5
de Kefar-Mari. Celui-ci, ä ce qu'on racontait, avait ete instruit dans
rcQUt la charge de diriger l'eglise
lui
nomme Em-
superieur sur les confins dn Beit-Zahdcii, dans un monastere
etait,
cause de son Instruction, de
lui et,
l'ef-
detournerent pas de l'amour
entendit parier d'un frere de son pere,
monastere d'une grande affluence de
verite,
le
menaces du juge ne
prive de riustruction parce qua ses parents
les ecoles d'Edesse et etait ensuite
il
>«
|ji)o,.:3o
frayerent pas et les attractions du
il
vi
•
)^'q^
i^UL^CL^:!^
jJaaLflo/
.
'^^1; )>^/o |a°>\"v>
second Daniel, qui meprisa toufes
de
l,
:joK-fiD ,_» yooilalb» jooio
^j/;
ot,MaLA./o
oöi^ oi^IV^o JKso; v»öi^
ooi otfD «=>/
vi:^.
^-ou^a '^i.
OiiO*; >-0|Q_3/l )-«/
)oO|
|1^—.\6 Jiao och oCSj);
[108]
^otoy^l
|loxolo oiAfo; ^^..^s^oo
w.oiOfLdOM
ouaXLJ »s/o
ooi;
^^
-»o.,..
Ol
^Otol^/» -.^^^^JCIIVIN
)t>.^oa^
)l»^ t^^Jj ^Ä3l/
.,.io/}
.^aJL*j
^-io
It-'fA^^
fnn^
I
^^^4
,^3»)^
HISTOIRE.
l-iö^Q-^ »"^-^ ^ •^^^*^^"^'
vsol jjo .>^oto;i»aD| i-^'!?
II
—
BARHADBESABBA ARBAIA.
596
(70)pa) et,
ä la
fin,
lo
se leva et vint pres de
et qu'il eut
vu par experience
science plus que les docteurs et les freres de cet endroit,
ainsi
que toute
la
comraunaute, de leur
Lorsqu'il eut accepte et qu'il eut passe
faire lire le
un hiver pres d'eux,
il
manusentendit
communaute qui etait ä Edessr, il les quitt a et s'on alla en cet endroit. Quand il arriva et qu'il trouva cette communaute brillante d'entretien spirituel et de connaissance des (saints) Livres, il y demeura dix ans. parier d'une
Lorsque son oncle
i'ntendit parier de
.sa
science,
il
lui
fit
savoir, sous
i'
XXXI.
[109]
—
HISTOIRF.
DR MAR NARSKS.
597
lul.
lÜS
1"'.
1
>
1
\^
CS
K^
.
oi^h^lo .)_^^oV
^^oo
)»ot
.olSlA
^^
..^j
.,|_>c-s
f^
^^1
peine d'anatheme, de venir
jooij
^; ^^
trois Cents freres se reunirent bientöt pres
.-.
ä
cause de son amour de l'etude
il
partit
se
et
et
''^^Oii )K,.^^.,i^>Ji
I^V^
^^
t^K_ yoouuj^i-so
il
demanda de demeurer
lui
de
lui et,
eut accepte,
*
apres un certaiii temps,
peut-etre pour une
raison inconnue,
y demeura dix (Emmanuel) cunnut que lepoque de sa
de nouveau
rendit
en secret ä
Edesse.
II
autres annees. Lorsque
ce
mort
adressa une seconde fois un redoutable anatheme
etait proche,
lui
il
saint
avec de grandes supplications,
il
le
hlee du monastere et, peu apres, \i>
)^ü^
.U'i-^h.
retruuvcr, et
le
.j-ä^
d'instruire les freres de cet eiidroit. Lorsqii'il
et
>^oio;)i
)
o(^^^ ^oi^oi )la.a^ oibo^j/ ^iKj:»o
lui
^/
m .°> )o^ ),.,>{> >n\.., ^1>«1; jl^vj-a; oi^N-s iyj^ .oiJfJO^.; ^.^^j iK-so .jt-.»! oC^a j-i^oJis oi\ ^i^^/o .^oiio/ ^io )
Iti^vN o^ioSji/ •.)— jKjLA
pres de
iK«30 .\2^l IJ-^K^l
JJLSJ
annee en eet endroit, donnant les freres,
la
iit il
venir
d'i,'(/e.s\se,
illui coniia tonte l'assem-
mourut. (Narses) demeura ensuite une
iiourriture corporelle et
spirituelle ä tous
en pla^ant devant leurs yeux une belle image en sa personne,
Selon la parole apostolique, en toutes bonnes actions'. Lorsqu'il eut passe
an en cet endroit,
nomme li
il
Gabriel, et
transmit il
la
retourna de nouveau
epoque. Mar
Barsauma, eveque
trouverent
en
lä
Comme Mar de peu de sens, 1.
meme temps
Bamiiimu
teuq:)s
il,
7.
etait
de tous
aux ecoles
Nisibr,
etait
alle
deux en rapport
un liommc
(ä
l'esprit)
ä
un
frere de.lä,
d'Ede.sse.
Edesse,
Tun
avec
penetrant,
il
A et
cette ils
se
Tautre. lui
suflit
pour apprendre et expliquer les (saints) Livres avec leur
mieux que tous
er. Tilf,
cliarge de l'enseignement ä
un
les autres; la
gräce
le
poussa ensuite ä tourner ses
lul.
Ili8
-
BARFIADBKSABBA 'AHBAIA.
598
.i-.*,„^xio joaüj^o-, _y-,/
^
i-D^ jLä^io
».«-3
•|
j^jl^
^- - ^-i»-^ jN—_L.a-^ «
;oiJ.Q.3onm°>)^
)--^
>5»»jj
fllO]
,5^-^/ ^oiS.3
Ijqjlö saij^io;
^^-^/o
|ljj-.j
IIISTOIRK.
)-^»i
)—.v»
JLioi
^.ia» .)io-,j»aa
^»
v.i,.Ä
)jLioj
a-L_boo .JJS^^.ol:^ Ivaa/
.001
Uv-^l lü
lol.
u;s
^ot \
K_sj»io
.jooi
•>
'>
^;
001
jJÖAÄ)/, JLioi. oiJ^^JSo
^l
^j
oti».
K-./
Jooi
.J
>r> °>o
)oC^j
de Nisibe
la ville
eprouvee. Tev^que et tout
oiiaAo .j^oioj
.|ja_3;
J^L^M
n
ou^oii j_*--»_D jjoj ^>a:^:A
pieds vers
pot
)l»--ia^ JloiKXio^o
ville.
Apres
Ijl-^j
communaute, de (XEipoTovi'oc)
l'Eglise illustre
Uaixa^i
,_^
^/j ^,
^
.jKJ^^, jlolb^-^l
y fut venu et que sa seience eut ete clerge de cette ville lui imposerent de faire
le
d'alors,
il
fut
fit
aimer de toute
juge digne, par toute
la
charge de Tepiscopat'. Lorsqu'il eut re?u l'ordinatiou du souverain sacerdoce, il fit tout ce qu'ordonne la regle de la
aussi bien que renseiguement
durant son
champ du
'
J»-iJi
)t-i^v
lorsqu'il
;
mort de l'eveque
la
jooi
)_l^^.^oio J».-^/ Ijl^V-ö .oiA jooi
rexplicatiou dans l'eglise, et l'elegance de sa paroIe le la
«.,^
episcopat, quelles
du Christ. Ce que pernicieuses
ivraies
homme
fit
cet
il
arraclia
du
bonnes semences il sema dans les regions oriengräce ä ses beaux enseignements^ et ä ses canons ecclesiastiques, ce n'est pas le moment de le raconter, parce que notre but est different. Christ, et quelles
tales,
Quant un foi.
ics
homme
tout,
ä l'iuterpnMe qui etait ä Edessr ä cette epoque, on dit
de grande clarte
par un enseignement
les actions;
il
Lorsque ce En
435 CO,
et "
il
se
uommait RabbuiilaK
et
l'explication,
P.O.. 1\,
:i8'i.
-
-2.
10
c'etait
etait bieu dote
en
veridique et par une excellence parfaite dans
il
saint, selon la volonte de
cf.
II
que
remplissait toutes les charges de l'ecole, la lecturc aussi bien
que Tepellation
I.
5
eucore
avait
la
charge de
la
parole.
Dieu, eut termine sa course et se fut
Litt. « tradiliüiis
<>.
—
3.
II
e^l uoiuiiil- (Jyore, P.
()..
IV,
:)83.
10
JJLSJ
)
K^^
a^
''^..^k^o
«'^'^^
-
)jL3j
1. ^«»v-'
oÖ<^ oöi
0^0.30
',
on se demanda qui Et
lui.
de
et
^»t
.fi«e>N.
oj^
m\y
capable de reprendre Foeuvre voix
seule
que Mar
crierent
non seulement ä cause de son äge, de sa
la
purete de sa parole, mais aussi ä cause
seulement
la
Ecritures. clioses
II
charge de l'enseignement,
s'adjoignit
utiles
Lorsque Satan
durant tout ce temps,
et,
le
que
le recit
vit
que son royaume
que sa pnissance diminuait,
discorde ä l'aide
Rabboula a
II
premiere 3.
de donne pas son
des partisans de Neslorius.
Cvor6.
-
lui
III
—
faul sans duale reniplaccr i-t
la derniere,
Ruis.
V.
',.
«i
il
On
n'i/
avait pas
de Satan ni de
projet de raconter toutes ses belles
'il2
commenij'a alors ä semer
il
au
litre.
ravage, que son parti faiblis-
etait
d'hommes mechants.
616 evfique d'Edesse
etrange que l'auleur ne aiiiie
luaitre de lecture et
ne fatigue les auditeurs.
de son erreur, l'eveque de ce Heu (Edesse), 1.
un
accepta
plus facile de travailler au sens des divines
mauvaisr rcncontre'. Nous n'avons pas
et la
il
il
de
dirigea cette assemblee durant vinst lonsjues annees" danstoutes
actions, de crainte
sait et
beancoup de manieres,
presse de
l'eurent
d'epellation pour qu'il lui füt
les
i
\..„^h>.^
de ses ceuvres parfaites et divines et de sa eondesccndance ä l'egard
chacun. Lorsqu'ils
lä
etait
d'une
tous
pretre en etait capable,
le
diligence, de son travail
10
.|*>«
yOoC^ao
|^«<•^
Ms.
de renseignement apres Narses
*
"^^ClX^OlS»
jl.3a.CQ~3
^^I^/ ^ot\'>'>
.yVLo:^;
599
^'f^; o^'-o jln »o
j-^i-J
lILa^O«
.)->ÖC^
0(f_3«0
MAR NARSKS.
HISTOIRE DE
•vOO' )*«,* o
repose de son travail
5
—
XXXI.
[111]
8
On
aoül
Il
'»35,
trouble
comme protagoniste homme heretique
Qourä,
s'agil ici de l'evgque, il esl que l'evöque Rabl)oula etail peu que Xars(>s a succöde innnedialomcnl a iiiais. s'il
sait d'ailleurs
truuve, P. 0.. IV. 383,
Rabbuula par Cyore.
l'on adiuel qu'il s'agissail
trouva,
nomme
le
de
—
2.
'j36-'i.J6 oii
l'i'Vfique
407 en ne
complanl pas
la
Rabbiuila. ee qui est peu probable.
.
BARHADBRSABBA AKBAIA.
GOO
)-iw^a_^ji
,.jxxIa
.oj^;
^*>-'j /
)v-2l-^
)..i^.cdv3
n .y\.o
I
->
I
)
./»
^j
•V-'^^
—
1
HISTOIBR.
)-)pö/
:)jL^
a.».^il/
.jocx
[112
m\ h°^ ^--so ;
)vifn
;
^« 6|KS^
jicxf
..
.|jl^i^^
lu
V\ N .)-3\ )joi
et
y>-^ oiJS^^^U; ^V->ö/ jlcLaJS.^
«Jin
)ooi
)juit-°
^«
de mauvais esprit
—
ses clercs
il
p
>«OiCL&
'
.
K.«^
)v)a,„J.
iio
looj
yJS .öi-JL-io
\-^\Jl
2»;
prete est lieretique parce qu'il adhere ä la pensee
de Paul (de Samosate),
traditions.
Gomme
»
eiifants
les
pour Notre-Seigneur
pour
des
les Apötres,
sous les deliors de Tamitie, et
ils lui
V-aLS
voux dire de
je
:
«
Cet inter-
Theodore et de Nestoet
il
rapporte leurs
forme
opinions
comme hommes
^;
poiir
le
projet, si
l'amener
la
les Juifs l'avaient fait
vinrent alors pres de
r6velerent le complot trame contre lui
;
'
meme
(tz^-.;)
de
etait plus
Perses, qu'il cherchait
empires 1.
et
meme
la
A
logique?
dangereuse
:
cette premiere cause
ils
en joignirent
dirent que sa pensee etait avec les
du trouble aux frontieres
a jeter
ils
qu'il voulait livrer la ville d'Edesse.
et
Lorsque
ä troubler les le saint
enten-
Evfique de 471-498. C'est sous son öpiscopat que I'ecole des Perses a et6 supprim6e par Zönou oct. 457 il ne s'agit ici que des troubles qui onl suivi la niort dibas, ('v-öque de 435 au 28
en 489. Mais et l'avorable
en
somme
cf. P.O.. IV, 384.
— Si
ä Nestorius.
512.
Au
Ton mainlient
472; e'est apres 452 qu'il aurail
pas morl avanl
u>
:
ä l'ordre
une autre qui
r.
ä
communaute ils lui conseillerent, si c'etait .possible, de quitter son opinion premiere. La cause de tout cela etait l'envie. Ils s'etaient dit Comment un bomme perse a-t-il subjugue les Romains, lui qui est etranger
par toute iG'j
et
di-
Mechant avaient
du
leur parti, ou de le faire mourir saus remission
füi.
—
medite leurs Berits
il
de l'arracher ä ses premieres
c'etait possijjle,
lui,
vS/
.
excita des troubles contre (Narses). 11s disaient
rius, disciples
-öl
1^-^ J-^-i^o^o '^'^ )-»-^^^!
d'une bände de voleurs
l'aide
^/ )K-.io^
|lv--./
jKjupcL^ 6u :)0L^iLJ;
^t->oi •^oi'o/
A
j J...
lieu
la
de Quurä,
il
faudrait donc lire Nonuus, ev(>que de 457 ä 471
lecture de notre auleur, Narsös n'a pas qiiittö Edesse avant
suectkle a Rabboula. dilTerent de l'övfeque
du m^nie
noni.
II
ne serail
is
—
XXXI.
fll3|
^
:\^il
^-^-,
jiV-* t-s/o .yoot vv>
.K^ooi
ww^a-liLi
^
|J
^
1.
(Ins).
dit les
artitice
—
y^
jooti
^i-^/?
^.
oooi
.uk»3
-Vio/
i^^
-ö^^
t^«*-^
^^j/
I-"^/?
(Ti](yf\),
i>t
pi'ia et dit
il
mode
qu'ils lui firent coimaitre leur :
Jl-
'X ' V)
JJo
^^Ji^i> po)-J?
et leur pernicieux
Scigneur, tes yeux sont sur la
«
hommes
qui lasse bieu', car lous tendent des
circoiivient sou semhlahle pour
de grandes llatteries
rtaicnl iissis
perdre.
le
taiitut effraye
et
de sa pensee ne glissa pas de iik'cIkuiIs
JJo
.)--.-C^jij
Itaiis*.» M..
-2.
accusations
[larMii les
^joi
^t-^
.)JLCD;
a peri et a quitte leur I)oucIh', la verite a peri de la terre,
>
>-°«~= .|l.ai.ia.-ot
i-"^ yOOiSj .JJÜLJÜLÜ ^jl^ K-»^0
U-iO -.l-li.JsJÄ) );0» y/o
«-0!
001
^lr>.t.'=vV:>Q-5;
,Ji>^^aiJ^ ^jI-o?
.lot.jxJ
I^OCL-^— jKJiOO
l-jJ-iÄa
U^'^'O*
^i-^sf
yk.*J'^a2L^ )j/o
|Ii^
jtOi^^
)K.icuJ!i^--
|.aaj;
'^^
°>
V^^L^ .^.INi"»
s-01Q_-)J
DK MAR NARSKS.
HISTOIRF,
»
Apres
et
avec de terrildes meuaees,
ninipldidirut voiitrc inoi,
cl
cmbüches
li
mais
Ibi,
riiomme
iiioi
tlattt5
je mddildis
pied
le
disait
il
foi
personnc
n'est
qu'ils Teureiit tantüt
voie droite de la
la
il
car la
loi,
:
Les les
ilaiis
i-(itiiiii((nileiiienls ". 10
Lorsquc
liommes de scandale apprirenl que son esprit n'abandonnait
les
pas ses prcmieres pensecs,
ils lui
deiuauderenl de
rence exterieure et de conlesser, par
ir.
II
de TApötre, car
Dans
iiiiri/ie et
(iiii
eaiilre iiuks
a dit
il
:
ne pcrd pas
el
la
tun
er. P:>. xiu, 1, PATll. OH.
—
:i.
T.
—
2.
IX.
Ps. üxviii,
—
K.
.J.
«
la
'(-.
—
3.
Tit.',
de ii,
la
du moins en appa-
bouclie seulemcMit, qu'il
Ccci est oppose ä la parob" (luras uiie [MTdle snine qui
personiie ne la inejiriseiii,
honte, saus jjuiiroir rien ilire de
itil
:
enscif/iionciit In
cela, quelle parole sera saine et oriiee
1.
parole de
leur repoudit alors
adlierait ä leur seatimeut.
le faire
d/iii
luiissdltle
i/ue celiii
contre noas
dociriue et de
la
(jiii ''.
se lere
Si je
l'ais
purete de
7-8. 'lO
la
}
.)i^;
^so
vOJÖi s-oiai.^ai
jjLi.^::^^
)i-oo- QJLjL^o .';!/
yoy^
1-1
^^/
)0i-O Ij/
"^i^^iw
\-tl
siLLS^a^;
lui.
Hill
JiV-JL-s
).JiL-)Jo
»
l'i-rc
ijiil
Ic ciel,
avantaiie y
allcT.'Ul
1.
1
Cur., IX,
Tl.
Oal.,
I,
^J
.),«^
i.
3 ; o_i/
'li
1(1.
)jUq^
)-j/;
(Humd
»
nävTa;
:
N'as-tu pas nitendu
paur
laus
les i/af/iier
:
f..
i'va
:
Portez
:,
garde-la daiis tou
Lorsquc
»
taiis', et
le
saint entendit
(^ue ferai-je ä Notre-Seigneur qui a
cclui ijui nie renieru ilcvant les
ct.
(iii.r
(jui [uil
la
daiis
Ic
ciel
''
;
ne
Innnincs, je
je
luminu-s.
et ä VunI (|in a dit
sevitis
pus
Ic
serr/lciir
:
Ic
u>
S/
du
volonte (de Dien), qac ntillc ipii sont ap/joses''
ä ce que je reiiie la verite et que je coulirme les autres ils
virent qu'ils ne pouvaient le tromper en eela,
la l'üule (ox'ao;) et ils le
/.sfo^oto.
La
\M.
:i.
coudamnerenl ä etre
Peschitio poi'le «dvTa; uiaaio
hovtio; rivi; ouxtiü.
V.ccW..
«
Ibi,
parole
la
drruiil les liiuiuues, je Ic cimfcsserui uiissi dcraul
jiluisais
Taccuser devaut
(ed. 8" inajoi') poi'le
—
nn
a-l-il
:
l'crc ijui est
iikiii
je
niuintciKUit
daiis l'erreur!
leur dil
est (luiis
Chrisl-'. Micu.c ruiil (^)uel
il
cnuft'ssi'
rcnienii aussi devuni /i(s(i(i'ü
«
:
ä la colere''.
et laisse |)lace
ni'uuru
ifui
VÄJ
)._>/
uns des ((uircs'-? Toi doiic, qui as la
devaut Dien
Cclui
lunu
^iöo
Loisque ces trompeurs enlcndirent cetto saiue
nie suis [alt lotit a
./'
:
cette repoiise artilicieusc, :
»oSLaj;
f^-=^/
repliquerent que Paul aussi, et Notrc-Seii^ueur et les apötres
ils lui
les
dil
»--s
vP°-^
sin-
les fanh'dii.r
äui,.
-V^/?
quelle incorruptibilite aiiia-t-elle pour quo uous paraissions
dil
'
oi^?
jjiio
qui
l*(tiil
^^»
|;aj;
«.-3
iiiodererrnt leur science avec les laibles
de
^-11.).— t^io
)t-»VJ^
^-^
ooi
^«iiol^-io
ceres devaut los advcrsaires? repoiise,
[ll'i|
^^^o ''^o ^i>; :V^/? ^coQ^aÄj
fcs-oo»
ou> ioais/ .•JJLlj^li ^t-o
>s/
IIISTOIUK.
^ion\;; y^öi ^t-o
.Jl
)*»«>> ^t-o
<x_a );o/
^l
/
piete et
'
—
KAUIJADHRSABBA ARBAIA.
im
—
2.
Ca!., vi,
2.
—
:!.
el
le
ils
briile.
texlo ;iJopte pai' Tisoliendorf
C(. Ruin.. Vli. 19.
—
'i.
Malth., X. T2.
i..
jKJS.^
)jp.cxÄ)»
IIISTOIRE DK
^o
h^^
UxuXL^
.);oj\ )!/
v-^
oiKb^
ja-.)J;
_)^-/
)U^
^^io U.t^ Vr^^
L'uu
(Je
Saint
que
ses
qui
uiiiis,
leui-
ciitentlil
memr, de maniere quelconque, ou
s'enfuyait pas ci-tte nuit
s'il iie
au fen. Lorsque cei
jetteiait
complot, oourut aussitöt annoncer an
athlet.'
spiritud appril
(äÖVr.Tvig)
que Inus
etaient suLjiii;ues par FiM-rcnr sataniqne et avaient l'csprit de Jhak-J, .
leva en hftte, des qn'il il
et
partit ^> Irui-
il
lä
c'etail ils I"
ri'iit
Ic
dciiianda,
si
nuit, plein de
lit il
le
("etail
ia ville,
prireiil sein
i't
Ig clierclia
conuailrc a Qourd
'
s'il
etail
ä Edessc,
Ic
modr ils
di'
et
s'etait
tie
cette atlairc,
de porler ses livres jusqu'ä
\isdii'.
ses atnis aussi bieu que ses ciuiemis el
lorsque (ses aiuis) eu-
sa conduilc, la i'cdiludc
di-
sa |ii'usüe
une grande sedition contre lui, c'elait arrive pour cause d'envir.
i'xcilerent
cause de revenement
une cerlaine Icpre
se
il
tnut son tresur. Lorsque ceiix-ci apprirent la cause
beaucou|)
il
secours divin,
y Irouva des Perses, possildr, d'emporter ses livres avec eux, car
airiva ä Teglise de
son zrle dans ri'nseigneinenl,
si
eoidiance dans
desir ii'avail pas ete realise jusqn'au boiit,
lait
couunc et
Ouand
matin, im
Ic
donl
ir-
la.
se rejouin'iil
Des
fl
^;
loo) loöi J^oo-.»
^W»
oiK.-^;K-3
l'OtJso
Jo« ^ö< -vooi-io^
a-i»| M<.
1.
\p
-.^o«;©)^
(iOü
:)jp.Qj»; oitCS^ )ocH ooi»
.^i ^oto^uÄ^^; )^i )KV^
p
MAR NARSKS.
V-.^ vQJoi .oi)^ otJ^o
oSL^i.- ^3
JUä) ^äoo ,—.d/ U-au^^ ^io
vOJÖt
)Jj
—
XXXI.
[115]
et
glissei"
si
dans
Tesprit (de
Tevetjue) el
s
il
chercliait ä la rcpandre parnii (les habitanls).
Lorsque ce mauvais avorloii 1.
Lire
•>
Noiinu-
»: >(.
\iiiini.
\k
112].
ap|)ril qu'il
avail
iiiarelie
iiilempestivement
BARHADBESABRA
604
C^ooi
jV^"
.vx-»;
^
culo-.!^
^;
^ Ar
^Jio
^>-:»
rf^ v^
)
^AA
0>-.Kj i-.^
dJxii;
170
contre la verite, qu'il
ne
s'etait
comme vous
l'avez dit,
mauvais que
celui
:
honueur doulde.
comme
homme
il
leur ecrivit
pourquoi Celle
il
du prophete Darid
t.nt iait
autant,
et
loi-
et
Rom.. MI
il
{(tc/ie-liii
li).
-
L'.
^-i>^
r^ '"^J
que rien Je tout cela
n'etait
etait pas cause,
n'eii
(dit-il), qu'il
je nc l'aurais pas chasse d'ici.
Irous et ä se
changeant, orgueilleux
je lui
et iuseuse,
moqueries
11
(et)
commrnl
il
l.läine.
pourquoi
leseunemis
lui
devant ses
parce qu'il etait
et la tristosse
er. MiiUli..
M.
i;.
—
.1.
Notre-Seigueur
Is..
est
:,
de ses
venu ä
IJarniii.
i.
(el)
et
s'eloigna tantöt dcvaul Sniil et tanlol
ee (pie
peil jusipi^l
il
dit
donuerai uu
reussir,
moquer de
»
Je pense que vous avez oublie riiistoire de Mo'isr
ne fut pas
IUI
oolo .)>.^i^
plus
Va, iiion priiplc, et cnlrc
:
o,^<Ä
.)»ot
aurait ete aillige d'un esprit
qui oserait les l)l;\mer? car
el.
(olerc\ et encore
1.
«
--'-*
etait
a quitte VE(jypte, et celle de Jrtroi
devant Misaloni.
siir
:
^
en
parti en secret. Lors([ue le saint apprit leurs
amis,
i^^
Lorsque beaueoup Feureut ossaye saus
»
d'un
^;
«^iCLi>
i-s;
^>.^ .-^o^*
^io
ramener de nouveau,
a regarder de leurs
commencerent amis
denonce par vous,
il
jaxio' )°»..°>N )t-«^ii
'/
Si j'avais su,
«
quand meme
Si quelciu'un peul
«
>
— >^'
*
oCi.
Ji-iK-Jso jj^vAo-.
pas occupe de cette alTaire, qu'il :
^
.)j>io«
w-V^aio .*s QJLiOO
^iJoK\ ^ai.o
;a-/o
mais que d'autres Favaient trompe
eucuie ceci
;>ooN
JJo
^fi.^
.voj/
)K.*A»K-s y/
U/? oa.n\.;o -^-'j^
leur jura avec serments
il
r".
vrai,
.^^i>i/
vs/o
|;0(
^o .oi\ )j/
-»V-ij/o T-'^Nss, '^^ '^^^
Uio»)^
.-Ujxj
JjL30f
^
[11(5]
looi )v-a-x-io;
.•). Si.3..ai.50
'Vt—
y^'^l°
oot JjLSoi
^-.i^Vl
Jjl^1/o .^^llsl-s
lul.
1-^^»-'
^io
IIISTOIRE.
Ju/ K-/ y/; -Vio/
.»Ml; "^i^
v-JLJio
U^i-/!
-öl
))-;U^ a^.ÄJ;
jJo
^QÜ^aSo y^^^
oi^-..ia\l
^i.
v>\ Ij^;
.
'^*-- a-pol/
a_tJi -.Ijo)
)U/
oi-V^ «iii V^^.^._ol/;
.jo.ot
-
'ARBAIA.
il
dans iiia
xxvi, 20.
et Paul,
est ecrit
:
son disciple, en
htis.sez la place a la
trs chiinihirs et [ernte
enl'ere
passe'.
Qui
les poiies
s esl
nioque
i.
xxxi.
117
t-o-^ ot-^
)^<.J^.^o.,\; )L-i
a\ Q-»
-
'001
>&0^).J0 .|,.^0l^o1
msToiRt: dk m.vh narses.
m
).V>..
^^^
.jK-upo;
f :^.NI;
y^l
öi.fc<w>.J^^
.lo^wJ
ros
^^o
v£DV^;
)aft.«.a>;
ÖtK^ >.^a\
.j_ik.flD^«
^9
OJOI fiil.
propiietc Jrremie ou
son contemporain
si
',
l'a
blame, lorsqu'il
peuple pour
le
cache du mauvais
roi
cc n'est ceux qui vous ressemblenl? N'avez-vous pas
non plus entendu parier de ces
six villes de refuge,
Service des opprimes
entendirent cela,
s'est enful et
1711
'
? »
que
Mo'ise
iit
faire
au
Lorsque ces hommes pleins de noirceur
furent saisis de honte et do vergog-ne ä cause de leur
ils
impudence. Lors(|ue
le saini
qu'il etait ecarte
arriva ä Xisib>'\
du but
iiKinastere des Per.ses, I"
qu'il
il
n'entra pas dans la ville, car
mais
s'etait fixe, ce qui etait vrai;
qui est situp ä Test de la ville; car
il
il
il
pensa
alla
au
avait forme le
projet d'aller ä Test, c'est-ä-dire au milieu de la Peise, pour y instruire et y semer renseignement de la piete, au moins chez quelques-uns de ce pays.
Tandis
'
virent cet
quil etait dans ces idees, trois clercs arriverent au monastere
Immme au
dcmandcrent k son sujet qui
ils
eureut
recii
reponse,
ils
1.
J6i-.,
xxxvi,
19-2«j.
—
tant()t
i.
son histoire. Ouaud
ils
ranaoncer cn bäte ä Mar Barsauma,
et
etait et quelle etait
envoya
voulail cnLrer dans la ville.
donna pour cause
il
allerent
celui-ci, ä cette nouvelle, lui s'il
el
visage venerablc, ä l'aspect grave et resplendissant, el
II
vite
rallliction,
Nombres, xxxv,
quelques clercs pour
(lui
ne voulut pas entrer avec eux
14.
tantöt la
—3.
Fin
'i57.
maladie,
demander)
et
il
leur en
tantcU sa qualite
lül.
V".
1711
ÜAlÜJADIiESAUHA
60(S
^1
X'^>—
Skotom
:)l3oi^;
^
o
.'=^/o
•».a^m>n\
Kwh-s« \.
fny
.
y^
°>
.
»Q,in\
\o
V-^>-^^
Oi^
).«.JLm.3
pour
lui faire
L'eveque insista
|
>.^«^;
pas entrer;
se leva
il
Mar liarsauma
sortit
donc
petit instant.
au-devant de
il
•>
(|u'il aviiil
fondei' la
n
eiiliii
qu
il
^^
oöi
^/
)->~*t-o
a.).l3
j'^^euXK^
j^^oi
•<
).^£Q.Jt
^^ ^/
.^^otJ
oo«o .^-^^o/
n etait pas neces-
persuadereiit, par beaucoup
ce serait allront et
pompc
avec grande
lui
et
ils
mepris de ne
apprit la cause de son depart de
projete d'accomplir au loin
:
d(>
;
il
la ville,
eutrer
le fit
la,
il
lui
demanda toul
pres
profiter de leur rencontre
pour
et
faire iei
Teveque
dit
lui
humaine, ö notre pere; quand
'
:
«
meme
meme
Nc pense pas que
temps.
Commc
ce soit iine oeuvre
eeux-ei auraient pense mal de
Providence caeljee qui
toi
auraient aceompli (leur) pensee satanique,
la
ne
ce qui correspondait au but de
pas ecartee de
Providence. 1.
er,
/'.
i"
cornmunaute (lecole) de Mesojiotamif. pour procurer un grand avan-
Saint resistait,
s'esi
..
s'entretinrent ensemble durant
tage aux deux partis, aux Romains et aux Perses en le
.^
)jUa^
ne voudrait pas abandonner son premier projet,
s'il
er
Ouaiid
ot.7i>o<,
^^J^is );^
entra avec eux. Des quil entra dans
et
dans Feglise avec honneur magnifique
un
ei lui
pensa que
il
.)lo
oü^i
jt-xo^o
envoya son archidiacre avec dix clercs
honneur. J^orsqu'ils sortirenl
(de paroles), d'aller voir son ami,
.jJLij
))..«.,^aD
)ooi
et
sa!^ ^3o
).i.>.iLN.5o
^).^o
-.iLjot^as
^:bo
*
d etrangpr, tantöt quil y etail inconiiu, lantot saire quil entn'it.
^^>oo
<^ö|o .)..
vOO(^«N^
o^ ^/
«><=>/
1
I118|
|-a.V^'S,.i>
.
KS^
|.^Q...oap;
yoo(.>iJl«
'^"^^^
IIIS'I'OIRK.
^/
01't.a.^jJ;
looi
^w>.^'o
o
.|.San
^ysio
\i
.»-.
.^ioi ^io» ou-JOJt
«°>/
)_«.^oooiy^ i^!
\
.o(S.^i
^^
)«Q.^09
).
^o
fi<^j
oü^ )-^ y/; o>m
otln
AIÜ5AIA.
(I..
comme IV,
|i,
toi,
inais a fait
au lemps de
:iS'i-:iS6.
Joscji/i
et des
Apötres.
voll
et
loni la
De möme que Tassem-
i..
»
^m
>«
^.<^^k^L^K^
oooi
)Kjl^ );ol^
yOoC^
-.j-^^Loo
.loo(;
^^
|i<
|^)S>.mv>
m itooS.
Jis/o
m Vi
^ VI
)L-jL.i
vd/
.y
Kj/
1 \L
)jo<
i-0-^ y/
iKiiis
li'xtc
li>
li
:
)jL3oi
.)L.^..
y.^/
•U^'t-JD
-l
rmoiJ.»/;
«
.JOCX.^^
«>>o jjoi^^^
jK^iol;
Nk^/
jtCS^o
|J
j^oiai
I
)....^.
/
)...i.:>ooot'')S
'^^io n
»
\ >.a
.yoovioi^—
>^^^1/
«Ä^oijo
jJ
yOi^^^
^i.
17
jtot^o
jl^O^b^
|
r.ii.
n V>
.O
vQJoio -.llojV^
vO«^).J
)j»oi
.jK«
w>J>ot~2>^o
|;ot
/
vOi^ip»
).^CL^eb.
K...j:l\
yS>^o n\ ai^;
^
>va;
>
U»-3k.flO
a..uui
^a'ji
oooi
oooi
)J
)K_a^\
Kajx^
^^o
j.^..^k.iL
ol-^ ^^.oä^l; ^öi^ •^^*^ vOouU ^»K!- K*]L*^»
Icilälna »:
(;n
iiiarao
:
,.
Icduliiii ».
blee (l'ecole) n passe aulrel'ois d'AutiocIif a Dafnä
meme
.o»
>
.looi
.j
|_ooöf.i3D
«07
yOOi^l O^^uOd/
^ ao^
f>°iiio
.jJ.iLw>^o
^t-^
lUiaj. vOoC^
J-sioC^
I.
^;
"^^iOO
«öi^
JJ;
^^^Owo Jl'^^
|.2L^oa^
s£/
jjj
ottcL^jaaxio^
.-);v->I^
^ol!^ y^l ojotsjii Kj/;
^/
Ot^i/
jK^VojJ n
jjiot
)qa
.ooo(
)oi
t~«»^
••« «llj..3LaO
'-'^'^
oilo;',.^>a-5
K« >\o
sS/
)oot
oöl
V*-^^-
•yoouia^ ^£00.^^;
oi^o
IIISTOIÜK DK MAI{ \ARSF,S.
).^.i3lji
It-o^ )-iö^
^^
•.yOOUtji
o v>
—
N.Wl.
1191
maniere, ä moii avis,
eile
'
de
et,
passe maiutenaiit
tV
lä, ä
Edesse
Edes.sr
ici,
;
de
la
parce que
ceux qui apprenaienl neu etaient pas dignes. Les Apötres aussi avaient grarid souci de somer rEvangile eu Judee, mais parce que cc peuple iiiseiise netait
pas digne
chassant sous
la
de ce bien durablc,
*
di-
chez
lui,
repression que
Iii
l'estin
([HC
l'arci'
les
du
croyait causer du tort aux Apötres en les
mais ccla tourna 'rilus
gentils, sortirent par les
entrer au
il
leur inlligca.
chemins
Ciu-ist.
ä leur profit, car
II
nie
Pour ce motif,
que
toi,
comme
comme
les
de zele
et seine ici
(|u'il
eu est de meine maintenant
di'
la
vraie
fni
cl
impurs Sodomites. Toi donc aussi,
comme
parole de Torthodoxii'. Si tu
la verite
ni
de se
guerre contrc
qu'eux-memes les
toi,
periroiit,
Apötres, sois rempli
lais cela, les
deux partis
en prolileroiit bientöt, parce que les disciples ne larderont pas ä venir I.
II
ii'(>sl
pas
qucrilloii ilc letli' villi',
/'.
0.. IV, .i/'J-aSI.
Cesl
:
qu'ils voiit recevoir la
oiit l'ait la
Loth, tu f'uies la punitiou, tandis
la
allereut chez les
et les enclos, et obligerent las geutils ä
semble
puuition de leurs peches. c'esi pour cela qu'ils afin
ils
l^omaius n'etaient pas dignes de reccvoir
delecter dans les rayoiis brillauts
ne tomberenl pas
ils
pciil-elrc lni|iliiic. lUcs (rAnliuilic.
ici
'
loi.
iti
1
RARHADBKSARBA ARRAIA.
«OS
yOi_j_3fcs_Jo
-Ol
|;0i
^* -\ oi ooi
.jiKi.^
jl
* fol.
1:1
.)K_3»
Q--.xi»/
OlKiS^^JiO
^^Jl3 ^«%0
W ft"lni» H
pres de le
—
:;.
(Ia::a«>?
la
:vQiO>a*.
«^
01.^0*5
.Nönrno/
)
)ji/
vOJÖt
).i
Q^V* \-^) ^-.Vo„SO
^*.JlJO
,.=>
.-^iol
n,t°^>oo
öts
.jLiö
).ioo,
Uoai.
jooi
..)LJL2L\a.*J»
Ms.
fruits,
il
ici et,
comme
sera facile aux freres de vivrc et de sc fortifier
doctrinc des Livres; surtout parce que je t'aiderai eu cette
adversaires, mais
afl'aire.
de la victoire
demeures
tu
si
ne s'eloignent pas loin et s'arreteiit pres d'un
s'ils
un signe de leur victoire
endroit proche, c'est
Toi de meme,
ici
dans
le
cela
si
cVtait possible.
d'une grande
et
joie,
incif-f/anihi) qui
etail
il
liomme grand
et
trer
*
acheta.
lui
pour
pres de Teglisc.
il
un peu
l'ecole,
de leur ämc.
il
lui
Caxrar,
Lorsque
«
promit de
cela,
il
la
faire
se rejouit
ii
une ecurie de chaineaux
nomme
il
y
avait cu des
Simeon
{Sein'ouii},
n'y eut pas d'obstacle ä cette entreprise, mais
s'occuperent d'etude
;
et
auparavant
et,
en peu de temps, dos freres
se reunir de tous cötes ä cause
son excellence
.
voisinage d'Edesse, c'est un signe
Comme
un interprete de
excellent,
anciens eleves
commencerent k
la Force
Des que Barsauma eut entendu
ecoles en cet endroit avec
les
de
et
une cause de honte pour tes adversaires.
et
Saint entendit ces paroles, sa pensee llechit
1:1
,^
.)iaj>p
)!/
^»i/
peul arriver que de courageux combattants soient vaincus et fuient devant
leui's
loi.
j-V^i^a
.-otio/j
ji-/
oiI^a V^
J'oi;^ oiiOiai;
jooi
)j,
Jloio-.^i.^jo .yooilasj;
^io^J? «Ol
Ji)o.3o
^oi.;5o
^^ULio
:|-a-.oi^
ji/
.voowlSlJj
)jL3ot
wl^-kio»
Perses aussi, ä cause du climat, viendront en häto
toi, les
pays abonde cn tous
dans II
Ms.
^aus jU/
'^^
*>:^J^
.^^j»-a,^S;^*jsj
jio,-«
^
.^^^^.^k^
[120]
y/; .06. -joKji/o otiao^, '"'^.J^^
U^t-o
>sOOt-*-3-'
I.
^
^j
^"^*^
|»s»
y/ Kil vs/
^Ä )-j^
^jo
oi\
JJ»;«
N\ :>o.A
.j;«\ ö)^
jJaa-flDJI
l^o^v-o )J^o?
Kj/ o'K-
)-A.-.,.-o
.
yoot^ u^^jlS
\^\i
.^_^K-
|i/
C)|la.3L.aLj>-5
^;
va--J;
IIISTOIRE.
-
mettons en
relief
du
saint. Cela suflit ä
mon-
maintenant, cu quelques mols,
le
i'"'
;
)K-.Ji^^
Iq-^; •
otlo-jISs
jNj>o
).3o
nm°i/i
ts.ä^jU/ -.JjLsioVo
s^oi
.|-j^_«/; I.
I 'i
-
^
jJ/
Ecrit ailleuis ua.iojo
mode de
„
jJo
|ji..aJl^oo
Maiiioui »;
i-f.
)^1/
v^V^o
.|»
ms. Sachau
otJLo»KJ.io
)laX..k2LiL
"^.^s.^
^^•^'^
^-^-^^
i\>V) 3.36, fol,
)lil
dessous pour arriver ä
lui,
""^ib^io
N^l«o
vJl:)0_m;o
:>jljlS.3
«.^^
--l^f^
^^o
öi>^;
:oi.^a^iu^
j^-„
^^
jKiiocLt
«^
^^^"^^
""^^io
)tO(
^^
«.iciio
'
^\-o
.\io^s>
^^^
y-t\
.y^i^l l^a.am.3/ o^
S-_>.
sa conduiie et le geiire de son enseigncmont,
cessa pas df combattre avec eil
J>o)Jä»
.-|^Oi^
«aJ^^o
It—•/;
"
^^1
looi
609
.jL^x:)aS. ).i^3 I-l^^ä ^.oji/
-I-So,^»
Ka.;o •.ot.sa-»;
oillSu/
jjtsVo
MAH XARSES.
:)la^t; otlol^*.
>ö^»/;o
''^!&.„^
^^bo
DF,
i..,^^ "'sss.^oo
^lUto
"^.„^io
>•>
).>^aL>
öi-baji.;
|KJ^^
'
..
IIISTOIRK
IS>.io«_l/;
oilb.
)lo'^«
oilai?i\ >o;
jooi "
).a...».fi\
>o "voo/;
:o«
—
XXXI.
121'
mais combattait tanlcM
et
ä
comment Safnn ne decouvert
tantöt
(^t
C'esl ce que nous allons moulrer main-
le vaiiicre.
tenant an indiquant d'abord les causes qui l'ournirent ä Sutuii un pri'textc .1
pour exciter des troubles.
maisou de Mar 1"
;?"
ä cause de
rexcoUence de son visage cliacun, 5" ä
du regal de son enseignenient. de l'evequi', ci'l
uommee
ciidroit, et
Jczabrl.
visage
saluer,
le
commenga
forma de
la
(TTpöi^MTrov),
cause de sa graude
4" ä cause de sa
cliarlte,
(5"
cause de cela, certain jour que
Maiiiai, sortait
et eile entra ä sa di'-fail,
A
de l'eglise et
des cliars et des grands,
a cause de cela; eile
I-"'
collule ä cöte de la
Barsauina et cliacun courait pour le voir et pour
condescendance envers
en
donne au saiut une
avait
ä cause de la uouveaule de la chose, 2" a cause de la dignite de sa per-
sonne,
In
On
qii'elle vil
eile fut saisie
a cause
ferame
la
une grande foule
d'une grande envie
ä etre enllaminee de colerc, comnie Tiinpure
maison en grande colere, pleine de doiileur
coniine Cavi l'homicide. Lorsque
Mar Barsaaina
cause de son chagrin, eile conimenga a
ä parier contre le saint en disani
:
«
'Vu ii'es
le
la vit
»it
et
s'iii-
couvrir d'insultes
pas un eveque,
iiiais
un
le
el
sujel
HAHIIADBFSABBA
'^^'^
^^
U'U ^^^
oi_i_io
vnajo
^
In
iiiarL;.
—
..UoCi.
^1
:;.
^
^
.oi-,_^
IIISTOIRE.
-
jooil,
j^^^,
'
oiUL^,
^^
ooi
I^^o
UiojL
^io IIKjI
o6v t^^o .^^f
NSs^j/
ioot
^-j^
IS^/,
^/
v-io/,
^oia^>-.j,
tv..^
[1221
v^aI Kj/, .Ivio/
^/
-.oi^
oS.©
^^U
;»3i.
N;^
),oi
^^
.^jIo
.)po|^
I.
j)0Q^ .^^jl-jJLs )3Q.aiiQ.3/
^i^l/
^i)^ici^; y^l
fnl.
AHBAIA.
:jLi^
^ao
.)Lil-^j
JKjlJL^,
^,
..jliä
jk-^i.
o^
j^;^
Scher.
un objei de veneration, mais tu veneres les autres. L'evequr, c'est voisin qur tu t'es donne. » Lorsqu'il lui domanda li' motif de ces paroles,
tu n'es pas le
eile dit
:
Tu
«
es (trop) avi-ugle pour etre eveque de M.sihr; sors
h la porte de la cellule de tun interprete, et
tu sauras aussitüt quel est le motif.
lume
lul.
i:-j
f de
que
Jalousie de VliDnune Vernix, ric sur son
la
<-ela (-ontre
qu'il
n'etait
le
Lorsque
sainl.
le
il
maux
savait quels
mencemenl jusqu'ä maintenaiil,
il
le
la
rituelle
»,
et
un autre
:
femme
laissa
a iutroduits depuis le
et
1.
\ii
|i:ix>
.Mar Barsaiiitid de
Qi(]-il.iu, /'.
s'oii '
.
:
et «
alla, il
Vil
Ere, source d'oü la vie a coule
«
.
mort
(^)uaud
0., VII,
l;!(i:
eomme
y
il
sc
fit
deux
est
le
pour
cours de son (eau) delectable
on
lut ce iniimv a
p.
[I08J
*
Msihr devant
et la
com-
retira
in
au
miniir.
temps qui vie spi-
la
les
le
c\. siiiuii.
il
excite ä cause
habitation et courle y est raccpiisition de
a porte ä la maitresse de la
temme de
fut
il
an demanda bieut(M
lui
il
monastere dr Kr/ar-Mari qni est au Iln'l-Xalxlai Fun sur lui-meme dont le commencemeut est
mVst dnune daus mou
luni,
eoiiseils,
saint alla le voir selon sa coutume,
pas aussi allable qu'auparavant,
cause, et coinine
nature humaine a eou-
la
de vains
et
legarde
y a de chars des grands,
il
Comme
conduite par de viles passions
d'('fre
est dit
combien ..
ei
liommes, »,
sur
la
les fideles
i'^
XWT
|123|
oil^o^A.'^
jl/f
^-^j
o/ -.ot^
oiioun ^io
.
^j
-
1^^ o/
).JOi
fcs^äwo
Ijoto
y^» oülaio
)i-Q~»-^oo
quo
o'etait la
des son retour
eloione; tion
'^i.
^ ^-^
'i
jKjj^
m
^oioK^/
-^
^oiös/ ^^>^
josoio
^öijs .looi
v^oiö^^jJ;
\jy
t^«
)N
)-.ooi
«
n 13
.jjL^o^ )joi ^.0^
il
il
la
une nutlc de Jone
Hl
etait
ture
(?)
rapiecee;
lin.
11
Comme
point
ou
iiicn
qui
excitaicut
il
eveillaient, il
son siege; combiiui de
de courage,
(|u'il
il
le
l'ois
liien
et les (saints)
pour tomber sur
somnieil
sommeil de ses veux
cause de ses nonibreuses il
placait dans
un
livre
sur
le
'.
veilles,
ses narines des
cn taut que piquants
se mettait fois
a
seul plat
pour deux jours;
se couvraif d'une couver-
il
cliassait le
pour dormir
marchail, ou
et
i^hauds ou agreables, ou bicn
qu'il echappail ä ses
de palmier,
un siege simple,
arrivait qu'il elait vaincu
se levait
ou nieme une
ne laissait pas place au
([u'il
S'il
il
et
dun
se nourrissait toujours
constanimeut ä mediter rollice
travaillail
il
ses yeux", mais, sur
aiusi sur
revenir'.
fit
eut un peu de reläche et de repos, et (tous deux)eurenl de rafl'ec-
sou
produits
le
il
dans un autre eudroit un peu plus
a(-hefa iine cellule
Tun puur lautre jusqu'ä
Livres, au
et
proximite de sa cellulo qui avaii excite cettp que-
cuit qu'il se faisail lui-aieme vers le soir
1,,
«
^'n *
jocx
>U-
Saint savait relle,
>^otä»
:)->>-•^o
"^'
)^..)ju^::>o /
»_«;
;V^
)la.^^^A1
o/ .-),a:!iä^o i^ut^^ y.^1 .)j^LO«^oo
).aa-;iaQ.^
Jooi
)y.^o^^ It-^^J
.jooi
devant toutc rßg-lisc, l'eveque se rcpentit
et
ici
.jJ.*Q.;3
y/o
(rll
)K.J^£;
o|^s^^J/
i^^^J '^öioa/ ^_bo
.looi
.)j)Jl^; U-t^
o/
.)..rkJü6i
oiioV-.k^
It-ioa
JVAOS oiS.s
I.
ooi
)-i-3)~3
>a_JLia\ joot j^^poo v«.^^
jooi
JN...k.aJLS
DK MAR WRSRS.
)jLV,.^\
.jl^l^wt-^CL^
|jt^)0^;
)of-2Liw
IIISTOIIJK
acides,
ei
visage
et
il
ou
dormail
ce livre ctail causi^ de son reveil parce
mains de devant son visage. Ce bienheureux montra tant
—
iniita
bien qu'il
tul
cbarnel et niortel
—
b's oeuvres
des anges. I.
iii
J.
Ce pässage
a
(ite
insiire duiis la chroriiiiue tlc Seert,
/'.
0.. Vll.
onl p\c publies par M. Mingana. Narxn) lldinilinc. MossduI. Litt.
:
«
cotes
•'.
—
3.
Litt.
:
"
froril
».
I:i(i-l:i7.
I'.joö,
l.
I,
Les ileux disuour.s vises •.'lii-:!-j:J:
1.
II,
:!2:i-:i(ift.
—
HAniJADBKSARBA
(V12
.«.2L9M
t_>>_39
jjpopo; oi^ioo y^l
Ijlso^
\.Ji>,^ilo
loio^
.
^
)toi3oi
^-»U
)* H'
|->oöi;
0(~:0f0
jLs/ .joiSxj °'-'^-=^ 1-=^
^'''^^-wSOi
IqäS
).-ä!^3;
•.)-Ä...^x>
Ji^-OLiL
K^).jK.M„>^.Op/
jick^s/;
j-'oöl
jüL^i^i
^ou^
),JL^ ^^.^j
)«-«•
^^O;
Uf^
.
)
IS.J.'
)0.fiDo
)^t^/ )t^
1./ ....oiaS^ ...JSf.:M^o sJL^tvi'^ U'y-^l
•..
Et parce que les heretiques, 172
^^!&>.iw
^^
[124]
n
i <=>
.j-X-raJ
'l'^«'
'^V^
-aßo Ms.
1.
toi.
);oi
»yrnv yooi^s^ ^°<^? U'^^^ V*'^
^..^.00 -j-ii^/
V-*_^
.v-.iooi/
|J/
)N...^JLiCi
IIISTOlRK,
Olia^^>.^^0 0|lo.O-^iO|L\
|jj-3
JV^OJL^I
AURAIA.
'
p^g
vaincre ainsi
comme
exciter TEglise contre lui,
le saint et
nomine Jacques
creux,
V\\\i
de rerreur, virent qu'ils ne pouvaient
fils
de Sarou(/, qui elait eloquent
adlierait ä Tlieresie, se mit ä i-xposer, avec liypocrisie,
pour
auparavant,
mal
le
qui
et
son heresie et son
erreur sous forme de inimre qu'il eomposa, afin que, par une composition
agrcable de paroles sonores, l'elu
de Dieu
ne recula
? II
psalmiste qui dit
Tu
:
il
arrachät
meme
le
peuple ä rHlustre (Narses). Oue
pas devant cela, mais
il
fit
fit
selon la parolc du
scras eiu avec l'elu et tu seras pervers avec
le perrer.s
',
il
plana la pensee veritahle de rortbodoxic sous la forme appropriee de miinre
sur des tons melodieux, et
il
arrangca
le
sens des Livres, selon
la
snints Peres, dans d'agreables versets avec repons, a Timitatiun
reux David;
il
un
lit
pour chaquc jour de l'anuee
douze volumes doni chacun
i'u
qualre prophetes". l'ormait
II
1.
soid
l's.
etail
deux prophetes,
un antra volume sur
fit
les
XVII. 27.
iiiiiiniics
—
2.
».
Le
liril.
Mus. Or.
.">'r6:!
reiil'cnar 71 iiünirc
de ['(iconomie (de rincariKdioii) inol
sur la cüiiuplioii des ukkuis
soit,
il
Irs
parlagea
on tout, vingt-
traites qu'il
(jui
eomposa
demandaient alors. Satan etait vaincu par tout cela,
Lo ms. du
|tai;3_.-»» «
i'Ancien i,Testament)
le
et
du hienheu-
mauvaises habitudes',
deux autres prophetes, sans parier des autres
Selon les causes qui
«
nilinrii
pensee des
«
prophüto
u.
»
»
:
les
de Nai'ses.
suivants sont
Li'S Vi |iix'iiiiers
nommes
|N£ulSi.i
se raiiporle saus doute u l'elendue des voluinos.
—
o.
.
de
Uu
:
10
WXT.
fl25!
« '«
«
1
^)CLMi
/
l
)
Ki(^io;
jJu/
^Oy ..-
1°>
1
)>>V^eL^
.
HlSTOfRK
ou^oj. ^oioK^/«
.'Ijoi
.)JL«
'"'SS.^O.oo
—
DP.
.^.m
MAJt NARSKS.
No^ ^, oUL.^^\
joot ycLCO
.,.r>
.oiK_.^ili
.oiK^^ io^ ^jjj
JJLS/
^^
^^^
)jt~~/o -.m/
^-JL,»CL.
V-3
)»
)V^>oj.:y3
ni3
'toll
t-^L^
l-^^-^t^
t~~
I
)^..J>JKIl^^s.,....'ao
il
Comniiml
Uli.
esprit, le saint
un
lit
yo^o -t-oi/
..jji^io
^''!&,.^>^o
de
Lorsquc Pirouz
ce qu'il
ä
alla
«
:
connaissance, amene
ta
doctrine de la parole de vic
parce
et,
»,
au
i-so
.)-^i»t^
des seditions
et
Bcit-Kafira'ie ot
ä cause
attendail,
commengait par
nilnird qui
hommes
as ameni- les
—
uela.'
contraire
arrivu le
lui
K-,/j
crune aiitre maniere, u exciter des troubles
clierclia doiic,
coiitic
>-oo)
UV-m-^-
In iiiarg.
I.
ov^
JJjyj
.
qu'il
de Torgueil de
Ami
soii
des hommes, qui
mon
encore
u la
esprit
y mit des paroles dures qui
qu'il
Hvaient trait ä l'orgueil de sa pensee, des freres seditleux de ses disciples allerent pres de Qaicad, lorsqu'il assiegeail Anild'
de
IJafr-ladelmö,
—
et
le
ils
'Ain-Adad,
denoncerent
lä
l'autre Jean bar
et
et
ils
—
ils
se
'Amrd'ie,
dirent (au roi)
:
«
nommaieut
l'uu
hommes maudits
Celui qui a ecrit ccla
Lorsque des hommes
est votre enneiiii et halt votrc empire.
»
etaient (du Beil) Houzdie l'apprirent,
firent conuaitre cette accusation
saint qui rient" a
lit
aussitüt
repoudu
langue pcrsc,
(•II
un autre mimrd
a l'ordre et,
ils
(-ry4'-;)
quand on
*
doni
du pouvoir
le
lut
devant
le
d, le
comniencement
et les liatizuh' le roi
—
de
abandonna son lä
1.
:
n
L'o-
traduisirent
Pcrsc
—
le
(j)romiörei et les aecusateurs cesserent et s'enfuirenl
en signe de culpabilitc.
Kii
(xiiiils
id(5c
est
au
parce qu'il contenail
des paroles iiarmonieuses qui sc rapportaienl au royaume de roi
qui
fideles
"iü:!.
Oll
lu'
(canlinaux)
iliiil
».
(liinc |i;is inrllii'
l;i
iiKirl
ilo
Nars^s
;i\;inl
irlte dalP.
—
:!.
I.ill.
:
«
le rlipf ilc-;
* f^i-
''*
ou^^-ai_«o
)."»'|J
j-x^^C^
)-i.»|_s
-ou^Jl
);JLa
-.jjL-.^js
(7/o.sr.
Unp
fois qu'il
accuserenl
la ville
passait mi
{.\iirses)
ile
liair
le
paix,
(pic le
termine son saiut. ses
all'aire el
fut
parvenu
a Aiitiarhe,
et les
le
signe caclie a
l'ait
<mi lui
:
Un
feramc etait assise avec sou fds sur sait, le
demou
jeta ri'nfanl ä (erre
gnaienl
:
k
»
pour uu bon but,
que celles-lä; prieri',
1,
i-l
Mallli.,
ifnr \\i,
Alors
la el
l'alhlete
N'liesitez pas; si il
selon
fera qu'il
tous cniircz, -JJ.
des
loi), certaiiis
»
il
\
il
et
dil
:
»
quand
cela,
Si
tti
il
fut
niourut selou
a
fall
conire
lils
il
la
promit
Tatlilete
reviens en eul
parti,
parole du
au comineatairt", unc
joui- qu'il vcnail
place |)ublique le
et,
comme
(-/.Hl-nT-^c)
aux
dil
par nos mains des
raus
dil {lr\
:
i<
saiut pas-
le
IVappa dnremenl. Aussitöt sa mere se el
l'reres
eile dit (|ui
:
u
Sei-
laocompa-
uous prions Notre-Soigneur ä cetlc occasion
l'a
•
venez dune voir ce
lui,
leva tout en pleurs, eile etreignit les pieds de rillustre
gneur, aide-moi.
oöi«
.'^Z
accusateurs en rouairent.
\'ous avez entendu ce que Salon
que
^o{ J-oaJus
ya^jlkl« ^'^o«
messager entendil
le
Seigneur ne m'a pas parle,
menaces cesserent
.öi't-so
royaiime (de Perse) el de faire de
apprit (pi'on le coudamnait sans examen,
c'est
[1201
du pays des Romains. (Juand
crucifier lorsqu'il reviendrait
(ä6>,yiT-fl;)
^o
lovlsuiw
messager (du
le
l'espiounage poiir les Romains. Lorsque
de
IIISI'OIIJK.
^a^ ^^^^^o .yO.^^1 vQJ.aa...otJ.o jlo^w»
.4((?/r
de
AKHAIA.
liARIjADUl'.SABUA
Oli
'roiit
er
rcfrrri'z'.
choses
encore
plus grandes
(leiitaiulcrez
(jiic
nia.'i
»
Knsuite,
il
ihiiis
la
cummauda au\
i..
^o
);aio>io
.^-*
^
^/
''^.^jj.
ajuioio
^.oia^iw
joioU»
MAR NARSKS.
IIISTOIRK OK
NXXI. -
[127J
^1
t-a.a.ix>
—ou^a
jioi
Uo^j aia—o/o
^.^j.bo
.|-dqa
liir.
oolo
)i
oC>ai>i
ouio ^^2»
Jo-.»
lui.
i:
V".
^*iA IS^
qui
freres
raccumpagnaionl
place publique il
plara
sitöt le
—
Cela
.^V-Ätiw -otio/;o
)t-.;;o
la
fl
ils
niain sur lui et
lui
il
demou s'echappa de
est le geni'B
lui
el
ne
il
pas ete
i'crites ici.
de sa doctrine
croix sur
la
le
la
front el aus-
desormais
(k terra).
les autres elioses qui oiit
du
eu Heu
saini,
(xa^m de sa coiidulte, depuis
et l'ortlre
de
milieu
sont les heiles aetions
Teiles
o«»-^?
X:^?
El, apres qu'il eut prie.
jeta plus
le
au
priores
lui.
de
sigiie
le
iil
pour nous indiquer encore
sulfil
et qui u'ont
uu psaunie sur
reciterent
i-^Q-ta^
^:;-^-j-'?
eu
inirenL
se
ils
:
^->i^V/
.|-Xjlji
*
lel
sa jeu-
•
lui V".
uesse jusqu'ä sa vieillesse. aus,
Celle
d'Edessc durant
enseveli dans uue
lui
Inmneur dans
el
1.
S'il s'agit dii
pour
dünner
iiüus
oumme II
Tim.,
on
\\
il
.
:W(i.
II
—
\ Lui
Amen
soll
s'agir
de
a
."i03,
preiiiier
iieuf
l'ail
On
3.
(?)
h'apres
a Kofar-Mai
dnrant
les(pii'l>
i: il
dix diil.
ans a
ans; puis
Kdesse;
se lelirer
uu\ quaraute annees
trouve quaianle-cinq ans,
plus de cenl si.\
riiois
a
—
llebraeus. C.lirnn. ccci..
\.
Nisibe durant cinquanle ans. ce qui a conduit a placer sa muil en a quilti' Edesse sous Nonnus, conniie eela
nous paiait
le
l'aris, 1877, ."i07.
Cf. :
ä
Kcfar-Mari; dix
an a Kefai-Mari, viiigl ans
uii
piiidaid six ans) an
quilquc lenips
111,
•>.
ans
li'ois
a donc pu (crire qn'il a ele a Nisibe iluninl (|uaranle-cini| ans,
eciire a Hai-
il
coreligiun-
sejüur, p. [108] a |1091.
(liiranl
nniiiaslere de Ivelar-Mari.
s'il
l'üii
a ete a l'eeole d"AMi-I)(iiillia
12.
a Kdesse, quarante ans a Nisibe.
50'i,
et
iiolre
i,
et
'.
'i.^iT
de son
ans',
au Saiut-Esprit, gloire
et
siipra, p. 1122], er teiiips s'ajoulu
<-i.
eiicoi-e
son Pere
Narses a veen
ans a Edesse; un certain temps
nonvelle addilion a
et ä
des sieeles.
penl
six
reservee, (celle)
est.
auloiir,
.laeques,
rage de sept ans
justice lui
di'
durec de son sojour a Nisibe.
le lit /'. O.,
IV. 8;
joiir'-.
les siecles
monastere durant
le
vieillesse avec tous les saints ses
monaslert! de Kefar-Mari, la
et
rouronnr
la
en ce
Seiniiriir lui (Idiinciri
vingt,
bonne
Des maintenant
uaires.
communaule
dirigea la
11
de Msihc durant quaraiile
II
a
cul.
vecu de
plus probable:
cf.
77. (pi'il
Wo
?)
supru.
el
une
a ete a
a 503 ou p.
1112],
1
ojJL««— /
^OIQ-s/;
V-^
)^.^sic>o;
w.oioK-./
.)ooi
).^aJiO
vtOtOLsjJ
oiiTi .°i/
^oio^l
"'y-iclo
..J-1-.o;
^30 fiM^/ <^OIo]^/
.0|K_.^0
qjl^;o
.oi^_3l^
|U/ ^io
v^oioK../
Ot-CQJL^v t<20
j-^-»/«
^^o; ^jJio v^oioK^/
.o<.^CLk.
)^^1/
^^s-.SO|
jLlO)
^j,.£ß\J
«^V^Ol
»s/
V-'>~>v^
^t-^! oilSC^^.:» "^^aA.
l-^'t-)
ou.«»«./;
v'f^ oi.^«oKa/o
)-fiDV'>
lo
—
U«V> Ms.
i.
;-io/o in inarg.
2.
—
XXXII.
des artions de
Histoirc
Mar Ahnüiam,
pretrc et interprefe
des Lirrrs diviiis.
Cd
athlete
(äeV/iT-4?)
spirituel etait aussi
pareut de Mai' Sarses,
il
Son pere
Par-Salidc.
iiommail
se
par Foperatioii s'occuper du qu'il l'aisait,
spirituel.
demanda
du pays de
de sa famillc
A Tage
et
Mn'tilU't;
meine de
de (juinze ans',
Lorsqu'il apprit oü etait
ä son pere de le conduire pres
etait
pousse,
Tut
il
Mar de
il
soii village.
uioude
abaiidoniier toutes les delices de ce
u
diviiie,
travail il
etait aussi
et
Narses et
ä
ce
Quand son
lui.
pere eut acceple, qu'il l'eut conduit ä .Msihe et que
eut appris
que
Mar Xarses demanda son nom. Son pere
repondil
changea son nom
Fappida
((
II
a ce
(ju'il
le
lions 1.
et
il
me
dit
[Narsi-s)
II
toi.
cliangement de son nom,
'id'i.
i'iir
«
Aussitöl
n'v aura pas
seiniile, ceci avait
», eelui-ci, de
En
«
:
il
comme
s'appelle iSarses
Abruliaiii,
par
son parent,
c'etait
deux
il
.\«;.st'.v
etait deveiiu «
le
:
de
e-l in*
en
'»V.>.
d'.
iufm.
p. [l'fj;.
meme
)>
;
:
i.
mais,
quAbruluun,
pere de iiombreuses na-
meine, fut cliarge de Tetre poiir toute
Ahralium
et
dans une cellule
lieu par proplietie
:,
la Perse.
par
la nais-
u
oiV-so^
5
—
XXXII.
[129]
U^h^
V^a-N
.oiJi»o,_=)
QUA wJLs ))v\^m\
)ju(l |jiaio .o
.^a-.j otioV* ^-io v-1^ -oiciS^
10
DE MAR ABRAHAM.
IIISTOIRE
^^oo;
y-'l
.)-*jia-^
p
)iol;
jL»Q„oii.;
"^^-i.
),oi
UU^ ..)—_a_^
U-=>) ^^'i'-^^-o^o .^oio;),
Joot -oiot^/
y^l
)^J^; ^Jjo^^o
.JiojLs ooC^Jbo;
P^
5
montra un grand
^;
)jo(
otia-^i/o .s^o«-^.a^
101.174
^»
lä
)jl3ü
zele
^^io ^):» )'ts^
-.ojX-»
un pcu de temps pour
la
et
l'ardeur de
piete et
la
tente
qu'il cut
scieiice. Son maitre
aussi
montra un soin plus grand ä son egard et, en peu de temps, il surpassa, par son instruction, la plupart de ceux de son äge. II avait aussi une teile
communaute
conduite que toute la
second Moise. Parce que
donc d'avance que
et l'aiina,
la plante (le ricin)
Quand
10
il
le
l'appelait,
pour
la
il
foula
et oii
toutes
*
Car bien
qu'il
meme
les
objet qui brüle au feu
aux pieds toutes
rnent aux Operations
les
—
passions des jeunes gens
—
il
le
et
par il
la
gräce contre
choisit les choses
ne renon^a pas complete-
du corps, car un hommc ne peut ne soit possible
corps reclame ce qui
fortifie
choses corporelies
de cette mauiere,
autreraent que par les choses qui lui 1.
le choisit
de Jonas'.
comme un
divines. Cependant,
lui.
il
lecture et la meditation des Livres, plus
appartient et l'äme choisit ce qui est oppose
cela,
lui,
arriva ä la taille de la jeunesse oü la nature est surtout forte,
sont enflammees lui
k cause de son humilite, un
Seigneur connait ceux qui sont ä
oü son impetuosite est graude
15
oi^
,_*ji^^K.ioo -.l.^)—
vooi^s^
d'avancer de jour en jour dans renseignement de il
"^
m
'
)
>-Q— )lv-^
r".
sance spirituelle. Apres qu'il eut ete
sa charite,
617
de connaitre
ricn percevoir
cette splcndeur
appartiennent, quand
eile
divine
les frappe
Jon., IV, 6. er. .SK//;«. p. tlGj-
PATR.
oii.
—
T.
l.\.
—
F.
5.
sans
41
l'ol.
r*.
174
BARUADBKSABBA ARHAIA.
618
—
IIISTOIRE.
.N-U-^^s-D Itiii^ ^oCib. )-3^^>^ )-^^^ *^ töi^; N-..^,J5o .Jj,l-/i
.|,oi
yCL^yJ» v«X=«to.^-.^
Ool
)
I,
|_iOO_— 1
^l
)-.»^
jJ/
»3/
JoOU;
J-JCH,.^
X'-o-'^t^
^'>^^
^_-^ot^ y/
ötlaioi
o'ij
vOoCSj
)
I
f>
IQ tP
V-"^
)jL.-CQJ
vjo .QUO^ls
)jL«oV
)N-,oC:Ss
jj/
a^
K_)^lajL>>o
.yOOtiol^jJ vOOt.-00|0 .-yOOlKi.,-^
O)^
Vr> ffn\r.
vOoC^
[130]
^-5)0
yOJOl
^
.«:)a-.t-0
.•Ö^-IS^J
jJ/
I
|
.»
ff"
oC^I ^oC^O-3
10
^flo^XDö/
JioVl/
et
les
^io
JjXio .!>-.
o
v'^-JÖ«
mV>;
JJ
yooiJ.a..^*'^
jloi.
Iai0t.i)
^
.J-^icui
en oeuvre subtilemcnt,
sciilpte
^oK.io ^ioj
s-öiJs
ouio J^a—
cependant son
JK n »
jJ'/
oi.^a^
.^po
Kxoo
Image ne leur
est
pas donnee en participatlon, selon l'ineptie de certains, d'abord parce qua la science de quiconque (possederait) ce caractere, precederait son accomplis-
sement dans
les
oeuvres,
parfaitement sans avoir besoin d'etre instruite
eile connaitrait tout
les etres crees,
leur existence
puisque, sans experience et sans intermediaire, ;
mais, chez
non seulement ces choses precedent leur connaissance leur
et
mais encorc leur science est precedee par
essence,
l'experience ä son sujet,
5
car c'est l'experience qui l'amene necessairement
La puissance appellative, (jui est instruite par ces choses, precede encore raction. Pour le dire en un raot, le cree est distinct du createur par toutes ses proprietes. Et si tous les etres spirituels sont soumis au terme de ä etre.
10
en est surtout ainsi de l'äme dont toutes les Operations sont plus grossieres et plus materielles que celles (des anges), eile ne peut rien faire ä eile seule, car bien que sa nature soit elevee au-dessus de tout contact la necessite,
il
sensible, cependant,
essences
(oüsfa?)
Lo
raot est
eile
n'a jamais
vu leur purete,
le
poids'
contracte affinite avec sa forme; et parce que, des
mencement de son 1.
comme
ponctuö
etre, eile est
«
Mäkä'
..,
enfermee
et
avec les deux poinls
rapproclions du mönie mot conserv6 en n6o-syriaque,
cf.
le
des
com-
melee dans une maison de chair, nous (.), sur » et sur=, c'est pourquoi Payne Smith, Tliesaiinis syr., col. 2034.
le
15
—
XXXII.
[131]
Jl^VK-s .)jV->^o ooi
o^\
^Kio/
^..oiSi^i
^io o/
•.)N_.Uf.£Q_:s
)vi'.',ii^
ts^l
^^^"•^'J
MAR ABRAHAM.
HISTOIRE DE ^'^^
y/o
) » .i..»oV
JLlXj
.)jL3^Q-. ofloS. ^jLli.
jiot '"'iss.^s.ioo
)^)-**
:)-.öiSso
619 ^'^<_i.
y^f
jjym ^
)-»->nV;
V?°'-^J"^^? lio—"o^; ^-^ o/ -l-*^
v^ °^
•^-* i^, ^«^Xjijw
5
)ly,
1
.
eo y.»^
°*^'^
^^^ *^^°
""""^"^^^^
^*^'^/ )5°i ^'^"^
V?»^''?
•.l-.ia*.»
foi.
i:
V".
yO-i-jL-X-i
^
oi^w^^
in
f_s
.s^
.ou't-a;
jits^iol
)L».ia3
.)V)^ V^k^
>
fcVirt
>
o )j/ .ij^s/
)1^
lf.««^^^o;
yoy^
).^^A.2i:»w
ts^^-«^
-.joCSs sk«/
JJL^../
J-tt^jJ?
vX-a^o
.>
«Y.t
un certain amour pour aime
l'enfant qui
Täme
)-
^^
.^oickü^ocx
>
.»m^;
regoit
et desoles
ou sur
les sens l'induisent
oü
ils
ä l'aide d'un
anneau
Parce que cet
les
^io
1;
i\
^0Q_.
^V^!
U^'y-^
a ete forme
i't
natures materielles et curporelles, et,
comme
lui,
un
homme
cliien ä
nouvaau
ijui est
.
//
*
il
songea donc
depouilla
divin Paul
le
Cor.,
i.\,
27.
—
2.
i\
et connaissait tout
subjuguer
:
et ä
vieil
homme
aux
enchainer les travail et la
le
fortifier et se rebeller
Je soumcts
innii
rorps et je
m,
9-10.
le
antres, je ne dcvienne
avec ses hahitudes
renonvele d l'image de son createur',
C.ol.,
et
comme un chameau
il
et
revetit
grandissait et
perfectionnait de jour en jour dans la pietc devaat l'escabeau de 1. 1
arrive
Taidc d'un lien,
de Dieu savait par experience
l'avait fait le
'
il
du desir charnel, ou par erreur
reduis en serritude, de rrainte qu apres avoir preche
moi-meme reprouve
science
la
ä cause de cela,
de nuit et de jour, pour qu'ils ne pussent pas se
contre
aussi lorsque
ce soit sur les natures
sens du corps ä l'aide d'aliments peu abondants et peses, par veille
;
en erreur, ou bien ä cause d'un trouble dans leur
commencement,
cola des le
il
conduisent l'äme ä tout ce qu'ils veulent
tromperie, et
le
1
)
)j/
commencement, comme
un enseignement sur quelque chose, quo
Constitution, ou ä cause de l'impetuosite
15
?>\»^o
^oQ_.
U-^)
l'^^i-'
)ljöCb^j.:äo
JLa^fr^:»^
)^»Kio
»tsJil^ooo
entre ä Tarne par les portos cliarnelles des sens,
10
l-^^"^;! •.)-'t
cette (maison) des le
pays sombres
Ics
spirituelles et divines
que
)KSl..^lo
jLbCL:^o
lioiiio
U»Vi Ms.
eile a
5
)..<^\;
•.).^a.:»i../40
jlo^o^
«oto^™^';
1.
^/
jl;
Mar
se
Narses,
foi.
174
BARHADBESABBA
620
\^\ ^^Q^H^ gj!.^» ^t-*oi
Y-*^l
^
jf-SL^ .jJLdjoA
JJJL^^D
).aQ-;LJO
.^^.ao f>\
^^^oo
>
HISTOIRE.
»tfnvi )jL3j
>
n\
f-=L^O
^;
OJÖi .|jt.cL,^o o^^j/j i^^ö^jj
>iC3^/
«Yll
.jioJia^^«
)-..An
I
^^
^M
yovvi»
JJ.VI
l«-3>^
^2lSs.
..HILk^o odoa-JLioo o»^; jotSs
^o
•.yovi
IQ
V-»J^
JV^o
J>
''^>^
n v>
>
Y -^o
.
y->jJä\
\^'l
n>o<»>;o )i.oi°iiS;v)»
)K.3o^
0(^);
o^ .-jlgiaX^; jJ/
ViO-OJ; j-^r^^oias
•.»-oto'^ojj
»
'ji-j-^^
oooi
jfroo) iooi
)^\/o
.
«
»
''>K.^
>
<>Y°>
10
jK-.^ jtCS^o otioaS
n->; ^'^s.^s.ioo .jlaxa^io;
jK.^^^^
^^.^clX •.iJLdJ^OL^ K..^;
IQ
.j
fcs^^^j ^'^s^^^o «s/
m ^Kj aiy^^ ^h.
JJ-SJ
|joi^ otV-d;o
»«fti*)
0|'^;0 .jLjli^O
)ioiK_I^oo o«N^OOi )J,o*^oiJo ouiioi ^'^>>^^^ lOuJb^^ "^.ja
I
[132]
|i°>\.ao ^oia^L^^M o^.^^o .|K»
kS/
oK^; ^^oo
^'^»^ j>iu>^ )joi
-.1 » »'»
'^kjL^'!^
j..<^^'p>
—
'ARBAIA.
:v^oio;)^ qjülsI/
,—i^/
Ms.
le
temps notable de vingt
aux beaux
fruits,
(jui.
aiinees,
comino nn arhre aux nombreuses branches,
est plante pres de la conduite d'eau'.
Lorsque ce bien-
commu-
heureux (Narses) mourut,
rillustre lui
naute durant vingt ans
Alors les freres, d'accord avec les habitants de
la
ans*. il
homme II
et
il
dirigea
illustre et instruit, qui dirigea la
cette
aux questions
mort) dans une bonne vieillesse,
de son maitre
la place
Des que ce
que
les
mages
saint
eut
ete
(^-oV/iixa)
dirigees contre nous. Lorsque ce
5
communaute durant quatre
aussi beaucoup d'ouvrages didactiques et de
fit
repondit
prendre
succeda
se souleverent, et firent docteur ä sa place Elisee 'Arhaiä bar Qöz-
ville,
haM^,
".
commentaires,
et
poserent, elles etaient
rejoindre
son peuple
(fut
Mar Abraham regut de nouveau Tordre de
10
de remplir la charge de l'enseignement^
et
saint se fut assis sur le siege de l'enseignement
— non seulement
ä cause de son Instruction, de la clarte de sa parole et de Texcellence de ses Oeuvres, mais aussi
ä cause de sa piete et
on se reunissait de partout pour venir (pres de
moins ä
le
doctrine.
Comme
1.
Ps.
I,
3.
—
regarder,
2.
de Nars6s (503-09).
de
lui),
sa grande humilite afin
—
de se delecter du
sa bouche la parole vivante de la
plus de mille freres se reunirent en peu de temps aupres
503-523.
—
et d'entendre
de
4.
—3. Ou Qözbayß.
523-527.
—
5.
Aillours, P. O.. IV, 387,
527-509.
on en
fail le
successeur
imiiiecliat
is
XXXII.
[133]
•
.oi^j;
^
)io'^>JLbo
.jlj—iK^jo
)N_3«^;
.y~ly
-
Iv^^CL^
)
^^
j>
»
-»NrNn
IIISTOIRE )jo
^4
DE MAR ABRAHAM.
.vOOt,S\ o-
)lo »o.iv
loOl |t0CU....0l
3/
•>
^
s
..
»N.:»
*
oKtvN
0(^
^q. ji.
).^o«^
.llaSvt^o
jj/
O(..00t^ .|oO(
^\ o
621
^ a^«
io,.....\
J^jf^^LäO^
jJ
yOO<\
m1^
|»
175
I'ül.
r".
^ UC^Loo )
oi^o
y^\^o
IV^Ot-^
—
%N
jN^J-,, ooi
yOOUL^
.0001
>
m '^io ^;
N^ oiK
„
K.,^^
,^/
»
oiK
I
>
.Ir^t
oK.^ X'^^?/ )J^i< ^-^; ->\1
Jl'^
^^«^Sw^/f
)t...3V;
)-^V^o .|v^, l^vai
)t-jV-
^^
yOotJDoo
mV
j
^*^ill
^°°*
^"'^-^
...<.. am..,
^^
yoou-^o
\\--^)
).:>a.«^^*
f>
•looi
^.K^l
•^»;
1(1
JLLm; -.o
mU/; wO(^
.
..
de
«
I
t
'^^-^
oj^a^
oooi
VtO OOOi y^- " "'*
>
i
.
.
»
^o,.^
..
;Q.^.N.^ OiXLlf
que l'ancien endroit reserve aux ecrivains
lui et
jJ^io^ ^L./
)^f-0
^^
etait etroit,
-^l
il
-.oooi
•^"-J^j
travailla a
construire une aufre maison grande et spacieuse ä cöte de sa eellule, pour qu'il leiir füt facile
rement 5
les actions
d'y ecrire et d'v terminer leur travail.
de son maitre, non seulement pour
mais encore pour Tascetisme jamais
*
de chair; son
lit
et
les
le
grandes privations
etait tres simple,
11
imita entie-
jeüne et :
ne
il
la priere,
raangeait
orne d'une couverture de poil,
'
r
et,
par-dessus, une vieille couverture de laine. Les ustensiles usuels etaient
des plus vulgaires, de trois genres,
les
uns en terre, d'autres en bois
et d'autres
des calebasses. Son vetement et son manteau etaient tisses en simple laine, car iii
il
pensait que rrux
Seigneur
pour cet
'.
En im mot,
toute la qui
1.
les habitants
de
comme ceux
les
rois,
selon la parole du
la ville furent saisis
les fideles,
mais encore
d'un les
Corps, car
ils
une benediction
amour
paiens et les
nom
et
les
vötements
avaient eprouve que de
nombreux
«
»
des Apötres, etaient operes par leur moyen. Souvent
s'en allaient et partaient ä la seule invocation de son
.\i,8.
tel
serment par rinvocation de son
communaute regardait comme
demons Matth.,
seulement
sincerite d'un
avaient touche son
prodiges, les
sont i'ptus de soie sont chez
homme que non
Juifs attestaient la
15
qiti
nom.
175
foi. .
BARHADBESABBA
622
Na
Q^j .JloJLÄ^'iai "^iaä.
;a^.
«s/
)-i»j
y*ou3 )
n
I
:)i
i>
°>v>
i:
^ioo
Q~L.io; Joch V-iö/
vOOtJ^
.«Hij
^^/ 1,
>-Ci>vioo
-.J-äJ^;
K_3j
ooi
);oi;
y^}
joot
vfoC^
^
ji^jj»
o..->tv\\
)!-./;
vOOiJ-»^i
^j',:x:>o;
JI-in>oi
ioot
yCLflOV^J^o )KjL.,J>aJ> vOO|.aü
^^/o
).iea*js
)-<ja.,^
^io oj^
.o»j»;
.yO^^fJo
vi^'-flo
..|.v^m3o;l;/j
^io ^^a^äi.o
y^lo
\^l
oto ^CLCOo
^'^io
-x^-liA;/
jot-Vai^
I^-Jus
^°«"^
^
oti-stoo
.)j/
jLi/
oipKio
jJo
KAlo Ji^lSs ^^oü^
^*Äi;
^ajojÄs; U>.
Voilä
de ce saint;
les belies actions
est le pere spirituel qui a
il
nombreux enfants
ä la verite de la vie de II
^^
Jjl.',^
[134]
)»h*^ |1
^t-^?
)-~»Iji;
:Jv.2u^; oCS^S^io^o loioj
"^^^ )»oK3
•.)^ä^
fui.
n*°>:bo; oiK^üjlS;
HISTOIRE.
oCliwa )jo«o .)JL-.j
ye^ ^-^'^
..)ji/
jj/
—
'ARBAIA.
(enleves) ä la seduction de l'erreur.
s'appliqua tellement ä renseignemont que non seulement
comme
ä Tecole
dans
fortifiee
le
demaude
par ses
ecrits.
trouver
11
vit
eu
—
inais
il
la
parce qu'ils etaient herisses de grec
ei
il fit
regue de
nombre
et
son maitre.
il
les
qii'il
cxpliqua devant les freres l'aire
freres de
lecture des volumes de fliiterprete
obscurs ä cause de
pere soigneux,
il
maguiloquence
la
en ecrivit
il
prepara
uiie table
ne s'en detourna pas encore, mais s'en occupa aussi avec zele
par leur bätir un hospice 175
et qu'ils (Jui
a
('fv
^evoSo)- elov
i
u'y fussent pas disperses
malade, sans quc j'aie
d'objets et tout ce qui 1.
(
II Cor., \i,
2ii.
etait
ete
pour
,
*
et
qu'ils u'errassent
moques;
malade'?
II
le
il
le
lo
la tradition qu'il avait
bien
servie et la mit devant eux. Lorsqu'il vit qu'ils avaient d'autres besoins,
loi.
r,
cet (enseignement)
beaucoup de
difficile ä
cxpliqua clairement d'apres
Comme un
necessaire
par sa parole embellie et
de cet liomme et des interpretes qui Tavaient suivi. Aussi plus grand
le
et
voulut aussi
eilet qu'il etait tres
seus des EcriLures dans
le
—
la regle (tzcic)
de Torthodoxie, parce
la verite
pendant de longues annees
engendre
:
il
pas par
la ville
semblait dire aussi
bAtit,
il
commenga
:
y mit toutes sortes
necessaire (aux freres); trois fois par jour
il
ir.
—
XXXII.
[135]
^
^^\oi ^;
•
.vOOi^aJLO; ).A.fiDioK\t y^l OOOI ^jwJSJS; yO^bOO .yOoC^ -
.
..N.
r>
«N/% .. ^fffl
t^oi ^oiV^]S^^
.^j|.ia^o |i).^Q^
)^-/j
-oi-s
)..^Vl
^'^^.^s~:>o;
^oo|M^
)ooi
ool
'"'^^..Jli.;
JSw/o
^^i»^
.JIJJL^^D jtCbCSc^
If^ jKso«
^)a^l
1.
In
^l
jjLla
JJLSO JlV;
malades qui
malade
et
de
donnaient pour
celliiles
^J^jl^v^^o
jlpAo
yoogi^
J-^><=>^
,il\
^j^-^poo
oooi
^
otx>V^
l-i»-^/
As^K.s
ö^^^o
.oC^; jKüaj
:
ils
et le
pouilles et mis
)-OCL
^
..«CLlLiS
ii
et, lorsqu'ils
il
nu
!
II
ne leur-etait pas
joiiir
desormais de
breuses causes
!
combien de
Lorsque
et d'autres semblables, il
:
la joie
des cellules ce qu'ils gagnaieut
etaient malades,
comhieu de
facile
ils
etaient dans la
fois ils etaient de-
non plus de venir
et d'aller ä
il
fois aussi
cellules
n'etait pas facile de sortir et de venir,
fermees par leurs maitres pour que il
leur arrivait d'etre arretes
comme nom-
des voleurs, ou d'etre repris pour des affaires d'impurete et pour de
quaud
^:bO
^_bo |)Ss™.CSLo
y eu avait parmi eux qui avaieut leurs
y en avait encore auxquels
rien ne se perdit;
pensait
les fideles;
a cause des portes exterieures qui etaient
et.
j^oi
selon la parole du Seigneur qui dit II
la locatioii
deuüment chez
l'eglise et ä Tecole, parce cpi'il
li
jL«V-3
|l|^a^
.^;).^o\o
ool
j..»«.^;
^« n
)ooi
s'apergut qu'ils souffraienl eiicore beaiicoiip de ii'avoir pas
pour leur propre nourriture
;
oooi
.)l>\>0;
s'y trouvaient,
il
tres loiu
^io
^O
in'ucez visitc'.
vuiis
des freres quand
souflVance
^!
K^^
^.t*^'?-
visitait les
J'ni etc
^'^J~^J
)JSs„.2SL09
°°^ ^k.söu
).a„»o'f-3V
/
.'JIoaJj; jj^L^a^fiO^ vS/
-.oC^ ÖL^Oi^«
)jL30 v^.2u;.l/
marg.
lycot^'^
jJ;
)mii^^
'^^ioo
^«^^
K..^
j^s^^^oo
JJonmJJo ooJ.
jj
^).A. .^oilas/jo ^..oü^o ^ji^ot^a
otJS.
^^s^o 1«^
y.^\j
.jjL^a^oi^
^^5is^5
OOOI
joOt
i-^)-^ oi^
.|Jk.«!SLo
|-:>eL.3
)ooi
.)K_>^iLo
'».^K-^ )^jl^;
^«
^!
vooi^
-.^o^io
]i
.OOOI
1
^^^i
«.so
623
-Iv^/; j^-iu^^
oi^pt
K_.ooi
.f-.2Lj^
.^^«^^V^^v^^o OOOI ^.CD'^l^^J^
10
\mo
.wuüolt
•
OOOI
5
MAR ABRAHAM.
HISTOIRE DE
la lui eut
il
le
beni du Seigneur reinarqua toutes ces choses
demanda une
donnee,
ses propres ressources, et
il
il
place au fidele Qahvi, medecin du roi,
prit soin
de bätir quatre-vingts cellules de
partagea ce (bätiment) en trois cours,
et
il
bätit
des bains, Tun pour servir de rapport aux freres et un second pour donner des I.
M:iltli.,
XXV, 36.
BARHADBESABBA
624
3.^|_=)
* fol. 1711
),—
^^j
)K-.t^
oiX2U;
p
^iO )>•.•')
l-iO-Aj
JJL./
fs^l
jooi
1
1
.^
n\
jooi kJL^aj.^ ^s„..^f^
vOJÖi
1
.|
.
\»^o
^;
v^ua.>«'J./
a^o.^/
^-^Ü^^
oi\
.ooi
yS>
^; '^^.^
j'pi^;
ressources ä l'hospice
d\ni
(cevoSoj^^etov).
village pour niille stateres
docteurs
et,
spirituel. (^)uant
pas
momcnt de
montrer fol.
dirent
:
«
II
il
le
fois,
adore
sut que c'etait
LiU.
:
'I
)ju>Jo yV-^t cH.JLoa^ oü^
i;
y>^ jl^io*^
)jL.oa^ oöi;
ii'y
il
les
On
pdiir
*
^oioi^«^ oooi o-2l^/
sa nourriture,
commanda de
il
jj^^o-co
acheta uu
doiiner ses revemis aux
surplus ä l'hospice
(^svo^o/eTov)
courir
habitants de
laiiipe
n.
—
de
reciter trois
fit
:
{i%lr,x-nc;)
le
freres
de nom,
aux astres. la
Croix
et,
lui
:
«
fille
donna.
l'accuserent
quand
il
se levait
et
image
etait
il
une
etudierent cette affaire et quand on
de
la
m
pour
antiennesdevant cette image, puis
(ces freres) prirent la fuite et
une
pour
Car le saint avait une
»
bruit que cette sainte
la ville
faits,
imaginerent
Le saint avait mis une barriere^ devant
2. Litt.
5
par les etrangers, ce n'est
secours que Notre-Seigneur
mauvais,
une calomnie, alors
l;i
fideles, tantöt
sacrifie
il
JS^l
avaii pas noii plus d'enclroit
piit tirer
le
10
fureut suscitees, tantöt par l'eveque de la
et Ic signe
plus tard une autre histoire
1.
il
äiiie et le
les idoles et
commengait par
Lorsque
lui
hommes
des
saluait aussi la Croix. idole.
,-w^
wJS^ j^Ka^; .^'p6/
raconter. Je rapporte seulement uirou deux
image de Notre-Seigneur roffice',
et
communaute des
fermete de son
la
Certaine
iTfi
((TTaTvIp)
aux guerres qui
tantöt par la
le
^^ ^;
j
^f
^^lUo
Tels sont les fruifs utiles et delectables de cet athlete
des freres.
ville,
Comme
y en avait trop, de donner
s'il
"-> .
:)jLoa^ oöi
•)-^t»<>
maitre de lecture et d'epellation
le
:jL.a^«
« t
|too»
)„^v^a^j Ki.^-1/o :)Kjl.^^ «j-ü ^io
ooi
^•t-'O« -.JJOI
>•/;
OÖI
^
^^°
^^oio
vi^JjLio
joot
^
.wuh^f.^ )fL>cx.j\o
y°^
^°'^
.\j.:^\leo
y.^1
s-0(Q-^V-^J>
l-Ä-j/
[136]
)-coUI^Oo;
joot
öiJLio
|la.^«_^..*^;
jlaao..«^.«^;
Oi^;
lUSTOIRE.
\x.\ n :>o
.|jLw..,^oiioo
jjMOJ^o .-of!^«
—
'ARBAIA.
porle »; Vestibüle?
la
porte
15
)
> «1
n \
'•j
»^o
>
)_C,:^^.^s_Q_i>
jiCbw^jj
.^cn
^ " ^
oi-^ jooi
i»'>~^
.yopol-Ji
vn
—
XXXII.
[137]
f_3;
jj
ÖiX^oiJl ^^;
jjoi
vS/
^.*/
'^^'
OOI
^o
^3
»,«
HISTOIRE DE MAR ABRAHAM. IN
l-^DiaS o-^^i
.jjtxx/
^^K^o
^^~•..^;
jy
i
•>
.JV^i^ jKjÄio
^_io °>
ot *
i
)t
.JJMO^^C^ oi\ "-o^;; a^OOl)
.^mJ)
oUf^jl |'>\n^
loJS,
«
v<
i;
^^
.)..iuAoV^ v^-*?*
U>o^
j_JL_^i» vO
K-wjKa/j ^-;
625
*
:)^il;
|jü>.i>io
|.3l^^
iKäo;
yt^l .)K,I
01*^
jlo,.^>.<|-3
yOOi-L^
..i./
.,
Vi;
ifJi
t-~
jjLSjpo
|jp^ajaQ.\
oxterieuro de sa maison, [lour que les animaiix ne pussent pas entrer, parce
que sa porte
etait
constamment
oiiverte devant cliacun.
II
avait ete le premier
ä faire cela ä Nisibe, ä rimitation des Romains. Les mechants repandirent le ^
bruit dans la viile que cette machination avait pour hut de faire adorer son
idole ä
quiconque entrait dans sa maison
face de la porte, dans les murailles.
que
la
Lorsque
croix
»
;
et lorsqu'on eut trouve
eut Fidee de se jeter dans lorsqu'il serait noye,
reussit pas.
comme et i"i
il
lui
(äO>.-/iir/fs)
eleves contre
moi
L'idole est cachee derriere la
encore un mensonge, Tun d'eux
le vieillard,
fois ils l'accuserent
devant
le
afin,
mais cela encore ne
marzban' de
la ville,
qui troublait la frontiere. Celui-ci n'etudia pas Faflaire,
(jui
et ils ont
Gouverneur perse des
«
maison de Rahban (Abraham)
puits de la
divin apprit encore cela,
combats aver ceux
I.
c'etait
que Ton emprisonnät
Une autre
ei c'etait
le
que
:
envoya son fds en message aupres du
l'athlete et
les fideles vinrent et trouverent
Croix etait pcinte en face de l'entree de la porte, Satan entra dans les
calomniateurs au point de leur faire dire
1"
disaient qu'elle etait cachee en
ils
;
roi
il
dit
cDinbatteut contre inoi,
parle V iniquite'-
l'rontiöres.
—
2.
Ps. xxvi,
.
pour perdre :
Ju(/e,
l'illustre.
Seigneur,
cur des temoins iniques se sont
Comme beaucoup 12.
Lorsque
man jugement,
de fideles etaient
BARHADBE^ABBA
626
U-^j ViCL^ :U^io la^ )^^>-/
:..o»^/;
^
fol.
'ARBAIA.
-
HISTOIRE.
oo«
"^J
[138]
.yOOi^jJLo^
r:=»°°
/?
ITC.
v°.
o^
yso -l-sä^j
..o.r. l|
^^oo -
»
w^^Oo
.Jooi
JJ/
^
.occLi.?
"
- -
."-.
)>.<-©
V-..
affaire,
inais
il
les
quand
i7ß
tant de peino qu'il mourut, lui aussi,
il
^^^v^o
«oioS^ a^>^o )c*2^;
;>a:^._«l/
:
K*^«
vX^ ^; ^»K^
-.t-m««
.jlo-s^xs >J»j«^i^?
Le Sei(jnntr n'abandonne pas
qiii les (ipjiriment'
qu'il eut
et
avec tous ceux qui Taccompagnaient. fol.
^
vemje de eeiix
'
otionnriN
les reconfortait
roi
pere, en parole et non en acte,
-.oio^iO.
o^^^^^^IIa
..owotia-s
il
du
arrive pres
^V3
n tPQ°>
-
U-^
):»^iw )jot;aD»
jlaiois.
')j
ceu.v qui Je rvainnent,
tut
j-iCL^'i».
"^i^^o
cause de cette
messager
)jl-^
I
-/^^
.-tV
tristes ä
j-.;öo»-;
^oiaiLs,^s.i^-s oooi oioi^o .oo» vs/o
vooi^j
Q-i^Su-o
.yoot.**»
accompli
arriva au Tigre,
Quand son pere
la il
se
.
Lorsque ce son
volonte de
noya
l'apprit,
il
el
il
perit
en con?ut
troisieme jour. Tous ses ennemis
* le
rougirent et se cacherent la tete.
Plus tard, Satan souleva contre crucifie (le Christ).
craignirent
condamner
ville,
la le
Toutela s'en
vieillard,
lui le
ville etait
si
.luifs
ipii
out
soulevee contre eux, et eux, parce qu'ils
remirent ä
comme
peuple mauvais des
l'eveque
lui et
d'alors
ses disciples
et
le
prierent
de
10
etaient cause de la
maladie le mena discorde. Le saint etait alors tres malade et la force de la des jusque pres de la mort, mais les yeux de tous furent obscurcis, aucun fideles ne lui vint
1.
—
ils
changerent
la verite
en mensonge,
et les
gou-
condaninerent avec ceux qui etaient denonces comme lui. il fut gueri de sa maladie, il vit que ses gräce au secours divin
verneurs perses
Lorsque
en aide,
Cf. Ps. .xx.wi,
le
-IS.
—
1,5
XXXII.
[139]
^ ^otaiULOJ«
)jü/
oiv>;
.)ooi
sur
^/o
l'ecole
.»a)QJi.a_3
que tous
fui et s'etaient caclies,
chömait, et
il
«JJ»-^^- l-W
comme
Oue
m'aidera
Aussitöt qu'il
seulement
toujours.
»
implore Dieu
eut
devant
Ic
roi
fit
il
alors
)^-«.aft
"^^^^taKio
JJ«
(.•)
ibi.
177
sur«»
Jacob
lui
et
y
avait
un
frere dont la
but de lorthodoxie,
il
comme
Epb.,
defaillait,
IV,
13.
:
Qui
—
est.
Tous
«
le
vicillard,
(Tro^'.Tiix)
;
il
uon
le
haissaient ouvertement
auparavant. Satan excita toutes lui,
mais aucune
pour une cause quelconque, du
conibattait courageusement jusqu'äce qu'il eüt detourne ;
il
supportait toutes les souffrauces pour
faire un hoinine par/äit', selon
semblait dire
:
pensee de laconfession orthodoxe delavraiefoi.
pensee
sa pensee de ce penchant errone
pour en
dit
ses grands Taccablerent de
ceux qui
et
ces choses et encore de plus nombreuses que celles-lä contre d'elles nefit devier le pied de sa
il
Pere des benedictions?
devant toute sa cour
et
retourna retablir l'ecole
le
comme
en priere,
cassa Farret, mais encore
il
rougirent et
1.
^
-^l
pas impute. Notre-Seigneur se levera
soit
Sil
l^oO
.v.«.«»\o^;
les freres etaient disperses, qiie
cause de cette affaire; albrs
apprit la
grauds honneurs, ses ennemis Caches
15
^
U»*>iö3 Ms. Le mol est ponclut- Poursäsnä', a I'aide de deux poiiils
j.
trouva misericorde
10
^*/
^^o
cxK^^-io
Jjlsol^;
^^io»
)»oi
m'ont abandonne, que cela ne leur et
^.«JL.
^'^.Isl.cd
627
i.
amis avaient
5
—
.w.oiaa!S.M )ooi ocx
MAR ABRAHAM.
HISTOIRE DE
.jJ^' )i)-"0
v«»-'^^»-'
IbaHae/o Ms.
I.
el
j;o«j
t-iö/
oi^^^-srinX
^/
—
la
inßnne saus quej'aie
2. II (Jül-., .\1, 29.
lui,
parole du bienheureux Paul, et
la ßevre'
?
A cause de
cela,
*
le
il
peuple
* foi. 177
BARHADBESABBA
628
.ffr.
'in
^ m in
^GDoiotjio
\£DoiOf_;
jLiCLi>J3 OIOJJLDO .•).:%.Lao\Si>
jU jN-
r.
U^;
.^;r.j\
\
v^
-s
1-3.)
^I^/
oiK_.«ol
I
')0
:t-2L^
''^>^;
^;
^
yOOiSj
JV^-«/ jio
)
—
'ARBAIA.
)j
HISTOIRE.
\^l
/
"^^s^ ©•».flQ-s/j
v^<^?
[140]
.j-!^
^ °> Pfl
^^«\oi
a^^
l"=>-3fISc.^^^
^ yOOOOJl
.-J^I-JlS ).^sJ;^1/
.vOOi ;:v)oi o i
^.so
)-^ov^ yA.2L^ ^CHa^^^-sfesj;
mn\
.',
f>m
.°>/
Hl
""^.^Oo )lt— /o :)i)-'^^o I
)
•
o.\r>
;^o
.
odQ.a-._flO
.)K..2k:;Ka^ looi )^|^i
.);ot.s voojii.
^^o
a^^;
^^s^io j,^ >^6i
;
^.N
m Vi\
);0)
jooi -.. •\*>o
I
jJ
v^-cd -Joot t-'^^/; odQ.i.°>\ ^; li-^^
."^jKji/; )^^)j
^^
1—°'
^a.JO
">=oJ'-
..oiK-;oi;
des Romains, tant les partisans du concile (de Chalcedoine) que les Syriens,
une grande haine contre
eiirent
enleverent ä l'Eglise de Nisibe et au
lui, et
Saint lui-meme tous les honneurs que lui rendait alors l'Eglise d'Antioche ',pour la
cause suivante
:
lorsque certes (xa^x)
doctrine et de prendre il
la leur,
que
iit
il
avait ete soUicite d'abandonner sa
alors l'elu de Dieu?
eut soin de conserver sans tache la vraie
de
lire
dans
le
je
veux dire
le
— Non seulcment
mais encore
foi,
ordonna
il
Livre de vie (les noins de) ceux qui l'avaient prechee en evidence,
bienheureux Diodore,
vaillants qui mepriserent tous les
et Theodore, et Nestoriua, athletes
honnmirs du monde
(iÖXvi-r/]?)
obtinrent
et
(la
foi)
par leur propre travail. Lorsque les adversaires apprirent qu'il avait fait cela et qu'il
de
lui
ne voulait pas se tourner vers leur heresie,
demander une apologie, avec parole
claire,
ils
au sujet de sa
foi, et
eut
venir pres de lui et de repondre lä-dessus,
le
faire,
cause de sa grande vieillesse qu'il avait.
de sa confession, 1.
II
senible donc
dcjnte Justinien.
il
II
et ensuite
ne put pas
ä cause de la
mit par öcrit ce qui etait beau
repondit aussi aux questions
que Nisibe
et
6tail resl6e en coinmiinion avec Anliochc.
—
d'abord ä
charge de
envoya
((^•/i'Trij.a)
2.
une
demande de
lui
il
lo
persuaderent ä Cesar'
reponse aux questions qu'ilslui adressaient. Lorsque Cm(r
gnement
s
la
qu'on
l'ensei-
doctrine lui
avait
L'empereur grec; sans
is
;
.y\
.
yooud 5
>
I
,,
vi\'to
«
«
.^V> ..)»
.sf> >
—
XXXII.
[141]
.yga^JS.-^
»o ..'V)
.
po
|ioi
^^
:^^^
y/
);0(
^ca^^a^k-QQJo
.yooil^foio
..«,>. .'S;
|t
)..^0O^
«
«
I
eo
-.yoN—j/ ^A^CL^V
JJo
^^cx
JJ^JOA
v/o -l-^Oi )l
.^oi^m«
t-^./o f-^^t-O
o^o ^^
\if^
> «i,a..«_>.;
jK^oio^o
joiJSSvj
.yOoC^
);/;
^y-»^
°\-^l
yOOi-.ot.^äii
f.^'O/
«>
629
.oC^
^cooiotjlt
)o(.^; )K_30ia:^ *-*-^ ^coo^o;)! .^o^j/
°>^...^
yolSsj/
t
vA^/
s\.^Qji
-.looi
°il.l/
»^
^^
ji.^
MAR ABRAHAM.
MISTOIRE DE
vxo^ia^^jnjo
f-s
.yOajLSü ""^^
yolSo/j
177
fül.
V".
);0(;
^.iJ^/
>o^
f-ik^ yOJOi .^o^o/
yooi^
)oo(
)p>«
^1
>
.
«
^^o
jJ)
K^/
^^
)-i;OIQu^
.
q
I
^^Xm v^oX
I
v> »ot.^
-I^V^
Comme
adressees.
K3L.'^iX>
avec un
»
leur dit alors
II
ces saints qui vous chagrinent, 5
repondirent promptement leur confession. et leur dit
vrai, et le 10
:
«
ils lui
nom
telles
»
;
15
ainsi,
et
•.yoKj/
^;a^
«
^^oi;
.-)Ju/
dirent
toi, et
«
:
Chasse de l'Eglise
toute l'Eglise sera une
Ce sont
les
deux, les le
noms
vörite, car Ic fils
«
(ä
noms de
nom
saint s'emporta
du jeüne les
Theodore signifie
».
Si
«
la Trinite et
?
»
Ils
möme temps
et en
contre eux Si cela est
don de Dieu
»
vous haissez ces noms, vous
ennemis du
«
don de Dieu
»
*
et
du
associer avec ceux qui
choses? Si c'est leur doctrine qui vous chagrine,
completement
yOOuöi:>eLjL;
Est-ce que ce sont les
comment pourrions-nous nous
que vous nc confessez pas a etö pris
jJo
6 excellents, ou bien leur doctrine
vous-memes comme
jeüne de Dieu
mi ^
joC^f
donc mauvais, plus mauvais que tout!
etes
Nestorius signifie
pensent de
«
:
Lorsqu'il entendit cela,
»
Vous
vous etes loin de toute
vous designez «
:
.
^0(;
Theodore et Diodore et nous serons d'accord avec seul pasteur.
>
* -n^
-
-a
furentbattus en cela,
ils
)1oi
,
yoK^ooio
).*'^.dOJ
vOO|,j>
)i
.soNj/
./o
"^
1
)
.^jo^o >.»«../ ^^oi .oC^ Ot—^/ ^^oi '^ f)oi\ JJML^J^ wOoS
oC^a^
JjUcl^ ^-^;
ILdO^OiS«; .^JLa.^«^
I
JKaJi.«
i.>o;
>
..
il
est evident
que vous ne croyez pas que l'homme
Tincarnation), car ceux-lä tiennent et confessent
vous 6tes etrangers a toute verite.
»
Comme
ils
n'avaient pas de
Quel avantage y a-t-il ä faire memoire des noms de ces hommes pour que vous y teniez lant, nous n'en savons rien r^ponse ä cela,
ils lui
dirent
:
«
177
foi. "
^
\ BARHADBRSABBA
630
yoy.SL^
i-cQ-o
^KjL) jj
)jL5j
Q^j/o
-.ocjcLi.j
^j
oiv^j
K^|v*:bCL^ )iQJL2LXi0j jtC^iCLiO
.öt
>
^^Ol^I/
q.^^jmloII )Jo ^oiai,S.\
tout Tensemble. (de lire) leurs
»
,_-.iä^
."to V» ''^^_ao
au contraire (uous ne voyons
lä)
IIISTOIRR.
°>\^ '^o
.
.).iCLiQ_/;0
vOOiK-,QjLio 1q_3l^
jJo .^OtÖSL^
—
[142]
)Q^ j-Soomg»/ i>coa\aa\
l-iV— /
)Lr..i>. oi I •>
JLioi
'ARBAIA.
que mepris
m IQ
>o„\
'''^o
.| >
'o
^'-^^
j-JisJ^;
^ou. JJo
1
;^ ^^\oi iK^
i
>
^
.K-.|,
est
^,
JJJM;
.
°>...
iii
)jl3j
separe de
t'es
Le saint Icur repondit encore ä ce sujet
noms
./i'>
>
I
jiCHJuS .)JÜLA
^V-^o^o
et iiijures,- et tu
m
«
Le refus un veritable reniement de leurs doctrines; et si «
:
nous renions leur doctrine, nuus nous mettons, conime vous, en dehors de toute verite.
»
Apres
cela,
allärent devant Cesar et
il
envoya l'eveque Paul
defendirent
ils
qu'ils prechaient', et ils rcvinrent
Ce bienheureux
etait
de
la
la foi qu'ils
Tamour de
possede de
dirigea cette
nuit et de jour; la
commuuaute durant soixante il
ne se fatiguapas,
parole de la doctrine, mais
en leur place
{ta.i,ic,);
il
il
si
sa vie fut de cent vingt
le
a^s^
lui, ils
l'ortliodoxie
les
et
souffrauces pour eile.
peu que ce
soit,
disposa avec sein lous
fut enfin reuni ä ses peres I.
t.
111,
les instants
groupes
de Tecole
et toutes les tailles
but de reconomie du Christ. La duree de ses
yeux ne s'appesantirent pas, ses dents ne
en paix,
comme une assomption
Kbeiljesu allribiui a Paul, cvtSque de Nisibe vers 1,
p.
87.
—
2. II
serait
mort en
lo
deporter parfaitement
furent pas usees, la composition elegante de sa parole ne fut pas detruite; il
s
de ses
ans, dans de graiules veilles de
se conduisit avec tous les
Selon leur mesure, d'apres
avec
avec graud Iriomphe.
amis, au point de supporter et d'endurer toutes II
et d'autres
professaient et les Peres
569, of.
55'i,
qui arrive en
une controverse avec l'empoi'cur, Biöl. Ur.,
P. 0.. IV, 389. Sa naissauce se placerail donc en 449.
is
XXXII.
fl43]
viL.»
-
IIISTOIRE
.«..X^jo
yocuy^l jjjsa^C^t y-»/o
DE MAU ABRAHAM.
t-^io-^
joC^»
631
l-L-o-^t
y-»/
y°r^
^%Jio
lul.
vi\n!S.
.^A^OL^O»
rCt
T
1 ja.
*l
Vag
|'f_a->/o
t<*
.^«.^/
comme
t^th "^cnTrircr
des belles actions du saint
rayons du
volonte de Dieu et
fit
et
sa doctrino vola
accomplit tout selon
— comme au bienheureux patriarche Abraham — (Dieu)
la
lui
revela et lui decouvrit toutes les choses cachees et les mysteres secrets de sa
providence
*
adorable et
il
la
precha ä visage decouvert
toute la terre habitee avec le secours
du
Christ.
A
et
h'iii (li'J'liisti>ire
de
Mar Abraham,
ä haute voix par
lui,
ä son Pere et au
Amen.
priUrr et iiiterprhte des Livres divins.
d'ecrire les liistoircs des saintx Peres, reciieillies
— Fini
par Mar Barhadbesabba 'Arbaiä,
prStre et iiiterprete.
Gloire au Pere, au Fils et ä l'E.spril-Saint dans
Amen. 1.
Lill.
:
«
la
cause
».
les
siecles des
siecles.
I78
loi. I
Saint-Esprit gloire et honneur dans les siecles des siecles.
^<'
;
).<
points cardiiiaiix, toute
soleil, aiix rpiatre il
J^
rcfiuAJL^ iCnli.
jnin-ix
^OL^oC^ jjtiOA; )L.o'^o jf-^\o j^jj
l'liistoire'
les
J^mO^J^o ^oio^jJo oi^; ) .«-..,«
-.ILiita^;
enlairee par son enseignement;
la Perse fiit
5
« IQ«
.^^«.äCL^^^
son temps. Teile est rapidement,
)
178
.
THEODORE DE MOPSUESTE CONTROVERSE
AVEC LES MACEDONIEiVS
PATR. OK.
—
T.
iX.
—
F. 5.
42
I
INTRODUCTION
I.
servee
aussi
178-187. Cf.
II.
—
Le MANusciuT. dans
La Version syriaque de cette controverse est coiiseul manuscrit du British Museum, Or. 6714, fol.
le
siipra, p. [6].
HisToiRE LITTERAIHE.
etait alors
la
mötropole de
— la
Cette coiiference a eu Heu ä Anazarbe, qui
seconde, vers lau 392'. Les 6veques
Cilicie
macedoniens ne voulant pas discutor avec un simple pretre, les orthodoxes commcncerent par creer Theodore eveque. Plus tard, Theodore a redige cette Conference
en grec, ä
ete traduit en syriaque.
a et6 jusqu'ä laisser
1-.0!
la
demande de Patrophile',
La traduction
et ce texte
son auteur
est sans doute fidele, car
mot
esprit » au masculin, bien que ce
«
grec a
soit
feminin
en syriaque. Rarhadbesabba a mentionne cette coutroverse dans son histoirc, qu'on et il est assez naturel qu'on l'ait transcrite ä la fin. Nous ne croyons pas en trouvc mention ailleurs. III.
CoNTENU.
—
Apres une courte introduclion
(1),
Theodore rappeile
la defaile
des
Macedoniens (2); il raconte qu'il a leint ne pas savoir quel esprit, selon eux, n'etait pas Dieu (3); lorsqu'ils lui ont repondu que c'est l'Esprit qui esl saint par nature, il en conclut qu'il est Dieu (4, 5) il le montre encore par les formules du bapteme et des ;
benedictions
comnie
il
(6).
II
n'est pas
provient du Pere, car
une creature,
a la maniere des creatures,
du monde
et le separe
il
il
il
ne peut provenir d'un autre principe et, s'il provenait de Dieu
doit appartenir ä sa nature (7)
serait associe ä celles-ci
donc de toutes
(8),
les creatures (9);
", Paul a du vouloir l'individuer (iO). Les Macedoniens demandent quelle est
;
mais Paul l'oppose ä Fesprit
en disant
:
«
II
est l'Esprit de
Dieu
1.
Cf. supra, p. il8J.
2.
La plupart des ouvrages de Thöodore
que soM commentairc sur Job
la
maniere dont l'Esprit procede de Dieu.
etaient dediös a certains de ses contcraporaius. C'cst ainsi
6tail dodie a S. Cyrillc d'Alexandrie.
raenliou de ce Paliophile. C'etait peut-etro
—
— Nous n'avons pas
un öveque, puisque Thöodore
trouvö ailleurs
ölait Intervenu
dans
la dis-
cussion entre les övi'^ques macödoninns el Icurs adversaires. Nous trouvons un Palrophile, eveque d'Egee (6 AiyiSv), ville maritime de Cilicie seconde, a qui saint Basile a eerit deux lettres en 376, P. G.,
Oriens Chrislianus, t. II, 895. ;!l-2, 929; vivait-il encore vingt ans plus tard? Cf. Le Quicn, Premier concile de Constanlinople souscril Patropliile, evilque de Larisse, de la province de Syrie seconde, pres de l'Oronle, entre Apamee et lipiphanie. Cf. Le Quien, Ibid., 11, 918.
l.
X.KXII,
Au
:
THEODORE DE MOl'SUKSTE.
036 C'est
nn mystere, coinnie l'existence de
cclui
la creatioii (13),
noii plus
nous
en procede, mais
apprend que le
de quelle maniere
bapteme
le
est
le
mode
ne nous
eile
dit
pas comment; c'est ainsi qu'elle nous
une seconde naissance, mais sans nous dire comment,
comment
cite
s'il
procede de
la
maniere Eve est
tiree il
d'Adam
L'homme
(19).
ne doit pas s'etonner
d'une nature et qui
ait la
meme
s'il
en procede en nature Cor.,
ii,
Ne pas confondre
n'est
(21).
(20).
comme
le
cette
fallait
d'elles
epoque oü
comprenons
qu'il
Nouvelle discus-
le Fils (22).
(26),
C'est de la gräce qu'il est
(25).
que Ion peut aussi rapporter au
il
—
Nouyeau Testament. que depeiidait alors
la
Ces citations
assez
valeur d'un controversiste.
la
Peschitto dont
le
il
Peschitto;
cf.
n" 23,
1
Cor.,
p. [164] et [167], Hebr., xi,
tandis que la Peschitto en
noter seu-
le
grec conserve
il
est
et la
il. Ici,
fait
pas les epitres catholiques
p. [152]
A
3 et Jean, in, 4,
comme partout, lorsqu'il traduit Esprit mot comme un masculin, conformement au grec,
ii,
regarde ce dernier
i-oi, il
grec, est en general
le
traducteur employait les mots.
d'accord avec les anciennes versions latines contre
un feminin, ',
mais
il
cf.
p.
[168], Jean, in, 8.
cite Job, p. [151] et
la
II
ne
Sagesse,
^ F. Nau.
-
Saint Gr6goire de Nazianze, au contraire, cite 153.
soiit
u'y avait pas de tables de concordances bibliques,
lement qu'en deux endroits,
1.
en est bien
il
trouver dans sa memoire, reciter el commenter ä propos les passages
conforme ä
col.
de quelle
Ne cherchons pas comment
probants. Le texte, bien que traduit diroctement sur
cite
dit
(27).
nombreuses. C'est
par
pas
texte oppose l'Esprit de Dieu ä tout ce qui est cree (24).
substance de l'Esprit avec sa gräce
la
möme
les creatures,
Ressemblances etdifferences avec
10-12 (23);
IV. Les citations du
A
que
est aussi Fils de Dieu,
il
que l'image de Dieu,
nature sans elre Fils
question en plusieurs endroits de l'Ecriture
Pere
et
on ne peut decrire
y a quelque chose en Dieu qui provienne
est de Dieu; mais, puisqu'il n'en provient pas
I
nature divine
des exemples contraires (18); Dieu ne nous a
eloigne en tout;
sion de
(16);
selon lequel l'Esprit est de Dieu (17).
Les Macedoniens disent que
Theodore leur
modo de Nous ne
(11, 12), le
Saint-Esprit procede de Dieu. L'Ecriture
le
serpent d'airain guerissait, sans nous apprendre
non plus
il
manicre d'6tre de Dieu
resurrection (14) et las miraclcs du Christ (15).
la
pouvons dire dit qu'il
et la
[148J
—
2.
I
Jean, v, 8;
/'.
(!.,
I.
XXXVl,
C'est d'accord avec ce que nous apprend le nestorien Iscilo'dad de
Or. 31 (Iheol.
Merv qui
5),
6crit
n Pour ces trois leltros (Jacques, I Pieire et I Jean), Eusebe de Cesaree et d'autres disent qu'elles sont en v6nte des apölres, mais d'autres disent qu'elles n'en sont pas du tout, parce que leurs paroles ne concordent pas avec celles des apötres. Aussi Tlitiodore l'interprete n'en fait niention en
aucun endroit
et n'en
apporte de temoignage dans aucun des Berits qu'il a
voyions apporter des tämoignages non seulement des Livres öcrits par Livre de Job, el de (|t^»j; )Loj^.vi3). „ Cf.
le
faits;
la grande Sagesse, et de Bar-Sirä qui sont 6crits par Hornc Semiticae, n' X, Cambridge, 1013, p. 49 (texte) et 36
de Tli6uduie en ont conclu
qu'il
«
bien que nous
le
Saint-Esprit, mais encore du
humaine Les ennemis
la science (trad.).
rejelait » ccj^ Icllies, puisqu'il ne les citait pas; cf. P. 0., VIII. p.
i)/.
rdujaaü^a
.rsfiu^TOa rs^nurs!n
)
cx\r>.
^«is,.^,
Dispute que ville
le
JJ^-V^
bienheureux Mar Theodore
eut.
)lo;t.io
contre
les
demande
Macedoniem dans
la
que per-
ä ta sagesse et ä tous ceux qui trouveront ce livre,
sonne ne nie bläme,
si
je
venx, par une addilion historique, eclaircir
le
sens
du sujet dont nous allons parier'. I.
J'ai
eu une dispute dans la
ami, illustre Patrophile, tu
l'as
ville
d'Anazarbe-,
cömme
toi aussi, 6 notre
appris par oui-dire, voilä beaucoup d'annees,
avec les prcmiers de cette secte.
A
cause de leur science profane, ä cause
aussi de leur application au sujet de Tenseignement de la 10
^^^^J ^-^^/
d'Anazarbe.
Je
5
"^^^^o
vOOtiQ^^>^^'^-=>
des Ecritures,
foi et
faite
memes. Comme
se croyaient les docteurs de tont l'univers,
ils
chez tous ceux qui sc plaisaient dans
1.
Ce?
Irois ligiies sont
lii>lorique
im pfu enigmaliques. Theodore
d'Anazarbe, l'elude suivanto sur
Ainzarba, entrc Adana (Ujprii descriptio orbis
et Sis:
c'iStait,
au
V
romani, Leipzig, 1890.
grande
ils
circulaient
leur religioa, et ils s'elTor?aient
leur vomie et par les exhortations de leurs histoires
dent
la
avaient une grande opinion d'eux-
etude qu'ils avaient
ils
de
siöcle,
le
la
voiil
— de
fortifier leur
— par ensei-
pcut-elre dire qu'il rattache ä l'inci-
Sainl-Espril. mt'-tiopole de
— la
2.
Aujourd'hui
Cilicie
seconde;
Anzarba ou cf.
Gforgii
THKODORF,
63S ooo(
.
,»
m .aL:>o
|_^_JS;i/j
vootKJ^^; loJ^ }—''^^JJ
I7.S
I'ol.
.ooo)
^.»V-^
,
\
[150]
yootlii^a^;
a^o
.vooilni°'V^
la^
|;^^
.^JLJSt-oi./
io^i vOOlK^ ''^s^io
ojV^
I-l^->/
'^h.
«-^JL«/© jJQ-^x/;
l-^iciA laJS. j-^^-äi*
•.jb^J^OJi
vOj/
y_./
^t-.oi
"^ii.^jot
1^
)-'<^-^/
).iaaiÄ)-s l-k»;;
K^l^i/
MOPSTJESTR.
DF,
^oioK-/
-.loot
.OJOol/ vO«HAQ..=l^;
>jö«.i
vOOi»._fc.bi-^ ^'*^•o|
n v>\,
-.QJ^asI-/
l-*'t-^
.-otQJij»»
....
yooda,.';^
o/;
^N ..»
»(
10
^'s^.^^io
jjuic
.y
iNViN a^otiK^o/
|;ot
v-oi
.v£DQ-i/;
.jü/ 1.
o inira
'.jjiot
^^oi
.oout^l;
Ijoi^l/
^;
lin.
qu'ils ameiiaient aussi les autres ä s'approcher
gnement, au point secte.
p6/
ottC^^-j ^Jio
Quand
de
leiir
furent veiuis a la ville susmentionnee et que beaucoup sc
ils
furent reunis, nous iious approchämes poiir discuter entre noiis. Alors donc.
lorsque
le
(äyüv) et
combat
ceux
(äyiiv) etait
[ccHl-fiT-rti;)
(sjr,i/M)
de Icurs habits, parce
qu'il
parut ä tous,
desir d'entendre, qu'il fallait supprimer la vuc du 2.
les chefs
,
du combat
portaient la crosse se reunirent pour eutendre la dispute
([ui
avec l'apparat
entre les atliletes
Quant aux autres paroles qui furent
combat
;\
5
cause de leur
(äycö-/) '.
dites alors, parce qu'elles furent
trop nombreuses, j'omets maintenant de les rapporter. Voici cependant uu
important indice de qui avaient foi. ^
178
la defaite qu'ils
coutume de
d'apres leur habitude,
peurs et des gens
les recevoir, *
encore d autres
les ont
1.
On
f'ait
grace de Dien ils
expulses de leurs maisons
:
Ceux
lo
demeuraieut alors
comme
des trom-
furent ainsi sortis de la ville, beaucoup
— nou seulement de — se
leurs partisans, mais encore de ceux
hAterent d'en faire autant. Je vais dire
inention maintenant de ces cboses.
a vu pUiis haul. que les
Tliöodorc semble dire
ceux chez lesquels
et, lorsqu'ils
qui etaient de Fopinion dAriiis
pourquoij'ai
la
qui perdent les ämes, et tous se sont hätes de venir, avec
(grand) zele, ä l'Eglise; et
eprouverent par
(lu'ils
i.H-c"i(iues
niacödoiiiens n'avaienl pas acce.pt6
(le
ßlaient loiis veniis, en grand costume, y assisler.
discuter avec les pi'ölres.
u
COXTROVERSE AVEC LES MACEDONIENS.
[151]
vOJOi
«
.jlj
>Ö
»».
^1 ^
)_Moi ''^o. o^io/
^
>^^
|).«
l\~^
^)Q-iwO
^)aNo )^/ •
Kl
^^^
\
oci ^''^«^j
>
^^!5>^
)ju/ ..o
I
])
otlo»oi
.;
m
yoaKju^o
."5.
"^°^
"-°'
jJo^
»
«
,!'>;
^^^Kio
.1'^^/
)>.;oj3; ^^'*>^?
i^/? -^P*/ ^"^^.^l
..
^m
«
oöi
vu^.K.^/ j,^
.
Jt-=^
) J^-/
^
)^-a^ »""^
—»1^;
'^^ \^^l
^-^ ^»-^ OL^sKmviN
•'jjo«
.A[s.
Alors
ceux-lä
•;
l\
.
t^ -^-t-^/ )-t— /
w^io^;
.jooi
•.^f^oi 0001 ^^jlaJLS
jj^C^^co;
^?
K^oot
y—y-»ot
jot-^; .-voKj/
.-oioK-./
vOj/
l?®*
-1
.0001
ooy/ .-^-s voKj/
)_moV
)-^^^
^^»»«^oi
..»><•>/
I—.o»
v?-*? °\-^l
.-oQ-./ oiiojio oai.1 |^i)~=i; 3.000/ H (bis)
1.
).nm\ -juL.^
vot^j/; oöt .^JlIo
\i
^^.^j ioot j^'f~*
^oi.
Vi
•)-»;Q_d;
l-j/
P
I~*'^^
\^^V.
-Po)-) ^o«Ql^>^ ^-..\otj
.'^i^/
VI
)j,
^?
^••r-'Oi
)_i/ ^CLAj
^)ai.j
^ö(
V-^,/;
^^;
oc)
jooi;
^-»-^^t-^» '^-JOI OOOI
i»-^/
^'^''»^j
)-i-'/
)-«*0)
^^ Vf^/
^Q-^
/;
:^^
^tv) yOOiLot»
.
639
—
au commencement de
donc,
discussion quo nous eiimes,
la
des betes de soiiinic plutöt que des honimes'
—
pensaient, dans leur
grand orgueil, que tous ceux qui etaient reunis partageaient leur opinion. disaient douc
11s •>
:
Esprit est Dieu.
»
«
Nous vous blämons parce que vous
Je leur dis
«
:
Quel
est l'esprit
reproclu'Z de dire de lui de telles choses? » Saint- Esprit », je leur dis difficile ci 1"
«
De
«
:
ainsi,
celui qui est
il
y
me
servais
duquel on
comme
avait
li
;
il
dit qu'il est
moi
et
qui
1.
:
//
est
homme
separe d'eux tous et ne l'avait pas montre ä ture dit
et
le
»
Le
donc
est
Lorsque ceux-
Fils », je (leur) dis
mentionne avec
parmi
«
:
dit
vous, et vous ne
le :
:
Pere
Apres le
con-
beaucoup d'hommes qui etaient alors reunis,
y on ne voyait pas clairement de quel -
Pere
il
du temoignage de Jean-Baptiste qui
vient un hoinme qui ctait avant
naisses pas
le
Saint-
le
repondirent
ils
a beaucoup d'esprits saints,
compte avec
n'est pas clair
et le Fils », et je
moi
11
que
pour lequel vous nous
Comme
que, sur leur nombre, nous sachions duquel on parle.
dirent
Meme
«
:
dites
il
s'il
ne l'avait pas
De möme
lorsque l'Ecri-
parlait,
la fin.
y avait un knmme juste^, nous ne pourrions rien y comprendre
Cf. Fs. xxi,
7.
—
2.
Of. Jean,
i,
26-27.
—
3.
Cf. Job,
1,
1.
,
THEODORE DE MOPSUESTE.
640
.
).^o
Ur^l
yoyJic J^_>J^j ' f"l
'"
^/
^oj
jjCH
jJ
ouiV^ ^oi^s^^f ^-«^••/
a-'S.
oo(_j/
j.^^^^^
^
\0.j6«
.j-^v .-aL-a
^
|ni
^'^^; vQJoj o^io/
)L,o;
[152]
jKa-flOolj .)j/ Iv-io/
|.^C^^vs )i-otooo -.IjJioKio
)^
p
^>aXo
-J-aVA?
jju/
)_«o»
.^^i^/
.)—oV yOj/
i/
^;
-'J-dVA.«
X.^.J0».a .«JLiol/
^-^oi ^io
'"^»i'j
oj!^ Jij.2Lioj
).S>;oo>N jJoOwj
lyoci-K.-/
^)aiw
).i>/
))
^^oi ^o^^o
jL«oV
,
nA
)|-:^>^ io
si
eile
n'ajoiitait
:
Daus
le
paijs de
nom
so»
'Ous, et
qui le distinguo entierement de toiis les autres et le
Livre dit
parle pas la
dun
nature qui
compte avec
i7'j
tel est,
le
chercher
taut fol.
Lluiutme
:
est sendilabli' a
ou un
tel,
commune
Pere s'il
et
dirent que c'ctait l'esprit Paraclet «
de quel esprit on parlait
me
»,
l'ait
la suite
designe. Lors donc que
a beaucoup d'esprits?
y
(xapa/.'XyiTo;) :
etend son discours ä
donc cet Esprit-Saint qui
est
puis([u'il
je (leur) dis
qu'il
«
*
est
II
nous
des autres. Lorsqu'ils
(me)
qui repondait
Co
n'est
Ift
;\
r,
question
la
qu'une accumula-
rien coniiaitrc de plus; quel est l'esprit
—
— lors-
H'
qui est compte avec le Pere et avec le Fils, y a beaucoup d'esprits qui est appele Paraclet (Tvapz-/t)//)Toc), je n'ai pas encore pu le ciunprendre
qu'il et
Quel
le Fils,
n'y a rien qui le distingue
tion de nonis, qui ne
le
Joh\ avec
unc vapeur'~, noiis comprenons qu'il ne
mais nous comprenons ä tous.
avec
etait
>.
et j'ajoutai la parole
donnera
itn
de A'otro-Seigneur qui dit
:
Je prierai
inoii
Pere
et
il
cous
antre Paraelet'\ et je dis que cela sulFisait ä montrer que ce n'etait
pas un seul qui etait gratifie de cette appellation, puisqu'il apparaissait qu'il
y avait encore un autre Paraclet. 4. Par cette question donc ils furent obliges ä dire expressement
:
«
(Nous
parlons)de celui qui est esprit saint par nature, car Tesprit saint par sa nature 1.
IbUt.
—
2.
Cf. Sag.,
II,
2.
—
;i.
Jean. xiv. Id.
i5
[153J
CONTROVERSE AVEC LES MACEDONIENS.
yOJÖn ^_^_iO}
.)—It„^/
^OIoK-./ OU-oJl^O
.-j.-.©»
,
.
r.
I
K.-)—*i/
jov^S^ ^o«oN.-^/;
o_\
^l i">
)-><, no
est un,
•.)-o<^
jJ
^oiolS^^/f ^^».xsl^-io
;Q-yJ^.3
J'insistai
»
il
jjo
jK^jol
le Fils,
il
:|^oV;
j^t-n
taadis que les «
:
Puisque
uature, et que celui-ci seul
leiir
nous comprenons il
est clair
qu'il est
que celui
n'y a rien autrc qui soit en verite esprit et qui
par sa nature, ä Texcoption de cette nature seule qui est appelee^^
divine
ne
naliire,
mais
sont limites dans leurs natures, car
en
ils
la
sont
pas esprits en verite
prenant de pres de Dieu.
Lorsque nous eümes
ne participent pas ä
les creatures qui
nature
5.
^a^^/
^'^&^_^^_bo;
est par nature ce qu'il est appele,
Dieu en verite; parce que toutes
la sainleti'
K>)jL*3
-.vooil^^;
encore sur cela en disant
esprits saints par
qui est ainsi est Dieu, car
i'i
yOoC^S;
J-.^s
yOOt.^>~»/
oi^ja^ ^io; q_jl^/
)oi^
K-^i. .OOI
^-X../
jj»
•).Ä.*fA
|1 /
qu'ainsi, d'apres sa seule appellation,
parce que seul
soit Saint
n a ^^slajtio
:)—*oV yOO«--.K_./;
)^il.:s
autres ne sont pas
Saint,
«
qui est mentionne avec le Pere et avec
celiii
est tel, ei 5
.1
'^^
^t-^
^^4|f_•V•A; j-l't-x/
)
^-«Xöl ^*^&^ .yOCH-.)^/
^"'^Is.^^SO«
^oiqJ^s^ ^;o^o :)ji«aA; I-^om Oi^oji; ^^^soi )la_>^^.M^j
autres ne sont pas ainsi. les
vSLCOaäO
j-LSu^K-ÄliO yOO»-.K-«/
.yOOi:LjLAa.i
rr.
K_OÖ|
^-OJoK-./
..j^oV voou.^-./ )'»-«^ 10
».3
641
dit cela, ils
et
ne ils
sont
pas
saints
la
par
ont besoin de recevoir
»
ne purent
meme
parole, car, par notre question et par leur confession,
pas nous repondre
ils
un«;
senlirent que, par sa
seule appellation, on voyait qu'il ctait Dieu; en cfTet la possession propre (ä 15
lui)
du iiom de Saint-Esprit
moiilri' ([u'il u'esl
pas
lesquels, parce qu'ils sont esprits, sont appeles
comme
les autres esprits,
creatures et nous croyons
THEODORE DE MOPSUESTE.
642
|_ov:^ ooj jjuo jlciXiOLi^iO
poji/»
^j
,_,^
^-^^/
IS^jL^^ i^cuuö
^l
^oi^
^''^**^?
.^oiaS^ K>.)^V*? -o«-s
y*OJ
.^
.Stioö
\:^?
^?j
-Ij^jq-o;
^J
|;01
[154]
K^l^ow
:>!s.,-.K^
^iO
l^iot
)—o» ^.otoK^/
jjoj
•.>&.^K.iO
)^oi!^
J
i
r*^
in
•^^-^?
*
foL 170
^»^^"O-^ )?i^—^?
ji
qu'ils sont saints.
que
c'est
^-^^^Z
Mais parce que
.«j).iO
e'est
K.*^; yOJÖl y.^1
proprement
par natura qu'il est saint, par ccla seul
et avec le Fils; c'est
par cette appellation
il
qu'il est
qu'il est esprit
*
et
parce
le
Pere
compte avec
est
connu, parce qu'elle
nous apprend clairenient par
est attribuee avec verite, et eile
,--J^JJ
.v^oölj
lä qu'il
lui
appar-
tient avec evidence ä la nature divine. 6.
Nous apprenons encore
la
5
meine choso de
que Notre-Sei-
la tradition
gneur a transmise aux apotres par l'enseignement et le bapteme et aussi par une etude portant sur les paroles determiuees pour toutes choses (rituels?), fparoles) qui
'
furent dites par
montre par tout cela que 7. 11
moi avec grand
convient d'ajouter encore ceci ä tout ce qui a ete dit
puisqu'il parait elre de la nature divine, d'ailleurs, et
que
le
il
est
cela, ä
1.
dans
II
nous reste donc ä dire
Saint Basile dit que le
Cminxoov
le
qu'il
comme
rien,
qu'il provient
Saint-Esprit est Joint pai'tout ä la divinit6
baptöme de rödemption, /ipiaiv. He Spiriln snnrio,
ev tri cli.
EvspyeCa TtSv ouväfiEuv, ev
xxiv.
/'. (,'.,
t.
XXXII.
«
10
Est-ce que,
permis de supposer
moins de croire
deux principes, qui ne sont semblables en Manes.
:
Saint-Esprit n'est pas de la nature de Dieu
Mais on ne peut pas dire chez
soin. Je pense avoir assez
Saint-Esprit est de la nature divine.
le
I6!>.
ttj
:
Pere?
—
»
a pour les etres
y (le
disent)
de Dieu
evoixriffEi
le
qu'il vient
dans tüv
le
ceux de Pere, ou
la prol'ession äyitov,
ev rat?
de
foi,
£1;
to
15
CONTROVERSF AVEC LRS MACEDONIENS.
[155]
U>^
)o~^
1^—V-^
^
CH-Xioj
^'^.^^io
.'Ijoi
|ootia\ ^£ioA jjLAioS y.^
.•^;o/ x^po/ jjL^a^;
^io tow^l/
)jLi>— Kio
)i.t\
}i
|;oi
.ov-oi/
jJ
).:i-./
^lU^-^
^-; *
o»is<3
^^ U^-^
.jooiiob.
»--^!
K-)-w^V^
o«^?
'^^^1
.v^L^I-ia^
^*^J
la\
ioio^
-öl
y^
Ir-'l
U^l —i-=U?
'jjjoiai.
)K-t-s;
^/
loio^j oou/;
)^^-V^
oiioi. '.l^o'oi^ )!/
vßj'j
)-oiS^ l^l^s;
^io; 1^--^^/
'^i.^Js.
o|tO>>..io
^io; ^JU, ^-V^/
^/ |-OoKji
|Jo
^otXa ^^io ^j
v^)-i>a-^!
.j-not
);oi
joCSx
i-ojots-./
^-Z
«Ol Iju-q-^j
^;
)Jo Is^jjJlS^
^:i>.
.V-io)..iCL:i).
J^- >— 1/ .r-^)i/? x^*"^/
JJ?
643
^-^^J-=>
V^^
?
)jl./
^3;
.m®?
fol. 18(1 r".
,
»°>
1.
OOIO
..OOOIO
Le ms.
li^V^i ^^oi
aj,
ö
dit,
il
—
^^^-
ou bien
u'etaient pas,
OCü;
comme
bien exactement
qui a ete
V^/
evidemment de
qu'il est
de Dieu
vOOt.,i^_3
.vflOt^
la
Pere,
V-C51
^J
«OIO
venues ä Tetre lorsqu'ellcs
de sa nature. Pour moi, ä cause de tout ce
qu'on ne peut pas nature divine. il
^'^'i>^
liu.
iiilia
les creatures qui sont
me semble le
w
2.
qu'il est
qu'il est
— Ö|-S
V-io/j
II
le
compter avec
s'eiisuit
creation et
la
quc, parce qu'on croit
convient que noiis confessions qu'il est ^le sa
nature, mais j'oinels d'en parier maintenant.
Du moins
8.
il
nous laut necessairement dire
de Dieu ä la maniere d'une creaturc,
de Dieu ä 10
avec
maniere de
la
eile.
serait
II
celle-ci,
absurde en
maniere d'une creature, ne
venu
ä l'etre,
vu que
qui out ete creees.
le
soit
il
comme
s'il
:
Si nous disons qu'il provieat etait
venu ä
devrail, pour ce motif encore
elTel
de
l'etre ',
etre
la
part
compte
que celui qui provicnt de Dieu ä
pas compte avec celle avec laquelle
il
la
est
Livre divin ne met aucune distinction entre les choses
Nous
l'avons dejä montre, ä ceux qui veulent l'apprendre,
par beaucoup de choses que nous avons dites plus haut, mais c'est connu 15
clairemeiit par la parole tioii
de toute
aucune de 1.
Le
rn>. uj.
la cröation,
du bienheureux David, lequel, arrivaut ä *
n'a pas laisse les natures invisibles et u'a
celles qui sont visibles,
:
«
faire
pour ces dernieres choses
»
si
supprime
meprisables soient-elles, mais
(diltographic?).
men-
il
n'a
fui.
iso
THEODORE DE MOPSUESTE.
644
J-J^^
}i
.«c5^o)^^/ •
Jot-^
|jLa-./
•.jj't-*!
)oC^
^_ioj
)>Moi
^^;
>
jJ/
)oiJ^ ^io; ^io
o sujira
1.
^ioj
ont
im
d'etre
^bl-^ qJS.»
.-^o«
J1ä/j
^^w*3ot
)jl.|J
.-polLiCL^ t-^^^? .'ouVa
j-ooi^;
1-mi.
^
j^oi
jv- -CO.
:s^oia^^^
^Ju.;
)J
^io
oV-aLiSLicuM
|la..UL.»;
^^;
)jot»as
.-j^tOA« )_«05 jj-boKj; ^j'j
a; JJLA^/
)ooi
»s/j
|oo(
.v^c/
oa.*-».;
^oioJS.>>.;
)j'Jl
ou^
')jo»o
10
JojSs
lin.
a ordonne
ete, il
)^^-^
),-«
cUL^o .K_|jLjkJ ^oioK^/; ^^cucxKj |o(I^
jbtcil^ä.«
.i
^/;
qu'une parole,
ecrit
JJLSOI;
K-,)LIi(^^ ^£00^0.3
vS/
IjOiJs CH.i
^^:>eL_.oiK_^
-.v^po
)N_'»—3 )ai. joCSs.
)>— ^«J j;
ooi vJu.v3j
^(Xi .jK-^s ^oi. oiA K-./ jlasloA
^-io ^oioNw./;
|jO|^; QJL^o o/
^o
^oCSj
^-»^o«
[156]
et elles
compte avec
separe de tout
le
meme
la
pour toutes,
ont ete creees
'.
creatures, qu'il
les
comment ne
reste,
lorsqu'il a dit
Si
:
a dit
II
et (les choses)
donc celui-lä est tellement eloigne
meme
par
pas evident
qu'il
apparaisse,
serait-il
partieipation avec la creature, en ce qu'il est de Dieu?
II
commo
lä,
n'a aiicune
reste donc, ä celui
5
qni est reconnu ne pas etre de Dien ä la maniere d'une creature, ä etre
reconmi 9.
comme provenant
Qui sera assez
rebelle,
pour oser dire que, par
compter
de
montrer ensuite
avait racontees sur
lui,
fait la
1.
est en
il
Ä.
—>.
I
provient de Dieu,
creature,
sa grandeur,
disait
la
Gor.,
puisque
il
l'apötre
convient Paul,
II
:
II,
:
12.
en
le
apres beaucoup de choses qu'il
Pour nous, nous n'uvons pas rrru
I'esprit
du
est bien eloigne de penser de lui que, puisqu'il
car
//
n'esl
lo
creation? Lorsqu'il voulait en
consequence du genre de
distinction a ce sujet
Ps. cxLViii,
il
grandeur de ce qui nous avait ete donne par
la
nionde, inais VEspril de Uieu'-. il
la
evidemment de toute
Saint-Esprit, en parlant de
vient de Dieu,
ou qui sera malade de cette maladie insensee maniere dont
la
Saint-Esprit avec
le
cela aussi, l'a separe effet
de Dieu par nature.
la creature,
pas du monde, mais
(7
au point est de
qu'il a
Dieu. Par
i5
CONTROVERSE AVRC LES MACEDONIENS.
[157]
»3/;
n
I
I
Jv-ot^-io jt^-i-s
./
^öu»
oilioj
j-iCL^Ji.
645
^io
JojSn
.OCX
jj^o^^^ «3/
fol.
ISO
V".
In
^^ >xoQu^a3 )jl^ ^^00 .yOouK-./ jls/ ..001 joCS^ ^^ q\ {..^Nn; ^^ ^l JouSs ^^j \^oi yl |1/ —61 ).:>aLS^ ^^ ol^; .\^l K^l.^^is.^'i v>oi.^ .»'>m>0; j^K^ ^«j |j>ol^s^C^; ^^'"^ :oo( )o(,2^ ^^9 V^o/; ^^o .)K^'^ ^^ oi^l^^ K^|-^>^a ^i );öi^ .001 3.000/
).^oi
.-).^aL^>^i
.
i.mj
jJ;
tJbo/;
s^öi
1.
vP»^!'-
meme
cela
bien qua
le
5
monde comme
au monde
natures iuvisibles (naturesj visibles.
Paul a
donc est lü
le
dit
:
!.
o«
j- Pi,escliitlu).
de Dieu
soit aussi
:
aux anges
comme On sait
il
s'ensuit qu'il est de Dieu
— parce quo
bieiiheureux Paul
Ic
l'a
encore
tout le
«
dit
etant
que toutes vieniient de Dieu, car :
Un
est
Dieu
le
l'etre
par
lui,
les
bienheureux
Pere dont tout pi-ovient'. Si
lorsqu'elle n'etait pas, tous les
du monde, a ajoute
monde
n'etait pas
—
qu'il etait
2.
II
«
esprits
\ä
VEsprit de Dieu'\
de
clairement
:
esprits
du monde
:
que nous
si
—
II
n'est
dont
(l'esprit)
pas du monde, car
3. I
Gor.,
11,
12.
il
a dit
:
'fol. iso V"
»
ils
Nous n'avons pas rem
comme
la creation, et, lorsqu'il
separe du monde,
I Gor., viu, ü.
'
du
n'est pas possible de pretendre qu'il est attri-
qu'il a dil
separe manifestement par
pour temoigner
inais
:
de Dieu.
bue au monde, parce
9.
le
les
aussi vieut de Dieu, c'est-ä-dire toute la creation, parce qu'elle
l'esprit
Cor., IV,
designe
aux kommest II regarde donc aussi des parties du monde au meme titre que
croyons crees, sont appeles avec exactitude
1. I
»
—
Nous somines en spectacle
:
Ibnt partie. C'est pour cela que Paul, apres avoir dit
15
monde
et
Tout vient de Dieu, et
monde
venue ä
—
peut pas etre du raonde,
qu'il iie
la creation, (Öjaxpov)
Pescliitlo.
// est
a montre clairement
il
l'a
de Dieu, qu'il
ne
THEODORE DE MOPSUESTE.
fi46
Joi!^
^;
^^9
^o
^V-^>^
j^^<
>^6i^
t^
jJ';
<>/
^;
.a-*v^ K_.jj|^
.\£0Q^a3
)ji-3a-^
[158]
^^^ .yoouK^/
|joi
^^
jl^V^
)oi,^ ^-^;
»
innVt
^^^^k^eo -.^oioK-t/ o(Jlo
);oi
)>^K.>o •.öu'^-«/
|.isoi;
oou/ .^oioK../
^;
10
K^)^)j -'v^/ )o(.^
^^o»-=>
monde
prone pas que
le
titre). II a dit
de celui-ci
).:^^^^-b.^
j^o'^X
et les esprits qui sont qii'il
est
en
VEsprit qui
convient en rien avec la creature et que,
-.{.riCL^bJ^
jio
lui,
vieitt
meme
wö^
|1«
meme
sont de Dien (au de Dien,
en cela,
il
.ooi
parce qu'il ne
n'a pas de points
de contact avec les choses qui sont. Toutes ces choses (creatures) sont dites etre de Dieu, parce qu'elles ont regu de lui de venir ä I'existence lorsqu'elles
n'etaient pas, mais lui, parce qu'il est de Dieu, 10.
De deux choses
qu'il est
de sa nature,
ou bien on pensera
amene par s'il
en est ainsi,
fallait ce //
est
«
le
comme
de Dieu, parce
avec raison, de la creation;
de Dieu
qu'il est
»
en
commun
du monde — bien
comme preuve
a ete
monde
qu'ils soient
de
et
Ten separer.
II
il
le
a dit
monde,
:
ni
Dieu — comme cela convient
effet,
lorsque tout vient de Dieu,
de la grandeur du Saint-Esprit, ce qui est com-
ä toutes (les creatures), et
10
avec les creatures. Mais,
bienheureux Paul ne semble pas avoir cherchc oü
de Dieu, parce qu'il lui attribue ce qui ne convient pas au
indiquait,
il
toutes les choses qui ont ete, et on lui attriluiera
qui devait le rendre dtranger au
aux esprits
mun
qu'il est
de Dieu, parce que, lorsqu'il n'etait pas,
au Saiat-Esprit. Ce serait une plaisanterie en s'il
est de sa nature.
on dira
et qu'il est ainsi separe,
qu'il est
lui ä la vie,
cela avec evidence
l'une en effet, ou bien
il
chacun aurait pu facilement repondre ä cela
:
15
CONTROVKRSE AVEC LES MACEDONIENS.
[159]
)yi\v
oCSj>j Ui^l .001 )oi:S^
"^i^, .•>ö>^ «3/;
UoV v°«^^^
W»/j y^l
.1.....:^^
..o^joici^ oooi ,_oJj» K»-' ^_iö
-oto;a-J^^
i'i
^*0*,
)
.•^iö/
1^
vooufc^/ iiai-i«;
t r--
ojis; oö»
'
Uo»
.-vpV^lj
yOCH^iO
-^
)-JL-./
•>?
^><J^
J^«»-^
^..^ou^K-A. V>
:ooc5«
y-./
'
^;
''''^-^?
K-/ jlaslaji )^- jLs/;
o)la2b>.j
^^?
a>.;Q_iaA
^^
JJLJJÜLS
^V-=^£Q.iO
joot
Uj?
^''''^^
«^
.jocn vm°>'>o JIq.::^ .-ooi jouSs
fol.
ISl
r.
U©»
oow/
r^
yOoC^S
)-«-*/
jJ /
«3|k2is_^s_io;
)U^
^
^.w^o^^/o
j^ioi ,J)ö/
jJULiaS;
U'Oi
joC^
)laJbo .00,
|i.aJL*-«).J>
>>t^» |a^?J -U^
^V-/ •^°°'
^r^
o*^
o^
0/ '0°t \:ie^\]
.jjoC^ J-^; iooi )-oo«o -1«^^ rr* s-o^o^-/;
-6»
NOt_iö;
Uo» U*l
Q.\
.)jjl;a-au_3 vÄ)Q^a3 )-Ls
}i^
vJLiI
^
647
.001
j»-/o
w^i-^O»©;
^
t-S^
.^a.\Q°. jj-so^
^;
s-öj
Jod pö/
Quel esprit u'est pas du monde ou quel esprit u'est pas de Dieul' puisque tout le monde est de Dieu et que tous les esprits sont des parties du monde », comme l'a dit l'apötre. * La parole du bienheureux Paul deviendrait ainsi un «
fül. IHl r".
objet de doute, parce que personne r.
ne saurait quel est Tesprit qu'il dit ici etre
de Dieu. Voici un exemple semblablc leur parente avec Abraham, disaient
nombreux hommes, mais ä ce sujet, en se moquant indiquer ce qui 10
fiaient
le
:
il
«
Quel
si les Juifs,
non pas un tel des de Dieu, chacun aurait pu dire aussi
homme
distingue du reste des lui,
lorsqu'ils se glorifient de
que leur pere
celui qui est
de leur parente avec
de beaucoup,
:
comme
n'est pas de
hommes
s'il
est,
et ce
Dieu?
» S'ils
pourquoi
ils
voulaient se glori-
possedait quelque chose au-dessus
leur fallait dire autre chose qui, Selon eux, lui apparliiit on
particulier ä l'exception de tous les
hommes,
puisqu'ils voulaient le separer
montrer quelle difference le caracterisait a l'encontre du reste des hommes. De möme aussi pour le bienheureux Paul parce qu'd voulait indiquer de quel esprit il parlait ou quelle etait sa grandeur, supede tous les
hommes
et
:
15
rieure de de Dieu,
du monde, il n'aurait pas dit Jl est pas et6 porsuade qu'il n'avait aucun poiut de eontact avec cause dv cela il Ic separait aiusi du monde. Aprös avoir
beaucoup au-dessus des
s'il
n'avait
la creatiou et (pi'ä
esprits
:
THEODORE DE MOPSUESTE.
6'.8
[160]
^^ ^;
.OU'.J
ÜKjü
VipOf :Ö|^K^/
jj
)jL30|
com/
|;0|«
)..
QJÖi
JJL^O .^OIQl^v^. O-^vK-Jl^CL^ 10
Jülsl»/
^^>2iK-./
^o|o^^/1
^oüSo ^^^;
^oioK^/
>^oio;a...
Supra
1.
^a^^
.^ooi
N
jls/ .v^oiqJ^«^ ^;<^/ v*oioK->/
l-^ .->.«oia^«^9 )-^V&
>
^;
OOI
v>\
.-jopt
jw^io-Jt
c>oi
JJ
)j_<w,^cD
^ot.2^
<ä-^; )~u/ •joi^
j^l^oa^
Jooi;
o^ *^-^
i»VV^/ ^oöit
».
Uli.
parle de son excellence et dit, ä son egard,
iju'il
ii'etait
pas
ilu
monde,
il
dit
alors quil Halt de Dien, parce que tous les autres ensemblo etaient de Dieu,
en ce qu'ils etaient veiius ä est de Dieu, 11.
il
est ^ternellement, c'est-ä-dire
Mais ces sages abandonnerent
nous demandaieut
ils
ou bien comprendre
la
:
«
Comment
pas ainsi
foi.
181
:
(il
de sa nature.
est)
recherche du sens du Livre divin;
la
est-il
de Dieu?
»
comme
que nous ne pouvions pas
le decrire.
mcme
l'existence
de discussion pour nous tous? Quelle parole en
demontrer que Dieu existe?
S'il
saurions nierae pas qu'il existe.
*
Litl.
:
K
parmi
Celles
de Dieu reste un objet
efFet serait süffisante
Comment donc
pour
'
?
Lorsque nous disons que toutes
les
lui seul est eternel-
est avant des generations innombrables, avant les choses qui
de grande dubitation
».
lo
ce qui le concerne ne serait-il
choses qui ont ete ont eu un commencement pour etre,
1.
»
fallait
ne nous l'avait pas indique lui-meme, nous ne
pas un objet de grandes discussions
il
nous
Pourquoi n'en
(ä savoir) qu'une chose ne soit pas certaine,
qui sont dites de Dieu, mais que
lemeut, car
s'il
nature divine, ou bienle diminuer de l'opinion qu'on en
avait, lorsqu'il apparaitrait serait-il
parce qu'il
l'etre lorsqu'ils n'etaient pas, et lui,
i»
CONTROVERSR AVRC LES MACEDONIENS.
[161]
649
K^
Jooi
"
•
.|.1X>/^
)-4uDoio
^)_jlj .-otJb.
oo{j/o .J^^jjL^m.^
>jl.j/;
)
-v .
yoot-» -otol^/ Uat-/?
J-po
^;
V-^uoaj
jl;
.oü^
aussi, puisqu'il
quand
paru
etait
qu'il
ellcs n'etaient
fin,
ete creees, mais
il
commcncemeut pour
etre
OOI
^jlw ^-tV^/
]J;
^JL« ^t-iö/
).^v*
^a^»
j.3ti.aa_3
K-^\ ^t-^
il
v»
l^j».^ISv^o .v:)o).:ia\
j.io
brau quo ces choses fussent pas auparavant pres de
constanimout par lui-meme.
ctait
O
^;
jJ^/; .^io).ia'i^ »^i^-JüLio |oo)
viinics a rexisicnce plus tard, afiu
sdiil
^-w.^«.!«
.^oiQ^^^i.»
jl /
pas voulu donner l'elre ä d'autres choses et :.
.^—
^JL« ^-».iö/ viO^a.:»;
lui a
a crec ä la
oul
ellcs
s'il
iiA-/; jLs/j
Uoi
w.ojolS>.>/j
out coinmence. Mais
|J;
OUS
-.jooi yL^£Q.:M
jooi ^oioN.«/;
jl
)>— 1^
fn v>;
jooi ^0(0^.^/
\js
^^)1S«.Jl^ 0/
)?OJ ^-iO ^_t->
^^^^
^oioN.^/;
.•jooj
1
^^.iO
..^01 ),XJl09)f
n'y avait
— puisqup
lui
n'a
de Celles qui
rien
choses ont eu un
ti)utcs
— quo nous admettions que
11
lui
seul etait
constam-
ment, lorsqu'il n'y avaii ricu autrc. 12. la.' i'>
et
Etait-il
toutes
liniilo (pi
Et oü
ou
saus
donner des sion.
liien
liuiile;
disons que nous
1.)
le ciel et
choses que nous disons se trouver en eux,
lui,
i)iir
sX
lorsque toutes cos choses n'etaient pas encore jusque-
dans cet endroit oü sc trouvent (maintenant)
les
etait
il
etait-il,
le
rejetons-nt>us,
el,
liniites.
Ainsi tont
comme
rien, c(!
pour
qui le
Nous ne pouvons memo pas
dire
(|ue
('omnient,
dans
les (creatures).
TATR. ÜR.
—
T.
IX.
—
Eorscpie
r. ö.
etait
nous
nous ne paraissions pas
lui
concerne devient un objet de discus-
comment
il
etait
oü
il
ötait,
n'v avait rion, et nous ne pouvons pas dire non plus maintenant est
s'il
impiete? Nous disons
un lionime nous demandc
si
neu savons
comme une
la terre
nous disons
(pi'il
est tont
quand
comment
il
enlier en tont 'l3
TriEODOHF, DE IMOPSTRSTK.
650 |IS>JLicusj 001
U>i
«^oiolS.^« f.^|j
«•^il/i
^
^^D
^oL-lKio
ot.\
v^J^po a^^^sNooL^
)K...^U
^^jC^v^/i .sJLxbo;
)jLaij/o -.looii
^^
)^^/
)j)0
oC^
))
y^^^^^l ya.^^^
qm> nnus ne paraissioiis pas
c'est surtout poiir
lii'U,
et le limiter, si
nous disions
autre lieu; iclui
-
och ooi;
ete,
en
*
les ereant
en
lui
;
iei et
ooi.j/
«^ )->»«q
^
v*^"*^
Kr^^-
meme. Quidiradelui car
il
lui ei'
lieu et
qui serait dans
^
"^^
uu untre endroit,
(pi'ilacree les choses qui ont
comme
s'il
s'eloignait de
cliaque
creee, de inanierc ä ne pas s'eu approclier lursqu
il
jias j»ar c-liose
chacune des
(|ni
allait
de chacun comporte une certaiue mesure de science pour
perd hientöt
arrive ä ceux
meme (pii
ee
onf
([ui lui
les
l'esprit
choses qui
appartenait en propre;
qne
pris lout cc
ils
il
lui
survient ce
niain jieut contenir
leui'
perdenl
meme
:
cpii
lorsqu'ils
ce qn'ils tenaient aupa-
V ravant'. 1
:>s,i
.
li,
\r,icc el
ilr I',ci('e
Iciiiiiiiiill
Icii.iil
|iiir hi
le iiiriiir
seiileiiee
:
hiiigiigc
Lei
;i
rlitisrs
qui stml iiii-dessus de les fnrees, ne les senile
i"
veut scruter au delä de cc qui convient,
s'il
s'elForcent de preudre eucore plus,
etre
creait en dehors de
la
Uli? L'honune qui considere lout cela tombe dans un grand doute, car
ont ete revelees par Üieu; mais
:,
sil ereait en dehors de
qui a ete; niais coniment alors nc se limitera-t-il
choses qui ont ete cieees,
en partie dans
se trouvera qu'il se creait lui-nieme en partie?
l)ira-t-on qu'il etait eloigne des (crealurc^s),
il
)t-:>J
composer de parties
le
dans un
qu'il est eii partie
ne serait pas
qiii
se trouverait limite par la i"*-
^ioj
oCi. Jl;.
1.
iiii-
jj
jto^M? t--^^ ) l^Q-*.:io .'^laj
J-^ULD
jlö.iVi
yX.«..a.r>',.^>o
|jLaL.N.xa>>o -.^oioK.^/ ^-»V-»/
looi j^^towi
.0001
Uli
:o»-^
)jLaL^ISvÄi..ioo
-hou} v^oioK^/; ^.^sKju^
)».-«
-'jooi
t^;
^i..^.^^
:o»!i).
|jl3u/
^
ji^^l
V~^
OI.1M
^;
y/
[162J
S.
Cx rille nu dcbul des
i/in'
son/
jkis.
lull i>s
itii-tiessiix rlc Int.
Eccli..
111.
22.
ehrislnlogiquos.l.abbe,
iir
Irs
rhcrrhr pnx:
III,
el Celles
'"i
COXTROVRRSE AVKC LRS MACRDONIRNS.
[i63j
yS
.oifc^.5.,.-^
Jod
v-iö/
|„io
^-/
JJo
;
vÄ>a^a3
^:^t— o«
)ooi
\j-^o4)
jJ
V^/
^^»-.sot
Ua-/
^--.^i^-o i-o;
Ul
V*s^ >»-^
^t-^-
JjLiO^ *^^
'^°'
V''
)lotv.-k-
.jlaoj»;
^
.K.>^t-.l/?
^i:^ l'-^?^
ov^stoo»
i-Q^
•l'H^ -oioKw./» ^ia-oi.-J; -Jo»:^
de (notre esprit),
approches peu ä peu de sa coiinaissaiice. Lorsque
)^öi
)tv>.Q.^K^o )ts.-^A.K^
.^^oi-«^i>^;
^?J^=»
1""^^-/
..^^qAoS
^^55^-j>^ )ooi \^.uca.^o
coiiiiaissait cette faiblesse
Parce que Dieu
13.
liV^t/
t-^/?
v--i^V- \:;O0io
.Mt-V«^
^
-^^V" ^:^
_yI)o>^-
jlai^i
^o\
^.^ioix
|J;
—
)l^is^>
)tt--ia^
•.-oiQ.:ii--i.;
v^jNoJ^i. .v-aio
^«^.i.,
u
)^-.U It-l-s •J?«« vLa^^^^--^=» )o»^ »"^^ i®«* ^^»^»^t^
^W^
>*..»/
051
il
nous a
bieiiheureux Paul out
le
ajoufe bcaucoup aux nonilireuses clioses qu'il connaissait dejä auparavant, et inaiiquait
qu'il >
disail ete
Mainicnant
:
die
iinii.
evidiMMc
je .sais
l'a
connaissance complete de (Dieu),
Dtirid disait
de
meme
eiitpnrle siir inni et je ii'al jtas
qu'il n'etait
eii
pas eapable de compreudre
mauquait beaucoup (pour III
d'uni»
peu de beaucoup, inais alars je
Iiienheureux
Le.
ciiiiiiii'.
eiintre
cependant encore
;)rriver)
(le) :
connailmi eoinme
Ta
science s'est rebellee
la [(lyee'-. II
la
üc serait-ce pas une sottise de scruter
la
a coufesse avec
science de Dieu. mais qu'd
son exacle iutelligence.
li
il
j ai
nature diviue et
Gumment donc comment pour-
j
rions-unus, au sujet de chacune des choses que nous confessons etre d'une certaiue maniere,
disous, Cai\o
//
Dirii,
si
la
nous
parole ne
de eniire
sulfit
comme
eonrieiil,
(jiie
elever jusqu'ä
Ta
Dien
Tintelligence des choses que
nous
pas ä exposer et ä demontr(!r ce qui les conccrne.' dit b^ l)ieulieureux Paul,
est'-,
cl
il
uous
faul
savoii'
d eelui cii
(jui
s'appniehe de
verite qu'il n'est pas
possible, ni aux pensees huuiaiucs, ni a noire parole, de mcsurer ce qu'il a (pie
dit
uous devions
sullisautc
'
de notre
saisir par
foi est
la
Ibi
seulement. La mesure vöritablc
renseignemeut des Ecritures divines
et
et|
uous ne
foi.
v°. 1,
I
Cur., xiu,
12.
—
2.
P;-.
cxxwiii,
0.
—
;i.
Ilcbr., xi,
li.
isa
:
TIIKonoUl' OK MOPSUKSTE.
052
,^/ ^^t>i '
.^- ^pö/
"^}jü ^j ju/ y/
^oiot^^'b.
plus
;
tibus.
öi;
To
-
-L
nouvoiis 110
yoy^
y-»;
Lc griT porle
1.
m ta
£/.
:
i;.^
e'c;
Dien,
tö
cl
(iura'
lc
ocn )jl3-./;
mul
>\\\:tqur Iruduil
ii
ceuvres qui ont
la
la.
fnl
pas des
el.e
Le bicnhcunMix
tjnr
Ic.s
ntondcs
rho.scs iiirisihles cpic
clioses onl de,
rc
(|ui
(-te,
:
jxir
nnisliliirs
soiit.
l'a
voulu
a otc, de quelle mauierc
ees clioses ne peuveut pas elre diles par
noiis
In
pamIr de
il
;
nies'.
et si qucl-
a ete, uous ue
commenl
parole.
De meine pour notre resurrection ipii doit avuir lieu, nous y croyons uous nous attachons aux paroles et eile est cciiaine pour nous, en tant que savous absolumeut rieii. des Livres; mais commeniaura-t-i'lle lieu, uous u'eii 14.
C'est aiusi ([ue rpii
le
liieuheureux
nous demandeut
sume de toucher
:
«
Commeut
ä la maniere
apres avoir rapporle
l'atil.
les
dont
la
rcssuscitent
;
»
n'a pas prc-
mais, cn rappclaut ce
pas non plus ctre qui sc passe che/ nous, et dont la maniere d'etre ne peut 1.
llel.r.,
vienueiil
M,
:i.
cullcs ([ui
l-i'S
niuiuiscrils grccs conserves
sont vucs.
»
[loi-leiit
:
«
Cp
n'esl
n.
question de eeu.x
morts ressusciteut-ils?
ils
.,
absolumeiit pas. Aiusi
(jui n'etail
la
si
vcniic.s rrllr.s tpii smil
parce que Dieu
ce qui ii'etail pas est venu a l'etre, de ce
de
^wc
^o» ^p>.^«,
ear la pensee liumaiiie ne peui pas Irouver
dire,
ii(-i;;itioM
-> n«» (qipan-n-
iious rciiseigiielnrsqu'ildit
rie
,>iil.
,?=
v
iiiie
;ivr-c
l.iliiirs
t
parla natur(3divine
faites /'<<»/
.a..,. "^
iiinl
:
Nous disons donc que ces qu'iin dcmande, au sujct pouvoiis pas
Lr
JLio
avoc les ancieniic>- vei^i.m<^::-^-« U^ ^^<» Peschillo rcnverse la phrasc
pas par
ii'cst
^o)oK-^;
l^b.-'i».
.'^).:L.bs.io,
-oöt,
V-<^
csl d-accord
il
p;is coinuiitrL' los
nimprriinns p/ir
:)oo»
^01
l^.jt-^
^;
J-oC^ )j-o
l-^auLio ooot
)c*:^
h. 9aivoiJ.£vwv.
[ir)
La
ßUitöiJ.£va.
^
001
oatvoixEvwv;
les conuaissoiis
A'o?(.s
.-^.ä^j;
Uschi oou/
]i
fl64]
pas des clioses apparenlcs
i\\u-
1..
CONTROYERSR AVRC LKS MACKD0NIP:NS.
[165]
J»-^
°°'
^°°*
)^/j ;a.u>V3
ooi
Itc^a
)ooi:^.\ ^-N.iw»
.
).....JXJL^;
^
-.^l
jJ/
^boi o/ .;a.».JS>^ f-*^^ ^^Oi.iJ^^
saisie,
ne
il
JJOt^bo
'^•'J!
ooto .)LJ--
.)^;aio ^^^^^;
>^^^
))^oct.»_o»
j^^^ai»« ^0(ÖJL«^>.
a coufirmi' ce qui etaih niis en Joufo
Insnisr, In
:
plantes;
et
tu seines,
Dien lui
doiiiie
inais uiie siinpli' senieitee de hie, le
airps
Corps de su nutnre'. Cela ne inontre
reut, {il dünne)
(ju'il
pasleraode de
i)^
)J
|J
yj
o^
^^^>^
\j)
.^1^1/;
lol.
is;i
loi.
is:!
.'^..aJ^
In seines
scnii-iirc ijui'
ee ii'est jids le vorps
vil jHis, si eile iie eiiininence jkiv iiinnrir; et ee (jue tu seines,
(jui iloil eire ijiie
653
oii
d'orne,
im (r
ü cliactine des planles
la resurrection
le
de nos corps,
mais porsuade seuleinent ce qui peut avoir Heu, d'apres ce qui se passe pour
les plantes,
au sujet desquelles personne ne peut dire comment, d'une
graine qui se corn mqjl
que Ion In
vciit
dans
,
peuvent provenir d'aul res (plantes) avec raccroissenient
les i'euilles et les tiges, et
cependant
c'est
la
uuc
cliosc
qui a licu tous les jours devant nos yeux.
Que sera-eo de ce qui s'est passe dans rincarnatiou" de Notre-Seigneur! Nous l'admetlons et nous confessons que les choses ont cte ainsi, 15.
et si (|U('l(ju'un
nous iiilerroge
ne pouvonspas dire
comment
*
sur chacune des choses qui ont eu Heu, nous
cela s'est
l'ail,
a ete gueri, lorsqu'il lui a dit sculement a ressuscite Luzare, lorsqu'il a dit
vrirenl les 1. 'i:i.
—
I
yeux de
Cor., XV, :f5-38. 5.
Jean,
ix, 6-7.
—
:
IJtt.
:
« l'i'coiiuiiiie
,/'•
le
roi.r. sois (/neri^;
Lazare. riens delxirs'
l'aveugle, lorsqu'il 2.
:
ilaiis
les
comment
par exeinplc,
:
(ou)
r.
lepreux
le
ou comment
comment
oignit de boue seulement
la i-liair
».
—
:i.
Mattli..
viii,
:i.
•
—
'i.
s'ou'
;
ou
Jean, xi
TIlKODOllK DK :\IOI'SrKSTF..
654
la^
""^O.
\^'il
y
-\%yf
^^i^? °''-^
« ..
),^yooCS.3
.oV3
Uau/ .)^-*-iä.M
^;
l-s^^Äi
JÄ^Ü^-^oA
a^^
^-j
w.oiQ!b^^«
).:>CLw
061
l-o^i;
.ioj
lo-^
oC^
JJL./
liiar:^.
/•^
°°'?
V*""^
In
sJL-.ij
oöi
jjL^a^
an
j-ia-/»
^
^
^*Joj It^Q^o .^V^Kjaio
^UL.«.^
.-otQ_.Vio|jj
jJ
oow/
^-i-x;
jJ
Jls/j
..001 joiSs
^x^lfloaiio
o.^
jlioio;!»
jooc
."-ot
^^J»».
nourrit cinq mille personnes
il
enlra pres de (ses) disciplcs-; noiis nc pouvoiis pas dire,
le
)-^—
^io s-o)oK-/
,)ot!Sx
K.-)j-..io/»
-U^
).xa-/i
-JL.p3
Uat-»/; •'»^JJ;
.j^JL^aü.!
..^j.ia\ ^-«
jlo
^.-.-/ ^a
.J_i.Vi
JJ
U^-'h. jJo
K^|-.2^^^j «61 '^x-^i,^o »j
.^ojoK-/ joCSs
V-^^
Jjlä^/j
)Lil:xi^
«->.-»l/
^«.^tä^^J^ )jL:yi^
oi-xidU
^jiLo
^»Kji/; ^io
^
yollo
comment, avec cinq pains, il
.^är^
o/
vQJÖi ^OwJ^wo ^iä^'S«
^-äo >.«^\^o Jjiaoij
1.
^;
^^.0.^1
ool .ij-iJ^; °***^ ^la— I/o
io.^ )J/
oooi
|1(1G|
Corps du lepreiix a suhi loul cc cliani;cmi'iil
011
;
'
eii
011
;
effet,
comment
Lazarc, apres avoir ete dissons et corrompu, est revemi k la vie
le
comment comment Corps
de
on comment,
;
avec ces cinq pains seulement, ont ete produits tous ces morceaux ou comment, ;
lorsque les portes etaient fermees,
osl
il
apparu se tenant a Tinterieur pres
de (ses) disciples.
Comment donc ne serait-ce pas une iolie, de cliercher, pour comment il est de Dieu? Lorsque nousavancons
IG.
Esprit seulement,
clairement de
dit
comment
dire
dans
lui
le
Saiut-
qu'il est
Livre (pTil est de Dieu, nous ne pouvous pas
mode de son essence surpasse telleque nous ne pouvous mrme pas diro le mode de ses ceuvres, que
est de Dieu, parce
il
ment
le
bien
quo nous soyons persuades
recit
le
prechons tous
la
le
qn'clles
ont
Heu
constamment''.
seconde naissance qui est operec par
qui sont baptises,
mais, jusqu'aujourd'luü,
les
Nous
eaux chez ceux
uous ne pouvons pas dire de
quelle maniere eile nous engendre et nous change'. Cela n'a rien d'i'tonnant, 1.
MmIIIi., \i\, 17.
Saint-Esprit IlaTpö;;
aufres
Tö ».
pi-nci-ili'
oTtMc
p-ri
-Jl.
du
—
-J.
.Icaii,
P('iv el
xx,
'H'k
110
laid
(|iril
7to).'jnpaY(i'Jv£i.
(Ir.
'JH.
—
/'.
:!.
pas (i..
Sniiil
(
Jreijiiiio dil
(lii'fchi'r loiiimonl, I,
XXW.
KiTT.
:iiissi :
—
i|ii'il
miIüI de savoir
(|iii'
l(>
'AxoÜei; 8ti to llvjwjjia jipo'iöv ek toO 'i.
I.ill.
:
..
iious
l'ail
anln's pour
CONTROVERSI'.
4(17]
V-iö/
)
.v>»
j^Q.^ loio^;
f>
MACltDONlKXS.
AVI'.C FJ'.S
V-=>-^/i-^
^A^oi ^/j;
yo^:^ -.oC^
^.<JS>^;
^^Ooo
^-/;
^io
Jioj
''^'!Si..i>^>otS.
•
•
•
V".
Q_\)_jL.ia^ jls/i '"'J&^io .C5U^ t-^/
^;
V^/
o,J^)i^-ia^o
181!
X •^T^ jocH ^j';
^^
^-V
:
055
).i^a^
)jL^ .,_^\oi;
""^oK-xtu»
^0)oK.*/;
\jo(
^ö>;o/
oi^\^o;
IV) ooi
«
v^'jj
)-.'ooi»
ji
^"^t^^s^^
Q.\o
.-|_
Ill
,^^Jo
I.
U-oi.
—
1,0
Supi'a
lin.
quo uous
111'
3-
chez
>
^.\.vi^
^"3| ^^U1
cn»l»
1'.
na qiii
lorsquc ISimdenic
dit
avail
Ksl-cr
:
liii
par
de VEspril. pitr J'eair,
cl
ijii'uri
parcc
i;i'
se
i|ui
i;i|i|iorli^
et ce (jui est
a seuleniciil aliirme, par sa
il
duiis
(|iie,
Kn
iaisail.
la
elFet,
venire de saniere
Ic
que celto iiaissancc
Iiommi's.
Ic II
Jean, ni,
yeure des clioscs
ajdulc c'ucore 4.
ne
il
La
cl
encore apres cela,
il
demaudait
:
CDmiuenl
Pescliiltu cL
les
a-iioü &£-JTcf.ov eItc/.Oeiv zai YS'/vviOvivai.
liaUuil aussi ilcnui) rcnasri.
—
2.
il
uc
lui
fallait
cn dit pas
lui dit-il
<''tail
la uianiere d'ctre,
11
— Ce qui
parce
nianuscrils i;recs coiiservcs puilcul
—
ü.
.lean,
iii,
latiiie 9.
—
il
:
ctrc; saisi
reut
Ih.. G.
et
ä son sujet,
i'l
par
les
tu enlends
Ki; xy.v y.oi>;av
Iranspose äEUTSfov coiuiiie 'i.
l'allait
non cliarndlc,
sunt telles, ne pcut pas Sini/JIe oii
leur'
est ne de la clmir
a niontre par lä qu'il
spirituelle et
Le reut (esprit)
:
?
menie pas nous informcr
L'aucienne Version
Ib., 5.
•
n.i.
V".
([ui
dit
Heu
la naissanee iiouvelle aeuil
ne de VKsjyrit est esprit'.
que, [)uisqn'elle elait aiusi,
k
niasi^ulin counin- ilaiii Ic grec.
de celui qui
que
lui dit
comprciidre de cefto iiaissancc quVdlc
I.
au
ne nous convenait menie pas de demandcr de telles clioses, ear
est elidir,
].-,
loiit
IV-iiiiiiiii
liomme peut entrcr
euscignemeut est au-dessus de nous. Q)ue
parcc
les laisse
dirc, inais
la vorlii
il
Heu'}
(es cliiises peuveiit-eUrs itroir
1"
mais
de rioureau'? pai'cc qu'il pcnsait qiie (N.-S.jdisail
rcsü^einblait aussi ä la premicre,
ipril
iiiols,
|mis(jiic .N'otrc-Scüj^'iieur lui-nuMiie, iiilerroöö
Ic
lii'ii
mct au
L;l l'e^cliitld
2.
Ic diii',
pas voiilu
parole, la cliose
el iiaitre
pas
[iiiissidiis
MiriHli'iiic,
—
meines
U'aduiieui' swieii ciiiiiloie les
t/;;
(i/iTfi;
iiolre Icxle el
in:!
,
056
TIIKonoKI.:
7—/
^/? )-/ "^^^ .JJLQ^ )eu-^l
oo«
•^ ^M*^
N^
jjj^jLJS
^
.po|^Q.\ ^jOie ^*iJil joi!^
^io
^-^^/
1.
yoojü^a sOoifcsC^io
Ms.
s!
du mül
seiis
comme
k
y^l
''^^^-Joi
«buio
^-t-^
que
ne suis
d'iin
/iiis
i'sprit » qu'il
Mo'isc a eleve
aux
aussi rcuseignait
maniere
vuc du
la
oow/ ^-^^
y*oi
^io
yojoi .jjüLii^
)^/ jlv—/ oolo
jJLaijoo;
.jojISsj
ooi
^/ ^äjoVä^o
JV-s
fl.
i'icut iii
il
uii
il
i-a
coulirma ce qui sepussait;
docteur ä cause de son incredulite,
d'airainlui
pr. ni.
liii.
»Ulis hl
rißi.r,
S(t
IiilV:i
^
.^t^/
|jLiö
'"^».^ooi
)jl.JJ;
).i>.\
JLxaL./j
)1q.-^ä>)J;
^io Uaui/; jjj^j 00p/
\j^y
otlo;aXÄ>»
oot -oioK-i/
^io; oow/j
|jL*3
-.l-oi::^ 001
^^^
^-Ji>^-./j
^io ^xcD; J^/
.^CHoK^l joCSs.
jJ
[108]
^K.a.jtooj
0001
)K.,^il
^-w-JiJLio
«c*^ :o|-,^
jJ;
^/j
ÖU»; .jjot
'-^"**^? •'^J^*^ _)p;;Kio
MOPSllKSTK.
DI',
juifs tel qu'il
serpent d'airain
\
et,
co n'ost que par co
apres Tavoir Immilir
rappela riiistoire du serpent
il
pour guerir ceux
'
(jui
etaieut piques; ä ce sujet
sans pouvoir dire de quelle
etait,
sauvait de la morl ceux qui
5
etaient
piques.
Qui donc a
17.
demandent supprimer
«
la
la folie
comment
d'une
il
est de
par les
lequel
hommes
—
« S'il est 1S'(
1.
.Jean,
pouvons
la
modo de son Operation, parce que ceux-L^ nous demandent de dire
nous
i"
Notre-
qu'il n'est le
ä
maniere
^ lorsque
le
de
la
une autre
nature divine,
il
mode
pas
selon
ciiose qui est plus insensee
iii, l'iti.
iii^niü
s.
—
2.
fli.,
\'i.
—
:!.
que
cellc-U\
est aussi necessairement le Fils de Dieu''.
choses doivent ctre appeles leurs
XXXVI.
eilet
ils
cherchent
qu'ils
nous ne pouvons pas dire
Ainsi donc, d'apres leur parole, tous ceux
t.
tandis
est de Dieu.
il
18. Ils ont dit encore
lul.
si
»,
Dieu? G'est une plaisanterie en
Seigneur a passe sous silence saisi
peusee, eu vertu de laquelle
de Dieu
l'Esprit est
verite de la chose,
suivant laquelle
teile
lils.
SaiiiL Gi-ogoiie
*
le
»
qui sont de la nature d'autres
Dans ce
que nous voyons
eas, ce ciel
de Nazianze se pose
la
mt^iiic (ibjectiim,
Gi-egoire rf^poiid aussi ([ue la naiuro divino surpasse ncis raisomiements, novis
pas comptei-
:
sable de la inoi% les goultes de pluic,
iii
Ics juurs
du mondo,
/'.
11.
(|iii
//;/(/.,
no
l'il.
i".
—
CONTROVRllSK AVF.C
[1G9]
wKio/
'=v\»
|V|.
,_io
t--.^
jt^JUi;
K-./ •.JjlSL./j
yOOI-»'i .vOO(tC^X^>o
jiilÄl')
)->
w^;
n vi"^
)•,
)ju/
^»
sS/
|.-JL>
^^/
\.KS MAC.I<:i)()MKNS.
oi—L-.«^3 .j;ot
jJ/
snra
^JiM;
jiax-^— /
^../j
le fils
^^^
:
de riiebreti,
csl
appele
ä l'interieur de la terre. le
110m de
«
que
plus,
des arbres
« lils
proviennent de
üe
la
il
» soit
^^
o!^
l-'Laoi
i-«>.^
-'j-JOI
)?oi
.U^f^l
JJ
a 6tc sulldilir, si'lou lordro do
(ju'il
:
ou^S
).xSw^/;
)jL>/
\-^ -.^'y-^^
}
milicti
ilc.s
caii.r'
de
la
».
Les
parce que leurs
terre,
les plaiites sont
parce que,
,
eaux"
celui qui (vieiit) des
et les plantos scront aussi les enfauls
fruits servent ä notre nourriture et
.^aIoSJ
^^^).l.<0 0(J3«
Lc ßrinumcnt etaitau il
)3'^\; ^K.io/ K_/o
ImiUos .).^fro ^äJS5v
des eaux, piiisquo c'est d'cllcs
seloii la locution
semences
\--*-^
>&«o^ot
''^'^».iw
Dieu. Car Dien certes a dit
•"•
.'ÖMOJLiiJ;
>s>'i)
^«.1)0
^^
®«°^^ ,;^LiL-KjLio
.)Lb>i/j
^^
^^^01
l^ij
.^XwM ^f^S..^tO0 ^Öl-s/
001;
jl/
057
changees
eii
arbres
nous faudrait, d'apres leur parole, donuer aux
fruits, soit
aux
feuilles, car
nature de l'arbre. Par-dessus tout cela,
la
tous deux
semence qui
sort
souvent des hununes dans Tegarement du soiumeil, devrait aussi etre appelec in
lils,
car chacun sait qu'elle est la cause de la Constitution de notre nature et on
ne peut pas dire qu'elle n'est pas une nature, celle par laquelle nous somnics u6s, en nature, de nos pcrcs. 19.
Mais, laissant cela, je veux leur deniander
dans Adani'\ parce qu'elle i.">
a ete creee de lui
s'ils
pensent que
et (ju'elle lui est
consubstantielle. S'ils pensent qu'il n'en est pas ainsi, quel noni ils,
puisqu'elle est de sa nature:' Car
de diMinniiiialinn 1.
Gen.,
1,
(j.
—
2.
Saint Gregoire (luniie
ipii
Ü1QU? Ic
pas de inOiue njaniere.
designe une
=
teile
sa-niuiin, Gen.,
mtinio excmplf. Inr.
le
lil.,
i,
S.
Livre (saint) ne nous a
lirc est
evideinment
lui
ddiiueront-
jias
enseigne
parente, niais nous Tavons
cntcndu
—
l'i'i-l'ij.
3.
Le
Eve
seiis et
deinamleiait
n
est
lillc d'
\Uarii
Seih viennent luus doux d'Adaiu.
».
iiiais
1158
TIIKODOI!!''.
•f.-iö/
lol.
18 '
)-JLJS01
1—.,Ä.--J
qA
|_JuJL*JLs
^<5io.
n
%.J
•\
JI-so.-«^;
OV^
1.
.\.^l
).^ja3
paiail, le
|jc*\ -.^a-.
v^Öu»
|ia.Ji^
^
/
"o.s
^io
.ws
o.v
de sn c/iair
r/ In rliair
',
n'et'it
V".
le
nom
caracti-re propre
de cette dependance,
il
Ta
le
lui
en
pas de denoraination pour cela
que
mais parce
;
d'existence
lorsqu'il creait
genrc, male et femelle en
*
tous
memo
les
de
exeelliMit, dilTerrnt
i;eii.. II, -23. IUI
daiis U; fi'asmeiil r/ii'iiil(iii
—
2.
animaux, il
«
2'2.
—
du miiscnliim
cl
Clou.,
I.
:!.
C'rsI
du comnieidiMre de Thi'OiUm-
sin-
Md/isiirslciii fKi^iiifiilii syridcti. I,ci|izi«,
iinc
les
il
(on
le dit
aussi)
n'a pas dit ce
il
non que Dieu
Mlliisicjii
les
liomnies
eliez
]i.
sait
IC.
(ju'il
eux «c mode
autres sont enl'antös.
a la
c-ule rp|irlsc i.
27.
:\
Adam
|ioiir
uMver
Cidd^ ideo est duvelüppi''e
flciirse i-oiiservi' cii suiiique. Cf.
l.sß'.l,
On
dans chaque
faisait,
(pic eluv. les
rrcfiril eos. Cicn.. la
ou
montre, au sujet dos
remelle\ en muntrant
feminam
ue
lils »
inqjosait ä leur nature la Idi de
du mode naturel selon lequel
('.(.
coiiiinciilaii'e
la
il
etie.
qui surpassait tous les etres vivants,
temps, et
donna au male ce qui appartenait ä
cl
)^--^/
dit qu'elle est sa
il
mais
;
qu'il a
transmettre leur raee par Icur generation'-. Ce n'csl
1.
)p»
a plu de !( laisser sans denomination a cause de sa nouveaute.
eilet
Kvo,
joo»
wJ^ä^iio»
de son
nom
comme
dit
honimes qui preiinent des femmes
hommes, un mode nouveau il
^>; UiOj
ce qui nioiitre ([irelle est de
qui lui arrivait par le lait qu'elle etail formee de lui eu nature,
IS'l
.);0(
joiioaji
joi^JJ
)K.3l1qjo
ceux qui procedent de nous en nature, mais
rosic des
le
r/c
Quanl au iKim qui temoigne du
femme. Voilä
fiil.
jjLau./
i_OC)|
^^oi.2Sj
»a..\
-y^l
vS/;
'öi-'S.
^\
Jjoi
\il
^^iO.
}ji\.X
placcr eu aucun cndroit landis qu'il dcsigne par
fdle »
pour
K^jjL^a»
\170]
M:^.
sa nature.
«
..J.^,
)jULXXi;
"^^oo
jjjj
vOOU-Ji^ )o'Uo
•.J.jQDOiaj
Jire qu'elle est
de
).^ooi;
JJ;j
OU^
.tsJL-oU/
jj
jl».-^
^-^-/
^*Äwi.ja.Jj
.•j.JLjui>>
HF. MOIVSdl'STF',.
Ed. Saeliaii,
111
CONTROVRRSE AVEC LRS >[A(;KD0NIKNS.
:i71]
yOOi^^M ^-.J^^/ ^io
vOot.-K^/
.^>-wK^ jloJUl^
I.
I
>o
.,
)|.^vQ„fiD
\ai--.is
>
jL^aa.flD)^
joC^
.y »
>,
jj-^vO^D -.jjoi
^/; ^•—
).XL^|
^:>0 Joi^jJ
toOf^
^Öt^
^J_.OOI;
/
^t-^o-^
vQ-'öl
.j^.^«
^^
s2>l
JJLSOI
\r.
veut,
Ms.
car l'liomiue
seiil,
Paroe
de Dien'.
maniere
m
^^; )-^ä_^. .yoo(»>^^/ )_
La cause de cela n'est pas
20.
5
.« ..
>
059
qiie la
a trouver poiir celui
le
nous avons
le
la fönt
—
ä la
connaitre
pouvoir qui s'exerce pur
paroles et par les lois; nous avons un jugc; nous avons venir; nous avons rintelligence qui renfernie
ä riiiiaf/c
soi, (l'liommc)
eii
re^u beaucoup de choses qui
puissance legale; nous avons
la
([tii
les clioses qui ont ete, est dit r/cV
uature diviiie est invisible
iraage — a
d'uiie
nous avons
panni loules
tlifiicile
le
:
les
souci des clioscs ä
beaucoup de choses ensenible;
pouvoir d'engendrer et de creer. Nous possedons cela, bien
que nous sovons loin en cela de pouvoir etre compares ä Dien. Les Images In
aussi, qu'elles soient en airain
ce genre, celles-ci
sont
bien inferieures
la nicnie
une iinage par rapport puissance, l'operatiun, aussi pour
par notre 1.
Cl'.
le
I,
aux
ou autre chose de
choses dont elh's sont Tiniage,
les iniagcs (nous)
nianierc nous aussi, parce que nous i\
le
Dien, nous soinnies bien
pouvoir et
le
jugemenl
;
car
prcsentenl une sinqih'
(iloignes
sommes coinme de
Ini
pour
la
nous en sommes bien loin
souci au sujet des choses ä venir; et l(irs((ue nous semblons,
es[)rit, iMre
Gen.,
(peintes) sur des planches
viv;inlrs, taiidis ([ue
soiil
apparence: de
1.'.
ou
-27.
proches de beaucoup de choses,
il
n'est pas possible de
;
o^
^•^J»^.I!Clio jjilb^am^ voot-s lul.
DE MOI^SUF.STK.
TIIKODORI':
fiOO
^^;
y^ -l-^l
[172]
oi^^ 1q\ .-^»^^^j»
)i-^;
LS
K_/j
l-iaa
:|-*.Ji-2^
^
..)o6.jJo
^-/
k.,^
"^^C»
'^OfS»! ^^^i-ooi
ot^jaii. )^^*'=^J
|_Jo«
\j)
oiioA
ioJ^ii^^
-.J.-JLO
^-ouio
K.-/j ^_jL« ^-_iw;Kj>e
Jt-'^aio
^
.j-oöi!!
V-=^ i-y^h.
)t-/
)^^
^
l^-^-s
)tCS.i.
^ioo
l-^t-«^
j^-.
Il)
}ii
^iö ^-/ v^2l^«J
ilirecombien iious
..K^jjLv^a
jJ
sommes
eloigues de
lorsque nous creons, nous qui u'etaient pas
;
grande differeuce entre lol.
IS.-,
du Pere.
Fils (provenant)
1".
cUes-memes
les
—
celiii
sommes bien
et lorsque
ool l^oi
qui est egalcniout proelie de tout
loiii
de cclui qui a cree les natures
choses qui uaissent de nous, et
Meme
lorsque nous croyons
*
meme
d'elles
maniere ä Dien
—
a fait
dehors de
la
l'homme en guised'image
naissance naturelle
maniere d'etre de par
la
n'etait pas possilile
nature
el
(jui
ne
—
il
a
mais de maniere
il
maniere de parier de
la
y a autant de diilerence
et que,
le
rapport de
pour
la
(|u'il
y
soit pas (un)
ait
change pour l'liomme seul
la
le Fils
Dieu en nature, n'iiesitons pas, comine
quclque chosc qui provienne d'une autre
lils,
bien
(ju'il ait
la
memo
nature.
Ne nous
troublons pas en nous-memcs u cause de cela. 2{. C'est
pour ceci encorc
{|u'il
n
l'etre.
cause susdite,
naissance, lorsque nous eatendons du Fils que
est de Dieu, et de l'Esprit qu'il est de s'il
r
nous ne pensons pas
entre nous et Dieu, qu'il y en a entre nous et lui sous il
v a uue
naissance du
participer aux choses
et ä nous,
Lorsque nous portons notre attention sur
ces choses, nous voyons (jue pour chaeune d'elles
Puisque donc
qu'il
la
lorsque nous ne participons pas aux t'antömes (des choses),
qu'elles appartiennent de la
— en
:|ouS^
'^^i.^o
uous cugeudroHs, nous montrons
mais aux choses elles-memes en chaeune
differente.
^;
)ouS^
oot
a laisse saus denumination ce
modo
(de
i:.
r.ONTROVF.RSR AVF.C
[173]
..OiA
yeu0..£olil
otloiaxiö»
^ju-^aji/
'^iw .ql^sK ''^>^-^o>o
^Jyj
joC^S.
)o».2^;
-.oo)
ou^;;
,_io
)^^\
i..io)Koy3
^o
^:»^
.-joCSs
jÜL./
0^3 ^^
^^O>oi
otlol^-.
)jj;
sO
^io
|.^o;
» ..i
))L,vQ„flo
^^Oo
^/?
:)oi!^t
jJ/
>-oto;a-J^
t-*"ix
^^j
OOI
iiaissance), afui
>
«
'qi
|v>fii
).^oi;
v>
)oC^
n
})->\a
nun
a
|iIüs,
plus
liieii
i'ortc
raison,
si
:ooi
ii'a
iic
OU^ v»6i
ji-i;
l.il.
Is;,
^^«.^^io -.Ji-i
^^^io
»—^^; )~J_a-/;
iiom a ccltc maiiirrc d'etrc, ä cause du sa iiouvcaiite, nous [las
Ijöt
y-./
^OloK-i/
^^«
,
Dieu
(|iif
).JL./
^^a^ö«.^ yOJot
joj!:^
|v-s
voyaiit, chez les liommes,
qiie,
Q^;
^/ t--^
)^»»)..«^^J
-.ooi
)!•>«/»
ota; .|^,^.w^ >-•/
o<.2^^;
'"'^^
>is,-.l^
^i.
^~»o;o
).iO(
.•).«.i«jl5
-oioK-./
Ot-iONO •.)^_|jL«J
OOI
^io;
joü!^
:ooi
m >
^oioK_,/;
)L.oj
.K_.)ju.io/
-0»-=.
t-*-.X
jou^;
.|— oi -oioK_./; ^iö/
)oi_^ ^io» ^öt yo-eo
)cH.J:^
.-jtswj.i
vö'j;
:)-.oo»;
661
.K_)jLO «oioK-./ ouio; -Joi,^ ^io ^oioK-./ ji^V-s
vOOt.-K_/
•OCX
jls/
'^i^ Jia/j
Ijüj
m V)\ ^^
|.ia.Ji
:MACEDO\ir-:XS.
F.F.S
pas
iioiis
(loniu'-
de
ctonnioiis
uc pouvons pas cxposer
luius
coninicnt rEsprit pidvioiit de Dicu, lorsrjue uous uc pnuvous pas allciudre les
commeut
divrrs luodes de soii (ip('ration. I'lvitons douc de cliercdicr
Dieu; mais, lorsque nous apprenonsdu Livrc (saint) y"
'/
unc crcalure, mais dune manicro unique par laquclle dr loutc crealure,
— quil
um- ereaturc
((iiiiiue in
nous faul comprcudrc
il
(Ic l^ivrei dit (|u'il
rsl
— de
<'' ili'
il
li'ur
parce
manierc
([u'il
([U(!
est de Uli
—
Dim
Tous
inr'nie'.
croil de celui-lä il
coinme (1Ic
('lanl di"
Dieu,
dl'
la
I
Cor.,
II,
12.
Diiu, car
il
nieme maniere
est de Dien, alin
1.
'
meme
csl
(pi'il
est de lui eu nature
22. Puisquf" le Fils, par cela I.'.
nonconanic
scMoigiU'
beaueoup Dieu
eu provienl eu nature. C'cst pour cela aussi
VEsjiril de
Ton
est de
cclui (|ui n'est pas de
(;t
il
est
di' la
— de nir-mc quenous croyons
mais ce
pas
ii'esi
—
mais
couslamnumt avec
qu'il est Fils, est
Livro) dit
;
l'Ksprit de Dicu,
lui.
cvidemment reconiui
est dit tout paiiiculiercinent (le
qui'
les c^prits (pii (uil cxisti'
soni de Dien, parce (pi'ils sont ses serviteurs et ses ceuvres a
Di''",
il
lils
substarnu; do
parc(! cpiil est
•
ini
V
l'l'^sprit ([u'ellc
(pie le scul Fils vrai et qui est
de
is:.
TFIROnORF. DR MOPSUESTR.
«02
^J
)o}:^
.001
|oiS>s;
|j^ ^-/
UAiosi^o
U*a;
|.*j^s
>&>»^-;
^oioK-*/; ^iö/
jjoi
^3/ ^^,
^-/ a^
jJ/ .j^Jub.
Dieu, provieut de Dien
jojS^;
JoC^;
OJL./
-f.*^
—
)^0i
j-^VJ^
^^io
|t<x.Qj_5j
joC^J
^;
jojSs
..001
JJ/
..|3oji.3j
.^-floaio I-.0;
^ t. '(Tn°l^
.•
Jj.*/
).>J^
.^c5»oK^/j
nous croyions de
j^oi
oolo
^;
JoCSx
|^^/
)j6i
maniere que
^^i«
ä^äj
-.ov^
^pcxi^s )a\
.)Jj>
meme
ogujLj» ^oioK-/
chS.,»
^a
..«-.oioN«./
jjLDOi
^j
v^/
ja.-w.io
<£>l
la
^/
,)-^
oi^M
)jl3l./;
^/
».-^i
jj/
^oiäiiioai.
[174j
\.^oi
seul vrai
le
Esprit de Dieu provieut de Dieu. C'est pourrjuni, lorsqu'il {Paul) Va separe des creatures,
la iudique par l'additiou
il
est
//'
de Dien', afin de uiontrer, par
cela seul, que l'Esprit est divin et qu'il est de Dieu;
aussi
comme
Dieu
ni
»,
il
de Dieu et comnie
Fils
couimc
determinatiou de Fils,
«
la
personue
d'abord qu'//
dit
(i
rcn'dr
rapport de
pur la
soit
il
ist J'Ksprit
rspril
[luissauce,
;
(jui surlie ce ipii est
luerne uussl
I
Cor..
scliilto, avei;
11.
duns
persninie
II.
-
(|uel(]iii'.-
-2.
I
el,
il
(^uaud
».
il
uou eonime
(sa)
r.ow.
11.
a di( (pie eet Esprit
ajoute
:
une
meme il
est
sieu,
11.
—
:i.
I
Cir., Tct
n, sv
ij.
tm
esprit de
a
—
,.
la
pas
Noiis ii'arnns eii
etVet? Diru
comme
uon
u<
le
sou
que cet esprit est de Dieu.
dit
Oehi.
:.
nature.
nirnic les profondeurs de Dieu.
grocs. poiMe
croyant
tous les esprits sont sipus sous
riuinint ce ipii tconrenie)
iiiitiiiisi-rils
Fils
veut faire
il
Quel
est
l'/uunnie, si ee ii'esi l'esprit de l'/uirnnir (/ui est
iie
le
distiuction d'avec le
de Dlru'. (^)u'a-t-il dit
(jui rsl
comme
et,
'
L' Esprit srnitc. taut,
:
»,
de Dien-, puis
De nouveau, montrant comment
ajoute
1.
de Dieu
de l'Esprit et
(^poGtoirov)
Oeuvre, mais parce qu'il lui est uni par 2.S.
«
—
bleu qu'il soit de Dieu
esprit qui (procede) de Dieu
rcni l'csprit du iiiomli: inuis lEsjnit
nous
—
espril par sa naturc, raais
est
qu'il est
que
sacliaut
Dieu.'.
I
Cor..
11.
sl
In.
ee
—
ii'esi
:,.
Ti
lo-j
l'hdunue lui'.'
De
l'F.sprit
de
La
l'o-
eii
ÖsoO.
i.-,
r.ONTl^nVRRSR AVF.C
[1751
I
•>
I
^_2«
I-jl-i/
^io »Ni ) 1
m
«
hiru'
S
.
il
qu'il est
de hü.
de ineme que cliez
en
taiil
tilrc
sous
sollt
pour
etre, est eloigne
lui,
et ils
Apres avoir douc munde,
l'f'spiil (In
prit
—
quetous
etre associes eu cida, parce
au luenie
jjöto
:ou:o
uiie teile alliiiite
Ic
liii
liommes
les
quil est homine
de
jJ;
-.loot-iaV j^ioA
son Esprit, pnisqu'il
oliaciiii
Uli
)-Uiia3
oi^J
)
r;
K^^
-.
^oC^o
mi;
s.')
i.
).io
-.llopoio
oö)
)-*^«~>/
vi_,/;
jlaj^^/o
avec Dieu, c'est
pourquon
)joi
eii liii
eii
la
crealiou et de ipie ce (jui a
il
*
dominatioii, et tous
eu nn coniineneemenl
el ipie Ic liinite
ajoule alurs
de lUcii".
la
II
:
lest de lillimite.
Noas
ii'dvdns pa.s irni
dit ^vidennni'nt (iiril esl
de Dieu, celni qui ne convient en rien an monde, parce quil qu'il provient
na
VEs-
pas eu
de Dieu d'une maniere supe-
ricurc ä ceux-ci, parce qu'il provient de la nature de Dieu et ä cause de ccia est seul i">
nommc
«
son esprit
»
;
il
a avec
hü une
il
aÜinite lelle quc n'en a
aucun des esprits du monde, car tous ont eu nn coiinnenceniont d'exislcnce, lorsqu'ils n'i'laicnl pas, 1.
I
Cor.,
II,
10-11.
—
2. I
ils
Cüi'.,
sont vcnus a l'etre, II.
['.
IS(i
coinimui provi(;iiiientdelui et depcndeiit
est ainsi,
nidi.s 1' Ksiiril ijiii r,s7
fnl.
adliere et ([uil ii'est pas separe
l'esprit se
de l'essence (eternelle)
de commencement; niais on croit
s^/t
liouvc saus division
rapport de
(jn'il
>
.|oi^; o»-«oi
car les autres esprits ue pourroiil pas
en sont eloignes aulaiit
t('nioigne
663
^o
>4^jo/;
K_J^» )^/ -.ou^ ^.-/ cxloS.
muntre que (lEsprit) a
a
oii:»o
^o
jJ
—
de
|||
n>m>o
)-
w.oioK^/
«jULS^aij»
jls/ ^)aL^
t.*^\
comprenne
T)
^»-^
^-/» \Iqj^^I%
);Oi
^-/ :^p^.:l^
v>; j.ia9
^^
).-.oV
.'ou*o^
|_:>a3
>o;
K-/
l«x^ Oi\
.joCS^
./
IMACKOOXfRXS.
I,RS
e|
pur
la
nieme
ils
sont rcputes
Itll.
I8(i
TIIKODOIIE DR MOPSURSTE.
()ß'i
.-^-JL-tj»
)J /
Kj)a.*.a»«
)»-^ jla/
v>6i
j—L.30I sii.2uji
etre
V>
">
Vi^
w_il-2lj
)lo,»2u^;
^;
•.^OoCS.^;
^Ö(
ojöi
:).joi
l^oi
JJ/
oolo
]J
)wwi..Ol:M;
^1
.-)oi!^
jJ
jooi
^/;
[170]
1-30^90 JLJ ^;
:|1qjl>1,V^;o
J-^V»*^ ö|i^.2L^;
Jl
^o
^N
]1 /
jt-^ojl^^
0|1o^^«0 •.jLJ-^J ^Ö| )l^s^ww.MO .-JJLLS .-^cfi
une partie du monde. Aussi on ne
\^oi
).:>aLS^4
I
jooi
^w».;
jJ
V^/;
pas qu'ancun d'eux convienne ä
dit
Dien, de prefercnce aux autrcs, d'une mauiero iinique cl excellcnte par laquelle sunt en
011 diraif qu'ils
lui.
Tous
ä (Dieu) et lui appartiennent soiis Ic
24.
De
cnrarc
de sryviliidr des ciifdnt.s'
de
[(irre et
nieme maniere
la
;
et eiicorc
d'amoiir
(les
la
cntnitc,
itiius
.s{t(/fssi-'
;
et eiicorc
:
Vuns
arrz
roii.s I
il
ii'((rez i'crii
I
la
pas
domination.
pas rrni i'Sjinl
rsprit de craiiitc.
C.c ii'csl
:
de
la filiation et
dil
il
convicnncnt au memeiitre
yotiv-Seif/ncur, car paar innis, iious
trars d cause de Jesus'; enl'aiits et
rapportde
doiic, K)rsqu
cffcl,
Uicii iic ixnis a jxis ihmiir
:
de
rl
iiiais Ir ('Jirisl-,l(''sus
des
hi
jioiii'
cn
les esprits,
tl
rc.sjiril
ICsjint
iikiis
juius ijur iiiins j)recli(iNs,
iie
soniines c/ue tH)S servi-
est evident qu'il n'v a pas de rappört cntre l'adoption
scrvitude, ni entre la force et
crainle,
la
.,
nni
iiddjil
iii
eiitre
lo
ceux-lä
apötres) et Notre-Seigiicur, au poiiit dr vue de reiiseipnenient
;
mais
eliacunc de ces choses ctait dile pour detruire celles qui raceonipaj^naieul en ee qui la concernait, ä savoir Tadoption des enfants eontre la servitude, la puis-
sance contre
la crainte et leur
maniere, lorsqu'il a dit prorienl de Dieu'.
il
creation et rh]sprit
qu'nn reconnait 1.
Huiii., viii.
Kl.
na :
qu'il
—
-J.
11
domination contre
Sous idarons pas rcru
:
pas nienie laisse suhsisler
celui-ci
en
effet est
celle
l'csjn'if
du
iiii
poiiit
separe de tonte
est de Dieu en nature. Tiiii.,
1,
7.
—
3. 11
Cor..
IV,
,").
—
'i.
I
(Ihrisf.
De
la
meine
du maialc. mais IKsprif
Ccr.,
ii,
12.
(/ai
de contaet entre (la
la
ereation), parce
i:,
CONTROVERSR AVEC LES MACEDONIENS.
[177]
o^/ laA
jo« )K2S^
5
3/
oi-:>a.-^
^
*
25.
viendra
^^-JLA.iü^t
cH.iav
—
wl.a:^f bis in ms.
1.
>oo
)
)K.^iM
)ooi
-.oüCLi.
.'y.2:i^iaj
)!/
j— OM
i.
^/
'»-'
%*ö|.a;
—
y/o
^
^^'^ .oi-iia..ia.^
^"^
^a*.-j
.).'^-*->-^
^^^
'»^''^^
•'
"^'
•^'*" ^'°
^
''
'
prh
Paraclet (TCapaitVnTo;) fßie je vous enverrai. de
de verite qui prockle de
prh
de
''
'''^r' '°*"?
mon
Pere'
il
;
de inon Pere.
encore tres bien dit que c'est
en
effet,
c'est
lui
Qaand
:
1'
Esprit
est evident qu'il ne parle pas de la
substance du Saint-Esprit, mais de la gräce que uous recevons de .5
>s/
^-xso
cstlolv-
Notre-Seigneiir montre encore cela par sa parole lorsqu'il dit
le
-^
-j-^l
v^-m.) y/j -V^/; wN-io/ K-/o .^«.sN.»j
<x5>a\
J' P-
^ ^/; ^^io
oo);
»-^>x^
^CL^ oo«
oö»
Uh.
»t-«^^
a2^» ,-<^^ «ot j^Iü^^ -.vAaJ
'"^«i^
f>
i
^^oA
jio-a.*^ o..mj
•.)--*o»;
i«^ r:^ voa!^ Ul
l—o» :^*^/
jii-k!
J-fcjOÄ;
j.^^».^
V.m.2L2t
vs/
OCX
.•^-iö/
jJ/
^^5i_i.
^;
ßfiS
lui.
II
a
qui l'envoie apres l'avoir reQU de (son) Pere,
parce qu'il avait d'abord regu
cause aussi que nous la recevions.
11
est
la
gräce de l'Esprit
qu'il a ete
evident en effet que, puisque
le
Christ dans la chair a ete nos premices", nous esperons participer avec lui
aux biens futurs 10
de
meme
qu'il a ete eleve k toute gloire
au point de tenir gräce de l'Es-
lieu de maitre ä tout (l'univers), parce qu'il avait regu toute la
nous aussi, de
prit,
esperons Paul
'^
;
la
meme
recevoir aussi
l'a dit
Christ 15
et,
et
la
maniere, apres avoir participe d l'E.sprit\ nous participation
aussi en quelque endroit :
Si nous souffrons avec
:
lui,
avec
lui
;
comme
le
bienheureux
Heritiers de Dieu et coherüiers de Jesus-
nous sernns aussi glorifies avec
lui'';
et
y a un endroit oü il dit Si nous endurons avec lui, nous regnerons aussi avec lui''. II a dit aussi que notre corps devait ctre semhlahle au corps de sa gloire'.
il
:
Mais voici en quelle grande mesure nous sorames inferieurs a l'honneur 1.
G. 11
Jean, xv, 26.
Tim..
II,
12.
I'ATU. 011.
— — —
2. 7.
T.
Cf. I Cor., xv, 20, 23.
—
3.
Cf.
H6br.,
vi,
k.
—
i.
Rom.,
viii,
17.
—
5.
Philip., in, 21. IX.
—
!•.
.").
' '
(qu'il
fhid.
—
foi.
iso
TH^.ODORR DE MOPSUESTE.
666
.•)i)j;
^; oJ^;
jj
j^OM
.yQ-aLi.;!
ja-./
187
^^.^^
^oioK,/
^,
Lioailß "^i.
'^-ooi
i,MM
Ij/
.>s.aiL-
)ooi
^^^
]^^ol
U-aio
.«..'^
ov-^^o
)K.-.,-s
^o-
oiii.»
^^s^-^
]H -.J^t-^
ji^l
"^^io .U!*^?
jJ;
I-^'^OVS
«-otol^/^^
*
vS/ .).ia^aA ));
V^/ ^oN.io
^*^-ol; )oai
))
-ö« o|
).j/;
)I
.^^K%1 ^^s^i.
«oiolS«.*/
.jo.oi
jiöi.:^
|)..aa;
jLsi».,
1.
»t^io
jj-./ .).j/
r^ -9« )~^-»M -.ö»-'^'/ l—O' jlaJLaj ).ioQ.JLD ^b. a.'^ .vClVooI
).^aiV^o/ ^!
.vio/
)J,
U^
io.oi
^=^0.
**«
t-^/;
v^/ )—oi;
)ooi
jJ;
^ofc^ia^
.o«JLaJi.i.t_ieLi.
U-^a^
.vioa\ai3
);0(
oi. .voau^ ')j;^a^ Uh. «öi
-iU) :)t^ I—o» )—o»! x^? jlojL*^'^; .ycLJ^Lio )too^j>
.yQ_a^;l
fol.
V*^
^ o^;
,^)-iaiK JLj/ w,.-)»V> )jo>:^ )^o»
..jjLJLio;
)la^-w^^*3oi
-.l—oi;
).^aJLD "^i.
)--o»j
v^/
)ooi
«öl
^
jt^Vo^ ^V» \^l
.Vio/
)j»;
).!/,
[178]
l«»"?«
-.Ujaö; U©'»
jJ
^^? 1^«-^
-.Uo'
^/
I-'O»
10
P
a reQu), c'est que lui a regu toute la gräce de TEsprit', taudis que
n'en avons regu qu'une partie
nous
".
26. C'est donc de celte gräce de l'Esprit que Notre-Seigneur a dit avec
raison
:
Quand
sera venu celui
substance de l'Esprit
que
qu'il disait
viendra,
//
:
vous envoie^; car ce n'est pas de la
je
ou
:
Je {lYenvoie, puisque per-
5
sonne ne peut dire qu'elle passe d'un lieu dans un autre, atteiidu qu'elle n'est pas limitee en un endroit. Ou'il donne le nora d'Esprit ä la gräce de l'Esprit parce qu'elle appartient ä l'Esprit, c'est evident d'apres ce qu'a dit le bienheureux Pau/ : N'eteignez pas l'Esprit, ne nieprisez pas les-propheties'. Ce n'est
pas de la substance de l'Esprit qu'il disait N'eteignez- pas, car aucun liomme ni meme toute la creation ensemble ne peut pas l'eteindre, puisqu'il est * sans :
fol.
IST
flu.
Jean l'evangeliste a dit aussi
L'Esprit Saint n'etait pas encore, parce que
:
Jesus n'avait pas ete glori/ie jusque-ld^
Saint-Esprit qu'il aurait jamais dit
:
;
mais ce n'est pas de
// n'etait
1.
Gf. Col.,
I,
19;
comme et,
II,
9.
—
-2.
On
Le Sauveur, eu
les autres enl'ants
par son Union avec
le
a
en sagesse,
Verbe;
il
un couri
ici
l«nt
eti
discerneraent;
ölail favorise d'une
dogmcs dans iantiqiüti chrelieime. Paris, V,
l'.)-20.
—
5.
Jean,
vil, 39.
— ou
1912.
1.
(irapxx,>.Y)To;),
de la partie la plus personnelle de
apei'i;u
qu'homme
substance du
la
pas alors.
27. Gette gräce de l'Esprit est encore appelee Paraclet
logie de Theodore.
lo
« le Glirist il
ötail
dans
—
s'est
la
Chrislo-
d6veIoppe
impecoable par sa naissance virginale
gräce singuliere.
III. p.
la chair »
parce
l.i-lß.
—
3.
Gl'.
.1.
Tixeront, Histoire des
.Tean, xv, 26.
—
'i.
I
Thess.,
is
CONTROVERSE AVEC LES MACEDONIENS.
[179]
)l)_X-«^.tt 5
.v_iö/
ouuio
^;
.vg>a\n
°>
«otots_/ JiVJ^ii
:).ÄaLj
K-U,Äio
oUia>.o
"^^ ^io;
)-«o»
oo«;
jJ;
I^Ji.^
j—o»
^-.oi^isj^ f.^v'jo
^)JiOki jj
,.ao
001
^/
,J 001
0« (X^^;;
J^fll^io
U/
.•>*.^-U l-a'ÄJ
)— o»
^t-^so-'^
Uo»
'^')V-V*
^
oo»»
<=^ -lo«
|J
'^^ioo
)?öi
^>^
?a-^-=
Mj^ -.l-Q-^
«sl;
donne de
la
U^oi .«Ai^fcoo
Uo' x^ oC^<~*;
-o«? )-MOi
consolation ä ceux qui la reQoiveut. Oii l'appelle encorc
Esprit de verite', parcc qu'elle peut conduire ä la verite
puisqu'elle est le
t-»^*
^^öiio
Jooi
..-oioK_>/
qu'elle
llo-a-^;
-.j—o;;
JKJiotaio ^oi-fc^/ jNoKäioo
^-
Oi-V-.;
)1.Q.ä*4
)^-/
|—oi; ouio
.^o-laj
667
ceux qui
la regoivent,
docteur de la verite, attendu qu'elle possede Texacte science
11 prucede de toute chose. C'est pour cela aussi que Notre-Seigneur a dit du Pere-, parce qu'il est bleu evident que la gräce de l'Esprit procede de :
l'Esprit lui-meme, selon la parole de Paul et
10
varies\
il
y
a, dit-il, uii seid
Esprit qui
Selon qu'il le veut''.
Comment donc
procedait du Pere,
s'il
etait'avec lui ou tout
Bien que
les
dons soient miuhreux
opere tous,
les
repartissant ä chacnn
:
les
aurait-il affirme
que
la
gräce de l'Esprit
ne croyait pas d'abord que l'Esprit etait sien et qu'il
temps?
n'est pas separe de lui.
Car
11
est appele son Esprit, parce qu'en verite
c'est en ceci
seulement que
la
il
gräce qui procede
de l'Esprit peut etre dite aussi proceder du Pere, s'il est appele son Esprit absolument saus distinction, afin que ce qui procede de l'Esprit, soit aussi
reconnu necessairement proceder du Pere dont Ein de ce qui concerne
t5
1.
Cf. Jean, XIV, 17; xv, 26; .\vi, 13.
—
2.
le
Jean, XV, 20.
il
est l'Esprit saus distinction.
SaiiH-Esprit.
—
3. Cf. I
Cor., XII, 4-10.
—
4. I
Cur., xii,
11.
TABLE DES CITATIONS
ANCIEN TESTAMENT
PsAUMES
Genese I,
6
169
I,
22, 27
170
27
171
I,
170
23
II,
NOMBRES
Rois
I
I,
26
27
98 III
Rois
124
H
107
XXI, 7
151
XXVI, 12
137
Sagesse II,
cviii,
138
152
2
EcCLESlASTIQUE 22
162
XVI, 3
114
III,
36
103
ISAIE
106
— —
70, 77, 112
.
.
113 XXVI, 20 103
116
Jeremie
103
107
cxxxviii, 6
163
cxLviii, 5
156 XXXVI, 19-26
36
V, 4
117
35
xLviii, 13
56, 92
XXI
Proverbes
Job 1,
113
1,3
xvii, 27
cxviii, 47
11-17
III,
132
cx, 10
Rois
IT
103
3
XXXVI, 28
26
XVI, 23
2
I,
xviii,
117
XXXV, 14
I,
XIII,
52
Ixviii, 3
102
151, 152 XIV, 15
1
Jonas IV,
6
16,
129
NOUVEAU TESTAMENT 43
165
48
47, 76
XIV, 7
179
XI,
18
45
VI,
6
116
—
33
106
3
165
I,
VIII,
28
107
— 34
74
X,
XI,
8
XIV, 17, 21
45
11
II,
165
IX, 6-7
Luc
Matth.
—
—
Jean
152
16
177-179
XV, 26 I,
151
26, 27
III, 4,
133
—
8,
166
VI,
68
XVIII, 6
48
XXI, 22
126
—
XXV, 36
135
VIII,
VII,
5, 6,
14
39 50-53 44
9
167
XVI, 13
179
XX, 26
166
168 32
Actes
178 52 35 XXV, 10
,
52
TABLE DES CITATIONS.
[181]
Rom.
X, 12 XI,
15
—
19
U'p
15
170
17
177
-
.
(^111.
II,
10, 11
— 12 IV,
.
.
17'., .
175
150, 157, 173-176
157
9
VIII,
157
6
IX.
22
114
—
27
131
XM, 4-11
—
XIII,
179
116
19
163
12
XV, 20, 23
—
69
.
134, 139
105
VII,
VIII,
.
29
177
36-38
165
II
Cor. 176
CiM..
I
10.
.
669
TABLE ALPIIABETIQUE
DES ISOMS PROPRES SYRIAQUES KT DES MOTS ETRANGERS OU REMAROUABLES
-Ciol
108,.,,
110,,
109,.,,.,,
112,3
"'^
54, 55, 593., 6O3 743.,, 76, 84, 85, 89,
119, 120, 127,,
/
IJO*. Ml( 136g
9'5 98,0
—
^^Ji» -f«i) 150^
llOi^f
-^11 W,o
169,,
^oi>^tl
-po
.:3a-
10O._j|
71„ 72,3
— _>oc«v^;
l.n
.^v
.
128,.,^ 129, 132,, 143^
.38,
105,
Piij( 87388,
^a.^»(
27„
1
119, 126«
Mijjl
aoQji-^,1 ai„ 87^ ^Ol'r^l
1"2.>3 l'o-w I65 -'99-., 3O3., 38,.,
P^^^^f
1.52^
34,,,
)jiioQ.J.a>) 32,
,m«nnf;>ffn[ 58,
'51,4
Nbov-I 92,
^^oet- v
121,,
m m
.
{)
.
58,
|
l4,a^V*^( 56„ ^OiVj( (p-äi-ico
^oi^^l
I»
.
11U„
t r>)
12,,
)N-Cb^il.| 56.
.m. \ t,;.feux»|
\Lot^l 5O3
U-^l Ö2,
70,
.
fc
"^
1-"^' 1*7-10
ecrit d'ordinaire va^^i 7.
iiaaaj(
106,, 107,^.,3 108,., 109,, 110,,
Ui<^^l
^.nua^l
45„
78, 79„
12,., 67369,
91, 95, 97, 98^,,
96^,
>>•!
169,,
I
.irrn;
^4ä;
lOj
m -^^
67y
,
1
rnn ^'r, =! fn'Sx
ni),
'^v
132.,
1l„
,,
r>Ni»|
^^t^^
0/ ln„
78j,
ja-^^vcool
10,
86„
171,,,
aTfo
l.a
/
112.
1
«Ngaf 44„
U-^^l 27„
rrnm^/
11(,
2;i.
98,„
|.m°i[
i"8s
.\av^J 87,
'•'„
'«.-,
69,,,
'«.,
56, 58^
78,
wOioja^Vf
l'l
79„
.Too.;; 9,.„ 150,3
...00^1.^1 140, 55,, 7H„ 82,
.55,
11, 54j.
^.^önmg^f
«82-6
l^o.^/
124,
12,
om^-mI 70,
—
'39-7 l«.o
136.,
.gpa..; 09j.
fTf mo;-a3o/ H7,
r»l
'35o
113,
|-
ILa^o^M N^
V-*"^*^
V-^
pi,xmiS^ [..Y
—
PVi
.000*1 tfm'is %-ii;
44,,
I^pN.vi.-not
p,a:ii»; 101, 150,
118,
107.
P>Sv
1343
120,.,„
{Naa:us( 18, l:W„ 138,.,
128,
llsioo lovSX 68,
pLSjao
—
).X.Smrr>| 120,,
.ja-Vnm'^/ 80,
^^OjJLcaa;
80,.,.3 82.
86„
^'t
10,V8-1.
l^''l
9„ UV,
4I„ 433
SYllIAQUES. TABLE ALPIIABETIQUE DES NOMS PROPRES
[183]
^ioj N^o
N^
y^-^
l-»i|
—
98,j
15, 22,„ 26,2 27,3
-"-»b
«73 8a„
116,4 •
l-fr
w
33,2.„
k£DQ\TO-0
99„
IS_a-3
tS— i 137y
|_3i
..\q;
)>a^
^3!=^
69,„
I
27^ 473 51„ 76, 80,„ 119,3
'24^
posao.Lil
l^ci^L
pi
Pwiii^l 34g.8 29,,,
1083
37^ 39„ 91„ IIa,
120,.,^ 136, 137,3 140, 150.,
1^.^
l^^M
p_oi
^fc..:^!
>^^xa^
'•>
35g
» 1
•!
^'°^
ovui ~^~^^ 129^
''•';,
107,,
7.^,
.rcci^ia^'^ 1283
r^ -^
jLJ
Ir-J^ 692
U^5>^
ILoiNiio;
I^^M
'".1
(..lobv tr^I
135,3
31a
M'po^-«, 11^3
-°''^'°-«>
puolS.it^ 9„,
142,
124, 134, 139,,
^01
"2,
63,j
l-ä^ U-^-l^w^^ 112,2
41, 433.,
"9 ®u
W~^*»^! l!<^
picuj 15w»j 62^ 64g |
Cf-
I'^ss. ''1,3
l-V^-^!
'<«i-8
671
"^
" -^
^s»
10, ».,„
•"
-
p.ii\
•J»a-r>^V^5j 8b,,
"" ' 16- 86„j
-
OlO^Pf; OÖ1
ls^.^0^ 77g
r-^«5>
'*^7
'Iß
131,
|Lai
pL-^-OJ 56g
vCDQ-W^t^
'"11
l-^'».^
IV»v-> 151q
|!A^
IO3
10,2
13I2
pym-t
7.
.jn^io^-^ (|f^.t ^K«)
130,,,
5O5,
^aj);i-i-3 45,,
pOUr
|V,^\«,n 95,, 97g
]-^
llofH'i-^ 93„
|oPä!v
.«in
|t.i
H-Ai.
>
«'
93,
•'
Iv^j
137,,
VJ 45„
l-L.tojiV'S
42g
19,j
Bß„ 57,^
p,»,, IL'ovsl
^^
I
—
ILa^V^V^ 3Bg
N->J 28^
62„ 63, G4,.,2 78^.,
|_Vj.io; y^ooiLo-V^vi 57,
IS-^ 35,
—
ILo^J 176^
I^Oi;
lUss.»
|tv-V3 175-
J.O! 5
pajjj-Vj 5
;
7
;
;
»13
6''4-8
21,2 20,3 262.,
143,1,
124,0 155,, 163,
p-^
153,.
l-=^0! 102«
pö^
Pvi
81g vA30Jl-»o) 95.,
Laio^ w V^
93.)
|oiS\ CCi-.! 113,3
—
IN^oi. ^. 54.
117,j
1293 131,2
|Lm\lo' Vi 473 ovj; lovSs ISi—I 132g
45^ etc.
yxj-ys,
^,
^^OJ
V. 109„.,3 117,2 >'»« '^»»
49„
|o<Ss isi.-! 48,
|,-w» JJ 128,
—
85,„ 86, 87g
'22 '-'r.
ILo-o/. |lSi-. 80,
^jooj iJ (jn..>a^«mj) 141, IVov-r 17,0 89g 0]^,^ ^
n V^
62j.^
^oioj..
5 I0„
12j,
29„ 83,.„
^cDOtwJaÄO; pj» 6I3 oti
>•>
L;-.a
169,2
pjLvi. M-! 61'3-11
p.iL
i.-,i
1372
^jL^a^t oiLo.L'f 62,
^'"•^^
NjkA
iAfOM C^^
^
111,,^
4I„
pjovs; Ih!
^^Pu; (.L.;i
l^---" t^-^ U9, we,?Si »> ^««-^
piäuopof |ä^
|a^ 'oi^]
112,
136„
ii'ö
.m.ti>ln\; 46g 78g 79,.2
P3.
in7g
"^pui
107,,
119,
isi^ui 138,
127,_j
Ui.
149,.„ 1503., 151,
86,,
140,,
,
TABLE ALPHABKTIQUE DES NOMS PROPRES SYRIAQUES.
072
lopi^oL
|Nmov£d ilox^
C1
(U-
(.1.
.°usaL yo:^.-
III.,,,
Joint souvent au parlicipe
loo,
pn'codont avec supprcssion
du
Ol
|o-,
:
imV)
loioitoo
'.'ll-,
l<^M=
;«,,
iai„
*
.pn->o»li/i
n
I
1
U^ t^-i
47„
..
—
MW,'«"
3^9
8V.1
82,,,
«ß,
«%
f",o "'1.
pj^
IJQJJ
•i
>a.a*.-
139,
v^Qnxj
l-fc^oVcD
II-',
Qji^'.o,
'"'4-,,,
^aco ^^(ui^
^xoa^oO]/ 8^
fl,
113,„
81|,
t v3ooi 43j„
.jjaioO)
4.'i,„
44,^_„
1^^- ^-^
iie,„
vv-
1^
)o,S.
Vlio-^ 125„
l-)ÖOl liVl(.
t^ooiiosooi
'^PPQ.« 20,.
^J,..*)
If.^ 00, .£uoa^
^al- 20,
;!ll^
etc.
129„
118,,,
(JDOICLU
.')
ILöx- 40,,
I
lojL^!;
m
^a. 16„
«V1V1I. 107,
•
|ooi
M-^o,
,66« 134,
104.
w£oVd Ol
l^a.
:vi„,
riB'O
I24„
114j.j
im.,
178,,
90,
81 j,
|i,Q^.^;i, x\.
i'iii„
Its l-ü- 48„ 179,
.mo|N.itu4, lOM^
^IL^ li^
—
—
:b,
^
llö,
62, 104„ 1343
Ilovioaa
d!o, 9, 47,,,
.-OfOV^o»»
m-,^
I
'^-'
övA^o»
I
llQioCioo; Im-ij,
^roaXA^^^iAo
jtSv^kX^vXO
USdTD^
11,
if^^-cv
^L^
11.',,
|N-Vo(; lloj^o-^^:»:
m,
.;,
pa^o^
112,,-,
^'^l^
97,,
110-
ILcubw^a ..£010^1 32,-
Ili4
j,
I
127,
—
80,
^^».coiaj 09.
.
70.,
94,2
18, 62,, 69, 105,., '5:=1,.,.,.8.,„
154,,
m,
157,
1.58.^,.
16<XlG8,,l69,^„_,3l70,.3.,„.,3l72,.,2l74,
l',l
PovS^ M-3I53,,
lö43_g_,, lööj
160, 163j, 164,
1B8,„ 171,
l^ill I
l:fi-,
viyj
—*
Ml),,
»OOV-
l-L-^ 175,^
ll'.l.
^«oov*
2U
^..öot.
211,.,
)N..»oov
'ir,„
,i2.
1Ö9.
112,.
l"„i
",:, "'i,,
'l,.9
'2.^i
'S
^o-
l^^miK^o;
|a- IL»
,
,^1-0.^
169,,
|_,^£Df
(l.
i-aaa^
l—AQ— |^sb^:.
In,',
108,
.-i;i,|
w ^j;j ..
^^o^
ö'\ 6',
131,
49,,,
15;.,_,^,„
176,.,
jLooC^i 6\x*^ Ol,
7^,1
-^^
^i*<ei^
108,,,
98,^7-0
I2ög
'fi.-',
ööj.,
'«3 8
56, Rl^.j 62.
Mt^j^ioa
1,ÖI,,
llKi,
wiio V3J
Ui^^ p»anv ^o
110,
2ii,„
lo^^oviJ
t^
in 12:,,
178,,,
11,1
,j-a^ 5^,
|> T ,>^j|;
5hg
82.
|-.V^ci^ ;.o ^.UfO«
^a-
U^^
"^U^
V^oQ^;^o
«9,
|LtUj„ 69,
|-
173,„
7(\,
-^l<^
(j.—>!
Icn^j
i:il.
1211
108.
I22j,
lö't,
156.
169,.,
1T2„
TABLE AI.PHABRTIQUE DES NOMS PROPRES SYRIAQUES.
[185]
^
74'3-a-9
—
|Ni.xJo 1025 1283
M>-^
83„
53,„ 77, 87,
'69
84,.,
"3
19„
I
,
°|
119,,
ln\ 2«3
_
31.,
vo^Li
143,,
50, 51, 55, 58„ 64,
.'.8,
iri."Y,
92,.u.,3
9Vu
822.5 043.13
9«.-8-9 99.
"^3
—
^.^jj
n^ v^
Lq^ I-»ov^
110, llög
7 109,2
17g
117,
1222.,3 127„
128, 1373 140,
66,683765 77,78,79,, 81, 84j 91, ip:^
9;j,
lüoo^j 62,„
120„ 1223 128, 134„.,
t.ijio 12, 22,
'Vu-U «3
140„ 141,.,
Hl,
.-^^°.^/^ 110,„
I
'«1-12
9'2-,-7
»-5-9-,2 9«2-5
4<^
70. 71„
65 ^'7 6812
63„ 65,.,
.9,
673
^^o^J
166^
100,.^ 111, )2a,.9.,o.u 131,3
.^jDrJ 12, 100, 128,
II^'j^ ™i« "7
l^j^
I^Lcoo
>0
92g
piAjoy n VI
149.,
aj.Ajo,Ä^o
19,
ILV-^üD 16,„
iLo^iimauvaisecorrection pour lioiSn,
n. 2.
(3
llä^oo 20, l.j-Vnjo 111, 136,
Ujoö^
k.-^ 32„
ijÄ^aa.
67, ILoVio
"4opo
Sl^ 85^ 8',
81,,, 90, 117.^
^.o^s l^ji M.-^ovio
II'',,
88.,^,.
I
^^
i->
irt fft
6t >,^
8R,j
10r)|,
111-,
I
*
f>;^o
1;^)-.;
I
V_^Jo
i^io h2| H7||
Uq-^
07,,
m ^'^'^
INjut^Mf &i>..l, v> lü^.^
82, 83j 84g 85^ 87„
3',^
IT''*
>joo
—
13»,
^^io |ln
y
93 353 45,.,„ 46. 121,.,
)LnViO*fn 5
68„ 98,
4f.,
I
M-*^
9.3.,
3'i„
..L
).... «
vi\
I
'.t7,,
"'i^
•
lJa*ib
VI H9,
83, „
vn 131^
il\.
^^tsoolS-io
IHIl,
p.i
II",
1B2,.3
r!
^.>^Q^.XO
M^
17,
oiV^Vaxd 44g
L
|l;^oo! ]ia-^ 57,
^j
— t»äa^.
|jj,
^Vi~J
|I.V^oo 80^
v^
48, 52.,
167,
^i^
i-ia^au
— pEs^oji-
49,„Ö2„53,
643 67,
9\,
^^^* K2,,
12,.,
6:3,.,
137,,
|IS^-fi
UJ,io
„
176.J
59g 6O2 &2,
ljj|;i
—
81
v£00*ovJacD 9g
17ri,j
174,,
119,2
l^xv
104,
«'2.,n
II3.,.,.,,
la,^ 27, 29,^
31,3 3Ö^ 37, 39,3 -W,,,
"9.
5'..
160„
«,
45,
52„ 533., 55„ 56-
üi ,r^
125„
1^0. ,^
102„
111„ ,„
70,,
57.
TABLE AI.l'HAnKTIQUF. DES NOMS PROPRES SYRIAQUES.
674
.
pnoN no\^
t^Uovs
U^i^b; |.nö«%
^oy-ta
7; 143,0
a»j3
87^ 90,
— K>J^ — — K^.^*^
11,
108g
WS^
INjn^n
J-ux>V9 38„ lüü,
M-J*>vä
117, .118,,, 12U,
llöj,
^«
^^»J^^ ^'s
o^oj^s
^ot^ y^-^
59., 117,„
^QJÖl
^OjvS
|1^-^)
,30j^3 47„
p.^.»^«u>
Das 44„
.mo^oS
ia,3
177,
— lin«"^-«
19jj
139,3 '«^T
—
17H,3
kft^VS 152^^„.,3
I
I
2I3 223 g
27,.
Cf.
yooi
vn
IB'V.o "'.ü ''«:
I
I
^'^^4
n 135„
|jäxo 61,
pÜL^ 142.
wOlQJÖJ.^ 110g
^>oo-^mn
l-ojäa 103^
|La.o,^ 96,0
PVCfta
113,
nOte.
4ü,
Vxm> 14(V„
o^ VmiaB
56,.,,
^cuBV^ftio 140g ,
^ios
»Uli 87,„
1'3,3 1773 178,_,.„
OVMQJJJ 70,2
o»*^ln
I5V7-,o
|^axLca£( ^£oo\aä
34, 1«,ü
mviaxi |JL.^,j^ 64^ 55^
116.
52,
in,„.,3 1183
(.ioQjuj 23, 27^
öl^
ntq
41,„ 43,_, IIO2
-l-^l-^ 34g
-Soj^s 47,
|iti
51 3 .582
112,
=^-A^
79,2
.
(las 112^
ß6,j 75,,
\l.^m\s, 3l8 ß":. 8'ö "8. 121,.,,
49,
41,, 44,,
82,
UOf.S^
125,1
34,,
S9„.„,^„
37,,
.mm .jja.^
31,,
— "V,.
Ld
w-;^
oij-
117„
MojS
6";,-4
lA5,t^i>l>oo 69,
107, 125,^ 129^ l:«,3
—
1"^ "..
H7
2:1
''l>|,
[186]
142,
10,2
|ln\.An 392 ;a„ Cf. 34^
35,.o
,;»i»ia9 302 7^2
I-^A Vaa
43, 47, 115„
125g
11-^ 133„
LA
^a.;
o,|VJ> 16,2
l^y^yo
)L[
92,2
M-;j> 110,3 llOCD',^ 21, ILCL.00 p lJL.fi> 79„
.re\-e>'f£>
^OXA tao
12.\ I
n .VoCj
19,
"^
t^^föia 132, .
:M,
K-(.^j2
61, 622 63,
8V,.„
pnvtga 54„ 62
Pu^^^x^mo^
W„,
9„.
II3
29„ 32^
33.
;«, 37,.,2 :«3 39, 4O3 42g 43„ 662 69, I,
Cf.
48,2
70
Vd-u
.o «^^
I
v.
P'"
«an
'''e
'^4 ™i(
a5, 88,3 98,,,
^ ^ fT>n n
«
"^0
M^ofV
38,„
|DM^-,jai |K^i 13I3
292
I
lioij 108g 111,2 |.q[N
'Vii
'13-5-5-6-0
—
iJLSjiKio 59,
v3ji
^^oo,V 5I3 .W,„ 593 6O3 91,
62„
5I3 53,„ 622 733
74g
ffi,.,.,.„
PLseooii 52,
P^o,V --o^i"
lle-8-,o-u
37,-5 39.1 "69
652-13 ^'s
— »''s
1^3 22,.,
"2-4
58u 59,.g 623_8 636
''810 ''92
233 24, 29,
112,,,
118,„ 119, 1262.3 l:J7,
140,
5O3 5l8 K*!
l-oi
6O2.3., 612.8-40
65u'"2-4",
79g 97,
7«, 79, 8:t,
9O5 91,_„, 933 97, 98, 993
etc.
172,, 1733.,,
ItnS..
V-o!
lovSv
^r l-oi
173,,,
etc.
174,.,.,„ 175,„
172,, 173,3 ^'^\-s 'T^o
HOg.,, «ö,,.,,
pieüo.. l_oi 174g 17,5, 176,2
,
Vi.dj). l-oi
18
423
151,..
152,
1,53,,,
TABLE ALPHABRTIQUR DES NOMS PROPRES SYRIAQUES.
[187]
loi
,88, 1123 140g
18,
,,|1.
[-'; ILo^oa
a»V9 ^
g^
y>\ji
.
.
174
{ .\"« \ln
138,3
1.^^ .m.m;|L ]l^o\l
I
vi\
28, .»,3 ffi,„
)}a^) >fn *«>t|l 97„
„
st 15g
—
I
VI 49,., 50,
Ifoiaij
Itoja
^io|L 104^
ll»,^_g
jj!
^o-j
oiio;^ 129g
1^-^ 49^ 107g
|N-N>jL
L ^»op
,
A.Ti
|io.|l 86,
Ua>ot-= |ai
18 „
|[Siwio.
Ml
103,
'«„
^^a^Vo^ 88„ 893
M^L
25,3 26, 116,,
56,j 58,
8K,|
114,
^-^l
^OU
yo;^|L
llQ^j.^!
20,3 125,,,
105,1,
120,,
JL^i lOg
^!
8U3
71,„ 74,
IC^ovSv l-iolL |lo\'.'.,
«75
)lcik-jl 140,, 8,3 103g
27g.„ 31g
_5a^!l 30, 33, 36, 134,
IC^^x^oj lUiiL
118,3
65,^
TABLE ANALYTIOUE DES MAXIERES
I
SeCONDE PARTIE DE l'hISTOIRE DE BAnUADBESABBA 'Ardaia
1
a 143
\ Introduction
I.
II.
5 ä 14
— L'auteur — Le manuscrit
IV.
VI.
7
12
— Particularites —Mode
13
13
d'edition
Texte et traduction XIX.
—
Hisloire des actions du del'unt illustre
15 ä 143
Mar Theodore, eveque de Mopsueste.
Quelles ont ete les belies (actions) de ce Saint durant son episcopat
XX.
— Ilistoire
du pieux Mar Nestorius, evöque de Constantinople
pres de qui
XXI.
s'est instruit; et
il
— Reponse aux reproches
de ce que
le saint
a
fait
de Cyrille, on connaitra par
:
d'oü
15 il
etait;
durant son episcopat.
lä les belles
Saint Nestorius et Texcellence de sa renianjuable conduite
37 .
l'ut
et
.
ce qui fut fait
ä Ephese. apres l'arrivee de celui que l'empereur, dans
— Que
XXVII.
— De ce qui fut
le
47
55
61
XXVI.
la
paix
64
.
siege d'Alexandrie n'a pas combattu seulement contre le bienheu-
reux Nestorius, mais encore contre fait
— Partie de au sujet de
la lettre
la
les
70
le
76
la verite
du concile des Orientaux qui
persecution dirigee contre
Zele montre par
eveques ses predecesseurs
ensuite par (l'eveque) d'Antioche, et quelle fut la cause
de sa mollesse ä l'egard de
—
de ses collegues.
ä l'arrivee de Jean contre l'audace des eveques Cyrille
son erreur, avait envoye pour (procurer)
XXIX.
et
fait
Memnon
XXV. — De
XXVIII.
.
fait
ques qui raccompagnaient, par l'audace de Cyrille
— De ce qui fut
29
actions de
XXII. — Quelles furent les causes d'inimitie de Cyrille contre saint Nestorius/'. ä Epliöse, avant l'arrivee de Jean d'Antioche et des eveXXIII. — De ce qui
XXIV.
5
6
— Le contenu (avertisscment et table des chapitres) — Las sources
III.
V.
.
Mar
fut ecrite ä
Nestorius
le
lempereur
bienheureux.
.
.
concile d'Orient contre la rage de Cyrille, lorsqu'il
envoya vers (eux) ceux de chez Maximinos pour
les obliger ä
anathematiser
81
TABLE ANAI.YTIQUE DES MAXIERES.
[189]
Diodorc
et
Theodore; de ce
qu'ils ecrivirenl ä
677
Proclus et ä Tempereur en
^3
cette affaire
—
XXX.
De
ce que Tegyptien chercha ä faire contre saint Nestorius en exil.
ment
XXXI.
et
oü
il
fut conduit
dans
— Ilistoire du bienheureux
le
del'unt
Com91
desert
Mar Narses;
mode de son enseignement Ilistoire des actions de Mar Abraham,
XXXII. —
d'oii
il
etait et qiiel etait le
100 pretre et interprete des Livres
128
divins
IT
Dispute .QUE le BiENHEunEux Theodore eut avec les Macedoniens daxs la 145 ä 179
viLLE d'Anazarbe
147 ä 148
INTRODUCTI oN
— Le Manuscrit — Ilistoire litteraire — Contenu (analyse de l'ouvrage) — IV. Les citations du Xouveau Testament
147
I.
II.
147
/
147
III.
148
149 ä 179
Texte et traduction
149 k 150
Occasion de cet ecrit
Le Saint-Esprit appartient a
la
151 ä 160
nalure de Dieu
La maniere dont il procede de Dieu Reponses ä diverses objections
est
un mystere
160 ä 168
168 ä 179 180
Table des citations
Table alphabetique des noms remarquables
propres syriaques
et
des mots etrangers ou 182
TABLE DU TOME IX
Fasc.
— Le
1.
Livre d'Esther, version ethiopienne editee et traduite par Francisco
Maria Esteves Pereira. Introduction
5
Texte etliiopien Fasc. II.
11.
et traduction frangaise
— Les Apocryphes Coptes, publies
Les Acta
15
et traduits
par
le
D' E. Revillout.
—
Pilati.
Avertissement
59
Preface
61
Texte copte
et traduction frangaise des
Acta
66
Pilati
133
Supplement ä l'Evangile des douze apotres Faso.
111.
—
Le Testament en Galilee de Notre-Seigneur iJesus-Christ, texte
etliiopien edite et traduit
en frangais par L. Guerrier, avec
le
concours de
S. Grebaut.
Avant-propos
143 163
Introduction
Texte Äthiopien Faso. IV.
—
177
et traduction frangaise
Le synaxaire
etliiopien.
texte ethiopien edite par
I.
—
III.
Les mois de Nahase
et
de Päguemen,
Guidi, traduit par S. Grebaut.
et traduction
239
Table des matieres
477
Texte
—
La seconde partie de I'histoire de Barhadbesabba 'Arba'ia et une controverse de Theodore de Mopsueste avec les Macedoniens, texte syriaque edite
Fasc. V.
et traduit I.
par F. Nau.
Seconde partie de
l'hisloire
de Barhadbesabba. 493
Introduction
Texte syriaque II.
Controverse de Theodore de Mopsueste avec Introduction
Texte syriaque
503
et traduction frnngaise les
Macedoniens. ,
et traduction frangaise
635 637
Table des citations
668
Table des noms propres syriaques
670
Table analytique des matieres
676
"^%;f
>,.
'
p
.ff"
.'^^K
^W\ t*"*'
'^1
^^^-
'
f